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ROMAIN SCHNEIDER

ROMAIN SCHNEIDER

Légal

L’« avocat-entrepreneur », une source de valeur ajoutée pour l’entreprise

Contenu sponsorisé par PWC LEGAL

Catherine Baflast et Audrey Rustichelli, respectivement Managing Partner et Deputy Managing Partner chez PwC Legal Luxembourg, évoquent l’évolution de l’exercice de leur profession et les bénéfices de leur appartenance au réseau de PwC.

En quoi le réseau global de PwC aide-t-il PwC Legal à mieux servir ses clients ? C. B. Tout d’abord, en tant que cabinet d’avocats indépendant, nous maîtrisons une grande variété de matières juridiques. L’appartenance au réseau PwC nous offre une vision plus large des problématiques rencontrées par les clients. Nous pouvons leur donner accès s’ils le souhaitent aux nombreux métiers qui sont proposés au sein du réseau, et qui sont à même de les aider dans le développement de leur entreprise. A. R. L’avantage est que le client, si telle est sa volonté, ne doit pas sortir du réseau pour obtenir une réponse à ses questions ou un service en particulier. Par exemple, si l’un de nos clients est victime d’une fuite de données, au-delà de l’assistance juridique que nous pouvons lui proposer, nous pouvons le mettre directement en contact avec les différents départements de PwC spécialisés en matière de cybersécurité.

Simon Verjus (Maison Moderne) Photo

Le tout, avec un seul contact au sein de PwC Legal.

Quels sont les profils professionnels que l’on retrouve chez PwC Legal ? Parle-t-on uniquement d’avocats ? A. R. Nous réunissons avant tout des spécialistes du droit, qui ont chacun leur discipline favorite et qui se répartissent dans nos différents départements. Cela étant dit, nous nous nous sommes entourés de juristes qui ont un double profil : ils sont des professionnels du droit, certes, mais disposent aussi d’une formation généraliste dans les meilleures business schools. Cette double formation les aide à mieux comprendre les besoins des clients, qui sont eux-mêmes des entrepreneurs. C. B. Ces doubles profils sont intéressants, car ils cadrent avec l’ADN entrepreneurial du réseau PwC. Chez PwC Legal, nous cherchons à faire de nos collaborateurs des « avocats-entrepreneurs », qui ont une vision plus large des problématiques des clients, sont force de proposition et ne se contentent pas d’offrir une assistance ou une expertise sur la mise en conformité, par exemple. Il est indispensable aujourd’hui, pour l’avocat, de connaître le monde économique qui l’entoure et de comprendre les enjeux stratégiques de son client.

L’avocat n’est donc pas uniquement là pour mitiger les risques, mais aussi pour créer des opportunités ? A. R. Nous nous définissons en effet comme des accompagnateurs. En offrant une

« Aujourd’hui, la transversalité est devenue un réflexe pour nos collaborateurs. »

CHIFFRES-CLÉS

2018

MNKS est devenu membre du réseau PwC en 2018 pour devenir PwC Legal.

5

PwC Legal développe une expertise sur 5 matières principales : corporate, fusionacquisition & private equity, fonds d’investissement, droit du travail et nouvelles technologies.

3.700

Le réseau PwC Legal compte 3.700 spécialistes du droit dans le monde.

98

Présent dans le monde entier, le réseau PwC Legal dispose de bureaux dans 98 pays, sur les cinq continents.

information régulière à nos clients, à travers de nombreuses publications, en créant des opportunités pour ces derniers de développer de nouveaux marchés, en proposant des idées innovantes, en étant créatifs, nous devenons parfois des gestionnaires de projet. C’est là une des évolutions probables du métier d’avocat d’affaires.

Cette vision implique de former vos collaborateurs à de nombreuses problématiques. Quelle est votre politique à ce niveau ? C. B. Notre appartenance au réseau PwC nous permet de proposer à nos collaborateurs un accès à l’ensemble du catalogue de formations du réseau. C’est un aspect important, car les collaborateurs – et même les candidats – sont en demande d’une offre de formation poussée. La nouvelle génération qui arrive sur le marché du travail est curieuse et elle cherche à diversifier ses compétences. C’est l’une des beautés du métier d’avocat que de pouvoir proposer cette diversité de thématiques, qui requiert une expertise multiple. A. R. Pour être plus spécifique, on constate que l’intérêt pour les formations aux soft skills est de plus en plus marqué. Mais les formations sur le digital appliqué au secteur juridique ont également le vent en poupe. À titre d’illustration, comprendre le fonctionnement de la blockchain ou des cryptomonnaies est devenu essentiel. Les cabinets d’avocats ont parfois une image de grandes structures inaccessibles aux PME. Qu’en est-il de PwC Legal ? C. B. Il est vrai que PwC Legal est le «bras armé  » légal du réseau PwC, ce qui nous permet effectivement d’assister, dans le respect des règles d’indépendance de l’avocat, de grandes entreprises qui font appel aux services du réseau. Mais nous avons également à cœur de nous positionner comme un acteur proche des structures locales, quelle qu’en soit la taille, de la start-up à la multinationale en passant par la PME.

Quelles sont aujourd’hui les principales thématiques sur lesquelles vous êtes sollicitées ? A. R. Il y a toute une série de thématiques très actuelles qui concernent une bonne partie de notre clientèle, à commencer

« Chez PwC Legal, nous cherchons à faire de nos collaborateurs des ‘avocatsentrepreneurs’. »

Catherine Baflast

Managing Partner, PwC Legal par l’intégration des critères

ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance).

De nombreux gestionnaires de fonds ont en effet besoin d’un accompagnement pour franchir cette étape et pour comprendre les problématiques liées à ce sujet. En outre, les sujets IT sont devenus une priorité dès lors que la crise sanitaire et les confinements ont fait émerger certaines problématiques.

Certaines entreprises veulent en effet revoir leur architecture, migrer vers le cloud, résilier certains contrats et en souscrire d’autres… Tout cela demande un support de spécialistes du droit.

C. B. Cette digitalisation nous concerne d’ailleurs. Toute une série de procédures peut en effet être automatisée afin de permettre de nous concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée qui font une vraie différence pour nos clients. Il s’agit donc d’un axe fondamental de développement.

Concrètement, comment organisez-vous le travail au sein de PwC Legal ? Comment prenez-vous en charge chaque demande ? C. B. Nous avons des équipes dédiées pour chaque projet, pour chaque client. La plupart de nos clients disposent d’un ou deux points de contact chez nous, ce qui facilite la prise en charge de leurs nouvelles demandes. Même si leur demande sort de l’ordinaire, leur contact au sein du cabinet peut les orienter vers la personne la plus compétente pour les aider. Notre volonté est de faciliter la prise de contact afin de régler le plus rapidement possible le problème du client. C’est en cela que nous nous définissons comme un «trusted advisor», un conseiller qu’on peut consulter, en toute confiance, quelle que soit la situation rencontrée. A. R. Nous mettons également un point d’honneur à travailler de façon transversale sur chaque demande. En effet, chaque sujet est souvent multidimensionnel et requiert des compétences très variées. C’est la raison pour laquelle nous avons mis un terme à l’organisation en silos, afin de multiplier les interactions entre départements. Aujourd’hui, la transversalité est ainsi devenue un réflexe pour nos collaborateurs.

Envie d’en savoir plus sur les services de PwC Legal ? Rendez-vous sur www.pwclegal.lu

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