MAGVILLE 4

g Ma( )ville.fr

N°4

le magazine

du citadin curieux

mai 2010

ro é m u n Dans ce

Dacia Duster Mordrez-vous la

poussière ?

© photo : Corinne Bertrand

Restaurant

La campagne... en ville

Transats, binettes et barbecues En Afrique du Sud (Sans Domenech)

Au jardin !

QUOI-2-9 ?... tenez-vous au courant SORTIRVOIRECOUTER... notre agenda

Bourg-en-Bresse

COMMUNICATION

GLOBALE

print’

CENORD 18. Arago BP 7554 01007 Bourg-en-Bresse Cedex Tél. 04 74 45 52 80 Fax 04 74 22 61 50 conseil@agb.fr www.agb.fr Routage

Création / PAO

CTP

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Finitions

SOMMAIRE Dis-moi comment est ton jardin ?

Pages 6, 10 à 13, 17, 20 et 21

C’est de saison !

Jardin public, jardin avec piscine, BBQ, et caoutchouc bambou et potager.

Pages 4 et 5 QUOI -2-9 ? Anniversaire Jumping Chocolat Cacharel

Pages 8 à 16

Restaurants, escapades...

17 La page écolo

Cahier Femmes Pages 18 à 20

Edito

Cahier hommes Pages 21 à 23

Pages 24 et 25

Du côté des entreprises

Contributrice Corinne Bertrand Photographe culinaire et responsable de l’Atelier photographique, cofondé avec Thierry Moiroux, Corinne Bertrand collabore régulièrement avec Ma(g)ville : au programme de ce numéro, des bottes, un potager en ville et une drôle de voiture cubique !

Essayez, juste pour voir, de prononcer le mot barbecue lors d’une conversation, et vous verrez le flot de commentaires, parfois passionnés, que le sujet suscite. Entre les inconditionnels du bois et ceux qui ne jurent que par le charbon ou le gaz, les adeptes des saucisses-merguez et les chantres de la côte de bœuf, les fines fourchettes, qui vous la jouent gastro au point de vous concocter un menu entier sur le gril à grand renfort de papillotes et de rôtissoires, les férus de nouveautés qui vouent un culte à la plancha... vous verrez, essayez ! Vous n’en reviendrez pas.

Bon, ceci dit, pour profiter des joies du BBQ, encore faut-il que la météo soit au rendezvous... Et puis il faut aussi un jardin.

Difficile, en effet, d’étaler son attirail dans un jardinet public. Exit aussi les balcons d’appartement qui, réglementation oblige, ne tolèrent que l’ersatz électrique.

Le jardin, c’est une autre et vaste histoire, ça ! Entre le potager de grand-papa, aux rangs nickel et bien binés, les japonisants zen et les extérieurs design, les sources d’inspiration ne manquent pas. On a voulu en avoir le cœur net et on est allé voir. Et force a été de constater qu’il existait presque autant de jardins que de jardiniers.

Bref, montre-moi ton jardin, et je te dirai qui tu es !

Frédéric Rihn

(Mai 2010 • Magville Bourg-en-Bresse (3)

QUOI -2-9?

Gilles et la

Chocolaterie Gilles Barnasson est pâtissier chocolatier depuis plus de 20 ans. Un virus qui court dans la famille depuis moult générations.

Originaire des contreforts de l’Ain et arrivé à Bourg avec les cloches de Pâques, le couple qu’il forme avec sa compagne s’est offert ce bel écrin tout en gourmandise et en sophistication, rue Pasteur, à Bourg.

A l’intérieur, ombrageant la banque, un immense arbre de fer forgé qu’on dirait sculpté dans du chocolat, apporte une note arty aux lieux qui par ailleurs ne manquent pas de chaleur dans l’accueil.

Le Gouverneur sera Smart Le 25e trophée Smart aura lieu les mercredi 23 (compétition individuelle) et jeudi 24 juin (par équipe) au golf du Gouverneur, à Monthieux, dans l’Ain. Sorte de grand raout du monde des affaires et des jet-setteurs régionaux, le trophée Smart est chaque année l’occasion de nouer de fructueux contacts dans un esprit de convivialité autour du golf. Preuve par 18 que fair-play, esprit de compétition et sens des affaires peuvent aussi aller de pair.

Jumping international Bourg-en-Bresse

Le golf de la Bresse fête ses 20 ans Si en 20 ans, le paysage golfique a considérabelement évolué, passant de moins de 100 000 golfeurs en 89 à plus de 400 000 aujourd’hui, le golf de la Bresse à su rester fidèle à ses valeurs. Un récent sondage du Figaro Rhône-Alpes l’a même classé 2e golf préféré des joueurs sur les 60 golfs rhônalpins. Quel plus beau cadeau d’anniversaire ! Au menu des réjouissances, qui courront du samedi 22 au lundi 24 mai, trois jours de compétitions sportives et conviviales et une soirée animée le dimanche.

Infos : www.golfdelabresse.fr

Le 20e jumping international de Bourg formera, comme chaque année, l’évènement du printemps dans la capitale burgienne.

Cette manifestation, qui fait partie des six concours internationaux du circuit France sera dotée, cette année, d’une cagnotte de 200 000 euros.

Outre son volet sportif, le Jumping, c’est aussi la plus grande concentration de jet-setteurs du calendrier burgien. Deux moments forts viendront ponctuer ce grand raout : les soirées du jeudi et celle du samedi.

3-4-5-6 juin 2010 Plus d’info sur www.csi-bourg.com

(4) Magville Bourg en Bresse • Mai 2010)

?

RUE & RUMEURS

On se faisait du souci pour

O Sushi

Ben manifestement, on avait raison ! D’abord, on a pensé qu’ils étaient partis en vacances en oubliant de mettre un mot sur la porte pour prévenir tous les fidèles qui se heurtaient tout penauds à la porte vitrée, condamnés à se rabattre sur un sandwich au cholestérol. So, and what else ? On murmure qu’un vendeur de pâtes à emporter devrait prochainement prendre le relais du coupeur de thon. Mais à tout prendre, ça sent plutôt la rumeur non confirmée. Ah, pendant qu’on y est... les bruits de rues nous ont également chuchoté l’arrivée imminente de deux nouvelles boutiques pour enfant sur la ville... A suivre.

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Hardrige pour nous, les hommes En velours de veau, le modèle Lawrence reflète tout l’esprit indémodable et le savoir-faire made in France de la maison iséroise Hardrige : une ligne classique et élégante pour un look urbain, résolument contemporain.

Le modèle bleu se distingue par ses lacets fuchsia, une note gaie et tendance pour un style dans l’air du temps ! Enfin, nous en tout cas, on aime, même si c’est pas donné.

Plus d’infos sur les points de vente : www.hardrige.com

REVENDEUR OFFICIEL

Juste Acôté de Cotélac Cotélac, la marque de prêt-à-porter féminin (et aussi masculin depuis 3 ans) créée par deux natifs de l’Ain il y a 18 ans et dont le siège social se trouve à Ambérieu-en-Bugey, a décidé de développer son enseigne Acôté, malgré ses 80 et quelques boutiques disséminées de par le monde Acôté, c’est quoi ? La petite sœur de Cotélac, tout simplement. Des vêtements tout aussi branchés, mais au style général un peu plus jeune et aux prix un chouia plus abordables. On murmure qu’un nouveau magasin devrait ouvrir prochainement à Grenoble (juste à côté, donc) et qu’une trentaine d’autres devraient suivre d’ici trois ans, un peu partout en France.

Photo DR.

D’autre part, l’entreprise devrait prochainement transférer son unité de production des Neyrolles sur son site mère à Ambérieu-en-Bugey.

Un déménagement qui devrait s’accompagner d’une trentaine d’embauches.

Un pop-up store Cacharel à Lyon Il a ouvert le 18 mars, presque en catimini. Le magasin éphémère Cacharel (un pop up store, dans le jargon hype) fermera ses portes au mois de juillet. Rideau ! Car c’est même ça le principe. Susciter le désir, faire l’évènement, le buzz comme on dit, bref, trois petits tours et puis s’en vont ! Sans renier ses origines et le motif Liberty qui

a fait sa notoriété, la marque se pare d’influences nouvelles sous le dessin d’un nouveau directeur artistique, Cédric Charlier, qui a fait ses classes chez Céline et Lanvin, notamment. Courez-y ! Le Liberty, qu’on se le dise, est le gros come back du moment.

Boutique éphémère Cacharel 1, rue Emile Zola, Lyon 2e.

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(Mai 2010 • Magville Bourg-en-Bresse (5)

SORTIRVOIRECOUTER son Le bon

Ecoutes ta nature Entièrement enregistré en stéréo et en numérique, ce disque présente l’acoustique des forêts de sapins (vent, chevreuils, chouette chevêchette, grive musicienne, pinson des

Rendez-vous dans un jardin !

57 parcs et jardins privés et publics ouvriront leurs portes en Rhône-Alpes, dont 8 dans l’Ain, à l’occasion de cette 8e édition des Rendez-vous aux Jardins, placée, cette année, sous le thème du “jardinier et ses outils”.

1

Toutes les catégories de jardins sont représentées : jardins historiques et contemporains, jardins remarquables, thématiques, de collection, partagés ou d'insertion, d'entreprises du paysage. Dans ces jardins, un accueil de qualité est proposé au public, qui pourra échanger avec les propriétaires, jardiniers, botanistes, animateurs, guides-conférenciers des « villes et pays d'art et d'histoire », membres d'associations, pépiniéristes, professionnels des services des espaces verts et partager un moment convivial en compagnie d'artistes plasticiens, musiciens et comédiens qui animeront ce rendez-vous.

Dans l’Ain, vous pourrez ainsi visiter les jardins Guichard et Matel, à Bellegarde sur Valserine, le jardin des Simples, à Châtillon, le parc du château de Joyeux à Joyeux, le jardin sensoriel à Reyrieux, le jardin du château de Saint-Bernard à Saint-Bernard, les jardins aquatiques à Saint-Didier-surChalaronne, le potager et le verger conservatoires du Musée du Revermont et le parc du château de Loyes à Villieu-LoyesMollon.

La gratuité est offerte aux moins de 18 ans pendant les trois jours (hors ateliers spécifiques). Jeux, ateliers, démonstrations des techniques du jardinier ou parcours contés complètent l'offre de visites pour le jeune public.

Les Rendez-vous au Jardins. Les 4, 5 et 6 juin 2010. Programme en ligne sur www.rhone-alpes.culture.gouv.fr/jardins

A NE MANQUER sous aucun prétexte

l’Agenda du mois Gen ève

Bou rg

Prenez un grand bol... d’Or

Dans un Hangar, la nuit

To u t e s v o i l e s d e h o r s !

Une vraie régate, dont l’origine remonte à 1939 entre Genève et la commune de Bouveret, sur le lac Léman. Un parcours de 123km et une occasion en or d’admirer de beaux équipages. C’est pas l’America’s Cup, mais ça vaut vraiment le coup d’oeil avec régulièrement plus de 600 inscrits (monocoques et multicoques) toutes voiles dehors. Eric Tabarly luimême a participé à l’épreuve en 1994.

Quand ? Les 11,12 et 13 juin.

Où ? A Genève.

Troisièmes nuits enchantées Soirée musique et littérature, en présence du bouquiniste Christophe Goumaz.

Avec Jean-Christophe Gonot et la violoncelliste Sandrine Monbrison, l’écrivain Jean-François Dupont en performance avec le musicienchanteur Arnaud Colignon et enfin le bluesman Jack Bon en compagnie de Béa Tristan.

Quand ? Vendredi 28 mai à 20h30.

Où ? Au Hangar-café de Bourg (zone Cénord). Renseignements et réserv. : 06 89 42 69 06.

Serial

Le mystère du noir

Une journée dans la forêt de sapins. Bio sound / Frémaux & associés. 13 euros env.

lecteur

Bon, le pitch, c’est le suivant : le printemps vous donne un brusque montée de sève. Du coup, chez vous, vous trouvez tout moche ! Vous avez envie d’espace, de réaménager votre balcon, votre terrasse ou votre jardin pour les plus chanceux. Mais bon voilà : la déco, c’est pas vraiment votre fort et puis le jardinage, n’en parlons pas ! Et bien pas de panique, on a pensé à tout. “Les bases pour jardiner”, paru en 2009, est un petit bouquin bien fichu qui s’adresse aux vrais néophytes. Sans se lancer dans des réalisations trop tarabiscotées, il répond aux principales questions que l’on se pose et fournit

Mâ co n

arbres, pic noir, rougegorge, bouvreuil pivoine...) enregistré dans une des plus vieilles sapinières d’Europe, au coeur de la Pologne !

Dans la même veine, et pour les puristes à l’oreille affûtée, on vous conseillerait bien aussi Une journée dans une forêt de chênes dans le même label.

les explications au moyen d’illustrations claires et d’encadrés compréhensibles, même par nous. Le second, est écrit par des spécialistes (botanistes et photographes) et nous apprend à tourner autour du pot tandis que le troisième est un petit guide pratique pour ceux qui veulent concilier espace vert et vie en ville et/ou en appartement.

Les bases pour Jardiner, Jean-Michel Groult, Ulmer Edition (env. 13€) Les plantes en pots Pierre Nessmann et Brigitte et Philippe Perdereau, Aubanel (Env.19€). Aménager balcons et terrasses. Emilie Courtat. Hachette (Env.19€)

Saint Vulbas Le printemps de Calogero bgbv (beau gosse, belle voix)

Littérature policière et mystère Après Lyon, Mâcon s’y met aussi et organise un Salon de la littérature policière et du mystère “Raisin noir”. Discussions, dédicaces, animations, concours et café littéraire dans divers lieux de la ville.

Quand ? Du samedi 12 au dimanche 13 juin. De 10h à 18h. Où ? A Mâcon (Hôtel de Ville, Salle du Conseil, Salle Fr. Martin, espace Carnot, Médiathèque...) Combien ? Entrée gratuite. Renseignements : société des auteurs de Bourgogne.

Si on parle de lui, ce n’est évidemment pas parce qu’il est de Grenoble ! Mais parce qu’il est bon. L’ex membre des Charts (vous n’étiez pas nés, tant pis !) vient faire la promo de son nouvel album “l’embellie”, entre balades romantiques et pop chaloupée. De la musique de midinette, vous avez dit ?

Quand ? le 26 mai. Où ? Au centre international de Saint Vulbas dans le cadre du Printemps de Pérouges. Combien ?

De 40 à 50 euros. Rens. et réserv. : www.festiva-perouges.org

Théâtre ◗ Mardi 18 mai à 14h et 20h30 et mercredi 19 mai à 19h, durée 1h. Délire à deux (théâtre). d’Eugène Ionesco par Lardenois et Cie. ◗ Jeudi 27 mai, 20h30, Durée 1h20. Le Grand C. (Cirque à voir en famille). Portées acrobatiques pour envolées lyriques. ◗ Mercredi 9, samedi 12 et mercredi 16 juin, 10h et 14h30. Une valise dans la tête. (Chansons à partir de 3 ans). Chant, guitare, texte et composition : Petrek.

Théâtre de Bourg (www.théâtre-bourg.com)

Théâtre de la Citadelle (www.théâtredelacitadelle.com) ◗ Vendredi 14 et samedi 15 mai, à

20h30. Médée (théâtre)de Franca Rame et Dario Fo. ◗ Vendredi 28 et samedi 29 mai, à 20h30.

Dimanche 30 mai à 15h. Cocteau, la voix humaine, le Bel indifférent. (théâtre) avec Aurélie Marpeaux et Gérard Col. ◗ Vendredi 4 et samedi 5 juin, à 20h30. “A l’ombre des mots” (danse) par la compagnie Chtinguelah.

Musique

La Tannerie (www.la-tannerie.com) ◗ Lundi 17 mai, à 19h Michel Doneda & Tetsu Saïtoh (improvisation musicale libre). La Truffe hors les murs - Artphonème 9 rue Lazare Carnot Bourg. ◗ Vendredi 21 mai, à 20h30 Le Peuple de l'Herbe + Miss Ficel (electro). ◗ Samedi 29 mai, à 20h30. LAZYgunsBRISKY + Tringles (punk'n'roll girls band) + défilé Cosplay dans le cadre de la semaine du Japon, en clôture de Br'Ain de Cirque. Sous chapiteau (la truffe hors

les murs). ◗ Vendredi 4 juin à 20h30 Carte blanche au DJAMA (entrée libre et gratuite).

Carte blanche pour le département Jazz et Musiques actuelles du Conservatoire à rayonnement départemental de Bourg-en-Bresse Agglomération. ◗ Vendredi 11 juin à 20h30 « Les chanteurs de salle de bains », création musicale pour chœurs et orchestre de Frédéric Garcia. Interprétée par les chorales : « La Pêche et la Banane » de Rillieux-la-Pape + « Les Enchoraleurs » de Bourg.

7bis Chemin de Traverse

(www.raiso-

nancecontemporaine.org) ◗ mardi 25 mai, 12h30 et 19h. Durée : 25mn. Poèmes orientaux, de Jean-Claude Wolff Voix et piano. Où ?

Tremplin, 171, avenue de Mâcon à Viriat. ◗ Vendredi 11 juin à 18h30 et samedi 12 juin à 16h. Durée : 30 mn. Création (voix, violon, dispositif éléctroacoustique, dispositif vidéo et art numérique) Où ? SAS ORSAC 26 avenue des Anciens Combattants, à Bourg. ◗ Mercredi 16 juin à 16h et jeudi 17 juin à 19h. Durée Carte blanche au conservatoire à rayonnement départemental. Orchestre de Chambre Où ? Au foyer Les Quatre Vents 36 bd Saint-Nicolas, à Bourg.

Cinéma

Le Cinémateur (www.cinemateur01.com) ◗ Du 5 au 17 mai, Precious, de Lee Daniels. ◗ Le 7 mai, La leçon de Tango, de Sally Potter. ◗ Le 12 au 24 mai, 8th wonderland, de Nicolas Alberny et Jean Mach. ◗ Du 20 au 24 mai, Tengri, le bleu du ciel,

de Marie-Jaoul de Poncheville. ◗ Du 26 mai au 05 juin, Jours d’hiver, plusieurs réalisateurs. ◗ Du 26 mai au 6 juin, Mon voisin Totoro, de Hayao Miyazaki. ◗ Du 26 mai au 7 juin, Achille et la tortue, de Takeshi Kitano. ◗ Du 27 au 31 mai, Shara, de Naomi Kawase.

Livre

Echange de mails Leo Leike reçoit un e-mail arrivé par erreur et le signale à l’inconnue, Emmi Rothner… qui récidive quelques mois plus tard !

Ainsi va commencer cette troublante correspondance du XXIème siècle. Au fil de leur échange, Emmi et Leo vont en venir à parler de choses plus intimes, jusqu’à devoir définir la relation ambigüe qu’ils entretiennent.

Mail après mail, le ton est juste, on rit, on s’inquiète, on espère… recevoir des mails d’un inconnu !

Quand souffle le vent du nord. Roman de Daniel Glattauer. Grasset.

Avec la collaboration de la

(Mai 2010 • Magville Bourg-en-Bresse (7)

© Photographies : Corinne Bertrand

Pour les papilles

A

vant, c'était Chez Germaine. l'alambiqué, même si le soir, le travail de préSinon un haut lieu de gastrono- sentation est un peu plus soigné. A noter mie, du moins un coin remar- aussi, le choix de trois entrées et trois plats quablement dans son jus, avec le midi « jusqu'à épuisement du stock » dit le la patronne nonagénaire qui patron. Lorsque nous y avons mangé, c'était cuisinait-servait ses clients sans bouger de la radis beurre en entrée et bœuf bourguignon, maison, jusqu'à vivre aussi sur place. langue sauce piquante ou hachis parmentier En comparaison, le concept d'Alain Rollet en guise de plat. Alain Rollet aime bien aussi paraîtrait presque avant-gardiste. A défaut de faire cuire des tartes. Sa « spéciale » ? Une s'inscrire pleinement dans la tendance de tarte aux oignons du Bugey, pommes et huile l'épuré-branché-chicos-etde noix ou celle, beaucoup plus cher, lui, il fait plutôt dans « L’été dernier(...), parfumée... au maroilles ! le convivial et l'authenPlus sobrement, son entrée les gens ont déjeuné tique. Le « comme à la maipeu aussi bien se composer de sur l’herbe » son », lui disent parfois ses harengs marinés et pommes de clients. L'accueillant, pour terre vapeur, avec côté plat : faire simple. des jambons braisés, des blanPourtant, s'il a un peu roulé sa bosse, Alain quettes ou des goulashs.

Rollet ne s'est pas improvisé cuisinier sur le Les soirs de concert, Alain Rollet propose tard. En matière de casseroles, l'homme trim- généralement un menu unique (tajines, balle son lot de bagages : trois ans d'appren- moussakas), histoire de ne pas se disperser, tissage au buffet de la gare, à Pont-d'Ain, et même s'il reconnaît avoir toujours une entreune tripotée d'adresses à Divonne, Paris et en côte à faire griller sous le coude pour les stations avant de monter sa propre affaire sur allergiques aux plats maison. Car c'est l'autre Bourg. C'était il y a… longtemps, déjà. attrait du lieu ça, le côté festif. La maison a Lorsqu'il a vendu, Alain Rollet est parti tailler été agrandie pour en faire émerger sur l'arla route au Maghreb, d'abord, puis en Inde, rière une sorte de terrasse véranda qui donne sac au dos, avec sa compagne et son fils. sur le jardin et aux beaux jours, on peut y Quelques années très roots, signant pour lui manger littéralement les pieds dans le potaun profond retour aux sources, avant d'enta- ger. « D’ailleurs, l’été dernier, assure Alain Rolmer ce nouveau départ au Café de Campagne, let, lors du concert de jazz manouche, il faisait qu'il a racheté il y a onze ans. tellement chaud que les musiciens ont joué à Alors aujourd'hui, ça donne quoi ? Avant l’intérieur, la porte ouverte, et les clients sont tout, une vraie générosité dans l'assiette. restés dehors, à manger sur l’herbe. » Alors Avec des plats simples, mais frais, cuisinés bien sûr, si vous ne souffrez pas la déco de avec un réel savoir-faire et un art consommé bric et de broc, le genre retour au pré néo des épices, sans pour autant faire dans bobo, tout comme les parasols publicitaires

(8) Magville Bourg-en-Bresse • Mai 2010)

dans la cour de l'entrée ou les chaises en plastique du jardin, mieux vaut passer votre chemin. Mais qu'on ne s'y trompe pas. Car Alain Rollet n'est pas un bleu et le laisser-aller, ce n’est pas son truc ! Disons simplement que l'adresse n'a rien de guindée. Qu'on peut y croiser son patron comme l’ouvrier du coin, un musicien de passage ou un plasticien iconoclaste. « J'aime le côté artistique que je donne aux lieux », dit d’ailleurs Alain Rollet en désignant un abat-jour en fer blanc d'où pendent, en guise de pampilles, cuillères et fourchettes rangées en rangs serrés tandis que l'arbre du jardin est envahi par une sculpture de Gérard Guy baptisée Déjeuner sur l'arbre.

Bref, avec Murielle en salle, Alain Rollet attend votre visite sans s’en faire, quitte à partager en votre compagnie une part de tarte “maison” pour le dessert ! • F.R.

Où, quand, comment ?

En pratique

Café de Campagne

« J’aime les contributions d’artistes », dit le patron qui envisage d’exposer prochainement des photos et qui s’adonne, par passion, au montage d’horloges sur des supports divers et variés. « Je suis porté sur la création ! » avoue-t-il.

Bar restaurant Café de Campagne 422, av. de Lyon, Péronnas Fermé dimanche et lundi Tél. 04 74 21 24 83

Menus à 11E le midi (entrée + plat + dessert), 13E le soir.

Concerts du vendredi, vernissages et expos...

Plusieurs dates par an. Pour plus d’infos sur la programmation :

www.cafedecampagne.fr

••• pour les papilles

•

• R•

T U TO

IR O V A S

SU

les vins rosés

••• par Guyot, la cave gourmande

Le pressurage direct C’est une technique moderne qui, grâce aux progrès techniques des pressoirs pneumatiques, permet de presser directement et de manière douce les raisins.

La Maison GUYOT vinifie, sélectionne et contrôle l’élaboration des vins rosés présents dans ses Caves. Chacun d’eux est le reflet de son terroir, de son vinificateur. Un style différent pour chaque appellation, chaque cuvée. Autant de choix, c’est une bonne raison de venir les déguster et trouver votre « coup de cœur » rosé de l’été.

ZOOM TECHNIQUE La vinification en rosé s’effectue principalement par deux méthodes différentes :

La saignée C’est la méthode traditionnelle qui consiste à macérer quelques heures les raisins après l’encuvage et de laisser ensuite s’écouler une partie des jus alors colorés par cette petite macération au contact des baies des raisins, porteuses des matières colorantes. L’inconvénient de cette méthode est la difficulté de maîtriser la couleur et la teneur en alcool, car les premiers jus sont souvent les plus sucrés.

Les cépages utilisés pour élaborer des rosés sont les principaux cépages rouges existants dans les régions viticoles : Grenache, Syrah, Pinot, Gamay, Cabernet, Merlot, Cinsault, Carignan, etc.

Cuves thermorégulées - Maison GUYOT

Le faible temps de contact entre les jus et les baies permet d’obtenir ces belles robes rose pâle. Une fois pressés, les jus fermentent lentement après un débourbage qui clarifie la cuvée. Cette fermentation s’effectue à basse température (entre 15 et 20°C) pour conserver la qualité aromatique des raisins dans le respect de la typicité de leurs cépages.

GUYOT La Cave Gourmande Centre commercial La Neuve 44, rue du Plateau 01440 VIRIAT Tél. 04 74 30 32 57

Chaix GUYOT « Le Millepertuis »

Ouvert du lundi au samedi de 9h30 à 19h30 (Mai 2010 • Magville Bourg-en-Bresse (9)

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération

L

’évolution de la consommation des vins est très favorable aux vins rosés. Plus légers, plus fruités et pouvant se servir à l’apéritif comme sur tout un repas, leur production se diversifie et augmente.

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Cultivez votre jardin !

Votre terrasse,

votre balcon, votre pot dans la cuisine

I

nstallés près d’Annecy, Annick et JeanClaude en ont eu assez de la neige !

D’où l’idée de se mettre en quête d’un petit coin de nature... en ville. Une terre à cultiver, quelques bulbes à faire éclore et puis surtout de quoi donner libre cours à leur goût familial pour la déco. Lorsque l’opportunité d’acquérir ce tronçon de ferme en plein cœur de Bourg-en-Bresse s’est présentée, la décision n’a pas tardé : « Quand j’ai vu l’endroit, raconte Jean-Claude, décorateur extérieur spécialisé dans le bois, j’ai vu tout le parti qu’on pouvait en tirer. » Le résultat : 650m2 de terrain, en partie couvert d’une superbe terrasse en Ipé, un bois exotique imputrescible résistant à l’eau et aux intempéries, et des recoins aménagés, idéal pour préserver des lieux d’intimité en dépit de l’activité chambres d’hôtes qu’ils ont initiées.

(10) Magville Bourg-en-Bresse • Mai 2010)

Au fond, derrière la piscine, Jean-Claude s’est aussi évertué à aménager un petit potager surélevé, en employant la terre extraite lors du creusement de la piscine. Une sorte de potager japonais, pratique et ornemental, dans lequel il se plaît à composer des palettes de couleurs avec de l’ail et des plants de tomates.

“On rêvait d’une terrasse végétalisée” Sur la terrasse, une déco minimaliste, presque zen, composée de sedum, une plante vivace adaptée à nos latitudes qui ne demande aucun arrosage et peut s’acheter en plaques précultivées d’un mètre sur un. Seul impératif : une exposition plein soleil. « De là, on a une vue imprenable sur la piscine et le potager », glisse Annick.

Plus d’infos : www.riad-des-baudieres.com • vignon-bois-julien@wanadoo.fr

Clôtures Le premier souci pour tout nouvel acquéreur de jardin en ville est souvent de se protéger contre le regard inquisiteur des voisins. Le bambou peut constituer une bonne option, mais attention aux rhizomes, qui peuvent occasionner des dégâts considérables au loin. Privilégiez des variétés non traçantes, comme le bambou Fargesia, qui peut atteindre deux à trois mètres de haut. Autre option de plus en plus prisée en remplacement des clôtures de lauriers ou de cyprès : le mélange de plusieurs arbustes à feuilles persistantes, à la floraison échelonnée sur l’année, comme le photinia à pousses rouges, l’abelia à feuilles vertes ou panachées, l’oranger doré du Mexique ou le fusain.

L’option potager Tout le monde n’a pas la main verte. Alors, si envers et contre tout, vous vous décidez tout à coup à manier la binette, allez-y pas à pas. Pour commencer, un petit carré de terre de 2x2 m suffira amplement.

Ou trouve même aujourd’hui dans le commerce des bacs surélevés, qui permettent de cultiver ses premières salades sans se ruiner le dos. Enrichissez la terre avec un bon terreau ainsi qu’un engrais qui stimulera l’enracinement.

Quant aux plantes, commencez par des aromatiques, qui hormis le basilic, reviendront tous les ans, des salades, des courgettes, des poivrons ou des tomates cerises, excellentes pour l’apéro. Le mieux est d’attendre le passage des Saints de Glace (11, 12, 13 mai) avant d’entamer les plantations. Vieilles traditions obligent.

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BOURG EN BRESSE

Tout le monde n’a pas la chance d’avoir un coin de jardin sous la main. Ni même un balcon, d’ailleurs. La marque Royal VKB a précisément pensé à eux en créant... un cache-pot à plantes aromatiques à placer sur le plan de travail de la cuisine. Petit plus : les ciseaux sont fournis avec !

Où ? Chez Inova, à Saint-Denis-les-Bourg.

La cuisine au barbecue Les puristes vous diront que rien ne vaut le bois pour le goût qu’il procure aux aliments. Encore faut-il avoir sous la main la quantité suffisante de bois ! Le charbon, s’il a mauvaise réputation, n’est pas consommé sous nos latitudes en quantité telle qu’il en deviendrait un poison. Et puis, on aurait tort de bouder les nouveaux procédés plus faciles à utiliser et à nettoyer comme les barbecues de la marque Weber. Leurs galets de charbon de bois compressé offrent une meilleure combustion. En plus, ils ont pour eux un design d’enfer avec leur cloche ronde qui les fait ressembler à des soucoupes volantes. L’avantage du couvercle : éviter la survenance de flammes et une diffusion de la chaleur plus homogène.

Quant au barbecue au gaz, il a ses détracteurs, qui trouveraient volontiers qu’il ne s’agit pas d’un véritable barbecue, et ses farouches défenseurs (ceux qui ne savent pas allumer un feu !?).

Pour Cyril, vendeur chez Villa Verde, les barbecues au gaz représentent 70 à 80% © Photographie : Corinne Bertrand

des ventes. Leur avantage : le côté pratique. Allumé d’une pression sur un bouton, le barbecue au gaz permet un emploi rapide entre midi et deux. Chose impensable avec du charbon. « En fait, poursuit Cyril, les acheteurs de barbecue au gaz s’en servent comme d’une cuisine d’été, midi et soir, presque six mois par an. » D’autant que les modèles les plus perfectionnés sont aujourd’hui assortis de brûleurs pour faire réchauffer des légumes à côté du gril, de procédés à chaleur tournante, de fumoirs et de rôtissoires. Bref, de quoi y perdre ses allumettes !

Mais la grosse tendance du moment, c’est la plancha ! Cuisson sans huile, directement sur la plaque et sans odeurs résiduelles, la plancha se veut le procédé idéal pour alterner viandes et poissons.

Enfin, comme dit ma belle-mère : « C’est toujours les hommes qui se gargarisent de leur cuisine à la plancha et les femmes qui se la coltinent au moment du nettoyage ! »

(Mai 2010 • Magville Bourg-en-Bresse (11)

Escapades Le parc de la Tête d’Or compte sept entrées. Ici, la porte principale, dite des Enfants du Rhône, a été classée aux monuments historiques en même temps que la grille de l’entrée Montgolfier, l’île du Souvenir et les grandes serres.

Lyon, parc de la

A

vec ses 105 hectares, le Parc de la Tête d'Or forme le plus grand parc urbain d'accès gratuit en France. Créé il y a 153 ans par deux architectes-paysagistes visionnaires, les frères Bühler, il fait aujourd'hui le bonheur des familles et des joggeurs, des amoureux de roses, des férus de plantes carnivores, comme des passionnés d'animaux sauvages ou des pêcheurs. « Le parc accueille trois millions de visiteurs par an, explique Daniel Boulens, directeur des espaces verts de la ville de Lyon. 40 à 50% de ces visiteurs sont lyonnais. Le reste vient de l'agglomération ou de tout Rhône-Alpes. » Or, parmi les visiteurs rhônalpins, l'Ain arriverait en tête.

Pour Daniel Boulens, le principal attrait du parc, c'est d’abord le parc lui-même. Ses 8800 arbres, dont les plus anciens sont aussi vieux que le parc, les grandes perspectives et les pelouses gigantesques, accessibles au public depuis 2002, qui donnent à la Tête d'Or des airs de campus l’été.

Des activités pour les enfants, le parc n'en manque pas non plus. Outre les animaux du zoo (qui comprend aussi la plaine africaine et le parc

(12) Magville Bourg-en-Bresse • Mai 2010)

Vaste de plus de 100 ha, le parc de la Tête d’Or compte 8800 arbres, près de 200 mammifères et autant d’oiseaux, plusieurs dizaines de milliers de roses et quelque 15000 plantes de la région au sein du jardin botanique.

Il accueille chaque année près de trois millions de visiteurs.

Tête d’Or

aux daims), le parc de la Tête d’Or est aussi doté des jeux traditionnels (toboggans, etc.), ainsi que de carrousels à l'ancienne, de possibilités de faire de courtes balades en calèche attelée à des poneys, de se promener en barque, d’embarquer à bord d’un petit train, sans même parler des marchands de friandises, parmis lesquels gaufres et barbes à papa tiennent le haut du pavé. « Une vingtaine de commerçants dispose d'une concession pour exercer leur activité au sein même du parc », précise Daniel Boulens.

visiteurs qui franchissent en même temps l’une de ses sept grilles. Grâce à son exceptionnelle organisation paysagère, on trouvera en effet toujours un coin au calme pour s'abriter, même lors des week-ends particulièrement chargés, comme le dimanche de Pâques, qui a vu les grilles franchies par 40 000 visiteurs (presque l'équivalent de la ville de Bourg). Il régne toujours sur le parc, une certaine sérénité et un profond sentiment de sécurité.

Paradis des joggeurs, et des promeneurs

• A faire : visites guidées des coulisses du zoo. Durée : 1h30. Tarif : 6€ par personne. Inscription en ligne sur : www.loisirs-parcdelatetedor.fr • Parking : le stationnement aux abords du parc peut rapidement devenir un casse-tête lors des gros weekends d'affluence. Deux solutions pour ceux qui opteraient pour la voiture : le parking (gratuit) de l'université de la Doua (10 mn de marche) ou les 2200 places des parkings de la Cité Internationale.

Idée de balade : depuis l'aménagement des berges du Rhône, il est désormais possible de relier le parc de la Tête d'Or à celui de Gerland (5 km) vélo, via la piste piétonne et cyclable qui longe le fleuve. Un must à pratiquer le matin ou en semaine !

Le dimanche matin ou en fin d'après-midi le sentier d'un peu plus de 4 kilomètres qui ceinture le parc est aussi un véritable paradis pour les joggeurs. Et les pêcheurs ne sont pas en reste non plus, puisque le lac creusé à ses origines par les ouvriers canuts et alimenté aujourd'hui directement par la nappe phréatique abrite sur ses 17 ha, une invraisemblable quantité de gros poissons. Seule obligation pour y tremper sa ligne : s'inscrire au poste de police, de manière à ne pas dépasser une vingtaine de pêcheurs par jour.

Malgré ses attraits le parc de la Tête d'Or sait rester accueillant, quel que soit le nombre de

• Le parc est ouvert de 6h30 à 22h30 de mi-avril à fin septembre. (Fermeture à 20h30 en hiver).

Plus d'infos sur www.loisirs-parcdelatetedor.fr

Vous aussi, venez l’essayer !

Nissan Bourg-en-Bresse Rue Marius Berliet ZA Cénord 01000 Bourg Tél. 0800 507 414 nissan.bourgenbresse@autobernard.com

"Sérial shoppeuses !" Attroupement inhabituel, ce jour-là, devant la boutique de décoration Une Autre Histoire, rue Thomas Riboud, à Bourg. Sophie et sa maman s'étaient lancées dans une séance effrénée de shopping. Leur rutilante Nissan Cube aux tons chocolat n'a pas manqué d'attirer l'attention des passants et des riverains. C'est que le "Cube" se prête idéalement à ce genre d'exercice urbain. Maniable et facile à garer grâce à la technologie Nissan connect et sa caméra de recul, le "Cube", bénéficie en outre d'un coffre aux dimensions généreuses, à l'accès facilité par son ouverture de type portière et d'un système de www.nissan.fr démarrage sans clé très pratique. Et puis surtout, il y a ce look au design inimitable !

Le jardin zoologique Les roseraies Le jardin botanique Présent depuis les origines, sa mission a considérablement évolué. Il y a un siècle et demi, le zoo avait pour vocation de faire étalage d'exotisme. « Aujourd'hui, sa mission première est d'aider à la conservation des espèces menacées », poursuit notre informateur. « Les animaux que l'on trouve au Parc ne sont jamais achetés. Ils s'intègrent dans un programme européen d'élevage. Le zoo va ainsi accueillir un gibbon favoris blancs, une espèce rare et menacée de singes et a également participé à un programme de protection des ours à lunettes de la cordillère des Andes ».

La plaine africaine, inaugurée en octobre 2006, s'inscrit pleinement dans cette philosophie, puisque les animaux s'y promènent en toute liberté sur 3ha.

Elles se composent de trois parties. La roseraie internationale, inaugurée par Grace Kelly en 1964 comprend 30 à 35 000 rosiers. Cette roseraie a été classée en 2006 au rang des 20 plus belles roseraies du monde lors d'un grand congrès mondial qui s'est tenu à Osaka, au Japon. La roseraie de concours regroupe les roses adressées au parc par les créateurs et la roseraie historique, plus pédagogique, explique, la longue histoire de la fleur à travers 700 variétés historiques.

L'autre attrait majeur du parc, ce sont les collections du jardin botanique, qu'elles soient sous serres (ouvertes de 9h30 à 16h30) ou en plein air. Sur 8 ha, ce jardin pas comme les autres rassemble quelque 15000 variétés de plantes, ce qui en fait le premier jardin botanique public de France de par la diversité des espèces vivantes. Parmi les chouchous du public : la serre aux plantes carnivores ou la serre aux Victorias, ces nénuphars géants qui fleurissent en juin/juillet. Le jardin de plein air, quant à lui, réunit la totalité des plantes qui poussent en RhôneAlpes. De quoi mettre un nom sur la mauvaise herbe qui envahit votre jardin.

Quant aux grandes serres, classées monument historique, il est particulièrement recommandé de les visiter en janvier, lorsque fleurit le camélia et que la moiteur tropicale qui y règne forme un contraste saisissant d'avec le climat hivernal.

(Mai 2010 • Magville Bourg en Bresse (13)

Voyages Terra Incognita Voyagez sur mesure L’aventure a commencé à Lyon, il y a une dizaine d’années.

Aujourd’hui scindé en cinq agences aux approches distinctes, le groupe Terra Incognita vous offre de voyager autrement et ... principal attrait : sur mesure.

Comment ça marche ?

Allez voir leur site ou procurez-vous leur brochure. Une soixantaine de destinations lointaines y sont passées au crible, à travers une foule d’infos pratiques (carte d’identité du pays, quand partir ?, pourquoi y aller ? culture, hébergement, transports...)

En fait, il ne s’agit là que de pistes.

La fiche technique, téléchargeable sur internet, forte d’une vingtaine de pages, vient affiner cette première approche en multipliant les détails pratiques et en proposant quelques exemples d’itinéraires et d’hebergements comme autant de sources d’inspiration pour composer votre itinéraire, en fonction de vos envies et de votre budget.

Et ensuite ?

Allez les voir. Au sein de leur “Atelier” lyonnais vous concocterez ensemble votre itinéraire personnalisé et son devis, 10 à 15 jours plus tard, vous sera fournie, sans le moindre engagement de votre part, une proposition comprenant plan de vols, itinéraire jour par jour, activités et descriptifs de chaque hébergement... www.terra-incognita.fr

Atalante pour le trekking, Cheval d’Aventure, le Grand Golf, Terra Incognita, femmes du monde, et Azoka pour les voyages d’entreprise, forment autant de maillons d’une même chaîne de passionnés épris d’aventure et de rencontres.

Retrouvez-les à Lyon, Paris Monte-Carlo et Bruxelles.

L’Afrique

du Sud sur mesure

afari et farniente, voilà à quoi vous invite ce parcours hors du commun de trois semaines. Attention, ici, pas de groupe à se coltiner, même “sympathique” ou “réduit” à un “petit nombre” de voyageurs (!) Vous partez avec qui bon vous semble !

D’ailleurs, c’est le cas de 90% des voyages organisés par Terra Incognita. Leur truc : le voyage sur mesure. « Les circuits ne représentent que 10% de notre offre, » explique Franck Pothe, l’un des fondateurs de l’agence.

Alors bien sûr, pour vous faire rêver, on a décidé de mettre les petits plats dans les grands, bien conscient qu’un voyage de cette envergure et de ce tarif n’est pas à la portée de tout le monde, tout le temps. Mais bon, autant vous présenter ce qu’il y a de mieux. Ensuite, vous n’aurez qu’à faire votre marché, sachant qu’avec Terra Incognita, on peut aussi bien voyager sur mesure à la routarde que s’offrir un voyage d’un confort et d’un luxe... extrêmes.

Bon, ça y est ce coup-ci, vous êtes prêts ? On peut y aller ? Alors, en avant...

S

Jour 1 Vol internationnal en direction du Cap. Jour 2 Après avoir été pris en charge par l’équipe locale qui vous a permis d’entrer en possession de votre véhicule de location, vous pouvez consacrer cette journée à visiter le Cap et les paysages majestueux de la Table Mountain (voir encadré ci-contre “Sommet Chic”).

Jour 3 Visite de Robben Island, l’ancienne prison de haute sécurité où a notamment été détenu Nelson Mandela. La visite s’effectue sous la conduite d’anciens détenus.

Jour 4 Découverte de la réserve naturelle du Cap de BonneEspérance • Pour ces trois nuits, l’hébergement se fera au Four Rosmead (www.fourrosmead.com) une boutique guesthouse réservée pour nous depuis la France par Terra Incognita.

(14) Magville Bourg-en-Bresse • Mai 2010)

Jour 5 Visite de la route des vins, jalonnée de belles demeures de style Cape Dutch. Possibilité de dégustations et de visite privée avec un guide francophone ( w w w. w i n e r o u t e . c o . z a ) .

Nuit au Lanzerac (www.lanzerac.co.za), un hôtel de charme situé à l’entrée de la ville universitaire de Stellenbosch, au cœur de la région viticole. L’établissement bénéficie du label “Small luxury hotels in the world”.

Jour 6 Direction Hermanus, cité balnéaire au bord de l’océan Indien. Principal attrait du spot, les baleines s’y donnent rendez-vous de juillet à novembre.

Petit plus : une plongée en compagnie des requins, bien à l’abri d’une cage immergée. Poussées d’adrénaline garanties ! (www.sharkcagediving.co.za). Nuit à l’auberge Burgundi, située au-dessus du vieux port pittoresque. Il s’agit d’une pension de style provençal aux cours parfumées et aux terrasses en pierres.

Jour 7 Visite du pays de la soif, région aride qui s’étend sur trois provinces du Cap et qui offre de grands espaces parmi les plus magiques d’Afrique du Sud : déserts, montagnes, maquis couverts de fleurs...

(Nuit au Hlangana Lodge, situé à l’emplacement d’une ancienne ferme et entouré d’un parc de 12 hectares).

Jour 8 La ville d’Oudtshoorn est connue pour son activité d’élevage d’autruches. Certaines fermes proposent même à leurs visiteurs de participer à des courses à dos d’autruche. Autre attrait de la région : les grottes de little Karoo, qui comptent parmi les plus vastes du monde.

Jour 9 Direction Knysna, par la route des jardins et nuit au Phantom Forest Lodge composé de chalets de grand confort dressés sur pilotis.

Grâce aux larges baies vitrées des chambres, on a ainsi la sensation de vivre dans les arbres !

Superficie : env. 2,5 fois la France Population : env. 44 millions d’habitants Durée du vol : env. 12h30 jusqu’à Cap Town Langues : Anglais, Afrikaans...

Sommet Chic

(même si vous n’aimez pas le foot) Jour 10 Reposez-vous et profitez-en pour déguster des huîtres à Knysna. Si vous souhaitez découvrir la lagune de toute beauté, embarquez sur une minicroisière à partir du Waterfront, bordé de restaurants ou visitez le Tsitsikamma National Park. (www.featherbed.co.za).

Jour 11 Les choses sérieuses vont bientôt commencer.

Après avoir rejoint l’aéroport de George, pris le vol en direction de Nelspruit, puis récupéré votre nouvelle voiture de location, direction le park Krüger un des plus grands sanctuaires de la vie animale sur la planète !

Créé en 1898, le Kruger est aujourd’hui le joyau des parcs nationaux sud-africains. Etendu sur une superficie de près de 2 millions d’hectares, il héberge pratiquement toutes les espèces de la grande faune africaine dont certaines, plus rares, comme le lycaon ou le rhinocéros noir.

Nuit au Thornybush Lodge, sans doute l’un des plus beaux hébergements de brousse de toute l’Afrique (www.thornybush.co.za).

Jours 12 et 13 Journées consacrées au safari, en compagnie d’un ranger anglophone.

Jour 14 Après un dernier safari matinal, vous reprenez la route en direction du petit village de Pilgrim’s Rest, restauré pour conserver le charme désuet de la vie des premiers prospecteurs d’or du pays. Nuit au Cybele Forest Lodge, une splendide habitation coloniale restaurée, située au milieu d’un domaine boisé, à 1000 mètres d’altitude.

Jour 15 Découverte du Blyde River Canyon, un des plus spectaculaires canyons du monde, qui s’étire sur une trentaine de kilomètres : falaises, îles, lacs, cascades, plateaux, pentes couvertes de broussailles forment un paysage grandiose. Possibilité de faire du rafting, du quad ou du survol en montgolfière...

Jours 16 à 19 En route pour la dernière partie du voyage, un séjour de pur farniente, sur l’archipel de Bazaruto, au Mozambique voisin. L’archipel, qui s’étend de 10 à 25 km au large de la côte sud du pays a été érigé au rang de parc national dès 1971. Il se compose de cinq îles aussi idylliques l’une que l’autre, cinq perles aux attraits séducteurs : eaux turquoises, plages désertes, sites de plongée de toute beauté, promenades romantiques en boutre au soleil couchant... L’archipel possède également plusieurs sites importants de nidification ou de repos des oiseaux marins.

L’hébergement se fait à l’Azura Retreat (www.azura-retreats.com) Jour 20 Transfert vers l’aéroport de Johannesburg et vol vers l’Europe.

Jour 21 Voilà, c’est fait, vous êtes de retour à la maison et prêts à reprendre le travail.

Heu... quoi ?

Maclear’s Beacon, Table montain La vue depuis MAclear’s Beacon, le sommet de la célèbre Table Mountain surplombant la ville du Cap, offre un panorama spectaculaire sur tout le massif jusque Cap Point, Table Bay, Robben Island et Devil’s Peak.

Cette journée de trekking vous permet de traverser le massif de part en part à travers une végétation étonnante et des sentiers variés. Une superbe randonnée, aux portes de la ville.

Hébergement Les Cascades de Bantry Bay & On 52 (www.lescascades.co.za)

Sommet Chic, c’est...

Envie de repartir.

Déjà ?

• Un sommet Les randonnées proposées s’accomplissent en 3 à 10 heures de marche.

Prix

Sécurité

A titre indicatif, ce séjour de trois semaines, départ de Cape Town avec safari au parc Kruger et farniente au Mozambique vous coûtera 5000 € par personne (sur la base de deux participants). Les prix pouvant évidemment varier selon le choix de l’hébergement et les extras demandés.

Mais au-delà de ce périple vraiment très haut de gamme, pour un voyage en Afrique du Sud de 14 à 20 jours avec Terra Incognita, prévoyez de 3500 à 4500 euros/personne.

Pour les spécialistes de chez Terra Incognita, l’Afrique du Sud est un pays fonctionnel, facile et fiable qui se prête idéalement aux circuits individuels. Ceci dit, des agressions de touristes sont régulièrement signalées, essentiellement dans les grandes villes où certains quartiers sont à visiter absolument. Pour plus d’infos sur les conditions de sécurité dans le pays : www.diplomatie.fr/voyageurs.fr

• Un hôtel de charme A proximité ou au pied du sentier. Vous y passez la nuit précédente et la nuit suivant la randonnée.

• Une journée A la clé, un défi, un objectif à atteindre !

(Mai 2010 • Magville Bourg-en-Bresse (15)

Une Etape sur la route Composé de 60 chambres climatisées pouvant accueillir jusqu’à trois personnes, L’Etap Hôtel de Bourg bénéficie d’une qualité d’accueil unaniment saluée par ses clients.

Une réussite que l’on doit notamment à Fatiha Bouhassoun, dynamique directrice de l’établissement et à son équipe de cinq personnes, tous formés à l’accueil et au métier de l’hôtellerie.

Hébergement très économique ne rime pas forcément avec prestations bas de gamme.

Et si les Etap Hôtel constituent une pause bienvenue pour de nombreux voyageurs sans grever leur budget, l’établissement de Bourg leur offre par ailleurs la garantie d’un hôtel aux standards de qualité et à la propreté irréprochables.

L’Etap

Hôtel de Bourg

l y a des hôtels étapes qui portent décidément bien leur nom. Ainsi de cet Etap Hôtel, situé dans la ZAC des Belouses, sur la route de Strasbourg, à l’entrée nord de Bourg-en-Bresse. « Nos clients s’arrêtent chez nous pour aller quelque part. Que ce soit pour se rendre au ski l’hiver ou descendre dans le sud l’été. », explique Fatiha Bouhassoun, la directrice de l’hôtel.

Ouvert en janvier 2008, cet établissement franchisé du groupe Accor, répond à tous les standards de qualité de la chaîne, avec tout de même une petite touche supplémentaire. « En tant que franchisé, nous devons respecter le concept général des Etap Hôtel, mais rien ne nous empêche d’apporter une note personnelle pour rendre l’hôtel plus chaleureux. » C’est

I

Un troisième lit superposé pratique pour voyager en famille en compagnie d’un enfant.

ainsi que l’Etap Hôtel de Bourg est par exemple doté d’écrans plats dans les chambres et de l’accès gratuit au Wifi. Des petits plus auxquels les clients se montrent sensibles.

Mais au fait, qui sont-ils, ces clients ? « En semaine, nous accueillons essentiellement des commerciaux, des cadres ou des ouvriers venus effectuer un chantier dans les environs. Les grandes foires, à Lyon ou à Genève, nous attirent également des visiteurs.

Mais nous avons aussi une clientèle de touristes retraités que nous sommes capables de conseiller sur les lieux à visiter. » Le matin même, une cliente a ainsi quitté l’hôtel après 15 jours passés à explorer les environs. « Je crois qu’à présent, elle connaît mieux la région que moi ! », glisse Fatiha Bouhassoun, visiblement ravie.

L’Etap Hôtel de Bourg comprend 3 chambres pour personnes à mobilité réduite.

(16) Magville Bourg-en-Bresse • Mai 2010)

Une vraie halte reposante, avant de reprendre la route, c’est ce que propose l’Etap Hôtel de Bourg.

“Qualité de l’accueil” « Je n’ai pas de soucis de réveil, confie Fatiha Bouhassoun, la sympathique directrice de l’Etap Hôtel de Bourg.

Car j’aime mon travail. Et il en va de même pour le personnel que j’engage. Je veux qu’il se fasse plaisir au travail. » Née à Mâcon, petite dernière d’une famille de dix, ses parents, arrivés d’Algérie dans les années 60, lui ont enseigné les valeurs de probité et de travail. Ambitieuse et volontaire, Fatiha a toujours su ce qu’elle voulait. « J’ai été engagée en tant que réceptionniste à l’hôtel Ibis de Jasseron, un des établissements de M. Jean-François Raffin, mon patron. Six mois plus tard, j’en devenais la directrice », dit-elle, ajoutant « M. Raffin est mon mentor.

Il m’a donné l’opportunité de me former aux métiers de l’hôtellerie au sein du groupe Accor. » Car au départ, Fatiha a suivi des études de lettres à l’université. Un cursus qui lui permet aujourd’hui de maîtriser parfaitement l’anglais, l’italien et l’espagnol et d’accueillir de nombreux clients étrangers.

Fatiha Bouhassoun

« La qualité de l’accueil est primordiale. C’est un travail prenant, mais qui se ressent sur la clientèle. Chaque matin, je suis là pour avoir leur retour. Ce n’est qu’ainsi que l’on peut évoluer. Alors, lorsque les clients me disent : merci pour votre accueil, nous reviendrons, je suis heureuse ! » A l’Etap Hôtel de Bourg, l’équipe composée de Hazem, Nassira, Claudiu, Rabah et Nisrine parle l’anglais, l’italien, l’espagnol, l’allemand, le roumain et l’arabe. Qui dit mieux !?

Fatiha Bouhassoun nous donne également rendezvous en août, pour l’ouverture d’un nouvel Etap Hôtel à Château-Gaillard, près d’Ambérieu.

Infos pratiques Etap Hôtel Bourg-en-Bresse 409, av. de Parme, ZAC des Belouzes 04 74 55 10 16 www.etaphotel.com.

A noter que l’hôtel est ouvert 7j/7 et 24h/24.

60 chambres à partir de 42 euros.

Vert c’ est vert Sauver la forêt en quelques clics

L’actu Verte Si le procédé est employé en Suisse ou en Autriche depuis 20 ans, sa pénétration du marché français est beaucoup plus récente. Le problème, c’est que effet de mode aidant, « tout le monde se met à faire de la piscine naturelle », argumente Christelle Chaimbault, de AZ Végétal, qui commercialise, quant à elle des piscines Bioteich, un procédé suisse breveté répondant à un strict cahier des charges.

Piscines naturelles Celle qui murmurait à l’oreille des grenouilles

On a tous vu ça à la télé !

Des familles qui s'ébattent dans ce qui ressemble à une marre à têtards en s'extasiant devant la douceur de l'eau et leur bonne conscience retrouvée…

Pour Christelle Chaimbault de AZ Végétal, il faut distinguer trois types de piscines naturelles : les bassins de baignade incluant des travaux de maçonnerie, ceux qui en sont dépourvus et ceux dont les filtres naturels sont remplacés par des filtres mécaniques placés dans un pool house.

Dans les trois cas, on a bien des piscines à l'eau non traitée par des produits chimiques. Mais les coûts et les résultats diffèrent considérablement selon le procédé employé. « Une piscine naturelle comprend généralement trois zones : une zone de baignade, une zone de filtration, où l'eau est nettoyée au moyen de pierres volcaniques, et de plantes appropriées, et une troisième zone, dite de régénération, aux vertus essentiellement décoratives » explique cette paysagiste de métier.

Si l'eau est naturellement entretenue, le bassin lui, requiert un nettoyage classique. « Il faut donc passer l'aspirateur, ce qui peut poser problème pour les bassins sans maçonnerie », détaille notre interlocutrice.

Quant aux berges, tout est un peu fonction de ce qu'on y aura planté. Leur entretien confine à du jardinage classique. Les plantes filtrantes, elles, ne nécessitant qu'une taille, une fois par an. Côté coût, Christelle Chaimbault reconnaît qu'il est plus élevé que pour une piscine traditionnelle. Si les premiers prix commencent à 30 000 euros, celles à trois bassins mâçonnés et au filtrage naturel débutent plutôt à 50 000 euros. Et attention : un terrain accidenté ou la nécessité de créer des murs de soutènement peut vite faire grimper la facture. Quant aux délais, si les travaux en eux-mêmes durent environ deux mois, il vaut mieux compter six mois à un an entre la prise de contact et le premier plongeon. D'autant que dans le cas d'une piscine naturelle, l'eau n'est pas limpide du jour au lendemain.

Bref, autant dire que pour cet été, c'est raté ! Mais ne manquez pas pour autant le joli jardin témoin de Christelle, à Miribel. Qui sait, un coup de cœur n'est jamais exclu, ce qui vous mettrait pile poil en lice pour un premier plongeon... l'été prochain !

Plus d’infos : AZ VEGETAL www.azvegetal.fr

Ecosia, c’est son nom, est un moteur de recherche sur internet... vert. Selon la base line du site, “chaque recherche permet de sauver 2 m2 de forêt tropicale”.

Vous y croyez, vous ? Eh bien allez voir sur leur site, à l’onglet “Comment ça marche ?”. Si l’idée n’a rien de révolutionnaire, encore fallait-il oser se lancer. En fait, Ecosia reverse 80% de ses recettes publicitaires (générées en cliquant sur les liens sponsorisés) à WWF dans le cadre d’un projet de protection de la forêt amazonienne. Chose qui ne gâche rien, Ecosia est très facile d’utilisation.

Il suffit d’un clic pour l’installer sur votre ordinateur. Seul bémol peut-être pour les Google addict, la recherche qui s’effectue via Yahoo.

Prends ta douche avec Noah L’ex-champion de tennis, chouchou des Français, après avoir dansé la chenille et chanté les arbres, pieds nus, se lance dans la promotion de cosmétiques bio. Ça s’appelle Ecoute ta Nature ! C’est développé par Bourjois et ça se trouve dans tous les Monop’ de France.

Outre sa formule évidemment naturelle (à 98,8%), l’intérêt de la gamme réside dans ses conditionnements familiaux éco-conçus et recyclables, pour éviter d’en rajouter une couche côté emballages polluants. C’est bien, même si ces gels douche ont un petit parfum de bon coup marketing !

A voir : le making of de la pub, tournée sur l’île Maurice. Du Noah tel qu’en lui-même.

Nature, quoi !

• Plus d’infos sur : www.naturebynoah.com

C’est quoi ce sigle ? mpossible que vous soyez passé à côté ! Le point vert est présent dans toute l’Europe et s’il n’est pas toujours vert, puisque sa couleur s’adapte à celle de l’emballage, sa signification, elle, est parfois sujette à contresens. L’emballage sur lequel figure le point vert n’est pas recyclé, ni même nécessairement recyclable. La présence du point vert signifie simplement que l’entreprise mettant le produit sur le marché participe financièrement à la collecte des emballages. Comment ? En contribuant au programme d’Eco-Emballages, une entreprise privée,

I

agréée par les pouvoirs publics, dont la mission est d’installer, organiser, superviser et financer la collecte sélective, le tri et le recyclage des emballages ménagers. En échange de leur participation, les entreprises apposent le point vert sur leurs produits. Les fonds ainsi obtenus par Eco-Emballages sont reversés aux collectivités locales et servent à la mise en place de la collecte sélective des emballages des ménages, partout en France.

Plus d’infos sur : www.ecoemballages.fr (Mai 2010 • Magville Bourg-en-Bresse (17)

Femmes

La femme du mois

Aurélie Marpeaux, Comédienne i vous êtes un(e) habitué(e) du restaurant “Chez la Jeanne” à Bourg, vous aurez probablement déjà aperçu sa frimousse jubilatoire. C’est là qu’en mai dernier, cette jeune comédienne (31 ans) originaire de Bourg, a tourné, sous le label du collectif Crazy People et sous la direction de sa copine, la réalisatrice burgienne Charlène Favier, Lili, j’étais... projeté notamment au théâtre de Bourg. Une quasi superproduction à l’échelle locale, aujourd’hui sélectionnée au Short film corner de Cannes.

Aurélie a quitté Bourg à l’âge de 15 ans. Début de parcours à l’école de théâtre Chaillot, à Paris, et la voilà à Londres, à 18 ans, pour suivre l’enseignement de l’école Jacques Lecocq. Auteur et interprète d’un one-womanshow, Aurélie suivra plusieurs formations complémentaires, plutôt côté caméra, avec Nora Habib à Paris, Nicky Falks et Scott Williams à New-York : « Je n’ai pas envie de choisir entre théâtre et cinéma. » dira-t-elle. Revenue il y a un an et demi dans la ville qui l’a vu grandir, Aurélie Marpeaux bouillonne aujourd’hui de projets. Outre son rôle très prenant dans Cocteau, Le bel indifférent, La voix humaine, à voir au théâtre de la Citadelle, Aurélie sera cet été à l’affiche des Contes galactiques, une création du théâtre de la Citadelle jouée à Hauteville, dans le cadre du festival La Charabotte. Et malgré les projets de scénario avec sa complice Charlène Favier, Aurélie trouve encore le temps de travailler sur un nouveau spectable jeune-public bilingue dont elle nous réserve la primeur. Ambitieuse, Aurélie ? : « Il faut viser très haut, pour taper un petit peu en dessous. »

S

« Peu importe où l’on est.

Ce qui compte, c’est ce qu’on y fait ! »

• Cocteau, le Bel Indifférent, La voix humaine Au théâtre de la Citadelle les 28, 29 et 30 mai.

• Lili, j’étais... Projection au Cinémateur le 5 juin. Avec making off projeté Chez la Jeanne le même soir.

ESPACE SUD Route de Lyon

BOURG / PÉRONNAS ✆ 04 74 21 50 44

(18) Magville Bourg-en-Bresse • Mai 2010)

Respirez,

vous êtes chez Mobalpa

Ce que Femme veut...

Eurl : Otilie 30, rue Victor Basch 01000 BOURG EN BRESSE Tél./Fax : 04 74 23 52 97

ce que femme veut…

Dominique Point est une femme de goût. Au sein de sa boutique située rue Victor Basch, un lieu bien connu des femmes de Bourg et des environs éprises d’élégance, cette acheteuse hors pair a su rassembler un grand choix de vêtements fruits de la mode italienne, du sportswear chic au haut de gamme, en passant par les petites marques plus accessibles, mais toujours dans le coup.

Parmi les marques phares d’Epilog, S’ de Max Mara ou bien encore Gossip, un milieu de gamme élégant et stylé, combinaison de coupes ultra-féminines et de belles matières.

Au rayon des petites trouvailles accessibles, on gardera un œil sur les griffes Majestic ou Week End, de Max Mara.

Mais chez Epilog, on trouvera aussi de très beaux cuirs de la marque Benedetta Novi et de petits accessoires (ceintures, bijoux, bracelets Interchangeable), aux coloris gais et faciles à porter.

A noter enfin que l’accueil assuré par Annette se révèle invariablement à la hauteur des lieux : chic et stylé. En plus d’être avisé.

N’attendez plus, venez faire un tour dans le magasin…

30, rue Victor Basch

Bourg en Bresse 04 74 23 52 97 Ouvert du mardi au samedi de 9h30 à 12h et de 14h30 à 19h

(Mai 2010 • Magville Bourg-en-Bresse (19)

Mode De part et d’autre des bottes, sabots Crocs fuchsia et turquoise.

Existent en deux modèles (30 et 35 euros) et une dizaine de coloris.

Chez Jean-Paul Dubourg, chausseur à Bourg-en-Bresse.

11, rue Notre-Dame • 04 74 22 65 38.

Reportage photo Corinne Bertrand Mannequin Sophie

Couleurs...

jardin !

issez les couleurs ! Tel pourrait être le mot d’ordre de ce printemps et de l’été qui se profile.

Des tons colorés que l’on retrouve dans les vêtements, mais aussi, fait plus nouveau... à nos pieds. Même si les échantillons que nous vous proposons ici sont, pour la plupart, difficiles à porter en ville.

H • Sophie porte des bottes en caoutchouc Aigle modèle Poppy rose coquelicot (45 euros). A droite, bottes Aigle modèle Carélie fraise et pomme (40 euros). Du 35 au 42. Au Caoutchouc Bressan, 21, rue Charles Robin, à Bourg-en-Bresse • 04 74 23 21 50.

• En bas, à gauche, Sophie porte des sandalettes Osiris blanches (50 euros). Chez Petits Petons 3, rue Prévoté, à Bourg • 04 74 51 91 56.

En bas, au milieu, Sophie porte des baskets Victoria (29 euros), modèle vieux rose (une douzaine de coloris) et Léo une paire de tongs Havaianas (19 euros) Chez Guest 1, rue Général Debeney • 04 74 22 04 67.

(20) Magville Bourg-en-Bresse • Mai 2010)

Cela dit, vous pouvez toujours tenter de vous présenter au boulot en Crocs si vous travaillez chez un pépiniériste et de chausser des Havaianas avec votre costume en lin si vous êtes barman ou DJ. Osé, mais jouable. Pour les bottes en revanche, plus difficile quand même de les arborer en dehors du périmètre strictement circonscrit du jardin ! A moins que...

L’homme du mois

André

Gayraud Paysagiste de haute volée ’homme a 72 ans et on se dit en le voyant, qu’on aimerait bien les porter comme lui, plus tard ! « J’ai commencé à jardiner avec mon grand-père, lorsque j’avais 12 ans. Hormis deux ans de guerre en Algérie, ça me fait donc 60 ans d’expérience. Croyez-moi, cela vaut tous les diplômes du monde ! » Des phrases bien campées, comme celle-là, André Gayraud en a plein sa besace de jardinier. Un vrai bonheur de journaliste, cet homme-là. Bonhomme et sympathique. Et avec ça, une vie hors norme, comme on aime à les raconter.

L

« Mon cursus, c’est le certificat d’études » Car les Gayraud, c’est d’abord une lignée. Quatre générations de jardiniers et d’horticulteurs. André a 17 ans, lorsqu’il fonde la section jardins dans l’entreprise d’horticulture paternelle, à Bourg. Puis, en rentrant d’Algérie, il créera sa propre boîte, à Viriat. Mais attention... l’homme insiste : son truc à lui, c’est la création ! « Aujourd’hui, dans la profession, on fait de tout : des piscines, de la maçonnerie, de l’entretien, des clôtures... Moi, je dessine et je crée ! » En tout, André Gayraud aura ainsi dessiné plus de 1000 jardins. Et si après 40 ans au service de son entreprise, il a tiré sa révérence et pris sa retraite, depuis, c’est simple : il n’arrête pas !

A tel point qu’aujourd’hui, André Gayraud, le paysagiste conseil est devenu une denrée rare, un creuset de savoir-faire et de créativité unique en son genre, que l’on s’arrache... à prix d’or ! Pourtant, ce n’est pas tant qu’il cherche à se faire connaître. L’intéressé

hommes

« Quand on fait rêver les gens, ils vont souvent au-delà de leur budget ! »

clame même fièrement qu’il n’a pas de portable, et pour le débusquer dans son nid d’aigle, quelque part sur les hauteurs du Revermont, mieux vaut se munir d’une boussole ! « Je me suis très tôt intéressé à la botanique. C’est une vraie force. Car dans la profession, ils ont cherché avant tout des plantes qui rendaient riches. De sorte qu’aujourd’hui, toute la France est semée de rosiers rouges, de lauriers, de thuyas et de forsythias, s’énerve presque notre homme. Or ma spécificité, c’est de personnaliser les jardins avec des plantes que l’on ne trouve nulle part ailleurs, des plantes tombées en désuétude ! » Si du temps de son entreprise, André Gayraud avait déjà quelques jardins de particuliers aisés à son actif, tout a véritablement explosé en 1982, lorsqu’il dessine les jardins d’un certain... Valéry Giscard d’Estaing. Suivront, dans le désordre et au fil des ans, les jardins d’une douzaine de châteaux du Bordelais, les Prés d’Eugénie et l’Ousteau de Baumanière, deux établissements hôteliers parmis les plus cotés, le jardin de Catherine Deneuve, de Julie Andrieu ou du Baron Bic, le jardin des Cinq sens, à Yvoire et des dizaines de réalisations de particuliers fortunés, en France ou en Suisse, du balconnet au parc de plusieurs dizaines d’hectares.

Il n’y a pas de mauvaises plantes, il n’y a que de mauvais jardiniers. « J’ai toujours une dizaine de projets en cours. Mais lorsque vous me confiez votre jardin, j’y rentre comme en religion. Je dessine le moindre massif, la moindre plate bande, la moindre pergola. Ce que veulent les gens qui viennent me voir, c’est que leur jardin ne ressemble à aucun autre ! » Bien sûr, une telle prestation a un coût. Un coût qui peut atteindre plusieurs centaines de milliers d’euros pour les plus grands jardins de particuliers. « Il faut savoir si vous voulez mon avis, ou si vous voulez que je sois de votre avis », aime à dire l’homme qui fait réaliser ses gloriettes sur mesure par des ferronniers d’art et sculpter ses fontaines en pierre par des artistes pour qu’elles soient uniques. « L’art du jardin est à l’espace vert ce que l’art culinaire est au sandwich », plaisante André Gayraud. Ajoutant, après nous avoir fait embrasser du regard son parking planté de chiendent pour éviter que le sol ne se transforme en mare de boue à la moindre pluie : « Il n’y a pas de mauvaises plantes, il n’y a que de mauvais jardiniers. » André Gayraud est persuadé de faire le plus beau métier du monde.

On veut bien le croire.

Alors, pleinement satisfait, notre homme ?

Un vœu encore le Dans son jardin, André Gayraud s’est taraude, nous confie-taménagé un coin pour chaque il : écrire une monogramoment de la journée : Ici, le voilà phie du cornouillier, son installé au petit géridon où il se plaît à lire le journal. arbre fétiche.

(Mai 2010 • Magville Bourg-en-Bresse (21)

hommes

Créée en 1968 en Roumanie, la marque Dacia est entrée dans le giron du groupe Renault en 1999.

Modernisation de la chaîne de production, intégration dans les process de qualité du groupe, si des doutes sur le rachat ont pu se faire jour au début de l’entreprise, le succès du premier modèle, la Logan, a semble-t-il donné des ailes à Dacia qui se lance aujourd’hui dans la course au toutchemin avec ce Duster qui n’a plus grand chose de low cost, si ce n’est son prix. Sans doute un nouveau carton en perspective, comme en attestent d’ailleurs les premiers chiffres de ventes du modèle !

Dacia Duster Mordrez-vous (à) la poussière !? as commode de se plier à l’exercice de l’essai auto quand la météo fait grise mine.

Mais Christophe Niogret, sympathique dirigeant de l’USB Bressane, en habitué des terrains, n’est pas homme à se laisser impressionner par un ciel bas et quelques gouttes.

Nous passons le prendre devant le siège de son entreprise de déménagement, basée route de Lyon à Péronnas. « Joli tableau de bord, commente notre conducteur d’un jour après avoir pris place au volant. Belles finitions. » Réglage du siège, des rétroviseurs... après ces quelques préliminaires, nous prenons la route en direction Servas-Lent et ses petits chemins de traverse. L’œil rivé sur la route, Christophe Niogret poursuit : « C’est la première fois que je m’assois

P

dans une Dacia. J’avais en tête une voiture de l’Est, avec très peu d’équipements. Or, je trouve qu’ici le niveau est assez poussé et c’est bien assez. Dans la plupart des voitures aujourd’hui, il y a tellement d’équipements qu’on n’en utilise pas la moitié ! »

« Ce genre de voiture m’irait bien ! » Si une fois lancé, Christophe Niogret estime que le Duster bénéficie « d’une bonne insonorisation », il est plus dubitatif s’agissant de la puissance du moteur. « J’imagine que le véhicule est assez lourd et il manque un peu de répondant dans les accélérations. Si je devais choisir cette voiture, je privilégierais le modèle de 110 cv. » Côté confort, le dirigeant de l’USB trouve que le véhicule bénéficie d’une bonne assise et que sa prise en main est facile. Il profite ensuite d’un arrêt photo pour effectuer le tour du véhicule.

Une fois de plus, le soin apporté aux finitions le surprend. « Ce n’est pas ainsi que j’imaginais une Dacia ! » A tel point qu’il semble même difficile à Christophe Niogret de lui trouver spontanément des défauts. « Franchement... je trouve qu’on a là un très bon rapport qualité prix ! »

Fiche technique Modèle essayé : Dacia Duster finition Lauréate Puissance : 85 CV Conso. : 5,1l/100 km annoncés.

Boîte : manuelle 5 rapports.

Habitacle : 5 places.

Coffre : 500 litres.

Prix : de 11 900 € à un peu moins de 22 000 € pour la version 4x4 110cv toutes options, finition Prestige.

Emissions CO2 : 135g/km (faible).

Spécificités : disponible en essence ou diesel, le Duster est également proposé en modèle 4x4 et 110cv.

Christophe Niogret : l’homme de la situation n une année à la tête du club de rugby burgien, Christophe Niogret n’a pas chômé, et si les résultats, tant sportifs que financiers, semblent aujourd’hui au rendez-vous pour cet homme ayant le sens de l’engagement, les succès ne lui ont pas pour autant donné la grosse tête. Humblement, Christophe Niogret reconnaît même que de mener de front ses deux activités de chef d’entreprise et de dirigeant de club est épuisant sur le plan psychique. « Heureusement, je suis bien secondé ! », admet-il.

Côté voiture, le patron de l’USB, même s’il avoue avoir un peu perdu l’habitude des boîtes manuelles n’a pas boudé son plaisir au moment de ce baptême en Dacia.

E

(22) Magville Bourg-en-Bresse • Mai 2010)

PONÇON

6 place Hôtel de Ville - Bourg-en-Bresse - 04 74 22 53 38

hommes

Et si vous vous y mettiez !?...

Nettoyage de printemps

On aura beau jeu de prétendre que nous prêchons pour notre paroisse, mais pour prendre bien soin de votre peau, pas d’échappatoire possible : il est nécessaire de faire un soin de temps en temps ! Et tout spécialement au printemps, afin de débarrasser l’épiderme des impuretés de l’hiver. Qu’est-ce qu’un institut apporte de plus qu’un frictionnage maison soir et matin devant sa glace ?

Une gestuelle professionnelle, l’emploi de produits adaptés...

Sans compter qu’en plus du soin, il s’agit aussi d’un vrai moment de détente. Et être détendu, chacun le sait, cela joue aussi sur les traits du visage !

L

e soin du visage

Tout commence généralement par un nettoyage de peau (poussière, transpiration...) suivi d’un gommage qui permet d’ôter les peaux mortes que l’on ne voit pas à l’œil nu mais qui ternissent le tein. Cela permet de donner un réel coup d’éclat au visage. Le gommage permet aussi de favoriser le soin à venir en préparant la peau. Vient ensuite la pose du masque, d’argile en cas de peau grasse ou simplement apaisant en cas de peau sensible, voire anti-âge, si demandé. Après une application d’environ 30 à 45 mn, le masque est retiré et l’on vous appliquera sur la peau un dernier produit comme

une crème hydratante, par exemple.

Confortablement allongé sur une table, le soin est aussi l’occasion, pour certains, de faire une sieste rapide entre deux coups de feu.

L’épilation Le printemps et l’approche des périodes plus dénudées de l’année est aussi l’occasion pour certains de s’occuper sérieusement de leur pilosité. Epilation du dos, du torse, du ventre, des épaules ou de la nuque, là, c’est un peu fonction de la perception que chacun se fait de son trop plein de poils !

En matière d’épilation, deux techniques, qui varient selon la zone à traiter. L’une à base de cire tiède recouverte de bandelettes, l’autre,

Le soin est aussi l’occasion de réel moment de détente, que ce soit entre midi et deux ou à l’issue d’une journée de travail.

pour les zones sensibles comme les aisselles, à base d’une cire à texture plus crémeuse. Dans les deux cas, une séance d’épilation qui peut durer d’un quart d’heure pour les sourcils à plusieurs heures, se clot par l’application d’un huile ou d’une crème et accompagnée d’un léger massage.

L’institut pour hommes Sweet homme, outre son entrée accueillante parée de deux fauteuils “club” et ses tons chauds (vert eau et chocolat), comprend une salle de massage, une salle de soins, une autre de repos ainsi qu’un espace douche.

Sweet homme 3 rue Teynière, à Bourg 04 74 30 90 15 www.sweethomme.fr

(Mai 2010 • Magville Bourg-en-Bresse (23)

M Com’ Média l’Agence tous sans risques Com’ Média. Ça sonne bien, mais au-delà du nom qui claque, vous servez à quoi ?

M

Quatre gars et une fille !

Notre agence, si elle n’est composée que de beaux garçons (et d’une jolie fille) n’est pas là pour faire de la figuration !

Notre métier, c’est la vente de sites internet et de produits vidéo. Nous concevons des architectures de sites surmesure, adaptées aux besoins de nos clients. Après ça, notre force est de ne pas commercialiser qu’une maison vide, mais également les meubles qui vont avec.

Les meubles ? Vous voulez concurrencer Ligne Roset ?

Euh non, pas exactement ! Par le terme de meubles, j’entends que nous vendons aussi du contenu web et video. Bref, de quoi alimenter, enrichir les sites web que nous vendons à nos clients. Car comme chacun le sait, un site n’est visité par les internautes - et par conséquent n’acquiert de valeur - que dans la mesure où son contenu est régulièrement mis à jour et enrichi.

Cool. Puisqu’on en est à passer en revue vos compétences, vous faites quoi d’autre ?

Plein de choses ! On est également capables de réaliser des plaquettes, des flyers voire des magazines évènementiels à l’occasion de telle ou telle manifestation, comme nous le faisons depuis deux ans avec le magazine du jumping international de Bourg. Grâce à nos partenaires et à nos filiales, nous disposons pour cela du savoir-faire rédactionnel, de la pao, des ressources métiers en imprimerie et du réseau de distribution nécessaires à mener à bien de telles opérations. Et puis plus ponctuellement, nous sommes également amenés à composer des cartes de voeux numériques...

De haut en bas, Marc Ollivier (vidéo, hébergement Media France), Anthony Darmedru (directeur), Frédéric Rihn (magazine Ma(g)ville), Nicolas Ravoux (commercial), Amandine Lay (webmestre).

(Photo : R.M. Voisin)

(24) Magville Bourg-en-Bresse • Mai 2010)

Créée en juillet 2009, l’agence multimédia M Com’ Média s’est déjà distinguée en remportant de nombreux marchés d’envergure sur le département.

Qui sont-ils, que font-ils ? Nous avons posé la question à Anthony Darmedru, jeune directeur de cette toute jeune agence.

Bref, vous faites en fonction de la demande ?

Exactement. Disons que nous sommes des inventeurs de solutions aux besoins en communication de nos clients. Un autre exemple : vous êtes sponsor et vous recevez vos clients ou vos prospects chez vous. Eh bien nous pouvons vous fournir un système d’affichage dynamique à placer dans le hall de votre entreprise - rien de plus qu’un écran plat - qui diffuserait un film évènementiel présentant votre société, mais également des informations pratiques comme la météo, par exemple. Un contenu que nous sommes à même de prendre en charge et de gérer à distance, en fonction de la demande du client.

C’est malin !

Disons que nous avons une véritable approche marketing. Nous sommes constamment à la recherche de la com’ la plus adaptée pour nos clients, quitte à les renvoyer parfois vers d’autres partenaires.

Quelques succès dont vous êtes déjà fiers ?

Oui, nous comptons parmi nos clients quelques belles références, comme la CCI de Bourg ou L’Agglo, mais aussi les entreprises HD distribution ou Fontenat TP, le Parc des Oiseaux ou Ainterexpo.

Quels sont vos objectifs ?

Devenir, à terme, l’agence référence sur le département et audelà, partout où le groupe HCR Multimédia est déjà implanté, à savoir la Drôme, l’Ardèche et la Haute-Marne.

Car c’est aussi ce qui fait notre force : nous ne sommes pas une simple start up. On s’appuie sur un groupe fort, ce qui constitue un véritable gage de sécurité pour nos clients.

Plus d’infos : M Com’Média Tél. : 04 86 15 49 00 contact@mcommedia.fr

L’entreprise du mois

Concept Son Qui sont-ils ? l existe un point commun entre l'inauguration de l'aéroport St-Exupéry, le 150ème anniversaire de la société Richardson, le Jumping International de Bourg, les Floralies, le concert Cœur en « live », une convention de Laforêt Immobilier à Malte, un congrès au Brésil, les matches de rugby au stade Mathon à Oyonnax, mais aussi une assemblée générale d'une enseigne bancaire nationale : la société Concept Son !

Toutes ces manifestations ou évènements d'entreprises ont été sonorisés ou mis en lumière par un partenaire technique de choix : Concept Son.

I

Spécialisée dans l’évènementiel Il serait d'ailleurs étonnant que vous n'ayez pas remarqué un immense bâtiment gris anthracite de 600 m2 situé en façade de la zone artisanale des Bruyères, route de Lyon. Ces murs abritent un véritable concentré de technologie son, lumière et vidéo et une solide réputation dans le domaine de l'évènementiel et de la communication d'entreprise, ainsi que dans le milieu du spectacle.

Spécialisée dans l'événementiel, la société de Péronnas conçoit, organise et réalise des prestations clés en main sur mesure et adaptées à des besoins professionnels. Forte de son savoir-faire et de ses années d'expérience auprès des entreprises, elle prend en charge les événements et accompagne chaque projet dès l'émergence de l'idée jusqu'à sa réalisation, en s'appuyant sur son parc de matériel imposant et la compétence de vrais professionnels.

Concept Son possède aussi sa propre agence artistique, soit un catalogue de 500 artistes référencés dans tous les styles. A titre d'exemple, la société propose à certaines entreprises des

artistes de renom comme Laurent Gerra, Patrick Fiori, Emile et Images et bien d'autres encore…

A Péronnas, la société est aussi spécialisée dans la vente de matériel de sonorisation, éclairage et vidéo. Elle est dépositaire des plus grandes marques présentes sur le marché, et membre du groupement Promosono, qui avec plus de 60 revendeurs et installateurs, est le premier réseau de France.

Enfin, Concept Son, c'est également un département location de matériel qui va du simple micro, système son, éclairage traditionnel ou disco en passant par la location d'écran géant, plasma et la location de structures scéniques. La société propose par exemple des packs Dj « plug and play » très faciles à utiliser pour vos soirées privées.

En un mot, Concept Son apporte la solution technique et humaine aux soirées d'entreprises, galas, conférences, manifestations sportives, assemblées générales, concerts, soirées d'associations, mariages, anniversaires et autres évènements.

www.concept-son.fr • ZAC des Bruyères 390 rue Lavoisier 01960 Péronnas

Un concentré de technologie.

Lors du lancement de la Petite voiture qui roule sous les étoiles.

Un impressionnant parc de matériel.

Contacts Magasin : Philippe Cortinovis Tél. : 04 74 21 20 49 - Fax : 04 74 32 60 23.

Email : phil.corti@wanadoo.fr

SAV : Jérôme Saveret Tél. : 04 74 21 32 79.

Service commercial/Agence artistique : Sébastien Michel Tél. : 04 74 21 32 77. Email. : contact@concept-son.fr

Direction : David Reydellet Tél. : 04 74 21 32 78.

Email. : david.reydellet@wanadoo.fr

Prestation/Animation A l’occasion du concert Cœur en “Live”, à Ainterexpo.

Tél. : 04 74 21 15 42 Email. : societe.conceptson@orange.fr

(Mai 2010 • Magville Bourg-en-Bresse (25)

ARRÊT SUR IMAGES

Vincent Janiaud, photographe de la JL.

M. Monneret, expert comptable Fiducentre.

Didier Lamy(à gauche), président du conseil de surveillance de la JL et du club affaires BB+.

Maurice Beyina (à droite), directeur exécutif de la JL.

Fabrice Dufour, la Criée Bressane.

Patrick et Nicolas Tayol, les hôtes de ce 19/20, entourant Gérard Mirmand, président du directoire du club.

Patrick Couture, responsable de cave chez Guyot, présente un Santenay “Les Charmes”

Maurice Beyina et Guillaume Echavidre Patrice Jourdan, Giroud Métallerie, et M. Degottex (de dos).

Charles Henri Bronchard, le n°6 de la JL

MENSUEL GRATUIT édité par M Com’ Media 16 rue Lalande - Bourg

Adeline Perrier (Sadelec) et Gérard Morel (L’Estampille)

Rudy “Alvin” Etilopy (n° 12), Daniel Coleman (14), Garry Chathuant (10) et l’américano-irlandais Bryan Mullins (11)

Directeur de la Publication

Le 6 mai, le traditionnel 19/20 mensuel de BB+, le club affaires de la JL Bourg, se tenait chez notre partenaire, Guyot la cave gourmande, à Viriat “La Neuve”.

(26) Magville Bourg-en-Bresse • Mai 2010)

Tirage : 10 000 exemplaires

Patrick et Nicolas Tayol avaient convié l’ensemble des partenaires de BB+ à un moment de dégustation des plus sympathiques au sein de leur nouvel établissement.

Au programme, présentation de la maison Guyot, qui totalise quelque 80 ans d’expérience dans les métiers de la vigne et du vin, jeu de dégustation et échanges conviviaux entre les joueurs et les personnes conviées à ce moment de découverte et de détente.

Ce début de soirée a également été l’occasion pour le staff de la JL de tenir ses supporters informés des actus chaudes du club, à quelques jours du dernier match de la saison contre Limoges.

Bernard Bienvenu Rédaction Frédéric Rihn redaction@magville.fr Publicité publicite@magville.fr Siège social : 16 rue Lalande 01000 Bourg-en-Bresse Impression : AGB, Bourg Retrouvez les précédents numéros et la liste des points de diffusion sur www.magville.fr

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