Benoît Averly
9 JANV. > 4 FÉV.
sculpteur
L’EXPOSITION
L’ARTISTE
Benoît Averly aime explorer le bois, jouer avec les formes et les essences dans une relation intime à la nature. Il cherche à sublimer cette matière en créant des sculptures contemporaines aux lignes sobres et élégantes.
Benoît Averly vit et travaille en Bourgogne. Tourneur sur bois professionnel depuis 2003, il est lauréat de plusieurs prix en France et à l’étranger. Il partage aujourd’hui encore régulièrement son savoir-faire lors de démonstrations dans différents pays. Son exploration de la matière bois s’étend naturellement à la sculpture. L’esprit contemporain de son travail lui permet de trouver sa place dans divers lieux à travers le monde, des chalets luxueux de Courchevel aux hôtels de Dubaï, en passant par les États-Unis ou le Japon où ses créations, pièces à poser ou sculptures murales, sont aussi appréciées par de nombreux architectes d’intérieur.
Ses œuvres, aux contrastes forts, jouent avec la lumière, les lignes et les textures, et donnent une impression d’espace. La rigueur et la sensibilité de ses formes sont en harmonie avec la noblesse d’un matériau vivant.
• Vernissage mardi 9 janvier à 18h • Présence de l’artiste le mercredi 10 janvier et le vendredi 26 janvier de 14h à 18h • www.benoitaverly.com 2
Emmanuel Bazin Guylaine Quinet
6 > 18 FÉVRIER
photographe / peintre LIGNES D’EAUX INTERFÉRENCES CRÉATIVES
LES ARTISTES Emmanuel Bazin est photographe depuis 40 ans et se passionne depuis 8 ans pour les compositions abstraites de l’eau, donnant une vue originale de ses jeux de forces et de formes.
Ces deux visions artistiques originales s’enrichissent mutuellement. Les aquarelles font jaillir des lignes d’ondes qui mettent nos sens en éveil et nous entraînent vers des paysages fantastiques.
Guylaine Quinet a d’abord travaillé en création textile, puis est devenu Compagnon en titre, peintre de patines, décors, fresques… Ses aquarelles jouent avec le mouvement, captent l’instant fugace, saisissent l’inattendu dans une composition en constante évolution.
Dans les photographies prises « au plus près », les lignes d’eaux se superposent et créent des motifs d’une prodigieuse diversité. Ici, tradition et art contemporain trouvent une source commune : les lois universelles qui gouvernent le mouvement des fluides. « Lignes d’eaux » propose un voyage tonique, un croisement entre art et sciences qui repousse les limites du regard et nous fait voir autrement les splendeurs de cet élément essentiel.
• Vernissage mardi 6 février à 18h • Conférence d’Emmanuel Bazin L’eau entre arts et sciences le jeudi 8 février à 18 h 30 • Présence des artistes les dimanches de 14h à 18 h 30 • www.stream-art.fr : Collectif artistique exclusivement consacré à l’eau 3
Cathy Gaspoz
20 FÉV. > 4 MARS
peintre
L’EXPOSITION
L’ARTISTE
Influencée par les éléments naturels, Cathy Gaspoz glisse vers une simplification de l’esthétisme paysager. Ses peintures montrent des paysages imaginaires. Ses sources d’inspiration sont issues de la nature qui l’entoure, de son granit, de ses ciels, de sa végétation. Elle travaille également sur des paysages sonores où elle retranscrit l’émotion instantanée d’un univers musical (par exemple à l’écoute des compositions de Jacques Di Donato, Christian Maes, Feule Caracal…).
Graphiste & illustratrice naturaliste indépendante depuis 1994, Cathy Gaspoz se consacre entièrement à la peinture depuis deux ans. Son atelier se trouve au cœur du Parc Naturel Régional du Morvan, sur la commune de Gacôgne. Elle peint à l’huile, sur châssis et utilise aussi des textures et des collages. Cathy Gaspoz fait partie du collectif « Morvan Artistique » ainsi que de l’AACPA, Ateliers d’art et de création en pays avallonais.
• Vernissage en musique le mardi 20 février à 18h avec la participation exceptionnelle de Jacques Di Donato, clarinette et de Christian Maes, accordéon diatonique • cathy-gaspoz-artiste-peintre.puzl.com 4
Michèle Bruel-Rupp Christine Joas
6 > 18 MARS
peintre sous verre / sculpteur SYMPHONIE DE LA TERRE ET DU VERRE
LES ARTISTES Peintre sous verre, Michèle Bruel-Rupp privilégie l’expression d’émotions sincères influencées par la mémoire du passé, des souvenirs d’enfance et le désir de traduire le message de la nature : une invitation à la vie ! Les « sous verres » de Michèle Bruel-Rupp figurent parmi des collections privées en France ainsi qu’en Allemagne, Belgique, Canada, États-Unis, Suisse…
Présentée dans une facture moderne et une dimension naïve en très douces nuances, la technique du « fixé sous verre » rejoint celle du raku pour une exposition à quatre mains. Les œuvres traduisent le ressenti des artistes devant la nature et la vie quotidienne, dans le but de sublimer les angoisses existentielles en message d’espoir, et demeurer dans le cœur de chacun comme la poésie d’un petit morceau de ciel bleu. Une exposition comme un refuge qui tenterait de faire oublier l’actualité dévorante, cette agitation humaine qui laisse si peu de place au romantisme, et nous ouvrirait la porte d’un monde d’harmonie et de sérénité.
Christine Joas s’exprime par les techniques primitives de cuisson (raku, enfumage…). La nature est essentiellement sa source d’inspiration, d’où la création principale d’animaux.
• Vernissage mardi 6 mars à 18h • Michèle Bruel-Rupp présentera la technique du « fixé sous verre » le mardi 6 mars de 14h à 18h et les vendredis, samedis et dimanches de 10h à 12h et de 14h à 18h. • bruelmichele.fr 5
Hervé Nègre
20 MARS > 1ER AVRIL
photographe
ENTRE BRETAGNE ET ISLANDE LA PIERRE QUI PARLE
L’ARTISTE On ne présente plus le mâconnais Hervé Nègre, photo - graphe (celui qui « écrit la lumière ») et globe-trotter insatiable… Son itinéraire nous fait voyager aux quatre coins de la planète, à la découverte des paysages et des peuples du monde. Son travail ethnologique chez les Kalash, ethnie du Nord Pakistan à la frontière afghane, sera prochainement exposé au musée des Confluences à Lyon. Amoureux de la nature mais aussi des hommes et de l’art, Hervé Nègre a réalisé de nombreux reportages et a contribué à maints ouvrages, dont une édition d’art avec Léopold Sédar Senghor.
Hervé Nègre nous propose un voyage aux confins des origines de notre terre/mère. Cette approche de la terre des origines fait entrer en résonance la pierre volcanique de l’Islande et le granit breton, issus tous deux du même magma terrestre. L’Islande a l’air de s’être refroidie il y a peu alors que sa sœur bretonne paraît être là depuis longtemps. Là le visage d’un homme, la tête posée et molle, ici les restes d’un Léviathan des origines. La terre dans sa roche a des puissances insoupçonnées.
•V ernissage mardi 20 mars à 18 h : Lectures musicales avec le Conservatoire E.-Varèse • Présence de l’artiste tous les jours de 10h à 12h et de 14h à 18h •A u musée des Ursulines : installation d’une oeuvre d’Hervé Nègre du 16 mars au 1er avril et lectures musicales le 31 mars à partir de 15h. • www.negreherve.com 6
Marie-Ève Thomas
3 > 15 AVRIL
peintre
L’EXPOSITION
L’ARTISTE
Marie-Ève Thomas nous invite à découvrir son univers iconographique, riche d’images et d’expérimentations en tous genres : peintures à l’encaustique, cire d’abeille chauffée et pigmentée, travaux graphiques…
Marie-Ève Thomas est diplômée des beaux-arts de Mâcon et de Rennes. Elle s’est formée ensuite à l’iconographie de style russe durant 3 ans en France puis en Russie… Spécialisée en écriture d’icônes, elle est désormais reconnue dans ce milieu artistique, et intervient dans différents lieux pour transmettre et élaborer des projets de vitraux, d’icônes au sein de chapelles, des restaurations et du conseil. Elle a été sélectionnée à la Biennale d’art sacré de Lyon 2017 et a créé, en 2013, le retable de l’église de Lissieu (peinture sur bois de 15 m2).
« L’icône offre la possibilité de s’arrêter devant le monde de la réalité spirituelle, de ralentir sa course, et à travers elle comme à travers une fenêtre de jeter un regard sur ce monde qui est au fond de chacun de nous ». Cette tradition, discipline dans laquelle Marie-Ève explore la notion de contemporanéité, au travers de matériaux nobles et symboliques, est une quête de lumière et d’expérience spirituelle.
• Vernissage vendredi 6 avril à 18h • L’artiste présentera les clefs de l’icône les 7, 8, 14 et 15 avril à 11h et à 15h • www.atelier-iconographie.com 7
Exposition collective
17 > 29 AVRIL
Florence Joly, Anne Bernasconi, Muriel Gabilan, Philippe Ignacio, Laurence Font et Marc-Henri Arfeux TR’ÂME DE FOND sculptures qui deviennent les éléments d’une rêverie proche de Jules Verne. Laurence brode et peint sur des panneaux de tissu ou de laine des êtres énigmatiques aux regards fascinants. Marc-Henri interroge l’énigme du monde par le poème, la musique électroacoustique et la peinture. Florence dessine et peint des mondes oniriques dont la symbolique nous invite à un voyage intérieur.
Initiée par l’artiste plasticienne Florence Joly, l’exposition « Tr’âme de fond » explore les profondeurs de l’être par le biais de métaphores sous-marines et souterraines. Dans ce projet, Florence Joly a souhaité réunir cinq autres artistes. Chacun d’entre eux, en réponse au thème, cherche à tisser son travail avec celui des autres, selon la pratique qui lui est propre. Anne crée de merveilleuses « petites choses » à partir de bouts de papier, de gravures anciennes, de broderies, de perles… et renoue ainsi avec un savoir-faire ancestral qu’elle revisite de manière poétique. Muriel dessine des univers mystérieux et flottants d’où émergent des créatures hybrides. Philippe récupère tout ou partie de vieux objets oubliés pour créer des
Autant d’expériences singulières animées d’une même passion de l’aventure artistique et du désir de partager avec le public une exploration de notre intériorité par le moyen de la création.
• Vernissage mardi 17 avril à 18h avec une intervention musicale de Marc-Henri Arfeux • Présence des artistes : le 17 avril de 16h à 20h, le 18 avril de 15h à 17h, le 21 avril de 15h à 18h, le 22 avril de 15h à 17h, le 25 avril de 15h à 17h, le 28 avril de 15h à 18h, le 29 avril à 15h 8
Biennale d’art contemporain 2018
2 > 20 MAI
TRACES DORÉES DES TEMPS KINTSUGI Le Kintsugi est l’art de réparer les céramiques brisées avec de la laque saupoudrée de poudre d’or. Cette technique japonaise du 15e siècle offre une renaissance à la pièce originelle. Ramené aux existences humaines, le Kintsugi consiste à masquer ses propres cicatrices, à recoller ses propres morceaux en se réparant soi-même et permettre une renaissance de soi.
Alain Michaud va s’entourer de plusieurs artistes, chacun explorant à sa manière cette thématique du Kintsugi : Romy Journiac (peinture et encres sur papier), Pascal Lemoine (art verrier), Philippe Griot (sculpture sur pierre), Miguel Correia (installations suspendues et « empreintes » sur toile), Nicoletta Kara-Mitcho (estampes sur papier et tissu), Joe Vitterbo (encre de chine, acrylique sur papier et toile). Le public pourra découvrir un parcours d’expositions en suivant le fil rouge du Kintsugi. Des animations (poésie, théâtre, musique...) viendront jalonner ces trois semaines consacrées à l’art contemporain.
Alain Michaud est artiste plasticien mais aussi auteur. Son dernier projet artistique se compose de deux volets : une exposition de toiles et encres sur papier grand format et un livre Kintsugi, les cicatrices du temps.
• Vernissage vendredi 4 mai à 18h - Rendez-vous place Saint-Pierre • Programme complet sur www.macon.fr et dans la brochure Kintsugi, Biennale d’art contemporain. 9
Émilie Fèvre
22 MAI > 10 JUIN
photographe
L’EXPOSITION
L’ARTISTE
Émilie Fèvre est partie à la rencontre des habitants du quartier des Blanchettes, en collaboration avec le centre social du quartier (Mosaïc). Depuis un an, elle se rend sur place, participe aux fêtes de quartiers, aux sorties avec les familles, et essaie de créer un lien de confiance avec les habitants. De ces rencontres et de ce projet a émergé un livre essentiellement photographique. Cette exposition lui donne vie, en déplaçant le quartier au cœur du centre-ville et en créant de nouvelles perspectives de rencontres.
Diplômée de l’université de Saint-Étienne et des beaux-arts de Bucarest, Émilie Fèvre est également titulaire d’un master en Arts plastiques et sciences de l’art et d’un certificat d’intervenant spécialisé en art-thérapie. Après plusieurs projets et installations en France et à l’étranger, elle obtient le 3e prix trophée Noir et Blanc du Salon National de la photographie à Mâcon. En 2014, elle expose son projet « EXIT » à la galerie Mary-Ann et une création originale pour le Grand Site de Solutré Pouilly Vergisson au pied de la Roche de Solutré. En 2015, elle réalise une série de portraits pour l’ouvrage Chroniques de Bioux, un village en ville en collaboration avec Henry Méchin, pour la Ville de Mâcon.
• Vernissage mardi 22 mai à 18h • emiliefevre.com 10
Thomas Galléa
19 JUIN > 1ER JUIL.
peintre
L’EXPOSITION
L’ARTISTE
Peindre, pour Thomas Galléa, c’est avant tout raconter une histoire et créer une ambiance. En évoquant les frontières qui existent entre des mondes à la fois antinomiques et imbriqués, Thomas explore le passage entre l’ombre et la lumière, entre le figuratif et l’abstrait, entre le réel et l’onirique. Forêts, falaises ou paysages urbains sont autant de décors ou l’homme n’est présent que pour représenter la dimension écrasante et surréaliste de son environnement.
Thomas Galléa s’est formé à Lyon, à l’école Condé en graphisme, puis à l’école ÉmileCohl en illustration. Après la réalisation de deux films d’animation, il travaille comme graphiste, notamment pour l’ensemble Agora créé par des musiciens de l’opéra de Lyon, avant de se consacrer à la peinture. Thomas Galléa peint, essentiellement à l’huile avec une base d’acrylique, des tableaux d’une grande profondeur.
• Vernissage mardi 19 juin à 18h • Présence de l’artiste les samedis de 10h à 12h et de 14h à 18h 11
Koen de Weerdt
3 > 15 JUILLET
dessinateur / peintre / collagiste
L’EXPOSITION
L’ARTISTE
Koen De Weerdt nous invite à pénétrer dans un univers très particulier : ses dessins, plus ou moins en opposition sur le plan thématique et architectural, permettent, par leur juxtaposition, de trouver une expression originale. Après avoir réalisé une dizaine de dessins à la plume et à l’encre de chine, un découpage aléatoire permet de récolter suffisamment d’éléments pour disposer ceux-ci dans un ensemble surréaliste. Le collage finalise l’ensemble. D’autres créations sont exprimées à l’acrylique sur toile.
Koen De Weerdt est natif des Flandres, dans la région de Gand, mais vit et travaille aujourd’hui dans la région de Bourg-enBresse. Élève de l’école Nationale des beaux-arts de Nancy, il se dirige ensuite vers les métiers de la construction, et en particulier l’ingénierie du bâtiment. Ses thèmes de prédilection sont les paysages urbains, ses influences proviennent de maîtres du dessin comme Grimaud, Franquin, Hergé, et des peintres comme Buffet, Carzou, Magritte ou Hopper. Exposé en permanence en galerie à Genève, Lausanne, Évian, Koen De Weerdt est titulaire de plusieurs prix : Salon du collage à Paris et Prix de la Ville de Mâcon en 2016.
• Vernissage mardi 3 juillet à 18h • Présence de l’artiste les samedis et dimanches de 10h à 12h et de 14h à 19h • www.artquid.com/koen 12
Gérard Bouvier
17 JUIL > 12 AOÛT
peintre / sculpteur
L’EXPOSITION
L’ARTISTE
La peinture de Gérard Bouvier l’accompagne, quotidiennement, comme un journal intime où sont déclinées ses humeurs et visions. Son écriture : des signes, un langage inconnu, une calligraphie, autant d’éléments hors du temps et cependant contemporains. Ses sculptures semblent s’apparenter à une ethnie imaginaire où il fait se rencontrer l’ultra-modernité et les arts premiers. Il travaille plusieurs styles et plusieurs matériaux : bronze, résine, boîtes de conserve et leurs couvercles… Sa grande inventivité, son humour si particulier et son sens aiguisé de l’observation contribuent à la création de son style unique.
Gérard Bouvier a toujours dessiné et peint. À 24 ans, et après avoir connu les petits métiers qui permettent de subsister, il expose pour la première fois à Cannes, puis à Vence. Après un passage par Paris et des expériences artistiques diverses : mise en scène de pièces de théâtre, réalisation de courts-métrages…, il quitte la France pour l’Italie où il fera de la sculpture en métal sa principale expression. C’est aux ÉtatsUnis, en 1970, que se cristallise son désir de créer des sculptures de plus petites dimensions, en privilégiant les matériaux de récupération. Nombreuses sont ses sculptures, réparties sur les 5 continents, faisant partie de collections privées.
• Vernissage mardi 17 juillet à 18h • www.gerard-bouvier.com 13
Françoise Ndongo
14 > 26 AOÛT
peintre / sculpteur
L’EXPOSITION
L’ARTISTE
Françoise Ndongo présente à travers cette exposition un travail à l’huile ainsi que des sculptures. Elle porte un regard très profond sur le corps humain et plus particulièrement celui de la femme. Son travail, en toute intimité, mêle les courbes d’un corps souvent alangui aux taches évasives ; rien n’est figé, tout est suggéré, nuancé. Elle montre la femme sous divers aspects mais principalement dans des attitudes « ordinaires ». Pour elle, l’individu est merveilleux et elle s’adonne avec passion à l’observation des êtres et des émotions qu’ils transmettent. Elle peint les âmes et à travers elles, la sienne. Il s’agit d’émouvoir, de surprendre, d’émerveiller, de partager.
Née à Lyon en 1956, Françoise Ndongo explore la peinture et la sculpture depuis une trentaine d’années. Au départ autodidacte, diverses rencontres et écoles d’arts ont enrichi son parcours artistique. Elle aime s’exprimer au travers diverses techniques picturales (huile, acrylique, encre, fusain, aquarelle…) mais aussi en volume. Sa démarche artistique réside dans la fluidité du trait et la recherche incessante de l’expression.
• Vernissage mardi 14 août à 18h • Présence de l’artiste les samedis et dimanches de 9h à 19h • www.francoise-ndongo.odexpo.com 14
Anne Chériez
28 AOÛT > 16 SEPT.
peintre / sculpteur
L’EXPOSITION
L’ARTISTE
Programmée dans le cadre des Journées du Patrimoine, cette exposition aborde le thème de l’architecture, de l’espace et de notre sensation devant la profondeur et les surfaces qui nous entourent. Anne Chériez présente des peintures sur toiles et des œuvres sur papier, ainsi qu’une grande sculpture en bois intitulée « Prisme ». Celle-ci a la particularité d’être une source de création infinie pour l’artiste mais aussi pour le public qui pourra s’initier au dessin et contribuer à la réalisation d’une œuvre interactive.
Anne Chériez est diplômée des beaux-arts de Paris en 2006, avec un travail de peinture et de vidéo. Son travail a été présenté et récompensé lors de diverses expositions et festivals, notamment le festival Mulhouse tout court où elle reçoit le prix d’encouragement pour la vidéo Soleil noir, puis l’Académie des Beaux-Arts de Paris pour le prix de dessin Pierre David-Weill. Après sa participation au Salon de Montrouge en 2009, elle obtient le prix de peinture JungHun Mécénat en 2011 qui l’expose en 2015 au Hangaram Art Museum à Séoul en Corée. Elle expose actuellement à Madrid à l’APPA Gallery.
• Vernissage mardi 28 août à 18h •M ercredi 29 août de 10h à 12h et de 14h à 17h : ateliers animés par l’artiste pour la création d’une œuvre collective et interactive. Gratuit et ouvert à tous, sur inscription au 03 85 39 71 68 • Présence de l’artiste le 16 septembre 15
Mauricette Bertaut dite Maubert
18 > 30 SEPT.
pastelliste DITES-LE AVEC…
L’ARTISTE
Maubert met en scène des portraits de fleurs et des paysages urbains de l’île de Burano (Venise), assortis de langage poétique sous forme de Haïkus libres. Ses portraits de fleurs illustrent l’amour de la botanique chez George Sand. Ils sont travaillés sur support pastel card, soit à l’unité, soit par séries, en plan rapproché (réalisme poétique, cycle de la vie de la fleur, respect de sa couleur, architecture des formes et des détails). Les paysages urbains sur Burano traduisent le cheminement intérieur de l’artiste, mettant en exergue la solitude et le silence, loin de l’agitation fébrile du monde.
Maubert, née Mauricette Bertaut, est originaire de Côte d’Or. Autodidacte, elle dessine et peint depuis sa prime enfance. Mutée à Mâcon pour des raisons professionnelles, Maubert adopte cette ville qui lui permet de s’accomplir artistiquement et professionnellement. Elle remporte en 1977 le prix de dessin de l’Académie d’Art de Mâcon. Elle suit les cours de Janine Dubois (gravure) Marie-José Joubert et de Christiane D’Ozenay (École régionale des beaux-arts). Elle découvre Dali et Magritte, et se lance dans diverses recherches de compositions, de formes et de couleurs, inspirées du surréalisme. Puis, elle revient à l’art figuratif, avec la technique du pastel sec, en toute indépendance et sans souci de mode, dans une quête de l’intemporel et de sa propre vision du réel.
• Vernissage mardi 18 septembre à 18h • Présence de l’artiste les dimanches et lundis de 10h à 12h et de 14h à 19h 16
Gérald Svoboda
2 > 21 OCTOBRE
photographe / sculpteur céramiste
L’EXPOSITION
L’ARTISTE
Cette exposition, haute en couleurs, est l’aboutissement d’un parcours étonnant de l‘artiste. Il nous présente le fruit de ses recherches sur le corps féminin, le déshabillant ou l’habillant à sa manière, aussi bien avec la terre et les émaux qu’avec l’appareil photo et la lumière. Il fera, pour la première fois, se croiser la terre et la photographie sur un même support. On retrouvera des sculptures de corps de femmes, mais aussi des œuvres mixtes, passant du figuratif à l’abstrait. Cette exposition lui permet de lier deux disciplines qui le passionnent depuis plus de 40 ans.
Originaire de Lyon, mais résidant dans le Val de Saône depuis une quinzaine d’années, Gérald Svoboda est photographe et sculpteur céramiste. Autodidacte, il croise la route de quelques grands artistes tels Dominique Bajard ou François Chamming’s et s’essaye aux différentes formes de la céramique. Curieux des effets à obtenir, il utilise différents types de cuissons (à la fosse, raku, cuivre mat, grès ou porcelaine) et ses propres émaux. Pour son activité photographique, il s’inspire des grands photographes français ou américains du 20e siècle : E. Boubat, W. Ronis, L. Clergue, J. L. Sieff, A. Adams, E. Weston, R. Gibson et P. Lindbergh.
• Vernissage mardi 2 octobre à 18h • Présence de l’artiste les dimanches de 14h à 18h et sur rendez-vous • www.gerald-svoboda.com 17
Jaqe et Éric Chambon
23 OCT. > 11 NOV.
peintre / sculpteur
L’EXPOSITION
LES ARTISTES
Frères jumeaux et catalans d’origine, Éric et Jaqe Chambon s’inspirent tous deux des traditions populaires de leur pays. Jaqe présente plusieurs séries de portraits : « les animaux qui font l’histoire », les grands cuisiniers, personnalités qu’il a rencontrées et qui l’ont enthousiasmé ou encore d’intenses portraits de torero. Éric s’intéresse plus particulièrement aux mythes antiques, à l’Homme-animal ou l’Animal-humain dont la force anatomique frôle la fragilité intérieure. Le mystère des moines se questionnant sur l’Après-vie, le personnage de la Mort, les corps dans leur nudité simple, sont des thèmes qui le fascinent et nourrissent son travail de sculpteur.
Après une carrière de designer et architecte d’intérieur, Jaqe Chambon ouvre son restaurant à Lyon. Au fil des rencontres dans cette famille gastronomique, il s’adonne à la peinture de portraits de cuisiniers. Il expose dans la région Lyonnaise, en Dordogne et dans les Pyrénées Orientales. Il est membre de la société Lyonnaise des beaux-arts et de la société des beaux-arts du Périgord. Éric Chambon suit un parcours artistique varié alliant chant lyrique, comédie, l’art floral et création de costumes de spectacles sur 30 années dans la France entière. Sa passion pour la peinture et la sculpture l’ont tout naturellement poussé en 2009 à se consacrer entièrement au métier de sculpteur modeleur sur terre, grès et bronzes à la cire perdue.
• Vernissage mardi 23 octobre à 18h • jaqechambon.blogspot.fr • www.eric-chambon.com 18
Patrick Bidaux
13 > 25 NOVEMBRE
peintre / sculpteur
D’UN MONDE À L’AUTRE
L’ARTISTE
Patrick Bidaux vous donne rendez-vous pour vous présenter ses dernières recherches et ses choix plastiques : peinture et sculpture.
Artiste indépendant depuis plus de 30 ans, Patrick Bidaux poursuit chaque jour sa quête absolue artistique. Après une solide formation classique, cet artiste, multiple et en mouvement, cultive les expériences plastiques. Il expose ses œuvres dans des galeries et des musées internationaux.
Un voyage contemporain où l’Humain sera au centre, il y cherchera sa place…
D’un monde à l’autre ; Entre cités et grands espaces, Son et silence, Plein et vide, Mouvement et intimité
Cet éternel chercheur aime le voyage, toujours curieux de nouveaux horizons, pour s’offrir ici ou là-bas de nouvelles perspectives artistiques.
• Vernissage mardi 13 novembre à 18h • Présence de l’artiste les samedis de 10h à 12h et de 15 h 30 à 18 h 30 et les dimanches de 15 h 30 à 18h. • www.patrickbidaux.com 19
INFOS PRATIQUES GALERIE MARY-ANN
Hôtel de Ville - Quai Lamartine - 71000 Mâcon (côté Saône, à l’angle du quai Lamartine et de la rue Montrevel)
HORAIRES Du mardi au samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h (de juin à septembre ouverture jusqu’à 19h) Fermé les lundis, dimanches et jours fériés Entrée libre RÉTROSPECTIVE - 1er > 29 décembre 2018 Durant tout le mois de décembre, l’ensemble des artistes de la saison 2018 seront réunis pour présenter un extrait de leur exposition personnelle. Vernissage le samedi 1er décembre à 18h en présence des artistes. RENSEIGNEMENTS : 03 85 39 72 04
Réalisation : Communication - Ville de Mâcon / Impression : imprimerie municipale – janvier 2018 Photo de couverture : Benoît Averly / Toutes les images sont publiées avec l’accord des artistes.