Magville février 2013 by Frédéric Rihn

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Ma( )ville.fr g

N°28

le magazine

du citadin curieux

fév. 2013

éro m u n e c Dans

Envie d’air pur Bonne table

L’Auberge bressane

Megève

so chic !

Jérôme Sanchez

Golf 7 la référence

Bourg-en-Bresse

Esprit basket

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SOMMAIRE Agenda. Sur les chapeaux de roues En attendant le concert d’Olivia Ruiz à Ainterexpo le 19 avril, c’est le Spot à Mâcon qui crée l’événement musical de ce début d’année, en accueillant la tournée du groupe Indochine. L’autre rendez-vous à ne pas manquer, c’est Emeli Sandé, révélation musicale en 2012, qui sera présente au Transbordeur à Villeurbanne.

Pages 8 à 14

Bonnes tables Face à Brou, l’Auberge Bressane et son chef Jean-Pierre Vullin régalent les papilles des plus grandes stars.

Pages 16 & 17

ESCAPADES & VOYAGES ! Prenez l’air du côté des massifs alpins. Les plus sportifs dévaleront les pentes de la Vallée Blanche, les autres profiteront des délices de la belle Megève.

Pages 18 à 21

Quand les Beatles dînaient à Bourg… Les Beatles à Bourg-en-Bresse ! Non, vous ne rêvez pas, les Beatles sont bien venus à Bourg. Pas pour y chanter, mais pour y manger. Les Anglais de Liverpool ne sont pas les seules stars à s’être arrêtées dans la cité burgienne pour goûter aux délices de la cuisine de l’Auberge Bressane. Dans le Livre d’Or du chef Vullin, les noms prestigieux se bousculent. Bourg n’a même pas eu besoin de concourir à l’accueil de la future Cité de la gastronomie pour être reconnue comme telle. De nombreux événements font vivre l'amour de la bonne chère toute l'année, de la légendaire Fête du Cochon aux incontournables Glorieuses de Bresse, en passant par le Salon de la Gastronomie. Bourg et la Bresse ont une vraie culture gastronomique que nous vous faisons régulièrement découvrir dans Magville. Et nous vous invitons à la consommer sans modération. Bon appétit et bonne lecture Ghislain Gros à tous...

Jean-François Rauzier

Traits PORTRAITS La Jeanne/Jérôme Sanchez Ils ont pour point commun d’avoir commencé très jeunes à travailler. De nature discrète, ils sont pourtant régulièrement sous le feu des projecteurs et assurent, chacun à leur manière, le « show ». Pages 22 et 28

Essai GOLF 7 La nouvelle Golf plus sobre, mieux équipée, plus sportive a tout pour plaire.

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notre photographe du mois Jean-François Rauzier, photographe professionnel, a inventé le concept de l’hyperphoto. Il crée ainsi des images virtuelles composées de plusieurs centaines de prises de vues, au téléobjectif, assemblées par ordinateur. Ses œuvres plongent le spectateur dans un univers onirique, parfois fantastique. Sa dernière création est exposé au palais des Arts et du Festival de Dinard jusqu’au 1er avril. A découvrir sur notre site www.magville.fr Exode 2, 2012, C-Print, 180 x 300 cm, ©Jean-François Rauzier

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QUOI -2-9?

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Toute la cuisine qu’on nem…. Vendredi 18 janvier le restaurant chinois

WOK O GRILL ouvrait ses portes à Bourg. Shao Ting Hu, plus connu dans la restauration depuis les années 2000 sous son pseudo « Léon » invitait ses amis, voisins commerçants du quartier de la Croix-Blanche et les artisans qui ont œuvré dans la création de ce lieu exquis, à l’inauguration de son enseigne. Une décoration raffinée et une cuisine légère embaumée de senteurs asiatiques : nems, beignets de crevettes, fruits de mer, buffets froids et chauds offrant des saveurs de Chine à profusion, mais aussi grillades et légumes sautés au Wok. Pour couronner le tout, ces délices étaient accompagnés par les vins français mais aussi chinois de la société Benoit Chapelle de Beaune. Wok o Grill est ouvert 7 jours sur 7, midi et soir. Pour le trouver, prenez l’avenue Amédée Mercier, au rond-point de la CroixBlanche en direction de Ceyzériat, tournez à gauche, vous serez reçu avec le sourire. Bon appétit et tchin, tchin… Wok o Grill, 14 rue du 14 juillet 1789. Tél. 04 74 21 97 51

Le nouveau rendez-vous cavalier C’est officiel, chers cavaliers, Padd ouvre à Viriat ! La célèbre enseigne ouvrira ses portes courant février dans la ZAC de la Cambuse de Viriat et vous propose un large choix d’équipements pour tous les niveaux et toutes les disciplines équestres pour toutes les bourses. Vous y trouverez tout pour votre cheval, mais aussi pour vous et votre écurie. Coup de cœur garanti ! Horaires : Lundi : 14h à 19h Mardi au Samedi : 10h à 19h non stop 04 74 55 08 22 - www.padd.fr

Préparer toujours mieux les élèves :

deux nouvelles formations Dès la rentrée 2013, l’École Dumonceau de Bourg-en-Bresse propose une année de découverte et de préparation des métiers de la beauté et du bien-être, accessible dès la quatrième. Pendant un an, les élèves découvriront l’esthétique et la coiffure en mêlant théorie et pratique. Le Bachelor Spa Executive Director (Manager de Spa à l’international) sera également mis en place, ouvrant ainsi la filière à un niveau Bac +3, avec une visibilité internationale.

Le326 installé à Péronnas

Le Jivahill rejoint le cercle prestigieux des Relais et Châteaux rès loin des codes clinquants des hôtels ultraluxueux, le Jivahill park hôtel, situé à Crozet dans le Pays de Gex, est l’un des deux hôtels cinq étoiles de l’Ain. En fin d’année dernière, il vient aussi de rejoindre le prestigieux cercle de l’association des Relais et Châteaux. Une association qui regroupe 526 hôtels à travers le monde, dont un tiers en France. Une récompense pour le très discret et fortuné propriétaire des lieux, M. Lundin et son directeur d’établissement, Fabrice Mercier, qui ont amené l’hôtel vers cette reconnaissance d’un réseau prestigieux. Élégant et discret, épuré et fondu dans son environnement des contreforts du Jura, le Jivahill est un havre de luxe, l’espace au cœur de la nature. Et il ne doit pas son nom au hasard. Si Jiva cumule les quatre initiales des membres de la famille du propriétaire, ce mot signifie aussi en sanscrit : vivante. Jiva hill : « la colline vivante ». Plus qu’un hôtel d’ailleurs de 34 chambres, dont six

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villas indépendantes, le domaine de 35 hectares est un resort hors du commun. L’ambition de son très discret propriétaire est d’en faire « le plus beau resort aux portes de Genève », souligne Fabrice Mercier, le directeur de l’hôtel qui a fait toute sa carrière dans des Relais et Châteaux. Au Jivahill, vous pourrez pratiquer le golf, monter à cheval et faire du ski nautique. L’espace offre également un spa et de très beaux espaces de détente. Pour les amateurs de gastronomie, la table du Shamwari, confiée au jeune chef Emmanuel Ollivier, formé chez Pierre Kofmann et Michel Roux junior, ne devrait vous laisser que de beaux souvenirs. Le Jivahill se partage entre clientèle d’affaires et de séminaires en semaine et clientèle de particuliers le week-end. En période de vacances, il est aussi une destination familiale prisée. Un luxe raffiné sans ostentation, qui a un prix entre 285 €la chambre de luxe et 550 €la junior suite, dans une maison indépendante avec jacuzzi. Corinne Garay

Changement de bistrot pour Christian Nicolas, après le Jardin d’Enzo, rue Charles Robin à Bourg, il vient de s’installer dans la ZAC des Bruyères à Péronnas. Il vous attend le midi, du lundi au vendredi, dans son bar-restaurant baptisé le « 326 ». Au menu : buffet de hors-d’œuvre frais, deux plats du jour différents et un choix de 4 à 6 desserts maison. Le 326, rue Lavoisier, ZAC des Bruyères, Péronnas, Tél. 04 74 24 83 94

L’expérience Dépil

Tech

à Bourg

Aude Vacheret a ouvert dernièrement l’institut de beauté Dépil Tech, expert en épilation définitive, comblement de rides, rajeunissement visage, soin anti-âge… au 5 de la rue Gustave Doré. « Une approche complète, cohérente et homogène, mais surtout intégralement respectueuse de l’équilibre de votre beauté naturelle, de votre corps et de ses exigences de performance et de contraintes au quotidien », explique Aude Vacheret, qui invite les Burgiennes à découvrir son centre de beauté.

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t r

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-2-9? Mâcon

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n triple A : A pour « Allumette », A pour « Alu », A pour « Alchimie ». « L’Allumette » est consacrée à l’événementiel, défilés de mode, présentations de voitures, expos, concerts, en fait no limit, sauf à introduire un « 747 » dans cet immeuble industriel éclairé d’immenses baies vitrées. Là, impossible ! « L’Alu », pour un immense zinc, ambiance sympa et conviviale, ouvert sur un atrium spacieux, avec mangedebout, profonds canapés, et aux commandes, un vrai pro des cocktails qui impulsera le rythme de ce bar, également à vins. « Finger food » consommable à toute heure du jour et d’une partie de la nuit ! « L’Alchimie » se veut une brasserie moderne où la règle d’art s’énonce en produits frais et du terroir. La carte alléchante, avec des plats originaux travaillés, s’accompagne d’une belle sélection des vins de France. Dirigé par un maître d’hôtel expérimenté, le restaurant s’engage à servir le déjeuner en 45 minutes, avec des formules entre 13,50 € et 17 € . Enfin, « L’Allumette » dispose d’une immense terrasse couverte en dôme, de salles de réunions modulables en salons, à destination des entreprises notamment. En résumé, le concept innovant de Stéphane Rocamora et de Pierrick Cardona touche tous les publics et entend bouger les codes.

e m m a l f s’en n lieu et place de feu la Seita (appelée par les Mâconnais « Les Allumettes »), devenue aujourd’hui La Cité de l’Entreprise, s’illumine depuis le 1er février un éponyme et original lieu, « L’Allumette », qui réunit dans un concept global et sur 1 300 m2 des expositions, des concerts et une brasserie.

L’Allumette Global Complex 200 boulevard de la Résistance. Cité de l’Entreprise. Bât MB. 71000 Mâcon. www.lallumette.fr

❘◗● Texte et photos JP Auray

Cinémarivaux Le multiplexe tant attendu epuis des décennies, les Mâconnais rêvent d’un Multiplexe. Fin février début mars, les 11 salles (5 en 3D), du flambant neuf Cinémarivaux, ancré à l’entrée Nord de Mâcon, entre le théâtre, la piscine, le bowling, auront une quinzaine de films en permanence à l’affiche, 5 nouvelles sorties nationales par semaine. 44 projections par jour, séance le dimanche matin, plus de choix, plus longtemps, classé « Art et Essai », Guillaume Fourrière, son jeune directeur de 32 ans, ouvre sa programmation à tous les

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publics, travaillera avec les scolaires, multipliera les animations. D’une capacité de 2 100 places, (prix moyen 8,50 €) ce bel outil offre 8 « petites » salles, allant de 110 à 150 sièges et 3 de 320, 370 et 420 fauteuils club, « rouge Opéra ». Chacune est équipée d’un chemin central réservé aux personnes à mobilité réduite. Images en haute définition numérique, son 7 points, projecteurs pilotés par serveur TMS, le must de la technologie !

Construit sur 5 500 m2 avec parking en soussol de 200 places équipé d’un ascenseur ; à gauche de son imposant parvis, un « Hippotamus » attend l’ouverture du Multiplexe, pour accueillir son premier client.

QUOI-2-9? LYON

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Depardon s’invite à LYON

’est une pointure de la photographie qui expose en ce moment à Lyon, au siège de la Région Rhône-Alpes. Raymond Depardon est originaire de Villefranche-surSaône et est devenu un célèbre photo-reporter. Au début des années 2000, Raymond Depardon s’est lancé un défi : photographier « la France des sous-préfectures ». Le résultat est une exposition d’une quarantaine de photos, présentée en 2010 à la Bibliothèque Nationale de France, et visible pour la première fois en région. À découvrir jusqu’à début mars.

« La France de Raymond Depardon » : du lundi au samedi, jusqu’au 2 mars. Siège de la Région Rhône-Alpes. 1 Esplanade François Mitterrand, Lyon 2e Gratuit.

❘◗● Texte Charlotte Vincent

Le Radiant-Bellevue est de retour. La salle de spectacle de Caluire-et-Cuire rouvre ses portes avec une nouvelle direction. C’est Victor Bosch, l’ancien directeur du Transbordeur, qui prend les rênes du lieu. Il a préparé une programmation éclectique et populaire. Stéphane Eicher, Cali, François-Xavier Demaison ou encore Christophe Willem sont attendus en février. Radiant-Bellevue : 1 rue Jean Moulin, Caluire-et-Cuire www.radiant-bellevue.fr

Retour au Siècle des Lumières. e Musée Gadagne plonge dans l’histoire de Lyon au XVIIIe siècle. À cette époque, la ville est innovante et avant-gardiste au cœur des réseaux commerciaux, financiers et intellectuels qui animent l’Europe. Lyon connaît une croissance économique exceptionnelle et est aussi au centre des débats littéraires et philosophiques. Le XVIIIe siècle est aussi celui des ingénieurs et architectes fabuleux comme Morand, Perrache ou Soufflot.

Lyon au XVIIIe siècle : jusqu’au 5 mai au Musée Gadagne - 5 place du Petit David, Lyon 5e.

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SORTIRVOIRECOUTER

e temps et son rapport à l’espace est le sujet de cette 3e Biennale du ciel et de l’espace. Une édition parrainée par Étienne Klein, physicien, directeur de recherches au CEA et docteur en philosophie des sciences, professeur à l’École centrale. Du 18 au 24 février, une série d’événements sont organisés au Planétarium de Vaulx-en-Velin, au Centre culturel Charlie Chaplin, au Musée des Beaux-Arts de Lyon, au Théâtre Gallo-Romain, aux cinémas Le Comoedia, le Toboggan et Les Amphis. Des scientifiques, astronomes, astrophysiciens et physiciens, théoriciens, mais aussi des artistes, ont été conviés à cette manifestation. Le temps est-il culturel ? La physique à l’épreuve du temps ; Pourquoi mesurer le temps ? ou encore Espace, matière, lumière et temps, sont les questions sur lesquelles se sont penchés des sociologues, ethnologues, astrophysiciens, physiciens et anthropologues. Ils y répondront au cours des conférences-débats. Des spectacles pour enfants et pour grands curieux, un spectacle avec un simulateur d’aurores polaires, un conte anticipatif, du théâtre, un ciné-concert et encore des films, seront programmés. Au Planétarium, il sera possible de suivre les aventures de L’intrépide petite taupe, de découvrir Le ciel des Mayas ; Terre, lune, soleil ! ou encore les Trous noirs. Au cours de ces deux semaines, le public pourra participer à des caféssciences, à un concours de photographie astronomique, à un forum sur Les jeunes, l’Europe et l’espace, destiné aux lycéens et étudiants pour leur permettre de connaître les métiers du spatial. Deux visites commentées, au Musée des Beaux-Arts et dans les rues de Lyon, mettront en lumière les premiers instruments de mesure du temps. Au Centre Charlie Chaplin, un parcoursdécouverte rassemblera 80 chercheurs de plusieurs laboratoires de recherche en Rhône-Alpes. Avec l’aide d’un scénographe, ils auront mis en scène leurs travaux et les présenteront au public. Le Centre Charlie Chaplin recevra encore un concours inhabituel : le 18e trophée de robotique. Les robots de 30 équipes de jeunes de 8 à 18 ans s’affronteront. Enfin, le 23 mars, venez observer le ciel de jour et de nuit, au Théâtre Gallo-Romain, pour La nuit de l’équinoxe. ❘◗● Caroline Guérin

Le planétarium, l’un des sites qui accueille la biennale.

Le temps au cœur de la Biennale du ciel et de l’espace Sous la grande vôute étoilée du Planétarium partez pour un voyage spectaculiare.

a m r Le Planétarium, le Musée des Confluences, le Centre national de la recherche scientifique, le Club d’astronomie de Lyon Ampère et l’Association planète sciences Rhône-Alpes sont partenaires de cette opération. • 3e édition, du 18 au 24 février, au Planétarium, place de la Nation, à Vaulx-en-Velin. Rens. 04 78 79 50 13. www.planetariumvv.com

Et encore... Caluire-et-Cuire

Bourg-en-Bresse

Käfig Brasil

Suivez le guide

Danse Mourad Merzouki poursuit sa collaboration avec onze danseurs brésiliens. Ensemble, ils explorent « les liens qui se tissent entre les hommes ». Mourad Merzouki orchestre la rencontre de ces artistes avec plusieurs chorégraphes français et un brésilien. Une pièce qui se présente sous forme de cinq modules et dans laquelle se croisent hip-hop, samba, technique et maîtrise du corps, et la poésie chère au chorégraphe lyonnais.

Théâtre Un couple de chercheurs en sciences de l’éducation veut écrire un Guide de l’enfant modèle à l’usage des parents parfaits. Ils partent sur le terrain étudier les enfants. Ils se glissent chacun dans la peau d’un enfant… Une création théâtrale originale qui s’inspire de la parole des enfants prononcée lors des forums enfants citoyens organisés par les Francas (mouvement d’éducation populaire).

Mardi 12 et mercredi 13 mars, à 20h30, au Radiant (1 rue Jean Moulin). Rens 04 72 10 22 10. www.radiant-bellevue.fr

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Mercredi 20 février à 10h et 14h30, au Petit Théâtre Jean Vilar. Dès 8 ans. Rens. Théâtre de Bourg-en-Bresse http://allegro.free.fr

P r m d c e l d a p c a d D t l s d p E d t d G s b d p b

Mâcon Camille Musique

Ballades folkloriques, ritournelles a capella, chansons d’oiseleurs et de ménestrels, R’n’B… on retrouve un peu tout cela dans le nouvel album de Camille. Il est question d’amour dans Ilo Veyou. Originalité, fantaisie vocale, l’artiste récompensée plusieurs fois aux Victoires de la musique a fait appel à des instruments acoustiques pour accompagner sa voix si particulière Samedi 9 mars, à 20h30, Mâcon Scène nationale. En partenariat avec La Cave à musique. Rens. Mâcon Scène nationale 03 85 22 82 99. www.theatre-macon.com

Villefranche/Saône La Locandiera Théâtre

Une œuvre de Carlo Goldoni sur la condition amoureuse. La locandiera (l’aubergiste) use de son pouvoir de séduction sur les hommes qui viennent dans son établissement. Mais arrive un chevalier misogyne… La pièce est mise en scène par Marc Paquien. Avec notamment Dominique Blanc et André Marcon. Mardi 19 février à 20h30, mercredi 20 à 19h30 et jeudi 21 à 20h30. Au Théâtre de Villefranche-sur-Saône. Tarif : 31/15 €.

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news BD

EXPOsition

L'âge d'or de Mickey Mouse

Mondo Minot à Altec

Pénurie, rationnement, récupération des vieux métaux. " Achetez les bons de la défense ! " Cette fois-ci, l’Amérique est en guerre et les bandes dessinées de l’époque ne manquent pas d’en parler. Dans cet album, composé de planches de 1942 à 1944, c’est indéniable. Que ce soit au travers des « comics strips » dans les quotidiens ou dans des histoires en quelques pages, Mickey, Pluto et Dingo soutiennent l’effort de guerre. Pourtant, l’on ne trouve pas de scène qui puisse traumatiser un jeune lecteur. Que Mickey lutte contre un Pat Hibulaire à la solde des nazis, ou qu’il bombarde l’Allemagne à bord d’un avion expérimental, tout reste propre et visible par tous, mais les sentiments sont là. En France, sauf de quelques rares spécialistes, le nom de Floyd Gottfredson est totalement inconnu et pourtant… Le monde est injuste ! Si Disney est célèbre dans le monde entier, c’est en grande partie grâce à Gottfredson qui, à partir de 1936, dessina la fameuse souris et en fit l’une des plus grandes vedettes de la bande dessinée. Alors, cette superbe intégrale qui devrait compter 12 volumes grand format (6 strips par page) rend un hommage mérité à celui qui, dans l’ombre, contribua à faire de Mickey ce qu’il est aujourd’hui. Un attrait supplémentaire de cette intégrale réside les articles et interviews qui précèdent chaque série, permettant ainsi de la resituer dans son contexte historique ou humain.

« Regarde ! La chambre est éclairée, les jouets éparpillés, les livres grands ouverts… Mais… qu’y a-t-il dans l’armoire ? Un passage ? Vers quoi mènet-il ? Une porte à pousser… et c’est tout le monde de l’enfance, celui de l’imagination et des perpétuelles découvertes qui t’attend ! Un monde, ou plutôt des mondes, à découvrir et explorer. Mondo Minot, c'est partir à la découverte d’expériences scientifiques pour écouter, bricoler, regarder, tester, créer, partager, jouer, apprendre, comprendre… et finalement grandir un peu ! »

L'âge d'or de Mickey Mouse, Tome 5 : 1942 / 1944 - Mickey le hardi marin et autres histoires, Floyd Gottfredson. Éditons Glénat, 128 pages, 29,50 €.

Une exposition conçue pour les petits (2 à 7 ans) en visite libre avec un médiateur d'ALTEC (Centre de culture scientifique, technique et industrielle de l'Ain) à votre disposition, ou sur réservation pour les groupes, jusqu’au 26 mars. Durée : environ 1h. Tarifs : Particuliers : 3 €/enfant et 3 €/adulte. Scolaires et groupes : 3 €/enfant (gratuit pour les accompagnateurs). ALTEC, Technopole Alimentec, rue Henri de Boissieu à Bourg-en-Bresse, Tél. : 04 74 45 52 17

Sérial LECTEUR ! Devenir loup, un long apprentissage Tout le monde sait que les loups font peur aux enfants. Mais ce qu’aucune histoire ne raconte, c’est comment ils occupent leurs journées quand ils ne pratiquent pas leur activité favorite. En lisant ce petit livre, les enfants découvriront que c’est à l’École pour apprentis méchants loups que les louveteaux s’entraînent. Ils travaillent leur endurance, leur souffle, suivent un régime alimentaire… Un apprentissage qui n’est pas de tout repos ! L’idée est originale et fait référence avec humour aux contes connus. Les illustrations, particulièrement soignées, sont réalisées à partir de collages et d’assemblages de motifs et de couleurs. Un texte drôle et des dessins que les enfants s’amuseront à observer dans les détails. Que font les loups quand ils ne font pas peur aux enfants ? Céline Lamour-Crochet et Olivier Daumas. Éditions Bilboquet. Octobre 2010. Dès 3 ans.

La petite mauvaise humeur Lorsque Pit et Pat se rencontrent, ils s’entendent tout de suite bien. Ils sont tellement heureux ensemble qu’ils décident de ne plus se séparer. Mais un jour, une petite mauvaise humeur prend place dans leur embarcation. Une petite mauvaise humeur qui devient de plus en plus grande et encombrante. Cette histoire aborde le thème des relations, de l’amitié, et des petits conflits qui peuvent nous gâcher la vie pour pas grand-chose. Les deux petits personnages qui voyagent dans leur coquille sont très attachants et ce récit est touchant. Le trait est simple mais pas simpliste, et donne encore plus de charme à ce récit. Un livre à feuilleter dès 3 ans. La petite mauvaise humeur, Isabelle Carrier. Éditions Bilboquet. Septembre 2011. Dès 3 ans.

• La sélection BD de François Membre •

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ÇA SE PASSE PRÈS DE CHEZ VOUS

Mardi 12 février (20h30)

Vendredi 15 février (20h30)

Puppetmastaz [Berlin] + Andy kayes

« Les Gens. Qui rigolent, qui font la queue, qui ont mis leur chapeau à l'envers. Ceux qui s'effilochent ou qui restent, les copains et ceux qu'on aime moins. Ils seront tous là, et nous avec, parce que c'est nous, les gens, dans un décor des Chats Pelés pour ce spectacle tout de poésie vêtu. C'est ici que La Coterie, autour de Têtes Raides, va gratter, taper, souffler et chanter pour nous. Un régal de bout en bout, à croquer goulûment avec toute la maisonnée. » ------------

A VOIR EN FAMILLE À PARTIR DE 6 ANS Théâtre de Bourg-en-Bresse • 11 place de la Grenette • Bourg-en-Bresse • 04 74 50 40 00 • www.theatre-bourg.com • Tarifs de 16 à24 €. Durée 1h Jeudi 13 février (19h)

Julian Perretta

« Il y a les Puppetmastaz qui s’écoutent dans un lecteur mp3, autoradio ou chaine hi-fi, et il y a les autres, la version live, ces poupées déchaînées qui agitent les scènes européennes depuis une dizaine d’années. Derrière chaque marionnette se cache un rappeur du groupe. Les Puppet jouent un véritable spectacle vivant et rappent comme si leur peluche en dépendait. Les vingt membres de Puppetmastaz forment aujourd’hui le Gangstoy Band le plus trash de la scène hip-hop européenne. » Andy Kayes Autant lyonnais que londonien, parfait bilingue, Andy Kayes rappe aussi bien en anglais qu’en français. Une écriture qui part dans tous les sens, très imagée. Il gravite dans la sphère du non moins fameux label Gourmets Recordingz. En France et Outre-Manche, les blogs en parlent et c’est justifié : Andy Kayes, véritable pépite du hip-hop, sort son 1er album “Alone In Numbers” début 2012. La même année, il joue sur la scène Découvertes du Printemps de Bourges. Un clip approuvé par Canal Street, un single en générique sur La Matinale de Canal +, une web série “J’irai rapper chez vous” qui fait de plus en plus d’adeptes… Andy Kayes est plein de surprises et de promesses. © Puppetmastazphoto

Les gens

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Le Transbordeur • 3 bd Stalingrad, Villeurbanne • www.transbordeur.fr • Tarif : 27 €.

(8) Ma(g)ville Bourg-en-Bresse • Février 2013)

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Halle Tony Garnier • 20 place Docteurs Charles et Christophe Mérieux • Lyon 7e • Tél : 04 72 76 85 85 • www.halle-tonygarnier.com • Tarif : de 38 € à 75 €. Jeudi 21 février (20h30)

Bénabar

« Depuis le premier album autoproduit jusqu’au dernier intitulé « Les bénéfices du doute », après quinze années de scène et trois Victoires de la musique, Bénabar est l’un des chanteurs français les plus populaires. Il chante sans distinction de genre et donne à entendre les refrains dont l’époque a besoin. Il saisit au vol les phrases de la rue, du bistrot, des nuits inquiètes et des petits matins qui se lèvent. Sa vocation initiale de cinéaste est peut-être ce qui l’a amené à écrire et chanter des textes aussi précis et touchants avec une dérision toujours calculée, qu’il s’agisse de portraits balayant les clichés ou du récit de moments du quotidien. La scène étant le foyer de son succès, Bénabar retourne à la rencontre de son public avec un récital particulier et plus intimiste. »

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La Tannerie • 123 place de la Vinaigrerie • Bourg-en-Bresse • Tél : 04 74 21 04 55 • www.latannerie.com • Tarif : 22 €.

A l’Intégral de Belley • 422 avenue Hoff • Belley • http:/lintegral.belley.fr • Tarif : de 39 à 44 €.

Mercredi 20 février (20h)

« On peut dire sans trop de mal que le petit Julian Perretta était prédestiné à la musique. Son père anglais d'origine italienne, sa mère irlandaise, sont respectivement chanteur et guitariste de blues. Son album “Stitch me up” témoigne d’une maturité musicale et d’un éventail d’inspiration assez unique chez un aussi jeune songwriter : les irrésistibles “Ride my star”, “Let me love you” et les nouveaux titres de son album. Julian reprend également “If I ever feel better” de Phoenix. Ce surdoué de la Pop revient sur le devant de la scène avec le premier single de son nouvel opus “Génération X” et débarque à nouveau au Transbo.»

« La java de Broadway », « Le France », « 10 ans plus tôt », « Je veux l’épouser pour un soir », « Je viens du sud », « Mourir de plaisir ». Entouré de ses talentueux musiciens, de ses choristes et de ses cordes, Michel Sardou nous livrera un show plein d’énergie. »

u MUSIQUE

Samedi 23 février (22h)

Michel Sardou

Soirée Electro

« Après une tournée triomphale, et le succès de son dernier album « Etre une femme », Michel Sardou retourne sur les routes pour son plaisir et celui de son public. Cette nouvelle tournée répond à une forte demande de son public de le retrouver sur scène avec ses plus grands succès. Parmi les 25 titres qu’il interprètera, vous retrouverez « Musulmanes », « Io Domenico », « La maladie d’amour », « En chantant »,

« Les troupes d’Atomik Circus investissent la Tannerie pour une nuit placée sous le signe des musiques électroniques avec Live, DJs et Vj’s. Au programme, deux figures incontournables des musiques électro underground, véritables dompteurs de dance-floors, jongleurs de rythmes et contorsionnistes de sonorités novatrices : 69DB en live et MIK IZIF en fakir du son ! La scène locale ne sera pas en reste avec le collectif We are [a]live en ouverture de soirée, suivi d’ATIX aux manettes de son tout nouveau live et d’ALOR qui clôturera la soirée en oscillant entre drum & bass / jungle et dubstep. Le Bside crew et le Brainless Sound System assureront quant à eux une ambiance reggae ragga dub dans le bar ! » ------------

La Tannerie • 123 place de la Vinaigrerie • Bourg-en-Bresse • Tél : 04 74 21 04 55 • www.latannerie.com • Durée du spectacle : jusqu’à 5h du mat’ • Tarif : 13 €.

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ÇA SE PASSE PRÈS DE CHEZ VOUS Samedi 23 février (20h30)

Mardi 26 février (20h30)

Salut Les Copains, spectacle musical

C2C

« Le phénomène des années 1960 enfin sur scène ! Salut Les Copains c'est d'abord le titre d'une émission de radio lancée en 1959 sur Europe 1. Le magazine du même nom est lancé en 1962. Symboles de la jeunesse des années 1960, centrés sur la musique pop, l'émission et le magazine ont contribué au succès des artistes de toute une génération. 50 ans après, Salut Les Copains revient sur le devant de la scène pour un spectacle inédit, qui vous fera revivre les événements culte de ces années de liberté. »

Halle Tony Garnier • 20 place Docteurs Charles et Christophe Mérieux • Lyon 7e • Tél : 04 72 76 85 85 • www.halle-tony-garnier.com • Tarif : de 37 € à 59 €.

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Halle Tony Garnier • 20 place Docteurs Charles et Christophe Mérieux • Lyon 7e • Tél : 04 72 76 85 85 • www.halle-tony-garnier.com • Tarif : 29 €. Samedi 2 mars (20h30)

Sebastian Sturm + The Soul Sonics « C2C (ex-Coups2Cross) naît en 1998 de la réunion de 4 Djs français : Greem, Atom, Pfel et 20Syl. Acteur d’un mouvement émergeant appelé « scratch music », ce collectif fonctionne dans une perpétuelle recherche de sons originaux et sait tirer profit de sa maîtrise t echnique pour mettre en avant une omniprésente musicalité qui fait leur identité. Chacun des membres joue alors de sa platine comme d’un instrument, recréant ainsi tour à tour une batterie ou une basse, scratchant un riff de guitare ou cisaillant les cuivres pour aboutir à une harmonie générale, tel un groupe composé d’instruments dits « classiques ». Gaîté Lyrique complet ! Cigale complet ! Olympia complet ! Où s'arrêtera l'ascencion des C2C qui écument festivals et salles de France avec un show musical et visuel exceptionnel ? » Gaîté Lyrique complet ! Cigale complet ! Olympia complet ! Où s'arrêtera l'ascencion des C2C qui écument fes-

Yes you can !*

Sebastian Sturm [Allemagne] « Appartenant à la même génération que Groundation et Soldiers of Jah Army, Sébastian Sturm et le Jin Jin Band sont la révélation reggae roots 2007, d’après le magazine allemand «Riddim». Entre Skelly d’Israël Vibration, Harrison de Groundation ou encore Bob Marley par son phrasé et sa voix, Sébastian Sturm s’impose déjà comme une valeur sûre, de par ses compositions posées et appuyées, une voix hors du commun ainsi qu’un son roots profond, exaltant, dans la plus pure tradition du reggae de Kingston. Un 4e album est prévu pour 2013 avec son nouveau groupe Exile Airline. »

* Oui vous pouvez !

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tivals et salles de France avec un show musical et visuel exceptionnel ? Leur album est dans les bacs depuis le 3 septembre et devant l'enthousiasme du public, ils ont décidé de prolonger leur tournée. Interdit de rater le coche cette fois.

Maison d’en France Rhônalp’Ain 1, place Clémenceau • Bourg-en-Bresse

04 74 22 97 45 Nouveau site internet www.mdf01.com Nouvelle pagefacebook www.facebook.com/MDF01

(Février 2013 • Ma(g)ville Bourg-en-Bresse (9)

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ÇA SE PASSE PRÈS DE CHEZ VOUS

Samedi 9 mars (19h)

EMELI SANDÉ

Musique Slave

« A 25 ans, cette native d'Aberdeen en Écosse, a commencé par écrire des titres pour d'autres (Susan Boyle, Cher Lloyd…) avant de se lancer en solo. Son premier single “Heaven” est sorti en août 2011, et son album “Our Version of Events” en mars 2012. Il est rapidement certifié disque de platine au Royaume-Uni. Elle se forge une solide réputation sur scène grâce à une prestation remarquée au Montreux Jazz Festival et en première partie de la tournée de Coldplay. Après avoir chanté pour la cérémonie d'ouverture des J.O de Londres, elle entame sa première tournée en 2013, qui passera par Lyon ! »

Œuvres du XXe siècle, inspirées des musiques traditionnelles slaves

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La Tannerie • 123 place de la Vinaigrerie • Bourg-en-Bresse • Tél : 04 74 21 04 55 • www.latannerie.com • Tarif : 18 €. Vendredi 8 mars

Soirée de la Femme (20h30) Chems + Léon ! de le Cie Lily Kamikaz

Le Transbordeur • 3 bd Stalingrad, Villeurbanne • www.transbordeur.fr • Tarif : 38.5 €.

Mardi 12 mars (20h)

Indochine

Théâtre de Bourg-en-Bresse • 11 place de la Grenette • Bourg-en-Bresse • 04 74 50 40 00 • www.theatre-bourg.com • Tarif : de 18 à 24 €. Mercredi 20 mars (19h)

"Un cabaret du plaisir où la parole de Mahmoud Darwich se déploie pour raconter la Palestine, son histoire, sa lumière et ses hommes. Une mise en musique des poèmes de Darwich. Ses textes, son style, la beauté de sa langue, en français, mais en arabe aussi. Une sorte de concert, mélangeant musique du monde, jazz et voix d'inspiration. » ------------

Théâtre de Bourg-en-Bresse • 11 place de la Grenette • Bourg-en-Bresse • 04 74 50 40 00 • www.theatre-bourg.com • Tarif : de 16 à 26 €.

Léon ! de la Cie Lily kamikaz : « Une, deux, trois femmes gourmandes, facétieuses, coquettes, ayant tendance à la siamoiserie, attendent leur amour de Léon désespérément. Tout est prêt pour le repas, pourquoi n’arrive-t-il pas ? Les voix de femmes et musiques de l’Est sont à l’honneur pour raconter la sérénité, la tendresse, l’impatience, l’envie, l’insouciance, la frénésie, la volupté, le doute, la jalousie, le goût de rire… et toutes les choses que l’attente peut laisser advenir. Pour vous, et pour leur Léon, ces trois poupées seront matriochkas, ogresses et geishas tout à la fois. » Interprètes : Sandrine Roldan, Célia Lefèvre et Julie Loyot ou Élia Dujardin. Musiques : Juliette Gréco, Goran Bregovic, Tony Gatlif, Susheela Raman, Värttina, Jeanne Moreau.

« Le plus grand groupe de rock français annonce sa venue à Mâcon lors de la 1re partie de sa prochaine tournée « BLACK CITY TOUR 1 ». Indochine, formé en 1981 à Paris, devient instantanément le groupe majeur de la new wave française, avec une liste impressionnante de hits et d’albums certifiés platine. Indochine a vendu plus de dix millions de disques et attire dans les salles une armée de fans toutes générations confondues, pour des shows toujours plus sophistiqués et créatifs. En 2009/2010, la tournée « Meteor Tour » réunit 800 000 personnes, avec un Stade de France complet le 26 juin 2010. Un nouvel album d’Indochine, leur douzième album studio est attendu le 11 février 2013 ! Ce nouvel opus sera suivi par la plus longue tournée jamais faite par le groupe de tous les records. »

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La Tannerie • 123 place de la Vinaigrerie • Bourg-en-Bresse • Tél : 04 74 21 04 55 • www.latannerie.com • Tarif : 12 €.

Le Spot • avenue Pierre Bérégovoy • Mâcon • 03 85 21 30 00 • http://www.macon-evenements.com • Tarif unique : 35 €.

(10) Ma(g)ville Bourg-en-Bresse • Février 2013)

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QUAND M’EMBRASSERAS-TU (Claude BROZZONI)

Chems : « En arabe ChEmS signifie « soleil ». Née à Lyon, de parents algériens, son cœur balance entre l’anthropologie et la musique. Lors d’un voyage à Montréal, elle participe à un concert pour une association caritative et c’est le déclic. Depuis, c’est accompagnée de sa guitare et de sa voix envoûtante que ChEmS nous fait voyager. Pour cette soirée, elle sera accompagnée d’un percussionniste au cajón. »

« Le sextuor à vent de l’Ensemble Orchestral Contemporain nous communique toute la chaleur, la nostalgie et la virtuosité de la musique des Pays de l’Est. Tchèques, russes ou hongroises, les pièces interprétées ici alternent légèreté et gravité, mélancolie et fête, danses et méditations, au son de la flûte, du hautbois, des clarinettes, du cor et du basson. Des Bagatelles du jeune György Ligeti aux pièces enfantines de son maître Béla Bartók, des Scènes Villageoises d’Evgueny Svetlanov aux Souvenirs de Jeunesse de Leoš Janáček, le sextuor à vent de l’Ensemble Orchestral Contemporain nous communique toute la chaleur, la nostalgie et la virtuosité de la musique des Pays de l’Est ».

The Soul Sonics [Saint-Étienne] « The Soul Sonics est né de la rencontre entre Zeb McQueen, chanteur écossais d’origine jamaïcaine et Sam Clayton, en 2009 au célèbre studio Harry J. à Kingston en Jamaïque. Le groupe se forme avec l’arrivée de Don Matino, chanteur d’origine camerounaise. Ainsi, rassemblé autour des deux chanteurs, le combo distille un reggae inspiré des années 60 et 70 et empreint d’un rythme terri¬blement soul. The Soul Sonics sortira son 1er album, « Feelings », début 2013. Masterisé par Sam Clayton, l’opus s’annonce percutant. »

Dimanche 17 mars (17h)

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ÇA SE PASSE PRÈS DE CHEZ VOUS

Samedi 9 février (20h30)

Laurent Gerra

Les 11 et 18 février et le 18 mars (19h)

Les monologues du Vagin D’Eve ENSLER « Avec Lisette Malidor, Séverine Ferrer et en alternance Andréa Ferréol ou Marie-Christine Barrault. Mise en scène d’ Isabelle Rattier. Les monologues du vagin d’Eve Ensler est un texte fondé sur plus de deux cents entretiens avec des femmes du monde entier. C’est un spectacle sur le bonheur d’être femme, la joie d’être amante et la fierté d’être mère, mais également sur toutes les formes de violence infligées au corps féminin. Alors que plus de trente ans après la révolution sexuelle le mot « Vagin » reste un mot tabou, honteux ou du moins embarrassant, Eve Ensler le cite 123 fois dans son spectacle. Créée en 1996 à NewYork par l’auteur elle-même et en 2000 à Paris, la pièce a fait le tour du monde et est devenue une pièce culte. Elle se joue en France depuis plus de 10 ans. »

« Laurent Gerra a voulu avant tout un grand spectacle dans la pure tradition du music-hall : il s'accompagne du Big Band de Fred Manoukian, 20 musiciens sur scène, avec lequel il se sent "comme un gamin avec un jouet magnifique". Avec son orchestre, il fait la part belle à la chanson : du tendre hommage aux grands, Trenet, Salvador, Ferrat à la caricature de la jeune scène française, Delerm, Grand Corps Malade et Bénabar. Le spectacle n'oublie pas les politiques, cible préférée de l'humoriste : la scène politique vue par Jack Lang, la retraite de Jacques Chirac et évidemment, Nicolas Sarkozy, une source d'inspiration chaque jour renouvelée. L'artiste passe aussi au crible le petit écran, Bellemare, Drucker et Patrick Sébastien avec de nouvelles chansons toujours aussi festives. Un clin d'œil à son autre passion, le cinéma qui nous fait rire avec Jeanne Moreau, Galabru et Luchini, le cinéma émouvant de Brialy et ses amis Belmondo ou Delon. Enfin, Laurent Gerra n'oublie pas les voix qui sont devenues ses classiques comme Céline Dion attendant ses jumeaux ou Johnny qui nous réserve des surprises. » ------------

Le Spot • avenue Pierre Bérégovoy • Mâcon • Tél. : 03 85 21 30 00 • www.macon-evenements.com • Tarif : de 50 € à 59 €. Dimanche 10 février (16h30)

Dani Lary Spectacle de magie « Après avoir incarné l’inquiétant personnage du Comte du Bois de Naix, Dani Lary vous entraîne dans la suite extraordinaire de cette aventure... Une nouvelle histoire agrémentée de décors sublimes et de musiques envoûtantes et originales. Des personnages incroyables accompagnés et interprétés par des danseuses et des comédiens surprenants. Tout cela, mis en scène autour d'illusions spectaculaires et inédites, créées par Dani Lary pour ce nouveau spectacle ! » ------------

Le Spot • avenue Pierre Bérégovoy • Mâcon • Tél. : 03 85 21 30 00 • www.macon-evenements.com • Tarif : de 35 € à 55 €.

(12) Ma(g)ville Bourg-en-Bresse • Février 2013)

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Théâtre Tête d’Or • 60 avenue du Maréchal de Saxe • Lyon • 04 78 62 96 73 • www.theatretetedor.com • Tarif unique : 40 €.

Mardi 19 février (20h30), Me 20 (19h)

Invisibles Mise en scène Nasser Djemaï

« L’histoire des Chibanis, ces vieux immigrés des chantiers des Trente Glorieuses jamais repartis au pays, racontée de leur point de vue, entre souffrance et humour. « Martin, la trentaine, hérite d’un petit coffret avec un nom et une adresse qui vont être le point de départ d’une quête d’identité. Martin n’a jamais connu son père, et sa mère ne lui en a jamais parlé. Cette adresse dévoilée va le mener dans un foyer ADOMA (anciennement nommé Sona-Cotra) où la rencontre des Chibanis (cheveux blancs en arabe) Driss, Hamid, Majid, Shériff et El Hadj va être décisive pour se reconstruire face au deuil, grandir et continuer sa vie d’homme. On découvre par le regard bienveillant de Martin le quotidien bien réglé, le silence, la colère, la solidarité, la résignation de ces Invisibles auxquels Nasser Djemaï rend la parole. Nasser Djemaï a réussi un pari rare : entrer dans le vif d’un sujet de société, appuyer là où ça fait mal et faire rire en même temps. » ------------

Théâtre de Bourg-en-Bresse • 11 place de la Grenette • Bourg-en-Bresse • 04 74 50 40 00 • www.theatre-bourg.com • Durée du spectacle : 1h. • Plein tarif : 24 €. Réduit : 16 €. Samedi 16 février (20h30)

Bastard Duda Paiva Compagny « Sensations fortes garanties avec le corps à corps troublant de Duda Paiva qui se confond littéralement avec les étranges personnages inspirés de l’Arrache-cœur de Boris Vian. Et quand j’parle d’amour C’est tout nu dans la cour … On se réunit avec les amis Tous les vendredis, pour faire des snobisme-parties. Ainsi commence le spectacle, sur cette chanson de Boris Vian. © Jaka Ivanc

uTHÉÂTRE

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Jeu gratuit et sans obligation d’achat. Du 04/02/13 au 15/02/13. Grand jeu «1 AN DE COURSES». Soit dotation totale maximum de 5 200 (cinq mille deux cent euros) euros offerte sous forme de bons d’achats. Détails d’attribution et d’utilisation selon les modalités définies dans le règlement. Jeu limité à la France métropolitaine. La société organisatrice se réserve le droit de suspendre ce jeu à sa convenance si les circonstances l’exigent. Toute participation au jeu implique l’acceptation de son règlement, sans aucune réserve ni condition préalable. Règlement disponible chez Maître Weibel, huissier de justice à Lyon. Coordonnées et détails de l’opération sur www.radioscoop.com. Conformément à la loi informatique et libertés en date du 6 janvier 1978, vous disposez par ailleurs d’un droit d’accès, de rectification, de modification et de suppression des données qui vous concernent. Ouvert à toute personne majeure et non-interdite de jeux. Organisé par SPA - RCS LYON 324872894.

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ÇA SE PASSE PRÈS DE CHEZ VOUS

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A PARTIR DE 16 ANS Théâtre de Bourg-en-Bresse • 11 place de la Grenette • Bourg-en-Bresse • 04 74 50 40 00 • www.theatre-bourg.com • Durée du spectacle : 1h. • Danse aérienne et marionnettique• Plein tarif : 24 €. Réduit : 16 €. Dimanche 17 février (14h30)

Scooby-Doo et le mystère de la pyramide

use de ses atouts pour se jouer des hommes qui s’arrêtent dans son logis jusqu’au jour où elle fait la rencontre d’un chevalier misogyne (André Marcon) qui lui résiste et jure qu’il ne tombera jamais amoureux. La belle ne l’apprécie guère, mais, touchée dans son amour-propre, se lance le défi de le séduire. Elle met en œuvre une panoplie de subterfuges pour arriver à ses fins. Mais cette dernière n’est pas aussi frivole qu’il n’y paraît et nous conduira vers une chute inattendue de l’histoire. Une œuvre sur la condition amoureuse dans laquelle Carlo Goldoni dresse un portrait saisissant de l’humain. Marc Paquien va en faire un spectacle pour grand plateau qui donne la part belle au plaisir du jeu. On s’en réjouit d’avance ! » ------------

Théâtre de Villefranche • place des Arts • Villefranche-surSaône• 04 74 68 02 89 • billetterie@theatredevillefranche.asso • Durée du spectacle : 2h. • Plein tarif : 31 €. Réduit : 20 €. Mercredi 20 février (10h et 14h30)

Suivez le guide Compagnie Mama Mia "Scooby-Doo, Sammy, Fred, Véra et Daphné arrivent en Egypte où ils vont devoir résoudre un épineux mystère, celui de la pyramide du Pharaon Hatchepsout Ier. Facile ? Non, car les momies s'en mêlent et Scooby-Doo et ses amis vont devoir affronter la colère du pharaon qui transforme tous ceux qui osent l'approcher en statues de pierre ! Un nouveau spectacle familial plein d'action, de suspense et d'humour. Au menu : des chansons, des chorégraphies, des cascades, des décors impressionnants... Frissons de rire et éclats de trouille, c'est ce qui vous attend dans les nouvelles aventures de notre Egypchien préféré !"

« Un couple de chercheurs en sciences de l’éducation se penche sur l’écriture d’un guide : Le guide de l’enfant modèle à l’usage des parents parfaits.

Les 19 et 21 février (20h30) le 20 (19h30)

La Locandiera Avec Dominique Blanc et André Marcon « Après le succès d’Oh les beaux jours avec Catherine Frot l’an passé, Marc Paquien revient avec l’une des plus brillantes comédies de Carlo Goldoni servie par une épatante distribution qui réunit Dominique Blanc et André Marcon. La comédienne aux quatre Césars interprète une charmante locandiera (aubergiste) dotée d’un fort pouvoir de séduction auprès de la gent masculine. Elle

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Nuées, le labyrinthe des chimères Production Association ça Cie Hervé Diasnas « Des corps qui s’extraient du sol, flottent et voltigent, vifs et bondissants. Des corps qui redessinent l’espace, mariant ciel et terre, pour raconter le drôle de chahut des êtres. Corps au sol qui s’extraient avec la ferveur des élans vifs et bondissants. Corps flottants qui voltigent et conjuguent les creux et les pleins de l’espace. Corps inversés qui, mariant ciel et terre, cheminent avec l’effervescence des ardeurs tangibles et celle des effleurements insaisissables. Nuées, le labyrinthe des chimères raconte le drôle de chahut des êtres qui se redressent et se heurtent, s’envolent pour des étreintes éphémères et cruciales. Le chahut festif des défis et des sollicitudes, des hésitations et des doutes, des suspensions utopiques. Une cour des miracles avec la confiance secrète qu’ont les enfants exposés à l’invraisemblance du monde. Sensoriel est Diasnas, tactile aussi, comme un impressionniste jamais démagogue, qui balaie d’un regard aérien le monde qui l’entoure. On rêve les yeux ouverts… » ------------

Théâtre de Bourg-en-Bresse • 11 place de la Grenette • Bourgen-Bresse • 04 74 50 40 00 • www.theatre-bourg.com • Durée du spectacle : 1h. • Plein tarif : 24 €. Réduit : 16 €. Vendredi 15 mars (20h30)

Dieudonné

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SPECTACLE POUR LES ENFANTS L’Amphithéâtre • 1 quai Charles de Gaulle, Cité Internationale • Lyon 6e • Plein tarif : 25 €. Réduit : 20 €.

Mardi 12 mars (20h30) et Me 13 (19h)

Un homme costard-cravate sort échevelé d’un énorme sac-poubelle, une bouteille à la main. Sacrée gueule de bois ! Il se réveille enfermé dans une déchetterie en compagnie d’une vieille danseuse cul-de-jatte et de son « bon ami » en sous-vêtements… Et par-dessus le marché il doit trouver le chat, Rumba, et de quoi faire un thé sous peine de ne jamais trouver la sortie… Entre burlesque et surréalisme, Duda Paiva nous entraîne dans un pas de trois « marionnettique » époustouflant. Son talent de danseur et de marionnettiste donne vie à cet univers très librement inspiré de L’Arrache-cœur de Boris Vian. »

Nos deux scientifiques, sérieux et consciencieux, mais également fraîchement mariés et bientôt parents, décident "d’aller sur le terrain" pour mieux observer et comprendre les enfants d’aujourd’hui. Grâce aux prouesses technologiques un rien anticipées, nos deux adultes se glissent chacun dans la peau d’un enfant et se baladent ainsi de situation en situation. Suivez le guide est une création théâtrale originale qui s’inspire de la parole des enfants prononcée lors des forums enfants citoyens organisés par les Francas (mouvement d’éducation populaire). » ------------

A PARTIR DE 8 ANS Petit Théâtre Jean Vilar • rue des Remparts • Bourg-en-Bresse • 04 74 50 40 00 • www.theatre-bourg.com • Théâtre • Plein tarif : 9 €. Réduit : 6 €.

« "Foxtrot" de Dieudonné,."Foxtrot", signifie, en Anglais : "Pas de renard". C'est une danse des années vingt, qui illustre à merveille, l'époque du rêve américain. Une époque où chacun avait la chance de devenir riche et prospère ! Enfin chacun... Bref ! Pour Dieudonné, la danse est un formidable objet d'analyse sociale, qui lui permet de décrypter avec amusement, la désinvolture morale du monde dans lequel nous vivons. Et si le rire était le dernier rempart de la raison ? » ------------

Le Spot • avenue Pierre Bérégovoy • Mâcon • Tél. : 03 85 21 30 00 • www.macon-evenements.com • Tarif : 43 €.

Le 4 roues motrices par Mercedes-Benz.

Découvrez le plaisir de la maîtrise intégrale avec la technologie 4MATIC, le 4 roues motrices par Mercedes-Benz.

Technologie 4MATIC disponible sur les modèles Classe C, E, CLS, GLK, M, GL, R, S et CL.

Sanoé devient e-MB 01 24, avenue du Maréchal Juin - Bourg-en-Bresse - 04 74 22 65 46 Consommation mixte de la Classe GL 4MATIC de 7,4 à 12,3 l/100 km. CO2 de 192 à 288 g/km ; de la Classe M 4MATIC de 6 à 11,8 l/100 km. CO2 de 158 à 276 g/km ; de la Classe GLK 4MATIC de 6,1 à 8,6 l/100 km. CO2 de 159 à 199 g/km ; de la Classe CLS Shooting Brake 4MATIC de 6,6 à 10,6 l/100 km. CO2 de 174 à 248 g/km.

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Pour les papilles

oisée par Brou, le monument burgien ne lui fait pourtant aucune ombre, tant l’Auberge bressane entretient avec son illustre voisine une complicité de très longue date. L’établissement, créé au lendemain de la guerre, change une première fois de main au début des années 60 pour passer de l’état d’épicerie-comptoir à celui, déjà, de restaurant gastronomique.

Sauts dans le vide Entré dans la maison dès 1964, Jean-Pierre Vullin passera graduellement du statut de commis à celui de chef, avant de reprendre l’établissement des mains de son patron en 1976. C’est que Jean-Pierre Vullin, aujourd’hui âgé de 66 ans, n’a jamais manqué d’appétit et se révéla même très tôt un fonceur : obtention de son CAP à 16 ans, service militaire dans un régiment d’élite qui le conduira à sauter 21 fois en parachute, l’homme se croyait destiné à une vie d’intense pérégrination. Un temps, le professionnel réputé qu’il est devenu – Jean-Pierre Vullin a été le plus jeune chef deux étoiles du Guide Michelin – a d’ailleurs arpenté la planète en qualité de consultant pour la chaîne Hilton. Une mission d’ambassadeur gastronomique qui l’a amené à vanter les mérites de la cuisine bressane de par le monde. Mais la direction du restaurant, alors à l’apogée de sa renommée, va progressivement le conduire à remiser ses valises pour se consacrer pleinement à l’Auberge bressane.

Rendez-vous des célébrités Car l’établissement du boulevard de Brou est depuis longtemps déjà le rendez-vous chuchoté des grands de ce monde. Une brochette

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d’illustres hôtes dont témoigne le livre d’or que Jean-Pierre Vullin conserve comme un trésor et tend du bout des doigts à ses invités, de peur qu’ils ne l’en dépossèdent. « Et encore, mon ancien patron a conservé le premier livre, le plus ancien ». Du Général de Gaulle aux Beatles, en passant par Liz Taylor et Richard Burton, ou plus récemment tout le gratin du show-biz et de la politique (France Gall et Michel Berger, Valérie Giscard d’Estaing, Pierre Perret ou Rachida Dati y ont embrassé une serviette…), il ne semble guère y avoir d’appétit illustre que l’amphitryon burgien n’ait régalé en 40 ans ! « Notre souvenir le plus fort reste l’anniversaire de la chanteuse Carole Fredericks, que Jean-Jacques Goldman et sa bande ont célébré chez nous, relate Mme Lise Vullin, l’épouse du chef. Ils avaient réservé à Carole Fredericks une surprise de taille : les Cœurs de l’Armée Rouge ont surgi de derrière Brou en chantant. Elle ne s’était attendue à rien ! »

Beaucoup de ces célébrités sont par la suite devenues des amis du couple. Des amis sur lesquels Jean-Pierre Vullin et son épouse restent discrets, ce qui n’est sans doute pas pour rien dans la fidélité qu’ils leur témoignent en retour. « Il faut savoir tout voir, tout entendre, mais ne rien dire !... », détaille le chef, en fin connaisseur du gotha.

Fidélité et tradition Certes, l’affluence des grands jours a un peu baissé, la faute sans doute en partie à l’autoroute, qui raccourcit les distances entre Paris et les Alpes « Cela nous a fait perdre 30 % de notre clientèle hôtelière, ceux qui faisaient étape à Bourg avant d’aller skier dans les

A Ci-dessus : C’est en 1963 que les Beatles, après un concert donné à Lyon, ont fait étape à l’Auberge bressane, ainsi qu’en témoigne cette pochette de 45 tours, signée des petits gars de Liverpool et conservée comme une relique par Jean-Pierre Vullin. À droite : Jean-Pierre Vullin et son épouse Lise.

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stations », avance Jean-Pierre Vullin. Nonobstant la redistribution des cartes en matière d’axes de circulation, si l’on continue aujourd’hui à se repasser l’adresse du veilleur de Brou et de son équipe de 14 personnes, c’est peut-être aussi en raison de sa droiture. Une droiture qui, au-delà de sa discrétion, se lit aussi dans l’assiette. Une rectitude qui se traduit d’abord par une fidélité sans faille aux produits locaux et à un certain de respect des traditions, faisant fi des vagues d’innovations successives ayant agité le Landerneau gastronomique, comme la nouvelle cuisine ou, plus récemment, la cuisine moléculaire. « On n’a pas dévié vers n’importe quoi », assume le chef. Car, bien que soucieux de proposer une cuisine moins chargée qu’elle ne l’était au temps où il effectuait ses gammes, l’homme de l’art n’a de cesse de revisiter derrière ses fourneaux le richissime grimoire des traditions, comme en témoigne sa carte, renouvelée quatre ou cinq fois l’an. Parmi les intitulés des menus (consultables en ligne sur www.aubergebressane.fr) Entre Bresse et Dombes ; Entre Bresse, mer et morilles ; Parfum de Bresse… témoignent de cet attachement, tandis que la carte réserve elle aussi

r A deguste

une place de premier rang aux poulettes et poulardes, quenelles et autres cuisses de grenouilles (la clientèle de l’établissement est internationale ou du moins étrangère au département pour plus de 60 %). Outre l’accueil, rond et chaleureux, le décor, immuable sans être suranné et l’immense verrière qui permet aux visiteurs venus d’ailleurs de tutoyer le monument voisin en dépit de sa hauteur, une halte à l’Auberge bressane apporte la garantie de n’avoir pas fait fausse route. De là à ce que vous vienne l’envie de signer le Livre d’or ! De haut en bas : carpaccio de bar de ligne tiède, Saint-Jacques d’Atlantique aux agrumes, demie poulette de Bresse rôtie et cocotte de légumes, poularde de Bresse au vin jaune, crème fleurette aux morilles et croustillant aux framboises.

L’Auberge bressane 166 bd de Brou à Bourg-en-Bresse 04 74 22 22 68 • www.aubergebressane.fr • Fermé le mardi • Menus de 25 à 77 euros + carte.

Le chocolat du mois Ganache chocolat noir à la liqueur d'absinthe Disponible à la vente du 8 février au 7 mars à la chocolaterie MONET Rue Bichat. (Février 2013 • Ma(g)ville Bourg-en-Bresse (17)

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Escapades Ci-dessus L’arrivée du téléphérique de l'Aiguille du Midi A gauche Panorama exceptionnel sur les plus hauts sommets

Texte et Photos : Stéphane Rabut

le ski en grand format e mur des tuffes (des Rousses…) ne vous fait plus frissonner, vous passez plus de temps à attendre aux remontées mécaniques qu’à descendre les pentes ? Bref, vous avez envie d’espace et de liberté ? Direction Chamonix pour une expérience de ski avec un grand S : la descente de la Vallée Blanche.

La Vallée Blanche, son nom évoque la promesse d’une descente mythique. Au programme, 20 km de descente dans une vallée glaciaire au cœur du massif du Mont-Blanc. Ici, pas de pistes damées, ni de canon à neige. Juste la montagne, la glace et la neige. L’aventure commence au pied de la télécabine de l’Aiguille du Midi pour retrouver mon guide de haute montagne. Il me remet un baudrier et un Arva (appareil de recherche aux victimes d’avalanches), puis, direction l’Aiguille du Midi. La télécabine avale sans sourciller les 2 782 m de dénivelé positif. Depuis la gare de l’Aiguille du Midi, la vue sur Chamonix est magnifique. On accroche les skis sur le sac à dos et on va en direction de l’arrête de l’Aiguille. Elle se dévoile à la sortie d’un petit tunnel de glace : une langue de neige perchée à 3 777 m, qu’il faut descendre. C’est

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parti pour 15 minutes de marche entre ciel et terre, encordé et accroché au garde-fou. Cette petite descente n’a l’air de rien et pourtant, on ressent les effets de l’altitude, le souffle est plus court. L’espace d’un instant, on imagine les alpinistes à l’assaut du Mont-Blanc.

Faire sa trace

Sur le premier replat de la journée, on chausse les skis, quelques flexions pour assouplir les articulations et c’est parti pour quatre heures de descente. Ça commence en douceur, parfait pour trouver ses sensations de glisse. Il suffit de se mettre dans la trace

du guide. Du blanc à perte de vue, les montagnes qui bordent le parcours, le crissement de la neige sous les skis, la vitesse, la sensation de liberté absolue. Viennent ensuite les premiers murs avec leurs bosses. C’est le moment de se concentrer, même s’il est difficile de ne pas se faire absorber par le paysage. Le planter de bâton est plus que nécessaire, parfois, il faut même se laisser glisser, en dérapant comme une feuille morte, quand la pente est trop raide pour virer de bord. Par endroits, des blocs de glace d’un bleu profond font leur apparition. À mi-parcours, le refuge du Requin offre une pause bien méritée, après le passage vers les séracs du Géant. La Mer de Glace est en vue. Une large trace brune marque son niveau de 1830. Elle a perdu 2,5 km de longueur et plus de 150 m d’épaisseur !

Midi

s: t

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Profiter

Avec le réchauffement climatique, le glacier perd, chaque année, de 4 à 6 mètres d’épaisseur et une trentaine de mètres en longueur. Les difficultés s’estompent, la pente s’adoucit. L’occasion de reprendre des forces et d’admirer encore et toujours le paysage. On passe devant la montée menant à la Gare du Montenvers, arrêt obligatoire quand la neige manque. Mais aujourd’hui, on descend jusqu’à Chamonix, enfin presque. À la fin de la Mer de Glace, celle-ci devient une mer de cailloux. Il faut alors déchausser pour grimper jusqu’à la cabane des Mottets (avec la possibilité de faire une pause autour d’un chocolat chaud), 125 m plus haut, avec les skis sur le dos. Fin de l’aventure ou presque. On emprunte une route forestière transformée en piste de ski qui nous ramène directement à la civilisation. On a même le luxe de finir sur une piste bleue, de quoi finir la journée en douceur. La Vallée Blanche a été fidèle à sa réputation, une descente mythique dans un cadre d’exception. Un grand merci à Evolution 2 Chamonix, qui nous a permis de réaliser ce reportage.

Evolution 2 Chamonix

www.evolution2-chamonix.com + 33 4 50 55 53 57- planning@evolution2.com Tarifs en groupe : 80 €/pers. En privé : 360 €(1 à 2 pers.) ; 375 €(3 à 6 pers.) le guide à disposition pour la journée.

La Vallée Blanche en pratique Pour s’y rendre : Comptez 2h au départ de Bourg-en-Bresse pour Chamonix (190 km, dont environ 160 d’autoroute)

La Vallée Blanche est une sortie de ski qui restera gravée dans votre mémoire. La Vallée Blanche est un itinéraire non balisé et non sécurisé, permettant de skier sur des glaciers enneigés, avec de spectaculaires crevasses : glaciers du Géant, du Tacul et la Mer de Glace. Au total, 20 km de descente dans des décors extraordinaires. Un guide de haute montagne est indispensable pour évoluer en toute sécurité, même si, chaque année, près de 80 000 personnes descendent la Vallée Blanche. C’est lui qui décidera de l’itinéraire en fonction de votre niveau de ski (vous devez savoir skier sur des pistes noires et rouges). Le départ se fait à une altitude de 3 842 m depuis la gare du téléphérique de l’Aiguille du Midi et le parcours se maintient au-dessus des 3 000 m pendant environ un tiers du parcours avant de retrouver Chamonix à 1 000 m. À mi-parcours, le skieur trouve le refuge du Requin pour se reposer et se restaurer. Avant d’attaquer la Vallée Blanche, il est bon d’avoir déjà skié pour se remettre en condition. La descente dure entre

4 et 5 heures, suivant les conditions climatiques et votre forme. Côté matériel, choisissez de préférence des skis plutôt larges (neige profonde), mais en priorité un matériel auquel vous êtes bien habitués. Votre guide de haute montagne vous fournit le matériel de recherche en avalanches (Arva), ainsi que les harnais (nécessaires à la descente de l’arête, puis au ski sur glacier). Vous devez prévoir vos vêtements/matériels classiques de ski, sans oublier de vous habiller chaudement (il peut faire très froid à presque 4 000 m). Un sac à dos permet de ranger les vêtements au fur et à mesure de la descente, prévoir de l’eau, un pique-nique. Si vous pouvez choisir un sac permettant de porter les skis, cela vous libèrera les mains pour descendre l’arête de l’Aiguille du Midi. La Vallée Blanche est praticable généralement de janvier à avril et pour être quasi seul dans ce lieu mythique, préférez les jours de semaine et hors vacances scolaires. Selon l’enneigement, on peut skier jusqu’à Chamonix, sinon il faut stopper au train du Montenvers.

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ieu où tradition et modernité se mêlent, où les sommets tutoient à peine le ciel, où la vie s’est un peu suspendue au temps. On y vient pour l'art de vivre, ou sa renommée de station chic, on reste pour la convivialité d'un verre partagé entre amis, la qualité de la vie, ou encore une bonne fondue aux cèpes après une journée de ski. À Megève, un peu plus qu’ailleurs, le temps ne bat pas à la même mesure, il respire.

Inspirez ! Le cœur du village est situé à 1113 m d'altitude, sans voiture ; il nous laisse libres de flâner dans les rues regroupées autour de son église, de sa mairie et de sa non moins célèbre maison Allard, créatrice du fuseau de ski, au début des années 30. C'est là que les magasins de luxe côtoient les terrasses de café, que les galeries d'art alternent avec les établissements tendance. C'est d'ici aussi que l'on peut prendre une calèche pour découvrir, confortablement assis, les alentours, ou démarrer une promenade à pied : direction, le calvaire, avec une vue au passage sur la villa de l'architecte d'Henri Jacques Le Même. Grimpez encore un peu, et profitez-en pour vous retourner et savourer la vue. Il est même possible de faire le chemin de nuit.

De gauche à droite : • La maison d’Henri-Jacques le Même, architecte connu pour ses réalisations dans la station, • Megève, paradis des skieurs avec 445 km de pistes, • L’entrée du spa des fermes de Marie.

©Daniel-Durand

Du centre, il est possible également se rendre sur les sommets en prenant la Télécabine du Chamois, qui dessert Rochebrune et le Mont d'Arbois. On peut encore emprunter la navette

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de bus gratuite* jusqu'à Côte 2000 et rejoindre le village par des sentiers balisés, piétons ou raquettes, et pourquoi ne pas se perdre un peu dans les chemins bordés de sapins, apercevoir le lac de Javen, et s'extasier devant le panorama remarquable qu'offre le Mont Joly ? Mais, Megève, c'est aussi et surtout, la possibilité de skier sur 445 km de pistes, des descentes de toutes les couleurs pour tous les niveaux, des moniteurs par centaines, des activités à foison, des loisirs à ne plus savoir lequel choisir. Notez 2 cinémas, des activités de randonnée, du parapente, de la luge, du curling, du patin à glace, de la natation, du golf, du freeride, du shopping bien sûr, et bien plus encore. Bref, tout pour prendre l'air à pleins poumons et faire un break avec la vie citadine.

Soufflez ! Avant d'aller faire un tour dans les boutiques tendance du centre, pourquoi ne pas commencer par prendre un bon café au « Petit Cintra » ? Parce qu’il a une terrasse au soleil avec un angle

Texte • Sylvie Cheuzeville sympa sur la place, il reste le mieux orienté et l'endroit stratégique, où l'on est vu. Ne passez pas à côté des bons plans branchés de la station. Pêle-mêle, Village Market, qui sélectionne les objets must have de la saison, Mahé, des vêtements bohème chic, By Joanne, des bijoux fantaisie bien sentis et abordables. En version luxe, craquez pour la joaillerie Guhilem, la boutique Hermès, ou les cachemires Malo. Après tant de shopping, pour un petit break gourmand, la Laiterie Gaiddon, un magasin-épicerie-restaurant, au look contemporain, propose de quoi se restaurer… fondez pour leur ravioles à la crème avec huile de truffe blanche et parmesan. Si la fièvre des achats vous titille encore au point de ne pas arrêter durant le temps imparti au déjeuner, le sandwich savoyard (pain aux noix, jambon cru, fromage de chèvre) de chez Fayolle (Mof), est fait pour vous. Et la culture dans tout ça ? Megève regorge de galeries d'art et de lieux où il est possible d'étancher sa soif de connaissance. Sur la place,

er ©PNoisilli

©Daniel-Durand

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Voyages A savoir

L'hiver De décembre à mars, des ski-bus gratuits

Les endroits people de la station :

Bien sûr, les nuits ne sont pas en reste, discothèque et bars vont vous permettre de prolonger vos besoins de sorties nocturnes. Le Palo Alto, casino et discothèque, reçoit en général dans la saison quelques DJ de grande renommée, comme cette année Sébastien Benett, Antoine Clamaran, DJ Mosey (Pierre Sarkozy) le 22 février, Joachim Garraud le 1er mars et bien d'autres. Si le programme vous paraît un peu léger, n'hésitez pas à consulter l'agenda des animations de la saison auprès de l'Office du Tourisme. Et comme il en manque... il faudra revenir. ©Simon Garnier

l'église Saint-Jean-Baptiste, bâtie au XIe siècle, puis agrandie et restaurée, inscrite en 1998 à l'inventaire des Monuments Historiques. Au centre du village, deux musées, l'un sur Megève, l'autre sur les traditions, qui présente les objets du quotidien des générations passées. En traversant la rue et à l'intérieur du Palais des Sports, la médiathèque, qui offre un contenu aussi séduisant que son panorama. Un vrai délice ! Les fauteuils de Pierre Paulin vous invitent à une lecture contemplative. Restez, c'est permis ! Vous aurez compris que là aussi, il n'y a pas de place pour l'ennui. Mais si l'art de buller est votre credo, une quantité d'endroits s'offrent à vous. Envie d'un spa, celui de l'Hôtel Alpaga est à rêver, celui des Fermes de Marie à tomber. Souhait d'un verre entre amis, ambiance jazz et feu de cheminée, le Club des 5 Rues est le lieu tout trouvé, si c'est pour un before, préférez le bar du S ou celui de M le vin. Pour vous montagne et fromage sont indissociables ? Choisissez la fondue aux cèpes du restaurant Le Cœur de Megève, généreuse, ou la tarti chèvre du Restaurant Les Têtes, qui vous oblige à monter longuement par un sentier balisé pour la mériter. Et si, entre raffinement et excellence, votre cœur balance, le Chef 3 étoiles Emmanuel Renaut saura vous réconcilier avec son menu Balade en montagne.

sillonnent la station. Ils relient la gare routière, située près du centre-ville, aux massifs du Mont d'Arbois, de Rochebrune, de la Côte 2000 et du Jaillet ; l'autogare de Megève est également un arrêt de bus pour les liaisons SNCF au départ de Sallanches.

Pour s’y rendre : Comptez 2h16 au départ de Bourgen-Bresse (173 km dont 143 d’autoroute)

On ne peut pas parler de Megève sans dire aussi que stars et peoples s'y donnent rendez-vous en toute simplicité, principalement au mois de février. Pour en croiser dans les lieux qu'ils affectionnent, rendez-vous chez Nano à La Sauvageonne, à L'Alpette, à L'Esquinade, à L'Idéal. Le midi à Super-Megève, à l'heure de l'apéro au bar à vin des Enfants Terribles, ou plus étonnant, chez Maria autour d'une crêpe au moment du goûter.

Où dormir ? • En hôtel, du 2 au 5 étoiles luxe. Quelques coups de cœur : 2 * L'Alp Hotel, bien placé et confortable. 3 * Le Cœur de Megève, cocoon et en plein centre, 4 * Le Mont Blanc, spacieux, ou plus contemporain Le Flocon de Sel, 5 * Le Chalet Zannier ultra chic et quelques propositions encore à visiter et réserver selon les critères que l'on se fixe. • En location de chalets, en meublés, en chambres d'hôtes, les capacités d'accueil permettent un grand choix de lieu et un large éventail de prix. Réservation et visuels sur www.megeve.com • Séjour de 7 nuits en appartement 2 pièces 4 personnes à partir de 1 000 €*, comprenant 2 forfaits adultes 6 jours de ski sur le domaine Évasion Mont Blanc, 2 inscriptions au Club enfants Piou Piou de 3 à 5 ans (5 demi-journées matin 2 heures), 1 balade en calèche. Offre valable du 5 janvier au 16 février 2013 et du 16 mars jusqu’à la fin de saison, hors taxe de séjour, assurance annulation et sous réserve de disponibilité. *Pour 2 adultes / 2 enfants - de 5 ans, frais de dossier offerts.

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Femmes

La femme du mois

Grand messe

chez la Jeanne

u parleras de ma mère, hein ? » La mère de Jeannine Bernolin, « la Jeanne » : Lily, 97 ans aujourd’hui, baptisée Lily coupette par les Têtes raides. Celle qui, en 1957, achète le bistrot de la rue Victor Basch à Bourg-en-Bresse, à l’époque « un bar de quartier », juste le comptoir, l’autel à l’entrée donnant sur les pavés. « C’était tout petit, c’était sympa. Les clients venaient dans la cuisine, pour moi, c’était des pépés, des oiseaux rares », se souvient sa fille. Jeanine a 17 ans, elle arrête l’école pour passer derrière le zinc. À 24 ans, en 1964, elle en devient la gérante pour toujours, installée dans l’appartement du dessus. « Je me suis trouvée bien ici », déclare simplement la patronne, plus de 50 ans après. « …Faudra parler de mon père aussi… » Son père, Paul, disparu trop tôt, subitement, est alors accordéoniste, « connu et reconnu dans toute la région », souligne Jeanine. Il tourne avec Jean Grand, batteur. Au-dessus du bar, l’affiche des musiciens trône. À l’époque, il y a aussi Yvonne, « elle travaillait chez nous le dimanche ». Sur une photo, Yvonne, un balai à la main, une gitane maïs à la bouche. Jeannine sourit.

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Pèlerinage Premiers travaux en 1968, Jeanine pousse les murs. Elle garde « les pépés » et accueille de nouveaux fidèles, étudiants, profs… Les pierres crèvent les murs, l’institution perce. Aujourd’hui

encore, il y a ceux qui sont là depuis le début, ceux qui s’arrêtent au moment des fêtes, de passage chez eux, chez elle, en pèlerinage. « Quand je suis pas là, ils me laissent un petit mot. Je vois passer des générations », témoigne Jeannine, entourée de ses enfants de chœur, ses serveurs : Alida, Tommy, Cécile et les autres. « On a fait sauter le mur de Berlin en 89 et les murs de Bernolin en 90 ! » 1990, deuxième agrandissement, la nef fait de la place aux générations. Les enfants des premiers clients, les enfants des enfants… « L’autre jour encore, une étudiante m’a dit : « Mon père me parle tout le temps de toi ».

Baptisé par ses ouailles Lieu de rendez-vous qui n’a rien d’anonyme, la devanture du troquet est pourtant restée vierge, sans nom. Le bistrot le plus connu de Bourg-enBresse n’a pas d’état-civil. Baptisé « Chez la Jeanne » par ses ouailles, béni des Burgiens de père en fils, nouveaux Bressans, ou représentant de commerce qui ne rate jamais l’adresse et de lui faire remarquer. Ça la fait rire, la Jeanne. Elle sait de toute façon qu’on le trouve toujours, son clocher. Dans son tailleur gris, derrière ses lunettes, en plus de 50 ans, la Jeanne en a converti plus d’un. Et ses entichés sont nombreux, amoureux des

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tomettes usées, des pierres qui ont vu passer tant de binettes, des chocolats qui fument et des petits blancs qui délient les langues. Sans prosélytisme. Nature, folklo, franche, « Un truc qui passe, le lieu s’y prête », explique Jeannine pour justifier son enracinement dans la vie de ces gens.

Merci pour la grand messe Au fil des pages, les photos et les mots doux alignent les années, des dizaines. Quelques noms reviennent, de vieux copains : les Têtes raides,

Le jour où la porte se fermera, « c’est que je serai foutue » Sanctuaire Un truc, une ambiance, un décor, sur les murs, Bourvil, des affiches de films que les plus jeunes n’ont jamais vus, Brassens, Brel et Ferré. Chez la Jeanne, un sanctuaire du temps qui passe et d’aujourd’hui. Amoureux aussi des moments passés, autour d’une guitare. La guitare blanche du troquet qui appartient à tout le monde, « les copains avaient tous mis dix francs pour l’acheter ». Depuis, elle a été remplacée par les copains. Car, dans la vie de Jeannine, il y a aussi la musique. Une photo, un souvenir et la Jeanne chantonne. Quand elle sort son Livre d’Or, un cahier rouge aux pages jaunies, ses yeux brillent.

passés de la bière au champagne, Jean Corti, accordéoniste de Brel « un copain maintenant », Pierre Bourque, maire de Montréal, les dessins d’Alain Leprest : « Il avait cassé ses lunettes ce jour-là », rigole la Jeanne, Pierre Tarrare, un comédien bressan… Le cliché d’Anne Sylvestre, « On a chanté, on avait bien ri ce soir-là », lance-t-elle, « un peu nostalgique de ces années-là, oui. » Une litanie de noms, connus ou moins connus : Kent, Garcimore, Joël Favreau, guitariste de Brassens, Jo Dona... Une anthologie de la vie du bistrot, des photos ratées parfois. Claude Rich, sans photo, « il m’impressionnait », souffle Jeannine. Chanteurs, comédiens, journalistes, à avoir goûté au plaisir d’un moment chez la Jeanne sans l’ignorer, et ont gravé le Livre d’Or de paroles saintes : « Merci pour la grand messe », « Madame Jeannine, on est bien chez vous », « Ici, c’est chez nous »… Le jour où la porte se fermera, « c’est que je serai foutue », annonce la dame de 73 ans en avril prochain, pas prête à lâcher son zinc. La Jeanne, icône folklo au caractère bien trempé. En 1985, Claude Nougaro s’arrêtait chez elle et lui laissait ces quelques mots : « Ô ma Jeannine, je te dresse un piédestal… » • Texte et photos : Marion Villeminot

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Bourg

Fashion

’attaquant du football-club de Bourg Péronnas, Patrice Dimitriou, a rangé ses crampons au vestiaire, pour chausser des Kenzo, enfiler un costume Hugo Boss de chez Savane Ponçon et poser pour Magville, en compagnie de la ravissante Justine Brange. « Une expérience sympa », assure Patrice, qui, sans être une « fashion victime », aime bien suivre la mode. « Le look est important chez les footballeurs aussi bien en Ligue 1 qu’en National », confie le Bressan. L’invité du mois Justine, elle, a l’habitude des défilés, notamment dans le Bugey. Habillée par Savane Femme, chaussée par K-Ty Shoes, elle s’est particulièrement sentie à l’aise dans sa tenue Liu Jo. N’oublions pas les bijoux de la bijouterie Garel. Le tout sous l’œil expert de notre photographe Corinne Bertrand.

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Justine Branges • Robe Liu Jo Savane femme 104 €

Patrice Dimitriou

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Retrouvez-nous

sur la page K’ty Shoes

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Remerciements à l’équipe de Douglas rue Gambetta pour le maquillage.

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Costume Hugo Boss Savane Ponçon 625 € Gilet Bal Masqué Savane Ponçon 135 € Cravalière Bal Masqué Savane Ponçon 79 € Chemise Ralph Lauren Savane Ponçon 109 € Chaussures Kenzo Savane Ponçon 220 € Ceinture Boss Black Savane Ponçon 72 €

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CHARLES RÉMA 01 Team, c’est le cercle des 9 partenaires privilégiés de la JL Bourg Basket. Chaque mois Ma(g)ville vous présente l’un d’entre-eux. Aujourd’hui, Valéry Cottel, directeur du groupe Réma-You

Depuis quand le groupe Réma est-il partenaire de la JL Bourg ? C’est mon père, Jacques, qui a commencé le sponsoring lors de la saison 1998/1999. À l’époque, la JL Bourg se battait pour les premières places de la Pro B avec le rêve d’accéder à la pro A. Un rêve qui

paraissait inaccessible… Mais le club, à l’image de notre société (Charles Réma a racheté une entreprise de cuisines You industrie en Vendée faisant passer le groupe de 10 millions d’euros de CA à 35 millions d’euros), a franchi ce palier et nous avons continué à l’accompagner. Nous avons eu la chance de vivre de très belles saisons en Pro A, couronnées notamment par une finale du tournoi des As à Dijon. Pourquoi avoir choisi la JL Bourg ? Nous avons toujours été proches de l’équipe dirigeante de Bernard Coron à Julien Desbottes. Nous avons apprécié la direction claire qui a toujours été donnée au club dans un monde sportif parfois « compliqué ». La JL Bourg a toujours donné l’exemple d’une gestion saine, transparente, avec des budgets validés par la ligue. Et puis il y a de nombreuses valeurs communes entre le monde du sport, et plus particulièrement le basket, et celui de l’entreprise : la solidarité, l’esprit d’équipe, mais aussi la nécessaire performance. C’est ce que nous retrouvons dans ce club. Quel retour avez-vous de ce sponsoring ? Un partenariat avec un club sportif n’a rien à voir avec une démarche publicitaire. Nous ne pouvons pas dire : « J’investis tant et je vais mesurer un retour sur investissement ». Cela ne fonctionne

Valery Cottel pas comme cela. Nous travaillons sur l’image, la notoriété et le concept d’entreprise citoyenne. Pour une entreprise comme la nôtre, cela me paraît normal de montrer son intégration à la vie locale en sponsorisant un club-phare de Bourg. Notre partenariat a également un impact au niveau de nos salariés qui sont invités aux matches. Et puis, nous avons aussi un magasin de vente aux particuliers à Bourg. Des gens viennent régulièrement nous voir en nous disant : « Le jour où nous aurons besoin d’une cuisine, nous viendrons vous voir en priorité, car vous soutenez le club ». Enfin, nous avons créé des liens avec d’autres partenaires.

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hommes

L’homme du mois

Jérôme

Sanchez

n proverbe dit : les chiens ne font pas des chats. Jérôme Sanchez est né dans une famille de basketteurs : « Mon père jouait à Feyzin, mais je ne me rappelle plus à quel niveau. Et moi j’ai marché pour la première fois sur un terrain de basket après un entraînement de ma mère ». C’est donc tout naturellement que Jérôme est arrivé de la banlieue sud lyonnaise à l’Asvel, où il a fait ses cinq premières années de basketteur avec… son oncle Julien. « J’ai commencé dès que j’ai pu avoir une licence, à 4 ans ». Son cursus s’est fait principalement dans la "Maison Verte", de Poussin 2e année, jusqu’à ses deux années en Minime, puis deux ans en Espoirs. La seule infidélité dans sa formation aura été son passage pendant trois années avec l’équipe Cadet, à la JL Bourg, dont la dernière où il participait aux entraînements avec les pros de Jean-Michel Sénégal.

Le choix de Bourg Mais l’aventure villeurbannaise, après la période Espoirs, s’est terminée d’un "commun

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accord" entre les deux parties. Le choix de Bourg est intervenu après quelques contacts avec des coachs et « c’est avec Fabrice Courcier que j’ai eu le meilleur ressenti », se rappellet-il. « Au niveau du projet et des perspectives, je pensais que c’est là que j’aurais ma chance ». En plus, le passage par la case

du rêve à la réalité

Cadets lui avait fait connaître et apprécier à la fois l’ambiance de la salle et la ville. Mais maintenant, c’est devenu son métier. Pour sa première année pro, sous la direction de Fabrice Courcier, il fait la rotation (8 min, 1,8 pts, 1,5 rbds, éval 2,2). L’année suivante, son enthousiasme et sa hargne sont reconnus et son temps de jeu augmente (19 min, 5,1 pts, 3,4 rbds, éval 8,4). D’ailleurs, l’entraîneur, au soir d’une défaite sévère à Saint-Vallier, dira de lui que s’il prenait des fautes (en défendant), les autres prenaient les points (en laissant passer les adversaires). Avec cette nouvelle saison et Frédéric Sarre, il n’y a pas eu de demandes particulières. Simplement « Il faut être performant quand on rentre sur le terrain. On ne va jamais me dire avant le match il faut mettre 20 points et prendre 10 rebonds. Il faut se donner à fond », confie Jérôme. Avec ses points forts, une bonne qualité physique et une forte envie dès son entrée en jeu et ses points faibles, la lecture du jeu, le bon placement, le joueur ne rechigne pas sur le travail : « Je travaille beaucoup mon shoot, ma gestuelle et mon rythme ». Dès qu’il est sur le terrain, il trouve son plaisir dans les dunks, tout ce qui est un peu acrobatique quand il va au cercle, éviter un défenseur, tout ce qui est en l’air, sous le panier.

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Sa famille et ses racines espagnoles À l’inverse de beaucoup de jeunes basketteurs, Jérôme a su garder la tête sur les épaules. Et sa famille a toujours été présente pour le mettre dans la bonne direction. S’il est arrivé seul à Bourg, ses parents, qui cherchaient une opportunité sur Lyon, l’ont rejoint dernièrement en créant un restaurant au village de Saint-Rémy : Sancho Plancha. Et dans la famille Sanchez, c’est depuis très longtemps que l’on s’est imprégné du basket espagnol et barcelonais, en allant le voir à l’Asvel et en emmenant Jérôme tout petit pour vibrer lors des matchs d’Euroligue. « Ce qui me fait rêver c’est l’Euroligue », avoue-t-il très facilement. Pas la NBA. « Ce serait sympa d’avoir la chance de faire une saison là-bas ». Dans l’immédiat il reste concentré sur l’avenir proche : « Pour l’instant, ce que j’ai dans la tête, c’est de monter avec la JL en ProA ».

La famille Sanchez a ouvert dernièrement un restaurant à Saint-Rémy

« Ce qui me fait rêver c’est l’Euroligue »

Une reconversion dans le commerce Avec un objectif raisonné pour sa carrière, Jérôme est tout à fait conscient que la vie d’un basketteur peut être très, trop vite interrompue. Même à seulement 22 ans, « Honnê-

tement j’y pense déjà ». Étonnant quand d’un autre côté, parmi ses coéquipiers de la saison dernière, l’un d’entre eux avouait ne pas s’en être préoccupé à 32 ans. « Après, je me vois bien être commercial. Sinon je pourrais toujours monter un restaurant ». Mais même s’il a fait partie du projet de ses parents en prenant des parts dans l’affaire, ça reste leur projet : « J’espère que ça va bien se développer mais ce n’est pas une fin […] C’est toujours une question d’opportunité, après il faut savoir travailler ».

Et de confier : « Il faut aussi rêver, ça nous permet d’avancer. Ça permet de se dire que si on se donne à fond, on peut peut-être y arriver ». Satisfait de son investissement sur et en dehors du terrain, le club bressan n’a pas attendu la fin de son contrat pour lui proposer de prolonger l’aventure sous ses couleurs. Jérôme vient de s’engager jusqu’en 2014 avec avec l’ambition de ramener la «Jeu» en Pro A le plus rapidement possible... Texte et photos : Vincent Janiaud

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VROUM!

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GOLF 7

Avec plus de 29 millions d’exemplaires vendus dans le monde depuis 1974, la Golf est l’une des voitures les plus populaires jamais fabriquées dans le monde. Pour garder son leadership, Volkswagen se devait de frapper fort avec la dernière évolution de sa voiture emblématique. Force est de constater que la firme allemande a placé la barre très haut avec sa Golf 7.

’« La nouvelle référence », c’est ainsi que de nombreux magazines ou sites spécialisés qualifient cette nouvelle Golf dans la catégorie des compactes. Pour le vérifier, nous avons proposé à Jean-Malo Brille, directeur de la société Menuiserie Guichardan à Péronnas, de se prêter au jeu de l’essai. Fin connaisseur du constructeur germanique, Jean Malo Brille a très vite été séduit par la qualité de finition, le confort de conduite, et la

La nouvelle référence

nouvelle ligne « plus sportive » de la G7. Plus longue de six centimètres (4,255 m), plus large d’un centimètre (1,80 m), avec un allongement substantiel de l’empattement (+6 cm, soit 2,64 m), mais moins haute de 3 cm, la Golf 7 offre un regard plus affirmé, des flancs plus sculptés et une silhouette au final plus fluide. Cette nouvelle combinaison permet à la Golf 7 de se montrer plus accueillante en offrant un espace aux jambes et une largeur aux coudes supplémentaires. La Golf 7 peut donc recevoir confortablement 4 adultes sur de longs parcours. À cinq, en revanche, les jambes du passager central doivent s’accommoder d’un tunnel envahissant. À l’intérieur, Volkswagen a innové avec une planche de bord orientée vers le conducteur. Très bien réalisée, que ce soit les matériaux ou l'assemblage qui sont incontestablement faits pour durer. Elle intègre de série un grand écran tactile. Elle ajoute aussi de vastes bacs de portes ; espaces sous l’accoudoir central avant et dans la console, trappe à ski et tiroirs sous les sièges avant. Pour les bagages, le volume du coffre a gagné 30 litres à 380 litres.

Jean-Malo Brille directeur de l’entreprise Menuiserie Guichardan Jean-Malo Brille est le directeur de l’entreprise Menuiserie Guichardan, ZAC des Bruyères à Péronnas, depuis 1997, à la suite de son beau-père, Philippe Guichardan. L’entreprise est spécialisée dans l’isolation thermique des ouvertures (fenêtres-portes) de la maison et emploie 14 salariés. C’est en amateur éclairé qu’il a testé la dernière Golf. Il est en effet propriétaire d’un Volkswagen Sharan, dans lequel ses trois enfants se sentent particulièrement à l’aise, après avoir possédé une Golf, un Touran et une

(30) Ma(g)ville Bourg-en-Bresse • Février 2013)

Passat. « J’ai choisi Volkswagen pour la qualité générale de la marque, mais surtout pour ses boîtes automatiques. Cela procure un plaisir de conduire incomparable. Nous prenons le temps d’apprécier les choses avec moins d’agressivité, tout en gardant une bonne dynamique, notamment en position sport ». Au final, Jean Malo Brille a trouvé cette Golf 7 particulièrement confortable, agréable à conduire et très silencieuse par rapport à d’autres véhicules de sa catégorie.

Conducteur d’un Sharan, Jean Malo Brille a facilement trouvé ses marques, d'autant que notre version était équipée d’une boîte automatique particulièrement prisée par notre entrepreneur. Montée en roues de 17 pouces, notre Golf 7 s'est joué avec facilité et sûreté de la fine couche de neige tombée le matin de notre test. Cette impression de coller à la route était notamment renforcée dans les virages où la belle allemande ne dévie pas d’un centimètre de sa trajectoire. Le tout dans un silence étonnant. Le bruit du moteur étant à peine perceptible même « en lâchant les chevaux » en conduite plus sportive. Le tout avec une consommation maîtrisée (4.9l/100 km pour le modèle testé) incluant de série un Stop&Start. Plus sobre, mieux équipée, plus sportive avec ses lignes aérodynamiques, avec plus d’espace et toujours aussi sûre, la Golf 7 se donne assurément les moyens de conserver son trône.

Fiche TECHNIQUE Modèle testé : Marque : VOLKSWAGEN Modèle : Golf 7 Carat 2TDI 150 CH, DSG6 Blue Motion

Motorisations disponibles : trois essences (1.2 TSI 85 ch, 105 ch et 1.4 TSI ACT 140 ch) et deux diesels (1.6 TDI 105 ch et 2.0 TDI 150 ch). Golf 100% électrique et version hybride rechargeable en 2014. Boite : 6 rapports (manuelle, automatique et séquentielle) boîte DSG Finitions : trois niveaux ( Trendline, Confortline, Carrat) + packs et options Volume du coffre : 380 l. Prix : De 17 990 €à 32 260 €

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Un véhicule particulièrement bien équipé La gamme mécanique est composée de 4 moteurs. Deux blocs essence injection directe turbo (1.2 TSI 85 ch et 140 ch) et deux diesel (1.6 TDI 105 ch et 150 ch). Au printemps, arriveront les versions GTI de 220 ch et son équivalent diesel GTD. Puis, en 2014, la Golf 100% électrique et la version hybride rechargeable. Techniquement, les Golf 7 intègrent toutes le Stop&Start avec dispositif de récupération de l’énergie au freinage et le frein de parking électrique automatisé. De série également régulateur-limiteur, volant cuir, climatisation manuelle, assistance au démarrage en côte, écran multimédia 5 pouces, détecteur de somnolence et système de freinage multi collision, alerte de perte de pression des pneus. Le tarif débute à partir de 17 990 € pour la version 1.2 TSI 85 ch Trendline 3 portes, et 22 600 € en version diesel 105 ch. Et dès la version Confortline, l’aide au stationnement avant et arrière, allumage automatique des feux, essuie-glace automatique. Et pour la finition Carrat, un régulateur de vitesse adaptatif qui régule automatiquement la distance de sécurité avec le véhicule précédent !

(Février 2013• Magville Bourg-en-Bresse (31)

ARRÊT SUR IMAGES

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Seat présente la nouvelle LEON • chez Planèt-Minia Le groupe Europe Garage a le plaisir de vous annoncer la naissance de sa petite dernière, la Seat Leon. Plus de 200 aficionados de la marque espagnole ont assisté jeudi 24 janvier à sa présentation chez Planèt-Minia.

Zoom sur la Retordica La 29e édition de la légendaire course de traîneaux à chiens et de "ski-joëring" (traîneaux tirant un skieur) s'est déroulée à Cuvéry sur le plateau de Retord les 26 et 27 janvier dernier. Photos Sandra Lambert ©OBJECTIF REPORTAGES www.objectif-reportages.com

Séquence émotion pour Michel Brosselin, Arnaud Lamberet, Nicolas Moninot, les vendeurs et Christian Chenaux, responsable du service après-vente, qui ont dévoilé leur dernière arrivée. S.B.

L'Ain s'invite à la table des meilleurs chefs du monde Le meilleur en matière de gastronomie et de savoir-faire culinaire a fait son show à Lyon à l'occasion du Salon international de la restauration, de l'hôtellerie et de l'alimentation (Sirha). Plus de 2 200 exposants de 130 pays différents viennent avec leurs innovations rencontrer les cuisiniers les plus en vue de la planète. Retour en images avec Corinne Bertrand. Stéphane Prévalet Restaurant Mets et Vins à Bourg-enBresse pour une démonstration cuisine avec les huiles d'olive de Nyons.

MENSUEL GRATUIT édité par HCR Tirage : 10 000 exemplaires Directeur de la Publication

Bernard Bienvenu Rédacteur en chef Ghislain Gros • g.gros@magville.fr Publicité Ma(g)ville Marie Pagès • m.pages@magville.fr 04 74 23 80 78 / 06 01 44 15 69 Publicité Voix de l’Ain & Ma(g)ville Marie Pilar Martinez • mp.martinez@voixdelain.fr Séverine Vavrille • s.vavrille@voixdelain.fr Maryline Vanden Steene • m.vanden-steene@voixdelain.fr Dominique Cazanove • d.cazanove@voixdelain.fr

Patrick Bourgeois avec les Gaudélices à Tossiat

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Ont collaboré à ce numéro Jean Philippe Auray, Serge Blanc, Charlotte Vincent, Caroline Guerin, Sylvie Cheuzeville, Stéphane Rabut, Marion Villeminot, Corinne Garay, Frédéric Rihn, Vincent Janiaud, François Membre. Photos : Corinne Bertrand, Fotolia Siège social : 16, rue Lalande • 01000 Bourg-en-Bresse Impression : AGB Liste des points de diffusion et précédents n° consultables sur www.magville.fr Retrouvez-nous aussi sur

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14 place Joubert 01000 Bourg-en-Bresse (face à la préfecture)