Lettre Insertion Emplois n°12

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Insertion Emplois

Avril 2010

Un placement éthique et solidaire qui allie performance financière et développement de l’emploi

Edito Entrepreneur solidaire : un métier d’avenir L’économie solidaire est une composante à part entière de l’activité économique. Pour des raisons de fond tout d’abord. Elle concourt à l’insertion dans le monde du travail des personnes qui en sont aujourd’hui exclues. Elle donne ensuite du sens au travail. S’y ajoutent deux éléments conjoncturels. L’emploi est redevenu avec la crise la première priorité des Français. Le secteur, très émietté jusqu’alors, est en train de se structurer et d’acquérir une nouvelle dimension avec la création d’une poche solidaire dans l’épargne salariale et dans le grand emprunt. La Caisse des Dépôts est impliquée depuis l’origine dans le développement de l’économie solidaire. Elle a participé à la fondation de France Active et au lancement du FCP Insertion Emplois, dont elle est le premier souscripteur. Elle anime son comité de gestion et participe à ces rencontres annuelles, qu’elle souhaite voir devenir des manifestations de place de l’économie solidaire. Jean-Marc Maury, Directeur du département Développement Economique et Economie sociale à la Caisse des Dépôts

N° 12

Bilan de la gamme solidaire Insertion Emplois Dynamique Le fonds a profité du rebond des marchés à partir du 9 mars 2009. Sur un an, il affiche une hausse de 22,69 % au 31 décembre 2009(1). " Pour profiter de la reprise des actions, nous avons allégé en début d’année les valeurs défensives et nous nous sommes renforcés en titres financiers et industriels " explique Christine Lebreton, gérante du fonds ". L’absence du portefeuille d’ArcelorMittal, PPR, Renault, titres ne répondant pas aux critères de sélection ESG (Environnement - Social - Gouvernance) dans le cadre de notre approche ISR (Investissement Socialement Responsable) nous a pénalisé en 2009, mais a contrario la non détention de Total, France Telecom, pour les mêmes raisons, et la présence de Boiron, par exemple, ont contribué positivement à la performance du fonds ". Grâce à la hausse des marchés, le fonds a pu, à partir du 29 mai 2009, investir de nouveau dans le domaine du solidaire. Les investissements solidaires avaient en effet dû être interrompus depuis septembre 2008, le ratio réglementaire maximum de 10 % étant atteint. Au total, le niveau des engagements solidaires a été en 2009 du même ordre que celui réalisé en 2008. Insertion Emplois Equilibre Créé en 2006 sous forme de fonds de fonds, Insertion Emplois Equilibre est investi en parts du fonds Insertion Emplois Dynamique et en obligations. " Nous avons surpondéré en début d’année la partie taux avant de l’alléger dès avril au profit des actions ce qui nous a permis de profiter de leur rebond " explique Rozenn Le Cainec, gérante du fonds. Au 31 décembre dernier, le fonds affiche une performance de 9,67 % sur un an et de 3,16 % depuis sa création le 4 avril 2006(1). Insertion Emplois Sérénité La caractéristique du fonds Insertion Emplois Sérénité est d’être un produit d’allocation flexible

investi en titres monétaires et obligataires. Son objectif est de tirer parti des mouvements de taux à la baisse comme à la hausse, des écarts de taux entre les titres, selon leur duration et entre les pays. " En 2009, nous avons fait varier la sensibilité de manière à profiter de la baisse des taux. Nous avons favorisé les maturités courtes et intermédiaires en jouant la pentification de la courbe des taux et surtout nous nous sommes positionnés sur des émissions d’obligations sur le marché primaire de sociétés du secteur financier garanties par l’Etat ou d’entreprises industrielles " explique Daniel Briand, gérant du fonds. Cette dernière stratégie a été le moteur de la performance en 2009. Elle est de 3,75 % sur 1 an au 26 février 2010(1). Les investissements solidaires(2) Depuis 1994, grâce à la gamme Insertion Emplois, France Active a investi plus de 21 millions d’euros, aidé 585 entreprises et créé ou consolidé plus de 33 000 emplois dont plus de la moitié concernent des personnes en difficulté. Le début de l’année 2009 a été marqué par la suspension des investissements. " A partir du 24 mai, la reprise des marchés a permis d'investir à nouveau si bien qu’en fin d’année, le montant engagé était identique à celui de 2008 (14,7 millions d’euros) " explique Béatrice Bayo, Responsable des Ressources de la Société d’Investissement France Active. En termes de fonds effectivement débloqués, compte tenu des délais, les montants sont toutefois inférieurs à ceux de l’an dernier : 1,7 million contre 2,5 millions en 2008. 22 entreprises ont été ainsi financées. 959 emplois ont pu ainsi être créés ou consolidés dont 444 pour des personnes en difficulté. Le montant des remboursements des prêts a été conforme aux prévisions.

(1) Sources Natixis Asset Management. (2) Sources France Active au 31/12/2009. Les risques liés à l'investissement dans un OPCVM sont décrits dans le prospectus de cet OPCVM. Les chiffres cités ont trait aux années écoulées. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures.

Une belle histoire Le fonds Insertion Emplois Dynamique associé avec la SIFA a permis de soutenir Arcadie. Cette société achète, transforme, conditionne et distribue des plantes et épices biologiques (label Ecocert). Elle assure son activité selon les principes du commerce équitable, « contrat solidaire », qui l'engage sur l’achat de la production d’une exploitation sur 3 ans. Arcadie s’appuie sur un personnel dont la moitié est sous contrats aidés. Arcadie se devait d’engager un plan offensif pour résister à la concurrence des groupes alimentaires : c’est pour assurer ce développement qu’un investissement de 150 000 � a été réalisé conjointement par la SIFA et le FCP Insertion Emplois Dynamique.


Synthèse de la 15e Rencontre annuelle du FCP Insertio Trois questions d’Edmond Maire à Pascal Voisin Edmond Maire, Président de la Société d’Investissement France Active Pascal Voisin, Directeur Général de Natixis Asset Management Pourquoi Natixis Asset Management s’intéresse-t-elle aux fonds Insertion Emplois ? Pour plusieurs raisons. Avec près de 500 millions d’euros d’actifs solidaires*, Natixis Asset Management est le premier gestionnaire français d’épargne solidaire. Elle détient 34 % du marché*. Nous voulons renforcer encore cette position de leader. Investir dans l’économie solidaire est par ailleurs dans nos gènes : à la fois dans ceux de nos actionnaires, les Caisses d’Epargne et les Banques Populaires et dans ceux de Natixis Asset Management. Nous avons été les premiers, il y a 25 ans, à créer un fonds à caractère solidaire, Natixis Impact Nord Sud Développement. Cette histoire, nous y sommes attachés. Peut-on entrevoir une évolution positive après cette crise ? Avez-vous constaté un regain d’intérêt pour les placements solidaires ? L’environnement a changé. Nous constatons qu’il n’y a pas eu pendant la crise de décollecte sur les produits solidaires, contrairement à beaucoup d’autres placements. Les investisseurs sont là pour autre chose que la performance financière. Ils investissent pour donner du sens à leurs placements et s’inscrivent dans une démarche durable.

La crise a modifié également les comportements et les raisons d’investir de beaucoup d’investisseurs et notamment des investisseurs institutionnels. Ils ne s’attachent plus seulement à la performance financière ; ils intègrent eux-aussi la volonté de donner du sens à leur placement. Il en est de même pour les particuliers, 35 % déclarent, dans un sondage réalisé début 2009, que la crise les incite à prendre en compte d’autres critères que financiers. Ce phénomène n’est pas propre à la France. A cela s’ajoute l’évolution législative et réglementaire. La loi de modernisation de l’économie impose aux sociétés de gestion d’offrir un fonds solidaire dans leur offre d’épargne salariale. Enfin, les gestionnaires de contrats d’assurance vie multisupports manifestent un intérêt pour inclure ce type de produits dans leur offre d’unités de compte. Cette évolution positive des esprits se traduit-elle déjà en termes de souscriptions ? Comme nous l’évoquions, les comportements sont en train d’évoluer. Il faut du temps. Nous avons également besoin de relayer le message auprès des distributeurs directs et notamment des compagnies d’assurance. Le sillon est creusé, les encours progressent en dépit de la crise.

* Source : Edition 2009 du baromètre professionnel des finances solidaires de Finansol.

Christian Sautter, Président de l’Association France Active " L’économie solidaire répond à un besoin d’économie de proximité ". L’économie solidaire a deux dimensions. Une mission réparatrice tout d’abord. Avec la crise et l’envolée du chômage, le fossé s’est encore élargi entre des français qualifiés et protégés et les autres. L’économie solidaire sert alors d’amortisseur de crise. Le développement des micro auto-entrepreneurs permet l’émergence de « vraies » entreprises créatrices d’emplois. Les fonds collectés permettent d’accompagner les entreprises d’insertion en fonds propres, en trésorerie... En 2009, France Active a pu aider 600 entreprises et créer ou consolider 15 000 emplois*. Mais au delà, l’économie sociale répond à un besoin comme l’explique Claude Alphandery, Président du Labo de l’Economie Sociale et Solidaire. Entre une économie capitaliste qui a démontré

sa difficulté à se réguler et une économie administrée dont on connaît les limites, nous avons besoin d’une économie de proximité qui réponde aux attentes en matière d’environnement, qui prenne en compte le vieillissement de la population. Que ce soit dans les services à la personne, dans les énergies alternatives ou autres. Le développement de ces activités passe toutefois par un rapprochement de l’épargne et de l’investissement solidaire. Nous nous sommes engagés dans cette voie en créant à l’initiative d’Edmond Maire, des fonds régionaux d’investissement solidaire. Leur potentiel est énorme. L’économie sociale et solidaire est une pousse fragile. Il faut prendre le temps d’aller vite. On ne peut pas en effet « tartiner » l’épargne solidaire sur un champ d’entreprises trop vaste. Il faut que l’action soit ordonnée de manière à ce qu’elle serve véritablement l’emploi et que l’action de fond ne soit pas effacée par la communication. * Source : France Active au 31/12/2009.


on Emplois - 18 février 2010 Entrepreneur solidaire : un métier d’avenir Que signifie être un entrepreneur solidaire ? Mara Maudet, Directrice d’Institut d’Education et des Pratiques Citoyennes : " C’est être un entrepreneur qui identifie des besoins auxquels la société ne répond pas. Dans notre cas, ce sont les services d’aide à la personne comme par exemple des crèches à horaires décalés. Cela représente aujourd’hui sur quatre implantations, 90 emplois permanents dont les deux tiers sont occupés par des personnes issues du monde de l’insertion ". David Giffard, Président d’Alterna Développement : " Nous sommes des entrepreneurs comme les autres avec les mêmes contraintes, les mêmes challenges. Ce qui change, c’est la finalité : réinsérer, créer des emplois, déceler des talents ". Jean-Michel Lecuyer, Directeur de la Société d’Investissement France Active : " Ce qui caractérise un entrepreneur solidaire, c’est sa capacité à marier des aspirations a priori contradictoires : d’un coté l’envie d’entreprendre, de réussir, de l’autre, le souci de l’intérêt général, le développement d’une activité qui a une utilité sociale. Je citerais par exemple la démarche d’un jeune entrepreneur qui a décidé de répliquer en Languedoc-Roussillon les expériences d’insertion menées ailleurs et qui a créé ainsi plusieurs entreprises, dans la restauration, le recyclage des cartons, les livraisons en centre ville par des moyens écologiques, la vente et la location de voitures et vélos électriques... Son objectif est de créer trois entreprises par an. Autre exemple : celui de Web Sourd, une société qui favorise l’accès des sourds aux administrations et aux services des entreprises grâce à un système de traduction sur le net et qui a pour ambition de développer un service avatar de langage des signes pour la diffusion des messages dans les gares par exemple ". Claudie Buisson, Secrétaire Générale du Comité National des Entreprises d’Insertion : " L’entreprenariat solidaire est un modèle complémentaire, une forme de partage du travail moderne qui fait de l’emploi, de l’employabilité d’une grande partie des citoyens aujourd’hui exclus, une priorité. Or cette finalité génère des profits pour l’ensemble de la société difficilement mesurables et pourtant essentiels. C’est aussi un modèle prémonitoire, traceur du futur car l’entrepreneur solidaire s’intéresse à des secteurs qui sont des niches porteuses d’avenir ". Qu’est-ce qui fait le succès de l’entreprenariat solidaire ? David Giffard : " Il apporte une réponse aux problèmes sociétaux et environnementaux. Il interpelle les clients et partenaires qui ne sont pas habitués à les voir sur des activités à forte valeur ajoutée. Chez Alterna Développement, nous avons créé un pôle événementiel et un pôle

communication. Nous nous sommes ajoutés des contraintes sociales, nous avons donc l’obligation d’être bon. Autre particularité : notre mode de management est inversé : il consiste à remettre dans le marché du travail, des hommes et des femmes, puis une fois qu’ils sont réinsérés, à les inciter à nous quitter. Enfin, il existe une convergence d’intérêt entre notre action et le marché en développant des compétences sur des métiers en pénurie (restauration) ". Jean-Michel Lecuyer : " Les entreprises solidaires travaillent en réseaux. Elles bénéficient du soutien des réseaux de financement comme France Active ou encore le réseau Entreprendre qui les aident à structurer leur projet, à créer leur entreprise, qui les accompagnent financièrement... 85 % des entreprises que nous avons aidées sont toujours actives 5 ans après leur création. Un taux nettement supérieur à la moyenne ". Claudie Buisson : " Les entrepreneurs solidaires sont des visionnaires. Ils se sont développés sur des niches qui n’intéressaient personne comme le traitement des déchets et ils ont creusé leur sillon. Aujourd’hui ces activités sont convoitées par les majors ". Quel avenir pour les entreprises solidaires ? Claudie Buisson : " Le champ des besoins non couverts est immense que ce soit dans la valorisation des déchets, dans la construction durable (...) Ce qui nous manque, ce sont des entrepreneurs en nombre suffisant. Aussi réfléchissons-nous avec Essec Entrepreneurs à la création d’une pépinière de jeunes entrepreneurs solidaires. Nous avons besoin également de mécénat en recherche et développement pour finaliser les modèles ". Mara Maudet, Directrice de l’Institut d’Education et des Pratiques Citoyennes : " La crise a le mérite de nous alerter sur la nécessité d’accompagner ces personnes exclues du monde du travail et des structures d’aide. Les secteurs à explorer sont nombreux ". David Giffard : " L’enjeu est double, quantitatif et qualitatif. Il nous faut mobiliser les clients, les entreprises, les structures de tutelle car les problèmes d’insertion s’aggravent. 77 % de nos salariés n’avaient pas travaillé depuis plus d’un an, 65 % avaient un niveau inférieur au CAP, 50 % n'avaient aucun revenu.Auparavant ces personnes avaient un problème de logement, de santé, de rupture avec le milieu social, d’endettement ; maintenant elles les cumulent. Il nous faut nous professionnaliser, industrialiser notre politique d’insertion, exploiter les bonnes pratiques (...) ". Jean-Michel Lecuyer : " Il faut encourager les partenariats. Dans SOS Bâtiment, le groupe d’insertion SOS s’est associé avec des entrepreneurs du secteur du bâtiment pour créer un groupe d’insertion dans ce secteur ".

Le mot de la fin Alain Lemaire, Directeur Général Caisses d’Epargne - BPCE La crise révèle une fois de plus la nécessité de marier l’efficacité économique et l’engagement social en démontrant les limites du modèle économique basé sur le seul marché. Elle a rappelé également aux banquiers que la banque de proximité était une activité solide et qu’il leur fallait revenir à leur vocation originale. La Caisse des Dépôts n’y a jamais dérogé et a toujours eu un engagement social. Tout comme les Caisses d’Epargne qui, il faut s’en souvenir, ont été créées pour collecter l’épargne populaire et la faire fructifier. Natixis Asset Management démontre aussi chaque jour que l’on peut concilier la performance et l’engagement social. Le monde génère toutefois des normes qui rendent ces engagements plus difficiles. Bâle II risque en effet de limiter le soutien financier que les banques peuvent apporter aux porteurs de projets. Raison pour laquelle, à Marseille par exemple, les Caisses d’Epargne ont choisi de mettre en place l’association Créasol. Cela requiert de la volonté mais le résultat est là : 400 projets ont pu être financés en 5 ans. Dans la vocation des Caisses d’Epargne, nous portons cette volonté de nous engager et d’être aux cotés des entrepreneurs solidaires et de toutes les structures qui les accompagnent.


Insertion Emplois Dynamique

au 26/02/2010

Actif net total : 214 501 313,57 € Valeurs liquidatives : Part C : 122,03 € / Part D : 213,20 €

Caractéristiques

Nature Juridique : FCP de droit français Classification AMF : Actions de pays de la zone Euro Codes ISIN : Part C FR0010702084 Part D FR0000970873 Date de création : 11/05/1994 Durée minimale de placement recommandée : 5 ans

Evolution de la performance 5 ans de la part D du FCP Insertion Emplois Dynamique base 100

PEA

Devise de comptabilité : � Valorisation : Quotidienne Droit d’entrée maximum : Néant Droit de sortie maximum : Néant Frais de fonctionnement et de gestion TTC maximum : 1,794 %* Société de gestion : Natixis Asset Management

La performance nette depuis 5 ans est de 2,18 % Source : Natixis Asset Management

Performances nettes de frais Part D (en % et devise de référence) Sur 1 an : 34,83 (du 27/02/2009 au 26/02/2010)

Sur 3 ans : -24,84 (du 28/02/2007 au 26/02/2010)

Sur 5 ans : 2,18 (du 28/02/2005 au 26/02/2010)

Les risques liés à l'investissement dans un OPCVM sont décrits dans le prospectus de cet OPCVM. Les chiffres cités ont trait aux années écoulées. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures.

Insertion Emplois Equilibre

au 26/02/2010

Evolution de la performance 3 ans de la part du FCP Insertion Emplois Equilibre base 100

Actif net Part C : 66 193 648,90 € - Valeur liquidative : 101,92 €

Caractéristiques

Nature Juridique : FCP de droit français Classification AMF : Diversifiés Code ISIN : FR0010303909 Date de création : 04/04/2006 Durée minimale de placement recommandée : 5 ans Devise de comptabilité : �

Valorisation : Quotidienne Droit d’entrée maximum : Néant Droit de sortie maximum : Néant Frais de fonctionnement et de gestion TTC maximum : 0,70 %* Société de gestion : Natixis Asset Management

La performance nette depuis 3 ans est de 1,14 %

Source : Natixis Asset Management

Performances nettes de frais (en % et devise de référence) Sur 1 an : 13,59 (du 27/02/2009 au 26/02/2010)

Sur 3 ans : 1,14 (du 28/02/2007 au 26/02/2010)

Les risques liés à l'investissement dans un OPCVM sont décrits dans le prospectus de cet OPCVM. Les chiffres cités ont trait aux années écoulées. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures.

Insertion Emplois Sérénité

au 26/02/2010

Evolution de la performance 1 an du FCP Insertion Emplois Sérénité base 100

Actif net Part C : 9 018 924,73 € - Valeur liquidative : 103,82 €

Caractéristiques

Nature Juridique : FCP de droit français Classification AMF : Obligations et autres titres de créances libellés en euro Code ISIN : FR0010673491 Date de création : 15/01/2009 Durée minimale de placement recommandée : 12 à 18 mois

Devise de comptabilité : � Droit d’entrée maximum : Néant Droit de sortie maximum : Néant Frais de fonctionnement et de gestion TTC maximum : 0,50 %* Société de gestion : Natixis Asset Management

Performances nettes de frais (en % et devise de référence)

La performance nette depuis 1 an est de 3,75 %

Source : Natixis Asset Management

Sur 1 an : 3,75 (du 01/03/2009 au 26/02/2010) Les risques liés à l'investissement dans un OPCVM sont décrits dans le prospectus de cet OPCVM. Les chiffres cités ont trait aux années écoulées. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures. * Assiette : actif net

Directeur de la publication : Pascal Voisin, Directeur Général de Natixis Asset Management Comité de rédaction : Christophe Point, Béatrice Bayo et Frédéric Lenoir Contacts Natixis Asset Management : Direction Commerciale - Christophe Point - 01 78 40 37 06 - christophe.point@am.natixis.com  Direction Communication - Frédéric Lenoir - 01 78 40 81 74 - frederic.lenoir@am.natixis.com France Active : Béatrice Bayo - 01 53 24 26 26 - beatriceb@franceactive.org Caisse d’Epargne : votre interlocuteur habituel dans votre agence


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