évéNemeNt P. 4
L’Allianz Riviera, un écrin vert Récemment inauguré, le stade de Nice se veut exemplaire en matière de développement durable.
Supplément AuToMne 2013
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Nice INteRvIew P. 6
Ne jetez pas ce Numéro spécial sur la voie publique : offrez-le à votre voisiN !
La vie en Rose
entre deux concerts, la chanteuse a répondu à nos questions. L’occasion de confier son amour de nice, la ville où « tout a commencé ».
CuLTuRe Ça va buller à villefranchesur-mer, où se déroulera le 4e salon de la bD [p. 26]
bons pLAns restos, boutiques, sports, balades, sorties... les bonnes adresses dénichées et testées pour vous [p. 12]
AgendA culture, sport, loisirs : retrouvez tous les immanquables de votre région [p. 28]
soMMaire
La Riviera accueille son nouveau stade Football, rugby, sports mécaniques mais aussi les concerts seront au rendez-vous de l’Allianz Riviera. Page 4
interview
GastronoMie
rose
Rencontre avec la chanteuse niçoise.
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aGenda
la recette des frères tourteaux
théâtre, concerts, expos
Les chefs vous propose leur risotto au basilic et citron. p. 22
Un choix d’événements culturels à ne pas manquer. p. 26-32
le coin des pitchouns
bons Plans le « petit Marais » niçois
où manger ?
Restaurants, bars, des adresses pour toutes les bouches.
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Une sélection de nouveaux lieux festifs.
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où boire un verre ?
où shopper ?
Une sélection de lieux de ce quartier plein de vie. p. 12 créDit COuv couv : AfP ??? CRéDIt
Agenda enfants : des idées de sorties en famille.
p. 34
créDits sommaire : WiLmotte & associe¦Üssa LiGht / emmanueL JuPPeaux/ céciLe PinauD / victor toneLLi / aLexanDra BansarD
Edité par : SAS Publications Metro France 35, rue Greneta, 75002 Paris SIREN 439 396 474 RCS Paris Président-Directeur de la publication : Edouard Boccon-Gibod Directrice générale : Sophie Sachnine Directeur commercial : Christophe Dufresne Publicité commerciale : 01 55 34 45 16
Boutiques mode, livres et autres pour tous les plaisirs, à Nice et dans ses environs. p. 20
Relations médias : FHCOM Rédacteur en chef : Christophe Joly Rédacteur en chef délégué : Christophe Coubetergues E-mail : prenom.nom@ publications-metro.fr Adresse : 35, rue Greneta, 75002 Paris Directeur distribution : Fernando Prata
Responsable fabrication : Valérie Challet Site Internet : www.metrofrance.com Pages conçues et réalisées par Plurimedia (www.plurimedia.fr) : Michel Maurel (rédacteur en chef), Emmanuelle Dreyfus (chef de service, coordination), Jean-Baptiste Vadon (responsable maquette), Delphine Lefaucheux, Yoan Montagut (maquette),
Valérie Huin, Aude Lision (iconographes) Emmanuelle Valenti (correction). Ont participé à ce numéro : Audrey Bizouerne, Sabine Bouchoul, Céline Durr, Magali Hamard, Florence Patrie, Hélène Pouzet, Judith Rablat, Magali Régnier, Thibault Barbieri, Azahel Vienne.
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événeMent événement
La Riviera accueille son nouveau stade
Après deux ans de travaux, le nouveau stade de Nice a été livré le 22 septembre 2013. Plus grand, plus fonctionnel et plus écolo que le stade du Ray, l’Allianz Riviera sera l’enceinte du football, du rugby, des sports mécaniques, mais aussi des plus grands concerts de la Côte d’Azur.
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ffrir à la cinquième ville de France un stade à la hauteur de ses ambitions sportives et culturelles : tel était l’objectif fixé par la ville de Nice au cabinet d’architecture Wilmotte & Associés, en charge de la réalisation de l’Allianz Riviera. Avec son équipement de haut niveau, le nouveau stade s’est, en effet, donné les moyens d’accueillir les grands événements planétaires, dont l’Euro 2016 de football (voir encadré). Doté de plus de 35 000 places assises, il vient également concrétiser le projet d’excellence mis en place par son club résident, l’OGC Nice, qui a terminé à la 4e place du championnat de Ligue 1 la saison passée et y disputera plus de vingt rencontres cette CITY
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année. L’Allianz Riviera accueillera en outre des compétitions de rugby, des sports mécaniques ou encore du tennis sur gazon. Du sport, mais pas uniquement : les grands concerts de la Côte devraient en effet s’y succéder devant les 45 000 spectateurs qu’il peut contenir dans sa configuration spectacle. L’enceinte multimodale sera enfin le siège du futur Musée national du sport, qui présentera dès 2014 une collection de 50 000 objets uniques sur 2 000 m2 d’exposition.
un éCostaDe Pour une éCovallée
Intégré au projet de création d’une écovallée dans la plaine du Var, le nouveau stade de Nice se devait d’être « exemplaire en matière de développement durable » selon les mots du maire de la ville Christian Estrosi. L’ingénierie s’est donc
tribune nord. VILLE DE NICE
entrée principale. VILLE DE NICE
coursive haute. VILLE DE NICE
naturellement tournée vers des solutions écologiques et économiques en termes d’énergie : l’architecte Jean-Michel Wilmotte détaille ainsi le système de climatisation, basé sur une « ventilation naturelle qui canalise les vents de la plaine du Var et rafraîchit naturellement l’écostade». Les panneaux photovoltaïques permettent au stade de produire plus d’électricité qu’il n’en consomme, tandis que le système de récupération des eaux de pluie lui offre une autonomie quasi complète pour l’arrosage de la pelouse. Les gradins ont été entièrement recouverts d’une structure en bois, économisant au passage près de 3 000 tonnes d’émissions carbone. Défi environnemental relevé pour l’Allianz Riviera, qui restera l’un des tout premiers écostades du monde ! nicolas vacquier
nice à l’heure euroPéenne
S’il est déjà la nouvelle résidence de l’OGC Nice, le stade accueillera à l’été 2016 une compétition d’envergure internationale, l’UEFA Euro de football, organisé pour la troisième fois de son histoire par la France. Du 10 juin au 10 juillet 2016, près de 2,5 millions de supporteurs sont attendus dans les 10 stades retenus, dont l’Allianz Riviera. Nouveauté de cette édition : le nombre d’équipes participant à la phase finale passera de 16 à 24, pour encore plus de spectacle. Le tirage au sort de la phase de qualification se déroulera d’ailleurs le 23 février 2014… à Nice. CITY
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interview
«Artistiquement parlant, Nice est un vivier » Six ans ont passé depuis le succès de La Liste et ciao Bella, Rose est toujours là. Avec son univers intimiste et folk, la Niçoise continue de séduire le public. Rencontre. rose, les pieds dans le bonheur. yann orhan
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etite pause entre deux festivals. Rose est heureuse. Elle défend depuis le mois de février Et puis juin, son troisième album dans lequel elle se livre et raconte ses tracas de femme moderne, d’épouse, de maman. Un album très personnel et poétique à la fois optimiste et mélancolique. L’album est sorti il y a quelque temps déjà, pouvez-vous revenir sur sa genèse ? Je sortais de quelques années de non-écriture. Il y a eu la tournée du deuxième city CITY
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album, puis un roman, après je suis tombée enceinte et je me suis retrouvée maman, période pendant laquelle je n’ai pas écrit une ligne. C’était en juin dernier. Septembre est arrivé, et je me suis dit qu’il fallait y aller. Ça s’est fait assez naturellement parce que j’avais énormément de choses qui s’étaient emmagasinées en moi. Les chansons sont venues les unes après les autres. J’ai retravaillé des vieux titres que j’avais laissés de côté, j’en écris de nouveaux. J’ai vécu tellement de nouvelles aventures intérieures que finalement écrire était assez facile, bizarrement. L’album est à la fois lumineux et sombre. On
yann orhan
ne va pas. Forcément, il y a plus de choses qui sortent dans ces moments-là. Ça me fait penser à la chanson Sur toi de Zazie qui dit : « J’écris sur ce que j’endure, les petites morts et les blessures,... Je n’écris pas sur toi. » Cette chanson résume tout le mécanisme d’écriture. Le cerveau, à un moment, switche. On s’enferme sur soi-même, on se dit des choses qui tournent en boucle, ça nous travaille, ça se transforme en un truc énorme, et il faut qu’on l’écrive. C’est une sorte de téléphone arabe en nous. C’est assez incroyable ce qui peut se passer, mais c’est un mal pour un bien. C’est d’ailleurs d’un mal qu’est née La Liste. Mais plus que la tristesse, je pense que la mélancolie est un moteur créatif, et c’est un état qui peut durer dix ans !
rose aux francofolies 2013. saBine BouchouL - rocknFooL
y trouve beaucoup de chansons tristes… C’est plus simple d’écrire de telles chansons ? Ecrire des chansons joyeuses, je trouve ça très compliqué. Je le fais pour les autres. La dernière personne qui m’a demandé de lui écrire une chanson m’a dit : « Surtout, je ne veux pas angoisser les gens. » (Rires.) J’ai essayé d’écrire une chanson gaie, je ne pouvais écrire un truc comme « je me manque, je sonne creux ». C’était drôle, j’ai mis des rimes du style toi et moi. Je sais que je peux le faire mais, derrière, il y a toujours un brin de mélancolie. En général, j’ai beaucoup de mal à écrire des chansons gaies. Je pense qu’on écrit plus facilement quand ça
La plupart des chansons parlent de vous, est-ce que la musique serait pour vous une sorte de psychothérapie ? Oh non, ce serait beaucoup trop facile, mais ça m’éviterait de dépenser de l’argent ailleurs. Disons qu’il en ressort quelque chose de positif dont je suis fière. Le cercle vicieux se transforme en cercle vertueux, parce que je me sers de cet état mélancolique pour écrire. Je vais en être fière, donc, je vais aller mieux. C’est ce cycle-là que je ressens perpétuellement depuis que j’ai quatorze ans et qui me permet de toucher le fond puis rebondir. Je rebondis souvent grâce à l’écriture. C’était le cas en 2006. C’est par l’écriture que j’ai réussi à m’affirmer dans ce qui est devenu mon métier. Donc oui, je pense que ça m’aide, mais clairement, ça ne règle pas tous mes problèmes ! Et ça me fait plaisir que les gens viennent me voir et me disent : « Merci, je me suis retrouvé dans ce que tu dis. » Je crois d’ailleurs que c’est la phrase qu’on m’a le plus souvent répétée, et que je retrouve sur les réseaux sociaux. Comment réagissent les gens qui vous connaissent en écoutant vos chansons ? La plupart savent que mes chansons sont autobiographiques même si je brode un peu parfois. Les gens qui m’aiment et que j’aime souffrent un peu. La première fois que mon père a écouté mon premier album, il a pleuré et il m’a dit : « Je ne pensais pas que tu avais tout ça en toi. » C’est vrai que, parfois, ça fait peur… city CITY
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Mais ce n’est qu’une partie de moi, je peux être quelqu’un de très vivant, je rigole beaucoup, j’ai beaucoup d’amis, je sors. Du coup, ils se demandent un peu ce que j’ai dans la tête une fois que je ferme le rideau… Je peux comprendre qu’ils flippent un peu.
tout s’est ouvert. A Nice, j’avais toujours le même horizon. Je savais plus ou moins ce que j’allais faire et, surtout, ce que je n’allais pas faire. Mais, artistiquement parlant, cette ville est un vivier. Ça grouille de musique. J’ai fréquenté beaucoup de musiciens là-bas.
A travers vous, vous parlez aussi des femmes, est-ce qu’on peut dire que vos albums sont des modes d’emploi des femmes qu’on pourrait adresser aux hommes ? Il y a des femmes qui me retrouvent à la fin des concerts et me disent merci. Ça me rassure de voir que, finalement, je suis comme les autres filles. Et les hommes, eux, comprennent peut-être un peu mieux que le miroir peut être, par exemple, l’ennemi juré de la femme ou que lorsqu’on dit « Je n’ai rien à me mettre », ça ne veut pas dire qu’il n’y a rien dans l’armoire, parce qu’en vrai le placard est plein ! C’est vrai que je parle de ça dans mes chansons, du regard qu’ont les femmes sur elles, et je crois que j’ai aidé quelques hommes à mieux comprendre. On me le disait surtout avec le premier album…
Musicalement parlant, tout a commencé à Nice pour vous ? Oui. Originellement, j’étais en fac de droit. En première année, j’ai rencontré ma meilleure amie Johanna qui, par la suite, est devenue ma manageuse. On s’est retrouvées des années plus tard, elle travaillait dans l’édition musicale, et c’est elle qui m’a fait découvrir aux bonnes personnes. C’est dingue de rencontrer ces personnes-là en première année de droit, a priori, il n’y aucun rapport avec la musique ! C’était en 2000. A cette époque-là, on commençait à sortir et j’ai rencontré toutes les personnes qui m’ont construite. Mon père me disait d’ailleurs que ce n’était pas la nuit qu’on faisait les bonnes rencontres. La preuve que si. Et dire que tout a commencé au Pompéi (Rires), dans le Vieux Nice.
Dans ce troisième album, il y a une chanson sur Paris, vous qui venez de Nice, pourquoi ne pas avoir écrit sur cette ville ? Parce qu’il n’y a pas de métro à Nice ! (Rires.) Paris a des noms de stations parfois invraisemblables. Enfin, Filles-du-Calvaire, qui a trouvé ce nom ? Paris, c’est la ville qui m’a sauvée plusieurs fois, disons que cette chanson est un hommage à chaque endroit qui m’a apporté quelque chose à un moment de ma vie où je pensais flancher. Et puis, c’est à Paris que
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Vous retournez souvent à Nice ? Oui, mais je n’y reste jamais plus de trois mois, j’y emmène mon fils. J’aime me ressourcer làbas. J’aime le côté solaire de la ville, les lumières… Je me sens revivre lorsque que je vois les immeubles jaunes et le ciel bleu, d’un bleu qui n’existe qu’en Provence. Le ciel de la Côte d’Azur, pour moi, c’est le plus beau ! Je pourrais passer des journées à me promener dans les rues, flâner dans le Vieux Nice, prendre l’apéro dans l e s
saBine BouchouL
INTERVIEW
événement
interview
yann orhan
mon album »… J’avais besoin d’un endroit où on ne parle pas de ça, où les gens qui m’aiment bien peuvent en savoir plus sur moi. Et puis, il y a de longues périodes artistiques où les gens ne savent pas ce que vous faites. J’ai cette trouille de disparaître. J’ai entendu plein de fois des personnes dire : « On n’entend plus parler de cette personne, c’est mort pour elle ». Tout ça parce qu’elle est en train de faire un album. C’est horrible. Au début, ce blog, c’était pour dire que même si on ne me voit pas à la télé ou que je n’ai pas d’album, je ne suis pas morte ! Finalement, c’est devenu un endroit où je racontais des histoires sur moi, sur mon fils, sur des week-ends ratés, sur mes vacances, quand j’étais en studio. C’est mon lien le plus important avec le public et mes fans. Ils ont l’impression de me connaître et moi de les connaître.
« Le ciel de la Côte d’Azur, pour moi, c’est le plus beau ! » petits pubs, les petits restaurants. Aller au Pompéi ou au Thor pour écouter un peu de musique. Vous tenez un blog où vous racontez des petits moments de vie, c’est important pour vous de maintenir le lien avec vos fans ? Avec Twitter ou Facebook, on reste beaucoup dans le côté promo. C’est : « Venez me voir en concert », « Achetez CITY
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Vous êtes aussi sur Twitter et très présente notamment pendant The Voice… Le live tweet, c’est un peu mon truc (Rires). On m’a quand même dit de me calmer… Mon entourage professionnel m’a dit que je ne pouvais pas me permettre de casser du sucre sur les gens, que ça allait me retomber dessus, qu’il fallait que je sois moins brûlante… Pour moi, des candidats restent des candidats, ils sont là pour se faire juger. Si on ne peut rien dire, c’est qu’on s’est trompé d’émission. Évidemment, on peut faire un peu plus doux que ce que j’ai pu tweeter parfois… Mais je ne me sers pas de Twitter pour régler mes comptes avec des journalistes où avec d’autres personnes, comme peuvent le faire certains artistes. J’aurais tellement à faire… mais je préfère ne pas rentrer dans ce jeu-là. Un dernier mot pour conclure cette interview ? Avant de commencer cette interview, je me suis lavé les cheveux et, là, ils sont en train de sécher tout seuls. C’est assez horrible parce qu’ils prennent un pli qu’ils ne devraient absolument pas prendre. Dès l’interview terminée, je cours faire mon brushing ! (Rires.) ProPos recueillis Par sabine bouchoul
interview
bons Plans
Le « petit Marais » niçois
A quelques pas du port et de la place Garibaldi, le « petit Marais » a fait son nid. Chronique d’un quartier plein de vie.
la rue bonaparte. céciLe PinauD
la place du Pin. céciLe PinauD
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nciennement les plus commerçantes de Nice, la rue Bonaparte et la place du Pin sont aujourd’hui le point d’orgue d’une population hétéroclite et de jeunes commerces, tendance et gay friendly.
Il étaIt une foIs
C’est à une blague de potaches entre Marc et Lionel du Gossip Bar que l’on doit la création du nouveau quartier in de la métropole NiceCôte d’Azur : « En rigolant, nous avons dit à des journalistes que notre ambition était de recréer le Marais à Nice, le lendemain, nous faisions la une ! » Tout conspire alors pour donner vie à cette idée. La municipalité transforme le début de la rue CITY CITY
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la place Garibaldi. céciLe PinauD
en zone piétonne, alors que la place Garibaldi se pare de ses plus beaux atours.
Culturellement vôtre
L’installation successive de plusieurs commerces trendy achève de rendre l’endroit incontournable. Mais taxer le « petit Marais » de quartier « bobo-homo » serait des plus réducteurs tant l’ambiance y est, de jour comme de nuit, accueillante et la clientèle cosmopolite. « J’ai l’impression d’être dans une bulle, un petit village dans une grande ville », confie Élise du Déli Bo. Sentiment à l’évidence partagé par le cinéma et la télévision qui n’hésitent pas à y poser leurs caméras. Bordé de petits théâtres (la Traverse) et de salons de thé délicats (Joséphine), le petit Marais vibre dans l’air du temps. cécile Pinaud
NOTRE SÉLECTION
déli bo.
DéLi Bo.
Cette « cantine » qui pratique le snacking amélioré est à l’image du quartier qui l’abrite : variée. La carte évolue au gré des saisons et des jours de marché. Le congélateur est banni au profit de produits frais et tout est fait maison jusqu’aux pains des bagels. Brouillade, pâtes aux truffes, wok de légumes vous mèneront aux desserts de l’équipe pâtissière. Entre le Paris-Nice, le macaron litchi-framboise et le Balthazar, le choix sera cornélien. Et en plus, ils sont aussi traiteurs ! ouvert du lun. au sam. de 7 h à 20 h, 5, rue Bonaparte, nice. 04 93 56 33 04 - www.facebook.com/pages/Déli-Bo
GossiP bar
De l’aveu de ses créateurs Marc et Lionel, leur établissement se devait d’« être élégant sans être snob et zen sans être glacial ». Mission réussie pour ce bar-restaurant gayfriendly à plats uniques qui sert jusqu’à minuit et accueille une population cosmopolite. Cocktails mojitos, margaritas, Bloody Mary, Racing Bull, tout est dans le parfait dosage et dans l’accueil enthousiaste. S’il lui arrive de cancaner, le Gossip a bon cœur et se réunit pour de grandes causes. Trois ans d’existence et un succès mérité. GossiP Bar
ouvert du lun. au dim. de 17 h à 2 h 30, 7, rue Bonaparte-angle Boyer, nice. 04 83 45 72 15 www.facebook.com/pages/ Gossip-Bar-nice
le Pourquoi Pas ?
Le Pourquoi Pas ?
Une ardoise restreinte est en général la garantie d’un bon restaurant. Don’t act avec ce petit établissement cosy qui accueille des habitués chaque fois un peu plus sous le charme de cette cuisine maison, niçoise mais pas que. Le gratin de gnocchis côtoie le lapin à la moutarde, la daube, le filet de daurade, la bavette à l’échalote ou l’osso bucco. Le café gourmand a ses aficionados, tout comme le clafoutis et le tiramisu. Une équipe charmante menée par Gilles, un patron qui achève de nous convaincre. ouvert du mar. au jeu. de 12 h à 14 h et de 19 h à 22 h, ven. et sam. de 12 h à 14 h et de 19 h à 23 h, 9, rue François-Guisol - angle rue Bonaparte, nice. 04 92 12 80 77 - www.facebook.com/pages/Pourquoi-Pas
bons Plans
Où manger ?
De la truffe de l’entrée au dessert, des cupcakes de toutes les couleurs, des curry raffinés, du poisson frais de la criée, des saveurs slaves… de quoi mettre l’eau à la bouche.
ouvert du lun. au ven. de 8 h à 18 h 30 et le sam. de 9 h à 18 h 30, 9, rue alberti, nice. 04 93 13 89 58. Du mardi au sam. de 9 h à 18 h 30 et le dim. de 10 h à 18 h 30, 1, rue de la Préfecture, nice. 04 93 79 88 40 - www.emiliescookies.com
Le tono
ouvert du lun. au jeu. de 12 h à 23 h, le ven. de 12 h à 0 h 30, 18, avenue Georges-clémenceau. 04 93 87 84 17 - www.letono.fr
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Poisson
l’agua : Difficile de passer entre les mailles du filet du chef Alexis Frasca. Sur les tables du restaurant l’Agua, on ne trouve pratiquement que du poisson issu de la pêche raisonnée, locale et de saison (daurades, rouget, etc.), servi par Serge, le frère d’Alexis, qui officie en salle. Après avoir exercé à Villefranche-sur-Mer, ces deux-là ont naturellement domicilié leur nouveau restaurant de poisson dans le quartier du port. Et le chef de réinventer la vente à la criée : le client réserve la pêche du jour, à l’aveugle . Formule midi 15,50 €. Soir 35 €-45 €. ouvert du mar. au sam. (midi et soir) et dim. midi (fermé le lun.), 41, boulevard stalingrad, nice. 04 97 19 08 15.
le transsibérien : Quoi de plus naturel qu’une adresse slave dans la plus russe des villes de France ? Pourtant le Transsibérien est le seul restaurant russe de Nice, et ce depuis son ouverture il y a trente-cinq ans. Sa clientèle est constituée de compatriotes désireux de redécouvrir leur terroir (à l’image du teftella ou du bortsch, soupe à base de betteraves) et de Niçois curieux. La salle du restaurant reproduit fidèlement l’intérieur du célèbre train, tandis que la pièce attenante accueille pour tout terminus un bania, équivalent russe du sauna. De 15 à 40 € selon menus.
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ouvert du mar. au sam. midi et soir, 1, rue Bottéro, nice. 04 93 44 15 00. CITY
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resto - bar à vin
le tono : Avec le Tono, c’est un petit morceau du Saint-Germain-des-Prés jazzy qui s’invite à Nice. C’est ainsi que l’ont voulu Stéphane et Sophie, les heureux propriétaires de ce bistrot à la cuisine canaille, qui se transforme en bar à vins, le soir venu. Les tapas (6 à 10 €) succèdent alors à une carte du midi en constante évolution : ravioles aux asperges et écrevisses à la crème de feuille kafir, petits farçis niçois au pistou de roquette et son mesclun, salade Koh Phan Ghan, sans oublier le tiramisu au Nutella. Miam ! Le midi, plat à partir de 14 €.
emiLie’s cookies & coFFee shoP
coffee shoP
emilie’s Cookies & Coffee shop : Voilà plusieurs années qu’Emilie et Céline régalent les papilles des Niçois à coup de saveurs et d’inventivité. Bagel Tony Micelli ou Salmon and Garfunkel, salade Nikos, une part de Rainbow Cake, un Cinnamon Roll, une farandole de cupcakes le samedi et brunch le dimanche, vous n’avez que l’embarras du choix. Idéalement situées, ces deux adresses gourmandes vivent à l’heure américaine. Les fêtes de Thanksgiving et d’Halloween sont toujours dignement célébrées. Et tout est fait maison !
burGer
Le camion De soPhie
le camion de sophie : Fini l’éternel camion à pizza, voici le premier foodtruck de Nice. Ce « camion à nourriture », c’est Sophie qui a eu la bonne idée d’en importer le concept directement des avenues de New York. Au menu, burgers et frites maison, pour une restauration rapide de qualité, où plaisir rime enfin avec pratique. Ses escales du jeudi à la place Franklin (boulevard Gambetta) sont déjà un rendez-vous incontournable pour ses nombreux fidèles, et une agréable découverte pour tous les autres. Formule : 10 € burger + frites. Le jeudi midi et soir au 3, place Franklin, et du lun. au ven. midi, route de saint-Pierre-de-Féric, nice. 06 37 87 47 64.
ouvert du mar. au sam. midi et soir, 11, rue saint-François-de-Paule, nice. 04 93 62 07 68 - www.terresdetruffes.com
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terroir
le Bistro du fromager : A la tête de ce Bistro pas tout à fait comme les autres dans le Vieux Nice, les deux frères, Hugo en cuisine et Grégoire en salle, proposent des plats déclinés autour de produits bruts, naturels et vrais. Du sucre bio aux viandes issues de l’élevage traditionnel, en passant par les légumes des maraîchers locaux, tous les ingrédients sont minutieusement scrutés et sélectionnés par ces deux passionnés. Qui affichent plus de 30 fromages différents à la carte, dont un Mont-d’Or fermier du Jura. Carte 25 €-40 €. ouvert du mar. au sam. 19 h-23 h, 29, rue Benoît-Bunico, nice. 04 93 13 07 83.
nicoLas vacquier
Méditerranée
l’uzine : Le succès n’attend point le nombre des années. C’est certainement ce qu’ont pensé Romain Vandini et Gaetan Loncle, respectivement 24 et 25 ans, quand ils ont ouvert leur premier restaurant l’Uzine, en mai 2013. Passés par la Petite Maison, institution niçoise s’il en est, ils ont choisi de s’installer dans le quartier animé du port, se sont – bien - entourés, avec le chef Gianluca Toselli, et proposent aujourd’hui leur cuisine méditerranéenne dans une ambiance conviviale et musicale. L’underground à la niçoise ! Entrée + plat + dessert : environ 30 €. ouvert le lun. soir et du mar. au sam. midi et soir, 18, rue François-Guisol, nice. 04 93 56 42 39 - https://www.facebook.com/uzine06
inde
Havelie : En Inde, les havelis sont de somptueuses résidences au charme ostentatoire. De cette description, ce restaurant indien familial a gardé le meilleur. Profiter de la terrasse est une option mais c’est à l’intérieur que la magie opère vraiment. La décoration typique vous met dans l’ambiance pour déguster poulets, crevettes, grillades, agneaux au curry accompagnés de riz safrané et de délicieux nans sans oublier les desserts maison. Cet exotisme se décline à Nice et à Valbonne. De 9,50 € à 27,50 € pour les menus.
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ouvert tlj. de 12h à 14h et de 19h à 23h, 35, rue d’angleterre, nice. 1, place Joseph Bermond, valbonne sophia antipolis. 04 93 88 99 40- www.restaurant-havelie.fr CITY
céciLe PinauD
Gastro
terres de truffes : Ici, truffes à tous les étages ! Le restaurant Terres de truffes est le seul de la région à s’être fait une spécialité du diamant noir. Brouillade d’œufs aux truffes façon caviar ou crème renversée au caramel à la truffe, le chef décline le champignon de luxe de l’apéritif jusqu’au dessert. Et fait la part belle à la plus noble de toutes, la tuber melanosporum, ou truffe noire, qui se retrouve même sur les tables de… Tokyo, où le restaurant niçois, fort de son succès, a ouvert sa troisième enseigne. Prix moyen/personne : 60 €.
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Où boire un verre ?
Café-débat, american bar, soirées électro qui enflamment le Vieux Nice, rapide tour des nouveaux lieux festifs. court-circuit café
Le dernier-né des cafés associatifs a ouvert à quelques encablures de la place de la Libération, dans la populaire et artistique rue Vernier. Depuis juin 2013, le Court-Circuit café ne propose que des produits de consommation responsable : cafés et thés de coopératives, boissons artisanales, légumes bio… Ardent défenseur de la transition écologique, le Court-Circuit est un lieu de débats et de conférences sur notre présent et notre futur, mais aussi une joyeuse scène de concerts à l’heure de l’apéro. Boissons à partir de 1,50 €, plat du jour 7 €.
Le smarties
le sMarties
Non seulement le Smarties est the place to be pour les amoureux d’électro, mais c’est aussi un bar festif qui ne vous imposera aucun dress code et ne s’offusquera pas que vous dansiez sur les tables. Parole de proprio ! C’est donc à la cool que les DJ’s officient tous les soirs, des petits jeunes qui débutent le mercredi à la fine fleur du milieu le week-end. Le jeudi, place à Ricardo Vegas, également directeur artistique. Pendant l’happy hour, découvrez le Sundeck, le cocktail maison.
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ouvert du mer. au dim. de 17 h à 0 h 30, 10, rue Defly, nice. 04 93 62 30 75 - www.facebook.com/smartiesbar CITY
Difficile de prendre la suite de l’illustre Voom Voom, haut lieu de la nuit juanaise ! C’est pourtant un défi que le Village a vaillamment relevé en réunissant deux night-clubs en un seul lieu. Le Village Club avec sa fosse et son carré VIP est ouvert aux 18-25 ans avec une musique résolument house alors que les Colonies britanniques accueillent une population plus âgée qui se déhanchent sur les tubes des années 1970 à 1990. Les DJ’s Raph et Maxim Kurtys vous emmèneront jusqu’au bout de la nuit. ouvert l’hiver les ven. et sam. de minuit à 5 h et l’été tlj. de minuit à 5 h, carrefour de la nouvelle-orléans, Juan-les-Pins. 04 92 93 90 00 - www.facebook.com/pages/Le-village
Pandabar
Ouvert il y a moins d’un an par la pétillante association culturelle Panda 06, à l’origine de plusieurs festivals dans la région, le Pandabar est devenu le nouveau lieu incontournable des soirées électro dans le Vieux Nice. A l’emplacement des feus Deux Frères, le bar des pandas a fait de son slogan « We Love Music » une vraie philosophie. Le public azuréen s’est précipité sur son dancefloor spacieux pour bouger au son d’une programmation pointue et défricheuse de talents. PAF : 0-5 € ouvert du mar. au sam. de 21 h à 2 h 30, 1, rue du moulin, nice. www.panda-events.com/festival/le-pandabar
nicoLas vacquier
ouvert du mar. au sam. de 16 h à 2 h, 8, rue Defly, nice. 04 93 80 02 22.
le villaGe
Le viLLaGe
Juke house
A son retour des Etats-Unis il y a sept ans, Guillaume a décidé d’ouvrir un bar… américain à Nice. Et comme il était inconcevable de ne pas y mettre un juke-box, il est allé s’en procurer un à Paris et l’a ramené au 8, rue Defly. Il a peaufiné sa déco avec les pochettes de ses nombreux vinyles de rock et les photos prises dans les rues de New York et d’ailleurs. Depuis, c’est ambiance afterwork et détente autour des tapas et burgers de Guillaume, qui est également passé maître ès préparation de cocktails. Boissons : 3,5 €-10 €, tapas : 3,5 €-15 €.
aLchy
ouvert du mar. au sam. de 10 h à 23 h et le dim. de 10 h à 16 h, 4, rue vernier, nice. 06 98 67 68 66.
bons Plans
Où shopper ?
Et si on s’occupait des hommes ? Un petit tour chez le barbier, puis dans des boutiques dédiées aux mâles, urbains, chics ou street, enfin dans une cave à Whisky. Mesdemoiselles, nous avons aussi de quoi vous plaire.
ouvert du lun. au ven. de 10 h à 13 h et de 14 h à 19 h, sam. non-stop, 15, rue de Lépante, nice. 04 93 62 45 35 - impactshop.fr man by impact, 4, rue François, nice. 04 93 87 88 09 - www.facebook.com/manByimpact
barbier
nicoLas vacquier
le Comptoir des barbiers : Entre les mains d’Isabelle Bedard, les hommes se font enfin chouchouter. L’initiatrice de cet espace, situé à deux pas de la place Garibaldi, a décidé de redonner toutes ses lettres de noblesse à la coiffure au masculin, en proposant des prestations d’exception, du rasage à l’ancienne au massage du cuir chevelu, en passant par le soin des mains. Nostalgiques d’un temps révolu, ou jeunes actifs à la recherche d’authenticité, sa clientèle est hétéroclite et résolument transgénérationnelle ! Coupe de cheveux + rasage à l’ancienne : 49 €. ouvert du mar. au sam. de 9 h à 12 h 30 et de 14 h à 18 h 30, ven. et sam. non-stop, 4, rue cassini, nice.
cave
mac lagan’s : Installez-vous sur la terrasse du Mac Lagan’s et laissez son propriétaire François Lagana vous raconter l’histoire du whisky et de son pays de cœur, l’Ecosse. Résolument épicurien et pratiquement intarissable, le président fondateur du Scottish Whisky Tasting Club propose dans son échoppe plus de 200 références de single malt, en provenance directe d’outre-Manche. Il se fera un plaisir de vous présenter ses bouteilles d’exception, comme ce Linlithgow, dont la distillerie St. Magdalene a mis la clé sous la porte en 1983. Verre entre 6 € et 20 €. ouvert du mar. au sam. de 10 h à 12 h 15 et de 15 h à 19 h, 9, rue d’italie, nice. 04 93 87 67 04 - http://www.maclagans.com/
surfshoP
Le cottaGe sur La PLaGe
le Cottage sur la plage : Dans une rue très passante du Vieux Nice, le monde de la glisse et du sportswear s’incarne dans ce petit magasin qui en a dans le ventre et dans ses collections de grandes marques : Billabong, New Era, Volcom, Ruca, Oakley. Rien que son nom est une invitation à l’évasion en famille, en couple ou seul(e). Besoin d’un skateboard vintage pour profiter de la Prom’, d’une montre tout-terrain, de Vans originales et du dernier T-shirt street wear à la mode ? Vous êtes au bon endroit.
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ouvert du lun. au dim. de 10 h à 23 h 30, 3, rue du marché, 04 93 26 42 85. www.facebook.com/pages/Le-cottage-sur-la-Plage
CITY
imPact
Mode hoMMe
Impact shop Wear et man by Impact : Mesdames, si vos chéris continuent de se plaindre qu’il n’y a pas de magasins pour eux à Nice, emmenez-les chez Impact, qualité garantie depuis dix ans. Textiles, chaussures et accessoires feront leur bonheur. Sur l’autre rive de Jean-Médecin, Vincent et son épouse Sonia sont montés en gamme avec une nouvelle adresse à destination d’un public plus habillé. Les collections automne-hiver de New Balance, Homecore ou encore Hartford sont dans la place. A vous de jouer !
ouvert du mar. au sam. de 10 h à 19 h 30, 2, rue martin-seytour, nice. 09 66 88 37 21.
fashionista
By Colette : Ne dites surtout pas à Colette et Vanessa qu’elles dirigent un concept store. Le mot est bien trop galvaudé. S’il faut vraiment une étiquette, By Colette serait un « general store » incontournable en avance sur les autres, pratiquement créateur de tendances. En témoigne la variété des produits à petits prix de la coque de portable flashy à l’appareil photo vintage, en passant par les sacs rétro. Repartir sans son T-shirt Dr House, Kate Moss ou Karl Lagerfeld à moustache est un crime de lèse-shopping !
By coLette
Lucie tavernier
éPicerie bio
o’Quotidien : « Le naturel tous les jours » indique l’enseigne de cette épicerie bio, tenue par le sympathique couple Carlo et Laura. Ces deux Transalpins sont très fiers de la qualité de leur aliments, sélectionnés des deux côtés de la frontière chez la fine fleur des petits producteurs. Un troisième compatriote, Alessandro, les a rejoints pour poursuivre l’aventure avec un restaurant. Viandes du Piémont, poissons sauvages, cuissons simples : la traçabilité et le savoir-faire au service du goût. Nice gagnerait-elle à être encore un peu italienne? Vins à la tireuse : 3,50 €-8,50 €, jus de fruit : 1,20 €-3 €.
ouvert tlj. de 10 h à 19 h 30, 31, avenue Jean-médecin, nice. 04 93 88 74 62 - www.facebook.com/pages/By-colette
Galerie-librairie
LiBrairie masséna
librairie et galerie masséna : Devenue une institution au fil de ses quinze années d’existence, la librairie Masséna fait depuis plus d’un an corps avec la galerie Masséna, un espace élégant autour de « l’art et ses multiples ». Nul besoin d’aller à Paris pour y trouver les produits dérivés (cartes postales, carnets, lithographies, etc.) de l’actualité culturelle, la galerie suit sa grande sœur et se met régulièrement à la page à travers une vitrine thématique. Tout le catalogue des musées nationaux peut y être commandé. ouverte du lun. au sam. de 10 h à 19 h, 55, rue Gioffredo, nice. 04 93 80 90 16 - www.librairiemassena.com
aLFa-BD
ouvert du lun. au sam. de 10 h à 19 h, 30, avenue saint-Jean-Baptiste, nice. 04 93 14 09 48 - www.facebook.com/pages/alfa-BD
coiffeur
o2l Couleurs & style : Une nouvelle coupe de cheveux est souvent un remède à la morosité. C’est encore plus vrai lorsque vous passez entre les mains expertes de Lucile et Laëtitia. Dans ce salon de coiffure bleu turquoise et vert anis, les sièges massants détendent le dos pendant que ces deux drôles de dames s’occupent de l’ambiance (et de vos tifs rebelles) avec sérieux mais décontraction. Besoin en plus d’une petite manucure/pédicure ? Julie s’en charge sur rendez-vous les mardis et jeudis. Let’s go, girls ! ouvert du lun. au sam. de 9 h 30 à 19 h, fermé le mer., 8, rue du congrès, nice. 04 93 87 36 88 - www.facebook.com/salon.o2L
o2L
bd
alfa-BD : Les bulles, c’est sa grande passion. Fabien ne tient pas un bar mais Alfa-BD, un magasin tout ce qu’il y a de plus indépendant. Juste en face de la coulée verte et du Vieux Nice, c’est 120 m2 de bandes dessinées franco-belges, de comics, de mangas qui vous attendent, le tout rigoureusement classé par genre. Du T-shirt super geek à la Kimmidoll, en passant par le buste de Lex Luthor, les produits dérivés ne sont pas en reste. En novembre, il sera même à Villefranche-sur-Mer pour le festival de la B.D.
bons Plans
la recette de Gaël et Mickaël tourteaux
Formés auprès de grands chefs comme alain Llorca, Gaël et mickaël tourteaux ont un parcours professionnel et un savoir communs. Forts de ces expériences, les deux frères étoilés décident naturellement d’ouvrir un restaurant ensemble en 2009. Le Flaveur est né. Ce restaurant gastronomique niçois propose une cuisine de base méditerranéenne traditionnelle, nuancée de la patte de leurs chefs, à savoir une pointe d’exotisme ! Frères passionnés, ils signent en effet une cuisine personnelle, gorgée de leur histoire et de leurs origines (Guadeloupe, Réunion…) avec des recettes qui mélangent épices et produits insolites. Parmi leurs plats emblématiques, on note le saumon mi-cuit ou le canard boucané. a. b.
emmanueL JuPPeaux
Une histoire de famille
Le Flaveur, ouvert tlj sauf le sam. midi, dim. et lun., 25, rue Gubernatis, nice. 04 93 62 53 95 - www.flaveur.net
risotto au basilic et citrons confits au sel, GaMberonis et coPeaux de léGuMes du Marché
Pour 4 personnes. Préparation : 30 minutes.
ingrédients : 250 g de riz italien Carnaroli, 8 gamberonis (ou gambas), 50 g d’oignons hachés menu, 1 dl de vin blanc sec, 1 l de fond blanc de volaille, 60 g de parmesan râpé, 40 g de brunoise d’écorces de citron confit au sel, 25 g d’huile d’olive, 25 g de beurre en petits cubes, 100 g de pistou, 150 g de crème fouettée, 1 betterave chiogga en copeaux, 4 pièces de radis en copeaux, fleur de sel, poivre blanc. le riz : Dans une cocotte en fonte de 4 litres, faites chauffer l’huile d’olive et ajouter l’oignon. Laissez-le à peine blondir, puis ajoutez le riz dans la cocotte. Faites le blondir 5 minutes à feu doux, en le tournant sans cesse, puis arrosez-le de vin blanc. Laissez le vin s’évaporer complètement avant d’ajouter le fond blanc en cinq ou six fois et le citron confit. Continuez de tourner le riz pendant sa cuisson (environ 16 minutes) et attendez que le riz ait absorbé tout le bouillon versé précédemment pour en verser à nouveau. les gamberonis et légumes : Faire cuire les gamberonis dans une poêle à l’huile d’olive, 1 minute de chaque côté. Assaisonnez les copeaux de légumes avec de l’huile d’olive, du vinaigre doux et de la fleur de sel. finition : Lorsque le riz est cuit, incorporez-y 40 g de beurre puis le parmesan, le pistou et enfin la crème fouettée. Poivrez. Répartissez le risotto dans des assiettes creuses et disposez joliment les gamberonis et copeaux de légumes. Finition : fleur de sel et huile d’olive. Servez aussitôt.
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LEUR ASTUCE. Ne salez pas le risotto, le citron confit au sel s’en chargera !
bons Plans
Et dans la région...
De Cannes à Saint-Paul-de-Vence en passant par Villefranche ou Monaco, bec fins et modeux trouveront de quoi rassasier leurs appétits.
ouvert tlj de 9 h à 19 h 30, 27, rue de la république, antibes. 04 92 95 78 21.
ouvert le lun., mar., ven., sam. et dim. de 12 h 30 à 14 h 30 et de 19 h 30 à 22 h 30 et le jeu. de 19 h 30 à 22 h 30, 11, avenue Jean-mermoz, saint-Jean-cap-Ferrat. 04 93 76 02 66.
fashionista
Pain
Drive Baguette : Le Drive, formule qui permet d’acheter ses produits tout en restant dans sa voiture, fait des émules. Après les chaînes de fast-foods ou les hypermarchés, c’est au tour… des boulangeries de s’y mettre. Depuis décembre dernier, c’est sur le parking de La Valantine dans le quartier de la Bocca, que Cyril Valantin a ouvert le premier Drive Baguette de la région. Le principe : la charmante employée de la boulangerie s’installe dans un petit chalet pour y distribuer le pain préféré des Français. En voiture !
ouvert tlj. de 17 h à 19 h 30, sauf le dim., 45, avenue Pierre-de-coubertin, cannes, la Bocca. 04 93 47 06 15.
ouvert du lun. au sam. de 10 h à 19 h, Park Palace, 25 avenue de la costa, monaco. 377 97 70 38 58 - www.k11.mc
k 11
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K 11 Conceptstore : Voilà 150 m2 d’inspiration folle ! Bienvenue dans le temple de la mode, de la décoration trendy, de l’accessoire qui fait mouche, du maquillage aux essences naturelles que vous ne trouverez nulle part ailleurs. Plus d’une centaine de marques de prêt-àporter hommes/femmes habillent ce concept store dont le décor change avec les saisons sous la houlette de Sophie Lemaître. De Vera Wang à John Dalia, il y en a pour tous les goûts. Une seconde adresse a ouvert ses portes à Saint-Tropez. CITY
Drive BaGuette
cuisine de la Mer
le Capitaine Cook : Lionel en cuisine et son épouse Nelly ont investi ce petit coin de Saint-Jean-Cap-Ferrat depuis 1986. Ainsi naquit la «bisquebouille», sorte de marmite du pêcheur, spécialité de ce restaurant de la mer aux saveurs méditerranéennes. A la carte ou au menu, découvrez les ravioles de saumon, la salade de poulpes, les sardines farcies. Avant la délicieuse soupe de fraises en dessert, la maîtresse des lieux vous offrira un petit trou Saint-Jeannois, la liqueur maison. Rien ne se refuse au Capitaine Cook !
Jean-Luc PeLé
chocolat
Jean-luc Pelé : La commerçante rue de la République à Antibes, accueille depuis quelques mois la nouvelle boutique de chocolat de Jean-Luc Pelé. Production artisanale, matières premières de qualité et doses de sucre maîtrisées font la force du chocolatier normand dont le succès ne se dément pas depuis plus de cinq ans. Impossible de manquer l’établissement : Jean-Luc Pelé a eu la folle idée de jeter 900 kg de chocolat sur ses murs pour y construire une véritable grotte. Notre chocolatier se verrait-il en Willy Wonka ? 8 macarons : 13,60 €.
bons Plans
Mode urbaine
mamatoro : Vincent, Caroline, leurs deux enfants : une famille de quatre « taureau » - le signe du zodiaque ! Beaucoup de caractère donc et deux boutiques cannoises dédiées à l’univers du « street », comprenez : culture urbaine. Né en 2004, le concept store Mamatoro réunit les marques emblématiques de cet univers fun, graphique et artistique. Et comme il n’existe rien de plus urbain que la planche à roulettes, le skateboard shop Papatoro a logiquement vu le jour en 2012. Cannes, nouvelle capitale de la glisse ? nicoLas vacquier
mamatoro : ouvert le lun. de 14 h à 19 h 30 et du mar. au sam. de 10 h à 19 h 30, 35, rue hoche, cannes. 04 97 06 30 40. www.facebook.com/mamatoroboutiquegalerie Papatoro : ouvert le lun. de 14 h à 19 h 30 et du mar. au sam. de 10 h à 19 h, 54, rue Jean-Jaurès, cannes. 04 93 30 11 90. www.facebook.com/papatoroclub
resto niPPon
osaka : D’aucuns parlent de l’Osaka comme du «meilleur japonais de la Côte d’Azur». Idéalement situé sur le joli port de Saint-Laurent-du-Var, ce restaurant familial à l’accueil parfait met immédiatement ses clients dans l’ambiance. C’est parti pour un voyage au pays des saveurs asiatiques avec les brochettes japonaises, les california tempuras, les sashimis, les boulettes de volaille, les incontournables sushis présentés dans un bateau en bois et des desserts exotiques et fruités. A table !
ouvert du mar. au dim. de 12 h à 14 h 30 et de 19 h à 22 h 30, 290, quai La Pérouse, saint-Laurent-du-var. 04 93 14 00 11.
La trinquette / Pierre Gentier anGeLi
resto détente
la trinquette : Café philo, musique jazz, rencontre avec des auteurs : le restaurant La Trinquette manie comme personne la culture de la convivialité et du partage. Et propose du même coup une cuisine simple, à base de poisson, fromage et charcuterie de producteurs locaux, accessible à toutes les bourses. Beaucoup d’authenticité et un pari : montrer que la rade de Villefranche ne cède pas au tout-touristique. Pari réussi au regard de la Trinquette et de son quartier, le port de la Darse, véritable havre de sérénité. Carte : entre 10 € et 18 €. ouvert tls sauf le mer., à midi le sam. et le dim. midi, 30, avenue du Général-de-Gaulle, villefranche-sur-mer. 04 93 16 92 48.
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ouvert tlj. de 7 h 30 à 18 h 30. Fermé le mer., 3, montée de l’église, saint-Paul-de-vence. 04 93 24 37 48. CITY
Macaron
mic mac Pâtisserie : De la motivation naît la beauté. Tel pourrait être le crédo de Bruno Laffargue, chef pâtissier qui aura fait le tour du monde avant de poser ses cuillères à Cagnes. Parti de rien, il est à la tête de trois boutiques, d’une entreprise de treize employés et créateur d’une farandole de macarons aux saveurs originales : sangria, pastèque, foie gras, pop-corn, champagne, tapenade, bubble-gum... Ce passionné est de toutes les manifestations et dispense des cours dans son atelier des délices. Craquez ! ouvert du mar. au sam. de 9 h à 20 h et le dim. de 10 h à 19 h, 52, avenue des alpes, cagnes-sur-mer. 04 89 14 33 47 www.facebook.com/pages/Le-macaron-par-Bruno-Laffargue-mic-mac
mic mac Pâtisserie
nicoLas vacquier
resto-salon de thé
thé artiste : Quel est le point commun entre Saint-Paul-de-Vence et Hollywood ? Les nombreuses stars qui défilent chaque été aux portes de ses remparts et cette saladerie, faisant salon de thé, au nom rieur, entièrement dédiée à l’univers du film. Michel Millo et son épouse Pascale ont réutilisé les nombreux posters qui trônaient dans cette ancienne carterie pour créer un décor 100 % cinéma. Les fauteuils de director n’ont pas été oubliés, le scénario est très convivial, et les prix sont « coupés !». Chapeau thé artiste ! Salades : 9,50 €, crêpes : 2,50 €.
aGenda
Faites le plein de bulles !
mairie De viLLeFranche-sur-mer
Le 4e salon de la BD de Villefranche-sur-Mer vous donne rendez-vous fin novembre dans le cadre magique de la Citadelle.
e
n cette rentrée culturelle 2013, Villefranche-sur-Mer a décidément un agenda très chargé. Après le succès de Franchement Art, la Citadelle accueillera dimanche 24 novembre la quatrième édition du salon de la Bande dessinée. Une manifestation qui ne cesse de gagner en popularité au fil des ans. « L’année dernière, nous avions fait venir un auteur danois et nous avions même des visiteurs marseillais », confie l’heureux coorganisaCITY CITY
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teur Fabien Camus, propriétaire de la boutique niçoise Alfa-BD. La recette de ce succès ? « C’est un festival sympathique et accessible à tous. »
Bulles en fête
Cette édition amènera son lot de badauds et de mordus de bulles grâce à un programme prometteur. Une quinzaine d’auteurs ont répondu présents à l’invitation parmi lesquels l’italien Luca Erbetta (Alter Ego, Sarrasins !), Jean-Charles Kraehn (Gil St André, Tramp), Gine (Neige, les Boucliers de Mars) et
mairie De viLLeFranche-sur-mer mairie De viLLeFranche-sur-mer mairie De viLLeFranche-sur-mer
Albert Borgel, un dessinateur niçois qui vient de publier Tom Awack Trinidad. Les séances de dédicaces seront l’attraction phare de cette journée, mais il faudra aussi compter sur une exposition, des animations diverses, un concours de dessins et de cosplay qui récompensera les plus beaux costumes de fans de Luke Skywalker à Lara Croft, en passant par Docteur Who. cécile Pinaud Le 24 novembre, de 10 h à 18 h, entrée libre. citadelle de villefranche-sur-mer. 04 93 76 33 33.
art Moderne
Photo GaLerie maeGht Paris
vallauris et la fondation maeght : une histoire d’amitié : Une soixantaine d’œuvres signées Giacometti, Braque, Calder, Miro, de Staël, Tapiès, Barcelo… la sélection présentée dans l’écrin du château de Vallauris est à ne pas manquer. L’ensemble éclaire les liens artistiques tissés entre Vallauris, où vécut Picasso pendant plusieurs années, et la fondation Maeght à Saint-Paul-de-Vence, née pour accueillir l’art moderne sous toutes ses formes.
Femme aux trois tapis, baya, 1947.
Cyclamen I, kelly ellsworth, 1964.
2-4 €. Jusqu’au 18 novembre, musée magnelli – musée de la céramique, place de la Libération, vallauris. 04 93 64 71 83 www.vallauris-golfe-juan.fr
hiP-hoP
Dafuniks : Les Dafuniks viennent certes du froid (Danemark), mais ils ont donné un bon coup de chaud au hip-hop en le mélangeant au meilleur du groove ! Amoureux de la soul, du jazz et du funk, JustMike (producteur), PrinceJuice (pianiste, producteur) et DJ Nyber ont créé la fusion parfaite. Adepte des studios, en live, le groupe s’entoure de nouveaux musiciens pour encore plus de sensations.
PoP
Benoit PevereLLi
sophie Hunger : Musicienne complète, la Suissesse Sophie Hunger est une habituée des tournées. Chacun de ses concerts est vivement recommandé pour l’intensité qui s’y dégage. Folk, pop, blues, mais aussi jazz et rock, la chanteuse mélange tous les styles avec succès. Accompagnée de deux de ses musiciens, la belle présentera son dernier album The Danger of Light.
14,75 €. Le 29 octobre à 21 h 30, le Bspot, 24, av. du maréchal Foch, nice. 04 93 92 00 90 - www.bspot.fr
14 à 16 €. Le 18 octobre à 20 h 30, salle Grappelli, 49, av. de la marne, nice. 04 93 97 03 49 www.salle-grappelli-nice.org
vaLérie archeno
chanson
the cityFeLLaZ
Jacques Higelin : Du haut de ses 73 ans, Jacques Higelin, qui figure sans conteste au panthéon de la chanson française, n’a rien perdu de son énergie originelle ! Aussi extraverti que sensible, ce poète des temps modernes monte sur scène pour défendre son dernier album Beau Repaire, sorti en avril. L’occasion également de redécouvrir en live ses plus grands tubes, dont l’indémodable Tombé du ciel.
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42 à 58 €. Le 19 octobre à 20 h, La Palestre, 730, av. Georges-Pompidou, Le cannet. 04 93 46 48 88 - www.lapalestre.com CITY
coLLection FonDation maeGht, saint-PauL-De-vence. / eLLsWorth keLLy
aGenda AGENDA
civilisations
Sur les traces des mystérieuses cités d’or : La série animée culte apparue dans les années 1980 n’en finit pas d’enthousiasmer les enfants. Les petits héros Esteban, Zia et Tao quittent l’Amérique du Sud pour de nouvelles aventures en Chine. L’occasion pour le musée des Arts asiatiques de démêler l’imaginaire et la réalité à travers cette confrontation de quatre-vingts pièces historiques (costumes, mobilier, peintures, céramiques…), issues du musée Guimet de Paris, avec des extraits vidéo du dessin animé. entrée libre. Jusqu’au 4 novembre, tlj sauf mar. de 10 h à 17 h, musée des arts asiatiques, 405, promenade des anglais, nice. 04 92 29 37 00 - www.arts-asiatiques.com
cinéMa
13e Un festival c’est trop court : Festival-tête chercheuse, celui de Nice l’est assurément car il réunit chaque année le meilleur de la jeune création européenne (plus de 170 courts métrages l’an passé). Au menu : plusieurs compétitions, des films tournés et produits par la région PACA, des œuvres expérimentales, du cinéma d’animation, le tout présenté en présence des réalisateurs.
Du 15 au 20 octobre, maison des associations, 12, place Garibaldi, nice (liste des lieux sur : www.nicefilmfestival.com/court-metrage/)
architecture
le musée Chagall, chef-d’œuvre d’andré Hermant : Le musée Chagall célèbre ses 40 ans et profite de l’occasion pour dédier une exposition à l’architecte de l’édifice muséal, André Hermant. Le choix de maquettes, photos et plans présentés témoignent de l’attention portée aux œuvres par l’architecte fonctionnaliste (« la fonction détermine la forme »), qui élabora son projet en fonction des créations présentées en permanence.
P. Gérin
8-10 €. Du 19 octobre à la mi-janvier, musée national marc-chagall, av. du Docteur-ménard, nice. 04 93 53 87 39 - www.museesnationaux-alpesmaritimes.fr
aGenda
huMour
GuiLLaume Perret
michel Boujenah – Ma Vie, autobiographie imaginaire : Dans ce nouveau seul-en-scène Michel Boujenah réinvente sa vie pour le meilleur et pour le rire. Comme à son habitude, l’artiste nous touche par son humanité, sa sincérité et sa générosité. Rare. 8-24 €. Du 5 au 9 novembre, 20 h (mar., jeu.), 21 h (mer., ven.), 20 h 30 (sam.), théâtre national de nice, promenade des arts, nice. 04 93 13 90 90 - www.tnn.fr
romuLo sans
installation
Heidi Wood : décor d’une vie ordinaire :
Affiche 3 pour un parcours à Biot, 2013.
retrouver sa musique entraînante, douce et métissée. Raúl Paz invite à un voyage musical sans frontières, doux mélange de pop, salsa, funk et hip-hop.
Frank Loriou
15 à 22 €. Le 9 novembre à 20 h 30, théâtre croisette-JW marriott cannes, 50, bd de la croisette, cannes. 04 92 98 62 77 - www.marriott.com
Affiche 2 pour un parcours à Biot, 2013.
A Biot, l’Australienne Heidi Wood répond à l’invitation conjointe du musée Fernand-Léger et du musée de la Céramique de pousser ses réflexions sur la place de l’œuvre d’art dans le quotidien. L’artiste développe cette fois-ci un travail sur la fonction sociale de l’art et met en place un double parcours autour de la question : peut-on habiter la peinture ? 4-5,50 €. Du 9 novembre au 3 février, tlj sauf mar. de 10 h à 17 h. musée national Fernand-Léger, chemin du val de Pome, Biot. 04 92 91 50 31 - www.musees-nationaux-alpesmaritimes.fr 2-4 €. Du 9 novembre au 3 février, tlj sauf mar. de 10 h à 17 h. musée d’histoire et de céramique biotoises, 9, rue saint-sébastien, Biot. 04 92 91 50 31 - http://musee-de-biot.fr/
chanson
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Jean-louis murat : Depuis la sortie, au printemps dernier, de son album Toboggan, le chanteur Jean-Louis Murat sillonne à nouveau les routes de France. L’Auvergnat à la carrière prolifique – plus de vingt-cinq disques au compteur – continue de séduire de sa douce voix grave les amoureux de chanson française. En première partie, vous pourrez (re)découvrir la pop délicieuse de Holden. 14 à 20 €. Le 14 novembre à 20 h 30, théâtre Lino-ventura, 168, bd de l’ariane, nice. 04 97 25 62 75 - www.tlv-nice.org CITY
heiDi WooD / GaLerie anne BarrauLt, Paris
world
raúl Paz : L’artiste cubain nous fait l’honneur de passer par la Croisette pour un concert exceptionnel. En effet, depuis sa dernière tournée, en 2010, le chanteur s’est fait plus discret. Voilà donc l’occasion rêvée de
8-40 €. Du 13 au 16 novembre à 20 h 30 sf le 14 novembre à 19 h 30, théâtre national de nice, promenade des arts, nice. 04 93 13 90 90 - www.tnn.fr
rock
GeoFFroy De Boismenu
Finie l’époque des bébés rockeurs ! La bande des BB Brunes a bien grandi. Et le rock de l’urgence des débuts a laissé place à un son pop à la production très eighties. Avec Long Courrier, Adrien et ses loustics s’affirment et démontrent que la scène française peut compter sur eux pour un bout de temps encore.
Yodelice et Puggy : Affiche on ne peut plus parfaite. Puggy, le groupe belge continue à séduire la France avec son rock acoustique et explosif, tandis que le charmant Yodélice délaisse progressivement le folk de ses débuts pour s’aventurer sur un terrain plus électrique. A découvrir absolument sur scène. 34 €-37 €. Le 15 novembre à 20 h 30, Palais nikaia, 163, route de Grenoble, nice. 04 92 29 31 29 www.nikaia.fr
Puggy.
théâtre Musical
Anna : Anna est un étonnant spectacle musical entre concert, performance et théâtre pop. Une histoire d’amour à la sauce nouvelle vague adaptée d’un téléfilm de Pierre Koralnik diffusé en 1967, avec Anna Karina et JeanClaude Brialy dans les rôles titres, et Serge Gainsbourg à la composition musicale (Sous le soleil exactement). Dans la version théâtrale imaginée par Emmanuel Daumas, Cécile de France y est épatante dans la peau d’Anna, cette beauté sur papier glacé dont un photographe, Jean-Claude, tombe fou amoureux.
Grégoire Monsaingeon. marie-Francoise PLissart
18-40 €. Du 14 au 17 novembre, 20 h (jeu.), 20 h 30 (ven., sam.), 15 h 30 (dim.), théâtre national de nice, promenade des arts, nice. 04 93 13 90 90 www.tnn.fr
cécile de france. nathaLie maZeas CITY
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kmeron - vincent PhiLBert
folk-rock
BB Brunes :
23,90-29,90 €. Le 14 novembre à 20 h 30, La Palestre, 730, av. Georges-Pompidou, Le cannet. 04 93 46 48 88 - www.lapalestre.com
viGLietti / otc nice
théâtre
L’Ecole des femmes : Les Tréteaux de France et le Théâtre national populaire de Villeurbanne s’associent pour mettre en scène cette comédie de Molière. Christian Schiaretti y dirige Robin Renucci dans le rôle d’Arnolphe, qui a élevé la jeune Agnès (Jeanne Cohendy) en l’isolant du monde, dans l’espoir d’en faire une épouse docile et fidèle.
huMour
muriel robin – Tsoin Tsoin : Cela faisait huit ans que ses fans l’attendaient ! Après avoir mis ses talents d’humoriste entre parenthèses pour se concentrer avec succès sur sa carrière d’actrice à la télévision et au cinéma, Muriel Robin remonte enfin sur scène pour un one-woman-show qui lui ressemble : sincère et drôle. 35-55 €. Le 22 novembre, 20 h, Palais nikaia, 163, route de Grenoble, nice. 0 825 020 020 - www.nikaia.fr
burlesque
Cabaret new Burlesque : Ne passez pas à côté d’un spectacle original, glamour et 100 % rock’n’ roll ! Les pulpeuses danseuses de ce Cabaret New Burlesque vous séduiront par de superbes numéros de strip-tease complètement décomplexés. Du music-hall moderne et déjanté qui vous en mettra plein les mirettes ! Deux soirs à ne manquer sous aucun prétexte.
marianne rosenstiehL
10 à 35 €. Les 22 et 23 novembre à 20 h 30, anthéa-antipolis théâtre d’antibes, salle Jacques audiberti, 260, av. Jules-Grec, antibes. 04 83 76 13 00 - www.anthea-antibes.fr
yves BottaLico
40 €. Le 28 novembre à 20 h, Palais nikaia, 163, route de Grenoble, nice. 04 92 29 31 29 - www.nikaia.fr
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Franck BohBot
rock
Indochine : Trois ans après le Meteor Tour, Indochine repart à l’assaut des scènes avec Black City Tour 2. Les légendes vivantes du rock français défendent Black City Parade, album grâce auquel Nicolas Sirkis et les siens signaient leur retour dans les bacs. Communion assurée entre un groupe qui soulève les foules et un public chaud bouillant.
chanson
oldelaf : On l’a connu en duo avec Monsieur D mais, depuis 2010, Oldelaf fait cavalier seul. Et ça lui réussit plutôt bien ! Auteur de l’album Le Monde est beau (2011), l’artiste distille une chanson française aux textes bien ficelés, empreinte d’humour et de second degré. Oldelaf en concert, le meilleur remède contre la tristitude quotidienne ! 19 €. Le 30 novembre à 20 h 30, théâtre Lino-ventura, 168, bd de l’ariane, nice. 04 97 00 10 70 - www.tlv-nice.org
CITY
iLLustration christoPhe BLain
aGenda AGENDA
aGenda AGENDA
Le coin des pitchouns Le P’tit théâtre De L’inattenDu
Ils sont petits, ils sont mignons, et eux aussi ont droit à leurs sorties. Notre bouillon de culture pour les jeunes pousses niçoises.
théâtre
Le Magicien d’Oz : Voyage dans le merveilleux pays d’Oz en compagnie de la jeune Dorothée, enlevée de son Kansas natal par une terrible tornade. Ecrit en 1990 par L. Frank Baum, Le Magicien d’Oz est un classique de la littérature enfantine américaine. Il est ici à découvrir dans une mise en scène onirique mêlant théâtre, danse et musique. (A partir de 4 ans). 5-10 €. Le 27 octobre à 15 h, théâtre Francis Gag, 4, rue saint-Joseph, nice. 04 93 85 44 22 - www.ptit-theatre-inattendu.fr
théâtre
GourMandises
le salon du chocolat :
FréDéric santos
L’Envol de Pipistrelle : Estelle n’a qu’un rêve : elle voudrait voler avec son copain Poule Mouillée. Sa rencontre avec un chat magicien va lui donner espoir, car il prétend pouvoir l’aider. Mais est-elle sûre qu’il ne soit pas mal intentionné ? Ce joli spectacle invite les petits à réfléchir sur l’acceptation de soi. Avec intelligence, il montre aux enfants que l’on n’est pas plus heureux en devenant un autre. (A partir de 3 ans). 7 €. Le 22 octobre à 15 h, théâtre Bellecour, 14, rue trachel, nice. 04 93 87 08 86 - http://theatre-le-belle-cour.fr
Les jeunes gourmands se feront une joie d’accompagner leurs parents au délicieux Salon du chocolat qui se tient pour la deuxième année consécutive à Cannes, après avoir déjà séduit Paris, New York, Tokyo, Shanghai, Moscou… L’espace Chocoland, qui propose des ateliers et des animations avec des chefs autour du cacao, est spécialement dédié aux enfants. Quelle chance ! (A partir de 6 ans).
Grand sPectacle
Oui Oui et le grand carnaval : La star des moins de 4 ans est de retour sur scène. Dans ce spectacle coloré et survitaminé, Oui Oui veut organiser un grand carnaval avec tous les pays du monde à Miniville. Mais comme à leur habitude, les lutins Sournois et Finaud sont bien décidés à s’inviter à la fête pour gâcher la journée. Heureusement, les petits spectateurs – aux anges ! – sont là pour les en empêcher. (A partir de 2 ans).
CITY
aLexanDra BansarD
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aLexanDra BansarD
3-9 € (gratuit pour les moins de 5 ans). Du 23 au 25 novembre, Palais des festivals et des congrès, 1, boulevard de la croisette, cannes. 04 93 39 01 01 - www.salonduchocolat-cannes.com
23-30 €. Le 3 novembre à 14h et 17h, Palais nikaia, 163, route de Grenoble, nice. 0 825 020 020 - www.nikaia.fr