Ogan Ozkul
Le chasseur
Il fut le temps des chants lourds venant des décroissance de la vie de la nature lorsque j’allai rentrer dans ma demeure natal épanoui d'inconsistances réduites en poussière dans ma mémoire voyageant de portails en portails des temps. J'ai voulu me reposer la conscience des vivants à la noix pour elle même sur un canapé avec mon corps qui subit le froid de ma mémoire du toujours qui me largua. – Comme un vrai connard dis – je. Oh que je n'aimes pas ce temps... Les rêves sont venus dans mon sommeil tellement profond que je ne voyait plus que des temps mort disparus comme les mortels ayant tenus leurs mains au fin de leur jours car le temps leurs auraient choisit pour passer dans l'au – delà qui fut – meilleur que leur lieu précédents temps dis – je. Ma respiration fut brisée lorsque j’entendis un bang de tonnerre perdus au fin fonds de la mémoire du glacial jardin qui pourtant ne sembla jamais perdre quelques valeurs de la nature comme celui de ce temps. Je suis venus fermer le portail du vent et du dialogue de la nature qui tentait de me fracasser le cœur comme lorsque j’étais enfants tout en ayant aucune conscience de ce qu'il m'arrivait car – Que vas – t – il m'arriver maintenant dis – je. La fenêtre se brisa tout en laissant des bruits de lourds pas essayant de me faire nourrir la mort de mes rêve précédents qui pourtant n'avaient jamais semblais aussi réel que le temps. –
Il ne faut que sourire .
Voilà ce qu'une voix sortant de nul parts car malgré que ma respiration fut cassé depuis déjà un petit moment, je pouvais belle et bien pu entendre ce qui se passait comme lorsque je me suis soumis à cette foutue société dirigée par des monstres dévorant la valeur de tout être vivants à disposition sans se prétendre à ce qui leurs entours en leurs donnant ce fichu de poison déshonorant de la pars de la nature des vivants, Mon très chère invité qui se montra dans ma demeure épanoui d’incessamment d'inconsistances réduites en poussière dans ma mémoire voyageant de portails en portails des temps. Veuillez me donner la raison d'être si présent que tout autres individus que j'ai connus ainsi que tout ce que votre face qui pourtant cachée a pu entendre tout ce que je vaux pour cette nature. Disais - je. –
–
Je suis ici car votre inconsistances de cette nature m'a fait transporter votre corps ici, dans cette chambre où il n'y a plus de temps.
Soudain. Mes yeux se sont ouverts, je me suis retrouvé dans une cage fait de fers qui ont mourus avec la rose qui s'est pourtant trouvé au dessus de mon étagère couvert de sang asséchés depuis le temps que ma vie se déroulait comme il me la montre actuellement, – Qu' ais – je fait mon très chère personne voulant effacer le temps à un pauvre homme n'ayant pourtant rien fait d'autre que de reposer sa conscience sur un canapé détruite par ma présence d'obsession envers ses rêves Disais – je. –
Tu es dans cette cage car ton temps fut venu comme tout autre espèces finissant les dernières temps.
Il fut s'absenter pour un instant court qui me semblait interminable pour le reste de la nature qui me fait défiler toute ma vie devant mes yeux scintillant, sommeil, études, dialogues, amours, divorces, tout y passais
sauf mon ombre qui a décidé de fuir la vie comme ce que mes espérances me l'ont fait il y a quelques années que cela fut produit au passé du temps. –
Jadis car tu t'es trop approché de ce qui ne t'a jamais appartenu depuis le temps de ton histoire ce qui veut dire cette femme qui jadis n'en a jamais méritée un traître comme vous monsieur disais – je ! Car lorsque tu t'es rendu dans une boîte de nuit que je m'en rappelle plus lequel fut être car ma mémoire fut brisé en mille baisers que vous avez fait au muses qui se sont montrés afin de pouvoir mordre la mâchoire de votre démon asexué qui m'a rendu malade au point d'en mourir et d'en devenir ce que je fut être il y a des années de ce temps. Ah... toi qui aurait pu avoir de la chance de rester en vie face à tes inconsistances réduites en poussière dans votre mémoire voyageant de portails en portails des temps, mais tu ne peut jamais jouer avec la vie car si tu le fait la vie sera impatient de te régler le compte disais – je. Car je suis le chasseur !
Ce fut à ce moment là ou je m’envolai avec cette lugubre cage poussant des cris de joies ressemblant à de la ferraille rouillée mais mon temps fut terminé. Grâce a son ombre. Lorsque j’étais en vie je n'ai pus que voir son ombre qui ne fut qu'un fruit de mon pure cauchemar car à ce moment je fut réveillé par l'idée de ne plus jamais pouvoir suivre le temps.