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. roomclément
room2stéphanie
Fessy
Ruiz
libraryphilomène
room3richard Aiguier/yves Monnier
Henry
kitchenbatiste Chenin
halllouis Paris/richard Aiguier
bathroomphilomène Henry
kitchenmarion Deidda
w.cmathieu Voisenet
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librarymatthieu Voisenet
staircasephilomène Henry
w.cFessy Clément
hallline Orcière
room1yves Monnier
room2virginie Gonzales
contaminationmiguel P. De Borde
room3bastien Carrière
.
. C
oncept App’Art est une initiative du « Collectif Sans Titre ». Elle a pour but de promouvoir les propositions de jeunes créateurs qui ont difficilement accès aux institutions tradition-
nelles et de donner une alternative de visibilité à leurs expérimentations dans un réseau d’appartements assumé comme installation collective. Cette installation a pour objet de proposer une solution transitoire à la muséification, en créant couverture 1 sommaire 2 manifeste1 3
concept apart 2005 4-5 kitchen Chenin Baptiste 6 kitchen Fessy Clément 7 room2 Ruiz Stéphanie 8 room3 Monnier Yves 9 bathroom Henry Philomène 10-11 room3 Aiguier Richard 12 hallAiguier Richard 13 hallParis Louis 14 w.c Voisenet Matthieu 15 Marion Deidda 16-17 evenements 18-19 concept apart 2006 20-23 concept apart 2007 24-25 Chaîne de mails 26-30 manifeste2 31 w.c Fessy Clément 32-33 contamination P. De Borde Miguel 34-35 staircase Henry Philomène 36-37 hallOrcière line 38-39 library Voisenet Matthieu 40-41 room1 Gonzales Virginie 42-43 room2 Monnier Yves 44-45 room3 Carrière Bastien 46-47 Zorro 49
un réseau de nouveaux espaces de diffusions de l’art. Par installation nous désignons l’action de disposer un ou plusieurs objets dans l’espace. « L’installation est l’établissement d’un ensemble singulier de relations spatiales entre l’objet et l’espace architectural, qui force le spectateur à se voir comme faisant parti de la situation créée. »(1) Nous entendons par réseau « un ensemble tissé, un filet, une circulation, un rhizome. Un enchevêtrement habitable. Nous proposons ainsi un espace virtuel C’est une façon d’être collectif mais sans que le groupe social ne domine ou contraigne le singulier. Le tissu du réseau affine le sujet (son fil, son tracé) et étend sa puissance comme processus d’individuation ou comme dynamique transindividuelle, et non pas comme expression d’opinion ou volonté identitaire. » (2) Nous définissons avant tout l’appartement comme un espace de vie. L’enjeu est de proposer l’appartement comme un espace de visibilité sans avoir à cacher ce qu’il a de vie. A l’encontre de ce que véhicule le « White Cube » qui à pour vocation de proposer un lieu « pur » qui n’a rien à proposer de plus que les œuvres qu’il expose. En effet l’appartement est un espace où l’intimité entre public de tout horizon, propositions artistiques et artistes est considérablement agrandie dans un environnement favorisant la confiance entre ces différentes personnalités. Internet nous offre un point d’ancrages commun hors des contraintes matérielles et temporelles. Ce projet n’ayant pas de lieu géographique fixe, il favorise le développement de cellules autonomes. Il permet ainsi aux artistes de construire et de disposer d’un moyen de diffusion et d’échange mondial. Cet espace privilégie la rencontre des personnes, de leurs idées et de leurs pratiques. 1 : Thierry de Duve, Performance ici et maintenant : L’art minimal, un plaidoyer pour un nouveau théatre, Editions de la Différence, 1987. 2 : Pierre Sterckx
Clément Fessy, Matthieu Voisenet, Richard Aiguier et Yves Monnier.
08/01/05 au 16/01/05 24 rue lafayette Du
elbonerG
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photographie impression numérique
___ -------____ ( _ _ ____ ° /\ -------) ( °___ _( )_) / \/\ —°) (___/ _) __ /° \------)
Fessy Clément
peinture evolutive matériaux divers, stickers, tissu
Chenin Baptiste
kitchen
room2
room3
«
j’ai pas encore trouvé le mot exact, mais bon en bref je ne suis pas à l’aise, là,
Parce que tout compte fait, dehors, on est tous des juges pour les uns et tous des accusés pour les autres... Je ne sais pas. C’est peut-être que j’ai peur que les autres me jugent comme moi je le fait : à la volée. Et encore, même si c’était ça, je comprend toujours pas pourquoi ça me touche, parce que un jugement comme ça c’est sans valeur aucune. Et puis il reste quand même la question du physique : quand je suis là sur mon balcon, les gens ils sont là aussi : je peux les voir, je peux les entendre, j’irais pas jusqu’à dire que je les sens mais ils sont là quoi. Mais moi j’ai plus se sentiment d’être mal à l’aise. Là où je veux en venir c’est que la seule différence avec quand je a réflexion s’est portée sur ma place dans l’appartement. Comme l’objet du regard de mes voisins de chambre ou de quartier et donc de mon regard sur eux. Sans pensées malsaines nous sommes tout de même des spectateurs curieux de ce que nous ne voyons jamais et jamais ne montrons. Nous sommes des voyeurs privés. Mais c’est souvent avec une fausse pudeur que nousnous introduisons loin dans l’observation de l’intime. Et voilà pourquoi par provocation et par désir de lever ce voile je souhaite mener au confins du voyeurisme : être à l’interieur de l’autre, sous les yeux de tous. être des voyeurs publics
suis en bas, c’est qu’ils ne peuvent pas me toucher. On a même un digicode pour qu’ils ne puissent pas me toucher. Comme si j’avais peur qu’on me touche ou plutôt qu’on puisse me toucher. Oui, parce qu’il n’y a personne qui te touche comme ça, pour rien, dans la rue quand même? Comme si du moment ou je suis pas dans le flux des gens qui passent en bas, je ressentais plus leur présence. Comme si dès que je suis rentré y étaient aussi et qu’il n’y avait plus personnes là en bas, à groiller dans tous les sens. j’oublis qu’ils sont là. Enfin, il faudrait quand même que j’arrive à me l’expliquer, parce que les autres y m’attendent là, dehors, et je sais pas se qu’ils me veulent... ».
installation vidéo avec projection en live
que c’est cela qui m’appaise. Mais des juges de quoi?
Monnier Yves
installation de tulle, fil de fer, lampe, miroir.
en bas. Alors que chez moi j’ai la tête plus tranquille, il y a moins de juges, peut-être
«sous ma jupe»
Ruiz Stéphanie
Ah! enfin chez soi. J’suis pas bien dehors... Y a trop de monde, trop de regard.
bathroom
r peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur r peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur r peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur r peur peur peurvidéo peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur r peur peur peur peur peur peur peur peursymbolise peur peurlespeur peur peur peur peurdans peur lapeur peur peur peur peur a philosophie chinoise dualismes en interaction nature r peur peur peur peur peurversant peur dans peur lapeur peuretpeur peur peurEnpeur parpeur le Yinpeur et le peur Yang,peur l’ombre lumière inversement. Inde,peur le peur peur peur r peur peur peurGange peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur est un fleuve sacré. On dit qu’une immersion dans ses eaux suffit à purifier r peur peur peurl’âme peurde peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur celui qui s’y baigne, on dit aussi qu’il est le fleuve le plus pollué à ce jour. r peur peur peurCorps, peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur esprit, corps, esprit, corps, esprit… r peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur Avec un lieu comme la salle de bain traversé par de tels extrêmes, j’ai tenté de rér peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur concilier et d’harmoniser à ma manière les dualismes antinomiques dont la culture r peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur occidentale est empreinte. r peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur r peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur r peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur r peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur peur
Henry Philomène
L
«Esprit de casse»
création pour salle de bain, pâte à modeler, bougies, feutrine et bandes sonores
R
éaliser un temple, j’en avais envie depuis longtemps, avec l’appart c’était l’occasion de donner un espace à ce désir. La salle de bain
était parfaite pour un temple, par sa fonction, ses rituels, l’eau, les miroirs…etc. Pour moi, la salle de bain a cette particularité qu’elle est aussi sacrée que domestique. Au Japon, le shintoïsme est une religion qui ne compte plus ses divinités, chacune étant vouée à protégexr aussi bien les édifices publics que les différentes pièces de la maison. En imaginant des divinités et des esprits dans la salle de bain, j’ai pensé ; s’il y avait une prière ou un vœu ici, ce serait forcement : être propre. Et si ce lieu gardait entre ses murs un esprit rôdeur, ce serait celui de la crasse.
room3
Nicolas S. est parmis nous graphisme Impressions numérique, papier plume
H
istoire courte, histoire simple. Le temps d’une nuit, le vent s’est fait sentir et nous a
emporté. Le rêve n’est-il pas le moteur des poètes ?
«
réseau-trance»
Installation photographiques épreuve argentiques impression numériques
O
ù nous mènent les chemins citadins ; entre rêve d’évasion et réalité. La ville nous cloisonne, nous enferme sans nous
rendre compte de l’extérieur. Telle une cellule, elle agit sur nos espoirs et nos doutes. Où nous mène cette vie recluse?
pourtant j’étais là
j’entrvoyais, je vivotais... Tout cela n’existais pas, et
je visionnais, je voyais, j’entendais, j’observais,
’attendais, je patientais, je vivais, je regardais,
J
«le monde a p...»
installation canapé, table basse, télévision.
Aiguier Richard
hall
w.c
hall
C
ette série de peintures porte pour moi un intérêt particulier, au niveau de la lumière, de la
Lumière peinture pigments
Paris Louis
couleur, de la matière et de la musicalité. Un glissement musical dans la structuration de ces peintures. Chaque partie trouve une nouvelle valeur, une nouvelle ambiance, le sautillement de chaque
Voisenet Matthieu L’appartement passé, présent, futur... Installation tapisserie, technique mixte
porte constitue pour moi un décalage intérressant.
L
Dans un cas comme celui là, la porte devient autre
prochaine location.
couleur... Faire fonctionner une peinture sur une
chose, sa valeur change, elle n’est plus seulement une porte, elle devient une transition artistique et spaciale en combinant les deux fonction qu’on la peinture et la porte. Comme un passage vers le dessous de la peinture.
’histoire d’un appartement se lit sur ses murs. Une lecture d’une vie, de vies qui se rencontrent, qui s’entrchoquent. Laisse place à d’autres vies. Une période de transition, jusqu’à la
Marion Deidda Photographie argentique noir et blanc, formats divers
evenements mardi 11/01/05
SuperPolarsartic Sound label -DickHeadManRecordsé vendredi 14/01/05
Julien veillet
Blue sounds
lundi 10, mardi 11 et jeudi 13/01/05
Clothilde debodinat danse Improvisée chaise, canape, mur
« La journée est finie, je rentre! Enfin chez soi... Tiens mais j’y pense, le jeune étudiant d’à côté, je ne vois plus sa copine «le rousse». Celle qui arrive toujours à 22 heures et repars à minuit pour ne pas rater le dernier metro. Et la vieille du dessous qui râle parce qu’on dérange ses habitudes et sa solitude... Qu’est qu’elle doit se faire chier au milieu de sonpapier peint à fleur et de se ses chats. Et le jeune couple du quatrième, lui au trésor public et elle à la CAF; ils ont besoin de sourires comme ça tout le temps? avec des jobs comme ça, moi j’aurais plutôt le teint gris! Et le vieil alcoolo célibataire toujours sur le qui vive pour t’offrir un verre de rouge au milieu de sa vaisselle de quinze jours, de ses mégots et de ses épluchures d’oranges. Un peu de gaieté mine de rien...Et la quadrgénaire avec ses trois gosses qui gueule tout le temps parce que la musique est trop forte et parce que je rentre à pas d’eure. Elle n’a pas compris que j’aime pas rentrer pour me retrouver seule chez moi...? Et vous, chez vouz, vous êtes comment?».
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2007 L’effet papillon «Si un seul battement d’ailes d’un papillon peut avoir pour effet le déclenchement d’une tornade, alors, il en va ainsi également de tous les battements précédents et subséquents de ses ailes, comme de ceux de millions d’autres papillons, pour ne pas mentionner les activités d’innombrables créatures plus puissantes(…) Si le battement d’ailes d’un papillon peut déclencher une tornade, il peut aussi l’agraver .» Edward Lorenz
effet papillon 2007 chaine de Mail ven.27/07/07 12:29
Mes chers petits papillons, Puisque le hasard en a décidé ainsi, c’est donc à moi que revient l’honneur d’ouvrir la danse. Messages en cascade et effets papillons; vous pouvez désormais déferler en toute liberté!!!! Je ne sais pas trop par où commencer, l’effet papillon englobe tellement de choses, il y a de quoi faire ! Voici une liste de toutes les choses auxquels me font penser « l’effet papillon ». Bonne lecture ! D’abord, je pense évidemment au fameux battement d’ailes du papillon qui va déclencher une tornade à l’autre bout de la planète. Ce qui parait un détail minime peut provoquer une conséquence dévastatrice. Un séisme au milieu de l’océan provoque un tsunami, l’effet papillon c’est l’apocalypse, le scénario catastrophe. C’est les réactions en chaîne, c’est les dominos qui tombent les uns après les autres. C’est un mot de trop, la goutte d’eau qui va faire déborder le vase. Mais l’effet papillon, ce n’est pas que la destruction ou la dévastation, je peux aussi le voir sous un angle positif. C’est une énergie créatrice, une évolution : une idée qui en amène une autre, puis une autre qui rebondit sur une autre, qui redébouche sur une autre...etc. C’est la liberté ; une ramification délirante d’idées dont peut résulter une production artistique. L’effet papillon, c’est donc la communication, un réseau, une énergie qui se transforme et se transmet. C’est un enchaînement d’actions de réactions et d’interactions. C ‘est l’idée d’une évolution, d’un cycle comparable à celui de la vie ; apparaître, évoluer, disparaître. L’effet papillon ; c’est aussi un miracle, la rencontre d’éléments favorables au bon moment, au bon endroit : un coup de foudre, un coup de chance. L’effet papillon, c’est la roulette russe, il peut réserver le pire comme le meilleur, c’est l’idée du destin, de la fatalité,que tout est peut être déjà écrit. C’est un jeu de hasard et de coïncidences heureuses ou pas. Ce sont des courants d’énergies positives et négatives qui se croisent, se décroisent et se recroisent à l’infini de manière aléatoire et chaotique. L’effet papillon, c’est aussi la démesure, le danger de se laisser gagner par la paranoïa. Croire que tout est déjà écrit, croire que l’univers s’explique et se comprend en pensant que la vie est une addition de causes et de conséquences indépendants de notre volonté. L’effet papillon, c’est aussi la philosophie asiatique, la sagesse Zen. C’est à dire que nous ne sommes qu’un. C’est remettre la balance à niveau, il n’y pas de fort, il n’y a pas de faible. Le battement d’aile du papillon et la tornade ne vont pas l’un sans l’autre, c’est le principe de l’interaction du Yin et du Yang. Merci de m’avoir lu jusqu’au bout, je suis impatiente de vous lire à mon tour, alors : « à vous les studios ! » D’ici là, papillonez en paix. A bientôt. Philo.
bonjour! après lecture de tes propositions, j’ajoute comme convenu mon commentaire. la vision catastrophe m’a bien, plu, sûrement par affection pour la série B. A ce propos, savez-vous que des essais nucléaires français à mururoa provoquent une invasion de lézards géants au japon? quel effet papillon du réel à l’imaginaire? L’effet papillon me rappelle aussi le rapport à la peinture de la part de Francis Bacon. Ce dernier précisait que l’accident, la part de hasard, était essentielle à son travail. Dans un entretient, en le poussant plus loin, il précisait que l’homme est pour lui issu d’une série d’accidents, et que c’est cette suite de hasards qui est l’origine de tout ce qu’est l’homme, en meilleur comme en pire. L’utilisation du hasard dans sa peinture relevait d’un positionnement philosophique. Il est aussi question de vide, de non-sens. Nous sommes des accidents qui se sont reproduits. Miguel Bonsoir à tous, L’effet papillon et la théorie du chaos Le chaos est un désordre, Le désordre une absence de finalité,L’absence de finalité suscite le manque, Le manque défit le désir, Le désir ne dépend pas de notre volonté, L’absence de volonté est une absence de finalité, L’absence de finalité est le chaos, Le chaos est un désordre. J’ai pas trouvé plus funky... Bises, Yves détonateur Eugène, compteur Gégène ? à bientôt tous, bastien. Salu à tous, Je commencerai par une petite citation de l’ami Francis Bacon cher à Miguel et moi : «L’important c’est de toujours saisir ce qui ne cesse de se transformer». Je continu avec une peitite réflexion à méditer : La théorie du chaos entre dans l’explication des différences de développement. Bon week-end à vous tous et à bientôt Richard A mon tour ... Pour moi l’effet papillon est un tout petit acte qui a le pouvoir de changer beaucoup de choses dans le monde ici et ailleurs et qui est sutout à la portée de tout le monde. De tout temps l’homme a toujours rêvé d’avoir le pouvoir de changer le monde, mais pour y parvenir ne doit-il pas d’abord contrôler ses propres tyrans intérieurs pour échapper aux manipulations extérieurs ? au suivant ... Tchao et à bientôt Virginie. Comment les Hommes peuvent manger nos pères et des chevaux nos femmes. hier, sa peau l’a rongé. hier sa corde l’a soutenu. des cendres dans une panse. des femmes des filles sans pères. des pères sans enfants puis des enfants sans pères. les conséquences de l’Hommes sont dans son sperme. anorexiquedéprésiveschizophrèneoedipienne.
hier je fus le père que vous êtes; vous serez le père que je suis. (sic Masaccio) L. baise H. O baise O. Q. nique F. P ne fait jamais l’amour à C. même si G. kiff I. parfois S. aime M. le lien entre P. et T. se disloque. T T T T textote à B. LHOQFPCGISMPT sont les arbres de leurs fruits ( et vice versa). A:« le seul problème s’est que tu ne seras jamais mon père » B: « qui est son père, qui est mon père ? » C:« le seul problème, s’est que je suis ton père. papa » B: « mon père est celui que j’éduque » A: « ...et celui qui ne m’éduque » F: « Elle. n’est que pour elle, ma mère » la véranda du préau s’ouvre sur le jardin de l’arrière cours. rentre P.A.P.A. PA.P.A: « si vous ne dites MOT, nous consentirons pour vous » A.B.C.F: « motMOTmotMOTmotMOTmotMOT » petites voix à grand ton rivalise en silence quand P.A.P.A n’est plus A.B.C.F sont. mais cherche quoi.qui. B: je suis blonde F: mais brune C:oui mais possessive. A: mais. Lui. est économe. tous contraire de l’opposé. la véranda s’écroule. IN et OUT se cherche. F: un diabétique ne donne jamais de sel à un cardiaque . C: où est le diabétique quand on a besoin de lui. D.O.L.T.O: quoi que vous fassiez ça sera mal. A.B.C.F: de mal en pis pis de matrice contre pis de marâtre. cachez ces seins que nous ne saurions sucer. cachez ce braquemare que nous ne saurions bander. C: toutes bites que j’ai en bouche sont celle de nos pères. A: si je suis ce que vous êtes, vous n’auriez pas du être ce que je suis. F: conséquence de notre cause est tout ce que nous sommes. C: pourquoi tant d’auto-analyse pour tant d’auto-flagélation quand ces nous les flagellés. Cédric OUPS !! j’ai louper un peu mon tour je crois.... moi et le timing ça fait 2 et même plus... sorry. En tout cas, ci joins cette photo qui fait suite - plus ou moins - à cette tornade que chacun a mis en branle - reste poli s’il te plait - entre Bacon et un abécédaire bien fucké... j’ai le cerveau qui bouille et les mains moites, désolé pour les détails, mais c’est un peu un aurevoir en fait que je vous fait là.... pour Yves clèm et ricardo ben jvous souhaite pas des bonne va- cances parceque. Fifi on se revoie la semaine prochaine surement...et puis ya que Line qui vient avec moi en allemagne si j’ai bien compris...pffff bande de lacheur.... pour ma part je trace direction massilia tout de suite maintenant, voir les mouettes, la mer et les poissons qui baisent dans l’eau !! bisou les cocos, a bientot !! et bonne vacances ! marion
hello a tous !!! c’est a mon tour..... Pour ma part, l’effet papillon est synonime d’incertitude, d’une certaine façon «le fait d’être prisonier» d’une certaine fatalité, l’absence total de contrôle sur la vie. un fet en contradiction avec la nature humaine qui recent un besoin de tout controler. j’ai trouvée cette fable dans le carnet d’une gamine, une partie détail en partie ce que je pense (en plus c’est l’histoire d’un papillon). passage entre()::: L’escargot et le papillon ::: Les doigts de pieds en éventail Un doux sirop, une longue paille Sous le soleil, un escargot s’étirait Et se délectait de légères gorgées Un papillon, lui virevoltait de partout Battant des ailes comme un fou, Se reposait que quelques secondes Et repartait dans cette drôle de ronde. « Comment fais tu pour ne rien faire ? » demander l’animal des airs dans un tournoiement presque statique au dessus de l’escargot lymphatique. « Je ne fais pas rien, je bois et je dors... Que pourrais je donc faire encore ? Et toi que fais tu de plus que moi ? (((((((Tu voles mais sais-tu où tu vas ? » « Mais qu’importe le déplacement ce qui compte, c’est le mouvement ! »))))))))) Répondit le papillon philosophe A l’escargot toujours un peu amorphe « Je cherche, je m’instruit, j’apprends,beaucoup de choses en voyageant ! Ma vie est plus riche que la tienne Plus courte, certes, mais ça vaut la peine ! » Alors l’escargot se leva d’un seul bond Ce qui lui prit trois heures environ Et pendant ce temps presque infini (((((((Le papillon entra peu à peu dans la nuit. Il est de ces animaux pourtant éphémère Qui cherche toute leur vie la lumière))))))))) Et d’autres bien peu pressé, qui cependant applique la vérité naturellement. La papillon est mort et ne saura jamais Si l’escargot suivra les conseils prodigués Mais n’est ce pas de la jalousie malfaisante de vouloir faire courir celui qui rampe ? Philistin Panger line Salut a tous, je suis un peu en retad aussi pour poster mon maillon de la chaine mais c est finalement chose faite. Un mot sur l image ci-jointe qui suit (pour moi)ce que j ai pu voir ou lire et qui au dela de l aspect sumbolique me renvoit a un moment de ma vie ou la notion de cause a effet etait absente ou du moins en construction. en attendant de vous(re)voir je vous dis ciao!! Sebastien Désolé pour le retard effet papillon oblige, je bossais! Bien l’effet papillon ou la théorie du chaos, ultime recours des scientifiques pour expliquer (maitriser) l’aléatoire.»Dieu ne joue pas aux dés»A.Einstein. Frustré de ne pouvoir prévoir la météo les scientifiques élaborèrent une théorie pour expliquer ce qui à priori n’as pas de règle. Obsession de vouloir tous contrôler. De tous recréer. Et si Yves Klein n’avait pas inventé l’IKB mais l’IKR (red) ? Et si au lieu de faire du Judo, il avait fait du « close combat » ? Et si Michel-Ange avait été un piètre dessina-
teur ? Et atteint de vertige ? ET si Salvador Dali n’avait pas eu de moustache ? Et n’avait pas rencontré Gala ? ET si, et si, et si.... La théorie du chaos c’est maitriser le « et si... » Et voir son impact. Et si j’arrêter d’écrire ce mail ? C’était à moi hier...enfin voila... Les fées sont des être de toute façon imaginaires... Et nos papilles de ce fait ne pourrons jamais les goûter... On n’a jamais pris la place du nous...bien que chacun puisse le penser... Saviez-vous que le pet « pas Fillon », n’est pas forcement un pet « Sarkozy » ? Et qu’au delà du fait d’être un petit pet pour l’Homme, rien ne prouve encore que ce sera un grand pas pour l’humanité... Aussi que nous pourrions tout à fait défendre un simple pet, autant qu’un battement d’ailes de papillon...puisque se dernier à de réputation de pouvoir déclencher une tempête monstrueuse de l’autre coté de la terre...imaginez le pouvoir que peut alors avoir un simple pet... Or, it could be about Pet! Yes? No? We don’t know.../ Vidons nos... Clement
. L
e «Collectif Sans Titre» (C.S.T.) est à l’initiative de Clément Fessy, Matthieu Voisenet, Richard Aiguier et Yves Monnier. Il a pour vocation de mettre en avant le travail de jeunes
artistes européens par le biais d’évènements locaux, nationaux et internationaux. Au-delà des évènements…Le Collectif Sans Titre (CST) est avant tous un noyau de pensées. Ni –iste, ni –isme. Nous élaborons les conditions nécessaires à l’évolution des plasticiens composant le CST. Notre principale activité est de faire émerger et d’entretenir des possibilités. Dans cette optique, nous avons fabriqué un contexte d’échanges autour de nos pratiques respectives. Un laboratoire de mode de diffusion et de visibilité Modes de visibilité : différents types d’événements créé par le collectif pour l’artiste. Les événements organisés par le «C.S.T.» ont pour objectif de promouvoir les recherches engagées par de jeunes artistes. Dans une collaboration avec les institutions mais aussi dans l’expérimentation d’alternatives de visibilité et de diffusion complémentaires des réseaux d’ors et déjà existantes. Par exemple, des installations collectives sont organisées en appartements. Intitulées «Concept App’art’», elles sont accessibles gratuitement et librement. Lors de ces évènements, les pièces proposées sont ainsi rendues visibles dans cet environnement qui permet une relation de proximité entre le visiteur, l’artiste et l’oeuvre. «Concept App’art» permet de construire et de disposer d’un moyen de visibilité et d’échange entre artistes et visiteurs. Modes de diffusion : collections de DVD, catalogues. Le «C.S.T.» rend compte de son activité par le biais d’un site Internet (www.installationconceptappart.com), de catalogues et par l’édition de collections de vidéos d’artistes. Internet est une composante de son activité, lui offrant un point d’ancrage visuel hors de toutes contraintes. Ces moyens de diffusion permettent de pérenniser les évènements ponctuels, les rencontres entre les personnes et les pratiques. Le «C.S.T.»
w.c
M
on projet propose la superposition de divers et nombreux types d’images
“No hole in the wall”,
Fessy Clément
que l’on peut rencontrer dans une chambre étudiante. C’est dans un but de
rapprochement au « all over » que se fait cette superposition, mais celle-ci apparaît de façon très faible dans mon projet. La superposition reste essentiellement picturale.En effet, l’image se rapproche plus du monochrome que du « all over », ou que toutes images directement reconnaissables (pub, poster, photo souvenir…). Ceci cherche à dénoncer d’une certaine façon le fait de devoir garder ces murs intacts… Donc généralement blancs… Donc monochromes. Ce qui transforme ces lieux en espaces d’exposition, ou en espaces incompatibles avec toute expression d’un univers personnel ou d’ambiance personnelle. À moins que ces images ne servent à questionner ces deux choses compatibles.
“No hole in the wall”, impression numérique, 21 x 29,7 cm, 2007
“Alerte!!!, la nuée”
P. De Borde Miguel
contamination
A
u cours du XIVème siècle, la Grande Peste déferle sur toute l’Europe. L’Enfer est sur terre et il est vraiment démocratique. L’impact de cet évènement
laissera une trace indélébile. Ce travail a commencé par une série de dessins représentant des scènes de danses macabres contemporaines. Sur l’un d’eux, des squelettes lançaient des avions de papier contaminés pour atteindre la population. Je suis parti de ce dessin pour concevoir mon projet d’attaque d’avions squelettiques, infectés, venus des enfers pour nous tuer tous. Comme pour les infos, ceci n’est qu’une image. C’est ce qui nous permet de réfléchir un instant, de comprendre le simulacre, peut-être de voir aussi le pouvoir de notre imagination, et le pouvoir qu’elle a sur nous lorsqu’elle est utilisée par d’autres à mauvais escient.
“Alerte!!!, la nuée”, installation de papier bristol et matériaux divers, 2007
“Barbe Bleue”
Henry Philomène
staircase
F
ace à l’image photographique, j’aime que ma perception soit dérangée. Je cherche avant tout un moment d’incertitude et de déséquilibre. Ma démar-
che est de mettre en parallèle un endroit et un envers que j’observe dans la réalité. Ce que je recherche avant tout lorsque je compose une photographie est qu’elle m’étonne. Je mets en place des perturbations, des anomalies. Dans cette optique, le procédé de l’illusion me permet de questionner l’idée de réalité mais pas seulement ; j’utilise l’illusion comme un moyen d’amplifier cette réalité sans la fausser. Dans mes derniers travaux, j’aborde la figure du portrait. Le portrait photographique est pour moi un lieu d’absence, une impossibilité. La série Barbe Bleue est née d’un désir de fixer le vivant et le statique dans une même image. Marquée dans mon enfance par le conte de Barbe Bleue, je n’ai pas oublié le passage terrifiant où la jeune épouse découvre les corps des défuntes femmes de son mari. En composant cette photographie, j’ai tenté de cerner quelle image un récit tel qu’un conte peut laisser dans la mémoire. Le geste de photographier est pour moi ambivalent, il révèle l’instant tout en le vidant. Garder une trace, capturer le vivant, fixer ce qui n’est déjà plus là sont autant de signes d’un refus de laisser passer l’instant. Celui qui appuie sur le déclencheur ne serait-il pas le véritable assassin dans cette histoire ?
“Barbe Bleue”, Série de 3 hotographies numériques, 50 x 37 cm, 2007
hall
“va saigner dans un four”
Orcière line
(...)On voit les Actualités, les photos de Match, on les oublie au fur et à mesure. Quand on les retrouve toutes ensembles, ça étonne un peu. Cadavres sanglants de blancs, de noires, des autocars renversés dans des ravins, vingt-cinq enfants tués , d’autres coupés en deux, des incendies, des carcasses d’avions fracassés, cent dix passagers morts sur le coup, des cyclones, des inondations, des pays entiers dévastés, des villages en flammes,, des émeutes raciales, des guerre locales, des défilés de réfugiés hagards. C’était si lugubre qu’à la fin on avait presque envie de rire. (...) Simone de Beauvoir, Les belles images, 1966
J
e part sur l’idée du contrôle, ou plutôt de l’illusion du contrôle. La nature humaine à toujours favorisée l’homme a vouloir tout controler, et à le bercer
dans ce mirage. Le rapport que je vois avec l’effet papillon, et que, cette théorie tant a prouver l’impossibilité d’assouvir cette pulsion. L’homme croit posséder ou tente de contrôlé totalement une notion inexistante dans le monde vivant.
“va saigner dans un four”, peinture au bic sur toile de coton, 60 x 100 cm, 2007
M
a démarche se crée au gré de la curiosité de ce que j’observe. Essayant d’avoir un regard neuf et amusé de ce que je remarque. Ma réflexion opère
pendant mes songes, la longue mécanique du processus de création est l’aboutissement de plusieurs nuits où tout se combine et surgit au petit matin. Je ne fais rien, c’est mon cerveau qui fait tout. Ma série « Volutes » aurait pu s’appeler « Hymne au cancer » ou « À bout de souffle ammoniaqué ». C’est peut-être la forme de la pensée d’un caféïnomane cigaretté que je suis, se matérialisant sous ces formes qui se combinent, se jouent de la lumière. Les démons de mes idées s’envolent, s’assoupissent dans ces « Volutes ».
“volute”
Voisenet Matthieu
library
“volute”, photographies numériques, 100 x 75 cm, 2007
L
a lumière hypnotique aveugle frénétiquement celui qui s’en approche, attire confusément jusqu’à l’orgasme de la fin. Il grille jusqu’à la consommation de
son corps. L’exception, la particule, le particulier qui s’en échappe est un élément libre, perdu dans l’unité de l’univers.
“Exit“
Gonzales Virginie
room1
“Exit“, installation lumineuse, 34 x 20 cm, 2007
room2
Q
“Copy of Pope”
Monnier Yves
uelles actions permettraient des représentations personnelles du temps ? Quelles évolutions induisent les idéologies contemporaines et les modes ac-
tuels d’appréhender l’environnement ? Les recherches que je mène questionnent les relations entre l’individu et son environnement, aussi bien physique que spirituel. J’expérimente par des installations des situations de manifestations de formes de temps. J’ai réalisé cette vidéo lors de la visite du Pape Benoit XVI du 12 au 15 septembre 2006 à Regensburg en Allemagne. Ce travail est une recherche esthétique sur l’utilisation et l’accumulation d’images dans les sociétés contemporaines. Comment développer une documentation qui permettrait de se rapprocher de la compréhension personnelle par une expérience physique et spirituelle directe ? Une documentation qui se rapprocherait du temps de l’expérience.
“Copy of Pope”, Vidéo projection, 1’57 min, Sept. 2007, Regsenburg
room3
U
n berceau à l’ancienne qui pourrait suggérer la douceur de la naissance.
“berceau”
Carrière Bastien
Peut-être verra-t-on un nourrisson endormi si l’on passe la tête au-dessus
pour voir ce qu’il y a dedans. A la place de ça, c’est un drap agité qui s’élève depuis le berceau. Ce drap est peutêtre poussé par une force, peut-être suggère-t-il une suite, un départ. Un départ d’effet papillon par exemple. Cette réflexion peut se porter sur la destinée de chaque homme, ou peut aussi être plus polémique si on se met à parler d’eugénisme… Un objet sous tension qui suggère une narration, surement toujours différente selon le regard que lui porte son spectateur. Je voulais parler d’un effet papillon à l’échelle d’un humain. L’effet papillon c’est souvent défini comme, un battement d’ailes de papillon à un coin de la terre, qui va provoquer autre chose de mineure, et petit à petit des choses de moins en moins mineures. Et enfin un événement énorme à l’autre bout de la terre : une tornade, un tsunami, un... Là au depart je voulais avec ce berceau évoquer le fait que chaque humain peut etre perçu comme un effet papillon. Il part de quasi rien, d’un ovule et d’un spermatozoide si on parle scientifiquement et d’autres choses aussi biensur, comme beaucoup d’amour souvent ou d’un accident ou de quelque chose de forcé. Et au départ on est minuscule, innocent et on va évoluer comme pourrait evoluer un effet papillon. Pour donner peut-être des choses terribles ou magnifiques. On pourrait imaginer par exemple se retouver devant le berceau de Elvis presley, ou celui du Che, ou celui de Gandhi, ou de Adolf Hitler, ou de Albert Einstein. Au tout départ je voulais faire juste un berceau vide avec le drap ayant les initiales A.E. comme Albert Einstein. Parce que c’est un exemple de personnage que je trouve assez ambigu. Un des savants les plus fameux du 20ème siècle, génie. Et finalement voilà, il a permis par ses découvertes la création de la bombe H C’est ce qu’il a engendré, malgré lui ou pas. Cette première idée était bien trop illustrative, et c’est pour cela que j’en suis venu à une forme plus plastique et voulue plus universelle avec ce drap s’élevant, sans savoir d’où il est poussé, et avec aucun enfant dans ce berceau. Voilà donc où je veux en venir avec ce berceau. C’est un objet sous tension qui suggère une narration, une réflexion, des sensations et des impressions diverses je pense.
“berceau”, bois, tissu, système lumineux, 80 x 80 x 80 cm, 2007
index Monnier Yves 78 route des celliers 38450 VIF France 06 88 51 76 90 yvesmon2003@yahoo.fr
Henry Emilie-Philomène emilie-henry@live.fr 06 14 70 37 92
line orciere
29 chemin du boutey 38560 Champ sur Drac France evalune@hotmail.fr
Aiguier Richard 2 place de l’étoile 38000 Grenoble
richard.aiguier@yahoo.fr
Voisenet Matthieu 24 rue Lafayette 38000 Grenoble matvoiz@yahoo.fr
Gonzales Virginie 24 rue Lafayette 38000 Grenoble
gonzalesvirginie@yahoo.fr
04 76 68 77 43
Clément Carrière Bastien Fessy 26 rue Imbert-collomès 1 Place Notre Dame 38000 Grenoble France bastien.carriere@orange.fr http://bastien.carriere.free.fr 0684140489
Pelleterat de Borde Miguel pelleteratdeborde@yahoo.fr
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Marion Deidda liguane24@yahoo.fr