architect
PORTFOLIO
Morgan Przeracki
1
2015/2020
2
3
1 4 houses
p. 04
2 ENSAC
p. 16
3 Micromega
p. 32
4 Avenue Buyl, 121
p. 46
5 La ruche
p. 56
6 Museum aan de Stroom
p. 70
4 houses 4
Le projet est localisé dans un contexte fictif pensé par la Faculté et composé par plusieurs projets d’architectes majeurs ainsi que des groupements d’habitations formés par 4 ou 5 parcelles. Un groupe de parcelles défini un urbanisme commun qui engendre des volumétries préétablies, chaque maison est ensuite dévelopée et imaginée par chaque architecte indépendament les uns des autres. L’objectif du masterplan étant ainsi de concevoir une ville imaginée. La commande du programme étant la conception d’une maison unifamiliale pour quatre personnes ainsi qu’un élément addtitionel, un élément surprise, un «something extra» pour chaque habitation.
5
6
La maison est implantée dans un groupement de 4 habitations disposées en quinconce selon une grille et posées sur des murs porteurs. Au rez-de-chaussée, on retrouve une chambre d’hôte qui est déconnectée du reste de la maison avec son accés propre, c’est le «something extra». En suivant les logiques de la grille, la volumétrie générale résultante est une maison carré de 7,5m de côté.
1. Volume 2. Circulation 3. Division 4. Ouvertures
1.
7
2.
3.
4.
+1 8
0
+3 9
+2
10
L’espace à vivre, situé au deuxieme niveau, est un carré ouvert qui permet de jouir de vues traversantes qui donnent d’un côté sur la ville et de l’autre vers le bois. La colonne structurelle agis comme pilier qui structure les espaces et accentue la grille cuadrangulaire. La différenciation des espaces est créer pas une différence d’hauteur matérialisé au sol , qui créer en miroir un changement d’hauteur pour les espaces du premier niveau, consacré aux parents.
11
12
13
Au rez de chaussée la petite habitation permet d’acceuillir deux personnes. Complètement indépendante, elle bénificie d’un acces direct à l’espace commum partagé par les 4 maisons. Le dernier niveau est dédié aux enfants, concu comme un espace modulable qui permet de partager ou de privatiser les espaces à sa guise.
14
15
La terrasse collective est un grand espace minéral ponctué par des jardins et des patios, partagée par les quatre maisons. Cependant chacune des maisons est connectée à un jardin et un patio qui permet de caractériser des espaces propres à chaque famille.
ENSAC
école nationale supérieur des arts du cirque
16
Le projet est situé dans le quartier d’Anderlecht, une des 19 communes de la ville de Bruxelles. Proche de la station de métro Saint-Guidon, un terrain en friche est rendu disponible par la ville pour y implanter une école des arts du cirque. La zone dans laquelle le projet est implanté connait récemment un redynamisme que cette école pourrait d’avantage encourager. La parcelle, située en face de la place de la Vaillance où se trouve l’église Saints-Pierreet-Guidon d’Anderlecht, occupe une position stratégique capable de générer des fluxs qui accentueront la régénérescence du quartier. L’enjeu est donc d’offrir un nouvel équipement aux anderlechtois qui viendra s’implanter de la manière la plus juste pour intéragir avec son contexte.
17
1. Volume 2. Circulation libre 3. Intéraction intérieure 4. Intéraction extérieure
1
18
2
3
4
g
h
f
l
i
e 19 j
d
b
k
a
c
a. parvis b. bibliothèque c. cafétéria
d. entraînement e. représentation f. foyer
g. administration h. infirmerie i. classe
j. vestiaire k. cuisine l. stockage
20
21
Le rez de chaussée est traité en totale transparence pour permettre une intéraction avec l’extérieur. Chaque côté possède une entrée qui permet de circuler et de traverser le bâtiment librement. La cafétéria est connectée au parvis de l’école où les habitants du quartier sont invités à venir flanner. La bibliotèque est elle aussi une invitation aux anderlechtois pour venir se documenter et apprendre sur les arts du cirque, elle est situé face à la place de la Vaillance pour lui permettre plus de visibilité.
L’intéraction visuelle présente au rez de chaussée se retrouve également aux étages supérieurs. Les grandes paroies vitrées permettent aux élèves de l’école de jouir d’espace éclairés qui offrent des vues traversantes.
22
23
+1
24
+2
Ces vues traversantes sont intéreures et extérieures, permettant autant aux passants de la rue qu’aux occupants de l’école d’accéder à des séquences visuelles. Cette idée du « voir et être vu » est un clin d’oeil direct au concept du cirque.
25
26
27
28
29
30
ENSAC
École nationale supérieure des arts du cirque
31
L’école devient un nouveau répère à l’échelle du quartier et de la commune.. Le projet offre un équipement public en cohésion avec son contexte en jouant sur un dialogue volumétrique avec la l’église SaintsPierre-et-Guidon, permettant de redynamiser la place de la Vaillance et ses alentours.
Micromega 32
Le studio Micromega, basé au sein de l’école d’architecture de l’ULB, propose un large éventail de villes à étudier. De Delhi à Miami, et de Charleroi à Détroit, ses recherches sont basées sur la corrélation des échelles micro et méga. L’objectif est d’enquêter sur ce qu’est une ville avec différents outils : carte, zoom, analyse sur de nombreux sujets et de nombreux bâtiments. Cette étude n’est possible que par la corrélation des échelles; ce qui conduit à avoir une étude du contexte urbain en comparant les éléments à l’échelle micro et macro. Cette croyance est basée sur la théorie de l’architecte espagnol : Sola Morales. Il parle d ‘«architecture acupuncturale», ce qui signifie que par une petite intervention, ou mieux, une intervention ponctuelle dans la ville, son impact serait plus large et atteindrait une échelle urbaine.
33
34
La question de la programmation s’est naturellement tournée vers du logement puisque l’une des conlusions des analyses était que la ville souffrait aujourd’hui d’un manque d’habitants dans le centre et que les logements y manquaient. En plus du logement, l’ajout d’un programme complémentaire au rez de chaussée pour rendre le café qui à été perdu il y a dix ans lors d’un incendie.
1. Volume capable 2. Extraire 3. Volume excavé 4. Terrasses partagées 5. Circulation 6. Division
35
1
4
2
5
3
6
a
b
c
d
e
f
36
a. Studio b. T1 pmr c. T1 d. T2 e. T3 f. T4
37
La parcelle se situe au grand carrefour de deux artères importantes dans la ville, le Boulevard Joseph Tirou et de la rue du pont le neuf. Le site occupe donc une position stratégique, puisque situé dans la partie sud de la ville bassse, on accède rapidement au centre ville mais aussi au reste de l’agglomération par la proche connexion au ring.
+
1
38
+2
+
3
+4
39
+5
+6
40
41
Le volume est traité comme une masse dans laquelle des morceaux ont étés excavés, dans le but de créer des espaces et des vues entre l’interieur et l’extérieur du batiment. Le résultat rend une porosité entre la ville et l’ensemble de logements, ces creux permettent de laisser entrevoir le mouvement dans le batiment.
42
Le café qui occupe le rez de chaussée est traité en transparence et permet une connexion visuelle vers la cours du café depuis la rue. Cette interaction est différente selon la rue par laquelle on approche le batiment, on entrevois la cours par une brèche d’un côté, en transparence par l’autre.
43
44
45
Les gros creux excavés génèrent des terrasses communes qui viennent activer le partage entre les habitants. La circulation dans le batiment est marqué par des vues et des séquences entre interieur et extérieur et connecte les espaces partagés. Enfin, l’envie première est d’offrir un logement collectif qui peut potentiellement donner l’envie aux carolos de revenir habiter le centre ville. Le projet pourrait ainsi avoir un impact plus large et atteindre une échelle urbaine.
Avenue Buyl, 121 46
Le projet est implanté sur le campus de l’ULB, pour venir apporter du logement manquant. Les habitants du quartier se rendent peu sur le campus, qui ne dispose pas, aujourd’hui, d’ espacepublic en dialogue avec la ville. A cette double problématique, le projet répond par un double geste : délimiter et ouvrir. Le mur habité : il veut par son implantation permettre à ses habitants d’être autant citadins que résidents d’un campus. L’esplanade manifeste: un espace publique d’interaction et de manifestation avec et envers la ville. Ce vide signale l’entrée du campus et devient le point de contact entre le campus et le quartier.
47
48
49
a
b
d
c
50
e
f
a. Cimétière d’Ixelles b. Avenue de l’université c. Urbanité du campus d. Tiers paysage e. Avenue Paul Héger f. Bois de la cambre
1. PÊrimètre 2. Directions 3. Topographie 4. Esplanade 5. Gabarits 6. Jardin
51
1
2
3
4
5
6
52
53
La cohabitation entre les étudiants du campus de l’ULB et les habitants d’Ixelles ne semble pas facile. En même temps, les habitants du quartier se rendent peu sur le campus, qui ne dispose pas, aujourd’hui, d’ espace public en dialogue avec la ville.
54
55
La ruche 56
Venir proposer une nouvelle forme d’habitat au sein du campus apparait aujourd’hui comme un défi que bon nomvre d’architectes essaient de relever. Mais que veut dire habiter au sein d’une université de nos jours ? La cohabitation entre les étudiants du campus de l’ULB et les habitants d’Ixelles ne semble pas facile qui illustre d’ailleurs un schema assez fréquent. Le projet vient y répondre par une fine tranche qui agis comme une rue verticale et vient faire le lien entre le campus et la ville, permettant à l’étudiant d’être citadin comme tout autre habitant d’Ixelles. L’objectif étant principalement d’offrir du logement étudiant et chercheurs, mais pas que, le but est aussi de pouvoir acceuillir d’autres profils. Pour faire vivre ensemble cette mixité telle une communauté, un ensemble d’équipements et de services active le partage entre les habitants.
57
1. Typologies 2. Trame structurelle 3. Partage 4. Coursive croisĂŠe 5. Logement traversant 6. MixitĂŠ
58
1
2
3
4
5
6
59
a. Laverie b. Gym c. Etude d. DĂŠtente e. Terrasse
30 x studios 1 personne 25 m2 6 x duplex 2 personnes 65 m2 7 x duplex 3 personnes 85 m2 8 x duplex 4 personnes 115 m2
60
61
Studio
62
Duplex 2 chambres
Duplex 3 chambres
63
Duplex Familles
64
65
La coursive croisée permet d’alterner la ciculation sur deux niveaux en traversant le bâtiment ainsi que de libérer la facade. La grille structurelle défini un module traversant qui permet à tout les logements de bénéficier de vues vers la ville et vers le campus grâce à une double exposiiton.
La coursive devient extension et espace d’appropriation pour chaque logement et joue le rôle de terrasse commune pour tout les habitants. Ceci permet de faire vivre l’espace de circulation et de l’envisager comme un lieu partagé qui fait office de rue verticale au sein du projet.
66
67
68
69
L’expression de la grille structurelle apparait en facade grâce aux fênetres totales. Chaque fênetre apparaît alors comme une cellule unique, l’ensemble de ces cellules forme une première couche. La seconde peeau formée par la crousive fuisionne avec la première couche et permet d’activer le partage et la vie dans le projet : c’est la ruche.
Museum aan de Stroom 70
Dans le cadre de l’atelier HTC (histoire théorie critique), ce projet est une proposition pour un update de l’actuel musée MAS (museum aan de Stroom) à Anvers. L’appoche était ici de mettre en lumière les points positifs du MAS actuel ansi que ses points noirs. Ceci afin de proposer un projet alternatif si le musée n’avait pas encore été construit et que sa commande arriverait aujourd’hui. Le projet répond à cette synthèse avec une esthétique mécanique qui rend hommage au langage technique du port d’Anvers. Cette machine muséale qui est proposée permet de gérer les flux et de produire de la fluidité dans le parcours. La structure est rejetée à l’extérieur et les plateaux libres quelle génère permettent une exploration scénographie dans le musée. Ceci pour répondre à une perméabilité et une fluidité entre circulation et espaces d’expositions dans le musée.
71
1. Squelette extérieur 2. Squelette intérieur 3. Circulation 4. Pleins & vides
1
2 72
3
4
73
restaurant
74
75
La circulation permet de gérer les flux de manière mécanique et libre à la fois, le visiteur peut se laisser porter par la montée du sky line anversois ou s’arreter sur le palier et d’explorer le plateau sur lequel il se trouve. Vue sur Anvers et espaces d’exposition s’entremêlent, le visiteur explore le passé d’Anvers tout en regardant vers son futur.
76
+1
+2
+3
L’esthétique technique et mécanique offre des espaces dans lesquelles les oeuvres peuvent pleinement s’exprimer, la collection se suffit à elle même comme ornement. Le pattern du mobilier offre une piste d’exploration dans la mise en valeur des oeuvres exposées. Ceci permet des configurations multiples et de ne pas figer les collections et offre une stratégie de monstrations évolutive dans le temps. Les éléments technique du projets participent à organiser l’espace, l’ascenseur tel un silo qui transperse le bâtiments et donne un point de repère sur les plateaux, une gaine technique qui flirt avec l’organisation du plan d’exposition. +4
77
Le toit panoramique, cloue la visite avec une vue à 360 degrés sur la ville, le port et le monde. Cet espace récréatif propose un bar panoramique, des espaces de repos pour la détente et un grand espace libre qui permet plusieurs usages : s’arrêter, flanêr, regarder, écouter.. etc
78
79
+5
+6
+7
80
Le rez de chaussée regroupe toutes les foncitons d’acceuil musée, il est traité comme une nappe totalement transparante dont certaines cloisons peuvent même disparaitre selon les saisons. Cette nappe est connecté à son espace publique, une grande esplanade versatile qui peut acceuillir plusieurs types événements : un concert, un marché, une projection. Le soir les anversois peuvent venir s’y arrêter et admirer le coucher du soleil qui traverse le musée.
81
82
83