OPEN SOURCE
UNDERGROUND
CINÉMA
MUSIQUE
HIVER 2012
SOMMAIRE
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CINÉMA
MUSIQUE
EDITO
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n 1969, Theodore Rozsak publia «The Making of a Counter Culture: Reflections on the Technocratic Society and Its Youthful Opposition» ou plus sobrement «Vers une Contre -Culture» dans sa version française. Dans les années 1970, le terme sera alors utilisé pour caractériser une explosion des mouvements contestataires de la jeunesse du monde libre envers la domination culturelle de la bourgeoisie. L’extrême gauche idéaliste et le maoïsme vont récupérer ces mouvements et l’insurrection des jeunes sera de plus en plus canalisée pour aboutir, en France aux célébre Accords de Grenelle de 1968.
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CONTRE CULTURE
La conscience et la contestation du puritanisme sexuel, l’interdiction de l’avortement qui handicapent les femmes créent des luttes pour la révolution sexuelle. Il s’agit de courants nés dans les années soixante aux États-Unis (culture hippie notamment) et qui éclosent après Mai 68 en France1. En France, la contre-culture fut représentée par des organes de presse comme le quotidien Libération (première époque), le magazine Actuel (première et deuxième époque) puis Novamag, la librairie Parallèles, les Éditions Alternatives et le Catalogue des Ressources, les premières radios libres, les labels de musique
indépendants, les Femmes, etc.
éditions
Des
La contre-culture n’aura pas finie de s’étendre à un grand nombre de domaines et à révéler par ailleurs beaucoup d’artistes talentueux dont : André Breton (Suréalisme), Radiohead (Rock Indé), Robert Crumb (Comics), Nan Goldin (Photographie), David Lynch (Cinéma) et plein d’autres.. Avec l’arrivée des nouvelles technologies, entre autres de l’Internet, le partage du Savoir et des connaissances se fait de plus en plus facile d’accés mais derriere l’évolution technologique se trouve des cher-
cheurs cheurs, des informaticiens, des magiciens du Web tels que Vannevar Bush ou Ted Nelson. Contre Culture traite de ces personnages «obscurs» et de ce dévellopement du partage numérique à travers différentes thèses, romans, photo-journaux, recueils de poèmes etc...
OPEN SOURCE
The Cathedral and The Bazaar Eric Raymond 1969
Du Papyrus à l’Hypertexte Christian Vanderdorpe 1999
The Success of Open Source Steven Weber 2004
Hakers Steven Levy 1984
OPEN SOURCE
Le fait que ce style du bazar semblait fonctionner, et bien fonctionner, fut un choc supplémentaire. Alors que j’apprenais à m’y retrouver, je travaillais dur, non seulement sur des projets particuliers, mais encore à essayer de comprendre pourquoi le monde Linux, au lieu de se disloquer dans la confusion la plus totale, paraissait au contraire avancer à pas de géant, à une vitesse inimaginable pour les bâtisseurs de cathédrales. Vers le milieu de 1996, je pensais commencer à comprendre. Le hasard m’a donné un moyen incomparable de mettre ma théorie à l’épreuve, sous la forme d’un projet dont le code source est ouvert et que je pourrais consciemment faire évoluer dans le style du bazar. Ce que je fis -- et je rencontrai un franc succès.
The Cathedral and The Bazaar Eric Raymond 1999
Dans La Cathédrale et le Bazar, Eric Raymond relate le développement du système d’exploitation Linux et du logiciel Fetchmail et expose les différences fondamentales entre le processus de développement de ces logiciels open source et celui des logiciels Emacs.
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a Cathédrale et le Bazar est un must pour quiconque se soucie de l’avenir de l’industrie de l’informatique ou de la dynamique de l’économie de l’information. Ses conclusions seront étudiées, débattues et mises en œuvre pour les années à venir. Selon Bob Young, «C’est la grande contribution d’Eric Raymond à la réussite de la révolution Open Source, à l’adoption de systèmes d’exploitation basés sur Linux, et à la réussite des utilisateurs d’open source et les entreprises qui les fournissent.» Linux est subversif. Qui aurait imaginé, il y a seulement cinq ans, qu’un système d’exploitation de classe internationale prendrait forme comme par magie à partir de bidouilles faites pendant le temps libre de plusieurs milliers de développeurs disséminés de par le monde, et reliés seulement par les les liens ténus de l’Internet ? Certainement pas moi. Quand, début 1993, Linux est apparu pour la première fois sur mon écran radar, cela faisait déjà dix ans que j’étais impliqué dans le développement sous Unix et dans la programmation de logiciels dont le code source est ouvert. Au milieu des années 1980, j’étais l’un des premiers contributeurs à GNU. J’avais distribué sur le réseau une bonne quantité de logiciels dont le code source est ouvert (nethack, les modes VC et GUD pour Emacs, xlife, et d’autres), encore largement utilisés de nos jours. Je pensais savoir comment tout cela fonctionnait. Linux a remis en cause une grande partie de ce que je croyais savoir. J’avais prêché l’évangile selon Unix sur l’utilisation de petits outils, le prototypage rapide et la programmation évolutive, depuis des années. devaient être conçus comme des cathédrales, soigneusement
Mais je pensais aussi qu’il existait une certaine complexité critique au delà de laquelle une approche plus centralisée, plus a priori, était nécessaire. Je pensais que les logiciels les plus importants
Le courrier doit passer ! Depuis 1993, j’étais aux commandes du service technique d’un modeste fournisseur de services Internet proposant un accès libre, appelé Chester County Interlink (CCIL) et situé dans le West Chester, en Pennsylvanie (je suis l’un des co-fondateurs de CCIL et j’ai écrit notre unique logiciel de ``bulletin-board system’’ (BBS, systèmes de discussions entre utilisateurs) multi-utilisateurs -- vous pouvez véri-
« C’est la grande contribution d’Eric Raymond à la réussite de la révolution Open Source (...) » Bob Young
(comme les systèmes d’exploitation et les très gros outils comme Emacs) devaient être conçus comme des cathédrales, soigneusement élaborés par des sorciers devaient être conçus comme des cathédrales, soigneusement élaborés par des sorciers isolés ou des petits groupes de mages travaillant à l’écart du monde, sans qu’aucune version bêta ne voie le jour avant que son heure ne soit venue. Le style de développement de Linus Torvalds - distribuez vite et souvent, déléguez tout ce que vous pouvez déléguer, soyez ouvert jusqu’à la promiscuité - est venu comme une surprise. À l’opposé de la construction de cathédrales, silencieuse et pleine de vénération, la communauté Linux paraissait plutôt ressembler à un bazar, grouillant de rituels et d’approches différentes (très justement symbolisé par les sites d’archives de Linux, qui acceptaient des contributions de n’importe qui) à partir duquel un système stable et cohérent ne pourrait apparemment émerger que
permanence et ne dispose pas d’une adresse IP statique. J’avais besoin d’un programme qui étende une main tentaculaire à travers ma connexion SLIP, et me rapporte mon courrier afin de le distribuer de manière locale. Je savais que de telles choses existaient, et que la plupart d’entre elles utilisait un simple protocole d’application (application protocol) appelé POP (Post Office Protocol, protocole du bureau de poste). Et bien sûr, le système d’exploitation BSD/ OS de locke, incluait un serveur POP3.
fier cela en accédant par telnet à locke. ccil.org. Aujourd’hui, ce service supporte presque trois mille utilisateurs sur trente lignes.) Ce travail m’a permis d’accéder au réseau 24 heures sur 24, à travers la ligne de 56K de CCIL -- en réalité, c’était presque une nécessité ! De cette manière, je m’étais habitué au courrier électronique instantané par l’Internet. Pour des raisons compliquées, il était difficile de faire fonctionner SLIP entre ma machine située à mon domicile (snark.thyrsus.com) et CCIL. Quand j’ai enfin réussi, j’ai trouvé que me connecter régulièrement à locke pour vérifier que je n’avais pas de courrier électronique était ennuyeux. Je souhaitais que mon courrier me parvienne sur snark de telle sorte que je sois averti dès son arrivée et que je puisse le traiter à l’aide de mes outils locaux. Indiquer simplement à sendmail de faire suivre le courrier n’aurait pas fonctionné, parce que ma machine personnelle n’est pas sur le réseau en
Eric Raymond
Distribuez tôt, mettez à jour souvent Un élément essentiel du système de développement de Linux est la mise à jour rapide et fréquente des nouvelles versions. La plupart des développeurs (moi y compris) pensait que ce n’était pas une bonne méthode pour des projets de taille non triviale, parce que des versions prématurées sont quasiment, par définition, des versions boguées, et qu’il n’est pas dans votre intérêt d’abuser de la patience des utilisateurs. C’est cette croyance qui a consolidé l’attachement général au style de développement de type cathédrale. Si l’objectif premier était de présenter aux utilisateurs une version aussi dépouillée de bogues que possible, alors vous ne faisiez une mise à jour que tous les six mois (voire moins souvent encore), et vous travailliez d’arrache-pied au débogage entre les mises à jour. C’est de cette manière qu’a été mis au point le coeur d’Emacs, écrit en C. Ce ne fut pas le cas, en pratique, de labibliothèque Lisp -- parce qu’il existait des archives Lisp «vivantes» hors de portée de la FSF, et où on pouvait trouver de nouvelles versions de code de développement indépendamment du cycle de mises à jour d’Emacs.
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logie informatique est capable de donner au texte numérisé toutes les formes imaginables. Dans un texte sur papier, les paragraphes ou blocs d’information sont disposés selon un ordre séquentiel, et le lecteur y accède essentiellement par contiguïté, tout en s’aidant d’éléments tabulaires plus ou moins nombreux. Dans un hypertexte, les divers blocs d’information peuvent constituer autant d’îlots distincts et autonomes, accessibles par le lecteur dans une même “ page ” ou dans des pages séparées. Selon la nature du document et les lecteurs visés, l’auteur d’un hypertexte pourra favoriser un accès par sélection, par association, par contiguïté ou par stratification. Ces divers modes peuvent exister seuls ou sous diverses combinaisons.
Du Papyrus Du Papyrus à l’Hypertexte l’Hypertexte Christian Vanderdorpe 1999
S’inscrivant au croisement de travaux de plus en plus nombreux consacrés à l’histoire de la lecture, l’hypertexte, l’ordre de l’écrit, la fin du livre et la médiologie, ce livre conduit une réflexion passionnante sur la place et l’avenir de l’écrit dans notre civilisation.
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istoriquement, le terme hypertext a été créé en 1965 par Ted Nelson, qui désignait par là une façon nouvelle d’écrire sur ordinateur, dans laquelle chaque unité textuelle pourrait don- ner lieu à un accès non séquentiel. Le texte ainsi créé reproduirait la structure non linéaire des idées par opposition au format “ linéaire ” du livre, du cinéma ou de la parole. Nelson était lui- même redevable à l’article prophétique de Vannevar Bush qui, dès 1945, envisageait un gigantesque système d’emmagasinage du savoir humain grâce auquel chacun pourrait interconnecter et annoter tous les documents susceptibles de l’intéresser. Dès avant l’apparition de l’ordinateur personnel, Nelson a cherché à réaliser le rêve de Bush au moyen d’un système informatique qu’il a baptisé Xanadu nom du palais de l’empereur mongol Ku Blai Khan, que Coleridge met en scène dans un de ses poèmes pour en faire la figure symbolique de la mémoire et de ses trésors accumulés.
l’aboutissement sous une forme libre. L’hypertexte permet de manipuler des données de toute sorte, et pas seulement langagières, tels des images, des sons et des séquences vidéo ou animées. Il permet aussi de moduler l’interaction du lecteur avec le document en prévoyant dans les “ objets ” présentés à l’écran divers types de réactions accordées aux mouvements effectués par le lecteur à l’aide de la souris. L’auteur du programme peut stipuler, par exemple, que tel mot va changer de forme ou de couleur lorsque l’usager en appro- che le curseur au moyen de la souris. Grâce à ces caractéristi- ques, l’hypertexte fait entrer l’écrit dans une forme radicalement neuve de “ dialogisme électronique ”, selon l’expression de Pierre Laurette. Plus encore que le livre, qui est susceptible de prendre bien des aspects, l’hypertexte peut déboucher sur des produits dont l’apparence et l’organisation interne pourront varier consi- dérablement. En fait, la techno-
Xanadu Le Xanadu de Nelson était censé déboucher sur un vaste système de librairie universelle que l’on a comparé à un McDonald’s de l’information dont les clients se rendraient dans des magasins franchisés pour consulter “ l’univers des do- cuments ” (docuverse), en effectuant des micropaiements pour chaque nœud d’information auquel ils accéderaient. En dépit de ses connotations mercantiles, le modèle de Nelson a exercé une profonde influence sur l’évolution de l’hypertexte, et l’on peut considérer que le réseau du Web en est
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CONTRE CULTURE
Christian Vanderdorpe
Hypertexte En informatique, la notion d’hypertexte désigne une façon de relier directement entre elles des informations diverses, d’or- dre textuel ou non, situées ou non dans un même fichier (ou une même “page”), à l’aide de liens sous-jacents. Grâce à une inter- face qui fait une large place aux éléments visuels et intuitifs, tels la couleur et les icônes, l’usager d’un hypertexte peut repérer les endroits d’un document où sont greffées des informations sup- plémentaires et y accéder directement à l’aide d’un simple clic de la souris.
Il existe de nombreux logiciels d’hypertextes. Parmi les pionniers, mentionnons Hypercard, Hyperties, KMS, Intermedia et Notecards. Depuis l’apparition du Web, on parle surtout, pour la gestion du texte en hypertexte, du puissant langage de nota- tion qu’est le SGML (Standardized Generalized Markup Language) et de ses dérivés que sont le HTML (HyperText Markup Language) ou, plus récemment, le XML (Extensible Markup Language). Pour la gestion d’environnements multimédias, on utilise entre autres Toolbook et Director ou, sur le Web, Java. Plusieurs taxinomies des langages hypertextes ont été présentées, notamment par Conklin et Halasz. Le cas le plus simple de sélection est celui où le lecteur choisit dans une liste ou détermine par une en- trée au clavier le bloc d’information qu’il est intéressé à lire. Les divers blocs d’information constituent autant d’unités distinc- tes entre lesquelles il n’y a aucun lien essentiel. Le lecteur est guidé par un besoin d’information très précis qui s’épuise dès qu’il a obtenu satisfaction. Ce modèle est typique du catalogue, où toute l’organisation est construite sur un principe d’expan- sion, chaque mot de l’index permettant un branchement sur une description détaillée. Le dictionnaire fonctionne également selon ce principe, mais chacun de ses articles peut aussi conte- nir des renvois à d’autres entrées : synonymes, anto-
« Le Xanadu de Nelson était censé déboucher sur (...) un McDonald’s de l’inforamtion» Christian Vanderdope
La théorie littéraire utilise aussi le terme d’hypertexte dans un tout autre sens. Ainsi, pour Gérard Genette, l’hypertexte désigne “tout texte dérivé d’un texte antérieur par transformation simple [...] ou par transformation indirecte” (1982, p.14). Dans ce senslà, Ulysse, de James Joyce, serait un hypertexte de l’Odyssée d’Homère. En fait, la notion d’hypertexte aujourd’hui courante, telle qu’elle nous vient de l’informatique et de l’utili- sation du Web, se rapprocherait davantage de celle d’ “ intertex- te ” proposée d’abord par Julia Kristeva et redéfinie par Michael Riffaterre comme étant “la perception, par le lecteur, de rapports entre une œuvre et d’autres qui l’ont précédée ou suivie”33. Mais il n’y a pas encore coïncidence, vu que l’intertexte, dans ce sens, est un fait de lecture, alors que l’hypertexte dont nous parlons ici est un construit informatique de liens et de textes, ces derniers correspondant à des fichiers ou à des parties de fichiers susceptibles d’être affichés dans des fenêtres de dimensions variables.
nymes, etc. La sélection peut encore s’effectuer dans la liste des pages que l’usager a déjà consultées à l’intérieur du document, au cours d’une même séance de travail. Elle peut se faire dans une table des matières ou à l’intérieur d’une représentation arborescente où les divers branchements sont accessibles à divers niveaux de hiérarchisation. Enfin, le mode le plus fréquent de sélection est offert par les “ hypermots ” dénotés par une couleur particu- lière et sur lesquels l’usager est invité à cliquer pour explorer le contenu qu’ils recouvrent. Appliqué à un texte d’une certaine ampleur, le principe de sélection est caractéristique aussi de l’hypertexte fictionnel, où chaque page-écran comporte plusieurs liens pontant vers d’autres pages, actualisant ainsi l’idéal borgésien des “ sentiers qui bifurquent ”. De même, dans le domaine de l’essai, on pourrait ima- giner que chaque bloc de texte serait suivi d’un certain nom- bre
Maquette fenêtres Windows. 1972
d’icônes, dont chacune correspondrait à une suite textuel- le possible en fonction des réactions anticipées de la part du lecteur, dans la mesure où l’auteur est à même de les prévoir. Après avoir lu un segment de texte donné, le lecteur pourrait sélectionner la “suite” la plus pertinente, eu égard à sa configu ration mentale du moment. Ce faisant, il serait obligé de s’en- gager activement dans sa lecture, ayant à faire des choix et à se prononcer pas à pas sur chaque section lue. Mais attention à l’explosion combinatoire! Si un bloc de texte ouvre sur trois choix et que chacun de ceux-ci en comporte également trois, nous aurons au troisième niveau neuf suites possibles au texte de départ, vingt-sept au quatrième et quatre-vingt-un au cin- quième. Il faudrait donc rédiger cent vingt et un textes pour qu’une suite de cinq paragraphes soit accessible en mode par- faitement “ libre ” et “ hypertextuel ”! En fait, il faut renoncer à l’idée que les choix puissent être ouverts à chaque niveau, sans quoi leur multiplication entraînerait le lecteur dans une dérive inexorable, tout en forçant l’auteur à explorer rigoureusement toutes les alternatives logiques à chaque point de son argumen- tation. D’ailleurs, la liberté apparente donnée ainsi au lecteur ne fait que renforcer la position souveraine de l’auteur, qui ap- paraît comme le maître de tous les dénouements possibles.
Selection et Association Le lecteur choisit l’élément qu’il veut consulter, mais peut également naviguer entre les blocs d’information en se laissant guider par les associations d’idées qui surgissent au fil de sa navigation et des liens qui lui sont proposés. Ce modèle est typique de l’encyclopédie. Sélection, association et contiguïté. En plus des mo- des précédents, les blocs d’information sont accessibles de façon séquentielle, comme le sont les pages dans un livre. Ce modèle convient à un essai ou à un article scientifique et sera notamment utilisé pour des adaptations sur CDROM d’ouvra- ges imprimés sur papier. Il correspond à une transposition simple du format codex au format électronique. À titre d’exemple, dans un essai comme celui de Marvin Minsky, The
Society of Mind, adapté en hypertexte, le lecteur peut choisir de sélec- tionner un titre dans la table des matières, chercher un mot dans l’index ou circuler d’un chapitre à un autre ou d’une page à une autre. Le mode de la contiguïté n’est intéressant que si les différentes pages d’un document sont censées se lire dans un ordre déterminé — comme c’est habituellement le cas pour le livre. Sélection, association, contiguïté et stratification. En plus d’être accessibles par les modes précédents, les éléments d’information peuvent être distribués en deux ou trois niveaux hiérarchisés selon leur degré de complexité, ce qui permet de répondre aux besoins de diverses catégories de lecteurs ou de satisfaire, chez un même lecteur, divers besoins d’information. Ce modèle d’hypertexte combine au maximum les avantages du codex avec les possibilités
placé devant une masse de concepts interreliés qui peu- vent ne pas lui être tous connus. C’est aussi le cas pour le manuel technique, dont l’usager peut à tout moment souhaiter consulter des informations complémentaires sur un élément particulier. Ces quatre modes de déplacement pourraient également être utilisés conjointement dans l’édition électronique d’une œuvre donnée, en ouvrant de nouvelles perspectives à l’édition critique pratiquée sur papier. Le fil principal de lecture serait alors consti- tué par la version finale du texte, surplombant les strates des ver- sions antérieures, que le lecteur pourrait aussi choisir d’afficher en parallèle. On accéderait aux différentes pages du texte par contiguïté ou par sélection dans une table des matières. Enfin, les commentaires, notes et illustrations seraient accessibles par connexité ou par liens
sèdent déjà les connaissances de base et qui veulent en savoir plus. Travaillant sur un dispositif capable de jouer sur la pro- fondeur et non plus seulement sur la surface de la trame discur- sive, le rédacteur d’un hypertexte tabulaire doit accorder le plus grand soin à l’établissement des différentes strates et au partage des informations entre le niveau de base et les strates complé- mentaires. Ces choix varieront suivant le type de texte et le public cible. Selon les cas, les niveaux d’informations seront départagés en fonction d’un axe concret/abstrait, d’un clivage entre récit et documents, ou entre texte savant, données expérimentales et ouvrages de référence, ou encore entre texte didactique, exem- ples et exercices, etc.
« En plus d’être accessibles par les modes précédents, les éléments d’information peuvent être distribués en deux ou trois niveaux hiérarchisés selon leur degré de complexité» ouvertes par l’ordinateur, notamment par la prise en compte d’une nouvelle dimension du texte, qui est celle de la profondeur. En superposant diverses “ couches ” de texte sur un même sujet ou, selon une autre métaphore, en satellisant autour d’un noyau central divers documents complé- mentaires dont les usages sont bien définis, un hypertexte strati- fié offre en fait plusieurs livres en un seul. À titre d’exemple, l’usager d’un tel hypertexte pourrait se déplacer dans une fenêtre principale où il ferait tourner des pages, tout en ayant la possibilité d’ouvrir en parallèle une ou plusieurs fenêtres secondaires offrant un discours plus théorique ou, au contraire, plus vulgarisé. Il existe bien des domaines où il est souhaitable de pouvoir jouer sur une structure de ce type, à double ou triple strate, offrant un discours de base et des fenê- tres concurrentes accessibles sur demande. C’est le cas par excel- lence pour les situations d’autoapprentissage, où l’apprenant se trouve
associatifs. En raison de la richesse et de la diversité des liens ainsi proposés au lecteur, nous appellerons ce type idéal de réalisation un hypertexte “ stratifié ” ou “ tabu- laire ”. La réussite d’un outil de ce genre dépend évidemment de la cohérence et de l’intérêt de la strate de base. Si celle-ci est relativement facile à déterminer dans le cas d’une édition critique, il n’en va pas de même pour d’autres documents. Dans un manuel visant un public diversifié, il y aurait lieu d’établir les diverses strates d’informations que celui-ci devrait contenir.
Ted Nelson
En règle générale, il ne semble pas souhaitable de conce- voir plus de deux strates complémentaires au niveau de base. Une multiplication de celles-ci engendrerait une prolifération des types de renvoi, et la lecture deviendrait vite un casse-tête.
La strate de base contiendra évidemment le fil principal du texte, constitué d’infor- mations minimales et d’un niveau de difficulté moyen. À chaque page où le besoin le justifie, des hypermots permettraient d’ouvrir une ou deux fenêtres complémentaires : une fenêtre “ profane ” à l’usage des usagers qui n’en savent pas assez pour comprendre le propos principal, une fenêtre “ expert ” à l’intention de ceux qui pos-
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OPEN SOURCE
Du Papyrus The Success à l’Hypertexte of Open Source
Hakers
Christian Vanderdorpe Steven Weber
Steven Levy
1999 2004
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Explication de la création d’un type particulier de logiciel open source dans l’organisation sociale autour d’une notion distincte de la propriété. La notion classique de la propriété est le droit de vous exclure quelque chose qui m’appartient. La propriété en open source est configuré autour du droit de distribuer, non celui d’exclure.
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l s’agit d’un livre sur la propriété et la façon dont elle sous-tend l’organisation sociale de la coopération et de la production à l’ère numérique. Je veux dire «pro-priété» dans un sens large, non seulement qui possède quoi, mais ce que cela signifie quelque chose de propre, quels sont les droits et les responsabilités de propriété confère, et où les idées viennent et comment ils se propagent. C’est une histoire de la façon dont l’organisation sociale peut changer le sens de la propriété, et à l’inverse, comment déplacer les notions de propriété peut modifier les possibilités d’organisation sociale. Une grande partie de la programmation novatrice qui alimente l’Internet, crée des systèmes d’exploitation, et produit des logiciels est le résultat de «open source» du code, c’est-à-code qui est distribué gratuitement - au lieu d’être gardée secrète - par ceux qui l’écrivent. Laissant le code open source a généré quelques-uns des développements les plus sophistiqués de la technologie informatique, y compris, notamment, Linux et Apache, ce qui pose un défi de taille pour Microsoft sur le marché. Comme Steven Weber discute, le succès de l’open source dans un secteur hautement concurrentiel a subverti de nombreuses hypothèses sur la façon dont les entreprises sont gérées, et comment intellectuelle produits sont créés et protégés. Traditionnellement, le droit de la propriété intellectuelle a permis aux entreprises de contrôler les connaissances et a gardé les droits de l’innovateur, au détriment de l’industrie à l’échelle coopération. À leur tour, les ingénieurs de nouveau code de logiciel sont richement récompensés, mais, comme We-
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ber montre, en dépit de l’idée reçue selon laquelle l’innovation est tirée par la promesse de la richesse individuelle et collective, d’assurer la distribution gratuite de code parmi les programmeurs peuvent donner une plus processus efficace pour les produits de construction intellectuelle. Dans le cas de l’Open Source, des programmeurs indépendants - parfois des centaines ou des milliers d’entre eux - des contributions impayées à un logiciel qui développe organiquement, par essais et erreurs. Weber affirme que le succès de l’open source n’est pas une exception monstrueuse des principes économiques. La communauté open source est guidé par des normes, des règles, des procédures décisionnelles et mécanismes de sanction. Weber explique les dynamiques politiques et économiques de cette évolution du marché mystérieuse, mais important. Appliqué à un texte d’une certaine ampleur, le principe de sélection est caractéristique aussi de l’hypertexte fictionnel, où chaque page-écran comporte plusieurs liens pontant vers d’autres pages, actualisant ainsi l’idéal borgésien des “ sentiers qui bifurquent»
Ce classique de Steven Levy explique pourquoi l’utilisation abusive du mot «hackers» pour décrire les criminels informatiques fait un très mauvais service à de nombreux hakers importants de la révolution numérique.
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evy suit les membres d’un club de modélisme ferroviaire MIT un groupe de brillants ingénieurs en herbe électriques et informatiques innovateurs - depuis les années 1950 au milieu des années 1980. Ces personnages excentriques utilisé le terme «hack» pour décrire une façon intelligente d’améliorer le système électronique qui géraient leur chemin de fer massif. Et comme ils ont commencé à concevoir des moyens astucieux pour améliorer les systèmes informatiques, «hack» déplacé au-dessus d’eux. Ces caractères non-conformistes étaient souvent fanatiques qui n’ont pas toujours se limitent à la lettre de la loi et qui se sont consacrés à ce qui est devenu connu sous le nom «l’éthique hacker». Le livre retrace l’histoire de pirates, de l’accès à finagling maladroit ordinateur à perforer les cartons machines pour dévoiler les secrets les plus intimes de ce qui allait devenir l’Internet. Cette histoire de gens brillants, excentrique, imparfait, et souvent drôle dévoués à leur rêve d’un monde meilleur va plaire à un large public. M cCarthy était l’une des quelques personnes qui travaillent dans une forme entièrement nouvelle de la recherche scientifique avec les ordinateurs. La
« La communauté open source est guidé par des normes, des règles, des procédures décisionnelles et mécanismes de sanction. » Steve Weber
nature volatile et controversée de son domaine d’études était évident dès l’arrogance même du nom que McCarthy avait accordé à l’: Intelligence Artificielle. Cet homme fait penser que o rdinateurs pourraient être intelligents. Même dans un tel lieu de science-intensive que le MIT, la plupart des gens ont considéré l’idée ridicule: ils considérés comme des ordinateurs pour être utile, si peu absurdement cher, des outils pour aligner des chiffres calculs énormes et pour la conception de systèmes de défense antimissile (comme le plus grand ordinateur du MIT, l’Whirlwind, l’avait fait pour le système d’alerte précoce SAGE), mais s’est moqué de l’idée que les ordinateurs eux-mêmes pourraient effectivement être un domaine scientifique de l’étude, l’informatique n’a pas d’existence officielle au MIT dans les années cinquante, et McCarthy et ses collègues spécialistes de l’informatique a travaillé dans le département de génie électrique, qui a offert le cours, n ° 641, qui Kotok, Samson, et quelques autres membres TRMC pris ce printemps. McCarthy a lancé un programme de mammouth sur l’IBM 704 - le géant trapu - qui lui donnerait la capacité extraordinaire dejouer aux échecs. Pour les détracteurs du domaine naissant de l’intelligence artificielle, ce n’était là qu’un exemple de l’optimisme crétin de gens comme John McCarthy. Mais McCarthy avait une certaine vision de ce que les ordinateurs pouvaient faire, et jouer aux échecs n’était que le début.
UNDERGROUND
The Making of Counter Culture Theodore Roszak 1969
Skinhead Nick Knight 1982
England’s Dreaming Jon Savages 1991
Spécial Beat Generation Sur la Route Jack Kerouac 1957
Howl Allen Ginsberg 1955
Le Festin Nu William Burroughs 1959
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la société est ce qui constitue le moteur de la contre-culture. La frange contreculturelle « non-politique » (hippies, bohèmes, etc.) a un intérêt marqué pour les cultures orientales. Cet intérêt réside en partie dans la recherche constante d’une sensibilité qui aurait été perdue au contact de la société technocratique. La philosophie orientale offre cette ouverture, cet éveil à la sensibilité en plus de donner une base philosophique à la contre-culture. La recherche constante de la libération de la pensée va s’affirmer d’une manière peut-être plus puissante dans l’utilisation massive de drogues. Otaeritat experem volut que nim etusandis es reprepe rcipsae ero tendis dolentur ariatem libus eruptatur.
Vers une ContreCulture Theodore Roszak 1969
Narcotiques Dans son livre « Vers une contre-culture », Roszak analyse les fondements, les revendications et les appuis philosophiques et spirituels de cette contestation qu’est la contre-culture.
P
our Roszak, la contestation de la jeunesse des années 1960 est un rejet massif, puissant et surtout systématique de la société technocratique qui est la notre. Une société technocratique pense et régit l’univers social, politique et culturel, en termes techniques, scientifiques, rationnels et logiques. La toute-puissance de la raison, décrite par ce que nomme Roszak « le mythe de la conscience objective »1 englobe la réalité, nie et discrédite systématiquement tout ce qui « nonintellectuel », que se soit les sentiments, toute forme de mysticisme, de sensibilité, etc. Pour lui, bien que ce rejet soit celui d’une frange minoritaire de la jeunesse, il est si profond qu’il tend à constituer un autre mode de vie, une autre culture, en bref, une véritable « contre culture ». Mélange de courants contestataires aussi variés et divers que la Nouvellegauche politique, courants bohèmes, hippies ou communautaires, la contreculture se cristallise toutefois dans la recherche commune d’une forme d’éveil de la conscience, une sorte de sensibilité qui aurait été désintégrée par la puissance de la technocratie, de la raison et de la pensée scientifique. Aux États-Unis, au niveau politique, la contre-culture s’exprime notamment dans l’établissement d’une Nouvelle gauche politique. Le renouveau de la critique du capitalisme ne passe plus seulement par une simple critique du système économique mais par une critique virulente des systèmes qui l’articule qu’ils soient l’État, la famille ou l’École. La Nouvelle-gauche s’oppose à la société technocratique et réclame « le contrôle local du processus politique, l’accessibilité des institutions politiques et sociales et la démocratie.
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Theodore Roszak
Il est le jeune américain, avec leur origine radicale sous-développé, qui semblent avoir compris plus clairement le fait que, bien que de telles situations d’urgence immédiats comme la guerre du Vietnam, de l’injustice raciale, la pauvreté et la demande hard-core beaucoup de style ancien la politique politicienne, la lutte primordiale de nos jours est contre un bien plus redoutable, parce que beaucoup moins évidente, l’adversaire, à qui je donnerai le nom de «la technocratie» - une forme sociale plus développée aux Etats-Unis que dans n’importe quelle autre société. Le jeune Américain a été un peu plus rapide à sentir que dans la lutte contre cet ennemi, les tactiques classiques de
Pour Roszak, il est incontestable que l’utilisation de drogues psychotropes permet d’ouvrir d’autres voies de la conscience. L’utilisation des drogues permet à l’individu de s’affranchir du joug de la pensée technicienne. S’ajoute à cette libération de la conscience par voie psychédélique une forme de mysticisme religieux. Mêlée aux influences orientales, la voie psychédélique devient un rite solennel religieux. On doit à l’américain Timothy Leary cette conception extrêmement influente de l’utilisation de la drogue comme le moyen d’atteindre un univers mystique, essentiel pour la révolution contre-culturelle. L’écrivain utopiste et anarchiste Paul Goodman va considérablement influencer la pensée contreculturelle. Homme de pensée et d’action, Goodman propose dès le début des années 1960, « l’abandon massif des universités et la création de nouvelles universités dissidentes ». 3 C’est surtout le communautarisme issu de la pensée de Goodman qui influencera durablement la pensée contre-culturelle en Amérique. D’autres penseurs, poètes et écrivains, comme Herbert Marcuse, Allen Ginsberg, Norman O.Brown, ou Allan Watts vont influencer considé-
« Pour T.R, bien que ce rejet soit celui d’une frange minoritaire de la jeunesse, il est si profond qu’il tend à constituer un autre mode de vie, une autre culture, en bref, une véritable contre culture. » Pour Roszak, le sentiment d’aliénation qui caractérise toute la contre-culture et cette Nouvelle-gauche n’est plus simplement un sentiment d’aliénation face à un système capitaliste qui serait englobant mais un sentiment d’aliénation de « l’homme par rapport à l’homme ». Ce sentiment d’éveil, de recherche constante d’une conscience écrasée par
Jeunesse Américaine
rablement la pensée contre-culturelle américaine.Oditatus aliquae. Net ea percili strume pe nam fugitae remoluptatum doluptur a delias ute velenet lit que voloritat fuga. Ut at im quiaeprate et explit idebition rerum dolut ommolo cullitatende none cus plaut omnis doluptam et volut laborrorecae ommodita sus, simpel moloribea neceper iosantis
Paul Goodman
résistance politique n’ont qu’une place marginale, essentiellement limité à la satisfaction immédiate de vie ou de mort crises. Au-delà de ces première ligne les questions, cependant, il se trouve la plus grande tâche de modifier le contexte culturel total dans lequel notre politique quotidienne a lieu. «Un des grands comptes de la contre-culture qui a été écrit au cours de son point culminant, le livre Roszak aujourd’hui devrait être lu comme participant à une mutation capitale dans la pratique politique de la gauche américaine. Comme Michael Szalay et Sean McCann ont polémique fait valoir, la contre-culture a remplacé traditionnelle activité politique / opposition à une critique ou de vol de «The System.» Different classe, de race , le sexe et les groupes culturels pourraient être unis en opposition ou en tant que victimes de la vague fourre-tout terme du système. Szalay et McCann sont particulièrement hostiles à cette évolution, mais dans une perspective plus sympathique mettrait l’accent sur l’élargissement de la notion de l’ politique ou la création d’un front stratégique opposition à travers la nomination d’un adversaire (imaginaire). Dans ce livre,
Manifestations contre la guerre du Vietnam, Washington, 1967
Roszak définit la contre-culture en tant que jeunes, blancs, les individus de la classe moyenne qui ont «décroché» de la position sociale leur ont été confiées. Alan Liu a souligné que Roszak néglige de tenir compte de quelque chose comme une «sous-culture», qui comprendrait les personnes marginalisées vraiment forcé «en dehors» de la culture dominante. Liu révise Roszak en affirmant la contre-culture s’imagine être en dehors de la société en général en s’appropriant ce qui concerne la sous-culture de cette société. C’est-à-dire, la contre-culture est une relation à une relation. Roszak soutient la contre-culture a émergé en réponse à la montée en puissance de l’Amérique «technocratie», le système d’institutions et d’experts de la société des forces d’adhérer à des impératifs d’efficacité, de rationalisation, de la planification et de la nécessité. Tout au long du livre, la technocratie (comme le système) reste un terme flou. Roszak a été fortement influencé par Jacques Ellul, The Technological Society, mais le terme s’appuie également sur le nombre de débats des années 40 et 50 au sujet d’une «révolution managériale.» technocratie ne dépend pas de toute idéologie politique ou économique, et peuvent également servir le capitalisme et le communisme ( James Burnham fait une remarque similaire beaucoup plus tôt que la «révolution managériale» avait dépassé à la fois les Etats-Unis et l’Union soviétique, et il ya aussi des échos de John Kenneth Galbraith sur la technostructure et Daniel Bell sur le post de la société industrielle). Technocratie En conséquence, la politique selon Roszak n’a qu’un impact limité sur la technocratie:. elle tend simplement à changer qui conduit la technocratie, pas la technocratie elle-même. Il admire la jeunesse de la contre-culture pour développer un mode de vie qui produit une opposition et alternative à la technocratie, mais il trouve la contre-culture en général trop enfantin et manque de réflexion intellectuelle sur elle-même (sa révolution spontanée appelle à une théorisation plus philosophique). Roszak est particulièrement critique de la dépendance de la contre-culture de drogues psychédéliques et sa fascina-
tion pour le mysticisme, mais il trouve à la fois une objection valable à la technocratie et les grains de forme non technocratique de la vie . Conscience Objective Les derniers chapitres qui attaquent la «conscience objective» et la promotion de la préservation de mystère et de «magie» sont faibles et sans originalité (combien de milliers de critiques de la science ont été écrits au siècle dernier?), et donc difficilement lisible. Que beaucoup de l’centralisée , les institutions bureaucratiques de la technocratie ont été remplacés par des dispositifs décentralisés, les réseaux souples de contrôle dans les années qui ont suivi livre Roszak devrait nous faire savoir si la technocratie a disparu ou si
Ad ut aut libus et re venisquos volore cust harunt, cus dolupta spelignis essit am quis ab ipsanti onsequuntur mostiun tibusda es et est hillupti dolestrum consed quam voluptum ipsam senis dundist veligen tenienducias iusam fuga. Namus et, omnihil luptatem fugiasperio volorib ustias dolor simaximus, ullam etur aut uteces volorporum venducia porerum everiti odi quidelique perrunto et harumendis ut quae volut ium re si dolorro eatem si conem rat. Lam eosanduntem ea natetur eriaeptat et alist, ommolup taturiassi voloribusam quisto verum que parchilit, cullecti cum harit aut plautatur? Quia vid quidipitem ex el ipiet optae enisciis remqui occum quam ra nonetur aut at ra eatus aut que vellaboria dolecto taspernam, solupta suntiaecatur a si alis aliquas exped quam, secturia culluptati quias
« La technocratie ne dépend pas de toute idéologie politique ou économique, et peuvent également servir le capitalisme et le communisme. » Théodore Roszak
sa fonction - contrôle - a simplement été transférée à d’autres instruments qui ne sont plus capables de incorporant la contre-culture? Enihillabo. Ut adigent praecum sequodis eos nis peligen denimendae. Oluptaq uaturita volum lab iundellanda veliciaeptat experescimet rehenisto volor am doloria etur, ut volupta volupie niamet quidus, officat alibusapere nullend aeptat. Ugitaerum laborestibus dolore invelle ctaepta aliae. Pient eost, te ma volupta tatur, officit atibusdae istrum quaeceat acim net aut hil ilic te modi rem num ad ese nis se prorporit, es poreserum ne pre solore nonet eos eos ut autem et quati as maximet id magnam venim aut arum fugitem rerum imo mil ipsam, ut eate illabor sed mo eaquistio quostrum aliquas ium explit el eosapis sum sit utem remporr oriatur audist autemqui rem si re veniscipsant inum quis vollacea sam que que poremquas magnis eatem si dolupta nis volorer natassinis sequas eius derro con nonsed qui utam
Sim faccabore nobisto tatiumet que pellendantis dolescia verumqu assunto tatempo ribust, que aut fugit voluptati core sus mos moditio rernatemolor maxim fugia vendis eserum qui vent quis ex etur? Cius nonsenimos atescia veres doluptat eumendus doluptate volutatur, sim et qui doloreh endenda voloreh enihil is qui tem audio quistiuntet hilignihilit es rercia doluptatus necabor epudae qui nume doluptat isqui quid quasperciam harum reped quo optae magnati vero incid etus con non re consequia veribus tionsequam. Tut ate et quos quam ab ipsam serunto odicili gendusc iistioria sit eossimeniam expereperae prem voloreperum labo. Nam qui temodiatusam sequamet iminull estota quost faciliquod quam, officiae porroria venem hariti ut eosto dit aut earciis ex ero int abore voluptat excesto tem fuga. Nequiant perunt quia quiae nataturis quatem faccum audae. Rate velisque aut quo verrumetur ali-
Archilia quatem el molorporrume doles am asimus aliti tem cum iundita turitin ctendandit quaepudi doloria sincias sequam esequunt ma con explaut arionemquis nus est dolor at landi omnimporere pel isti adisimus ne quis dicatem aut eictus conse pliat qui occusam volorpo rrorro et opta quas repe pori odis magnatem inulpa auta dolupic tatur, et ute de nos solupta num volorrum is volorest ex experum sam expliae nis mi, si omnis aperia vellore hendit quasiti ommostius maionsecumEhentiur, quis nam quo blaut res ius rerum quo consequo quamusa nimporro.
Rebellion Dunt ommos voluptat eniminc illore non rehenit incipidelis coritatque dolor reribusdae nobit et volupta non num rem. Pidis esendam restiora ipsametum est quo inullam vel ium coriae. Et quae sus doluptae est apienet volor ratempo sandame et repe pore poreribus, a porepe re et qui volorecea doloremqui ut rendae pro maiorendant, volut alibus velicidem faccus nones que eos enducim ilignim olorectiatio moluptur repudis eatus re, sum et velendi. Nequia que is nonsequodi venimus, qui ipsam, volorum harchic teserchiti quam experibus volor aditae vitatiae nihic tem sequo voluptatur? Empe estionsedis sed quossequi autem eosant in nos et, omnitio quas int aut pre, sundae offictem et voluptae reicabo rerunt elliber ibusandebit fuga. Dam is es moluptaernam aut as dolluptati que magni qui tet asperibus debis doluptatat. Everrum il int rem vent et modis exerfer orpore occulla int, sin endisi idus etus ad magnihilia dolorpore plati vero ius arunt ut latiore dolore, omnist quiae re cus simus vollore nobis aut facea del is quia cusam, si imus non cum ad et quunt as cum etur andempore nis quuntio. Bore perum quatem exerrum lautatemolo ipis estrum quam ipis nobit ut officipsam, vel magnat maximus, occus, vellabo. On raesciur siti qui dis debitio eum vendipsa dolupta tatur, enient alignimus, omnihici adi digenda doluptate quost et, sequamust lam, cullibusam litat aut faccatur ad quo tor aut aris et fuga. Uptatus et aut que pere, suntis duntio. Am idio. Pa alitatiae cum quidenimet aliquam esedita dolo eatem autem. Ut et molore cus sum con nulpa volupta tiisquidesci nobit fuga. di ut pre sequatem fugit quos?
CONTRE CULTURE
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UNDERGROUND
bablement la meilleure histoire visuelle que nous avons de la oi! et le punk influencé renaissance skinhead.
Skinhead
Numéro un des cultures, vestes, bretelles vol usées dans de nombreux cas. Il ya bien quelques photos de jeunes filles, aussi, et tout ce qui peut être un peu misrepresentative du nombre de filles réellement impliqués, ils ne sont certainement mignon et vous ne pouvez regarder autant de mecs chauves exhibant leurs lacets de contraste de toute façon. Les photos sont prises dans une variété de paramètres: oi! concerts, sale prospectifs ruelles, les maisons des sujets. Ils ont tous un grain convenablement, la qualité graveleux qui fonctionne très bien, et beaucoup sont pris en closeup, avec des lentilles grand angle qui donnent une sensation littéralement dans-ta-face et de confrontation.
Nick Knight 1982
Nick Knight retrace l’histoire des skinheads de leurs origines dans les sixties jusqu’au revival du milieu des années 70. Le livre est organisé autour de ses clichés pris dans l’East End, qui dresse un portrait représentatif de la génération skin du début des années 80.
I
l y a pas mal d’aprioris négatifs sur le mouvement skinhead, à tort ou à raison. Les skins ne sont pas tous racistes (ça serait trop simple), les skins ne sont pas tous violents, les skins ne sont pas tous politisés. Pourtant chaque groupuscule affirmera être le détenteur de l’essence skinhead. Les redskins (communistes) prétendront être les plus proches de la pureté des origines : les rude boys étaient proches des jamaïcains et engagés à gauche. Les boneheads (tendance fasciste) affirmeront qu’ils représentent la tendance actuelle du mouvement skinhead, et qu’ils n’ont pas perdu de vue le côté violent et sans concession qui fait d’eux des skins. Les apos (apolitiques) eux restent fidèles à la musique qui leur parait plus importante que la baston. Si on ajoute à ces 3 tendances majoritaires, les rude boys, les skas, les skunks, etc… l’arbre généalogique commence à devenir complexe. Je dégagerais 3 points de fascination (en tant que public) dans ce mouvement : Le look clairement défini : doc martens, cheveux courts, et surtout les coupes des skinettes (courts, frange, et méches sur le devant des oreilles) que je trouve sexys, les bretelles qui tombent, le jean relevé, les chemises ben sherman, puis selon l’obédience politique : Fred Perry, Bombers, Lonsdale… La musique : que ce soit la Oï sans concession, ou le ska, jovial et planant, La violence. Les skins sont sans concession, quelque soit leur appartenance, ce qui prévaut c’est leurs idées. Et pour mettre les idées en pratique, il faut de l’action, quitte parfois à se bastonner. Nullabo. Ut quae dipsumetus si natur.
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Si vous n’êtes pas au courant, Skinhead est l’un des deux textes les plus connus et le plus autorité sur la sous-culture skinhead britannique (l’autre étant bien sûr Esprit George Marshall sur 69), mais il est important de souligner que les deux livres ont été écrits au cours et après la fin des années 70 le réveil, et non pendant la période des années 1960 original qu’il est principalement occupé avec. En cas de Knight qui est un peu plus problématique, mais plus sur cela plus tard. Photo-Journal Le livre est d’abord décrit comme un photojournal, et en effet près de la moitié de ses quelque 100 pages sont élégants en noir et blanc des photos de - quoi d’autre - peaux. Les images sont uniformément excellents. Presque tous sont posées, mais les sujets semblent très naturelle et confortable, ce qui est une nécessité absolue dans un livre photo couvrant une culture de la jeunesse. Ces 50 ou si les photos sont pro-
Violence Je vais être franc: quelques-uns des sujets photographiques sont évidentes membres du Front national (racistes, plus ou moins, pour ceux qui ne connaissent pas), mais quelques choses sont importantes à garder à l’esprit. Tout d’abord, bien que les peaux nonracist/non-political certainement plus nombreux que les peaux NF à ce point
une frénésie médiatique au sujet des skinheads qui les dépeint comme tous les racistes violents, et non seulement qui attirent plus de types de confrontation à la sous-culture, mais même les anti-racistes types serait, par exemple, souvent moqueur Seig heil un appareil photo juste pour mettre de l’huile sur le feu. Si cela vous semble confus, c’est parce qu’il fut une époque turbulente pour la classe ouvrière en Grande-Bretagne et ces enfants ont bien souvent confus. Comme un point final, les photos Skinhead ne sont certainement
« Les photos Skinhead ne sont certainement pas compilé à partir d’un point de vue racial. Il y a aussi d’autres photos de peaux noires et des types bien plus traditionnels. » dans le temps (et sans doute encore), ils ont toujours constitué une minorité importante, et un livre avec le titre fourre-tout Skinhead devrait, je pense, être obligé de les inclure.
pas compilé à partir d’un point de vue racial. Il ya aussi des photos de peaux noires et des types traditionnels.
Deuxièmement, il est essentiel de comprendre que, dans la période où ces photos ont été prises (1980-1981) l’adhésion NF était autant un effet de mode esthétique qu’autre chose. Cela peut sembler étrange, mais il y avait
Déclin et Renaissance En plus des photos, cependant, il ya plusieurs sections écrites sur la culture skinhead. L’plusieurs premiers sont écrits par Knight lui-même, et couvrent un large éventail de sujets, chacun sous une rubrique importante en gras: Origins, robe, cheveux, musique, comportement, Autorité, Déclin et renaissance. La plupart sont d’une page ou deux de long, et qui est normalement là que ce livre est sous le feu. Pour une raison quelconque, les gens semblent penser que ce livre se présente comme la fin de tout source sur la culture. Il ne fonctionne pas et il n’est pas. L’information présentée est très bon de toute façon, si. Ce livre, cependant, est la source la plus fiable existant sur la robe et le style skinhead, et sur ce point il est un trésor absolu de l’infor-
mation. Culture skinhead a toujours été premier défilé. Rien ne sert de le nier, et avec un tel regard vif et intelligent, qui voudrait de toute façon? Il y avait en effet des facteurs unificateurs nouer les peaux à l’autre (qui est la classe ouvrière, les goûts musicaux généralisées), mais comme des sectes les plus jeunes britanniques, skinhead était axée sur le style, l’idéologie à la traîne. Dans cette veine, et à mon humble avis, la partie la meilleure et la plus importante du livre est intitulé «Fashion Notebook Jim Ferguson», et une description détaillée des principaux éléments de style skinhead dans l’original 1967-1971 période. Il ya une tonne de photos et de schémas illustrés, en prenant le lecteur à travers l’armoire skinhead de 8-yeux SM, crombies, Bennies, Sta Prest-pantalons, trilbies, Fred Perrys, brogues, et ainsi de suite et ainsi de suite. Des notes détaillées accompagnent chaque entrée, ainsi que de grandes taille d’une page des photos illustrant l’évolution de la mode skinhead que les années ont passé (chacun est intitulé «1968-1969», «1969-1970» et ainsi de suite). Ces diagrammes sont fascinants. Vous voyez le plus lâche, plus grunge regard des premiers «hard mods» évoluer vers la plus intelligente, plus propre regard le
prises dans les années 80 au début des années oi! Axée renaissance. C’est une différence assez notable dans le style. Vous ne voyez pas beaucoup de oi! peaux dans des mocassins Loake, cardigans, costumes et toniques. Dans une certaine mesure c’était des mains de chevalier, car il avait environ 10 ans à l’époque d’origine skinhead, et un certain nombre de photos décevante petite ont survécu à ce moment-là de toute façon. Mais l’écriture se sent toujours en décalage avec les photos, et il aurait été bien si chevalier avait donné oi! et le punk plus d’une mention en passant à la fin de ses sections écrites, en particulier compte tenu de la nature axées sur la mode de l’ouvrage dans son ensemble. Il faut également souligner que dans les années 60 original ère ceux relevant de la culture n’aurait jamais se considéraient comme des «skinheads», comme c’était juste un des nombreux termes de dérision utilisés par d’autres. A cette époque, ils se considéraient comme des «mods» (généralement dans le nord de l’Angleterre), ou plus généralement, ne pas appliquer une étiquette à tous.
thousiasme a tendance à expiration en même temps que l’adhésion». J’ai rejoint le BM, «un skinhead m’a dit.» Pour la fissure, comme. Mais ils sont allés sur lestre skinheads ne sont pas plus nombreux ou conscient de soi qu’ailleurs dans les cours d’eau larges de la parole classe ouvrière blanche. Cela ne veut pas dire que ce genre de racisme n’est pas dangereux. Mais elle donne à penser que le racisme est trop profon-
dément ancrée dans toute l’expérience de grandir classe ouvrière à la seule responsabilité des peaux. « En attendant le stéréotype skinhead / NF sert un large fonction. C’est une forme de bouc émissaire libérale non moins mal inspirée que le« raisonnement »(exercée par certains membres de la presse) qui convertit chaque garçon noir dans un agresseur. »
Plus tôt dans la revue je l’ai mentionné culture skinhead étant principalement axé sur la mode, l’idéologie étant presque une pensée après coup. Si cela est vrai, l’idéologie de certains skinheads (boneheads NF) bien sûr
« En attendant le stéréotype skinhead / NF sert un large fonction. C’est une forme de bouc émissaire libérale. » Nick Knight
plus étroitement associé avec des peaux classiques maintenant, et à Suedehead et lisse. Ce n’est pas un compte rendu exhaustif de la mode tout entier, mais il ne couvre toutes les bases et beaucoup de non-les bases. Comme je l’ai dit il ya quelques omissions. Mais si vous voulez entendre parler de vestes singe, Verts Jungle, chèques vitre, et d’autres éléments plus idiosyncrasiques de l’apparence, que l’information est tous disponibles en ligne si vous savez où chercher. Mais dans l’ensemble, les notes de Ferguson sont un enfer d’une ressource, même si on me dit la jeune fille garçon manqué coup d’oeil sur la page de 1969-70 est tout à fait anachronique.
Erreur En parlant d’anachronisme, cependant, m’amène à mon seul gros problème avec le livre. La plupart des sections écrites donner un compte rendu détaillé de la mode des années 60, mais les photographies ont été
mérite d’être mentionné dans un livre qui illustre la culture telle qu’elle était. La dernière partie de Skinhead je n’ai pas encore parler, c’est un excellent article de Dick Hebdidge intitulé «This is England! Et ils ne vivent pas ici.» Hebdidge donne une analyse sociologique des fondements idéologiques du mouvement skinhead, perpétuant la tradition ainsi que le côté crétin. Il réduit les motivations d’un skinhead à deux thèmes principaux: «faisant foi» et «être britannique». Il examine ensuite comment et pourquoi les différents groupes de peaux différentes interprétations construites sur ces thèmes, brisant au loin dans la droite, à gauche, et le centre de l’échiquier politique. Il s’agit d’un compte à puce, savante, et bien écrit, et probablement l’article le plus équilibrée, mais inébranlable que j’ai lu sur le sujet. Pour ceux qui cherchent un aperçu des facteurs psychologiques conduite du mouvement et de ses aspects laids, je dirais que c’est le texte essentiel. Un extrait: «Certains des skinheads que j’ai rencontrés avouent avoir« vécu »l’un ou l’autre des parties de l’extrême droite, mais, après un engagement bref, l’en-
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flétait un noyau de mécontentement et le ressentiment accumulé à la fin d’une décennie qui a vu l’introduction de la semaine de 3 jours en Grande-Bretagne, les grèves, la hausse du chômage et l’effondrement des services publics. Collection Rêver L’Angleterre fournit l’occasion d’examiner de plus près une période désormais reconnue comme un point crucial en Colombie histoire du XXe siècle sociale.
England’s Dreaming Jon Savages 1991
Sex Pistols
Pendant 1976 et 1977, le punk a rassemblé des stylistes originaires de banlieue, des victimes de Bowie, des radicaux endurcis des années 60, des gays hommes et femmes, des artistes, des parias de toutes les classes sociales. Ce n’étaient pas seulement les groupes en euxmêmes : le pouvoir qu’ils avaient venait de leur public.
L
e punk ne reproduisait pas les modes dominantes des beaufs : le sexe hérétique et la politique du genre étaient les clefs de son impact original. Soudain, vous n’aviez plus à rester seul. Vous vous immergiez. Vous preniez du bon temps en passant un mauvais moment. Vous étiez plein de poison. Vous attaquiez la génération de la Seconde Guerre mondiale : tout ce qu’ils ne pouvaient pas exprimer, vous le leur jetiez au visage, la lèvre supérieure bien raide laissant place à un regard vide et un geste violent. « Donnez-nous la Troisième Guerre mondiale que nous puissions revivre. « C’étaient des trucs durs, qui disaient à l’Angleterre ce qu’elle ne voulait pas entendre. Le punk exigeait une implication que beaucoup de fans de la pop et autres obsédés n’étaient pas prêts à assumer ; et, en vérité, les dangers d’une telle esthétique sombre commencèrent à s’exprimer en nombres de morts, en dépendance aux drogues, en cynisme un nuage noir qui en a hanté beaucoup depuis. Il y avait cet horrible élan vers la destruction tête la première, conscient de lui-même : « vous pouvez toujours dire «, chantaient les San Francisco Sleepers, « si vous allez en enfer ».Toresti teni corio eum sum fugiatibust,
England’s Dreaming constitue le livre de référence sur l’histoire du mouvement punk, formidablement documenté et illustré. Savage, qui a rencontré et longuement interviewé tous les protagonistes du mouvement, a construit à partir de ce matériau un récit qu’on lit d’une traite. Principalement axé sur l’aventure chaotique et scandaleuse des Sex Pistols, leur ascension fulgurante et leur déclin tout aussi brutal. Cet ouvrage parle aussi des Clash et de groupes tombés dans l’oubli. Mais surtout, dépassant le cadre de la critique rock, c’est l’histoire d’une révolution culturelle que relate Jon Savage, qui montre comment le mouvement punk a bouleversé non seulement le rock, mais toute l’industrie musicale et, au-delà, la société anglaise dans son ensemble. Cette collection éclectique, achetés auprès de journaliste musical et culturel historien Jon Savage en 2002, documente l’histoire des Sex Pistols et l’ensemble de la période punk. La collection se compose principalement des matériaux de base pour Dreaming Angleterre: les Sex Pistols et le punk rock, le compte définitif Jon Savage de punk dans la société britannique dans les années 1970. Punk n’était pas seulement sur la musique ou les vêtements: elle re-
« Le Punk était un trucs dur, qui disaient à l’Angleterre ce qu’elle ne voulait pas entendre. » Jon Savages
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700 pages sur les Sex Pistols... à première vue on se dit que l’indigestion nous guette. Loin s’en faut. England’s dreaming, bible sur les apôtres londoniens du punk, verse dans la radiographie intime et de qualité d’une révolution musicale (sociale). Finement documenté et habilement rédigé par un pur journaliste punk, le dénommé Jon Savage, l’ouvrage décortique le phénomène des Pistols. De leurs premiers squats adolescents à leur reformation en 1996 et à la sortie en 2000 du documentaire The filth and the fury. En passant bien évidemment par « l’incident Grundy » et le début de la lapidation publique du mouvement punk. Ces crasseux qui déclenchèrent la fureur d’une Angleterre conservatrice, torturée par le racisme. Jon Savage nous plonge littéralement dans les artères et les boyaux des quatres
«God Save the Queen», Jamie Reid
Dolls ou des Ramones se profilent et Que dire de plus... si ce n’est que cet England’s dreaming livre une autopsie profonde du cadavre toujours chaud du mouvement punk. L’occasion d’exhumer tant de cris oubliés. La crasse et la Interview Savage a enregistré les entretiens en 1988 et 1989, et la plupart des acteurs sont ici, y compris Malcolm McLaren, Johnny Rotten et Joe Strummer, ainsi que divers moteurs stellaires moins influentes, y compris le Sex Pistol origine, le mystérieux Warwick «Wally» Nightingale , décédé depuis. (De même, Strummer, Tony Wilson, Nils Stevenson et Sid Vicious la maman, Anne Beverley). Pour les amateurs, il ya très peu nouveau ni de surprenant ici, mais les anecdotes fusent et il est intéressant de voir comment certains comptes soit en queue d’aronde ou se contredisent. Jonh Ingham, un pionnier de punk dans la presse musicale, est éclairant en termes de contexte social et culturel. De même, à New York journaliste devenu cinéaste Mary Harron, dont le point de vue sur les différences essentielles entre punk britannique et américain, c’est que les Américains ne fais pas de politique.
Johnny Rotten
Sex Pistols. Les fameux Johnny Rotten, Sid Vicious, Glen Matlock... L’on peut y sentir l’odeur de la manigance de leur manager-gourou situationniste Malcom McLaren. La fabrication d’un véritable concept de pop music visionnaire. Les rouages grinçants de son industrie. Et puis bien sûr la perte de contrôle, l’aiguille de trop et la réaction violente de rejet. Atmosphère gerbe sur le bitume garantie. On y croise la trajectoire de leurs géniaux voisins de The Clash mais aussi des destins plus obscurs... The Buzzcocks, The Heartbreakers ou encore The Damned... tous acteurs majeurs du punk britannique. Les visages américains des New York
SPECIAL BEAT GENERATION
Sur la Route
Howl
Le Festin Nu
Jack Kerouac
Allen Ginsberg
William Burroughs
Le roman raconte de manière quasi autobiographique les aventures de l’auteur (nommé Sal Paradise dans le livre) et d’un compagnon de route, Neal Cassady (nommé Dean Moriarty dans le roman). On y croise également Allen Ginsberg (Carlo Marx) et William Burroughs (Old Bull Lee).
Howl est un poème d’Allen Ginsberg paru dans son recueil de poème de 1956 intitulé Howl and Other Poems. Ce poème est considéré comme l’une des œuvres majeures de la Beat Generation, avec Sur la route de Jack Kerouac (1957), et Le Festin nu de William S. Burroughs (1959).
Les chapitres sont des fragments de texte plus ou moins cohérents, mais ils n’ont presque aucun lien entre eux. Certains sont des descriptions vagues de moments de drogues, d’autres sont des histoires paraboliques, la plupart du temps sans queue ni tête.
Sur la route fut l’un des romans fondateurs de ce que Kerouac nomma lui-même la « Beat Generation ». Toutefois le terme de Beat Generation fut avant tout un raccourci commode qui permit aux médias d’instituer en mouvement littéraire ce qui était surtout la conjonction d’individus singuliers : même s’ils partagent un goût pour la prose spontanée et le surréalisme, l’écriture de Jack Kerouac ne ressemble pas à celle d’Allen Ginsberg, et celle de Ginsberg est elle-même éloignée de celle de William Burroughs.
Howl a été écrit en 1955 pour être récité lors de la lecture publique à la Six gallery de San Francisco, mais il a ensuite été publié par le poète Lawrence Ferlinghetti chez City Lights Books. Le poème a été qualifié d’« obscène » et Ferlinghetti fut arrêté et inculpé pour sa publication. Le 3 octobre 1957, le juge Clayton W. Horn rendit un arrêt affirmant le contraire, ce qui permit à Howl de continuer à être diffusé et de devenir le poème le plus réputé de la Beat Generation.
Selon le « mythe Kerouac », ce livre fut écrit d’un seul jet, en trois semaines (du 2 au 22 avril 1951), sur un rouleau de papier de 36,50 mètres de long, dans de longues sessions de prose spontanée et enfiévrée ; il crée ainsi un style d’écriture totalement personnel, en partie inspiré par son amour du mouvement jazz Be Bop, de ses fulgurances et de ses improvisations. Ce manuscrit a été dactylographié sur des feuilles de papier à calligraphie japonaise, collées bout à bout et non sur un rouleau de papier à télétype. Ce manuscrit original a été vendu aux enchères 2,2 millions de dollars en 2001. Son rythme de travail effréné a valu le mot célèbre de Truman Capote, « Cela n’est pas écrire, c’est dactylographier. »
La chanson spell de Patti Smith est un poème situé dans Howl. La période de la vie de Ginsberg durant laquelle il rédige Howl a fait l’objet d’un film biographique américain, Howl, de Rob Epstein et Jeffrey Friedman (scénario et réalisation), sorti en 2010, où Allen Ginsberg est incarné à l’écran par l’acteur James Franco. Ce film relate la saga judiciaire à propos du poème de Ginsberg qui en donne une brillante lecture. En vertu de sa personnalité charismatique, Allen Ginsberg est souvent présent lors des manifestations : pacifistes contre la guerre du Viêt-Nam, sociales contre les discriminations sexuelles, politiques avec les communistes, musicales en véhiculant une spiritualité orientale stimulée par les drogues.
Le livre a été composé entre 1954 et 1957 par Burroughs, qui résidait alors à Tanger, au Maroc. Écrit largement sous l’influence de drogues hallucinogènes, d’héroïne et de cocaïne, la première mouture du Festin nu se présente sous la forme de notes éparses informes et obscènes, réarrangées parfois par la technique du cut-up (reformulation physique des chapitres après les avoir découpés, mélangés, et recollés ; dans une procédure inédite que l’on peut apparenter aux transes créatrices des surréalistes). Burroughs mêle drogue, politique, homosexualité, hallucinations, délire paranoïaque dans une danse de mots et de verbigérations déchaînés et puissants, cette forme délirante se voyant scandée par une sorte de satire sociale nébuleuse directement issue des Voyages de Gulliver de Jonathan Swift.
1957
1955
1959
Le Festin nu se veut une descente cauchemardesque dans l’esprit d’un junkie, transcendant la forme classique du roman en le destructurant, maltraitant la forme et le fond, donnant chair à ses divagations morphinisées dans des allégories oscillant de la science-fiction à la tragédie, parlant de modifications corporelles, d’orgies homosexuelles, de complots et de créatures angoissantes, dans un pays étrange, lieu de toutes les folies, nommé Interzone.
Jack Kerouac
Allen Ginsberg
William Burrough
Rouleau Original
Howl, 2010
Naked Lunch, 1991
CINÉMA
Dennis Hopper Peter Winkler 2011
Gallo 1962-1999 Vincent Gallo 1999
The Philosophy of Cronenberg Simon Riches 2012
David Lynch Dark Splendor Werner Spies 2010
CINÉMA
Otatur? Rum fuga. Ignam rerro volorer rorrum acea pa di assusci comnis dem sant a non parum ventor arum anis ut litiae opta poris as moluptam, totatemperi blaboris pelestiam consequis is que voluptatur? Qui des magni officia volum velles ni dolendi undit expelluptas aut eate nossequatum in pro digenti aut litam doluptam aut ant, simporporum nonseque nonsequia vide possit dolupta everum laborePoreprem. Ut vero beat ut el molorestrum everibus ium, id qui ilibus. Met qui ratia pedi dolor magnis dolorem rescias quiam, sed magniaspisMendes que preptasped mi, id
Dennis Hopper Peter Winkler 2011
une liaison avec 16 ans Natalie Wood et a pris des cours de théâtre de James Dean, ses voyages ‘60 tête et la fabrication de Easy Rider, ses années perdues à Taos, à son rétablissement et politique de virage à droite dans les années 80, ce livre documente sans ménagement son voyage de l’auto-destructrice mauvais garçon au survivant emblématique de la contre-culture. Il se penche également sur Hopper vie personnelle tumultueuse, y compris sa tentative dramatique de divorcer de sa dernière épouse, alors qu’il battait contre le cancer terminal.
« Dennis Hopper » documente sans ménagement le voyage d’Hopper, un garçon autodestructeur mal à un membre de réforme de l’établissement d’Hollywood et de survivant emblématique de la contre-culture.
L
un des américains les plus intrigantes du show-business et les rebelles véritables sommités, la vie étonnante de Dennis Hopper était une série de montagnes russes de triomphes et les échecs. Soucieux de prouver son génie et laisser un héritage, la trémie Emmy-winning et nominé aux Oscars a agi dans plus de 115 films et quatre séries TV, réalisé sept films, et passionnément poursuivi une vie d’artiste en tant que photographe et créateur et collectionneur de moderne art, embrassant le travail d’artistes comme Warhol et Lichtenstein avant que l’étiquette «pop art» a même été inventé. Dennis Hopper: The Wild Ride d’un rebelle d’Hollywood explore la vie de Hopper de son enfance solitaire dans le Kansas, où il devint déterminé à gagner l’affection des autres en devenant un grand artiste, à ses souvent à la drogue alimenté jours et des nuits à Hollywood et sa spirituelle maison à Taos, NouveauMexique. Fournir un regard révélateur sur ses débuts à Hollywood, où il a eu une liaison avec seize ans, Natalie Wood et a pris des cours de théâtre de James Dean, la réalisation d’Easy Rider, le lamentable échec du dernier film et les années perdues Hopper dans Taos, et son rétablissement et politique, tournez à droite dans les années 1980. Le livre aborde aussi des Hopper vie personnelle tumultueuse, y compris sa tentative dramatique de divorcer de sa femme pendant qu’il battait contre le cancer terminal. C e livre est le premier à couvrir toute la vie et la carrière de l’homme qui a traîné avec James Dean, Elvis Presley, et Jack Nicholson, a partagé la vedette et dirigé Easy Rider, et revint grande dans Blue
Velvet, des années à surmonter l’alcoolisme et de la toxicomanie dépendance. Dennis Hopper: The Wild Ride d’un rebelle d’Hollywood est une lecture incontournable. pour les fans de HopRebelle Comme le charme est à Cary Grant, la maladresse de Jerry Lewis, vulnérabilité à Montgomery Clift, de sorte malveillance est à Dennis Hopper. Très peu d’acteurs spécialisés comme
Killer (un des rares films que je souhaite de bonnes je n’avais jamais vu): comme vide et sans pitié un psychopathe comme je l’ai jamais rencontré dans les films. Mais personne n’a jamais été aussi à plusieurs reprises et de manière cohérente sinistre, effrayant et moralement mortellement paranoïaque que Dennis Hopper, qu’il jouait pour rire en vitesse, en manifestant la crainte inconsciente dans Blue Velvet ou apparemment juste d’être lui-même dans Easy Rider et Apocalypse Now.
Premiers films Hopper, Rebel Without A Cause (1955) et Géant (1956) a également marqué ses premières ren-
« Un vrai rebelle Américain, la vie étonnante de Dennis Hopper était une série de montagnes russes de triomphes et d’échecs. »
Hopper a fait dans la méchanceté convaincante. Vincent Price était trop camp pour être vraiment alarmant, alors même que le général witchfinder. Peter Lorre était déchirant comme un tueur d’enfants. James Gandolfini, joue un incorrigible mesquin parrain pendant sept ans, étrangement tenu à l’affection de la plupart de son audience de masse. James Cagney eu ses moments de méchanceté impassible, mais il est la chose la mère. Peut-être George Raft est venu près, mais je pense que c’est plus le résultat d’une action moribonde. Il n’y a pas le moindre doute sur Michael Rooker dans Henry: Portrait of a Serial
Triomphe et Echec Un rebelle vrai Américain, vie étonnante de Dennis Hopper était une série de montagnes russes de triomphes et les échecs. Hopper a agi dans plus de 115 films, réalisé sept lui-même, et passionnément poursuivi une vie d’artiste en tant que collecteur photographe, créateur et l’art. Ce livre explore la vie de Hopper de son enfance solitaire dans le Kansas, à ses médicaments fonctionnant à des jours et des nuits à Hollywood et son foyer spirituel à Taos, Nouveau-Mexique. Dès les premiers jours de Hopper à Hollywood, où il a eu
contres avec James Dean, qui a fortement influencé Hopper. Sans se laisser décourager par impression négative du doyen de la Lee Strasberg et The Actors Studio à New York, Hopper a fait pour Il s’appuierait sur ce qu’il a appris à lancer une carrière cinématographique riche et variée qui comprenait la vraie origine Grit (1969) avec John Wayne, qui allait devenir un ami. D’autres copains inclus les goûts de Elvis Presley, Peter Fonda et Jack Nicholson.
CONTRE CULTURE
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CINÉMA
citer une réflexion, d’introspection et de la conscience. Invités Gallo a pu constater l’impact de sa performance dans ce
Gallo 1962-1999
Aborum que nis as eum volor aperor rae nusam re as dolut ea is moluptas quam ut esequideri quamet estecus moluptat laturepro magnis eliquid que dolori sinis et laborest ma dollam fugitatur?
Honneur Gallo est né à Buffalo, New York, fils de Janet, un coiffeur, et Vincenzo Vito Gallo, également un salon de coiffure et joueur professionnel. [1] Ses deux parents ont émigré de Sicile, en Italie. [4] Gallo vécu dans New York City 1978-2002 et a voyagé autour de la plupart de l’Europe vivant à Paris et à Rome. Gallo premier projet créatif était comme un membre de la New York City à base de post-punk GRAY groupe industriel dont les membres comprenaient le célèbre artiste JeanMichel Basquiat.
Vincent Gallo 1999
Recueil d’images et de textes par Vincent Gallo sur sa propre vie. Réalisateur, chanteur, compostiteur, acteur et peintre, il est surtout représentatif du cinéma Underground de ces 10 dernières années.
V
incent Gallo est un réalisateur américain de film, acteur et musicien. Bien qu’il ait eu des rôles mineurs dans des films grand public comme les Affranchis, il est plus souvent associé à des films indépendants, y compris Buffalo ‘66, dont il a écrit, dirigé, a marqué et a joué dans: The Brown Bunny, dont il a également écrit, réalisé, produit, a joué dans et photographié; Arizona Dream, The Funeral, et Palookaville. Dans les années 1970 et début des années 1980, Gallo était un peintre de la scène artistique de New York City Résultats avec le célèbre marchand d’art Annina Nosei, réalisée dans un duo de rap et faisait partie de la première hip hop diffusion de télévision Graffiti Rock, et a joué dans un environnement industriel groupe appelé Bohack qui a publié un titre d’album Cela a pris plusieurs épouses. Dans le début des années 2000, il a sorti plusieurs disques en solo sur Warp Records. Gallo est connu pour ses opinions tranchées et la nature en général sarcastique, une fois déclaré: «Je cesse de peindre en 1990 à l’apogée de ma réussite vient de refuser aux gens mes beaux tableaux, et je l’ai fait par dépit». G allo a reçu la Coppa Volpi du meilleur acteur au Festival du Film de Venise 67e international pour sa performance en tant que prisonnier musulman sans paroles s’échappant dans Essential Killing de Jerzy Skolimowski. Son propre long métrage promesses écrites dans l’eau, dont il a écrit, réalisé, produit et joué dans, a également présenté en compétition au festival. Au printemps 2012 Gallo a participé à l’exposition de trois mois de Whitney Biennial. Omnihill uptatem dis reprendi ut et quam ipist, solutem eni doluptatem sum vid mintende cus nem rem quae moluptas.
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CONTRE CULTURE
Enfance Gallo est né à Buffalo, New York, fils de Janet, un coiffeur, et Vincenzo Vito Gallo, également un salon de coiffure et joueur professionnel. [1] Ses deux parents ont émigré de Sicile, en Italie. [4] Gallo vécu dans New York City 1978-2002 et a voyagé autour de la plupart de l’Europe vivant à Paris et à Rome. Gallo premier projet créatif était comme un membre de la New York City à base de post-punk GRAY groupe industriel dont les membres comprenaient le célèbre artiste JeanMichel Basquiat. Au cours de la même période Gallo s’est aussi fait connaître à New York pour ses spectacles de rue très inhabituelles, qui ont été exécutés spontanément en public et a également assisté
Au cours de la même période Gallo s’est aussi fait connaître à New York pour ses spectacles de rue très inhabituelles, qui ont été exécutés spontanément en public et a également assisté par les invités dans le savoir. Un invité, New York souterrain cinéaste Eric Mitchell, fonte gallo le rôle principal dans son film The Way It Is côtés de Steve Buscemi nouveau venu. The Way It Is était la première apparition de Gallo dans un long métrage, mais auparavant, il avait lui-même réalisé en plusieurs courts métrages dont If You Feel Aller Froggy, L’Amant Gun et Rocky 10, ainsi que les collaborations avec le cinéaste Michael Holman Vincent Gallo comme Jésus-Christ (utilisé dans Basquiat de Julian Schnabel) et Vampire Lestat. Depuis son début performance artistique jours Gallo a continué à créer des pièces de performance très conceptuels. Les exemples sont une série de protester de protestations. Gallo a également créé son propre site web qui, après un examen plus approfondi est en fait une résonance oeuvre hautement conceptuel avec son rendement au travail précoce. Bo. Ut delis et lautemp oratur? Harchit iatatia sit asperor as et laborioritis quodionet por aut et et ma neces
« Gallo a reçu la Coppa Volpi du meilleur acteur au Festival du Film de Venise 67e international pour sa performance en tant que prisonnier musulman sans paroles en pleine fuite. » par les invités dans le savoir. L’homme manchot, L’Homme sans visage, Sandman, garçon heurté par une voiture, et des cris de garçon dans la fenêtre des restaurants pour n’en nommer que quelques-uns. Ces performances radicales publiques ont été bouleversant et dérangeant et avaient pour but de sus-
Aborum que nis as eum volor aperor rae nusam re as dolut ea is moluptas quam ut esequideri quamet estecus moluptat
Os nonest, vitatiustrum nit aut vendi reptatemo dent dolecep elendusa cumquia pro que con pa ditem sequi core latempe llitium eos esci beribus cipsam volupti isquis sed qui omnit quis exerepr erorposam quia quat aut aspellu ptatibus vendaecus aped quistis eaquis id estem fugitium que millatis acia
Musique Gallo joué de la basse électrique et chante dans les milieu des années 1970 dans plusieurs groupes de garage adolescents tels que Blue Mood, un groupe de rock progressif couverture nommé Zephyr (pas le groupe fin des années 1960) qui a fait une performance État de New York, Le Bon (avec Bernie Kugel et Larry Galanowitz), les détours et les matières plastiques. [10] à l’âge de 16 ans, Gallo s’installe à New York et a été membre de la bande tard, Gray, avec l’artiste visuel Jean Michel Basquiat (qui n’était pas encore connu). Gris joué dans des clubs tels que Max Kansas City, CBGB’S, hourras, et le Mudd Club. Quelques-uns des enregistrements Gray apparaît sur la bande originale du Downtown 81 film. [11] Dans les années 1980, Gallo interprétés en solo ou les Nonsexuals, frappa dans un duo nommé Deuce Problème sous le nom de Prince Vince (avec Nick Nice, qui est allé sous le nom de DJ Priest haut). Gallo a joué dans un groupe appelé Bohack qui a enregistré un album intitulé «Cela a pris plusieurs femmes.»
Tetro, 2008
Lorsque Bohack dissous, Gallo tourna son attention vers interprétation, la réalisation et la composition dans des films. Il a écrit des chansons pour la bande originale du film de 1998 66 Buffalo. Il a joué dans un groupe de rock avec Lukas Haas appelé Bunny, Gallo et mis sur son propre CD qu’il a écrit. réalisée et produite sous Warp Records, intitulé «Quand». [10] Lapin fait une tournée japonaise et enregistré un album avec le producteur pour Sony Eddie Offord. Au Japon, pour sa tournée 2001 Quand, Josh Klinghoffer et Carla Azar de Autolux l’a soutenu que son groupe tournée. En 2002, il sort «archives de musique pour un film», qui est une version remasterisée de son de la musique ancienne. Il a également fait des spectacles avec Jim O’Rourke jouer à la basse. Gallo a également réalisé des spectacles avec Sean Lennon, qui il a collaboré avec un album qu’ils achevée en 2004, qui n’a pas encore été publié. Gallo a également été commissaire un week-end de la fête de la musique au Royaume-Uni All Tomorrow Parties en Avril 2005. Ses amis de John Frusciante et PJ Harvey est apparu sur la facture. Gallo choisi Yoko Ono en tant que tête d’affiche, et a également joué avec elle, son fils Sean Lennon et John Frusciante à cet événement. Gallo projet musical le plus récent est le RRIICCEE bande, avec trou Erlandson co-fondateur, Eric, qui ne joue que la musique improvisée. Clip Gallo apparaît également dans les clips suivants par d’autres artistes: «Grounded» par My Vitriol (2001), «Bloodloss Cosmopolitan» par Glassjaw (2003), «99 Problems» de Jay-Z (2004), et «amer» par Lit. Gallo réalisé des clips pour les chansons
dans son deuxième film tant décrié The Brown Bunny «, il est un homme de la Renaissance». Elecaerioria quid quam hil inullupEd magnate perit voloriorem re plignimus.
se soucie vraiment de moi. C’est pas comme si j’avais développé un véritable ami, un relation qui va être autour pendant un long moment. «Il résume Gallo - sous toutes les fanfaronnades, il s’agit d’un mélange complexe de la sensibilité et de la douleur.
Vie Privée
The Brown Bunny
La plupart des sites célèbres offrent peu plus de quelques photos, des coupures de temps en temps et le message de l’étoile. Mais pas à vincentgallo.com. Prenez la section du merchandising, mené par une photo de Gallo vêtu d’un costume de marin et de saisir son entrejambe. Parmi les habituelles CD, T-shirts et des affiches, vous pouvez acheter des raretés comme une œuvre d’art de Charles Manson (donné à l’époque gallo par Johnny Ramone sur son 33e anniversaire) ou le casque qu’il utilisait quand il a couru
Lorsque The Brown Bunny, un road movie presque sans intrigue, a été dévoilé en 2003, les critiques étaient sauvages. Estimé US critique Roger Ebert a appelé le film «le pire dans l’histoire de Cannes», à laquelle ont répondu que Gallo Ebert était un «gros porc avec le physique d’un marchand d’esclaves». Néanmoins, il se retira comme un animal blessé, couper 30 minutes du film avant le sabordage d’un abri, loin des yeux du public. Depuis lors, il a été à peine visible à l’écran - jusqu’à maintenant. En plein retour
À première vue, il semble qu’il n’a pas beaucoup changé depuis notre dernière rencontre. Maintenant âgé de 49 ans, il est aussi fragile et aussi fuck-vous comme il l’a toujours été. Aujourd’hui, il porte rouge et blanc à dents de chien à motifs pantalon et une plaine T-shirt blanc - heureusement sans l’auto-promotion (à Cannes, il a été vu pour arpenter autour de «gallo» qui orne sa poitrine). Ses cheveux brun est ce qu’on pourrait appeler l’épouvantailchic tout en barbe touffue qui vous fait penser à la fin de la période Jim Morrison. Qu’est-ce avec ces yeux bleus de sa manie, il aurait fait un bon Charles Manson, un rôle qu’il a déjà été évoquée dans un biopic qui ne s’est jamais matérialisée. Et puis il ya son corps raide, sans une once de graisse sur elle. «Je suis très nouveau dans la nourriture,» me dit-il. «Je mange beaucoup de choses premières».
«Going Inside» de John Frusciante, et «Anémone» par L’Arc-en-Ciel. Gallo est également apparu comme un modèle de H & M Printemps 2009 Collection aux côtés de Eva Herzigova.
« Brown Bunny est le pire film dans l’histoire de Cannes... »
Roger Erbert
une fois professionnellement motos. Il ya même une section intitulée «Services aux particuliers». Oui, pour 50.000 $, Gallo a fait lui-même «à la disposition de toutes les femmes - toutes les femmes qui peuvent se permettre moi, c’est». Vous aussi, vous pouvez passer une soirée avec Vincent. En vérité, vous auriez probablement eu pour son argent. Un avoué «forte aile droite républicaine» (il n’a pas «soutenir extrêmes concepts de gauche»), Gallo peut avoir un ego de la taille d’un ballon à air chaud, mais même une heure en sa compagnie est follement divertissant. En effet, qui d’autre aurait le courage d’offrir le haut, sur le même site, de leur propre sperme pour la somme princière de 1 million de dollars? Peintre, impresario hip-hop, breakdance, le bassiste, modèle masculin, acteur, cinéaste, architecte ... il n’est guère étonnant de culte existe autour de cette légende soidisant dans sa propre vie. «Le crédit où il est dû», explique Chloë Sevigny, l’actrice qui célèbre une fellation sur Gallo
triomphal Ce mois-ci annonce Gallo dans le rôle-titre de Tetro, le nouveau film de Francis Ford Coppola, l’un des plus grands réalisateurs de tous. Il s’agit d’une tour gallo classique: plein de colère, de l’enfantillage, de la bile et de la beauté - tout comme le personnage Billy Brown, il a joué à Buffalo ‘66, son premier long métrage 1998. J’ai interviewé Gallo pour ce film. Quand nous nous reverrons, assis dans une pièce aérée dans une villa vénitienne, qu’il prétend avoir un vague souvenir de l’événement. «Je pense que c’était la première pièce de la presse européenne que je n’avais jamais fait», dit-il, dans ce sifflement à haute vitesse la côte Est de la sienne. «Et j’ai pensé, ‘Oh wow, qui se sentait vraiment bon.» Il procède ensuite à me dire que rien de bon ne jamais venu de la presse qu’il a fait ici. «Il m’a mis dans un grand nombre de problèmes, surtout en Angleterre. Si je prends du support, le support ne semble pas vouloir dire quelque chose. C’est pas comme si quelqu’un
Tandis qu’il n’est pas végétarien, faire du shopping récemment été Gallo pour la nourriture dans les points qu’il appelle «très concentré et fanatique», une phrase qui pourrait facilement se décrire. «Je chasserai à cette élevage de cailles, où je reçois beaucoup de ces oeufs de caille incroyables, que je mange toute la journée,» dit-il. «Et [je mange] beaucoup de superaliments comme le goji, le cacao et les graines de chia, des choses comme ça. Et j’aime lait cru de chèvre et le mouton. Ils l’envoient une fois par semaine à partir de Pennsylvanie, dans les fermes amish, et je me le procurer à Los Angeles. »Un fanatique de la santé, Gallo a pas d’alcool bu ou pris de la drogue depuis qu’il avait 14 ans. «Je pense qu’il comportement mainstream. Je suis repoussé par un comportement général. Et ce genre est le plus attrayant pour moi. »
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CINÉMA
The Philosophy of Cronenberg
David Lynch dark splendor
Simon Riches
Werner Spies
2012
2010
La philosophie de David Cronenberg examine le corps de de travail de Cronenberg de Scanners (1981) en passant par ses films les plus connus tels que La Mouche (1986) et de ses œuvres les plus récentes.
I
l ne fait aucun doute que le très célèbre et influent cinéaste canadien David Cronenberg (1943 -) a produit une contribution diversifiée au cinéma moderne. Avec sa propension à créer des images qui est à la fois inquiétante et provocante, Cronenberg a pris de l’importance dominante avec une étonnante collection de films. Il y avait les fumiers de pointe, ...
intellectuel calme et introspectif avec un sournois, le charme engager.
Videodrome
«Je crois que c’est plus une méditation ou une discussion de ces sujets et d’autres, plutôt que, disons, une déclaration», explique Cronenberg. Cette idéologie se situe au cœur de la confusion au sein de style du réalisateur, il explique qu ‘«une déclaration suggère que j’avais des solutions à certains problèmes que je n’ai pas.»
Un homme sexuellement insère une cassette vidéo dans son estomac. La tête d’un homme explose en gros morceaux sanglants. Quelques larmes au large de l’homme un morceau de lui-même et découvre qu’il est devenu partie aux insectes. Un homme est
Cronenberg, une origine et de race canadienne, se penche sur ces questions sans didactisme et le détachement de Lars Von Trier «Dogville», Warner Herzog «Grizzly Man», ou à venir de Wim Wenders «Ne pas Come Knocking»tous les examens récents de l’Amérique culture de la violence et de la masculinité de nés à l’étranger administration.
« (À propos de la violence) je crois que c’est plus une méditation ou une discussion de ces sujets et d’autres, plutôt que, disons, une déclaration. » David Cronenberg
convaincu par une gigantesque machine à écrire-parler bug d’assassiner sa femme. Les films de David Cronenberg, y compris «Videodrome», «Scanners», «The Fly» et «Naked Lunch», éclatent avec des images cinglante viscérale, et pourtant l’homme est lui-même un
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CONTRE CULTURE
Cronenberg souligne à plusieurs reprises qu’il n’est pas intéressé par des images terribles pour elle-même; «. Évidemment, tous ceux qui ont vu mes films, y compris les premiers films, sait que j’ai toujours été une cible plus importante que celle« regarder en arrière. »
Trois ans après l’exposition de la Fondation Cartier, l’œuvre graphique, picturale et photographique du réalisateur américain, continue de fasciner. Ce catalogue de l’exposition au Musée Max Ernst en Allemagne permet de redécouvrir les multiples facettes et inspirations du réalisateur de Mulholland Drive.
P
arallel à la carrière cinématographique pour laquelle il est justement admiré, David Lynch (né en 1946) a toujours travaillé en tant qu’artiste, après avoir reçu une formation en peinture à l’Ecole d’Art Corcoran et à l’École du Musée des Beaux-Arts de Boston au milieu des années des années 1960. Photographies Lynch, peintures, gravures, dessins et, plus récemment, compositions musicales, sont un élément indispensable de son œuvre et souvent une source d’inspiration pour ses films. Les amateurs de classiques tels que Blue Velvet, Wild at Heart, Twin Peaks et Mulholland Drive volontiers évoquer œil du réalisateur pour luxuriante, mais menaçante néo-surréaliste tableaux, par exemple, qui sont directement nourrie par ses œuvres. Autres caractéristiques du style lynchéen, comme les messages cryptiques et inscriptions, atmospherics pressentiment et un sentiment célèbre champ gauche de l’humour aussi apparaître dans les peintures, dessins et photographies cons David Lynch: Splendor foncé - une publication historique qui révèle l’ampleur et l’accomplissement de son travail dans ce domaine. Il contient de telles merveilles que ses dessins allumettes - plume et à l’encre des images de paysages oniriques enveloppés et intérieurs, inscrits à l’intérieur de boîtes d’allumettes - ses lithographies merveilleusement pressentiment, où se bousculent griffonnés légendes des figures sombres, ses photographies de friches industrielles et ses tableaux sinistres qui intègrent des matériaux et des objets pour faire progresser leur appel gothique. Dark Splendor présente ces œuvres dans d’excellentes reproductions, et séduira les amateurs de cinéma contemporain et de l’art même.
Lynch Un écrivain respecté et metteur en scène, le travail de David Lynch cinéma s’étend sur une période de 40 ans. Il comprend des films comme Eraserhead, Elephant Man, Blue Velvet, Twin Peaks, Lost Highway et Mulholland Drive. Après la projection de son dernier film épique, INLAND EMPIRE, il a reçu la Mostra de Venise de prestigieux Lion d’or pour l’ensemble des réalisations. Sa production prolifique des arts visuels, à commencer avant même que son œuvre cinématographique, a rarement été exposées dans les institutions d’art ou reproduit sous forme de livre.
David Lynch
MUSIQUE
Woodstock Mike Evans 2010
The Clash Bob Gruen 2004
Spécial Rock Indépendant Psychic Confusion Everett True 2008
Nirvana : The True Story Laurent Le Bon 2006
Radiohead and Philosophy Brandon Forbes 2008
MUSIQUE
et 152,10 $ en 2013.). Les ventes de billets ont été limitées aux magasins de disques dans la grande région de New York, ou par mail via une boîte postale à l’Office de Radio City station de poste situé dans Midtown Manhattan. Près de 186.000 billets ont été vendus à l’avance et les organisateurs prévu environ 200.000 festivaliers se tourneraient vers le haut.
Woodstock
Mike Evans 2010
Selection
Il a défini une génération, Woodstock ne ressemblait à rien qui ait jamais eu lieu avant ou depuis. Revivez le moment et «revenez au jardin» au jour le jour, acte par acte. Ce livre est un véritable compte rendu de tout ce qui est descendu sur la ferme de Yasgur.
W
oodstock a été lancé grâce aux efforts de Michael Lang, John Roberts, Joel Rosenman, et Artie Kornfeld. C’était Roberts et Rosenman qui avait les finances. Lang fait l’expérience en tant que promoteur et avait déjà organisé le plus grand festival de la côte Est à l’époque, le Festival Pop Miami, qui avait environ 100.000 personnes assistent à l’événement de deux jours. Roberts et Rosenman placé l’annonce suivante dans le New York Times et le Wall Street Journal sous le nom de Challenge International, Ltd. «Les jeunes hommes avec un capital illimité à la recherche d’opportunités d’investissement intéressantes, légitimes et les propositions d’affaires. » L ang et Kornfeld remarqué l’annonce, et les quatre hommes se sont réunis pour discuter de l’origine un studio d’enregistrement retraite-comme à Woodstock, mais l’idée a évolué en une musique en plein air et festival des arts, même si cela était initialement prévu sur une plus petite échelle, peut-être, avec des quelques-uns des artistes de grands noms qui ont vécu dans la région de Woodstock (comme Bob Dylan et The Band). Il y avait des différences d’approche entre les quatre: Roberts a été disciplinés, et je savais ce qui était nécessaire pour que l’entreprise réussisse, tandis que le Lang décontractée vu Woodstock, une nouvelle façon d’amener les gens d’affaires décontractée en même temps Il y avait. d’autres doutes sur le risque, comme Roberts s’est demandé si de consolider ses pertes et tirez la fiche, ou continuer à pomper ses propres finances dans le projet. E n Avril 1969, nouvellement frappées superstars Creedence Clearwater 22
CONTRE CULTURE
Revival fut le premier acte de signer un contrat pour l’événement, en acceptant de jouer pour 10.000 $. Les promoteurs ont connu des difficultés d’atterrissage de grands noms des groupes avant de Creedence s’engageant à jouer. Creedence batteur Doug Clifford plus tard a commenté «Une fois Creedence signé, tout le monde a sauté en ligne et tous les autres actes de gros s’est allumé.» Compte tenu de leur 03h00 heure de début et de non-inscription (à l’insistance de Creedence chanteur John Fogerty) dans le film Woodstock, les membres ont exprimé leur amertume Creedence sur leurs expériences au festival célèbre..
Le concert était initialement prévue pour avoir lieu dans les 300 acres (1,2 km2) du parc industriel Mills (41 ° 28’39 «N 74 ° 21’49» W) dans la ville de Wallkill, New York, Woodstock Ventures avait loué pour 10.000 $ au printemps de 1969. Les autorités municipales ont reçu l’assurance que pas plus de 50.000 y participeraient. Habitants de la ville s’est immédiatement opposé à ce projet. Au début de Juillet le Conseil de Ville a adopté une loi exigeant un permis pour tout rassemblement de plus de 5000 personnes. Le 15 Juillet 1969, le Conseil de zonage Wallkill d’appel a officiellement interdit le concert sur la base que les toilettes
Ten Years After
Free Concert Le changement de dernière minute dans la salle n’a pas donné les organisateurs du festival assez de temps pour se préparer. Lors d’une réunion
«Il est devenu un célèbre «concert gratuit» seulement après qu’il soit devenu évident que l’événement ai attiré des centaines de milliers d’autres personnes. » prévues portables ne serait pas respecter le code de ville. Les rapports sur l’interdiction, cependant, s’est avéré être une aubaine pour le festival de la publicité.
Woodstock Ventures Woodstock a été conçu comme une entreprise à but lucratif, intitulé à juste titre «Woodstock Ventures». Il est devenu un célèbre «concert gratuit» seulement après qu’il soit devenu évident que l’événement a été attirant des centaines de milliers d’autres personnes que les organisateurs avaient préparé. Les billets pour la manifestation de trois jours coûte 18 $ à l’avance et 24 $ à la porte (l’équivalent de 114,10 $
avec compte Lang [12]. Terres Yasgur formé une cuvette naturelle qui descend vers l’étang Filippini sur le côté nord de la terre. L’étape serait fixé à la partie inférieure de la colline avec Filippini étang formant une toile de fond. L’étang deviendra une destination populaire baignaient nus. Les organisateurs de nouveau déclaré aux autorités Bethel ils s’attendaient pas plus de 50.000 personnes. Malgré un résident de l’opposition et des signes proclamant: «Achetez No Milk. Arrêtez festival de musique hippie Max», [13] Bethel Ville procureur Frédéric WV Schadt et inspecteur en bâtiment Donald Clark approuvé les permis, mais le Conseil Bethel Ville a refusé de leur délivrer officiellement. Clark a été condamné à publier des ordres d’arrêt des travaux.
Selon Elliot Tiber dans son livre de 2007 Taking Woodstock, Tiber a proposé d’accueillir l’événement sur ses 15 hectares (61.000 m2) terrains de motel, et avait un permis pour un tel événement. Il affirme avoir mis en place les promoteurs de producteur laitier Max Yasgur. Lang, toutefois, conteste le compte du Tibre, et dit que Tibre a présenté à un agent immobilier, qui l’a conduit à la ferme de Yasgur sans Tibre. Sam Yasgur, fils de Max, est d’accord
trois jours avant l’événement, les organisateurs ont estimé qu’ils avaient deux choix. Une option consistait à améliorer l’escrime et à la sécurité qui aurait pu conduire à la violence, l’autre consistait à remettre toutes leurs ressources en remplissant le stade, ce qui entraînerait Ventures Woodstock de prendre un coup financier. La foule, qui était arrivée en plus grand nombre et plus tôt que prévu, a pris la décision pour eux. La clôture a été coupée la nuit avant le Festival L’afflux de visiteurs au site du concert rurale à Bethel créé un embouteillage massif. Craignant que le chaos a commencé à descendre des milliers sur la communauté, Bethel n’a pas appliqué ses codes. Par la suite, des annonces à la radio aussi loin que WNEW-FM à Manhattan et une description des embouteillages sur les journaux télévisés dissuadé les gens de la mise hors à la fête. Arlo Guthrie a fait une annonce qui a été inclus dans le film en disant que le New York State Thruway a été fermé. Le directeur du musée Woodstock discuté ci-dessous dit jamais eu lieu. Pour ajouter aux problèmes et
« C’était un peu comme une peinture d’une scène de Dante : que des corps de l’enfer, entrelacées et endormi, couvert de boue. » Spectateur du concert
aux difficultés à traiter avec les grandes foules, les pluies récentes avaient causé des routes boueuses et les champs. Les installations ne sont pas équipées pour fournir des installations sanitaires ou de premiers soins pour le nombre de personnes participant;. Centaines de milliers se sont retrouvées dans une lutte contre les intempéries, les pénuries alimentaires, et un mauvais assainissement. Dans la matinée du dimanche, Août 17, Gouverneur de New York Nelson Rockefeller appelé organisateur du Festival, John Roberts et lui a dit qu’il pensait de la commande État de New York 10000 soldats de la Garde nationale à la fête. Roberts a réussi à convaincre Rockefeller ne pas le faire. Sullivan County a décrété l’état d’urgence. Jimi Hendrix fut le dernier acte de se produire au festival. En raison des retards de pluie que le dimanche, quand Hendrix a finalement pris la scène, il était 8h30 lundi matin. Le public qui avait culminé à 450.000 personnes environ un pendant le festival, a été réduite à environ 30-40,000 par ce point;. Beaucoup d’entre eux seulement ont attendu pour attraper un aperçu de Hendrix avant de quitter lors de son spectacle.
Sonorité Le son pour le concert a été conçu par Bill Hanley, dont les innovations dans l’industrie du son lui ont valu le prestigieux prix Parnelli. «Il a très bien fonctionné», dit-il de l’événement. «J’ai construit colonnes d’enceintes spéciales sur les collines et comptait 16 tableaux haut-parleurs dans une plate-forme
carrée allant jusqu’à la colline de 70 pieds [21 mètres] tours. Nous l’avons mis en place pour 150.000 à 200.000 personnes. Bien sûr, 500.000 se sont présentés. »ALTEC conçu 4 × 15» marines armoires plis, qui ont pesé moins une demi-tonne chacun, et se tenait 6 pieds (1,8 m) de hauteur, près de 4 piedstrois transformateurs fournissant 2000 ampères de courant pour alimenter l’installation d’amplification.
comme un moment décisif des années 1960. [ Nous étions prêts pour le rock et nous avons attendu et attendu et finalement ce fut notre tour ... il y avait un demimillion de gens endormis. Ces gens étaient sortis. C’était un peu comme une peinture d’une scène Dante, que des corps de l’enfer, toutes entrelacées et endormi, couvert de boue. Et c’est à ce moment que je n’oublierai jamais tant que je vivrai, un quart de mile loin dans l’obscurité, sur l’autre bord de ce bol, il y avait un gars feuilletant son Bic, et dans la nuit, j’entends: «Ne pas vous inquiétez pas John. Nous sommes avec vous. J’ai joué le reste du spectacle pour ce type. John Fogerty rappelant Creedence Clearwater Revival de 3 heures, heure de départ à Woodstock
Richie Havens
Bien que le festival a été remarquablement pacifique étant donné le nombre de personnes impliquées et les conditions, il ya eu deux accidents mortels enregistrés: l’un de ce que l’on croyait être une overdose d’héroïne et un autre a causé dans un accident quand un tracteur a couru plus d’un participant de dormir dans un champ de foin à proximité . Il y avait aussi deux naissances enregistrées lors de l’événement (un dans une voiture pris dans la circulation et un autre dans un hôpital après un pont aérien par hélicoptère) et quatre fausses couches. Le témoignage oral dans le film soutient le surdosage et exécutez-par rapport aux décès et à au moins une naissance, ainsi que de nombreux problèmes logistiques. Pourtant, en phase avec les espoirs idéalistes des années 1960, Woodstock satisfait la plupart des participants. Il y avait un sens de l’harmonie sociale, qui, avec la qualité de la musique, et la masse écrasante de personnes, dont beaucoup de sport bohème robe, le comportement et les attitudes contribué à en faire l’un des événements durables du siècle.
Hendrix et son groupe a réalisé une série de deux heures. Son interprétation psychédélique de l’hymne national américain, «The Star-Spangled Banner» a eu lieu environ 3/4 dans leur ensemble (après quoi il s’est transformé en «Purple Haze»). La chanson allait devenir «une partie de l’esprit du temps des années soixante», comme il a été immortalisés dans le film Woodstock, [20] l’image Hendrix effectuer ce nombre vêtu d’une veste en cuir bleuplat blanc avec des franges et un foulard rouge, a depuis lors été considéré
Après le concert, Max Yasgur, qui possédait le site de l’événement, il a vu comme une victoire de la paix et de l’amour. Il a parlé de la façon dont près de la moitié d’un million de personnes pleines de possibilités de catastrophes, d’émeute, de pillage, et la catastrophe a passé les trois jours avec de la musique et de la paix dans les esprits. Il affirme que «si l’on se joindre à eux, nous pouvons transformer ces adversités qui sont les problèmes de l’Amérique d’aujourd’hui dans l’espoir d’un avenir meilleur et plus pacifique ...»
Jannis Joplin, Jimi Hendrix, Joe Cocker, The Who
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MUSIQUE
porte fermée et le moteur en marche. ». Le groupe répond malicieusement à cette attaque en composant Garageland.
The Clash
Succes Americain
Bob Gruen 2004
Regroupement de 6 ans de documentation resortant d’une grande complicité entre le photographe Bob Gruen et le groupe des Clash. Comprenant des photo, textes officielles, et une introduction de Chris Salewicz
T
he Clash est un groupe de punk britannique, formé à Londres dans les années 1970 et connu pour être un des quatuors majeurs de l’histoire du rock et du punk rock britannique. Il commence sa carrière en 1976 et se dissout en 1985. En 2003, la formation entre au Rock and Roll Hall of Fame. A u départ composé de Joe Strummer, Mick Jones, Paul Simonon, Keith Levene et Terry Chimes (crédité, avec un jeu de mot, sur leur premier LP en tant que « Tory Crimes »), The Clash se forme à Ladbroke Grove (banlieue ouest de Londres) en 1976, à l’époque de la première vague du punk britannique. A près l’échec de leur bref groupe punk au nom provocateur de London SS avec Tony James (futur Generation X), Jones et Simonon commencent par recruter Joe Strummer sur les conseils de leur manager Bernie Rhodes tout en lui disant qu’il « assure mais que son groupe est de la merde ». J oe Strummer, l’un des fondateurs du groupe. S trummer, de son vrai nom John Graham Mellor, est alors légèrement plus âgé qu’eux et le chanteur des The 1’ers, un groupe de pub rock à la renommée naissante. Après deux jours de réflexion, il accepte, séduit par l’énergie et le potentiel offert par ce nouveau mouvement musical, dont un concert des Sex Pistols vient de lui donner un avant-goût. D e son côté, Keith Levene (qui plus tard intégrera Public Image Limited) est un ami de Mick Jones. Il participe en tant que guitariste et compositeur au sein du groupe. « La jeunesse, après tout, n’est pas une
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condition permanente et un clash de générations n’est pas aussi dangereux, fondamentalement, pour le gouvernement que le serait un clash entre les gouvernants et les gouvernés. ». Cette phrase insérée au verso de la pochette de The Clash par Sebastian Conran résume le sens profond du nom du groupe trouvé par Paul Simonon, peu après que Terry Chimes eut été recruté. Ayant noté que ce mot est régulièrement répété dans le journal Evening Standard, Paul Simonon décide de le proposer aux autres membres qui acceptent. Le 4 juillet 1976, les Clash sont en première partie des Sex Pistols à Sheffield. Ils interprètent Janie Jones, London’s Burning et 1977, montrant un goût certain pour le pur style punk au détriment de la diversité des mélodies. Présent sur place, Charles Shaar Murray, journaliste du New Musical Express, écrit plus tard dans sa critique : « Les Clash sont le genre de groupe de garage qui devraient rapidement retourner dans leur garage, de préférence avec la
Le deuxième album du groupe, produit par Sandy Pearlman et intitulé Give ‘Em Enough Rope, est le premier dont Headon est crédité sur tous les titres. Il sort en 1978 et atteint la deuxième place des charts britanniques25, bien qu’il échoue à rentrer dans le Top 100 aux États-Unis26. Au RoyaumeUni, il est accueilli avec beaucoup de déception par les critiques, qui lui reprochent une production trop « léchée » et lisse en comparaison de l’excitation brute de l’album des débuts. Cependant, il est encore bien reçu par le public britannique et leur permet d’obtenir son premier titre à succès, Tommy Gun27. Peu après, en juillet 1979, leur premier album sort à son tour officiellement aux États-Unis29, mais en se délestant des titres 48 Hours, Cheat, Protex Blue et Deny, remplacés par quelques singles sortis entre l’album original de 1977 et Give ‘Em Enough Rope. The Clash contient donc en plus une version de I Fought the Law de Sonny Curtis (qui
Joe Strummer
succès commercial. Au départ, il est accueilli au Royaume-Uni avec suspicion par les fans des débuts, du fait que les doubles albums étaient généralement associés aux groupes de rock progressif. Ouvrant la musique punk sur d’autres univers, il offre une plus large palette de styles et d’influences musicaux que les albums précédents, sparmi lesquels le rockabilly à la sauce américaine et le reggae jamaïcain qui faisait écho aux
« London Calling été déclaré numéro 1 du classement des 25 albums des 25 dernières années de Entertainment Weekly »
sortira plus tard sur leur EP The Cost of Living), Clash City Rockers, Complete Control et (White Man) In Hammersmith Palais. London Calling Le troisième album, London Calling, un double album vendu au prix d’un simple sur l’insistance du groupe, sort en 1979 et reste le sommet de leur
styles dub et ska populaires en Angleterre. Accompagné à l’époque d’un autocollant annonçant the Clash comme « le seul groupe qui compte », l’album est considéré depuis comme l’un des meilleurs qu’un groupe de rock ait jamais produit, apparaissant au 8e rang du classement référençant les 500 plus grands albums de tous les temps selon le magazine Rolling Stone. Il a aussi été déclaré numéro 1 du classement des 25 albums des 25 dernières années de Entertainment Weekly. Les titres qui le composent, tels que Train in Vain, Clampdown et London Calling, sont encore aujourd’hui régulièrement diffusés sur les ondes des stations de radio. Lors de sa sortie, Train in Vain devient d’ailleurs le premier tube du groupe à se classer dans le Top 40 américain, bien qu’il soit au départ un titre caché sur le vinyle original car ajouté trop tard en fin de sessions d’enregistrement.
SPECIAL ROCK INDÉPENDANT
Psychic Confusion
Nirvana : the True Story
Radiohead and Philosophy
Stevie Nicks
Everett True
Brandon Forbes
Psychic Confusion- L’histoire de Sonic Youth par Steve Chick suivi la carrière de Sonic Youth à partir des sites sales de New York des années 1980 à la résurgence récente de la bande dans le 21e siècle, et tout le reste.
Livre ecrit par le seul journaliste autorisé dans la maison de Kurt Cobain immédiatement après la mort de Kurt Cobain. Everett captures vrai, ce que le groupe était vraiment - leur côté féminin, ce qui est arrivé à Cobain à Seattle et Olympia, et quand il a rencontré Courtney.
Les chapitres de ce livre explique comment la musique de Radiohead se connecte directement à la phénoménologie philosophique des penseurs tels que Maurice MerleauPonty et Martin Heidegger, l’existentialisme d’Albert Camus et Jean-Paul Sartre et la politique philosophiques de Karl Marx...
Sonic Youth ont toujours été un groupe enveloppé de mystère. Couvrant une carrière qui est sur le point de terminer sa troisième décennie, le groupe a réalisé avec eux à la fois l’avant-garde et l’expérimentation de l’underground indie, ainsi que l’excédent commercial de la 1990 «Alt-rock« scène. Avec plus de 15 albums studio et un nombre incalculable PE, solo, et des projets secondaires, le groupe est encore forte aujourd’hui - et pas seulement forte, ils sont encore jeunes influencent les actes de rock indie et le tronçonnage des tendances du mercantilisme. Même si les membres du groupe sont maintenant dans la cinquantaine, ils dégagent une énergie, et ils continuent à chercher de nouvelles tendances et d’explorations sonores.
Dépressif perfectionniste Kurt Cobain et son copain galumphing Krist Novoselic échappé à la ville du bois délabré de Aberdeen à conquérir le monde avant de Cobain a décidé que le rock ne pourrait jamais la gloire à la hauteur des normes élevées qu’il ne s’y attendait et a tiré sur lui-même, son corps gisant inconnu pour plusieurs jour. Cette histoire a inspiré une résonance industrie Nirvana ensemble. Sa conclusion a été sombre réédicté par Gus Van Sant dans son film négligé derniers jours, alors que tomes jamais heftier promettre de se rapprocher de révéler ce qui a conduit à de tels extrêmes Cobain (en fait, les trois aitches - l’héroïne, l’hérédité et une haridelle semblable - assez bien le couvrir).
Not only is Radiohead the most innovative and influential rock band-it’s also the most philosophically and culturally relevant. Since the 1993 breakthrough hit «Creep,» the band keeps on making waves, with its view of the Bush presidency (Hail to the Thief ), its anti-corporatism, its ecologically conscious road tours, its videos, and its decision to sell In Rainbows online at a ‘pay whatever you want’ price. Composed by a team of Radiohead fans who also think for a living, Radiohead and Philosophy is packt like a positive force in a postmodern world? For millions, Radiohead can, and these thought-provoking essays address how and why Radiohead makes a difference by working at the margins of popular culture.»
En fin de compte Cobain n’était ni le premier ou le dernier de sa famille de prendre sa propre vie, tout simplement le plus célèbre. Il laisse derrière lui une poignée de grands disques et de souvenirs et une histoire de vie qui pourrait être un guide pour les futurs stars de la façon de ne pas le faire. Ce n’est pas beaucoup d’un héritage vraiment, mais il a épousé Courtney Love pour que personne ne devait le faire. Ce fut héroïque.
Since their breakthrough hit «Creep» in 1993, Radiohead has continued to make waves throughout popular and political culture with its views about the Bush presidency (its 2003 album was titled Hail to the Thief ), its anti-corporatism, its pioneering efforts to produce ecologically sound road tours, and, most of all, its decision in 2007 to sell its latest album, In Rainbows, online with a controversial «paywhat-you-want» price. Radiohead and Philosophy offers fresh ways to appreciate the lyrics, music, and conceptual ground of this highly innovative band
2008
La confusion psychique commence avec l’histoire en arrière de l’endroit où, pourquoi et comment Sonic Youth est arrivé. Poussin donne un arrière-plan de certains des groupes et des mouvements au sein de la communauté punk rock qui remontent à The Stooges et le Velvet Underground, le traçage tout en place pour le mouvement punk new York No Wave, qui élevés Sonic Youth. A partir de là, le livre va dans l’ordre chronologique, couvrant chaque nouvelle version majeure album ainsi que des projets de la bande latérale personnelles et professionnelles.
2006
2008
SonicKerouac Youth Jack
Nirvana Allen Ginsberg
Radiohead William Burrough
Sonic Youth Rouleau Original
Kurt Cobain Howl, 2010
Thom Yorke Naked Lunch, 1991
Morgan Seite Ag3B 2013