A coeur ouvert novembre 2013

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Tous les mariages affrontent des moments difficiles. Ces expériences peuvent rendre le chemin de l’amour encore plus fort (pape François)

À CŒUR OUVERT ÉS SI AL DE S DO YE NN LE CA HI ER PA RO IS COUVI N, WALCO URT ET FLORE NNES DE

Soul Quest : les jeunes viennent à votre rencontre

Christine Bolinne

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Les jeunes prêtres en Terre sainte

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Ça bouge autour de Walcourt

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Festival Soul Quest : les jeunes viennent à votre rencontre

Les jeunes vont porter la Bonne Nouvelle dans le centre ville…

Après Libramont, Malonne et Beauraing, le Soul Quest Festival s’installe à Salzinnes.

Le festival qui s’adresse aux 16-30 ans s’est déroulé du vendredi 25 octobre au dimanche 27 octobre. Le thème ? Un verset de l’Évangile de Jean 11, 25 : «Celui qui croit en moi vivra».

Parmi les invités le Père Nicolas Buttet, fondateur de la communauté Eucharistein ou encore des témoins parmi lesquels Philippe Arino et François Mathijsen.

Ce festival s’est déroulé à quelques kilomètres de chez vous… À Salzinnes, dans la paroisse Sainte-Julienne. Le Frère Hubert-Marie de la Fraternité Saint-Jean, faisait partie des organisateurs : «Depuis la première édition du Soul Quest Festival, nous souhaitons que les participants s’inscrivent pour tout le festival.

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Et ils n’ont pas été déçus. Cette année encore, il y a eu des conférenciers de talent…

Ainsi, le Père Nicolas Buttet, un Suisse qui a fondé la communauté Eucharistein, communauté de vie et de prière a séduit les jeunes. «Le Père Buttet a un don pour transmettre sa flamme» confie le Frère Hubert-Marie. «Son centre de spiritualité est axé sur l’eucharistie. Il a donné deux enseignements. Nicolas Buttet a un itinéraire de vie pour le moins atypique. Né en Suisse, il est juriste de formation. Ancien député du Parlement cantonal du Valais, il est devenu prêtre avant de séjourner un temps à Rome où il a fait partie du Conseil pontifical Justice et Paix. À son retour, le Père Buttet s’est retiré pendant cinq années comme ermite à Notre-Dame du Scex, dans le Valais. En 1997, en quittant l’ermitage, il fondait la Fraternité Eucharistein.

«L’homosexualité dans la continence» Des témoignages encore comme ceux de Philippe Arino. Présent dès le vendredi soir, il a parlé de son homosexualité. Homosexualité qu’il vit comme le demande l’Église, dans la continence. Lui aussi a transmis son amour pour le Christ, pour l’Église à travers ce qu’il est.

Parler de l’Évangile dans la rue Deux nouveautés cette année : les jeunes étaient répartis par tranches d’âge parce que les préoccupations d’un jeune de 16 ans ne sont plus les mêmes d’un adulte de 30 ans.

Et, le samedi après-midi, les festivaliers qui le désiraient étaient invités à se rendre dans le centre ville de Namur et ils ont proposé aux personnes rencontrées de lire l’Évangile et d’en parler.

Une manière de répondre au souhait du pape François…

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Vingt-deux jeunes prêtres du diocèse en Terre sainte. tel pour souder un groupe, explique Monseigneur Rémy Vancottem. Les jeunes prêtres, je les rencontre déjà lors de mes visites dans les paroisses. Je les invite aussi, le Mercredi saint, pour un moment de convivialité avant la messe chrismale. Ce voyage permettra d’avoir un autre contact encore.»

L’abbé Anastas Sabwé Kalenda, curé de Gedinne est un autre pilier de cette organisation. Il connaît bien la Terre sainte pour y

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Du 5 au 13 novembre, vingt-deux jeunes prêtres du diocèse seront en Terre sainte en compagnie de Monseigneur Vancottem et du chanoine Huet, vicaire épiscopal. L’évêque souhaite vivre, une fois par an, un moment privilégié avec les prêtres qui comptent jusqu’à 10 années de sacerdoce. Un pèlerinage, des rencontres avec les chrétiens d’Orient mais aussi entre prêtres diocésains voilà ce qui figure au programme.

Voici quelques jours, tous ceux qui vont partir en Israël avaient rendez-vous à l’évêché (la photo). Durant huit jours, du 5 au 13 novembre, ils vont parcourir, ensemble, la Terre sainte. Ce rendez-vous a permis, à chacun, d’en apprendre plus sur ce voyage confié, pour la logistique, aux Pèlerinages Namurois. C’était encore l’occasion de faire connaissance : le diocèse est grand et tous les prêtres ne se connaissent pas. C’est surtout vrai pour ceux qui viennent d’un autre pays ou encore qui ont été formés en dehors du séminaire diocésain.

L’idée d’organiser ce voyage trottait dans la tête de Monseigneur Vancottem depuis un petit temps déjà. Une fois par an, il souhaite partager un moment fort avec les «les jeunes prêtres» comme il aime à les appeler.

Il s’agit des prêtres qui, dans le diocèse, comptent jusqu’à dix années de vie sacerdotale. L’année dernière, il y avait eu ce pèlerinage à Saint Walfroy. Un moment très apprécié des prêtres comme de l’évêque.

Cette fois, ce sera la Terre sainte. «Rien de

Diocèse Namur

Les jeunes prêtres à la découverte de la Terre sainte

Basilique de l’Annonciation à Nazareth.

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avoir vécu durant 18 mois. Ce séjour poursuit plusieurs objectifs. L’abbé Anastas : «Nous sommes là pour écouter ce que l’évêque a à nous dire. Lui aussi aura l’occasion de nous écouter.» Un tel voyage a bien sûr une dimension spirituelle. Monseigneur Vancottem s’est déjà rendu à cinq reprises en Israël :«C’est vraiment une expérience particulière. Après un tel voyage, on ne lit plus la Bible de la même manière. On effectue une démarche spirituelle avec des temps de silence.» «Nous mettrons nos pas dans ceux de Jésus» ajoute l’abbé Anastas Sabwé Kalenda. Un voyage qui se partagera entre la Judée et la Galilée avec des haltes prévues à Nazareth, au Lac de Tibériade ou encore au Mont des Béatitudes. Il s’agit également d’un temps de ressourcement. L’abbé André Haquin, prêtre diocésain, professeur émérite de l’université de Louvain-la-Neuve animera ce pèlerinage qui a pour thème : «Venez à l’écart et posez-vous un peu.»

Un voyage au cours duquel les prêtres diocésains «se poseront» donc. Ils iront encore à la rencontre des chrétiens qui vivent en Terre sainte. «Ces chrétiens ont besoin de réconfort, de pouvoir parler de ce qu’ils vivent. Sur place encore on croisera beaucoup de personnes qui sont en recherche.» explique l’abbé Anastas Sabwé Kalenda. Avant d’ajouter : «On ne finit jamais de découvrir la Terre sainte.»

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Tables de la Mémoire TABLES DE LA MÉMOIRE. Où : Musée de la Mémoire, salle du Haut, La Ruche, place général Piron à Couvin.

Quand ? les mardi et jeudi de 14.00 à 16.00 dès le mois de novembre 2013.

Pour qui : celles et ceux qui veulent participer au «transfert des mémoires antérieures et à la construction des mémoires de ce que nous vivons aujourd’hui, à l’intention des générations qui nous succéderont. (Albert d’Haens)», en clair parler du bon vieux temps, raconter ses souvenirs et établir un inventaire complet de l’histoire de Couvin au travers des cartes postales, documents, écrits, vidéos en notre possession, etc.

On commence par quoi ?

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1. Les cartes postales de Couvin. Base de discusssion sur différents thèmes. Ceux qui ont des doubles pourront participer à des échanges.

Sauvons notre passé…

2. Préparation des commémorations de août 1914 - comité spécifique -.

P.a.f. : Selon les disponibilités de chacun.

Concrètement : Dès le mois de novembre : de 14.00 à 16.00 Mardi 5, 12, 19, 26 Jeudi 7, 14, 21, 28 Animateurs de la Maison de la Mémoire : Jean Amant, président du cercle cartophilie de Cubinium Janusz Kruch, ms - doyen de Couvin, historien de l’art religieux Pierre Uhlig, historien et auteur local.

Avec quels moyens extérieurs à la Maison de la Mémoire ?

Nous travaillons en collaboration avec «Couvin.com» qui met à notre disposition sa collection complète «Au pays des Rièzes et des Sarts» ainsi qu’une connexion Internet avec la possibilité de faire des recherches sur le Web. Le Cercle d’histoire régionale de Presgaux met à notre dispositon sa collection complète de sa revue «En Fagne et Thiérache».

Bienvenue à toutes et tous !

La Maison de la Mémoire, un vœu de Roger Bastin, de Marcel Delvaux et de bien d’autres enfin sur pied à Couvin mais pas à la ferme Walkens qui au départ devait servir de fond de décor.

La voilà relancée et la première manifestation a eu lieu ce jeudi de l’Ascension.

Votre journal local a déjà expliqué le musée qui va s’installer au centre-ville, dans une salle paroissiale de La Ruche. «Mais, nous dit le président Pierre Uhlig, elle ne se cantonnera pas seulement dans cette salle puisque le comité envisage d’ores et déjà d’organiser des expositions permanentes en d’autres lieux de manière temporaire mais avec des thèmes et surtout en ne se cantonnant pas uniquement dans l’aspect religieux.

Nous voulons intégrer pleinement toute une dynamique régionale avec le Musée de Cerfontaine, le Musée du Malgré-tout, pour n’en citer que deux et nous voulons aussi adhérer au concept du tourisme mémoriel.»

Et Pierre Uhlig de lancer un message d’importance basé sur son slogan : «Sauvons notre passé !» pour ajouter ensuite à l’attention de chacun : «Si vous êtes intéressé par l’histoire de votre région, de votre village, aidez-nous à sortir de l’oubli et à entretenir notre patrimoine commun ! Rejoignez notre groupe de passionnés de la mémoire ! Comment ? En devenant membre de la maison de la Mémoire, en participant à nos activités, en apportant vos documents, photos, vos souvenirs et tout ce qui concerne votre passé.»

I Lu dans l’Avenir/M.V. 060/344 141 ou 060/345 443 ou museecouvin@gmail.com http://museecouvin.wordpress.com

Musée de la Mémoire, salle du Haut, La Ruche, place général Piron à Couvin. museecouvin@gmail.com http://cyberquebec.ca/memoirecouvin/ http://museecouvin.wordpress.com/

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DOYENNÉ DE COUVIN

ROLY-FAGNOLLEMARIEMBOURG CELEBRATIONS Samedi 19 oct.

(29e Dimanche du T.O) : 18 h à Mariembourg : Messe pour M. et Mme MAHY-VANESSE. 19 h 30 à Roly : Messe dominicale pour Jean-Marie REMACLE, Aimé MATHOT. Dimanche 20 oct.

(29e Dimanche du T.O) : 11 h à Mariembourg : Messe dominicale pour ANCION-SCHEEN et Anne-Marie FREDERICK. Mardi 22 oct.

(29e semaine du T.O) : 18 h à Mariembourg : Messe.

Jeudi 24 oct.

(29e semaine du T.O) : 18 h à Mariembourg : Messe.

Samedi 26 oct (30e Dimanche du T.O) : 18 h à Mariembourg : Messe pour Jean ROUSSEAU et M-Thérèse COLIN. Nœl et Marie-Agnes PINPIN, Elisabeth GILLON (fond) Marie-Jeanne ROUSSEAU À 19 h 30 à FAGNOLLE : Messe dominicale Dimanche 27 oct (30e Dimanche du T.O) : 11 h à Mariembourg : Messe dominicale.

Mardi 29 oct (30e semaine du T.O) : 18 h à Mariembourg : Messe pour Roland MALOSTO. Jeudi 31 oct (30e semaine du T.O) : 18 h à Mariembourg : Messe de Toussaint ; À 19 h 30 à ROLY : Messe de Toussaint pour tous les défunts de la paroisse.

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Vendredi 1 nov. : 9 h 45 à Fagnolle :Messe de Toussaint ; 11 h à Mariembourg : Messe de Toussaint. À 15 h : à Mariembourg : Office de recommandation des défunts.

Samedi 2 Nov (31e Dimanche du T.O) : 18 h à Mariembourg : Messe dominicale. À 19 h 30 à ROLY : messe pour Giovanni LEONE, Jean-Marie REMACLE, Aimé Mathot.

Dimanche 3 Nov (31e Dimanche du T.O) : 11 h à Mariembourg : Messe dominicale.

Mardi 5 Nov (31e semaine du T.O) : Mariembourg à 18 h : messe.

Jeudi 7 Nov (31e semaine du T.O) : Mariembourg à 18 h : messe.

Samedi 9 Nov (32e Dimanche du T.O) : Mariembourg : 18 h : Messe pour Lucienne VAN MAERCKE-LAPOSTOLLE. Charles MASSON. 19 h 30 : Messe dominicale à Fagnolle.

Dimanche 10 Nov (32e Dimanche du T.O) : À 11 h à Mariembourg : Messe dominicale.

Lundi 11 Nov. à 11 h à Mariembourg : FETE D’ARMISTICE avec les autorités communales et nos écoles.

Mardi 12 Nov. (32e semaine du T.O) : à Mariembourg à 18 h : Messe.

Jeudi 14 Nov. (32e semaine du T.O) : Mariembourg :18 h : Messe.

Samedi 16 Nov. (33e Dimanche du T.O) : Mariembourg :18 h :Messe pour Abel FRERE. A 19 h 30 :Roly : Messe dominicale.

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Dimanche 17 Nov. (33e Dimanche du T.O) : 11 h à Mariembourg : Messe pour Joseph et Eric PLATBROOD, Florence Mezières, Raymond MASHAL. Mardi 19 Nov. (33e sem du T.0) : Mariembourg :18 h : Messe pour Henriette LERNOUX. Jeudi 21 Nov. (33e sem. dut T.O) : Mariembourg : 18 h : Messe.

Samedi 23 Nov. (34e Dimanche du T.O) : Mariembourg : 18 h : Messe dominicale ; 19 h 30 : Messe dominicale à Fagnolle.

Dimanche 24 Nov. (34e Dim.du T.O) : Mariembourg : 11 h : Messe dominicale. 15 h 30 : CONCERT DE MUSIQUE CLASSIQUE avec COLOR 12 GUITARES. Mardi 26 Nov. (34e sem.du T.O) : Mariembourg : 18 h : Messe.

Jeudi 28 Nov. (34e sem.du T.O) : Mariembourg : 18 h : Messe.

Samedi 30 Nov. : Mariembourg : 18 h : Messe pour Roger, André, Paul ROBE ; Zéphir FLANDRE. 19 h 30 : Messe à Roly.

Dimanche 1er Déc. : 9 h 45 : Fagnolle : Messe : Fête de Saint ELOI. 11 h à Mariembourg : Messe Abbé Eloi DRUART, Francis GILLET et Emile BRASSEUR, en honneur de Saint ELOI. Mardi 3 Déc. : Mariembourg : 18 h : Messe pour Rose ROBIN (fond), en honneur de la sainte Barbe.

AGENDA Mardi 22 oct à 19 h 30 à Mariembourg (salle paroissiale, Boulevard des combattants, N° 5 à Mariembourg) :Réunion du conseil paroissial élargi avec Abbé Pascal Roger pour bâtir nos paroisses dans l’esprit du chantier paroissial.

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DOYENNÉ DE WALCOURT

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Confirmation catéchèse chantier paroissial

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CATECHESE Les rencontres de préparation à la profession de foi ont débuté en septembre. Les jeunes animent les Eucharisties une fois par mois dans leur paroisse. Le 5 octobre dernier, c’est à Tarcienne qu’a eu lieu la messe de rentrée pour les équipes de 1re et 2e A. Les jeunes de 1re À ont demandé aux paroissiens de signer un petit papier qu’ils ont épinglé sur un grand cœur amené en procession - tous les noms entouraient ceux de l’équipe, concrétisant ainsi leur premier parcours «S’ACCUEILLIR».

Les jeunes de 2eA ont présenté leur boîte mémoire qui les accompagnera toute l’année : une BOITE AUX TRESORS qui contiendra leurs prières personnelles, l’expérience

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SACREMENT DE CONFIRMATION Le 13 octobre, 12 jeunes ont reçu le sacrement de confirmation en l’église St Rémy à Gourdinne : Jérôme, Juliette et Pierre de Gourdinne, Anyssa, Davina et Maxime de Hanzinne, Aurélien d’ Hanzinelle, Arnaud et Juliette de Somzée, Florian, Gaël et Justin de Tarcienne. (photos) Le thème de la célébration : «Sur le chemin». Ces jeunes ont choisi d’être confirmés et ont accepté de s’engager comme témoins de Jésus et de poursuivre le chemin commencé avec le sacrement du baptême.

Ce chemin sera parfois semé d’embûches mais aussi d’espoir et de joies. Nous leur souhaitons «bonne route».

de témoins, et de petits objets souvenirs en lien avec leurs découvertes de l’année.

CHANTIER PAROISSIAL En septembre, les équipes diocésaine et décanale ont présenté les premiers résultats de leur travail sur le chantier paroissial : «faire église autrement» lors de 3 rencontres organisées à Cerfontaine, Somzée et Walcourt.

«CHANTIER» signifie que chacun doit être bâtisseur, être une pierre vivante pour participer à la construction de l’église de demain.

Les équipes ont présenté les réalités socio-économique, culturelle et religieuse de notre doyenné (25 villages avec leurs ca-

ractéristiques au niveau superficie, nombre d’habitants, activités économiques et emploi, tourisme, logement, écoles…). Au niveau religieux, le doyenné comprend 3 secteurs : Walcourt, Somzée et Cerfontaine avec 25 paroisses, 25 églises et quelques chapelles. Un constat : la religion et la pratique religieuse ne sont plus habituelles et naturelles aujourd’hui.

Les équipes ont ensuite proposé 3 grands défis pour le secteur et invité les participants à s’engager dans leur réalisation : 1.Culte marial : comment faire pour que les lieux de culte marial (notamment à Berzée et à Walcourt) soient des lieux d’espérance, d’évangélisation, de formation ? Comment accueillir les personnes qui sont en souffrance physique, morale, spirituelle ou matérielle ?

2.Proximité-mobilité : comment vivons-nous la communion entre nous dans nos différentes paroisses ? Que nous manque-t-il pour aller à la rencontre des autres ? Pour écouter les autres ? Pour trouver d’autres personnes désireuses de s’engager dans nos paroisses ?

3.Catéchèse : comment apprendre à vivre avec les jeunes dans nos communautés ?

Comment concerner les différents acteurs de la catéchèse : prêtres, parents, paroisse, catéchistes ?

Monseigneur Pierre WARIN, évêque auxiliaire, était venu soutenir les équipes. Il a rappelé que dans l’église, il fallait vivre tourné vers nos frères, vers le monde plus que vers nous-mêmes. Pour aller vers les autres, il faut que nous soyons en cohérence avec nous-mêmes càd vivre vraiment en chrétien.

I Anne-Michèle

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DOYENNÉ DE FLORENNES

LES NIFLETTES, SPÉCIALITÉ CULINAIRE POUR LA TOUSSAINT

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‘’Chez moi, je suis l’évêque et même le pape !»

Comment ? Vous êtes gourmand (e) et votre boulanger-pâtissier ne connaît pas les «niflettes» ? Certes, notre région est éloignée du département français de Seine-et-Marne et le spécialiste des galettes régionales dans votre quartier n’a sans doute jamais entendu parler de cette pâtisserie traditionnelle.

Pour 6 personnes : 2 pâtes feuilletées Pour la garniture : 2 jaunes d’œufs 70 g de sucre 1 sachet de sucre vanillé 1 cuillère à soupe de farine 25 cl de lait 2 emporte-pièces dont l’un est plus petit que l’autre Préparation : 20 mn Cuisson : 15 mn Repos : 0 mn Temps total : 35 mn

Diocèse Namur

Alors, photocopiez-lui la recette ! Quand on connait les quantités vendues dans le village de Provins en France, son tiroir-caisse lui en sera reconnaissant ! Voici donc, pour lui et pour vous, une appétissante spécialité pour fêter dignement la fête de la Toussaint…

Se faire sonner les cloches ? Une crainte que ne connaît pas le doyen de Florennes…

L’abbé Joseph Goffin est ce que l’on a coutume d’appeler «une figure bien connue» de Florennes… et de sa région. Ce matin-là, le doyen Joseph Goffin est dans son bureau, il écrit un mot qu’il adressera à ses paroissiens…

En réalité, l’histoire dit qu’un boulanger a créé les Niflettes pour consoler une petite fille qui pleurait sur la tombe de sa grand-mère. On raconte, qu’ensuite, les abbés et les curés s’en allaient, à la Toussaint, à la rencontre des orphelins éperdus de chagrin. Ils leur distribuaient ces petits gâteaux en leur disant en latin «Ne Flete» («Ne pleurez plus !»).

Cela avait, semble-t-il, vertu de réconforter ces malheureux enfants dans la grisaille des cimetières.

C’est joli comme histoire, non ? Et tellement mieux que les chrysanthèmes…

Son bureau… Un lieu où il passe de nombreuses heures.

Cette pièce tout comme son presbytère lui ressemble. Au fil des années, il y a installé - une toute petite partie - de ses collections. Les cloches par exemple… Le doyen Goffin en possède des centaines.

L’abbé est un homme de terrain. Il aime parler de ses rencontres avec les familles lors des fêtes patronales et des fancy-fair dans les écoles. Des moments où ils puisent l’énergie pour faire face à ses responsabilités. Des fonctions que l’abbé Goffin occupe depuis 22 ans maintenant. Et quand on lui demande comment on devient doyen, la réponse fuse… «Quand l’évêché ne trouve personne d’autre !» La réponse peut prêter à sourire et pourtant…

Le rôle de doyen n’est pas évident à tenir. C’est celui qui est chargé de faire passer aux prêtres les décisions de l’évêché…

«Lorsqu’un curé du doyenné a des problèmes, il en parle avec son doyen. Il en va de même pour les paroissiens lorsque les relations sont tendues avec leur curé.

Le doyen c’est un démineur, un pacificateur» confie le doyen Goffin. «Chez moi, je suis l’évêque et même le pape !» dit-il avec aplomb. Un homme, parfois un rien bourru, qui sait aussi parler de sa spiritualité… «J’aime la sérénité qui s’installe dans ma spiritualité.

Ma spiritualité, c’est celle de la personne qui vient frapper à ma porte et que je reçois, avec qui je parle. C’est encore celle que j’acquière lorsque je taille longuement un morceau de bois pour le sculpter…»

Voilà qui fait le charme d’un homme de sagesse qui est aussi un rien pince sans rire…

Bon appétit ! Et bonne fête !

I Christine Bolinne

1. Préchauffer le four à 180°C (thermostat 6). Préparer la garniture. Dans une «jatte», mélanger jaunes et sucre, puis ajouter la farine, et enfin diluer peu à peu le lait.

2. Mettre la préparation à épaissir à feu doux jusqu’à obtention d’une consistance de crème pâtissière. Laisser refroidir hors du feu.

3. À l’aide du grand emporte-pièce, découper des ronds dans les pâtes feuilletées, les superposer 3 par 3 et faire un trou dans les deux supérieurs à l’aide du petit emporte-pièce, pour créer un puits.

4. Garnir la pâte avec la préparation et mettre au four pendant 15 minutes en surveillant la cuisson.

5. Laisser refroidir. Les Niflettes sont meilleures froides.

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DIOCÈSE DE NAMUR

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Retrouvez l’agenda du diocèse sur www.diocesedenamur.be et l’information en continu sur www.InfoCatho.be

Une réflexion pour mieux vivre le deuil

Jean-Pol Druart et son épouse Brigitte, les responsables de la Pastorale familiale diocésaine, sont heureux du succès rencontré par cette demi-journée de partage.

Les soixante-cinq participants ont pu, au travers de différents carrefours, échanger leurs expériences, parfois très douloureuses, de perte d’un être cher.

La journée a commencé par un exposé de Françoise Poncelet. Cette dernière a passé près de vingt ans à accompagner les personnes en fin de vie et leurs familles, comme bénévole au chevet des malades du Foyer Saint-François, un centre de soins palliatifs.

Elle a aidé ces personnes à gérer leurs peurs face à la mort. «Pendant toutes ces années, je me suis retrouvée face à des personnes qui allaient mourir. Elles m’ont marquée positivement, et donné une leçon de vie», dit-elle. Pour Jean-Pol Druart, diacre permanent, cette journée a été très profonde.

«Beaucoup de souffrances sont apparues», explique-t-il, en précisant que celles-ci ne sont restées qu’au sein des petits groupes de travail, tant elles étaient difficiles à vivre pour les personnes. Il souligne que l’exposé de Françoise Poncelet a donné des pistes qui ont permis de dépasser la douleur et d’entamer, pour certains, le chemin du deuil.

«Ce type de rencontre autour du deuil et de l’accompagnement est essentiel», poursuit Jean-Pol Druart, «car on réalise qu’on n’est pas tout seul. Cela peut aider à traverser cette période difficile.»

C’est précisément le sentiment de Françoise Poncelet qui a souligné que tout le monde n’est pas égal face à la mort d’un proche.

Si des personnes vont vivre leur deuil de manière paisible, d’autres en revanche n’ont pas la chance d’avoir des amis avec qui parler. «Parler est essentiel. Elles doivent pouvoir dire si elles sont en colère. La colère va les porter, les mettre en route. A contrario, la culpabilité dans laquelle beaucoup tombent écrase, elle fait pédaler dans la choucroute. Cette colère contre soi est la pire des choses. Elle est inutile et, en plus, elle fait mal», a déclaré Françoise Poncelet.

UP de la Woluwe

Après Libramont en 2012, c’est Namur qui a accueilli le 19 octobre l’après-midi de réflexion autour du deuil, organisé chaque année par la Pastorale familiale du diocèse. Autour du thème «Laissez-vous réconforter après la perte d’un être cher», les participants ont réfléchi et partagé des expériences, après avoir écouté Françoise Poncelet, qui a passé près de 20 ans auprès des personnes en fin de vie.

Ouvrir des portes pour commencer le cheminement du deuil.

Elle n’a pas témoigné de son expérience personnelle, à savoir le décès de sa fille, fauchée par une voiture, et la mort de plusieurs proches. «C’est trop intime», dit-elle. Mais ces deuils à répétition l’ont enrichie lors des accompagnements. Elle a aussi parlé des maladresses face à la mort. «Les funérailles de notre fille ont eu lieu un samedi.

En venant nous saluer, bien des personnes étaient mal à l’aise et c’est ainsi que l’on commet des maladresses. Beaucoup nous ont souhaité un bon week-end !»

Une aide aux jeunes Aujourd’hui, sa collaboration avec le Foyer Saint-François étant terminée, Françoise Poncelet se tourne vers les jeunes. L’Institut Sainte-Ursule fait appel notamment à son expérience quand un jeune vit un moment de deuil pénible. Elle raconte qu’un jour, elle a reçu la visite d’un jeune, effondré. Il s’était disputé avec son beau-frère et l’avait insulté, avant d’apprendre que, quelques

heures plus tard, ce dernier s’était suicidé.

Pour le jeune, le lien entre ses propos et le geste irréparable est plus qu’évident. Françoise Poncelet va l’écouter longuement et il finira par comprendre qu’il n’a rien à voir dans ce suicide. «Lorsqu’il est arrivé, il était replié sur lui-même, les épaules rentrées, la tête penchée sur la poitrine. Je l’ai vu s’ouvrir et sourire. Au Foyer Saint-François, j’ai souvent rencontré des familles qui pensaient être responsables du décès de leur proche.

Décès qu’elles avaient souhaité tant la situation était difficile. Elles reconnaissent avoir pensé à l’euthanasie pour leur père, leur mère… Et lorsque la mort pourtant inéluctable arrive, elles y voient une responsabilité.» Après l’enseignement et le partage, la journée s’est terminée par un temps de prière pour les défunts et leurs familles.

I J.J.D. (avec C.B.) Pour plus de renseignements sur la Pastorale familiale : info@pastoralefamiliale-namlux.be.

Site web : http://www.pastoralefamiliale-namlux.be

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