Dossier Parc des Ateliers

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Parc des ateliers, maquette Êchelle 1:500 (image Š designboom)

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LE PARC DES ATELIERS UN PROJET POUR ARLES

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SOMMAIRE Introduction et présentation du site (p 4) Historique des Ateliers SNCF (p 4)

I- Présentation générale a) Chronologie du projet b) Evolution du projet c) Principaux débats, acteurs et financements autour du projet

II- Présentation interne et externe 1) Présentation des bâtiments

a) Solutions techniques proposées à la construction b) Présentation interne :

2) Présentation du Parc

III- Enjeux et impacts du projet sur la ville d'Arles et les habitants a) Enjeux b) Impacts sur la vile

Conclusion Sources Annexe

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Le Parc des Ateliers à Arles est une ancienne friche industrielle de la SNCF (Société Nationale de Chemin de Fer) de 11 ha (Boulevard V. Hugo). Le projet est de réaliser une tour au cœur d'un parc public. Cette tour argentée de 56 m de haut serait un centre culturel qui accueillerait tout au long de l'année des artistes et des projets. Parallèlement les anciens bâtiments SNCF deviendraient des lieux d'exposition permanents. Le site accueillerait également la maison d'édition Actes Sud, L'École Nationale Supérieure de la Photographie (ENSP) et peut être même un salle de concert ainsi que d'autres aménagements qui sont en attente de validation Le projet a pour but de construire une tour et de rénover et réhabiliter les bâtiments existant du Parc (au nombre de 7). Les anciens bâtiments représentent une surface de 14.000 m² dont 8.500 sont alloués aux espaces destinés aux expositions. . La tour a été pensé par Frank Owen GEHRY, architecte de nombreux bâtiments comme le musée Guggenheim de Bilbao et le parc par le Bureau Bas Smets, bureau de jeunes paysagistes. La construction va reposer sur un socle en prolongement de l'avenue V. Hugo, la hauteur maximale de la tour est de 56 m (par rapport au boulevard) La surface du socle et du bâtiment est de 25.000m² au total. La verrière fait 56m de diamètre sur 18m de haut.

Historique des Ateliers SNCF Au moment de sa construction, le site appartenait à la première compagnie de chemin de fer, Paris-LyonMéditerranée. Il a été modifié au fur et à mesures des fusions de compagnies jusqu'à la création de la SNCF. Il a été le cœur économique de la ville pendant un siècle et a laissé une empreinte indélébile à la ville d'Arles aussi bien dans la mémoire des habitants que dans le paysage urbain. La construction de la Vue aérienne de la vie d'Arles tiré de Google Maps ligne Avignon-Marseille fut cédé à Paulin Talabot en 1843. Le dépôt et les ateliers de réparation on été installé à Arles, car se situant entre Avignon et Marseille. Après la fusion avec les lignes Lyon-Avignon et Paris-Lyon le site subit de nombreux changements (nouveaux bâtiments, agrandissement d'autres) et le site se spécialisa dans la fabrication et la réparation des locomotives à vapeur. Le site se focalisa sur les tractions vapeur ce qui entraina le déclin des ateliers qui ne s'adaptèrent pas aux nouvelles tractions. En 1933, la réparation des locomotives fut transféré aux Ateliers d’Oullins (69). Le site d'Arles se chargea alors de l'entretien et la réparation de pièces mineures. En 1937, quand le site intégra la Société nationale des Chemins de Fer (SNCF) il était en difficulté. (et les années 1950 furent l’époque des premières destructions importantes.) Les ateliers fermèrent en 1984, en 1985 la cheminée fut détruite et des incendies ravagèrent le parc. Cependant, les ateliers SNCF ont été préservés et n'ont pas été détruits après cela mais on cependant subit de nombreuses dégradations. La partie ouest du site a été acheté en 1990 avec un projet de réhabilitation en un pôle universitaire. En 2000, Supinfocom s'y implante suivit d'un IUT d'informatique. Parallèlement commence le chantier de réhabilitation de l'atelier de chaudronnerie qui deviendra la "grande Halle". Le site des ateliers sera ouvert au public pendant le chantier avec l'utilisation du site par les rencontres internationales de la photo qui s'y tiennent depuis chaque été. En 2007 Maja Hoffman lance le projet de la fondation Luma de créer une tour dans ce même parc pour le réhabiliter car malgré les nombreux projets de la ville rien n'est certains. En 2012/13, le permis de construire est signé. Les travaux débuteront en 2014.

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I-Présentation générale a) Chronologie du projet Le projet autour du Parc des Ateliers est né dans l'esprit de Maja Hoffmann, héritière des laboratoires pharmaceutiques suisses Laroche et créatrice de la fondation Luma, lors de la mise en vente du site par la ville d'Arles en 2007. Le projet a pour but de rénover et d'aménager cet espace qui a marqué le passé industriel de la ville d'Arles. Il a aussi pour objectif d'attirer l'attention sur Arles toute l'année et pas seulement l'été comme avec les Rencontres d'Arles de la Photographie. Maja Hoffmann ne souhaite pas seulement que le site regroupe des expositions photographiques mais aussi des expositions d'art contemporain de manière générale, des associations pourraient également profiter du lieu pour s'y implanter. Le chantier va débuter d'ici la fin 2013 ou début 2014. Le temps estimé du chantier est de 4 ans, la tour, elle, pièce maitresse du Parc, devrait être livrée pour l'été 2017. Le chantier devrait s'achever en 2018. Durant les travaux les Ateliers SNCF resteront ouverts au public pour des manifestations comme celle des Rencontres Internationales de la photo ou celles de la grande Halle. L'ouvrage sera bâti par étapes pour permettre aux expositions de perdurer. Le projet s'est mit en place à travers différentes étapes: Le projet a commencé à se concrétiser de novembre 2007 à mars 2008. C'est durant cette période que sont apparues les premières idées de Ghery et du bureau Bas Smets. (La tour avait pour emplacement initial le grand espace entre la grande halle et l'atelier des forges). L'emplacement de la tour a été changé à de nombreuses reprises pour diverses raisons. (terrain inconstructible, site archéologique trop proche). En octobre 2011, un lieu est définit et les accords pour la signature du permit de construire se sont concrétiser. Les propositions architecturales ont été nombreuses pour enfin aboutir au projet final adopté en juillet 2012. Les permis de construire ont étés déposés le 21 décembre 2012 (ces permis seront au nombre de 4) : -PC n°1300412R0290(plancher 1509 m2) réhabilitation du bâtiment des forges -PC n°1300412R0292(plancher 836 m2) réhabilitation du bâtiment médico-social et de son annexe -PC n°1300412R0291(plancher 3159 m2) réhabilitation du bâtiment des ateliers mécaniques -PC n°1300412R089 (plancher 12874 m2) construction d'un bâtiment de grande hauteur (56 m) Le 10 juillet 2013 les permis de construire ont été signés la construction débutera fin 2013 début 2014. La livraison du parc des ateliers est prévue courant 2018 .

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b) Evolution du projet Entre novembre 2007 et mars 2008, sont exposées les premières idées d'emplacement. Un emplacement de la tour est évoqué entre la grande Halle et et l'atelier mécanique. Au niveau de la forme et de des textures du bâtiment, l'idée reste floue mais l'idée d'une tour est d'ores et déjà présente. De mars à juin 2008, le projet prend une envergure plus concrète. Les formes du bâtiment se précisent. En juillet est posé le premier concept. La tour est annoncé dans le grand espace entre les différents ateliers. Le bâtiment ressemble à un bateau avec des voiles et des cheminées.

Extrait du dossier architectural GEHRY PATNERS, LLP, maquette datant de juillet 2008

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Entre début 2009 et mars 2011, sont proposé un premier emplacement concret et une première organisation de l'espace des ateliers. On constate une étude importante sur la tour des texture et des formes. L'aspect est presque identique à l'aspect final de la tour. Le choix d'une tour unique est fait en novembre 2009. En 2010, le parti d'une tour en 2 parties est pris. Il sera définitif.

Différents modèles autour de la forme et de la texture (image © Designboom)

Parc des ateliers, maquette au 1:500(image © Designboom)

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En avril 2011 l'emplacement change encore, la tour se situe maintenant à la place de l'atelier mécanique, un parking est ajouté à l'écart du site, entre le boulevard V. Hugo et l'atelier des forges. On peut noter l'apparition d'un hall d'exposition indépendant de la tour.

Extrait du dossier architectural de GEHRY PATNERS, LLP, maquette de 2011 Enfin, en octobre 2011 le projet final est accepté, l'emplacement final sera entre le boulevard V. Hugo et l'atelier des forges. Le parking se trouvera sous la tour. La tour se trouve rabaissé de quelques mètres pour ne pas gêner la perspective de l'église des de la nécropole des Alyscamps. La tour est désormais ceinte d'une verrière, l'idée est gardé depuis novembre 2011.

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c) Principaux débats, acteurs et financements autour du projet Le projet a soulevé plusieurs polémiques et inquiétudes: Dans un premier temps, pour ce qui était du visage de ville, classé au patrimoine mondial de l'humanité, quelles pouvaient être les conséquences d'une telle contruction..? La hauteur du bâtiment pouvait gêner la perspective de l'église des Alyscamps ainsi que la réception télévision des résidences à proximité. (La fondation Luma s'est engagé à dédommager les particuliers si cela arrivait). La construction de la tour pose aussi un aspect général visuel, il faut ajouter sans dénaturer et sans changer les lieux auquel sont attachés les Arlésiens. Les ateliers SNCF font partie depuis plus d'un demi siècle du paysage Arlésien c'est pourquoi il est important de ne pas Un autre débat soulevé est celui de la circulation pour l'arrivé des voitures au Parc qui pourrait gener la circulation et surcharger le boulevard V. Hugo. La fondation propose la construction d'une bande de circulation pour éviter ces problèmes. La question se pose également sur quel genre de manifestations culturelles la tour abritera mais Maja Hoffman le laisse entendre ça sera le plus large possible. Pas seulement de la photographie tout les arts pourront être présent. Le projet s'articule autour de plusieurs acteurs : - Maja Hoffmann, présidente de la Fondation LUMA et initiatrice du projet. Elle est également le principal investisseur du projet. C'est une collectionneuse d'art qui depuis une vingtaine d'année d'investis dans des projets artistiques ambitieux à l'image de la tour. Elle est investie dans de nombreuses structures très variées aussi bien dans l'art que dans l'environnement. En 2004 elle crée la fondation Luma qui a pour but de soutenir des projets et des artistes innovants. LA fondation accorde cependant un intérêt certain pour les projets se développant autour des thématiques environnementales, des droits de l'homme, de l'éducation et de la culture. La Fondation possède également des partenariats avec le New Museum of Contempoary Art (New York, États-Unis), le CCS Bard College (Annandale-on-Hudson, New York, États-Unis), la Serpentine Gallery et la Tate Modern (Londres, Grande-Bretagne), la Kunstahalle de Zürich et le Fotomuseum de Winterthur (tout deux en Suisse) ainsi que divers évènements artistiques comme des festivals. - La ville d'Arles qui a vendu le terrain et signé le permis de construire. Ensuite sont associés au projet des personnalités Arlésiennes et extérieures tels que: François Hébel Directeurs des Rencontres d’Arles de la photographie, Françoise Nyssen directrice des éditions Actes Sud, Patrick Talbot de l’école nationale supérieure de la photographie, Frédéric Mitterrand. Les artistes du projet sont le bureau Bas Smets d'architecture paysagiste (qui compte 12 paysagistes et possède plus de 40 projets dans 8 pays différents) et Franck O. Gehry architecte du projet Les investisseurs financiers sont Maja Hoffmann, la ville d'Arles et certains investisseurs privés qui vont financer les 100 million d'euros nécessaires à la construction.

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II- Présentation interne et extérieure 1) Présentation des bâtiments

a) Solutions techniques proposées à la construction:

La pièce maitresse du Parc des Ateliers est la tour (qui est-elle même scindée en deux parties jumelles). Au rez-de-chaussée de la tour il y a une cafeteria, des magasins, des salles d'exposition, dans les étages des appartements pour les artistes en résidence et au sommet un restaurant gastronomique. La façade extérieure est composée de blocs d'inox recouvert d'une fine couche d'aluminium. La grande verrière qui couvre les deux premiers étages crée un espace lumineux (en été comme un hier). Sous la verrière comme dans le reste du bâtiment, la ventilation s'effectue sans système de climatisation et grâce à un système de puits canadien. Le bâtiment possède un grand espace entre les "branches" de la tour et cela favorise le passage de l'air et cela permet donc de ventiler le bâtiment plus facilement. Quant à la structure extérieure sont utilisés des blocs en inox pour pouvoir satisfaire donner une impression de structure minérale. Les matériaux choisis pour la construction vont respecter les normes environnementales Françaises. En majorité sont utilisé du béton armé, des plâtres (matériaux classiques d'une construction) ajoutés aux blocs en inox pour la façade ; pour l'arrière du bâtiment des pierres (ou grosses briques) ainsi que du verre en grande quantité pour la verrière. Maja Hoffman souhaite utiliser surtout des matériaux propres et sans répercussion sur l’environnement. Les bâtiments abriteront également la maison d'Éditions Actes Sud, probablement un cinéma, une crèche ou une salle de consert. b) Présentation interne : Le sous-sol du bâtiment (par rapport au niveau du boulevard V. Hugo) comporte un parking ainsi qu'une salle d'exposition. Au rez-de-chaussée se trouve une cafétéria, un grand hall, de nombreuses salles d'exposition. L'accès au deuxième étage s'effectue par un escalier à double révolution (assez massif) le deuxième étage possède également des salles d'expositions. Du troisième étage à l'avant dernier ce sont des appartements pour des artistes en résidence, l'avant dernier et le dernier sont consacrés à un restaurant gastronomique et panoramique.

2) Présentation du Parc Ce parc est composé uniquement d’espèces végétales régionales, qui proviennent des régions avoisinantes, les Alpilles au Nord-Est, la Crau à l’Est et la Camargue au Sud-Ouest. Ces paysages possèdent des identités, des formes et des couleurs qui leur sont propres. Le Bureau Bas Smets a cherché à intégrer au Parc ces trois identités paysagères. Le Parc des ateliers se situe sur une plateforme artificielle rocheuse à l'image des Alpilles. Le parc est divisé en plusieurs séquences depuis l'avenue V.Hugo jusqu'au canal de Craponne. Le "Socle" est le tour du bâtiment c'est un espace minéral ponctué d'arbres. Le "Parc" est planté selon les quadrillages utilisés dans les vergers au pied des Alpilles, son but est de créer une continuité entre les bâtiments et les espaces. Le "Jardin" est un prolongement au Parc le long du canal de Craponne, ce sont des petites colines densément plantées d'arbres et de plantes basses. La "Place" se situe dans l'espace de l'ancien bâtiment mécanique, c'est un espace qui rappelle les plaines Camarguaises .Le projet paysager s'est inspirés des paysages présent dans l'horizon Arlésien et propose de les unir en un seul lieu.

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III- Enjeux et impacts du projet sur la ville d'Arles et les habitants a) Enjeux Enjeux culturels : Ce projet permet d'élargir l'ouverture artistique crée par les rencontres de la photographie et ce toute l'année et pas seulement l'été. Ce centre culturel offrirait l'opportunité d'amener l'art au sens large aux Arlésiens. Enjeux économiques : Ce projet va rajeunir l'image de la ville et permettre de la dynamiser à travers le tourisme. Cela permttrais redonner “vie'” a l'économie de la ville. Enjeux sociaux : Le parc des ateliers sera un lieu d'échange, de partage et de découverte. Ce parc sera également créateur d'emploi et novateur pour Arles. Il permet de réhabiliter les anciens ateliers SNCF cher à la mémoire Arlésienne tout en les modernisant. b) Impacts sur la vile Impact écologique : Ce parc est aussi l’occasion de créer un espace vert au cœur de la ville. En effet 400 arbres vont être plantés dans le Parc. C'est l'occasion de développer des classes de sensibilisations à l'écologie dans les écoles primaires. Ainsi que d'installer des potagers collaboratifs, ce parc serait un lieu de rencontre et d'échange un poumon vert et social pour la ville. Impact social et économique: La création de cette tour pourrait être un sursaut économique pour la ville. Ce projet serait novateur et créateur d'emplois. Il attirerait l'attention sur Arles et mettrais en avant une ville oubliée cela permettrais probablement a d'autres universités d'art et d'image de venir s'installer dans la ville.

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En conclusion: Le parc des Ateliers est un projet innovant et unique en Europe. Il est l'occasion de mettre la ville d'Arles en avant sur le plan international et ce toute l'année et pas seulement pour les Rencontres de la photographie qui n'ont lieu que durant l'été. Ce parc est un projet surprenant qui n'a pas toujours fait l'unanimité, il a été difficile de le faire accepter. Mais aujourd'hui il est vu comme le futur de la ville. C'est également un opportunité pour sauver le site des anciens ateliers SNCF que la mairie ne pouvait pas entretenir suffisamment et auquel les Arlésiens sont très attachés. Pour la ville c'est l'occasion de montrer une vitrine culturelle importante au monde, à l'image de Marseille Provence 2013, Capitale Européenne de la Culture. Grâce à l’implantation d'un tel projet d'autres pourraient se concrétiser. Comme l’installation des Studios Dreamworks qui agrandiraient le pôle numérique de la ville et ce en partenariat avec Supinfocom. Le Parc lui, futur « poumon vert » de la ville lui donne enfin un espace vert d'envergure qui manquait à la ville et ce malgré l’existence du Jardin d'été et d'hiver car très petits et insuffisants. Ce parc aurait la possibilité d'être modifiable et peut-être permettrais de sensibiliser les primaires et maternelle aux enjeux écologiques ainsi qu'aux espaces naturels exceptionnels qui les entourent (Parc régional de Camargue, Alpilles et Crau). Au delà de la culture et de l'écologie, le site serait créateur d'emplois pour la ville qui en manque cruellement, l'activité touristique serait d'autant plus importante et aiderait grandement la ville qui est actuellement en difficulté. Ce parc est une opportunité pour la ville et pour ses habitants. Nous espérons que les prévisions seront confirmés après la livraison du projet en 2018.

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SOURCES Personnes: Maja Hoffman Intervenant autour de la maquette (Lisa) Dossiers : Présentation,Bureau Bas Smets Dossier architectural (par master plan),GEHRY PATNERS, LLP Étude Ateliers SNCF, G.Buffa dans direction patrimoine Arles Le Parc des Ateliers d'Arles, réalisée par la Ville d'Arles, en collaboration avec AREA PACA, 2010 Rapport du commissaire enquêteur sur le projet de construction et réhabilitation/rénonvation d'un complexe culturel (fondation LUMA, ZAC des ateliers) mairie d'arles Michel Depoux Articles Le Monde Le projet du Parc des ateliers à Arles est dévoilé (publié par Michel Guerrin le 07/O7/2008) La Provence La tour qui fait rentrer Arles dans une autre dimension (publié par Éric Goubert le 21/07/2013) Arles : permis de construire signé pour le parc des Ateliers (publié par Éric Goubert le 12/07/2013) Arles : et voici le parc des Ateliers (publié par Éric Goubert le 11/12/2012) Arles info +

Parc des Ateliers : permis signés (publié par Christophe Cachera le 12/07/2013) Salle comble pour un projet extraordinaire (publié par Christophe Cachera le 01/05/2010) Le futur des Ateliers dévoilé à l’hôtel de ville (Publié par Christophe Cachera le mercredi 7 juillet 2010

Sitographie : Designboom Le Monde Arles info +

Toutes les photos du dossiers y comprit la couverture (hormis celles ou cela été précisé) ont été prises par Lucille Briffaud Atelier des Forges Maquette du Parc au 1:4000 (2 photos) Maquette de la tour au 1:40 Grande Halle durant les rencontres de la photographie

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Annexe

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