Venez et voyez mai 2014

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N ° 8 Mai 2014 SUPPLÉMENT AU JOURNAL D I M A N C H E AGRÉGATION

VENEZ ET VOYEZ DOYENNÉ DE BRUXELLES SUD UP Ixelles Ste Croix, Uccle les Sources vives, Auderghem, Watermael Boitsfort les Cerisiers

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MCBF

«Partir en mission, c’es t d’abord une démarche d’amour et de désir…»

EN CE MOIS DE MAI, LAISSONS‑NOUS GUIDER PAR MARIE VENEZ REJOINDRE LA MARCHE MARIALE…

LE MATCH DE LA SOLIDARIT

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L’UP STE CROIX VA MARCHE R AVEC MARIE…

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UNITÉ PASTORALE IXELLES SAINTE‑CROIX

Contacts

VENEZ ET VOYEZ -

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UNITÉ PASTORALE SAINTE‑CROIX D’IXELLES

ACCUEIL DANS LES PAROISSES

NEDERLANSTALIGE PASTORAAL : Père Omer Termote Elsensesteenweg, 210, 1050 Elsene Tél./fax : 02 640 86 82 ; nederlpastorelsene@skynet.be

COMMUNAUTÉS D’ORIGINE ÉTRANGÈRE - pastorale de langue portugaise : Père Eugénio - contact : 02 538 95 31 - pastorale italienne : Père Godding contact : 0473 68 61 58 -Communauté Maronite : Père Ghassan Nasr - Rue Théodore Decuy‑ per, 131/23 12 00 Bruxelles Tél. 02 742 27 09 ; Gsm : 0475 54 58 54

SERVICE SOCIAL DE BRUXELLES SUD‑EST : Mme Caroline Vandermeersch : Ch. de Boondael, 26A ; 02/648 50 01 c.vandermeersch.cssbse@gmail.com

HORAIRE DES MESSES DU DIMANCHE Saint‑Adrien : samedi 18 h 30 et dimanche 9 h 30 en français ; dimanche 11 h 30 : com‑ munauté maronite Saint‑Boniface : dimanche 11 h en français et 18 h en italien.

Sainte‑Croix : samedi 17 h en néerlandais ; dimanche 10 h et 18 h 30 en français ; 12 h en portugais.

Notre‑Dame de la Cambre : samedi 17 h 30 et dimanche 11 h 30 en français.

Église Saint‑Adrien - Quartier Boondael Contact : Mme Anne‑Marie Chaumont 0470 20 70 93 ; am.chaumont@ skynet.be

Église Saint‑Boniface Rue de la paix, 21 1050 Ixelles ; 02 512 81 43 ; St‑boniface@skynet.be

Église de la Sainte‑Croix - Flagey Permanence du lundi au vendredi de 9 h 30 à 12 h : rue A. De Witte, 24 1050 Ixelles ; 02 648 93 38 ; saintecroix.xl@gmail.com.

Église Notre‑Dame de la Cambre Secrétaire : M. Henri Van Trichtveldt Abbaye de la Cambre, 11 1050 Ixelles ; eglisedelacambre@gmail.com Tél./Fax : 02 648 11 21 ; de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h sauf le mardi.

Equipe au service de l’Unité pastorale - Abbé Luc Terlinden, responsable. 02 648 93 38 ; lucterlinden@catho.be - Père Norbert Maréchal, coresponsable. 02 512 81 43 ; marechaln@skynet. be - Père Hugues Bada, coresponsable. 02 648 91 14 ; hugues@ abbaye‑de‑leffe.be - Sœur Françoise Barnoud, assistante paroissiale : pastorale de la santé.

02 511 91 69 ; frbarnoud@gmail.com - M. Olivier Dekoster, assistant paroissial : pastorale des jeunes.

0476 06 02 34 ; olivier.dekoster@catho‑bruxelles.be - Mme Anne‑Marie Chaumont, secrétaire de l’UP. 0470 20 70 93 ; am.chaumont@skynet.be Pour les autres contacts, consulter le N° de févier de «‌Venez et voyez‌».

Horaire des messes du dimanche Saint‑Adrien : samedi 18 h 30 et dimanche 9 h 30 en français ; dimanche 11 h 30 : communauté maronite Saint‑Boniface : dimanche 11 h en français et 18 h en italien.

Sainte‑Croix : samedi 17 h en néerlandais ; dimanche 10 h et 18 h 30 en français ; 12 h en portugais.

Notre‑Dame de la Cambre : samedi 17 h 30 et dimanche 11 h 30 en français.

AGENDA DES ÉVÈNEMENTS ET ACTIVITÉS DANS L’UNITE PASTORALE EN MAI

MCBF

02-04/05 GRAND BIGARD Retraite confirmation (2e année) 05/05 15 h SAINT BONIFACE Vie montante 10/05

BEAURAING Pèlerinage 11/05 11 h SAINT BONIFACE 1re Communions 11/05 11 h 30 N.D.de la CAMBRE 1re Communions 18/05 10 h 30 SAINT ADRIEN Confirmations 22/5 20 h Rue du Nid 10 Réunion préparatoire des baptêmes 24/05 Journée fête de la foi 29/05 11 h SAINT BONIFACE Profession de foi pour la 1re année 31/05-1/6 N.D.de la CAMBRE Participation «‌Églises ouvertes‌» 31/05 20 h N.D.de la CAMBRE Concert gratuit de chants sacrés

et spirituels

ND de Beauraing.

UNITÉ PASTORALE IXELLES SAINTE‑CROIX

VENEZ ET VOYEZ -

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Marcher avec Marie…

Qui dit pèlerinage pense souvent (longue) route, marche… Mais il y a différentes fa‑ çons de «‌pèleriner‌». Quelque soit le moyen de locomotion ou la distance, un pèlerinage, c’est sortir de chez soi, quitter un point fixe, pour aller vers… ? Pour un chrétien, il n’y a qu’un seul but : le Christ.

Nous avons la chance d’avoir en Belgique de nombreux lieux de pèlerinage, et pour la route, le meilleur des guides : Marie. Marie la silencieuse, Marie la discrète, qu’on imagine facilement restant à Nazareth, comme sur ces annonciations, au demeurant fort belles, où on la voit le plus souvent assise, lisant ou filant. Mais un coup d’œil sur les évangiles nous la révèle en voyageuse infatigable.

A peine a‑t‑elle reçu le message de l’ange et prononcé le «‌oui‌» qui nous vaudra le salut, elle part sur la seconde annonce : Élisabeth va avoir un fils, elle est âgée, elle va avoir be‑ soin d’aide. Et voilà Marie en route, en toute hâte : service d’abord ! Et puis c’est Beth‑ léem, Jérusalem, l’Égypte, retour à Nazareth.

Pèlerinage à Jérusalem encore, Cana, puis tant d’autres villages dont nous ignorons le nom, un en tout cas où elle cherche son fils («‌ta mère et tes frères sont là…‌»). … Il est probable qu’elle se joint aux femmes qui accompagnent Jésus, nomades avec lui, jusqu’au Golgotha. Et encore plus loin, car, à la venue de l’Esprit, elle accompagne la naissance de l’Église.

Et voici qu’elle revient encore vers nous, sur terre, en différents lieux. Jusqu’ici en Belgique : Banneux, Beauraing. Et, plus dis‑ crètement, partout on la vénère, que ce soit sous forme d’icône, de majestueuse statue de reine ou d’humble statuette. Surtout dans le cœur de tous ceux qui l’accueillent.

Oui, Marie nous guide, nous entraîne vers son Fils, jusqu’à la Croix, jusqu’ au‑delà de la Croix, vers le Ressuscité.

Laissons‑nous former et guider par Marie.

Pour arriver au but, suivons ses conseils.

Ils sont simples : pas de régime sportif, pas d’exercices compliqués, seulement 3 consignes : 1) Priez 2) Priez beaucoup 3) Priez toujours Ces demandes font partie du message de Marie à Beauraing, où l’Unité pastorale Sainte‑Croix ira en pèlerinage ce 10 mai.

Beauraing était une bourgade de la province de Namur, sans intérêt particulier, jusqu’au jour où le choisit pour s’y manifester. Oh,

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La première en chemin, Marie tu nous entraînes À risquer notre oui aux imprévus de Dieu…

elle n’y est pas inconnue elle y est d’ailleurs vénérée dans une «‌grotte de Lourdes‌».

29 novembre 1932. Fernande et Albert Voi‑ sin vont chercher leur petite sœur Gilberte au pensionnat des sœurs. Ils sont accompa‑ gnés de leurs amies Andrée et Gilberte Gin‑ gembre. Albert sonne à la porte, se retourne et voit au dessus du pont du chemin de fer une silhouette blanche, lumineuse. Les filles suivent son regard et aperçoivent aussi la «‌belle dame‌». De même, Gilberte qui sort du pensionnat. On dirait que c’est la statue de la grotte qui se promène là‑bas. Les enfants ont peur, mais ils reviendront le lendemain comme d’habitude chercher Gilberte, et là, à nouveau… mais ce n’est pas la statue de la grotte.

Du 29 novembre 1932 au 3 janvier 1933, les enfants la verront encore une trentaine de fois, mais bientôt la dame ne reste plus si loin, elle les rejoint dans le jardin du pension‑ nat sous une aubépine qui s’y trouve encore aujourd’hui (ou l’un de ses rejetons).

La statue bien connue représentant Notre‑Dame de Banneux n’arrive pas, malgré tout le talent de l’artiste, à montrer Marie telle que l’ont vue les enfants : une jeune femme, petite, debout sur un nuage qui cache ses

pieds. Vêtue d’une longue robe blanche tra‑ versée de trois reflets bleus. Un long voile blanc descend sur ses épaules. Jusque‑là, c’est possible. Mais comment montrer les fins rayons de lumière qui couronnent sa tête, et la lumière de son cœur d’or ? Merveilleux cauchemar pour un sculpteur !

Pèlerins qui venez devant cette image, contemplez‑la, et puis fermez les yeux. Lais‑ sez s’ouvrir votre cœur, et alors peut‑être percevrez‑vous un peu de cette lumière, et vous vous rappellerez sa promesse : «‌Je convertirai les pécheurs‌». La lumière qui illumine Marie, qui jaillit de son cœur, ne peut être autre que Celui qui est lumière du monde.

Réjouis‑toi, Marie, comblée de grâce que tu fais rayonner sur nous Le Seigneur est avec toi qui nous l’apportes, Jésus, le fruit béni de ton sein.

Sainte Marie, Mère de Dieu et notre mère Toi l’immaculée, prie pour nous, pécheurs Maintenant, et à l’heure de notre naissance à la vie éter‑ nelle.

Amen.

II R. Valentin

UNITÉ PASTORALE LES SOURCES VIVES

Premières communions, confirmations …

A l’entrée de cette période où 1es commu‑ nions et confirmations vont être célébrées, voici l’occasion pour chacun d’entre nous de nous demander comment nous aidons les nombreux enfants de notre UP à découvrir ce qu’est la vie chrétienne ?

Comme le dit la présentation du rituel : «C’est à l’ensemble de la communauté chré‑ tienne qu’il revient de préparer les baptisés, au sacrement de la confirmation.» Et cela est vrai aussi de l’eucharistie, et du bap‑ tême…

Parce que ces sacrements ne sont pas des buts en soi, ils sont là pour initier et nourrir la vie chrétienne. La première question est donc de nous demander si nous vivons de ce sacrements que nous avons reçus, et que nous recevons ? Voilà la première manière d’aider ces enfants. Une seconde est de les porter par notre prière. Une troisième de veiller à nous accueillir les uns les autres afin de former des assemblées fraternelles où ils auront envie de revenir.

Dates des 1e Communions : Dimanche 11/05 et 01/06, à 10 h à ND de l’Annonciation Dimanche 11/05, à 10 h 30 à ND du Rosaire Dimanche 25/05, à 11 h 15 au Sacré Cœur Dimanche 22/06, à 11 h à la Trinité Dates des confirmations : Samedi 10/05, à 18 h à ND de l’Annon‑ ciation Dimanche 11/05, à 11 h 15 au Sacré Cœur Dimanche 25/05, à 10 h 30 à ND du Rosaire Dimanche 08/06, à 11 h à la Trinité

VENEZ ET VOYEZ -

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MESSES DOMINICALES ND de l’Annonciation (Place Brugmann, 1050 Ixelles) Samedi 18 h - Dimanche 10 h ND du Rosaire (Av. Montjoie 32, 1180 Uccle) Samedi 18 h - Dimanche 10 h 30 - Dimanche 18 h Sacré Cœur (Rue Vanderkindere 117, 1180 Uccle) Dimanche 8 h 30 - Dimanche 11 h 15 - Dimanche 19 h (précédée d’une heure d’adoration) Trinité (Parvis de la Trinité, 1050 Ixelles) Samedi 18 h - Dimanche 11 h

MESSES EN SEMAINE ND de l’Annonciation du lundi au samedi : 11 h ND du Rosaire du lundi au vendredi : 12 h 10 (chapelle ND de Fatima, rue de la Bascule 19 - 1180 Uccle), 18 h 30 (à l’église) Sacré Cœur du lundi au vendredi : 18 h 30 Trinité du mardi au jeudi : 12 h

Heures d’ouvertures des églises ND de l’Annonciation Tous les jours de 10 h à 19 h en été, de 10 h à 17 h en hiver.

Confessions : samedi de 10 h à 10 h 45 ND du Rosaire du lundi au vendredi : de 7 h 30 à 12 h et de 14 h à 19 h Les samedi et dimanche : de 9 h à 12 h Sacré Cœur Lundi, mardi, mercredi et vendredi : de 10 h à 12 h et de 16 h 30 à 19 h Jeudi de 14 à 16 h et de 16 h 30 à 19 h Samedi de 15 h 45 à 17 h Dimanche de 8 h 30 à 9 h 30, de 10 h 45 à 12 h 45 et de 18 à 20 h Confessions : du lundi au vendredi de 17 h 30 à 18 h 15 Trinité Tous les jours de 9 h à 19 h

Contacts Secrétariat de l’Unité pastorale (Rue Stallert 8, 1050 Ixelles) 02/346 92 12, annonciationsacrecœur@gmail.com ND du Rosaire : secrétariat (Av. Montjoie 29, 1180 Uccle) 02/344 57 90, secretariat@nd‑rosaire.be Trinité : secrétariat (Rue Africaine 37, 1060 St Gilles) 02/538 34 60

Charles Lecompte

Equipe des prêtres

Bénédiction des enfants à ND du Rosaire.

Abbé François Vanandruel, responsable [francois.vanandruel@gmail.com ; tél : cf. Secrétariat de l’Unité pastorale] Abbé Innocents Batekidila [binnocents@yahoo.fr ; tél : cf. Secrétariat de la Trinité] Abbé Benoît de Baenst [abbebenoitdebaenst@gmail.com ; tél : cf. Secrétariat de l’Unité pastorale] Abbé Alphonse Kanubantu [adibakealphonse@yahoo.fr ; tél : cf. Secrétariat de la Trinité] Abbé Cassien Ndikumangenge [cassien73ndikum@gmail.com ; tél : cf. Secrétariat de l’Unité pastorale] Abbé Thierry Vander Pœlen [th_vanderpœlen@yahoo.fr ; tél : cf. Secrétariat de ND du Rosaire]

Vous en avez sans doute entendu parler une fois ou l’autre, il y a relativement régulièrement des temps missionnaires devant l’église du Sacré Cœur.

Bien sûr, ce n’est pas la seule manière d’être en mission, mais c’est une manière importante, et d’autant plus importante aujourd’hui que bon nombre de nos contemporains n’ont plus eu l’occasion de parler de Dieu avec des chrétiens depuis longtemps, voire n’en ont jamais eu l’occasion du tout.

Et il se passe de belles choses !

Voici ce qu’en disait une paroissienne après un de ces temps : «Partir en mission, c’est d’abord une démarche d’amour et de désir : Aimer les personnes que nous allons aborder, prier pour elles dans le désir de leur transmettre notre joie d’aimer Jésus et d’être aimés par lui. Christiane et moi partons dans les rues avoisinant l’église, assez stressées, je dois bien l’avouer. (…)

Nous essuyons quelques refus, parfois très fermes. Certains rejettent Dieu avec une violence ou une indifférence qui nous étonne, mais ne jamais insister, ne jamais se décourager. Nous vivons aussi de très belles rencontres, des dialogues chaleureux, des échanges sur la foi. (…) notre dernière rencontre : «‌Alinéa‌» qui, solitaire, écoutait les chants devant l’église. Alinéa nous parle de sa vie…elle ne va plus à l’église mais semble contente de nous parler. (…) Le lendemain matin, à la sortie de la messe au Sacré‑Cœur, une très belle surprise m’attend : Alinéa est là, toute souriante, elle me dit avec fierté : «‌Vous voyez, je suis venue à la messe et je suis très contente !‌» Son regard est lumineux.»

Alors, invoquons l’Esprit saint, et demandons lui de nous aider à retrouver le goût et l’audace d’annoncer notre foi.

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Prier le Rosaire dans notre Unité pastorale

Charles Lecompte

Entre Pâques et Pentecôte, se préparer à recevoir l’Esprit Saint pour être missionnaire !

VENEZ ET VOYEZ -

Statue de ND du Rosaire (église ND du Rosaire) «Avec [le Rosaire], le peuple chrétien se met à l’école de Marie, pour se laisser introduire dans la contemplation de la beauté du visage du Christ et dans l’expérience de la profondeur de son amour.» (Jean Paul II) En ce mois de Marie, peut‑être pouvons redécouvrir cette belle prière du Rosaire.

Sachez qu’il est prié du lundi au vendredi à 17 h au Sacré Cœur, à 18 h à ND de l’Annonciation, et le vendredi à 18 h à ND du Rosaire.

Une autre belle manière de le prier est de le faire avec les équipes du Rosaire, qui vous sont présentées ci‑dessous.

Les équipes du Rosaire sont axées sur la prière avec Marie.

Chaque mois, avec l’aide d’un texte de la Bible médité, nous nous rencontrons chez l’une ou chez l’autre pour partager.

Ainsi nous cherchons à approfondir ou à retrouver notre foi, à découvrir les merveilles du plan du salut de Dieu et bien sûr ce qu’Il attend de nous.

Le Rosaire devient ainsi un véritable ’aliment pour la foi’ (Paul VI).

Les rencontres sont des moments d’accueil de la Parole et d’amitié fraternelle.

Nous sommes une communauté d’Église, mouvement missionnaire par là même.

Venez et voyez !

II Marie‑Thérèse Voituron (02 344 76 88)

Anne Van Bellingen

UNITÉ PASTORALE LES SOURCES VIVES

UNITÉ PASTORALE LES SOURCES VIVES

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Fécondité à contre‑temps Vous commencez à connaître mes amis du web. Avec son autorisation, je vous donne un billet de ‘Zabou’, jeune bloggeuse catholique, professeur de lettres en banlieue parisienne.

Si vous voulez la suivre, c’est ici http://www.zabou‑the‑terrible.fr/ Ce jour‑là, j’avais un rendez‑vous important dans le quartier de la Bourse. Il ne s’agissait absolument pas d’une quelconque question financière mais, au contraire, plutôt d’une question culturelle ou intel‑ lectuelle, au choix. Evidemment, je traînais dans le coin déjà très tôt…

Dans le quartier de la Bourse à Paris, il y a une église un peu particulière, la basilique N.-D. des Victoires.

Elle est particulière parce que je ne l’ai jamais trou‑ vée belle et pourtant, j’aime venir y prier… Dans ce quartier clinquant, qui semble souvent en voie de déshumanisation, elle est un lieu de silence… C’est assez fou : elle fait partie des églises parisiennes ou, à peine la porte franchie, on entre dans un silence d’une très belle densité. Un vrai lieu de calme et de prière.

Je disais que je ne l’avais jamais trouvée belle : c’est exact mais pourtant le nombre d’ex‑votos qui y sont affichés m’a toujours paru magnifique et j’aime mar‑ cher dans l’église et les contempler, comme un par‑ cours d’action de grâce. Dans cette basilique dédiée à Marie, il y a surtout cette immense statue de la vierge Marie ; et, dans cette basilique, il y a aussi toujours quelqu’un à prier devant cette statue. Avant mon rendez‑vous, c’est bien sûr à elle que je venais me confier, elle qui est notre exemple d’accueil du don de Dieu dans toute sa vie, c’est‑à‑dire pour nous autres gens ordinaires, dans tous les domaines de notre vie : long chemin de conversion.

Mais ce jour‑là, voyez‑vous, je venais de vivre une période de trop plein et malheureusement surtout de trop plein de mauvaises nouvelles. Et puis, à cette heure‑là, j’étais stressée. Alors, je n’arrivais pas à prier : j’étais devant, à regarder la statue, pleine de mes pensées, peinant à les orienter vers Lui. Abais‑ sant mon regard, je vis deux femmes qui priaient, à genoux devant la statue. Prêtant l’oreille, je découvris qu’elles priaient le chapelet à voix basse et j’enten‑ dais comme des bribes de «‌Je vous salue Marie‌».

Alors, je me suis comme glissée dans leur prière, je m’y suis associée par le cœur et de toute ma force.

Sans qu’elles le sachent, ces deux femmes furent mes portes d’entrée en prière, à une heure où j’en avais besoin.

On ne connaîtra jamais la fécondité possible de nos prières murmurées, chuchotées à la seule oreille du Seigneur.

UNITÉ PASTORALE D’AUDERGHEM

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Le 15 mars, le Brésil à Auderghem !

Monseigneur Euge‑ nio Rixen, évêque de Goiás au Brésil mais d’origine belge, tout juste débarqué du Brésil, a participé à un colloque à Lou‑ vain‑la‑Neuve qui a posé la question de la justice sociale dans un monde glo‑ balisé en pleine mu‑ tation. Il a rejoint l’UP d’Auderghem pour notre après midi phare du Carême. Il nous a partagé sa vie au Brésil, solidaire des plus pauvres, des paysans sans terre, il a rencontré, échangé avec les enfants des catéchèses de profession de foi, de 1 re communion et les adultes. Et son témoi‑ gnage a touché les cœurs, que ce soit ses histoires aux petits, son partage de la vie avec les pauvres aux aînés. En parallèle à la rencontre avec Dom Eugenio, se dé‑ roulait aussi en partenariat avec Entraide et Fraternité plusieurs ateliers : bricolage, foot solidaire (cf. la photo de la couver‑ ture), réflexion sur la justice sociale, mu‑ sique, témoignages des JMJ, découverte de nos faims à travers la tapisserie, projec‑ tion du DVD d’Entraide et Fraternité avec discussion, prière autour de la Trinité…

Ce fut à la fois un moment de grande fraternité entre nous - beaucoup de pa‑ roissiens ont apporté leur aide et leur concours - et d’ouverture au monde. Les collectes de partage sont devenues tout à coup beaucoup plus concrètes et nous avons pu mieux comprendre les enjeux de la confrontation entre l’agriculture pay‑ sanne et les grandes industries agroali‑ mentaires.

Dans une église Sainte‑Anne bondée, l’après‑midi s’est conclue par une eu‑ charistie festive et priante aux accents du Brésil, animée par la chorale VOX. Monseigneur Jean Kockerols avait rejoint pour l’occasion le Sud de Bruxelles pour retrouver les jeunes reçus l’été dernier juste avant les JMJ dans le diocèse de Monseigneur Rixen. Dans son homélie, Monseigneur Rixen, a parlé de la prière en ces mots : «‌la prière est capable de trans‑ former notre visage et notre regard. Celui qui ne prie pas devient comme une bête.

Il est impossible de vivre en chrétien sans prier… et c’est compliqué et facile aussi.‌» II Claire Jonard et Françoise Joris

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UNITÉ PASTORALE D’AUDERGHEM Ste‑Anne, chée de Tervuren, 91 St‑Julien, av. G.E. Lebon, 1 N.D. du Blankedelle, av. des Héros, 34

Contacts utiles Site Internet : www.paroissesauderghem.be Mail : upauderghem@skynet.be Av. Chant d’Oiseau 193, 1160 Bruxelles Tél+Fax : 02/673 82 82 Permanences : du lundi au vendredi : 10 à 12 h.

Cure de Sainte‑Anne Tél +fax 02/672 43 89 Permanences : lundi & mercredi de 10 à 12 h

Baptêmes dans notre Unité La prochaine réunion d’accueil pour les baptêmes des petits enfants (0 à 18 mois) est prévue le jeudi 8 mai 2014 à 20 h 15 Salle de réunion N.D. du Blankedelle, 34, av. des Héros, Auderghem (entrée à gauche sur l’esplanade face à l’entrée principale de l’église).

A été baptisée Alexia Fontaine

Seront unis devant Dieu Coralie Uyttenhove et Léopold Meyers Laetitia d’Oreye et Félix Zurstrassen Vandy Bertem et Camille Bodin Sylvie Michel et Dieudonné Rondenbosch

Ont rejoint la maison du Père Mariette Labiouse veuve Julien Desseille, Hélène Van Canneghem veuve Achille Peleriaux, Désirée Demetter veuve Pierre Smekens, Jeanine Speleers et Dympha Moonen veuve de Marcel Nœl.

AGENDA Samedi 26 avril à 15 h à Notre‑Dame : samedi PEPSS’ suivi de la messe à 17 h 30 avec célébration de baptêmes Dimanche 27 avril à 11 h à St‑Julien : eucharistie et célébration du sacrement des malades Vendredi 2 au Dimanche 4 mai : retraite des professions de foi de 27 enfants à Pesche Vendredi 9 mai à 18 h 30 à St‑Julien : messe d’action de grâce pour l’année pastorale suivie de l’apéro des bénévoles à la salle paroissiale «‌Espace Saint‑Julien‌» Dimanche 11 mai à 11 h : Profession de foi en Unité à St‑Julien Dimanche 18 mai à 11 h : Première des communions à St‑Julien Jeudi 29 mai à 9 h 45 : Ascension : Première des communions à Notre‑Dame Dimanche 1er juin à 11 h 15 : Première des communions à Ste‑Anne

UNITÉ PASTORALE D’AUDERGHEM

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05/2013 ~ P. 8

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Passages

Les chrétiens confessent l’importance de la libération d’Égypte, cette première et lointaine Pâque. Ils admirent en Moïse le «‌beau pasteur‌» et le prophète musclé, pré‑ figuration de ce que sera Jésus. Pourtant le sommet de l’année chrétienne ressemble à un pluriel (Pâque‑s). Cela peut indiquer que l’histoire pour nous, est faite d’une pléiade de passages décisifs. La vigile pascale en évoque quelques‑uns : la Création, la traver‑ sée de la mer Rouge ou le baptême.

Après avoir fêté la Pâque avec ses proches, le Seigneur devait s’engager sur l’étrange chemin qui le mènera de la vie donnée à la vie reçue, à travers le douloureux détour de la mort. Car il a été ressuscité ! Voilà bien l’événement central de l’histoire, le miracle suprême, accessible seulement au regard que pose la foi sur des signes ténus : une pierre roulée, un linceul plié, une grotte vide… Car ce qu’ont vu les proches du divin défunt, c’est d’abord un vide, une absence déroutante, dont le sens n’apparaîtra que grâce à des paroles angéliques et, plus tard, par la rencontre du Seigneur, à la fois si dif‑

férent d’aspect et si fidèle à lui‑même dans l’amour qu’il porte aux siens. Qu’il fut diffi‑ cile le passage à la foi en la Résurrection ! Et comme on comprend que d’après Marc, les saintes femmes en perdirent même la pa‑ role tant la peur les étreignait devant cette incroyable nouvelle.

Tous les récits d’apparition n’oscillent‑ils pas entre la crainte et la joie, le doute et la foi ? Ne sont‑ce pas là des réactions saines à la rencontre d’un Dieu ? Le jour où s’éva‑ nouiront complètement la peur et le doute, c’est que Dieu sera dépouillé de son mystère, et que nous verrons face à face Celui dont l’amour, enfin, n’aura plus de secrets.

Dieu raffole de passer ! Discrètement, presque honteux du «‌dérangement‌», Dieu ne cesse de rejoindre notre histoire : dans les sacrements, ou dans tant d’expériences de liberté ou de bonheur partagé. Toutes ces Pâques divines sont autant d’échos du grand rapprochement réalisé par le Fils, lorsque «‌devenu‌» l’un des nôtres, il tint à vivre, dès avant sa naissance ces visites, voyages et ren‑ contres dont les évangiles gardent la trace.

Passant impénitent, Dieu est aussi suprême «‌passeur‌». Comment ne nous appellerait‑il pas, puisque nous sommes à son image, à nous laisser (é) mouvoir par son goût du voyage ? «‌viens et suis‑moi‌» ! Les Pâques chrétiennes ne se réduisent pas à admirer sa mobilité et sa puissance. Elles invitent aussi à se laisser ébranler, à la suite du Christ, en direction d’une terre et de cieux vraiment neufs. L’année liturgique reflète cette exi‑ gence de désinstallation, de commencement en commencement, de fête en fête, en pas‑ sant par un temps bien moins «‌ordinaire‌» qu’il n’y paraît.

Dans ces Pâques quotidiennes que nous «‌fai‑ sons‌», le Ressuscité nous accompagne, ami fidèle et guide sûr.Quel croyant n’en a fait l‘expérience ? Ces cheminements complices ne sont que l’annonce de l’ultime passage sur «‌l’autre rive‌», dont, on l’espère, la vie ne sera point retirée. Cette rive‑là, c’est le Royaume grand ouvert à ceux et celles qui consentiront à y passer …l’éternité.

II Philippe Weber

UNITÉ PASTORALE D’AUDERGHEM

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Echos de nos trois conférences de Carême

Paul VI a terminé le concile, marqué par la polarisation entre progressistes et conser‑ vateurs. Selon lui, l’Église devait prendre conscience de qui elle était et être renouve‑ lée, recherchant l’unité et le dialogue avec la culture. Il a rénové la messe, ce qui ne fut pas facilement accepté. D’où sa tristesse derrière un homme très intelligent, le seul à avoir écrit une encyclique sur la joie.

Après une courte évocation de Jean‑Paul Ier, la figure de Jean‑Paul II fut esquissée. Par‑ mi ses voyages à travers le monde, il s’est rendu en Roumanie (complètement ortho‑ doxe) et a fini sa vie par ces derniers mots : «‌c’est le moment de la joie, moi je suis heu‑ reux, donc soyez‑le aussi‌».

Benoît XVI n’était pas fermé, mais très timide. D’une sensibilité extrême, il a ré‑ digé 3 magnifiques livres sur Jésus. En remettant sa démission, il savait qu’il ouvrait cette possibilité à tous ses suc‑ cesseurs.

Dès sa première homélie, François a uti‑ lisé 2 mots qui le définissent très bien : tendresse et miséricorde. Il a entrepris de réformer la curie romaine. Que va‑t‑il encore trouver ? Loin du protocole, il se montre très humain et, selon le choix de son nom, se tourne résolument vers les pauvres.

Pour clôturer le cycle, la pasteure Lau‑

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Le Père Serge nous a d’abord resitué le contexte dans lequel a vécu le Père Men : il est né en 1935, dans une famille d’origine juive non pratiquante. Peu de temps après, sa mère et sa tante se sont converties au christianisme en secret et ont été baptisées ainsi que le petit Alexandre par un prêtre de l’église clandestine. Nous sommes en pleine période de persécution contre l’église. Le système communiste a décrété vouloir éra‑ diquer toute trace de religion. Très jeune, à 12 ans, Alexandre ressent l’appel au sa‑ cerdoce. À 15 ans, il commence à s’inté‑ resser à la philosophie. Il choisit la biologie pour ses études supérieures, pour contrer le scientisme. Il se marie à 21 ans, écrit la 1re version de son œuvre maîtresse, le Fils de l’Homme. Il devient prêtre à 25 ans. Il publie (en Belgique !) son 2e livre, une véri‑ table somme, «‌les sources de la religion‌».

En 64, inquiété par le KGB, il est déplacé, probablement à cause des nombreuses conversions que son enseignement fait naître. Il met au centre de tout l’Évangile.

C’est un homme d’une grande simplicité, d’une grande liberté intérieure, ayant le sens de l’humour, une intelligence vive et d’hu‑ meur joyeuse. En 70, il sera déplacé dans une 3e paroisse. Entre 83 et 86, il doit faire face à une campagne de discrédit, de lettres anonymes. Cependant en 88, l’arrivée de Gorbatchev au pouvoir signe enfin la fin de la persécution antichrétienne. Le 9 sep‑ tembre 90, il sera sauvagement assassiné à coup de hache. Le meurtre ne sera jamais élucidé. Il aura donc porté son témoignage jusqu’au martyr.

La deuxième conférence par le cardinal Danneels nous présentait un ensemble de visages du Concile : de Jean XXIII à Benoît XVI, en passant par Paul VI et Jean‑Paul II. Chacun des derniers papes correspondait à ce que l’Église avait besoin. Jean XXIII, dès ses débuts, est apparu plus pastoral que doctrinal. Après 2 mois de pontificat, il a proposé de faire «‌un petit concile‌», ne sachant pas à l’époque quelle ampleur cela prendrait. Homme plein d’humour, il est resté très humble et a changé les habitudes presque sans le savoir. À sa mort, on le sur‑ nomma «‌le bon pape Jean‌».

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Le père Serge Model, prêtre de l’église orthodoxe Saint Nicolas à Bruxelles, démarrait le cycle de conférences en nous présentant un grand modèle de foi et de courage : le Père Alexandre Men (1935- 1990).

rence Flachon, en poste à la chapelle royale protestante du Musée, nous a pré‑ senté un grand théologien d’origine alle‑ mande, Paul Tillich (1886- 1965), natu‑ ralisé américain en 33, lorsqu’il a dû fuir les persécutions nazies.

Paul Tillich est un homme de ponts : ponts entre deux continents, deux langues, entre plusieurs disciplines qu’il a voulu mettre en dialogue : théologie, philosophie, psy‑ chologie, psychanalyse. Ponts entre la religion et la culture séculière, entre la formation à l’écoute et ses prédications qui ont eu beaucoup de retentissement.

Il réinterprète avec des mots compré‑ hensibles les grandes notions comme le péché, la grâce, la justification par la foi. Le péché sera «‌traduit‌» par la sépa‑ ration, séparation d’avec les autres, avec nous‑mêmes, avec le fondement de notre être = Dieu. La grâce sera «‌traduite‌» par la réunion, la réconciliation. La foi est l’ad‑ hésion confiante au Dieu du pardon, dire oui au oui de Dieu.

La justification par la foi (Romains 5, 20), centrale pour les protestants, est devenue obscure : P. Tillich va proposer : c’est ac‑ cepter d’être accepté par Dieu, alors qu’on se sait inacceptable. Dieu déclare juste quiconque lui fait confiance.

II Gaëtan Parein et Françoise Joris

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UNITÉ PASTORALE DES CERISIERS (WATERMAEL BOITSFORT)

HORAIRES DES MESSES

MESSES EN SEMAINE

05/2013 ~ P. 10

VENDREDI 2 MAI

Marche Mariale

- à Saint‑Clément : mardi, mercredi et vendredi à 8 h 30.

- à Sainte‑Croix de La Futaie : mercredi et jeudi à 18 h 30 Le mercredi à 18 h adoration eucharistique.

- à Notre‑Dame du Perpétuel Secours : à l’oratoire Saint‑Mutien av. des Archiducs 66, les lundis à 18 h et jeudis à 8 h 40 - Religieuses de l’eucharistie : av. Wiener 20 résidence Sainte‑Anne : les jours de semaine à 18 h.

MESSES DOMINICALES - à Saint‑Clément : les dimanches à 9 h et 11 h 15 - à Sainte‑Croix de La Futaie : le dimanche à 10 h - à Saint‑Hubert : à la crypte : les dimanches à 11 h 15 - à Notre‑Dame du Perpétuel Secours : les samedis à 17 h 30 et les dimanches à 10 h.

- à Notre‑Dame Reine des Cieux : les samedis à 18 h.

- Saint‑Clément : rue du Loutrier à 1170 Bruxelles - Sainte‑Croix de La Futaie : av. des Coccinelles 23 à 1170 Bruxelles - Saint‑Hubert : Jagersveld (av. Delleur) à 1170 - Notre‑Dame du Perpétuel Secours : av. des Archiducs 68 à 1170 - Notre‑Dame Reine des Cieux : Heiligenborre à 1170.

EQUIPE RESPONSABLE D E S PA R O I S S E S Mme Céline Windey, coordinatrice de l’Unité pastorale «Les Cerisiers» rue du Loutrier 50 à 1170 Bruxelles Tél. 02 672 52 29 - windey@swing.be.

Abbé Liévin Ndunge, prêtre, coresponsable rue du Loutrier 50 à 1170 Bruxelles - GSM : 0483 036 826 ndungelievin@yahoo.fr.

Père Arnould van der Straten Waillet, prêtre coresponsable bd Saint‑Michel 24 à 1040 Bruxelles - Tél. 02 739 33 58 arnould@scarlet.be.

Mme Anne Van Bunnen, animatrice pastorale, coresponsable rue du Loutrier 50 à 1170 Bruxelles Tél. 02 672 52 29 - anne.vanbunnen@hotmail.com.

INVITATIONS Vendredi 2 mai : Marche Mariale (voir détails page 11) Dimanche 25 : messe des familles et Biblio_Ludo_ Chrétienne à 11 h 15 à l’église Saint‑Clément.

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A D R E S S E S D E S É G L I S E S

Cette année encore, notre Unité pastorale sera heureuse d’ac‑ cueillir les familles et les paroissiens et de faire un bout de chemin avec eux (au sens propre ET au sens figuré). Nous vous invitons à une marche conviviale, animée par des chants (accompagnés à la guitare) et ponctuée par de petits temps de catéchèse pour les jeunes. Nous marcherons dans la beauté de la Forêt de Soignes (+/- 4 km) avec, chemin faisant, la proposition de vivre des moments plus méditatifs et silencieux, voire de partager des temps de simple dialogue et de prière.

Nouvelle formule !

Pour les paroissiens ne pouvant pas marcher facilement, des temps de prière et de méditation seront prévus, pendant la marche, dans l’église. Ainsi, nous nous accompagnerons mu‑ tuellement à distance par la prière !

Où ?

Rassemblement devant l’église Notre‑Dame Reine des Cieux (Heiligenborre). Le retour est prévu à la même église (nous parcourrons une boucle) vers 21 h 30.

En cas d’intempérie, ne renoncez pas, munissez vous de bottes, d’une bonne veste de pluie et d’un parapluie ! En cas d’orage violent comme l’an passé, l’animation est maintenue mais se tiendra dans l’église.

Quand ?

Le vendredi 2 mai 2012 à 19 h 30.

Retour à l’église vers 21 h 30 suivi du partage d’un potage revigorant (p.a.f. libre).

Inscription :

Merci de bien vouloir vous inscrire au secrétariat par mail ou par téléphone pour le 22 avril au plus tard en précisant le nom et l’âge de chaque participant.

Secrétariat d’Unité pastorale : paroisses1170bxl@gmail.com ou Tél. 02 672 52 29

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UNITÉ PASTORALE DES CERISIERS (WATERMAEL BOITSFORT)

05/2013 ~ P. 11

UN É C H O D E L A C AT É C H È S E I N T ERGÉNÉRATIONNELLE

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Ce 15 mars dernier, tous les paroissiens de l’UP, les enfants se préparant à leur première communion ainsi que leurs pa‑ rents ont été invités à participer à une après‑midi de catéchèse intergénération‑ nelle qui avait pour thème le pardon.

L’après‑midi a été articulée autour de temps de détente, d’approfondissement et de partage. L’occasion a été donnée à tous de découvrir un «‌pardonné‌» de Jésus.

Catéchistes, enfants et parents ont été enchantés de vivre ensemble ce temps convivial et intergénérationnel.

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«‌Père, pardonne‑leur‌»

VICARIAT DE BRUXELLES

VENEZ ET VOYEZ -

05/2013 ~ P. 12

Retrouvez l’agenda du vicariat sur www.catho-bruxelles.be et l’information en continu sur www.InfoCatho.be

La pastorale africaine : accompagner dans la ville

Centre Amani

Le saviez-vous ? Il existe un service de pastorale spécifique pour les Africains, l’une des quarante communautés étrangères catholiques de Bruxelles. Mais loin de les séparer des autres fidèles, la pastorale africaine a pour but de réconcilier les communautés.

Quelques facettes de la vie du Centre Amani.

L’Histoire entre la Belgique et l’Afrique est marquée tant par la colonisation que par l’émigration économique. La période du Congo belge eut pour conséquence la création de liens spécifiques entre les deux pays. Dès lors, une partie très importante de la communauté africaine de Bruxelles est issue du bassin du Congo : ex-Zaïre, Rwanda et Burundi.

Le Centre Amani

Une main blanche et une main noire se rejoignant en signe de fraternité, voilà le symbole du centre Amani (qui signifie «paix» en lingala). Le centre «Amani» est un centre de rencontre et de premier accueil pour Africains, fondé par le Père Karel Stuer dans une maison que feu le P. de Roovere mit à sa disposition. Il a officiellement ouvert ses portes en 1991. Mais les Pères Blancs n’avaient pas attendu cette date pour s’occuper des Africains en Belgique : accueil

des étudiants, poursuite des contacts avec le pays d’origine, autant d’initiatives qui ont permis de jeter des ponts entre les deux continents, mais surtout entre les personnes. L’attention aux personnes, voilà bien ce qui caractérise le Centre Amani.

Au départ, le Centre avait une mission pastorale pleine et entière, à l’image d’une paroisse : accompagnement aux sacrements, cours de catéchèse, etc. Mais il y a quelques années, le diocèse a décidé de privilégier l’inclusion des Africains dans les paroisses territoriales. En effet, il était étrange que les fidèles d’origine africaine reçoivent leurs sacrements ailleurs que dans la paroisse où ils habitent.

L’abbé Simon, originaire du Ghana, dirige cette institution depuis trois ans. Au programme des activités : une attention aux personnes originaires d’Afrique, sans couper les liens tissés avec les paroisses. En particulier, le Centre Amani accompagne les

élèves d’origine africaine par une école des devoirs et deux salles d’études où ils peuvent travailler dans des conditions propices à la réussite. Autre enjeu : les étudiants africains venus poursuivre leurs études dans des universités belges et dont les diplômes ne sont pas toujours reconnus comme équivalents par les ministères belges de l’Enseignement supérieur. Ils trouvent au Centre Amani une aide précieuse pour mettre leur situation en règle.

Francophones et anglophones

Si les Africains arrivés à Bruxelles depuis peu parlent surtout les langues locales (essentiellement lingala et kiswahili), ceux nés en Belgique sont majoritairement francophones. Mais il existe aussi un service spirituel pour les Africains anglophones. Celle-ci se réunit chaque dimanche midi à l’église Notre-Dame Immaculée à Anderlecht.

I MB

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