Theaterfestwochen Zurich 2009 schauspielhaus location par téléphone et abonnements de 10 à 19 heures ouverture des caisses une heure avant la représentation rämistrasse 34 I 8001 zurich I 01 265 58 58 informations sur les dates des spectacles t 0 1 2 6 5 5 7 6 0 I w w w. s c h a u s p i e l h a u s . c h 13 - 22 juin 2009 — schauspielhaus zurich
table des matières page 2 La comédie à succès de l’américain Ken Ludwig « Lend me a Tenor », en version allemande Otello darf nicht platzen (Otello doit avoir lieu)
page 3 Le Staatstheater Cottbus avec une version scénique du roman de Theodor Fontane Effi Briest
page 4 Une mise en scène enjouée de Pierre Carlet de la comédie de Marivaux Arlequin poli par l’amour
page 5 « Steps #8 » avec le Nederlands Dans Theater III avec Meryl Tankard Merryland
page 6 Brunch Kurt Weill avec l’actrice et chanteuse Gisela May
page 7 Die Kinder des Teufels De Felix Mittlerer
page 8 Agenda Les représentations du Schauspielhaus en août/septembre 2009
s c ha us pi e l h a u s v e 1 3 .6 : 1 9 h 3 0 di 15.6: 14 h 30 pr ix des places : de ch f 13.– à ch f 40. – L’auteur américain de 52 ans, Ken Ludwig de Pennsylvanie, s’est imposé avec cette pièce comme auteur dramatique. Après sa création en 1985, la pièce a été nommée « meilleure comédie de l’année ». Le cauchemar de chaque directeur : le protagoniste du rôle principal ne se présente pas pour la première. Avec un cachet mirobolant, le directeur du théâtre de la ville de Cleveland a engagé pour la représentation d’Otello le ténor des ténors Tito Merelli. Mais le grand Tito ne vient pas. Est-il mort ? Mais « Otello » doit avoir lieu à tout prix. Il s’agit de trouver rapidement un remplaçant. Le directeur le trouve en la personne de Max, son bras droit. Max profite de l’aubaine et décide de mettre le paquet. Il n’y a pas seulement le grand rôle sur scène, il y a également la femme de Merelli, qui a abandonné son mari il y a peu. Dans le costume et sous le grimage d’Otello, et de surcroît en bonne condition vocale, il ressemble à s’y méprendre à la grande vedette. Mais ce qui devait arriver arriva : celui qu’on croyait mort surgit en titubant pour son entrée en scène. Deux Otello se trouvent face à face, mais lequel est le bon ? Les deux montent ensemble sur scène pour solliciter les faveurs du public. Le faux Otello essaie avec beaucoup de ruse de soustraire le vrai aux applaudissements. Finalement, les deux se chassent mutuellement de la scène. Le Landestheater Salzbourg présente cette pièce très vive et amusante avec Peter Piki et Werner Friedl dans les rôles d’Otello un et deux. Le metteur en scène Lutz Hochstrasse parvient à convaincre avec des effets bruyants, mais pas toujours absurdes. La pièce a été un des grands succès de la saison écoulée à Salzbourg. Il est permis de rire sur l’histoire d’arrièrescène la plus drôle des dernières années.
Otello darf nicht platzen comédie de l’américain Ken Ludwig titre original : « Lend me a Tenor » (Otello doit avoir lieu) Traduction allemande de Ursula Lyn ; mise en scène : Lutz Hochstraate ; décors : Bernd Dieter Müller ; costumes : Annette Zepperitz avec les acteurs :
L a c o m é d i e à s u c c è s d e l ’ a m é r i c a i n K e n L u d w i g « L e n d m e Max : Werner Friedl,
a Te n o r » , e n v e r s i o n a l l e m a n d e O t e l l o d a r f n i c h t p l a t z e n . Maggie (l’amie de Max) : Britta Bayer , Sounders (directeur de l’Opéra de Cleveland) : Klaus Martin Heim, Tito Merelli : Peter Piki, Maria (l’épouse de Merelli) : Hanna Rohrer, Page : Sebastian Knözinger, Diana (cantatrice) : Alexandra Tichy, Julia (présidente des amis de l’opéra) : Traude Gmeinböck.
« Otello doit avoir lieu »
« Die Kinder des Teufels »
de Felix Mitterer
Lorsque le dramaturge du « Theater der Jugend » de Munich attire l’attention de Felix Mitterer sur ce sujet il y a quatre ans, l’auteur lui répondit qu’il s’agissait là d’un thème horrible. Mais ce sujet provenant de sa proche patrie l’intéressait et il étudia les documents originaux aux archives d’Etat à Munich et à Salzbourg. Il y découvrit les misérables témoignages d’une folie pervertie de l’ordre. Les aveux extorqués qui figurent dans la pièce correspondent aux procès-verbaux. Cette pièce parle de plusieurs choses : d’abord de l’attitude de la majorité de la population face au droit, à l’ordre, à la jeunesse et aux boucs émissaires ; ensuite de l’imagination débridée des enfants ; et enfin, des destins des enfants mendiants qui existent toujours. Il suffit de penser aux escadrons de la mort en Amérique latine. Dans cette pièce, Mitterer ne se limite pas au passé. A l’instar d’Arthur Miller dans la « Chasse aux sorcières », il tourne son regard vers l’actualité, à la recherche de boucs émissaires que l’on peut rendre responsables de sa propre insatisfaction ainsi que des problèmes économiques.
s c h a u s p i e l h a u s m a . 17.6, 18 h , en ven te libre pr ix des places : de ch f 13. – à 40. – u n e intro d uc tio n à l a p i è c e p r é s e n t é e a u r a lieu au foy er, 45 min . avan t le débu t des repr ésentations.
Festwochen-Spezial « Die Kinder des Teufels » de Felix Mitterer Württembergische Landesbühne, Esslingen Mise en scène : Peter Dolder Décors et costumes : Eckehard Felix Wegenast Avec Juliane Bacher (Dofferl), Annette Fassnacht (Dionysus), Maike Frank Lisl,
De 1675 à 1681, le Pays de Salzbourg a été la scène d’un des plus grands procès de Barbara Troschka (Magdalena Pichlerin),
s o r c e l l e r i e . L a f i g u r e c e n t r a l e e n é t a i t u n j e u n e h o m m e d é n o m m é J a k o b K o l l e r, q u ’ o n Ralph Hönicke (Kommissar),
accusait de pratiquer la magie noire et de détour ner la jeunesse. Il n’a jamais été possiChristian Koch (Freimann),
b l e d e m e t t r e l a m a i n s u r l e « s o r c i e r » Z a u b e r- J a c k l . P a r c o n t r e , o n a e n f e r m é u n e b a n d e Hagen Löwe (Andree Mayer),
d’enfants mendiants qui perturbaient l’ordre social avec leur mendicité et leurs petits Hartmut Scheyhing (Schreiber),
l a r c i n s . C e s e n f a n t s m i s é r e u x o n t é t é c o n t r a i n t s p a r l a t o r t u r e à d e s « a v e u x » t o u j o u r s Patrick Serena (Veit)
p l u s t e r r i f i a n t s . I n c r o y a b l e : f i n a l e m e n t 1 3 3 e n f a n t s o n t f i n i s u r l e s b û c h e r s . U n e t e r r i b l e histoire retracée dans cette pièce aux allures de documentaire.
s chau s pielha us d i 15. 6, 2 0 h o u v e r t u re d e s p o r t es 19 h pr ix des billets : ch f 22.– Les rapports entre Gisela May et le dramaturge Brecht sont une longue histoire d’amour artistique. Son interprétation du rôle de « Mère Courage » dans la production du Berliner, ensemble dont elle a été membre pendant de nombreuses années, a été l’un des sommets de sa carrière. Qui dit Brecht pense aussi immédiatement à Kurt Weill. C’est pour cette raison que cette nocturne est avant tout consacrée à des extraits d’œuvres de ce duo congénial. Des chansons tirées de « Aufstieg und Fall der Stadt Mahagony », de L’opéra de « quat’ sous », de « Happy End » en font partie. Par exemple le célèbre « Bilbao-Song ». A cela s’ajoutent d’autres pièces de Weill et – élément supplémentaire très amusant – des citations tirées d’un échange de lettres entre Kurt Weill et sa bien-aimée Lotte Lenya. Il y a aussi les anecdotes et les histoires à travers lesquelles l’actrice Gisela May, qui compte bientôt 77 ans, nous fera revivre sa propre carrière à Berlin. avec l’actrice et chanteuse Gisela May
Brunch Kurt Weill La spécialiste de Brecht et actrice-chanteuse Gisela May a pris la liberté de modifier son prog r a m m e p o u r l a n o c t u r n e à W i n t e r t h u r. E n l i e u e t p l a c e d u p r o g r a m m e « I c h b i n s o f r e i » , e l l e p r é s e n t e u n e n o u v e l l e s o i r é e K u r t We i l l . E l l e a c o n ç u cette soirée pour commémorer le 100e anniversaire d e l a n a i s s a n c e d u c o m p o s i t e u r. K u r t We i l l e s t n é le 2 mars 1900 à Dessau et il est mort à l’âge de 50 ans seulement. Matthias Stötzel accompagne Festwochen-Spezial
Gisela May au piano.
Soirée Kurt Weill Nocturne avec Gisela May et Matthias Stötzel (piano)
« Effi Briest »
Le Staatstheater Cottbus avec une version scénique du roman de Theodor Fontane.
pièce selon Theodor Fontane, adaptation dramatique Holger Teschke Mise en scène : Christoph Schroth ;
Effi est passionnément courtisée par von Crampas
décors : Jochen Finke ; costumes : Gundula Martin dans le rôle d’Effi Briest : Anne Ratte-Polle ; Baron von Innstetten : Michael Meister ; Major von Crampas : Daniel Borgwardt ; Mme von Briest : Susann Thiede ; M. von Briest : Horst Rehberg ; Gieshübler : Wolf-Dieter Lingk et d’autres encore
« Effi Briest » s c ha us p ie lha us l u 1 6 .6 , m e 1 8 .6 : 1 9 h 3 0 pr ix de places : de ch f 13.– à 40.– Le metteur en scène Holger Teschke a adapté un des textes les plus importants de la littérature mondiale pour la scène. Aucune figure féminine de la littérature romanesque allemande ne l’a autant impressionné qu’Effi Briest. A la base de cette œuvre littéraire, on trouve un événement qui s’est réellement passé dans les environs de Berlin en 1886. Un duel avec issue mortelle. La cause en est une histoire de mariage, d’amour triangulaire, vieille de vingt ans. Mais ce n’est pas autant le scandale qui intéresse l’auteur Theodor Fontane, que l’aspiration au bonheur. Effi, pure « fille de l’air » épouse le baron von Innstetten, un homme plus âgé, très correct et préoccupé de sa carrière. Le sentiment du devoir, l’honneur et l’ordre marquent la vie de son épouse, mais en devenant de plus en plus solitaire, elle ne connaît pas l’amour. Même la naissance de sa fille ne lui permet pas de dépasser sa solitude croissante. Un jour, elle rencontre le major von Crampras qui la séduit. Une liaison amoureuse secrète, à la limite du rêve, se développe. Elle se termine lorsque le baron von Innstetten est appelé à Berlin et qu’elle suit son mari. Des années plus tard, von Instetten découvre par hasard les lettres de Crampas à Effi. Sans aucune émotion, il provoque Crampas en duel et expulse Effi de la maison. Elle s’effondre et – lourdement atteinte dans sa santé et privée de son enfant – elle trouve refuge dans la maison parentale. La vie d’Effi finit dans une marginalisation qui finalement la brise. Holger Teschke a adapté le sujet à la scène en 1996. La fascination découle avant tout du naturel juvénile d’Effi Briest, de son ouverture et de la dimension lugubre qui imprègne sa vie après son mariage avec von Instetten. Mais Fontane n’abandonne pas le rêve d’une société dans laquelle l’aspiration au bonheur des hommes s’impose, face aux protagonistes des idéologies et des contraintes du rendement avec la mort d’Effi.
« Arlequin poli par l’amour »
Une mise en scène enjouée séduisant l’œil et l’oreille. Les paroles de Marivaux gagnent en force expressive grâce à une mise en scène marquée par la vivacité et l’ironie.
« Arlequin poli par l’amour » comédie de Marivaux en langue française avec le Théâtre « La rose des vents, Villeneuve » Mise en scène : Jean-Michel Rabeau et Sylvie Reteuna ; musique : Cyrus ;
Une mise en scène enjouée de Pierre Carlet de la comédie de Marivaux décors et costumes : Pierre-André Weitz ; éclairage : Jean-Claude Fonkenel
Marivaux, l’auteur de comédies, est à nouveau à la mode. Depuis quelques années, l’intérêt pour ses pièces va croissant. Son penchant pour une « intellecdans celui de Trivelin : Georges Edmont tualité enjouée » fait apparaître Marivaux comme un phénoménologue de l’amour, comme expérimentateur, comme artiste. et Marc Mérigot ; Une fée, subjuguée par la beauté d’Arlequin, l’enlève dans son sommeil et le retient pour gagner son amour. Lorsque Arlequin se réveille, elle réalise qu’il a un Arlequin : Franco Sénica ; caractère niais, mais elle croit que leur amour commun le rendra plus intelligent. Mais Arlequin rencontre Silvia, la bergère. Ils tombent immédiatement amoureux Silvia : Anne Rotger ; et, en effet, purifiée par l’amour, l’âme d’Arlequin change comme la fée l’a souhaitée. Mais l’amour étant destiné à la bergère, la jalousie de la fée se réveille et berger/professeur de musique, Nicolas Martel ; elle fait appel à tous les moyens – même violents – afin d’empêcher cet amour imprévu. Trahie par la ruse de son serviteur Travelin qui s’est engagé en faveur bergère/l’amour : Corinne Cicolari des jeunes gens, elle est vaincue. L’amour triomphe. Jean-Michel Rabeaux et Sylvie Reteuna ont réalisé la mise en scène de cette charmante histoire d’Arlequin. L’ironie est omniprésente et la scène surprend avec de nombreuses trouvailles faites de guirlandes, d’artifices électriques, de plumes et de ficelles. Des interludes dansés et de superbes chansons donnent à la comédie des airs de cabaret. La forme de la mise en scène souligne encore la subtilité des paroles de Marivaux. Enjouée et gracieuse, la pièce vaut la peine d’être vue ! En langue française. sc ha us p ie lha us m a 1 7 .6 , 1 9 h 3 0 , p r i x d es places : de ch f 13.– à 40.– u n e intro d uc tio n d e l ’œ u v re e s t d o n n é e dan s le foy er à 18 h 45 Dans le rôle de la fée, Kate France
« Merryland » avec le Nederlands Dans Theater III (NL) Meryl Tankard (AUS) dans le cadre de « Steps #8 » Chorégraphie : Meryl Tankard Danseurs : Sabine Kupferberg ; Gérard Lemaitre ;
« S t e p s # 8 » a v e c l e N e d e r l a n d s D a n s T h e a t e r I I I a v e c M e r y l Ta n k a r d
Egon Madsen ; David Krügel
Après le Shen Wei Dance Arts Ensemble venu des Etats-Unis, la NDT III présente – dans le cadre du festival de danse avec Meryl Tankard – ses productions avec des danseuses et danseurs expérimentés de plus de 40 ans. La maturité artistique et le raisonnement personnel sont au premier plan des performances du Nederlands Dans Theater III. Le fondateur Jiri Kylián s’appuie de manière très consciente sur cette image de marque. Les danseuses et danseurs de plus de 40 ans ne sont, de loin, pas à mettre aux vieux fers. Au contraire, à l’âge où se termine normalement une carrière de danseur, la leur semble vraiment commencer. Avec ce mélange de danse moderne et de ballet classique allié au théâtre, « comedy » et même au chant, la compagnie est une véritable découverte. Les moyens d’expression individuels sont tout autant mis en valeur que la biographie artistique des participants. Dans le cadre de « Steps #8 » la grande chorégraphe australienne Meryl Tankard a créé pour le NDT III une nouvelle pièce intitulée « Merryland ». Sur scène, on découvrira les corps souples et entraînés de Sabine Kupferberg, Gérard Lemaitre, Egon Madsen, David Krügel et Gioconda Barbuto. Tankard fait elle-même partie des solistes les plus marquantes et a obtenu plusieurs distinctions. Jusqu’en 1999, elle a dirigé le Australian Dance Theatre, avec lequel elle a participé à tous les festivals importants en Europe et aux Etats-Unis. Elle s’est notamment fait un nom avec une chorégraphie dans laquelle ses danseurs athlétiques tourbillonnent dans l’air attachés à des cordes. Aucune de ses chorégraphies ne ressemble à l’autre, un style aux facettes nombreuses, un très haut niveau de maîtrise, un plaisir de l’exploit physique marquent le style de Tankard. « Merryland » aussi va surprendre le public. s chau s pielha us s a 21. 6, 1 9 h 3 0 p r i x d e s p l a c e s : de ch f 13.– à 40.– et Gioconda Barbuto
« Merryland »
Maturité et expérience, la biographie artistique de chaque protagoniste marque le rayonnement de l’ensemble de danse hollandais dans « Merryland ».
Autres théâtres zurichois Kellertheater :
D u 2 0 a u 2 3 . 9 à 2 0 h 3 0 a i n s i q u e D i à 1 7 h 3 0 : R e v u e m u s i c a l e
Théâtre de marionnettes au Hechtplatz :
Ve 1 9 . 9 , 2 0 h 1 5 / M e 2 4 . 9 , 1 4 h 3 0 , « F l o m i » M a r i o n n e t t e s d u T ö s s t a l
Theater an der Limmat :
S a 2 7 . 9 / D i 2 8 . 9 à 2 0 h 1 5 , « P e p p e r » , t h é â t r e m u s i c a l s e l o n l ’ a l b u m d e s
Theater am Hechtplatz :
B e a t l e s « S g t . P e p p e r ’s L o n e l y H e a r t s C l u b B a n d »
Theater am Hechtplatz :
Ve 2 6 . 9 , 2 0 h 1 5 , « E i n e f a n t a s t i s c h e R e i s e » . A v e c l e Tr i o P a n e To n e
Theater am Hechtplatz :
S a 2 7 . 9 , 2 0 h 3 0 , « B l a s e c k – S a l a t u n d H a u s m u s i k »
Theater an der Winkelwiese :
Di 28.9, 10 h 30, Matinée d’histoires M e 2 4 . 9 / Ve 2 6 . 9 / S a 2 7 . 9 , à 2 0 h 1 5 « F r e m d l i n g , d u b i s t e i n N a r r » ,
avec Jürgen Klein Représentations du Schauspielhaus en août/septembre 2009 Ve 1.8, 20 h, Schauspielhaus, Foyer : « rouge, frisé & acide7 » – New Jazzline Gig avec Christophe Baumann & Jacques Siron. Sa 9.8, 19 h 30, Schauspielhaus : Singspiel de Paul Burkhard « Feuerwerk » avec la Musikalische Komödie Leipzig. Lu 11.8/Je 13.8, 19 h 30, Schauspielhaus : Wie es euch gefällt de William Shakespeare, adaptation de Thomas Brasch, Staatstheater Cottbus. Di 30.8, 10 h 30, Schauspielhaus : Kinder des Teufels de Felix Mitterer, Württembergische Landesbühne, Esslingen. Ve 5.9, 20 h, Schauspielhaus, Foyer : Hip Hop Jazz de Hollande avec Saskia Laroo & Band. Me 10.9, 20 h, Schauspielhaus : Macbeth by William Shakespeare. American Drama Group Europe/TNT Theatre Britain. Sa 13.9, 19 h 30/Di 14.9, 14 h, Schauspielhaus : Woyzeck – Fragments dramatiques de Georg Büchner ; Schauspiel Frankfurt. Di 14.9, 16 h/17 h 30/20 h, Schauspielhaus : Film-Vortrag-Theaterrevue « Lift ». Groupe de théâtre : « Die Regierung ». Lu 15.9/Ma 16.9, à 20 h, Schauspielhaus : « Yelemba » – Percussions, chants et danses de la Côte d’Ivoire, Agro-Pfingsten.
Agenda
Représentations d’organisateurs privés au Schauspielhaus : Me 24.9, 20 h, Theater am Hechtplatz : « vis-à-vis », – le nouveau programme de la compagnie de danse zurichoise « Movers ». Ve 26.9, 20 h, Theater an der Winkelwiese : « The best of… », show musical et dansant avec le studio de danse Borak.
Impressum : Editeur : Schauspielhaus Zurich en collaboration avec Tages-Anzeiger I Direction : Peter Wehrli, Gian Gianotti, Christian Hirt I Rédaction : Michael Schwarz, lic. ès lettres Conception : Maeva Kuhnel I Impression : Rollenoffsetdruck de Ziegler Druck- und Verlags-AG, 8401 Winterthur I Tirage : 120 000 exemplaires