S.BendimĂŠrad P.CĂŠleste F.Cremel A.Feraru E.Frias Moreno J.Galiano C.Orillard P.Simon
réunit des architectes, urbanistes et paysagistes, impliqués dans une pratique riche et diversifiée, qui ont choisi de se regrouper pour amplifier leurs actions et prolonger les réflexions engagées lors de la consultation internationale du Grand Pari(s), où ce groupement constituait le pôle français (AAF et ACS) associé aux Hollandais de MVRDV. Notre structure constitue un réseau de compétences et de ressources permettant d’allier l’efficacité opérationnelle d’une équipe avec la nécessaire multiplicité des regards et des questionnements théoriques que sollicitent aujourd’hui les défis métropolitains auxquels sont confrontées les collectivités locales et la société civile. Nos recherches - presque tous les membres de Paris-U sont enseignants dans les écoles d’architecture et de paysage, théoriciens de la ville et chercheurs - questionnent les problématiques que ces enjeux recouvrent et nos activités professionnelles prolongent ces réflexions dans le cadre de la fabrication concrète des formes spatiales et socioculturelles d’une urbanité. Nos travaux relèvent aussi bien de missions opérationnelles que de missions d’étude, d’expertise, de conseil, de prospective ou de recherche. Le projet est abordé comme un outil d’exploration, de questionnement, de compréhension et de mesure des transformations potentielles à opérer sur un territoire donné. Pour une compréhension renouvelée des villes. Les représentations traditionnelles de la structure des agglomérations ne rendent pas compte des réalités plurielles que recouvrent désormais nos villes. Le croisement des données géographiques, historiques, démographiques et socio-culturelles, comme celles relatives à la répartition des bassins de vie, de l’emploi et des « loisirs » (pour reprendre une division bien désuète), et des déplacements, met à mal ces figures par trop simplificatrices car il n’y a pas ou très rarement cohérence entre ces différentes données. Ainsi l’agglomération contemporaine repose-t-elle sur une organisation complexe, conflictuelle et contradictoire mais aussi sur des formes concrètes à l’aune desquelles se jouent pour chacun le développement et le sens d’une citoyenneté à partager.
MOYENS HUMAINS ET MATÉRIELS
La société
fédère les compétences et les moyens de 5 agences d’architecture et d’1 paysagiste d.p.l.g. 8 associés 21 architectes 1 paysagiste 30 postes de travail Parc informatique MAC et PC 4 traceurs A0 4 imprimantes A3 4 copieurs fax / scanner Logiciels : Autocad Powercad Vectorworks 3ds max Photoshop Illustrator Indesign Pack Office
Chiffre d’affaire aggloméré des composantes de Paris U : 2008 : 1 377 682 € 2009 : 1 406 413 € 2010 : 1 106 124 € 29 rue traversière 75012 Paris parisUparis@gmail.com
ARCHITECTES PAYSAGISTES URBANISTES
SABRI
BENDIMÉRAD
PATRICK
CÉLESTE
FRANÇOISE
EUGENIA
CREMEL FRIAS MORENO
architecte DPLG,’ Ecole Nationale d’Architecture de Paris-La Villette-UPA6, -1990 Maître Assistant à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecure de Normandie depuis 2011 Membre Associé du laboratoire Architecture-CultureSociété XIX, XXIème s., UMR AUSSER n°3329 depuis 2006 Membre Associé de l’atelier «tectône» entre 1998 et 2011
architecte DPLG - 1972 maîtrise d’urbanisme à Paris VIII - 1975 Dea de sociologie de l’urbain à Paris - 1977 Prix Haussmann - 1980 Lauréat des albums de la jeune architecture - 1981 Architecte Conseil de l’Etat auprès de la DDT 81 architecte-conseil de la Semavip, de la zac de la joliette, Marseille expert auprès de a’urba Bordeaux Professeur à l’école nationale supérieure d’architecture de Paris-malaquais
paysagiste DPLG Enseignante à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture et de Paysage de Lille, 2002-2009 Enseignante à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Malaquais, 2009-2010 Enseignante à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles Ingénieur de recherche à l’Ecole Nationale Supérieure du Paysage de Versailles
Architecte diplômée de l’Université de Buenos Aires, diplômée d’architecte d’Etat à l’Ecole Nationale Supérieure de Paris Malaquais habilitée à la Maîtrise d’Œuvre à l’Ecole Nationale Supérieure de Versailles DEA « Le projet architectural et urbain » à l’EnsaP-Belleville Professeur à la Paris American Academy 1er prix du concours ADEME-ARENE « L’Esquisse Verte » Gérante de la SARL d’architecture «Topomorphos»
ANDREI
JANINE
CLÉMENT
PHILIPPE
FERARU
architecte DFAB Doctorat 3ème cycle en Urbanisme en cours, Université Paris X Nanterre thèse : La métropole ségrégationniste sous la direction de M. Guy Burgel DEA, institut d’Urbanisme de Paris (I.U.P) section Espaces et Territoires Maître-assistant-associé Ecole nationale supérieure d’Architecture Paris Malaquais 2002 – 2008 enseignant à l’Ecole d’Architecture de Bretagne 1996 – 1998 Fondateur de l’EURL AAF
GALIANO
architecte DPLG diplômée de l’Ecole d’Architecture Paris-La Villette - 1987 D.E.A. - 1994 « Jardins, paysages et territoires » E.H.E.S.S. / E.A.P.L.V. Maître-assistant-titulaire à l’Ecole nationale supérieure d’architecture Paris-Belleville depuis 2002 Enseignante associée à l’Ecole d’Architecture Paris-Belleville, depuis 1997 Co-gérante de la sarl d’architecture Galiano-Simon
ORILLARD
architecte DPLG diplômé de l’Ecole d’Architecture de Marseille-Luminy Docteur en architecture université Paris 8 Prix de la Recherche et de la thèse de Doctorat en Architecture, 2012 Maitre-assistant Associé à l’ENSA Versailles Chargé de cours à l’Institut Français d’Urbanisme Chercheur au laboratoire ACS XIX, XXIème s., Ancien chargé d’études au GIP EPAU AIGP – PUCA, Ministère de l’Equipement Associé de la sarl «Topomorphos»
SIMON
architecte DPLG diplômé de l’Ecole d’Architecture Paris-La Villette - 1989 D.E.A. - 1995 « Le projet urbain et architectural » E.H.E.S.S. / I.F.U. / E.A.P.L.B./E.A.P.V. Architecte Conseil de l’Etat auprès de la DDTM 11 Maître-assistant-titulaire à l’Ecole d’architecture Paris-Malaquais depuis 2005 Chercheur au laboratoire ACS XIX, XXIème s. Co-gérant de la sarl d’architecture Galiano-Simon
PROJET Maîtrise d’ouvrage : Vil e de Gennevil iers
Étude de redynamisation commerciale et urbaine du centre ville Maîtrise d’ouvrage : Ville de Gennevilliers Étude en cours - livraison octobre 2013 La ville de Gennevilliers s’est dotée, en décembre 2012, d’un schéma directeur pour le secteur centre ville, décidant des orientations générales en termes de stratégie urbaine autour de son centre Centre Administratif Culturel et Commercial, réalisé à la fin des années 1970, et caractérisé entre autres par l’imposante mairie culminant à presque 100 m au dessus d’un tissu hétérogène et en profonde mutation. PARIS U a été chargé dans ce cadre afin de mener les études préalables à la création de la ZAC Centre Ville, incluant un programme mixte d’environ 60000 m² de logements, activités et commerces, la création de deux places publiques dans l’environnement immédiat du CACC, ainsi que l’approfondissement d’une étude plus générale sur la redynamisation urbaine et commerciale du centre ville élargi dans la perspective de la création de la Gare Grand Paris Express aux Agnettes. Le projet élaboré vise plusieurs objectifs : - créer un centre ville animé, une polarité commerciale et résidentielle autour du Centre Administratif Culturel et Commercial - créer un centre ville dense et vert, à la manière d’une cité jardin contemporaine, où le paysagement dessine l’espace urbain - redonner une cohérence d’ensemble, par les espaces publics, à un tissu hétérogène et aux objets dominants du paysage urbain
En cours
92230
PROJET Maîtrise d’ouvrage : Vil e de Gennevil iers
Après avoir conduit un diagnostic du centre ville élargi, plusieurs scénarios ont été élaborés et comparés, puis discutés avec la maîtrise d’ouvrage. Plusieurs enjeux ont émergé du diagnostic, notamment : - l’articulation avec la «coulée verte», projet de trame verte de «Seine à Seine» à l’échelle de la boulce de la Seine - l’articulation avec le CACC, du point de vue de l’accessibilité et du paysage - l’articulation avec les tissus urbains environnants, notamment avec le «quartier des passages» et sa trame viaire serrée - l’intégration des enjeux de renforcement du statut de l’avenue Gabriel Péri, route départementale structurante à l’échelle de la ville autour de laquelle se jouent les grandes mutations, actuelles et à venir. Le travail de «scénarisation» a permis de développer différentes approches de l’organisation des espaces publics et paysagers, autour de la question du parvis de la mairie et de l’accessibilité du CACC, de la trame viaire, de l’occupation (programmatique et physique) du sol, autant de thématiques qui ont pu être tenues en parallèle et étudiées en profondeur dans leur faisabilité. L’inscription du projet dans la continuité de la coulée verte de Gennevilliers, se prolongeant en une bande active qui structure l’ensemble du centre ville, a été un des principes forte retenus. L’identité du centre ville de Gennevilliers sera également fortement marquée par son maillage serré de voiries apaisées où le végétal domine, ponctuées de «chambres vertes» où la vie du quartier se fixe à une échelle plus locale, celle des futurs habitants qui chercheront à concilier la proximité des aménités urbaines et la qualité environnementale du cadre de vie.
En cours
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PROJET Maîtrise d’ouvrage : Vil e de Gennevil iers
En cours
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PROJET Maîtrise d’ouvrage : Vil e de Gennevil iers
En cours
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PROJET Maîtrise d’ouvrage : Vil e de Gennevil iers
Après avoir conduit un diagnostic du centre ville élargi, plusieurs scénarios ont été élaborés et comparés, puis discutés avec la maîtrise d’ouvrage. Plusieurs enjeux ont émergé du diagnostic, notamment : - l’articulation avec la «coulée verte», projet de trame verte de «Seine à Seine» à l’échelle de la boulce de la Seine - l’articulation avec le CACC, du point de vue de l’accessibilité et du paysage - l’articulation avec les tissus urbains environnants, notamment avec le «quartier des passages» et sa trame viaire serrée - l’intégration des enjeux de renforcement du statut de l’avenue Gabriel Péri, route départementale structurante à l’échelle de la ville autour de laquelle se jouent les grandes mutations, actuelles et à venir.
En cours
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PROJET Maîtrise d’ouvrage : Vil e de Gennevil iers
En cours
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PROJET A. FERARU Projet en cours ETUDE DE FAISABILITE D’UNE PLATEFORME MULTIMODALE ET D’UNE ZONE D’ACTIVITES (160 ha). OBJECTIF L’objectif du pôle multimodal de l’Eure est de s’intégrer à une offre portuaire normande cohérente avec Le Havre et Rouen tout en respectant les contraintes physiques et sociales du site et en maîtrisant les nuisances : une articulation fine des enjeux globaux et locaux. LES ÉTUDES touchent spécifiquement au marché logistique à développer dans ce territoire, situé à l’interface de l’hinterland estuarien de la Seine et de la grande région économique du bassin parisien. Elles ont pour objectif d’étayer le programme du futur parc d’activités en apportant des éléments de réponse à de multiples problématiques indissociables de l’opération d’ensemble et du développement économique à l’échelle régionale, telles les liaisons routières et ferroviaires du site, les aménagements portuaires, la pollution des sols... LA PLATEFORME trimodale (route, fer, fleuve) est constituée de deux zones d’intervention distinctes : un port fluvial, sur la commune d’Alizay (site M REAL) et unje zone d’activités de 160 Ha, sur les communes de Pitres et de Le Manoir, reliées par un circuit de brouettage fermé. Le choix de l’implantation du port fluvial sur le terrain de l’usine M REAL permet de lever un certain nombre de contraintes, liées à l’innondabilité du site, et à la présence de zones portégées (Natura 2000) et résidentielles. LE PARTI PRIS d’améngament de la zone d’activités repose sur l’intégration des contraintes liées aux activités des carriers présents actuellement sur le site. L’organisationd des surfaces cessibles se fait en différents plateaux articulant les niveaux bas des carrières et la topotgraphie «naturelle» du terrain. Maîtrise d’ouvrage : CASE AAFeraru architecte urbaniste mandataire, SOGETI Ingénierie, Territoires (paysagistes)
27 500
PROJET D’OUVRAGE: P. CÉLESTE MAÎREIMTRES METROPOLE, PROJET EN COURS
51 100
ÉTUDE DE DÉFINITION URBAINE AVEC AGENCE BRUNO FORTIER ET THIERRY BLOCH ARCHITECTES - URBANISTES mandataires Économiste : J.T. Bloch Paysagiste : Agence Tn Plus
L’Etude Urbaine “Reims 2020” appelle les grands projets à l’échelle des enjeux que la phase commune d’expertise de l’étude de définition a mis en lumière au cours de ce premier semestre 2009. Cette phase de diagnostic a mobilisé de très nombreux interlocuteurs, politiques, administratifs, professionnels, tant au niveau du G10 qu’à celui de l’agglomération rémoise. Les acteurs des différents secteurs de l’économie, de l’urbanisme, de la culture, de l’enseignement supérieur et de la recherche, en particulier, de l’Université de Reims, ChampagneArdenne, ont été rencontrés. Leurs avis et volontés ont été recueillis ainsi que ce qu’ils considéraient comme sujets prioritaires. À ces relations tissées avec ces différents acteurs, ce sont ajoutées de nombreuses interventions auprès du public dont la presse s’est fait l’écho en rappelant les ambitions et en suivant l’avancement de Reims 2020. Cette ambition est de porter l’agglomération Rémoise et les villes
du G10 au niveau que leur histoire et leurs potentialités leur permettent d’ambitionner parmi les pôles les plus importants de France et d’Europe.
Portés par la conviction de la légitimité de cette ambition, nous proposons un Projet pour l’agglomération Rémoise se condensant
en quelques secteurs prioritaires. Le projet Reims 2020 proposé par notre équipe tient à se démarquer d’une démultiplication d’interventions
urbaines de plus ou moins grande importance car il serait infructueux de les développer simultanément et sans véritable hiérarchie.
PROJET BENDIMERAD / CELESTE / FERARU / ORILLARD / SIMON CONSULTATION INTERNATIONALE 2009 POUR L’AVENIR DU PARIS MÉTROPOLITAIN MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION EQUIPE MVRDV + ACS + AAF La consultation sur les visions du futur de l’Agglomération de paris Post Kyoto est audacieuse, elle peut répondre à une demande ambitieuse et responsable pour la capitale de la France. La nécessité de cette consultation autour de l’avenir du Paris métropolitain semble venir de plusieurs origines: une lutte économique pour une compétition globale, des urgences écologiques, des pressions sociales, un contexte politique … Que cela soit dans le cas de la métropole post Kyoto ou de la recherche prospective sur l’avenir métropolitain de l’agglomération parisienne, la démarche se dirige clairement vers une recherche spatiale de la métropole d’aujourd’hui et de demain. Le temps a de façon indéniable changé notre perception de ce que peut être la ville. Au même moment ou de rapides mutations se font ressentir sur nos villes, l’idée que nous avons de la ville de tous nos désirs ne cesse d’évoluer. De ce point de vue, il semble évident qu’une réflexion sur Paris questionnant ses ambitions et ses limites est nécessaire. Si l’on compare l’agglomération parisienne avec d’autres métropoles mondiales et européennes, quelle identité de la métropole francilienne s’en découle? Comment la réévaluer ? Quelles sont ses ambitions, ses désirs? Cette consultation internationale pour l’avenir du Paris métropolitain est ambitieuse par les questions qu’elle pose. Elle entraîne une réflexion complexe mais indispensable de notre temps et des temps futurs. Il faut s’interroger sur la façon dont Paris et les autres villes pourront gérer l’équilibre entre les questions économiques, sociales et écologiques en négociant avec les différents pouvoirs et opinions d’un futur proche. Serons-nous dirigés par la peur ou bien pouvons nous approcher le futur d’une manière fière et optimiste?
ÉTUDES EN 2009
PROJET PARIS PLUS petit
ÉTUDES EN COURS
PROJET «HABITER LE GRAND PARIS»
ÉTUDES EN COURS
PROJET «SYSTEMES : OBSERVATOIRE DES GARES DU GRAND PARIS»
ÉTUDES EN COUIRS
PROJET : P. CÉLESTE MaîSEMAVItrePD’ouvrage ÉTUDES FINIES EN 2008
PARIS XIX
PROJET DE RENOUVELLEMENT URBAIN MISSION D’ARCHITECTE URBANISTE - CONSEIL ZAC DU BASSIN DE LA VILLETTE SHON 142 000 M2 Cette ZAC s’inscrit dans le vaste projet de “rééquilibrage de l’Est parisien” et plus particulièrement dans le site formé par le canal St Martin, le bassin de la Villette proprement dit et la portion du canal de l’Ourcq aboutissant à la Cité des sciences et de l’industrie. Cet ensemble doit constituer, à terme, une grande promenade structurant l’Est de la Ville. La mission d’urbaniste conseil porte sur l’étude générale de la ZAC, prenant pour base les orientations de la Ville initiées par l’APUR (Atelier Parisien d’Urbanisme) - le découpage
des sols en différents lots - la définition du programme et de la surface horsœuvre nette attachée à chaque lot - la définition de la volumétrie
des bâtiments projetés dans le respect de la réglementation de la ZAC et de son cahier des charges - la coordination architecturale
(production d’un cahier des charges d’orientations architecturales) - le suivi de chaque programme auprès des maîtres d’œuvre,
tout au long des phases d’études et de réalisation - l’aménagement ou le suivi de toutes les phases de réalisation des espaces publics.
PROJET : P. CÉLESTE MaîSEMAVItrePD’ouvrage 2007
PARIS XIX
PROJET DE RENOUVELLEMENT URBAIN RÉNOVATION DE LA PLACE ET DE SES ABORDS MISSION DE MAÎTRISE D’ŒUVRE ARCHITECTURALE / MISSION D’ARCHITECTE - URBANISTE CONSEIL 2 500 000 € HT Tout en reconnaissant la qualité du travail architectural et urbain réalisé par B. HUET, la place présentait d’importants dysfonctionnements auxquels il convenait de remédier. La Ville entreprit alos un programme d’animation de l’ensemble du site, englobant la Rotonde de C. N. LEDOUX, le bassin, ses quais et ses abords jusqu’aux Magasins Généraux et le Pont Levant de la rue de Crimée. Les principes d’aménagement et les dispositifs sont les suivants : - Restauration et réparation. - Recherche de destinations programmatiques des divers bâtiments bordant le quai ou la place (la Rotonde, les entrepôts, le bâtiment des Canaux, le local situé sous la terrasse côté quai de la Loire). - Fermeture ou démolition de passages et d’escaliers. - Ouverture d’un passage aisé et direct vers les quais en créant un escalier menant à la passerelle enjambant l’écluse. - Restauration de la fontaine et amélioration de la traversée - Amélioration de l’éclairage public. Ces principes et dispositifs forment un tout cohérent qui doit
aboutir au bon fonctionnement de la place, à la restauration des éléments majeurs de l’oeuvre de B. Huet, tout en reconnaissant la nécessité
de détruire certains éléments qui, à l’usage, ont conduit aux divers défauts précédemment énoncés. B. Huet, lui-même, a maintes fois répété
que la ville et l’espace public sont un projet sans cesse en devenir. Cette étape de l’adaptation de la place à ses nouvelles destinations,
tout en conservant les principes fondateurs, s’inscrit dans la logique de cette pensée non figée des œuvres architecturales et urbaines.
PROJET J. GALIANO P. SIMON SITUATION URBAINE Mission d’aménagement et de coordination d’une ZAC à Haute Qualité Environnementale autour de la reconversion d’une halle ferroviaire Le secteur Pajol s’inscrit dans un territoire dont le développement urbain est fortement marqué par les passages d’importants réseaux d’infrastructure. Les enjeux de son développement offrent la possibilité d’établir des “principes d’assemblage” de part et d’autre des emprises ferroviaires, à une échelle territoriale : la conjugaison des arrondissements et de leurs quartiers. L’aménagement du secteur Pajol s’établit sur deux niveaux altimétriques différents. L’un est de plain-pied avec la voirie et l’autre de plain-pied avec l’emprise des voies ferrées. Articulés autour de bâtiments existants réhabilités, ou de constructions neuves, ces deux niveaux de sols forment chacun un dispositif urbain continu, constituant une unité de programmes et d’usages. Traitement architectural de plain-pied avec la voirie : Il s’agit d’une unité de vie sociale et économique à l’échelle du quartier qui se déploie linéairement depuis la rue Riquet jusqu’à la rue du Département et le square du jardin Sud. C’est dans un nouveau cadre paysager pour la rue Pajol, que vies universitaire, scolaire et sportive viennent, autour de l’esplanade, s’associer aux activités économiques et culturelles situées au rez-dechaussée de la halle et dans l’immeuble d’activités. De plain-pied avec les voies ferrées : Il s’agit d’une unité de vie sociale et culturelle qui donne en partage une scène publique pour la vie du quartier. Depuis la rue Riquet, le jardin Nord puis la grande nef de la halle conservée offrent un cadre naturel et paysager pour le développement mutualisé des actions locales, sociales et culturelles (salles de réunion, de représentation, de réception et d’action culturelle)
Maîtrise d’ouvrage : Semaest / Vil e de Paris 2004-2012
PARIS XVII
PROJET J. GALIANO P. SIMON
Maîtrise d’ouvrage : Semaest / Vil e de Paris 2004-2012
PARIS XVII
PROJET J. GALIANO P. SIMON
Maîtrise d’ouvrage : Semaest / Vil e de Paris 2004-2012
PARIS XVII
PROJET R E D O N N E R D U S U D A U X E S PA C E S V E R T S ESQUISSE 1/1000
massifs ne servent pas seulement à décorer. érêt botanique avant tout, ils sont une plus-value pour sidence. sation de fruitiers et de vivaces botaniques n’ayant pour simple fonction l’ornement sera perçue comme space qualitatif
PROJETS I3F ECV concours 2007 A. FERARU équipe JP FORTIN Lauréat
PROJET PILOTE
3
1. Offrir aux habitants de la villa, un coeur d’ilot jardiné.
3
1 bis. Création de nouvelles voies plantées et de parking longée de pommiers
REQUALIFICATION D’ESPACES EXTERIEURS
1 1
PROJETS I3F ECV 2. COTE RUE : TAVERNY Marquer la limite entre le privé /etMONTREUIL le public : Des lignes haies vives et de petits fruitiers
Les enjeux à Taverny sont très particuliers, liés à l’urbanisme de densité diffuse du site.
3. COTE PARC : notamment à la Le projet s’attache Travailler l’arrière de la villa commepiétonnière espace reconquête des coeurs de transition. Le verger plein-vent
1 BIS
d’îlot, en remplaçant les aires de stationnement par des espaces de jeux et socialisation et plantations...
2
Une grande allée en bois traverse le site, un trait d’union censé relier des sous-ensembles épars, aujourd’hui enclavés et refermés sur eux-mêmes... Enfin, le site est un pilote pour les conteneurs OM enterrés, projet spatial mais aussi social qui exige un grand volet pédagogique.
Le site de Montreuil se pose comme le contraire des quatre autres et du type canonique développé dans le concours. Le coeur d’îlot est
colonisé par des stationnements et les espaces (chichement) plantés forment un anneau résiduel et décousu en pourtour... Dans ces conditions,
le désenclavement et la requalification piétonnière du coeur, même partielle, deviennent des réels enjeux de projet.Un nouveau dessin des
accès et des stationnements, tout en courbes, permet de dégager des surfaces dédiées aux jeux et à la socialisation paysagère...
PROJET A. FERARU 2004-2013 REHABILITATION DU POLE MULTIMODAL VILLEJUIF-LOUIS-ARAGON Le pôle multimodal occupe une pointe de 5 000 m² entre la RN7 à l’Est (Boulevard Maxime Gorki), les avenues Louis Aragon au Nord et Stalingrad à l’Ouest. Il regroupe le terminus de la ligne 7 Métro, une gare routière de 12 lignes en passage ou en terminus et un parking de 500 places. L’arrivée du tramway Villejuif / AthisMons est prévue en 2010 et celle de la ROCADE francilienne en 2015, le tout accompagné de la requalification complète des axes routiers. Construit dans les années 80 par Jacques Kalisz le pôle est un volume imposant (20 000 m² sur 5 niveaux), fonctionnel, assez dur et qui a prématurément vieilli. Sa nécessaire mise en conformité doit en parallèle améliorer son insertion urbaine et sa perception. Mais cette mise aux normes est pour nous une étape dans l’inévitable évolution du pôle de transport vers un véritable pôle urbain d’activités, de commerces et bureaux, équipements... et c’est dans cette optique que nous abordons le projet. Dans cette logique nous privilégions des interventions qui peuvent se pérenniser et permettre au pôle d’évoluer en restant en activité. Nous proposons ainsi de renforcer les équipements existants par la création d’une galerie commerciale en liaison avec les nouveaux commerces et services . La gare routière est réorganisée afin de fluidifier et sécuriser les flux bus et piétons et de préparer l’insertion du tram. La traversée urbaine demandée dans le Contrat de pôle s’insère «naturellement» dans cette nouvelle configuration. Dans la même approche non-frustratoire les intervention sur les façades sont sciemment modestes: chromatisme, végétalisation, communication et signalétique, éclairage... La réhabilitation que nous proposons se veut prospective en vue de faciliter la mutation en pôle urbain d’un pôle de transport multimodal toujours en activité. Maîtrise d’ouvrage : RATP Montant de travaux : 12 M Euros Livré en 2013
94 800
PROJET A. FERARU 2004-2013
94 800
PROJET A. FERARU 2004-2013
94 800
PROJET TRE D’OUVRAGE: PLAINE COMMUNE D’AGGLOMÉRATION DE LA COURNEUVE 2009 P. CÉLESTE MAÎCOMMUNAUTÉ
93 120
PROJET DE RENOUVELLEMENT URBAIN SHON 19 000 m2 SECTEUR CARÊME PRENANT Paysagiste : Complementerre L’îlot Carême Prenant se situe juste à côté du centre de La Courneuve sans en faire réellement partie. En effet, il abrite peu de commerces, et un tissu particulièrement hétéroclyte avec de l’habitat collectif dispersé dans un tissu villageois ancien, des usines (Eurocopter et anciennement Renault), des garages en long, quelques pavillons et d’anciens corps de ferme... Notre analyse, surtout réalisée à l’échelle du piéton, met en relation la trame verte, les points patrimoniaux et les flux piétons. Elle est centrée sur l’îlot Carême Prenant mais s’en éloigne volontairement pour examiner les liaisons du périmètre d’études avec la ville, notamment en matière de « trame verte », de « liaisons douces »
et de « lieux attractifs ». matière de « trame verte », de « liaisons douces » et de « lieux attractifs ». Les potentialités paysagères,
historiques et culturelles mises en évidences par le diagnostic nous amènent à proposer pour l’îlot Carême. Prenant un projet
de mise en valeur du patrimoine historique lié aux pratiques culturales de la plaine des vertus et de la Courneuve. Cet îlot pourra conserver
son caractère intime et fermé, qui en font la particularité, tout en s’ouvrant vers un public plus large, grâce à sa vocation culturelle et culturale.
PROJET BAGNOLET 2009 P. CÉLESTE MAÎVILLETREDED’OUVRAGE:
93 170
DIAGNOSTIC ET SCÉNARIO URBAINS HYPOTHÈSES D’AMÉNAGEMENT ÉTUDES DE FAISABILITÉ ETUDE URBAINE SUR LE CENTRE VILLE ANCIEN DE BAGNOLET Économiste : Yl Aménagement Paysagiste : Complementerre Tout d’abord, et c’est évidemment une situation paradoxale, des centres des communes mitoyennes de Paris, Bagnolet est, à vol d’oiseau, certainement un des centres les plus proches des boulevards extérieurs, et, si l’on veut s’y rendre soit à pied, soit en voiture, un des centres les plus inaccessibles. L’échangeur, les voies autoroutières, les aménagements et les bâtiments qui se sont installés au sein de ce réseau routier, constituent une barrière. Le centre est comme enclavé, c’est pour le moins paradoxal. La station de métro ne se nomme pas Mairie de Bagnolet mais Gallieni. Elle appartient plus à ce réseau d’équipements commerciaux, de bureaux et de nœuds routiers qu’à la ville. Les thèmes d’étude ici abordés (développement économique, attractivité, formation – l’identité de la ville, rapport au passé et ses mutations – centralité et unité de la ville,
la cohésion sociale et urbaine) recouvrent ceux s’appliquant au centre ancien. C’est pourquoi, au plan méthodologique, il nous semble
opportun d’apporter aux débats et à la connaissance du site, une approche spécifique venant compléter ces trois thèmes. Nous apportons
ainsi une connaissance fine du tissu urbain, du bâti et des espaces publics, et cherchons à comprendre les raisons des dysfonctionnements
du tissu, en particulier sur les difficultés qu’il rencontre dans ses relations avec les autres quartiers, «la Petite Défense» en premier lieu.
PROJET A. FERARU Projet en cours
27 500
Analyse de l’insertion urbaine de la zone d’activités
Elaboration d’un diagnostic ciblant les contraintes de site et réglementaires
A.M.O PRÉOPÉRATIONNEL POUR LA CRÉATION D’UNE ZONE D’ACTIVITÉS (15HA) L’enjeu de ce projet est de cibler les contraintes et les enjeux d’un programme économique et technique exigeant, tout en propoant un aménagement de qualité pour un site à la fois porte de la commune de Bourneville et du PNR des Boucles de la Seine.
Principe d’organisation des flux vl et pl
Principes de traitement paysager des eaux pluviales
Integration d’une steppe et des espaces verts
La mixité typologique est organisée de manière à s’inscrire dans le tissu des contraintes propres au site, en premier lieu sa façade sur autoroute, source de nuisances acoustiques importantes. Y ont été regroupées les grandes parcelles, disposées en front continu pour former un écran acoustique, et pouvant accuillir des activités de logisitque. A mesure que l’on se rapproche
Implantation des bâtiments de logistique en front continu sur l’autoroute, réalisation séquentielle d’un écran acoustique
du village, les parcelles se font plus petites, et le tissu plus morcelé, plus poreux, de manière à atténuer le contraste entre le tissu urbain existant
et les nouvelles constructions. Un système de noues plantées assure l’intégration paysagère du réseau de traitement des eaux pluviales.
Enfin, une station dépuration et des lagunages de phytorestauration seront implantés sur le site, apportant une solution à la commune,
Scénario 2 retenu
dont l’actuelle STEP arrive à saturation, et permettant de constituer un écran paysager entre la ZA et les fermes alentour.
PROJET : - 2012 J. GALIANO P. SIMON MaîI3F t2009rise d’ouvrage
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SITUATION ARCHITECTURALE Quartier du Pavé Blanc
Il s’agit d’un projet d’aménagement qui a pour vocation à l’échelle urbaine, de contribuer fortement au renouveau et au développement du quartier du Pavé Blanc et qui a vocation à l’échelle de la domesticité, de requalifier les lieux et les usages associés aux services communs de l’ensemble de la résidence du Pavé Blanc. Nous avons privilégié, une méthode de synthèse qui consiste à croiser ces problématiques et les échelles de projet qui leur sont associées. Cette démarche a pour objet de fonder un dispositif d’aménagement cohérent dont la structure intègre la souplesse nécessaire pour que le développement du projet se prête, sans perte de sens ni de lisibilité, au cadre d’une future concertation. Un quartier entre ville et forêt la déclinaison des limites en dialogue avec l’environnement proche. Le « mail » et la « place » forment les deux pièces majeures et structurantes de la résidence. Elles articulent les échelles résidentielles et urbaines en proposant au cœur de la résidence des espaces polyvalents et d’usage public.Ces constructions s’inscrivent selon la géométrie qui gouverne l’ensemble des constructions existantes. Si cette disposition instaure la distanciation nécessaire à la
rencontre harmonieuse de l’axe de la terrasse de Meudon avec la trame urbaine du quartier, elle permet d’autre partde rendre manifeste la
vocation plus urbaine du tronçon sud de la route du Pavé Blanc et de préserver le caractère dominant du paysage naturel, d’associer
physiquement et visuellement les nouvelles constructions à l’ensemble de la résidence, de respecter l’ensemble des contraintes
physiques qui s’appliquent en lisière de la résidence et de rechercher les emplacements optimaux au regard de l’ensoleillement.
PROJET 20 MAISONS & 30 APPARTEMENTS / SAINT-DENIS (93)
d’ouvrage : 2008 S. BENDIMÉRAD et TECTÔNEMaîPHILtreIA PROGRAMME
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PRIX AMO 2009 NOMINÉ POUR L’ÉQUERRE D’ARGENT 2008 NOMMÉ PRIX ARCHITECTURES MÉTROPOLITAINES 2010 OPÉRATION DE LOGEMENTS 20 MAISONS et 30 APPARTEMENTS logements en accession à la propriété. SHON : 4851 m2 COÛT : 5 700 000 € H.T. CALENDRIER : études 2005-07 Usage de briques de hauteur d’étage structurelles pour la pérennité des matériaux et la thermique améliorée. Confort thermique et visuel, rétention de l’eau optimisée, toitures végétalisées). Éclairage et ventilation naturelles des distributions communes. Logements traversants. Traîtement qualitatif des espaces intermédiaires. Habiter la Plaine Saint-Denis. Cette réalisation située sur une impasse de la Plaine Saint-Denis combine deux types de logements sur une parcelle rectangulaire : - 30 logements collectifs dans un bâtiment à loggia filante (R+5), en continuité de gabarit avec un immeuble mitoyen. Les deux derniers étages sont constitués de maisons bardées de zinc ; - un ensemble bâti plus bas (jusqu’à R+3)
présentant des silhouettes variées, distribué par 3 venelles. Cet ensemble est constitué par l’assemblage de 20 maisons groupées
en 4 rangées. Celles-ci présentent une grande variété typologique : 16 unités sur les 20 proposées sont différentes. La plupart des maisons
disposent d’une cave et sont accessibles également depuis le box de parking qui leur est dédié en soussol. Elles ont toutes des terrasses
aménagées ou végétalisées ainsi qu’un jardin arrière et avant. La brique de hauteur d’étage et le bois constituent l’identité de cet ensemble.
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PROJET : GENNEVILLIERS 2011 P. CÉLESTE MaîOPHLMtriseDEd’ouvrage
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OPÉRATION DE 21 LOGEMENTS P.L.U.S. AVENUE LOUIS ROCHE ANGLE AVENUE LOUIS ROCHE ET RUE DUMIEN VILLIERS BUREAU D’ETUDE: CETBA SHON: 1 600 M2 COÛT: 2 635 000 € HT Les travaux envisagés consistent en la construction d’un immeuble de 21 logements destinés à la location pour le compte de l’OPMHLM de Gennevilliers. L’immeuble se compose d’un soussol destiné au stationnement des automobiles et d’un rez-de-chaussée surmonté de cinq étages. Il est implanté à l’angle des rues Jules Dumien et Louis Roche à Gennevilliers. L’immeuble se situe à l’angle de cette rue Dumien, essentiellement résidentielle.Il fait face au parc des Sévines, de plus de 10 hectares, abondamment arboré. Le bâtiment s’élève jusqu’à 5 étages au-dessus du rez-de-chaussée (le 5e étage étant un étage partiel situé en retrait). Les gabarits contribuent à modeler la
volumétrie du bâtiment, en particulier à l’arrière. Comme le bâtiment donne à l’Ouest vers le Parc, la façade, côté rue Dumien, développe de grandes
terrasses permettant aisément d’y placer une table. Ces terrasses sont accompagnées d’un grand bac à plantes et sont protégées
sur un de leur côté du regard des voisins afin d’en préserver l’intimité. L’implantation à l’angle de deux rues selon une géométrie d’angle aigu,
les retraits et les gabarits, ainsi que les terrasses contribuent à la création d’une volumétrie affirmée qui sied à la position du bâtiment.
PROJET AA FERARU
Etude de faisabilité dans le cadre du Renouvellement Urbain du quartier de la Boissière à Noisy-le-Sec Maître d’ouvrage : Ville de Noisy-leSec Phase 1 : 2012 Phase 2 en cours Dans le cadre du plan de renouvellement urbain du quartier de la Boissière à Noisy-le-Sec, une étude de faisabilité est réalisée par l’agence AA FERARU, membre fondateur de PARIS U, considérant les potentielles transformations en termes d’espace public permises par la démolition de deux immeubles de logement et la construction de 27 logements. En première phase de cette étude, portant sur le secteur Est du quartier, nous avons proposé la réalisation d’une place publique permettant d’ouvrir le quartier, jusqu’alors très enclavé, sur le reste de la ville, d’accompagner le développement d’une offre commerciale, et de favoriser des usages domestiques et de socialité qui avaient tendance à disparaître au fil de la dégradation générale du quartier.
Maîtrise d’ouvrage : Vil e de Noisy le Sec
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PROJET : s, projet en cours P. CÉLESTEMaîOPACtridese Parid’ouvrage
PARIS XIX
ENSEMBLE IMMOBILIER residentialisation, restructuration des rdc des tours, traitement des espaces exterieurs BET: cetba Paysagiste : pena & pena 2 236 000€ HT + 4 250 000€ HT chantier 3ème tranche en cours Ce projet s’inscrit dans le cadre du GPRU du Secteur nord-est parisien intéressant une vaste aire géographique. Il embrasse les terrains traversés par le périphérique, les boulevards des maréchaux et coupés par le réseau des voies ferrées de la gare de l’Est et de la Petite Ceinture. Au sein de ce secteur la cité Michelet fut édifiée en 1969. Elle compte 4600 habitants, ce qui en fait l’une des cités HLM les plus importantes de Paris. Elle est marquée par la présence de 16 tours d’habitation de 18 étages sur rezde-chaussée surélevé reposant sur deux niveaux de sous-sol, et par une longue barre a de 8 étages sur rezde-chaussée, également surélevé et reposant sur deux étages de soussol. Afin de répondre aux problèmes liés à l’insécurité et aux difficultés de gestion d’une vaste cité dont les espaces extérieurs sont totalement perméables, le projet met en place une hiérarchisation et une différenciation spatiale. Pour ce faire, seront réalisées des clôtures refermant les résidences a regroupant deux immeubles au maximum. En compensation a de cette clôture, les immeubles
sont adressés aux voies publiques, ils acquièrent une véritable adresse. La création de nouvelles voies publiques et l’accession au statut de rues
publiques des voies intérieures doivent avoir pour effet que la cité, au lieu de se refermer sur elle-même comme cela est malheureusement
le cas actuellement, s’ouvre sur vl’ensemble du quartier. Les rues constituent un maillage relié à la trame urbaine. Les rez-de-chaussée
des tours sont repris à la fois architecturalement et programatiquement afin de retrouver un sol urbain a la fois convivial et commerçant.
PROJET J. GALIANO P. SIMON
Maître d’ouvrage : VIl e de Lisieux, EPFoncier Normandie, 2002-2009
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REHABILITATION DU CLOS ET DU COUVERT DE L’USINE WONDER PROJET D’AMENAGEMENT URBAIN Avec Paysage et Lumière, paysagiste Etudes 2002-2004
Visible depuis la gare et depuis l’esplanade de la basilique, l’ancien site industriel Wonder constitue un élément prégnant du paysage naturel et urbanisé de Lisieux et de la vallée du Grandain. Le site fait l’objet de deux projets : - Un projet d’aménagement urbain, - Un projet de réhabilitation de l’usine. Le projet d’aménagement du nouveau quartier conjuge trois points de vue : - La reconnaissance des grands traits constitutifs de l’état naturel et construit du site, - La mise en valeur des deux bâtiments remarquables et emblématiques de la ville de Lisieux, - L’opportunité de reconfigurer l’une des entrées de ville, en qualifiant le rapport de voisinage s’établissant entre le site et la gare. Le projet de réhabilitation de l’usine repose sur un paradoxe initial : aucun programme n’était proposé lors des études. Il s’agissait de restaurer l’édifice dans une sorte de réhabilitation en blanc, ouverte sur des programmes multiples ou unitaire encore inconnus. Le travail procède par interventions légères sans en trahir l’expression originale : - Dégagement des volumes principaux de l’édifice et reprise des appareillages en brique.
Les adjonctions ont été démolies et un ryhme de percements retrouvé. - Remplacement des menuiseries par des menuiseries en aluminium.
Organisées selon une composition tripartide, et selon un ordre vertical, ces fenêtres conservent une légérété en hommage aux menuiseries anciennes.
- Remplacement de la couverture fibrociment par une couverture en zinc avec isolant. Le shed vitré existant a été reconstruit et doublé de ventelles.
Ce travail tend à restituter au monument son unicité, son élégance initiale, à souligner la qualité du rythme de ses travées et la marque de sa silhouette.
batiment Wonder 2 rue d’Orival parking (tranche future) 4 le Graindin 5 voie nouvelle 1
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