Pierres vivantes octobre 2014

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N°12 Octobre 2 0 1 4 SUPPLÉMENT AU JOURNAL D I M A N C H E AGRÉGATION

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A Marie, adressons notre prière, afin que l’église devienne une maison pour beaucoup, une mère pour tous les peuples pape François

PIERRES VIVANTES SI AL DU DO YE NN É LE CA HI ER PA RO IS DE MOUSC RON

Mois d’octobre, mois de Marie, comme ici à Dottignies

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PA GE S 2 À 4

La solidarité en actions…

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… et le regard ouvert sur le monde

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«N’oublions pas les plus pauvres des pauvres» Le 17 octobre, est déclarée journée de refus de la misère. À cette occasion, Elsa de Calignon, volontaire chez ATD Quart Monde, fait le point sur la lutte contre la pauvreté.

Nous faisons en sorte que tout le monde apporte quelque chose et qu’on le bâtisse ensemble.

Par exemple, dans les Universités populaires, les thèmes de réflexion sont choisis avec les participants et ont toujours un rapport avec leur quotidien, leurs préoccupations. Nous ne sommes pas là pour leur donner des cours sur la santé ou l’éducation, mais plutôt pour écouter ce qu’ils ont à nous dire sur ces sujets.

Les pauvres sont effectivement dépositaires d’un savoir, dont on se sert trop peu dans notre société.

Concrètement, comment faites-vous pour impliquer les pauvres dans ce combat puisque, souvent, ils sont habitués à être pris en charge ?

Je pense qu’une fois qu’ils ont franchi le pas de venir à des réunions où on les écoute, ils sont très vite demandeurs. Et ce n’est pas pour raconter leur vie. Ça, ils ont l’habitude de le faire, puisque, pour avoir droit aux aides, ils sont obligés d’expliquer leur situation aux assistantes sociales. Mais dès qu’on leur donne la possibilité d’exprimer leur opinion sur des questions de société, ils ont vraiment beaucoup de choses à dire. C’est cela qui est original et passionnant dans notre démarche. Le plus difficile, ensuite, c’est de les faire passer de la parole à l’engagement. Ce que nous voulons, c’est qu’ils ne s’engagent pas seulement pour eux, mais aussi pour d’autres qui vivent des situations tout aussi difficiles.

Comment agir durablement contre la pauvreté ? ATD Quart Monde propose-t-il des pistes ?

Pour moi, il faut partir des plus pauvres et les écouter afin de changer notre regard avec eux. C’est la seule façon d’agir durablement contre la pauvreté. Par exemple, nous agissons pour que des professionnels de la famille puissent dialoguer avec des parents dont les enfants ont été placés. Les parents pauvres sont souvent traités d’incapables. On les rend responsables de leur situation sans se demander pourquoi. Malgré les dispositifs existants, la misère continue, dans certaines familles, de se transmettre de génération en génération.

I Propos recueillis par Pascal ANDRÉ (MCBF)

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Ils se sont dépassés pour l’ASBL Rose 616 kilomètres parcourus par 13 joggeurs en 6 h. Grâce à cela, l’ASBL Rose a pu récolter plus de 12 000€. Une belle réussite pour cet exploit sportif.

«La plupart des joggeurs ont dépassé la distance d’un marathon», pouvait-on déjà entendre vers 14 h 30, alors qu’il restait une demi-heure de course avant la fin des «6 heures pour Rose». La course parrainée, du nom de cette petite Mouscronnoise atteinte d’ichtyose s’est tenue début septembre sur le terrain de Jeunesse et Sports. Au final, deux participants ont même dépassé les 60 kilomètres. Ce qui fait quand même 200 tours de piste ! Ralph Spegelaere, l’initiateur de cette course, n’a pour sa part pas atteint les 70 kilomètres, objectif qu’il s’était fixé, mais il en a quand même parcouru 57 ! «Chaque année je me lance un défi, mais je ne réitère jamais ce que j’ai fait. J’espère par contre que la famille de Rose décidera de continuer cette course pour Rose l’année prochaine parce que c’est un beau dépassement de soi.»

Beaucoup de monde Bernard Vandenbroucke, le papa de Rose était en tout cas ravi. «Quel que soit le niveau des coureurs, qu’ils courent 25 kilomètres ou 75, pour moi c’est un exploit. Et quelle générosité chez les Mouscronnois !» L’âge des participants l’a surpris : parmi ceux-ci figuraient aussi bien des jeunes de 13 ans (Matteo et Hugo) que des personnes plus âgées. Et si les hommes étaient largement majoritaires, une femme était aussi de la partie.

Et le papa de Rose de confier qu’il ne s’attendait pas à ce que la course rapporte autant d’argent - déjà plus de 12 000 euross, sans compter les recettes du bar. «Il y a beaucoup de monde, alors que la course en soi n’est pas spécialement attractive.», se réjouit-il.

Mais en plus de voir évoluer les joggeurs (parfois accompagnés de leurs enfants en fin de course), le public a aussi pu profiter d’autres animations, comme un match de volley ou une rencontre de foot.

Benjamin Deceuninck, le parrain À l’issue de la course, les joggeurs ne savaient guère exprimer autre chose qu’un «ça va !». Mais après un massage des jambes, un verre de coca et une orange, ils étaient à nouveau assez d’attaque pour monter sur le podium avec la petite Rose, âgée de 5 ans. Son parrain, Benjamin Deceuninck, est aussi monté avec elle. «Je connais le papa de Rose grâce au foot à Luingne», explique-t-il. «Il m’a demandé il y a quelques années d’être le parrain de son association, ce que j’ai accepté. Je suis d’ailleurs heureux que d’autres personnes aient des petits ‘grains de folie’ et décident d’organiser des événements comme celui-ci.» Il n’a pas pu courir avec les 13 joggeurs, mais n’a pas manqué de les féliciter pour leur exploit.

«J’essaie d’être présent le plus possible pour Rose.»

I T.M. / EdA

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Octobre, mois de la mission Comment un prêtre belge décide-t-il un jour de partir au Brésil pour aider les enfants de là-bas ?

Ce n’était pas un coup de tête, mais plutôt quelque chose de réfléchi. Mon souhait était d’être missionnaire. Je suis Belge, né à Bruxelles. Après mes études et ma formation au séminaire à Tournai, j’ai été ordonné prêtre en 1971 chez les rédemptoristes. Je suis parti au Brésil en 1974, et arrivé avec mes deux valises à Propria (Sergipe) une ville entre Recife et Salvador. À ce moment-là, l’évêque de Propria, lui même rédemptoriste, était très seul dans son diocèse, il a cherché des prêtres rédemptoristes, et a atterri à la Province belge. Le supérieur a accepté que nous partions au Brésil. Nous avions le choix entre le Zaïre (la R.D. du Congo actuelle), Haïti et cette nouvelle destination au Brésil dans le diocèse de Propria.

Comment était le Brésil à cette époque ?

Je sais qu’en Belgique, le Brésil évoque le pays du football, des plages aux jolies filles, mais ce qu’on y a trouvé était tout autre. Propria est une région particulièrement discriminée par la misère sociale, la mauvaise santé de la population, le taux d’analphabétisme, les mauvaises conditions climatiques. Il y avait donc beaucoup de misère, si bien que l’un des objectifs de l’évêque était de créer une fondation pour essayer de sauver les enfants de la mort prématurée, en les accueillant, en leur donnant des soins alimentaires et hygiéniques.

Je me suis retrouvé seul à Propria. Au début, je me sentais un peu esseulé, mais maintenant grâce à Dieu, on a eu plusieurs vocations dans le diocèse. Il y a pas mal de prêtres brésiliens qui nous aident. Après m’avoir nommé curé de la cathédrale, l’évêque me demanda de fonder une crèche et un jardin d’enfants.

Y étiez-vous préparé ? Qu’est-ce qui vous motivait ?

J’avais quelques bases en portugais car avant de partir j’avais fait un stage intensif pendant quatre mois au collège d’Amérique latine à Louvain. Pendant ma jeunesse, je me suis toujours occupé d’enfants. Moi-même j’ai fréquenté le Patro où je fus dirigeant, puis anima-

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À l’occasion du mois de la mission en 2012, les Médias catholiques ont recueilli le témoignage du Père Étienne Lemaire, missionnaire rédemptoriste au Brésil. Actif à la fondation qu’il a créée au service des plus démunis voici près de 20 ans, c’est à Propria que ce missionnaire lutte pour la survie des nouveau-nés.

teur de groupes d’enfants en Algérie, en Tunisie. Au Brésil, j’ai immédiatement été bien accueilli par les enfants. Le Brésilien est d’un naturel accueillant, ouvert et chaleureux, je n’ai eu aucun problème d’intégration, la population ne m’a jamais considéré comme étranger.

De quels moyens disposez-vous, là où la pauvreté est extrême ?

C’est vrai qu’entre la pauvreté là-bas et le luxe ou même le gaspillage en Europe, le contraste est grand. J’ai toujours eu de l’aide de la part de bienfaiteurs belges. Avant de partir pour la première fois au Brésil, j’ai eu l’occasion de prêcher dans de nombreuses paroisses, qui m’ont donné l’occasion de récolter des fonds, de connaître des donateurs, et ce depuis le début de la fondation. Le plus difficile n’est pas de commencer

ou d’entreprendre, mais de maintenir et de continuer ce qu’on a commencé, en cela les dons que l’on reçoit nous sont précieux. Ainsi c’est grâce aux dons d’amis belges, que la crèche et le jardin d’enfants qui accueillent plus de 500 enfants parmi les plus pauvres qui y sont nourris, lavés, soignés…

Quel est votre grand souhait ?

Nous essayons par notre travail de manifester que Dieu est tendresse et s’intéresse à l’homme tout entier. Les gens ont en général une foi très profonde, très vivante également. Puisse-t-elle les aider à vivre et à s’en sortir. Que la pauvreté de cette région y soit toujours plus vaincue !

I A.L. (MCBF) Vos réactions à courrier@mcbf.be

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Pompiers, bienvenus chez moi !

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Q U ELQ U ES FO R MATIO N S D A N S LE DIOCÈ S E

DEUX RENDEZ-VOUS DE LA PASTORALE DE LA SANTÉ Visiteurs de Malades : Oui à la vie…mais à quelle vie ?

Une après-midi de rencontre est proposée par le service diocésain des Visiteurs de Malades le samedi 11 octobre. Rendez-vous au grand auditoire de l’UCL-Mons, chaussée de Binche, 151, à 7000 Mons. Début à 13 h 30, fin vers 18 h. Au programme : accueil, conférences, échanges, convivialité, eucharistie. À 14 h, intervention de Carine Brochier, de l’Institut Européen de Bioéthique, qui proposera une réflexion éthique autour de l’accompagnement en fin de vie.

Infos : Jeannine Hainaut - jeannine.hainaut@gmail.com - 065 34 06 30 ou Maria-Lina Crainich - 071 81 38 14

«Fragilité n’est pas faiblesse» Le service pastoral de la santé organise sa conférence annuelle le vendredi 28 novembre à l’UCL-Mons. L’invité : le philosophe Martin Steffens. Son thème : «Fragilité n’est pas faiblesse» Accueil à partir de 18 h 30, conférence à 19 h. Entrée libre, soirée ouverte à tous. Plus d’informations sur le site www.pastoralesante-tournai.be

UNE CONFÉRENCE D’ACTUALITÉ Mesvin : oser la réconciliation pour vivre ensemble En collaboration avec la Maison Diocésaine de Mesvin, Aloys Musomesha, animateur en pastorale, formé en droit et à la médiation locale, scolaire et pénale, invite à une rencontre pour parler de la réconciliation. Celle-ci se déroulera le 11 octobre 2014 de 14 h à 17 h à la Maison diocésaine de Mesvin, Chaussée de Maubeuge, 457 - 7024 Ciply. Dans le cadre de son projet, il partagera son expérience sur le pardon et fera découvrir les nouvelles idées pour réussir la réconciliation et mieux vivre ensemble. Les participants seront invités à échanger leurs points de vue.

P.A.F : 3 euros au profit de l’A.S.B.L. Maison diocésaine.

Un site est en ligne : www.projet-dvjp.net Pour tout renseignement et inscriptions : 0474 601 712 projet-dvjp@ outlook.com

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Cette année, la caserne hurlue n’ouvrait pas ses portes au public fin septembre : ce sont les hommes du feu qui sont partis à la rencontre du public ! «À l’occasion des portes ouvertes, nous avons plutôt décidé d’aller dans différents quartiers, du 21 au 27 septembre, indique le lieutenant Julien Gillet des pompiers de Mouscron. Différentes équipes sont allés à la rencontre de la population, celle-là même qui n’a pas toujours l’occasion de venir en notre caserne…»

Durant deux heures à deux heures et demie, les hommes du feu font rimer explications et démonstrations. «Les premiers soins, la réanimation, des conseils en terme de prévention pour les incendies, les détecteurs de CO, le déploiement de la grande échelle et l’explication du contenu d’une ambulance ou encore un feu de friteuse sont présentés» continue M. Gillet.

Lorsqu’on pense aux sapeurs-pompiers, on pense forcément au feu (alors que ce n’est pas la majorité de leurs interventions !) Du coup, la Fondation des brûlés collabore aussi à ces sept délocalisations partielles de la caserne au travers d’un stand qui rappelle des petits trucs comme l’importance de passer à l’aspirateur un détecteur de fumées au moins une fois par mois et un détecteur de CO tous les quinze jours, sans quoi la poussière altère forcément leur fonctionnement…

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Octobre, mois de Marie, mois des missions (…) Aujourd’hui encore, très nombreux sont ceux qui ne connaissent pas Jésus Christ. C’est pourquoi la mission ad gentes demeure une grande urgence, à laquelle tous les membres de l’Église sont appelés à participer, parce que l’Église est, de par sa nature même, missionnaire : l’Église est née «en sortie». La journée missionnaire mondiale est un moment privilégié durant lequel les fidèles des différentes ocontinents s’engagent par la prière et par des gestes concrets de solidarité à soutenir les jeunes Églises des territoires de mission. Il s’agit d’une célébration de grâce et de joie.

De grâce, parce que le Saint Esprit, envoyé par le Père, offre sagesse et force à ceux qui sont dociles à son action. De joie, parce que Jésus Christ, le Fils du Père, envoyé pour évangéliser le monde, soutient et accompagne notre œuvre missionnaire. (…) À Marie modèle d’évangélisation humble et joyeuse, adressons notre prières, afin que l’église devienne une maison pour beaucoup, une mère pour tous les peuples et qu’elle rende possible la naissance d’un monde nouveau.

I (extrait du message du pape Francois pour la journée missionnaire mondiale 2014.)

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UNITÉ PASTORALE DES CINQ CLOCHERS Pour tous renseignements, s’adresser aux différentes permanences.

Pour les baptêmes : au moins un mois à l’avance.

Pour les mariages, au moins six mois à l’avance. Personne de contact pour l’unité pastorale : 056 48 71 85 Pour les funérailles : prendre contact avec les Pompes Funèbres de son choix qui se mettront d’accord avec la paroisse.

PRETRES ET DIACRES AU SERVICE DE L’UNITÉ Abbé Luc Depijpere, vice-doyen, curé, responsable de l’ UP des 5 clochers.

36 Rue Curiale - 7700 Luingne Tél. 056/33 62 22 - Email :depijpere.luc@skynet.be Abbé Joseph Collie, prêtre auxiliaire, tél. 056/333 302 Père Gérard Daeren, prêtre auxiliaire, 108 rue de la Station 7700 Mouscron. - Tel. 056/33 07 20 Abbé André Lepoutre, 36/8 rue Damide ; tél. 056/913 218 Abbé Jean mariage, prêtre auxiliaire, 16 rue Sainte Germaine, 7700 Mouscron - jean.mariage@belgacom.net Abbé Jean Rœlens, Les «Glycines» 7712 herseaux - Tél. 056/390 971 Abbé Bernard Verhœven, prêtre auxiliaire, 108 rue de la station, 7700 Mouscron - Tel. 056 33 07 20 Marcel Decabooter, diacre, rue du Borneville 200 - tél. 056/33 43 33 Marc Van Hollebeke, diacre, rue de la Broche de Fer 120 ; Herseaux vanhollebeke.marc@voo.be

Journée mondiale des missions le 19 octobre. À cette occasion la collecte se fera pour les œuvre de la propagation de la foi.

SA IN T-LÉG ER - D OTTIG N IES

Permanence À la cure, rue pastorale, 15 - Tel. 056 48 84 78 Email : paroisse.dottignies@gmail.com Mardi et samedi de 9 h 30 à 11 h et le vendredi de 17 h à 18 h.

Messe en semaine : le vendredi à 9 h 15 Messe dominicale :10 h

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Offices

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VENDREDI 3 OCTOBRE : 9 h 15 messe en union de prières avec unesœur et un beau frère décédés.

DIMANCHE 5 : messe en l’honneur de Saint Léger, saint patron de notre paroisse.

VENDREDI 10 : messe en union de prières avec un prêtre défunt.

DIMANCHE 12 : messe anniversaire pour les défutns de la famille Tuyttens-Mestdagh-Vindevogel.

VENDREDI 17 : 9 h 15 messe pour des enfants défunts.

DIMANCHE 19 OCTOBRE : messe aux intentions des paroissiens. À l’issue de celle-ci inscriptions à la catéchèse de Profession de foi.

La collecte se fait pour les œuvres de la propagation de la foi (Missio) VENDREDI 24 : 9 h 15 messe en union de prières avec des enfants défunts.

DIMANCHE 26 : messe aux intentions des paroissiens.

SAMEDI 1er NOVEMBRE : FETE de TOUSSAINT : 10 h messe en l’honneur de tous les saints.

DIMANCHE 2 : 10 h messe en union de prières avec les paroissiens décédés durant l’année écoulée.

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UNITÉ PASTORALE DES CINQ CLOCHERS Vie paroissiale Nous avons prié pour le repos de l’âme de : M. Christian Duponcheel, épx de Edith Maeselle.

M. Marcel Prevost, veuf de Irène Durieux M. Roger Dagnies Mme Florentina Otero Mme Ghislaine Hubaut, épse de Jacques Vanhouwe.

VENDREDI 31 : 16 h 30 messe en l’honneur de tous les saints.

Attention il n’y aura pas de messe le samedi soir 1° novembre C H R IST-R O I H ER SEAU X-G A R E

Permanence 81 rue du Petit Audenaerde ; tél. 056/33 52 52

Catéchèse de Profession de foi.

C’est à l’issue de la messe du 19 octobre que les inscriptions pour la catéchèse se feront.

Foire aux moules Les moules 2014 sont impatientes de satisfaire les papilles gustatives de nos chers Dottigniens et sympathisants de la paroisse.

Cette fête est indispensable pour alimenter la caisse de solidarité de la paroisse. Les «Œuvres paroissiales» permettent d’aider ponctuellement des personnes en difficultés, de «dépanner» une famille en attente d’une intervention de l’aide sociale, bref de faire reculer l’exclusion, de lutter contre la pauvreté dans notre village.

Le curé, Luc Depijpere, entouré d’une équipe paroissiale, invite donc les Dottigniens le dimanche 12 octobre dès 11 h 30 à la Ferme des Jeunes.

Au menu : moules à volonté-frites ou assiette d’automne-frites. Le repas vous sera servi, avec le sourire en plus, par les jeunes de la paroisse.

Nous espérons que vous aurez à cœur de soutenir cette démarche et vous donnons rendez-vous le 12 octobre.

CH AP E L L E SA I NT E M A R I E - DOT T I G N I ES

SAMEDI 4 OCTOBRE : 16 h 30 messe en union de prières avec des enfants défunts.

SAMEDI 11 : 16 h 30 messe aux intentions des paroissiens.

SAMEDI 18 : 16 h 30 messe aux intentions des paroissiens. La collecte se fait pour les missions.

SAMEDI 25 : 16 h 30 messe aux intentions des paroissiens.

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Offices JEUDI 2 octobre : 8 h 45 messe à St Joseph SAMEDI 4 : 18 h messe pour les paroissiens vivants et défunts DIMANCHE 5 : 9 h messe pour des défunts (GD) JEUDI 9 : 8 h 45 messe en remerciement (CB) SAMEDI 11 : 18 h messe à St Christophe pour la confrérie DIMANCHE 12 : 9 h messe pour Mlle Chantraine JEUDI 16 : 8 h 45 messe à la Ste vierge SAMEDI 18 : 18 h messe pour les paroissiens vivants et défunts DIMANCHE 19 : 9 h messe pour un défunt (GD) JEUDI 23 : 8 h 45 messe à une intention particulière (CB) SAMEDI 25 : 18 h messe pour M. l’abbé J.P. Dassonville DIMANCHE 26 : 9 h messe à St Christophe pour la confrérie Attention il n’y aura pas de messe le samedi soir 1° novembre

Vie paroissiale Week-end ardennais L’amicale des anciens élèves et amis de l’école du Christ-Roi et le groupe des enseignants vous invitent de tout cœur à leur week-end ardennais qui se déroulera dans les locaux du cercle paroissial le samedi 18 octobre à partir de 19 h et le dimanche 19 octobre dès midi.

Bienvenue à toutes et à tous Priez pour l’âme de M. Yves Vervaeke-Decraene et de Mlle Christel Foubert, retournés auprès du Père.

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SA IN T-A MA N D - L UINGNE

Permanence MONSIEUR LE CURE : à la cure le jeudi de 15 h à 17 h 30 ou sur rendez-vous tél. 056/33 62 22. À L’EGLISE : le samedi de 16 h 15 à 16 h 45 ; le dimanche de 10 h 15 à 10 h 45.

Offices En semaine, du lundi au vendredi les messes ont lieu à 18 h excepté le mercredi ou la messe est célébrée à 9 h.

Le vendredi à 17 h 30 adoration à la chapelle St François (maison Cardijn).

Le samedi messe à 17 h.

Le dimanche messe à 11 h.

Les intentions de messe sont consultables dans le fond de l’église.

Chaque 1° samedi du mois, l’eucharistie de 17 h est célébrée avec une intention particulière pour les défunts du mois précédent.

Vendredi 3 octobre : 17 h 30 adoration ; 18 h messe pour une défunte L.D. Samedi 4 octobre : 17 h fête de St Thérèse chantée par la chorale CONTREPOINT, messe pour les défunts du mois de septembre.

Dimanche 5 octobre : 11 h messe pour parents défunts en l’honneur de St Thérèse.

Vendredi 10 octobre : 17 h 30 adoration ; 18 h messe pour une défunte L.D. Samedi 11 octobre : 17 h messe pour une maman défunte (P).

Dimanche 12 octobre : 11 h messe pour une maman et les défunts de la famille C.D. Vendredi 17 octobre : 17 h 30 adoration ; 18 h messe pour une défunte L.D. Samedi 18 octobre : 17 h messe, collecte pour les missions.

Dimanche 19 octobre : 11 h messe pour la ducasse Nell, collecte pour les missions.

Vendredi 24 octobre : 17 h 30 adoration ; 18 h messe pour une défunte L.D. Samedi 25 octobre : 17 h messe.

Dimanche 26 octobre :11 h messe pour la communauté paroissiale.

Attention il n’y aura pas de messe le samedi soir 1° novembre

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UNITÉ PASTORALE DES CINQ CLOCHERS S T J E AN B A P T I S T E - H ER SEAU X B A LLO N S

Permanence à la cure, le mercredi de 9 h 30 à 11 h ; les 1er et 3e mardi du mois de 17 h 30 à 19 h.

Messe en semaine mercredi à 8 h 45 et vendredi à 17 h.

Messes dominicales : le samedi à 18 h 30 et le dimanche à 10 h 30

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Mois d’octobre, mois de Marie, «Soyez Reine chez nous» «Nous sommes à vous».

SAMEDI 4 octobre : 18 h 30 messe dominicale.

DIMANCHE 5 : Vingt-septième dimanche du temps ordinaire. Messe à 10 h 30.

SAMEDI 11 : 18 h 30 messe dominicale.

DIMANCHE 12 : Vingt-huitième dimanche du temps ordinaire. Messe à 10 h 30.

SAMEDI 18 : 15 h 30 baptême de Emmy VANNESTE. (Chée des Ballons). 18 h 30 messe dominicale.

DIMANCHE 19 : Vingt-neuvième dimanche du temps ordinaire. Messe à 10 h 30. Au cours de ce W-E collecte pour les médias chrétiens.

SAMEDI 25 : 18 h 30 messe dominicale.

DIMANCHE 26 : Trentième dimanche du temps ordinaire.

Messe à 10 h 30.

Attention il n’y aura pas de messe le samedi soir 1° novembre S T M AUR - H ER SEAUX PLA C E

Permanence rue des Croisiers10 - tél. 056/333 095 le mardi de 9 h 30 à 11 h ; le jeudi de 9 h 30 à 11 h.

Messe en semaine : lundi à 18 h et mardi à 8 h 45.

Messes dominicales : le samedi à 17 h 30 et le dimanche à 9 h 30

Offices SAMEDI 4 octobre : 17 h 30 messe dominicale.

DIMANCHE 5 : Vingt-septième dimanche du temps ordinaire. Messe à 9 h 30.

SAMEDI 11 : 17 h 30 messe anniversaire pour Pierre DE DEURWAERDER. DIMANCHE 12 : Vingt-huitième dimanche du temps ordinaire. Messe à 9 h 30.

SAMEDI 18 : 17 h 30 messe anniversaire pour Patrick et Jean-Claude WANTIER. DIMANCHE 19 : Vingt-neuvième dimanche du temps ordinaire. Messe à 9 h 30. Au cours de ce W-E collecte pour les médias chrétiens.

SAMEDI 25 : 17 h 30 messe dominicale.

DIMANCHE 26 : Trentième dimanche du temps ordinaire.

Messe à 9 h 30.

Attention il n’y aura pas de messe le samedi soir 1° novembre

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Notre-Dame de Dottignies.

C’est en ces termes que M. le bourgmestre J. Mullie prononça la consécration de Dottignies et des ses habitants à la vierge Marie le dimanche 22 aout 1954, année mariale.

Outre la statue de Notre-Dame de Dottignies (œuvre d’un artiste local F. Vantieghem) érigée en 1954 à l’angle du boulevard des canadiens et de la rue de la cabocherie, Dottignies peut s’enorgueillir de posséder une dizaine de belles chapelles dédiées à Sainte Marie. De Notre-Dame de Banneux au Quevaucamps à Notre-Dame du `textile à la rue cardinal Mercier en passant par Notre-Dame de Lourdes ou Notre-Dame de grâce.

Toutes ces chapelles forment une couronne de piété autour du monument à N. D. de Dottignies.

Et c’est donc tout naturellement que la chapelle de la gare a été consacrée à Sainte Marie, la Mère de Dieu. La pose de la première pierre eut lieu le 21 mai 1967. Pour les habitants du quartier de la gare ce fut un grand jour, un de ces jours que l’on attend depuis des années et que l’on n’ose plus espérer. Et pourtant ce vieux rêve des habitants se rélisa. L’inauguration officielle eut lieu le 28 avril 1968.

I (d’après «circuit pédestre des chapelles et calvaires de Dottignies».)

Au cours du W-E des 11 et 12 octobre, il y aura ducasse à Pierrots au Cercle paroissial St Maur. Toujours aussi délicieux. Toujours aussi nécessaire pour subvenir aux besoins financiers de l’école St Maur. Merci d’entendre cet appel et d’y donner suite.

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Vie paroissiale.

Sainte Marie, Mère de Dieu.

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DIOCÈSE DE TOURNAI

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Retrouvez l’agenda du diocèse sur www.diocese-tournai.be et l’information en continu sur www.InfoCatho.be

Stephan Michiels se livre Une voix chaleureuse, un visage jovial, Stephan Michiels est aujourd’hui l’un des piliers de la pastorale des jeunes. Pourtant, ce père de quatre enfants a connu un parcours «rock and roll».

Une rencontre avec le Christ Stephan Michiels s’enfonce alors dans le monde du hard rock, des filles et de la drogue. Il confie aujourd’hui : «Ce que je pensais être un instrument de liberté me rendait en fait esclave.» Il sent un vide de plus en

plus profond en lui, alors même que l’argent et des satisfactions apparentes sont là. «Un soir, j’ai constaté que j’avais tout, mais en fait, je n’avais rien. Tout m’ennuyait.» La disparition de son père lui fait toucher le fond. Ce père qui avait conseillé à Stephan de faire le Carême, en lui promettant : «A la fin, il y aura une surprise». Alors Stephan a entamé cette période de jeûne de 40 jours,

ter. Il fait aussi l’expérience de «cette Église qui n’est pas seulement un tas de briques.

Les humains (toi, moi…) la font vivre et cette vie est enrichie par les sacrements.»

Le témoignage de Stephan, dans le livre Trois minutes pour la vie, insiste sur le fait qu’«une Église remplie est le signe d’un lieu de vie où chacun a sa place et envie de se donner pour les autres.» Dans cette communauté chrétienne, « nous sommes tous tendus vers le même but : s’aimer les uns les autres en vérité et faire que le Royaume de Dieu soit présent.»

Transmettre à son tour Après l’éducation stricte que Stephan Michiels a reçue, on aurait pu imaginer qu’il s’abstienne de fonder une famille. Son père lui avait d’ailleurs prédit «des enfants pires que lui». Un souhait de rester seul qui s’est amplifié pendant sa période d’excès : «A l’époque où j’étais drogué, il n’y a que moi qui comptait. Je ne voulais pas avoir d’enfant car cela signifie se lever la nuit s’il pleure, aller à l’hôpital s’il est malade…» En 2014, après 10 ans « dans les couche-culottes », Stephan Michiels n’est plus de cet avis. Il prend le contre-pied de l’éducation dévalorisante qu’il a reçue : «Il ne faut jamais rire d’un enfant.

S’il sait ce qu’il veut, il faut le laisser au moins essayer ; et si l’enfant n’y arrive pas, nous n’avons jamais le droit de nous moquer de lui. Il vaut mieux essayer de vivre ses rêves plutôt que de rêver sa vie !»

I Anne-Françoise de Beaudrap KTO

«J’ai souvent côtoyé des jeunes. Parfois, j’ai eu la joie de les accompagner, de mettre en lumière un don… Ce fut alors un réel bonheur, et pour le jeune de se découvrir ce talent, et pour moi d’y assister.» Celui qui témoigne ainsi dans le livre Trois minutes pour la vie (éditions des Béatitudes) occupe justement une place importante au sein de la pastorale des jeunes du diocèse de Tournai. Pourtant, jusqu’à sa 26e année, il aurait pu en être autrement pour Stephan Michiels. Son enfance s’est construite en quasi opposition avec ce qu’il prône aujourd’hui : des prières à un Dieu méchant censé juger les hommes. «Il fallait mériter le ciel», pensait-il d’après l’éducation donnée par ses parents, qui forçaient leurs enfants à réciter des prières dont ils ne comprenaient pas le sens. La tradition familiale était «enclavée dans tout ce que l’Église donnait comme interdit», raconte Stephan Michiels à Manu Van Lier dans l’émission «Il était une foi»*. Sur le plan affectif, le climat n’était guère plus constructif : le père de famille répétait en permanence au jeune Stephan «Tu es nul», «Tu n’arriveras à rien dans la vie». Il n’est donc pas surprenant que le jeune homme soit parti aussi vite que possible de chez ses parents, estimant que «être heureux, c’était de faire ce que je voulais.»

«avec une véritable recherche de conversion, pas seulement dans la tête… J’ai trouvé un autre lieu en moi qui s’appelle le cœur !» La rencontre du Christ s’est faite le soir du dimanche de Pâques : «J’ai tourné mon regard vers le crucifix. C’est maintenant ou jamais… » Stephan Michiels doit alors faire un long travail en lui-même pour découvrir ce Dieu amour, démarche pour laquelle un prêtre a pris le temps de l’écou-

*Emission «Il était une foi» à réécouter sur www.infocatho.be

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