CETTE SEMAINE: La décision sur les 'J' (en englais) p a g e 3 Le Carnival d'hiver p ag e 6 Une plante m ediocre p ag e 6 Succès pour les équipes d e natation p a g e 7 Le 'Sports Pit' Page 7
”On m'a catalogué comme extrémiste. Je suis peut-être extrémiste dans les moyens, mais pas dans l'idéologie." - Hans Marotte, 20 ans, étudiant à L'U de M, "héro" nationaliste.
Massimo Savino
"Pour nous, ce n’est pas un problème d'anglais contre français du tout. C'est strictement un problème de droit." - Stephen Nowell, propriétaire de la librairie Magnus, activiste des droits anglais.
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L a p o l i t i q u e d e l a m a r q u e 'J ' e n q u e s t i o n PAR SHANNON ALDINGER L’équité de la note de ‘J’ sur le dossier scolaire d’un étudiant ou d’une étudiante qui manque son examen est maintenant en question. La règle insiste que n’importe quel étudiant ou étudiante qui manque un examen sans une excuse valide, reçoit automatiquement la note de ‘J’ sur son bulletin scolaire. (Une excuse valide comprends seulement une raison medicale ou une affliction familiale. Un réveille-matin qui ne sonne pas le matin n’est pas une raison valide d’auprès l’administration universi taire.)
L’étudiant ou l’étudiante en ques tion peut écrire un examen supplementaaire mais ceci ne lui permets pas d’augmentersanote. Le J reste toujours sur le bulletin même après l’achève ment de l’examen supplémentaire, et est compté comme un zero sur la mo yenne scolaire. “Quoi qu’il y a des gens qui croient que la note J est mieux que la note F, je croix que cette règle est trop sévère”, à dit Maria Battaglia, Vice Présidente Affaires Universitaires de l’Associa tion des étudiant(e)s deMcGill (AEM). L’AEM a discuté la question de la note J à la dernière session du conseil générale, mais lesconseiller(ère)s n’ont
pas encore adopté une résolution. Battaglia admet que l’AEM est d’ac cord que la note de J est trop sévère et que l’application de la règle est incon sistant de Faculté en Faculté. Rob Steiner et Shahir Gundi, Con seillers du Sénat et de Droit respec tivement, ont proposé que chaque cas soit jugé individuellement. “Notre proposition concentrait sur l’idée de traiter chaque cas séparément. Nous avons suggéré que durant chaque période d’examen, le doyen de la fac ulté ou le président du département cré un comité à fin d’écouter les appel des étudiant(e)s qui ont reçu la note de J. Les membres décideront si
l’étudiant(e) pourra écrire un examen supplémentaire et être exempt du J, ou si il/elle recevera simplement la note J,” explique Steiner. “Il semblait avoir beaucoup d’appui pour cette idée”, dit-il. Steiner et Gundi ont fait cette propo sition avant la pause du Conseil. Lorsque c’est revenu, le quorum ne tenait plus donc une proposition offi cielle ne pouvait pas être passé. Battaglia a dit qu’elle était en faveur de cette proposition. Elle espère que les étudiant(e)s en ‘bonne foi’ seront exempt du zero qui accompagne un J. “Je n’ai pas trouvé une définition de ‘bonne foi’, ni formulé strictement le
reste car je voulais que l’AEM puisse décider pour sois-même les régies et les définitions”, explique Battaglia. Elle a questionné la note J pour la première fois l’année dernière lorsque l’ombusman remarqua que la règle n’était pas équitable. Battaglia a quesdonné un vice-président de l’univer sité qui lui a dit qu’il ‘regardera la situation’. En Novembre, elle a su que le vice-president en question n’a pas gardé sa promesse. Le Sénat a fait appel au Comité de procès académique (APPC) qui a organizé un sous-comité pour regardé la note de J. Ce comité pourra observer voyez page 3