Réjouis toi avril 2014 by Médias Catholiques Belges Francophones (mcbf.be)

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N ° 7 Avril 2014 SUPPLÉMENT AU JOURNAL D I M A N C H E

LE CAHIER PAROISSIAL DE LA RÉGION PASTORALE DE TOURNAI Tournai, Antoing, Leuze-en-Hainaut, Péruwelz

NO :

AGRÉGATION

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Pour nous, Le Christ s’es t fait obéïssant jusqu’à la mort, et la mort sur la croix. Voilà pourquoi Dieu l’a élévé au-dessus !

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RÉJOUIS-TOI !

CHANTONS LE SEIGNEUR, IL A FAIT ÉCLATER SA GLOIRE !

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LA CROIX ! PAS DE CAL EN CELUI QUI SE DONNECUL !

M. Decarpentrie

JÉSUS, DIEU LUI-MÊME, DEVIENT LE SERVITEUR

M. Decarpentrie

HOSANNA ! BÉNI SOIT UI QUI VIENT AU NOM DU SEIGNEURCEL !

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Région pastorale Tournai

Le grand pardon de Dieu Dieu n’a pas pitié de nous ! Il ne nous pardonne pas à n’importe quel prix, mais il découvre en nous le point intime où nous avons droit à la miséricorde. «Peut-il y avoir un péché qui soit au-dessus de l’amour divin ?» C’est M.D. l’interrogation de Dostoïevski dans son roman Les Frères Karamasov. Sans doute ne peut-on saisir ce qu’est le pardon de Dieu qu’au moment où l’on ne parvient plus à se pardonner soi-même. Notre conscience est presque toujours plus dure que le juge ou le confesseur. Heureusement que «Dieu est plus grand que notre cœur…» écrit saint Jean dans sa première lettre au verset 20 du chapitre 3. Il y a des moments où l’on ne comprend pas ce qu’il faut pardonner. Comprendre, c’est laisser la situation en état. Pardonner, c’est soulever le poids et l’enlever. Humour noir de Jésus qui nous fait dire : «Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui…» Sincèrement, pardonnons-nous jamais ? Si nous comprenions ainsi : nous qui sommes «mauvais» et qui, cependant, pardonnons ne fut-ce qu’une fois, ne pourrais-tu toi qui es bon en faire autant ? Pardon pour pardon ? Pardonner à quelqu’un ce n’est pas seulement lui pardonner le mal qu’il a fait, mais c’est se pardonner le mal que l’on a subi. C’est arrêter le processus, la gangrène, chez lui mais aussi chez moi. Le pardon implique de se pardonner à soi-même. Ce n’est pas facile ! Peut-être plus difficile que de demander et d’obtenir le pardon de Dieu. «Il lui sera beaucoup pardonné parce qu’elle a beaucoup aimé.» D’abord l’amour, puis le pardon. Nous avons été éduqués au contraire : Dieu nous pardonne, donc nous devons aimer. Cela fausse tout ! L’homme est perdu de culpabilité. Que l’Église, de grâce, n’y ajoute pas ! Sa mission historique est celle du pardon. Celui-ci n’est pas identique à l’oubli, c’est un acte de foi. Le pardon suppose qu’on vous fasse l’honneur de reconnaître que vous avez fait du mal. C’est en ce sens que le pardon exige la reconnaissance de son propre péché. Sans cette reconnaissance, il n’y a pas de repentir. Le pardon, loin de rendre faible, rend fort. Pardonnés, nous ne sommes plus comme avant. C’est un véritable don. Le cœur de Dieu en est la source. I M.D

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La nouveauté du Christ

M. Decarpentrie

DANS NOTRE RÉGION

Piéta en l’église de Bruyelle. Il est mort dans un grand cri. Tous ont pu l’entendre ! Un seul, apparemment, en a saisi le sens ! Un païen, un soldat habitué à voir mourir des hommes : «Vraiment, cet homme était le Fils de Dieu !» Il n’a pas entendu une clameur d’angoisse, il a reconnu l’accent de la confiance, de l’espérance, de l’amour. Le fils, qui en appelle au Père, s’en remet, librement, au Père. Israël a connu, au long de son histoire, ces appels de détresse. Prier, hier comme maintenant, c’est souvent crier, hurler. Les psaumes sont remplis de ces cris, appels à l’aide du juste persécuté, clameur qui monte vers Dieu du plus profond des abîmes où on est tombé. Jésus est le juste rejeté, persécuté injustement ; il est l’homme descendu librement dans nos abîmes, dans l’enfer de nos souffrances, de nos échecs, de nos rejets, de nos abandons, livré à la mort… Il est descendu aux enfers, aux enfers de l’homme. Il nous y a précédés, si bas que nous tombions. Mais son cri n’est pas l’aveu du désespoir. Le païen ne s’y est pas trompé. Il sait que le Père l’entend. Il n’est plus que ce cri : ce désir tourné vers le Père. Il signe sa mort comme un chemin où librement il s’engage, sans retenir son dernier souffle, sans se crisper sur son dernier soupir. Il sa signe comme un acte de foi. Il meurt en Fils de Dieu. Il passe auprès du Père… Passion - Pâques - Passage. N’ayez pas peur ! On ne peut penser la mort. On ne peut vivre la mort des autres et sa propre mort qu’à partir de celle de Jésus-Christ. Sa mère se tenait au pied de la croix. Elle a entendu le cri. Elle l’a compris. Elle s’est tue. Elle a attendu, tout un long Samedi saint, l’aurore de Pâques. Si, durant notre vie entière, personne n’a pu reconnaître en nous le Fils de Dieu que nous sommes, qu’il nous soit fait la grâce, par l’intercession de Notre-Dame, d’apparaître tel que nous sommes, Fils de Dieu. Passant dans la maison du Père pour la nouvelle naissance. Notre maison est devant nous. I M.D.

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DANS NOTRE RÉGION

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Témoins du Christ

Paul Laurent

L’aumônerie des hôpitaux psychiatriques et de «Défense Sociale» est un service spécifique de la pastorale de la santé dans le diocèse.

Les équipes d’aumôneries reçoivent leur mission de l’évêque et sont présentes dans les unités de soins psychiatriques en lien avec les équipes soignantes, Leur soucis est le respect des personnes, des différences idéologiques, culturelles et religieuses. La rencontre, l’accompagnement, l’écoute des personnes avec leur poids de souffrance sont essentielles. En défense sociale, l’aumônier témoigne que le détenu est autre chose qu’un condamné, et qu’il ne peut être réduit à l’acte commis, même grave, qu’il y a Quelqu’un, Jésus-Christ, qui ne désespère jamais de lui. L’aumônier vient lui dire que Dieu est au-delà des regards posés sur eux, que des hommes entendent leur souffrance et, au nom de leur foi en Dieu, reconnaissent pleinement leur humanité. L’aumônerie est un espace de parole, où il est possible de venir «se dire», un espace de liberté, une manière «d’évasion» dans un quotidien rendu très contraignant par les traitements et la nature même de l’hospitalisation en psychiatrie. C’est aussi pour beaucoup le lieu de la prière. Il s’agit d’un travail long et patient pour rejoindre l’autre, apprivoiser la relation de façon mystérieuse et sur un terrain parfois apparemment très exigu. Une telle relation avec cet «autre» souffrant en fait un proche, un frère ou une sœur. I Paul Laurent, diacre.

Equipe de l’aumônerie de Tournai.

Depuis ses origines, l’Église catholique est soucieuse d’être présente auprès des souffrants. Elle le fait guidée par l’Esprit et l’exemple de Jésus-Christ qui s’identifiait aux malades : «J’étais malade et vous m’avez visité.» (MT.25, 36). La tâche d’apporter au malade le soutien de la foi et de la prière, est confiée plus particulièrement aux équipes d’aumônerie, composée de prêtres, de laïcs (ques), de religieux (ses) et de diacres. En accord avec la direction de l’institution hospitalière, les membres de ces équipes sont mandatés par l’évêque dans le cadre de l’aumônerie. Lors de son entrée à l’hôpital, le patient doit recevoir un formulaire qui lui permet d’exprimer sa demande d’assistance religieuse, morale ou philosophique. Pour Tournai, une équipe est présente sur chaque site : Notre-Dame, IMC, Dorcas, Union et se compose actuellement de douze personnes.

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L’équipe essaie de rendre visite au moins une fois à la personne hospitalisée, et ce malgré le séjour de plus en plus court. L’accompagnement du malade vise surtout le bien-être intégral de sa personne. Il se situe essentiellement au niveau d’une rencontre, d’un cheminement humain, en fonction des choix et de l’itinéraire personnel du malade. Outre la prière, l’Église propose à la personne hospitalisée les sacrements de la Réconciliation (confession) de l’eucharistie (communion) et l’Onction des malades. À la personne qui va quitter cette vie, si cela est possible, un membre de l’équipe donne aussi l’eucharistie en viatique. C’est par l’attention apportée à la requête du malade, et ce dans un partage fraternel, de foi et de prière, qu’advient le Dieu de Jésus-Christ qui accueille sans condition tout être humain : «Tu as du prix à mes yeux et moi je t’aime.» Is.43,3) I Michel THIRY.

M. Decarpentrie

Les équipes d’aumônerie au CHWAPI ...

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DANS NOTRE RÉGION

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Le partage du Carême 2014 Le Brésil, 6e puissance économique mondiale, reste un champion mondial des inégalités ! Plus d’un quart de la population brésilienne vit dans la pauvreté et plus de 20 millions de Brésiliens souffrent encore de la faim. Engagés dans un match sans merci contre la faim et l’agrobusiness, les paysans brésiliens nous montrent un chemin de victoire. Durant cette campagne de Carême, nous vous invitons à les soutenir dans cette voie ! Dans les campagnes brésiliennes, les grands propriétaires, de concert avec les firmes de l’agro-business, exploitent d’immenses surfaces et poussent les petits paysans dans l’exclusion et la pauvreté. L’accès à la terre, mais aussi à l’eau, aux crédits, au soutien gouvernemental et aux marchés sont les enjeux d’un match sans merci et, a priori, inégal. En s’unissant, en s’armant de patience, en résistant pacifiquement, les mouvements paysans parviennent, avec d’autres, à infléchir la politique du gouvernement pris en otage par le lobby agro-industriel et latifundiaire. Ainsi, à Goiás, la Commission pastorale de la Terre (CPT), partenaire d’Entraide et Fraternité, revendique une réforme agraire qui redistribuerait la terre de façon plus équitable. Cependant, rien ne sert d’obtenir de la terre si on ne peut pas, ensuite, l’exploiter et en vivre ! Elle promeut aussi un développement rural où la production agricole s’opère selon les principes durables de l’agro-écologie et où les paysans s’organisent en coopératives pour mieux produire et mieux écouler leurs productions. Par son travail engagé sur le terrain, la CPT est une présence solidaire, fraternelle et prophétique qui soutient les paysans dans leur lutte pour la terre et une vie digne. Partout, des projets apparaissent où les paysans reconquièrent leurs droits à la terre, où le discours hégémonique de l’agro-business est délégitimé, ses coûts réels dénoncés et où des pratiques agricoles alternatives et solidaires se développent. Dans ce pays immense qui s’apprête à accueillir la Coupe du monde de football, un autre match, bien plus fondamental, se joue. Il oppose deux modèles agricoles radicalement différents et, par-delà, deux modèles de société et de vie.

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Entraide et Fraternité

Pour nourrir leurs familles, les paysans brésiliens doivent garder l’esprit d’équipe !

Votre don contre la faim au Brésil. Ici, aussi, ce sont les bonnes stratégies et l’esprit d’équipe qui pourront faire la différence. Durant cette campagne de Carême, nous vous invitons à choisir votre camp et à devenir supporters de l’équipe qui apporte espoir et dignité aux plus démunis. La première collecte au profit d’Entraide et Fraternité a eu lieu les 29 et 30 mars. La seconde se fera les 12-13 avril 2014. Vous pouvez verser votre don sur le compte BE6800 00 00 00 3434 d’Entraide et Fraternité (attestation fiscale pour tout don de 40 € minimum par an). MERCI de votre solidarité avec les paysans brésiliens. Plus d’informations sur www.entraide.be ou sur la page Facebook d’Entraide et Fraternité.

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DANS NOTRE RÉGION

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Photos d’activités dans la région

Pierre Vasseur

photo SPF justice / EPI / S.Vincke

Appel des adultes en vue des sacrements de l’initiation chrétienne à Pâques.

Prison-Noël 2013

M. Decarpentrie

Marie Paule Duveiller

Messe de Noël 2013 à la prison Formation des visiteurs de malade avec le cardinal G. Danneels le 8 février 2014 Appel des catéchumènes à Hérinne en l’église d’Hérinnes le 9 mars 2014

Accueil de M. le cardinal Danneels.

France Anciaux

Marie-Paule Duveiller

Delphine qui sera baptisée à Pâques 2014

Assemblée des visiteurs de malade 2014

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Célébration présidée par le cardinal Daneels.

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HORAIRES DES CÉLÉBRATIONS

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UNITÉ PASTORALE TOURNAI-CENTRE CÉ L ÉB R AT I O N S CO M M U N AU TA I R ES D E LA RÉ CO NC I LI AT I O N :

Le vendredi 11, à 19 h à Kain-Tombe Le lundi 14, à 20 h à Notre-Dame-Auxiliatrice Le mercredi 16, à 19 h à Saint-Paul CÉ L ÉB R AT I O N S I N DI VI D U ELLES D U S ACR EM ENT D E RÉ CON C I LI AT I O N

Le samedi 12 avril, de 16 h à 16 h 30 à l’église St-Brice et de 17 h à 17 h 30 à St-Piat et à Notre-Dame de la Tombe Le vendredi 19 avril de 9 h à 12 h en l’église St-Brice

SEMAINE SAINTE ET PÂQUES 2014 DANS L’UNITÉ PASTORALE DE TOURNAI-CENTRE CÉ L É BR AT I O N S D ES RAM E AU X (1 2 -1 3 AV R I L)

Samedi 12 avril : - 17 h : Tournai, Saint-Brice - 18 h : Tournai, Saint-Lazare - 18 h 30 : Kain, Notre-Dame de la Tombe - 18 h 30 : Tournai, Saint-Piat Dimanche 13 avril : - 8 h : Tournai, Saint-Antoine - 9 h : Chercq, Saint-André Saint-Maur, église Saint-Maur Rumillies, Sainte-Marie-Madeleine - 9 h 30 : Willemeau, Saint-Géry - 10 h : Froyennes, Saint-Éloi Kain, Saint-Omer Tournai, cathédrale N.D. (d’abord bénédiction des rameaux à Saint-Quentin puis procession vers la cathédrale) - 11 h : Tournai, Notre-Dame Auxiliatrice Tournai, Sacré-Cœur - 18 h : Allain, Saint-Amand

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LA MESSE C H R ISMA LE

Le mardi 15 avril à la basilique St-Christophe à Charleroi à 18 h. C ÉLÉB R ATIO N S D U JEU D I SA IN T (1 7 AV R IL) :

- 19 h : Kain, Notre-Dame de la Tombe Saint-Maur, église Saint-Maur Tournai, cathédrale Notre-Dame C ÉLÉB R ATIO N S D U V EN D R ED I SA IN T (1 8 AV R IL) : JO U R D E JEÛ N E

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C ÉLÉB R ATIO N S DE S 1 R E S C O MMU N IO N S E N AVRIL

ALLAIN St-Amand., le 20 avril à 18 h FROYENNES St-Eloi, le 27 avril à 10 h TOURNAI St-Brice, le 26 avril à 17 h MÉMO R IA L GABRIE L PETIT

Le mardi 1er avril, à 9 h 15 à Saint-Brice, messe patriotique à la mémoire de Gabrielle Petit

- 15 h : Kain, Saint-Omer Tournai, cathédrale Notre-Dame Tournai, Notre-Dame-Auxiliatrice - 20 h : chemin de croix en ville (départ à 20 h du parvis de Saint-Quentin) C ÉLÉB R ATIO N S D E LA V EILLÉE PA SC A LE, LE SA MED I SA IN T (1 9 AV R IL) :

- 20 h : Tournai, Notre-Dame-Auxiliatrice Tournai, Sacré-Cœur - 21 h : Tournai, cathédrale Notre-Dame C ÉLÉB R ATIO N S D U JO U R D E PÂ Q U ES (2 0 AV R IL) :

- 8 h : Tournai, Saint-Antoine - 9 h : Chercq, Saint-André Tournai, Saint-Jacques Warchin, Saint-Martin - 9 h 30 : Ère, Saint-Amand - 10 h : Froyennes, Saint-Éloi Mont-Saint-Aubert, église Saint-Aubert Tournai, cathédrale Notre-Dame Tournai, Saint-Jean - 11 h : Orcq, Sainte-Agathe Tournai, Notre-Dame de la Salette Tournai, Saint-Paul - 11 h 15 : Tournai, Saint-Quentin - 18 h : Allain, Saint-Amand LE LU N D I D E PÂ Q U ES 2 1 AV R IL,

à 10 h à Notre-Dame-Auxiliatrice, messe traditionnelle en l’honneur de saint Corneille et de saint Saulve à 11 h en l’église de Mont-Saint-Aubert, messe et bénédiction des enfants

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UNITÉ PASTORALE TOURNAI-CENTRE

Des enfants en âge de scolarité seront baptisés à Pâques

Pourquoi a-t-on tué Jésus ? «Le Fils de l’Homme est livré aux mains des hommes, ils le tueront»

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La question surprend. On dit que Jésus est mort «à cause de nos péchés, pour sauver le monde, par amour pour nous. On dit rarement que Jésus a été tué. On se demande à peine pourquoi il a été tué. Lui-même avait employé le mot : «Le Fils de l’Homme est livré aux mains des hommes, ils le tueront». Il appelait la ville sainte de Jérusalem, celle qui tue les prophètes. Pourquoi a-t-on tué Jésus ? Pourquoi lui a-t-on fait subir le supplice que les Romains réservaient à leurs esclaves ou aux condamnés à mort des pays occupés ? Pour le Sanhédrin, l’accusation était de s’être déclaré Messie et d’avoir parlé de détruire le Temple. c’était un agitateur politique. Ainsi l’a-t-on présenté à Pilate. La foule, devant choisir Barabbas ou Jésus, était manipulée par ses ennemis. Facile de manipuler les masses par la «désinformation»i Pour les prêtres, les scribes, les pharisiens, les hommes en place, le motif de tuer Jésus était immense. Il était fou, blasphémateur, diabolique, il ne respectait ni la morale ni la loi ni le culte. Il bouleversait la société, la religion, Dieu lui-même ! Comme si Dieu bénissait sans demander de certificat de bonne vie et mœurs. Prétendant agir au nom de Dieu. Il détruisait les barrières sociales et religieuses. Il approchait ces bâtards, de samaritains. Il conversait avec les femmes de piètre réputation. Il annonçait un culte en «Esprit et Vérité». Il guérissait les enfants des étrangers. Il chassait les démons au nom de Dieu. N’était-il pas possédé ? Il avait piégé les théologiens. Il s’en était pris au Temple, la maison de Dieu. Cet homme était dangereux. Il fallait en finir. Pourquoi a-t-on tué Jésus ? À cause de sa vie, parce qu’il changeait tout, la société la religion, Dieu. Parce qu’il jetait une contagion dangereuse dans l’humanité : celle de la liberté et de l’amour, celle du Dieu qui est vie et feu. Le meurtre de Jésus, est-ce un fait divers révolu depuis vingt siècles ? Ne serait-ce pas encore aujourd’hui ? I M.D.

M. Decarpentrie

C’est dans sa mort que nous avons été baptisés pour que nous menions une vie nouvelle !

Les eaux du baptême engendrent à la vie divine. Présentation Alors que le baptême d’un petit enfant n’est pas le choix de l’enfant mais celui des parents, le baptême devient davantage son choix personnel lorsque l’enfant est en âge de scolarité. C’est la raison pour laquelle le chemin de l’initiation chrétienne d’un enfant, dès l’âge de 5 ans, correspond plus à celui d’un baptême d’adulte. Ce chemin est accompagné des parents, des parrains et marraines, d’un témoin de l’Église et de toute la communauté rassemblée lors de la célébration des étapes. Il y a bien sûr des différences avec le baptême des adultes. 1. La préparation et le langage utilisé seront adaptés à un enfant de cet âge. 2. Lors de l’accueil de la demande de baptême, l’assentiment des parents de l’enfant sera requis Le baptême des enfants en âge de scolarité se célèbre par étapes. On prévoit, la plupart du temps, trois célébrations qui sont autant d’étapes de la préparation : 1. L’entrée en catéchuménat. C’est l’expression publique du désir de l’enfant. Il est marqué du signe de la croix. L’Église accueille sa demande et prie pour lui. Il devient chrétien catéchumène. 2. Un rite pénitentiel où l’on proclamme l’amour de Dieu. Cette étape est centrée sur la prière de pardon, l’imposition de la main et l’onction d’huile des catéchumènes. 3. Le baptême et l’eucharistie. Normalement, le baptême est immédiatement suivi de la première communion, c’est-à-dire de la première participation en plénitude à l’eucharistie. Cette étape se célèbrera normalement soit à Pâques soit à la Pentecôte. Les rencontres de préparation sont organisées dans le cadre des «matinées ou après-midi de la foi». Les parents, frères et sœurs y sont aussi conviés. Dans l’unité pastorale, Amelin, Joséphine, Louis-Victor, Inès, Louis, Leeloo, Léon, Thomas, Mia, Kristy, Almenzo, Emilien, Gwennaïk, Emmilien, Isoline Agathe, Anaïs, Gabriel et Henri sont entrés dans la communauté chrétienne et devenus catéchumènes, le 1er dimanche à l’église St-Quentin. I M.D.

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St-Maximin la Sainte-Baume- Marie-Madeleine portant les aromates.

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UP TOURNAI-CENTRE ET UP ANTOING

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Notre-Dame de la Merci

Une communauté à Blandain… et aussi à Bonsecours.

Communauté de Blandain.

Inspirée de l’œuvre de saint Pierre Nolasque en 1843, Sr Elisabeth Bacq fonda l’ordre de N. D. de la Merci : la vierge qui tient dans ses mains une chaîne rompue. Cette chaîne représente toutes les misères que les Sœurs de la Merci veulent combattre : l’ignorance, avec écoles ; la misère des enfants abandonnés, grâce aux refuges ; les souffrances, avec des dispensaires et des cliniques ; la solitude de la vieillesse, grâce aux homes. L’ordre s’est répandu dans le monde. Il est implanté en Italie, en France, au Chili, en Belgique, en Inde, en Amérique, en Indonésie et en tout dernier lieu en Afrique. Notre maison est située au centre de Blandain, c’est un ancien pensionnat des Sœurs de la Visitation. Elle héberge 32 pensionnaires sous la direction de 4 Sœurs aidées d’un personnel compétent et dévoué. Les Sœurs de la Merci sont formées à la prière et à l’action. Tôt le matin la prière, la messe et la méditation fonde la journée de service. Dans l’après-midi, le chapelet, l’office et l’oraison avant la reprise du servcie. Une journée équilibrée : de l’action et de la prière. Le dimanche, notre chapelle est ouverte pour la messe aux personnes étrangères à l’établissement. Cela nous a permis d’être connues et de nouer des solides amitiés. Si vous voulez en savoir plus, vous serez les bienvenus. I Les sœurs

La fraternité de l’enfant Jésus «Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui… ait la vie éternelle» Jean 3,16 nous faire proches des petits que Jésus vient sauver et pour qui nous avons un amour de préférence. Quelle que soit notre forme de service, nous annonçons la Bonne Nouvelle du salut tant par nos gestes que par nos paroles. Quand la souffrance nous atteint dans notre chair, quand nous accompagnons nos frères blessés, quand nous traversons des moments de colère, de révolte, de tristesse, d’amertume,… parfois jusqu’aux ténèbres, nous communions dans la foi à la Passion de Jésus-Christ qui est allé jusqu’à donner sa vie pour que les hommes aient la vie en plénitude. Dans la vie communautaire, vécue en vérité jusqu’au partage et au pardon, nous recevons la grâce de former un peuple de frères qui témoigne du Royaume. Renouvelés dans notre vo-

cation personnelle, comme les apôtres nous cherchons à accomplir patiemment dans la joie la mission qui nous est confiée au nom de l’Église. La contemplation de Jésus, passionné de la volonté du Père, prenant parti pour les petits, convertit notre cœur et change notre regard : tout homme devient pour nous le chemin privilégié de la rencontre avec Jésus-Christ.»

M. Decarpentrie

Issue de la spiritualité de l’Enfant Jésus de Lille, la fraternité a vu le jour en 1982. Composée de couples, de veufs, de célibataires, de religieuses et de prêtres, elle a pour référence une «Charte de vie», adaptée aux états de vie. La fraternité se compose de 3 équipes. Les réunions sont mensuelles. Le partage se concentre sur un thème : actuellement : l’humilité. Deux assemblées plénières se tiennent par an : une, à l’épiphanie, l’autre, à Pâques. Une récollection est oganisée fin octobre. Le fondement de la fraternité «Petits au milieu des petits, nous vivons dans la simplicité du cœur et nous partageons ce qui fait notre vie et notre travail. Tout ce qui touche l’humain, ses beautés, ses grandeurs et ses misères bouleverse notre cœur. Malgré nos propres fragilités, toutes les formes de pauvreté des hommes de notre temps sont pour nous autant d’appels à nous engager plus avant. Dans un élan de confiance vers le Père, nous lui demandons l’audace et la force de

Rencontre de fraternité à Lille.

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UNITÉ PASTORALE ANTOING

Membre de l’équipe d’animation pastorale

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Membre de l’équipe d’animation pastorale Interview

L’EAP d’Antoing entre cette année en renouvellement. Chaque mois vous connaîtrez mieux ses membres : Annie DELANNOY

L’EAP d’Antoing entre cette année en renouvellement. Chaque mois vous connaîtrez mieux ses membres : Ghislain DE DEKEN

Annie Delannoy. Qui es-tu ? Je m’appelle Annie Delannoy-Campener, J’habite Bléharies, j’ai 62 ans, je suis mariée à Michel depuis 40 ans, j’ai trois fils et troispetites filles. J’ai travaillé comme infirmière en soins à domicile pendant trente-huit ans. Mon nouvel emploi du temps : le jardin, l’art floral, la lecture, le bricolage et plusieurs autres choses. Je fsuis membre de l’équipe d’animation pastorale depuis 2 ans et demi. Comment es-tu entrée en EAP ? J’étais catéchiste depuis 1998, c’est là le début de mon engagement dans l’Église. J’ai répondu à un appel durant une eucharistie par le doyen Novak, immédiatement j’ai ressenti que cet appel m’était adressé. Par la catéchèse j’ai approfondi ma foi et j’ai participé à la vie du doyenné. Quand j’ai reçu la demande de faire partie de L’EAP j’ai accepté…, je fais confiance au Christ, chacun peut avoir un rôle si petit soit-il ! Tes moments les plus forts ? Une retraite à L’abbaye du Mont des cats en UP. J’ai découvert la prière des moines, j’ai été touchée par le silence, l’ambiance. Le temps de prière à chaque réunion. Qu’as-tu apporté à L’EAP ? Je me demande souvent pourquoi j’ai été appelée, est-ce que j’ai apporté quelque chose ? Je ne sais pas, je suis là simplement parce que le Christ me le demande. Qu’attends-tu de l’EAP ? Faire le maximum pour que toutes nos paroisses deviennent de vraies communautés, faites d’entraide, de collaboration, de mise en commun de tous leurs moyens. L’avenir dans L’UP ? Continuer sa mission essentielle d’annoncer l’Évangile, de célébrer, et surtout d’avoir une attention spéciale pour les plus faibles. Essayer de mettre en œuvre les décrets du synode sans heurter ne sera pas facile…

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Qui es-tu ? Ghislain De Deken, j’ai 60 ans. Je suis marié et père de quatre enfants et trois petits enfants. Mes études, en Humanités Latin-Math au collège ND puis une licence en Sc. Physiques (UCL). Ensuite, prof. à l’Inst. St Charles et au collège ND. Ma jeunesse et animateur au patro de Rumes. Trésorier de l’École Libre de Rumes. Depuis mon entrée dans l’EAP, je co-anime un atelier de lecture. Comment es-tu rentré en EAP ? Ma motivation est double. Je ressens la nécessité de l’investissement des laïcs. Le souffle ne viendra pas seulement d’en haut. Je suis toujours en recherche d’une maturation de ma foi. Tes moments les plus forts ? Nos réunions sont quasi toutes des moments forts. La prière, un ordre du jour chargé, des divers et un moment de convivialité. Nos débats animés, francs respectent les opinions personnelles. Nous savons au nom de qui nous sommes là : le Christ. Bien sûr, il y a des moments d’exception : retraite, journée d’évaluation, sorties «conférence», notre jardin bio,… Qu’as-tu apporté à l’EAP ? Je reçois beaucoup et je donne peu. Cela dit, l’EAP a reçu une mission, j’essaie d’y prendre part, humblement. Qu’attends-tu de l’EAP ? Je souhaite l’untité de l’EAP, que le Christ soit notre guide. Je serais heureux que l’EAP puisse intégrer des jeunes. Et que les chrétiens se rencontrent avec confiance. Il y a encore trop de «chasses gardées» d’un autre temps, de confusions entre service et pouvoir. Nos églises se vident et le phénomène s’amplifiera encore. Mais il y a beaucoup de gens «hors l’Église» qui ne sont pas «hors la foi». Et il faut pouvoir les écouter, leur proposer de vivre leur foi aussi autrement. L’avenir de l’UP ? L’UP a peu d’autonomie. Nous attendions beaucoup du synode diocésain, mais je ressens une déception à la lecture des décrets.

Ghislain DE DEKEN

Annie Campener

Interview

Ghislain DE DEKEN.

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UNITÉ PASTORALE ANTOING

VOTRE AGENDA POUR CE TEMPS DE CARÊME Le temps du Carême est un temps privilégié pour nous retrouver en Unité pastorale. Retrouver le sentiment de former un seul Corps en Jésus-Christ, membres les uns des autres dans le respect des divers charismes que l’Esprit suscite en chacun. Il y a un réel défi à former des Assemblées célébrantes qui témoignent de la Présence du Christ voulant le salut de toute l’humanité. N’hésitons pas à nous rassembler pour faire SIGNE !

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Méditation pour le temps du Carême : La joie de la Conversion Apprenons durant ce temps de la vraie Joie à nous laiiser convertir à la personne de Jésus-Christ qui ne cesse de nous appeler à nous attacher à Lui

VE I L L É E S D E PR I ÈR E Les mardis 1er avril à Howardries, et 8 avril à Taintignies à 20 h

Un prêtre sera disponible pour vivre le sacrement de réconciliation les 5, 6, 12 et 13 avril 45 minutes avant chaque eucharistie domnicale à Bruyelle, Rumes, Wez, Fontenoy, Hollain, Rongy, Howardries, Jollain, Maubray, Laplaigne, Péronnes et Taintignies BÉ NÉD I C T I ON DE S R A M EAUX Lors des eucharisties des 12 et 13 avril à Howardries, Jollain, Maubray, Rumes, Laplaigne, Péronnes et Taintignies L A S E MA I NE SA I NT E

Jeudi saint Célébration de la Sainte Cène en l’église de Laplaigne, le 17 avril à 18 h 30

Vendredi saint

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RE T RO UVON S LA J O I E D’ U N CŒ U R R ÉC O N C I LI É

Le temps du Carême Voici le temps de la Joie de la conversion. Traversant tous les aléas de la vie, nous sommes invités à nous convertir radicalement au Christ, à nous décider pour Lui. Reprendre conscience que devenir chrétien ce n’est pas d’abord nous attacher à un ensemble de valeurs mais d’adhérer à la personne de Jésus-Christ qui une fois rencontré change complètement notre vie. Pour votre méditation : L’homme parfois doit se retirer amoureusement dans le secret et se livrer à une sainte prière intérieure, à de saintes médiations, parfois il doit renoncer à l’une ou l’autre pratique et faire comme dit saint Anselme : « Arrache-toi à la multiplicité des œuvres extérieures, laisse assoupir l’ouragan des pensées intérieures et assieds-toi, repose-toi en t’élevant toi-même au-dessus de toi-même.» Et lorsque l’homme a fait ainsi régner en lui-même une paix tranquille, quand tout bruit a cessé, le Seigneur vient, comme il l’a fait pour Élie dans un chuchotement à peine perceptible, dans un murmure, et jette un éclair dans l’esprit. I Jean Tauler, 1er sermon pour le 17e dimanche après la Trinité

Office de la Passion en l’église d’Antoing, le 18 avril à 18 h suivi du chemin de Croix public vers Calonne à partir de 19 h

Samedi saint Veillée pascale en l’église d’Antoing, le 19 avril à 20 h

Saint jour de Pâques

mcbf

La Sainte fête de la résurrection sera célébrée cette année en l’église de Bléharies à 10 h 30 Bruyelle à 10 h 30 La Glanerie à 10 h Maubray à 10 h 30 Wez à 10 h 30 Chemin de Croix (Lourdes)

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UNITÉ PASTORALE LEUZE

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Messe des familles et nouvelle catéchèse

Le Week-end des 15 et 16 février je fêtais mon septantième anniversaire, aussi mon doyen, l’abbé Luc Depuydt a-t-il voulu me faire un cadeau. Il m’a offert la possibilité de présider la célébration de la messe des familles… c’était vraiment un beau cadeau ! Il faut savoir qu’à Leuze-en-Hainaut il y a une belle équipe qui prépare chaque mois cette célébration avec grand soin. Après les souhaits de bienvenue d’usage, j’ai pris le temps de remercier l’équipe pour le travail accompli et je n’ai pu m’empêcher de poursuivre sur le ton de la gentille taquinerie ! Dans les responsabilités pastorales qui furent les nôtres à l’abbé Luc et à moi, avant

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d’arriver à Leuze, nous avons connu des rencontres de catéchèse où les parents et parfois aussi les grands-parents participaient activement. Voilà encore de belles perspectives pour notre Unité de Leuze… Mais je pense que le tout grand chantier de l’avenir - en matière de catéchèse- sera, d’impliquer toute la communauté des paroisses et non seulement de mettre les parents très largement dans le coup. Un défi à première vue irréalisable, et pourtant nos évêques y croient dur comme fer, personnellement je me suis beaucoup démener pour y arriver… sans grands résultats, mais on n’arrive pas à de telles modifications sans

beaucoup de persévérance et de suite dans les idées. Vous entendrez sans doute bientôt parler du document formidable de nos évêques sur cette question, nous y sommes TOUS invités à prendre une part active dans la catéchèse. Daniel Delvaux est depuis bientôt 5 ans prêtre auxiliaire dans notre doyenné. Il réside a la cure de Pipaix. Le 7 juillet 2013, il a fêté ses 40 années d’ordination. Le 15 février il a fêté dans la discretion qui le caractérise ses 70 ans. Au nom de tout le doyenn, nous lui souhaitons un heureux anniversaire.

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Fête de la lumière

DR DR

fête de la lumière pour Foi et Lumière - la Maison du Pain Le dimanche 2 février, en la fête de la Présentation du Seigneur au Temple, notre communauté Foi et Lumière a fêté la lumière. Notre vicaire dominical Père Alain a présidé l’eucharistie festive en la collégiale, transformée pour l’occasion en Temple… Temple où Anne et Siméon on accueilli Marie et Joseph présentant le 40e jour de la Nativité Jésus, lumière des hommes. Le repas eucharistique fut prolongé par de joyeuses agapes. Nous pouvons rendre grâce pour ce cadeau que les communautés Foi et Lumière nous font, en nous permettant de rencontrer Jésus en leur cœur. Ces rencontres avec Jésus, qui nous transforment personnellement et qui transforment à leur tour chaque communauté. Que notre communauté ‘la maison du Pain’ puisse continuer à être source de paix et de Joie pour nos familles, pour nos paroisses, pour nos différents milieu de vie et pour l’Église et le monde ! Ensemble rayonnons et soyons par la prière lumière pour les hommes. Foi et Lumière : une communauté rassemble des membres qui se réunissent une fois par mois pour une rencontre d’amitié et de partage, de fête, de célébration et de prière. Entre les rencontres, les membres de la communauté continuent de tisser des liens personnels. Ils se retrouvent aussi pour un camps de vacances de 3 jours programmé chaque été. Foi et lumière ouvre un chemin d’amitié et d’engagement avec la personne handicapée, chacun découvrant l’autre en la présence de Jésus vivant. Une bien belle journée pour tout le monde présent ce jour, et qui restera il me semble gravée dans les mémoires de chacuns d’entre nous… Retrouvez toutes les informations nécessaires concernant le mouvement «Foi et Lumière» sur le site Internet du doyenné de Leuze : http://doyennedeleuze.be/mouvements/ foi-et-lumiere page gérée par les membres responsables de Foi et Lumière qui reprend les informations à ne pas manquer pour rester au courant de ce qu’il se passe près de chez vous.

La maison du Pain

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UNITÉ PASTORALE PÉRUWELZ

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Claire : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? Patricia : Je dirais d’abord que le chef de chœur c’est Jésus, mais je ne vais pas vous le présenter… Je me considère plutôt comme une des créatrices et organisatrices du groupe, mais c’est comme un flambeau qui est appelé à se transmettre. Pour ma part, je m’appelle Patricia, j’ai 17 ans et je suis étudiante en rhéto à Tournai. Claire : Parmi vos passions, la musique. Qu’est-ce qui vous a attiré vers ce hobby ? Patricia : Depuis que je suis petite, je vais à l’académie, encouragée par mes parents. Cela fait plus de 10 ans que je joue de la guitare classique et de nombreux camps et week-ends m’ont motivée à apprendre l’accompagnement, comme le choose life, les week-ends diocésain, les camps vélo de l’assomption,… Depuis je me débrouille aussi en clarinette et en harmonica… La musique, c’est comme une base dans ma vie, c’est aussi un don que j’ai reçu et que j’ai envie de partager. Claire : Pouvez-vous nous raconter l’historique de la chorale ? Comment est-elle née… Patricia : Tout d’abord, je tiens à préciser qu’on ne se définit pas vraiment comme chorale, plutôt comme un groupe d’animation musicale. Le but premier était de trouver un moyen pour donner goût à des jeunes de revenir à la messe. La musique n’est qu’un «prétexte» pour rendre une messe par mois plus jeune et plus vivante. On a commencé au début à chanter un ou deux chants par messe à Bon-Secours, puis on a changé pour animer entièrement une messe par mois à St-Quentin à Péruwelz. Claire : Qui la compose aujourd’hui ? Patricia : Dans les jeunes qui chantent ou font des percussions : Audrey, Sacha, Angélique, Etienne et Edgar, mais ce nombre est variable, d’autres nous rejoignent moins régulièrement. Marie-Cécile et Anne-Gaëlle, des mamans qui nous accompagnent à la flûte et au clavier, et Rosanne qui nous rejoindra bientôt à la guitare. Pour ma part, j’accompagne à la guitare et au chant. Claire : Quel est votre répertoire ? Patricia : Les chants jeunes, pep’s, des chants actuels qui parlent avec nos mots, notre musique… À la base on est parti de fardes de chants que nous avions reçu en famille lors de week-end chants et nature à Farnières. Et maintenant je pioche dans les

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Pastorale Jeunes diocèse Tournai

Patricia Rubbers... Notre coup de «chœur» du mois...

Patricia Rubbers, très active au sein de la pastorale des jeunes… nombreux chansonniers de répertoire jeune catho : partitions des jmj, du festival choose life, de Glorious,… Claire : Y a-t-il un souvenir particulièrement chaleureux que vous souhaitez partager avec les lecteurs ? Patricia : Il y a de bons souvenirs à chaque mjf (abréviation de messe des jeunes et des familles). La musique et la foi créent des liens très forts et très beaux. À chaque fois, j’ai un fou rire avec l’un ou l’autre, un moment de joie, de paix… Claire : Vous répétez toutes les semaines ? Patricia : Non, comme il y a une mjf par mois, on fait généralement une petite répétition entre musiciens un soir de la semaine avant. Et le matin-même, on arrive une heure avant la messe, le temps de monter le matériel et de répéter encore une fois les chants. Claire : Vous animez la messe des jeunes et des familles, comment vous est venue l’idée ? Patricia : Notre but premier était d’encourager les jeunes à aller à la messe, de créer

une place spéciale pour que nous nous sentions accueillis, pour que les messes ne soient pas que de vieux trucs démodés et ringards. Pour cela, nous essayons d’avoir des homélies adaptées, et une ambiance, particulièrement grâce à la musique. Claire : Qu’y faites-vous en plus du chant ? Patricia : De la guitare, de la danse sur certains chants… Claire : Comment doit-on faire pour vous rejoindre ? Patricia : Dire «bonjour, je suis un (e) jeune, je m’appelle… et j’aime bien chanter ou jouer d’un instrument ou j’ai un talent à partager…», soit venir nous voir à la fin ou au début d’une mjf, soit envoyer un mail, me contacter par téléphone, plus d’infos sur le site de la pastorale des jeunes ou sur la page facebook. papatte@scarlet.be 0498 54 39 43 http:// jeunescathos-tournai.be/fr/groupes/mjf https ://www.facebook.com/messedesjeunesetdesfamilles.peruwelz I Propos recueillis par Claire Meersmans.

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NOUVELLES DE LA CATHÉDRALE

Diocèse de Tournai

Triduum pascal La Constitution sur la Sainte Liturgie (1963), du concile Vatican II, a un chapitre sur l’année liturgique. On y lit : Chaque semaine, au jour qu’elle a appelé «jour du Seigneur», l’Église fait mémoire de la résurrection du Seigneur, qu’elle Monseigneur célèbre encore une Guy Harpigny. fois par an, en même temps que sa bienheureuse passion, par la grande solennité de Pâques (n° 102). Dans la présentation de l’année liturgique, faite après le concile Vatican II, une grande importance est accordée au triduum pascal, le sommet de l’année liturgique. Il commence avec la messe du soir du jeudi-saint, la veillée pascale constitue son centre et il se termine avec les vêpres du dimanche de Pâques. Le mardi-saint dans le diocèse de Tournai, l’évêque concélèbre la messe chrismale avec son presbyterium pour bénir les huiles et consacrer le saint-chrême. Le jeudi-saint, l’Église fait mémoire de la Cène du Seigneur, avec le lavement des pieds, l’institution de l’eucharistie et l’institution du sacerdoce des évêques et des prêtres. Le vendredi-saint, l’Église fait mémoire de la passion, de la mort et de l’ensevelissement du Seigneur. La liturgie est célébrée l’après-midi. À Tournai a lieu un chemin de croix à travers quelques rues de la ville. Le samedi-saint au début de la nuit commence la veillée pascale, au cours de laquelle l’Église célèbre les sacrements de l’initiation chrétienne des adultes (baptême, confirmation, eucharistie). Le dimanche de la résurrection, Pâques, ouvre le temps pascal qui va jusqu’à la Pentecôte. Nous sommes tous invités à participer aux célébrations qui vont du dimanche des rameaux et de la passion jusqu’au jour de Pâques. N’oublions pas de célébrer le sacrement de la réconciliation et de la pénitence. N’ayons pas peur de participer à la messe chrismale du mardi 15 avril 2014 à 18.0 h à la basilique Saint-Christophe à Charleroi. Le personnel soignant et les aumôneries d’hôpitaux comme les visiteurs de malades y sont particulièrement attendus. I + Guy Harpigny, évêque de Tournai

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D IMA N C H E À LA C ATH ÉD R AL E Eucharistie dominicale à 10 h dans la nef romane. Eucharistie souvent présidée par Monseigneur l’Évêque. Liturgie des heures : Vêpres dominicales à 17 h 30 (prière communautaire du soir). LA SEMA IN E À LA C ATH ÉD RAL E Chaque jour, eucharistie, précédée de la prière du milieu du jour (chapelle de prière du chœur gothique). Du lundi au vendredi à 11 h. Le samedi à 10 h. Pendant le Carême : liturgie des vêpres le mercredi et le vendredi à 17 h 30 (dans la chapelle du chœur gothique). Sacrement de la réconciliation. Le samedi, les confessions ont lieu de 10 h 45 à 12 h dans la chapelle du Saint-Esprit et dans la salle du Chapitre. Adoration eucharistique. Le samedi, nous sommes invités à un temps d’adoration et de prière devant le Saint-Sacrement (chapelle de prière du chœur gothique, après la messe jusqu’à 11 h 45). O FFIC ES D E LA SEMA IN E SA IN TE P RÉ S IDÉ S PA R MO N SEIG N EU R L’ÉV ÊQ UE ? Dimanche 13 avril - Dimanche des Rameaux et de la passion : bénédiction des Rameaux à 10 h en l’église Saint-Quentin, procession et eucharistie à la cathédrale. [En cas de pluie, rassemblement à 10 h au fond de la cathédrale]. Deuxième collecte du Carême de partage. Vêpres dominicales à 17 h 30. Concert littéraire «Le chemin de Croix» de Paul Claudel à 18 h 30 dans la nef romane de la cathédrale. Orgue : Etienne Walhain. Récitant : Jean-Pierre Lorette. (Entrée libre). Mardi 15 avril - messe chrismale Consécration du saint chrême et bénédiction de l’huile des malades et des catéchumènes au cours de l’eucharistie célébrée à 18 h en la basilique Saint-Christophe à Charleroi. Jeudi 17 avril - Mémoire de la Cène du Seigneur eucharistie à 19 h à la cathédrale (nef romane). Veillée de prière auprès du Saint-Sacrement jusque 23 h (chapelle de prière du chœur gothique). Vendredi 18 avril - La Passion et la mort du Seigneur Office des lectures à 9 heures dans la chapelle de prière du chœur gothique (Cathédrale). Sacrement de la Réconciliation : confessions de 9 heures 30 à 12 h à la Salle du Chapitre (Cathédrale). Liturgie de la Passion du Christ à 15 h à la cathédrale (nef romane). chemin de Croix dans les rues de la ville à 20 h (départ à l’église Saint-Quentin). Samedi 19 avril - Dans l’attente de la Résurrection Office des lectures à 9 heures dans la chapelle de prière du chœur gothique (Cathédrale). SA C R EMEN T D E LA R ÉC O N C IL IAT ION Confessions de 9 heures 30 à 12 h à la Salle du Chapitre (Cathédrale). SO LEN N ITÉ D E LA PÂ Q U E D U SEIGNE UR Samedi 19 avril : VEILLÉE PASCALE et eucharistie pascale à 21 h à la cathédrale. Dimanche 20 avril : eucharistie du Jour de Pâques à 10 h à la cathédrale. La Maîtrise de la cathédrale et sa Manécanterie, sous la direction du Maître de chapelle Eric Dujardin, interpréteront la «Missa brevis» de Grayston Ives ainsi que «Ave Verum» de W.-A. Mozart et «Jubilate Deo» de Laszlo Holmes. Vêpres dominicales à 17 h 30. Octave de Pâques : Les eucharisties quotidiennes, solennisées, ont lieu dans la nef romane.

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DIOCÈSE DE TOURNAI

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Retrouvez l’agenda du diocèse sur www.diocese-tournai.be et l’information en continu sur www.InfoCatho.be

La catéchèse : des nouveaux repères

Par ses appels à l’évangélisation, le pape François s’est fait la figure de proue de cette belle initiative de mener tous les Hommes à l’amour du Christ. Des paroles en l’air ? Non, tout ceci est largement développé dans la lettre des évêques de Belgique : «Devenir adulte dans la foi». Cette lettre reste le texte de référence pour les années à venir. Tous les catéchistes sont invités à l’approfondir, puisque c’est un véritable «mode d’emploi» pour faire le catéchisme des petits et des grands. Dans le document «Devenir adulte dans la foi», les évêques de Belgique suggèrent de mettre en œuvre des «assemblées catéchétiques». Mais qu’est-ce que c’est ?

Des assemblées catéchétiques ?

Diocèse de Tournai

Les assemblées catéchétiques partent d’un constat : les fidèles ont besoin d’être nourris pour grandir dans leur foi. C’est d’ailleurs un des constats du questionnaire sur la famille : les catholiques pratiquants sentent qu’ils ne connaissent pas assez leur foi. Et avec un sermon de 10 minutes maximum, ce n’est pas la messe dominicale qui peut remplir à elle seule ce besoin de formation. En se regroupant, plusieurs fidèles peuvent recevoir un enseignement sur la foi,

Catéchèse : en route pour une nouvelle dynamique. ainsi que poser des questions. Ces assemblées peuvent également prévoir une rencontre-débat avec une personnalité d’Église (telle que l’évêque ou un prêtre spécialisé) ou un temps de lectio divina en commun. Elle n’est pas destinée uniquement à ceux qui demandent le baptême : tous les fidèles de la paroisse sont invités à participer. Il n’y a pas d’âge pour grandir dans la foi ! Le pape François nous demande d’aller évangéliser les «périphéries de l’Église» mais ce n’est pas qu’une expression géographique, il y a aussi des gens près pour qui le message du Christ ne dit plus rien. Lorsque ces gens reviennent à l’église à l’occasion d’un mariage ou d’un enterrement, il faut leur proposer de découvrir cette foi qui est la leur.

Des assemblées catéchétiques pour une nouvelle approche de la catéchèse.

Diocèse de Tournai

Depuis déjà quelques années, un appel à un nouveau dynamisme de la catéchèse a été lancé dans l’Église. Parmi d’autres, le diocèse de Tournai propose une recette : les «assemblées catéchétiques».

Pour vous aider à organiser de telles rencontres, la Commission Interdiocésaine de Catéchèse a pensé à plusieurs outils : Le premier s’intitule : «Nous sommes ton Église. Propositions pour une catéchèse en communauté» ; Le deuxième a pour titre «Père, pardonne-leur…» Vous pouvez les acquérir à la librairie Siloë ainsi qu’à la Maison diocésaine de Mesvin. Constituer une équipe d’animation est important pour assurer un bon suivi de l’assemblée catéchétique. Elle aura pour mission de préparer les différents temps de l’enseignement et de la prière.

Un exemple concret : la figure du Père Damien Dans le diocèse, des paroisses ont déjà eu l’occasion d’organiser ces assemblées de catéchisme autour d’un personnage bien précis : Saint Damien de Molokai. Profitant de la canonisation du missionnaire belge Damien De Veuster, des fidèles ont eu l’idée de proposer sur le terrain une assemblée catéchétique avec la personne du Père Damien comme figure de proue. L’appel de chacun à être un saint, le sacrifice de soi pour les plus faibles, l’importance de l’eucharistie dans la vie de tous les jours, etc. Autant de sujets propices pour améliorer sa relation à Dieu. Un beau moyen de poursuivre sur la lancée de l’Année de la foi ! I MB

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