HEBDO
SANS DÉTOUR, débat de société
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DU 21 AU 27 MARS 2015
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TOURNOI DES 6 NATIONS
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ITINÉRAIRES : UNE USINE DANS LA TRIBU
AU SOMMAIRE
DÉFIS D’ICI
SANS DÉTOUR
Contact presse : Mariannick Babe Responsable Marketing et Communication Tel : 00687 23 98 40 Karine Bopp Du Pont Attachée de presse Tel : 00687 23 99 46
LA NUIT DU RUGBY : TOURNOI DES 6 NATIONS
DÉFIS D’ICI
SAMEDI 21 MARS ET DIMANCHE 22 MARS
DIMANCHE 22 MARS
ITINÉRAIRES : UNE USINE DANS LA TRIBU
SANS DÉTOUR
MARDI 24 MARS
JEUDI 26 MARS 20H00
MAGAZINE
SPORT
17H55
DÉBAT DE SOCIÉTÉ
MAGAZINE
20H00
HEBDO DU 21 AU 27 MARS 2015
LA NUIT DU RUGBY : LE TOURNOI DES 6 NATIONS PAGE 4/19
SPORT EN DIRECT SAMEDI 21 MARS ECOSSE / IRLANDE 23H20
Le XV du trèfle n’a laissé aucune chance aux anglais (19 à 9) et se place en vainqueur plus que probable du tournoi, six mois avant la Coupe du monde.
DIMANCHE 22 MARS
ANGLETERRE / FRANCE ITALIE / PAYS DE GALLES 3H50 Philippe Saint-André, le manager du XV de France, 01H25 a renouvelé son soutien à ses joueurs même s’il les Le deuxième ligne Quintin Geldenhuys et l’arrière Andrea Masi sont de retour dans le groupe de 30 joueurs d’après Jacques Brunel, le sélectionneur français du XV d’Italie, pour les deux derniers matches du Tournoi des six nations, à domicile face à la France et au Pays de Galles.
a ouvertement critiqués après la défaite contre le Pays de Galles (13-20). le sélectionneur tricolore n’a fait que trois changements au sein des Bleus pour affronter l’Italie, le 15 mars : le pilier Nicolas Mas, le demi de mêlée Rory Kockott et le centre Maxime Mermoz ont été rappelés jeudi par l’encadrement du XV de France. Qu’en sera-t-il face à l’Angleterrex?
HEBDO DU 21 AU 27 MARS
SAMEDI
LE BERCEAU DES ESPRITS BALLET
«Le Berceau des Esprits» est un ballet créé en 2008 par Sthan Kabar-Louet en écho à l’une de ses nombreuses tournées pour la création des ballets du «Festival des Arts du Pacifique» de 2008 aux Samoa Américaines. En lancement de l’année 2014, le chorégraphe a souhaité réintroduire au répertoire de la Compagnie de Danse Contemporaine de Nouvelle-Calédonie ce ballet mythique, en le revisitant tant par ses musiques, ses costumes et de nouvelles virtuosités techniques et artistiques. «Le Berceau …» s’intègre dans une trilogie initiée depuis 2012, faisant suite au ballet «A l’aube de la Nouvelle Lune» traitant de la naissance du monde dans la cosmologie kanak avec Téa Kanaké, et au ballet «Figure in!», réalisé suite à l’exposition «KANAK, l’Art est une Parole» du musée du quai Branly, qui témoigne du cheminement de ce peuple vers le monde moderne. Dans une atmosphère mystérieuse et aux énergies multiples, «Le Berceau des Es
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prits» se présente comme une continuité dans le choix des sujets traités par le chorégraphe, en symbolisant par une nouvelle réflexion, un thème incontournable de la culture kanak : la réincarnation du « Verbe », ou l’importance de la parole dans les sociétés orales ... Conception Compagnie de Danse Contemporaine de Nouvelle-Calédonie Chorégraphie Sthan Kabar-Louët Avec Tanguy Ricaud, Charlory Thomson, Tuaï Machoro, Julie Fortin, Tania Alaverdov, Sthan Kabar-Louët Costumes Carl Flotat Musiques : Antonio VIVALDI, Giovanni GABRIELI, VIVALDI / DENOY & CORRETTE, 035 KOD IBUKI, Sigur ROS, Colin OFFORD Durée : 1h10
SAMEDI 21 MARS 20H00
DIMANCHE
CRY FREEDOM – LE CRI DE LA LIBERTÉ CINÉMA Au milieu des années 1970, en Afrique du Sud, le journaliste Donald Woods enquête sur Steve Biko, un activiste noir, avec lequel il va se lier d’amitié. Peu après, Biko est arrêté, puis torturé à mort par ses geôliers. Donald va tenter de rétablir la vérité sur l’une des figures de la lutte anti-apartheid. Afrique du Sud, 1975. Au cours d’un reportage, Donald Woods, rédacteur en chef du Daily Dispatch, rencontre Stephen Biko, leader du Black Consciousness, un mouvement considéré comme dangereux par le gouvernement. D’abord méfiants l’un envers l’autre, les deux hommes vont progressivement s’apprécier. Au fil du temps, le journaliste va même finir par se lier d’amitié avec ce jeune homme intelligent, ouvert et généreux. En se rapprochant de Biko, Woods, témoin d’actes de violence de la part de la police, ouvre les yeux sur la situation réelle de la population noire.
Mais Biko est arrêté et meurt dans des conditions que les autorités tentent de dissimuler. Woods va alors s’efforcer de prouver que le régime de Pretoria est directement responsable de la mort de l’activiste et ce, malgré les menaces qui pèsent sur sa famille… Contant sa propre histoire et celle de son ami, le journaliste et romancier sudafricain Donald Woods a écrit deux livres dans le plus grand secret : Biko, en 1978, puis Asking for Trouble, qu’il publia en 1983. Il envoya lui-même ces deux ouvrages à Richard Attenborough. Après Gandhi, récompensé par huit oscars, le cinéaste britannique, disparu en 2014, a réalisé une nouvelle fresque spectaculaire et poignante contre l’intolérance. Genre Drame Avec Kevin Kline, Denzel Washington, Penelope Wilton, Josette Simon… Réalisation Richard Attenborough Production Universal Pictures / Marble Arch Productions Année 1987 Durée 157 min
DIMANCHE 22 MARS 20H00
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DIMANCHE
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MAGAZINE DIMANCHE 22 MARS 17h55
Présentation Emmanuelle Darman et Valdel Production NC 1ère Durée 60 min
Puisqu’on salue les défis c’est de performance dont il est question avec le one man show Léo. Le premier invité d’Emmanuelle est donc William Bonnet, un artiste complet et reconnu qui a fait ses premiers pas dans le monde du cirque. Il est le héros du spectacle Léo, où se mêlent acrobaties et projection vidéo. L’histoire : un homme faussement ordinaire y est entrainé dans une aventure invraisemblable qui fait vaciller notre perception du réel et éblouit nos sens. Mireille Lévy, fleuriste, nous explique ensuite pour quelles raisons son métier est sa passion. Dans la chronique hebdomadaire Parole d’élus on
revient un an après sur le cumul des mandats. Côté musique, Fabian Clavel du groupe I&I interprète une composition en live. Le domaine associatif n’est pas en reste avec Sophie Deschamps de l’Association Autism’Espoir.
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MARDI DOCUMENTAIRE
En Nouvelle-Calédonie, la province Nord s’est récemment dotée d’un outil industriel de poids avec la construction de l’usine de traitement du nickel de Koniambo. Oundjo, la tribu riveraine du complexe industriel, est divisée entre les «pro-usine» investis à fond dans le projet et les «sceptiques», vigilants sur les problématiques sociétales et environnementales. Autrefois uni, le village est désormais divisé. L’argent qui se déverse dans la tribu transforme en profondeur la société traditionnelle kanak. Dans ce film, la parole est donnée aux habitants d’Oundjo qui ne posent pas tous le même regard sur l’usine de Koniambo. Exclus de l’industrie du nickel pendant l’époque coloniale, les Kanaks souhaitent aujourd’hui utiliser l’industrie minière pour réaliser leurs aspirations politiques et économiques. Avec le déclin annoncé des traditions séculaires et l’impact non négligeable sur la biodiversité locale, le projet Koniambo est-il un mal nécessaire pour la province Nord ?
MARDI 24 MARS 20H00 DOCUMENTAIRE
ITINÉRAIRES :
UNE USINE DANS LA TRIBU
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Réalisation Nina Barbier Une co-production NC 1ère, Archipels et Ramlo Production Durée 52 min
TERRE DE MÉMOIRES MAGAZINE Avec Romy Raffin et ses invités, destination la vallée de la Pouembout où les agriculteurs étaient déjà confrontés à la sècheresse au milieu des années 1980. C’est l’irrigation qui leur avait permis de sauver et même développer leurs cultures, C’était pour eux une véritable révolution que l’on découvre dans le reportage «Sècheresse à Pouembout» de Claude Tissandier. De l’agriculture à l’élevage, toujours dans le Nord et dans les années 1980 mais sur la côte Est cette fois, sur les terres de Houaïlou où les tribus de la région misaient sur l’élevage bovin en témoigne le documentaire «GIE Elevage» de Wallès Kotra. Enfin avec le magazine de Claude Tissandier «les dégâts du cyclone Cliff». Romy revient sur ce terrible cyclone de 1981 qui laissa derrière lui d’énormes dégâts, comme à Bourail où la population a dû faire front plusieurs jours après le passage de la dépression.
MARDI 24 MARS 21H00
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MERCREDI CULTURE
MAGAZINE CULTUREL MERCREDI 25 MARS 20H00 PAGE 12/19
Miss Nouvelle-Calédonie 2014, 6ème dauphine de Miss France 2015, ambassadrice de la cause animale, sportive avérée, Mondy Laigle cumule plusieurs mandats. Et dans cette émission, elle rajoutera à son palmarès le statut d’invitée d’honneur d’Endémix, accompagnée des énergiques Sam, Marithé et Myriam. Tandis que Déméné scrute l’actualité culturelle comme chaque semaine : expositions, concerts, rien ne lui échappe. Le trio et la «miss» commenteront le monde calédonien des arts et de la culture.
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JEUDI DÉBAT
DÉBAT DE SOCIÉTÉ EN DIRECT
JEUDI 26 MARS 20H00
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Sur un décor bleu nuit qui se distingue de l’émission de débat politique, la nouvelle émission de la rédaction TV est Sans détour, un débat de société. Diffusée en direct tous les derniers jeudis du mois, à 20h, elle se décline sur les trois médias de NC 1ère : en amont sur le web : site et réseaux sociaux, le jour même en télé et sur les réseaux sociaux pour plus d’interactivité (#sansdetournc) et le lendemain en radio de 8h à 9h dans l’émission «C’est bon à savoir». Le duo journalistique Angélique Souche et Gonzague de La Bourdonnaye vous proposera chaque mois un
sujet qui touche les Calédoniens et invitera en plateau des interlocuteurs capables de donner des réponses concrètes aux téléspectateurs. Insécurité routière : tous coupables, c’est sur ce titre dérangeant mais très direct que les internautes, téléspectateurs et auditeurs sont sollicités pour réagir et s’exprimer. En plateau pour répondre et trouver des solutions dans la première partie consacrée au témoignages et aux constats, il y aura notamment JeanMichel Lévêque, urgentiste, Olivier Goyard, expert en sécurité routière, Pascal Buisine membre de l’asso-
ciation Antinéa qui se charge de l’accompagnement aux victimes et Manuel Cellar formateur et membre de l’association Prévention routière. Dans une seconde partie consacrée au plan d’action et à l’engagement, viendront Gilbert Tuiyenon, membre du gouvernement en charge de la sécurité routière et des transports, Heidi Hénin, familièrement appelée Madame sécurité routière et en charge du plan quinquennal 20142018 pour la sécurité routière au Gouvernement et un responsable de la Gendarmerie Nationale.
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JEUDI, DÉBAT QUESTIONS À ANGÉLIQUE SOUCHE ET GONZAGUE DE LA BOURDONNAYE Angélique Souche officie à la radio,. Journaliste de terrain et de débat, elle anime une nouvelle émission politique en radio Face à face. L’an dernier, elle présentait en duo les soirées électorales aux côtés de Gonzague de La Bourdonnaye qu’on ne présente plus. De présentateur vedette de la grand messe quotidienne, le journal télévisé, il est devenu rédacteur en chef pour se consacrer ces dernières années au développement du site web de NC 1ère. Ils s’engagent tous deux à permettre aux Calédoniens d’obtenir des éléments de réponse aux thèmes qui les touchent de près. Sécurité routière, armes à feu, etc, les Calédoniens sont aussi sollicités à en parler, à témoigner et s’exprimer sur les trois antennes de la chaîne. Angélique et Gonzague vous collaborez pour la deuxième fois sur une émission, l’année dernière vous présentiez les soirées électorales, est-ce un hasard ? GDLB : En effet, il nous a été demandé de réfléchir à une émission débat de société qui incluerait les trois supports. On nous l’a probablement demandé suite aux soirées électorales de l’année dernière qui ont bien fonctionné. Sans détour, est-ce un titre volontairement provocateur ? De quels sujets allez-vous traiter ? AS : C’est un magazine de société et sans détour ça veut dire que l’on se donne la contrainte de choisir des sujets dits problématiques dans la société calédonienne. GDLB : Ce ne sont pas des sujets aériens non plus, ce sont au contraire des questions très concrètes et qui concernent vraiment les gens. Parlons du premier : «insécurité routière, tous coupables». On pose le décor, c’est-à-dire que l’on n’a pas l’intention de ne faire qu’un constat mais de faire avancer les choses, et d’obtenir de nos invités des engagements de la part de ceux qui sont en capacité de le faire. Et, pour ceux qui vont venir témoigner, de le faire sans détour et de dire les choses telles
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qu’elles sont. Une idée des thématiques suivantes ? GDLB : C’est une émission assez lourde. Il faut faire venir les gens, construire l’émission, la penser et la décliner sur trois supports. De ce fait nous avons un à deux mois d’avance. Donc la deuxième sera sur les armes à feu, «faut-il réduire le nombre d’armes en Nouvelle-Calédonie ?» L’idée c’est de poser des questions de façon à obtenir des réponses concrètes et ne pas se contenter de dresser des constats. Bien sûr en toute modestie, car cela dépend aussi de nos invités. On sera là pour y mettre les formes et ne pas mettre les gens mal à l’aise, car ils ne viendraient plus. Par contre, on désire obtenir des réponses claires et des engagements. Vous présentez chacun une émission en radio, pouvez-vous nous en parler. Est-ce complémentaire par exemple pour vous Angélique puisque c’est un débat politique? AS : Politique et société, c’est proche. En radio, j’anime un face à face politique qui a été conçu de façon à être plus mordant. Cela a beaucoup de contraintes à être mis en place puisqu’il faut des interlocuteurs et une problématique qui soient dans ce registre-là. Nous n’avons donc que deux points de vue qui s’affrontent. Les deux émissions se rejoignent mais «Sans détour» se veut plus complète, on prend un sujet et on cherche à le creuser tout en ayant la contrainte que cela parle à tout le monde. GDLB : Quand Wallès Kotra nous a demandé de nous occuper de cette émission, on a répondu positivement même si l’on savait que ça ne serait pas simple à monter ce type de débat. Concernant «les rendez-vous de l’entreprise» en radio, c’est très différent. C’est la valorisation de parcours de chefs d’entreprise. Le but est de donner l’envie aux jeunes de se lancer, car il suffit d’avoir envie pour devenir entrepreneur et s’inspirer de l’exemple des aînés. Les parcours sont très rarement linéaires et c’est ça qui me plait dans cette émission. Pour «Sans détour» ce qui nous motive, c’est que l’on va éviter d’être dans le débat stérile ou purement politique. Nous allons tenter d’obtenir des réponses de ceux qui décident pour nous. Il me semble que si l’on peut faire un peu avancer les choses ce sera une grande satisfaction.
Comment se prépare «Sans détour», comment se fait le choix des invités ? AS : C’est un travail collectif avec Valérie Giacomello, rédactrice en chef TV, qui est beaucoup à la manoeuvre ainsi que Claudette Trupit, rédactrice en chef radio et Bénédicte Piot-Gambey, directrice d’antenne TV. On rassemble toute cette matière grise. Mais je dois dire que cela me change du travail en radio qui est souvent un travail en solitaire et autonome d’un point de vue éditorial. C’est agréable quand le thème est posé. C’est une vraie réflexion commune, les réunions sont un peu longues (rire) mais tout le monde peut apporter quelque chose. Ce n’est pas figé. Une fois la thématique choisie, il y a l’aspect technique à mettre en marche et puis encore un aspect éditorial, c’est-à-dire la rencontre de tous les invités pour défricher le sujet avant de passer à l’écriture.
connecté à la thématique. L’idée c’est de donner l’occasion aux téléspectateurs de s’exprimer. C’est donc une émission interactive ? AS : Vendredi matin c’est le but du jeu, peut être encore plus que d’habitude, que les auditeurs-téléspectateurs puissent prolonger la réflexion sur la thématique en compagnie de l’invité d’Anne-Claire Lévêque en radio, avec des questions qui n’ont pas été abordées la veille. GDLB : On invite les gens à participer avant, pendant et après [à noter que l’émission est aussi en replay sur nc1ere.nc ]. On veut vraiment impliquer le téléspectateur dans cette émission. On est toujours plus intelligents à plusieurs. Venez nous rejoindre pour nous aider à construire ces entretiens et à poser des questions via internet et réagir en direct, et le lendemain à la radio.
Cette émission sera diffusée en multi-support, quelle en est la chronologie ? L’idée est de faire participer les auditeurs, téléspectateurs et internautes de NC 1ère. En amont sur les réseaux sociaux (sur la page Nouvelle-Calédonie 1ère) et le site (nc1ere.nc) nous faisons des appels à témoignages et au partage de questions. On souhaite faire réagir les Calédoniens en direct durant l’émission en utilisant le hashtag #sansdetournc. Puis, l’émission proprement dite est diffusée le dernier jeudi de chaque mois en direct à 20h. On poursuit ensuite l’émission, le lendemain en radio. Mais je vais laisser Angélique en parler. AS : en effet, il y aura un rebond en radio dans l’émission d’Anne-Claire Lévêque C’est bon à savoir de 8h à 9h, le lendemain matin. Elle prolongera l’émission avec un invité forcément
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PROCHAINEMENT
retrouvez-nous sur www.nc1ere.nc
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LAKOUSTIC MUSIQUE
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SPEED CINÉMA
Sur la scène du Mouv’, c’est le retour de l’émission musicale de NC 1ère menée tambour battant par Janice.
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LES EXPERTS LAS VEGAS SAISON 14 SÉRIE
L’équipe de brillants enquêteurs en quête de vérité et de justice nous emmène au coeur des rues et des alentours de Las Vegas. Grâce aux nouvelles technologies, à leurs connaissances pointues et à leur talent, ils parviennent à élucider des affaires hors normes.
Duel mortel entre un jeune policier de Los Angeles et un artificier à la retraite. Scènes d’action, cascades et explosions en tout genre rythment ces deux heures d’un contre-la-montre haletant. Ce film a révélé Sandra Bullock au grand public.
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ITINÉRAIRES : LA DERNIÈRE RÉVOLTE DOCUMENTAIRE
En 1917, à l’ombre immense de la Grande Guerre en Europe dans un pays régi par le Code de l’indigénat, se fomente la dernière révolte kanak qui va secouer la région de Koné et de Hienghène et semer la panique dans tout le pays. Trois personnages importants nous guident à travers ces événements : le colon Ludovic Papin, le célèbre pasteur Maurice Leenhardt et le révolté Noël Nea Mwa Pwatiba de la tribu de Tiamou à Koné.
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