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N ° 4 Janv.-Fév. 2 0 1 4 SUPPLÉMENT AU JOURNAL D I M A N C H E AGRÉGATION
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Les chrétiens doivent travailler ensemble à faire en sorte que l’édifice [de l’Église chrétienne dans son ensemble] reste solide Benoît XVI
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En janvier, prions pour l’unité des chrétiens
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Le chanteur J.-C Gianadda bientôt à Mariembourg
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Aleksander Katarzynski
Quand les jeunes animent la messe…
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ACTUALITÉ RÉGIONALE
Bonne Année !
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81e anniversaire des apparitions à Banneux C’est le 15 janvier 1933 qu’eut lieu la première apparition de la Vierge à Mariette Beco…. Du 15 janvier au 2 mars 1933, NotreDame qui se présente comme la Vierge des Pauvres apparaît à huit reprises à Mariette Beco. Mariette est née le 25 mars 1921 dans une famille modeste. Elle est l’aînée de sept enfants. La famille connaît des conditions de vie difficiles et habite une modeste maison ouvrière isolée, située en retrait de la route, à l’écart du village, en face d’un grand bois de sapins. C’est le soir du 15 janvier 1933 que Notre-Dame apparaît pour la première fois dans le jardin de la petite maison. Elle appelle Mariette par un signe de la main, mais la maman de Mariette lui défend de sortir. Par la suite, la Vierge apparaît à Mariette à huit reprises durant les premiers mois de l’année 1933. Le 2 décembre 2011, la voyante de Banneux décède à l’âge de nonante ans à la maison de repos «Home de la Vierge des Pauvres», dans le village qui l’a vue naître. Peu de temps après les apparitions de la Vierge Marie, qui se présentait à Mariette Beco comme la Vierge des Pauvres, une chapelle fut érigée sur les lieux. En 1949, l’évêque de Liège Monseigneur Kerkhofs a officiellement reconnu les apparitions, et en 1985, le pape Jean-Paul II s’est rendu à Banneux, et y a rencontré Mariette Beco. Depuis près de 80 ans, des milliers de pèlerins, de toutes origines et de toutes conditions se pressent sur le site de Banneux pour s’y recueillir avec ferveur. Infos et contact : sanctuaire de la Vierge des Pauvres - Banneux tél. 04/360 02 22
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Le temps de l’Avent était un temps d’attente et d’espérance. Jour après jour, nous cheminons avec confiance vers la joie de Noël. Cette fête nous révèle la tendresse de Dieu. Rappelons-nous que nous sommes ses enfants et qu’Il a donné son fils à l’humanité pour la sauver. Dans notre région, nous marchons sur le chemin de la vie. Parfois dans les ténèbres de la maladie et de la souffrance, mais nous pouvons toujours espérer trouver une petite lumière comme celle de Bethléem qui va nous éclairer et nous aider à continuer. Cette petite lumière, c’est celle de la foi et c’est Jésus qui est là quand nous souffrons et quand nous avons tendance à baisser les bras. Vous tous, chers paroissiens, vous êtes cette petite lumière qui brille chaque fois que vous allez vers ceux qui souffrent. Vous êtes un rayon de soleil au milieu des ténèbres et vous êtes le reflet de l’amour de Dieu. Merci à chacun de vous pour tout ce que vous faîtes avec tant de dévouement et de délicatesse. Que cette année nouvelle soit porteuse de paix et de Joie. Que nous sachions trouver dans nos vies de nombreux moments de bonheur simple et vrai. Que nous puissions tous nous retrouver pour des moments riches en partage. Confions nos prières à Notre-Dame en union avec tous nos voisins… I NC
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Chez les protestants, l’esprit de famille est un peu différent. Liberté à la créativité au détriment de l’unité. Samuel aime cet esprit de démocratie qui règne dans son Église, où tout le monde peut s’exprimer, «la Bible, source de vie en est le garde-fou». Ni l’un ni l’autre n’ont jamais songé à épouser la foi du conjoint. Ce qui n’exclut pas, confie Marie-Paule, que «dans les moments difficiles, je peux respirer chez les protestants. Cela m’aide à rester fidèle à mon Église.» Les enfants grandissent harmonieusement dans les deux confessions. Depuis leur nais-
sance, ils baignent dans la foi des parents. «Je ne suis pas sûr qu’ils perçoivent la différence», témoigne Samuel, pour qui leurs enfants synthétisent les deux religions de façon naturelle. «Ils choisiront plus tard ce qu’ils feront.» En attendant, le dimanche, Damaris, Eliezer et Sephora assistent en toute liberté à la messe ou au culte. Ils n’ont pas été baptisés, mais présentés au temple protestant. Samuel étant plutôt favorable au baptême d’adulte, les enfants sont considérés comme en chemin vers le baptême. Damaris, l’aînée (10 ans aujourd’hui), a demandé le baptême lorsqu’elle avait 8 ans, afin de pouvoir communier. La cérémonie s’est déroulée en deux temps et en deux lieux, afin que la fillette soit baptisée pleinement dans les deux Églises. Damaris a été accueillie par le curé catholique dans un temple protestant, où il a prêché. Une femme diacre protestante lui a ensuite donné le baptême par immersion en présence de toute la communauté catholique qui avait entretemps rejoint sa paroisse pour le geste baptismal. Les fons baptismaux ne pouvant convenir à l’immersion complète, la cuve baptismale a dû être empruntée à une paroisse orthodoxe. Une cérémonie peu courante qui a émerveillé trois communautés tant les catholiques que les protestants et les orthodoxes
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Marie-Paule est catholique. Samuel protestant… Ils sont tous deux professeurs de religion, mariés et parents de trois enfants. Pour eux, l’œcuménisme c’est du quotidien… «Un couple mixte, ça coule de source», s’exclame Marie-Paule. «Un couple est toujours mixte, puisque chacun a une histoire différente. L’œcuménisme est quelque chose d’évident pour moi depuis longtemps.» On le comprend dans le cas de Marie-Paule qui a vécu pendant deux années dans la Communauté de Taizé lorsqu’elle avait 18 ans. Marie-Paule et Samuel sont pratiquants et engagés dans leur Église respective, mais de temps en temps, ils se rendent au culte de l’autre, où ils se sentent bien intégrés. Les deux confessions vécues par le couple, loin de les diviser, sont sources de richesse. Marie-Paule connaît bien la paroisse de Samuel pour s’y investir de temps à autre, non comme simple fidèle, mais par ce qu’elle y prêche ! «Et oui, ajoute-t-elle avec une pointe de malice, «je fais là quelque chose que je ne peux pas faire dans ma communauté : Dieu a de l’humour ! Il ouvre ainsi des pistes à l’œcuménisme, qui sont fermées ailleurs !» Une autre différence saute aux yeux de Marie-Paule, c’est l’imprégnation hiérarchique au sein de l’institution Église. Très présente chez les catholiques, la hiérarchie n’existe pas chez les protestants. «Ce qui peut paraître une lourdeur aux yeux de certains est pour moi un facteur d’unité. Regardez la messe : on préside la messe de la même façon dans toutes les parties du monde.»
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Semaine prière Unité chrétiens : L’œcuménisme au quotidien…
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NOS CÉLÉBRATIONS - Dimanche 5 janv (Epiphanie) : 10 h 30 à Oignies : Messe de Secteur - Mardi 7 janv. : 8 h 45 à Olloy : messe et visite des malades : 14 h 30 à Oignies (Home La Fontaine) : messe - Jeudi 9 Janv. : 17 h 45 à Petigny : Adoration, chapelet, messe - Vendredi 10 Janv. : 10 h à oignies : visite des malades - samedi 11 Janv. - 17 h 45 : messe à Olloy ; -18 h : messe à Le Mesnil ; -19 h : messe à Petigny - Dimanche 12 Janv. : 10 h 30 : messe à Oignies ; 11 h : messe à Dourbes - Samedi 18 Janv. : 17 h : Bénédiction du pain Saint Hubert et concert ; -17 h 45 : messe à Olloy ; -18 h : messe à Le Mesnil ; - 19 h : messe et concert du Nouvel An à Petigny - Dimanche 19 Janv. : 10 h 30 : messe à Oignies ; - 11 h : messe à Dourbes - Samedi 25 Janv. : 17 h 45 : messe à Olloy ; -18 h : messe à Le Mesnil ; - 19 h : messe à Petigny - Dimanche 26 Janv. : 10 h 30 : messe à Oignies ; - 11 h : messe à Dourbes - Dimanche 2 février : 10 h 30 : messe de secteur à Olloy
AGENDA : - mardi 7 janv. : 20 h à la salle St victor de Petigny : 4 ème réunion préparatoire WEP - vendredi 24 janv. : 20 h à Oignies. : cercle biblique à la cure Meilleurs VŒUX pour l’année 2014 à vous tous ! Que notre Dieu en Jésus- Christ vous guide dans son amour et vous bénisse !
Secteur pastoral de Viroinval : Présentation
Paroisses de Dourbes, Le Mesnil, Oignies, Olloy, Petigny Le doyenné de Couvin comprend trois secteurs : Secteur de Couvin, secteur de Frontières, secteur de Viroinval. Le secteur pastoral de Viroinval est animé par l’abbé Jules KABISA FUCI, secondé par l’abbé Basile AMARI. Nos deux prêtres travaillent en étroite collaboration avec une équipe des laïcs très engagés, motivés, dynamiques et pleins d’initiatives. Il s’agit ici d’une action pastorale commune aux cinq paroisses précitées. Le Secteur organise annuellement un week- end en paroisses (WEP), une excursion, un souper et un barbecue. Chaque mois a lieu un cercle biblique à Oignies, un partage d’Évangile et une rencontre de vie montante à Petigny. La messe du Secteur a lieu tout le premier dimanche du mois à 10 h 30 dans l’une de nos paroisses. Cette célébration est d’une grande importance en vue de créer un esprit d’unité, de fraternité et de cohésion de nos communautés dans l’esprit de la première communauté chrétienne. Depuis que sont organisées les activités communes en secteur, nous constatons : -un réel approfondissement des connaissances ; - un mouvement spontané des membres d’une communauté à une autre et un esprit de fraternité très visible. En décembre, la messe du Secteur a été célébrée à Le Mesnil Saint Martin le dimanche le dimanche 01.12.2013 à 10 h 30. Nos paroisses y ont vécu un grand moment de communion et de convivialité en deux temps : - La célébration eucharistique au cours de la quelle le thème de «La vigilance» a été dévéloppé et médité avec beaucoup de piété. Comme Dieu vient à nous, cela nous incite à la vigilance, à être présent à ce qui se passe dans nos vies et réalités quotidiennes. - Agape - Convivialité
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Pour l’équipe du secteur Abbés Jules KABISA FUCI Tel.060 39 943 - 04 73 83 15 99 Basile AMARI Tel.060 859 780 04 66 08 38 94
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NOS CÉLÉBRATIONS - Jeudi 9 Janv. : 18 h : à Mariembourg : Messe. - Samedi 11 Janv. :18 h à Mariembourg : Messe pour les personnes qui ne connaissent pas l’amour de Dieu. 19 h 30 : à Roly : Messe - Dimanche 12 Janv : 11 h : à Mariembourg : Messe pour Paul ROBE et Marcelle FLANDRE ; Lucas DE LUCA ; Joseph et Eric PLATBROOD, Raymond MARSHAL et Florence MEZIERES. 14 h : Baptême de Ysaline, fille de Mikael et à Roly - Mardi 14 Janv :18 h à Mariembourg : Messe pour Marcelle FLANDRE, Jules LAMBERT. - Jeudi 16 Janv. : 18 h : à Mariembourg : Messe. - Samedi 18 Janv :18 h à Mariembourg : Messe pour Simone LEMAIRE, Aimé GOOSE et famille, Auguste MAES. 19 h 30 à Fagnolle : Messe - Dimanche 19 Janv : 11 h à Mariembourg : Messe dominicale pour les défunts de la famille ANCION-SCHEEN et Anne-Marie - Mardi 21 Janv : 18 h à Mariembourg : Messe - Jeudi 23 Janv. : 18 h à Mariembourg : Messe - Samedi 25 Janv. : 18 h : à Mariembourg : Messe pour Abel FRERE. 19 h 30 à Roly : Messe pour Firmin ROULIN, Marie GUERARDS, Elise MASSON. - Dimanche 26 janv : 11 h à Mariembourg : Messe dominicale pour Raphael et sa fille Rose-marie CHOWRIMOOTOO. - Mardi 28 Janv : 18 h à Mariembourg : Messe - Jeudi 30 janv. : 18 h à Mariembourg : Messe. - Samedi 01 Fév. : 18 h à Mariembourg : Messe pour Jean BUTIGNOL ; Elie CLAUSSIN et Hélène MATHOT.. À 19 h 30 à Fagnolle : Messe - Dimanche 02 Fév. : 11 h : à Mariembourg : Messe pour Paul ROBE et Marcelle FLANDRE. - Mardi 04 Fév. :18 h à Mariembourg : Messe pour Honore Jean-Pierre. - Jeudi 06 Fév. : 18 h à Mariembourg : Messe
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La fête de Saint-Martin à Fagnolles Le samedi 9 novembre à 19 h 30, les Fagnollis ont célébré avec faste la fête de Saint-Martin, patron de la paroisse. La messe de circonstance a rassemblé les paroissiens de Roly et Fagnolles, qui ont ensuite vénéré la relique de Saint-Martin avant de partager un moment de convivialité. Merci à Vincent, Chantal et l’abbé Isidore qui ont animé cette célébration. Martin est né en Hongrie en l’an 316 sous l’occupation romaine. Fils d’un officier (son prénom viendrait de la dévotion à Mars, Dieu de la guerre), il est poussé par son père à s’engager dans l’armée, mais cela ne lui plait guère. Affecté dans la région d’Amiens, il essaie de joindre aux obligations de son métier des gestes de fraternité. C’est ainsi qu’il partage son manteau avec un déshérité. La nuit suivante, le Christ lui est apparu en songe vêtu de sa cape. Un peu plus tard, il se convertit au christianisme. Il ouvre un ermitage dans la région de Poitiers et poursuit son œuvre d’évangélisation. Il connait la vie des paysans et son message simple trouve écho chez eux alors que la foi chrétienne est encore presqu’exclusivement urbaine. On lui propose de devenir évêque et il refuse, mais le peuple campagnard le pousse à accepter. En 371, il devient évêque de Tours. Il continue pourtant à se vêtir grossièrement et à prêcher la pauvreté et le partage. Il fonde des monastères et il forme des clercs. Martin de Tours meurt en 397 : il sera enterré le 11 novembre, d’où le choix de cette date pour le fêter. La Confirmation de nos enfants à l’Église décanale de Couvin : C’est le dimanche17 novembre 2013 à 15 h que nos jeunes adolescents du doyenné de Couvin ont reçu le sacrement de confirmation.Beaucoup de nos jeunes ont été content de recevoir ce sacrement de la part du Seigneur qui les envoie en mission dans son peuple. Le concert à 12 guitares : Un concert de grande qualité s’est déroulé le dimanche 24 novembre à 15 h 30 à l’église de Mariembourg.Le public a pu écouter des œuvres classiques. remarquablement interprétées par Color 12 guitares. Village de Noël à Mariembourg : Que de monde ! Une belle ambiance ! Merci à l’association des commerçants et particulièrement à Hughes pour cette heureuse initiative. Messe de Noël pour les enfants : pour la seconde fois, le conseil paroissial a organisé une veillée de Noël l’après-midi pour qu’elle soit plus accessible aux enfants. En 2012, cette activité a connu un grand succès. Nous espérons que ce sera encore le cas ce 24 décembre. (Malheureusement, les textes de cette édition du «Dimanche» ont dû être imprimés avant que la célébration ait eu lieu : impossible donc d’en faire le compte-rendu) Le comité liturgique a adapté les textes et la présentation pour que cette belle fête soit vécue intensément par les familles.
Annonces PARTAGE D’ EVANGILE : Le lundi 27 janvier à 19 h 30 à la maison paroissiale : partage d’évangile. Pendant 1 h 30, nous partageons nos réactions, nos idées, nos sentiments vis à vis d’un fait de vie et nous essayons de découvrir quelle est la «bonne nouvelle» que l’Évangile propose dans une situation similaire. Ce n’est pas un enseignement, mais un partage. Chacun apporte son vécu pour construire un autre monde. «Si tu diffères de moi, loin de me nuire, tu m’enrichis» dit un proverbe africain. Sujet de la soirée : une famille élargie. Bienvenue à tous ! Le Vendredi 7 février à 20 h à Mariembourg : Concert de Jean-Claude GIANNADA. L’entrée est gratuite et vous y êtes tous invités. L’abonnement au Journal Dimanche : ne tardez pas ! Vous êtes en train de lire la version remaniée du journal «Dimanche». Pour le recevoir à domicile en 2014, il faut s’abonner en virant 27 euros sur le compte BE73 65 28 21 95 6460 de la paroisse de Mariembourg, puis rendre à l’abbé Isidore un feuillet qui indique nom, prénom, adresse. Les inscriptions à la 1re communion continuent : merci de vous adresser à la cure (rue d’Arschot, 19 à Mbg) les jours de permanence (mardi et jeudi de 9 h 30 à 11 h et de 15 h 30 à 17 h) ou 060/31 11 01
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DOYENNÉ DE WALCOURT
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CHERS PAROISSIENS Une nouvelle traduction liturgique de la Bible est disponible depuis le 22/11/2013. Elle est destinée à devenir le texte de référence pour les lectures de la messe dans les années à venir. Cette traduction est le fruit du travail de 70 personnes pendant 18 ans ; elle a le souci de permettre de mieux comprendre les lectures proclamées. Une des modifications les plus remarquables concerne le «Notre Père» : la phrase «Et ne nous soumets pas à la tentation»devient : «Et ne nous laisse pas entrer en tentation». La nouvelle version du «Notre Père» sera d’usage dans quelques années lorsque le missel sera lui aussi révisé. À Noël, nous célébrons le Verbe fait chair, la Parole faite homme en Jésus Christ, afin que cette Parole s’incarne en chacun de nous. Il existe une correspondance entre la Parole de Dieu et l’Eucharistie, les 2 éléments constitutifs d’une messe. Et là, l’Esprit saint y joue un rôle fondamental : en effet, sans l’action de l’Esprit saint le pain reste du pain et ne devient pas le Corps du Christ ; De même sans l’action de ce même Esprit, les Stes Écritures restent lettres mortes qui ne nous parlent pas. À l’occasion de ce temps de Noël qui s’achèvera avec la fête du baptême du Christ le 12 janvier 2014, prions les uns pour les autres afin que l’Esprit saint traduise les Stes Écritures pour qu’elles deviennent Parole vivante du Christ ressuscité pour nous aujourd’hui. Avec l’abbé Casimir KATENDE je vous souhaite d’entendre Dieu vous parler au plus profond de vos cœurs. Bonne fin du temps de Noël, Joyeuse et Sainte nouvelle année 2014. I Votre curé : Abbé Hubert JEANJEAN. TARCIENNE Les jeunes ont animé la messe du 16 novembre. Les 1eA ont présenté le thème de leur 2e parcours «en équipe, en paroisse, faire communauté». Les 2eA ont appris «à écouter». Entendre, c’est s’écouter les uns les autres pour deviner les besoins des autres, respecter les idées des autres, devenir proche pour communiquer vraiment, avoir un cœur à la place d’un gsm et non un gsm à la place du cœur. (photo 1) HANZINNE Le 23 novembre, messe en l’honneur de Ste Cécile : les chants interprétés par Lorette, Marie-Christine et Jacqueline, avec la participation de la fanfare l’Avenir (photo 2) SOMZEE Le 13 décembre : la chorale «Notre-Dame de Beauraing» organisait son traditionnel concert d’hiver et un petit marché de Noël. (photo 3).
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Nos paroisses en fête en 2013. Bonne et sainte année 2014
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Saint Gangolf d’Avallon ou Gangulphus, mort en 760, est un militaire bourguignon vénéré dans l’Église comme martyr de la foi conjugale. Son premier culte est associé au monastère de Varennes, un des premiers gardiens de ses reliques, près de Langres. Sa vie est plus connue par la légende et la tradition que par l’histoire, le seul document ayant subsisté étant un contrat écrit sous Pépin le Bref, vers 762, mentionnant l’existence de Gangolf de Bourgogne. Gangolf est né à Varennes-sur-Amance, près de Langres, en 702, d’une famille de riches propriétaires terriens. Son nom, du germanique Gangulf, «loup agressif», en latin Gangulphus, est une inversion de Wolfgang. Ses parents se chargèrent de son éducation. Dès sa jeunesse il eut la réputation d’un homme pieux, éloigné des tentations, d’une grande honnêteté, distribuant largement des aumônes aux pauvres, mais ses parents voulurent en faire un militaire et, qui plus est, le marier. En tant que l’un des principaux barons de Bourgogne, il participa activement aux guerres menées par Pépin le Bref entre 715 et 768 et sa bravoure lui fit octroyer de hautes dignités militaires. Toutefois, il conserva toujours, au milieu de la vie des camps, sa piété et son honnêteté spirituelle. À la mort de ses parents, il hérita de grands biens qu’il géra avec sagesse. Gangolf se maria vers l’âge de 20 ans. Il épousa Ganéa une jeune fille de haute lignée, mais celle-ci était fort volage : «elle lui convenait peu par les qualités de l’esprit et du cœur ; il était pieux, et elle était libertine ; il aimait la prière, et elle n’aimait que le jeu et les plaisirs mondains ; il fuyait le luxe et la vanité, et elle voulait toujours être vêtue superbement pour attirer sur elle les yeux des hommes lascifs ; enfin, il était chaste, et elle était impudique…». Malgré la patience et les affectueuses objurgations de son mari, celle-ci ne voulut rien changer à sa conduite. Gangolf se retira alors dans un ermitage près d’Avallon où il mena une vie d’austérité, offrant toute sa fortune aux pauvres. C’est là que l’amant de sa femme, qui aurait été prêtre, vint le surprendre nuitamment et le tua d’un coup d’épée. Gangolf reçut alors les derniers sacrements et mourut le 11 mai 760, tandis que son assassin et son épouse adultère mouraient eux-aussi très rapidement. Dans le Sud du Morvan, une légende raconte que l’épouse de saint Guengoult, avant la mort du saint, alors qu’elle était enceinte de son amant, se serait prêtée à une épreuve censée prouver sa fidélité en se baignant dans une
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Mais qui est Saint Gangulphe ?
Saint Gangolf, patron des maris trompés. Mais également des gantiers, cordonniers, … fontaine, déclarant : «Je jure que je suis restée fidèle à mes serments et, si j’ai menti, que mon bras reste dans l’eau». Le bras se serait aussitôt détaché. Cette fontaine se situerait à Saint-Guengoux-en-Morvan, ancienne paroisse annexée par Larochemillay. Tout de suite après sa mort, saint Gangolf fut vénéré, et des pèlerinages s’organisèrent en France, mais aussi en Allemagne et en Belgique, dans des lieux où quelques-unes de ses reliques furent apportées. D’Avallon ses restes furent transportés à Varennes en grande pompe : «Ce qui rendit cette pompe funèbre fort éclatante, ce fut que Saint Gengon fit paraître, par plusieurs miracles, la gloire et le crédit dont son âme jouissait déjà dans les cieux.» (Monseigneur Jacques-Antoine Guérin). Plus tard, le monastère de Varennes fut l’objet d’un long litige, autant temporel que spirituel, entre Achard, évêque de Langres et Gérard, évêque de Toul. Ce dernier confisqua vers 970 une partie des reliques du monastère de Varennes pour fonder une église et un cloître
saint Gengoult à Toul, ce qui forma plus tard la collégiale saint Gengoult. Mais une tierce partie des restes du saint martyr avait été auparavant transportée dans la cathédrale de Langres. Et les différentes parties de ces reliques continuèrent à être détachées. L’église de Rémérangles garda jusqu’en 1793 un fragment de bras du saint. Le pape Alexandre VII accorda des indulgences plénières aux fidèles qui se rendraient à cet endroit. Mais ces reliques disparurent en 1789. Il semblerait qu’une chapelle lui fut également dédiée à Montreuil-sur-Mer qui posséda pendant un temps aussi quelques-unes des reliques. À la Révolution, en 1789, la chapelle devint un arsenal et les reliques furent dispersées. En 1843, le curé de Fay obtint de l’évêque de Langres une nouvelle relique, qui fut solennellement transférée dans l’église de Rémérangles le 11 mai 1843. Et c’est en 1894 que fut officiellement consacrée à saint Gangolf la fontaine de la ville de Corvol-d’Embernard.
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DIOCÈSE DE NAMUR
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Jean-Pierre Clovin : une vie comme un service À travers ses engagements dans les mouvements de jeunesse et dans l’enseignement, en tant que diacre permanent, ou quand il s’empare de sa guitare et de son harmonica, Jean-Pierre Clovin voit sa vie comme un service.
Photos : Jean-Pierre Clovin
La vocation de Jean-Pierre Clovin s’est construite progressivement. Né en 1953 à Charleroi, Jean-Pierre est issu d’une famille où la foi «n’était pas génétique». Pourtant, il se souvient que, enfant, il fréquentait le diacre du coin ; très vite, il a su ce que la fonction représentait. À son tour, il s’est senti attiré, petit à petit, sans trop savoir pourquoi ni comment, croyant même que ce n’était pas sérieux. «Ça m’est passé franchement en tête à la petite trentaine», se souvient-il. Et il a fallu franchir le pas dix ans plus tard : «Après une formation au séminaire de Namur, j’ai été ordonné diacre. J’avais 41 ans.» Passionné de planètes, Jean-Pierre se destinait à des études d’astronomie, mais c’est une formation en Sciences qu’il a entreprise, laquelle l’a conduit à enseigner à Florennes, Marche-en-Famenne et Bouillon. Aujourd’hui, à cinq mois de la retraite, il vit en Ardenne, à Lorcy, un petit village non loin de Saint-Hubert. Et quand la messe dominicale y est célébrée, il s’occupe de l’animation musicale, y mettant toute sa sensibilité afin de proposer des interprétations sortant des sentiers battus.
La musique est une autre des passions de Jean-Pierre Clovin. À 7 ans, il apprend le piano et le solfège, des études qu’il abandonne pour se mettre à la guitare en fin d’adolescence. L’apprentissage de l’harmonica suivra. En 1978, il ressent le besoin de dire lui-même les choses, et compose ses propres chansons… en wallon de Charleroi. Il y exprime de façon poétique des sujets plutôt graves qui touchent sa région natale : la détresse des travailleurs, la fermeture des usines, les terrils et les problèmes dans la sidérurgie. En 1980, à Mons, avec sa chanson Distchéyance, il reçoit le prix de la presse au Grand Prix de la Chanson wallonne. Une chanson toujours d’actualité, qu’il ressort à l’occasion.
Des textes pleins d’espoir Outre son engagement social, Jean-Pierre Clovin chante aussi son pays et son souci pour l’environnement. Il dénonce les dangers que l’humanité fait courir à la nature et à elle-même ; c’est ainsi que dans Les contaminés, il aborde les méfaits de l’énergie nucléaire. Toutefois, même dans ses chansons dramatiques, la note d’optimisme
Jean-Pierre Clovin, accompagné d’Anne-Lise De Longueville.
est omniprésente, de même que les jeux de mots et la touche d’humour.
«La nature même du diacre, c’est le service» «Quand je sors ma guitare, explique Jean-Pierre Clovin, c’est d’abord pour apporter aux gens un peu de joie, de sourire et d’émotion.» Ses chansons, de par leur côté social ou naturaliste, se veulent porteuses de messages, au service de l’humain et de son milieu. Avec trois disques vinyles à son actif, Jean-Pierre Clovin continue à composer dans un style folk. Aujourd’hui, il privilégie les textes en français afin de toucher un public plus large. Deux chansons sont en préparation. Même s’il ne sort plus de disque, il continue à se produire sur scène. Parfois, il organise des concerts ; parfois, on fait appel à lui. Il chante notamment pour des associations humanitaires… toujours pour servir. Pour mieux connaître Jean-Pierre Clovin et son œuvre, et pourquoi pas le contacter pour une prochaine représentation près de chez vous, rendez-vous sur son site Internet : jeanpierreclovin.be. I A.S. et S.B.
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