Mairie d’Onex | Paraît 9 fois par an | Tirage : 9’700 exemplaires | Responsable d’édition : Pierre Olivier ( 022 879 59 59 ) p.olivier@onex.ch | www.onex.ch
oneX Magazine n° 12 | Avril 2009
DOSSIER / CADIOM, le plus grand chauffage écologique du canton
éDITORIAL Carole-Anne Kast, Conseillère administrative — ACTUALITé Nouvelles de la commune en bref — Action communautaire Oasis pour ressourcer l’action communautaire à Onex — Action communautaire et social Les compétences des exclus — Social Onex-Familles — Bâtiments Fin des travaux à l’école de Belle-Cour — Espaces verts Sculptures sur bois des jardiniers — Ecoles Le parascolaire à Onex — Spectacles Onésiens Au programme ce mois d’avril — Vie pratique Un petit tour du côté de la météo — Sport Football et Respect — Sécurité Haro sur les crottes de chiens — Baisse de la délinquance à Onex — Politique Conseils municipal de mars 2009 — VOIRIE Déchets : ce qu’il faut ramener au magasin — Vie pratique Conseils de saison — Agenda Avril et Mai 2009
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Sommaire
éDITORIAL Carole-Anne Kast, Conseillère administrative
ACTUALITé Nouvelles de la commune en bref
Action communautaire Oasis pour ressourcer l’action communautaire à Onex
page 6
Action communautaire et social Les compétences des exclus
page 7
Social Onex-Familles
Bâtiments Fin des travaux à l’école de Belle-Cour
page 10
Espaces verts Sculptures sur bois des jardiniers
page 11
dossier CADIOM, le plus grand chauffage écologique du canton
Ecoles Le parascolaire à Onex
page 14
Spectacles Onésiens Au programme ce mois d’avril
page 15
Vie pratique Un petit tour du côté de la météo
page 16
Sport Espritfoot
page 17
Sécurité Haro sur les crottes de chiens
page 18
Sécurité Baisse de la délinquance à Onex
page 19
Politique Conseils municipal de mars 2009
page 20
VOIRIE Déchets : ce qu’il faut ramener au magasin
page 21
Vie pratique Conseils de saison
AGENDA Avril et Mai 2009
page 3 pages 4 — 5
pages 8 — 9
pages 12 — 13
pages 22 — 23 page 24
IMPRESSUM Magazine de la Ville d’Onex. Mairie, chemin Charles-Borgeaud 27, 1213 Onex mairie@onex.ch / www.onex.ch n°12 – avril 2009 Responsable d’édition : Pierre Olivier, 022 879 59 59, p.olivier@onex.ch Graphisme et mise en page: Sophie Neboux Imprimerie : SRO - Kundig / Impression sur papier 100% recyclé 9’700 exemplaires Prochaine parution le 30 avril 2009
Cheminement, en Ville de Genève, du futur tram Cornavin-Onex-Bernex
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édito |
Tous ces défauts qui sont autant de chances Cette petite phrase d’une chanson « que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître » m’a toujours fait penser à notre Ville d’Onex. En effet, il faut bien admettre que, vue de l’extérieur, Onex est souvent citée comme étant une ville qui n’a pas toujours eu un destin facile. En gros, la « fée emploi » a juste oublié de se pencher sur son berceau pendant les années 60, alors qu’Onex passait du statut de village à celui d’une vraie ville. La conséquence directe de cette situation est une fiscalité difficile, des moyens limités, alors que nos besoins sont bien ceux d’une vraie ville. Les villes de tailles similaires du canton peuvent bénéficier d’un budget souvent deux fois plus élevé que le nôtre (le budget d’Onex est de 38 millions, ceux de Meyrin de 74 millions et de Carouge 69 millions), grâce essentiellement à l’apport de leurs taxes professionnelles (Onex 400’000 francs, alors que Meyrin a 10 millions et Carouge 8 millions). Pourtant, je vous garantis que nous n’avons pas à rougir des prestations que nous arrivons à offrir à la population, avec moitié moins de moyens. Nous ne pouvons pas non plus nous targuer d’avoir une zone résidentielle de haut standing, attirant célébrités à lunettes noires et forfaits fiscaux, des monuments historiques à activité touristique ou des organisations non-gouvernementales d’importance internationale.
Cependant, Onex a souvent su être novatrice et ce dans plusieurs domaines comme la santé, le social, l’énergie, le développement durable, la sécurité de proximité, l’intégration, la communication, l’informatique, etc. Aujourd’hui, le Conseil administratif et toute l’administration municipale travaillent quotidiennement et avec conviction pour continuer à faire que tous ces défauts soient autant de chances. Notre plus grande richesse, c’est vous les habitant-e-s de cette ville d’Onex. Vos expériences, votre diversité, vos opinions, même et surtout lorsqu’elles divergent, vos parcours et vos liens, vos engagements, si divers et variés, dans presque tous les domaines associatifs, du sport à la culture, de l’aide humanitaire aux loisirs. Fort de cette conviction, le Conseil administratif tient évidemment à faire fructifier cette richesse. Le processus de mise en place du contrat de quartier, comme c’est le cas pour le parc du Gros-Chêne, va dans ce sens. Mais c’est aussi une ligne d’action qui traverse toutes les actions de l’administration communale. Comme dans la chanson, je pense que nous pouvons dire qu’Onex vous donne tout ce qu’elle vaut, ce qu’elle est, ses dons, ses défauts, ses plus belles chances, ses différences… et vous le lui rendez bien ! Carole-Anne Kast, Conseillère administrative
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| Actualité | Nouvelles de la commune en bref...
Actualité Réception des nouveaux habitants
Compagnie Art Ken Ciel
L’association des Cuisines scolaires cherche un comptable
Vide-grenier de l’association des habitants de Cressy
Le Conseil administratif de la Ville d’Onex organise une réception à l’attention des nouveaux habitants d’Onex, le vendredi 24 avril, 18h, à l’Espace culturel Le Manège (127 route de Chancy). Toutes les personnes qui ont élu domicile dans la commune depuis janvier 2008 sont cordialement invitées à cette manifestation.
L’association des Cuisines scolaires d’Onex recherche (de préférence) un(e) jeune retraité(e) onésien(ne), de formation comptable, pour le suivi de sa comptabilité. Cela représente quelques heures par mois qui seront indemnisées. Pour tous renseignements, s’adresser à Gabrielle Keller, présidente, au 022 793 18 86.
Troc d’habits et de jouets organisé à l’école des Tattes
Un troc d’habits et de jouets, organisé par les parents d’élèves de l’établissement Tattes-Gros-Chêne, aura lieu le matin du samedi 9 mai, de 10h à 16h, dans la cour de l’école des Tattes. Un stand crêpes sera également à disposition des visiteurs. Renseignements : n.rampf@bluewin.ch
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Nous sommes tous amateurs mais avons engagé un professeur metteur en scène professionnel. Nous travaillons et répétons au théâtre d’Onex tous les jeudis – et même davantage avant les représentations. Cette année, nous proposons une comédie de J-M Chevret qui aborde des thèmes d’actualité : racisme, intégration, conflit des générations. Denyse Huc Vous y trouverez tout ce qui peut habiller l’intérieur d’une maison: petit meuble, habits pour bébés, enfants et adultes, jeux pour petits et grands , etc. Il y aura à manger (pizzas, ramequins, hot-dog, sandwichs et pâtisseries) et à boire. Préau de l’école de Cressy, dimanche 26 avril de 10h à 17h.
Inscriptions parascolaires en collaboration avec les cuisines scolaires pour l’année 2009-2010
Mercredi 13 mai 2009 à l’Astronex Maison Onesienne, rue des Evaux 2 de 10h à 14h et de 17h à 19h Pour toutes les écoles d’Onex
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Nouvelles de la commune en bref... | Actualité |
Les aînés à l’honneur
Le 19 février 2009, toutes les personnes qui on fêté leurs noces d’or et de diamant au cours de l’année écoulée étaient invitées à une réception donnée en leur honneur, à l’Espace culturel le Manège.
Le 11 mars 2009, Charles et Giovanna BADERTSCHER ont fêté leur 60 ans de mariage, en compagnie de Carole-Anne KAST, Conseillère administrative et d’une partie de leur famille.
Maurice PECLARD a fêté son 90ème anniversaire, le 16 février, en présence de son épouse et de Philippe ROCHAT, Maire.
Edmée ARLAUD a fêté ses 90 ans, en compagnie de sa fille et de Philippe ROCHAT, Maire, le jeudi 12 mars 2009. Onex Magazine | n°12 | Avril 2009
| Action communautaire | Oasis
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Une expérience de dialogue citoyen dans la Ville d’Onex Dans le cadre de leur formation et d’une proposition d’approfondissement de leurs connaissances, des étudiants de la Haute Ecole de Travail Social de Genève (HETS) ont eu envie d’aller sur le terrain et d’échanger avec les habitants sur leurs expériences et leur qualité de vie, avec un intérêt appuyé pour la place des jeunes dans la ville. Ce travail très dense, qui procède autant de l’aventure et du reportage que du partage, est présenté sur le site www.tshm. ch/avanchets-onex vous êtes chaleureusement invités à aller le découvrir et à laisser vos commentaires, car le site est interactif et le dialogue continue. Gageons que dès que vous y serez entrés vous aurez de la peine à en sortir, tant ce qui est présenté est passionnant ! Disons d’emblée que ces étudiants ont été bien accueillis et que ce qu’ils ont découvert ne cadrait pas ou si peu avec les clichés que les médias ou une partie de la classe politique propagent. C’est peut-être leur premier constat : ici, rien à voir avec les cités de certaines banlieues françaises ou américaines et leurs préjugés n’ont pas fait long feu. Ensuite, il a fallu entrer en communication avec les habitants, les jeunes. Cela s’est fait progressivement. D’abord dans les parcs ou aux alentours des commerces, puis au bas de l’immeuble, devant la porte, pour finir parfois par être invités à entrer dans l’appartement. Ils en tirent la belle constatation suivante : non, ce n’est pas facile d’aller vers l’autre quand on ne le connaît pas, quand il n’a pas le même look que nous, le même âge ou la même culture. Alors, cela explique peut-être que certaines personnes soient si décontenancées devant des attitudes qui leur sont étrangères.
Ils ont également dû expliquer leur démarche : aller sur place leur a permis de voir le quotidien, la réalité et d’entrer en relation, donnant ainsi tout son poids à leur expérience de rencontre. Parmi les thèmes approfondis, la vie à la Tour Bleue a soulevé leur intérêt. Ils ont constaté chez leurs interlocuteurs de tous âges un sentiment d’appartenance fort envers Onex. Les habitants goûtent une certaine qualité de vie, apprécient leur appartement, sont relativement tolérants quant au bruit, et reconnaissants pour les infrastructures à disposition (bus, magasins, école, loisirs, etc.). Ils évoquent plus volontiers un sentiment de proximité que de promiscuité et expérimentent à des degrés divers la solidarité. Il faut dire que le responsable du service d’immeuble, M. Ismet Kurteshi, contribue grandement à ce que le calme, le respect et le dialogue soient maintenus. Approcher leurs contemporains n’a pas été immédiat non plus, et leur manière de faire a ressemblé à celle du Petit Prince et du renard ! Ils ont constaté que les jeunes qui se réunissent en bande ont un territoire préféré où ils se retrouvent régulièrement, comme par exemple le Parc de la Mairie ou devant le magasin Dosenbach. A l’adolescence, rien d’anormal à vouloir se retrouver entre pairs, entre copains. Ils ont évoqué leurs craintes et leurs rêves et sont bien conscients des défis qui les attendent. Nombreux sont ceux qui ont besoin d’être accompagnés ou encouragés pour aller vers une nouvelle étape de leur vie : apprentissage, travail, etc. Alors que M. Ismet Kurteshi, parlant de ces jeunes, dit « ils sont beaux », certains ont besoin d’être aidés pour voir leur propre beauté. Catherine Maurin
Illustrations : Sophie Dafflon
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Séminaire à la Maison Onésienne | Action communautaire et Prévention sociale |
Les compétences des exclus Depuis plus de 20 ans, Adalberto Barreto, docteur en Psychiatrie (Université René Descartes - Paris), docteur en Anthropologie (Université Lyon 2), thérapeute familial et professeur à la faculté de médecine de l’Université fédérale du Ceará au Brésil, anime une expérience originale de “soins primaires” s’appuyant sur des “groupes de terapia comunitaria”. Le 10 mars dernier, Adalberto Barreto à animé un séminaire à la Maison Onésienne, destiné aux collaborateurs des services sociaux de la commune. Champ d’action La pratique du docteur Barreto, basée sur une approche systémique et anthropologique, a débouché sur la mise au point d’un modèle d’intervention structuré qui a fait ses preuves : la “thérapie communautaire”. En France, ce modèle s’intitule “groupe d’écoute, de parole et de lien”. Un tel groupe, en partant des difficultés et des souffrances des uns et des autres, permet de recréer du lien social, tout en mobilisant les ressources de chaque participant au profit de tous. Des expériences sont en cours dans l’Isère (Grenoble, Vienne) et dans les Bouches du Rhône. En Europe, un réseau grandissant applique ce modèle en l’adaptant à différents contextes. Formation La formation proposée comprend 2 sessions de 4 jours, à un an d’intervalle, 80 séances d’animation d’un groupe et 60 heures « d’intervision » et supervision. Elle donne lieu à la délivrance d’un diplôme de l’Université fédérale du Ceará. Les personnes qui s’engagent pour cette formation acceptent de faire un travail sur ellesmêmes à partir de techniques bio-énergétiques (respiratoires) qui permettent l’auto-connaissance, l’éveil de la force intérieure et une meilleure estime de soi.
Les objectifs : Permettre à chaque participant de mieux repérer sa compétence à prendre soin de l’autre. Apprendre à s’appuyer sur les ressources et compétences des personnes du groupe et à intervenir comme simple “facilitateur de communication“. Apprendre des techniques d’intervention en groupe. Permettre d’être attentif et ouvert aux différents modes d’expression de la souffrance. Travailler l’accueil, le respect et la tolérance des différences culturelles. Apprendre à créer des réseaux de soutien. Personnes potentiellement concernées par cette démarche Toute personne dont la profession ou l’activité la met en contact avec une population touchée par la précarité, l’exclusion sociale, l’isolement, la perte d’identité. Cela vise donc médecins généralistes, thérapeutes, psychologues, infirmières, travailleurs sociaux, éducateurs, personnels déjà qualifiés travaillant dans des lieux d’insertion ou d’accueil, etc. Mauro Mercolli, chef du Service Jeunesse et Action Communautaire Pierre-Antoine Lacroix, chef du service de prévention sociale et de promotion de la santé
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| Social | Onex-Familles
La commune tisse un réseau de compétences pour le bien-être des familles onésiennes L’évolution de notre société fait que les enfants doivent être placés, pendant la journée et dès leur plus jeune âge, dans des lieux adaptés à leurs besoins et à leur épanouissement. Ceci par nécessité, parce que les deux parents travaillent, ce qui arrive de plus en plus souvent. Ou encore dans le cas de familles monoparentales, dont le nombre s’accroît régulièrement. Connaître d’autres contextes sociaux et familiaux est également bon pour la socialisation des enfants qui passe par des moments partagés avec leurs pairs. Mais, il se trouve que l’offre n’est de loin pas adaptée à la demande. Les places de crèche viennent à manquer cruellement et il faut trouver des solutions qui puissent être satisfaisantes, tant sur le plan éducatif que financier. C’est la raison pour laquelle l’administration onésienne a mis sur pied Onex-Familles en 2003. Création d’un secteur « Petite enfance » En automne 2008, l’administration onésienne s’est dotée d’un secteur « Petite enfance », placé sous la responsabilité de Sophie Demaurex. Ce secteur fait partie du Service de Prévention Sociale et de Promotion de la Santé (SPPS), dirigé par Pierre-Antoine Lacroix. La Ville d’Onex, tout comme les autres communes suburbaines du canton, a ainsi créé sa propre structure pour répondre efficacement aux nouveaux enjeux du secteur familial.
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Le rôle du secteur de la petite enfance est multiple : Gérer les réseaux de familles d’accueil et de baby-sitters. Assurer les liens avec les crèches d’Onex: établir les contrats de prestation, s’assurer de l’application des recommandation du développement durable dans les crèches, rechercher des solutions aux fermetures des crèches pendant l’été, régler le problème des places d’urgence; bref, fonctionner en tant que porte d’entrée unique pour la petite enfance. Favoriser les synergies « enfance » dans la commune, notamment par le biais du regroupement d’Onex-Familles, de la Villa Yoyo et de la Petite Découverte, dans la Grande Maison du Bois-Carrien. Promouvoir la Petite Découverte, comme lieu d’accueil ouvert, et assurer les contacts nécessaires avec le Jardin Robinson, la Villa Yoyo et la Ludothèque. Exercer un rôle d’expertise, notamment dans les réponses aux questions du Conseil municipal ; par exemple, comment répondre aux besoins des enfants de 4 à 6 ans les mercredis et pendant les vacances. Assurer la coordination avec les autres communes et le canton. Tout cela en conformité avec l’évolution de la législation, notamment la nouvelle loi sur les familles d’accueil qui devront, dès 2009, être engagées (avec charges sociales) et rémunérées à l’heure, selon un contrat type, les parents participant en fonction de leurs revenus.
Onex-Familles, au carrefour des besoins et des offres des familles Au fil des années, Onex-Familles a mis sur pied un réseau de soixante familles d’accueil, répondant aux besoins d’environ 150 familles dites « placeuses », qui va être augmenté, dès l’automne 2009, des familles d’accueil du Petit-Lancy. Les familles d’accueil recrutées par OnexFamilles doivent répondre à des critères rigoureux, permettant de garantir leur « compétence d’accueil », ce qui sous-entend une attitude adaptée vis-à-vis des enfants qui leur seront confiés. Cette sélection passe, entre autres, par un entretien en couple avec une assistante sociale de l’ELP (Evaluation des Lieux de Placement) et une visite à domicile. Actuellement, les familles candidates sélectionnées se voient offrir une formation de 20 heures par Pro Juventute. Une fois la famille « agrée », Onex-Familles met à sa disposition toute une batterie de prestations qui lui permettra de renforcer ses compétences et de trouver les appuis indispensables à la pérennisation de son activité. Soit un accompagnement permanent, des interventions (en cas de non-respect par les parents des familles placeuses des règles fixées dans le contrat), des soirées de formation et des groupes de parole, du matériel pédagogique en prêt, des matinées de rencontre et de bricolage, des sorties récréatives (notamment en forêt), un soutien logistique pour résoudre des problèmes administratifs, une protection des paiements et encore, si nécessaire,
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Onex-Familles | Social |
une orientation vers d’autres prestations de la commune. Un travail sur le jeu et la médiation a récemment démarré. Les familles placeuses se voient ainsi proposer, via la structure de placement d’Onex-Familles, des familles d’accueil « professionnalisées », adaptées à leurs besoins, et intégrées au sein d’une organisation fiable. La Petite Découverte La mission de la Petite Découverte est de favoriser le lien social entre les personnes s’occupant d’enfants d’âge préscolaire (parents, grands-parents, mamans de jour…), d’offrir un lieu de socialisation douce pour les enfants, afin de diminuer le sentiment d’isolement, d’augmenter le partage, l’échange et l’ouverture vers l’autre, pour ainsi prévenir les dangers d’ordres social, psychologique, ou de négligence.
Quand : Où : Comment : Pour qui :
Pour remplir cette mission, la commune offre un lieu gratuit et anonyme (La Petite Découverte), encadré par deux professionnels garants du maintien des valeurs telles que le non-jugement, le respect, la non-discrimination. Ces professionnels assurent un service d’accueil, d’information, de dépistage, d’orientation (si besoin est), d’écoute, et favorisent la socialisation entre les enfants et la rencontre entre les personnes. Sur une année, on dénombre plus de mille visites, la fréquentation moyenne quotidienne étant de six à huit adultes et d’une dizaines d’enfants. Ces chiffres démontrent une certaine régularité dans l’utilisation de la prestation, permettant la mise en place d’une réelle prévention. La Petite Découverte s’inscrit dans l’approche du Service de Prévention Sociale et de Promotion de la
Santé (SPPS). Lieu de proximité, il joue un rôle de prévention et de création de liens. La Petite Découverte est la base d’une rencontre des parents et des enfants et le début d’une solidarité poursuivie indépendamment à l’extérieur. Thèmes collectifs abordés à la Petite découverte : discussion autour de la maternité (grossesse, poids…) et de l’accouchement, arrivée du 2ème enfant. Jalousie des frères et sœurs ; manque de lieu de garde ; gestion des « crises » de l’enfant en lieu public ; non-reconnaissance du « travail » engendré par la présence d’un enfant ; fatigue ; bilinguisme et trilinguisme.
Onex famille
lundi, mardi, jeudi, vendredi, 9h-11h. La Grande Maison, av. des Grandes-Communes 68. avec ou sans-rendez-vous (022 870 10 80) ou en passant librement. pour les parents en recherche d’un mode de garde (crèches, familles d’accueil, baby-sitters, jeunes filles au pair, chèques services, nounous…) ou d’activités pour leurs enfants (Ludothèque, parcs, Petite Découverte, Jardin Robinson), et les personnes souhaitant devenir familles d’accueil (maman de jour).
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| école | Fin des travaux à l’école de Belle-Cour
L’école de Belle-Cour inaugure sa nouvelle aile Grâce aux travaux d’agrandissement menés dans des délais très courts, les élèves de l’école de Belle-Cour profitent dès à présent, dans l’aile nouvellement construite, de beaux locaux répartis ainsi: Une salle de rythmique Un réfectoire scolaire Une classe d’activités créatrices Une salle pour les activités parascolaires Un bureau pour la Directrice Une infirmerie. Ces travaux avaient été rendus nécessaires par l’évolution des mouvements de population des environs. Nos Autorités en avaient été bien conscientes puisque l’un des critères avancés lors de la construction initiale de cette école avait été qu’elle soit modulable en fonction de l’évolution démographique du quartier. Ce nouveau bâtiment a été créé dans la même typologie que l’édifice principal et prolonge celui-ci.
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Avec cette extension, l’école pourra ainsi accueillir de nouveaux tous les niveaux du cycle primaire, puisque les deux classes destinées à la rythmique et aux activités créatrices, dans le bâtiment initial, seront ainsi libérées. Rappelons que ces deux dernières années scolaires, les 5ème et 6ème primaires ont dû se rendre à l’école du Bosson, faute de place à Belle-Cour. La salle des maîtres, quant à elle, est également agrandie. Il est à noter que des 3 classes initiales en 2003, l’école en aura 8 pour la prochaine rentrée. Le pavillon provisoire, rendu inutile, sera démonté pendant les vacances de Pâques et le préau agrandi sur ses côtés ouest et sud, en partie grâce à une surface prise sur des terrains qui appartiennent aux propriétaires voisins. Le budget a été respecté et, bonne nouvelle, les constructions scolaires étant subven-
tionnées par l’Association des Communes Genevoises (ACG), 30 à 35% du coût sera pris en charge par cette dernière. Ces travaux ont également été l’occasion de revernir les façades extérieures. En effet, le bois a besoin d’être reverni tous les 5 ans environ, à moins que l’on adopte l’option de le laisser vieillir naturellement, et les chalets de nos montagnes témoignent de sa longévité ! Que les enseignants et les élèves soient remerciés de leur patience et de leur tolérance, le résultat en vaut la peine ! Une cérémonie officielle réunira tout le monde dans ces locaux tout pimpants et accueillants, le bruit des marteaux ayant été remplacé par les rires et les cris des enfants ! Catherine Maurin
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Travaux des jardiniers | Espaces verts |
Nos jardiniers sont des artistes Grâce au travail et à la créativité de nos jardiniers communaux, Onex a été reconnue en 2007 « Ville la plus fleurie du canton ». Mais l’équipe nous réserve encore des surprises, parmi lesquelles ces sculptures taillées dans le bois que nous pouvons admirer en différents endroits de la commune. Vous connaissez certainement le hibou, la tortue et les lanternes intégrés dans les massifs floraux, ainsi que le banc situé aux Evaux, près du totem. Peut-être vous demandez-vous quels artistes reconnus en sont les créateurs. Et bien ce sont trois jardiniers communaux, Messieurs Jean-Daniel Bischoff, Marcel Muller et Pascal Blein. L’idée a été initiée il y a quelques années par Pascal Blein qui, désirant réaliser une décoration de Noël plus personnelle pour sa famille, a sculpté une petite lanterne dans un morceau de bois. Le résultat a donné envie aux trois collaborateurs, qui travaillent ensemble depuis plus de 25 ans, de renouveler l’expérience pour le plaisir des Onésiens. Le service des infrastructures publiques et de l’environnement a volontiers donné son accord pour la réalisation de ce projet novateur dans la région, alors qu’en Suisse allemande, par exemple, on trouve souvent sur les parcours forestiers des animaux sculptés sur des troncs. Partant d’un modèle, il s’agit de le mettre à l’échelle, de trouver le bois qui convient, de procéder au dégrossissage du tronc puis d’esquisser à la craie les grandes lignes. Vient ensuite le travail
de sculpture, effectué à l’aide d’une tronçonneuse munie d’accessoires spéciaux, et éventuellement au ciseau à bois électrique. Les finitions consistent en un ponçage à la meule et au papier de verre, avec au final la pose d’une huile ou d’un vernis, selon les essences. Les trois artistes travaillent volontiers ensemble et se sont installés à l’abri dans un hangar. Histoire de se faire admirer un peu partout, ces œuvres voyagent et on les retrouve d’année en année à différents endroits de la commune. Mais leur notoriété a même dépassé notre territoire puisque des lanternes ont été prêtées à Versoix, lors de la fête du chocolat ! Nombreux sont les habitants ou les promeneurs qui, quand ils croisent nos jardiniers en plein travail, s’arrêtent pour les féliciter et dire combien ils apprécient les résultats de leurs efforts. Parfois, c’est même par courrier que les compliments et les remerciements arrivent ! Ce retour – bien mérité – est important pour l’équipe et la conforte dans ses buts : nous permettre de vivre dans un environnement coloré, fleuri et soigné. Le talent des jardiniers trouvera toujours à s’exprimer et gageons qu’ils fourmillent déjà d’idées pour nous enchanter pour ces prochaines années ! Catherine Maurin
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| Dossier | CADIOM
CADIOM, le plus grand chauffage écologique du canton Qui aurait pensé, il y a quelques décennies, que l’ont puisse se chauffer avec des déchets et que nos ordures deviennent une ressource énergétique ? Quel pari insensé ! Et pourtant, ce projet est devenu une réalité pour les Onésiens, il y a 10 ans déjà ! Une décennie, date anniversaire qui mérite que l’on revienne un peu sur cette réalisation aussi originale qu’efficiente. L’usine d’incinération des Cheneviers, située sur la Commune d’Aire-la-Ville, brûle nos déchets depuis plusieurs décennies (1965). Longtemps, le produit de cette combustion est parti en fumée, et surtout en chaleur dans la nature environnante. Jusqu’à ce que, dans les années nonante, une originale initiative du canton et d’un industriel genevois – à laquelle se sont ralliés par la suite les Services Industriels de Genève (SIG) – considère enfin cette usine comme une
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ressource énergétique potentielle et non plus seulement comme un lieu de destruction des montagnes d’immondices issues quotidiennement de notre vorace société de consommation.
Bref historique En 1999, le Grand Conseil a octroyé une concession à la société CADIOM SA, détenue à 51% par SIG, 44% par CGC Dalkia et 5% par Implenia et d’autres actionnaires. Les travaux ont débuté en 2001 et la mise en service du chauffage à distance s’est faite en 2002. Comment ça marche L’usine d’incinération des Cheneviers est reliée aux immeubles de la Cité d’Onex et du Petit-Lancy, par un réseau enterré de distribution d’eau surchauffée. Le raccordement des immeubles se fait par des sousstations d’échange de chaleur. Comparé à une chaufferie classique, les fours de l’usine des Cheneviers remplacent les chaudières, les brûleurs, les cheminées et les citernes de tous les immeubles raccordés. Les conduites d’eau surchauffée se substituent, pour leur part, aux camions citernes.
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CADIOM | Dossier |
Qui bénéficie de CADIOM Depuis 2002, 5’000 logements (environ 13’000 habitants) sont chauffés par CADIOM. Onex a su saisir l’opportunité de sa proximité géographique pour récupérer une partie de la chaleur perdue de cette usine. Au-delà d’Onex, ce sont encore 12’000 habitants de plus qui bénéficient des bons soins de CADIOM, dans les communes voisines (Petit-Lancy, Bernex et Confignon). «Grâce à CADIOM, plus de 25’000 personnes sont affranchies des aléas du pétrole» se réjouit René Longet, Conseiller administratif en charge de ce dossier depuis le début du projet. Les avantages environnementaux Fini les chaudières dans les sous-sols des immeubles, plus de camions citernes dans nos rues pour alimenter leurs citernes. Pour une puissance initiale de 43 MW, cela représentait une économie annuelle de 9’000 tonnes de pétrole (énergie non renouvelable, faut-il le rappeler), auparavant livrées par 600 camions citernes… soit 28’000 tonnes de CO2, 26 tonnes se soufre et 13 tonnes d’oxyde d’azote en moins dans l’atmosphère.
Les avantages économiques Aujourd’hui, il devient de plus en plus aléatoire de se chauffer avec une énergie non renouvelable, produite à des milliers de kilomètres, et objet de maintes spéculations financières. On a pu constater à quel point notre pays et une grande partie de notre continent ont été pris en otage des fluctuations boursières durant l’année écoulée, le prix de l’or noir ayant triplé en quelques mois. Opter pour une énergie renouvelable de proximité, puisque nos déchets peuvent être (à la lettre) considérés comme tels, est une option sage et durable. Les projets La puissance raccordée de CADIOM est passée de 46 MW en 2002 à 79 MW en 2007. Il est désormais question de l’augmenter à 90 MW, et de relier les deux réseaux de chauffage à distance, CADIOM et l’usine à gaz de Vernier, pour optimiser les rendements et le fonctionnement de ces deux pourvoyeurs d’énergie. Ainsi, CADIOM pourra alimenter Vernier et Meyrin pour l’eau chaude sanitaire pendant l’été. Et l’usine à gaz qui, de ce fait, aura pu être arrêtée pendant l’été, apportera un complément utile, si nécessaire, pendant l’hiver.
Le mot du Service cantonal de l’énergie (ScanE) CADIOM : une étape exemplaire vers la société à 2000 watts sans nucléaire
En avril dernier, le Grand Conseil a décidé à l’unanimité de se donner comme objectif d’atteindre la société à 2000 watts sans nucléaire. Pour cela il faudra diviser par trois notre consommation d’énergie et remplacer, à grande échelle, les énergies fossiles par des énergies renouvelables. Actuellement, la moitié de l’énergie que nous consommons est du gaz et du mazout brûlé dans des chaudières pour chauffer des bâtiments souvent mal isolés. Pour préparer un avenir où les bâtiments seront chauffés sans gaspillage et sans énergie fossile, il faut sans plus attendre : rénover le parc de bâtiments et prévoir des chauffages compatibles avec un raccordement sur un réseau ; construire des réseaux de chauffage à distance qui pourront être alimentés en énergies renouvelables, au fur et à mesure de leur développement ; récupérer les rejets thermiques et valoriser l’énergie contenue dans les déchets. Le développement du réseau CADIOM s’inscrit pleinement dans cette transition qui doit nous permettre un jour de connaître un monde plus durable sans gaspillage, sans nucléaire, sans émissions nocives - mais pas sans confort. Myriam Garbely, Adjointe scientifique, Service de l’énergie du Canton de Genève (ScanE)
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| Ecoles | Le parascolaire à Onex
Le parascolaire, charnière de la vie scolaire Mais que ferions-nous sans les animatrices et animateurs du GIAP (groupement intercommunal d’animation parascolaire) ? Ce sont elles et eux qui, déjà à 7 heures du matin, accueillent nos enfants à l’école. Ce sont encore elles et eux qui prennent le relais des enseignant(e)s à 11h30 pour les assumer jusqu’à 13h30… et toujours elles et eux qui font ce lien, oh combien pratique, entre la fin de l’école à 16 heures et le moment où les parents viennent chercher leurs enfants à 18 heures. Les animatrices et animateurs du GIAP habillent nos enfants, pour les plus petits, les accompagnent et les surveillent le long du chemin, de l’école au restaurant scolaire, les aident à prendre leur repas, les raccompagnent à l’école, veillent sur les siestes des plus petits, organisent jeux et ateliers pendant les périodes d’animation à midi et le soir… Bref ! Ce sont elles et eux qui se substituent aux parents occupés à d’autres tâches et bienheureux que ce personnel dûment formé puisse ainsi les soulager dans leur vie quotidienne.
Animations Les animatrices et animateurs sont des personnes qualifiées, dûment formées pour le métier qu’ils pratiquent. Bien entendu, ils aimeraient passer plus de temps à animer des activités qu’à « garder » les élèves. Mais les structures et le temps à disposition ne le permettent pas toujours. A midi, les animatrices et animateurs proposent des jeux de société, des activités créatives et de bricolages. Certains élèves aiment bien aussi se détendre en discutant entre eux, sans nécessairement participer à une activité collective. Le soir, l’offre est plus étendue dans la mesure où le temps à disposition est intégralement dévolu aux animations. Après le goûter équilibré et varié (pain, chocolat, fruit, céréales, lait), pris généralement collectivement dans chaque école, les animatrices proposent les mêmes activités qu’à midi, avec en plus la possibilité de faire du sport, d’aller à la piscine ou encore de voir un film au Ciné Kid. Les parents ne peuvent venir chercher leurs enfants qu’à partir de 17h45.
Des effectifs en constante augmentation Si le nombre des élèves des établissements scolaires tend à diminuer d’année en année – 1’500 en 2007-08, 1’450 en 2008-09 – les inscriptions au parascolaire ne suivent pas la même tendance, puisqu’elles ont sensiblement augmenté à la rentrée 2008. Ceci rend toujours plus compliquée la tâche du personnel parascolaire, dans la mesure où leur effectif n’évolue pas proportionnellement. Inscriptions pour l’année 2009-2010 La journée d’inscription au parascolaire et aux Cuisines scolaires aura lieu le mercredi 13 mai, à la maison Onésienne, de 10h à 14h et de 17h à 19h. Rappelons qu’il n’y a pas de possibilité d’inscription en cours d’année scolaire. Pierre Olivier, coresponsable du SRD, chargé des relations avec les associations, les écoles et les villes jumelées.
Les équipes
Quels enfants mangent où ?
A Onex, le GIAP emploie 25 animatrices et 3 animateurs, dont le travail est coordonné par une responsable de secteur, Aline Comoli. Ce personnel est réparti de la façon suivante :
Restaurant scolaire du Bosson : près de 300 élèves par jour. 12 à 21 élèves par jour de l’école d’Onex-Village. 60 élèves du niveau élémentaire, 70 du niveau moyen de l’école du Bosson. 60 élèves en moyenne de 2P à 6P d’Onex-Parc. 22 élèves de 1E et 2E, 30 élèves de 1P-3P et 14 élèves de 4P-6P des Tattes-Gros-Chêne.
Onex-Parc et Racettes 9 animatrices(teurs) à midi et 4 le soir. Bosson 10 animatrices(teurs) à midi et 3 le soir. Tattes-Gros-Chêne 5 animatrices(teurs) à midi et 3 le soir. Belle-Cour-Onex-Village 4 animatrices(teurs) à midi et 2 le soir.
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Cantine d’Onex-Parc : plus de 60 élèves par jour 28 à 34 élèves des Racettes 30 élèves de 1E à 1P de l’école d’Onex-Parc Cantine scolaire de Belle-Cour : 40 élèves par jour en moyenne 40 élèves de Belle-Cour par jour.
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Spectacles Onésiens | Activités culturelles |
Spectacles Onésiens Au programme ces prochaines semaines Les Désaxés « Sax machine » —
d’humour musical, France
Spectacle familial et international
Aux saxophones : Guy Rebreyend, sax soprano ; Michel Oberli, sax ténor ; Samuel Maigaud, sax alto ; Frédéric Saumagne, sax baryton. Avec ces quatre-là, il n’y a pas que le cuivre de leurs saxophones qui brille… Du classique au jazz, de Bach aux Blues Brothers en passant par les Beatles ou des airs folkloriques, ils s’improvisent clowns, danseurs, jongleurs, équilibristes… Ces Marx Brothers du saxo s’en donnent à cœur joie dans un brillant numéro entre cirque et music-hall. Spectacle tout public dès 10 ans.
Salle communale, Jeudi 23 avril, 20h
Prix des places : 35.- ; AVS, AI, chômeurs : 30.- ; jeunes de moins de 20 ans, étudiants et apprentis (jusqu’à 30 ans) : 20.- ; carte « 20 ans, 20 francs » : 18.Infos et billetterie: 022 879 59 99 l’après-midi / Vente en ligne sur www.spectaclesonesiens.ch / Autre points de vente: Spectacles Onésiens, Service culturel Migros Genève, Stand Info Balexert, et Migros Nyon-la Combe.
Ged Marlon — humour, France
« Solo » Virtuose du verbe et de l’expression corporelle, comédien-auteur-humoriste, Ged Marlon aborde à sa manière des grands thèmes de société : l’angoisse du célibataire face à un plateau de fruits de mer, la prolifération des vieux-jeunes, le golf, ultime terre d’asile des pantalons à carreaux... Il souligne l’extrême précision du hasard dans les coïncidences, agrémentant le tout d’une pincée de swing car Ged Marlon est aussi un crooner dans l’âme ! On l’avait découvert dans « Les aviateurs » avec Farid Chopel. Au cinéma, on a pu le voir dans « Tandem » de Leconte ou « La vengeance du serpent à plumes » de Oury. Il a joué également dans « Brèves de comptoir » mis en scène par Jean-Michel Ribes et dans « Palace ». Au théâtre, il a surtout joué dans ses propres spectacles à l’humour décalé. Dans ce nouveau one man show, la moustache n’a pas changé, son petit côté dada non plus. Sa griffe à lui n’est pas l’humour à se taper sur les cuisses, on est dans les mots d’esprit, la poésie et l’élégance. Il dénonce à sa manière l’absurdité et les paradoxes de notre époque, en équilibre sur le fil du non-sens, quelque part entre Devos et Tati.
Salle communale, Jeudi 7 mai, 20h30
Prix des places : 38.- ; AVS, AI, chômeurs : 33.- ; jeunes de moins de 20 ans, étudiants et apprentis (jusqu’à 30 ans) : 23.- ; carte « 20 ans, 20 francs » : 20.-
Renseignements : 022 879 59 99 l’après-midi / www.spectaclesonesiens.ch Chéquiers culturels acceptés
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| Vie pratique | Un petit tour du côté de la météo
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La météo, un domaine complexe au carrefour de plusieurs disciplines scientifiques Quel temps fera-t-il, demain, dans une semaine, ou encore ce printemps ? Nous aimerions tellement le savoir. Mais voilà, la météorologie n’est pas une science exacte et ses prévisions ne peuvent se faire qu’à brèves échéances. Bien qu’elle réunisse plusieurs métiers scientifiques – physique, mathématiques, chimie, géographie, sciences de la terre, sciences de l’atmosphère – elle n’en reste pas moins imprécise dès que l’on dépasse une période de cinq à sept jours, selon les saisons. Pour en savoir plus, Onex Magazine est allé à la rencontre de notre conseiller municipal, Daniel Cattani, météorologue à MétéoSuisse. Les prévisions sont plus faciles pendant les saisons marquées – été et hiver – que pendant celles dont le temps est plus variable – printemps et automne. Plus le climat est contrasté, plus le temps est prévisible. Or, nous vivons dans une région tempérée où le climat est plus variable, avec de fréquents changements de temps pendant les périodes d’intersaison. Les outils du météorologue Les météorologues travaillent à partir d’images satellites, de radars de précipitation et de stations automatiques. Ces divers instruments leur permettent de conceptualiser des modèles et d’élaborer des simulations. Le rôle du prévisionniste consiste donc, à l’aide de ces outils dont il dispose en temps continu, de faire la synthèse de ces données, afin de pouvoir élaborer des projections.
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Les paramètres du temps Plusieurs paramètres influencent le temps : La latitude définit le climat. Selon où l’on se trouve, entre équateur et pôles, le climat est plus ou moins chaud, plus ou moins froid, plus ou moins humide ou sec, plus ou moins marqué ou doux. La répartition des hautes et basses pressions et les courants qui en découlent. La géographie : le relief, la présence d’étendues d’eau, l’altitude… La rotation de la terre, à l’origine de fronts et de perturbations, et raison pour laquelle les événements arrivent toujours par l’ouest. Qui a besoin des prévisions ? Outre chacun d’entre nous, pour son confort personnel (prévisions de nos activités et loisirs en fonction du temps), bon nombre de professionnels sont dépendants de la météo pour la bonne marche de leurs activités. Sont principalement concernés les secteurs du trafic aérien, de l’agriculture, du tourisme et du bâtiment. Dans un certain nombre de cas, le travail du météorologue contribue à la gestion des risques. Des besoins les plus élémentaires – précipitation pouvant perturber le déroulement d’une manifestation – aux plus complexes – menaces lors de phénomènes à hauts risques (en cas de tempête, voire de phénomènes météorologiques plus conséquents : cyclone, typhon, etc.) – les météorologues de MétéoSuisse se
rendent disponibles pour répondre en permanence aux nombreuses sollicitations qui leur sont faites, 24 heures sur 24. Ceci, bien entendu, en hiérarchisant les accès à l’information. On comprend aisément que des demandes concernant les risques météorologiques pour un vol aérien (en cas de tempête) ou pour la stabilité d’une grue (lors de vents violents) soient prioritaires sur le besoin d’information d’une enseignante pour une course d’école. Vivons-nous vraiment un changement climatique ? On croit que parce que l’on vient de vivre un hiver rigoureux, le réchauffement climatique devient un concept tout à fait relatif. La perception au jour le jour provoque une sorte de distorsion de la réalité. Mais, sur de longues périodes, le réchauffement climatique est un phénomène avéré, le climat et son évolution ne pouvant se lire que sur une durée d’au moins 30 ans. Quel temps fera-t-il ce printemps ? S’il est impossible de prévoir l’ensoleillement, les indicateurs laissent présager un printemps un peu plus froid que ces dernières années. Dans tous les cas, les prévisionnistes ne sont pas des menteurs, pour la bonne et simple raison qu’ils ne connaissent pas la vérité… Car, de vérité, il n’y en a pas dans le domaine de la météo.
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Football et Respect | Sport |
Lorsque football se conjugue avec respect L’Association ESPRITFOOT a vu le jour en novembre 2008, à la suite de plusieurs années de réflexion, avec le désir de mettre sur pied une structure qui puisse organiser, planifier et encadrer des activités polysportives dans un cadre sain, le tout entouré par des « entraîneurs-éducateurs » qualifiés et formés pour s’occuper d’enfants et d’adolescents.
permettre de s’exprimer par le biais d’activités sportives, mais également dans leur chemin menant à la vie d’adulte. Les jeunes prenant part aux manifestations, événements et camps ESPRITFOOT ne vont pas tous réussir dans le sport, mais nous devons participer à leur réussite dans leur vie d’adolescents et de jeunes adultes.
La philosophie ESPRITFOOT est simple : permettre à un maximum de jeunes de pratiquer une activité physique et sportive pour qu’ils puissent jouer, s’amuser et progresser, que ce soit dans une discipline sportive spécifique ou dans la pratique d’activités polysportives. Outre l’aspect technique et ludique, notre association se veut avant tout un espace apte à créer des liens sociaux et permettre aux jeunes d’interagir de manière respectueuse et avec fair-play.
Nous avons donc décidé d’entreprendre de multiples actions lors de nos activités, afin de sensibiliser les jeunes aux valeurs qui nous semblent primordiales. Notre association s’est également dotée d’une Charte qui comprend des règles visant le bon fonctionnement de l’Association ESPRITFOOT, et des diverses interventions effectuées par notre membre et notre groupe d’entraîneurs. Notre partenariat avec l’association « Le respect ça change la vie » découle du désir commun d’amener un plus social et éducatif.
La pratique du sport ou d’une activité physique ne doit pas seulement être le reflet d’une progression et d’une maîtrise toujours plus poussée de la discipline, mais également l’occasion pour les participants de prendre part à une fabuleuse aventure humaine qui reprend les termes essentiels de la constitution du citoyen de demain, à savoir : le respect, la vie de groupe, l’entraide, la générosité et le plaisir de partager des moments uniques et forts en compagnie de personnes d’horizons multiples. Le sport est un formidable moyen d’expression et d’orientation pour des jeunes en recherche d’identité. Nous voulons donc leur
La devise d’ESPRITFOOT pourrait donc se résumer en une petite phrase : La pratique du sport, oui, mais avec un grand plus : le respect et le fair-play ! Yann Bernardini Association ESPRITFOOT info@espritfoot.com www.espritfoot.com Tél. 079 317 32 06
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| Sécurité | Haro sur les crottes de chiens
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Le chien, meilleur ami de l’homme ! Oui, mais… Mais que nous les aimons nos toutous. Ils sont nos amis, nos compagnons et méritent bien les soins que nous leur apportons. Oui mais voilà, il encrottent nos trottoirs quotidiennement lorsque leurs maîtres ne respectent pas la loi qui les obligent à ramasser les excréments de leur chien. Supports à sachets et poubelles réservées sont parsemés à cet effet dans la commune. Sitôt la crotte posée sur le trottoir, la chaussée, la pelouse ou autre toilettes de substitution, elle doit être ramassée et déposée dans l’une de ces poubelles. Si les agents de sécurité municipaux (ASM) ont été relativement peu regardants jusqu’à présent, les choses vont désormais changer. Dès le 20 avril, tout contrevenant sera dûment sanctionné.
où cette démarche remporterait un franc succès, il est fort possible qu’elle soit renouvelée durant les prochaines années. Dans le cas contraire, le propriétaire recevra une contravention de 150 francs, qui pourra même être doublée en cas de récidive. Ceci dans le strict respect de la loi, comme l’indique le texte ci-contre.
La carotte et le bâton Une campagne de sensibilisation est lancée par le service de la Sécurité municipale, qui consistera à la fois à récompenser les propriétaires de chien(s) qui auront un comportement adéquat, en ramassant les crottes de leur animal, et à pénaliser ceux qui ne le font pas.
Tout pour vous informer Lorsque les propriétaires de chien recevront, selon les cas, leur cadeau ou leur contravention, un papillon résumant les bons gestes à adopter, la loi et les lieux interdits aux chiens dans la commune, leur sera également remis. Des articles sur le site Internet de la commune et dans de prochains numéros d’Onex Magazine contribueront à sensibiliser la population. Enfin, Canal Onex relayera cette campagne à la télévision.
Dans le premiers cas, les « propriétaires propres » recevront en cadeau un sac en forme d’os, contenant 12 sachets pour crottes, objet que l’on pend autour du cou du chien. Ces derniers seront distribués sur notre territoire communale dans le cadre de notre action « propreté chiens ». Au cas
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Sites interdits aux chiens sur le territoire communal A Onex, trois sites sont strictement interdits aux chiens. Il s’agit du parcours vitae dans la forêt onésienne, du parc rue Comte-Géraud et de la place du 150ème. Tout personne circulant avec un ou plusieurs chien(s) dans ces espaces sera désormais sanctionnée par une contravention.
Premier-lieutenant Philippe COURTET, chef du service communal de la Sécurité
Extraits de la Loi sur les conditions d’élevage, d’éducation et de détention des chiens Art. 17 Obligations du détenteur Il incombe au détenteur d’un chien d’empêcher celui-ci de salir le domaine public, ainsi que de souiller les cultures. Le détenteur du chien a l’obligation de ramasser les déjections de celui-ci. Art. 18 Ramassage des déjections Le canton et les communes mettent à la disposition des détenteurs les moyens nécessaires au ramassage des déjections de leurs animaux. Art. 25 Dispositions pénales Les infractions à la présente loi et à ses dispositions d’application sont passibles des peines de police, sous réserve des dispositions pénales contenues dans la loi fédérale sur la protection des animaux, du 9 mars 1978. Les amendes sont doublées en cas de récidive. La poursuite de ces contraventions se prescrit par 5 ans. L’article 71 du code pénal suisse est applicable par analogie. La tentative et la complicité sont punissables. Montant de la contravention CHF 150.- + émoluments. Montant doublé en cas de récidive. Art. 26 Constatation des infractions Les agents de la force publique et tous autres agents ayant mandat de veiller à l’observation de la loi et de son règlement d’application, notamment les agents de sécurité municipaux, sont compétents pour prendre les dispositions nécessaires, afin de prévenir ou faire cesser les actes illicites et pour dresser des procès-verbaux de contravention.
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Baisse de la délinquance à Onex | Sécurité |
Photo: Gaëlle Steigmeier
Baisse de la délinquance à Onex Les chiffres le prouvent, la délinquance a sensiblement baissé à Onex, entre 2007 et 2008. On est en effet passé de 698 délits à 458, soit 22% de moins. Serait-ce le fait du hasard ? Si ce n’est pas le cas, à quoi doit-on ces meilleurs résultats ? Il faut peut-être voir là un premier effet bénéfique des patrouilles intercommunales.
Quels types de délits ? Les vols simples ont été divisés par 3 – 260 en 2007 contre 96 en 2008 – et les dommages à la propriété par 2 – 258 en 2007, contre 126 en 2008. Les cambriolages ont un peu augmenté (53 en 2008 contre 48 en 2007). Mais il y en a moins eu pendant le deuxième semestre 2008 (34) que pendant la même période en 2007 (40). Les vols par effraction de véhicules ont peu évolué en 2008. Les vols de 4 roues ont diminué de moitié. Seul bémol, les vols de deux roues sont à la hausse (plus 41%).
de quatre soirées depuis début septembre. Comme elles ne rencontrent que très rarement des véhicules de la Police cantonale dans leurs tournées, on peut supposer que la visibilité de ce type de surveillance ait été tout à coup bien plus importante qu’auparavant. D’où son effet probablement bénéfique en terme de prévention. Les chiffres sont là pour le prouver. Le premier trimestre 2008 totalise 330 délits, contre 228 pour le deuxième trimestre (30% de moins). Relevons que cette baisse de la délinquance a été aussi constatée dans les trois autres communes « couvertes » par les patrouilles, Lancy, Bernex et Plan-les-Ouates.
Grâce aux patrouilles intercommunales… Rappelons que ces patrouilles, résultant d’une étroite collaboration entre les Communes d’Onex, de Lancy, de Bernex et de Plan-les-Ouates, ont été mises en place depuis début juillet 2008, à raison de deux soirées par semaine jusqu’à fin août, puis Les chiffres Délits
2007 1 trim. er
2
ème
trim.
3
Totaux ème
trim.
4
ème
trim.
2008 1 trim. er
2
ème
trim.
3
Totaux ème
trim.
4
ème
trim.
Vols simples
53
107
88
12
260
13
54
27
2
96
Cambriolages
26
20
14
3
63
43
48
2
5
98
Vols véhicules par effraction
12
1
21
14
48
14
18
20
1
53
Vols 4 roues
5
0
4
4
13
1
2
3
0
6
Vols 2 roues
9
7
29
11
56
10
35
33
1
79
Dommage à la propriété
91
79
65
23
258
19
73
32
2
126
Totaux
196
214
221
67
698
100
230
117
11
458
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| Politique | Conseils municipal de mars 2009
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Conseil municipal du 10 mars Crédit de réfection pour l’école du Bosson Il s’agit de travaux projetés entre 2009 et 2010 qui comprennent : La réfection des préaux couverts et des marquises. La réfection de la toiture, côté ouest, sur les classes enfantines (1’300 m2). La réparation des faux plafonds, de la menuiserie et du système d’éclairage de la zone la plus touchée. Le remplacement des 6 dernières doubles portes d’accès extérieures. L’investissement total est de 1’296’000 francs. Une demande de subvention au Fonds d’équipement communal du Département du territoire (auquel la commune a recours à chaque transformation de bâtiment scolaire) pourra être faite, pour une participation de l’ordre de 20%. Le dossier est renvoyé en commission des Bâtiments. Mise en conformité des collecteurs, route de Chancy Les travaux du tram Cornavin-Onex-Bernex offrent l’opportunité de mettre en conformité les collecteurs enterrés sous la route de Chancy. Une chance à saisir dans la mesure ou l’état d’une partie de ces infrastructures est pour le moins préoccupant. La rue du Comte-Géraud a été mise en séparatif dans le cadre des mesures d’urgence du PGEE et un projet a été voté pour le même type de travaux au chemin de la Blanchette. Dès que la mise en séparatif du chemin de la Blanchette (qui est prévue dans le courant de l’année) sera réalisée, il ne restera sur la commune que sept tronçons de collecteurs eaux mélangées, dont les plus importants en longueur et surtout en difficulté de réalisation sont le collecteur de la route de Chancy et celui dirigé vers le chemin FrançoisChavaz. Le premier s’étend sur environ 650 m le long de la route de Chancy. Le second, de forme ovoïde, est long environ 160 m et passe sous un immeuble. Les collecteurs concernés présentent
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de fortes déformations, des fissures, des dépôts endurcis et des raccords saillants non conformes. De plus, le développement futur du secteur doit être pris en compte afin d’adapter le réseau d’assainissement. Le coût estimatif des travaux est estimé à environ 2,5 millions de francs. Le dossier est renvoyé en commission des espaces verts et des infrastructures. Aménagement de points vélos Le Conseil municipal a demandé au Conseil administratif d’étudier l’opportunité d’installer des points vélos traditionnels et électriques sur territoire de la commune. Le Conseil administratif a répondu que le cahier des charges du plan de mobilité douce, voté par le Conseil municipal le 9 septembre 2008, prévoit l’étude des itinéraires vélos et de ses diverses améliorations. Dans ce contexte, des contacts ont déjà été pris avec les associations faisant la promotion du vélo, afin d’aider à poser un diagnostic aussi complet que possible et de faire des propositions d’extension du réseau de mobilité douce. Celles-ci sont en cours d’élaboration et, conformément au planning de l’étude, les résultats seront soumis en trois temps : d’abord la présentation d’un diagnostic, d’une vision et de la faisabilité; ensuite la proposition du plan directeur de mobilité douce (enquête publique); et enfin le dossier de mise en œuvre du plan de mobilité douce. Les points soulevés par la motion, auxquels le Conseil administratif souscrit pleinement, seront traités au fur et à mesure de l’avancement de cette étude.
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Déchets : ce qu’il faut ramener au magasin | Voirie |
Déchets Electroménager-Electronique- Informatique :
Retour à l’envoyeur !!! Pour vous en débarrasser, vous avez le droit de ramener tout l’électronique ou l’électroménager usagés gratuitement chez le vendeur. Alors profitez-en ! Que faire de mon ordi, de mon frigo ou de mon fer à repasser usagés ? Les mettre dans un sac poubelle aux ordures ménagères ? Non ! Les jeter aux encombrants pour la levée mensuelle ? Pas forcement ! Car si ces produits devenus Déchets Electriques, Electroniques ou Electroménagers, les DEEE, ressemblent à des encombrants ils n’en sont pas vraiment : en leur cœur palpite une bombe à retardement faite de plomb, cuivre, et autres métaux lourds et fils en tout genre. Non seulement les brûler serait les gaspiller, mais aurait aussi un mauvais impact sur l’environnement et la santé humaine. Vous le valez bien ! Ces objets que l’on branche font tellement partie de notre vie quotidienne qu’on oublie qu’ils peuvent être nocifs, s’ils ne sont pas éliminés dans les règles de l’art. C’est pourquoi la Suisse, et aussi l’Europe, a fait une loi* ordonnant leur bon traitement via des filières de collectes et de recyclages homologuées tels que la Fondation SENS pour l’électroménager en général, Swisco pour l’électronique de bureau, Inobat pour les batteries ou SLRS pour les luminaires. Et pour que tout tourne rond, ces produits sont taxés à la consommation pour financer le système de récupération.
Et c’est vous, consommateur, qui payez la taxe à l’achat de ces milliers de produits soumis, de l’épilady à la tronçonneuse. La liste est longue mais le principe est simple : tout bien de consommation qui fait du bruit, de la lumière, qui fonctionne sur pile ou qui se branche sur secteur bascule dans la catégorie « taxe TAR », la taxe anticipé de recyclage. La loi est avec vous… Alors comme vous avez déjà payé les frais d’élimination de vos déchets de bureautique, informatique, électronique, électroménager de la cuisine au jardin, pourquoi ne pas en profiter ? Les 50 centimes à les 60 francs que vous avez déboursez vous donne le droit de rapporter votre vieux machin déglingué chez n’importe quel vendeur du même genre de produits. Et lui, il a le devoir de vous le reprendre gratuitement. Avec ou sans sourire, il ne peut vous le refuser. Même si vous ne l’avez pas acheté chez lui. En 2007, 107’511 tonnes, dont 450’000 appareils électroménager et 350’000 appareils frigorifiques, étaient collectées ainsi. Soit 8% de plus de plus qu’en 2006. Et si vous achetez un nouveau produit électrique, avant de taper « ok » à votre carte de crédit, déposer le vieux sur le comptoir du magasin. Malin, non ? Flora Madic
* OREA, ordonnance sur la restitution, la reprise et l’élimination des appareils électriques et électroniques, 1998.
Pour info : www.sens.ch
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| Vie pratique | Conseils de saison
Les fruits et légumes de saison… La pomme, encore et toujours
La pomme est un fruit riche (pour 100g) en fibres (2,1 g), en potassium (145 mg), en vitamines C (10 mg) et en vitamines E (0,6 mg). La saison des pommes va de septembre à avril. Facile à digérer, la pomme protège le cœur, car elle diminue le taux de cholestérol et s’oppose à l’hypertension. C’est pour cela qu’il faut la manger avec la peau. La pomme est recommandée en cas de goutte, d’arthrite, de rhumatismes. Elle prévient de la constipation, mais peut aussi soulager des diarrhées. Elle est recommandée contre le diabète. Enfin, elle est propice aux plans minceur. Comme dit le proverbe , « une pomme par jour éloigne le médecin ». La pomme peut se manger sous diverses formes. Naturelle avec sa peau (ne pas oublier le la passer auparavant à l’eau), en compote (des dès de pommes cuits dans une casserole à feu doux), ou encore sous une forme plus élaborée : tarte, gratin, « croustimoulleux ». Gratin de pommes Ingrédients : 6 pommes, 150g de beurre ramolli et 20g pour badigeonner le plat, 150g de sucre en poudre, 125g d’amandes en poudre, 3 œufs, 20cl de crème fraiche, 75g d’amandes effilées et du sucre glace pour le décor. Préchauffer le four à 210°C. Peler les pommes, les couper en deux et les évider. Les disposer face plate contre le fond d’un plat préalablement beurré. Travailler le beurre ramolli à la fourchette de façon à obtenir une sorte de pommade. Ajouter le sucre et les amandes en poudre. Mélanger au fouet et incorporer les œufs un à un, puis la crème. Verser la préparation sur les pommes et mettre le plat au four pendant 15 minutes. Durant ce temps, faire dorer les amandes effilées dans une poêle antiadhésive.
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Sortir le plat du four. Le saupoudrer d’amandes dorées et de sucre glace avant de le servir tiède, avec une boule de glace vanille ou de crème chantilly pour les plus gourmands. « Croustimoelleux » aux pommes Ingrédients : 700g de pommes, 3 cuillers à soupe de jus de citron, 150g de sucre cristallisé, 80g de beurre froid coupé en petites tranches, 60g de farine tamisée, 20g de beurre pour le moule, 1 pâte brisée prête à cuire, 1 cuiller à café de cannelle en poudre, ½ cuiller de gingembre frais râpé. Préchauffer le four à 210°C. Peler les pommes, les couper en deux et les évider. Puis les couper en fins quartiers. Déposer les quartiers dans un saladier. Les arroser de jus de citron et ajouter la moitié du sucre et deux cuillers de farine. Mélanger délicatement. Beurrer le moule à tarte. Le garnir avec la pâte brisée. Piquer le fond à la fourchette, puis répartir la préparation aux pommes de façon homogène. Dans le saladier libéré de sa première mixture, mélanger le reste du sucre et de la farine à la cannelle et au gingembre. Mixer le tout au robot, après avoir ajouté le beurre en petites tranches, jusqu’à obtenir un mélange grumeleux. Répartir le mélange sur les pommes disposées dans le plat à tarte. Passer ce dernier au four durant 50 à 55 minutes. Une fois la cuisson terminée, les pommes doivent être très tendres et la pâte bien croustillante.
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Les valeurs nutritives des légumes de saison
Voici les légumes de proximité que l’on peut trouver au marché ces prochaines semaines : asperges, betteraves, carottes, céleris, céleris raves, endives, choux, choux frisés, côtes de bettes, épinards, laitues romaines, oignons, poireaux, pommes de terre, radis, rampon (doucette), salades. Asperges Les asperges détiennent (pour 100g) des fibres (1,5g), du potassium (200mg), des vitamines C (31mg), des vitamines B1 (0,2mg) et des carotènes. La saison des asperges va de mars à mai, selon les régions. Les asperges blanches poussent totalement enterrées et sont moins riches en minéraux et en vitamines. Les asperges soulagent des brûlures d’estomac et sont utiles à la digestion. Elles sont très diurétiques, et donc conseillées en cas de rétention d’eau et d’hypertension. Fort peu caloriques, elle sont recommandées aux personnes qui suivent un régime. Poireaux Les poireaux contiennent (pour 100g) 3,5g de fibres, 256mg de potassium, 140mg de vitamines C, 0,5g de carotènes, 1mg de vitamines E et une part infime de vitamine B9. La saison des poireaux va de septembre au printemps. Les poireaux sont très diurétiques et ont donc un rôle positif contre la rétention d’eau. Ils sont pourvus de substances soufrées protectrices contre le cancer. Riches en fibres et pauvres en calories, ils sont bons pour la ligne, tout en prévenant contre la constipation. Oignons Les principaux apports nutritionnels des oignons sont (pour 100mg) les fibres (2g), les composés soufrés (50mg), le fer (0,4g), le sélénium et la vitamine C, tous deux en quantités infimes. Les oignons favorisent la circulation sanguine et font tomber le taux de cholestérol. Ils renforcent l’immunité et ont une action antiallergique. Les oignons sont recommandés pour les diabétiques
Conseils de saison | Vie pratique |
car ils épargnent le pancréas en évitant la sécrétion accrue d’insuline. L’échalote, pour sa part, favorise la digestion en stimulant la sécrétion biliaire. Champignons Les champignons sont riches en protides, fibres, sels minéraux et vitamines. En règle générale, ils permettent d’améliorer et de diversifier le bol alimentaire, tout en augmentant la teneur protéinique des plats. La morille est le champignon de la saison actuelle. Elle est réputée pousser là où on ne les attend pas vraiment. Mais il existe des endroits qu’elle semble préférer. Au pied des frênes, on trouve souvent la morille vulgaire ou la ronde, le frêne comme la morille aimant les zones lumineuses et les friches. On constate parfois une symbiose entre les morilles et les lilas dont la sève est riche en glucose. Les morilles apprécient l’humidité et la clarté présentes au bord de l’eau. Les morillons, eux, apprécient les zones régulièrement inondées. Le long des rivières est aussi propice aux poussées de morillons. On trouve quelquefois les morilles coniques sur des sites de coupe, en particulier de résineux mais aussi de feuillus. La morille élevée pousse sous les résineux, en particulier les pins sylvestres qui fournissent un terrain pratiquement dépourvu de végétation. On trouve encore la morille dans des friches, chantiers, remblais, endroits où la terre à été remuée. On les repère enfin près de décharges. Mais, dans ce cas, il ne faut pas ramasser ces champignons qui peuvent avoir absorbé des métaux lourds ou d’autres pollutions nocives. En règle générale, il reste difficile de trouver des morilles, champignons aussi rares qu’appréciés du plus grand nombre. Alors, bonne chance à ceux qui persistent à en rechercher !
Onex Magazine | n°12 | Avril 2009
| Agenda | Avril — Mai 2009 Date
Catégorie
Evénement
Lieu
Horaire
Renseignements
2 avril
Culture
Bibliobus
Parking de la Maison Onésienne
10h-13h et 14h-17h30
M. Pierre Olivier / 022 879 59 59
2 avril
Spectacles Onésiens
DEMI EVANS & the Hands / Blues (USA)
Salle communale
20h00
022 879 59 99 www.spectaclesonesiens.ch
4 avril
Ecoles
Animation APEOP: Nettoyage de la forêt
Forêt onésienne
9h00-12h00
Mme Sandrine Ramel / 022 777 13 77 www.apeop.ch
4 avril
Loisirs
Assemblée générale du Jardin Robinson d’Onex
Jardin Robinson
10h00-12h00
Mme Fabienne Jaquerod 022 793 50 75
5 avril
Fête
Loto du Ski Club Onex
Salle communale
14h00-19h30
M. Cédric Schweizer / 022 792 83 83
5 avril
Sport
Match de football-tennis
Salle gym Montfleury - Versoix
16h00
M. Damien Blondeau / 078 847 84 23
7 avril
Politique
Conseil municipal
Salle du Conseil municipal
19h00
Mme Jeannette Sanchis 022 879 59 59
14-17 avril
Jeunesse
Stage fresque murale du Service Jeunesse et Action Communautaire (SJAC)
Maison Onésienne
ma, me, je, ve : 14h00-17h00
Maison Onésienne 022 879 80 20
16 avril
Culture
Bibliobus
Parking de la Maison Onésienne
10h-13h et 14h-17h30
M. Pierre Olivier / 022 879 59 59
20-24 avril
Ecoles
Animation APEOP: Semaine sans TV
Ecole d’Onex-Parc
Lundi à vendredi: 16h00-18h00
Mme Chantal Bauco / 022 792 73 40 www.apeop.ch
23 avril
Spectacles Onésiens
LES DÉSAXÉS (humour musical, France)
Salle communale
20h
022 879 59 99 www.spectaclesonesiens.ch
25 avril
Fête
Soirée Latino
Salle communale
20h00-02h00
M. Carlos Cervantes / 022 733 83 63
26 avril
Exposition
Vide grenier de l’association des habitants de Cressy
Préau de l’école de Cressy
10h00-17h00
Mme Elisabeth Lafferma 022 757 31 72
30 avril
Culture
Bibliobus
Parking de la Maison Onésienne
10h-13h et 14h-17h30
M. Pierre Olivier 022 879 59 59
3 mai
Fête
Fête du printemps (Cartel des sociétés)
Place du 150ème
10h-18h
Mme Patricia Elouaret 022 793 41 96
7 mai
Spectacles Onésiens
GED MARLON (humour, France)
Salle communale
20h30
022 879 59 99 www.spectaclesonesiens.ch
9 mai
Ecoles
Troc de jouets et de vêtements à l'école des Tattes
Préau de l'école des Tattes
9h-16h
Mme Nadia Rampf n.rampf@bluewin.ch
12 mai
Politique
Conseil municipal
Salle du Conseil municipal
19h
Mme Jeannette Sanchis 022 879 59 59
14 mai
Culture
Bibliobus
Parking de la Maison Onésienne
10h-13h et 14h-17h30
M. Pierre Olivier 022 879 59 59
14 mai
Spectacles Onésiens
MAYRA ANDRADE (chanson, Cap Vert)
Salle communale
20h30
022 879 59 99 www.spectaclesonesiens.ch
17 mai
Exposition
Bric à brac de l’association des habitants d’Onex Cité
Place du 150ème
11h-17h
M. Denis Pasche 078 646 73 20
22 -24 mai
Sport
Spectacle du Club de Gymnastique d'Onex
Salle communale
Ve : 19h, Sa : 17h, Di : 15h
M. Patrick Tschanz / 022 793 22 04
23 -24 mai
Sport
Swiss Open 09 de Disc Golf
Parc des Evaux
Sa et Di : 9h-17h
www.discgolf-geneve.ch/ info@discgolf-geneve.ch
24 mai
Environnement
Matinée de nettoyage de l’association des habitants de Cressy
Rendez-vous au préau de l’école de Cressy à 10h
10h00-12h00
Mme Elisabeth Lafferma 022 757 31 72
28 mai
Culture
Bibliobus
Parking de la Maison Onésienne
10h-13h et 14h-17h30
M. Pierre Olivier 022 879 59 59