HEBDO
DU 1 AU 7 NOVEMBRE 2014
SOYONS FOOT ! FINALE DE LA COUPE DE NOUVELLE-CALÉDONIE
- INTERVIEW D’ANTOINE KOMBOUARÉ -
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FINALE DE LA COUPE DE CALÉDONIE
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TOP GEAR
FINALE DE LA COUPE DE CALÉDONIE FOOTBALL
TOP GEAR
DIVERTISSEMENT
EN DIRECT
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ITINÉRAIRES : TEST, CHRONIQUE D’UNE INITIATION
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SAMEDI 1 NOVEMBRE 19H50
SAMEDI ET DIMANCHE 17H00
CAPTIVE
ITINÉRAIRES :
AU SOMMAIRE
Contact presse : Mariannick Babe Responsable Marketing et Communication Tel : 00687 23 98 40 Karine Bopp Du Pont Attachée de presse Tel : 00687 23 99 46
TEST, CHRONIQUE D’UNE INITIATION
CAPTIVE
TÉLÉNOVELA
MAGAZINE
MARDI 4 NOVEMBRE
20H00
LUNDI AU VENDREDI 18H00 REDIFF À 9H LE LENDEMAIN
HEBDO DU 1 AU 7 NOVEMBRE 2014
NC 1ÈRE VOUS PROPOSE L’ÉVÉNEMENT 100% FOOTBALL CALÉDONIEN EN LIVE En plateau au Mont Coffyn, Eric Dufour en compagnie de ses invités vous propose des commentaires et des analyses, au début à la mi-temps et avant la remise de la Coupe. Tandis que, depuis les gradins, le duo gagnant John Gope, animateur de NC 1ère, ancien footballeur, et Martin Charmasson, journaliste de NC 1ère commentent en direct le match. POUR VOUS METTRE DANS L’AMBIANCE, UNE INTERVIEW D’ANTOINE KOMBOUARÉ ...
COUPE DE CALÉDONIE
LA FINALE
SAMEDI 1ER NOVEMBRE A 20H00
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EN DIRECT DEPUIS LE STADE NUMA DALY À MAGENTA, L’AS LOSSI RENCONTRE L’AS MAGENTA EN FINALE DE COUPE DE CALÉDONIE.
SPORT
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SAMEDI
SAMEDI ANTOINE KOMBOUARÉ :
«Des qualités mentales sont nécessaires : avoir un mental solide ! C’est sûr qu’il y a le foot, mais il y a surtout la capacité à résister à la pression, à la concurrence malgré le froid et l’éloignement.» Antoine Kombouaré, entraineur du Racing Club de Lens, et calédonien d’origine, était de passage sur le territoire pour la sortie du livre d’Entretiens avec Wallès Kotra, «Antoine Kombouaré, paroles d’un footballeur kanak». Il était également invité à un séminaire organisé par le Gouvernement dont le thème était : «L’entraineur face à la performance, ou les entraineurs calédoniens face à l’excellence nationale». Du fait de son expérience et de sa renommée dans le monde du foot, nous lui avons posé quelques questions, Wallès Kotra participait également à l’entretien. Nous vous partageons ces échanges en guise d’introduction à l’événement de ce samedi 1er novembre, jour de finale de la Coupe de Calédonie, une coupe couverte par les télévisions calédoniennes. Votre regard sur le football calédonien Très honnêtement je ne suis pas beaucoup le football calédonien, par contre quand les jeunes viennent pour la Coupe de France parce qu’ils se sont qualifiés, je vais les voir, leur rendre une petite visite pour les suivre un peu mais c’est vrai que je suis parti depuis tellement longtemps… Après des carrières comme la vôtre et celle de Christian Karembeu qui pourraient servir de modèles, on pouvait peut-être s’attendre à une recrudescence de réussite de jeunes calédoniens en métropole, comment expliquezvous que ce ne soit pas vraiment le cas ? J’ai fait de la formation au PSG, donc j’ai commencé par ça. Peut-être qu’ici on s’attend à ce que des jeunes puissent réussir. Mais il faut savoir que c’est très compliqué car c’est l’élite au plus haut niveau et la sélection est difficile. Par exemple, sur les 70 gamins que j’avais, il n’y en avait que trois qui réussissaient. Donc le pourcentage de réussite est très faible. Les jeunes qui sont ici, d’abord, est-ce qu’ils ont envie de tenter l’aventure ? Ceux qui l’ont tentées, vivent mal la coupure avec la cellule familiale et l’éloignement, ce n’est pas facile. Mais en ce moment il faut savoir quand même que deux jeunes calédoniens percent, un à Troyes et un autre à Laval. J’ai eu la chance de les croiser. Je leur ai prodigué quelques conseils, mais après ils font leur parcours. Ce que je leur ai dit, c’est que le plus difficile ce n’est pas d’arriver là, car c’est possible pour tout le monde mais ensuite il faut persévérer. Etre tenace et ne pas lâcher, surtout quand on est un ilien. Des qualités mentales sont nécessaires : avoir un mental solide ! C’est sûr qu’il y a le foot, mais il y a surtout la capacité à résister à la pression, à la concurrence malgré le froid et l’éloignement. Le fait de se battre cela va vous renforcer encore plus, une fois ces écueils-là passés, je parle à partir de mon expérience, la vie est belle. Dans le livre d’entretiens avec Wallès Kotra vous abordez votre parcours justement... En effet je parle aux jeunes à partir de mon parcours dans ce livre, mais ce n’est pas une biographie, c’est une conver-
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sation entre deux iliens. Le fait d’avoir Wallès en face de moi j’ai pu avoir confiance, j’ai pu me livrer sur ce que je suis en vrai. Ce n’est ni un exercice facile ni ce qu’on aime faire, nous iliens, car on n’aime pas parler de nous. Mais voilà j’ai accepté de le faire et j’en suis pleinement heureux. Donc le souci que l’on a, iliens, c’est de partir. J’ai eu cette vision-là quand j’étais petit, je me demandais ce qu’il y avait au-delà de la mer. On a envie de partir voyager, aller découvrir, et c’est bien, même si pour la plupart, on revient toujours car nous avons nos racines ici, nos anciens qui nous appellent. La médiatisation du football qu’en pensezvous ? (AK) On parle médiatisation, moi je pense surmédiatisation du football en France, on en parle trop par rapport aux autres disciplines. Enfant, ici, je faisais de l’athlétisme du 60m haie, de la hauteur, j’ai fait du basket, du handball, du volley et le foot est venu après. On en parlait entre amis, moi je suis fatigué d’en parler, je préfère parler de golf(sourire) mais c’est parce que c’est mon métier. (WK) Mais ici, il n’y en avait pas assez alors on essaie de faire exister le football à la télévision. (AK) Oui ici c’est différent, les retransmissions de matches, c’est une bonne idée pour différentes raisons. Pour les footeux, si la famille ou les amis ne peuvent pas se déplacer, ils pourront les voir malgré tout. Et puis ça va permettre de corriger l’image du football calédonien. Je parle des problèmes de comportement sur le terrain. Si ça peut déjà amener ça, tant mieux. Avez-vous accompagné un jeune calédonien en particulier ? (AK) L’exemple c’était Christian Karembeu. C’est différent car j’étais encore footballeur à Nantes. J’ai pu l’accueillir, le voir grandir, aujourd’hui on est tous très fier de son parcours. (WK) Le métier d’Antoine, c’est d’accompagner les jeunes, avant d’être entraineur professionnel, son métier était formateur. (AK) Quand on n’a pas eu la chance d’avoir une grande carrière comme Didier Deschamps ou Laurent Blanc, il faut démarrer par la formation. Et c’est très bien car ça m’a permis d’apprendre mon métier tout simplement. J’ai passé 4 ans à la formation, à mettre les mains dans le cambouis et après une fois que c’est parti, on s’éclate. Quels retours avez-vous lorsque vous revenez ici ? Bizarrement je rencontre souvent des gens qui me disent : « merci on est content de ce que tu fais, que tu viennes ici, que tu ne nous oublies pas ». J’en suis surpris car je vous le dis très clairement : moi aussi je leur dis merci car si je viens, c’est parce que c’est un besoin. Je viens puiser de l’énergie, prendre des forces et repartir en métropole au combat. Si je peux le faire, c’est parce que j’ai retrouvé les miens et
les gens que je ne connais pas qui m’expriment leur soutien. Ils pensent recevoir mais ils me donnent beaucoup, c’est un partage. Quand je repars là-bas, c’est avec beaucoup de choses positives et surtout de l’énergie. Pouvez-vous nous décrire en quoi vos origines vous ont aidées dans votre carrière? Lors du départ, il y a un accompagnement qui se fait, les coutumes, toute la famille, à l’aéroport il y a du monde, tout le monde veut te dire aurevoir. Forcément quand tu arrives làbas, tu n’oublies pas, c’est l’éducation que tu as reçu, toutes les coutumes, tous les conseils qu’on te rabâche chaque jour, tu n’en sors pas. C’est ce qui me guide tous les jours, dans ma vie, dans mon travail. Comment je conçois mon travail ? C’est simple, j’ai l’impression d’avoir un clan, une famille que nous construisons. On fait des transfert, on fait venir des jeunes. Mon rôle est de monter une stratégie et puis l’idée c’est de leur dire : comment va-t-on faire pour aller au combat contre les adversaires, de façon fictive bien sûr, c’est du sport.Si je fais ça c’est parce que je m’appuie sur : d’où je viens, l’éducation que j’ai reçue, mes origines, mes rencontres et sur mes connaissances, mes 17 ans de carrières, mes diplômes. Et puis les années, car il parait que quand on passe les 50 ans, on devient sage (sourire). WK Tu en parles dans le livre, de ton enfance à Plum, hier tu y es retourné, qu’est-ce que tu as ressenti en retrouvant Plum ? AK J’ai vécu toute mon enfance à Plum, même si je viens des îles : papa, Iles des Pins, maman, Lifou. Hier je me suis revu à la place de tous ces gamins qui sont venus me voir. Je leur ai dit qu’avant je jouais au foot ici mais il n’y avait pas de pelouses synthétiques. Quand on arrivait de Plum, ce n’était pas toujours facile. C’était juste pour leur dire que si le début était ici, pour la suite il n’y avait pas de limites, qu’il ne faut pas se fixer de limites. On se laisse porter, après on voit. Surtout quand on est ici, on est gamin, on ne rêve pas d’être footballeur professionnel et après entraineur. On est porté par une passion, on aime le foot. On ne rêve pas d’être connu. Vous vous dites : si j’ai la chance d’en vivre pourquoi pas ? Ensuite vous montez les échelons, vous vous laissez porter par les gens qui vous appellent, enfin vous construisez une vie tout simplement.
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ÉVÉNEMENT
L’ADN de Top Gear : l’humour, le plus souvent décalé, la vitesse, bien sûr, et l’auto… dérision ! Top Gear propose une approche pour tester et parler de voitures qui dépasse tous les codes classiques des émissions « automobiles » existantes. Presque un « talent show », elle est construite autour de défis comme le dépassement de soi, la compétition pour arriver le premier… D’aucuns diront que c’est une émission destinée aux hommes, mais, en réalité, son ton et son style rendent ce programme accessible à chacun. D’ailleurs, près de 40 % de ceux qui le regardent sont des femmes. Irrévérencieux, spirituel et terriblement impartial, Top Gear repousse les limites de ce qui peut être fait derrière un volant et révèle la qualité des véhicules mis en scène. Animé par : Jeremy Clarkson, Richard Hammond, James May et un pilote anonyme surnommé Le Stig Durée d’un épisode : 52 minutes Production/Conception BBC Producteur exécutif : Andy Wilman PRODUCTION : NC 1ère DURÉE : 90 min PRÉSENTATION : Lorelei Aubry, Romy Raffin, Myriam Watue
SAMEDI ET DIMANCHE A 17H DIVERTISSEMENT SAMEDI 16 AOÛT 20H00 (rediffusé le mercredi 20 août à 12h00)
TOP GEAR
EN REPLAY ET TOUS LES DÉTAILS SUR LE SITE nc1ere.nc
MAGAZINE
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DIMANCHE
DIMANCHE
FOOTBALL D1 FÉMININE SPORT
Retransmission du match au sommet de la 8ème journée opposant l’Olympique Lyonnais au Paris Saint-Germain. Le choc entre ces deux clubs, actuellement au coude à coude en tête du Championnat, et qui se retrouveront prochainement face à face en Ligue des Champions, sera à vivre sur NC1ère en direct du Stade de Gerland à Lyon . Sept victoires consécutives pour Lyon et le PSG, quatrième revers de suite pour Arras, voilà pour les séries en cours. Lyon est pour l’instant leader, avec Ada Hegerberg, meilleure buteuse du championnat. La Norvégienne conforte sa place de meilleure buteuse du championnat et pour cause, elle a marqué à chaque journée depuis le début de la saison… Prodigieux pour une nouvelle recrue de 19 ans... Un 7ème succès de rang en championnat qui permet aux Lyonnaises de rester en tête avant le choc face au PSG en ce début novembre.
DIMANCHE 2 NOVEMBRE A 6H40
DES LIVRES ET TERRE NOUS DE MÉMOIRES MAGAZINE
MAGAZINE
L’émission littéraire de NC 1ère parle du livre, slame, chante… mais en quelle langue ? «A quoi sert ma langue ?» est la question fil rouge de ce numéro de «DES LIVRES ET NOUS» qui met l’Académie des Langues Kanak à l’honneur. En partenariat avec la Maison du Livre et la Bibliothèque Bernheim.
Production : NC 1ère Présentation : Cris Bouton Durée : 1h00
Le magazine de la mémoire audiovisuelle revient avec un 52 minutes sur la commune de Thio. «Thio, l’avenir est encore dans la terre», magazine dans le cadre de « DECOUVERTES ». D’une durée de 52 mn, ce documentaire a été réalisé en avril 1999 par Thierry Rigoureau sur des images de Laurent Beghin. L’équipe s’est immergée dans la commune la plus étendue du territoire. A travers une véritable endoscopie, Thio remonte avec nostalgie sur les traces de sa gloire passée, dévoile son quotidien et exprime ses préoccupations pour l’avenir.
A 9H35
Production : NC 1ère Préparation : Christiane Poedi Durée : 1h00
A 12H00
DÉFIS D’ICI
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Au programme des Défis d’ici, la lauréate 2013 de la Nescafé star, Aude Guisiano, qui interprète en live son titre «Don’t let a boy drag you down». Romyreçoit également Quentin Janeau pour l’association Scifi Club et Jonathan Chevriot qui a mis en place un projet nommé Trial Concept. Mais aussi vous découvrirez l’Association des femmes de Göline de Lifou ou une jeune artiste Elsa Barrow... Du côté d’Erwan, il poursuit sa collecte des vidéos ou des infos qui font le buzz sur la toile. Il présente aussi le rendez-vous de la semaine : le Festi-
val Tembeu.
Production : NC 1 ère Présentation : Romy Raffin avec Erwan Morelli Durée : 52 minutes
DIMANCHE 2 NOVEMBRE 18H00
MAGAZINE
HEBDO DU 1 AU 7 NOVEMBRE 2014 HEBDO DU 1 AU 7 NOVEMBRE 2014
DIMANCHE
DEMAIN C NOUS À DUCOS DIMANCHE 2 NOVEMBRE
19H00
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DIMANCHE
Cette semaine, Demain c Nous, le magazine des jeunes Calédoniens, installe sa caméra dans le quartier industriel de Ducos. Et pour démarrer cette nouvelle aventure, Myriam Watue, la présentatrice de l’émission, met le cap sur l’hôtel Le Centre, représentatif de ce « Ducos de demain ». Sur place, elle rencontre Anne, jeune déléguée commerciale qui va lui servir de guide dans l’établissement hôtelier : d’abord la visite du business center, puis cap sur l’une des suites familiales et un tour au restaurant pour terminer. Ensuite, c’est dans le garage d’Ismaël Lorre que Myriam a pris rendez-vous. Ismaël est un sacré phénomène ! Passionné de drift, il a créé son activité il y a trois ans et prend son rôle de chef d’entreprise très à cœur. Enfin, la présentatrice de l’émission fait connaissance avec Fanny qui - elle aussi - a le sens du business : à seulement 23 ans, elle est devenue chef d’entreprise en commercialisant des objets publicitaires. Aujourd’hui, Fanny a des fournisseurs en Chine mais met son point d’honneur à embaucher des jeunes Calédoniens… Cette semaine, la rubrique Autoportrait est occupée par… chut ! Car il s’agit d’un invité surprise ! Enfin, dans la case, quatre jeunes nous parlent de l’importance de l’anglais aujourd’hui dans le monde et de la place des langues kanak en Nouvelle-Calédonie.
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DU LUNDI AU VENDREDI
FICHE TECHNIQUE
VOTRE NOUVEAU RENDEZ-VOUS DE 18H10:
CAPTIVE
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TELENOVELA BRÉSILIENNE 140X 45 MIN CRÉATION GLORIA PEREZ RÉALISATION MARCOS SCHECHTMAN PRODUCTION TV GLOBO ANNÉE 2013
EN QUELQUES MOTS... Tourné à Istanbul et dans la Cappadoce, Captive affiche un casting d’acteurs de re-nommée internationale qui portent avec brio l’histoire où se mêlent l’injustice, l’amour et la liberté.
TÉLÉNOVÉLA
ÉPISODE 1 Morena donne rendez-vous à Theo pour DU LUNDI, AU VENDREDI qu’il vienne la chercher à l’aéroport. L’ultimatum est donné : s’il ne la rejoint À 18H10 REDIFFUSION LE LENDEMAIN À 9H pas, elle s’envole pour la Turquie.
HEBDO DU 1 AU 7 NOVEMBRE 2014
Comment concilier les exigences de la modernité avec le souci de préservation de la tradition ? C’est la question posée ce soir dans cette 30 ème édition de la saison 3 du « Magazine des Identités ». Le test nous emmène aux confins de l’archipel des Salomons dans les iles et atolls les plus isolés à la rencontre du jeune Ernest, adolescent de 14 ans qui nourrit l’espoir d’être le premier jeune homme de son village à attraper une bonite de manière traditionnelle. Etrange obsession pour ce jeune homme soumis à l’épreuve de la tradition par les vieux du village. Va-t-il réussir le challenge et dans quel but ? A travers la renaissance de la pêche traditionnelle à la bonite, «Le test, chronique d’une initiation» raconte l’histoire de l’engagement d’un jeune garçon, et celle de toute une communauté pour préserver ses traditions. Un rituel qui n’avait pas été pratiqué depuis plus de 30 ans dans la province de Makira. UN FILM DE : Adilah Dolaiano DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE : Laurent Chalet UNE PRODUCTION DE LA «compagnie des Taxis Brousse» avec « Archipels » et le réseau des « 1ere »
MARDI 4 NOVEMBRE 20H00
MAGAZINE
LE TEST, CHRONIQUE D’UNE INITIATION PAGE 16/21
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CINÉMA JEUDI 6 NOVEMBRE 20H00
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GENRE : COMÉDIE RÉALISATION : RÉMY BESANÇON PRODUCTION : MANDARIN FILMS, M6 FILMS AVEC : VINCENT ELBAZ, MARION COTILLARD, GILLES LELLOUCHE… ANNÉE : 2005
Récompensé par un Oscar du ‘Meilleur jeune espoir masculin’, Gilles Lellouche joue aux côtés d’autres poids lourds du cinéma, dans cette comédie hilarante.
qu’il avait pourtant promis de rejoindre à l’autre bout du monde. Du coup, c’est avec son ami d’enfance, Ludo, que Yann partage son appart. Mais l’arrivée tonitruante d’une voisine va réveiller son quotidien …
Yann Kerbec, trentenaire, travaille dans l’aéronautique… tout en étant phobique de l’avion ! Il enchaîne les aventures sans lendemain, en espérant un jour le retour de Charlotte, son premier amour. Premier amour qu’il a perdu à cause de sa peur de l’avion : impossible pour lui de s’envoler vers sa belle,
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HAWAIKI NUI VA’A SPORT
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Samedi la deusième étape EN DIRECT et dimache la troisième et l’arrivée.
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MAXIME DESTREMAU, UN DESTIN POLYNESIEN ITINÉRAIRES
3 PROCHAINEMENT
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Le 22 septembre 1914, Maxime Destremau entre dans l’Histoire et la Polynésie Française dans la Première Guerre Mondiale. Le commandant Destremau, seul, avec quelques hommes et sa chère canonnière «Zélée», est prêt à soutenir l’attaque de la grande flotte impériale allemande, représentée par l’amiral Von Spee. L’attaque surprise des bateaux ennemis est déjouée par celui qu’on va appeler le «Tomana api», le nouveau chef.
MASTER ET COMMANDER
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CINÉMA
Début du XIXe siècle : la marine royale britannique règne sur les sept mers. Le capitaine Jack Aubrey en est l’un des plus éminents représentants. Ses faits d’armes sont connus dans tout l’Empire et imposent le respect à l’équipage de son navire, le Surprise. Mais alors qu’il navigue, il est attaqué par un vaisseau français, l’Achéron. Malgré les dégâts subis, Jack se lance à la poursuite du navire français, du Brésil aux îles Galápagos...
HOMELAND (SAISON 3)
4
SÉRIE
ÉPISODES 8 à 12
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