Marines. Du document à l'oeuvre

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Anonyme, série Lancement du Lutécia, 1913. MnM 2009.10.71 © xxxxxxxxx - Conception graphique : Laëtitia Loas

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aris, n hoto à P P la e d Mois

Musée national de la Marine Paris - Palais de Chaillot – www.musee-marine.fr

2010


communiqué presse

Paris, palais de Chaillot

sommaire

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communiqué de presse

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en guise d’introduction

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préoccupations documentaires

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comparaisons culturelles

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sensibilités sur le monde maritime

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liste des œuvres

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visuels disponibles pour la presse

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fiche pratique


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communiqué presse

dans le cadre du Mois de la Photo à Paris, novembre 2010 exposition, 17 novembre 2010 / 28 février 2011 Le musée national de la Marine participe, pour la première fois, au Mois de la Photo à Paris, novembre 2010, organisé par l’association Paris Audiovisuel-Maison Européenne de la Photographie. L’exposition MARINES. Du document à l’œuvre propose, sur 150 m2, une passionnante mise en perspective du fonds photographique du musée avec des oeuvres de la Maison Européenne de la Photographie. De multiples sujets, mais un thème commun : la mer. deux collections dialoguent Cette exposition crée un dialogue entre des images de la collection de Maison Européenne de la Photographie (MEP) et d’autres du fonds de photographies du musée national de la Marine. Elle propose des rapprochements formels ou conceptuels, montre des convergences entre deux collections très éloignées l’une de l’autre par leur histoire et leur contenu. Si celle de la MEP, issue de la création contemporaine, est connue du public, celle du musée national de la Marine demeure encore confidentielle. un nouveau regard Riche de plusieurs milliers d’images, le fonds photographique du musée national de la Marine se constitue dès la fin du XIXe siècle. Il est le résultat de cessions de différents services techniques de la Marine ou de chantiers de constructions privés, ou d’acquisitions auprès de particuliers, photographes et galeristes. À la fin des années 1940, ce rassemblement empirique de « documents photographiques » est organisé sous la forme de dossiers thématiques. Construction navale, portraits de navires, vues portuaires et portraits de marins sont quelques-uns des thèmes développés par cet ensemble exclusivement dédié au monde maritime. Dans les années 1990, un intérêt renouvelé pour ce corpus hétérogène (tant par les coupures chronologiques que par les techniques utilisées) et les problématiques liées à sa conservation amènent à questionner son statut. Le musée national de la Marine entame alors une réflexion sur la valeur patrimoniale des photographies qu’il conserve. variations de mises en perspective Parallèles de procédés techniques, de démarches, de thématiques ou d’ornementation, l’exposition offre une approche singulière. Longtemps considérées par le musée national de la Marine comme de simples documents techniques (valeur esthétique négligée au profit de la valeur dite documentaire), les séries constituées par des prises de vues systématiques de différentes étapes de construction navale (coll. musée national de la Marine) entrent en résonance avec le « style documentaire » de Gilbert Fastenaekens (coll. MEP). D’autre part, la visée typologique et anthropologique des portraits d’autochtones du Pacifique (coll. musée national de la Marine) rejoint la démarche de Rineke Dijkstra (coll. MEP) : elle révèle par la photographie, à un siècle d’écart, des moyens de comparaison culturelle à travers le corps. Sont présentées également des associations plastiques élaborées à partir du jeu graphique de filets de pêche (Anita Conti et Henri Cartier-Bresson), du « drapé » des voiles (Carlo Naya et Pierre Verger) ou de paysages polaires (Luc-Marie Bayle et François Puyplat). Enfin, les contingences techniques propres au medium sont aussi soulignées : prise de vues séquentielle, variation de la mise au point ou photomontage, à travers les oeuvres de John Pfahl, Manuel Esclusa, François Kollar et Jerry Uelsmann. Une belle escale au musée pour découvrir les richesses d’une collection photographique méconnue, mise en regard avec des créations artistiques contemporaines. commissariat : Angelina Meslem, responsable de la collection de photographies du musée national de la Marine

communication

Sylvie David-Rivérieulx, relations extérieures, chef du service Anaïs Gonet, attachée de presse tél. : 01 53 65 69 45 & 47 / e-mail : presse@musee-marine.fr


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EN GUISE D’INTRODUCTION

Si, dès sa création, la Maison Européenne de la Photographie (MEP) a construit une collection cohérente de toutes les tendances de la création contemporaine, la constitution et la perception du fonds photographique du musée national de la Marine ont, quant à elles, largement évolué. du document à l’œuvre Les dénominations successives de la collection du musée national de la Marine sont révélatrices de la difficulté à saisir les propriétés d'un ensemble nommé d’abord fonds iconographique, puis collection patrimoniale de photographies et enfin collection de photographies. Les réflexions sur les déplacements de statut conférés aux photographies offrent - souvent avec vigueur - depuis plusieurs décennies aux conservateurs et historiens, des sujets d’oppositions. La perception de l’image photographique subit inévitablement un déplacement de l’archive à la cimaise. Le document photographique dont l’usage est clairement identifié au moment de la création, devient un objet de musée dès lors qu’il est étudié, restauré, exposé. une volonté de rassembler En 1945, suivant une inclination de l’époque, le rassemblement hétérogène de « documents photographiques » est organisé sous la forme de dossiers thématiques. Jacques Vichot, directeur du musée, écrit : « D’une manière générale, toutes les photographies d’ensemble ou de détails de bâtiments, de vues de ports, de personnages ou d’objets maritimes, présentent pour nous un grand intérêt documentaire. Ces collections sont extrêmement précieuses pour l’histoire des diverses techniques navales et certaines vues sont de véritables documents historiques. Ces clichés seraient d’une grande utilité pour notre Centrale documentaire d’iconographie maritime et son exploitation directe par le Musée de la marine répondrait aux vœux de nombreux érudits, collectionneurs, historiens ou artistes qui connaissent l’existence de ces clichés et déplorent de ne pouvoir les consulter ou les faire reproduire ». Cette collecte poursuit une pratique commencée à la fin du XIXe siècle au musée naval du Louvre. Le classement adopté alors est propre à l’histoire maritime, indifférent aux photographes, aux intentions, à la technique et aux contextes de prises de vues. au delà de la valeur documentaire La pertinence documentaire s’amenuise dès lors que des éléments sensément informatifs ne sont plus capables d’être identifiés que par quelques spécialistes. La qualité esthétique, la beauté documentaire*, négligée jusque là devient alors un point d’accroche. Sans trancher sur les implications théoriques, il s’agit bien de présenter côte à côte des photographies qui entrent conceptuellement ou esthétiquement en résonance avec la création contemporaine.

Anita Conti (Ermont 1899 - Douarnenez 1997) Vieilles femmes de pêcheurs avant 1950 © MnM

* « La beauté documentaire, 1840-1914 », exposition au musée d’Orsay, 8 avril - 29 juin 2003


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PRÉOCCUPATIONS DOCUMENTAIRES

La production photographique dans les arsenaux et les chantiers navals se caractérise par des prises de vue régulières, des différentes étapes de la construction. Parmi elles, le lancement du navire - l’un des moments les plus saisissants d’une construction navale – est le plus souvent photographié. La complexité de mise en œuvre excluant de répéter la manœuvre, le photographe doit saisir un événement spectaculaire qui se déroule en quelques secondes. La séquence où le paquebot Lutétia s’avance vers la mer (1913) ou celle de l’éclat d’une vague dans la Théorie de la vague (1977) de John Pfahl, sont établies sur le même principe : la description d’un objet en mouvement en une série de cinq images fixes. Dans le cas du contre-torpilleur Mortier, l’évolution de la construction est appréhendée, mois après mois, selon un point de vue unique offrant ainsi une série très cohérente. A l’inverse, le sous-marin mouilleur de mines Rubis, est documenté par une variété de points de vue : plans larges, détails des signes sur la coque, outils, géométrie des échafaudages ou de pose de pièces importantes comme le moteur, selon des angles de vues parfois inattendus. À chaque fois, le bâtiment en devenir est l’unique centre d’intérêt d’opérateurs restés anonymes qui fournissent leurs images aux services techniques. Constituées uniquement dans le but de documenter la construction, ces photographies arrivées jusqu’à nous sans autre mention que le nom du navire et la date de prise de vue livrent peu d’informations au non spécialiste. Mais elles entrent en résonance avec le travail de Gilbert Fastenaekens, qui appartient à l’école du « Style documentaire », par la frontalité de la prise de vue, lumière distribuée sans effet dramatique et les sujets photographiés.

Anonyme, Lancement du Lutétia, 1913 © MnM/A. Fux


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COMPARAISONS CULTURELLES

Entre 1891 et 1893, le croiseur Duchaffault fait campagne dans le Pacifique. L’un des marins, rassemble et met en page en trois albums photographiques des tirages sur papier albuminé achetés à chaque escale. Parmi les paysages, les vues de port ou l’urbanisme, se trouve un bel ensemble de portraits dits d’indigènes réalisés par des photographes occidentaux installés en Océanie. Cette pratique du portrait en atelier répond à des intentions multiples, elle associe des enjeux commerciaux, une certaine ambition anthropologique et une mise en images d’un exotisme éprouvé depuis le XVIIIe siècle. Le corps, la posture ainsi que les accessoires – coiffure, vêtements et bijoux – sont censés caractériser des types et des populations. Collier en dents de cachalot des îles Fidji, fleurs de pandanus sont autant de signes caractéristiques. La série des portraits à la plage de Rineke Dijkstra s’inscrit dans un système de comparaisons culturelles similaires. A partir d’une mise en scène très simple : le décor d’une plage et la posture corporelle des adolescents en maillots de bain au centre de l’image, la photographe interroge les différences culturelles entre la Pologne et les États-Unis.

Anonyme Indigène des îles Fidgi Vers 1891-1893 © MnM/A. Fux

Rineke Dijkstra, Hilton Head Island, S.C., États-Unis, 24 juin 1992 Tirage couleur à développement chromogène. © Rineke Dijkstra. Collection MEP, Paris.


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SENSIBILITÉS SUR LE MONDE MARITIME

Dans les photomontages de François Kollar et Jerry Uelsmann, la mer devient le décor de visions oniriques. François Kollar – collaborateur de la revue du musée Neptunia superpose en la dédoublant la figure de proue de l’Amphitrite – conservée au musée - sur une mer calme, tandis que Uelsmann crée à la surface du rivage une ombre imaginaire à partir de nuages mis en boite. Le paysage polaire, univers minéral, hostile, désertique et glacé, photographié par Luc-Marie Bayle ou François Puyplat dévoile les différents états de la banquise.

François Kollar (1904-1979) Photomontage de la figure de proue de l'Amphitrite vers 1948 © MnM / P. Dantec

Jerry N. Uelsmann, Clouds and Sea 1980 Tirage gélatino-argentique Collection MEP, Paris

Quand ce n’est pas l’élément naturel, la mer, ce sont les coques, les filets de pêche, la figure du marin ou des scènes de bords de mer qui permettent des rapprochements formels entre les photographies de la Maison Européenne de la Photographie et celles du musée national de la Marine. Manuel Esclusa dans la série nocturne Voyage au port (1984) fait apparaître des coques tels des éléments de vaisseaux fantômes, vision qui s’oppose à la clarté et à la précision données par les cadrages de la coque du paquebot France (1912). Le drapé des voiles ou les filets de pêche sont l’occasion de jeux graphiques en suspension. Ils deviennent des lignes de forces qui animent le cadre dans Il mare di Senigallia de Mario Giacomelli ou Marin et filet d’Emmanuel Sougez. Tandis que chez Henri Cartier-Bresson, comme chez Anita Conti, c’est le travail de reprise sur la résille du filet qui est photographié. La figure du marin est sublimée par la composition florale en coquillages de l'ex-voto d'un anonyme autant que par les rehausses de peinture de Pierre et Gilles. Enfin les scènes des bords de mer de Bretagne, du Portugal et d'Inde révèlent l'humanisme d'Édouard Boubat.

Anonyme Portrait d'un marin de la Cognée 1914-1918 © MnM/S. Dondain


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LISTE DES ŒUVRES (1)

SECTION 1 Anonyme Lancement du « Lutétia », 1913 Tirage au gélatino-bromure d’argent John Pfahl (né en 1939 ) Wave Theory, Puna Coast, Hawaï, février 1977 Tirages couleurs à développement chromogène Anonyme Contre torpilleur « Mortier » en construction, 1904 à 1905 Tirage au gélatino-bromure d’argent Gilbert Fastenaekens (né en 1955) Longwy, France, 1984 Tirage couleur à destruction de colorants Gilbert Fastenaekens (né en 1955) Dombasles, France, 1985 Tirage couleur à destruction de colorants Anonyme Construction du sous-marin "Rubis", 1929-1931 Tirages au gélatino-bromure d’argent Rineke Dijkstra (née en 1959) Hilton Head Island, S.C., Etats-Unis, 24 juin 1992 Tirage couleur à développement chromogène Rineke Dijkstra (née en 1959) Hilton Head Island, S.C., Etats-Unis , 22 juin1992 Tirage couleur à développement chromogène Rineke Dijkstra (née en 1959) Hilton Head Island, S.C., Etats-Unis, 27 juin 1992 Tirage couleur à développement chromogène 1995.796

Anonyme Maori, vers 1890 Épreuve sur papier albuminé. Planche extraite d’un album photographique Anonyme Types des îles Marquises, vers 1890 Épreuve sur papier albuminé. Planche extraite d’un album photographique SECTION 2 Anonyme Le France en construction, 1910 Tirage au gélatino-bromure d’argent Anonyme Le France en construction, 1910 Tirage au gélatino-bromure d’argent Anonyme Le France, 1912 Tirage au gélatino-bromure d’argent Anonyme Le France, 1912 Tirage au gélatino-bromure d’argent Manuel Esclusa (né en 1952) Bec. De la série Voyage au port, 1984 Tirage gélatino-argentique viré au sélénium Manuel Esclusa (né en 1952) Faç. De la série Voyage au port, 1985 Tirage gélatino-argentique viré au sélénium Manuel Esclusa (né en 1952) Ancora. De la série Voyage au port, 1983 Tirage gélatino-argentique viré au sélénium

Rineke Dijkstra (née en 1959) Kolobrzeg, Pologne, 26 juillet 1992 Tirage couleur à développement chromogène

Manuel Esclusa (né en 1952) Mareig. De la série Voyage au port, 1985 Tirage gélatino-argentique viré au sélénium

Rineke Dijkstra (née en 1959) Kolobrzeg, Pologne, 27 juillet 1992 Tirage couleur à développement chromogène

Manuel Esclusa (né en 1952) Bulb. De la série Voyage au port,1984 Tirage gélatino-argentique viré au sélénium

Rineke Dijkstra (née en 1959) Long Island, Etats-Unis, 1 juillet 1992 Tirage couleur à développement chromogène

Manuel Esclusa (né en 1952) Sesqel. De la série Voyage au port, 1984 Tirage gélatino-argentique viré au sélénium

Charles Georges SPITZ (1845-1894), attribué à Types canaques, vers 1890 Épreuve sur papier albuminé. Planche extraite d’un album photographique

Luc-Marie Bayle (1914-2000) Ile Sturge, 1949 Tirage baryté par Guillaume Geneste, 2008

Anonyme Samoa, vers 1890 Épreuve sur papier albuminé. Planche extraite d’un album photographique Anonyme Indigène des îles Fidji, vers 1890 Épreuve sur papier albuminé. Planche extraite d’un album photographique Anonyme Indigène des îles Fidji, vers 1890 Épreuve sur papier albuminé. Planche extraite d’un album photographique

Luc-Marie Bayle (1914-2000) Vers les îles Balleny, 1949 Tirage baryté par Guillaume Geneste, 2008 Luc-Marie Bayle (1914-2000) Vers les îles Balleny, 1949 Tirage baryté par Guillaume Geneste, 2008 Luc-Marie Bayle (1914-2000) Vers les îles Balleny, 1949 Tirage baryté par Guillaume Geneste, 2008


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LISTE DES ŒUVRES (2)

François Puyplat (né en 1937) N°BB 148.5 . De la série Banquise, 1989 Tirage gélatino-argentique, 1992

Édouard Boubat (1923-1999) Portugal, 1956 Tirage gélatino-argentique, 1990

François Puyplat (né en 1937) N°BB 210.3. De la série Banquise, 1991 Tirage gélatino-argentique 1992

Édouard Boubat (1923-1999) Madras, Inde, 1971 Tirage gélatino-argentique, 1990

François Kollar (1904-1979) Photomontage de la figure de proue Amphitrite, vers 1950 Tirage gélatino-argentique Jerry N. Uelsmann (né en 1934) Clouds and Sea, 1980 Tirage gélatino-argentique Anonyme Portrait d'un marin de la Cognée, Circa 1914-1918 Tirage gélatino-bromure d’argent, mousse végétale, coquillage, papier peint, bois, verre Pierre et Gilles (nés en 1950 et 1953) Le capitaine et son mousse, 1995 Tirage couleur à destruction de colorant rehaussé de peinture Emmanuel Sougez (1889-1972) Marin et filet, vers 1935 Tirage gélatino-argentique Anita Conti (1899-1997) Vieilles femmes de pêcheurs, vers 1935 Tirage gélatino-argentique Mario Giacomelli (1925-2000) Il mare di Senigallia, 1955 Tirage gélatino-argentique Henri Cartier-Bresson (1908-2004) Nazaré Estrémadure, Portugal, 1955 Tirage gélatino-argentique Carlo Naya (1816-1882) Bragozzo à Venise Épreuve sur papier albuminé Pierre Verger (1902-1996) Belem, Para Brasil, 1947 Tirage gélatino-argentique, 1992 Édouard Boubat (1923-1999) Nazaré, Portugal,1956 Tirage gélatino-argentique, 1992 Édouard Boubat (1923-1999) Bretagne, 1948 Tirage gélatino-argentique, 1992 Édouard Boubat (1923-1999) Minho, Portugal, 1956 Tirage gélatino-argentique, 1990 Édouard Boubat (1923-1999) Nazaré, Portugal, 1956 Tirage gélatino-argentique, 1990

Philippe Séclier (né en 1958) Southampton, 2001 Tirage gélatino-argentique par Françoise Habert, 2001 Philippe Séclier (né en 1958) Port-Saïd, 2001 Tirage gélatino-argentique par Françoise Habert, 2001 Philippe Séclier (né en 1958) Valparaiso, 1998 Tirage gélatino-argentique par Françoise Habert, 2001


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VISUELS DISPONIBLES POUR LA PRESSE

Pour la promotion de l’exposition « Marines. Du document à l’œuvre » le musée national de la Marine autorise la presse à utiliser les photographies des objets et documents présentées sur cette page. Ces images sont disponibles sur demande par e-mail. Le copyright pour la diffusion de ce matériel est gratuit et suit les conditions suivantes : le matériel de presse ne peut être diffusé que dans le cadre de la promotion de l’exposition, présentée à Paris, palais de Chaillot, du 17 novembre 2010 au 28 février 2011. Les illustrations choisies doivent respecter le copyright spécifique tel qu’indiqué sur les légendes.

Rineke Dijkstra, Hilton Head Island, S.C., États-Unis, 24 juin 1992 Tirage couleur à développement chromogène. © Rineke Dijkstra. Collection Maison Européenne de la Photographie, Paris.

Anonyme Samoa vers 1891-1893 © Musée national de la Marine / A. Fux

Jerry N. Uelsmann, Clouds and Sea 1980 Tirage gélatino-argentique © Collection Maison Européenne de la Photographie, Paris François Kollar (1904-1979) Photomontage de la figure de proue de l'Amphitrite vers 1948 © Musée national de la Marine / P. Dantec

Anita Conti (Ermont 1899-Douarnenez 1997), Vieilles femmes de pêcheurs avant 1950 © Musée national de la Marine


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FICHE PRATIQUE

exposition sur 150 m2 dans le parcours des collections permanentes dans le cadre du Mois de la Photo à Paris, novembre 2010 du 17 novembre 2010 au 28 février 2011 palais de Chaillot 17 place du Trocadéro - 75116 Paris horaires d’ouverture tous les jours de 10 h à 18 h, sauf le mardi (fermeture des caisses à 17 h 15) droit d’entrée (le billet comprend la visite de l’exposition et des collections permanentes) plein tarif : 7 € tarif réduit : 5 € gratuit pour les moins de 26 ans commissariat de l’exposition Angelina Meslem, responsable de la collection de photographies du musée national de la Marine informations et réservation au 01 53 65 69 53 www.musee-marine.fr librairie boutique accès libre aux heures d’ouverture du musée

présentation à la presse sur rendez-vous visuels sur demande au service presse conférence auditorium du musée national de la Marine L’exposition dans l’œil du galeriste… avec Françoise Paviot, Galerie Françoise Paviot jeudi 9 décembre 2010 à 19 h entrée gratuite réservation conseillée au 01 53 65 69 53 ou sur reservation@musee-marine.fr

événement à venir Paquebot France, l’exposition du 9 février 2011 au 23 octobre 2011

communication

Sylvie David-Rivérieulx, relations extérieures, chef du service Anaïs Gonet, attachée de presse tél. : 01 53 65 69 45 / 47 - fax : 01 53 65 69 46 e-mail : presse@musee-marine.fr



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