9e festival du
film japonais 25 nov > 20 déc 2014 Île-de-France
— janvier 2015 Régions
contemporain 第9回 現代日本映画祭
kinotayo.fr Salles : Cinéma Gaumont Opéra Premier Maison de la culture du Japon à Paris Val-d’Oise
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édito Soucieux d’aller toujours plus loin dans la compréhension mutuelle entre la France et le Japon, cette 9e édition du festival Kinotayo sera l’occasion d’apprécier la créativité nippone. Comme chaque année, nous sommes heureux de pouvoir vous présenter une sélection de la production cinématographique japonaise. Les films en compétition pourront se voir attribuer le Soleil d’Or 2014, prix emblématique du festival. Pour cette édition, 18 films ont été sélectionnés pour mettre en exergue l’effervescence de talents du 7e art japonais. De l’émouvant documentaire The Horses of Fukushima à la tension poignante de FORMA, vous êtes invités à entrer dans un Japon sans tabou ni concession. Le festival débutera avec la projection de The Kingdom of Dreams and Madness au cinéma Gaumont Opéra Premier le 25 novembre, et le 28 novembre à la Maison de la culture du Japon à Paris avec La Maison au toit rouge de Yôji Yamada. Deux films de Seijun Suzuki seront projetés en hommage au talent de ce réalisateur incontournable, en partenariat avec Elephant Films. D’autres événements viendront également ponctuer le festival pour mettre en lumière les spécificités du cinéma japonais, avec notamment une table ronde sur la Nouvelle Vague autour du film JAPANSCOPE, panorama de la nouvelle Nouvelle Vague ou encore une séance spéciale dramas. D’autre part, nous aurons la visite de réalisateurs expérimentés et débutants qui seront peut-être les nouveaux noms du cinéma japonais de demain, tels que : Nobuhiro Yamashita (Tamako in Moratorium), Hideo Sakaki (Disregarded People), Yôju Matsubayashi (The Horses of Fukushima) et Kazuhiro Sôda (CAMPAIGN et CAMPAIGN 2) venus présenter leurs films dans le cadre du festival. Enfin le festival se clôturera par la projection de Beautiful New Bay Area Project de Kiyoshi Kurosawa, après la cérémonie de remise des prix. Cette 9e édition du Festival Kinotayo a été rendue possible grâce au soutien de nos nombreux partenaires et mécènes, et aux efforts de notre équipe de bénévoles qui ont participé à sa conception et à sa préparation. En mon nom et au nom de notre association, je vous souhaite la bienvenue à la 9e édition de Kinotayo.
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Kiyoji Katakawa Président de l’Association Kinotayo
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intro
Action ! Le festival Kinotayo a pour objectif la promotion du cinéma japonais en France qui apporte une autre perspective sur des problèmes de société qui nous sont pourtant communs. C’est donc avec cette volonté de présenter un panorama du cinéma japonais d’aujourd’hui que chaque année depuis 9 ans, une dizaine de films produits depuis moins de 18 mois et surtout inédits en France sont choisis pour les projeter dans le cadre du festival et ainsi faire découvrir au public français la richesse du 7e art japonais. Le festival Kinotayo commence le 25 novembre à Paris pour une durée d’un mois. Il est aussi représenté en Île-de-France puis en région tout au long du mois de janvier 2015.
Ce que vous ne savez peut-être pas. C’est vous qui choisissez, en votant à la fin des séances, le film qui gagnera le Soleil d’Or (en japonais “Kin no taiyou”), alors n’hésitez pas à donner votre avis. Parallèlement deux autres prix sont décernés par des jurys professionnels, le prix de la Presse et le prix Canon de la Meilleure Photographie. Au-delà du festival, l’association Kinotayo œuvre toute l’année afin de faciliter la distribution des films japonais en France. En effet, dans la majorité des cas, c’est l’association Kinotayo qui prend en charge la traduction, le sous-titrage et la post production des films sélectionnés. Entrez dans la salle et laissez-vous transporter, le temps d’un film, dans l’univers unique et décalé du cinéma japonais. Bonne(s) séance(s) !
sommaire Cérémonie d’ouverture
Cérémonie de clôture
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The Kingdom of Dreams and Madness de Mami Sunada
Hommage à Seijun Suzuki
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Beautiful New Bay Area Project de Kiyoshi Kurosawa
Films en compétition
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La Jeunesse de la bête La Marque du tueur
Hors compétition
Campaign et Campaign 2 de Kazuhiro Sôda
16
JAPANSCOPE Panorama de la nouvelle Nouvelle Vague de Philippe-Emmanuel Sorlin
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Backwater de Shinji Aoyama
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Disregarded People de Hideo Sakaki
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Forma de Ayumi Sakamoto
Sapporo Olympiades 1972 de Masahiro Shinoda
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La Maison au toit rouge de Yôji Yamada
Touching the Skin of Eeriness de Ryûsuke Hamaguchi
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Seventh Code de Kiyoshi Kurosawa
Tamako in Moratorium de Nobuhiro Yamashita
The End of the Special Time We Were Allowed de Shingo Ôta
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The Horses of Fukushima de Yôyu Matsubayashi
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The Light Shines Only There de Mipo Ô
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autour des séances
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Table ronde autour de la Nouvelle Vague
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Séance spéciale dramas GTO 2014 et Gokuaku Ganbo
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réalisateurs invités
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Infos pratiques
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Partenaires
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cérémonie d’ouverture
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· mar 25 nov 19h30 > Gaumont opéra premier
Beautiful New Bay Area Project
The Kingdom of Dreams and Madness Née en 1978, Mami Sunada a étudié la création de documentaires à l’université de Keiô et a ensuite été assistante réalisatrice auprès de différents metteurs en scène dont Hirokazu Kore-eda. Pour le premier documentaire qu’elle a réalisé, Death of a Japanese Salesman, Mami Sunada a choisi de retracer les derniers jours de son père, malade du cancer. Le film a été couronné par de nombreux prix du premier film et a remporté le Soleil d’Or de la presse au festival Kinotayo en 2012. Le nouveau film du Studio Ghibli, Souvenirs de Marnie (When Marnie was There) de Hiromasa Yonebayashi sortira le 14 janvier 2015 en France.
夢と狂気の王国 砂田麻美
— Réalisé par Mami SUNADA | 118 MIN | sortie 2013 | VOSTFR | DCP
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Kiyoshi Kurosawa
Mami Sunada
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Né en 1955 à Kôbe, Kiyoshi Kurosawa est la figure de proue de la « Nouvelle Vague » ayant émergé au Japon dans les années 90. Fortement marqué dans son enfance par la série B horrifique italienne et le cinéma d’action hollywoodien des années 70, il commence à réaliser ses premiers films en 8 mm alors qu’il étudie la sociologie à l’université de Rikkyô, où il suit les cours de cinéma de l’influent critique Shigehiko Hasumi. Assistant de Kazuhiko Hasegawa et Shinji Sômai, il fait ses débuts professionnels dans le cinéma pink avec Kandagawa Wars (1983). Dans les années 90 il travaille principalement pour la télévision et le marché de la location vidéo, naviguant entre les genres (yakuza, horreur, policier, comédie), il réalise pas moins de 25 longs métrages avant d’obtenir la reconnaissance internationale avec le thriller Cure (1997). Il s’affirme dès lors comme un véritable auteur dont les films sont montrés dans les plus grands festivals : License to Live (Berlin), Vaine Illusion (Venise), Charisma, Jellyfish et Tôkyô Sonata (Cannes). Il contribue parallèlement à rénover le film de fantômes moderne avec des films comme Séance, Kaïro, Loft ou Rétribution.
Une comédie noire sur fond de kung-fu, signée par l’inimitable Kiyoshi Kurosawa. Yôko, la belle dockeuse, est maître de kung-fu, ce qu’est bien loin d’imaginer son admirateur effronté. Le jeune homme était sur le point de mettre fin à ses jours lorsqu’il la remarque. Mais lorsqu’il essaie de l’impressionner avec de l’argent et en se comportant de façon inappropriée, Yôko lui montre alors son vrai visage.
The Kingdom of Dreams and Madness est une fascinante plongée au cœur du monde fantastique et fou des créateurs du Studio Ghibli… C’est à ce studio d’animation japonais réputé dans le monde entier que l’on doit quelques-uns des plus beaux bijoux du 7e art, tour à tour réalistes et oniriques, poétiques et puissants. Toutes ces créations ont constitué de véritables événements, comme Le Voyage de Chihiro, le plus gros succès de l’histoire du cinéma au Japon, mais aussi Mon voisin Totoro, Le Tombeau des lucioles, Porco Rosso, Princesse Mononoké, Mes voisins les Yamada, Le Château ambulant, Les Contes de Terremer, Ponyo sur la falaise, La Colline aux coquelicots... ou plus récemment Le Vent se lève et Le Conte de la princesse Kaguya. Remarquables tant par leur qualité technique que par celle de leurs histoires, les créations du Studio Ghibli sont marquées par une identité particulière : chaque nouveau film du Studio Ghibli est une œuvre à part entière. The Kingdom of Dreams and Madness vous ouvre les portes du fameux studio et vous invite à découvrir sa magie de l’intérieur…
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· sam 20 déc 20h00 > MCJP
© 2014 Hatake Jimusho GNDHDDTK
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cérémonie de clôture
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© Huit Lab. Co. Ltd
ビューティフル・ニュー・ベイエリア・プロジェクト 黒沢 清
— RÉALISÉ PAR KIYOSHI KUROSAWA | AVEC MAO MITA, TASUKU EMOTO, JINSEI MORISHITA | sortie 2013 | 29 MIN | VOSTFR/A | HDCAM
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en compétition · sam 29 nov · jeu 4 déc · jeu 11 déc · jeu 18 déc
12h55 20h30 17h30 17h30 15h00
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· jeu 27 nov 19h40 > Gaumont opéra premier · mer 10 déc 15h00 > MCJP · jeu 18 déc 20h15 > MCJP En présence du réalisateur · ven 19 déc 14h30 > MCJP En présence du réalisateur
> Gaumont opéra premier > MCJP > MCJP > MCJP > MCJP
Yûsuke Mamiana, un homme d’âge moyen, arrive dans une ville portuaire de campagne. Laid et antipathique, ses affaires ne marchent pas et ses relations avec les gens sont tout aussi chaotiques. N’ayant nulle part où aller, il retourne dans sa ville natale où il a été abandonné très jeune par ses parents. Personne ne se souvient de lui et tous le regardent avec suspicion. Seule Kyôko semble avoir de l’affection pour lui. Cette jeune femme au visage marqué cherche un peu d’amour dans cet homme déchiré. Ne sachant comment réagir, Yûsuke répond par le sexe et la violence. Bien qu’elle soit dégoûtée par lui, Kyôko continue malgré tout à le voir car elle se sent enfin traitée comme une femme désirable.
© 2012 SHINYA TANAKA, SHUEISHA / THE BACKWATER FILM PARTNERS
Shinji Aoyama
Shinji Aoyama est né en 1964 à Kitakyûshû où il y réalisera Helpless (1996), son premier long métrage de cinéma. Après des études à l’université de Rikkyô, où il suit les cours du critique et théoricien Shigehiko Hasumi et s’essaye à la réalisation de courts métrages en 8 mm ; il travaille comme assistant de son camarade Kiyoshi Kurosawa et de Daniel Schmid. C’est avec Eureka, Prix de la Critique au Festival de Cannes en 2000 qu’il s’impose sur la scène internationale où la plupart de ses films suivants seront montrés : Desert Moon (2001), La Forêt sans nom (2002), Eli, eli, lema sabachthani? (2005), Crickets (2006), Sad Vacation (2007) et Tôkyô Park (2011), Léopard d’Or spécial du jury à Locarno. Également scénariste, dialoguiste, monteur, compositeur de musique, critique, écrivain ainsi que metteur en scène de théâtre, il est considéré comme l’une des figures cardinales de ladite « Nouvelle Vague » du cinéma japonais apparue dans les années 90.
Tôma, 17 ans, vit dans une ville isolée au bord d’une rivière, avec son père et sa maîtresse Kotoko. Il rend souvent visite à sa mère, Jinko, lui amenant des poissons de la rivière. Tôma lutte contre ses démons sexuels. Tout comme son père qui abuse de sa maîtresse, il ne peut retenir ses pulsions. C’est ainsi que sa relation avec son amie d’enfance, Chigusa, prend fin brusquement. Au même instant, Kotoko, enceinte, s’enfuit de la maison. Fou de rage, le père de Tôma part à sa recherche et tombe nez à nez avec Chigusa dans un sanctuaire où la jeune femme attend Tôma pour se réconcilier avec lui.
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共喰い
青山真治
— Réalisé par Shinji AOYAMA | avec Masaki SUDA, Misaki KINOSHITA, Yukiko SHINOHARA, Ken MITSUISHI, Yûko TANAKA | sortie 2013 | 102 min | VOSTFR | DCP | Interdit aux moins de 15 ans
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Né à Nagasaki en 1970, Hideo Sakaki débute au cinéma comme acteur dans Cette fenêtre est à toi (1993), premier long métrage de Tomoyuki Furumaya. Parallèlement, il entame une carrière de réalisateur avec le court métrage ’R’unch Time (1999) sélectionné au Indie’s Movie Festival de Tôkyô, où il fait la connaissance de Ryûhei Kitamura qui lui offre les rôles principaux du cultissime Versus l’ultime guerrier (2000), puis de Alive (2002). Il joue dans la plupart des films du réalisateur et l’on peut également le voir à l’affiche de The Choice of Hercules (2002) de Masato Harada et Year One in the North (2005) d’Isao Yukisada. En 2007 il fait ses débuts dans le cinéma commercial avec Grow (2007). Disregarded People est son 5e long métrage. Tourné dans sa ville natale, sur les îles Gotô au large de Nagasaki, il a été présenté au 26e Festival international du film de Tôkyô.
Disregarded People
Backwater
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en compétition
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Hideo Sakaki
© 2012 “Disregarded People” film partners
捨てがたき人々 榊英雄
— Réalisé par Hideo SAKAkI | avec Nao ÔMORI, Hitomi MIWA, Jun MIHO, Tomorowo TAGUCHI, Kenichi TAKITÔ, Chika UCHIDA, YÔZABURO ITÔ | sortie 2014 | 123 min | VOSTFR | DCP | Interdit aux moins de 18 ans
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en compétition ·d im 30 nov · mar 9 déc · sam 13 déc · mar 16 déc
12h10 17h30 20h30 17h00
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Née à Kumamoto en 1981, Ayumi Sakamoto monte à Tôkyô après le bac afin de devenir réalisatrice, fortement marquée par la découverte du cinéma iranien et européen (Haneke). Elle commence à travailler comme assistante dans un studio de réalisation de films publicitaires et rencontre Keisuke Yoshida, éclairagiste et collaborateur de Shinya Tsukamoto, grâce auquel elle rejoint l’équipe du cinéaste en tant qu’assistante éclairagiste sur Snake of June (2002) et Vital (2004). Parallèlement elle entame l’écriture de son premier long métrage en collaboration avec Ryô Nishihara. Après un long processus de création qui durera 6 ans, Forma voit enfin le jour et obtient une reconnaissance critique sur la scène internationale avec le prix Fipresci à la 64e Berlinale ainsi que le prix du meilleur film japonais au Festival international du film de Tôkyô 2013.
> MCJP > Gaumont opéra premier > l’orangerie > l’antarès > MCJP
La Maison au toit rouge
Ayumi Sakamoto
Né en 1931 à Toyonaka (préfecture d’Ôsaka) Yôji Yamada est le vétéran du cinéma japonais. Il entre aux studios Shôchiku en 1954 où il devient assistant de Yoshitarô Nomura pour lequel il signe plusieurs scénarios. Il fait ses débuts en 1961 avec la comédie L’Étranger du premier étage. Il est surtout connu pour avoir créé le personnage de Tora-san qui donnera naissance à la plus longue série de l’histoire du cinéma (48 films de 1969 à 1995), grâce au succès de laquelle il devient le pilier du studio. Il obtient à quatre reprises le prix du meilleur film décerné par l’Académie du Cinéma Japonais pour Les Mouchoirs jaunes du bonheur (1977), Le Fils (1991), L’École (1993) et Le Samouraï du crépuscule (2002), lequel est nominé pour le 76e Oscar du meilleur film étranger. Cinéaste populaire à succès, Yôji Yamada perpétue depuis plus d’un demi-siècle l’héritage du style d’Ôfuna de la Shôchiku, caractérisé par la sentimentalité de ses comédies et drames domestiques emplis d’une compassion bienveillante. La Maison au toit rouge, son 82e film, a remporté le prix d’interprétation féminine à la dernière Berlinale.
© kukuru inc.
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Forma — Réalisé par Ayumi SAKAMOTO | avec Emiko MATSUOKA, Nagisa UMENO, Seiji NOZOE, Ken MITSUISHI, Ryô NISHIHARA | sortie 2014 | 145 min | VOSTFR | DCP
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Yôji Yamada
Japon, 1936. Taki quitte sa campagne natale pour travailler comme bonne dans une petite maison bourgeoise en banlieue de Tôkyô. C’est le paisible foyer de Tokiko, son mari Masaki et leur fils de 6 ans. Mais quand Itakura, le nouveau collègue de Masaki, rentre dans leurs vies, Tokiko est irrésistiblement attirée par ce jeune homme délicat et Taki devient le témoin de leur amour clandestin. Alors que la guerre éclate, elle devra prendre une terrible décision. Soixante ans plus tard, à la mort de Taki, son petit neveu Takeshi trouve dans ses affaires une enveloppe scellée qui contient une lettre. Il découvre alors la vérité sur ce secret si longtemps gardé. Sortie prévue en France le 1er avril 2015.
坂本あゆみ
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© Pyramide Distribution
Forma
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en compétition
· ven 28 nov 19h30 Film d’ouverture · mar 2 déc 19h50 · mer 3 déc 21h00 · sam 6 déc 10h00 · jeu 11 déc 20h00
> Gaumont opéra premier > MCJP > MCJP > MCJP
Un soir, en rentrant chez elle, Ayako Kaneshiro retrouve une ancienne camarade d’école Yukari Hosaka. La voyant en difficulté, Ayako l’invite à travailler dans sa société, ce que Yukari accepte rapidement. Mais, tout d’un coup, Ayako devient très froide avec elle. Son comportement étrange met Yukari de plus en plus mal à l’aise. Afin de comprendre d’où vient cette haine grandissante, Ayako décide de mettre cartes sur table. Quels mensonges se cachent derrière cette machination ?
Film d’ouverture à la Maison de la culture du Japon à Paris
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小さいおうち 山田洋次
— Réalisé par Yôji YAMADA | avec Takako MATSU, Haru KUROKI, Takatarô KATAOKA, Hidetaka YOSHIOKA, Satoshi TSUMABUKI, Chieko BAISHÔ | sortie 2014 | 136 min | VOSTFR | DCP | Tous publics
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en compétition · ven 28 nov · sam 29 nov · mer 3 déc · ven 12 déc · mer 17 déc
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21h40 > Gaumont opéra premier 18h00 > MCJP 19H20 > l’orangerie 20h00 > MCJP 15h00 > MCJP
· ven 28 nov 19h50 > Gaumont opéra premier · dim 30 nov 10h10 > Gaumont opéra premier · mer 3 déc 14h30 > l’orangerie · sam 13 déc 16h00 > l’antarès · jeu 18 déc 18h00 > MCJP En présence du réalisateur · ven 19 déc 20h30 > MCJP En présence du réalisateur
Après avoir terminé ses études à l’université, Tamako retourne dans sa ville natale. Elle s’installe chez son père, responsable d’un magasin d’équipement de sport. Mais elle n’aide pas au magasin et ne participe pas aux travaux ménagers. Elle passe ses journées à manger, faire la sieste, jouer aux jeux vidéo ou lire des mangas. Son père ne cautionne pas la vie qu’elle mène, mais ne peut s’empêcher de continuer à la couver. Pourtant, peu à peu, au fil des saisons et au contact de son père et de ses proches, l’esprit et l’attitude de Tamako commencent à changer.
© 2013 AKS
Kiyoshi Kurosawa
Né en 1955 à Kôbe, Kiyoshi Kurosawa est la figure de proue de la « Nouvelle Vague » ayant émergé au Japon dans les années 90. Fortement marqué dans son enfance par la série B horrifique italienne et le cinéma d’action hollywoodien des années 70, il commence à réaliser ses premiers films en 8 mm alors qu’il étudie la sociologie à l’université de Rikkyô, où il suit les cours de cinéma de l’influent critique Shigehiko Hasumi. Assistant de Kazuhiko Hasegawa et Shinji Sômai, il fait ses débuts professionnels dans le cinéma pink avec Kandagawa Wars (1983). Dans les années 90 il travaille principalement pour la télévision et le marché de la location vidéo, naviguant entre les genres (yakuza, horreur, policier, comédie), il réalise pas moins de 25 longs métrages avant d’obtenir la reconnaissance internationale avec le thriller Cure (1997). Il s’affirme dès lors comme un véritable auteur dont les films sont montrés dans les plus grands festivals : License to Live (Berlin), Vaine Illusion (Venise), Charisma, Jellyfish et Tôkyô Sonata (Cannes). Il contribue parallèlement à rénover le film de fantômes moderne avec des films comme Séance (2000), Kaïro (2001), Loft (2005) ou Rétribution (2006). Il est également l’auteur d’ouvrages critiques et enseignant en cinéma.
Vladivostok, Russie. Akiko est à la recherche de Matsunaga, un homme d’affaires qu’elle n’arrive pas à oublier depuis qu’ils ont passé une soirée ensemble. Le retrouvant enfin, Matsunaga, qui ne se souvient pas d’elle, lui dit de ne faire confiance à personne dans ce pays étranger et disparaît à nouveau. Réussissant à se faire embaucher dans un restaurant tenu par un expatrié japonais, Akiko passe son temps à scruter la rue jusqu’à ce qu’elle voie Matsunaga passer. S’ensuit une filature à travers la ville jusqu’à une usine désaffectée où Akiko l’aperçoit en train de faire des affaires avec la mafia locale...
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Seventh Code セブンスコード 黒沢清
— Réalisé par Kiyoshi KUROSAWA | avec Atsuko MAEDA, Ryôhei SUZUKI, Aissy, Hiroshi YAMAMOTO | sortie 2013 | 60 min | VOSTFR | DCP | Tous publics
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Né en 1976, Nobuhiro Yamashita étudie le cinéma à l’université des Beaux-Arts d’Ôsaka, d’où sont issus plusieurs cinéastes indépendants reconnus, tels que Kazuyoshi Kumakiri, dont il sera l’assistant sur son film de fin d’études Le Banquet des bêtes (1997). Il y rencontre notamment Kôsuke Mukai, talentueux scénariste avec qui il coécrit la plupart de ses films. Parfois comparé à Jim Jarmusch ou Aki Kaurismaki pour ses portraits de jeunes marginaux à la dérive dans une veine intimiste, Nobuhiro Yamashita se fait remarquer au Japon par sa trilogie d’Ôsaka à l’humour absurde et pince-sans-rire avec Hazy Life (1999), No One’s Ark (2002) et Ramblers (2003) ; tous tournés dans la région et interprétés par Hiroshi Yamamoto, acteur fétiche et alter-égo du cinéaste. Mais c’est à partir de son 5e long qu’il obtient le succès commercial avec Linda Linda Linda (2005) et quitte Ôsaka pour s’installer à Tôkyô. Tamako in Moratorium est son 10e long métrage et sa seconde collaboration avec l’actrice Atsuko Maeda après The Drudgery Train (2012).
Tamako in Moratorium
Seventh Code
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Nobuhiro Yamashita
© 2013 “Tamako in Moratorium” Film Partners
もらとりあむタマ子 山下敦弘
— Réalisé par Nobuhiro YAMASHITA | avec Atsuko MAEDA, Suon KAN, Seiya ITÔ, Keiichi SUZUKI, Kumi NAKAMURA, Yasuko TOMITA | sortie 2013 | 78 min | VOSTFR | DCP
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en compétition · sam 29 nov · ven 5 déc · mer 17 déc
10h30 15h00 17h00 17h00
· lun 1er déc 19h30 > Gaumont opéra premier En présence du réalisateur · mar 2 déc 20h00 > MCJP En présence du réalisateur · mer 3 déc 17h30 > MCJP En présence du réalisateur · jeu 11 déc 15h00 > MCJP · ven 12 déc 17h30 > MCJP
> Gaumont opéra premier > MCJP > MCJP > MCJP
Personne n’aurait pu prédire le terrible destin de Mirror’s Quest et ces chevaux de Fukushima en mars 2011. Échappant de peu au tsunami et exposés aux radiations dans le périmètre de 20 km autour de la centrale nucléaire, l’écurie s’est retrouvée abandonnée pendant des semaines sans nourriture. Condamnés à être euthanasiés, les chevaux ont survécu grâce au rôle primordial qu’ils jouent dans le grand festival annuel équestre qui existe depuis plus de 1000 ans. L’avenir de cette écurie est devenu un véritable casse-tête pour les autorités et pour la société de viande chevaline voisine. Ironiquement, la catastrophe nucléaire aura permis aux chevaux de Fukushima de vivre plus longuement, sans crainte d’être abattus.
The End of The Special Time We Were Allowed © Midnight Call Production
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Né en 1979 à Fukuoka, Yôju Matsubayashi entreprend en 1999 de parcourir l’Asie en routard avant d’intégrer l’Académie Japonaise des Arts Visuels (fondée par Imamura) où il suit notamment l’enseignement du documentariste Kazuo Hara (L’Armée de l’Empereur s’avance). En 2004 il tourne son film de fin d’études Dear Respectful Humans sur un sans-abri du quartier de Shinjuku. Cinéaste résolument engagé, il débute sa carrière comme assistant reporter d’image et couvre des zones de conflits (Afghanistan, Indonésie). Fortement marqué par la découverte des documentaires d’Imamura, il achève son premier long en 2009 avec Fleurs et troupes primé au Japon, dans lequel il part recueillir la parole d’anciens soldats de l’armée impériale demeurés en Birmanie. Son film suivant Fukushima, mémoires d’un paysage perdu (2011) qui va à la rencontre des réfugiés est primé au Festival International Jean Rouch. The Horses of Fukushima, son dernier documentaire, composant un projet de trilogie sur la catastrophe, se tourne vers le sort de chevaux contaminés par les radiations.
The Horses of Fukushima
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Yôju Matsubayashi
Shingo Ôta
Né en 1985 à Nagano, Shingo Ôta commence à réaliser des films indépendants alors qu’il suit des cours à l’université de Waseda (Tôkyô). Son film de fin d’études Graduation (2009), documentaire tourné dans un style improvisé et sans scénario qui décrit le quotidien d’un jeune en retrait social (hikikomori), obtient le prix du public et un prix d’excellence au Image Forum Festival en 2010. La même année il tourne Kids and Grownups, un making-off de Hospitalité de Kôji Fukada, présenté au Festival du film asiatique d’Ôsaka. The End of the Special Time We Were Allowed qui documente sur une période de 7 ans la vie d’un ami proche suicidé, a été sélectionné au Festival International du Documentaire de Yamagata en 2013. Les films de Shingo Ôta sont des odes à l’humain, dépeignant l’existence humaine entre réalité et fiction, excès et humour. Basé à Yokohama depuis 2009 il se produit également au théâtre avec la troupe Chelfitsch fondée par l’auteur dramatique et metteur en scène Toshiki Okada.
Ce documentaire retrace les derniers jours de la vie du musicien Sôta Masuda. Très talentueux, il remporte un concours musical à l’âge de 17 ans. Mais tout s’écroule lorsque les membres de son groupe entrent à l’université. Il déménage à Tôkyô et plonge rapidement dans la drogue pour tromper son mal-être. Après avoir frôlé la mort, il retourne dans sa ville natale. Ses amis sont prêts à reprendre la musique, mais juste pour s’amuser. Masuda rêve de professionnalisme et s’éloigne, peu à peu, de ses proches. Ses fans également semblent être moins nombreux. Suivi par une caméra pour un documentaire, Masuda met fin à ses jours avant que le tournage ne se termine.
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en compétition
わたしたちに許された特別な時間の終わり 太田信吾
— Réalisé par Shingo ÔTA | avec SÔTA MASUDA, Kurando TOMINAGA, Shingo ÔTA | sortie 2014 | 121 min | VOSTFR | DCP
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祭の馬
松林要樹
— Réalisé par Yôju MATSUBAYASHI | sortie 2013 | 74 min | VOSTFR | DCP
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© 2013 The Horses of Fukushima Production Committee
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en compétition · mer 26 nov · mer 3 déc · mer 17 déc · ven 19 déc
19h40 15h00 20h00 17h30
hommage à Seijun Suzuki La Jeunesse de la bête · mar 2 déc 17h30 > MCJP Introduction par Charles Tesson · mer 10 déc 20h00 > MCJP Introduction par Charles Tesson
> gaumont opéra premier > MCJP > MCJP > MCJP Mipo Ô est née en 1977 dans la préfecture de Mie. Après avoir été diplômée de l’université des Beaux-Arts d’Ôsaka elle intègre la société de production du réalisateur Nobuhiko Ôbayashi (House, La Nouvelle de la classe) en tant que scénariste. Elle signe plusieurs courts métrages primés comme Eye, sélectionné au festival Short Short Film en 2002 et Harmony, Grand Prix de la section Digital Short au Festival du Film Fantastique de Tôkyô. Elle se lance dans son premier long métrage avec The Sakai’s Happiness (2006), suivi de Here Comes the Bride, My Mom! pour lequel elle remporte le prix Kaneto Shindô en 2010. Son 3e film The Light Shines Only There est la seconde adaptation d’une œuvre de l’auteur suicidé Yasushi Satô après Sketches of Kaitan City de Kazuyoshi Kumakiri. Il a été récemment présélectionné par le Japon pour concourir à l’Oscar du meilleur film étranger.
Suite à un accident, Tatsuo ne travaille plus. Depuis, il vit au jour le jour, sans but. Un jour, il fait la connaissance de Takuji, un garçon grossier mais attachant, à qui il donne son briquet. En retour, Takuji l’invite chez lui, une vieille baraque laissée à l’abandon où il vit avec Chinatsu, sa sœur aînée et ses deux parents. Tatsuo et la jeune femme se sentent attirés l’un vers l’autre et se rapprochent peu à peu. Mais Tatsuo est loin d’imaginer la vie sordide que mène Chinatsu pour subvenir aux besoins de sa famille. Malgré tout, l’amour que lui porte Tatsuo reste inébranlable. Grâce à elle, il reprend le goût à la vie et sent que la chance lui sourit de nouveau. Jusqu’au jour où un nouvel incident survient.
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En partenariat avec Elephant Films
The Light Shines Only There Mipo Ô
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La Marque du tueur · jeu 4 déc 20h00 > MCJP Introduction par Charles Tesson · mer 10 déc 17h30 > MCJP Introduction par Charles Tesson
Sortie en DVD/Blu-ray chez Elephant Films le 18 novembre 2014.
© 1963 Nikkatsu Corporation All rights reserved
La Jeunesse de la bête
Jô joue un jeu dangereux : afin de venger la mort d’un de ses amis, le détective accumule les délits en se faisant passer pour un vulgaire voyou. Conformément à ses attentes, les yakuzas le recrutent rapidement et il intègre le gang qu’il veut détruire en semant la discorde de l’intérieur. Un plan machiavélique se met en place alors que le massacre commence.
© 1967 Nikkatsu Corporation All rights reserved
La Marque du tueur
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Le tueur numéro 3 devient la cible de ses commanditaires après avoir raté un contrat. Alors qu’il se défait sans mal des hordes d’assassins envoyés à sa suite, il trouve le réconfort auprès de ses maîtresses. Mais le défi ultime s’annonce quand le mystérieux tueur numéro 1, dont personne de vivant n’a jamais vu le visage, se met également à ses trousses.
Pop, excessif, iconoclaste, baroque, excentrique, imprévisible… le cinéma de Seijun Suzuki, enfant terrible de la Nikkatsu, s’amuse à subvertir et parodier les codes du style Nikkatsu Akushon (pour action) ; des inventions formelles de La Jeunesse de la bête à son chef-d’œuvre avant-gardiste La Marque du Tueur, responsable de son renvoi du studio en 68. Ressuscité dans les années 80 (Mélodie tzigane), il connaîtra une reconnaissance tardive en Occident dans les années 90. Charles Tesson est critique et historien du cinéma. Il dirige Les Cahiers du Cinéma entre 1998 et 2003. Auteur de nombreux ouvrages sur le cinéma, il est nommé en 2011 directeur général de La Semaine de la Critique à Cannes et enseigne l’esthétique et l’histoire du cinéma à l’université Sorbonne Nouvelle Paris III.
© Yasushi Sato/ ”The Light Shines Only There” Production committee
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そこのみにて光輝く 呉美保
— Réalisé par Mipo Ô | avec Gô AYANO, Chizuru IKEWAKI, Masaki SUDA, Kazuya TAKAHASHI, Shôhei HINO, Hiroko ISAYAMA, TAIJIRÔ TAMURA | sortie 2014 | 120 min | VOSTFR | DCP | Interdit aux moins de 15 ans
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野獣の青春
殺しの烙印
— Réalisé par SEIJUN SUZUKI | avec Joe SHISHIDO, Misako WATANABE, Tamio KAWAJI | sortie 1963 91 min | VOSTFR | Blu-Ray | PUBLIC AVERTI
— Réalisé par SEIJUN SUZUKI | avec Joe SHISHIDO, Kôji NANBARA, Annu MARI, Mariko OGAWA, Isao TAMAGAWA sortie 1967 | 91 min | VOSTFR | Blu-Ray | Public averti
鈴木清順
鈴木清順
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hors compétition Campaign · ven 3 déc 20h00 > MCJP En présence du réalisateur (sous réserve) · sam 13 déc 15h00 > MCJP
· sam 6 déc 16h00 > MCJP Suivi d’une table ronde avec le réalisateur Philippe-Emmanuel Sorlin, Jean-Pierre Limosin et Stephen Sarrazin, animée par Clément Rauger
Campaign 2 · lun 1er déc 21h15 > gaumont opéra premier En présence du réalisateur (sous réserve) · ven 5 déc 20h30 > MCJP En présence du réalisateur (sous réserve) · sam 13 déc 17h30 > MCJP
Kazuhiro Sôda est né en 1970 à Ashikaga. Diplômé de l’université de Tôkyô, il s’installe à New York en 1993 afin d’étudier le cinéma de fiction à l’École des Arts visuels de New York. Après son diplôme il commence à travailler dans la réalisation de documentaires TV pour la chaîne NHK, avant de se consacrer au documentaire de cinéma avec CAMPAIGN, chronique tragi-comique d’un candidat parachuté aux municipales. Marqué par la découverte de Frederick Wiseman et puisant aux sources du « cinéma direct », il construit une œuvre de décryptage de la société contemporaine japonaise à travers ses « films d’observation » qui en font le fer de lance du documentaire japonais. Après MENTAL qui observe l’isolement de patients atteints de maladie mentale, il réalise Théâtre 1/2, portrait d’un dramaturge et metteur en scène japonais. CAMPAIGN 2 tourné quelques semaines après la catastrophe de Fukushima est son 5e « film d’observation ».
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© Balthazar Maisch
Dans la collection « Cinéma, de notre temps (Domaine japonais 3) »
Japanscope
Campaign 2
Philippe-Emmanuel Sorlin
© 2006 Laboratory X, Inc.
© 2013 Laboratory X, Inc.
Yama-san dispose du soutien du Premier Ministre Junichirô Koizumi pour les élections au conseil de la ville de Kawasaki. Mais il ne possède aucune expérience politique et n’a aucun charisme. Ce documentaire dans le style cinémavérité suit une campagne électorale houleuse et tente de mettre en exergue la véritable nature de la « démocratie ».
Après la catastrophe de Fukushima, Yama-san conduit sa campagne électorale en portant un message anti-nucléaire. Mais, cette fois-ci, il se présente sans soutien politique. Il n’a pas de moyen et dispose de très peu de temps pour sa campagne. Ce documentaire s’intéresse à l’aprèsFukushima à travers un microcosme du paysage politicopsychologique du Japon.
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選挙
— Réalisé par Kazuhiro Sôda | avec KAZUHIKO YAMAUCHI, SAYURI YAMAUCHI, JUNICHIRÔ KOIZUMI, YORIKO KAWAGUCHI | sortie 2007 | 120 MIN | VOSTFR | Digibeta
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Panorama de la nouvelle Nouvelle Vague
Kazuhiro Sôda
想田和弘
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hors compétition
選挙2
想田和弘
— Réalisé par Kazuhiro Sôda | AVEC KAZUHIKO YAMAUCHI, SAYURI YAMAUCHI, YÛKI YAMAUCHI sortie 2013 | 149 MIN | VOSTFR | DCP
Philippe-Emmanuel Sorlin et André S. Labarthe dressent un panorama autour d’une demi-douzaine de cinéastes vétérans rencontrés à Tôkyô. Ce film revient sur la période des années 1990-2000, qui fut au Japon le moment convergent d’une incroyable énergie. Une immense richesse cinématographique, tant par l’émergence de nouveaux cinéastes originaux en grand nombre, que dans leurs profondes connaissances cinéphiles, et aussi dans leur disposition esthétique à inventer une modernité dont ils firent tous l’argument politique de leurs films. Cela les rapproche incontestablement de la Nouvelle Vague française des années 1960. Une nouvelle « Nouvelle Vague » était née au Japon en 1990, malgré l’origine et le parcours très divers de tous ces cinéastes rencontrés.
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Poète et cinéaste, amoureux à ses heures perdues, Philippe-Emmanuel Sorlin a commencé il y a vingt ans simultanément par des films expérimentaux vidéos (Ars exilum mundi, Vidéoformes Clermont-Ferrand 1991) et des fictions en support cinéma 16 & 35 (J’imagine le froid, Grand Prix de Dresde en 1992, Commerce sélection Clermont-Ferrand 2001). Il a fondé Eden out Éditions, une auto-édition sans dépôt légal de livres de crobars, de collages pornos ainsi que d’autres sujets stratosphériques. Il est chargé de cours sur l’Histoire du cinéma japonais à l’université de Saint-Denis Paris VIII. Son premier long métrage Les Filles du feu a sa sortie prévue début 2015.
— Réalisé par Philippe-Emmanuel SORLIN AVEC HISAYASU SATÔ, TAKEHISA ZEZE, KIYOSHI KUROSAWA, SHINJI AOYAMA, TAKENORI SENTÔ, SHINYA TSUKAMOTO, GAKURYÛ ISHII | sortie 2014 | 60 min | VOSTFR | Blu-Ray
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hors compétition
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© 2014 Comité International Olympique – tous droits réservés
Touching the Skin of Eeriness
Masahiro Shinoda
札幌オリンピック 篠田正浩
— Réalisé par Masahiro SHINODA | sortie 1972 | 167 min | VOSTFR | DCP | tous publics
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Ryûsuke Hamaguchi
Masahiro Shinoda est né en 1931 dans la préfecture de Gifu. Diplômé de l’université de Waseda, il entre aux studios Shôchiku en 1953 en tant qu’assistant réalisateur. En 1960, il fait ses débuts de réalisateur avec One-Way Ticket for Love. La même année, il réalise Dry Lake d’après le scénario de Shûji Terayama et grâce au style libre de ce film, il est considéré comme une des figures de la « nouvelle vague Shôchiku » au même titre que Nagisa Ôshima et Kijû Yoshida. En 1967, il fonde Hyôgensha, société de production indépendante, avec Shima Iwashita qui est son épouse et actrice. Double suicide à Amijima est invité à la Mostra de Venise en 1969 et Silence au festival de Cannes en 1971. Sapporo Olympiades 1972 est nominé au Golden Globe du meilleur long métrage de documentaire. Depuis les années 80, il réalise des films de divertissement comme MacArthur’s Children (1984), Childhood Days (1990) et Setouchi Moonlight Serenade (1997) qui composent la trilogie de l’enfance. Gonza the Spearman d’après une pièce de jôruri remporte l’Ours d’argent de la meilleure contribution artistique à la Berlinale en 1986. Il prend sa retraite après Spy Sorge réalisé en 2003.
En version numérique restaurée par le Comité International Olympique. Le film officiel des XIe Jeux Olympiques d’hiver, réalisé par Masahiro Shinoda, qui fut en son temps une des figures majeures de la nouvelle vague japonaise. Les Jeux de Sapporo, la capitale de l’île du Hokkaido, ont eu lieu du 3 au 13 février 1972. Masahiro Shinoda, lui-même athlète, donne une approche très personnelle, et souvent poétique, des compétitions. Plus de 40 ans après sa réalisation, ce film garde une étonnante fraîcheur à travers ses audaces formelles. Sapporo Olympiades 1972 est aussi une formidable prouesse technique, à l’instar de son « grand frère », le fameux Tôkyô Olympiades 1964 réalisé par Kon Ichikawa : il a nécessité 275 personnes sur le terrain, dont 46 chefs opérateurs qui ont tourné près de 84 heures d’image, soit près de 150 kilomètres de pellicule, 54 caméras et 71 objectifs. Ce documentaire montre également l’interview de Yukio Kasaya, médaillé d’or en saut à ski à Sapporo, réalisé par Shinoda lui-même.
Né en 1978 dans la préfecture de Kanagawa, Ryûsuke Hamaguchi est diplômé en lettres de l’université de Tôkyô. Après avoir travaillé comme assistant pour la télévision et le cinéma, il intègre l’université des Beaux-Arts de Tôkyô. Son film de fin d’études Passion (2008), remarqué par Kiyoshi Kurosawa dont il suit l’enseignement, obtient une reconnaissance critique et est invité au Festival International de San Sébastien et au Tokyo FilmeX. I Love Thee for Good qui renoue avec le thème du marivaudage, est présenté à Paris Cinéma en 2010. Parmi ses films notables on lui doit la co-production nippo-coréenne The Depths (2010) et une trilogie documentaire sur le Tôhoku co-réalisée avec Kô Sakai (The Sound of the Waves, Voices from the Waves et Storytellers). Cinéphile admirateur de Rohmer, Cassavetes ou Ozu ; le cinéma de Hamaguchi explore la complexité des relations intimes et possède ce goût du jeu entre réel et fiction.
Chihiro vit avec Tôgo, son demi-frère plus âgé, depuis la mort de son père. Tôgo et sa petite amie Satomi ont beau l’entourer de toute leur affection, Chihiro n’arrive pas à combler son sentiment de solitude et devient complètement absorbé par la danse moderne qu’il pratique avec Naoya, un camarade de classe. Bientôt, des événements étranges viennent perturber la ville où les deux adolescents dansent si innocemment.
Sapporo Olympiades 1972
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· mar 9 déc 20h30 > MCJP · sam 20 déc 18H00 > MCJP
· sam 16 déc 20h15 > MCJP
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hors compétition
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© LOAD SHOW, fictive
不気味なものの肌に触れる 濱口竜介
— Réalisé par Ryûsuke HAMAGUCHI | avec Shôta SOMETANI, Kiyohiko SHIBUKAWA, Houshi ISHIDA, Natsumi SETO, Jun MURAKAMI, Aoba KAWAI, Ayumi MIZUKOSHI | sortie 2013 | 54 min | VOSTFR/A | Blu-Ray
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autour des séances · sam 6 déc 16h00 > MCJP Précédée de la projection de JAPANSCOPE, Panorama de la nouvelle Nouvelle Vague au Japon Intervenants : Jean-Pierre Limosin, Philippe-Emmanuel Sorlin, Stephen Sarrazin
réalisateurs invités
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· sam 20 déc 15h00 > MCJP Projections de GTO 2014 (épisode 1) et Gokuaku Ganbo (épisode 1) Intervenants : Olivier Fallaix (Crunchyroll) et Noumbissi (Jdorama Webzine) Entré libre
Séance spéciale dramas Les drama sont des fictions destinées à la télévision japonaise. Certains d’entre eux rencontrent une popularité immense et bénéficient d’un budget conséquent. En parallèle du cinéma contemporain, Kinotayo a souhaité présenter ce genre à part entière, apportant quelques clefs de compréhension sur la création audiovisuelle actuelle au Japon. Pendant longtemps, les droits de ces programmes ont été bloqués à l’étranger, si bien qu’il était impossible de les traduire officiellement en France. Crunchyroll est la première plate-forme de vidéo à la demande à proposer un catalogue d’une quinzaine de titres inédits en France.
Yôju Matsubayashi The Horses of Fukushima Projections en présence du réalisateur : · lun 1er déc 19h30 > Gaumont opéra premier · mar 2 déc 20h30 > MCJP · mer 3 déc 17h30 > MCJP
Hideo Sakaki Disregarded People Projections en présence du réalisateur : · jeu 18 déc 20h15 > MCJP · ven 19 déc 14h30 > MCJP
Nobuhiro Yamashita Tamako in Moratorium Projections en présence du réalisateur : · jeu 18 déc 18h00 > MCJP · ven 19 déc 20h30 > MCJP
Kazuhiro Sôda CAMPAIGN / CAMPAIGN 2 Projections en présence du réalisateur (sous réserve) : campaign : · ven 3 déc 20h00 > MCJP CAMPAIGN 2 : · lun 1er déc 21h15 > gaumont opéra premier · ven 5 déc 20h30 > MCJP
GTO 2014 (épisode 1)
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© Eden Editions
Table ronde autour de la Nouvelle Vague Cette table ronde, animée par Clément Rauger, accueille : Jean-Pierre Limosin, réalisateur de nombreux films en relation avec le Japon et son cinéma (Tokyo Eyes, 1998, Takeshi Kitano l’imprévisible, 2002, Young Yakuza, 2008). Il a également réalisé le film de l’exposition La Visite à Hokusai, actuellement au Grand Palais. Philippe-Emmanuel Sorlin, réalisateur de plus de trente films sur vidéo et sur pellicule. Il est historien du cinéma et enseigne à l’université Paris VIII – Saint-Denis sur de nombreux grands noms du cinéma japonais. Il a également créé Eden out Editions dans lequel il publie ses pensées sous forme de poésie aléatoire. Il est le réalisateur de JAPANSCOPE, projeté lors de cette séance. Stephen Sarrazin, journaliste, écrivain, spécialisé dans le cinéma japonais contemporain. Il enseigne à Paris VIII – Saint-Denis, ainsi qu’à l’Institut Français du Japon. Il a écrit dans de nombreuses revues (Art Press, HK-Orient Extreme). Il est l’auteur de Réponses du Cinéma Japonais Contemporain, disponible aux éditions Lettmotif.
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© Toru Fujisawa / KODANSHA Ltd.
Onizuka est un ex-délinquant devenu professeur dans un lycée. Ses méthodes n’ont rien de conventionnel, mais elles lui permettent d’aider les élèves en rupture avec la société. Cette fois, Onizuka est envoyé temporairement dans un établissement de Shônan, sa région natale. Il va devoir résoudre un problème de grossesse avec une adolescente et aider un élève refusant d’aller en cours. Des éléments de son passé seront également révélés... — AVEC Akira (Exile), Yû SHIROTA, Yûsuke YAMAMOTO, Ryôsei TAYAMA, Hitomi KUROKI | 2014 | 57 MIN
Gokuaku Ganbo (épisode 1)
Philippe-Emmanuel Sorlin JAPANSCOPE Panorama de la nouvelle Nouvelle Vague Projections en présence du réalisateur : · sam 6 déc 16h00 > MCJP
© 2014 KANSAI TELECASTING CORPORATION MEDIA MIX JAPAN CO., LTD
Après la faillite du restaurant de sa mère, Kaoru Kanzaki se retrouve endettée. Elle intègre alors la compagnie Koshimizu, qui prend en charge les affaires dont ni la police, ni les avocats ne veulent s’occuper... — AVEC Machiko ONO, Kippei SHIINA, Kaoru KOBAYASHI, Tomokazu MIURA, Riisa NAKA, Riki TAKEUCHI | 2014 | 57 MIN
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K Salles participantes Île-de-France · Maison de la culture du Japon à Paris (MCJP) 101 bis, quai Branly 75015 Paris T. 01 44 37 95 01 www.mcjp.fr Métro Bir-Hakeim RER Champ de Mars–Tour Eiffel · Gaumont Opéra Premier 32, rue Louis Legrand 75002 Paris T. 08 92 69 66 96 www.cinemasgaumontpathe.com Métro Opéra · Centre Culturel de l’Orangerie 6, allée du Verger 95700 Roissy-en-France T. 01 34 29 48 59 www.roissyenfrance.fr/CentreCulturel-l-Orangerie
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· Antarès 1, place du Cœur Battant 95490 Vauréal T. 01 34 24 71 15 http://antares.vaureal.fr régions · Cannes – L’Olympia 5, rue d’Antibes 06400 Cannes
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infos pratiques Infoline
06 31 98 46 85 (KINOTAYO) 01 44 37 95 01 (MCJP)
Retrouvez toute l’actualité du festival sur
www.kinotayo.fr
Rejoignez-nous sur Facebook et partagez vos impressions et émotions sur les films en direct sur notre compte Twitter : Festival-du-film-japonais-contemporainKinotayo @kinotayo #kinotayo Les classifications des films sont données à titre indicatif d’après la sortie des films au Japon (sauf pour les films de Seijun Suzuki). Les films marqués sans classification ne garantissent cependant pas une projection « tous publics ». Programme sous réserve de modifications. Les dates et horaires pourront être modifiés en cas d’impératif, vérifiez auprès de la salle ou sur notre site Internet. Brochure publiée en novembre 2014. Impression : Gestion Graphic, Saint-Leu-la-Fôret Conception graphique : Juanma Gomez, Hands-up! Studio, Paris
ÉQUIPE Équipe de la 9e édition du festival :
partenaires
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Le festival du film japonais contemporain Kinotayo remercie les nombreux partenaires publics et privés pour leur soutien. Partenaires institutionnels
Président d’honneur Michel Motro Président de l’association Kiyoji Katakawa Vice-Président Jean-Pierre Limosin
Partenaires privés
Secrétaire Générale Catherine Barthelemy Trésorière Françoise Paini Comité artistique et sous-titrage Megumi Kobayashi Chargé de programmation Steve Naumann Chargé des partenariats Gilles Caubet Chargées de la communication Stéphanie Runfola, Mariko Nouchi, Manon Capitaine, Karine Jean
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Chargée des relations presse Karine Jean
· Le Cannet – Cannet Toiles 1, rue Victorien Sardou 06110 Le Cannet · Marly – Marlymages Chateau Henrion 39, rue de Metz 57155 Marly · Saint-Malo – Le Vauban 10, boulevard de la Tour d’Auvergne 35400 Saint-Malo
Partenaires médias
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agenda Mardi 25 novembre 19h30 The Kingdom of Dreams and Madness Cérémonie d’ouverture
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Mercredi 26 novembre 19h40 The Light Shines Only There
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Jeudi 27 novembre 19h40 Disregarded People
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Vendredi 28 novembre 19h30 La Maison au toit rouge Film d’ouverture à la MCJP 19h50 Tamako in Moratorium 21h40 Seventh Code Samedi 29 novembre 10h30 The End of the Special Time We Were Allowed 12h55 BACKWATER 15h00 The End of the Special Time We Were Allowed 18h00 Seventh Code 20h30 BACKWATER Dimanche 30 novembre 10h10 Tamako in Moratorium 12h10 FORMA Lundi 1er décembre 19h15 BACKWATER 19h30 The Horses of Fukushima En présence du réalisateur 21h15 CAMPAIGN 2 En présence du réalisateur (sous réserve) Mardi 2 décembre 17h30 La Jeunesse de la bête Présentation de Charles Tesson 19h50 La Maison au toit rouge 20h00 The Horses of Fukushima En présence du réalisateur Mercredi 3 décembre 14h30 Tamako in Moratorium 15h00 The Light Shines Only There 17h30 The Horses of Fukushima En présence du réalisateur 19h20 Seventh Code 20h00 CAMPAIGN En présence du réalisateur (sous réserve) 21H00 La Maison au toit rouge Jeudi 4 décembre 17h30 BACKWATER 20h00 La Marque du tueur Vendredi 5 décembre 17h00 The End of the Special Time We Were Allowed 20h30 CAMPAIGN 2 En présence du réalisateur (sous réserve) Gaumont Opéra Premier Maison de la culture du Japon à Paris (MCJP)
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Samedi 6 décembre 10h00 La Maison au toit rouge 16h00 JAPANSCOPE, Panorama de la nouvelle Nouvelle Vague Suivi d’une table ronde Mardi 9 décembre 17h30 FORMA 20h30 Touching the Skin of Eeriness Mercredi 10 décembre 15h00 Disregarded People 17h30 La Marque du tueur 20h00 La Jeunesse de la bête Jeudi 11 décembre 15h00 The Horses of Fukushima 17h30 BACKWATER 20h00 La Maison au toit rouge Vendredi 12 décembre 17h30 The Horses of Fukushima 20h00 Seventh Code Samedi 13 décembre 15h00 CAMPAIGN 16h00 Tamako in Moratorium 17h30 CAMPAIGN 2 20h30 FORMA Mardi 16 décembre 17h00 FORMA 20h15 Sapporo Olympiades 1972 Mercredi 17 décembre 15h00 Seventh Code 17h00 The End of the Special Time We Were Allowed 20h00 The Light Shines Only There Jeudi 18 décembre 15h00 BACKWATER 18h00 Tamako in Moratorium En présence du réalisateur 20h15 Disregarded People En présence du réalisateur Vendredi 19 décembre 14h30 Disregarded People En présence du réalisateur 17h30 The Light Shines Only There 20h30 Tamako in Moratorium En présence du réalisateur Samedi 20 décembre 15h00 Séance spéciale dramas GTO 2014 et Gokuaku Ganbo 18H00 Touching the Skin of Eeriness 20h00 Beautiful New Bay Area Project Cérémonie de clôture
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L’Orangerie (Roissy-en-France) L’Antarès (Vauréal)
Ces dates et horaires pourront être modifiés en cas d’impératif, vérifiez auprès de la salle ou sur notre site Internet www.kinotayo.fr