Sainte Marie de l'Incarnation

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Volume 23 no 2 Avril 2014 Ursulines de l'Union Canadienne www.ursulines-uc.com

Te Deum laudamus! Dans ce numéro :

Le jeudi 3 avril dernier, notre Pape François signait le décret présenté par le Préfet de la Congrégation des Saints, le Cardinal Angelo Amato. Marie Guyart de l'Incarnation (1599-1672) est déclarée Sainte au sein de l'Église universelle et ce, en même temps que le 1er Évêque de l'Amérique du Nord, Mgr François de MontmorencyLaval (1623-1708). S'ajoute aux deux nouveaux saints un missionnaire espagnol au Brésil, le Père José de Anchieta (15341597). En ce qui concerne notre Mère Marie, l'attente de cet événement avait assez duré, nous espérions depuis si longtemps que soit confirmé ce que nous savions au plus profond de nos cœurs. En effet, la cause de sanctification de Marie de l'Incarnation a été introduite à Rome en 1857. Elle fut déclarée vénérable en 1911 puis Bienheureuse en 1980. En plus d'avoir porté longtemps le titre de Thérèse du NouveauMonde ainsi que celui de Mère de l'Église au Canada, le Pape François la classe maintenant au cœur des " Apôtres des Amériques" !

Te Deum laudamus!

Vive sainte Marie de l’Incarnation!

Sainte Marie de l’Incarnation

Message de l’Union Romaine

Message de Sœur Colette Lignon de Tours

Texte de Brigitte Brisset de Tours

Par ce Divin Cœur

SPAMI

Le tour du monde

Les bâtisseurs de lumière

Intentions et remerciements

Remercions le Seigneur pour ce don sans prix à notre Église et à notre Institut et demandons-lui que nous soit accordé par le Cœur de Jésus, le courage apostolique qui l'a toujours animée et la fidélité quotidienne aux appels de notre Grand Dieu! Marie-Berthe Demers, o.s.u. Vive sainte Marie de l’Incarnation! Notre joie est grande depuis le 3 avril 2014 où Marie de l’Incarnation née Marie Guyart est reconnue sainte. Le pape François est venu combler notre longue attente en signant le décret qui la proclame sainte au niveau de l’Église universelle. La sainteté de sa vie, sa ferveur à répandre la bonne nouvelle, la splendeur de sa spiritualité, son Le pape François. Photo AFP

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courage à surmonter les épreuves, son ardent amour pour Jésus, son bien-aimé, et bien d’autres qualités suaves nous emportent dans un bel élan. Oui, vive sainte Marie de l’Incarnation! Lisons dans ce bulletin les témoignages, celui de mère Louise Gosselin, o.s.u, supérieure générale à Québec et celui du conseil général des Ursulines de l’Union romaine. L’année 2014 marque le 375e anniversaire de l’arrivée des Ursulines et des Hospitalières en NouvelleFrance, le 1er août 1639. Deux écrits de Tours viennent souligner cet évènement mémorable. D’autres textes et annonces nous stimulent à connaître toujours mieux notre nouvelle sainte. ntre la Loire et de l’Incarnation Sainte Marie

Monique Dumais, o.s.u.

Oui, elle est enfin officielle, cette belle et grande nouvelle : le Pape François a signé aujourd’hui même le décret reconnaissant la sainteté de Marie de l’Incarnation. Sa déclaration publique tient lieu de canonisation. Nous rendons grâce pour ce cadeau du ciel, qui nous arrive en réponse à un long désir, exprimé dans une prière persévérante et de multiples démarches pour que soit reconnue l’oeuvre remarquable de Dieu dans et à travers la personne de Marie Guyart de l’Incarnation. Dans ce qu’on appelle une canonisation équipollente, le Pape François a reconnu que la vie de Marie de l’Incarnation est un miracle, son intimité avec Dieu l’ayant rendue capable des plus grands risques et des plus grandes audaces pour le faire connaître et aimer du plus grand nombre de personnes possible. Canonisée en même temps que deux autres fondateurs d’Église, au Brésil et au Canada, Marie de l’Incarnation figure au rang des Apôtres des Amériques, elle qu’on reconnaissait déjà comme Mère de l’Église canadienne. C’est une joie profonde de voir sa sainteté reconnue et proclamée dans l’Église universelle, de sorte que plus de personnes, en la fréquentant et en la priant, partout dans le monde, pourront trouver dans le trésor de sa vie et de ses écrits une inspiration, un soutien, une lumière, un élan vers Dieu. L’Eucharistie du 30 avril sera un moment privilégié pour rendre grâce de sa canonisation. D’autres événements suivront sans doute, dont nous vous informerons à mesure. Que la joie et la fierté qui habitent nos cœurs s’accompagnent d’un authentique désir de nous laisser entraîner par elle sur le chemin de la sainteté ! En communion dans l’action de grâces, Le 3 avril 2014

Louise Gosselin o.s.u., Supérieure générale

Message de l’Union romaine Ce matin, 3 avril 2014, le Saint Père François, a signé le décret déclarant Marie de l’Incarnation sainte. 2


Il y a eu plusieurs rapports récemment dans les média disant que la chose allait arriver, mais ce n’est que ce matin que cela a été officiellement annoncé. Ensemble réjouissons-nous de cette reconnaissance de la sainteté de Marie de l’Incarnation, reconnaissance que nous avons attendue si longtemps. Sainte Marie de l’Incarnation est canonisée avec l’Evêque François de Montmorency-Laval, le premier évêque de Québec, de 1674 à 1685, et le Jésuite José de Anchieta, un des premiers missionnaires du Brésil, au 16ème siècle. Ces trois nouveaux saints sont considérés comme les fondateurs de l’Eglise au Nouveau Monde. Cette reconnaissance s’appelle une canonisation équivalente (équipollente). Dans le cas d’une canonisation habituelle, le Pape introduit un culte pour l’Eglise universelle. Pour une canonisation équivalente, le Pape confirme un culte qui existe déjà. Il n’introduit pas un culte nouveau. C’est pourquoi il n’y a pas de cérémonie à Saint Pierre, parce que rien de nouveau n’est introduit. La sainteté de ces saints et la dévotion populaire envers eux sont simplement reconnues. La canonisation équivalente a été introduite en 1632 et elle n’est utilisée que lorsque le Bienheureux est vénéré depuis longtemps. Les trois éléments nécessaires sont : le culte depuis longtemps, « l’attestation continue et populaire » par des historiens crédibles des vertus du Bienheureux, et « une réputation sans interruption des merveilles » obtenues par l’intercession du Bienheureux. Ce modèle de canonisation n’est pas habituel, mais n’est pas rare non plus. Récemment Benoît XVI l’a utilisé pour la canonisation d’Hildegarde de Bingen ; François l’a utilisé pour la canonisation d’Angèle de Foligno et de Pierre Fabre. Avec toutes les Ursulines, surtout nos sœurs de l’Union Canadienne, réjouissons-nous de cette reconnaissance de la sainteté de Marie : « Le Père Éternel était mon Père ; le Verbe suradorable, mon Epoux, et le Saint-Esprit, Celui qui par son opération agissait en mon âme. » (Relation de 1654, Huitième Etat de Prière) « Je me promenais en esprit dans ces grandes vastitudes et j'y accompagnais les ouvriers de l'Évangile, auxquels je me sentais unie étroitement à cause qu'ils se consommaient pour les intérêts de mon céleste et divin Époux, et il m'était avis que j'étais une même chose avec eux. Quoique corporellement je fusse en l'actuelle pratique de mes règles, mon esprit ne désistait point de ses courses, ni mon cœur, par une activité amoureuse plus vite que toute parole, de presser le Père Éternel pour le salut de tant de millions d'âmes que je lui présentais. (Autobiographie 1654, Neuvième Etat de Prière) Marie Thérèse Le Goc, Vicaire Générale, de la part de Mère Cecilia et le Conseil. Message de Sœur Colette Lignon de Tours Le 22 Janvier 2014 Très chères sœurs, Cette année 2014 marque le départ de Tours et l’arrivée à Québec de votre Mère et notre Sœur Marie de l’Incarnation. 3


Ce 22 Janvier, notre communauté s’est réunie à l’ermitage saint Joseph. Nous y avons fait mémoire du 22 Janvier 1639, jour où dans ce lieu même, il y a 375 ans, la prieure du couvent de Tours apprenait à la communauté stupéfaite que leur sœur Marie de l’Incarnation allait partir pour le Canada. Celle-ci avait trouvé le prétexte de remplir son tour à la cuisine pour ne pas être là à ce moment… Sans doute ne savait-elle pas quelle figure faire !! « Toute chacune fut si surprise de cette nouvelle qu’elles ne pouvaient comprendre qu’elle fut véritable, ne s’étant jamais persuadées qu’une chose semblable put arriver, tant on l’estimait extraordinaire ». Un mois plus tard, jour pour jour, c’était le départ de Tours. Le samedi 22 février prochain, nous ferons mémoire du 375° anniversaire de ce grand départ, au cours de la messe dominicale qui aura lieu à Saint Pierre Ville à 18h30. Le matin même, 22 février 1639, Mgr Bertrand d’Eschaux envoya son carrosse pour que les deux Ursulines, Marie de l’Incarnation et Marie de St Joseph vinssent lui faire leurs adieux, accompagnées de la Mère Prieure et d’une chantre du Monastère. Après avoir entendu la messe et communié, elles prirent leur réfection avec Monseigneur. Celui-ci leur fit une belle exhortation, les envoya en mission, et fit chanter le psaume « in exitu » et le magnificat. Les fondatrices revinrent quelques heures au monastère dire un dernier adieu à toutes, puis ce fut le départ en carrosse par le faubourg St Pierre des Corps et la route d’Amboise au sud de la Loire. Il faudra encore deux mois de démarches multiples à Paris, avant que l’embarquement se fasse à Dieppe avec les Augustines, le 4 Mai 1639. Vos sœurs de Tours vous sont bien unies en ces jours anniversaires du départ de chez nous, sans retour, de notre sœur Marie de l’Incarnation. Le 22 février, nous chanterons nous aussi le psaume « in exitu » et le magnificat, pour rendre grâce au Seigneur de toute l’œuvre accomplie chez vous par ces Ursulines, missionnaires au grand cœur, et par toutes celles qui ont suivi depuis 375 ans… Avec toute notre affection, Sr Colette Lignon, osu et la communauté de Tours. 6,La rue viedu déroutante de Dieu au cours de la vie tourangelle de Marie de l’Incarnation

La vie de Marie Guyart qui débute sur les rives de la Loire et se termine sur les bords du Saint-Laurent ressemble à un long fleuve dont le trajet, sinueux, n’a rien de tranquille! Pourtant, une existence comme la sienne, toute orientée vers Dieu n’est-elle pas assurée d’être rectiligne? Et, s’il s’y rencontre quelques détours, ne sont-ils pas imputables aux seules erreurs humaines? Dieu, dit-on, écrit droit avec nos lignes courbes. Et, s’il suscitait lui-même ces courbes comme autant d’étapes nécessaires, avant de retrouver la ligne droite, en laquelle pourra alors fleurir et fructifier la réalisation de ses mystérieux desseins? 4


Au cours de la vie tourangelle de Marie la conduite de Dieu est déroutante et paradoxale! En effet, Jésus donne sa vocation à Marie, âgée de 7 ans, même si cet appel divin est en «clair obscur», car, dit-elle : «il y avait un secret que je ne connaissais pas». Comment comprendre, alors, que ses parents, représentants de Dieu sur terre, ne donnent pas suite à sa demande d’entrer à 15 ans chez les Bénédictines et qu’ils arrangent 2 ans plus tard son mariage avec Claude Martin? Avec la maternité, suivie de près par le veuvage, puis avec la responsabilité de liquider l’entreprise endettée de son mari et de subvenir, seule, à l’éducation de son fils et à leurs besoins, enfin avec les 10 ans passés dans «le tracas» de l’entreprise de son beau-frère, l’éventualité d’embrasser la vie religieuse semble bien abandonnée pour toujours! L’appel a pourtant rejailli en elle dès le décès de son mari. Ce qui conduit Marie à mener une «double vie» : à l’extérieur, un engagement très actif dans le monde, et, à l’intérieur, un dialogue amoureux incessant avec Dieu, dans l’intime conviction qu’Il lèverait, un jour, tous les obstacles à l’accomplissement de sa vocation. Ce jour arrive enfin, Marie a 31 ans! L’Esprit-Saint la presse : «Hâte-toi, il est temps, tu n’as plus rien à faire dans le monde», au moment où des circonstances favorables permettent son admission dans la communauté des Ursulines récemment installée à Tours. Pourtant, cette étape ne réalise qu’une partie de l’appel reçu à l’âge de 7 ans, lequel comportait un «secret». Au cours de ses 8 années de vie religieuse à Tours, le secret se dévoile progressivement : Dieu la veut missionnaire au Canada, afin d’apporter l’Évangile dans les terres lointaines, en particulier en se consacrant à l’éducation des enfants et des femmes. En 1654, Marie de l’Incarnation rédige son autobiographie. Le cours sinueux du fleuve de sa vie défile devant ses yeux et elle en découvre l’unité, comprenant, alors, le sens caché de chacun des détours qui se sont imposés à elle. À propos des Bénédictines, elle écrit : «Dieu ne me voulait pas là!» En ce qui concerne l’état du mariage, la maternité et l’immersion prolongée dans le «tracas» des affaires matérielles, elle ajoute : «Dieu me voulait là!» Elle réalise combien toutes ces années laborieuses, remplies mystérieusement d’expériences les plus diverses, l’ont préparée à sa vocation de missionnaire en terre canadienne. Elle dit : «ce fut mon noviciat»! Dom Oury écrit : «Marie sent que tout est à sa place, les évènements du dehors et les expériences mystiques… Elle s’est laissée composer, lettre par lettre, mot par mot, ligne par ligne, phrase par phrase, page par page, au long des jours, sans comprendre ce que Dieu voulait d’elle. Maintenant, le 5


livre est achevé… Dieu peut l’imprimer dans l’esprit de qui Il veut.» Dom Guy-Marie Oury, Marie de l’Incarnation. Autobiographie. Solesmes, 1976, p. 17. Brigitte Brisset Tours, 30 mars 2014 Par ce Divin Coeur « Ô divin époux de mon âme, je ne veux ni vie ni mouvement que par votre Vie.» Marie de l'Incarnation

Quand une religieuse – peu importe la communauté à laquelle elle appartient – est imprégnée d'un tel désir de rapprochement nuptial, il est légitime d'anticiper la force de ses actions ainsi que les grâces qui en découlent; lesquelles grâces rejaillissent souvent sur sa descendance spirituelle. Ainsi, depuis plusieurs siècles, sommes-nous à même de relever l'empreinte des charismes de Marie de l'Incarnation sur les Ursulines des générations suivantes. Qui d'entre nous n'a pas reconnu chez nos Ursulines d'aujourd'hui les nombreuses qualités que portait Marie de l'Incarnation: foi vibrante, dévotion fervente, appel missionnaire, élan charitable, esprit d'entreprise, sens pratique, persévérance increvable et gaieté contagieuse ? Comment aussi ne pas retrouver en ces mêmes Sœurs les talents de la fondatrice pour la pédagogie, la littérature et les arts? Comment aussi ne pas constater ce même désir d'accomplissement de la Parole à travers un apostolat solidement ancré dans la réalité contemporaine? Quoique laïque, je suis entrée dans la grande famille ursuline en 1978, alors que je prenais racine – après un long parcours – dans une petite maison de Baie-Comeau tenue à l'époque par quatre religieuses qui dans mon cœur allaient devenir «mes mères, ma seule et unique famille». La «famille», comme il se doit, s'est agrandie puisque j'ai été appelée par la suite à rencontrer les Ursulines de l'Union canadienne. Et j'ai aisément reconnu en elles, toutes ces vertus présentes chez la fondatrice. Mes chères mères, comment arriverai-je à vous rendre tout le bien que vous me faites ? Inutile de dire que je vous porte constamment dans mon cœur ; et, chaque soir, je fais en esprit le tour du monde pour vous présenter au Divin Époux, tel un bouquet d'offrandes ! Car je suis bien consciente que c'est par le cœur de mon Jésus, ma Voie, ma Vérité, ma Vie que nous demeurons en relations profondes et durables. Et c'est par ce divin cœur que je vous aime et vous embrasse ! Marie-Diane Lee, amie des Ursulines Un coin SPAMI Nous sommes les élèves intéressé(e)s par le parascolaire SPAMI (Sur les pas d’Angèle et de Marie de l’Incarnation). Après avoir fait le tour de la vie de sainte Angèle, nous prenons connaissance de la vie de Marie Guyart de l’Incarnation car nous faisons partie de SPAMI 1. Quant à nous de SPAMI 2, nous voilà replongés dans sa vie afin de produire des activités qui feront connaître notre chère fondatrice le 30 6


avril prochain. Venez, vous verrez nos diverses activités. Ce sera passionnant : une pièce de théâtre, un fort boyard Marie-del’Incarnation, une construction (réplique de la première maison de 1642), des moments inoubliables à son tombeau vous attendent. Nous travaillons avec ardeur à ce projet. Sr Jocelyne Mailloux , o.s.u., responsable de ce groupe

Le tour du monde

Voici les pays représentés à l’École des Ursulines de Québec après 375 ans. Le père, la mère ou les deux parents proviennent de ces pays. Albanie, Allemagne, Algérie, Australie, Belgique, Bénin, Bolivie, Bulgarie, Burundi, Cambodge, Cameroun, Chine, Chili, Colombie, Congo, Corée du sud, Danemark, États-Unis, France, Grèce, Haïti, Honduras, Iran, Italie, Japon, Liban, Maroc, Mexique, Moldavie, Pérou, Philippines, Pologne, République Dominicaine, Roumanie, Russie, Rwanda, Sénégal, Tunisie, Ukraine, Vietnam et 5 provinces canadiennes: Manitoba, NouveauBrunswick, Ontario, Québec et Terre-Neuve, en comptant les autochtones.

Les bâtisseurs de lumière Radio Ville-Marie a diffusé à compter du 11 mars une série de 10 émissions de radio sur Marie de l’Incarnation, sous le titre «Les bâtisseurs de lumière». Il s’agissait de faire connaître Marie de l’Incarnation en cette année spéciale du 375e anniversaire de son arrivée en Nouvelle-France. Lectures de textes, entrevues avec des Ursulines, des membres du CÉMI (Comité d’études sur Marie de l’Incarnation), des collaboratrices étroites des Musées des Ursulines et des amies de Marie de l’Incarnation, le tout avec des extraits de musique très appropriés. Ces émissions ont été préparées par M. Sylvain-Alexandre Lacas de la maison interCD à Trois-Rivières. Une belle réussite. 7


Intentions recommandées à sainte Marie de l’Incarnation

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Sr Madeleine Forest, o.s.u. et Sr. Monique Dumais, o.s.u. M. Gilles Massé, frère de Sr Françoise; Bonheur dans la famille (10); Paix entre les époux (15); Succès dans les études (12); Grossesses (5); Cancers (5); Hépatite; Schizophrénie; Recherche d’un travail (5) Vocation : vie consacrée et prêtrise; Vente de condos (2); Achat d’une maison (3) Libération de soucis (5); Toutes les intentions qui nous sont recommandées.

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Merci Succès d’interventions chirurgicales; Madame Madeleine Pelletier, sœur de Sr Monique; Monsieur Jean-Charles Chénard, frère de Sr Marguerite; Monsieur Denis Chénard, neveu de Sr Marguerite; Merci pour avoir obtenu un emploi; Merci pour le succès dans la mission (5); Merci aux religieuses pour les prières d’intercession (5)

Photo Daniel Abel

Dépôt légal: ISSN: 1186-8937

Mise en page : Julie Bourque Collaboratrices : Monique Dumais o.s.u. Lise Munro, o.s.u. et Thérèse Duchesne o.s.u 8 o.s.u.


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