2019
Art urbain et m usiques actuelles
SEA, ART & SOUND
Festival CONCERTS au Théâtre de la Mer
ART URBAIN
Musée à
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MaCO 2018 RATUR & SKARO
SEA, ART & SOUND Le concept du festival
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MaCO Le Musée à Ciel Ouvert ----------------------------------------------------------------------------------------------
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ARTISTES 2019
MaCO ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ 10 Théâtre de la mer --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 17
EVENTS
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CONTACT------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
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@klivefestival
k-live.fr
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K-LIVE est un concept original, pluridisciplinaire, un festival qui crée un pont entre art urbain, arts plastiques et concerts de musiques actuelles. Centré sur le Théâtre de la Mer, le festival s’étend dans d’autres espaces culturels, touristiques et urbains.
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Théâtre Molière
Centre Régional d’Art Contemporain
Musée International des Arts Modestes
Musée Paul Valéry
La ville est également ouverte sur le monde grâce à son rayonnement culturel. Georges Brassens, Paul Valéry, Jean Vilar, Hervé Di Rosa, Robert Combas en sont les ambassadeurs les plus célèbres. Avec son Centre Régional d’Art Contemporain (CRAC), son Musée International des Arts Modestes (MIAM), son Musée Paul Valéry, son Espace Georges Brassens, son théâtre (scène nationale), ses festivals, ses nombreuses galeries et ateliers d’artistes, c’est toute une ville qui est baignée dans un bouillon de culture. Le K-LIVE a parfaitement trouvé sa place dans cet environnement méditerranéen et culturel.
SÈTE VILLE D’ART, D’HISTOIRE ET DE CULTURE
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BON ENTENDEUR C2C COCOROSIE DJ VADIM DOP DOD DREAM KOALA FAKEAR FKJ GONZALES HIGH TONE ISAAC DELUSION JABBERWOCKY
Les têtes d’affiche des éditions précédentes du K-LIVE ont toutes été séduites par le cadre magique du Théâtre de la Mer. Cet amphithéâtre à ciel ouvert, avec la mer en arrière scène, constitue l’un des plus beaux balcons sur la Méditerranée.
JSBX JUMO MURA MASA N’TO ROMARE ROMULUS ROOTS MANUVA SLOW MAGIC STEREOCLIP THE DO THEO TRICKY
ALEXONE L’ATLAS BAULT C215 CHANOIR CLET CODEX URBANUS DON MATEO EMEMEM ERIC LACAN ERELL EPSYLON POINT JAN KALAB JONNYSTYLE JULIEN SETH MALLAND KASHINK LEVALET
MAYE MADAME MADEMOISELLE MAURICE M.CHAT MONKEY BIRD PHILIPPE BAUDELOCQUE QUENTIN DMR RATUR & SKARO ROMAIN FROQUET PABLITO ZAGO POCH SATONE SENOR OCTOPUS SPOGO STEW SUN7 TABAS
Depuis 2008, des artistes phares du mouvement Street-Art se sont succédés. De par leurs empreintes dans des lieux en friche, ou sur les murs de la ville, ils ont enrichi le Musée à Ciel Ouvert (Le MaCO de Sète), une balade artistique et pittoresque le long des quais, sur les canaux ou encore dans les ruelles typiques du quartier haut... Un Musée à Ciel Ouvert pour une Ville Galerie !
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Satone Monkeybird
Romain Froquet
Kashink
Mr Chat
C215
Julin Seth Malland
La carte du Musée À Ciel Ouvert est disponible sur Google Map afin de s’orienter facilement durant sa visite.
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Programmation MaCO 2019
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Isaa
Cordal
Isaac Cordal est un sculpteur espagnol qui vit actuellement à Bruxelles. Ses sculptures, réalisées en béton, représentent de petites figurines à visage humain dans des situations «réelles». Cordal parvient à transmettre beaucoup d’émotion à travers ses personnages, et cela en dépit de leur manque de détails ou de couleur. Ses figurines mises en scène dans des situations de tous les jours, pratiquant leurs loisirs, attendant l’autobus, dans des moments tragiques comme la mort accidentelle, le suicide ou assistant aux funérailles d’un proche inspirent la sympathie et la compassion. Il dispose ses sculptures dans les gouttières, sur les toits d’immeubles, au-dessus d’abribus – dans de nombreux lieux insolites, voire improbables. Ils donnent une nouvelle signification à ces petits recoins de l’environnement urbain. Ils expriment la vulnérabilité, mais sont profondément attachants. Livrés à eux-mêmes, on a presque envie de les protéger, de faire quelque chose pour eux ou de leur parler. Les figurines grises de Cordal nous adressent un message d’espoir en dépit de leur apparence triste et sont là pour vous rappeler que le pessimisme n’est pas une approche rationnelle des choses, c’est juste du pessimisme. Alors, n’oubliez pas de faire quelque chose de superflu aujourd’hui. Allez-y, les figurines grises sont la pour vous le rappeler.
DANS LA VILLE
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Andrea Mattoni
Andrea dessine depuis son plus jeune âge. En 1995, il commence son aventure en tant que writer en commençant à peindre au spray des graffitis sous le nom d’art de Ravo. Il poursuit son activité jusqu’au début des années deux-mille, lorsqu’il s’inscrit à l’Académie des beaux-arts de Brera au cours de peinture. En 2003, il crée et fonde avec deux amis l’espace THE BAG ARTFACTORY dans le quartier Bovisa à Milan, un ex dépôt de camion de 5000 m2, en créant un véritable pôle d’attraction pour artistes, l’espace étant dédié aussi bien à un laboratoire qu’à un centre d’exposition, l’expérience se poursuit jusqu’en 2007.Son intérêt pour l’art classique s’accroit toujours plus. C’est un bagage qu’il a toujours porté avec lui, de ce qu’il a appris par sa famille jusqu’aux études académiques et tout cela débouche sur un projet qu’Andrea Ravo Mattoni planifiait depuis pas mal de temps : trouver un point de rencontre entre art classique et contemporain.
Ravo
C’est ainsi qu’en avril 2016 nait « récupération du classicisme dans le contemporain », un projet ambitieux, recréer des grands chefs d’œuvre du passé au spray sur le mur en les rendant accessibles à tous, en créant un lien avec les institutions de musées, qui a tout de suite un grand succès.
Maye
Autodidacte en peinture, Maye passe du mur à la toile en 2013. Il travaille sur ces deux pratiques de manière complémentaire. La peinture sur toile lui permet d’utiliser les expérimentations qu’il a développées sur des supports éphémères et de commencer à construire son oeuvre de manière pérenne. Contrairement au mur, la toile étant faite pour durer, il en profite pour y déployer son goût du détail et de la narration. Son travail sur toile nous fait voyager à travers des scènes allégoriques, inspirées de ses expériences personnelles, de ses souvenirs et nourries par son imagination. Perfectionniste, Maye aime jouer avec la profondeur de l’image, les effets de lumière et les matières pour créer ses paysages où la nature vient recouvrir les ruines d’un monde futuriste. La confrontation entre la technologie et une végétation luxuriante nous rappelle la fragilité de la relation entre l’Homme et la nature.
Ses décors sont habités par des personnages longilignes, souples et courbés. Leurs vêtements très détaillés laissent apparaître en partie leur corps à demi mécanique. A l’image de leur environnement, ces femmes et ces hommes sont composés d’éléments naturels et artificiels. L’interaction épanouie entre ces figures humaines et les animaux qui les entourent contraste avec le chaos ambiant et apporte une touche d’espoir. On retrouve cet optimisme aussi dans son utilisation de couleurs pastel, dont la chaleur et la lumière jaillissent par endroit.
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Mor
«Il y a quelque chose de intrinsèquement subtil dans le travail de Nuria, quelque chose qui, même en vous confrontant de manière inattendue et inattendue, le fait toujours de manière délicate et apaisante. Ne pas essayer de dominer l’environnement environnant, ne pas vouloir simplement y attacher sa signification, mais nous ouvrir à une nouvelle appréciation de l’espace qui nous entoure, une nouvelle façon de voir notre milieu urbain.
Nuria 14
Le travail de Nuria crée une interaction explicite et dialogique avec la surface, un échange entre elle et le média même de la ville, mais doit également être compris à travers sa tentative de créer un dialogue Son travail est donc ce qu’elle appellerait un «langage ouvert», une poésie silencieuse et sensible, qui lutte contre la saturation, la surcharge des signaux auxquels nous sommes soumis dans la vie quotidienne de la ville. À travers une pratique spontanée et respectueuse, considérant l’espace, le lieu et le quartier lui-même, Nuria tente ainsi de faire «un lieu de libre pensée», un «espace de temps mort», en utilisant un langage «infini, abstrait» et donc ‘universel’.
Laho a étudié le dessin et le graphisme à l’école Duperré de Paris, ainsi qu’à Lisbonne et Toulouse. Diplômée en 2014, elle travaille depuis dans le domaine des arts visuels pour des projets variés et invente de petites éditions papier et textile en sérigraphie, des affiches des peintures sur les murs, des céramiques et des expositions. Ses dessins sont nourris de ses propres rêves et proposent une plongée onirique dans des univers aux identités libres et libérées, peuplés de créatures transgenres. Inspirée par la sexualité, le désir et le plaisir, Laho ouvre des fenêtres sur des paysages nouveaux, dans lesquels la psyché est reine. Elle construit ses images autour de la couleur, en se racontant des histoires dont elle brouille le scénario, laissant ainsi libre cours à notre interprétation. C’est une expérience intime mais inclusive, où l’on est invité à rentrer dans l’image, à se l’approprier et y trouver son propre sens.
Laho
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Chez Dr Ponce la représentation est à la fois frontale et théâtrale. Son langage est celui de la rue. Critique et honnête, il raconte des petites histoires du quotidien non sans humour et autodérision. Ces tableaux se structurent à partir d’une palette de couleurs volontairement réduite. Appliquée en aplats, elles ont une fonction primordiale, celle d’isoler les éléments. Cela va de paire avec ce besoin de simplifier les scénettes, de faire de l’anodin un symbole, comme s’il inventait, dessin après dessin, un jeu de carte aux règles chaotiques.
Dr Ponce Ses mises en scènes à la fois familières et inquiétantes s’inspirent notamment de la bande dessinée alternative. Grâce à une culture foncièrement urbaine, Dr Ponce explore des thèmes d’actualités en y insérant des personnages loufoques et touchants. Voyous, animaux barjots, monstres sympathiques et quelques jolies plantes se figent pour illustrer une pensée, une anecdote, une attitude. Il ouvre ainsi le rideau sur des moments simples et criant de vérité.
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Le docteur est en marge et pourtant il observe notre société et dresse son diagnostique fracassant !
7& 8 Juin
19:30 > 00:30
Concerts au Théâtre de la Mer Cette année le K-Live s’associe à l’association toulousaine Regarts pour produire deux soirées au Théâtre de la Mer ! Le plateau accueillera le vendredi 7 des artistes de la scène Hip-Hop et le samedi 8 des incontournables DJ qui ont marqué l’Electro en France.
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Hamza
Hamza - Paradise Un pas de géant doublé d’un “retour aux sources” : après plusieurs mixtapes, le rappeur belge Hamza propose un premier album ambitieux et riche en invités. De son propre aveu, Hamza est un gars réservé, un peu timide, pas forcément à l’aise avec l’exercice promotionnel. Tout l’inverse, en somme, de ses clips où il domine l’espace, hausse les épaules et joue un personnage, sensible et charmeur, certes, mais surtout séducteur et intrépide. “Dans mes textes comme dans mes clips, précise-t-il, j’aime les mises en scène, les récits très imagés.” Il aurait pourtant des choses à raconter : son enfance à Laeken, une commune de Bruxelles, la disparition de son père l’année dernière, cette famille qu’il assume économiquement et moralement depuis, son rapport ambigu à la célébrité ou encore ses tourments “que l’alcool soigne”. Mais non, Hamza n’est pas du genre à faire larmoyer. Il a choisi d’interpréter un rôle. Bigger than life, forcément, quand on sait que le Belge n’a jamais vraiment été taillé pour les boulots ordinaires. À l’écouter parler, posé tranquillement sur un rooftop parisien, il donne l’impression d’être voué à quelque chose de plus grand. “À 14 ans, j’ai compris que je voulais dédier ma vie à la musique, rembobine le rappeur, comme pour justifier son ambition. J’ai bien fait quelques petits jobs, notamment dans le nettoyage, mais je me sentais trop confiant au moment de la sortie de H-24, en 2015. J’ai compris que c’était le moment de tenter ma chance et d’imposer mes idées.” Maxime Delcourt LES INROCKUPTIBLES https://www.instagram.com/hamzasaucegod/
VENDREDI 7
À l’heure où Bruxelles se transforme en moteur du hip-hop francophone, Hamza, l’un des précurseurs de cette scène, décide de frapper fort avec son nouvel album ‘’Paradise». Il n’a cessé d’expérimenter et d’explorer de nouveaux horizons. Cette quête l’a conduit à une indéniable maturité musicale et a donné matière à un album qui annonce déjà les futures tendances du rap.
SAMEDI 8
Cassius
Depuis 1988, date de leur première rencontre dans un studio d’enregistrement, Philippe Zdar et Hubert BoomBass, n’ont pas cessé d’occuper les dancefloors et de tordre dans tous les sens la notion de French Touch, qui au milieu des années 90 a replacé la France sur l’échiquier musical mondial. Après s’être fait les mains sur les quatre premiers album du rappeur Mc Solaar, le duo est repéré par James Lavelle du subliminal label Mo’ Wax. Avec La Funk Mob, excursion mentale et tripée dans les fondations du hip-hop, Philippe et Hubert laissent infuser leurs influences, en forme de grand écart : le funk, la disco, le rock et, évidemment le rap. Mais avec l’explosion de la house et de la techno, les débuts de la french touch, les premières raves, le développement de la club culture et le DJ comme nouvelle star, le duo décide d’abandonner La Funk Mob pour Cassius (hommage à leur héros, Cassius Clay) qui les rapproche du centre névralgique de la musique : le dancefloor, où ils laissent s’exprimer leur science du mélange à coup de beats house, de samples de disco filtrée, de groove funky et de références au hip-hop, mais aussi à la douceur de la pop californienne des seventies. Avec quatre disques sous le coude en une quinzaine d’années Cassius n’a pas changé sa formule, celle d’une house music diaboliquement funky capable de faire le grand écart entre Ibiza, Berlin, New York et la côte ouest de la Californie, de s’aventurer vers la techno minimale ou le baléaric, le r’n’b ou la pop chantée, comme de se souvenir de la grande époque du disco… Et puis, Hubert et Philippe en ont profité pour enchaîner les projets, en solo ou en duo, et multiplier les rencontres. Zdar en créant son studio, le fabuleux Motorbass Recording en plein cœur de Pigalle, s’est imposé comme le producteur le plus couru de ces dernières années via sa participation au « Wolfgang Amadeus Mozart de Phoenix, mais aussi aux albums des Beastie Boys, de Cat Power, Jackson, Chromeo ou Kindness… Après 5 ans d’absence, Cassius est de retour avec « Ibifornia », pour un album double-face où se retrouve toute leur bande de potes (Pharrell, Cat Power, Mike D des Beastie Boys, M…), surnommé affectueusement par le duo comme leur Cassius and Family Stone. Un « Ibifornia » en forme de double effet kiss-cool, avec une face A en forme de virée exaltante et trépidante sur les traces d’un afro-disco-funk qui n’a pas fini de faire trembler les dancefloors. Et une face B mutée en road trip mélancolique à l’ombre des palmiers de la côte ouest. Un album parfaitement en phase avec son époque, à la fois complexe et jouissif, référencé et inventif, où résonnent les deux principales obsessions de Cassius : l’hédonisme d’Ibiza et la douceur de vivre de Californie. Bref, on a connu pire !
Todiefor
Luca Pecoraro a vécu son épiphanie lors d’une nuit d’epérimentation, en 2012, durant laquelle les serveurs de World of Warcraft étaient en maintenance. Pour passer le temps, un ami lui suggère d’installer Fruity Loops, le logiciel de production musicale. Et là, c’est la révélation. Le gamer compulsif voit alors la musique d’un tout autre angle : on peut la faire chez soi, de la façon la plus simple qui soit, avec un ordinateur et des idées. Boosté par les soirées electro trash du Fuse – célèbre club bruxellois, Luca rebaptisé Todiefor ne se pose pas de questions, arrête les études et enfile à la fois la casquette de DJ et celle de producteur. Enchaînant les remixes qu’il poste sur Soundcloud, du dubstep à la trap, il se réapproprie un meme internet («Deez Nuts») qui cartonne instantanément. Huit millions de vues plus tard, Sony le repèrent et officialisent son remix suivant : celui de «Tunak Tunak Tun» de Daler Mehndi, un tube indien des années 1990. Les retombées du morceau dépassent Todiefor. Il est interviewé par la BBC Asie, l’acteur Anil Kapoor veut chanter avec lui et il devient une star en Inde avant même d’avoir lancé sa carrière ici ! Parallèlement à des dates de plus en plus fréquentes, Todiefor sort un premier EP, «Beautiful», en 2017. Fini les gimmicks internet et les clichés techno, Todiefor prouve que ce n’est pas un rigolo en s’octroyant la voix de la chanteuse roumaine Helen pour 4 titres de Future RnB qui le font entrer dans le top 10 des radios belges. Pour Luca, la dance music sans voix est impensable et ça tombe bien puisque son entourage le pousse à se rapprocher de la scène rap belge qui explose au même moment. Logiquement, son EP suivant intitulé «Cool Kids» et sorti à l’été 2018 fait de la place à Caballero & JeanJass ainsi qu’au rappeur californien Mr. J. Medeiros le long de 4 titres plus funky et lumineux. Todiefor a aujourd’hui 25 ans et rentre d’un voyage au Brésil où il a notamment travaillé avec les producteurs de «Bum Bum Tam Tam» (le hit carioca de MC Fioti). Sa nouvelle approche de la musique est matérialisée par un single, «Signals», en featuring avec Romeo Elvis et le duo roumain Shoeba, qui sort chez Spinnin Records (Atlantic au Royaune-Uni et Elektra en France) début 2019. Sa soif de collaborations l’amène par ailleurs à bosser avec des artistes aussi divers que Claire Laffût, The Magician ou Vladimir Cauchemar. Ni Diplo, ni Dj Khaled, Todiefor trace sa propre route, continue à expérimenter tout en poursuivant sa volonté de faire des tubes. En 4 ans à peine, la Belgique entière le connaît et ce n’est plus qu’une question de mois avant que le reste du monde se mette à la page. www.facebook.com/todi3for/
SAMEDI 8
VENDREDI 7 JUIN Early tickets : 24 € Regular tickets : 28 € VIP tickets : 38 € Sur place : 30 €
SAMEDI 8 JUIN Early tickets : 20 € Regular tickets : 23 € VIP tickets : 35 € Sur place : 25 €
K-Live.fr, Fnac, points de vente habituels, etc
Tickets disponibles sur k-live.fr et points de ventes habituels.
EVENTS Mercredi 5 juin 15h - 18h : K-Live Kids - Atelier street art pour les enfants > Place de la Mairie. 18h30 : K-Libre - Vernissage - Exposition collective d’artistes qui ont été programmés lors des différentes éditions du K-Live > Le Réservoir.
Jeudi 6 juin K-Live Exquis 18h - 20h : Vernissage des photographies d’Anna Saulle et lancement du guide Street art en France aux éditions Alternatives Gallimard > Librairie l’Echappée Belle. 20h - 22h : Inauguration du K-Live 2019 - Performance cadavre exquis et DJ set > Place de la Mairie.
Vendredi 7 juin 17h : Célébration du premier pont MaCO > Passage du Salabre - Île de Thau. 19h30 - 00h30 : HAMZA (et autres artistes en cours de programmation) >Théâtre de la Mer
Samedi 8 juin 10h30 - 12h30 : Table Ronde - Rencontres et débat sur le street art, ses aspects historiques et culturels > Parc Simone Veil 19h30 - 00h30 : CASSIUS - TODIEFOR >Théâtre de la Mer
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Directrice du Festival & fondatrice du MaCO de Sète Crystel Labasor Président Stéphane Marmonier
Attachée de presse Eglantine de Cossé Brissac WORDCOM Consulting Tél. 01 45 44 82 65 Port. 06 65 58 92 19 eglantine@wordcom.fr
Coordinateur du festival Quentin Dumontier coordination.klive@gmail.com Chargée de production Anna Saulle production.klive@gmail.com Community manager Mélody Séguier web.klive@gmail.com Régisseur technique Rodolphe Durand technique.klive@gmail.com Communication David Lachéroy communication.klive@gmail.com Chargée du mécénat Lisa Combettes partenariats.klive@gmail.com