Journal maracana 20 05 2015

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Que la fête

www.maracanafoot.com N° 2670 — Mercredi 20 mai 2015 — Prix 20 DA

soit !

Hachoud

Belaili

Hamzaoui

Chenihi

Zerara


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Maracana N° 2670— Mercredi 20 mai 2015

CHENIHI

«J’espère remporter le trophée» pas à cette nom-

Vous figurez parmi les cinq joueurs nominés pour remporter le trophée des Oscars Maracana, qu’en

pensez-vous ? C’est une grande fierté pour moi de faire parti de ces cinq nominés, aussi un grand honneur pour ma famille et mon club le MCEE. Le mérite de ma figuration parmi les cinq nominés revient notamment à mes dirigeants, mes coéquipiers et les supporters qui m’ont beaucoup aidé à atteindre ce niveau. Je profite de cette occasion pour saluer cette initiative louable de votre journal qui ne peut qu’encourager les joueurs locaux à donner le meilleur d’euxmêmes. Comment avez-vous accueilli cette bonne nouvelle ? Je ne vous cache pas que j’étais aux anges d’entendre cette bonne nouvelle. Sincèrement, je ne m’attendais

ination et j’étais surpris de voir mon nom parmi les joueurs nominés e pour cette 7 édition des Oscars Maracana. Faire partie parmi les cinq meilleurs joueurs du championnat, cela prouve que je suis sur une bonne voie, mais je dois garder les pieds sur terre et je tâcherai de travailler encore davantage pour progresser et améliorer mes qualités. Estimez-vous être bien placé pour vous adjuger ce sacre de meilleur joueur de la saison 2014/2015 ? C’est difficile pour moi de répondre à une telle question pour la simple raison que les quatre autres joueurs nominés sont bien placés eux aussi pour s’adjuger l’oscar du meilleur joueur de la saison. J’espère remporter ce sacre individuel qui ne pourra que me faire plaisir. Vous souhaitez tout de même remporter ce titre individuel… C’est sûr, je ne peux pas vous dire le contraire. Le fait que je me trouve parmi les cinq joueurs nominés est déjà une distinction, mais je veux bien me distinguer et remporter l’Oscar. Je pense aussi que c’est le souhait des quatre autres joueurs, Belaïli, Zerara, Hachoud et Hamzaoui. Peu importe le joueur parmi nous qui sera élu, il le mérite amplement. Dans tous les cas, si je ne le remporte pas, je n’hésiterai pas à le féliciter. Comment jugez-vous votre parcours en championnat avec le MCEE ? Premièrement, je suis très déçu pour la situation de mon équipe qui lutte pour le maintien en Ligue 1 mobilis. A l’instar de mes coéquipiers, je suis très inquiet pour l’avenir du club. Nous allons faire des pieds et

des mains pour sauver l’équipe et rester parmi l’élite. Pour ce qui est de mon rendement personnel, je suis satisfais de mes prestations depuis cet exercice footballistique en inscrivant six réalisations en championnat. J’ai travaillé dur pour atteindre ce niveau, j’espère continuer sur ce bon chemin. Ne pensez-vous pas qu’il y a un secret derrière votre réussite ? Il n’y a aucun secret derrière ma réussite, je ne possède pas de baguette magique (rires). Si je suis arrivé à atteindre ce niveau, c’est tout simplement que j’ai beaucoup travaillé. A chaque fois, j’essaye d’être bon sur le terrain pour aider mon équipe. Quels sont vos principaux objectifs? Mon premier objectif est de sauver le MCEE de la relégation et récolter le maximum de points lors de ces deux derniers matchs qui nous attendent en championnat. Mon second objectif est de se qualifier au dernier carré de la Ligue des champions africaine et pourquoi pas brandir le sacre. Comptez-vous poursuivre l’aventure au MCEE, où envisagez-vous de changer d’air et tenter une expérience en Europe? Jusqu’à aujourd’hui, je me suis toujours senti très à l’aise à El Eulma, je ne manque de rien. Mais on ne sait pas ce que nous réserve l’avenir. Je crois que ce n’est pas le moment d’en parler. Il reste deux matchs en championnat, et mon équipe est menacée de la relégation. Donc, je me focalise sur l’avenir de l’équipe avant de penser à mon avenir. Je tiens à vous dire ce n’est qu’après avoir assuré le maintien du MCE Eulma en Ligue1 mobilis que je me pencherai sur cette question. J’ai tout mon temps. Revenons maintenant à l’équipe nationale, Christian Gourcuff vous a renouvelé sa confiance et vous a convoqué pour le prochain stage. Pensezvous que vous pourrez arracher une place de titulaire face aux Seychelles? J’ai réalisé mon premier objectif, qui était de figurer sur la liste des 23 joueurs, convoqués pour une rencontre officielle. Maintenant, c’est à moi de prouver mes qualités et convaincre le sélectionneur national Christian Gourcuff. Je vais tout donner pour arracher une place de titulaire. Je n’ ai jamais douté de mes qualités et de quoi je suis capable. J’envisage à chaque fois de donner le meilleur de moi-même pour attirer l’attention du staff technique de l’équipe nationale. Endosser le maillot des Verts est un rêve et ce sera toujours un honneur pour moi de défendre les couleurs de mon pays.

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Comment s’annoncent pour vous justement ces joutes du mois de juin ? Ce sont des matchs très importants et nous sommes conscients de la tâche qui nous attend, lors de ces éliminatoires de la Coupe d’Afrique 2017. Nous serons dans l’obligation de remporter notre première rencontre face aux Seychelles pour aborder le reste des matchs avec beaucoup de sérénité. Il faut bien se préparer et travailler lors des deux stages programmés par le staff technique. On vous laisse le soin de conclure… Je tiens à vous remercier encore une fois pour cette nomination parmi les cinq meilleurs joueurs du championnat. Ce sera un plaisir pour moi de faire partie de ce beau monde qui sera présent à la cérémonie des Oscars Maracana. Je souhaite au quotidien Maracana, beaucoup de succès et de réussite. Je profite de cette occasion pour adresser un message aux supporters du MCEE, pour ne pas abandonner leur équipe en cette fin du championnat et nous soutenir afin de sauver le club de la relégation. Entretien réalisé par Massinissa Hachour


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BELAILI :

L’attaquant usmiste Youcef Belaili a été nominé parmi les cinq meilleurs joueurs de la saison . L’enfant d’Oran qui a choisi cette saison de porter le maillot de l’USMA, est considéré comme l’un des éléments les plus talentueux du championnat de L1. C’est un joueur pétri de qualités qui peut évoluer dans plusieurs postes de l’attaque. Il est à l’aise sur le côté gauche mais il peut évoluer derrière l’attaquant et même comme avant centre. Techniquement, c’est un monstre car il couvre bien sa balle et n’hésite pas à provoquer les défenses adverses. Il peut déstabiliser n’importe quelle défense et anticipe bien les actions. Il a inscrit plusieurs beaux buts cette saison mais le but marqué contre le CRB au stade du 20 aout reste un chef d’œuvre. Tous les observateurs sont unanimes pour reconnaître la valeur de ce joueur aux qualités techniques extraordinaires mais qui doit travailler pour le collectif. Sa première sélection avec les Verts au mois de mars dernier lors de la tournée du Qatar lui a fait énormément plaisir car il l’a beaucoup attendue pour goûter à cette première sélection.

«J’ESPÈRE DÉCROCHER LE GRAND SÉSAME» Qu’en est–il de votre blessure à la cuisse ?

Je me sens beaucoup mieux et j’espère être présent pour le prochain match de mon équipe contre l’ASMO.

Mais ces blessures à répétition vous agacent, n’est-ce pas ?

Effectivement, j’aurai aimé jouer tous les matches avec mes coéquipiers mais les blessures font partie de la vie d’un footballeur. Le plus important c’est que cette blessure n’est pas méchante.

Les résultats de l’USMA lors de la phase retour ne sont pas à la hauteur des ambitions de l’équipe...

C’est vraiment dommage car on avait le potentiel pour jouer facilement le titre, il ya eu beaucoup de circonstances défavorables qui n’ont pas permis à l’équipe de bien figurer en championnat. Heureusement pour nous qu’on s’est qualifiés pour la phase des poules de la ligue des champions.

Justement, pour la LDC, l’USMA est tombée dans un groupe qui comprend le MCEE, l’ESS et El Merreikh. Comment voyez-vous ce groupe ?

Avec la présence de trois équipes algériennes dans le même groupe, les matches seront disputés et passionnants. On tâchera de bien gérer nos rencontres. On fera le maximum pour se qualifier pour le dernier carré.

À deux matches de la fin de la saison, l’USMA n’a pas encore assuré son maintien. Comment expliquez-vous cela ?

C’est un championnat un peu bizarre, en plus de ça, on a perdu beaucoup de points à domicile. On doit réagir pour assurer le maintien.

À votre avis, pourquoi ça n’a pas marché pour l’USMA cette saison ?

Le changement d’entraîneur n’a pas provoqué le déclic escompté et l’équipe n’a pas su gérer convenablement ses matches à domicile. Dommage qu’on a perdu le titre de la saison dernière.

Votre nom a beaucoup circulé depuis le début de saison pour faire partie de l’EN mais il a fallu attendre le mois de mars et la tournée du Qatar pour que le sélectionneur national vous convoque. Comment avez vous accueilli cela ?

J’étais hyper-content car j’attendais cette première sélection depuis très longtemps. Porter le maillot de l’EN est quelque chose d’extraordinaire, c’est une grande fierté.

Comment avez-vous trouvé votre rendement lors de la tournée amicale

qatarie ?

Je n’ai pas bénéficié de beaucoup de temps de jeu mais je pense que j’ai fait le maximum .Lors du premier match contre le Qatar c’est toute l’équipe qui est passée à côté, ce qui fait que lorsque je suis rentré en seconde mi-temps je n’ai rien pu faire. En tout cas, je garde des choses positives pour ma première sélection.

Vous n’avez pas été retenu pour le prochain match de l’EN contre les Seychelles ?

Le sélectionneur national s’est renseigné sur moi et lorsqu’il a appris que j’étais blessé il ne m’a pas retenu.

Vous avez été retenu parmi les 5 nominés pour l’Oscar Maracana du meilleur joueur de la saison. Quel est votre sentiment ?

Je suis content que je sois nominé parmi les cinq meilleurs joueurs, c’est une grande satisfaction personnelle. Déjà le fait de faire partie des cinq meilleurs joueurs prouve bien que je suis bien considéré.

Je suppose que vous ambitionnez d’être élu meilleur joueur de la saison ?

Je serai fier d’être élu meilleur joueur de la saison mais faire partie des cinq meilleurs est déjà une grande satisfaction.

Quelles sont vos ambitions ?

Le plus important pour moi est de progresser et de gagner en maturité, gagner des titres avec l’USMA et faire partie de la sélection nationale. Entretien réalisé par Amine Larbi

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Il est né le 29 novembre 1990 à Tiaret et il était ancien joueur de l’USMBA (2011/2012) club avec lequel il a accédé au terme de la saison sportive 2011/2012 où il a même joué face au MOB un certain 16 mars 2012 où l’un de ses anciens clubs, celui de la Mekerra avait battu son club actuel sur le score de deux buts à un, signés par Mokdad à la 44’ et Boukhari à la 66’, contre un de Ferhat à la 63’, dans une rencontre qui s’est jouée à huis clos au stade du 24-Février de la ville de Sidi Bel Abbès, et ou il y avait en face de lui Ferhat Malek, Dahouche Nassim et Yaya Faouzi, où même il a cédé sa place à Kab à la 90’+2. Alors que la saison passée, il était à la JSS, et au match aller qui s’est joué le 23 août 2013 à Béjaia, il a marqué un but au gardien Berrefane Mourad qui était là au MOB et maintenant à l’USMA. Hamzaoui Okasha, puisque c’est de lui qu’il s’agit et depuis le début de la saison sportive actuelle (2014/2015), a montré qu’il a des qualités intrinsèques et que son recrutement par la direction du Mouloudia Olympique de Béjaia n’est pas fortuite, mais elle est plutôt étudiée. Pour preuve, ce joueur est le meilleur buteur des Crabes avec cinq buts en championnat, face au CRB au 20-Août à la 4’, l’USMH au stade Lavigerie (1er-Novembre d’El Harrach) à la 46’, la JSK au stade de l’UMA à la 70’, l’ASMO à Béjaia à la 12’ et enfin l’ESS à Béjaia aussi à la 7’, et deux en coupe, dont un face à son ancien club, la JSS à Béjaia (huis clos) à la 90’+1 et un autre face à l’ASMO à la 102’ au stade Ahmed-Zabana d’Oran. On l’appelle le poison des défenses et il est aussi le chouchou des fans du club le plus populaire de la vallée de la Soummam. Depuis le match du CRB, il avait contracté une blessure qui l’avait éloigné du groupe et qui a fait que le coach ainsi que tout le groupe ont senti que son absence a manqué à l’équipe, d’où l’équipe qui n’a plus gagné depuis la 22e journée, enchaînant donc sept matches sans la moindre victoire (quatre défaites et trois matches nuls). Beaucoup affirment que si ce joueur est en superforme, il pourra facilement mettre en péril n’importe quelle défense. Rahib Medhouche

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«CETTE NOMINATION A UNE SAVEUR PARTICULIÈRE POUR MOI»

Contacté par nos soins dans l’après-midi de lundi dernier, Hamzaoui, sans trop tarder, a bien voulu répondre à nos questions. D’emblée et à propos de cette nomination aux Oscars de Maracana, le natif de Tiaret dira : «Pour vous dire la vérité, je suis heureux et content qu’on m’ait choisi parmi les cinq nominés des Oscars de votre journal Maracana. C’est un honneur pour moi et pour la ville de Béjaia, pour le MOB particulièrement parce que c’est grâce à ce dernier que je suis arrivé à cette nomination. Cette dernière a une saveur particulière pour moi. ». vous mentir, et ma foi, ce n’est «Je suis heureux qu’un passage à vide si on ne pour le premier gagne pas. C’est tout. Aussi, je trophée du MOB» ne peux pas me juger et juger

Sur le parcours du MOB cette saison, ou du moins jusqu’à la 28e journée, il dira : « Hamdoullah, en championnat, ça a bien marché on est classés deuxième actuellement. Tout comme on a remporté la Coupe d’Algérie et où nous les joueurs, sommes entrés dans l’histoire d’avoir ramené le premier titre pour le MOB et le deuxième pour Béjaia. J’espère que ce titre ouvrira l’appétit à d’autres à l’avenir. »

mes prestations. Il y en a d’autres qui sont bien placés et qui peuvent le faire.»

«J’avoue que personne n’attendait le MOB…»

«Aujourd’hui, je dirai qu’avant le début du championnat, personne ne s’attendait à voir le MOB effectuer un parcours pareil en championnat et gagner la coupe. Mais, nous, en tant que joueurs, on savait qu’on pouvait faire quelque chose. Même le staff technique le sait aussi, dans la mesure où on a bien bossé avec lui depuis le mois de juin de l’année passée.»

«Mon objectif, c’est l’équipe nationale et de jouer en Europe»

«Je ne vous cache pas que j’ai passé une belle saison avec le MOB. On forme une seule famille, l’entraîneur n’est pas n’importe qui, et tout le monde le connaît. Inch’Allah, je continuerai comme ça à donner le meilleur de moi-même dans l’intérêt de ce club et où mon objectif aussi est d’aller en équipe nationale, pourquoi pas ! J’ai aussi un autre objectif qui est de jouer un jour en Europe, pourquoi pas ! Une chose est sûre, rien ne viendra sans le travail et le sérieux.»

«Un joueur doit accepter les critiques pour avancer»

«Je vous mentirai si je vous dis qu’un joueur quelconque peut jouer et évoluer sans la présence du public. Au MOB, j’ai la chance de connaitre des gens qui aiment le ballon et qui aiment les victoires. Une chose est certaine et je la dirai sans détours, ce sont les encouragements des fans qui laissent un joueur se forger et sortir du lot. Même les critiques nous poussent à aller de l’avant et à

«Marquer des buts, c’est mon dada»

travailler de telle sorte à ce qu’on soit toujours à la hauteur. Ce sont les critiques qui poussent un joueur à donner de lui-même et à éviter les erreurs.»

«Un joueur peut donner un plus à son équipe selon plusieurs procédés»

Sur une question comme quoi il manque beaucoup à son équipe ou de l’avis même de son coach, l’absence de Hamzaoui

se ressentait souvent, il dira : « Je dirai qu’un joueur peut donner un plus et aider son équipe de différents aspects et avec des procédés spéciaux. Il peut donner ce qu’il peut sur le terrain, et même sa mentalité. En ce qui me concerne, j’étais blessé, mais hamdoullah, je suis revenu pour la finale de la Coupe d’Algérie que nous avons remportée, Dieu merci. Maintenant, les gens et l’entraîneur savent si je peux donner un plus ou pas, mais de là à vous dire que je manquais seulement à l’équipe serait

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Sur le fait qu’il est le meilleur buteur du MOB, notre interlocuteur dira : «En voyant les matches, vous aurez dû vous apercevoir que si je ne marque pas, je donne un plus devant et je fais tout pour pénétrer dans la surface de réparation adverse. Dieu merci, j’ai réussi quand même à aider mon équipe avec les buts que j’ai marqués que ce soit en championnat ou en coupe. Laissez-moi vous dire que je ne suis pas un avant-centre et mon vrai poste, c’est celui du 10. Vous savez, un joueur qui vient de loin peut marquer, mais celui qui est très proche des bois, souvent la réussite n’est pas de son côté. En d’autres termes, celui qui joue comme milieu offensif aura tout le temps de préparer ses coups ou il peut effacer deux à trois joueurs et marquer.» Propos recueillis par Rahib Medhouche


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L’un des nominés aux oscars Maracana du meilleur joueur, Abderrahmane Hachoud, est connu pour ses buts légendaires qui n’ont parfois rien à envier à ceux de Michel Platini ou d’autres spécialistes des coups francs. Abderrahmane Hachoud, ce joueur né le 2 juillet 1988 à El Attaf, dans la wilaya d'Aïn Defla, et qui a fait les beaux jours du Ahly Bordj Bou Arréridj, de l’Entente de Sétif, et actuellement du Mouloudia d’Alger, nous a accordé un entretien au cours duquel il est revenu sur quelques-uns des événements qui ont marqué sa carrière. Il a avec une grande modestie souhaité à ses deux concurrents à la consécration, à savoir Chenihi et Belaïli, de recevoir la distinction.

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«C’est un honneur pour moi d’être nominé» Vous êtes nominé pour l’Oscar du meilleur joueur du championnat national de Ligue 1. Quel est votre sentiment ?

C’est un honneur pour moi d’être nominé pour cette distinction, surtout que l’an dernier j’ai été choisi comme meilleur joueur du championnat. Mais je voudrais dire que cette année le mérite reviendrait à Belaïli ou Chenihi car ces deux joueurs ont fait une excellente saison.

Qu’est-ce qui vous fait dire que ce ne sera pas vous qui

mériterez la consécration cette saison aussi ?

Premièrement à cause de la saison de mon club qui a mal débuté, sans parler de la blessure qui m’a empêché de jouer une saison comme je l’auraisouhaité. Bien que j’aie bien entamé la saison, malheureusement cette blessure m’a freiné dans mon élan. Mais je dis cela pour Chenihi qui est en train de faire une excellente saison, que ce soit dans son club ou en Equipe nationale. Il joue très bien au ballon et à mon sens c’est un excellent joueur pétri de qualités. Il y a aussi Belaïli. Il n’y a qu’à voir les matches qu’il a joués avec l’USMA avec qui il a fait une très belle saison.

Vous concernant, quel est le match qui vous a le plus marqué cette saison ? Il y a en vérité deux rencontres que je considère comme les meilleurs matchs que j’ai joués. Il s’agit de la rencontre que nous avons jouée face à l’USM Bel-Abbès, et celle que nous avons disputée contre l’Entente de Sétif. Ce match lui aussi restera gravé dans ma mémoire.

Le match que vous voulez

oublier ?

Pour ce qui est du match que j’ai envie d’oublier, c’est celui que nous avons joué face à l’USMH. On a fait match nul ce jour-là. Un nul qui m’a fait très mal car nous avons travaillé de sorte à le gagner. Nous avons fourni des efforts énormes pour parvenir à gagner tous nos matchs à Bologhine. Nous étions bien partis depuis la phase retour et ce nul est malheureusement à mettre aux oubliettes. Il y a un autre match que j’ai absolument besoin d’oublier, c’est celui face à la JSK à Bologhine. On a perdu ce jour-là après avoir mené, et cette défaite nous a abattus et nous a coûté notre descente aux enfers cette saison.

Quel est le plus beau but que vous ayez marqué?

Celui que j’ai inscrit face à la JSK.

Quel est le but que vous avez raté et vous regrettez à ce jour ?

C’est le penalty face à la JSM Béjaïa. Ce but raté m’a abattu et a influé sur moi négativement cette saison qui était pour moi la première sous les couleurs du Mouloudia.

Le but le plus beau selon vous que vous avez inscrit durant toute votre carrière ?

A l’époque je jouais avec le Ahly Bordj Bou Arréridj, c’était face au MCO.

Vous vous rappelez de votre premier match en tant que professionnel ?

Oui c’était face au MC Oran, sous les couleurs du Mouloudia d’Alger au stade Omar-Benhaddad de Kouba. A l’époque j’étais en catégorie espoirs, saison 2007/2008. Entretien réalisé par Nazim B.

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«C’est un honneur pour moi d’être choisi parmi les cinq meilleurs joueurs d’Algérie» Le milieu de terrain franco-algérien Zerara Toufik, considéré comme la «force tranquille» de l’Entente, parle dans cet entretien de son parcours : l’Equipe nationale et le fait d’avoir été nominé pour le titre de meilleur joueur de l’année par Maracana, qu’il remercie, ainsi que la presse algérienne qui a voté pour lui. Formé au FC Sochaux, il a déjà connu quatre championnats : France, Belgique, Ecosse et Emirats Arabes Unis, avant d’intégrer le championnat algérien. J’ai signé mon premier contrat professionnel avec le FC Sochaux durant la saison 2006-2007. Par la suite, je suis parti en Belgique! lors de! la saison 2007-2008, au Germinal Beerschot Anvers plus précisément. La saison! 2008-2009,! je l’ai jouée aux Emirats Arabes Unis, au club d’Al Dhafra. Ensuite, saison 2009-2010, j’ai joué en! Ecosse dans le club de Falkirk, avant d’intégrer le championnat algérien où j’ai opté pour la JSMB. Après deux saisons, j’ai été contacté par les dirigeants de Sétif et j’en suis à ma troisième saison avec l’Entente.

Quels sont les titres que tu as remportés depuis le début de ta carrière ?

J’ai gagné la coupe Gambadella avec le!FC Sochaux et la coupe de France avec le!FC Sochaux (je figurais dans l’effectif), la Ligue des champions africaine et la Super coupe d’afrique.

Pourquoi as-tu choisi de jouer en Ecosse ?

J’ai choisi l’Ecosse car le jeu me plaît beaucoup. Il me correspond: agressif, physique et!avec beaucoup d’intensité. Quel est ton poste de prédilection? Et quels sont les autres postes ou tu peux évoluer? Mon poste est milieu défensif. Je peux aussi jouer arrière gauche car je suis!gaucher.

Quels sont tes points forts et tes points faibles?

Mes points faibles, je dirai la vitesse… Mes points forts sont!l’endurance et!la vision du jeu…

Présente-toi aux lecteurs de Maracana…

Je m’appelle Zerara Toufik. Je suis né le 3!février 1986!à Mulhouse (France). Je joue comme milieu de terrain récupérateur à l’Entente de Sétif.

Peux-tu nous retracer ton parcours?

J’ai débuté à Kingersheim. Je suis! ensuite passé par Mulhouse, puis!j’ai!intégré le centre de formation du FC Sochaux en 2001.

Tu es originaire de quelle ville en Algérie ? Est-ce que tu rentres régulièrement au pays ?

Je suis originaire de Grarem Gouga. Je vais en Algérie quand j’en ai l’occasion. J’ai toute ma famille là-bas.

Tu as déjà joué avec l’équipe de France en jeunes.

J’ai joué en équipe de France dans les caté-

gories!des moins de 18 ans, des moins de 19 ans et! des moins de! 20 ans. Ma! priorité a toujours été l’Equipe nationale d’Algérie.

En France, tu as déjà joué aux côtés de quels joueurs ?

Il y en a trois : il s’agit de Djamel Abdoun, Karim Ziani et Mourad Meghni.

Quel est ton meilleur souvenir?

C’est sans aucun doute la Ligue des champions africaine, qui reste gravée dans ma mémoire. Car cette année, après le départ de plus de 10 joueurs qui étaient les cadres de l’équipe, beaucoup ont misé sur notre relégation, mais grâce à la volonté de tout le monde, l’équipe a pu réaliser un exploit mémorable dans l’histoire du club.

Quel est le secret de la réussite de l’ESS ?

Il n’y a aucun secret. Il y a les efforts fournis par les joueurs et le staff technique, ainsi que le travail effectué par la direction du club, sans oublier l’importance de notre public qui joue à chaque fois un grand rôle dans les résultats réalisés par l’équipe grâce à son précieux soutien.

Tu a fait votre retour en équipe nationale locale. Quel est ton commentaire ?

C’est un retour ordinaire à la maison. Je suis toujours à la disposition de notre sélection nationale pour défendre ses couleurs, ce qui est une obligation pour chaque joueur.

L’équipe A, tu y penses ?

Quel est le joueur qui n’y penserait pas? Je souhaite un jour jouer pour l’équipe national A, un rêve pour moi que j’espère réaliser dans les meilleurss délais.

Comment comptes-tu continuer ton parcours ?

Je suis encore jeune, et j’ai une bonne marge de progression devant moi. Je dois continuer à travailler et éviter de m’enflammer ou de me prendre la tête. Je suis quelqu’un de simple dans la vie, et incha Allah je ne compte pas changer.

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Nous avons appris qu’un manager franco-algérien voulait te faire signer à l’AS Monaco (Ligue1 française) ?

Je refuse d’y aller pour la simple raison que mes ambitions vont au-delà de la Ligue 1 française.

Tu fais partie des cinq joueurs nominés pour l’Oscar du meilleur joueur de l’année. Quel est ton sentiment ?

Tout d’abord, je tiens à féliciter le journal Maracana pour cette louable initiative, qui est réservée uniquement aux joueurs qui évoluent dans le championnat national. C’est une sorte d’encouragement pour nous les joueurs, qui ne peut que nous inciter à travailler davantage pour aller de l’avant. Je suis très content d’être parmi les 5 nominés pour le titre de l’Oscar Maracana de meilleur joueur de la saison 2014-2015. Encore une fois, je vous remercie pour cette initiative, qui sera certainement à la hauteur de nos aspirations, nous les jeunes.

Estimes-tu être bien placé pour l’Oscar du meilleur joueur de la saison ?

Je ne peux répondre à une telle question, pour la simple raison que les quatre autres concurrents sont bien placés eux aussi pour s’adjuger l’Oscar. J’espère être désigné pour ce titre individuel, qui ne pourra que me faire plaisir.

Mais tu souhaites tout de même décrocher cet Oscar…

C’est clair, je ne peux vous dire le contraire, le fait que je sois parmi les cinq nominés est déjà une distinction, mais je prétends à mieux (rires). Qui ne voudrait pas être l’heureux élu du titre de meilleur joueur de l’année? Je pense que c’est aussi le souhait de mes amis Chenihi, Belaili, Hamzaoui et Hachoud. De toute façon, peu importe, Chenihi, Belaili, Hamzaoui et Hachoud ou moi, c’est kif kif. Celui qui sera choisi comme meilleur joueur, je n’hésiterais pas à le féliciter. Au cas où ce serait moi l’heureux gagnant, tant mieux ! Yasser M.


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OSCAR MARACANA 2015 07

MADOUI

L’entraîneur de l’ESS, Kheireddine Madoui, est le premier Algérien à avoir remporté la Ligue des champions (nouvelle version). Il a seulement 37ans et pour sa première saison en tant qu’entraîneur en chef, l’ancien défenseur du CRB et de l’ESS à l’accrocher à son mur le plus prestigieux des titres africains, celui de champion d’Afrique.

Personne ne donnait cher de la peau du technicien sétifien Madoui. Personne ne croyait que l’ESS allait monter sur le toit de l’Afrique. Et pourtant les hauts plateaux, qui culminent à plus de 1100 m d’altitude, deviennent du coup le sommet de l’Afrique du football! avec la consécration des Aigles de Sétif. Une consécration qu’aucun club algérien n’a réussi à obtenir depuis 26 ans. On en aura vu passer des entraîneurs de toutes les nationalités dans les plus grands clubs algériens, mais ce sera finalement Kheireddine Madoui, un technicien 100% algérien, qui offrira à l’ESS le plus beau trophée qu’il a dédié au pays tout entier. Cette date du 1er novembre si symbolique ne risque pas de s’effacer de la mémoire du coach sétifien qui aura réussi le jackpot du premier coup. Il ne s’appelle pas Mourinho ou encore Guardiola, mais il a réussi à conquérir les cœurs de tout un peuple en décrochant son tout premier titre en tant qu’entraîneur. Le début d’une belle histoire commence pour Madoui, qui a su faire honneur mais surtout qui!démontre contre vents et marées que l’en-

traîneur algérien a du potentiel, connaît son travail, mais aussi sait relever les défis. On pourrait bien comparer le technicien sétifien aux grands entraîneurs, mais ce serait diminuer de la valeur de Madoui qui a gravé son nom dans la courte liste des entraîneurs ayant atteint un niveau que seul feu Mokhtar Aribi qui reste le père spirituel de Sétif a pu atteindre en 1988.

Le plus jeune entraîneur à avoir remporté la LDC

Placé cette année à la tête de la barre technique de l’ESS, Kheireddine Madoui, qui vient de remporter la plus prestigieuse des coupes d’Afrique est le plus jeune entraîneur à avoir remporté ce sacre. Ayant travaillé aux côtés de Velud, Alain Geiger, JeanChristian Lang, il a su acquérir auprès de ces technicien étrangers une certaine expérience qui lui aura servi dans le parcours extraordinaire réalisé par son équipe. Sur tout le continent, aucun entraîneur de son âge n’a atteint la finale de la LDC et encore moins la remporter. Il a plus d’une raison d’être fier.

«J’AVAIS PEUR AU DÉPART DE JOUER CETTE LDC» Questionné après sept mois de cette consécration et surtout sur le fait que l’ESS ait décidé de continuer l’aventure alors que la FAF lui avait proposé de se retirer de cette compétition, comme elle l’avait fait avec les autres clubs engagés dans les compétitions continentales, l’entraîneur Madoui a avoué qu’il avait un peu peur au départ de s’engager surtout qu’il y a eu plusieurs départs de joueurs de son équipe et que l’ESS avait entamé cette aventure avec 19 joueurs seulement. «Dans la LDC, nous avons procédé match par match. J’avoue qu’on a eu de la chance parfois. Au départ, j’avais un peu peur de m’engager dans cette compétition, surtout qu’il y a eu pas mal de départs de joueurs et je me suis retrouvé avec un effectif neuf et réduit puisque j’avais 19 joueurs seulement. Ça n’a pas été facile de jouer cette Ligue des champions, mais j’avais un groupe qui vivait bien ensemble, l’état d’esprit qui règne chez les joueurs améliore les conditions de travail. On ne regrette pas d’avoir continué cette aventure. Je dois aussi dire que nous avons réalisé un très bon parcours avec une seule défaite depuis le début de la LDC. J’ai misé sur des

joueurs d’expérience, je dirais que ceux auxquels j’ai fait confiance se sont montrés à la hauteur des attentes. Cette consécration est le fruit d’un grand travail».

«La finale de Tchaker aura été le match le plus difficile depuis le début»

Revenu sur le match nul concédé à Tchaker contre Vita Club face à qui l’ESS avait réalisé un 2 à 2 au match aller, l’entraîneur des Noir et Blanc dira que ça aura été la rencontre la plus difficile qu’il a eue à driver. «Le match contre le Vita Club à Tchaker est le plus difficile que nous ayons joué depuis le début de la compétition. Il y avait une grosse pression sur mes joueurs. Nous avons réalisé l’essentiel au match aller, car nous avons souvent subi le jeu de notre adversaire dans cette finale-retour».

«C’était un honneur de jouer la Coupe du monde des clubs»

En ce qui concerne la participation de l’ESS à la Coupe du monde des clubs au Maroc, le coach sétifien se dit fier d’avoir

prendre part à une compétition d’une telle envergure et que c’est un honneur pour son club d’avoir présenté le pays dans une si prestigieuse compétition. «Jouer la Coupe du monde des clubs etait un honneur pour nous», dira Madoui.

Ça fait quoi d’être dans la lignée de Mokhtar Aribi qui avait offert sa première Coupe d’Afrique à l’ESS en 1988 et Abdelhamid Kermali qui avait offert, lui, la CAN à l’Algérie en 1990 ?

C’est une fierté. Après, je n’ai pas la prétention de me comparer à ces illustres personnes, Rabi Yarhamhoum. J’ai encore du chemin à faire.

Madouinho, c’est un surnom quand même sympa, non ?

Oui, mais sans plus. Personnellement, je n’aime pas les comparaisons. Je préfère être moi-même. J’ai envie de tracer mon chemin tout seul, sans comparaisons ni parallèles.

Avant de devenir entraîneur en chef, vous étiez l’assistant d’Alain Geiger, Hubert

Velud et Jean-Christian Lang, lequel vous a le plus marqué ?

J’ai appris de chacun d’eux. Ils avaient tous une approche différente. Chacun avait sa façon de travailler.

Avez-vous des références, ou si vous voulez, des idôles ?

Quand j’étais joueur, j’aimais beaucoup Rabah Madjer. Il avait une classe inégalable. Aujourd’hui, j’apprécie particulièrement Louis Van Gaal. Il est impressionnant.

Vous êtes le plus jeune entraîneur à avoir remporté une Ligue des champions, c’est un exploit en soi, non ?

Je ne pouvais pas espérer meilleurs débuts. J’en suis fier. Franchement, cette aventure m’a fait grandir de dix ans. J’en sors aujourd’hui plus calé.

Quels sont vos objectifs, désormais ?

Continuer à travailler et à progresser. J’espère gagner encore d’autres titres à l’avenir. L’histoire vient à peine de commencer…

Vous été nominé pour le meilleur entraineur saison 2014/2015 par

QUOTIDIEN NATIONAL D’INFORMATIONS SPORTIVES

Maracana, un commentaire ?

C’est un honneur pour moi d’être parmi les nominés des Oscars de Maracana pour la saison 2014/2015, je pense que c’est le fruit d’un grand travail que j’ai commencé la saison dernière comme entraîneur en chef après un grand parcours comme adjoint.

Vous serez en face de Mihoubi et Amrani , qu’en dites vous ?

C’est un grand plaisir de concurrencer deux grands entraîneurs en Algérie, puisqu’il s’agit des deux entraineurs qui ont joué la finale de la coupe d’Algérie cette saison et que le meilleur remportera le titre du meilleur entraîneur que je l’espère pour moi (rire).

L’Entente est sur le point de réaliser un triplé historique...

Oui, effectivement nous sommes à trois points du titre de championnat et en devra battre le CSC samedi prochain pour remporter le titre de championnat et nous n’avons pas le choix que les battre sans discussion.

Un dernier mot ?

Je remercie le journal Maracana pour cette honoration et je souhaite au journal, plus de succés et une longue vie.


08 OSCAR MARACANA 2015

Maracana N° 2670— Mercredi 20 mai 2015

«L’Entente me porte bonheur, j’espère être l’heureux élu» Tout d’abord, quelles sont vos nouvelles ?

Je vais bien, merci. Hamdoullah nous avons réalisé un bon coup pour le championnat.

Présentez-vous aux lecteurs de Maracana...

Sofiane Khedairia, gardien de but, francoalgérien, né le 1 avril 1989 à valence en France.

Où avez vous commencé à jouer au football ?

J'ai fait mes débuts au FC Burel en tant que gardien puis je suis parti au centre de formation du Téfécé où j'ai effectué ma formation pendant 5 ans. J'étais 3e gardien et j'ai même été présent sur des feuilles de matchs de Ligue 1. Ensuite, je suis parti à Besançon pour monter en National, aprés au SOCC et mon dernier club en France était le FC le mans avant de venir a l’entente.

Comment êtes-vous arrivé à l’ESS ?

C’est mon Manager Bob qui y est pour beaucoup dans tout cela. Bob m’a dit beaucoup de bien sur ce club, alors j’ai décidé de tenter une aventure ici en Algérie, mon pays d’origine, dans l’espoir de rebondir et de servir encore mieux ma nouvelle équipe.

Pourquoi avoir opté pour l’ESS malgré une meilleure offre du CSC ?

Je ne vous cache pas que c’était très difficile pour moi de prendre une décision, le CSC me voulait vraiment, mais il faut dire qu’aujourd’hui je suis Ententiste, En plus du challenge, qui est très intéressant, je dirais que c’est l’ex-président Abdelhakim Serrar qui m’a convaincu pour y jouer. Son discours était franc et direct, il m’a expliqué son projet et franchement ça m’a vraiment plu et c’est pour cette raison que je n’ai pas hésité un seul moment pour signer.

Il y a aussi la présence d’autres joueurs francoalgériens, n’est-ce pas ?

Il se pourrait qu’il y ait un peu de cela aussi, jouer avec d’autres Franco-Algériens me motive encore plus. Je tiens à vous dire aussi que cela ne me pose aucun problème, la seule chose qui a motivé mon choix au final, c’est le coach Velud, car c’est une chance de travailler avec un entraîneur comme lui, ce sera encore un honneur pour moi.

Quelles étaient vos ambitions en optant pour l’ESS ?

Comme tout joueur, j’avais l’attention de progresser et développer mes qualités à l’ESS qui reste un grand club, et c’est un honneur pour moi d’en faire partie. Jai fait de mon mieux pour être à la hauteur des

attentes du coach Velud et de la direction en apportant le plus qu’on attend de moi.

Comment avez vous reçu la convocation en équipe nationale A ?

Franchement, dés le début, j’ai mis dans ma tête une idée que je suis encore très jeune alors je veux vraiment réussir mon passage afin de retrouver le plus vite possible la sélection nationale. Et après un début brillant avec l’Entente, j’ai reçu la convocation de l’entraîneur, ce qui m’a honoré et fait un grand plaisir et m’a donné la force pour travailler plus dur. Je connais bien mes qualités et je peux vous dire qu’avec le travail j’arriverai à réaliser cet objectif.

Il y a des joueurs de qualité dans cette équipe, cela vous obligera à vous battre pour gagner votre place…

Cela reste une motivation supplémentaire pour moi, pour ne pas me répéter, je suis encore jeune donc je dois travailler davantage afin de mériter ma place parmi l’effectif de l’Entente. En plus, avec les joueurs expérimentés de l’ESS, je ne ferai que progresser et apprendre. Ce sera quand même très intéressant de tenter quelque chose ici en Algérie.

N’est-ce pas grâce à l’Entente que vous êtes revenu en sélection ?

Oui. Je pense que mes prestations en championnat et la ligue des champions africaine en sont la raison. C’est le haut niveau ! J’ai sorti quelques gros matchs et je pense que cela a beaucoup pesé dans le choix du sélectionneur.

Quel est la différence entre le championnat en France et celui en Algérie ?

La différence est sur plusieurs plans, les infrastructures, les moyens de récupération …etc, pour avoir un championnat pro, il faut avoir beaucoup de choses et je pense que l’Algérie et dans la bonne voie et tout va changer d’ici 4 à 5 ans.

Votre rendement n’est pas le même comme en début de saison, pourquoi ?

Il n y a pas le feu, sauf que je suis un peux fatigué par apport aux enchainements des matchs et en plus, l’équipe a connu un passage à vide ce qui a influencé sur le rendement de tout le groupe et pas seulement sur Khedairia et je pense que tout est rentré dans l’ordre.

Aprés trois saisons avec l’Entente, vous êtes champion d’Afrique, quel est votre sentiment ?

Je suis fier d’être champion d’Afrique dés la troisième saison et avec un grand club comme l’Entente de Sétif, c’est un honneur pour moi et un avantage de travailler dur dés la prochaine saison pour réaliser d’autres titres que ce soit avec l’Entente ou la sélection nationale.

Comment jugez-vous le parcours de l’Entente cette saison ?

Je pense que notre parcours est honorable, jusqu'à présent, nous sommes champions d’Algérie, demi-finaliste en coupe d’Algérie, champion d’Afrique et nous sommes qualifiés pour la phase des poules en coupe de la ligue des champions.

On parle de vous partout, un commentaire ?

C’est normal chaque joueur a la fin de saison il aura beaucoup de contacts, pour moi, j’ai reçu des contacts mais Hammar m’a convaincu et j’ai renouvelé mon contrat il ya quelque jours et je suis très heureux.

Franchement, est-ce que vous êtes satisfait à Sétif ?

Oui, bien sûr, c’est un grand club où j’ai pu gagner le championnat dés ma première année et après trois ans j’ai gagné la ligue des champions et la super coupe d’Afrique, qu’est-ce que je demande de plus, j’espère rester à la hauteur la saison prochaine et contribuer, lors de cette fin de saison, à remporter le championnat.

Vous être choisi parmi les trois meilleurs gardiens d’Algérie pour avoir l’oscar de Maracaña...

C’est un honneur pour moi, dés ma première saison en Algérie, je suis champion d’Afrique, demi-finaliste de la coupe d’Algérie et convoqué en équipe nationale, en plus, je suis choisi par le journal Maracaña d’être parmi les trois meilleurs gardiens en Algérie pour l’Oscar.

Un mot sur cette nomination ?

Franchement, c’est une motivation supplémentaire pour les joueurs d’être toujours à la hauteur et travailler dur, ce qui va être dans l’intérêt des clubs et la sélection nationale et j’espère être l’heureux élu de cette cérémonie.

Que dites vous sur vos concurrents, Chaouchi et Zemmamouche ?

Je pense que ces deux gardiens ne sont pas à présenter, Chaouchi ou Zemma sont parmi les gardiens qui ont de l’expérience et j’espère un jour arriver à leur niveau.

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Quel est votre idôle ?

C’est Zinedine Zidane.

Qu’avez-vous à dire aux supporters qui sont toujours derrière l’ESS et vous en particulier?

D’après ce que j’ai constaté, lors de ma présence à Sétif, les supporters de l’ESS sont très accueillants et cela me motive pour donner le meilleur de moi-même sur le terrain. J’espère que j’ai contribué de leur donner de la joie en produisant du beau jeu et en gagnant des matches. Nous avons surtout atteindre nos objectifs ensemble avec nos supporters. Quant à moi, j’espère que j’ai été à la hauteur des espérances placées en moi par les dirigeants du club et que j’ai fait plaisir aux fans. entretien réalisé p a r Ya s s e r Malki


Maracana N° 2670— Mercredi 20 mai 2015

OSCAR MARACANA 2015 09

ASSELAH «J’espère remporter le trophée» «Maracana œuvre pour le bien du football local et nous devons soutenir cette initiative» «Je remercie les supporters du Chabab pour leur soutien» «Je ferai le maximum pour honorer les couleurs nationales»

Un commentaire sur votre nomination…

C’est un honneur pour moi, et cela prouve que je fais partie des meilleurs gardiens de but de notre championnat. J’ai fourni beaucoup d’efforts cette saison, et maintenant je récolte les fruits de mon travail. Je vous remercie d’avoir pensé à moi en mentionnant mon nom parmi les nominés pour le trophée de meilleur gardien.

Qu’avez-vous ressenti lorsque vous avez appris la nouvelle ?

C’est un proche à moi qui m’a mis au courant et j’ai ensuite constaté sur la page officielle de votre journal, (Facebook), qu’effectivement je faisais partie des nominés. Cela m’a enchanté et m’a fait beaucoup plaisir.

Vous avez été choisi parmi de grands gardiens de notre championnat, comment estimezvous votre parcours avec le Chabab ?

Malgré les difficultés en début de saison, les résultats ont suivi et je pense que mes performances sont meilleures que celles de l’an dernier. Je tiens à l’occasion à rendre hommage à l’entraîneur des gardiens, Dékimèche, qui m’a beaucoup aidé et avec qui j’ai beaucoup appris. Son aide m’a permis de trouver mes repères dans ce club et je l’en remercie beaucoup.

NOMINÉ

Que pensez-vous du trophée décerné par Maracana à chaque fin de mois et en fin de saison pour le meilleur joueur ?

C’est une initiative encourageante pour les joueurs et pour le football algérien. Je vous remercie d’ailleurs pour ces efforts qui contribueront à l’épanouissement de notre sport en général et au football en particulier. Mon coéquipier en club a déjà été distingué par votre trophée auparavant, et nul doute que ce geste a dû l’encourager et lui donner des ailes pour la suite de son parcours.

Quelle sera votre réaction si vous êtes nommé meilleur gardien de la saison ?

Cela va sans doute m’apporter un plus et me laissera concentrer pour plus d’efforts et pour m’améliorer davantage. C’est toujours motivant de recevoir des titres, car ça prouve que les fruits des efforts sont là, et c’est très encourageant.

Vous êtes performant cette saison avec votre club, quel est le secret de votre réussite ?

J’ai beaucoup travaillé aux entraînements et je me suis sacrifié pour en arriver là. Maintenant que je me suis imposé avec mon club, mon rêve se réalise, et je demeure déterminé malgré toutes ces distinctions.

Quelles sont vos ambitions avec le CRB ?

Nous allons négocier cette fin de championnat avec toute la détermination nécessaire, et je ferai de mon mieux pour honorer les couleurs du club Rouge et Blanc. Nous avons su relever la tête ces dernières semaines, et même si le titre de champion s’éloigne, nous gardons toujours le même état d’esprit, et nous restons

POUR LA

4

E

décidés à nous surpasser pour finir la saison en beauté. Les bons résultats sont mon unique objectif et j’espère qu’on demeurera sur cette lancée.

Vous avez été rappelé en Equipe nationale par le sélectionneur Gourcuff, quel effet cela vous a fait ?

J’ai toujours ambitionné de faire partie des Verts et ma convocation m’a rendu heureux et fier. Cela va me booster davantage dans mon travail et va me donner des ailes pour la suite de mon parcours. J’ai été récompensé pour mes efforts et mes performances, mais cela fait plaisir de se savoir suivi par le staff technique des Verts.

A vous le dernier mot…

Je tiens à remercier avant tout les supporters du CRB qui ont toujours soutenu leur équipe malgré des hauts et des bas. J’espère qu’ils continueront à nous encourager et à être derrière nous. Je remercie les gens qui ont cru en moi, et je remercie le journal Maracana pour cette initiative qui contribue de loin à l’émergence et l’épanouissement de notre football, et bonne continuation… Hamid Si-Ahmed

FOIS POUR L’OSCAR DE MEILLEUR GARDIEN

ZEMMAMOUCHE

Monsieur 50% de l’USMA

S’il y a un gardien qui a toujours été mis en évidence par l’Oscar Maracana c’est bien le gardien international, Mohamed Lamine Zemmamouche. En effet, le portier de l’USMA, qui a été élu, à trois reprises, meilleur gardien du championnat d’Algérie par Maracana, est encore une fois présent cette saison où il postule pour un 4e sacre. Nominé sur la liste des trois meilleurs portiers du championnat pour cette saison, l’enfant de Mila a confirmé, encore une fois, ses grandes qualités dans les buts. Il a été pour beaucoup dans la qualification de l’USMA pour la phase des poules de la LDC. Il a dû déclarer forfait pour

la dernière CAN disputée en Guinée équatoriale à cause d’une méchante blessure. Mais la force de caractère de Zemmamouche lui a vite permis de surmonter cette épreuve et de retrouver la confiance. Sa détermination lui a donné une grande force pour réaliser de grandes performances. A 30 ans, Zemmamouche est arrivé à l’âge de maturité, ce qui l’a beaucoup aidé pour encore réaliser une saison à la hauteur. Même si l’USMA n’a pas encore assuré son maintien mais, lorsqu’on possède un gardien comme Zemmamouche, l’équipe est entre de bonnes mains et les supporters usmistes peuvent être rassurés. «Maracana, c’est mon jardin»

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Avec les changements opérés au niveau du staff technique de l’USMA, l’équipe vit des moments difficiles. Les joueurs sont hyperconcentrés sur les deux matches qui leur restent à disputer. Pour le gardien Zemmamouche, qui a toujours eu du respect pour Maracana, a dit à ce sujet : « Je n’oublierai jamais ma première consécration avec Maracana lorsque j’ai reçu l’oscar de meilleur gardien en 2011. D’ailleurs, c’est cet oscar qui m’a encouragé pour la suite de mon parcours. J’étais désigné meilleur gardien en 2013 et en 2014 et j’espère, encore une fois, cette année que je serai encore le meilleur» a indiqué le portier usmiste. Amine Larbi


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«Très heureux d’être parmi les cinq meilleurs espoirs nominés» Quelle a été votre réaction après avoir été désigné parmi les cinq meilleurs joueurs espoirs de l’année par la presse nationale ?

C’est un honneur pour moi, pour ma famille et tous les supporters de la JSK. Je suis très honoré que la presse estime que j’ai été parmi les meilleurs joueurs espoirs de l’année, c’est un geste qui me fait énormément plaisir. Cette distinction me stimule et me pousse à redoubler d’efforts afin de terminer la saison dans les meilleures conditions qui soient. Pour tout vous dire au sujet de cette désignation, le fait que cette distinction s’intitule est un immense honneur pour moi. Sincèrement, je suis très honoré.

Vous êtes quelque peu méconnu du grand public algérien, on s’est dit alors qu’une présentation s’imposait, non ?

Malik Ihadjadène, joueur algérien né le 19 mars 1994. Mon histoire n’a rien d’atypique, parce que comme tous les Algériens, j’ai débuté le football tout jeune. Ce qui fut fait puisque mes premiers pas, je les ai faits dans ce prestigieux club qui a enfanté les plus grands noms nationaux et même internationaux, et bien d’autres illustres noms que je ne peux énumérer ici tant ils sont nombreux. Pour moi, jouer à la JSK fut un rêve qui se réalisa. J’ai fait toutes mes classes avec ce prestigieux club et je suis toujours là.

Vous avez ramené un point de l’extérieur samedi dernier, qu’en dites-vous ?

Effectivement, c’est le cas de le dire. Je vous ne cache pas que j’étais très content, après le coup de sifflet final, car ce fut un autre résultat positif comme vous dites à l’extérieur qui nous permettra de repartir du bon pied et assurer le maintien. Il ne faut pas oublier qu’on a affronté une équipe

N

é le 31 octobre 1996 à Alger, il a, jusqu’à la saison passée, fait partie uniquement des Espoirs du Mouloudia. Remarqué par l’entraîneur Bouali, il a pu faire huit apparitions l’an dernier. Mais depuis l’entame de la campagne en cours, il a pu s’imposer parmi l’équipe type malgré son jeune âge, il a par son talent pu devenir incontournable. Tel un grand du haut de ses 19 ans, il a une confiance en lui et une aise dans le jeu qu’on ne retrouve pas chez des joueurs qui ont 19 ans d’expérience. Il est difficile à dire s’il assure l’équilibre dans le milieu grâce à la complicité de ses deux acolytes, Karaoui et Hendou, ou ce sont ces derniers qui peuvent compter sur sa contribution afin de maitriser cette partie du terrain ô combien sensible qui est le milieu. En tout cas, le trio est réglé comme du papier à musique. Une des rares combinaisons que Charef a pu confectionner et qui a marché. En tout cas, Oussama Chita de par sa bonne vision de jeu promet beaucoup, il a, le moins que l’on puisse dire une carrière d’au moins le nombre d’années de son âge devant lui. Il a déjà tapé dans l’œil du sélectionneur de l’équipe nationale

qui renferme de très bons éléments qui peuvent faire la différence à n’importe quel moment de la partie.

Comment jugez-vous le parcours de votre équipe jusqu’à présent ?

Franchement, je pense que l’équipe ne mérite pas la place où elle se trouve actuellement. Nous avions quelques difficultés en début de saison. Il y a eu ensuite un déclic. Nous avons enchaîné plusieurs résultats positifs, malheureusement, nous avons eu un passage à vide. La JSK est une équipe sensée jouer les premiers rôles, nous allons faire de notre mieux pour terminer la saison en force.

Ces dernières contreperformances vous ont fait perdre des places au classement, cela vous inquiète-t-il ?

Il n’y a pas de quoi être inquiet. Nous nous sommes battus en développant du jeu. Cela est encourageant pour la suite. Le plus important est de gagner, d’abord, les matchs que nous aurons à jouer à domicile et aussi, récolter un maximum de points de l’extérieur. C’est pour cela que les prochains matchs sont très importants.

Un match capital vous attend ce samedi, comment appréhendezvous ce match face à l’USMH ?

C’est un match comme les autres, qu’on va aborder avec un seul objectif, celui de gagner. Certes, notre mission s’annonce très difficile devant une équipe qui n’est plus à présenter et difficile à manier. De notre côté, nous devons revenir avec un résultat positif, en essayant de retrouver notre bonne santé. De toutes les façons, nous allons préparer comme il se doit ce match face à l’USM Harrach, et avec la ferme intention de glaner les points du match.

olympique aussi ce qui n’exclut pas que Christian Gourcuff l’ait remarqué et qu’il n’ait pas de projet pour le jeune talent. Si Oussama continue sur cette lancée avec le même sérieux et la même abnégation, il n’est pas exclu qu’il fasse objet de convoitises de clubs européens. Si un jour, il aura l’opportunité de traverser la Méditerranée, à coup sûr, il deviendra un joueur clé en sélection nationale, à l’image des joueurs qu’on appelait communément du cru et qui ont fait carrière en Europe tels que Halliche, Slimani, Madjer pour ne citer que ceux-là. Chita est devenu, depuis l’arrivée d’Artur Jorge à la tête de l’équipe, un élément indispensable. Du haut de ses 19 ans, ce jeune prodige a su assurer une place parmi les grands noms du championnat local, sans complexe, il joue du côté de Gourmi, Aouedj et Karaoui en faisant face à d’autres joueurs qui ont l’équivalent de son âge en années d’expérience, et ce, pas depuis hier, car à l’âge de 17 ans et quelques mois déjà, il a fait des apparitions et a même été titularisé, il a joué 11 matches dont 3 en tant que titulaire totalisant 371 minutes la saison 2013/2014.

Pensez-vous que vous avez les moyens de battre l’USMH et d’assurer définitivement le maintien ?

Sans vouloir verser dans un optimisme béat, car on a encore deux matchs à disputer, je peux vous dire qu’avec cet état d’esprit qui règne au sein du groupe, nous avons les moyens d’atteindre cet objectif, à savoir le maintien. Mais bon, il faut attendre les prochains matchs pour voir si vraiment nous sommes capables de jouer cette place.

La victoire, vous y croyez ?

Il n’y a aucun doute là-dessus. Ce match est très important pour nous. Nous avons un objectif et pour l’atteindre, nous n’avons plus le droit à l’erreur. On doit être vigilants sur le terrain afin de retrouver notre lancée. Si nous voulons assurer notre maintien et terminer la saison en beauté, nous n’avons d’autre choix que de gagner.

Il est estimé, très modeste, bien éduqué. Il s’agit du jeune joueur Malik Ihadjadène. Ainsi, l’international espoir reste très optimiste quant à son avenir et pour celui de la sélection algérienne. Ihadjadène est nominé parmi les cinq meilleurs joueurs espoirs de l’année par la presse.

Un mot pour les supporters kabyles ?

Je dis aux Kabyles de rester derrière leur club, surtout dans les moments difficiles, c’est la seule option pour que les joueurs se donnent à fond sur le terrain.

En guise de conclusion…

Je tiens vivement encore une fois à remercier tous ceux qui m’ont accordé leur confiance et merci pour tout et pour cette nomination. Aussi bonne réussite pour le journal maracana. Entretien réalisé par Saïd A.

Bilan de cette saison

Par contre, cette année Oussama a débuté la saison avec l’arrivée de Charef sur le banc pour les deux premières rencontres, puis il se blesse et ne revient plus avant le 10 octobre quand le Mouloudia a croisé le fer à l’USMBA pour le compte de la 7e journée mais sur le banc, de même pour le match suivant face à la JSK, le match d’après, il a été carrément écarté par l’entraîneur du groupe. Sa première apparition cette saison il l’a faite le 22 décembre face à l’USMH, ensuite il a enchaîné les apparitions et les titularisations en jouant face au CSC où il a écopé de son premier carton jaune cette saison à la 70’, face au MC Oran sorti à la mi-temps, ensuite face au MC El Eulma, il a été incorporé à la seconde mi-temps, devenant petit à petit la coqueluche des supporters et le petit frère de la grande équipe. Le dernier match qu’a joué Chita fut face à l’Entente de Sétif où il a cédé sa place à la 89e minute à Yahia Khiter. Ce jour-là, le Mouloudia a gagné par 1-0 but de Sid Ahmed Aouedj à la 49’ jouant ainsi 1032 minutes sous le maillot du Doyen cette saison.

Depuis, Oussama Chita n’a plus mis les pieds sur le terrain à cause d’une blessure qui s’est aggravée à tel point qu’il fallait l’opérer en urgence. Il s’agissait du ménisque. Il a normalement terminé sa convalescence et est passé à la rééducation qui s’est bien passée. Maintenant, il attend le feu vert du médecin pour reprendre avec le groupe. Son souhait est d’être de retour et de reprendre avec ses camarades et participer au sauvetage du club de la relégation. Mais d’après les dernières nouvelles, la saison est terminée pour Oussama, il va devoir se résigner, continuer à se soigner et se préparer pour la saison prochaine. Nazim Bouadma

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LE MOB

OSCAR MARACANA 2015 11

DÉCROCHE SON PREMIER TROPHÉE

Un bilan positif à tout point de vue

Si on parle du bilan du MOB, ce dernier débuterait à l’intersaison de la saison 2014/2015, avec un effectif remanié à plus de 60%.

I

l n’y avait que onze joueurs qui restaient de la saison écoulée, entre autres le gardien Zaidi, le défenseur central Bouamria et le milieu offensif Betrouni (qui ont été libérés durant le mercato hivernal), le défenseur polyvalent, Baâouali, les deux arrières gauches, Salhi et Guedjali, les trois milieux récupérateurs Dehouche, Sidibé et Ferhat et les deux milieux offensifs, Yaya et Rahal. Il y avait donc l’arrivée de pas moins de treize nouvelles recrues que sont les deux gardiens, Mansouri et Rahmani, les deux défenseurs centraux, Mebarakou et Messaoudi, les deux latéraux, Benali Salim et Aguid Amir, les deux milieux offensifs, Hamzaoui et Zerdab ainsi que les cinq attaquants qui ont pour nom Ballo, Banouh Chattal, Brahmia et Sayah (ces deux derniers ont été libérés avant la dernière journée de la phase aller). Mais cela n’a pas empêché l’équipe d’effectuer un bon parcours, ou au soir du 30 décembre de l’année passée (2014), le club qui s’est installé confortablement dans la place de leader a remporté son premier titre, quoique ce dernier était honorifique, celui de champion d’hiver.

Une phase aller en beauté

Sur les quinze rencontres jouées depuis le 15 août de l’année passée, le club a remporté sept rencontres dont trois en déplacement (NAHD, CRB et MCEE) et quatre à Béjaïa (CSC, RCA, JSK et USMBA). Le club a aussi fait six matches nuls dont deux à domicile (JSS et MCA) et quatre en déplacement (ASO, ASMO, ESS et MCO), sans oublier

Ferhat sera convoqué en équipe nationale

les deux défaites subies, une à Béjaïa face à l’USMA et une autre à l’extérieur face à l’USMH. Aucune équipe n’a réalisé ce parcours, mais depuis le début de la phase retour, le club n’a pris que 14 points sur les 36 possibles, avec cinq défaites, cinq

matches nuls et seulement trois succès. Cela n’a pas empêché le club quand même de remporter la Coupe d’Algérie de l’édition 2014/2015 et espérer mieux à l’avenir. Déjà, le club entre dans l’histoire en deux sens. Primo, il est détenteur de la

coupe, et puis il est sûr de jouer une compétition de haut niveau, la coupe de la CAF pour le moment et le choix entre cette dernière et la ligue des champions en cas ou le club prendrait la 1re ou la 2e place au soir du 30 mai prochain.

Les résultats enregistrés en championnat et les buteurs :

1re journée (15 Août 2014) : NAHD 0-MOB 2 : Buts de Ballo (23’ et 33’) 2e journée (23 Août 2014) : MOB 1-JSS 1 : But de Zerdab (69’) 3e journée (13 Septembre 2014) : ASO 0- MOB 0 4e journée (20 Septembre 2014) : ASMO 1-MOB 1 : But de Zidane contre son camp (25’) 5e journée (27 Septembre 2014) : MOB 2-MCA 2 : Buts de Ferhat (56’) et Ballo (74’) 6e journée (02 Octobre 2014) : ESS 1-MOB 1 : But de Rahal (39’) 7e journée (18 Octobre 2014) : MOB 2-CSC 0 : Buts de Rahal (46’ s.p) et Dehouche (83’) 8e journée (25 Octobre 2014) : CRB 0-MOB 2 : Buts de Hamzaoui (4’) et Nemdil (90’+1 contre son camp) 9e journée (1er Novembre 2014) : MOB 2-RCA 0 : Buts de Rahal (12’ s.p) et Yaya (83’) 10e journée (08 Novembre 2014) : USMH 2-MOB 1 : But de Hamzaoui (46’) 11e journée (21 Novembre 2014) : MOB 3-JSK 1 : Buts de Messaoudi (8’), Yaya (22’) et Hamzaoui (70’) 12e journée : (29 Novembre 2014) : MCO 1-MOB 1 : But de Nessakh (25’ contre son camp) 13e journée : (06 Décembre 2014) : MOB 0- USMA 1 : But de Meftah (34’) 14e journée : (20 Décembre 2014) : MCEE 1-MOB 2 : Buts de Banouh (76’) et Chattal (90’+4)

15e journée : (30 Décembre 2014) : MOB 1-USMBA 0 : But de Sidibé (4’). 16e journée : (20 Janvier 2015) : MOB 0- NAHD 0 17e journée : (24 Janvier 2015) : JSS 0-MOB 1 : But de Chattal (90’+4) 18e journée : (31 Janvier 2015) : MOB 0-ASO 0 19e journée : (06 Février 2015) : MOB 1-ASMO 0 : But de Hamzaoui (12’) 20e journée : (10 Février 2015) : MCA 1- MOB 0 : But de Gourmi (28’) 21e journée : (28 Février 2015) : MOB 3-ESS 0 : Buts de Hamzaoui (7’) et Zerdab (30’ et 65’) 22e journée : (07 Mars 2015) : CSC 1-MOB 0 : But de Voavy (10’) 23e journée : (21 Mars 2015) : MOB 2-CRB2 : Buts de Rahal (3’ s.p), Zerdab (39’), Cherfaoui (43’) et Derrag (78’). 24e journée : (28 Mars 2015) : RCA 1-MOB 0 : But d’El Moueden (90’+1) 25e journée : (17 Avril 2015) : MOB 0-USMH 1 : But de Benachour (90’+4) 26e journée : (25 Avril 2015) : JSK 2-MOB 1 : Buts de N’Diaye (35’), Rial (62’ et 74’) 27e journée : (09 Mai 2015) : MOB 0- MCO 0 28e journée : (16 Mai 2015) : USMA 1- MOB 1 : Buts de Beldjilali (27’) et Zerdab (71’) Rahib M.

Amrani, un coach qui a fait entrer le MOB dans l’histoire I l n’est un secret pour personne que depuis l’arrivée du coach Amrani à la barre technique du MOB, le 25 septembre 2013 en remplacement de Rahmouni qui est parti pour insuffisance de résultats, le MOB s’est porté bien. Certes, la saison passée, le club avait du mal à sauver sa tête de la rélégation en ligue 2, et ce n’est qu’après la victoire en déplacement, la seule d’ailleurs, et c’était face au CABBA où le MOB avait gagné au stade du 20-Août de Bordj sur le score sans appel de trois buts à un. Le coach Amrani avait même privé Boualem Charef d’une quatrième place en battant l’USMH au stade de l’UMA le 24 mai 2014 dans un match à huis clos. En tout, pour la première saison, le coach qui avait pris la barre technique après la rencontre du CRBAF, jouée le 27 septembre 2013, soit avant le match du MCO,

avait réussi à prendre la bagatelle de 32 points sur les 72 en jeu (24 rencontres). Cette année, la direction du club lui a mis les moyens appropriés, et la préparation d’intersaison 2014 a débuté le 22 juin de la même année, avec un effectif remanié à plus de 60 %. Mais cela n’a pas empêché le MOB de jouer les premiers rôles en championnat, avec la deuxième place actuelle en attendant de la conforter, et le premier titre dans la vie du club, soit la Coupe d’Algérie 2014/2015.

Grâce à lui, le club jouera une compétition de haut niveau

Avec Amrani, le MOB est entré dans l’histoire de la coupe, avec comme titre le dix-septième club qui s’adjuge ce trophée sur les 51 joués jusque-là.

D’après une source proche du club le plus populaire de la vallée de la Soummam, le coach adjoint de l’équipe nationale, Neghiz en l’occurrence aurait demandé des nouvelles du joueur Ferhat Malek qui joue comme milieu récupérateur. La même source affirme que ce joueur sera convoqué en équipe nationale première à partir du 30 mai, c'est-à-dire une fois que le championnat sera achevé. Il devra entrer en regroupement pour une période de douze jours.

Cette coupe n’est pas venue comme ça, mais c’était les efforts de tout un chacun, les joueurs, les dirigeants, mais aussi la touche personnelle que le coach a ajouté à ce club. Un entraîneur qui ne badine pas avec la discipline et qui a montré qu’il reste même capable de mener le MOB vers d’autres consécrations et d’autres titres (s’il reste bien entendu). En tous les cas, le MOB est entré dans l’histoire pour le titre de champion d’hiver et pour le titre de vainqueur de la Coupe d’Algérie. Ça, l’histoire le retiendra comme il faut. En tout avec les 32 points de la saison passée, Amrani aura pris 73 points sur 52 matches joués soit 156 points possibles. R. M.

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HAMMAR, le président supporter

Tout le monde, du côté de Sétif, s'accorde à dire que Hammar est un président protecteur et familial.

D

errière la gouaille légendaire et les sorties médiatiques, il y a un président respecté du staff et des joueurs. Un leader, capable de pousser son effectif à se transcender, présent pour le protéger quand le besoin s'en fait sentir : «Mon club, c'est toute ma vie, répète inlassablement Hassan Hammar. C'est comme ça. C'est comme si c'était ma maison. C'est une belle histoire d'amour» Une histoire d'amour dont la plus belle page a été écrite le 01 novembre par une belle soirée automnale.

Pas d'autres secrets que le travail

Hammar nous donne des explications à la réussite de son équipe : «Il n'y a pas d'autres secrets que le travail. À l'ESS, il y a un président qui préside, un entraîneur qui entraîne, un groupe très solidaire et des fans pour en courager. Il y a une hiérarchie claire et un collectif qui s’est créé, qui donne beaucoup d’espoir. Ça se ressent même dans le vestiaire. Chacun est à sa place. Tout se

fait dans la transparence. On sent qu’il y a un potentiel à exploiter et c’est merveilleux pour nous».

La méthode Hammar : Soit on aime soit on n’aime pas !

Il s’était donné quatre ans, le président de l’ESS, pour espérer gagner un titre africain. En fait, il est très en avance sur ses prévisions. Dès son installation, il avait en priorité de redresser la barre du navire ESS, presque à la dérive et pour jauger tout ce qui touche de près ou de loin le club, joueurs, dirigeants, sponsors, etc. Le moins que l’on puisse dire est qu’il a mené à bien la première mission qui lui était dévolue. Non sans mal, il a réussi à maintenir l’ESS dans le gotha des clubs algériens. Il ne faut surtout pas croire que c’est une mince a aire, car les choses étaient très mal engagées. Il a confié la barre technique de l’équipe à des entraîneurs qui ont plus ou moins réussi. Kheireddine Madoui, lui, a su inculquer à des joueurs qui avaient perdu le goût et l’envie de se battre cette hargne qui est l’une de ses principales qualités. Ses prédécesseurs sont été les auteurs de parcours, pour le moins, chaotiques.

Chose promise, chose dûe

Le recrutement e ectué à l’occasion du mercato pour enrichir un tant soit peu un

e ectif qui était réduit à une peau de chagrin, s’apparentait plus à du rafistolage. Les joueurs qui auraient réellement apporté un peu plus étaient très rares. Des résultats en dents de scie, des problèmes en veux-tu en voilà, des blessures à répétition de plusieurs joueurs clés, rien n’y fera. Hamar a tenu, contre vents et marées, la promesse qu’il avait faite alors que l’ESS était scotchée au milieu du classement. «Je ne suis là que parce que l’ESS qui est le club de mon enfance et qui est ma deuxième famille est en réel danger», avait-il dit aux membres de l’AG et aux sages de la ville qui lui ont confié les rênes du club.

La révolution

Bien sûr, comme dit l’adage, on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs. Et Hamar a très vite fait le vide autour de lui et aussi dans l’e ectif. Ils sont près d’une dizaine de pseudo-dirigeants qui gravitaient autour de l’équipe à être priés de prendre des distances. Des joueurs qui semblaient être inamovibles se verront mettre fin à leur fonction au grand dam d’un grand nombre de supporters. Le président de l’ESS a fait sa révolution et il continue à la faire. Une chose est sûre, on ne peut pas être indifférents à toutes ses démarches. Avec Hamar, c’est soit on aime, soit on n’aime pas. Y. M.

Lagraâ d’un chercheur de travail au champion d’Afrique

Mohamed Lagraâ est passé de jeune diplômé à la recherche d’emploi au poste de patron du milieu de terrain de l’ES Sétif.

I

l a commencé sa carrière par un titre de champion d’Algérie, suivi d'une Ligue des champions de la CAF, qui l’a emmené jusqu’en Coupe du Monde des Clubs de la FIFA. Le 13 décembre, l’ES Sétif deviendra la première équipe algérienne à fouler les pelouses de cette prestigieuse compétition.

Je n’attendais pas d’être un jour champion d’Afrique

L'intéressé ne regrette manifestement pas ses choix professionnels. Il a réalisé son rêve d'enfance et obtenu des distinctions personnelles auxquelles il n’aurait jamais forcément pu prétendre derrière un bureau."J'étais davantage concentré sur mes études que sur le football", se souvient Lagraâ pour Maracana. "Je voulais

absolument obtenir un diplôme, mais j'ai connu le succès dans le sport et dans les études. Au bout du compte, j'ai décidé de devenir joueur de foot et bien m'en a pris".

Chauve un nom de famille particulier

Il doit son nom de famille, qui signifie "chauve" en arabe, à son grand-père, qui a décidé un jour de se raser régulièrement la tête. Les autres membres de la famille l'ont suivi en pensant que cela leur porterait chance : "Je n'ai pas de calvitie. J'ai juste choisi de me raser complètement pour imiter mon père et mon grand-père, en espérant que cela me porterait chance. C'est ce qui s'est produit avec Sétif puisque j'ai remporté le championnat algérien, la Ligue des champions africaine, la super coupe et que j’ai participé à la Coupe du Monde des Clubs".

Il était sur le départ de l’ESS

Pourtant, il y a deux ans, les supporters de Sétif demandaient le départ de Lagraa.

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C'était avant qu'il ne passe de latéral gauche à milieu de terrain. Depuis ce changement de poste, les Sétifiens rêvent de le voir s'engager sur le long terme avec leur club. Il faut dire que le récupérateur est aussi capable de distiller des passes décisives aux attaquants. Présent aussi bien défensivement qu'offensivement, Lagraa est le métronome de l'équipe.

La mort n’était pas si loin au Maroc

Tous les espoirs des supporters de l'ES Sétif, l'un des clubs les plus titrés d'Algérie, ont bien failli partir en fumée avant même le début de la coupe du monde. En effet, les joueurs ont frôlé un crash aérien durant leur voyage au Maroc. "Sans la Providence et la vigilance du pilote, nous serions morts", lâche-t-il sèchement. "Le destin a voulu que nous restions en vie et que nous jouions la Coupe du Monde des Clubs. C'est une occasion qui ne se répétera peut-être pas. Nous avons entamé une nouvelle vie après avoir été sauvés de justesse.


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Le 1er novembre 2014, l'ESS remporte la Champions League africaine À Blida, face aux Congolais de l'AS Vita Club, l'ES Sétif a souffert mais a décroché un précieux match nul (1-1), synonyme de titre continental. Les Algériens retrouvent le sommet du football africain, vingt-six ans après leur dernier sacre. UNE PREMIÈRE POUR L’ALGÉRIE

L’ENTENTE S’OFFRE LA SUPERCOUPE D’AFRIQUE FACE À AL AHLY

L’Entente de Sétif a remporté le 21 février dernier, la Supercoupe d’Afrique en s’imposant à Blida aux tirs au but face aux Égyptiens d’Al Ahly (1-1, 6 t.a.b. à 5). L’ES Sétif est la première équipe algérienne à décrocher ce trophée. Sacrée champion d’Afrique en novembre dernier, l’ES Sétif a ajouté une nouvelle ligne à son palmarès. L’inévitable Abdelmalik Ziaya a ouvert la marque pour les Algériens sur l’une de leurs rares occasions (70e, 1-1). L’attaquant de 31 ans est le meilleur buteur de l'histoire du club de l'est algérien avec 75 réalisations. «C'est un honneur de faire partie de ceux qui ont écrit l'histoire de l'ES Sétif, mais j'ai encore faim et je pense que je peux encore offrir de nombreux titres à mon club», déclaraitil avant la rencontre sur Fifa.com. L’Algérie est ainsi devenue le neuvième pays détenteur de la Supercoupe de la CAF, créée en 1993. Et l’ES Sétif est le premier club algérien à la remporter, après l’échec de la JS Kabylie en 1996 contre les Orlando Pirates (0-1) en Afrique du Sud. La JSK avait pourtant ouvert la voie en remportant en 1982 le Tournoi de la fraternité, première édition, non officielle, de cette Supercoupe. Quant à Al Ahly, vainqueur du trophée à six reprises (2001, 2005, 2006, 2008, 2012 et 2013), il essuie là son deuxième échec, après celui de 1993 contre son voisin, le Zamalek.

D

epuis près d’un quart de siècle, l’Algérie n’avait plus connu les sommets du football africain. Samedi 1er novembre, l’ES Sétif, qui a remporté la finale de la prestigieuse Ligue des champions africaine face à l’AS Vita Club (RD

Congo) (2-2, 1-1), a inscrit une nouvelle ligne en lettres majuscules au palmarès du football algérien et continental. Les Sétifiens, qui ont décroché un résultat nul face à l’AS Vita (1-1) en finale retour de la Ligue des champions, ont arraché le sacre grâce à un plus grand nombre de buts inscrits à l’extérieur. La semaine dernière, leur confrontation avec l’AS Vita, à Kinshasa, s’était déjà soldée par un nul, 22. Et l’ES Sétif, au terme d’un match riche en suspense, décroche le deuxième sacre

continental de son histoire, 26 ans après sa première épopée victorieuse. Les Algériens, qui succèdent au club d’AlAhly (Égypte) au palmarès de la compétition, ont surtout rapporté au pays un trophée qui le fuyait depuis 1990 et la victoire de la JS Kabylie. L’Aigle sétifien a, par la suite, représenté l'Afrique au prochain Mondial des clubs, au Maroc du 10 au 20 décembre 2014, où il a terminé à la 5e place derrière le grand Real Madrid, le champion du monde.

Mourad Delhoum e vise son 15 titre personnel

Le milieu de terrain de l'ES Sétif, Mourad Delhoum, vise son 15e titre personnel lors de la rencontre à domicile de son équipe face au CS Constantine, samedi pour le compte de la 29e journée du championnat de Ligue 1 algérienne de football et que les Sétifiens devront remporter pour être sacrés champions. Delhoum compte déjà dans son palmarès 14 titres, dont les deux derniers en date quand il a porté les couleurs de la

formation saoudienne d'Al Nasr, au cours de la deuxième partie de l'exercice dernier. Après un séjour de six mois en Arabie Saoudite, le joueur de 29 ans est retourné en Algérie pour s'engager avec la JS Kabylie où il n'est resté que six mois. Lors du précédent mercato d'hiver, il a fait son come-back à l'ESS, son club formateur avec lequel il a remporté la majorité de ses titres. Un retour vite récompensé par le trophée de la Supercoupe d'Afrique gagné

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face au Ahly d'Egypte en février dernier à Blida. Si l'Entente, première au classement de l'élite avec quatre points d'avance sur ses trois poursuivants immédiats, le MO Béjaia, le CR Belouizdad et le MC Oran, l'emporte face au CSC, elle décrochera son septième titre en championnat et le 24e toutes compétitions confondues. Le dernier match que livrera l'Aigle noir à Oran pour le compte de la 30e et dernière journée deviendrait alors une simple formalité.


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USM BLIDA Cette saison la formation blidéenne à réalisé le rêve tant attendu par ses milliers de supporters, décrocher le billet d'accession avant terme, lors de la 27émé journée de championnat, en s'imposant par la plus petite des marges ( 1 à 0 ), face à la lanterne rouge l'ABMerouana, ces 3 points de la 14éme victoire de la saison, ont été très précieux.

21 BUTS ENCAISSÉS PAR L'USMB… Le gardien blidéen, Litim à encaissé son 15éme but en championnat, but inscrit le week-end dernier face à l'O.Médéa (29éme J.) et le 21éme but de la saison encaissé, par l'arrière garde blidéenne. Néanmoins pour le gardien Litim, c'est le 15éme but qu'il à encaissé en 23 matches, était absent à 6 matches,lors de la phase aller face au RCR, l'ASK, CAB, WAT, CABBA et le DRBT, et les 6 autres buts ont été encaissés par le 2éme gardien, Ouadah.

… DONT 6 BUTS ENCAISSÉS PAR OUADAH

Le 2éme gardien Oudah,à eu le privilège de garder les bois seulement à 6 reprise,palliant les défections de son concurrent Litim,pour blessures et suspensions.Ouadah à encaissé 6 buts respectivement à l'aller, face au RCR (1but),CAB (3 buts),et au retour contre le CABBA (1 but ) et le DRBT (1 but ).

UNE ACCESSION BIEN MÉRITÉE

A

l'issue de la 29éme et avant dernière journée de championnat de la ligue 2, mobilis,jouée vendredi dernier face à l'O.Médéa, l'USMB occupée la 1ére marche du podium,avec 52 points au capital, pour 14 victoires et 10 nuls, devant le RCR et le DRBT, qui occupent conjointement la seconde place du classement

général, avec 48 points. La formation blidéenne auteur d'une phase très prometteuse, l'USMB à fait montré d'emblée une détermibation farouche, pour un retour dans la cour des grands, les résultats ne tardèrent pas à suivre, à partir de la 5éme journée, 1er succès en déplacement face au RCR, à ouvert l'espoir d' une accession, qui à caressée tôt les esprits de milliers de supporters,qui voyaient que l'acces-

Mouassa : "Notre accession est amplement méritée"

«Cette accession du club en ligue 1,est le fruit du travail de longue haleine et les joueurs ont sué pour atteindre cet objectif,tracé à l'inter saison par les responsables du club,le mérité revient aussi aux sponsors du club,Matseki et Ezraimi et le wali de blida,Ouchène,sans oublier le 12éme homme qui à été toujours à nos côtés dans les moments difficiles.Ce qui concerne mon avenir je n'ai jamais signé dans ma carrière d'entraineur, un contrat avant la fin du championnat,on verra ce qui nous reserve le destin par la suite.»

Zouani : " Je suis prêt à poursuivre l'aventure "

Il est content de cette accession de l'USMB au palier supérieur du football national, l'ancien joueur et enfant du club, Zouani Billel, qui à secondé Kamel Mouassa dans sa tâche,nous dira «A la barre technique, j'ai appris beaucoup de choses cette saison aux côtés du cheich Mouassa,que je respecte pour avoir été son joueur dans le passé à l'USMB, j'ai décrocher un diplôme d'entraineur à l'institut des sports de Ain Benian, je suis prêt à continuer l'aventure à la barre technique, la saison prochaine, je souhaite la stabilité au niveau de l'encadrement technique, et je suis très heureux de voir les efforts fournis durant toute au long de la saison récompensés, par cette accession en ligue Une.»

Douidène : "J'ai décidé de continuer l'aventure blidéenne "

«Après tant de sacrifices cette saison,j'étais essouflé,et j'avais besoin de repos,pour s'occuper de ma famille et de mes affaires,une fois que j'étais solliciter par les membres du conseil d'administration de poursuivre l'aventure blidéenne,vu la confiance placée en moi et leur soutien,je n'ai pas hésité un instant pour donner mon accord,pour rester à la tête de l'administration de l'USMB.»

Noubli : "Je suis convoité par plusieurs équipes "

Le buteur blidéen,Noubli Fethi nous à déclaré «Je suis en fin de contrat avec mon club l'USMB et convoité par plusieurs clubs,je vous ne cache pas que j'ai eu des offres d'un club tunisien,il y a aussi d'autres contacts en Algérie,après la fin du championnat je déciderai de mon avenir.» T.A

sion est dans les cordes des poulains de Kamel Mouassa, aux fils des temps, la situation s'améliore davantage et une fois le train mis sur les rails et les vert et blanc, à partir de la 13éme journée, décrochant leur 6 éme victoire de la saison face au DRBT (1 à 0), s'installèrent à la 1ére place du tableau. En dépit de la convoitise de plusieurs équipes, la JSMB, le MCS, le CABBA et l'O.M, les blidéens sous la houlette de l'entraineur Kamel Mouassa, réussissent à engranger des points au moment ou ses poursuivants n'ont pu tenir le rythme imposée par la compétition, seuls le RCR et le DRBT, sortent leur tête de l'eau, sont restés collés à leurs basques et se partagent les deux autres places du podium. Résultat : après une place de champion et une accession très méritée en ligue 1, d'ailleurs faut-il le souligner, les statistiques parlent d'elles mêmes,en 29 journées 52 points au capital, pour une moisson de 14 vic-

toires et 10 nuls. Le coach Kamel Mouassa et ses troupes, l'ont bien réussi en savourant cette consécration, l'évenement à été prolongé jusqu'à la victoire de vendredi dernier contre Médéa, était de taille, les blidéens ont fêté l'accession à leur manière, dans les vestiaires et dans toutes les artères de la ville, tout le monde jubile, après ce sacre, en attendant avec impatience la prochaine saison, avec un club qui retrouve sa vraie place, qu'il n'aurait quitter.

2e meilleure attaque du championnat

Le compartiment offensif blidéene,carbure à merveille cette saison,les Noubli,Melika et autres Boudina,ont secoué à 34 reprises, les filets des buts adverses,dont 13 buts inscrits en déplacement,ce qui donne une moyenne de 1,17 but/match. T. A.

18 Points ramenés de l'extérieur

Les vert et blanc de l'USMB,comptent à présent dans sa cagnotte 52 points au total,dont 18 ramenés en déplacement,13 lors de la phase aller et 5 au retour,pour 4 victoires obtenues face au RCR,le WAT,l'USMMH et l'O.M et 6 nuls contre l'ESMK,JSMB,MCS,CRBAF,CABBA et ABM. Cette moisson à été bénéfique aux blidéens,qui ont pu instaurer leur suprématie dans le groupe et mener le parcours à leur guise,durant les 3/4 du championnat de la saison en cours,qui s'achèvera dans deux jours.

Et 11 perdus à domicile

Lors des 29 journées consommées de la saison 2014/2015, la formation de l'USMB à été irrégulière par moments, le coach blidéen,n'avait pas la totalité de se joueurs en mains, pour des raisons de blessures et suspensions, ce qui à causé un déséquilibre dans les trois compartiments. Sur les 15 matches joués sur la pelouse du stade des frères Brakni, les camarades de Zemmouchi, ont perdu 11 points, concédant 1 défaite face à la JSMB (2éme J.) et 4 autres semi-échecs contre le CRBAF (4éme J.),MCS (18éme J.) le CABBA (25éme J.) et l'O.M (29éme J.).

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LES 3 CLUBS ONT

OFFICIELLEMENT VALIDÉ LEURS TICKETS POUR LA LIGUE 1

L'USMB, le RCR et le DRBT cueillent le fruit de la stabilité

L

es trois clubs ayant validé leurs billets pour la Ligue 1 algérienne de football, l'USM Blida, le RC Relizane et le DRB Tadjenanet, se sont illustrés cette saison par le maintien de leurs entraîneurs respectifs dans un championnat caractérisé par des changements fréquents au niveau de la barre technique des autres formations. De retour à Blida peu avant l'entame de la compétition, pour un deuxième passage dans le club de la ville des Roses, l'entraîneur Kamel Mouassa a réussi le pari de faire accéder son équipe parmi l'élite après

trois années de présence dans le deuxième palier. En dépit de certains problèmes nés de l'injonction de l'entourage de l'équipe dans son travail, comme il l'a lui même souligné récemment à la presse, Mouassa est allé jusqu'au bout de sa mission grâce, notamment, au soutien dont il a bénéficié de la part de la direction du club, à sa tête le président Mohamed Douiden. Résultat de cette politique prônée par les responsables blidéens, l'USMB a réussi son accession avant trois journées de la fin des débats. Idem pour l'entraîneur Abdelkrim Benyelles qui a pris en main, l'été dernier, la formation du RC Relizane alors qu'elle venait tout juste d'accéder en Ligue deux. Le chemin de l'équipe, obligée d'accueillir

APRÈS

DEUX SAISONS PASSÉES AU PALIER INFÉRIEUR

Le Paradou AC de retour en Ligue 2

Le Paradou AC retrouve la Ligue 2 après deux saisons au troisième palier. Selon son président, Kheireddine Zetchi, la mission «n'a pas été du tout facile». «Nous avons vécu une grosse pression, notamment lors des toutes précédentes journées. Nous avons beaucoup misé sur le match face au RCK, un adversaire direct pour la montée, car nous voulions sceller le sort de l'accession prématurément», a encore dit le premier responsable

de la formation de Hydra. Pourtant, au vu de l'évolution des journées dans le groupe Centre depuis le début de la saison, les observateurs pariaient plutôt sur le triomphe des Koubéens. Ces derniers ont largement dominé les débats pendant les deux tiers du parcours, parvenant, à une certaine période, à porter à sept points l'écart qui les sépare de ses poursuivants. Mais c'était sans compter sur la «fougue» de l'effectif du

PAC, s'est réjoui Zetchi, qui s'est dit «fier» de son effectif composé dans sa majorité de joueurs issus de l'Académie de football du club, une Académie qu'il avait lui même fondée en 2007. «Nous commençons à cueillir le fruit du travail de notre Académie, puisque pas moins de 14 joueurs de l'effectif de cette saison sont issus de cette école. C'est une réponse à ceux qui ont remis en cause la méthodologie de travail adoptée au sein de l'Académie», a poursuivi Zetchi, qui ne veut toutefois pas s'enflammer, en évitant de fixer d'ores et déjà la montée en Ligue 1 comme prochain objectif de son équipe la saison à venir. Au passage, le premier responsable du PAC n'a pas omis de mettre en relief la contribution de l'entraîneur Cherif El Ouazzani dans cet exploit, sachant que le champion d'Afrique avec la sélection nationale en 1990 avait pris en mains l'équipe durant la trêve hivernale, alors qu'elle était troisième au classement.

à Oued Rhiou ses adversaires lors de la phase aller, a été parsemé d'embûches. Pis, Benyelles a failli «craquer» à mi-chemin lorsqu'il avait démissionné de son poste en réaction au mauvais comportement des supporters envers les joueurs pour avoir concédé une contre performance à domicile. Mais la direction de RCR ne l'a pas entendu de cette oreille et a insisté pour que son coach poursuive sa mission. Un choix qui s'est avéré des plus judicieux au vu des résultats du nouveau promu qui a assuré, vendredi, son retour dans la cour des grands avant une journée de la fin du championnat et après plusieurs années de disette. Le DRB Tadjenanet cueille lui aussi les fruits de la stabilité de la barre

technique de son équipe première. Le club qui est à sa première saison en Ligue 2 a réussi, pour un coup d'essai, un coup de maître. Sous la houlette de son jeune entraîneur Lyamine Boughrara, le DRBT a fait sensation en déjouant tous les pronostics. «Le fait que personne ne misait sur notre équipe dans la course à la montée, a en quelque sorte arrangé nos affaires», a déclaré l'ancien portier international, qui met en relief au passage «la stabilité ayant prévalu au niveau de la barre technique à Tadjenanet, tout comme à l'USMB et au RCR» et qui a ses yeux «a été pour quelque chose dans la réussite de ces trois formations».

La JSM Skikda, une accession nette et sans bavure

La JSM Skikda revient au second rang de la hiérarchie du football national. Un palier où cette équipe a souvent évolué. Pour rappel, la JSMS, fondée en 1936, a eu l’occasion de jouer trois saisons parmi l’élite (1965-66, 1967-68 et 1987-88). L’équipe phare de la ville de Skikda, qui a enfanté de grandes figures du football national à l’image des Draoui et Naïm, a même eu l’occasion de disputer une finale de la Coupe d’Algérie. EN 1967, la JSMS s’était inclinée sur le score de 1-0 face à l’Entente de Sétif. «Je suis fier d’être le président de cette formation de la JSMS, qui sera de retour la saison prochaine en Ligue 2. En réalisant notre objectif avant terme, nous avons prouvé que nous sommes les meilleurs. C’est donc une accession méritée. Je vous avoue que cela n’a pas été facile. Il a fallu beaucoup de sacrifices et la

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mobilisation de la part des staffs techniques et dirigeants, et des joueurs aussi. Je tiens à remercier tous ceux qui ont contribué à cet exploit, notamment les autorités locales», a déclaré le président Djamel Guettari. Par ailleurs, il est utile de mettre en exergue le travail colossal effectué par le staff technique dirigé par le jeune Samir Houhou qui a su mener la JSMS à bon port. Très heureux à l’instar de tous les supporters skikdis, l’ancien capitaine d’équipe du MO Constantine nous dira : «Il est évident que je suis très heureux après cette accession amplement méritée. Je tiens à féliciter tous les joueurs et tous les dirigeants sans oublier notre merveilleux public qui était vraiment un apport de taille durant toute la saison». Bravo pour la JSM Skikda, ses joueurs, son équipe dirigeante et son grand public. Menaouer S.


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L’arbitre international Bichari, le médecin à la tenue noire La prochaine saison du championnat de Ligue 1 sera privée des services de l’un de ses meilleurs arbitres.

C

e dernier, médecin de vocation, retournera à sa blouse blanche pour se consacrer doréna-

vant à cette profession. Sa dernière apparition fut lors de la finale de la coupe d’Algérie qui avait vu le MOB affronter la formation de l’Arbaâ, au stade Mustapha-Tchaker de Blida. L’enfant de Sidi M’Hamed avait auparavant arbitré cette même finale dans le même stade, mais cette fois ci, c’était le Doyen qui avait donné la réplique à la JS Kabylie, et qui s’était imposé après la série de tirs au but. Mohamed Bichari est né le 18 Décembre 1970 à Sidi M’Hamed à Alger.

Diplômé de la faculté de médecine, il est le père de trois enfants, Leila, Samy, et Ilyès. Son aventure en tant qu’entraineur a débuté en 1992 et aura duré 23 années, mais c’est en 2007 qu’il s’est vu attribuer le statut d’arbitre international qui lui aura permit d’officier des rencontres continentale. Bichari possède à son actif pas moins de 200 matchs arbitrés dans le championnat local et plus d’une vingtaine en termes de matchs internationaux. Parmi ces derniers figure la Ligue des Champions

africaine, la Coupe de la Confédération africaine, en plus des rencontres qualificatives à la CAN et la Coupe du monde. Mais la partie qui l’aura marqué et restée dans les esprits est celle qu’il a officié entre le club du Zamalek égyptien et le Club Africain tunisien pour le compte de Ligue des champions africaine, où ce dernier avait fait preuve de courage après l’interruption de la rencontre dû à l’envahissement du terrain par les supporters égyptiens. R. S.

BICHARI : «Fier de mon parcours

Mehdi Abid Charef, Un parcours récent mais honorable

et ma nomination restera gravée dans ma mémoire »

Elu meilleur arbitre de la saison 2014/2015, et à l’occasion de la cérémonie des Oscars Maracana, Bichari nous a accordé un entretien. Vous êtes nominé pour le titre de meilleur arbitre 2014/2015, quel effet cela vous fait ?

C’est un honneur pour moi, et je suis fier de mon parcours en tant qu’entraineur, et je remercie le journal Maracana pour cette distinction. Je dédie à l’occasion ce geste à mes deux parents et au président des arbitres Hamoum, et à la Fédération algérienne de football qui a contribué à mes performances.

Je dédie cette nomination à mon père, à Hamoum et à la fédération algérienne ”

Vu votre expérience, que pensez vous

de l’arbitrage algérien…

L’arbitrage algérien est considéré comme le meilleur en Afrique, et il a marqué de son empreinte des rencontres importantes que ce soit au niveau local ou continental. A l’image de notre football et de ses dirigeants, nos arbitres se sont distingués avec l’art et la manière, et cela représente un honneur pour le football national d’une façon générale.

L’arbitre algérien n’a pas été épargné par les critiques, quel est votre avis ?

Les critiques font partie du football et cela s’explique par le fait qu’il y a des mauvais perdants qui tentent de justifier la défaite de leur équipe par le mauvais arbitrage. L’Algérie possède d’excellents arbitres formés et pleins de talent, et les critiques entrent dans un cadre extra-sportif.

L’arbitrage Algérien est le meilleur en Afrique”

Pensez-vous que cette cérémonie est une bonne initiative ?

Cela va booster nos sportifs et c’est toujours agréable de se savoir distingué par un organe ou une institution. Votre démarche va faire du bien aux nominés, et ce sera bénéfique pour le sport national. Entretien réalisé par H. S. A.

ABDELHAK ITCHIALI, l’ambassadeur de l’arbitrage algérien à la CAN et en Coupe du monde

Ce n’est pas par un hasard si la Confédération africaine de football a désigné les deux Algériens Charef et l’arbitre assistant Itchiali pour faire partie du corps d’arbitrage appelé à officier la prochaine CAN qui se tiendra au Gabon. Ce dernier s’est distingué par ses compétences et cela n’est pas passé

inaperçu aux yeux de Mohamed Raouraoua, le président de la Fédération algériennes de football. L’arbitre de 33 ans a, en effet, tenu son rôle aux côtés de son compatriote, Haimoudi, lors de la précédente Coupe du monde, notamment lors du match qui a opposé les Pays-Bas au Brésil. H. S. A

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Mehdi Abid Charef est considéré comme l’un des meilleurs arbitres du championnat algérien ces dernières saisons et il a toujours bénéficié de la confiance des dirigeants de notre football national. Il s’est distingué par ses compétences et c’est pour cette raison que la FIFA l’avait désigné aux côté de ses confrères étrangers pour faire partie du colloque organisé à Doha, la capitale du Qatar, 10 au 14 Novembre dernier. Sous forme de stage, en vue de la prochaine coupe du monde en Russie, Charef faisait partie des 11 arbitres africains invités à ce stage. L’arbitre de 34 ans est international depuis 2011, et il aura officié à l’occasion la finale de la Coupe d’Afrique des espoirs qui s’est déroulée à Oran au mois de mars 2013 entre les deux équipe égyptienne et ghanéenne. Il prendra donc le flambeau de son confrère, l’ex-arbitre Haimoudi, ce dernier lui aussi s’est distingué lors du Mondial 2014 au Brésil. H. S. A


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Le doyen des scouts algériens, est décédé à l’âge de 88 ans

Au mois d’avril dernier, un acteur et un serviteur de l’USMBA a été rappelé à Dieu. Le vendredi 10 avril, à la mi-journée, un pilier du club phare de la ville, à savoir Hadj Sekkal Benali, s’est éteint à l’âge de 88 ans. Le défunt a exercé plusieurs fonctions, d’abord en tant qu’enseignant, cadre du MJS, membre fondateur des SMA et président de la Fédération algérienne de football, de novembre 1980 à 1982, où la mémoire collective se rappelle d’un certain trio d’arbitres pour le compte du match aller Nigeria-Algérie, score final 2

à 0 en faveur des Verts. Avec cette disparition, l'Algérie a perdu l’un de ses meilleurs enfants, nationaliste dès son adolescence et fervent militant. Les vieux BelAbbésiens se souviennent du brillant instituteur à l'école Avicenne du quartier mythique d'El Graba. Après l'indépendance, c'est au sein du mouvement sportif national qu'il a donné la pleine mesure de ses grandes qualités d'organisateur. Les sportifs oranais ne l'oublieront pas de sitôt, car il a occupé avec brio le poste de DJS à une période où il a fallu tout reprendre à zéro, dans la grande cité de l'Ouest. Son rôle s'est

avéré détermi-nant. Par la suite, il a été appelé à d'impor-tantes fonctions au sein du MJS tout en occupant, durant deux années, le poste de président de la FAF où il a fait l'unanimité. Il est l'un des dirigeants auxquels il a été décer-né l'Ordre du mérite national pour l'ensem-ble de son action au sein du mouvement sportif national en général. Pour notre part, nous gardons de Hadj Sekkal Benali l'image d'un homme à forte personnalité qui a su faire l'unanimité partout où il est passé. Massi Hachour

Hommage à Belkhir (DRBT), disparu dans un accident de la route

Le joueur Belkhir Bouzid dit Faouzi, du DRB Tadjenanet, club évoluant en Ligue 2, est décédé samedi 18 avril à minuit dans un accident de la route survenu dans la daïra de Chelghoum Laïd. Faouzi, qui était défenseur de l’équipe de Tadjenanet, était aimé et respecté par les supporters de Tadjenanet. Agé de 28 ans, il est né en 1987, ce défenseur était connu pour sa droiture. Il était également très respecté par les supporters de Tadjenanet.

IL AVAIT CONTRIBUÉ À L’ACCESSION HISTORIQUE DU DRBT EN LIGUE 1

Le défunt Bouzid Belkhir dit Faouzi, avait contribué magistralement aux bons résultats enregistrés par le DRB Tadjenanet, qui a validé le week-end passé son accession en Ligue 1 Mobilis avant même le baisser de rideau du championnat de Ligue2 Mobilis. L’enfant de Mila n’avait connu que des beaux moments au sein de son équipe de cœur qui a réussi trois accessions d’affilée (Nationale 2 Amateur, Ligue2 Mobilis) avant de réaliser un grand exploit en accédant pour la première fois de son histoire en Ligue1 Mobilis. M. H.

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HEMANI,

l’éternel goléador Nabil Hemani était un attaquant de formation. Formé à l’OMR EL Anasser (son club de quartier), il signe à la Jeunesse Sportive de Kabylie en juin 2005. A la fin de l’année 2007/2008, il est le meilleur du championnat Algérien avec 17 buts. Il quitte la JS Kabylie pour l’ES Sétif pendant ’été 2008 avec laquelle il remporte le Championnat d’Algérie 2008/2009. ViceChampion d’Algérie de division 2 en 2014 avec le NA Hussein Dey avec lequel il marque 7 buts, il compte cinq sélections en Equipe Nationale. Il meurt le 12 juin 2014 des suites d’un traumatisme crânien, après être tombé accidentellement du sixième étage d’un immeuble, alors qu’il accompagnait un de ses amis qui voulait acquérir un des appartements. Le 13 juin suivant, il est inhumé au cimetière de Garidi de Kouba, que Dieu ait son âme.

A l’occasion de la 7ème édition de la Cérémonie des Oscars Maracana, notre quotidien a tenu à rendre hommage à ce joueur disparu subitement et qui aura laissé derrière lui un vide que nul ne pourra combler. Tout le monde garde en tête son sourire et sa sympathie qui demeureront toujours gravés dans nos cœurs. Et à cette occasion, nous avons pris attache avec Monsieur Houali Mohamed, le secrétaire générale du NAHD, la dernière formation à avoir accueilli parmi elle le regretté Nabil, et ou il évoluait avant de nous quitter. Houali a bien voulu répondre à nos questions concernant la vie de Hemani, en tant que joueur mais aussi dans son rôle de papa, ce dernier laissant derrière lui sa compagne et quatre filles.

HOUALI MOHAMED : SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU NAHD

«IL ÉTAIT CONNU POUR SA BONTÉ ET SA GÉNÉROSITÉ»

Merci, Monsieur d’avoir bien voulu accepté de nous recevoir ici, à Bensiam pour nous rappeler le jeune Nabil…

C’est un honneur d’évoquer avec vous le joueur qui avait porté nos couleurs avant de disparaitre et de nous quitter. Nabil a toujours fait preuve de professionnalisme et d’un comportement exemplaire à l’égard de ses coéquipiers, et envers son club recruteur, et son départ a laissé toute la famille du NAHD en pleurs. Ses proches méritent d’être soutenus, car c’était un brave type et un gentil garçon. Il était connu pour sa bonhomie, sa générosité et son sens aigu de l’humour, que ce soit à Ruisseau, le quartier qui l’a vu grandir, ou dans tous les clubs dont il a porté les couleurs.

Dans quelles conditions le défunt s’est engagé avec le Nasria ?

Hemani était la neuvième recrue lors de la Saison 2013/2014, et il avait paraphé un contrat de deux ans avec le club. Il a été formé à l’OMR, et est passé par les meilleurs clubs algériens de ces dernières années dont la JSK, l’ESS et le CSC avant d’accepter d’aider le NAHD à remonter en L1. À 34 ans, il était encore prêt à prolonger son aventure avec le club husseindéen avant que le

Tout-puissant ne le rappelle à Lui. Il est nécessaire de rappeler qu’avec son arrivée au club, l’équipe avait retrouvé un certain équilibre, et le joueur avait vite trouvé ses repères au sein de l’équipe. Il était très compétitif et avait cette envie de gagner qui le caractérisait et qui faisait de lui un joueur pétri de qualités et indispensable pour son équipe. Hemani avait réussi une saison époustouflante avec à la clé une accession en Ligue 1, à laquelle il a grandement contribué en inscrivant sept buts, malgré un début difficile et quelques problèmes en début de saison.

Parlons maintenant de ses performances avec le club…

Ses performances ne sont pas passées inaperçues, et le joueur était capable de réaliser de grands matchs. Hemani avait contribué aux bons résultats de son équipe, et sont apport était d’une grande importance. Ses rapports avec ses coéquipiers était parfaits et il jouissait d’une grande estime au côtés de ses coéquipiers. Il aimait son travail et faisait preuve de générosité dans le jeu de l’équipe. Il avait montré de quoi il était capable, et nous garderons toujours en souvenir ses qualités de buteur. Sur les terrains, il était un joueur combatif, un mauvais perdant et un gagneur qui ne recule devant rien.

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Le défunt a porté les couleurs nationales, un mot là-dessus…

Effectivement, le défunt comptait cinq sélections en Equipe nationale. Il avait disputé son premier match avec les Verts en juin 2008 contre la Gambie. C’est l’entraîneur Saâdane qui avait convoqué le défunt pour les matchs qualificatifs à la coupe du monde 2010, et Hemani figurait durant cette période parmi les joueurs locaux les plus en forme, et avait bénéficié de la confiance du staff technique durant cette phase qualificative.

Un dernier mot pour clore cet entretien…

Très généreux, Nabil Hemani était une personne sensible à la détresse de ses semblables, qu’ils soient de son quartier ou d’ailleurs. Il était devenu le soutien d’une grande famille après le décès de ses parents. Il s’occupait de ses quatre sœurs et de ses quatre petites filles. Avec sa disparition, le football algérien perd un joueur et un sportif au vrai sens du terme qui disposait de toutes les qualités. En cette douloureuse circonstance, je tiens au nom de toute la famille du NAHD à rendre un vibrant hommage à cette personne qui restera gravée à jamais dans nos pensées. Entretien réalisé par Hamid Si-Ahmed


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La galerie harrachie, un exemple à prendre La galerie de l’USMH ces dernière années s’est illustrée par un fair-play total, mais aussi par son amour pour les couleurs jaune et noire. Elle a souvent été d’un grand apport pour les joueurs afin de gagner les trois points, surtout dans les rencontres difficiles, ce qui a fait dire à un grand nombre d’observateurs que les supporters de l’USMH restent les meilleurs sur le territoire algériens.

les applaudissement des supporters harrachis qu’on surnomme «Kawassirs!»!qui se sont souvent illustrés lors de leurs déplacements avec le club vers tous les stade algériens pour aider les camarades de Guerbi dans le championnat. Les joueurs ne manquent pas de remercier les supporteurs de l’USMH qui restent un exemple, surtout ces denières saisons, pour toutes les galeries du territoire algérien.

culture des supporters Boualem a réussi en effet à marquer de son empreinte l’histoire du club. Le beau football pratiqué par les Jaune et Noir ces dernières années a fait que les supporters sui-vent avec intérêt les prestations du club. La manière de jouer a séduit tout le monde, ce qui a amené les supporteurs à changer leur façon de suivre et de soutenir leur club de toujours.

n effet l’USMH, et depuis deux ans, n’a pas été sanctionnée par un huis clos au stade de Lavigerie. Une preuve qui confirme tout le bien qui caractérise cette galerie exemplaire sur tous les plans et qui a laissé beaucoup d’adversaires surpris de son comportement au stade de Lavigerie puisque beaucoup de clubs y ont réalisé de bon résultats sans jamais être agressés ni maltraités. Au contraire beaucoup de clubs ont quitté le stade sous

«La venue de Charef a changé la culture des supporters»

«Le stade de Lavigerie n’a pas connu de suspension depuis deux ans»

E

DOUMI,

Il faut savoir que les supporters de l’USMH, dont certains pensent qu’ils ne sont pas sportifs, surtout au stade de Lavigerie, ont réussi à effa-cer ce mauvais cliché qui leur collait à la peau. La venue du coach Charef a changé la

Et pour mettre en exergue la sportivité de c e t t e

galerie harrachie, il faut savoir que les Jaune et Noir restent parmi les rares clubs dans le championnat n’ayant pas subi la moindre suspension du stade de Lavigerie depuis deux ans. «Ça reste un exemple, nous avons la meilleure galerie d’Algérie. La preuve ? Le club n’a pas eu un seul huis clos depuis deux ans! », affirme un des joueurs de l’USMH.

PRÉSIDENT DU COMITÉ DE SUPPORTERS

«Notre public est un exemple de sportivité»

BOXE

Selon le président du comité de supporters de l’USMH, les fans du club restent un exemple à suivre ces dernières saisons. En effet, selon M. Doumi, l’encadrement de cette galerie par le comité a donné ses fruits. « Je pense que nous restons un exemple pour les autres galeries puisque le club n’a pas écopé de match à huis clos depuis deux ans. Cela prouve le travail fait avec eux ces dernières saisons », affirme le dirigeant qui ajoute que la culture des supporteurs pour soutenir leur club a changé et cela grâce aux nombreuses réunions tenus avec eux chaque semaine et avant les matchs. « Certes, la venue de Charef a beaucoup changé la façon de soutenir notre formation, surtout avec le beau jeu pratiqué par l’équipe. Mais il faut aussi souligner le travail fait par le comite de supporteurs qui ne cesse de rencontrer et de sensibiliser les gens avant chaque rencontre et le résultat est là», conclut Doumi. Lotfi S.

Daho Djamel, plus connu sous le pseudo «le roi Daho», est né le 7 juin 1992 à Tiaret. Il commence la boxe en fréquentant à l’âge de 12 ans une salle de sport. Etant jeune, il était petit de taille et très frêle. Il voulait avant tout développer son corps, sans plus. Il a donc appris à boxer et ce n’est qu’en 2010 qu’il monte sur un ring pour la première fois en tant que professionnel. Son premier combat fut face à Meni Fateh. Il remporte le match aux points. Le 7 juillet 2012 est une date que n’oubliera jamais Dahou puisque c’est le jour où il a remporté son premier titre de champion d’Algérie en catégorie super légers dans un combat qu’il remporta par KO au 4e round. Il devait attendre huit mois avant qu’un concurrent n’ose relever le défi. Daho décide de remette son titre en jeu. Ce qui a poussé l’UBO à faire croiser

Le roi Daho

les gants entre Daho et le Tanzanien Hamiz pour un titre africain. Ce combat vit le roi Daho envoyer par deux fois son vis-à-vis sur le tapis pour qu’il ne se relève plus de la seconde! et ce fut le 20 avril 2013. Ensuite ce fut au tour du Ghanéen Frank Dotsz pour le titre de la WBC. et c’est Daho qui remporta le combat par un autre KO au troisième round, devenant ainsi le premier champion du monde d’un pays arabe.

Champion d’Algérie ceinture noire le 07 juillet 2012 Champion d’Afrique ceinture rouge le 20 avril 2013 Champion du monde (WBC) le 20 septembre2013 C’est le plus jeune boxeur algérien à avoir

gagné en tant que professionnel par 10 KO sur 12 combats. Apparemment le jeune Tiaréti ne semble pas vouloir s’arrêter en si bon chemin. il bien des ambitions à aller plus loin, en lançant d’autres défis et convoiter d’autres titres planétaires. La jeune carrière de Daho est un exemple que tous les athlètes de son âge devraient suivre. Nazim Bouadma

Titres et distinctions du jeune Dahou Djamel

Du haut de ses 21 ans, Daho a pu aligner des titres comme très peu de boxeurs de son âge ont pu le faire en aussi peu de temps. il a été meilleur boxeur algérien pour 2008-2009-2010-2011-2012.

Daho : « Mes titres, je les dédie à tous les Algériens, et le fait que Maracana m’honore me fait chaud au cœur » Daho, l’une des révélations de la boxe algérienne ces dernières années, est un symbole de réussite dont les jeunes devraient s’inspirer. Il

a été sacré champion du monde en battant les meilleurs du continent et ce avec le luxe de terminer la majorité de ses combats. Un comble pour un homme qui se considérait faible physiquement et qui n’a décidé de faire du sport que pour se renforcer. Petit à petit le jeune Daho s’est familiarisé avec cette dicipline, ne doutant jamais qu’il deviendrait un jour le maître de la boxe au niveau continental et un redoutable adversaire qui termine ses combats par des KO souvent spectaculaires. Malgré les succès, le roi Daho reste humble et attaché à ses origines modestes, ne manquant jamais de rendre hommage à tous ceux qui le soutiennent et l’ont soutenu par le passé. «!Je dédie tous mes titres à ma mère, mon père et tout le peuple algérien, et le fait que Maracana m’offre cette distinction est un honneur pour moi!», a déclaré le jeune boxeur. Avant d’ajouter : « Je remercie tous ceux qui m’ont soutenu lors de mon combat dans la salle où le public bordjien était formidable».

Inès Ibbou, l’espoir du tennis algérien

Après le titre africain junior remporté le mois dernier, en Egypte, la tenniswoman algérienne Inès Ibbou, s’apprête à prendre part au prestigieux tournoi de Roland Garros, à la fin de ce mois.

H

aute de ses seize printemps et avec son visage juvénile, la très réservée Inès Ibbou poursuit sa marche victorieuse vers le haut niveau du tennis mondial depuis qu’elle a effectué son tout premier service lorsqu’elle avait à peine six ans et demi. «A l’époque, j’étais en CE 1. Mon ancien coach, Zine El Abidine Midoun, est venu faire le tour des écoles en organisant des portes ouvertes sur le tennis». A neuf ans, elle

est partie avec son coach Zine El Abidine Midoun à Miami prendre part à l’Orange Ball. Sa progression allait crescendo et sa victoire face à la n°1 française, Lucie Wargnier, lors du Mondial minimes de 2013, a confirmé que l’athlète algérienne avait du potentiel. Une méchante blessure l’a éloignée des courts de tennis l’année dernière pour une période de six mois. Mais cette épreuve a rendu l’athlète encore plus forte en dépit aussi de la séparation d’avec son coach de toujours, Zine El Abidine Midoun. Et les résultats ne se sont pas fait attendre. Elle parvient à remporter haut la main le titre africain face à l’Egyptienne Sandra Samir au mois d’avril dernier. C’est une sacrée performance pour Inès Ibbou qui n’a que 16 ans (elle est née le 5 janvier 1999). C’est le premier titre africain remporté par une Algérienne depuis celui décroché par Warda Bouchabou en… 1988. Commentant ce titre, le président de la

Fédération algérienne de tennis, Mohamed Bouabdallah, dira : «Ce titre de championne d’Afrique est de bon augure pour Inès et constitue un bon départ pour son projet professionnel».

Elle est dans le Top-50

La joueuse de tennis algérienne Inès Ibbou s'est hissée à la 45e place du classement mondial «junior», publié lundi par la Fédération internationale de tennis (ITF), après un joli parcours au tournoi «Citta Di Santa Crose», de grade 1, disputé du 11 au 16 mai à Florence (Italie). Ibbou (16 ans) pointait au 68e rang du classement mondial avant de participer à ce tournoi, où elle a atteint la demi-finale en simple, perdue devant la Russe Anna Blinkova (64, 6-3), et la finale du double également perdue. Avant ce tournoi, l'Algérienne a remporté le tournoi «Citta Di Pratto», de grade 2, orga-

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nisé du 5 au 10 mai à Florence (Italie), en s'imposant devant la Russe Anastasia Potapova en finale. Il y a un mois, Ibbou occupait la 152e place au classement mondial et c'est grâce à son sacre continental chez les U18, décroché le 10 avril au Caire (Egypte) qu'elle est remontée à la 93e place. En pleine progression cette saison, Ibbou pourrait améliorer son classement en récoltant d'autres points au cours des prochaines semaines, notamment à travers sa participation au tournoi de Milan, cette semaine, et Roland Garros à Paris dans quinze jours. La jeune athlète algérienne rêve désormais de… Roland Garros. «Dans l’immédiat, j’ai atteint l’objectif des qualifications pour Roland Garros. Pour le futur, mon ambition est de rentrer dans le tableau final et aller ensuite le plus loin possible.» C’est tout le mal qu’on souhaite à cette vraie championne, qui mérite tous les égards de la part des autorités du pays.


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CHELSEA

L'expulsion stupide et incompréhensible de Fabregas

Déjà champion, Chelsea termine la saison en roue libre. La lourde défaite à West Bromwich Albion est là pour en témoigner. Mais il faut dire que les Blues n'ont pas été aidés par Cesc Fabregas. A la demi-heure de jeu, alors que les hommes de José Mourinho sont menés au score, 1-0, le jeu est arrêté. Diego Costa vient de prendre un carton jaune après avoir provoqué une échauffourée avec Craig Dawson, le défenseur des Baggies. L'arbitre tente de calmer les ardeurs avant de ramener tout le monde au jeu. C'est à ce moment-là que Cesc Fabregas, en retrait de la scène sort de ses gonds et envoie une frappe sèche dans l'attroupement. Son tir, qui était probablement destiné à l'arbitre, atteint à la tête Craig Brunt, attaquant de WBA.

José Mourinho: «Difficile de rester motivé»

«Pour moi, ce n'est pas un grande surprise. Je connais mes joueurs, je me connais et je connais le jeu. C'est la preuve qu'il est difficile de rester motivé quand on est champion assez tôt. Quand vous perdez le sel de la compétition, cela devient difficile. Il faut replacer ce match dans son contexte. Le foot doit se jouer avec une concentration maximale et ce n'a pas été le cas. Quand on n'est pas prêt, on perd de la qualité. Je ne peux rien reprocher aux joueurs sans m'en prendre à moi-même aussi. Fabregas n'a blessé personne. Il n'aurait pas dû faire cela mais je ne pense pas que cela valait carton rouge. Dans un match comme ça, sans enjeu, je pense qu'avec de l'expérience on apprend que les mots peuvent suffire à régler les problèmes. Si l'arbitre veut protéger le talent et sanctionner les intimidations, cela devient un match différent.»

INTERNATIONALE 21

Raheem Sterling demande

son transfert !

Cette fois, il semble bel et bien décidé. Raheem Sterling veut quitter Liverpool cet été. Et l'Anglais va le faire savoir à son club. Il a débuté sa carrière en Premier League sous le maillot des Reds lors de la saison 2 0 11 / 2 0 1 2 . Mais à 20 ans, Raheem Sterling ne fera pas de vieux os sur les bords de la Mersey. Longtemps a n n o n c é indécis sur son avenir, le jeune prodige britannique avait clairement laissé planer le doute sur son désir de s’inscrire sur la durée avec son équipe en refusant un nouveau contrat avec un salaire h e b d o madaire de 125

000€ à la clé. Aujourd’hui, les dés semblent jetés. La BBC et l’ensemble des médias anglais affirment en effet que Sterling va signifier à son coach, Brendan Rodgers, qu’il compte mettre les voiles. Conscient de l’intérêt qu’il suscite (Manchester City, Real Madrid), l’international britannique (14 sélections, 1 but) veut sans doute intégrer une formation capable de lui permettre d’assouvir sa soif de trophées. Un nouveau coup dur pour Liverpool qui, après avoir perdu Luis Suarez l’été dernier et Steven Gerrard cette saison, voit donc une autre de ses stars sur le départ. À moins que Rodgers ne décide de faire barrage. Le 2 mai dernier, le

manager anglais indiquait en effet qu’il ne comptait pas vraiment transférer son poulain cet été. «Raheem n’ira nulle part cet été, même si aucun accord n’est trouvé. C’était clair dès le début. Nous en avons discuté. Il n’y a pas que le football, il est encore jeune et a en déjà fait beaucoup ces dernières années. Je lui ai donc parlé généralement et je pense qu’il est au bon endroit en ce moment.» Info ou intox visant à faire grimper les prix ? Sterling, lui, semble en tout cas bien décidé à partir, d’autant que ses relations avec Liverpool ne sont plus vraiment amicales, le joueur ayant reproché aux Reds d’avoir fait fuiter les détails du nouveau contrat qu’il a refusé de signer. Ambiance.

Et maintenant Dzeko ?

L’attaque de Liverpool a été le point faible du club cette année, c’est pour quoi Brendan Rodgers en a fait sa priorité. Les achats offensifs du dernier mercato estival n’ont pas convaincu cette saison, que ce soit Mario Balotelli ou Rickie Lambert. La priorité de Brendan Rodgers durant le prochain mercato sera donc de renforcer l’attaque de Liverpool pour être plus performant. Divock Origi va arriver sur les bords de la Mersey mais il ne devrait pas être le seul attaquant. Une offre aurait également été faite à Burnley pour Danny Ings. Mais le club vise un attaquant de haut niveau selon le Daily Mail. Un temps envisagé, la piste Christian Benteke s’est refroidie car Aston Villa ne serait pas vendeur. Du coup, les Reds seraient sur Edin Dzeko, que l’on annonce proche d’un départ de Manchester City. Stevan Jovetic serait également dans les petits papiers du club.

MAN CITY

Une offre incroyable pour Y. Touré

Après une saison en demi-teinte, Yaya Touré (32 ans, 28 matchs et 10 buts en Premier League cette saison) est annoncé sur le départ de Manchester City cet été. Si le club anglais aurait fixé son prix de vente à 28 millions d'euros (voir ici), le milieu de terrain ne manquerait pas de prétendants. Outre l'intérêt de l'Inter Milan, Al Gharafa aurait proposé à l'Ivoirien un contrat avec un salaire annuel de 11 millions d'euros selon les informations de quotidien The Sun. Un montant tout simplement énorme pour un joueur de 32 ans. Pour avoir une idée, le salaire annuel offert par l'Inter à Yaya Touré serait de 4 millions d'euros. Un nouveau candidat pour une retraite dorée au Qatar ?

Manchester United vise Pogba

Après Manchester City, le PSG, Barcelone et le Real Madrid, Manchester United entre dans la danse pour tenter de recruter le milieu de terrain français Paul Pogba. Ou plutôt, le faire revenir, vu qu'il y a passé ses jeunes années. Selon The Guardian ce dimanche, Louis van Gaal a deux missions dans les prochaines semaines : garder De Gea, faire venir Pogba. Le Néerlandais, qui s'est vu octroyer une enveloppe de 150 millions de livres pour ses dépenses estivales, a placé le joueur de la Juventus au sommet de sa liste de priorités. Ses autres cibles : le défenseur central du Borussia Dortmund Mats Hummels et un attaquant, si possible l'avant-centre de Tottenham révélation de cette saison, Harry Kane, mais également Arturo Vidal et le milieu du Borussia Dortmund Ilkay Gündogan.

QUOTIDIEN NATIONAL D’INFORMATIONS SPORTIVES


22 MAGAZINE 08h00 : bonjour d'algérie (direct) 09h30 : boudhou 2 (05) rediff 10h00 : moudoun mina el aalem (27) 10h30 : mimi et boubou (22) 11h00 : expression livre ''rediff'' 12h00 : journal en français 12h25 : le sud en 13 ''rediff 12h35 : yaoumiyate moudarisse (01) 14h00 : tiyarate el mouhit el hadi (05) 14h45 : le médaillon (18) 15h25 : chelate el moughamirine 16h35 : REX GENERATION (28) 17h00 : qaher el bihar (23) 17h25 : takder tarbah 18h00 : journal en amazigh 18h25 : boudhou 2 (06) 18h45 : caméra café 19h00 : journal en français 19h25 : top sport 20h00 : journal en arabe 20h45 : familetna 21h20 : la semaine Eco 22h15 : saharate el madina 23h40 : hadhriya oua el haouasse

09:25 : Au nom de la vérité 10:25 : Petits secrets entre voisins 11:55 : Petits plats en équilibre 12:00 : Les douze coups de midi 12:50 : L'affiche du jour 13:00 : Journal 13:40 : Petits plats en équilibre 13:45 : Météo 13:55 : Joséphine, ange gardien 15:35 : Nos chers voisins 17:00 : L'addition, s'il vous plaît 18:00 : Bienvenue au camping 19:00 : Money Drop 19:55 : Météo 20:00 : Journal 20:30 : Tirage du Loto 20:35 : Météo 20:40 : Nos chers voisins 20:45 : C'est Canteloup 20:55 : Grey's Anatomy 22:40 : Stalker

Maracana N° 2669— Mardi 19 mai 2015

ACTU PEOPLE

A VOIR CE SOIR A l'issue d'une longue et difficile intervention, Cristina sauve la vie d'un patient, victime d'un accident de la route. Mais celui-ci est condamné à passer le restant de ses jours sous respirateur artificiel. Il refuse de vivre avec un tel dispositif. Dr Yang remet alors toute son existence en question en commençant par sa vie sentimentale. Elle imagine alors plusieurs scénarios sur son avenir.

CE SOIR À 20H55 SUR TF1

Grey’s Anatomy Série TV / Etats-Unis 2014

08:05 : Sammy & Co 08:20 : Alvinnn !!! et les Chipmunks 08:50 : M6 boutique 10:00 : 90210 10:50 : Devious Maids 13:05 : Scènes de ménages 13:45 : Pour quelques kilos de trop 15:45 : Katya : victime de la mode 17:40 : Les reines du shopping 18:50 : En famille 20:10 : Scènes de ménages 20:55 : The Island : seuls au monde 23:00 : The Island, les secrets de l'île

DOSSIER SANTÉ

Les manifestations de l’allergie alimentaire sont essentiellement digestives, cutanées et respiratoires. Les signes sont parfois isolés, mais ils peuvent aussi souvent s’associer. Les symptômes digestifs de l’allergie alimentaire • Reflux gastro-œsophagien, nausées, diarrhées, vomissements… • On remarque aussi parfois une cassure de la courbe de poids chez l’enfant. • Une anorexie peut enfin mettre sur la piste. Les symptômes cutanés de l’allergie alimentaire • Urticaire, éruption cutanée, dermatite atopique, œdème de Quincke (œdème au niveau du visage et des voies respiratoires  : c’est une urgence vitale). Les symptômes respiratoires de l’allergie alimentaire • Respiration asthmatique ou difficultés respiratoires, rhinite, laryngite, toux… Mais aussi…

Le saviez-vous

10:10 : L'intégrale du zapping 10:48 : Tammy 12:20 : La nouvelle édition 12:46 : Suivez la guide à Cannes 12:49 : La nouvelle édition, 2e partie 14:05 : True Detective 16:00 : Zapping de la semaine 16:20 : World War Z 18:10 : Le Before du grand journal 19:04 : Suivez la guide à Cannes 19:05 : Le grand journal de Cannes 21:00 : Deux jours, une nuit 22:34 : Plateau cinéma documentaire

07:40 : Les spécialistes Ligue 1 08:55 : West Bromwich Albion / Chelsea 10:35 : Canal Football Club 12:05 : Les spécialistes Ligue 1 13:20 : West Bromwich Albion / Chelsea 15:00 : Multifoot 17:00 : J+1 18:35 : Foot Europe Express 19:35 : Les spécialistes rugby 20:50 : Kick-boxing 22:30 : Foot Europe Express 23:15 : Les spécialistes rugby

DIAM'S : RELIGION, DEUXIÈME ENFANT, DIVORCE, REMARIAGE... ELLE VA TOUT ABORDER DANS SON INTERVIEW !

Pour la deuxième fois en deux ans et demi, Diam's a choisi Thierry Demaizière pour se confier dans le magazine "Sept à Huit", à l'occasion de la sortie de son nouveau livre. Le journaliste, spécialisé dans les portraits, révèle les coulisses de ce tournage exclusif rempli de nouvelles révélations. Quand on avait quitté Diam's en 2012, elle était mariée et l'heureuse maman d'une petite fille prénommée Maryam. En 2015, la vie de l'ex-star de la chanson n'est plus exactement la même. Comme nous vous le rapportions dès hier, Diam's sera de retour devant les caméras dimanche prochain, le 24 mai, dans le magazine d'Harry Roselmack, Sept à Huit. En attendant la diffusion de cet entretien exclusif déjà très attendu, réalisé par Thierry Demaizière, le journaliste spécialisé dans les portraits dévoile les coulisses de sa rencontre avec Diam's. Tout comme en 2012, pour sa toute première apparition publique voilée, l'ex-rappeuse a accordé toute sa confiance à Thierry Demaizière. Diam's abordera la sortie de son nouveau livre, Mélanie Française et Musulmane qui sort le 21 mai prochain aux éditions Don Quichotte, dans lequel elle revient sur son interview de 2012. "Notre dernier entretien représente un important moment de sa vie. Elle le raconte d'ailleurs dans son dernier livre. Elle décrit ce moment comme une seconde naissance. Elle avait beaucoup aimé la manière dont avait été retranscrite sa foi dans le sujet" confie Thierry Demaizière à TV Mag. Lors du face-à-face, réalisé la semaine dernière dans l'appartement parisien du journaliste, Diam's évoquera également la religion, l'Islam, et les attentats de janvier dernier. "Elle considère l'islam radical comme une secte" rapporte Thierry Demaizière. Le journaliste ajoute que "le téléspectateur va la voir heureuse, sourire, rire mais aussi être grave pour évoquer des sujets graves". L'ex-star de la chanson, qui avait rencontré le succès avec des titres que La Boulette, se confiera également sur sa vie privée, qui a connu de multiples changements depuis 2012. Thierry Demaizière révèle qu'elle a donné naissance à un autre enfant, "un petit garçon" et qu"elle a divorcé et s'est remariée. Pour ce qui est d'un éventuel retour musicial, ce n'est définitivement pas à l'ordre du jour.

Et si c tait une allergie alimentaire • Palpitations cardiaques, picotements au niveau de la langue et de la gorge, chute de la pression artérielle, etc. Le choc anaphylactique •Réaction extrêmement brutale pouvant engager le pronostic vital (l’hypersensibilité immédiate est liée à une libération de médiateurs vaso-actifs). Le choc anaphylactique est une urgence vitale se manifestant par une chute de la pression artérielle, une accélération du rythme cardiaque, mais aussi par des difficultés respiratoires, des troubles digestifs (nausées, vomissements, diarrhées, troubles   de la déglutition…).

parfois pas identifiée tout de suite. Associer la manifestation aux repas ou à certains aliments peut faciliter le repérage d’une allergie alimentaire. Mais on peut également repérer les terrains à risque d’allergie alimentaire. Par exemple, un enfant sujet aux allergies saisonnières, à l’asthme ou à l’eczéma, présente un plus grand risque d’allergie

alimentaire. C’est également le cas des antécédents familiaux d’allergie. Et en cas de doute ? Au moindre doute, il est recommandé de consulter son médecin ou un allergologue. Celui-ci procédera à l’identification du ou des aliments en cause. Cette procédure est parfois longue  : tests de provocation orale, tenue d’un journal alimentaire, éviction d’un aliment à la fois avant sa réintroduction, etc.

UNE GUERRE A DURÉ PLUS DE 300 ANS ET N’A ENGENDRÉ AUCUNE VICTIME ! Bien que cette guerre soit l’une des plus longues de l’histoire elle n’a causé aucune victime. En effet, aucun coup de feu n’a été tiré, faisant d’elle la guerre la plus pacifique de l’histoire. Cette guerre a été déclarée en 1651 et le traité de paix n’a été signé qu’en 1986.

INGRÉDIENTS : 8 pilons de poulet 2 cuil. à s. de miel liquide 1 cuil. à s. de paprika 2 cuil. à s. d'huile d'olive 3 cuil. à s. d'herbes mêlées hachées fin 1 citron + 1 cuil. à s. de jus USTENSILES : 1 grand saladier 1 plaque antiadhésive ou 1 barbecue avec grille fine. ÉTAPES : La marinade : mêlez dans le saladier huile, miel, paprika. Vous obtenez une pâte épaisse: délayez avec le jus de citron. Ajoutez les herbes. Les pilons : arrachez la peau. Roulez-les dans le mélange, laissez mariner au moins 1 h. Cuisez : préchauffez le four à 180 °C (th. 4) ou allumez le barbecue. Posez les pilons sur la plaque ou sur la grille, salez, poivrez tout, cuisez 10 min. Versez la moitié de la marinade sur les pilons, cuisez encore 5 min. Ajoutez le reste de marinade, cuisez encore 5 min. Dégustez chaud ou froid, avec le citron en rondelles que chacun pourra presser sur ses pilons.

Poisson frit sauce chermoula

INGREDIENTS : 500 g de sardines en filets 500 g de merlans en filets pour la sauce charmoula: 1 botte de persil haché 1 botte de coriandre hachée 6 gousses d'ail ha 3 c. à café de piment doux 1 c. à café de piment fort 3 c. à café de cumin 1 c. à café de sel 4 c. à soupe de vinaigre pour la friture: 1 bain d'huile 100 g de farine

PRÉPARATION : Pour préparer la recette de poisson frit sauce chermoula : Dans un bol, mélanger les herbes, le vinaigre, les épices et l'ail. Sur un filet de sardine étaler de la chermoula de manière uniforme et le recouvrir d'un autre filet. Répéter la même opération avec le reste des filets de sardine et avec les filets de merlan. Passer les poissons dans la farine et les plonger dans un bain d'huile chaude jusqu'à ce qu'ils deviennent dorés. Les égoutter sur un papier absorbant. Servir la friture de poisson chermoula avec une salade verte, des tranches de citron et des olives.

HORAIRES DES PRIÈRES

Allergie alimentaire : quels sont les terrains à risques ? Ces manifestations, prises individuellement, sont souvent non spécifiques (sauf le choc anaphylactique notamment). De ce fait, l’allergie alimentaire n’est

La guerre de Trois cent trente-cinq ans a opposé l’archipel de Sorlingues, au large du pays de Cornouailles, aux Pays-Bas, et comme son nom l’indique, elle a duré 335.

Pilons de poulet grill s aux herbes

SOIGNER UN ENFANT QUI A ''MAL''

Il arrive que son enfant ait mal au ventre juste avant d’aller à l’école ou mal à la tête juste avant une interrogation. Il existe donc des maux que l’on peut définir comme ''non dangereux''. Pour aider l’enfant à aller mieux, il suffit d’avoir un compte goutte et de le remplir d’eau. Mettre ensuite ''du produit'' devant lui sur un sucre et lui donner. Cinq minutes après, ces maux disparaissent comme par enchantement.

QUOTIDIEN NATIONAL D’INFORMATIONS SPORTIVES

El Fedjr 03:43 Dohr 12:45 El Assar 16:35 El Maghreb 19:57 El Icha’a 21:33

A UJOURD ’ HUI Ensoleillé Max.34° / Min. 18°


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Animée par : KARIMA MANCER

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3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 HORIZONTALEMENT 1.Petit curieux -Fleuve d’Afrique. 2.Jeu de cartes -Homme qui vit de revenus non professionnels. 3.Germain-Convenables. 4.Quatre-Très amaigri-Négation. 5.Central intelligence Agency-Galère de l’antiquité. 6. Viande dure-Poisson plat. 7. Plante aquatique-Fourneau. 8. Vase à falncs arrondis-Se dit du jazz joué avec force-Panicule. 9.Tantale-Petites -En matière de. 10. Unité de mesure pour les bois de charpente- Cordage servant à lier. 11. Échelle en photographie-pins montagnards. 12.Guides-Calme plat de la mer.

VERTICALEMENT 1. Plante potagère vivace-Infinitif. 2. Grande de beauté -Saleté. 3. Toucheé-Chaland à fond plat -Couleur. 4. Ville importante-Étendue sableuse. 5. Obscurité-Perroquets. 6. Riviière du Bassin parisien -Veille.  7.Pronom personnel-Crèpe épais-Fleuve de Russie. 8.Fringale-Opéra en trois actes de Rossini.  9. Détrempé-Possessif.10.Cri des charretiers Pronom personnel -Déteriora. 11.Viscère pair qui sécrète l’urine-Ville de Belgique.  12. Hydrogène arsénié-Dép. de la Région Rhône-Alpes.

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FOOT EN QUESTIONS

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Ceci un exercice de discernement. Dans chacune des séries suivantes, vous devez chaque fois retrouver l’élément différent. Et cela, le plus vite possible !

Quel club chypriote a atteint, pour la première fois dans l’histoire de ce pays, le quart de finale de la ligue des Champions lors de la saison 2011-2012 ?

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Mots fléchés

N U E E E S G M I A D E F I E R U F T I R E T R E I L U S N A I A L I S E I O N D T E T A A I O M E M I S

Directeur de la publication-gérant Farouk Seba Directrice de la rédaction Cyriel Seba Rédacteur en chef Mounir Benkaci Directeur technique Laïd Kalila Directrice chargée de la communication Magda Seba

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Foot en questions Tirage 2 ORGUEIL Tirage 1 DISERT REDITS

Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas

calcul : 25x8=200 200/10=20 Des chiffres & des lettres

Jeux d’esprit

Quotidien sportif édité par La Gazette de l’omnisport Siège social 28, rue Ali Khodja - Bordj El-Kiffan Tél. : 021 92.62.25 Bureau de liaison 10, Rue Balzac - El-Biar - Alger Fax : 021 79.86.54 Rédaction 021 92.62.25

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Photos : Maracana

Imprimerie : ALDP Diffusion : ALDP e-mails :

maracanajournal@gmail.com maracanarecrute@gmail.com Site web : www.maracanafoot.com


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Maracana N° 2670— Mercredi 20 mai 2015

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