Architecture + Paysage en Aquitaine Tome 1 — de A à E
Architecture + Paysage en Aquitaine Tome 1 — de A à E
Maison de l’Architecture d’Aquitaine
Architecture + Paysage en Aquitaine succède aux expositions Architectures + Architectes présentées au 308 en 2009 et 2011. Enrichie pour cette troisième édition des travaux de paysagistes, cette nouvelle exposition place plus que jamais la Maison de l’Architecture d’Aquitaine au cœur de son action de diffusion et de soutien d’une culture architecturale régionale de qualité. Par son engagement, elle souhaite permettre au plus grand nombre de découvrir ou de compléter sa connaissance des projets contemporains d’architecture et de paysage qui façonnent son territoire. Présentée cette année à l’occasion d’Agora, biennale d’architecture de Bordeaux, Architecture + Paysage en Aquitaine rend compte de la diversité et du dynamisme d’une production régionale contemporaine et de ses acteurs, elle en dévoile la singularité et la qualité, elle en provoque la confrontation, elle en permet l’évaluation, la compréhension des moyens, des intentions et des enjeux. Nombreux sont celles et ceux qui ont répondu à notre appel à projets. Cette importante participation a rendu possible cette exposition et lui confère sa légitimité et sa qualité de représentation d’une production d’architecture et de paysage vivante, diverse et responsable. Au delà de leur parenté ou de leurs différences qu’il appartient à chacun d’apprécier, le grand nombre des travaux présentés ici est le signe que l’Aquitaine continue de porter avec passion son goût et son engagement pour des projets soucieux de sa mémoire mais aussi de son inscription dans les thématiques les plus contemporaines, qu’elles relèvent de l’esthétique, des techniques ou des usages. La multiplicité des programmes traités, la différence de leurs échelles, de la petite maison au grand équipement, de l’espace public urbain au parc, nous montrent que l’architecture et les architectes, le paysage et les paysagistes savent se saisir de toutes les situations de projet pour offrir à notre société le meilleur cadre pour toutes ses activités.
pascal teisseire Président de la ma’ Aquitaine
2:pm architectures — 10 a_traits architecture & design graphique — 12 A²B2D Atelier D’Architecture Brut de Déco — 16 AADI ARCHITECTES ASSOCIÉS — 20 ADH [Doazan+Hirschberger&associés] — 24 Agence d’architecture COQ & LEFRANCQ — 28 agence d’architecture Ferron & Monnereau — 30 Agence WHa ! (arneys & Hoffmann architectes) — 32 Agnès Brugeron Paysagiste — 35 Alpha Carré — 40 Architecture Patrimoine — 42 ARSENE HENRY TRIAUD — 44 Armelle CaNchon Atelier Arc en Bois — 46 art’ur architectes — 48 ATELIER D’ARCHITECTURE BAOBAB — 52 Atelier Cambium — 54 Atelier Corajoud Paysagiste — 58 Atelier d’architecture KING KONG — 60 Atelier du sablier — 64
Atelier du vendredi — 66 Atelier Giet Architecture — 68 atelier provisoire — 74 atelier zip — 78 B.ip/bureau d’intervention sur le paysage — 80 Bandapar Architecture +++ — 82 BDM architectes — 86 Bertrand Digneaux Architecte — 90 Brachard De Tourdonnet ARCHITECTES — 94 Brassie Architectes — 98 Brochet Lajus Pueyo — 102 BÜPA — 106 CÉcile Moga Architectes — 110 COCO ARCHITECTURE — 116 Cyril Dulau Architecte — 122 Debarre Duplantiers Associés Architecture & Paysage — 126 DESPRÉ ArchitecteS — 132 Élodie Bonnet Architecte — 134 Exit Paysagistes associés — 136
2:pm architectures
plaine des sports de monadey – campus bordeaux Réalisé / Gironde / Pessac-Talence-Gradignan (campus) / Juin 2013 Surface : 1.5 Ha Coût travaux HT : 7 000 000 € Maître d’ouvrage : Université de Bordeaux Architecte mandataire : Signes Ouest (paysagistes) Architecte associé : 2:pm architectures Bureau d’étude technique : Eccta Crédit photo : 2:pm architectures
Il s’agit d’une procédure adaptée pour la restructuration de la Plaine des Sports de Monadey, lancée par l’Université de Bordeaux (PRES). Le projet porte sur la restructuration totale de la Plaine des Sports de Monadey (4 terrains de football, restructuration du bâtiment de vestiaires, espaces publics et parking). Il s’agit de rendre une échelle humaine au site pour se laisser enfin approprier par les usagers. « La Plaine de Moscou » comme elle était surnommée, offre aujourd’hui de nombreux supports à usages détournés (skateboard, roller, basket, barnum pour 3ème mi-temps, foot à 11 ou 7 etc…).
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— 2:pm architectures —
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a_traits architecture & design graphique
Aménagement des berges de Garonne à Agen – Secteur 1 Réalisé / Lot et Garonne / Agen / Juillet 2013 Surface : 50 000 m² Coût travaux HT : 818 833,85 € Maître d’ouvrage : Commune d’Agen Architecte mandataire : atelier Corajoud - paysagiste dplg Anne-Gaëlle Guillanton - chef de projet Architecte associé : a_traits architecture - N.Darriet-Rullaud & J.C Piroux architectes dplg Crédit photo : a_traits architecture - Jean-Charles Piroux
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Dans le cadre de son projet de mandat « engagement 39-97 Berges de Garonne », afin que les Agenais se réapproprient cet espace, la municipalité a commandé une étude architecturale et paysagère sur l’ensemble du linéaire rive droite de la commune pour la création de chemins piétons et de pistes cyclables. Le premier secteur d’aménagement des berges de Garonne est aujourd’hui réalisé. L’espace pré-existant au projet appartient à Garonne, fortement inondable il est bordé d’une ripisylve qui ferme la prairie enherbée et coupe les vues sur le fleuve. Cet aménagement réconcilie la ville et son fleuve, l’espace devient à la fois naturel et urbain. C’est une opportunité d’espace libre où de multiples usages de détente peuvent se côtoyer et s’inventer au gré des saisons, des jours de la semaine et des générations différentes.
Les équipements proposés allient promenade au bord de l’eau pour découvrir le fleuve, piqueniques multi-familiaux et détente sportive, dans un cadre naturel proche de la ville. Le talus de l’avenue Tissidre a été fortement planté, sur tout son linéaire, afin d’isoler l’espace de l’ambiance routière. La ripisylve, au contraire, a été élaguée afin de ménager des vues sur Garonne. Juchés sur leurs pilotis ancrés dans la berge, les pontons se signalent dés la traversée du pont de Beauregard comme un appel à la reconquête du fleuve.
— a_traits architecture & design graphique —
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— a_traits architecture & design graphique —
Aménagement des espaces publics emblématiques du centre ville de Gradignan En cours / Gironde / Gradignan Surface : 30 000 m² Coût travaux HT : 6 381 731 € Maître d’ouvrage : Communauté Urbaine de Bordeaux Architecte mandataire : a-traits architecture - N.Darriet-RuIIaud & J.C Piroux architectes dplg Architecte associé 1 : atelier Coraioud - paysagiste dplg Architecte associé 2 :AG. Le Guillanton - paysagiste dplg Bureau d’étude technique : lngerop Autre intervenant : François Magos – concepteur lumière Crédit photo : a-traits design graphique - Ivan Robin
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La reconquête des espaces publics emblématiques de Gradignan et notamment de la place Roumégoux, espace identitaire et historique, constitue avec le renforcement des fonctions de centralité urbaine, résidentielle et commerciale, l’un des axes stratégiques du projet urbain. La maitrise d’œuvre complète fait suite au concours initié par la ville et porte sur le réaménagement des principaux espaces publics du centre ville : la place Roumégoux et ses abords immédiats, la séquence centrale du Cours du Général de Gaulle, les abords de la poste, le parking des Augustins…
Le parti général du projet tend à : - Redonner une vitrine à la « ville parc / ville dynamique » sur la place Roumégoux en harmonie avec le contexte patrimonial : Une façade patrimoniale remise en valeur / Une place redressée / Un parc en cœur de ville / Une promenade au bord de l’eau / Un trait d’union entre Ermitage et Laurenzane. - Mettre en scène l’axe de suture Laurenzanne-Ermitage comme élément identitaire supplémentaire. - Minimiser la présence de la voiture dans les espaces majeurs et tous les interstices disponibles, pour intensifier des modes doux. - Permettre la polyvalence des petits espaces de stationnements pour élargir l’offre des pratiques dans la temporalité. - Faire déborder largement la déambulation initiée par les systèmes de venelles et leur traitement de sol.
— a_traits architecture & design graphique —
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A²B2D Atelier D’Architecture Brut de Déco
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Création Maison Bois L33 Réalisé / Gironde / Mérignac / Juillet 2012 Surface :180 m² (Surface habitable : 161 m²) Coût travaux : 249 820 € Maitre d’Ouvrage : Privé Maitre d’œuvre : Cendrine Deville Jacquot Crédit photo : Gunther Vicente
Forte envie d’un projet de maison contemporaine, en ossature bois, aux lignes cubiques, pour une famille composée de 5 personnes. Réalisation d’une maison ossature bois, comprenant au RdC, un espace jour : entrée, salon, cuisine, chambre d’amis, garage/buanderie, à l’étage un espace nuit : mezzanine, 4 chambres, SdB, SdE, piscine. Le projet architectural se veut résolument contemporain dans ses volumes, ses matériaux, ses choix écologiques. Il réside dans l’élégance du bardage bois conjuguée à la simplicité du verre et du métal. Fermée totalement au nord, la maison sera largement ouverte sur les espaces extérieurs, terrasse et jardin, au sud et à l’ouest. Baignée de lumière naturelle par des baies en galandage, l’espace de vie, basé sur un plan libre, formera une unité parfaite, de volume et de matériaux. Cette maison écologique apportera un bien être au quotidien, à tous les membres de la famille. Proposer une construction qui puisse être un élément architectural fort dans la ville et son environnement, tel est le parti architectural.
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EXTENSION Maison M33 Réalisé / Gironde / Pessac / Juillet 2012 Surface :235 m² (Surface habitable : 73 m²) Coût travaux : 263 715 € Maitre d’Ouvrage : Privé Maitre d’œuvre : Cendrine Deville Jacquot Crédit photo : Gunther Vicente
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Réalisation d’une extension d’une maison d’habitation, comprenant une cave, au sous-sol, un garage pour 4 voitures, au RdC, un espace salle à manger/cuisine, une terrasse extérieure et balcons à l’étage. Proposer une extension qui puisse être un élément architectural fort, jouer sur une réinterprétation contemporaine des ouvertures existantes, confronter les matériaux, les couleurs, les volumes anciens et modernes, tel est le parti architectural. Le socle, soubassement maçonné recevant le garage, sera ponctué d’ouvertures et recouvert d’un enduit rouge basque. Basé sur un plan ouvert, les espaces de jour nouvellement créés, apporteront une nouvelle convivialité. Les volumes de la salle à manger et de la cuisine (cette dernière sur pilotis) seront constitués de grands panneaux de verre et d’un bardage horizontal en bois (red cédar). Ces larges baies coulissantes créeront une fluidité des espaces intérieurs et extérieurs. La terrasse en L, constituée d’un platelage bois (IP), formera un petit belvédère sur le jardin. L’ensemble sera couvert d’une toiture terrasse non accessible. 2 escaliers en structure légère, assureront une liaison directe avec le jardin, l’un depuis le balcon et l’autre depuis la terrasse haute.
Pour liaisonner la maison existante à cette nouvelle extension, un balcon extérieur viendra s’aligner le long des fenêtres des chambres, côté sud, permettant une circulation extérieure. Côté rue, une casquette horizontale protégeant une entrée secondaire existante et les futures entrées du garage, sera créée. Les volumes simples de cette extension mettront en valeur le caractère affirmé de la maison existante, sans la dénaturer. L’extension se veut résolument contemporaine, dans ses volumes, ses matériaux, ses coloris. L’objectif est la transparence, la luminosité, la légèreté du niveau supérieur posé sur un socle solide et plus fermé.
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AADI ARCHITECTES ASSOCIÉS Collège de Labrit
En cours / Landes / Labrit / Septembre 2015 Surface : 6 100m² surface plancher Coût travaux HT : 12 500 000 € Maître d’ouvrage : Conseil général des Landes Architecte mandataire : AADI architectes associés Architecte associé : SLK architectes Bureau d’étude technique : IDC (G.O.), AMT (fluides ), Dauchez-Payet (HQE) Autre intervenant : Acte 2 Paysage (paysagiste) Crédit photo : AADI architectes associés
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Le Département des Landes a planifié la construction d’un nouveau collège sur la commune de Labrit. Celui-ci doit pouvoir accueillir 450 élèves lors de son ouverture. Sa capacité pourra être portée à 600 par une extension portant essentiellement sur des salles de classes banalisées Le Collège sera accompagné d’un gymnase pour répondre aux besoins pédagogiques de l’enseignement des activités physiques et sportives, mais également pour répondre aux besoins de la commune. Il intègre également un pôle restauration ainsi que cinq logements de fonction avec jardinet. Notre projet résulte de l’analyse bioclimatique du site. La composition d’ensemble, l’expression architecturale et le choix des matériaux ont été élaborés afin de rendre évidentes les différentes fonctions du collège. L’accès principal est aménagé sur un parvis mutualisé avec le gymnase. Il permet une liaison directe et sécurisée entre l’établissement et les déposes minute. L’entrée du collège est visible en tout point des espaces publics. Une voirie indépendante à l’Est du site permet la desserte des logements et des zones logistiques (livraisons réfectoire, atelier, chaufferie, déchets…). Ainsi la séparation claire des flux offre une lisibilité des accès et assure la sécurité des élèves.
La composition d’ensemble du projet est compacte tout en respectant l’échelle du lieu. Les volumes sont simples, et les orientations du plan de masse respectent les lignes de forces de l’environnement. Le gymnase est orienté Nord/Sud, grâce à sa forme et sa position il protège le parvis des vents dominants. Le corps principal du collège en R+1 est parallèle au tracé structurant de la route de Mont de Marsan. Tous les autres bâtiments sont organisés suivant cette orientation, ils forment une composition en U autour de la cour centrale ainsi protégée du vent. Les logements occupent une bande à l’Est du site, et créent une interface logique avec les habitations existantes.
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Centre de Reconversion Professionnelle BETERETTE
En cours / Pyrénées-Atlantique / Pau / Septembre 2014 Surface : 5 958 m² Surf. Plancher Coût travaux HT : 9 000 000 € Maître d’ouvrage : UGECAM Aquitaine Architecte mandataire : AADI architectes associés Bureau d’étude technique : ECCTA (Ingenierie), Addenda (HQE) Crédit photo : AADI architectes associés
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La Direction de l’UGECAM Aquitaine et le CRP. de Beterette ont décidé de construire un nouveau centre sur un terrain de la ZAC Pau-Pyrénées afin de résoudre les problèmes de fonctionnement liés à l’ancien parc immobilier qui ne répond plus aux normes de sécurité et d’accessibilité. La conduite de l’opération est passée suivant un marché de Conception/Réalisation/Maintenance. La conception du projet de Centre de Reconversion Professionnelle de Beterette a été menée avec trois objectifs : - Répondre de façon optimale à l’organisation fonctionnelle. - Apporter une réponse architecturale en harmonie avec l’environnement. - Faciliter la lisibilité spatiale des différentes composantes du CRP. C’est de cette réflexion qu’est née l’organisation de notre projet autour de l’Atrium. Toutes les fonctions du projet, Administratif, Formation, Restauration, Hébergement et Services s’articulent autour de l’Atrium, le lieu d’échange et de rassemblement. Cette composition centrée confère à notre projet la dimension d’un cœur d’ilot protégé du tumulte de la rue.
La seule contrainte organisationnelle imposée par le programme est que la formation soit séparée de l’hébergement. Nous avons donc choisi de fractionner l’opération en deux bâtiments, le premier est donc composé de l’accompagnement aux stagiaires et de la Formation, le second est composé des services et de l’hébergement. Le jeu de volume permet un traitement de l’angle qui met en valeur la position singulière de notre bâtiment dans le tissu urbain local. Le choix des revêtements de façade, leur teinte claire dominante, rehaussée par la couleur des menuiseries et de quelques éléments d’accompagnement (brise-soleil, tunnel à lumière…) confèrent à l’ensemble une image simple, efficace et de qualité.
— aadi architectes associés —
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ADH [Doazan +Hirschberger&associĂŠs]
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Le Zoetrope, cinéma municipal de Blaye Réalisé / Gironde / Blaye / Décembre 2013 Surface : 1 100 m² Coût travaux HT : 2 200 000 € Maître d’ouvrage : Ville de Blaye Architecte mandataire : adh [Doazan+Hirschberger&associés] Bureaux d’études techniques : Altiaa (cousticien), Architecture & Technique (scénographe)/ IPI (TCE et économie) / Pixelum (lumière), Rosensthiel (signalétique) Crédit photo : Hervé Abbadie
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En 1989, la ville de Blaye rachète le cinéma le Monteil (450 places) afin de maintenir l’offre culturelle cinématographique. Cet équipement ne répondant plus aux exigences actuelles, la ville décide en 2009 de construire un nouveau cinéma doté des dernières technologies numériques offrant 2 salles, une grande et une petite pour une capacité totale d’environ 400 places. Une petite cafétéria est ajoutée au programme des salles. Le Zoetrope est le nouveau cinéma de Blaye. Il comporte 2 salles de 289 et 119 places, et un café ouvert sur la rue principale de la ville. C’est un équipement municipal. Pour exister dans la ville, le cinéma est reconnaissable, son architecture singulière. Le projet ne se cache pas, il parie sur un dialogue vif avec la ville pour mettre en scène une culture vivante, festive et quotidienne. Ce projet est un hommage à l’histoire technique du cinéma, à ses premiers pas mécaniques, comme un clin d’œil à la citadelle. Le projet s’appuie sur cette analogie en citant le zoetrope, une machine développée au 19ème siècle
par William Horner et constituée d’un cylindre porteur d’images tournant sur un axe. La géométrie du hall d’accueil est construite à partir de cette figure technique. Plus qu’un bâtiment de loisir, le Zoetrope est un équipement culturel de la ville. Dédié au 7ème art, il accueille d’autres évènements, des festivals, des conférences, des expositions. Son organisation est lisible depuis l’extérieur : le hall plein angle, le café ouvert sur la rue, les salles. Le Zoetrope s’inscrit sans détour dans l’espace public. Par l’hommage architectural qu’il rend à l’histoire du cinéma, il tisse un lien fort et actuel avec Blaye, conscient de l’héritage et tourné résolument vers l’avenir. Convivial et familier, c’est un lieu que les blayais peuvent s’approprier comme on le fait de bâtiments qui parfois entrent « dans la famille ».
— ADH [Doazan+Hirschberger&associés] —
N
Étage principal
Étage principal
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Agence d’architecture COQ & LEFRANCQ
Bibliothèque et salle d’enseignement bouddhiste — KDC ( Karme Dharma Chakra ) Réalisé / Dordogne / St-Léon-Sur -Vézère / Avril 2013 Surface : 1 300 m² SHON Coût travaux HT : 2 293 000 € Maître d’ouvrage : Institut Karme Dharma Chakra Architecte mandataire : Agence Coq & Lefrancq Bureau d’étude technique : Odetec (fluides) Crédit photo : Agence Coq & Lefrancq, Institut Karme Dharma Chakra (photo aérienne)
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Il y a quelques années, la construction d’un temple bouddhiste était prévue sur le site de Landrevie à St-Léon-Sur -Vézère. Le projet obtint un permis de construire et la construction démarra : fouilles, fondations micro-pieux, longrines, dalle portée… puis s’arrêta pour prendre en compte une importante évolution du programme. Désormais il s’agissait de construire une salle d’enseignement de 700 places, l’administration du site et la bibliothèque. Ce nouveau projet devait s’inscrire sur le socle du précédent, basé sur une trame carrée de 6m x 6m, s’insérer dans un paysage naturel avec l’accord de l’Architecte des Bâtiments de France, et répondre aux exigences de qualité d’espace chères au bouddhisme. Le socle béton existant, tramé par ses fondations micro-pieux, a constitué une contrainte forte tant par sa géométrie que par sa capacité limitée à recevoir les charges de deux niveaux. Une structure essentiellement en bois répond à l’exigence de légèreté. Elle est stabilisée par un cœur en béton cellulaire et plancher béton, recueillant le stock de la bibliothèque profitant de l’inertie thermique de cette
enveloppe. La charpente mélèze est magnifiée par une trame rigoureuse de porteurs verticaux et horizontaux. En contrepoint de cette rigueur, nous proposons une vibration des façades par des chevrons en mélèze apparemment posés de façon aléatoire mais qui répondent ici à une fonction de garde-corps, là à des brise-soleil. Tous ces bois naturellement durables sans traitement sont destinés à griser pour se fondre dans le paysage boisé. La couverture en zinc à double courbure adoucit la forme parallélépipédique du projet et génère un espace cocon à l’intérieur de la salle d’enseignement, renforcé par un usage intensif de châtaignier, choisi pour sa teinte chaude et sa provenance locale : plancher, plafond. Le programme demandait la possibilité d’agrandir la capacité de la salle pour les grandes manifestations estivales. Profitant du déficit de surface programme entre le rez-dechaussée et l’étage, nous proposons un grand parvis et des coursives largement en communication avec la salle, respectivement avec une batterie de portes et de très grands châssis coulissants escamotables.
— Agence d’architecture COQ & LEFRANCQ —
-3.40
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Edition 32.81 m²
Ménage 7.26 m²
Tisanerie 8.06 m²
Salle de réunion 39.39 m² San F 7.86 m²
Bureau 21.08 m²
San H 7.86 m²
Circulation 36.06 m² Hall B 26.47 m² -3.12
-3.12
Bureau entretiens 11.78 m² Stock bibliothèque 2 88.40 m²
Local RGT 11.84 m²
Accueil 11.43 m²
Direction 17.60 m²
SAS 1 2.43 m²
Circulation B 11.10 m²
Hall principal 29.91 m² Stock bibliothèque 1 87.76 m² Bureau coges 27.08 m²
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Serveur 11.89 m²
SAS 2 3.25 m²
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espace d'entretien secondaire 11.63 m²
Bureau bibliothèque 34.34 m² Consultation bibliothèque 111.09 m²
Comptabilité 36.44 m²
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WC 3.71 m²
Sanitaires Hommes 17.14 m² Loge 7.64 m²
Salle de culte 388.83 m² Fond de scène 24.94 m²
Rangement 11.53 m² Sanitaires Femmes 17.14 m²
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agence d’architecture Ferron & Monnereau
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— agence d’architecture Ferron & Monnereau —
Vue d’ensemble
Étage principal
vu depuis la rue tabarly
Groupe scolaire éric Tabarly – Le Taillan Medoc En cours / Gironde / Le Taillan Médoc / Juin 2015 Surface : 2 200 m² + 1 900 m² (aménagement extérieur) Coût travaux HT : 3 300 000 € Maître d’ouvrage : Commune du Taillan Médoc Architecte mandataire : Agence d’architecture Ferron & Monnereau Bureaux d’études techniques : Cetab (ingénierie) Autre intervenant : Emacoustic, Cuisinorme, Julie Soistier (graphiste), Sébastien Hommes (images de synthèse) Crédit photo : Agence d’architecture Ferron & Monnereau
Marché public – Concours maîtrise d’œuvre sur esquisse - Lauréat Le projet est situé au Taillan Médoc à proximité de la mairie sur l’avenue principale qui traverse le centre-bourg. Il comprend la création d’une école maternelle de 6 classes et l’extension de 3 classes de l’école élémentaire existante, avec restauration scolaire et accueil périscolaire. Une école élémentaire dynamisée L’extension de l’école élémentaire est implantée à l’angle de la rue E.Tabarly et comporte un étage. Son volume constitue une articulation urbaine à l’échelle du centre bourg. Un porche créé sous le bâtiment neuf permet d’accéder à une cour d’entrée qui articule l’extension à l’école élémentaire existante. Une école maternelle intime à patios Le projet est composé d’un simple rez-de-
chaussée, comme un socle creusé par plusieurs patios créant ainsi une intimité et des paysages intérieurs attrayants. La façade publique comprend 3 types d’éléments architecturaux : parois en béton végétalisées, parois « filtres » en clins bois et des clôtures bois végétalisées. Le rez-de-chaussée offre donc au niveau du piéton des séquences de matériaux naturels. Une image institutionnelle cohérente et sécurisante du groupe scolaire La morphologie du groupe scolaire avec son volume émergeant articulé sur le centre bourg ainsi densifié donne aux 2 écoles une seule image institutionnelle forte. Le bâtiment existant est englobé dans le projet neuf permettant ainsi de proposer une nouvelle écriture architecturale homogène et cohérente pour l’ensemble du groupe scolaire.
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Agence WHa ! (arneys & Hoffmann architectes) Maison de Quartier Saint Martin Réalisé / Périgueux (Dordogne) / Décembre 2012 Surface : 230 m² Coût travaux HT : 405 000 € Maître d’ouvrage : Ville de Périgueux Architecte mandataire : Wha ! Arneys & Hoffmann architectes Bureau d’étude techniques : ID Bâtiment (structure), Berti (fluides) Autre intervenant : ECC Galinat (économiste) Crédit photo : Kristof Guez
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Situé dans le quartier de la gare à Périgueux, le terrain constitue une « dent creuse ». La maison de quartier s’y développe sur un seul niveau entièrement de plein pied de manière à simplifier la compréhension du plan et à faciliter l’orientation des usagers. Sur cette parcelle étroite et enclavée, le programme est réparti en 2 blocs séparés par un patio central. Ce dispositif installe une véritable respiration au cœur du bâtiment et permet d’éclairer chaque pièce en lumière naturelle. Lieu de proximité, cet équipement à vocation sociale est ouvert à l’ensemble de la population. Il favorise les échanges, les relations intergénérationnel et rempli également un rôle d’insertion. L’objectif est donc d’affirmer le caractère public de l’équipement sans y projeter aucune connotation
de niveau social ou culturel de manière à ce que chacun s’y sente à sa place, et que personne n’hésite à en franchir la porte. Le projet établit donc un signal fort sur la rue en développant une façade intrigante et dynamique qui se plisse vis à vis de l’alignement de manière à dégager une large entrée transparente et accueillante. Cette façade forme un moucharabié constitué de 2 tôles d’acier perforées disposées devant l’ensemble de la construction. Ce dispositif permet d’une part de rendre plus intime les salles de réunion donnant directement sur la rue, mais surtout il rend l’ensemble du bâtiment très abstrait, effaçant le dessin des ouvertures et focalisant l’attention des passants sur un large porche invitant à pénétrer dans le bâtiment.
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— Agence WHa ! (arneys & Hoffmann architectes) —
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Agnès Brugeron paysagiste LA FAB - Consultation Ilots témoins - 50 000 logements autour des axes de transports collectifs BASSENS - Cité de la Gare Non réalisé / Gironde / Bassens Surface : NC Coût travaux HT : NC Maître d’ouvrage : Edifices Architecte mandataire : Brachard de Tourdonnet architectes Architecte associé : Agnès Brugeron paysagiste
La réflexion sur le projet s’est nourrie de la rencontre entre le programme de logements, sa nécessaire modularité et le site d’aménagement, une terrasse singulière ceinturée de murets. Notre volonté programmatique de logements évolutifs, de typologies variées et la maitrise de l’économie du projet nous conduisent à proposer une trame structurelle qui construit l’ensemble de la terrasse pour donner toujours plus de force à son unité spatiale. Perturbant la trame, les éléments remarquables du paysage sont mis en scène et offrent les ouvertures nécessaires à l’intégration du projet dans son contexte pavillonnaire. Le projet se compose d’une suite de logements collectifs adossés au muret intérieur de la terrasse et de maisons en R+1 qui par leur gabarit s’insèrent dans le tissu urbain mitoyen. Les ouvertures cadrent les pins majestueux et les vergers voisins. L’ensemble des appartements collectifs dispose d’une terrasse orientée au sud ou à l’ouest et les maisons d’un jardin privatif orienté au sud dans le prolongement des pièces de vie.
Pour renforcer l’unité du lieu, un mail d’arbres fruitiers ponctue l’ensemble des espaces extérieurs offrant ainsi une couverture végétale uniforme. Les stationnements, tous groupés le long de la rue-espace public, libèrent la parcelle qui devient jardin. Par l’organisation des bâtiments entre eux, la trame des arbres et les clôtures de plantes grimpantes, les vues mitoyennes sont filtrées afin d’offrir à tous les logements intimité et échappées visuelles de qualité. Le projet se parcourt par une grande diversité de cheminements piétons qui, à l’instar de la venelle actuelle, portent la convivialité du site, son calme et sa richesse.
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Construction d’une structure polyvalente et travaux d’aménagement paysager sur la Plaine des sports Les Griffons-Séguinaud à Bassens (33) En cours / Gironde / Bassens / 2015 Surface : 540 m² (salle polyvalente), 43 ha (parc) Coût travaux HT : 404 500 € (salle polyvalente), 717 250 € (parc) Maître d’ouvrage : Mairie de Bassens Architecte mandataire : Brachard de Tourdonnet architectes Architecte associé : Agnès Brugeron paysagiste Bureau d’étude technique : Beterem Ingénierie
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La plaine des sports des Griffons-Séguinaud se situe au Sud de la commune de Bassens et se développe depuis le bas des coteaux jusqu’à l’avenue des Griffons, par une succession de pentes boisées et de plateaux découverts. En bord de coteaux et de ravine, le massif boisé s’ouvre par endroit et laisse le regard filtrer sur le grand paysage de la Garonne, en de profondes perspectives. En haut du site, sur les plateaux, les arbres sont isolés. Dès lors, châteaux, stades, parkings et autres équipements se juxtaposent visuellement, atténuant l’idée du Parc. Le programme des aménagements prévoyait la mise en œuvre de nouveaux équipements pour le confort d’usage et l’agrément du site : stationnements, parc floral, clôture du stade Dubernard, jeux pour enfants, structure polyvalente accueillant le service des espaces verts, les associations sportives et les enfants du centre de loisirs. Au delà de ce programme, le projet propose de ré-investir l’idée du Parc à l’échelle du site. La trame végétale du massif boisé des coteaux s’étire vers le
haut de la plaine des sports pour structurer les vues entre les châteaux, les équipements sportifs et les parkings. Ce filtre végétal créé des jeux de profondeur, des rythmes d’ombre et de lumière, permettant aux usagers de se promener au bord d’un stade comme ils le feraient au bord d’un étang. Les continuités boisées donnent une structure à l’ensemble du site. Elles intègrent les équipements sportifs existants et à venir ; elles offrent aux châteaux de retrouver leurs perspectives classiques, et elles permettent à l’idée du Parc de s’insinuer en toute part. Dans cette trame, tout s’apaise : le parc floral accompagne le château des Griffons, les stationnements se campent près de la rue Léo Lagrange et la clôture du stade devient perspective. Les longues façades de la structure polyvalente prolongent les massifs boisés et sont revêtues d’acier vieilli, répondant ainsi à l’écriture de la clôture du stade.
— Agnès Brugeron paysagiste —
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Alpha Carré
Réhabilitation d’un ancien chai en logements Réalisé / Gironde / Bègles / Février 2012 Surface :111 m² Coût travaux HT : 150 000 € Maître d’ouvrage : Privé Architecte mandataire : Alpha Carré SARL Crédit photo : Louis-Roland Martin
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Existant : en seconde ligne des garages et un ancien chai (une vigne a longtemps poussé là) La Maîtrise d’ouvrage voulait réhabiliter ce bâtiment en maison pour son usage personnel mais imposa une configuration en 3 appartements car ses membres désiraient un maximum d’indépendance. Autant la réglementation (bande B de la parcelle) que la disposition des bâtiments par rapport à ceux sur rue interdisent toute ouverture au sud ou à l’ouest, et impossible de monter en hauteur sans créer de décrochés (faîtage à 3,50 m maximum en mitoyenneté), ni de s’étendre à l’est (zone C inconstructible) ou au nord (voie d’accès). Ces contraintes furent pourtant la clé du projet. À partir de la structure existante, l’Architecte dessina 3 appartements T2 par extension du volume sud vers la mitoyenneté, ouvrant tous largement par des baies vitrées sur l’est, où s’étend le jardin. En toiture, des bacs aciers « sandwich » ajoutèrent
leur épaisseur de mousse à l’isolant des plafonds, et surtout couvrirent d’un seul tenant les largeurs du bâtiment, ce qui permit une très faible pente sur la partie en mitoyenneté sud (faîtage à 3,50m). Pas de protection solaire, à peine la dalle des eaux de pluies : le soleil entre à flot jusqu’en fin de matinée, puis éclaire le paysage ensuite. Depuis la livraison, aucune surchauffe estivale et des besoins en chauffage réduits au minimum l’hiver, grâce à une isolation standard mais continue des espaces. Chaque appartement a son propre jardin. Ainsi, malgré une volumétrie simple et des ouvertures mono-orientées, chacun jouit du paysage à sa manière, suivant le cadrage large ou resserré des séparations extérieures que chacun aménage a sa manière. Malgré cette indépendance, l’ensemble garde une unité commune à la manière d’une « maison familiale ».
— Alpha Carré —
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Architecture Patrimoine Restauration et mise en valeur du parc régulier du château de la Brède Réalisé / Gironde / La Brède / 2012 Surface :NC Coût travaux HT : 326 000 € Maître d’ouvrage : Fondation Jacqueline de Chabannes Architecte mandataire : Denis Boullanger (Architecture Patrimoine) Architecte associé : Françoise Phiquepal (Architecte Paysagiste) Autre intervenant : Stéphane Perrin (Expert Forestier – Forêt Conseil) Crédit photo : Architecture Patrimoine
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La fondation Jacqueline de Chabannes, gestionnaire du domaine a souhaité retrouver la composition du parc original. Avec Françoise Phiquepal, paysagiste et maître d’œuvre de ce retour du parc voulu par Montesquieu, nous avons œuvré à cette restauration pour les parties maçonnées : canalisations et margelles, fontaines et lavoir, cadran solaire, organisation du parc. Le domaine du château de la Brède est le lieu où naquit Charles Louis de Secondat, baron de Montesquieu. Le classement du parc au titre des monuments historiques, depuis 2007 a fait prendre conscience de
la valeur historique de sa composition. Avec un style aux prémices de l’art des jardins paysagers, nommés Jardins naturalistes, le parc très boisé se déploie sur une cent cinquantaine d’hectares. Communement le site est perçu comme composé d’un château avec ses douves en eau accompagné de vastes prairies, elles même cernés par la forêt.
— Architecture Patrimoine —
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ARSENE HENRY TRIAUD
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— ARSENE HENRY TRIAUD —
MAISON V Réalisé / Gironde / Bordeaux / Septembre 2013 Surface : 350 m² Coût travaux HT : 850 000 € Maître d’ouvrage : Particulier Architecte mandataire : Alain Triaud & Luc Arsene-Henry, Gilles Fortabat (chef de Projet) Autre intervenant : A+R SALLES (paysagiste) Crédit photo : Denis Lacharme
Commande directe pour un client privé. Maison R+1 / 5 chambres / 350 m² / Ossature : poteaux et poutres / Remplissage : maçonnerie / Isolation extérieure / Cassettes métalliques / Toiture béton / piscine / Ténovation annexe existante.
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Atelier Arc en Bois Armelle Canchon Reconstruction d’un showroom Réalisé / Gironde / Saint André de Cubzac / Octobre 2013 Surface :680 m² Coût travaux HT : NC Maître d’ouvrage : Garage Darroman Bureau d’étude technique : B2S (structure bois), BG6 (fluides), Cerato (béton)
Détruit par un incendie en mai 2012, le showroom et une partie des ateliers du garage Darroman ont dû être reconstruit en un minimum de temps afin de préserver l’emploi des nombreux salariés de l’entreprise. Ainsi après les phases administratives incontournables, le chantier a pu être mené à son terme dans un délai de 7 mois grâce à l’implication de tous. Si l’apparence extérieure du bâtiment est très « chartée » du fait de l’enseigne Citroën, l’ouverture d’esprit du maître d’ouvrage a permis à l’intérieur du bâtiment de rompre avec les codes habituels des showrooms automobiles en déployant un éventail de couleurs inattendues serties dans une charpente bois à la trame rigoureuse.
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— Armelle Canchon Atelier Arc en Bois —
Bardage Hairplan 300 RAL 3000
Façade Rideau RAL 7021
Vitrage réfléchissant
Pliage alu de tête de mur RAL 7021
Bardage Hairplan 300 RAL 9010
Vitrage clair ≈+6.46
≈+6.46
Bardage métallique existant conservé
Portes sectionnelles RAL 7012
Panneau Fundermax Rouge profond 0689 Panneau Fundermax Blanc 0085
SAS DARROMAN
≈+4.21
1
ATELIER Chrono Service toutes marques
2
hauteur bardage existant
34
Climatisation et Réfrégiration Véhicules de remplacement Mécanique et Carosserie Contrôle technique
≈-0.38
-0.36 (13.09)
≈-0.45
+/-0.00 (13.45)
≈-0.12
t.n
≈+0.25
+0.29 (13.74)
+/-0.00 (13.45)
Façade Est
Pliage alu en pied de mur RAL 3000
≈-0.18
+0.29 (13.74)
Partie à reconstruire
Mur système DPE 44 Arcelor Mittal
Mur maçonnerie
Mur existant conservé bardage métallique
Mur existant conservé maçonnerie
Translucide
Désenfumage
Couverture existante conservée fibro-ciment
Couverture à réaliser fibro-ciment
≈+5.70 SAS DARROMAN
Façade Ouest
≈-0.45 ≈-0.49
+0.29 (13.74)
Partie à reconstruire
Bardage Hairplan 300 RAL 9010
Désenfumage sue≈1m2
Mur existant conservé maçonnerie
Mur existant conservé bardage métallique
Bardage Hairplan 300 RAL 3000
Remplissage translucide Bardage métallique existant conservé
≈+6.46
Façade Nord
≈-0.40
≈-0.38
+/-0.00 (13.45)
Façade Sud
≈-0.45
+0.29 (13.74)
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art’ur architectes
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— art’ur architectes —
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— art’ur architectes —
Reconstruction du collège Montaigne à Lormont Réalisé / Gironde / Lormont / Mai 2013 Surface : 10 040 m² SHOB Coût travaux HT : 10 860 000 € Maître d’ouvrage : Conseil Général de Gironde Architecte mandataire : Art’Ur / SPIE Batignolles Mandataire Bureau d’étude technique : Batut Bet 3B Autre intervenant : Secotrap / Icabe / Cenergia / Geniclime Crédit photo : 11h45
La re-construction du collège Michel de Montaigne est un des éléments forts du Grand Projet de Ville des Hauts de Garonne. Il est labélisé « Ambition Réussite » et dispose à ce titre de moyens renforcés pour accompagner les enfants dans leur apprentissage, au passage à l’adolescence. Lien nature-projet : L’esprit du parc pénètre la parcelle du collège, poursuivant son ambiance arborée, fédérant une atmosphère végétale dominante. Ce paysage est partie intégrante de notre projet au même titre que le bâti, l’air et la lumière. Le parc, le plateau sportif, la cour, le préau… Les séquences se succèdent pour composer un tout, un ensemble cohérent. Scénographie – Glissement des volumes : Les bâtis sont positionnés en continuité du ruban de clôture. Le parvis est à la convergence des parcours, une ramification des cheminements du parc. Ce dispositif marque l’entrée par glissement naturel, en continuité de territoire, sans rupture. Tout est mis en œuvre pour orienter subtilement le passage du parc au collège : Ce parvis devient rue du collège, se prolonge entre administration et externat, jusqu’au cœur de la cour.
Démarche environnementale : Le projet s’inscrit dans une démarche de développement durable forte. Créer un cadre bâti de qualité, favorable à la préservation des paysages, des matières, des énergies et ressources naturelles. Principe constructif : L’édifice semble ancré dans le sol. Il prend naissance au gré des divers déblais remblais, s’appuyant sur les murs de soutènements en béton armé qui retiennent les terres et terrassements. L’ensemble des bâtiments est construit selon un système poteau-poutres en béton supporte une table d’assise, un plateau, sur lequel viennent se poser les volumes de bois.
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Maison rue surson 1 Réalisé / Gironde / Bordeaux / mars 2012 Surface : 265 m² Coût travaux HT : 390 000 € (1 661 € / m² SHON) Maître d’ouvrage : SCI Kanzan Architecte mandataire : Atelier d’architecture Baobab Bureau d’étude technique : Fournié Ingénierie (structure), ARTEC Ingénierie (fluides) Crédit Photos : Roberto Giostra / Atelier d’architecture Baobab
ATELIER D’ARCHITECTURE BAOBAB 52
Le Maître d’ouvrage, constitué en SCI, n’est autre que l’association des architectes à titre personnel et l’Atelier d’architecture Baobab. Dans cette opération, l’architecte est donc à la fois maître d’œuvre et maître d’ouvrage, à plus d’un titre d’ailleurs. Les données essentielles du programme ont été de loger sur le même site la maison d’habitation pour la famille des architectes et les locaux de l’agence d’architecture, en 2 bâtiments indépendants mais étroitement associés. Le projet se situe dans le quartier Saint-Martial aux Chartrons, au nord du centre-ville de Bordeaux, à 2 pas des quais de la Garonne. La parcelle de 265 m² est une dent creuse en L. Le linéaire développé de la parcelle permet d’y ériger 2 bâtiments. L’agence, disposant d’une bonne visibilité sur rue, est constituée d’une boîte sur pilotis. En dessous, l’espace libéré permet de garer les véhicules et donne accès à une cour commune. Charnière du projet, cette cour organise les liens entre les 2 entités, aussi bien depuis la rue que l’une à l’autre. La maison, sur 3 niveaux, accueille au rez-de-chaussée une pièce à vivre avec cuisine ouverte. Le volume est largement ouvert sur un jardin orienté plein sud, qui dispose d’une piscine et d’un abri couvert refermant le fond de parcelle. À l’étage, on accède à l’espace réservé aux enfants, composé de 2 chambres, avec dressing, une salle de bain avec buanderie, et d’une troisième chambre qui peut servir de salle de jeux et de chambre d’appoint, ainsi que d’un accès direct à l’agence par une passerelle. Le dernier niveau constitue l’espace des parents comprenant la chambre, une salle de bain avec dressing et d’un coin bureau/ bibliothèque ; il est ouvert sur une terrasse à l’est couverte d’une ombrière ajourée. Le contexte a contraint à mettre en place un ouvrage léger et rapide à monter en panneau BMR (Bois Massif Reconstitué) utilisé en parois et planchers. Isolés par l’extérieur en laine de roche de 100mm, renforcée en toiture (280mm), les bâtiments sont bardés de profils à emboîtement en zinc anthracite. À l’intérieur, les parois désirées, vernies au pistolet, laissent le bois de structure apparent. La performance thermique est conforme au BBC (42 kWh PE/m²/an). Le chauffage est réalisé par un foyer fermé à haut rendement, avec des radiateurs électriques à inertie en appoint. L’ensemble est conçu selon les principes de l’architecture bioclimatique, et n’a pas de système de refroidissement.
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Atelier Cambium
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plaine des sports En cours / Landes / Saint-Paul-lès-Dax / Mars 2016 Surface :2 800 m² bâti + 90 000 m² aménagement extérieur Coût travaux HT : 7 060 000 € Maître d’ouvrage : Commune de Saint-Paul-les-Dax Architecte mandataire : OLGGArchitectes (Paris) Architecte associé : Atelier Cambium Bureau d’étude technique : ITH (TCE), SEDES (Surfaces sportives) Autre intervenant : Calixte Tinard (économiste), Amélie Salles (paysagiste)
Concours restreint de maîtrise d’œuvre Lauréat Mai 2013 Réalisation d’une Plaine des Sports comprenant un bâtiment tribune de 500 places et un bâtiment annexe de vestiaires, 3 aires de grand jeu (football), un demi terrain synthétique, une piste d’athlétisme.
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— Atelier Cambium —
Espace culturel Omar Sahnoun Non réalisé / Gironde / Saint Jean d’Illac / Février 2014 Surface :3 250 m² (sdp) Coût travaux HT : 5 000 000 € Maître d’ouvrage : Commune de Saint Jean d’Illac Architecte mandataire : OLGGA architectes (Paris)
Concours restreint de maîtrise d’œuvre. Complexe culturel comprenant une salle polyvalente, maison des jeunes et maisons des associations. Bâtiments assortis d’extérieurs aménagés : boulodrome, city stade.
Architecte associé : Atelier Cambium Bureau d’étude technique : ITH (BET tous corps d’état) Autre intervenant : Calixte Tinard (économie de la construction)
venelle piétonne
paroisse de Saint Jean d'Illac
city stade
salle multisports
espace jeunes
espace associatif
terrains pétanque compétition
futur cheminement piéton
40 pl.
La Jalle
30 pl.
venelle piétonne
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Atelier Corajoud Paysagiste CONFLUENCE DES GAVES - Aménagement des abords de la médiathèque En cours / Pyrénées- Atlantiques / Oloron Sainte Marie Surface : 5 000 m² Coût travaux HT : 1 035 000 € Maître d’ouvrage : Commune d’0loron Sainte Marie Architecte mandataire : Atelier Corajoud paysagiste dplg, A.G Le Guillanton - chef de projet Architecte associé : a-traits architecture, N. Darriet-Rullaud & J.C Piroux - architectes dplg Crédit photo : a-traits design graphique, I. Robin & a.g le guillanton
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L’aménagement des abords de la médiathèque à Oloron Sainte Marie s’inscrit dans un projet à long terme de reconquête de l’ancien quartier industriel de la confluence des gaves d’Ossau et d’Aspe. La première étape de cette reconquête fût la construction de la médiathèque, équerre d’argent 2010 et des deux passerelles piétonnes reliant ce quartier au reste de la ville et initiant de nouvelles pratiques. La deuxième étape en cours est l’aménagement du Centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine dans les anciennes usines de bérets. L’aménagement des espaces publics vient parfaire le renouveau de ce site exceptionnel en prou sur les gaves. La terrasse basse, vestige des fondations d’une ancienne usine, est aménagée comme un salon de lecture extérieur en écho aux pratiques de la médiathèque : tables et bancs le long du bouillonnant gave d’Ossau, pelouse d’agrément face au chutes d’eau du barrage et escaliers d’accès depuis le parvis en coulisse sous une pergola. En amont du parvis, le parti
d’aménagement de l’espace élargi privilégie la pratique piétonne et calibre la voie d’accès véhicule à son minimum. L’espace ainsi gagné permet l’installation de bandes jardinées sous un mail dense, accompagnant le cheminement vers les rives d’Ossau. Les soutènements réglant la pente forte du site sont l’occasion d’installer de larges assises, permettant halte et relâche dans ce site à contempler. L’ensemble des matériaux utilisés privilégie les matières locales : dalles et bordures en pierre marbrière grise des Pyrénées (pierre d’Arudy), galets du gave posés en calade, sable gris des gaves et le bois pour reprendre le vocabulaire de la médiathèque.
— Atelier Corajoud Paysagiste —
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Atelier d’architecture KING KONG
Bordeaux Maritime Resort En cours / Gironde / Bordeaux Surface : 9 900 m² Coût travaux HT : 22 000 000 € Maître d’ouvrage : Bordeaux Maritime Resort Architecte mandataire : atelier d’architecture King Kong Crédit photo : 2:pm (images)
Construction d’un complexe hôtelier de 145 chambres, centre de conférence et balnéothérapie. Commande privée : équipe de maîtrise d’ouvrage : Alain Dhersin et Redman Atlantique. Le projet de complexe multifonctions s’implante sur la dalle des bassins à flot et participe de la reconquête progressive du patrimoine portuaire industriel de la ville de Bordeaux. L’opportunité d’une telle intervention est historique. Il s’agit en effet ici de regrouper des programmes généralement isolés, par le biais d’imbrications douces, étudiées avec soin, et ouvrant la voie à une réalisation inédite, condensant les mondes et les sensations. Ce projet porte au plus haut degré les valeurs d’innovation que nous avons toujours eu à cœur de défendre, et constitue pour nous une chance inédite de les mettre en œuvre, telle une cristallisation de nos diverses aspirations. Le
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« géant » que nous avons conçu abritera un complexe aquatique, un hôtel, un centre de conférences, un parking suspendu, et enfin un plateau sportif comme un tapis volant offrant une vue panoramique sur cet extraordinaire paysage en devenir. Le complexe hôtelier se développe sur sept niveaux. La transparence proposée par les façades vitrées, le hall traversant, l’utilisation de la résille en béton et le jeu entre les différents plans de façade laissent filtrer l’activité du lieu, éveillent la curiosité et invitent à entrer.. La galerie aménagée le long de trois façades du bâtiment, à l’est, au sud et à l’ouest, sera animée par un dispositif de nappes d’eau conférant un aspect ludique et dynamique à l’ensemble. À la nuit tombée, les lumières des chambres, filtrées par la maille, amèneront de la profondeur aux façades.
— Atelier d’architecture KING KONG —
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— Atelier d’architecture KING KONG —
Opération Tour du Gaz : Mama Shelter + 17 logements Réalisé / Gironde / Bordeaux / Octobre 2013 Surface : hôtel : 4 795 m² - logements : 1 580 m² Coût travaux HT : NC Maître d’ouvrage : Adim Sud-Ouest Architecte mandataire : atelier d’architecture King Kong Bureau d’étude technique : Math Ingénierie Autre intervenant : IdB Acoustique (acousticien), Hervé Gastel (paysagiste) Crédit photo : Jérémie Buchholtz et Francis Amiand
Réhabilitation et conversion de l’Immeuble du Gaz de Bordeaux pour l’aménagement de 17 logements et du Mama Shelter. L’ancienne Régie du gaz a été réalisée dans les années 1930 par Raoul Jourde. Un concours est lancé en 2009 pour la réhabilitation et la conversion du bâtiment (ainsi que de celui, mitoyen, datant des années 1970). Le bâtiment possède une trame qui se prête très bien à l’implantation d’un hôtel en son sein. Le bâtiment des années 1970, différent dans sa structure, peut accueillir quant à lui du logement. L’équipe du Mama Shelter – Serge Trigano, Philippe Starck et Cyril Aaouizérate –, contactée par l’atelier d’architecture King Kong et Lionel Moreau d’AdimVinci, trouve là un objet formidable venant répondre à leur concept : un véritable « lieu de vie », comprenant un rez-de-chaussée ouvert sur l’extérieur, avec une grande salle de restaurant, qui permet de créer des échanges avec la place sur laquelle il donne. Outre la création de l’hôtel Mama Shelter dans l’ancien édifice, des logements ont été aménagés dans le bâtiment des années 1970. Les 17 logements, prévus sur la partie arrière, vont du T2 jusqu’au T4. Ils offrent la possibilité à des familles de regagner le centre de Bordeaux dans un cadre on ne peut plus avantageux. Les nouveaux volumes créés à l’intérieur du bâtiment, exhaussés par rapport au faîtage initial, donnent lieu à un jeu quasi-infini sur la distribution des appartements, atypiques, qui découle des structures existantes. Les logements profitent d’autre part de la présence des patios où se développent des terrasses au sol de schiste ainsi que des jardins privatifs à l’abondante végétation, séparés par des claustras constitués de lames de bois ou de tôles d’acier découpées. Les revêtements des parois extérieures font s’alterner le bois et le zinc, pour une ambiance chaleureuse et intimiste, où joue la lumière qui y pénètre abondamment. Ils répondent tous aux normes « BBC rénovation ». Côté rue du Temple, la façade s’inspire de l’ancien mur rideau pour décliner une série de motifs très graphiques, constitués d’aluminium laqué. Ce « cadre », établissant, dans ses lignes et ses creux, un dialogue avec la modénature des édifices XVIIIe de la rue, est posé en avancée par rapport au nu des façades existantes, et repose sur une ossature béton/ bois assurant l’isolation thermique et phonique. L’insertion de ce linéaire parcourue de soleil et d’ombres permet d’exprimer avec sens et créativité la nouvelle vocation du lieu. 63
Atelier du sablier
Logements Quartier La Glacière à Mérignac Les jardins de Divona Réalisé / Gironde / Merignac / Janvier 2012 Surface :13 700 m² Coût travaux HT : 300 000 € pour les espaces verts Maître d’ouvrage : CIRMAD / ICF / Gironde Habitat Architecte mandataire : Rudy Riciotti Architecte associé : HPL architectes & associés Bureau d’étude technique : Ingerop, Addenda Crédit photo : Atelier du Sablier
Concours organisé par la CUB en 2007 Le projet paysager consiste en l’aménagement de jardins. Le cheminement piéton public sur la Devèze canalisée traverse l’opération. Une zone intermédiaire ouverte marquée par une noue bordée de gabions symbolise l’ancien lit de la Devèze et marque la frontière entre espace public et espace collectif. Cette transition douce évite de marquer l’espace par des clôtures successives. Seuls les jardins privatifs de chaque immeuble sont clos. Ils permettent la forte identification de chaque bloc par le choix d’une couleur et de matériaux radicalement différents. L’ardoise est mise à l’honneur dans le jardin noir ; le béton blanc et la pierre calcaire dans un jardin blanc qui joue sur le pointillisme des dallages et la topographie avec des fosses plantées de bouleaux. Dans le jardin rouge, le granit rouge se décline en stabilisé, en gravier qui s’insinue dans les espaces plantés et en blocs incrustés dans le parement de gabions ajourés. Dans le jardin jaune, feuillages dorés et bois accueillent un banc de béton aux formes plus souples. A l’écart, le jardin dessiné pour l’opération de Gironde Habitat traite simplement la différence de niveau par une succession de terrasses et des plantations de graminées bleues dans la partie inférieure qui symbolisent l’eau.
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— Atelier du sablier —
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Atelier du vendredi
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— Atelier du vendredi —
ATELIER ZELIUM Réalisé / Gironde / Bordeaux / Mars 2012 Surface : 512 m² Coût travaux HT : 872 000 € Maître d’ouvrage : SCI Sainte-Cécile Architecte mandataire : Atelier Du Vendredi Bureau d’étude technique : Cesma (Structure métallique) Escaich & Peyre (Béton) Autre intervenant : Emacoustic (acoustique), Geraud Periole (concepteur lumière) Crédit photo : François Passerini Photographies
L’atelier ZELIUM est une structure multi-disciplinaire centrée autour d’un atelier de création de décors, de costumes & d’accessoires pour le théâtre, le cinéma et les spectacles vivants. Situé au cœur de Bordeaux, il a été conçu comme un lieu de fabrication et d’échange de savoir-faire ancestraux et alternatifs. Réhabilitation d’un vieil entrepôt, tour à tour atelier de charpentier puis hangar de stockage, le projet repose sur la mise en valeur de la vieille charpente existante. Le volume qu’elle abrite reçoit l’atelier et les machines ; un petit bâtiment initialement en rezde-chaussée connectant l’entrepôt à la rue sert de quai de chargement et a été rehaussé de bureaux de conception.
Le projet par la nature même de son programme représente un vrai défi. Mêlant les contradictions, il demande malgré son volume imposant une insertion urbaine maîtrisée au cœur d’un quartier d’échoppes. Sa fonction d’atelier de fabrication, générant un niveau sonore parfois élevé, nécessite une enveloppe parfaitement étanche au bruit, afin de respecter la paix des jardins alentours. Enfin, sa double vocation de lieu de fabrication et d’exposition a nécessité un travail poussé sur la mise en scène des espaces, la qualité des matériaux mis en œuvre et la facilité d’entretien et d’exploitation.
COUPE LONGITUDINALE
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Atelier Giet Architecture
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— Atelier Giet Architecture —
Crèche et pôle de formation parentalité Fondation d’Auteuil - Quartier des Aubiers Réalisé / Gironde / Bordeaux / Avril 2013 Surface : 560 m² SHON + 600 m² jardins Coût travaux HT : 950 000 € Maître d’ouvrage : Fondation des apprentis d’Auteuil Architecte mandataire : Atelier Giet Architecture Bureau d’étude technique : Eteco / Energie Concept / Belissen Autre intervenant : Qualiconsult (bureau de contrôle) Crédit photo : Jean François Tremege, S. Giet
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Concours Cette crèche d’une capacité d’accueil de 33 enfants et comprenant un espace de formation parentalité est destinée en priorité à l’usage des habitants du quartier. Situé en lisière au sud du quartier des Aubiers, le site de la crèche s’insère dans un environnement paysager de qualité bordé de platanes et de pins parasols. Le projet se veut en relation proche avec le paysage, en particulier avec les jardins familiaux soigneusement entretenus et leurs cabanes en construction bois au sud du terrain. L’entrée largement vitrée, maintient une continuité et une transparence sur la venelle des jardins familiaux, permettant une échappée visuelle sur le paysage.
L’architecture du bâtiment se décompose en quatre modules en ossature bois. Ce dessin évoque une typologie de construction en rapport avec la petite échelle des cabanes existantes et en rupture avec l’architecture du quartier des Aubiers.
— Atelier Giet Architecture —
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— Atelier Giet Architecture —
Extension de l’école de Sanguinet, création d’un pôle périscolaire et restauration Réalisé / Landes / Sanguinet / Novembre 2013 Surface : 1 350 m² SHON Coût travaux HT : 1 806 020 € Maître d’ouvrage : Ville de Sanguinet Architecte mandataire : Atelier Giet Architecture Architecte associé : M. de Boussac Bureau d’étude technique : Enerco Conseil, Actibat, Energie Concept, Belissen Autre intervenant : Anco Atlantique (Bureau de Contrôle), Elyfec (Sps) Crédit photo : M. Monthier
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Appel d’offre, marché public - concours Le projet accueille le pôle périscolaire/ALSH comprenant 3 salles d’accueil, un pôle de restauration avec un réfectoire et une cuisine, 4 classes et une salle d’éducation polyvalente. Ce bâtiment est composé de différents volumes qui reprennent l’échelle des constructions traditionnelles de la commune et les toitures à deux pentes. lls sont reliés par une rue intérieure, à l’usage des enfants.
Le souhait de la commune était de réaliser un bâtiment déclinant le bois sous toutes ses formes, en accord avec le patrimoine forestier de la région. La démarche environnementale du projet se veut démonstrative du point de vue pédagogique pour les enfants.
— Atelier Giet Architecture —
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Atelier Provisoire
TERREFORT
Réalisé / Gironde / Villenave d’Ornon / Juin 2014 Surface : 2 200 m² Coût travaux HT : 2 630 000 € Maître d’ouvrage : Aquitanis Architecte mandataire : Atelier provisoire Bureau d’étude technique : Cetab Autre intervenant : Vanessa Leydier, paysagiste Crédit photo : Jean-Christophe Garcia
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Les 25 logements collectifs de Terrefort sont la troisième opération réalisée par Aquitanis avec le système préfabriqué à ossature bois Sylvania (système et catalogue conçus en 2011 par l’Atelier Provisoire). L’implantation des quatre plots de logements en R+2 est structurée par le « vide chinois », le jardin collectif central planté de chênes que tout le monde traverse. Le deuxième espace collectif, c’est l’escalier extérieur de chacun des plots qui s’enroule autour de sa gaine et s’élève en paliers successifs au bord du jardin.
Le troisième espace collectif est celui privatif du logement, la « pièce du dehors ». Balcon suspendu dans les branches des chênes ou loggia protégée, c’est une pièce assez grande pour s’asseoir à dix autour de la table. La « pièce du dehors » est aussi l’expression de la pièce constructive élémentaire du système Sylvania.
— atelier provisoire —
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— Atelier provisoire —
CAVE COOPÉRATIVE LES COTEAUX D’ALBRET Réalisé / Gironde / Mesterrieux / Avril 2014 Surface : 486 m² Coût travaux HT : 780 000 € Maître d’ouvrage : Cave coopérative les coteaux d’Albret Architecte mandataire : Atelier provisoire Bureau d’étude technique : Compétences Ingénierie Crédit photo : Agnès Clotis
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La commande consiste en la réalisation d’un bâtiment d’accueil pour la cave coopérative. Il abrite un hall de vente, des locaux administratifs, une salle du conseil et des locaux techniques. À l’origine, il y a la gare. La cave coopérative a été construite là pour acheminer le vin sur le train. Le nouveau bâtiment d’accueil emprunte au vieil édifice ferroviaire, aujourd’hui utilisé pour du stockage de matériel, son haut soubassement-quai protégé par un auvent en bois. Il s’étend au-devant de l’ancien chai construit en 1935 dont il adoucit l’échelle imposante.
Deux larges ouvertures dans la répétition abstraite des fenêtres de la façade marquent deux passages. Celui du vin est un préau qui abrite le chargement des barriques et les manutentions. Celui des visiteurs est une salle de dégustation grande ouverte sur le paysage de la vallée.
— Atelier provisoire —
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Atelier ZIP
PERSPECTIVE salle pédagogique - atelier ZIP, architecte mandataire
Nouveaux bâtiments administratif et d’accueil pédagogique, SMD3
En cours / Dordogne / Saint Laurent des Hommes / Octobre 2015 Surface : 315 m² Coût travaux HT : 750 000 € Maître d’ouvrage : SMD3 Architecte mandataire : Atelier Zip Architecte associé : Eugène, scénographe Bureau d’étude technique : Math ingénierie (Economie + Fluides) Autre intervenant : IAI Ingénerie (structure) Crédit photo : SO
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Concours lancé en février 2014 par le SMD3 (Syndicat de traitement des déchets de Dordogne) sur un site d’enfouissement de déchets non dangereux à St Laurent des Hommes (24) pour la création d’un nouveaux bâtiment d’accueil des visiteurs (scolaires, élus et populations locales) et administratif et pour la ré-organisation scénographique des visites du site. Projet actuellement en cours d’étude (phase APD en septembre 2014). Le site SMD3 de St Laurent des Hommes est très vaste, dédié au transport de matériaux, peu propice aux cheminements piétons et en constante évolution topographique. Le parti architecturale du bâtiment créé, allongé face à l’entrée du site, est basé sur : - Une volumétrie simple constituée de 2 coques de protection revêtues de zinc, ouverte au Sud, profitant de l’ensoleillement pour les bureaux et accueillant les visiteurs à l’abri d’un parvis couvert ; - Un plan tramé sur une base orthogonale, qui trouve seulement 3 inflexions en échos aux lignes de force du site et du programme auxquelles répondent les 3 pentes de toiture du projet ;
- Une structure entièrement à ossature bois, privilégiant ainsi la filière sèche ; - Un recours volontariste et raisonné au bois pour l’architecture plus fouillée de la façade Sud : de finition brut, il est présent en ossature de façades, menuiseries, brise-soleil et sous-face du auvent du parvis, éléments tous protégés des intempéries pour la conservation de l’aspect chaleureux d’origine de ce matériau ; - Une salle pédagogique marquée par la courbe de son faux plafond acoustique, revêtu d’un lattis de bois ajouré, qui comprime cet espace refuge en son centre et se déploie vers 2 façades translucides baignant l’exposition d’une lumière uniforme ; - Une re-qualification végétale de l’entrée du site permettant de cadrer des perspectives et d’y réintroduire une certain urbanité. - Un système de chauffage par pompe à chaleur géothermique avec captage horizontal.
— atelier zip —
PERSPECTIVE depuis l’entrée du site - atelier ZIP, architecte mandataire
PLAN BATIMENT PROJETE - atelier ZIP, architecte mandataire
FACADE SUD
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B.ip/bureau d’intervention sur le paysage 80
— B.ip/bureau d’intervention sur le paysage —
Phare du cap-Ferret Réalisé / Gironde / Lège Cap-ferret / Décembre 2013 Surface : 230 m² Coût travaux HT : 380 000 € bâtiment +100 000 € scénographie Maître d’ouvrage : Office de tourisme de Lège Cap-Ferret Architecte mandataire : b.ip/bureau d’intervention sur le paysage Bureau d’étude Structure : Escaich&Peyre Crédit photo : b.ip
Le phare du cap Ferret est un élément majeur du paysage de la presqu’île. Il signale l’entrée du bassin d’Arcachon depuis l’océan et participe à la sécurité maritime. C’est un monument architectural, inscrit au titre des monuments historiques depuis 2009, qui appelle à lui de nombreux visiteurs intrigués par ce qu’il symbolise et ce qu’il offre : un magnifique panorama de terre et d’eau. L’afflux de cette population pose la question de l’amélioration des espaces d’accueil et des services proposés dans la partie publique des bâtiments du phare. L’agrandissement de l’espace muséographique à l’étage de la galerie, la création d’une boutique au contenu ciblé et la résolution des nœuds de circulation s’accompagne d’une réflexion sur l’offre muséographique, la scénographie d’exposition et les aménagements paysagers des abords.
Le cheminement vers le phare est conçu comme une promenade tendue vers la découverte du bâtiment. L’extension se glisse à l’ouest entre le phare et son écrin de pins. Elle est annoncée par un parvis en pente surplombé par une ombrière. Le nouveau bâtiment fait de béton, verre, bois et métal, dialogue avec les matières existantes, le caractère fonctionnel du phare et son second œuvre soigné. Point d’entrée, de circulation, boutique et sortie, il réorganise les espaces intérieurs autour d’un escalier qui participe à la nouvelle scénographie de visite. La galerie basse restaurée retrouve ses proportions et sa luminosité initiale tandis que la galerie haute est transformée en cabine boisée sombre pour accueillir la salle des cartes. Les verrières qui lient l’ancien au nouveau complètent ce jeu de lumière et d’ombre et créent des points de vue sur le fût et la cime des arbres.
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Bandapar Architecture +++
Centre social du lacaou En cours / Pyrénées-Atlantiques / Billere / Septembre 2014 Surface : 1 200 m² Coût travaux HT : 1 900 000 € Maître d’ouvrage : Mairie de Billère Architecte mandataire : Bandapar Architecture +++ Bureau d’étude Structure : Otce (Tce et économie) – Emacoustic (acoustique) Autre intervenant : Bertrand Masse Paysagiste Crédit photo : Bandapar architecture, Mathieu Joubert (Images)
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Concours lancé par la Mairie de Billère en 2012. Projet Lauréat Au cœur des pratiques, entre la ville et le bois Le projet du centre social municipal du Lacaou accueille : un centre social, une maison des jeunes et un jardin d’enfant. Il s’articule selon 3 enjeux principaux : - affirmer le nouvel équipement comme un carrefour des pratiques à l’échelle du quartier et de la ville - passer du quartier au bois, de l’urbain au végétal - s’appuyer sur les qualités paysagères et morphologiques de l’ensemble du site En rive du parc du Lacaoü, l’enveloppe globale du bâtiment est multiforme : des angles permettent de diminuer l’impact visuel, de maximiser les vues vers le parc aux qualités paysagères remarquables. L’implantation du bâtiment permet de rapprocher les espaces urbains et le paysage en une gradation progressive : du régulier (domestiqué, privatif) au sauvage (spontané, collectif).
Précédé d’un parvis sur rue, le hall central offre une succession d’espaces qualifiés pour leurs besoins : intimes ou ouverts, lumineux ou protégés, seuls ou à plusieurs… Cœur névralgique du centre, il accompagne visuellement et physiquement du parvis vers le parc. Par son traitement architectural convivial et varié, il facilite les interactions entre tous les programmes. Le projet s’appuie sur des solutions environnementales simples et naturelles, basées autant que faire se peut sur les conditions végétales et climatiques. Le projet permet ainsi d’aménager un programme dense tout en minimisant son impact sur le site.
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— Bandapar Architecture +++ —
ARONS EN GELAUFF / RESIDENCE DU LAC Non réalisé / Gironde / Bordeaux / 2013 Surface : 10 000 000 m² Coût travaux HT : 11 000 000 € Maître d’ouvrage : LA FAB Architecte mandataire : Arons en Gelauff Architecte associé : Bandapar Architecture +++ Bureau d’étude technique : Ingerop Autre intervenant : B+B Paysagoste, Nacarat, Vivalib, Ehop, Aquitanis, Domofrance Crédit photo : Mathieu Joubert (Images)
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144 manieres d’habiter le lac Le projet de la résidence s’inscrit dans le projet de la réflexion des « 50000 logements » lancée par Lafab. Le programme prévoyait 144 logements sociaux. A deux pas du Lac, face à la résidence des Aubiers, plusieurs langages architecturaux systématiques se croisent. Pour stimuler le vivre ensemble à l’échelle du projet mais aussi du quartier, la reconnaissance du bien commun est centrale pour réinventer les plaisirs du voisinage. Le confort individuel est une priorité et la condition a minima pour qu’une vie collective puisse s’engager. L’équipe propose un projet qui suit la règle du jeu : un autre module, plus adaptable dont le développement s’est basé sur ces axes : - Rationalité et économie : à partir d’un plot type qui permet la préfabrication : un bloc de logement compact, rationnel, qui permet de limiter les coûts de construction - Durabilité : une structure
adaptée permettant flexibilité et évolutivité des logements, mais aussi celle des rez-de-chaussée et des stationnements, donc de l’espace urbain - Fluidité de l’espace urbain : des rez-de-chaussée ouverts permettant une fluidité du regard et des déplacements. Les espaces extérieurs sont des prolongements des pieds d’immeubles. Grâce aux contraintes opérationnelles et financières du projet, l’opération est l’occasion de se focaliser sur la « capacité de l’individu à faire collectif » et de s’interroger à nouveau sur l’évolutivité de l’habitat et des modes de vie, du « durable » et du confort.
— Bandapar Architecture +++ —
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BDM architectes
Groupe Scolaire Albert Thomas En cours / Gironde / Bordeaux / Décembre 2014 Surface :34 643 m² SHON Coût travaux HT : 9 576 300 € Maître d’ouvrage : Ville de Bordeaux Architecte mandataire : BDM architectes Bureau d’étude technique : Bétom Ingénierie Autre intervenant : Isabelle Humbert (paysagiste), IdB Acoustique Crédit photo : Philippe Caumes
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L’école maternelle et l’école élémentaire Albert Thomas occupaient 6 bâtiments construits dans les années 1950-1960 qui présentaient plusieurs inconvénients : la gestion de l’énergie (bâtiments non isolés), la réglementation relative à l’accessibilité des personnes handicapées (accès non conformes à la réglementation en vigueur), l’aspect fonctionnel (distribution des locaux, exiguïté des espaces, manque de salles spécifiques) et l’acoustique (locaux non traités phoniquement) notamment. Les objectifs d’aménagement du site étaient de : moderniser l’école maternelle et l’école élémentaire, de créer une crèche de 60 places, de créer des établissements fonctionnels, accueillants et adaptés aux besoins de l’enfant, et de concevoir des bâtiments exemplaires sur le plan environnemental. Construction d’un groupe scolaire BBC comprenant une école maternelle de 5 classes, une école élémentaire de 8 classes et une crèche multi-accueil de 60 places.
Cet équipement de la ville de Bordeaux réunit 3 entités distinctes - crèche, école maternelle, école élémentaire - mais n’en constitue pas moins un seul ensemble. Il nous est apparu indispensable de lui donner une image unitaire sur le domaine public, à l’échelle du quartier et des grands édifices proches (et en particulier le Stade Lescure). Le groupe scolaire joue avec le dénivelé du site pour faire le lien entre différentes échelles urbaines. Extérieurement, côté rue, c’est un édifice à l’architecture robuste, composé de volumes de pierre qui s’inscrivent dans la ville, et qui résistent aux agressions et à l’usure du temps. Intérieurement, on découvre un univers totalement différent, coloré, ludique, ouvert et végétalisé. Le groupe scolaire Albert Thomas, un bâtiment à énergie positive qui produira 16 % d’énergie de plus qu’il ne consomme.
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— BDM architectes —
Institut Médico-Pédagogique Saint-Joseph Réalisé / Gironde / Bordeaux / Avril 2014 Surface :3 438 m² SHON Coût travaux HT : 4 600 000 € Maître d’ouvrage : Association Saint-François Xavier Don Bosco Entreprise générale mandataire : GCC Architecte associé : BDM architectes Bureau d’étude technique : Artelia Bâtiment & Industrie Autre intervenant : Isabelle Humbert (paysagiste), IdB Acoustique Crédit photo : Atelier Positif
Le projet consistait en la création d’un ensemble immobilier neuf dans le quartier de « La Grenouillère », qui devait présenter tous les avantages de l’ancien établissement et en « gommer » les inconvénients de façon à offrir à l’IMP et aux enfants qu’il accueille un lieu remarquablement fonctionnel, ouvert sur la cité, et très performant en matière de qualité environnementale. Construction d’un institut médico-pédagogique et d’un internat pour des enfants de 6 à 18 ans dans le cadre d’une démarche THPE. Les enfants accueillis à l’IMP Saint-Joseph souffrent de handicaps mentaux légers et de troubles cognitifs. Pour certains d’entre eux « analyser les informations et comprendre le monde qui les entoure peut-être extrêmement compliqué, voire distordu ». L’architecture, qui crée le cadre dans lequel va évoluer l’enfant, va donc jouer un rôle très important pour son bien-être psychique, en lui permettant de bien se situer, en permanence et en tout lieu, vis-à-vis de son environnement. L’enjeu majeur de ce projet a été pour nous de concevoir une architecture qui soit l’expression dans l’espace du projet pédagogique et de soins. Nous nous sommes attachés à définir des espaces clairs et des liaisons fonctionnelles bien lisibles. Le projet architectural propose à l’enfant des espaces clairement définis et des liaisons fonctionnelles lisibles. Les fonctionnalités sont clairement établies, fluides, logiques, aussi bien pour le parcours des enfants aux différents moments de la journée que pour l’organisation de la logistique. Les espaces extérieurs de l’Institut Médico-pédagogique ont été composés pour créer un cadre rassurant et ludique à la fois, en identifiant bien les différents espaces grâce à un projet paysager qui fait partie intégrante du projet architectural et urbain.
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— BDM architectes —
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Bertrand Digneaux Architecte
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— Bertrand Digneaux Architecte —
Maison sur le port Réalisé / Gironde / Teste-de-Buch / Juin 2014 Surface :128 m² Coût travaux HT : NC Maître d’ouvrage : Privé Architecte mandataire : Bertrand Digneaux Crédit photo : Gaëlle Hamalian-Testud
La parcelle, autrefois ostréicole, est située sur la digue qui sépare le port de La-Teste-de-Buch des près salés qui bordent le bassin d’Arcachon. La mauvaise qualité du sous-sol a nécessité la mise en place de micropieux forés qui se prolongent par des pilotis. La maison est ainsi prudemment « tchanquées » pour échapper à un éventuel débordement du bassin. Inconvénient du terrain : il n’y a pas d’orientation sud qui est bouchée par le mur
du voisin de 14 mètres de long sur 7 de haut. Le projet est donc accolé à ce mitoyen pour monter chercher le soleil par dessus. Un vide sur toute la hauteur de l’habitation amène alors la lumière zénithale jusqu’au rez-de-chaussée. Pour ne pas occuper toute la largeur de son étroite parcelle, la maison est encore plus étroite ; ainsi elle maintient une transparence entre le port et les prés salés.
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66 Rue servandoni Réalisé / Gironde / Bordeaux / Mars 2012 Surface :440 m² Coût travaux HT : 490 000 € Maître d’ouvrage : Privé Architecte mandataire : Bertrand Digneaux Crédit photo : Samuel Berthomeau
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Situé dans une rue de Bordeaux, ce simple programme de quatre petits logements locatifs (et ses stationnements) bénéficie d’une façade en pierre de taille de pleine masse, et non d’un simple et fragile placage de trois centimètres. L’immeuble y gagne en plénitude et en pérennité.
— Bertrand Digneaux Architecte —
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Brachard De Tourdonnet Architectes
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— Brachard De Tourdonnet Architectes —
vestiaires du parc Réalisé / Gironde / Floirac / Septembre 2013 Surface :500 m² Coût travaux HT : 880 000 € Maître d’ouvrage : Mairie de Floirac Architecte mandataire : Brachard de Tourdonnet, architectes Paysagiste associé : Agnès Brugeron, paysagiste Bureau d’étude technique : Actibat, Enerco (thermique) Crédit photo : Jean-Christophe Garcia
Chantier formation bois. Sur un grand parvis minéral, le bâtiment entièrement revêtu de bois s’ancre telle une ligne horizontale au pied d’un alignement de hauts peupliers. Ses deux ailes symétriques et son porche d’entrée mettent en scène le grand pin et les cages de but. Sur un socle en béton, l’ossature bois aux portiques réguliers se poursuit en façade. Comme pour protéger le bâtiment, la toiture enveloppe les façades jusqu’au bandeau vitré. Sur l’avant, un petit volume en toit terrasse semble avoir coulissé du préau pour abriter les sanitaires pour le public du Parc et le rangement du matériel sportif.
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Maison étroite Réalisé / Gironde / Bordeaux / Juillet 2013 Surface :82 m² Coût travaux HT : 75 000 € Maître d’ouvrage : Privé Architecte mandataire : Brachard de Tourdonnet, architectes Crédit photo : Jean-Christophe Garcia
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Réhabilitation d’une maison étroite dans le centre de Bordeaux. C’est une petite maison de deux mètres cinquante de large, profonde de onze mètres. Nichée entre deux maisons hautes, la toiture prend l’eau et l’intérieur est sombre. Pour assainir la maison, la toiture est remplacée. Son nouveau profil permet de rajouter un étage. Au rez de chaussée encore un peu sombre, se place le grenier ; à l’étage la pièce à vivre ; sous le rampant du toit la chambre-bureau. Sur les trois niveaux, une bande de placard concentre l’essentiel des rangements et l’escalier. Ainsi chaque plateau communique avec l’ensemble, les circulations sont fluides et la lumière traverse librement.
— Brachard De Tourdonnet Architectes —
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Brassie Architectes
Opération LA FONCIERE Construction de logements collectifs Non Réalisé / Gironde / Lormont Surface :3 724 m² SHAB Coût travaux HT : 6 530 000 € Maître d’ouvrage : La Fonciere Logement Architecte mandataire : Brassie Architectes Sarl Bureau d’étude technique : EGIS Batiments Sud-Ouest Autre intervenant : Snegso, A-R Salles - Paysagistes.
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Groupement Concepteur - Constructeur pour la réalisation d’un programme de 48 logements locatifs collectifs et semi collectifs inscrits dans la finalisation du projet de requalification urbaine de Lormont GEISLART. Les constructions sont organisées autour d’un espace semi public paysagé excluant tout véhicule permettant une liaison entre les quartiers. Les angles de la parcelle sont formalisés par les immeubles collectifs pour libérer les vues transversales en coeur de projet par fractionnement de l’épannelage des constructions. Le programme fait l’objet d’une démarche en coût global permettant de limiter le recours aux énergies fossiles et de diminuer les charges d’exploitation tant pour le bailleur que pour le locataire.
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— Brassie Architectes —
Opération de Rénovation Urbaine de la CITé TAPIE MONDESIR Réalisé / Lot-et-Garonne / Agen / Fevrier 2014-07-09 Surface :12 249 m² Coût travaux HT : 10 081 550 € Maître d’ouvrage : Agen Habitat Architecte mandataire : Brassie Architectes Sarl Architecte associé : Selarl de La Serre Bureau d’étude technique : Egis Batiments Sud-Ouest Autre intervenant : Hélène Syrieys Paysagiste Quadra Ingenierie Urbanisme Crédit photo : Eduard Opfergelt
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Opération de rénovation urbaine inscrite dans la programmation ANRU portant sur un écoquartier avec démolition-reconstruction et/ou rénovation des bâtiments du quartier de Tapie Mondésir. Une composition urbaine développée autour d’une extension d’un parc public, support des déplacements doux avec une densification des constructions autour d’une centralité fonctionnelle et économique (services, commerces, etc…). Une mixité sociale assurée par la diversification des produits (59 logements collectifs, 21 logements intermédiaires et 21 logements individuels). Une conceptualisation urbaine et bâtie qui limite le recours aux énergies fossiles (BBC) ainsi que les consommations d’eau.
— Brassie Architectes —
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Brochet Lajus Pueyo
stade nautique de pau Réalisé / Pyrenees-Atlantiques / Pau / Juin 2014 Surface : 3 500 m² S.H.O.N. Coût travaux HT : 14 600 000 € Maître d’ouvrage : Ville de Pau. Architecte mandataire : Agence Brochet Lajus Pueyo Bureaux d’études techniques : SNC Lavallin, Ethis, Lignes Environnement, Autre intervenant : Emacoustic (acoustique), Pierre Dabilly (paysagiste), Overdrive (économiste)
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Concours restreint, projet lauréat. Un nouveau stade nautique à Pau aux pieds des Pyrénées Depuis les hauteurs de l’avenue du Stade Nautique seul le pliage d’une feuille de métal dessine dans les cimes des montagnes la silhouette du nouveau centre aquatique de Pau. Énigmatique, elle ajoute une cinquième façade réfléchissante et dynamique. Elle parle des toits d’ardoise de Pau, des sommets environnants et du ciel omniprésent. Tout est paysage. La piscine s’accroche sur un territoire reconstitué. Un pavillonnaire laissant de grandes respirations vertes, une école composant la rotule du quartier et des maisons. Composée de strates successives, la piscine se déploie sur trois niveaux majeurs. La balade haute reliant le parc du Casino et le nouveau jardin mène au parvis de la piscine à l’angle de l’avenue Nitot et au parking quotidien. Ce jardin abrite une partie du programme de la piscine où des puits de lumière et un patio apportent le jour. Chacune des strates communique entre elles par des liaisons verticales différenciées. Composant l’entrée de la piscine, un escalier amène de façon plus directe l’usager sur le toit de
nature. Ici le terrain est restitué au paysage. Le jardin s’épaissit, devient public ; le parking principal est engazonné, les arbres préservés. Les vues, les différentes accroches, la succession des plateaux mettent en relation le paysage proche et le paysage lointain. Le décor participe à la mise en scène du territoire. Tout est hommage. Au décor des Pyrénées ; la piscine extérieure, ses plages minérales, le solarium végétal, les gradins, offrent leurs plus longues façades. A l’empreinte de la piscine préexistante ; le bassin extérieur, le niveau d’entrée de la piscine, l’orientation sud dominante, l’accès depuis le haut de l’avenue Nitot, la promenade reliant le parc Beaumont et le parvis, prolongent l’expérience vécue des Palois. Les différents éléments du programme deviennent identifiables. L’origami de métal de couverture affirme la présence du nouveau stade nautique et son nouveau programme.
— Brochet Lajus Pueyo —
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— Brochet Lajus Pueyo —
Résidence Baïopolis Réalisé / Pyrénées-Atlantiques / Bayonne / Mars 2014 Surface :5 600 m² H.O.N. Coût travaux HT : 15 000 000 € Maître d’ouvrage : Bouygues Immobilier Architecte mandataire : Agence Brochet Lajus Pueyo
65 logements et un parking public. L’îlot constitué par le Boulevard Alsace Lorraine, la rue de L’Esté et la rue de Belfort, nécessite aujourd’hui recomposition et revitalisation. La place de la voiture dans la ville de Bayonne trouve ici son site dans le quartier Saint Esprit. Une place à l’échelle de la ville entière, faite de quartiers spécifiques. Le projet architectural s’attache à ne pas stigmatiser la demande programmatique, un parking, par une attitude extrémiste. La question posée par le projet architectural est simple, comment intégrer un parking multifonctionnel à l’intérieur d’un ilot au coeur des activités urbaines, l’habitat, le commerce, les bureaux… Les parkings ne seront pas enterrés, ils s’installent dans un bâtiment visible, un parking silo. Finir l’ilot étudié par un parking silo semble violent comme il paraitrait absurde d’enterrer 300 places de parking dans un mauvais sol. C’est pourquoi, notre réflexion nous amène à un projet architectural mixte, où parkings, commerces, et logements font bon ménage en un dispositif urbain qui revalorise le site. Coté Boulevard Alsace Lorraine, le continuum urbain est renforcé par un rez-de-chaussée commercial vivant et animé. Le parking se situe au dessus, derrière un jardin installé dans le claustra de façade du parking en étage. Au dernier niveau, le parking est couronné par un ensemble de duplex, type « ateliers d’artiste », qui forment à l’ilot un faitage à l’échelle de l’immeuble voisin, aujourd’hui isolé dans sa hauteur excessive. Aussi, coté boulevard Alsace Lorraine, la partition en trois strates, commerce, parking logement permet d’acclimater la hauteur autorisée, et d’intégrer le bâtiment des années 50 dans un ilot complété.
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— Brochet Lajus Pueyo —
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BÜPA
LE GRAND HôTEL DE LA PLAGE Réalisé / Landes / Biscarosse / juillet 2013 Surface : 1 716 m² S.H.O.N. Coût travaux HT : 5 000 000 € Maître d’ouvrage : Profimob Architecte mandataire : Büpa Crédit photo : Peuplardi
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La côte landaise, Biscarosse, la plage… Un bloc blanc, un cube puis une courbe, celle de la rotonde associée avec audace à une lame orange, un fanal. Ce lieu semble quasi hors contexte et pourtant, avoir la certitude que ce bloc est à sa place, seul ce bâti sans concession peut prétendre à dialoguer d’égal à égal avec l’immensité liquide, l’océan, fougueux comme il sait l’être. L’hôtel et restaurant font corps avec l’autour au point qu’ils semblent amarrés. Si l’on découvre le lieu par le restaurant, on ne peut s’empêcher de poser la main sur la courbe insensée du bar, de la suivre comme une main courante, jusqu’à la salle baignée de lumière mandarine. On est alors projetés dans un volume décalé, on flotte dans le doux, le ouaté, mais aussi dans le vif, le rythme. L’ensemble a de la force,des tripes,on en perd ses repères. Perçue depuis cet espace la première salle blanche paraît bleue, l’océan est partout. Le parti pris dans les chambres se révèle radical, l’évidence, pas de couleurs, elles sont ailleurs, on entre et aussitôt s’évade, une prouesse. Les balcons face à l’ouest font la juste dimension de la baie, on embarque aussitôt.
Les baies des chambres au nord saillent de la façade comme des ouies pour offrir elles aussi la vue à 45 ° à l’ouest. Par ce tracé dynamique l’hôtel semble écouter le vent. Partout le blanc, alternance de noir, les non couleur par excellence,pour sublimer l’environnement de sables, d’eaux et de ciels pluriels. Les espaces outdoor (terrasses,piscine, cheminements) sont en dialogue permanent eux aussi avec les éléments, la lumière n’est pas des moindres. La typo « le Grand Hotel de la plage » est apposée sur la façade Est, celle qui vous accueille. Ce n’est pas un hasard, elle résume à elle seule l’esprit du lieu, élégance et modernité, sans aucun conformisme, sans aucune concession, le trait juste. Cette façade est une vaste page blanche - une invite à écrire votre histoire.
— BÜPA —
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En cours/ Gironde / Villenave d’Ornon / Juillet 2016 Surface : 9460 m² SHON Coût travaux HT : 11 000 000 € Architecte mandataire : Büpa Maître d’ouvrage : Palur promotion immobiliere et clairsienne Bureau d’étude technique : Therm’eco Crédit photo : Sébastien Carrier Crédit photo : Büpa
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Géométrique et coloré, La Part des Anges est un projet architectural au design original et affirmé. 154 logements sont mis à disposition, répartis dans 4 plots, disposés en périphérie d’une tour centrale. Une composition de volumes où chaque bâtiment est habillé en façade par de la tôle ajourée qui confère à chaque logement intimité et protection solaire. De grandes baies vitrées, donnant sur de spacieuses terrasses viennent agrémenter ces logements, renforçant la sensation d’espace. Le projet s’articule autour d’un ruban représenté par le parking aux deux premiers niveaux audessus de ce fil conducteur sont érigés les 5 modules, tous différents et originaux, enveloppés de façades ouvragées évoquant de la dentelle. Au centre du ruban s’élance une tour, jouant un rôle de signal pour les projets à venir. Au dernier étage d’un des modules se trouve une crèche, originale par la baie vitrée qui l’entoure, réalisée en collaboration avec l’artiste bordelais JoFo. Le parc intérieur ainsi que le socle de chaque bâtiment sont également agrémentés par des sculptures métalliques de l’artiste. Ce même parc offre un espace de détente, bordé par les structures harmonieuses des bâtiments du projet. L’espace laissé entre chaque plot offre une percée visuelle qui vient renforcer la légèreté de La Part des Anges
N
LA PART DES ANGES
Réf.
PLAN
R+2
— BÜPA —
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CÉcile Moga Architectes
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Construction d’un centre de musique HQE Réalisé / Landes / Saint-Vincent de Tyrosse / Janvier 2014-07-09 Surface :2 380 m² SHON Coût travaux HT : 3 500 000 € Maître d’ouvrage : Communauté de communes de MACS Architecture mandataire : Agence Cécile Moga Architectes Bureau d’étude technique : Terrell (structure), OTCE (fluides et HQE), IdB Acoustique (acoustique), Via Ingénierie (VRD) Autre intervenant : Freddy Charrier (paysagiste), Scène (scénographe) Crédit photo : Laëtitia Fourgeaud, Agence Cécile Moga Architectes
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Le projet est un bâtiment dense, compact et implanté en retrait, afin de répondre au mieux au programme et de libérer un espace extérieur le mettant en scène et le reliant aux autres équipements publics (lycée et gymnase). Il s’agit d’un projet contemporain, traité comme un objet sculptural puisant dans les teintes, les gammes de couleurs du paysage existant environnant. Le bâtiment est composé d’un soubassement en béton lasuré, percé de lanières vitrées permettant l’éclairement naturel des espaces, et d’un étage souhaité aérien. Une résille aluminium, positionnée en double-peau, permet d’apporter cette légèreté recherchée à l’étage, en enveloppant la strate horizontale supérieure du bâtiment. Elle joue
un rôle de protection solaire, un rôle « d’intimité » (les musiciens voient l’extérieur, sans être vus) et apporte un confort thermique (ventilation). Le projet se compose d’un auditorium de 150 places autour duquel s’organisent 18 salles d’enseignement musical, un secteur de musiques amplifiées, des espaces de répétition et un pôle administratif. Le bâtiment bénéficie des caractéristiques environnementales telles que l’efficacité de l’enveloppe, l’isolation renforcée et la récupération des eaux pluviales.
— CÉcile Moga Architectes —
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— Cecile Moga Architectes —
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Reconstruction de la jetée de la Chapelle Réalisé / Gironde / Arcachon / Juin 2014 Surface :1 370 m² Coût travaux HT : 1 782 000 € Maître d’ouvrage : Mairie d’Arcachon Architecte mandataire : Cécile Moga + Marion Cadran architectes Bureau d’étude technique : Artelia Eau & Environnement (mandataire) Crédit photo : Agence Cécile Moga
Démolition puis reconstruction de la Jetée de la Chapelle et aménagement de l’allée y menant. Le projet porte sur une jetée emblématique. Il était donc important de réimplanter la nouvelle jetée sur l’emprise de la précédente afin de marquer l’histoire du lieu et de laisser une empreinte, tout en écrivant une nouvelle page. La promenade piétonne est aménagée dans l’axe de la Basilique Notre-Dame, elle démarre depuis le boulevard de la plage, se développe sur toute la longueur de l’allée puis s’étire pour se transformer en promenade sur l’eau. La composition s’achève par la réalisation d’une plateforme d’observation. Cette allée est marquée au sol par une lanière en béton balayé gris et par la plantation de tamaris de part et d’autre. Des allées latérales accompagnent la promenade et accueillent les espaces de repos et d’ombre, ponctués de bancs. Afin de rappeler les murets des plages de la ville d’Arcachon l’ensemble du projet a été réalisé avec un seul matériau : le béton (structure et garde-corps de la jetée, revêtements aux sol, …). Le projet participe à la mise en perspective de l’axe Basilique Notre-Dame/ Cabanes Tchanquées.
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COCO ARCHITECTURE
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— COCO ARCHITECTURE —
Dojo / Salle polyvalente Réalisé / Dordogne / Saint Cybranet / Janvier 2012 Surface : NC Coût travaux HT : NC Maître d’ouvrage : Mairie de Saint Cybranet Architecte mandataire : Coco Architecture Bureau d’étude technique : Intech Crédit photo : Edouard Decam
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Mission : base loi MOP Type : construction neuve – restauration Le projet concerne la restructuration de la salle des fêtes de Saint-Cybranet, et une extension de celle-ci afin de créer un dojo. Le programme prévoyait la mise aux normes de la salle des fêtes existante sur 180 m², la création d’une entrée, d’un dojo avec vestiaire, sanitaires et salle de musculation, sur 250 m². Le projet a été conçu pour offrir une grande flexibilité d’usages et de configurations. La salle des fêtes existante est conservée et rénovée. Deux nouveaux bâtiments viennent s’y greffer. Ces nouvelles constructions sont des extensions de l’espace intérieur : le mur séparatif a été supprimé sur toute la longueur et remplacé par un rideau de séparation lourd fabriqué sur-mesure par une entreprise spécialisée. Le dojo ainsi crée peut s’ouvrir sur la salle des fêtes, permettant d’envisager le rassemblement de ces deux espaces pour certaines occasions, alors qu’en temps normal, le rideau isole les deux parties.
On peut envisager de multiples utilisations, flexibilité renforcée par la présence d’espace de stockage pour le mobilier et les tatamis. Les performances thermiques sont renforcées par la ré-isolation de l’existant, l’installation d’un système de chauffage et de refroidissement par pompe à chaleur et la mise en place d’une ventilation double flux. La volumétrie et le langage formel de la greffe donne au bâtiment une nouvelle identité, plus contemporaine. Le volume est entièrement bardé de lames de zinc, alternant des bandes en zinc naturel et des bandes en zinc prépatiné, y compris sur la toiture qui est dessinée comme une cinquième façade. De larges baies vitrées repliables en accordéon permettent d’ouvrir complètement le dojo sur le jardin, à l’avant comme à l’arrière. Elles sont doublées de volets en zinc qui sécurisent la salle lorsqu’elle est inutilisée, renforçant par ailleurs l’image d’un bâtiment monolithe.
vestiaire
dojo
bâtiment neuf : dojo
salle des fêtes
bâtiment existant : salle des fêtes
bâtiment existant : cuisine
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5.0m
limite parcelle
3.0m
route
salon privatif+terrasse
chambres
aire de livraison
Résidence senior Marie-Curie Non réalisé / Landes / Dax / Août 2013 Surface : NC Coût travaux HT : NC Maître d’ouvrage : Centre hospitalier de Dax-Côte d’Argent Architecte mandataire : Coco Architecture Bureau d’étude technique : OTCE Crédit photo : Nicolas Trouillard
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Mission : concours / Type : Extension La résidence pour personnes âgées MarieCurie n’est pas un simple immeuble de logements. Les personnes viennent ici pour différentes raisons : difficulté physique pour vivre à la maison, perte du conjoint, ennui. L’objectif de ce projet est d’offrir des espaces collectifs avec un fort potentiel de rencontre tout en construisant des espaces privatifs respectant l’intimité des résidents. Le parti pris architectural d’un bâtiment en R+2 permet donc de redonner aux circulations un rôle de rencontre entre voisins grâce à une continuité spatiale et des liens forts, en s’affranchissant de certaines contraintes de sécurité incendie. Actuellement, le site, tout en longueur, est bordé par un talus à l’ouest et d’un mur à l’est. Cette situation nous a incité à surélever le rez de chaussé du bâtiment de 1,50m, ce qui permet de créer une esplanade d’entrée au même niveau que la voie communale, donnant sur les parties communes de l’immeuble. De l’autre
côté, le rez de chaussée est de plain pied avec un jardin, clôturé par un mur à l’est de moindre hauteur, ce qui dégage le champs de vision. Si la résidence permet aux résidents de bien vivre ensemble, elle reste néanmoins composée d’appartements privés, garants de leur intimité. Des loggias prolongent les appartements à l’extérieur. Chaque loggia est associée à un appartement, lisible en façade, ramenant l’image de la résidence à l’échelle individuelle. A partir d’un système simple de composition, chaque appartement forme avec sa loggia une facette de la façade, qui se retrouve plissée, créant une complexité et une richesse propre au village. Enfin, les éléments pleins sont enduits, avec des finitions légèrement différentes d’une facette à l’autre. Par leurs orientations multiples sous le soleil, elles présenteront chacune de subtiles variations, témoignant à la fois de l’unité de l’édifice et des entités singulières qui le compose.
— COCO ARCHITECTURE —
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Cyril Dulau Architecte
Une maison sur la dune Réalisé / Landes / Vielle Saint Girons Plage / Août 2013 Surface : 217 m² Coût travaux HT : 310 000 € Maître d’ouvrage : Privé Crédit photo : Sébastien Carrier
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Le projet concerne la construction d’une maison de vacances sur la dune, après démolition d’une maison vétuste existante. Situé dans un tissu pavillonnaire peu dense de résidences secondaires en R+1, le terrain dunaire, en première ligne face à la mer, est plat sur l’assiette de la construction et plonge côté Ouest jusqu’à la plage. Afin de respecter les servitudes de passage et de vue, la maison s’implante, sur l’emprise de l’ancienne maison démolie. La maison, édifiée sur 2 étages complets, comprend au RdC, les pièces à vivre : salon, salle à manger, cuisine, 1 chambre, salle d’eau, wc, cellier et garage. Au R+1, 4 chambres, 1 dortoir, salle de bains, salle d’eau, WC. L’architecture de la maison se veut simple avec une toiture à 4 pentes abritant l’habitation et sa
coursive. Elle répond aux fortes contraintes liées au site en lui-même (vent, sable, embruns). La vie côté Ouest étant rendue incertaine du fait des vents dominants Ouest et Nord qui se lèvent dans l’après midi, la maison s’ouvre sur de larges espaces extérieurs protégés au Sud. De larges baies vitrées parfois fixes sont pensées côté Ouest pour profiter de la vue vers la mer. Pour des contraintes techniques, le volume de l’habitation est construit en maçonnerie traditionnelle. Afin de répondre à la demande du maître d’ouvrage, de travailler les filières locales, un bardage en voliges brutes en pin traité classe IV teinté marron, posées verticalement à couvre joint habille la maison. La terrasse et la coursive sont également réalisées en pin brut traité classe IV teinté marron.
Repas
Cuisine
Cellier
S.:12,97 m2
Garage
S.:7,53 m2
S.:20,67 m2
PP: 83 x 204
S.:15,04 m2
PP: 83 x 204
2
1
6
5
4
3
10
9
8
7
14
13
12
11
15 x 18 = 277
Degt
EntrĂŠe
S.:2,84 m2
S.:4,60 m2
PP: 83 x 204
PP: 83 x 204
Degt
S.:1,98 m2
Chambre 1
S.:28,18 m2
WC
S.:1,62 m2
PP: 83 x 204
Salon
S.:11,45 m2
SdE
S.:3,76 m2
N Terrasse S.:64,99 m2
PLAN DE REZ-DE-CHAUSSEE
Salle d'eau
WC
S.:6,31 m2
Salle de Bains
S.:1,80 m2
Dortoir
S.:8,74 m2
S.:20,65 m2
PP: 83 x 204
PP: 73 x 204
Chambre 2 S.:14,09 m2
PP: 83 x 204 PP: 73 x 204 2
Palier
1
6
5
4
3
10
9
8
7
14
13
12
11
15 x 18 = 277
Degt
S.:8,71 m2
PP: 83 x 204
PP: 83 x 204
PP: 83 x 204
S.:9,16 m2
Chambre 3
Chambre 4
S.:13,26 m2
S.:12,15 m2
Chambre 5 S.:12,15 m2
Coursive S.:65,44 m2
PLAN DE PREMIER ETAGE
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— Cyril Dulau Architecte —
Rénovation et extension de la salle des fêtes Réalisé / Landes / Castets / Novembre 2013 Surface : 433 m² Coût travaux HT : 660 000 € Maître d’ouvrage : Commune de Castets Bureaux d’étude technique : Lahitte économiste, Adour études, Climelec Autre intervenant : Dominique Ducourau architecte DPLG Crédit photo : Sébastien Carrier
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La salle des fêtes de Castets n’étant ni isolée ni adaptée à un usage actuel, le projet concerne sa rénovation et son extension. Les travaux doivent aussi permettre de restaurer la structure en mauvais état. Elle est construite sur un terrain en pente avec un accès au rez-de-chaussée de plain- pied. Un étage côté entrée accueille la régie. La salle des fêtes est agrandie en partie arrière, dans la continuité du volume initial, pour créer une cuisine et des loges derrière la scène. Profitant de la pente du terrain, la cuisine est installée en sous-sol avec un accès direct sur l’extérieur pour les livraisons. A l’extérieur : L’extension est réalisée en ossature et bardage en bac acier noir. Les façades existantes sont isolées par l’extérieur et la toiture refaite. Afin d’harmoniser l’ensemble du bâtiment, les façades sont habillées avec un bardage en bac acier noir et la toiture couverte avec le même matériau. A l’intérieur : La salle est entièrement réhabilitée et mise en accessibilité aux personnes à mobilité réduite. Durant les travaux, des éléments anciens intéressants ont été découverts, restaurés et mis en valeur, notamment le parquet et la charpente. Le parquet a été décapé et reposé. L’isolation de la toiture a été réalisée avec la technique du sarking afin de mettre en valeur et garder la charpente ancienne apparente.
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Debarre Duplantiers AssociĂŠs Architecture & Paysage
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— Debarre Duplantiers Associés Architecture & Paysage —
Littoral Sud d’Anglet Réalisé / Pyrénées-Atlantiques / Anglet / Juillet 2013 Surface : 38 000 m² Coût travaux HT : 4 000 000 € Maître d’ouvrage : Commune d’Anglet Architecte mandataire : Debarre Duplantiers Associés Architecture & Paysage Bureaux d’étude technique : Infra.Concept (VRD) Autre intervenant : Anton Yon Olano (concepteur lumière) Crédit photo : Yohan Zerdoun
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Concours loi MOP type. Point de rencontre entre les hautes montagnes des Pyrénées et la vaste étendue de la forêt landaise, le littoral sud d’Anglet conjugue une géographie exceptionnelle à une situation urbaine de prestige : il constitue la véritable porte d’entrée sur la ville depuis sa chic voisine Biarritz. Les singularités de ce site se reflètent par ombre portée dans l’aménagement urbain : transposition de la lithographie des roches, reprise en creux des masses de la falaise, effet de miroir et de rencontre
entre les milieux végétal et minéral, organisation des circulations en rideaux de manière à magnifier un fond de scène hors du commun : le panorama sur l’océan. L’esplanade Yves Brunaud, une entrée de ville remarquable. Comme une réponse à l’océan, un bassin et un jardin marqueront l’entrée de la Ville et sépareront la promenade et la piste cyclable de la circulation automobile.
— Debarre Duplantiers Associés Architecture & Paysage —
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— Debarre Duplantiers Associés Architecture & Paysage —
Cour Leyteire Réalisé / Gironde / Bordeaux / Juillet 2012 Surface : 2 700 m² Coût travaux HT : 1 060 000 € Maître d’ouvrage : Université de Bordeaux Architecte mandataire : Debarre Duplantiers Associés Architecture & Paysage Bureaux d’étude technique : Betem (VRD) Autre intervenant : Anton Yon Olano (concepteur lumière) Crédit photo : Arthur Péquin
Sélection avec dossier et présentation orale (intentions et méthodologie) Théâtre des allers-retours des étudiants, terrasse du café du musée, négatif des amphithéâtres et des couloirs trop étroits, cette cour accueillera les nombreuses fonctions informelles qui font la vie d’un « vrai » campus universitaire. Un lieu urbain et fertile qui marque le coup d’envoi de l’opération Campus à Bordeaux. L’insertion du végétal se fait sous toutes ses formes : palissé, grimpant, à plat, des pelouses, des couvre-sols hors sol. Une canopée se développe entre les bâtiments, crée des vis-à-vis, des filtres, des ombres. Le plan est segmenté en une série de rectangles identiques : la topographie est le fil conducteur d’une eau de pluie qui ruisselle vers un bassin surélevé. Un mobilier sobre et minéral s’insère entre les bandes vertes dont les hauteurs plantées laissent les vues libres tout en fournissant une ombre bienfaisante. Le cœur de l’université est un lieu fertile.
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DESPRÉ ArchitecteS
MAISON DE LA MUSIQUE DES LUYS EN BÉARN Réalisé / Pyrénées-Atlantiques / Montardon / Juin 2014 Surface : 1 032 m² Coût travaux HT : 1 720 357 € Maître d’ouvrage : Communauté des Communes des Luys en Béarn Architecte mandataire : Despré Architectes Bureaux d’étude technique : HelioProjet (thermique fluides), Bernadberoy (structure), ACE consulting / Acoustique Certification (acoustique) Crédit photo : Despré Architectes / Patrick Ballaré photographe
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Projet Lauréat à la suite d’un concours d’architecture entre 5 équipes de maîtrise d’œuvre. Ce nouvel équipement de la Communauté des Communes des Luys en Béarn s’inscrit dans le projet d’aménagement urbain du bas de la commune de Montardon. Organisation en 5 zones : accueil et salle de documentation, ouverts sur le patio central. L’administration : salle des professeurs, direction, stockage et sanitaires personnel pôle formation musicale, pratiques individuelles et collectives, peu sonores regroupant salle piano et salles de classe. Pôle prestations publiques, pratiques individuelles et collectives, très sonores, regroupant la salle d’harmonie, la salle percussions, les salles MAO et musiques actuelles. Le bâtiment est composé de deux volumes de hauteur différente qui s’emboitent. Ils sont soulignés par de larges bandeaux noir sur lesquels viennent s’accrocher la résille métallique.
Le volume haut recevant la salle d’harmonie est calé le long du mail, le plus loin possible des habitations afin de limiter les nuisances sonores. Cette salle harmonie peut se transformer en salle de spectacles et s’ouvrir largement sur la future place des fêtes. Le volume bas recevant l’administration, les pratiques individuelles et collectives peu sonores, se développe le long de la rue. Une paroi ajourée maintient les salles en retrait par rapport à l’espace public, cette résille métallique confère à l’ensemble une unité en l’englobant dans une volumétrie simple tout en filtrant la lumière. Chaque salle possède une couleur différente à l’extérieur que l’on retrouve à l’intérieur sur les portes et les panneaux acoustiques. Ce choix participe à l’animation de la façade la nuit où l’éclairage fait ressortir les blocs de couleurs derrière la résille blanche.
— DESPRé ArchitecteS —
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Élodie Bonnet Architecte
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— Élodie Bonnet Architecte —
Studio – Boîte de Pandore Réalisé / Girondes / Bordeaux / Décembre 2013 Surface : 20 m² Coût travaux HT : 38 000 € Maître d’ouvrage : Privé Architecte mandataire : Elodie Bonnet Crédit photo : Gilles Sage
Propriétaire de deux échoppes mitoyennes, la propriétaire a souhaité réaménager son rez-dechaussée. Ses enfants ont quitté la maison familiale, elle a donc souhaité transformer une des chambres de ses enfants, en un appartement indépendant : un studio pour la location. La première idée de l’architecte a été de valoriser la hauteur sous plafond existante, en insérant un volume plus bas ; s’appuyant sur le principe de la boîte dans la boîte. La première boîte correspond à l’existant. La deuxième est un volume multifonction recevant toutes les fonctionnalités d’une habitation. La recherche de l’efficacité et de l’ergonomie pour gagner de l’espace a guidé l’architecte pour créer un maximum d’éléments fonctionnels dans un minimum d’espace. Telle une boîte de Pandore dont les secrets sont bien gardés, cette boîte rouge se présente comme une entité à laquelle il est difficile d’avoir accès. Une première lecture de la boîte fermée, libère l’espace, révèle la pièce à vivre et offre un parallèle avec un tableau de Piet Mondrian. Puis une deuxième vision, la façade s’ouvre, se déploie, se transforme ; au gré des envies et des besoins de l’habitant. La cuisine et la salle d’eau se dévoilent uniquement lorsque la façade est ouverte. Une niche jaune qui s’ouvre vers le haut permet d’accéder à l’évier, aux plaques de cuisson…Une autre s’ouvrant avec des vérins vers le bas, permet la transformation de la porte en table haute pour prendre les repas. Dans le linéaire de la façade rouge, une porte invisible rend accessible la salle de bain. Une attention toute particulière a été portée à l’éclairage afin de sublimer la réalisation. L’idée est que l’architecture se suffit à elle-même, sans ajouter de mobiliers.
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Exit Paysagistes associés
Place Magendie et ses abords à Lormont
En cours / Gironde / Lormont / Décembre 2014 Surface : 1, 3 Ha Coût travaux HT : 1 500 000 € Maître d’ouvrage : Ville de Lormont Architecte mandataire : Exit Paysages associés, Claire Gilot & Guillaume Lomp Paysagistes DPLG Bureau d’étude technique : Iris Conseil (VRD) Autre intervenant : Anne Bureau, Concepteur Lumière Crédit photo : Exit Paysagistes associés
En 2010, dans le cadre du projet ANRU de requalification urbaine du quartier du Haut Carriet, la Ville de Lormont lance une consultation pour l’aménagement des espaces publics autour de la place Magendie. Notre groupement est désigné lauréat pour assurer le plan directeur sur les espaces publics de la place et ses abords puis la maitrise d’œuvre de leur aménagement. Le chantier est en cours et s’achèvera à la fin 2014.
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Logement accesion
Coeur d’îlot
Batîment location
Place Magendie
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Pont de Mireport
Pôle actif
Place Magendie
Logement location
Coeur d’îlot
Logement accesion
Rue Jacques Thibaud
Logements
Coteau
Aménagement de l’ancien site portuaire de Mont-de-Marsan, entre confluence et pisciculture. En cours / Landes / Mont-de-Marsan / Mars 2015 Surface : 5,2 Ha Coût travaux HT : 13 635 000 € Maître d’ouvrage : Ville de Mont-de-Marsan Architecte mandataire : Lancereau&Meyniel Architectes Architecte associé : Exit Paysagistes associé, Claire Gilot & Guillaume Lomp Paysagistes DPLG Bureau d’étude technique : Iris Conseil (VRD) Autre intervenant : Agence Concepto, concepteur lumière Crédit photo : Aurora Rivera
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Depuis 2008, la Ville de Mont-de-Marsan s’est engagée dans un vaste et ambitieux projet : la reconquête de ses rivières et le renouvellement du rapport que la ville entretient avec elles, dans une stratégie de redynamisation du centre ville. Dans ce cadre, à l’issue d’un concours lancé en 2010, notre groupement a été missionné pour assurer la maîtrise d’œuvre de l’aménagement des espaces publics de l’ancien site portuaire entre confluence et pisciculture, comprenant la place De Gaulle, les berges de la Midouze du pont Halimi au pont des Droits de l’Homme, la place Pancaut et les rues attenantes à ces espaces.
— Exit Paysagistes associés —
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Catalogue de l’exposition Architecture + Paysage en Aquitaine. Édité à Bordeaux en Septembre 2014 par le 308, Maison de l’Architecture d’Aquitaine. Exposition produite par le 308, Maison de l’Architecture d’Aquitaine en collaboration avec la Fédération Française du Paysage sur la base d’un appel à projets auprès de l’ensemble des architectes et paysagistes d’Aquitaine.
Maison de l’Architecture d’Aquitaine
Coordination, Maison de l’Architecture d’Aquitaine : Pascal Teisseire, Président ; Adrien Maillard, Directeur de projet ; Hélène Le Bert, Stagiaire en communication Design graphique, Tabaramounien : Yasmine Madec & Damien Arnaud La Maison de l’Architecture d’Aquitaine bénéficie du soutien de la DRAC Aquitaine, du Conseil régional d’Aquitaine, de la Communauté urbaine de Bordeaux, de la Ville de Bordeaux et de ses partenaires : VM Zinc Umicore, CESA, Unikalo, Technal, Cegelec, Nilsen, Vetisol, Immersion, Clairsienne, Legrand, Mosa, Sylvania, Square, Isola Sud Ouest, CUPA Pierres. Maison de l’Architecture d’Aquitaine 308 avenue Thiers — 33100 Bordeaux 05 56 48 83 25 / ma@le308.com / www.le308.com