La lettre des Grésillons #12

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La lettre des Grésillons #12 février 2009 Grésdito

On en parle…

A

u fil de ce 12e numéro, vous pourrez lire notamment les témoignages des enfants – sur la réussite – et des adultes – sur la charte citoyenne – qui contribuent à alimenter le vaste chantier engagé à Gennevilliers.

les grés en têtes

Jean-Luc Bernard,

« Jouer, tout un métier »

E

nfant déjà, il mettait en scène des cow-boys et des indiens. D’aussi loin qu’il se souvienne, Jean-Luc Bernard a toujours nourri l’envie de faire du théâtre. Né à Gennevilliers, Passage Jouvencelle – là où se trouve désormais la mairie – de parents émigrés de l’ouest de la France, il suit des cours d’art dramatique à 18 ans. Plus tard, devenu comédien professionnel, il entre à l’Actor’s Studio à Paris, à l’atelier Andreas Voutsinas.

La démocratie locale ? À sa manière, la Lettre des Grésillons y met son grain de sel, en ouvrant ses colonnes à tous les habitants le désirant. On y parle de son quartier, son quotidien, ses coups de gueule, ses joies…

En parallèle de son métier d’acteur, sa quête évolutive le mène à réaliser son désir de mettre en scène et de partager son expérience théâtrale. « Le travail sur l’espace scénique dans sa globalité va se révéler d’un niveau d’engagement et de responsabilité supérieur à celui d’acteur », explique-t-il.

Ce journal est le vôtre, la porte vous est grande ouverte. À vous de la franchir. Nous vous attendons au prochain comité de rédaction. *

n : * Prlunocdiha23inemréaruns ioà 18  h 30,

à la résidence Lacourière locataires). (local de l’amicale des

 la tribune libre

« Le ludique pe découverte de so rmet d’aborder la i, son imaginaire de ses émotions, de , la pr ise de pa role et la technique  ».

Aujourd’hui, Jean-Luc Bernard intervient dans nombre de projets avec la compagnie théâtrale Aten. Il est présent dans les quartiers du Luth et des Grésillons – en collaboration avec l’école primaire A. Depuis trois ans, il travaille avec le club du troisième âge Agir. Et s’occupe aussi d’un atelier théâtre au lycée René Auffray de Clichy avec une

« Nous sommes très solidaires  »

« L

’amicale des locataires Georges Corête a été créée en 2002. Nous subissions des problèmes de chaudière, régulièrement en panne. Enfin, il nous a semblé utile de se constituer en amicale afin de faire face aux différents vices de construction. Nous formons un collectif de neuf locataires. J’en suis la présidente depuis le début. J’aime le tissu associatif, m’investir ne me dérange pas, au contraire. Nous organisons régulièrement des manifestations en commun avec le 115 (allée des Rosiers) et le 74 (allée du 74) comme la fête des locataires, des apéros, le

théâtre à domicile… Nous sommes très solidaires entre nous. Par exemple, nous sommes actuellement en action avec le 74 face aux problèmes rencontrés avec l’arrivée en septembre de l’entreprise l’Affiche, dont l’entrée donne sur la rue Traversière. L’Affiche fait des plateaux repas, avec une activité nuit et jour, les week-ends compris. Les aller et venues des camions perturbaient sérieusement les locataires. Nous avons fait circuler une pétition, rencontré les élus et nous avons exposé nos doléances au directeur de l’exploitation. Cela a été très positif. Il s’est engagé à trouver des solutions rapidement. Il va investir dans un sol caoutchouté, un mur antibruit et une haie végétale. Au printemps, nous pourrons ouvrir nos fenêtres. Notre prochaine action concernera la circulation rue Corête. Enormément de voitures, de camions passent par cette petite rue. Nous aimerions trouver une solution avec la ville comme l’installation d’une zone à 30 km/h, des panneaux signalant la présence d’enfants…  » ¶ Pascale Le Breton, présidente de l’amicale des locataires Corête : 44, rue Georges Corête, tél : 06 24 18 05 09.

Jean-Luc Bernard, acteur, metteur en scène, est un enfant de Gennevilliers. Il anime dans le quartier des ateliers théâtre avec enfants et adultes.

enseignante de... sport. Côté acteur, il répète actuellement une pièce qui sera à l’affiche d’une scène parisienne. De ses ateliers qu’il anime, il dira : « monter une pièce dans un temps limité implique des contraintes importantes. Il faut mémoriser le texte, travailler les jeux de scène, mettre en place les décors, les costumes, la lumière… Il faut composer en permanence entre les professionnels aguerris et les amateurs qui découvrent toutes les facettes de la scène pour un résultat positif à présenter au public ». Selon lui, l’approche théâtrale avec les enfants et les jeunes est plus immédiate et spontanée. « Le ludique, toujours très présent, permet d’aborder la découverte de soi, de ses émotions, de son imaginaire, la prise de parole et la technique ». Toutes ces techniques, tous ces outils que seul le théâtre apporte peuvent parfois transformer l’avenir d’un jeune. A consommer donc, sans modération.  ¶ Eric Chayot et Esther Serrano

la photo du mois

Blanc blanc blanc

Cet hiver, le temps aura gâté les enfants et tous ceux qui le sont restés dans l’âme. La neige était bien au rendez-vous, transformant le paysage. Le square Camille Ronce s’était paré de blanc. L’occasion de revêtir bonnets et gants pour une partie de boules de neige. Les gros bonhommes ont fleuri ici et là, avant de disparaître aussitôt.

Jean inaugure ses annexes Le 1er février, les nouvelles salles de réunion du centre paroissial de Saint-Jean des Grésillons étaient inaugurées. Là, les chrétiens pourront y approfondir leur foi. On y trouve notamment plusieurs salles polyvalentes, une salle pour les scouts, une partie réservée à l’aumônerie (le pôle jeune) et un logement de fonction.


« Il faut

être libre »

abc

Maison de l’Enfance

Les assises de la réussite, initiées par la municipalité, battent leur plein. Les débats sur le thème de la réussite (scolaire et globale) se poursuivront jusqu’en mai. Objectif : impulser un dialogue entre familles, élus, jeunes, associations et professionnels pour aboutir à des propositions concrètes.

Quelques enfants de la Maison de l’enfance nous donnent leur point de vue sur la question.

Isabelle Nadal :

Pour vous, c’est quoi la réussite ? Pauline : « Pour réussir, on a besoin des adultes qui nous entourent, de nos familles, des enseignants et des animateurs aussi  ». Macrine : « C’est être bon à l’école pour pouvoir trouver un métier et gagner un peu d’argent. Il faut être libre, il ne faut pas nous forcer à faire les choses qu’on n’a pas envie de faire. Ce qui est important, c’est que l’on nous donne des conseils  ».

Mathis : « C’est avoir un bon niveau à l’école et surtout apprendre les règles de vie dans l’école, dans la rue, chez soi ou au centre de loisirs. Quand on est un enfant et qu’on se trompe ou qu’on oublie les choses, ce n’est pas grave. Quand on est un enfant, on est là pour apprendre. Ce n’est pas la peine d’avoir un trop haut niveau sinon t’as plus rien à apprendre après. Le mieux, c’est d’apprendre un peu toute sa vie  ». Aurélio : « Pour avoir un bon niveau scolaire, il ne faut pas faire le zouave, mais travailler le plus possible. Si on travaille bien à l’école, alors quand on sera grand on pourra choisir le métier que l’on aura vraiment envie de faire, parce qu’il nous plaît. Apprendre les langues étrangères, ça permet de voyager et de découvrir le monde, d’autres gens, et de comprendre leur vie  »

Citoyens,

C

omités de quartier, réunions de concertation, conseil local de la jeunesse, assises de la ville, assises de la réussite… À Gennevilliers, la démocratie locale, on connaît. Nouvelle étape : la réflexion engagée sur l’exercice de la démocratie participative. Avec à la clef l’élaboration puis l’adoption d’une charte de la participation citoyenne. Quatre habitants du quartier donnent leur avis.

« Laisser plus de chance aux jeunes  » « Je suis à la recherche d’un emploi alors franchement, j’ai pas la tête à participer à l’élaboration d’une charte. Le problème en général, c’est que l’on promet toujours beaucoup de choses mais au bout du compte, rien de concret n’en ressort. Si je devais y aller ? Je dirais qu’il faut laisser plus de chance aux jeunes. Beaucoup sont sérieux, ont envie de travailler, mais on ne les écoute pas. » ¶ Farid Bejaoui, 31 ans, rue Georges Corête

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Pauline : « Pour être adulte et bien grandir, il faut écouter les conseils des adultes, ce qui est important, c’est bien de parler sa langue, savoir bien lire pour comprendre tout ce qui nous entoure ».

Ahmed : « Il faut bien apprendre les choses et les retenir, comme ça quand on sera Sharon : « Il faut avoir un bon comporte- adulte on pourra s’en servir. Il faut aussi ment à l’extérieur de l’école (dans la rue, à avoir un bon caractère toute sa vie et faire la maison au centre de loisirs…) et à l’éco- attention aux personnes qui nous entoule. Il faut être respectueux des autres per- rent. Etre respectueux de chacun  ». ¶ sonnes et de la culture de chacun. Il faut Propos recueillis par Isabelle Nadal, apprendre à ne pas être raciste. C’est aux responsable de la Maison de l’enfance grandes personnes – parents, enseignants, animateurs - à l’apprendre aux enfants ! »

témoignages

en m a r c he  ! 

« Davantage de retombées  » « Je participe à la démocratie locale. L’antenne des Grésillons m’a communiqué le document de synthèse présenté en mairie, on y retrouve ce que mon groupe de travail a exprimé. Une cinquantaine de propos ont été évoqués sur les points positifs et négatifs des comités de quartier. Je pense que ces réunions devraient regrouper moins de monde, afin que chacun puisse s’exprimer. Les gens réservés, timorés, ne sont pas à l’aise pour intervenir devant une foule trop dense. Et puis, il faudrait que tout cela soit plus constructif, qu’on voit davantage les retombées. » ¶ Guy Leprieur, 74 ans, rue François Kovac

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« Une continuité dans la démocratie locale  »

« Je participe aux comités de quartier depuis pas mal de temps. Comme je travaille à la direction de la protection de l’environnement et de l’eau à la ville de Paris, les élus de Gennevilliers m’ont sollicité pour intervenir sur ces questions. La charte, c’est la continuité de tout ce travail autour de la démocratie engagé sur la ville. J’ai 32 ans d’expérience dans le métier de l’environnement, alors si je peux apporter quelque chose… Je vois que les mentalités commencent à évoluer. Des personnes qui ne participaient jamais s’intéressent. Aujourd’hui, on m’interpelle sur le tri sélectif, sur les chaudières économes. » ¶ Roland Pruvost, 54 ans, rue Georges Corête

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« Pas le temps de m’impliquer  »

« Je n’ai pas eu connaissance de l’élaboration de cette charte. Moi, je rentre à 20 h 30 du travail chaque soir, alors après, je suis fatiguée, je n’ai pas envie de m’impliquer, même si je trouve l’initiative très intéressante. Je suis convaincue qu’il est très important de récolter le témoignage des habitants, et surtout qu’ils soient entendus. Ici, un travail exceptionnel a été mené avec le plan d’urbanisation. J’aimerais aujourd’hui que s’installent des commerces intéressants : un fromager, un poissonnier, un bar brasserie ouvert le soir…  » ¶ Frédérique Zonca, 37 ans, rue Paul Vaillant Couturier


coup de chapeau

« La poésie est présente partout  » L’écrivain et poète Thierry Cazals, spécialiste du haïku, animera des ateliers pour adultes en mars à la bibliothèque.

L

e haïku ? Ce petit poème en trois vers – sans rime finale – exprime un étonnement, une émotion qui jaillit de notre quotidien. Né au Japon il y a presque 5 siècles, importé en France au début du 20 e siècle, le haïku se pratique désormais dans le monde entier et dans toutes les langues. En France, Thierry Cazals en est le spécialiste.

Le poète, ancien journaliste aux Cahiers du cinéma, anime depuis des années des ateliers poétiques dans les écoles ou les bibliothèques, pour les enfants et les adultes. En janvier, il était à la bibliothèque Robert-Doisneau pour trois ateliers avec les enfants. Il revient en mars, mais cette fois-ci, pour des ateliers adultes. « A chaque fois, en venant ici, je traverse le quartier et je vois des choses différentes. La poésie, c’est ça : être un peu enquêteur  », explique Thierry Cazals aux enfants en ce mercredi matin. Il pourrait en parler des heures. De ces petits quotidiens qui recèlent des trésors poétiques. « La poésie est présente partout, insiste-t-il. Avec des miettes de pain, les enfants peuvent faire un château. Le haïku permet de ramener les enfants dans leurs désirs d’expression. Les adultes, en général, sont plus renfermés, ont peur de révéler leurs émotions. Mais derrière chaque adulte, un enfant attend. Il suffit de

 Coup de gueule

Attention, t rottoir s

l r v e g a c és

lui parler… La poésie, c’est le mystère de la vie. Le partage, avec ses souffrances et ses joies. C’est guérisseur !  » Une denrée rare de nos jours, dans cette civilisation que l’on dit riche. « Nous sommes dans un monde de zapping, de plaisir immédiat. Mais un arbre, il lui faut du temps pour pousser  ». Et là, dans cet atelier où les enfants ouvrent grand leurs yeux et leurs oreilles, le temps semble s’être arrêté. Instants précieux. ¶ Nadège Dubessay

Rêve ton quartier atelier d’écriture pour les adultes les vendredis 13, 20 et 27 mars de 18 h 30 à 20 h 30. Inscription gratuite mais obligatoire à la bibliothèque Robert-Doisneau, 30 /40 rue François Kovac, tél : 01 40 85 60 37.

Vacance   au pays perdu

de Philippe Segur, Editions Buchet Chastel Le narrateur, graphiste spécialisé dans le packaging de produits alimentaires, conçoit à longueur d’année des emballages de thon au mercure, de mayonnaise à la dioxine et d’œufs bourrés de pesticides. Végétarien, il est à fond pour l’homéopathie et adhérent à trois associations de protection de l’environnement. Cherchez l’erreur ! Il est harcelé par femme et enfants qui exigent chaussures Converse, veste Puma, dernier mobile connectable au net.

Il n’en peut plus et décide de changer radicalement de vie – enfin pour une semaine. C’est décidé, il va voyager à la dure, en compagnie de son meilleur copain. Ce sera l’Albanie, pays encore préservé du consumérisme échevelé. Cela va rapidement virer au cauchemar. L’auteur raconte avec un malin plaisir les aventures de ces deux bobos accrochés à leur carte de crédit comme à une bouée de sauvetage. Froussards et nombrilistes, bourrés de préjugés sur la population locale, incapables d’abandonner leurs réflexes de nantis. Ils ne verront pas grand-chose du pays qu’ils traversent. Humour grinçant et caustique garanti !

i

l y a eu récemment une période de grand froid accompagné de gel et de verglas. Les trottoirs du quartier sont restés une semaine quasi impraticables. Même si les riverains sont dans l’obligation de sabler (le sel est plus corrosif et polluant), et déneiger, le cas échéant, leur trottoir, on peut noter que le nécessaire a été fait par les services de la ville sur les chaussées pour les voitures mais beaucoup moins sur les trajets habituellement empruntés par les piétons, comme la voie piétonne traversant les Grésillons utilisée quotidiennement par des centaines d’enfants et de parents.   ¶ Eric Chayot

Le monde selon Monsanto, de la dioxine aux OGM, une multinationale qui vous veut du bien

de Marie-Monique Robin, Editions la Découverte (Cahiers libres)

C’est un remarquable travail d’investigation qu’a mené la journaliste. Cette enquête exceptionnelle de trois ans sur trois continents reconstitue l’histoire de cet empire industriel implanté dans 46 pays, qui est devenu le leader mondial des OGM. Edifiant et passionnant.

Sélection : Sylvie Solana

Allez Gennevilliers !

Depuis 2003, l’association Communiquer et vivre le handicap à Gennevilliers (CVHG) a monté deux sections sportives : plongée et basket. L’équipe de basket est en nationale 3. Vous pouvez encourager les joueurs au gymnase

des Grésillons les samedis de 18 h à 20 h lorsqu’ils jouent à domicile (renseignements : cvhg.skyrock.com). CVHG : 2, rue Jean Moulin, tél : 01 47 92 04 88.


Chaud Chaud le Pain Cho ! Nordine Harir est responsable du Pain Cho, un terminal de cuisson géré en famille.

uturier 82, rue Paul Vaillant-Co Le samedi, Ouvert de 6 h à 20 h. dimanche. jusqu’à 14 . Fermé le

N

ordine Harir est un enfant du quartier, né dans l’un des immeubles Chandon, là où s’érige aujourd’hui le lycée. Il tient désormais le Pain Cho et vend sandwich et baguette aux passants, au 82, rue Paul VaillantCouturier.

L’aspect commerce de proximité qui fait vraiment défaut dans le quartier a été déterminant.

Le commerce, il connaît, il a grandi avec. Son « Une petite formation a été nécessaire, puis père tient un café-restaurant à Villeneuve-la- tout s’est déroulé normalement », assure-tGarenne. Lui, côtoiera les marchés, le transport, il en précisant : « il faut néanmoins penser la restauration rapide… Le projet du Pain Cho ? à diversifier et à renouveler l’offre afin de Il l’a peaufiné avec ses parents et son beau- fidéliser la clientèle, constituée pour environ frère, tous engagés dans l’entreprise. Pourquoi 40% de lycéens, 40% d’employés de bureau et ici ? « Le fait d’être du coin a été l’aspect le 20% d’habitants ». plus important pour moi, dit-il. Même s’il existait beaucoup de concurrence en lice ». Déjà Ici, deux formules vous sont proposées : une à Asnières, il s’occupait d’une sandwicherie. Et froide (sandwich, boisson, pâtisserie) pour lorsque l’opportunité d’ouvrir un terminal de 5,50 euros et une chaude (sandwich/frites, cuisson se présente ici, il n’hésite pas. L’aspect boisson, pâtisserie) pour 6,60 euros. A l’appel commerce de proximité qui fait vraiment des beaux jours, boisson chaude ou froide peut défaut dans le quartier a été déterminant. se siroter sur la terrasse.

Nordine Harir projette une présence sur internet, grâce à l’Association des commerçants de Gennevilliers. « La page sera renouvelée régulièrement et les projets commerciaux seront ainsi plus musclés », avance-t-il. Aujourd’hui, le responsable du Pain Cho s’affiche en commerçant heureux, satisfait d’avoir mené son projet à terme et de la tournure positive qu’il a pris.  ¶ Eric Chayot et Roland Pruvost

Courrier des lecteurs

Demandez le programme en direct de l’antenne

La Lettre des Grésillons propose de publier vos réflexions. Comment trouvez-vous ce journal ? Qu’aimeriez-vous y voir figurer ? Toutes vos suggestions sont les bienvenues. Contactez-nous au : 01 40 85 60 40 antenne.gresillons@ville-gennevilliers.fr

Tout ce que vous pouvez faire dans votre quartier ...

D.R .

à 17 h de 14 samedi

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i après-mid samedi février Sortie familia le à la Villette (Paris) pour l’exposition La Terre est à nous. Comment répond re à nos besoins actuels sans compromettre la capacité des générat ions à répond re à leurs exigences ? Cette exposit ion aborde la question cruciale de l’épuisement des ressources au regard de l’explosion démogr aphique et de la concentration croissante des homme s dans la ville. Inscription et information à l’Espace des Grésillons.

 Jean-Philippe Gaist Gennevilliers

25

février

Pour les participantes des ateliers socioli nguist iques. Animat ion autour de jeux d’expre ssion du langage (mime, vocabu laire, etc.). À l’Espace des Grésillons. 0 à 19 h 3 mardi

3

23

mars

Grésillons. des l’Espace à Présentation des travau x du quotid ien travau x, petits (aménagements, r quartie bornage rue Jaffeux) sur le passage le ainsi que le fleurissement sur Renée Gallot réalisés par les service s techniques et les espaces verts. Suivi des demandes par l’assoc iation des parent s d’élèves Apegre.

11

à 18 h 30 mercredi mar s en mair ie. Com mission part icipative en présence des habit ants volontaires de l’ensemble des quart iers sur l’élaboration d’une char te écocitoyenne.

21

à 15 h samedi mars Après-midi musical intergénérationnel au local Agir, rue Georges. Droit d’entrée : 2 euros (qui donne droit à une boisson et une part de gâteau).

« J’ai reçu aujourd’hui pour la première fois (étant nouveau résident à Gennevilliers), La Lettre des Grésillons. Je trouve cela bien fait, même si j’aimerais voir plus d’infos sur les commerces de mon nouveau quartier. Par ailleurs, je me demande si vous ne gagneriez pas à le faire dans un format plus petit, pour le mettre dans la poche et le lire dans les transports.

0 à 18 h 3 lundi mars à la résidence Lacour ière, salle de réunion près du passage piétons Massel ier - Bendelé : Comité de rédact ion de La lettre des Grésillons.

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30 à 18 h mars jeudi Présentation du budget 2009 à l’Espace des Grésillons.

Adresse Antenne des Grésillons : 30, rue François Kovac tél 01 40 85 60 40.

Je me permets de vous faire remarquer une erreur. Vous parlez de la « rue Chenard et Walcker » alors qu’il s’agit de « l’avenue Chenard et Walcker ». Par ailleurs, monsieur Tournade est le président de l’une des trois copropriétés qui composent l’ASL du Parc Chandon, qui ont en plus l’originalité d’être gérées par deux sociétés de syndic différentes ».

La Lettre des Grésillons est éditée par l’antenne de quartier des Grésillons. Responsable de la publication : Nadia Salhi. Conception et rédaction en chef : Nadège Dubessay. Conception graphique et direction artistique : Olaf Mühlmann · http://design.lgr.free.fr/ Photos : Christophe Couffinhal, Patrice Leclerc. Sujets imaginés, écrits, photographiés ou illustrés par : Eric Chayot, Maria-Blanca Fernandez, Colette Houref, Jean Montout, Isabelle Nadal, Roland Pruvost, Esther Serrano, Sylvie Solana. Impression : LNI sur du papier 100% recyclé (Cyclus print).

 la vitrine


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