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N ° 9 Juin 2014 SUPPLÉMENT AU JOURNAL D I M A N C H E AGRÉGATION
LE CAHIER PAROISSIAL DE LA RÉGION PASTORALE DE TOURNAI Tournai, Antoing, Leuze-en-Hainaut, Péruwelz
NO :
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La lumière s’incarne dan s les yeux d’un père qui parle à son enfant.
Région pastorale
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RÉJOUIS-TOI !
UN PÈRE A DEUX VIES : LA SIENNE ET CELLE DE SON FILS
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JE SUIS DOUX ET HUMBLE DE
CŒUR !
DR
SAINTE TRINITÉ, À TOI LOUANG E ET GLOIRE !
M. Decarpentrie
Taizé
VIENS, ESPRIT SAINT, DOUCE FRAÎCHEUR. EN NOS CŒURS,
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M. Decarpentrie
Une messe en eurovision le 29 mai ! La RTBF a choisi notre région pastorale, et plus particulièrement l’église St-Jacques, pour diffuser la messe de l’Ascension en Eurovision ! A travers l’unité pastorale de Tournai-centre, c’est toute une partie du Hainaut occidental qui est ainsi invitée à rendre un service majeur à la communauté de celles et de ceux qui ne peuvent plus ou pas faire assemblée pour célébrer la fête. Les chrétiens de la région seront donc les bienvenus en l’église St-Jacques et particulièrement tous les fidèles du pèlerinage à Compostelle : cette magnifique église est, en effet, une étape incontournable sur ce «chemin de l’étoile» ! Les chrétiens de Tournai-centre vous accueilleront chaleureusement. Ensemble, rassemblés ce jeudi-là, nous sommes invités aussi à accueillir les malades, les personnes âgées, les prisonniers, les chrétiens isolés dans leur lieu de vie en Afrique, au MoyenOrient ou ailleurs… Notre participation montrera que nous sommes vraiment capables de nous ouvrir au monde. «Allez donc ! De toutes les nations faites des disciples, baptisez-les au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit ; et apprenez-leur à garder tous les commandements que je vous ai donnés. Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde». La chorale de St-Quentin a invité tous les autres choristes à la rejoindre pour former une chorale d’unité. Merci aux musiciens qui rehausseront cette célébration ! Parmi ces musiciens, il y aura un organiste de chœur, Philippe De Smet ; un organiste au Grand Orgue, Sébastien Nef ; un trompettiste, Christian Chuffart (Tp) ; au violoncelle, Christiane Diricq (cello). Le chef de chœur sera Claude Bonnet et la soliste, Sylvie Vertraeten. Merci aussi à la chorale africaine de Mons qui a accepté de venir célébrer avec tous ceux qui communieront avec nous à St-Jacques et sur les ondes de l’eurovision. La concélébration sera présidée par le doyen de Tournai, la prédication assurée par le Fr. Ph. Cochinaux et le commentaire par le Fr. Didier Croonenberghs. I M.D.
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La vocation naît de la compassion «En débarquant, Jésus vit une foule nombreuse. Il fut ému de compassion…» (Mc6, 34)
Diocèse de Tournai
DANS NOTRE RÉGION
Ordination diaconale 16 mars 2014 Qu’est-ce qui fait courir la foule : un orateur, un guérisseur, un homme de Dieu ? Un peu tout cela à la fois probablement ! Jésus ne les rejette pas. Derrière l’ambiguïté de la démarche humaine, il y a autre chose : une faim de santé, de sécurité, de bonheur, de pain tout simplement. Il y a aussi une faim de vivre et d’être aimé toujours. Dans la scène de Marc, il y a un contraste entre le petit nombre des apôtres et le grand nombre de la foule. Il y a une disproportion entre la fragilité des envoyés et l’immense attente de l’humanité. Jésus est «ému de compassion». Quelle formation l’apôtre reçoit ici ! Le témoin de l’Évangile est ainsi invité à être le témoin de la tendresse de Jésus. La compassion de Jésus se traduit par un acte d’enseignement. La Parole de Jésus crée un peuple, une Église. Tout apôtre est d’abord au service de la prédication de la Bonne Nouvelle. Il est celui qui proclame et enseigne. L’assemblée eucharistique n’est-elle pas, d’ailleurs, nourrie par la proclamation de la Parole et nourrie ensuite du Pain de vie ? Deux nourritures indispensables pour la faim profonde de l’homme. Les foules ont suivi Jésus dans un lieu désert. La réaction des apôtres est celle du bon sens et de la prudence : «Renvoie-les !». En effet, avec le temps qui passe, un problème très concret va se poser : la question de la nourriture. Les apôtres seuls sont incapables de nourrir la foule. Seul Jésus peut combler la faim profonde de l’homme. C’est dans cette prise de conscience là que l’apôtre deviendra collaborateur de Jésus. Si le disciple ou une communauté se découvre incapable de nourrir les aspirations des hommes et des femmes de leur époque, c’est peut-être une invitation discrète à se confier au Seigneur plus qu’à des projets ou des structures ! Jésus invite les disciples à faire le bilan des maigres possibilités humaines. Il ne désire pas nourrir les hommes à partir de rien, mais à partir du fruit du travail qu’il va bénir et féconder. Les apôtres seront envoyés comme médiateurs entre Jésus et son peuple. Ils seront les ministres de la compassion, se préoccupant de toutes les faims humaines. I M.D.
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Né du souffle de la Pentecôte et de l’audace des apôtres !
Manga - La Métamorphose. mais, selon l’image même du Christ, à la croissance continue d’un arbre qui, à travers ses changements, ses élagages, ses boursouflures, est toujours repérable, identique, animé par la même sève et portant d’autant plus de fruits qu’il se laisse émonder. L’Esprit saint, «langage de l’Église»
Kozumi Shinozawa
L’Esprit saint, «mémoire de l’Église» Le Christ disait : « L’Esprit saint que le Père enverra en mon nom vous enseignera toutes choses et vous fera ressouvenir de tout ce que je vous ai dit» (Jn 14, 26). Désespérer de l’Église, n’est-ce pas avoir perdu la mémoire ? Il n’y a rien de pire ! Retrouver la mémoire, c’est retrouver l’espérance. Aujourd’hui, les routes de l’avenir sont loin d’être tracées d’avance, il importe donc de savoir d’où nous venons. Il est bon de raviver les merveilles de Dieu qui sont à l’origine de l’Évangile et de l’Église. En accueillant l’Esprit saint, c’est toute l’histoire de l’Alliance de Dieu avec l’humanité, avec chacun de nous, qui resurgit dans une fidélité stimulant notre propre fidélité. C’est une clarté qui nous guide avec assurance. La mémoire chrétienne n’est pas une mémoire figée dans le passé, mais vivante. Elle est la mémoire de l’amour agissant aujourd’hui comme hier et comme demain. Elle n’a pas peur d’ouvrir des chemins nouveaux. «Lorsque viendra l’Esprit de vérité, a dit le Christ, il vous communiquera tout ce qui doit venir» (Jn 16,13).Pourquoi avoir peur de cet Esprit qui nous entraîne hors de nos routines et de nos sécurités ? La vraie tradition de l’Église n’est pas comparable à un pays qui doit être administré,
Kozumi Shinozawa
Comment la fête de Pentecôte peut-elle nous aider à élargir notre regard et à approfondir notre action ? En nous faisant comprendre que l’Esprit saint est «langage» et «mémoire» de l’Église !
Manga - La métamorphose.
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Parmi les signes du don de l’Esprit saint, le plus expressif est le miracle des langues. Chaque pèlerin venu de toutes les nations entendent les merveilles de Dieu dans leur langue ! Il n’y a pas de langage unique, il y a une multitude de langues, mais chacun comprend dans sa langue ! C’est le renversement total de ce qui s’est passé à Babel avec la confusion des langues du fait de l’orgueil et de la démesure des hommes. Notre Europe est marquée par une multitude de langue, mais pour l’Église la recherche de l’unité ne se fait pas en éliminant les langues, mais en se faisant entendre d’une autre manière par tous. Devenu pape, JeanXXIII, estimant que l’anglais lui était nécessaire pour ses audiences, fit venir un professeur d’anglais, mais il ne réussit pas à parler l’anglais. Sur son lit de mort, il convoqua son professeur d’anglais et lui dit : «J’ai été un mauvais élève, je m’en excuse ; mais maintenant je vais vers un royaume où la seule langue parlée est celle de l’amour. Ah, si sur cette terre tous els hommes pouvaient déjà la parler !» Oui la langue maternelle de l’Église est celle de l’amour, la langue que seul l’Esprit saint peut nous enseigner ! I M.D.
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Dans la région pastorale, la vie religieuse est intense. Nous avons déjà donné la parole aux communautés religieuses. En ce mois de juin, les Filles de la Sagesse ont été invitées à nous partager leur vie dans ce lieu que les Tournaisiens connaissent sous le nom de «LA VERTEFEUILLE» ! I M.D. Le charisme des Filles de la Sagesse La formulation première du charisme de Fondation des Filles de la Sagesse révèle une intention mystique et une intention missionnaire : ° Mystique, parce que l’amour de la Sagesse éternelle et incarnée est premier et essentiel pour la Fille de la Sagesse. ° Missionnaire, parce que Montfort place Marie-Louise et ses compagnes, non pas dans un cloître, mais en pleine pâte humaine. En réalité, la vie d’une Fille de la Sagesse n’a qu’un seul but : l’Incarnation de la Sagesse et la participation à son œuvre de libération créatrice aujourd’hui, où qu’elle soit envoyée. Ce charisme de l’Esprit donné à Saint Louis-Marie de Montfort et auquel Marie-Louise Trichet a communié dès les origines, n’a eu de cesse de donner vie à travers ces trois siècles. Depuis leur fondation en 1703, plus de 17.000 filles de la Sagesse ont donné une réponse aux différents défis de la société et de l’Église à travers le monde. «Le bras de Dieu n’est pas raccourci et comme les instituts de M. de Montfort sont des œuvres de Dieu, Il est intéressé à les conserver et Il ne nous abandonnera jamais, tandis que nous lui serons fidèles…» (Marie-Louise de Jésus, lettre 22) 1703-1759. La Sagesse de Marie-Louise de Jésus, fondatrice. Marie-Louise a initié les première Filles de la Sagesse dans une forme de vie religieuse apostolique inédite pour cette époque. Elle a essayé de répondre avec une audace inhabituelle pour une femme de son temps, aux immenses besoins de la société française du XVIIIe siècle. «Marie-Louise Trichet, humble terre de soif et de simple abandon, maison habitée par la Sagesse, mystique au service
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Sr. Annie Joly
LES FILLES DE LA SAGESSE : TROIS SIECLES D’HISTOIRE
Communauté des Filles de la Sagesse à Tournai.
des pauvres, lance un appel ardent à ses Filles de tous les peuples, races et nations» S’arracher à l’extase des grandeurs, redescendre dans la plaine et vouloir demeurer en une tente instable secouée par le souffle du vent. «Aller plus loin…fragiles et audacieuses dans l’univers pour y annoncer la perpétuelle quête d’amour de la Sagesse Eternelle.» (Marie-Louise Trichet Un chemin de Sagesse ; Benedetta Papasogli) De la Vertefeuille Notre communauté est implantée dans la maison de repos de la Vertefeuille Nous sommes douze religieuses de 59 à 96 ans. Nous vivons une vie de prière personnelle et communautaire.. Un aumônier - Abbé Jean Gérard - ou les pères de Don Bosco - Père Paul Belboom et Père Michel Duhayon - célèbrent l’eucharistie quatre fois par semaine. C’est une chance que nous apprécions à sa juste valeur. Une fois par mois, le Père Paul Belboom nous réunit pour une journée de récollection.
Régulièrement, nous avons des rencontres avec nos sœurs de Bruxelles ainsi qu’avec l’une ou l’autre responsable de nos supérieures majeures de Rome. Ce sont des temps forts pour notre vie de tous les jours et des «moyens» qui nous aident à porter toutes les intentions qui nous sont confiées. Nous vivons l’accueil, l’ouverture aux personnes des différents secteurs de notre home, de la résidence, du personnel, des familles et d’autres qui sont extérieurs à la maison. Nous restons ouvertes aux besoins de l’Église et de la société. Chaque mois, quelques religieuses aident au pliage et à la mise sous enveloppe du feuillet LA LUCARNE. Celle-ci est distribuée aux abonnés de Belgique et de l’étranger. Nous avons la joie d’être aidées par des laïques /bénévoles. Grâce à elles, notre vie fraternelle est enrichie. Sr Annie Joly Filles de la Sagesse Chaussée de Renaix 194 7500 Tournai 069/66 88 01 - 00-32/479 687 011
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Sacrements de l’initiation chrétienne
Lors de la veillée pascale à la cathédrale, Monseigneur l’évêque a conféré les sacrements de l’initiation chrétienne à Delphine. Le dimanche de Pâques, 22 enfants en âge de scolarité ont été baptisés à St-Quentin et à Orcq. Parmi eux, deux ont reçu la confirmation et quelques-uns ont communié au Corps et au Sang du Christ. Lors des célébrations du temps pascal, des enfants ont communié pour la première fois, certains jeunes ont fait profession de foi et d’autres ont été confirmés dans l’Esprit saint. 1res Communions à l’église St-Omer.
Les professions de foi à l’église St-Paul.
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Jean Sylvestre
Jean-Claude Liénart
1res communions à l’église St-Brice.
1res communions à l’église St-Eloi.
Christine Lepoutre
Gerty Hennart
Delphine baptisée à Pâques.
Alain Dorchy
M.Decarpentrie
Chaque baptisé est membre du Peuple de Dieu, cellule du Corps du Christ et pierre du Temple de l’Esprit saint
Baptêmes d’enfants en âge de scolarité à l’église St-Quentin.
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HORAIRES DES CÉLÉBRATIONS
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UNITÉ PASTORALE TOURNAI-CENTRE LE JEUDI 29 MAI, FÊTE DE L’ASCENSION. À L’ÉGLISE SAINT-JACQUES, MESSE EN EUROVISION À 11 H Trois messes seront célébrées dans l’unité pastorale : voir l’horaire
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Bruges, la belle… Le dimanche 29 juin 2014…
JUBILÉ DE 25 ANS D’ORDINATION DE L’ABBÉ MWAMBA Le dimanche 29 juin à 11 h, en l’église St-Paul suivi de moments conviviaux.
A toute personne qui veut s’investir dans un service d’Église en lien avec les funérailles Que comprend cette pastorale des funérailles ? - l’accueil d’une famille atteinte par l’épreuve de la mort et de la séparation. - le témoignage public rendu à la foi du Christ ressuscité. - la préparation et l’accompagnement de la célébration à l’église. - si inhumation, les dernières prières au cimetière. Investissement ? A votre convenance, chacun donnant ses disponibilités. Un travail d’équipe ? Nous travaillons en communion avec la famille et le célébrant. Si ce service à la communauté vous intéresse, si vous voulez avoir plus de renseignements, vous pouvez contacter M. le doyen Michel Decarpentrie, tél. 069/840 831 entre 8 h et 9 h, le matin. Si vous pensez à quelqu’un que ce service d’Église peut intéresser, n’hésitez pas à la contacter et à l’informer.
CHAPELLE SAINT-ANTOINE - NEUVAINE À SAINT ANTOINE DE PADOUE Mercredi 4 juin : messe d’ouverture de la neuvaine à 18 h. Jeudi 5 juin, vendredi 6 juin : messe à 18 h. Samedi 7 juin : messe à 18 h. Eucharistie dominicale Dimanche 8 juin : messe à 8 h. Eucharistie dominicale Lundi 9 juin, mardi 10 juin, mercredi 11 juin, jeudi 12 juin : messe à 18 h. Vendredi 13 juin à 18 h, eucharistie festive du pèlerinage présidée par Monseigneur Guy Harpigny, Évêque de Tournai. À l’issue de la célébration, la relique de saint Antoine sera proposée à la vénération des fidèles. Nous attirons votre attention sur le fait qu’il n’y aura pas de messe à l’église Saint-Piat ni à Saint-Paul pendant la neuvaine.
A.S.B. L’ŒUVRES PAROISSIALES DU DOYENNÉ DE TOURNAI L’Assemblée générale est invitée à se réunir, selon les statuts, le jeudi 12 juin 2014 à 20 h dans la propriété d’Esplechin. M. le Vicaire Général Fröhlich nous y rejoindra.
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M. Decarpentrie
EQUIPE AU SERVICE DE LA PASTORALE DES FUNÉRAILLES POUR L’UNITÉ PASTORALE DE TOURNAI
Les canaux de Bruges.
En 2012, M. l’abbé Xavier Nys a soutenu une importante initiative du Conseil pastoral des paroisses du Nord qui avait organisé un voyage à St-Omer. Ce voyage fut l’occasion d’accueillir les personnes de tous horizons avec une prédilection pour les personnes qui ne pouvaient se permettre de voyager en famille ou qui demandaient les services de l’Entraide. Une réussite, cette visite de Saint-Omer et des marais aux alentours ! L’an dernier, en 2013, le Conseil pastoral a souhaité organiser un nouveau voyage : une visite de Chimay ! L’abbé Etienne Deregnaucourt, qui fut un temps prêtre à Chimay, accompagna ce voyage. Visite de la ville, pique-nique aux étangs de Virelles, eucharistie à la collégiale. De nombreuses familles accompagnèrent comme l’année précédente ! Ce fut encore un moment apprécié par les voyageurs ! Cette année, le conseil remet cela le 29 juin ! Il propose une excursion à Bruges, la Venise du Nord. L’arrivée à Bruges est prévue pour 8 h 15. Une visite guidée de la ville est organisée grâce aux guides touristiques de Bruges. Le Conseil pastoral m’a demandé d’accompagner cette pérégrination. Ce que je ferai avec joie ! À 11 h, nous participerons à la messe à la basilique du Saint-Sang. Nous pourrons y vénérer la relique. Après un pique-nique, sans doute en pleine nature, nous ferons une excursion à la côte belge toute proche. Ce voyage est ouvert à tous les habitants de l’unité pastorale. Vous avez déjà pu découvrir les dépliants vous en informant. N’oubliez pas de vous inscrire ! I Le doyen.
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UNITÉ PASTORALE TOURNAI-CENTRE
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Pastorale diocésaine des Couples et des Familles
Henri Vœts
Responsable : Xavier Huvenne Actuellement, les couples et les familles connaissent des évolutions variées.
Famille 2012
Les problèmes auxquels les couples sont confrontés se répercutent inévitablement sur leurs enfants. La variété des couples, mariés civilement, religieusement, ou non, rend compliqué de trouver un langage commun pour tous. Pourtant ne s’agit-il pas, dans tous les cas, d’histoires d’amour auxquelles se mêlent des relations avec des enfants à protéger et à faire grandir dans le respect réciproque ? Accompagnement des couples en difficulté ; des personnes séparées, seules ; des couples recomposés. La pastorale des Familles propose des journées diocésaines de réflexion et de partage pour des personnes séparées, seules et en souffrance, soit en chemin vers une vie en nouveau couple, avec leurs enfants. Contact : 0474/44 95 77 Ecoute apaisante pour couples en difficulté, pour personnes séparées, seules ou en couples et leurs proches. Ecoute par téléphone. Rencontre possible sur rendez-vous. Contact : 069/77 36 06 Groupe ’accueil et d’entraide pour divorcés ou séparés. Un Groupe Espérance, régional, accueille les personnes séparées, seules. Hommes et femmes se réunissent entre personnes confrontées à une situation semblable pour partager ses difficultés et ses espoirs, pour soi et ses enfants. Dans certains cas, cela permet de faire le point et d’éviter la séparation définitive. Contact : 069/22 00 13. I Henri Vœts
Les Communautés d’Église du Monde Ouvrier (CEMOs) sont historiquement issues du Monde ouvrier et populaire, nées dans la foulée du Concile Vatican II et de mai 68, porteurs de profonds bouleversements et de grandes espérances. La CEMO de Tournai est née en 1974. Les CEMOs sont composées de femmes et d’hommes engagés de diverses manières pour qu’un autre monde soit possible (Mouvements sociaux et d’éducation permanente, ONG et autres). Les CEMOs sont membres de l’Église diocésaine, du réseau des Communautés de Base de Wallonie-Bruxelles et reliées au réseau européen et mondial issu de la théologie de la libération. Les membres de la CEMO de Tournai, vivent la communauté comme une petite cellule de base d’une Église qui se veut participative, fraternelle, démocratique, engagée et chaleureuse. Nos communautés s’engagent contre la globalisation de l’économie actuelle qui pro-
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voque une concentration des richesses entre les mains de quelques-uns tandis que la précarité s’étend de plus en plus largement, tant dans le Nord que dans le Sud et entre le Nord et le Sud. Nos communautés sont des lieux d’Église qui explorent des parcours nouveaux en suivant l’Évangile qui provoque la solidarité avec les meurtris de la vie. Parce que nous espérons et parce que nous croyons que le souffle de Dieu est vivant dans notre histoire, nous nous réunissons en général le samedi pour célébrer l’eucharistie branchée sur le quotidien de chacun et chacune et sur l’évolution du monde. Nous essayons de faire raisonner l’Évangile dans notre vie et nos engagements individuels et collectifs. Les fêtes de Pâques et de Noël sont célébrées avec les autres CEMOs du diocèse. Des rencontres de réflexions sont organisées au niveau du diocèse et au niveau de la coordination Wallonie-Bruxelles.
Marie Gabrielle Delcuve
La communauté d’Église du monde ouvrier à Tournai
Célébration de Noël des CEMOs.
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UP TOURNAI-CENTRE ET UP ANTOING
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Témoignage d’un prêtre Jubilaire A l’occasion de mes 25 ans de sacerdoce, l’honneur m’échoit de faire un témoignage de ma vocation et de mon parcours très varié avant de dire ce que le Christ représente pour moi aujourd’hui et ce qu’il m’a apporté pendant ces 25 ans de prêtrise. Je suis le deuxième enfant d’une famille nombreuse dont sept sont décédés. Au lendemain de l’indépendance du Congo, Kasaïens, nous avons été expulsés du Katanga où mon père travaillait comme opérateur radio à la base militaire de Kamina. De retour à Bakwanga - aujourd’hui Mbuji-Mayi - nous n’avions nulle part où nous loger, pas même un toit pour nous protéger. A quelque chose malheur est bon, dit le dicton ! Le vent du destin nous repoussa vers l’intérieur, à 20 km de la ville. Ce repli fut pour moi la main du destin. Un prêtre, inspecteur de l’enseignement catholique, venait chaque dimanche célébrer des messes dans le hangar qui nous servait d’église. Les gestes et les ornements de ce serviteur de Dieu, durant ses célébrations, me fascinaient. Le rêve de devenir un jour comme lui a hanté sans répit mon corps et mon esprit d’enfant. A 5 ans déjà, je jouais sans cesse à ce prêtre officiant. J’entamai mes études primaires et pus les achever sans peine. Le désir de devenir prêtre ne cessait de bouillir en moi. Au terme de mon cycle d’orientation, respectant mon choix, mon père me conduisit auprès d’un missionnaire de la congrégation de Scheut afin de solliciter mon inscription au petit séminaire. Celui-ci demanda mon bulletin ; après l’avoir examiné, il nous le rendit en nous conseillant de nous présenter dans une autre école car il fallait au minimum 75 % des points sur l’ensemble des matières pour entrer en troisième. C’est alors que je me suis inscrit dans une école pédagogique où j’ai achevé mes humanités en 1977. Je me suis accordé trois ans d’activités professionnelles comme enseignant. Ce fut l’occasion de réfléchir et de mûrir mon choix. En juin 1980, ma décision est prise : j’allais entrer au séminaire. J’ai été envoyé dans la province du Kasaï Occidental pour mes études de philosophie et théologie. Une très belle période dont les excellents souvenirs restent vivaces. Fin de l’année 1987, je me fais éjecter par mon évêque pour avoir correspondu avec un séminariste aîné qui
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Abbé Jean-Marie Mwamba
L’abbé Jean-Marie Mwamba est heureux de fêter ses 25 ans d’ordination ! Nous aussi nous nous réjouissons de sa fidélité et nous le félicitons chaleureusement !
Congo. passait son année de réflexion au lycée. Récupéré par le grand séminaire Mbujimayi et engagé comme bibliothécaire, j’y ai travaillé comme employé. À l’issue de cette expérience d’une année, le diocèse me reprit et m’envoya dans une «quasi-paroisse» (communauté en voie d’être érigée en paroisse) avec, comme mission principale, l’ouverture d’une école. L’année suivante, je fus ordonné diacre et nommé responsable des œuvres diocésaines pour handicapés. Six mois plus tard, le mercredi 2 août 1989, je recevais l’ordination sacerdotale des mains de Monseigneur J. Nkongolo, évêque de Mbujimayi. J’ai été nommé vicaire de paroisse de brousse pendant 4 ans avant d’être nommé ailleurs curé, fonction occupée jusqu’en mai 2000. En octobre 2000, sur recommandation de mon évêque, j’ai voyagé vers la Belgique pour faire des études à Lumen Vitae. Vu la pénurie de prêtres et pour avoir une insertion pastorale, j’ai été sollicité par le curé de Gerpinnes, le père Joseph Vennix avec qui j’ai agréablement collaboré pendant 6 ans. Cet appel m’a été confirmé par la nomination établie par Monseigneur J. HUARD évêque de Tournai, le 11 janvier 2001. Après le départ du curé, j’ai continué à travailler avec son successeur pendant 4 ans. Après 10 ans de ministère au pays des Rolendiens, j’ai reçu la nomination comme vicaire à
l’UP de Tournai où je travaille avec le doyen M. Decarpentrie comme membre de l’EAP. Que retenir de ce parcours ? Fidèle à lui-même et à Son dessein, Dieu se sert de toutes les médiations pour atteindre qui Il veut et quand Il veut pour l’attirer à Lui. Mon parcours a été jalonné d’embûches, de contrariétés et d’adversités. À travers les interstices du doute, du clair-obscur et du désespoir, brille toujours une étincelle divine qui permet de poursuivre le chemin. Le Christ est, pour moi aujourd’hui, l’homme idéal plein d’humanité et de bonté, celui dont le regard pénètre la personne et lit en son cœur, non sans le toucher. En tant que Dieu, Il me donne la force de mieux exercer, en Son nom, mon ministère sacerdotal. Pendant ces 25 années de sacerdoce, Il n’a cessé de me procurer la joie et le bonheur de Lui être dévoué et, avec Son aide, de rester jusqu’à la fin de mes jours à Son service et à celui de l’Église. J’exprime à ceux et celles que je côtoie journellement ma plus profonde reconnaissance pour leur soutien spirituel et matériel. Un merci spécial à tous ceux qui m’ont fait grandir et qui, au long de ces années, par leurs prières, leurs exemples et leurs encouragements m’ont aidé à rester fidèle à mon sacerdoce. I J-M MWAMBA
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UNITÉ PASTORALE ANTOING
Membre de l’équipe d’animation pastorale
Membre de l’équipe d’animation pastorale L’EAP d’Antoing entre cette année en renouvellement. Chaque mois vous connaîtrez mieux ses membres : Annie CALLENS
Qui es-tu ? Je suis Sœur Lucy CHACKO, religieuse de Saint Charles Borromée de Wez et native de l’Inde du Sud (Kerala). En Belgique depuis 1981, d’abord à la maison-Mère, puis j’ai été envoyé à Carnière (Cambrai) où je me suis initié dans la pastorale des jeunes. Aujourd’hui, je suis aide-soignante et animatrice en pastorale pour la catéchèse dans le doyenné. Je suis membre de l’EAP depuis 5 ans et demi. Comment es-tu entrée en EAP ? En 2007, le doyen Jean GEORGE m’a proposé d’être membre de l’EAP et ce en tant que relais catéchiste. Tes moments forts ? La «journée d’EAP» que nous vivons chaque année. La journée commence par le petit déjeuner et termine par un repas fraternel où sont conviés les conjoints et les enfants. La journée est rythmée par la prière, l’eucharistie, l’étude, la réflexion, l’évaluation et la convivialité. La journée de recollection où nous prenons le temps pour la prière et le resourcement spirituel nous aide à mieux vivre notre mission. Qu’as tu apporté à l’EAP ? Il nous faut être des pierres vivantes pour continuer à bâtir notre grand édifice qu’est l’Église, tantôt vacillante, tantôt forte. Je pense que je fais partie de ces pierres vivantes de notre église tout simplement. Qu’attend-tu de l’EAP ? Je souhaite que notre EAP soit de plus en plus «moteur» qui donne l’énergie pour avancer au large. Que l’EAP porte le soucie permanent de l’évangélisation, annoncer la bonne nouvelle de Jésus Christ et prendre soin de la vie spirituelle du doyenné. Utopie ? L’avenir de l’UP ? Il est vrai que la pratique dominicale régulière diminue fortement chez les adultes et chez les ados. Notons qu’ils ne sont pas indifférents à nos propositions ponctuelles de célébrations. L’UP doit aller vers les gens de la «périphérie» pour travailler en partenariat avec eux.
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Qui es-tu ? Annie Callens, j’ai 56 ans. Je suis l’épouse de Michel DUQUENNE. Maman de 3 grands enfants, j’ai 2 petits garçons. Infirmière de nuit en psychiatrie après des études à St François à Leuze ensuite à Jeanne d’Arc, Tournai. Je suis entré à l’EAP il y a 9 ans. Comment es-tu entrée en EAP ? Engagée depuis mon adolescence dans divers mouvements, j’ai toujours eu envie de porter des projets à visée pastorale et humaine. Former une équipe autour des prêtres, c’est tout l’enjeu de Vatican II que nous redécouvrons aujourd’hui encore. Qu’est-ce que la vie en EAP t’a apporté ? Mieux connaître les réalités des 18 paroisses. Cela m’a permis de débattre de questions importantes de foi, de prendre ensemble des orientations pour être vraiment signe du Christ présent au milieu de nous. Tes moments les plus forts ? C’est sans doute le temps de la prière car c’est là que s’enracine toute notre action. Ensuite, c’est la manière dont on s’accepte mutuellement tel que l’on est, tous différents. Surtout quand l’unanimité ne se fait pas autour d’un sujet. C’est cela aussi faire Église. Qu’as-tu apporté à l’EAP ? En étant simplement soi-même, chacun apporte un petit plus, sa sensibilité, son expérience, sa vision des choses. Qu’attends-tu de l’EAP ? Qu’elle n’oublie personne sur le bord du chemin. Qu’elle prenne le temps de l’écoute des attentes surtout de ceux qui sont sur le terrain, dans les différentes paroisses mais pas seulement et c’est le pape FRANCOIS qui nous y encourage : SORTEZ et ALLEZ aussi aux périphéries ! L’avenir dans l’UP ? Se centrer aussi sur les jeunes, les couples, les familles,… Des grands enjeux du synode diocésain, beaucoup y ont réfléchi. Comment cela va-t-il s’articuler ? Quelle visibilité pour l’Église aujourd’hui ? L’Esprit est d’abord à l’œuvre dans chacun de nos lieux de vie.
Jean GEORGE
Jean George
L’EAP d’Antoing entre cette année en renouvellement. Chaque mois vous connaîtrez un de ses membres : Sœur Lucy CHACKO
Sœur Lucy CHACKO.
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Annie CALLENS.
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UNITÉ PASTORALE ANTOING
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Interview du frère Timothy Radcliffe, dominicain La vie religieuse a bien des visages. En quoi cela représente-t-il une richesse pour l’Église ?
Communauté de Taizé. Les villes sont souvent des lieux de solitude, où les gens sont facilement perdus dans la foule. Dans la ville, il est facile d’être invisible. En plus de cela, la crise de la famille fait qu’il y a un nombre croissant de personnes qui vivent seules. Il y a donc une recherche désespérée de communauté (fraternité). Les paroisses peuvent parfois répondre à ce besoin, mais là aussi, le sens de la communauté tend à devenir de plus en plus faible. Les communautés religieuses peuvent donc être très importantes comme signes. Elles réveillent en nous l’espoir que les êtres humains peuvent vivre ensemble, ainsi que l’espérance du Royaume, lorsque toute l’humanité vivra dans la communion. Les communautés religieuses vivent également souvent de manière très sobre, ce qui peut être perçu comme un beau signe d’espoir dans une société où n’a de valeur que ce qui peut être mesuré en termes de possessions. Dans beaucoup de villes européennes, il y a de vastes banlieues qui sont de plus en plus exclues de la société, des endroits du désespoir et de la violence. Souvent, on y trouve de petites communautés de religieux qui montrent le soutien infaillible de Dieu. Une question plus personnelle : qui a-t-il de plus important pour vous dans la vie religieuse ? Quel en est le sens pour votre propre existence ? Je suis profondément soutenu par l’idée que je suis l’un parmi mes frères. Quelle que soit la responsabilité que l’on ait pu tenir dans l’ordre, même en tant que maître de l’ordre, on est toujours juste un parmi ses frères, et si l’on venait à l’oublier, ceux-ci s’empresseraient de vous le rappeler ! Partout où j’ai été dans l’ordre, du Japon au Chili, je me suis toujours senti à la maison dans nos communautés. Il est difficile de dire tout à fait pourquoi.
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Un sens partagé de ne pas se prendre trop au sérieux, en tout cas en général ! Une certaine fraternité détendue. Une façon particulière de célébrer. Autant de choses qui suggèrent une manière d’être ensemble qui est vraiment fraternel. La vie religieuse a bien des visages. En quoi cela représente-t-il une richesse pour l’Église ? J’ai été instruit par les bénédictins, mais c’est quand je suis devenu provincial que j’ai vraiment commencé à découvrir d’autres ordres religieux. Un de mes bons amis était le provincial des jésuites. Je ne pourrais jamais vivre dans un autre ordre, l’Église a besoin de toutes ces différentes traditions, exactement comme le système écologique a besoin de coléoptères, d’araignées, de vers, d’oiseaux et de souris. Nous avons besoin de l’efficacité des jésuites, de la démocratie des dominicains et du silence contemplatif des bénédictins, etc. Il m’a un jour été demandé si nous étions en concurrence avec les franciscains sur le marché de vocations ! Je crois que la question ne se pose pas, car nous devrions justement représenter un monde libéré de la compétition et de la rivalité. I Propos recueillis par Charles DELHEZ Réflexions Il m’a semblé intéressant de vous partager cette réflexion d’un religieux. Dans les décrets synodaux publiés par notre évêque, il est question de la signifiance de la vie consacrée dans la mission de l’Église. Nous avons la chance d’anvoir dans notre doyenné plusieurs communautés religieuses et des religieux : les sœurs de Saint-Charles Borromée de Wez, les Filles du Saint-Esprit, deux salésiens de Don Bosco. Quel emerveillement de voir des jeunes sensibles à la spiritualité des frères et sœurs de Tibériade ou des frères de Taizé. Comment les charismes de la vie consacrée peuvent inspirer notre mission évangélisatrice commune ?
MCBF
MCBF
Que signifie la vie religieuse dans la mission de l’Église ? Quelle est sa mission dans l’évangélisation du monde, des villes ?
Communauté de Tibériade.
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Marie-Josée MALICE, veuve de Karl Delporte, 85 ans (Pipaix le 1/3) Robert LOISEAU, époux de Marie-José Tesseur, 86 ans (Willaupuis le 1/3) Blanche PROCUREUR, veuve de Georges Lesens, 90 ans (Leuze le 3/3) Daniel MERCIER, époux de Elise Devroux, 75 ans (Tourpes, le 5/3) Pascale VANBEL, 46 ans (Thieulain, le 5/3) Georgette COURTIN, épouse deClaude Ansart, 79 ans (Leuze, le 13/3) Yvette LEPLAT, veuve de Jacques Desonniaux, 78 ans (Grandmetz, le 15/3) Maria MOEYKENS, veuve de André De Ketelaere, 87 ans (Blicquy, le15/3) Christiane BAUDART, veuve de Raymond Barbieux, 92 ans (Leuze, le 19/3) Emile MATON, époux de Odette François, 86 ans (20/3) José WILLAUME, veuf de Léone Lammens, 75 ans (Leuze, le 22/3) Léona GONDRY, épouse de Gilbert Beirnaert, 80 ans (Grandmetz, le 22/3) Marthe PARENT, veuve de Humphrey Hughes, 90 ans (Grandmetz, le 27/3) Léa DELCOURT, veuve de Gabriel Themont, 92 ans (Pipaix, le 27/3) Firmin RYCKAERT, 81 ans (Leuze, le 2/4) Irène UMBLAT, veuve de Ywan Punda, 81 ans (Grandmetz, le 2/4) Lucy LEFEBVRE, veuve de Florent Leleux, 90 ans (Grandmetz, le 3/4) Léon DEMUYNCK, veuf de Maria Lessens, 91 ans (chapelle-à-Wattines, le8/4) Christiane VANDERVECK, 82 ans (Leuze, le 12/4) Jean-Cyprien FRIQUET, époux de Liliane Henneghien, 78 ans (Leuze, le 23/4) Léone BOULONNE, veuve de Jean Rumier, 91 ans (Pipaix, le 24/4) Céline DUMONT, veuve de Max Préaux, 93 ans (Leuze, le 24/4) Ida JONNIAUX, veuve de René Bruneau, 87 ans (Pipaix, le 27/4)
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Voici le mot du doyen
Luc Depuydt
F U N ÉR A I LLES CH R ÉT I ENN ES
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Dessin de Pâques. La Pâque chrétienne est une fête qui se célèbre de la Vigile pascale en la nuit de Pâques jusqu’au jour de la Pentecôte (le ‘lundi de Pentecôte’ est déjà le temps dans l’année…) 7 fois 7 jours. Pentecôte est le 50e jour où l’Esprit saint renouvelle la face de la terre. 7 fois un dimanche de Pâques. Pentecôte est le 8e dimanche de Pâques. Tout le temps pascal célèbre le 8e jour de la création, celui de la Résurrection du Christ. Beaucoup de fonts baptismaux de forme octogonale renvoient à ce 8e jour. Le temps pascal est le temps de l’initiation chrétienne : nous allons vivre de nombreuses célébrations de baptême d’enfants et d’enfants en âge de scolarité, les célébrations de Premières Communions, la profession de foi de nos jeunes qui se préparent à la confirmation que le Chanoine Philippe Vermeersch viendra célébrer le 19 octobre, dimanche de la mission universelle. Le temps liturgique de Pâques est enrichi par le mois de mai, le mois de Marie. Marie, Mère du Christ et Mère de l’Église, est la première à partager la gloire de son Fils ressuscité. Elle est ainsi l’image de ce que nous serons tous un jour. Saint temps pascal et bonne dévotion à Marie en ce mois de mai ! La réssurection.
Luc Depuydt
UNITÉ PASTORALE LEUZE
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Luc Depuydt
4 papes à Saint Pierre de Rome Il faut toujours être prudent quand on taxe des événements de ‘historiques’. Je pense que la canonisation des papes Jean XXIII (1958 - 1963) et Jean-Paul II (1978 - 2005) est un événement historique pour l’Église, pour La barque de la l’humanité et pour renaissance. toutes les personnes de bonne volonté. 2 papes canonisés en une seule célébration (les corps des 2 papes reposent en la basilique saint Pierre) en présence de 2 papes vivants ! Les corps des 2 nouveaux saints reposent en la basilique saint Pierre. 4 papes donc présents près de la tombe du prince des apôtres Pierre. Les deux nouveaux saints furent d’énormes surprises lors des conclaves de 1958 et 1978. 2 hommes courageux, 2 grands prophètes remplis d’un immense amour de Jésus. Dieu était la source de leur vie. Et ils ont servi et aimé l’Église. Chacun à sa façon. Chacun selon son charisme. Ce sont aussi deux papes que nous avons connus. Jean XXIII était le pape de ma première communion en 1963. Le 3 juin, le jour de sa mort, c’est ma maman qui la première l’a canonisé, qui l’a envoyé au ciel, ‘santo subito’ : ce bon pape Jean est au ciel, sans détours, me disait-elle ! Jean-Paul II fut le pape de ma vocation presbytérale naissante. Je l’ai vu une première fois à Paris le 30 mai 1980 : France, fille aînée de l’Église qu’as-tu fait de ton baptême ? Cela m’avait fortement impressionné au point de dire oui à un sacerdoce… C’était le pape des Journées mondiales de la jeunesse (pour moi : Denver 1993, Paris 1997 et Rome 2000) Ce ne sont pas des pontificats que l’on canonise, mais de baptisés, des hommes concrets. Dieu est toujours à l’œuvre et c’est lui qui nous donne des pasteurs à l’Église. Ce qui me frappe, c’est que les derniers papes sont tous des évêques qui ont été choisis au bon moment ! Que ces 2 nouveaux saints nous inspirent pour notre mission de baptisé dans l’Église. Qu’ils nous aident à donner le meilleur de nous-mêmes, pour le bien de tous ! Saint Jean XXIII, prie pour nous. Saint Jean-Paul II, intercède pour nous !
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Un bel anniversaire à Vieux-Leuze
Luc Depuydt
UNITÉ PASTORALE LEUZE
Royale société St Joseph. Le dimanche 23 mars 2014, la Royale Société Saint Joseph de vieux-Leuze fêtait son 150e anniversaire. La fête a commencé par une messe solennelle en la chapelle Saint Raphaël à vieux-Leuze. Le doyen de la Société Jacques Boite était le premier à tirer le nouveau Roi qui n’est pas si ‘nouveau’ puisque le Roi de 2013 prolonge d’un an son règne Le dimanche 16 mars de 15 h à 17 h 30 a eu lieu un rassemblement proposé par le Vicaire épiscopal Jean-Pierre Lorette dans le cadre de la démarche de Renaissance. L’équipe porteuse a préparé l’assemblée du dimanche 16 mars : un power point sur les résultats de la consultation, une intervention du Vicaire épiscopal, un témoignage d’un membre de l’EAP d’Enghien - Silly et d’Antoing, la proposition de 4 ateliers : Comment faire communauté ? Comment nourrir et célébrer notre foi ? Comment rejoindre les jeunes et quelles responsabilités leur proposer ? Comment rejoindre et accompagner les personnes fragilisées ? Un moment de prière et le verre de l’amitié ont clôturé la rencontre. 47 personnes ont travaillé lors d’une première soirée les 4 ateliers. Le vicaire épiscopal Lorette et Olivier Bénit ont proposé à l’équipe porteuse les étapes suivantes : Le 14 et 15, le 21 et 22 juin au cours des messes dominicales : consultation en vue de l’élaboration d’une Equipe d’Animation pastorale. Cette EAP, nommée et envoyée par notre évêque, sera envoyée le dimanche 5 octobre 2014 à 10 h 30 au cours de la messe présidée par Monseigneur Guy Harpigny en la Collégiale. Par l’envoi d’une EQUIPE d’ANIMATION PASTORALE notre doyenné deviendra une UNITE PASTORALE NOUVELLE, la 49e et dernière du diocèse (à ne pas confondre avec ‘paroisse nouvelle’ qui est une nouvelle démarche issue du synode diocésain). Le Vicaire épiscopal Lorette viendra présider la célébration festive des saints Apôtres Pierre et Paul le dimanche 29 juin à 10 h 30 en la Collégiale saint Pierre. Un grand merci déjà à tous ceux qui, de près ou de loin, dans la prière ou dans l’action, contribuent à la mise en œuvre de ce beau projet d’Église qui prépare l’avenir. Merci surtout à toute l’équipe porteuse et à Jean-Pierre Lorette et Olivier Bénit ! ENSEMBLE, EMBARQUONS-NOUS VERS DEMAIN !
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UNITÉ PASTORALE PÉRUWELZ
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Catéchèse Profession de foi et Confirmation
CM CM
Le 3e sacrement de l’initiation chrétienne, la confirmation est là pour nous faire entrer dans la vie de l’Esprit divin comme adultes dans la foi. Avant de recevoir ce sacrement, il convient de faire confiance au Seigneur et de proclamer sa foi en Église. Voilà pourquoi, la catéchèse de cheminement nous invite, enfants, parents et catéchistes, à nous interroger sur le sens que nous donnons à notre foi. En suivant l’année liturgique, chacun est invité à rejoindre la communauté paroissiale pour y vivre les sacrements de la Réconciliation et de l’eucharistie, pour réfléchir ensemble, pour prier et nous mettre à l’écoute de la Parole du Seigneur. Le rôle des catéchistes vient éclairer celui des parents, des parrains et marraines. Il ne s’agit pas de donner un cours ou d’imposer des dogmes, il s’agit de faire un bout de chemin avec ces familles autour de Jésus présent à nos côtés, dans les événements heureux et malheureux. Les rencontres se vivent soit au domicile du catéchiste, soit dans une salle paroissiale ou encore à l’église même. Découvrir la foi des chrétiens et se situer par rapport à une communauté chrétienne demande une régularité et une fidélité à l’appel du Seigneur. Se poser des questions, interroger le Seigneur, apprendre à prier, se laisser guider par l’Esprit de Jésus, voilà le programme de la catéchèse. Après deux années de rencontres, les enfants professent solennellement leur foi au cours d’une célébration eucharistique ; ils renouvellent la profession de foi faite pour eux par leurs parents, parrain et marraine le jour de leur baptême. Après cette célébration, chaque jeune, s’il le désire, sera recontacté pour une période de cheminement afin de recevoir la confirmation. Avant chaque fête, les enfants, les jeunes et leurs catéchistes vivent un temps de retraite afin de laisser le Seigneur prendre de la place en leur cœur. Comme vous le voyez, être chrétien, ce n’est pas acquérir un diplôme ou un certificat ; c’est accueillir le don de la présence de Dieu en chacune de nos vies. Chacun a son rôle à jouer pour que l’Esprit saint puisse fortifier les différentes étapes de notre vie. I Claire Meersmans
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Recevoir un sacrement, c’est toujours recevoir un Don de Dieu. Le baptême nous communique la vie même de Dieu et nous incorpore dans la grande famille des enfants de Dieu en Église. La célébration des premières communions conduit les petits enfants à accueillir Jésus, Pain de vie.
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NOUVELLES DE LA CATHÉDRALE
Pierre Vasseur - diocèse de Tournai
Vigile de Pentecôte
Monseigneur Harpigny.
«Viens, Esprit saint ! Pénètre le cœur de tes fidèles ! Qu’ils soient brûlés au feu de ton amour !» Ce samedi 7 juin 2014 à 20 h 30 aura lieu en la cathédrale Notre-Dame la célébration de la Vigile de Pentecôte. Il s’agit d’une des grandes célébrations diocé-
saines. Si la Veillée pascale est à considérer comme «la mère de toutes les veillées», la Vigile de Pentecôte tient également une place de choix, et nous sommes seulement en train de la redécouvrir. Au terme des cinquante jours du temps pascal, elle est une grande assemblée de prière au cours de laquelle les fidèles assemblés célèbrent le don de l’Esprit saint et invoquent l’Esprit saint afin qu’il renouvelle en profondeur nos vies de baptisés, toute l’Église répandue dans le monde, et aussi tout l’univers. La Vigile de Pentecôte se vit dans un climat de joie pascale, et dans un esprit vraiment universel. «O Seigneur, envoie ton Esprit renouveler la face de la terre». Elle affermit les chrétiens dans leur mission de témoignage à Jésus-Christ. Depuis quelques années, nous associons particulièrement à cette célébration les nouveaux baptisés et confirmés ; soyons nombreux à les entourer ! Accueillons l’invitation de notre évêque : «En cette année post synodale où nous sommes appelés à mettre en œuvre ce que dans l’Esprit saint nous avons discerné, j’invite tous les baptisés et toutes les forces vives du diocèse à célébrer le don de l’Esprit saint : - les laïcs, jeunes et adultes, qui témoignent de l’Évangile, - les personnes engagées dans la vie consacrée, - les diacres permanents, - les prêtres. J’invite aussi tout spécialement - les nouveaux baptisés adultes de 2014, - les nouveaux confirmés adultes de 2014, - les adultes qui communient pour la première fois en 2014. La veillée comportera un temps de prière intense, une catéchèse épiscopale, la célébration de la confirmation, et l’eucharistie de Pentecôte. Tous sont invités au verre de l’amitié. I † Guy Harpigny, évêque de Tournai.
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CATHÉDRALE NOTRE-DAME DE TOURNAI
Dimanche à la cathédrale eucharistie dominicale à 10 h dans la nef romane. Eucharistie souvent présidée par Monseigneur l’Évêque. Liturgie des heures : Vêpres dominicales à 17 h 30 (prière communautaire du soir). La semaine à la cathédrale Chaque jour, eucharistie, précédée de la prière du milieu du jour (chapelle de prière du chœur gothique). Du lundi au vendredi à 11 h. Le samedi à 10 h. Sacrement de la réconciliation. Le samedi, les confessions ont lieu de 10 h 45 à 12 h dans la chapelle du Saint-Esprit et dans la salle du Chapitre. Adoration eucharistique. Le samedi, nous sommes invités à un temps d’adoration et de prière devant le Saint-Sacrement (chapelle de prière du chœur gothique, après la messe jusqu’à 11 h 45).
Ascension du Seigneur Jeudi 29 mai, eucharistie de la solennité présidée par Monseigneur Guy Harpigny à 10 h dans la nef romane de la cathédrale. La Maîtrise et sa Manécanterie, sous la direction de leur Maître de chapelle, Eric DUJARDIN, interpréteront la messe brève d’A. GABRIELI (1533-1585) ainsi que «Ascendit Deus» de J. BERKEY (1942- ).
Vigile de Pentecôte Samedi 7 juin à 20 h 30 : Vigile de Pentecôte, présidée par Monseigneur Guy Harpigny à la cathédrale. Cette veillée comporte aussi l’eucharistie de Pentecôte. Monseigneur l’Évêque nous invite à venir très nombreux à cette vigile de Pentecôte, célébration diocésaine à laquelle sont aussi associés les nouveaux baptisés et confirmés. Voir l’article ci-joint de Monseigneur. Ceux et celles qui le désirent peuvent aussi prolonger cette veillée et cette eucharistie par la prière silencieuse sous forme d’adoration eucharistique pendant une partie de la nuit, jusqu’à 2 h du matin.
Jour de la Pentecôte Dimanche 8 juin, eucharistie de la solennité présidée par Monseigneur Guy Harpigny à 10 h dans la nef romane de la cathédrale. La Maîtrise et sa Manécanterie, sous la direction de leur Maître de chapelle, Eric DUJARDIN, interpréteront la messe en fa mineur de J. RHEINBERGER (1839-1901) ainsi que «Veni Sancte Spiritu» de W-A. MOZART.
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DIOCÈSE DE TOURNAI
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Retrouvez l’agenda du diocèse sur www.diocese-tournai.be et l’information en continu sur www.InfoCatho.be
É GL I S E S OU V ER T ES
Edouard Debelder
Les souvenirs de 14-18
Musée 14-18 à Plugstreet (Comines).
Plus de cinq-cents édifices religieux ouvrent leurs portes les samedi 31 mai et dimanche 1er juin afin de raconter non seulement leur histoire, mais aussi l’Histoire avec un grand H. Durant le week-end charnière entre les mois de mai et de juin, les édifices religieux belges seront mis à l’honneur pour la septième année consécutive. Un patrimoine remarquable qui risque de surprendre, car il sera cette année regardé d’une autre façon. En entrant dans les lieux de culte, le visiteur pourra découvrir ces témoins d’événements tragiques que furent nos églises durant la Première Guerre mondiale.
2014, année du centenaire de la Grande Guerre Une plaque commémorative, des vitraux qui racontent, un monument aux morts… Ces
éléments sont là pour que l’on n’oublie pas cette période tragique de l’Histoire de Belgique que fut la Première Guerre mondiale. Car la Belgique a joué un rôle majeur dans cette guerre et, au final, elle fut admirée du monde entier. C’est pourquoi, notre pays occupe une place centrale dans la commémoration du centième anniversaire de cette guerre. Par des visites guidées, des expositions, des concerts, des promenades, des messes du souvenir… la Fondation Églises Ouvertes propose de découvrir l’histoire des églises et de leurs paroissiens, telle qu’ils l’ont vécue il y a cent ans.
Quelques lieux épinglés Si plus de cinq-cents édifices religieux vous ouvriront leurs portes ce week-end-là, trois-cents d’entre eux proposeront un événement festif en lien avec l’histoire de la paroisse pendant la Première Guerre mondiale. Épinglons-en quelques-uns dans le Hainaut : Église Sainte-Marie médiatrice de Sivry.
Ce village-martyr en 1914 propose expositions, témoignages et messe festive durant le week-end des églises ouvertes. Église Saint-Pierre-et-Paul de Comines-Warneton : Exposition «Les églises de Comines-Warneton dans la tourmente». Collecte de souvenirs et témoignages de 14-18. Présentation de documents privés et inédits des «passeurs de mémoire». Echanges d’informations entre les participants. Église Saint-Martin de Labuissière où le Cercle d’Histoire de l’entité racontera des anecdotes de la guerre. Ces 31 mai et 1er juin, n’hésitez donc pas à entrer dans les églises ; ces lieux contribueront à vous en dire plus, et peut-être d’une manière différente, sur ce que fut le premier conflit mondial qui marqua à tout jamais toute une population, toute une civilisation, et qui hante encore et toujours la mémoire collective. I Sylviane BIGARÉ Infos et programme sur : www.eglisesouvertes.be.
Médias Catholiques Belges Francophones (mcbf.be) – CCMC asbl – Chaussée de Bruxelles, 67/2 à 1300 Wavre – tel : +32 (0) 10/235 900 – info@mcbf.be Administrateur délégué : Luc Tielemans, diacre – Directeur adjoint : Cyril Becquart - Directeur de la rédaction : Jean-Jacques Durré – Responsable de l’information : Thierry Graulich – Secrétaire de rédaction : Matthieu Hargot – Accompagnement des paroisses : Anne-Françoise de Beaudrap et Thierry Graulich Les contenus rédactionnels et les images fournis par les paroisses et les Unités Pastorales sont publiés sous leur entière responsabilité. Fil info : redaction@mcbf.be – L’actualité en continu : www.InfoCatho.be En coréalisation avec Bayard Service Edition – Parc d’activité du Moulin, allée Hélène Boucher BP60090 – 59874 Wambrechies CEDEX
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