HEBDO
DU 7 AU 14 NOVEMBRE 2014
LE CHEMIN DES DRAMES ET COMMÉMORATIONS DU 11 NOVEMBRE
- INTERVIEWS D’INGRID UTCHAOU ET GAËLLE PERRIER -
P12-17
HAWAIKI NUI VA’A P4
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HAWAIKI NUI VA’A
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LE CHEMIN DES DRAMES
AU SOMMAIRE
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RUGBY : FRANCE-FIDJI
HAWAIKI NUI VA’A
RUGBY
SPORT
SPORT
EN DIRECT
EN DIRECT
SAMEDI 8 NOVEMBRE 19H50
DIMANCHE 9 NOVEMBRE 17H00
LE CHEMIN DES DRAMES
ITINÉRAIRES :
ITINÉRAIRES : MAXINE DESTREMEAU
Contact presse : Mariannick Babe Responsable Marketing et Communication Tel : 00687 23 98 40 Karine Bopp Du Pont Attachée de presse Tel : 00687 23 99 46
SÉRIE
DU 6 AU 14 NOVEMBRE
19H55
MAXIME DESTREMEAU DOCUMENTAIRE
MARDI 11 NOVEMBRE 21H34
HEBDO DU 8 AU 14 NOVEMBRE 2014
Côté coulisses Le direct télé avec Gilles Tautu et Maruky Duri Deux journalistes radio de Polynésie 1ère vont couvrir, en direct depuis des bateaux suiveurs, les deux dernières étapes de Hawaiki Nui Va’a. Un travail considérable qui, même s’il se fait en partie sur le vif, repose sur une solide préparation. « Nous devons collecter le maximum d’informations en amont sur toutes les équipes qui s’engagent dans la course », commente Maruky Duri. « Leur histoire, leur palmarès, leur préparation… Ceci afin d’essayer d’en appréhender les forces et les faiblesses pour pouvoir au mieux analyser la course. » Passionné de va’a et fidèle de Hawaiki Nui Va’a depuis près de 10 ans : Gilles Tautu sait parfaitement comment faire vivre une course à l’antenne. « La particularité de Hawaiki Nui Va’a, c’est que la victoire est totalement imprévisible », prévient-il. « Il y a trop de paramètres qui rentrent en ligne de compte et ce à chaque étape. Les pronostics s’affinent au fur et à mesure de la course, en temps réel. »Vous suivre le direct en plateau au départ et à l’arrivée de chaque étape avec James Heaux, depuis les bateaux lors de la course avec Gilles Tautu et Maruky Duri, mais aussi depuis… un hélico ! Ceci afin d’offrir aux téléspectateurs des angles de vue différents leur permettant de vivre la course au plus près. Ces images seront commentées par le spécialiste bien connu du va’a, Gordon Barff.
HAWAIKI NUI VA’A ÉTAPES 2 ET 3
VENDREDI 7 NOVEMBRE
A 6H40
ET SAMEDI 8 NOVEMBRE
A 4H00
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Du 5 au 7 novembre 2014, aux îles Sous-leVent, plus de 112 équipes de rameurs vont participer à la 23ème édition de la course Hawaiki Nui Va’a. De Raiatea à Bora Bora. Sur les 2 et 3ème étapes, une importante couverture sera déployée pour permettre aux téléspectateurs de vivre ces grands moments en direct. Pour vibrer au rythme de ces courses palpitantes dans des conditions optimales, les équipes de Polynésie 1ère, journalistes et caméramans seront sur tous les fronts : en mer sur les bateaux suiveurs, et dans les airs, depuis un hélicoptère.
SPORT EN DIRECT Rendez-vous - vendredi 7 novembre de 6h40 à 8h20 pour la 2ème étape - samedi 8 novembre de 4h00 à 9h44 pour la dernière et tant attendue arrivée à la pointe Matira !
A terre, en mer, en l’air… La mise en image c’est Jean Amaru. Jean Amaru est réalisateur sur Polynésie 1ère depuis près de 30 ans. C’est lui qui réalisera les deux directs de la course en télévision, comme il le fait depuis une dizaine d’années. Son secret ? Bien se préparer pour improviser en toute sécurité. Garder le fil du direct. S’adapter au déroulement de l’évènement. Entretenir la tension et le suspense. Gérer les imprévus. Autant d’éléments dont il faut tenir compte lorsque l’on réalise un évènement sportif en direct. Concrètement, pour réaliser les deux captations en directs, Jean Amaru travaillera depuis le car régie, d’où il recevra et visualisera les images que les 7 cameramen seront en train de filmer. Sur le vif, il donnera les directives de cadrage pour que le rendu corresponde à la mise en scène qu’il a imaginée. Parce que la course a beau être filmée en direct, une stratégie de réalisation est élaborée. «Pour donner à voir toute l’action qui se déroule pendant la course, il faut essayer de l’anticiper et de l’organiser en décidant préalablement des positions des caméras et des cadrages appropriés, pour avoir ensuite à l’image un montage dynamique, pertinent, qui raconte une histoire», explique le réalisateur. Une alchimie complexe et millimétrée que l’on ne peut obtenir qu’à force d’expérience. Hawaiki Nui Va’a, Jean Amaru la connait par cœur. Les meilleurs caps à prendre en fonction de la houle, les points stratégiques où tout peut se jouer entre les équipes… « Pour que les téléspectateurs puissent véritablement sentir la course et ses enjeux, on ne peut pas être dans l’approximation. C’est un gros travail d’équipe, avec les journalistes et la technique. Pour que les images et les commentaires soient raccords, tout le monde doit être au diapason.»
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RUGBY FRANCEFIDJI PAGE 6/27
SPORT EN DIRECT DIMANCHE 9 NOVEMBRE 4H45
AU STADE VÉLODROME DE MARSEILLE Rénové et agrandi à 67 000 places, le Vélodrome recevra le premier match des Bleus depuis 5 ans. Le XV de France se mesurera aux îles Fidji dans le cadre de ses test-matches de novembre 2014. Les Bleus, qui entameront le Tournoi des Six Nations à partir du 1er février en défiant l’Angleterre, lanceront leur tournée automnale avec les Fidjiens le 8 novembre. La France et les Fidji se sont affrontés à huit reprises entre 1964 et 2010, dont sept sur le sol français. Les Bleus se sont toujours imposés.
HEBDO DU 8 AU 14 NOVEMBRE 2014
DIMANCHE
SAMEDI- DIMANCHE
On retrouve dans ce film un Russell Crowe pris d’orgueil et de fierté, qui va tenter le tout pour le tout afin de sauver son honneur et redorer son image. Début du XIXe siècle : la marine royale britannique règne sur les sept mers. Le capitaine Jack Aubrey en est l’un des plus éminents représentants. Ses faits d’armes sont connus dans tout l’Empire et imposent le respect à l’équipage de son navire, le Surprise. Mais alors qu’il navigue, il est attaqué par un vaisseau français, l’Achéron. Malgré les dégâts subis, Jack se lance à la poursuite du navire français, du Brésil aux îles Galápagos...
GENRE : Historique, aventure, guerre RÉALISATION : Peter Weir PRODUCTION : 20th Century Fox AVEC : Russell Crowe, Paul Bettany, Billy Boyd… ANNÉE : 2003 DURÉE : 134 min
CINÉMA
MASTER AND COMMANDER DIMANCHE 9 NOVEMBRE 20H00 PAGE 8/25
C’EST VOTRE VIE ! LAURENT GERRA
DIVERTISSEMENT A l’occasion de ses 25 ans de carrière, Laurent Gerra, le roi de l’imitation, va revivre le temps d’une soirée inoubliable les étapes marquantes de sa carrière extraordinaire avec les téléspectateurs. Stéphane Bern présente le deuxième numéro de la saison de ce divertissement drôle et émouvant, retraçant les temps forts de la vie de l’imitateur préféré des Français. Des sketches, des imitations mais aussi des images d’archives nous ferons revivre 25 années de rire. De nombreux artistes viendront également rendre hommage en chansons aux idoles de Laurent Gerra. Beaucoup de surprises, préparées à son insu et rien que pour lui, seront livrées par ses proches et par des artistes issus de toutes les générations ! Aux côtés de Laurent Gerra, nous retrouverons : Patrick Bruel, Serge Lama,
Julien Clerc, Isabelle Boulay, Vincent Niclo, Bénabar, Salvatore Adamo, Jean D’Ormesson, Michel Drucker, Julien Courbet, Chevallier & Laspalès et beaucoup d’autres. Pour ses 25 ans de carrière, Laurent Gerra sera en tournée dans toute la France, à Paris au Palais des Sports du 23 au 27 décembre 2014 et sortira un nouveau DVD de son spectacle le 04 novembre 2014.
Produit par Carson prod – Franck Saurat Réalisé par Fabrice Michelin Présenté par Stéphane Bern
DÉFIS D’ICI MAGAZINE
En plateau aux côtés de Romy et Erwan : - Jean Kakou Wadewe du groupe Cörenod pour le live - Nadine Hacbect, vicePrésidente de l’asso «Saint Louis Réagissons» - Florence Dosdane nous parlera du Festival WOW La question du jour s’intéresse aux mariages à Thème, Audrey Chouieur donnera des éléments de réponse - l’artiste en herbe cette semaine est Melo Wave - enfin nous aurons des nouvelles de Boris Brésil qui vit à Sydney. Durée : 1h Production NC 1ère P ré s e n t a t i o n : R o my e t Erwan
SAMEDI 8 NOVEMBRE 23H16
DIMANCHE 9 NOVEMBRE 18H EN REPLAY SUR LE SITE nc1ere.nc
HEBDO DU 8 AU 14 NOVEMBRE 2014
DIMANCHE
DIMANCHE
Cette semaine, Demain c Nous, le magazine des jeunes Calédoniens, part explorer la région de Kalaa-Gomen et commence par la mine de Ouazanghou, tout près de Ouaco. Sur place, Myriam Watué, la présentatrice énergique de l’émission, part à la rencontre d’Aimé Teya, qui est conducteur de pelle de son état. DIMANCHE 9 NOVEMBRE Dans cette partie de l’émission, Myriam au cœur de cette région importante 19H00 est pour le patrimoine minier calédonien. Ensuite, c’est dans l’entreprise Brebislait que Myriam fait la connaissance de Viviane Goatidji, aide-fromagère. Avec Viviane, on découvre toutes les étapes de la production de fromage, de glaces et de yaghourts de l’entreprise. Pour terminer cette visite, c’est dans le village même de Kalaa-Gomen que Myriam a donné rendez-vous à Arielle Weiss. Cette dernière élève des poules et des cochons, des tonkins, sans oublier la partie production de légumes. Arielle le dit franchement : elle ne changerait de lieu de vie pour rien au monde ! Dans la rubrique Paroles de Jeunes, c’est le thème des Accords de Nouméa et Matignon qui a été exploré par les jeunes de la case.
DEMAIN C NOUS
À KAALA-GOMEN
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exemple, des supports audio-visuel, VHS, des bobines super 8 etc toute la gamme et aussi de plus en plus des supports dématérialisés Qui peut consulter votre fond ? C’est ouvert au grand public car nous sommes un service public. On a une salle de lecture comme tous les services d’archives. Les missions de notre service «Les trois C» nous Classons, Conservons et nous Communiquons, tous supports confondus. Toutes les archives qui rentrent seront un jour communiquées en salle.
INGRID UTCHAOU
L’année prochaine nous fêtons nos 50 ans, à cette occasion nous visiterons cette période en images, participez-vous à ce type d’événement pour les sociétés privées ou des collectivités publiques ? On arrive souvent en producteurs de matériels pour des grands événements. Toute l’année un agent s’occupe de la reproduction d’archives pour différentes manifestations. Prenons l’exemple du mois du Patrimoine qui s’est achevé dimanche, nous avons été sollicités. Quant aux entreprises privées, pour la SLN par exemple, on conserve la partie ancienne de leur archives.
Ingrid Utchaou nous ouvre les portes de ce lieu silencieux situé au-dessus des vestiges du temps du Bagne. Plusieurs raisons nous ont conduit jusqu’à la Directrice de ce temple de la mémoire, les Archives territoriales. Tout d’abord nos émissions en lien avec l’histoire : Terre de mémoires et la série Le chemin des drames. Nous sommes en semaine de commémorations de la première Guerre Mondiale. En 2015 nous fêterons les 50 ans de la télé calédonienne mais aussi et surtout le programme de sauvegarde et de numérisation des archives audiovisuelles en outremer de l’INA débute le mois prochain à NC 1ère. C’est donc l’occasion de nous pencher sur la mission des Archives qui compte pas moins de 14km de documents sur notre pays.
En tant que directrice des Archives quel intérêt revêt pour vous une émission comme Terre de mémoires ? Le premier intérêt que j’y vois, c’est la communication des documents d’archives. En Nouvelle-Calédonie, on est trop peu sensible à cette question. Les gens entrent ici comme dans un endroit mystérieux, alors que c’est un outil qu’ils peuvent s’approprier. On le dit pendant les journées portes ouvertes : c’est un outil qui leur appartient. On peut conserver pour eux. Il y a d’ailleurs des associations et des familles qui viennent nous verser leurs archives. Terre de mémoires (ou les émissions télé de ce type), c’est l’outil de diffusion idéal qui pourrait communiquer nos archives. Mais aussi dire au public qu’il en existe... «on est là pour vous et on le fait gracieusement». On met à leur disposition notre savoir-faire, notre technique, nous sommes les techniciens du patrimoine. Terre de mémoire m’intéresse dans les deux sens, ça permet de communiquer ce que nous avons déjà et ça nous permet de faire savoir qu’il y a des gardiens de la mémoire aux Archives.
LES ARCHIVES APPARTIENNENT AUX CITOYENS CALÉDONIENS
Quels types de supports archivez vous ? Essentiellement du papier, 70%, ensuite les photographies sous micro-fiches, micro-films, tirages argentiques tous types de support de photographies du plus ancien au plus récents des plaques de verres par
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A la différence de la France où dans la moindre petite commune, les villageois se sont appropriés ces services communaux, ce qui n’est vraiment pas le cas ici. B e a u co u p d ’é l é m e n t s s e perdent alors ? En effet, beaucoup de choses se perdent comme çà. Sans revenir sur les archives familiales, le problème se pose avec les archives publiques ou communales qui se sont perdues à cause d’incendie ou autres. On a encore de grandes collectivités publiques qui n’ont pas pris en compte notre rôle. Vous n’avez pas encore de service de restauration ? Non, pour ce qui est de la restauration, on s’appuie sur la conservatrice restauratrice du Musée de Nouvelle-Calédonie, Marianne Tissandier. Elle nous aide sur des questions liées à la restauration comme les techniques de désinfection et désinsectisation de documents. Et bien sûr nous avons un réseau à l’étranger. Internet, et l’utilisation des réseaux, comment appréhendez vous ce virage du numérique ? On est des archivistes de formation traditionnelle, nous avons touchés du bout des doigts les techniques d’archivage électronique et numérique. Mais on sent la chose venir, quelque chose d’énorme, On prend conscience que l’on ne pourra pas passer au travers même si on reçoit encore beaucoup de papiers. On est en train de se former dans ce sens. Pour nous c’est récent, alors que pour nos collègues australiens, ils sont déjà dedans et ils sont même à la pointe dans ce domaine avec les canadiens.
On ne raisonne pas encore suffisament mémoire collective en Nouvelle-Calédonie. Or tout ce que nous avons dans nos murs va contribuer à la mémoire collective. Les citoyens calédoniens ne sont pas conscients de ça bien qu’ils le sont à titre individuel, car ils conservent chez eux leurs photos, leurs films. Mais c’est peu protégé et amené à disparaitre si on ne les conserve pas correctement.
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DIMANCHE
GAËLLE PERRIER, MADEMOISELLE L, WEBZINE CALÉDONIEN
Nous avons poursuivi la réflexion en compagnie d’une blogueuse calédonienne résolumment tournée vers l’avenir, versée dans le numérique et la technologie. Gaëlle Perrier, une femme bien dans son époque nous offre son regard sur le travail de mémoire.
TERRE DE MÉMOIRES MAGAZINE Redécouverte du passé calédonien à travers la fabuleuse collection des archives de NC 1ère. 30 ans d’images sur la NouvelleCalédonie et sa région (Vanuatu, Australie, Nouvelle-Zélande, Fidji…) au service du patrimoine culturel océanien. A l’issue de la diffusion, Christiane Poedi recevra plusieurs invités pour prolonger le film : journalistes, réalisateurs ou experts. Le thème du 9 novembre est à venir. Ce pourrait être un magazine sur la Guerre de 14-18. Des compléments d’informations vous seront communiqués.
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Présentation : Christiane Poedi Production : NC 1ère Périodicité : Hebdomadaire Durée : 60 min Diffusion : dimanche à 12h Rediffusion : jeudi à 21h20 -
DIMANCHE 9 NOVEMBRE 12H00
Que pense Mademoiselle L de sortir des étagères des Archives, les anciennes émissions de NC 1ère, est-ce tendance, vintage ou pas du tout ? Personnellement, je les ai revues il n’y a pas si longtemps. Mon père ayant été animateur pendant 20 ans à NC 1ère, j’ai grandi avec la télé locale et j’adore regarder ce qu’il a pu faire à l’époque. J’ai particulièrement en souvenir ses émissions de cinéma où il rejouait avec ses potes et un tout petit budget des scènes de film pour enrober les sorties en salle. C’était drôlissime et sans prétention. J’aime cette liberté de ton et l’insouciance qui se dégageait de cette toute nouvelle télévision. Sans oublier sa reprise mythique du lion de la MGM. Je ne saurai pas dire si c’est tendance, je suis trop impliquée émotionnellement. Mais les dessins animés de notre enfance s’impriment partout sur les t-shirts en ce moment. Je pense que la génération des 30-40 ans est extrêmement nostalgique et c’est celle la même qui regardait les émissions de RFO à l’époque. Après bien sûr, ça
Mademoiselle L vit à l’heure du numérique, comment conserve-t-on ce que l’on écrit, photographie, filme, à l’ère du consommable ? Le problème, c’est que l’on se noie sous les photos, les infos, les vidéos.... L’unique devient difficilement atteignable. Prenez mademoiselle L. Je n’ai rien inventé et je ne me suis pourtant pas inspirée d’un site qui existait déjà. Il a été créé selon ma vision et malgré tout vous pouvez en trouver des similaires dans tous les pays du monde. Avec 5 milliards de personnes sur la planète qui ne cessent plus de communiquer comment peut-on faire autrement ? Être original est presque impossible. La mode en est un parfait exemple. Chaque année les créateurs s’inspirent d’une décennie du passé. Le make up des années 90 revient en force, la robe trapèze des 70’s est au top de sa forme et le blouson en cuir des 50’s est sur toutes les épaules. Quant aux sujets plus sérieux comme l’histoire, les guerres, les manipulations, les massacres.... Il semble évident qu’ils se répètent. Inlassablement. L’ère numérique a peut être compliqué el’idée que l’on se faisait de la conservation en raison du raz de marée qu’est aujourd’hui l’information mais la conservation ne fait pas tout. Savoir l’utiliser pour ne pas réitérer les mêmes erreurs est plus difficile et visiblement, si l’on en croit les journaux, on n’y arrive pas vraiment. Vous êtes vous penchée d’ailleurs sur vos propres archives, comment conservez-vous ? Vive la sauvegarde ! Régulièrement, un technicien enregistre tout le site sur un dd externe au cas où le serveur rencontrerait un problème. Personnellement, j’aime l’idée de remettre en avant un ancien article. J’ai donc une fonction qui permet d’arriver sur un article au hasard. Pour se balader sur le site et découvrir les archives. Il s’appelle le pouf pouf en l’honneur des jeux de ma jeunesse. Vous arrive-t-il d’être nostalgique ? Vous voulez dire «c’était mieux avant» ? Oui et non. Il y a du bien dans le passé mais aussi dans le présent. Je n’existerai pas dans le passé. Mademoiselle L serait un magazine ordinaire et personnellement j’aime le web car il nous offre une vraie liberté. La nostalgie ne sert à rien. Si l’on veut un monde qui nous plait, à nous de nous l’offrir. Que feriez-vous si vous aviez les clés de la salle des Archives ? Mon prof d’histoire en terminale a réussi à me faire aimer cette matière en nous racontant des anecdotes du quotidien. Je trouve ça passionnant de découvrir comment vivaient les gens. C’est ce que je chercherais dans une salle d’archives. Par contre, il faudra certainement venir me chercher avec du materiel de spéléologie parce que je suis un vrai rat de bibliothèque et je peux me cacher des heures au milieu des bouquins et des journaux.
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DIMANCHE
DIMANCHE
Le maelstrom apocalyptique de la seconde Guerre Mondiale n’a pas épargné la Nouvelle-Calédonie. En 1914, les calédoniens en métropole sont directement appelés sous les drapeaux tandis que sur le Caillou les mobilisés partiront plus tard faute de navires. Les «indigènes» ou autres citoyens ne sont pas mobilisables et doivent s’engager en tant que volontaires. En 1916, la percée allemande est telle que le besoin en troupes fraîches pour combattre l’ennemi pousse Paris à exercer une pression forte sur ses colonies pour lever des troupes. La recherche intensive de volontaires indigènes couplée aux problèmes fonciers de la colonisation conduisent à la révolte de 1917 réprimée par des troupes régulière et supplétives « indigènes » qui serviront aussi dans le bataillon du Pacifique. Les engagés et conscrits vivront des évènements inouïs qui marqueront à jamais la population calédonienne. L’histoire de ces soldats notamment à travers le Bataillon du Pacifique composé aussi de tahitiens, vietnamiens DU LUNDI 3 AU VENDREDI et vanuatais est peu connue 14 NOVEMBRE du grand public. C’est à tra19H55 vers une série de 20 épisodes de 2mn 30 que se pose cette narration passionnante qui marquera profondément la NouvelleCalédonie, et qui aujourd’hui encore, en porte les stigmates.
LE CHEMIN DES DRAMES
Une série produite par SCEDDI PRODUCTION et réalisée par Joël Kasarhérou
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MARDI La rédaction de France 2 se mobilise mardi 11 novembre 2014 avec une journée inédite. Près de cinq heures d’antenne, en direct, de Paris à la nécropole de Notre-Dame de Lorette, de Saumur à Meaux, de la Meuse au Nord pour rendre hommage aux soldats morts pour la France. Cette émission spéciale sera présentée par Marie Drucker. A ses côtés : Pierre Servent, spécialiste des questions militaires; Stéphane Audoin-Rouzeau, directeur d’études à l’École des hautes étude en sciences sociales (EHESS) et président du Centre international de recherche de l’Historial de la Grande Guerre de Péronne; Élise Julien, Maître de conférences en histoire à Sciences Po Lille et chercheuse à l’IRHIS; Jean-Sébastien Baschet, directeur du magazine L’Illustration; mais aussi les journalistes et envoyés spéciaux de la rédaction de France 2. - de 10h00 à 11h25 : France 2 retransmettra la remise du «Prix des petits artistes de la mémoire» et l’inauguraton du site Internet «Le Grand mémorial» (site dédié aux poilus). Les équipes de France 2 suivront le Président de la République qui se récueillera devant la statue de G.Clemenceau, puis ravivera la flamme du Soldat inconnu sous l’Arc de Triomphe.
MARDI 11 NOVEMBRE 20H00
MAGAZINE EN DIRECT
ÉMISSION SPÉCIALE COMMÉMORATIONS DU MARDI 11 NOVEMBRE DE LA RÉDACTION DE FRANCE 2 EN PARTENARIAT AVEC LA MISSION DU CENTENAIRE DE LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE.
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France 2 retransmet EN DIRECT la remise du «Prix des petits artistes de la mémoire» et l’inauguraton du site Internet «Le Grand mémorial» (site dédié aux poilus). Les équipes de France 2 suivront le Président de la République qui se récueillera devant la statue de G.Clemenceau, puis ravivera la flamme du Soldat inconnu sous l’Arc de Triomphe.
Le 11 novembre prochain sera célébré le 96e anniversaire de l’Armistice de 1918. Une cérémonie quelque peu particulière puisqu’elle s’inscrit dans les commémorations organisées à l’occasion du centenaire de la Grande Guerre. Explications de Pascal Doucet-Bon, rédacteur en chef en charge des opérations spéciales. « On a créé l’enfer sur terre pendant quatre ans. On l’a touché du doigt. 14-18 fut une guerre d’une absurdité barbare et d’une boucherie mondiale inimaginable. Saviez-vous qu’en certains endroits de Verdun, si les morts s’étaient relevés à l’issue du conflit, ils n’auraient pas pu tous tenir côte à côte, ou que dans les environs de Douaumont, il est des terres contenant encore aujourd’hui près de quatre-vingts kilos de métal au mètre carré ? » Pascal Doucet-Bon. Cérémonie et recueillement En direct de la nécropole nationale NotreDame-de-Lorette, nous retransmettrons l’inauguration de l’Anneau de la Mémoire par le président de la République. Sur cette œuvre de forme ellipsoïdale, dessinée et imaginée par l’architecte Philippe Prost, ont été gravés par ordre alphabétique et sans distinction de grade, de nationalité ou de religion, 600 000 noms de combattants tombés en Flandre française et en Artois, entre 1914 et 1918. C’est la pre-
mière fois qu’un mémorial d’une telle ampleur est érigé par-delà les nationalités. Engouement Quel que soit l’endroit où je me rends le constat est le même, les visiteurs sont bien plus nombreux cette année à visiter ces lieux de mémoire et ces musées liés à la Grande Guerre. Un autre exemple de cet engouement est le succès rencontré par la grande collecte, lancée le 11 novembre 2013 et relancée cette année. Chacun est invité à remettre tous les documents, objets ou souvenirs de la Première Guerre mondiale, afin qu’ils soient numérisés, archivés, voire prêtés à des musées. C’est ce qu’ont fait les descendants de Marius Galli, dont nous vous conterons le destin extraordinaire. Autre fait marquant en cette année de centenaire : la mise en ligne par le ministère de la Défense de tous les dossiers des fusillés et plus généralement des dossiers militaires. N’oublions pas que 14-18 fut la guerre de tous et que 95 % des familles françaises sont concernées par ce conflit.
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MARDI
ITINÉRAIRES :
MAXIME DESTREMEAU, UN DESTIN POLYNÉSIEN PAGE 18/25
PRODUCTION : ARCHIPEL PROD. RÉALISATION : PASCALE BERLIN SALMON DURÉE : 52 MIN
DOCUMENTAIRE MARDI 11 NOVEMBRE
Le 22 septembre 1914, Maxime Destremau entre dans l’Histoire et la Polynésie Française dans la Première Guerre Mondiale. Le commandant Destremau, seul, avec quelques hommes et sa chère canonnière «Zélée», est prêt à soutenir l’attaque de la grande flotte impériale allemande, représentée par l’amiral Von Spee. L’attaque surprise des bateaux ennemis est déjouée par celui qu’on va appeler le «Tomana api», le nouveau chef. Son charisme, son excellence dans beaucoup de domaines ne lui attirent pas que des amis. Notamment dans
les plus hautes sphères du pouvoir. La rivalité entre Destremau, représentant de l’autorité militaire, et le gouverneur Fawtier, représentant de l’autorité civile, était presque personnelle. C’est lui en tout cas qui fera tout pour obtenir la chute de Destremau. Venu par la mer pour sauver Tahiti et reparti par la mer, Maxime Destremau entre, aux yeux de certains, au panthéon des dieux tahitiens. Sa mémoire est honorée en cette commémoration du centenaire de ces faits héroïques.
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MERCREDI
UNE MÈRE À L’ÉPREUVE PAGE 22/27
DATE DE SORTIE INITIALE : 2006 RÉALISATEUR : KELLY MAKIN DURÉE : 94 MINUTES AVEC : JOANNE KELLY ROSEMARY DUNSMORE
CINÉMA MERCREDI 12 NOVEMBRE
Sélection : Prix Gemini de la meilleure performance pour une actrice dans une émission dramatique ou mini-série
d’apprendre la nouvelle à sa famille mais, sur place, s’aperçoit que son visa a expiré et qu’elle ne peut plus rentrer aux Etats-Unis. Elle retourne alors vivre chez ses parents, Madeline et John...
Frannie MacKenzie, ambitieuse autant que romantique, pense être une femme comblée. Pourtant, du jour au lendemain, son petit ami, un musicien, la quitte pour partir en tournée durant trois mois en Europe. Elle découvre en même temps qu’elle est enceinte. Elle décide de se rendre au Canada afin
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Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs Rendez-vous au cœur des complots de la Seconde Guerre Mondiale, dans ce film qui rassemble des pointures du cinéma français. Louise, résistante française, s’enfuit à Londres après la mort de son mari. Elle intègre le SOE, un service de renseignement, placé sous l’autorité de Churchill. Elle se voit alors confier la mission de ramener un agent britannique capturé en France et détenant des informations sur le D-Day. Elle monte un commando de femmes, toutes d’horizons différents, pour l’aider à arriver à ses fins. Mais la mission se révèle plus difficile que prévu car il s’agit désormais d’éliminer le colonel Heinrich, chef du contre-espionnage nazi… Genre : Drame, guerre, espionnage Réalisation : Jean-Paul Salomé Avec : Sophie Marceau, Julie Depardieu, Déborah François, Marie Gillain… Année : 2008 Durée : 118 min
JEUDI 13 NOVEMBRE 20H00
CINÉMA
LES FEMMES DE L’OMBRE
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VISITE PRÉSIDENTIELLE
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ACTUALITÉ
DIMANCHE 16 NOVEMBRE 20H
CONFÉRENCE DE PRESSE DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE, FRANÇOIS HOLLANDE À TONTOUTA
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ALLOCUTION AU CENTRE CULTUREL TJIBAOU
CINÉMA
PROCHAINEMENT
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DOCUMENTAIRE
LUNDI 17 NOVEMBRE 17H
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ARSENE LUPIN
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ITINÉRAIRES : BERNARD BERGER
Arsène Lupin est un voleur insouciant, détroussant l’aristocratie parisienne grâce à son charme redoutable. Sa rencontre avec une ensorcelante aventurière, la comtesse de Cagliostro, va transformer le pickpocket débutant en voleur de haut vol.
4 SLEEPY HOLLOW (SAISON 1) SÉRIE
Ichabod Crane se réveille après un sommeil de près de deux siècles et demi. Il a traversé le temps avec un mystère qui date de l’époque des Pères Fondateurs de l’Amérique. Coincé à notre époque contemporaine, celui-ci trouve une alliée inattendue en la personne d’Abbie Mills, lieutenant de police à Sleepy Hollow.
retrouvez-nous sur www.nc1ere.nc
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