Livret Numérique

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DE LA DÉCOUVERTE DU MONDE DU VIVANT À L’ÉDUCATION À L’ENVIRONNEMENT Projets Scolaires 2011-2012

LIVRET NUMERIQUE DES CLASSES

durable


Les classes qui ont participé aux animations proposées par le Service d’Animation à l’Environnement et au Développement Durable de la Ville d’Orvault Saison 2011-2012 Nom de l’école 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30

31

La Salentine

Emile Gibier Emile Gibier

Pont Marchand Pont Marchand

Bois Louis

Saint

La Ferrière La Ferrière

Saint Joseph Saint Joseph

Bois Raguenet

Niveau de la classe (et effectif) CM1/CM2, 29 CE1/CE2, 28 CE2/CM1, 28 GS, 30 CM1, 28 CP, 24 CE1/CE2, 18 MS GS, 32 CM1 / CM2, 26 CP, 24 CP / CE1, 20 CE2/CM1, 25 CP, 24 CP/CE1, 23 CE2/CM1, 24 CM1/CM2, 23 GS, 30 CP/CE1, 20 CE1, 25 CM2, 24 CM1, 27 CM2, 24 GS CE1 CE2 CM1 CM2 CP CE1 CM1/CM2 CM1/CM2

Thème La biodiversité, les végétaux, les arbres. Le tri sélectif des déchets La biodiversité, les végétaux Les oiseaux en hiver L’eau domestique Observation de l’oiseau dans son milieu Les végétaux Le jardin bio Les énergies Jardin d’école Jardin d’école L’eau domestique Etude d’un milieu naturel de la Vallée du Cens Etude d’un milieu naturel de la Vallée du Cens Etude d’un milieu naturel de la Vallée du Cens Etude d’un milieu naturel de la Vallée du Cens Le jardin Les oiseaux Les oiseaux Devenir éco-citoyen Devenir éco-citoyen Devenir éco-citoyen Les oiseaux Les oiseaux La biodiversité

Les déchets La nature en ville Les énergies L’agriculture


PROJET D'EDUCATION A L'ENVIRONNEMENT

Quelques objectifs : – Découvrir et connaitre la végétation dans l'environnement proche de l'école – Découvrir certains modes de reproduction pour les plantes – Réaliser des observations – Mener des expériences – Effectuer des suivis de plantations – ….


Découvrir l'environnement proche Malgré le froid de l'hiver, une sortie dans le parc du Bois Raguenet nous permet d'observer les plantes près de chez nous. Nous étions déjà venus dans le parc en automne et avions appris à reconnaitre les arbres : érable, chêne, marronnier, … Aujourd'hui, c'est différent : observer le parc à l'envers, c'est renversant... Puis nous devons récolter une plante... Oui mais c'est quoi une plante ???

S'accorder sur ce qu'est une plante

Cette question nous occupe longtemps car nous ne sommes pas d'accord. Pour conclure nous apprenons qu'une plante, cela regroupe toutes les fleurs, les arbres, les arbustes, les racines, les légumes, les fruits... Le vrai terme est « végétaux ».


Découvrir un mode de reproduction : le bulbe observations et expériences Nous découvrons le bulbe, on connait un peu, nos parents en plantent dans le jardin, et à l'entrée du Bois Raguenet il y a plein de jonquilles.

C'est bizarre, on dirait un oignon... normal, l'oignon c'est un bulbe !

Après il faut se demander comment un bulbe peut pousser et devenir une grande plante … Puis on a observé, mesuré, arrosé...

Au bout de quelques temps, la plante se fane. le bulbe d'origine peut alors former des bulbilles : plusieurs petits bulbes qui grossissent et donnent à leur tour une grande plante, puis fanent et forment des bulbilles …


Découvrir un mode de reproduction : la bouture Virginie Bouvet (de la Serre Ondine) nous a montré comment faire des boutures : il faut prendre un morceau de branche (assez long et droit), puis couper une longueur (environ deux fois l'écartement entre le pouce et le majeur, la main tendue). Puis on plante, on arrose et Ce mode de reproduction nécessite l'intervention de l'homme.

Découvrir un mode de reproduction : la graine Les graines, ce sont les plantes qui les produisent. Chaque graine donne une nouvelle plante qui, à son tour, produit des graines, ainsi de suite.

Observation de graines


Découvrir un mode de reproduction : le tubercule Parmi les tubercules, le plus connu est la pomme de terre, mais il y a aussi : le topinambour, la betterave … Une vidéo nous montre comment se développe un tubercule : des tiges et des racines se forment, une plante pousse (elle produit d'ailleurs des fleurs et des graines), quand la plante fane, de nouveaux tubercules se développent dans les racines … miam plein de frites !!! A nous de faire notre expérience, la pomme de terre a l'air de se plaire en classe.

CONCLUSION

Nous avons appris comment les plantes autour de nous poussent et se reproduisent, comment à partir d'une seule, on peut en obtenir, avec de la patience, de l'eau et de la chaleur, une multitude. Beaucoup d'entre nous ont réalisé leurs propres plantations chez eux. Tout le monde a adoré, un grand merci à Virginie pour ses conseils et les livres qu'elle a pu nous lire.


Nature en danger !!!!!! A T U

l'aide! La nature n'est pas protégée!

u dois nous aider à sauver la Terre.

ne planète envahie de déchets,

c'est quand même énervant!

Respectez la nature! Et si tu ramassais ton papier?


Ecole élémentaire Bois Saint-Louis CM1-CM2

Découverte d’un milieu boisé au parc de la Gaudinière

Nous sommes allés au parc de la Gaudinière le jeudi 26 avril 2012. Ce parc se trouve sur la commune de Nantes : Boulevard R. Schuman Il est très grand et il contient un château. Nos animatrices étaient Cécile et Hélène. Nous avons fait des activités dans le sous bois.

Le ruisseau de la Patouillerie coule dans le parc de la Gaudinière. Le ruisseau de la Patouillerie se jette dans le Cens, qui se jette dans l'Erdre, qui se jette dans la Loire, qui se jette dans l'Océan Atlantique. Dans le parc il y a des canards ,des oiseaux et des poissons.


Nous avons commencé par regarder, sentir, entendre ce que nous voyions dans notre coin magique.

Dans mon coin magique Ici, je sens … D’ici, je vois … des arbres, des fleurs, le pré, le ciel, un bel arbre, du houx, des clochettes

les fleurs, la liberté, la nature, l’humidité, l’air des plantes, les feuilles, l’eau, l’air, la terre …

violettes, un noisetier, des fourmis, des bois morts, des moustiques, de la végétation et beaucoup de couleurs…

D'ici j 'entends … le vent qui souffle sur les arbres, les oiseaux qui chantent, l'air, les branches qui cassent, des bruits d’animaux, les voitures, les camions, les écureuils, l’eau …

Dans mon coin j'aime … les fleurs, le beau paysage, la couleur . des feuilles, la forme de l’arbre, la

Dans mon coin je n’aime pas …

végétation, la tranquillité, le bois

les feuilles mouillées, le houx, les

partout, les clochettes violettes,

fleurs qui piquent, les mouches, le

l’arbre qui fait un bon repose-dos, tout

houx qui entre dans ma tête, les

sauf le houx, les branches à petites

plantes au sol, la terre mouillée, la

feuilles au dessus-de moi, le grand

terre boueuse, rien …

arbre, voir le ciel …


Puis nous avons recherché et identifié certains végétaux du sous-bois.

Les plantes herbacées

La jacinthe des bois La jacinthe des bois est bleue. Ses fleurs en forme de clochettes peuvent aussi être roses ou blanches. Elle vit dans les sous-bois. Elle se nourrit de sels minéraux et d'eau de rivière, mais elle n'a pas vraiment d'odeur.

La stellaire Elle est blanche et ne peut pas être d'une autre couleur. Elle pousse souvent sur les bords de routes. Elle est constituée de pétales bifides et a des tiges coudées.


Les arbres et arbustes

Les arbustes Dans le sous-bois du parc de la Gaudinière, nous avons observé les arbustes. Ils ont de deux à cinq mètres de haut. Il y en avait plusieurs sortes comme le houx, le laurier … Il y a des graines d’arbustes qui ont été transportées par des oiseaux.

Les arbres Nous avons aussi observé des arbres comme le chêne qui a comme fruit des glands. Dans le sous-bois, il y avait plusieurs sortes d’arbres : hêtre, chêne, sapin, châtaigner.


Ensuite, nous avons recherché et identifié la petite faune du sol du sous-bois.

Les décomposeurs Beaucoup des décomposeurs sont des insectes. Quand les feuilles mortes tombent, les décomposeurs font de l`engrais essentiel à la nature. Ils jouent un rôle important dans l'écosystème des forêts.

On a fouillé la terre et on a vu toutes sortes de décomposeurs : des fourmis, des cloportes, des vers de terre, des scarabées, des millepattes, des araignées, des acariens, des punaises, des larves, des perceoreilles et des gendarmes.


Ensuite, nous avons mimé le cycle de la décomposition de la matière.

Le cycle de la décomposition de la matière

- L'arbre se nourrit des sels

- Et le cycle recommence...

minéraux et fabrique de nouvelles feuilles (vertes). - En automne, les arbres perdent leurs feuilles - La pluie dissout les sels

mortes (marron).

minéraux et les transporte jusqu'aux racines de l'arbre.

- Les décomposeurs 3 (champignons et bactéries) transforment l'humus en sels minéraux.

- Les décomposeurs 1 (petites bêtes de la litière) mangent les feuilles et les transforment en débris.

- Les décomposeurs 2 (vers de terre...) mangent les feuilles et les transforment en humus.


A la découverte de la mare avec Nelly et Hélène, deux animatrices «nature»

Classe de CP/CE1 Bois Saint Louis

Nous sommes assis dans l'herbe et Hélène nous raconte l'histoire d'Annabelle,la demoiselle qui devenue insecte, a promis à ses sœurs encore dans l'eau de revenir leur expliquer toutes ses découvertes.

L'animatrice fait toucher et sentir des plantes cachées dans une boite. Chaque équipe doit les retrouver près de l'eau. On vérifie que la plante rapportée est la bonne. Sinon on repart à sa recherche!


Dans la classe, Hélène a installé les plantes dans trois aquariums. Elle a mis du sable au fond et les a remplis avec de l'eau de la mare. Pas de tritons ni de têtards, ces animaux sont protégés et ont donc été très vite relâchés. Pendant quelques jours, nous pourrons observer les petites bêtes de nos aquariums Les animaux de nos aquariums

Larve de demoiselle

Larve de libellule

La notonecte

Le dytique

La planorbe

La limnée

L'hydrophile

La sangsue

La corise



Classe de CP, école Émile Gibier à Orvault

Compte-rendu de projet dans le cadre des animations nature de la Serre Ondine

La vie sauvage dans les marais de la Mandine en bord de Loire à Bouguenais

Objectif du projet : observer sur le terrain les animaux dans leur milieu de vie, découvrir la richesse et la beauté de la nature afin de susciter l'envie de la protéger

Déroulement : 1ère étape : préparation en classe Travail sur les représentations de l'enfant à propos de l'oiseau au cours de l'échange avec la classe de GS de l'école maternelle Emile Gibier qui a installé des mangeoires sous ses fenêtres. Acquisition du vocabulaire des différentes parties du corps de l'oiseau et de la forme de son corps.

2ème étape : la sortie le mardi 29 mai 2012 Le matin, observation des oiseaux d'eau grâce à 2 observatoires équipés de longues vues et la présence de deux animateurs de l'association Bretagne Vivante. L'après midi, découverte des petits animaux vivants dans l'eau du marais.

3ème étape : réalisation du compte-rendu

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Classe de CP, école Émile Gibier à Orvault

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Classe de CP, école Émile Gibier à Orvault

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Classe de CP, école Émile Gibier à Orvault

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Classe de CP, école Émile Gibier à Orvault

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Classe de CP, école Émile Gibier à Orvault

Observations : Le matin, les enfants ont également observés les espèces suivantes : •

canard colvert (mâle, femelle et canetons)

foulque macroule

grèbe huppé

héron cendré.

Productions artistiques : À partir des matériaux naturels récoltés au cours de la sortie, chaque enfant a réalisé en classe une œuvre artistique d'inspiration libre sur le mode du « Land Art ». Grâce à mon collègue Lionel Duval, les photographies de ce travail sont visibles sur le site de l'école Émile Gibier à l'adresse suivante : http://emile-gibier.ecole.pagespro-orange.fr/an1112/cp/nature.htm

Remerciements : Je tiens à remercier la ville d'Orvault qui met à disposition des écoles les ressources nécessaires à la réalisation de tels projets, Nelly Guibert et Hélène Choloux les animatrices nature de l'association Bretagne Vivante pour leurs compétences et leur savoir-faire pédagogique, Mmes Deniaud et Voisin, Messieurs Marquet et Guillot, parents d'élèves qui ont bien voulu nous consacrer une journée entière pour nous accompagner et enfin de nouveau Monsieur Guillot pour la réalisation des prises de vue et leur mise à disposition pour que nous puissions travailler en classe et réaliser ce compte-rendu. Anne Sirieix professeur des écoles

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MATERNELLE EMILE GIBIER Grande Section OBSERVATION DES OISEAUX EN HIVER Sur notre école, le projet de l’année 2011-2012 était l’environnement. La classe de grande section a choisi, entre autres, de travailler sur l’observation des oiseaux en hiver. Ce projet était facilité par l’implantation de la classe dans l’école : la classe de grande section donne sur un jardin et les observations pouvaient se faire de la classe. Les objectifs de ce projet étaient : - Comment faire pour observer les oiseaux ? - L’anatomie de l’oiseau - La reconnaissance des oiseaux - La nourriture - Les chants des oiseaux - La recherche documentaire - Le dessin d’observation Ce projet s’est étalé sur 6 semaines en janvier et février 2012.

Première séance :


C’était la présentation du projet. En langage, on a cherché tous les oiseaux que les enfants connaissaient : merle, mouette, aigle, hibou, chouette, pie, corbeau, perroquet, toucan, pigeon, moineau, pivert, rouge-gorge, canard, poule, dindon. Puis, on a sélectionné ceux que l’on pourrait voir dans l’école. Ensuite, on a répertorié les caractéristiques des oiseaux. Les oiseaux ont un bec, des ailes pour voler, une tête, une queue, deux pattes, des plumes. Ils mangent des graines ou des petits insectes. Ils pondent des œufs. Ils construisent des nids.

Deuxième séance :

En langage également, on s’est posé la question de savoir comment faire pour observer les oiseaux : - ne pas faire de bruit - ne pas bouger - nourrir les oiseaux - se cacher - avoir des jumelles


Troisième séance :

Nelly, animatrice de « Bretagne Vivante » est venue dans la classe. Elle a expliqué à nouveau aux enfants le projet et s’est appuyée pour cela sur les panneaux faits à la suite des 2 séances de langages. Elle a ensuite installé les deux mangeoires devant les fenêtres de la classe. Puis, elle a recouvert les fenêtres de papier en ne laissant qu’une fente à hauteur des yeux des enfants. Nous avons mis les premières graines dans les mangeoires.

Quatrième séance :

Nous avons fait une fiche de lecture documentaire pour découvrir le vocabulaire lié à l’anatomie de l’oiseau. Les mangeoires étaient pleines. Les enfants connaissaient les différentes parties de l’oiseau et savaient se comporter lors des observations…. Bref, tout était prêt pour commencer les observations.

Nous avons commencé à alimenter régulièrement les mangeoires en graines. En quelques jours, les premiers oiseaux sont apparus ! Nous avons bénéficié d’un temps sec et froid qui a permis de faire des observations régulières avec une bonne fréquentation des oiseaux.


Par groupe de 4 à 5 enfants, des observations ont été faites régulièrement, derrière les fenêtres de la classe, transformée en affût. Chaque groupe a fait 4 observations encadrées. L’observation des oiseaux est devenue une priorité pour beaucoup d’enfants lors des moments libres dans la classe. Lors de chaque observation, le groupe s’est concentré sur 2 ou 3 spécimens : description de l’oiseau (taille, morphologie, couleurs, taille du bec). Puis, les enfants cherchaient dans les ouvrages documentaires les oiseaux qu’ils avaient observés. Sur une fiche récapitulative, les enfants coloriaient les oiseaux observés lors de la séance. Voici les 12 oiseaux que nous avons pu observer :

Mésange bleue

Mésange charbonnière

Mésange huppée

Etourneau

Moineau domestique mâle

Moineau domestique femelle

Pinson des arbres mâle

Pinson des arbres femelle

Merle mâle

Merle femelle

Pigeon ramier

Pie


Avant-dernière séance :

Nous avons joué aux devinettes pour retrouver le nom des oiseaux observés. Puis, nous avons écouté les chants des oiseaux que Nelly nous avait envoyés. Nous avons essayé d’associer chaque chant à un bruit que l’on connaissait.

Dernière séance :

Nous avons fait le bilan du projet. Les enfants ont beaucoup apprécié cette activité.

Je remercie Virginie et Nelly pour leur aide précieuse qui a permis à la classe de mener ce projet à son terme.


Ecole élémentaire La Ferrière CM1, Mme Rézé Année 2011-2012

L’eau Devenir Eco-citoyen

Première


séance :

Nous devions choisir deux images sur lesquelles on pouvait faire des commentaires. Nous

avons groupé ce qui était bien et ce qui n’était pas bien pour

l’environnement. Par

les

photos,

on

voyait

que

certains

citoyens abusaient de certaines ressources naturelles (l’eau, le pétrole, le charbon et le bois rare).

-définition du terme développement durable : DD éclologie

C’est un terme que l’on emploie pour que la Terre ne soit pas trop polluée, qu’elle dure plus longtemps

pour nous et les animaux et que l’on continue à se développer sans porter atteinte à l’environnement.

-jeu de rôles : dépolluer une rivière

Problème :

DD social

économie


Une station d’épuration ne fonctionnait pas bien. Une usine près d’une ville rejetait de l’eau polluée. Des champs au bord de la rivière rejetaient aussi des polluants comme les pesticides. Tous ces déchets se retrouvaient dans l’eau utilisée par la ville. Notre mission était de dépolluer l’eau de la rivière. Il fallait trouver une solution

financière

pour

mettre

en

place

une

station

d’épuration

qui

fonctionne. Nous nous sommes répartis en groupe de 6. Il y avait : - le maire de la ville de Champouilly les poteaux - La maire de la ville de Noudin les Noyau - Jean Claude Delot, directeur régional Véolia Eau - Jean Marc Lexpert, directeur régional de l’Agence de l’Eau - Jean Louis De la Fonte De la Plasturgie, Président Directeur Général de Pétrotec -Jean Charles Deschamps, président de la FDA (Fédération Départementale des Agriculteurs)

Solutions trouvées parmi tous les groupes : - Construire des haies le long de la rivière pour empêcher les pesticides de se déverser dedans (les racines des buissons les « aspirent ») - Eloigner les champs. - Economiser l’argent des deux communes (celles en amont et celle en aval de la rivière)

et l’usine de Pétrotec pour investir dans la réparation de

la station d’épuration.

Conclusion : prendre en compte tous les paramètres du DD On a dépollué la rivière pour avoir de l’eau potable pour les habitants des deux villes sans porter atteinte au budget que chacun avait et sans détruire les emplois des personnes qui travaillent à l’usine et aux agriculteurs.


Chacun participe au financement de la réparation de la station d’épuration.

Deuxième séance : Enquête à l’école sur l’eau Nous nous sommes répartis en groupe pour remplir un questionnaire sur l’utilisation de l’eau à l’école. Nous avons regardé s’il y avait des fuites d’eau dans les sanitaires. Nous avons appris ce que c’était une vanne temporisée.

Comment l’école contribue- t-elle au Développement Durable ? - L’école utilise des produits d’entretien biodégradables. - L’école possède des vannes temporisées.

Comment peut-elle s’améliorer ? - Elle devrait réparer les fuites des WC.

Enquête à la maison : Il fallait dire le nombre de douches prises chaque jour, le temps que l’on prenait pour prendre sa douche et s’il y avait des fuites dans nos toilettes. On a remarqué que beaucoup prenaient des douches à la place de bains.

Troisième séance : Expériences -liste de ce que l’on trouve dans les égouts : Excréments, peinture, détergents, plastique, urine, des cheveux, savon, shampoing, bactéries, papier toilettes, huile, restes de nourriture, eau, hydrocarbures, petits déchets, chlore.


-1ère expérience : réalisation d’une mini-station d’épuration Commet épurer l’eau sale ? Schéma de l’expérience -Nous avions à notre disposition des cuillères, des passoires, des filtres à café, du sable, des bouteilles et des récipients. -Nous devions d’abord salir notre eau : on a mis de la terre, de l’herbe, des cailloux, du liquide vaisselle, de l’huile. -Nous avons réfléchi en faisant un schéma sur notre cahier d’expériences.

Réalisation : -Nous avons fait notre « nettoyage » de l’eau en utilisant le matériel et en faisant quatre passages.


Conclusion : Nous avons pu réaliser les quatre premières étapes de l’épuration. Le traitement biologique n’a pas été fait donc les bactéries étaient encore présentes. Dans les vraies stations d’épuration, certains produits restent malgré le traitement biologique : peinture, détergents. Il est indispensable de les mettre à la déchetterie.

2ème expérience : réalisation d’un chauffe-eau solaire Matériel mis à notre disposition :


Bouteille d’eau, plaque de plexiglas, sac plastique noir, boîte à chaussures, ouate, bouteille d’eau témoin et thermomètre.

Réalisation :

Conclusion : La plaque un effet de

de plexiglas produit serre qui chauffe

l’eau. La ouate isole la bouteille du sol (cela évite l’entrée du froid par le fond). Le sac plastique noir « capture » la chaleur.

Bilan : Qu’avons-nous retenu de ce projet ?

- Grâce au chauffe-eau solaire, j’ai appris de quoi étaient composés des panneaux solaires. - J’ai appris que le noir « capturait » la chaleur et le blanc l’inverse. - J’ai compris pourquoi il ne fallait pas gaspiller l’eau. - J’ai appris que les vannes temporisées gaspillaient moins d’eau que les robinets.


- J’ai appris ce que c’était un effet de serre. - J’ai appris que sur les toilettes il y avait deux boutons : cela permet de gaspiller moins d’eau que les toilettes à un seul bouton. - On m’a expliqué comment savoir pour détecter une fuite d’eau dans les toilettes.


Ecole élémentaire de la Ferrière CM2

de Mme Larue

I - Qu’est-ce que le développement durable ? A quoi ça sert ? Le développement durable concerne l’environnement des gens. L’environnement, c’est sauvegarder la planète pour nous et les générations futures. La société et l’économie du pays ont un rôle important dans le Développement Durable. La société, c’est nous : chacun doit essayer de faire un geste en faveur de l’environnement. L’économie, c’est l’argent : il faut beaucoup d’argent pour améliorer les conditions de vie dans le cadre du Développement Durable. On a appris qu’on pouvait économiser de l’énergie. Par exemple, si on isole bien une maison, on économise de l’électricité. On peut utiliser des panneaux solaires pour fabriquer nous-mêmes notre électricité.


Faire du covoiturage pour faire des économies d’essence, pour moins polluer. Il est préférable de manger des fruits et des légumes de saison pour éviter ainsi des transports venant de l’étranger. Eviter de jeter les déchets dans l’eau. Il est souhaitable que les agriculteurs utilisent des engrais naturels pour leurs exploitations. Installer des éoliennes permettrait de fabriquer de l’électricité avec du vent, mais ça coûte très cher ! Créer plus de pistes cyclables permettrait d’utiliser moins les voitures. Récupérer l’eau de pluie permettrait d’économiser de l’eau. Il faut penser à recycler quand c’est possible. Par contre, il faudrait stopper la déforestation pour ainsi éviter de couper trop d’arbres. En abattant des arbres, des animaux sont obligés de quitter leur milieu de vie.

II - Enquête à l’école sur notre consommation d’énergie. Par groupes, nous avons mené une enquête dans l’école et auprès des enseignants dans leur classe. Nous avons constaté que sur les lampes il y a des informations en WATTS qui indiquent la puissance de la lampe. Constats : -

Des lampes sont allumées dans les classes, en plein jour, avec des rideaux baissés. Des fenêtres sont ouvertes alors que les radiateurs fonctionnent. Des ordinateurs sont allumés dès le début de journée, sans être certain d’en avoir besoin. Des pièces sont allumées alors qu’elles sont inoccupées.


-

Les classes sont équipées de néons car ce sont des lampes qui ne consomment pas trop d’électricité. Nous avons trouvé l’ « étiquette énergie » de l’école : l’école se situe en C, c'est-à-dire que l’école est plutôt bien isolée, mais on pourrait faire mieux !

Comment modifier nos habitudes ? Dans notre classe, nous nous sommes engagés à faire évoluer nos habitudes : -

Nous avons supprimé le service des ordinateurs et nous les allumons uniquement quand nous en avons besoin.

-

Nous n’allumons plus de manière systématique le matin. Nous levons les rideaux et décidons ensemble si la lumière du jour suffit.

-

Nous éteignons de manière systématique la lumière en quittant la classe.

III - Et à la maison ? Résultats de notre enquête… Un appareil qui est en veille est un appareil qui continue de consommer de l’électricité. Nous avons cherché à la maison les appareils en veille : La télé, les jeux vidéo, la chaîne hifi, le décodeur, le téléphone fixe, le portable, le four, les consoles de jeux, les micro-ondes, l’ordinateur, la photocopieuse, l’ampli, le lecteur CD/ DVD, le cadre numérique, la multiprise, l’enregistreur, le scanner, l’imprimante, le réveil,…

Bilan : Beaucoup trop d’appareils restent en veille. La facture d’électricité risque d’être élevée. Solution : Pour faire des économies, il suffit d’éteindre les appareils qui restent tout le temps en veille.


IV - EXPERIENCE : Comment bien isoler une maison pour éviter la déperdition de chaleur ? Matériel : 1 boîte en carton = la maison 1 bouteille d’eau chaude = la chaleur de la maison Du papier journal, nos vêtements.

Photos de notre démarche:

1- Boucher les trous pour éviter les courants d’air

2- Isoler les murs et le sol

Eau témoin = 40,5°C à 9h35 Résultats des 5 groupes : Eau témoin < 32°C à 10h05

Le groupe 1 a bien isolé sa maison car il y a eu peu de déperdition de chaleur par rapport aux autres.


IV - EXPERIENCE : Comment chauffer de l’eau sans gaz ni électricité ? Matériel : 1 boîte en carton 1 bouteille d’eau froide  on doit réussir à la chauffer avec le soleil De la laine  elle isole Du papier aluminium  il renvoie la lumière Un sac poubelle noir  il attire la chaleur 1 plaque de Plexiglas  pour créer un effet de serre

Photos de notre démarche :

1. On dessine l’expérience après avoir eu connaissance du matériel mis à disposition

2. On réalise le montage de notre expérience en s’interrogeant sur l’utilité de chaque matériau.

3. On teste notre « chauffe-eau » en le plaçant 20 minutes au soleil


Bouteille d’eau témoin = 32, 8°C

4. On fait un relevé de température de notre eau au bout de 20 minutes. Bouteille témoin < 32°C

G1 = 35, 7°C

G2 = 34, 5°C

G3 = 32, 4°C

G4 = 34, 5°C

G5 < 32°C

Sur 5 chauffe-eau solaires, 3 ont été performants et ont réussi à augmenter la température de l’eau contenu dans la bouteille.

V - BILAN : que retiendrons-nous de ce projet ? Victoria : On a pris conscience qu’il fallait faire attention à notre consommation d’énergie électrique. Si chacun fait des petits éco-gestes, peut-être qu’on arriverait à diminuer le réchauffement climatique. Coline : J’ai bien aimé les expériences, car on devait trouver par nous-mêmes, on devait réaliser des défis .J’ai bien aimé l’enquête car on devait chercher des indices en rapport avec l’énergie, à plusieurs endroits de l’école (les classes, la salle informatique, l’entrée, la BCD, …) J’ai bien aimé le jeu de rôle car on devait défendre l’installation des éoliennes.


Yéro : Si tout le monde faisait des petits gestes, on ferait des économies d’énergie. Quand on veut implanter des éoliennes, il y a ceux qui sont pour et ceux qui sont contre. Il faudrait installer plus d’éoliennes et de panneaux solaires, mais ça coûte trop cher. Chahrazed : J’ai bien aimé les expériences car on avait des objets mais on ne savait pas forcément à quoi ça servait. Il a fallu deviner leur rôle. Lucie : Les expériences c’était amusant car on « montait le dossier » pour faire la maison. Yohann : On a appris qu’il ne fallait pas jeter les déchets dans la nature car les animaux ne pourront plus vivre dans leur habitat naturel. Il faudrait faire plus de covoiturage et mettre plus de pistes cyclables, ce qui permettrait de moins consommer d’essence. Suzy : J’ai bien aimé l’expérience de la maison, quand il fallait la couvrir avec nos vêtements. J’ai appris que pour installer des éoliennes, il fallait beaucoup de temps et de l’argent. On a appris que les éoliennes produisaient moins que les centrales nucléaires. Allan : J’ai bien aimé les expériences car on a appris à avoir de bonnes attitudes en étant un peu écolo. On a aussi appris que quand on pollue, on fait du mal à la planète et donc à nous-mêmes. Sidonie : J’ai bien aimé faire l’enquête dans l’école. Ça nous a permis de savoir à quel niveau d’isolation l’école se situait. Dans certains pays, les gens jettent les ordures au bord de la route car ils n’ont pas de poubelles. Thelma : J’ai vu qu’on ne faisait pas beaucoup d’efforts, surtout quand on a fait la liste des objets qui restaient en veille. On pourrait en faire un peu plus ! Alex : En faisant la liste des appareils en veille, j’ai pris conscience qu’on ne faisait pas suffisamment attention. Depuis, je fais plus attention ! J’ai bien aimé le jeu de rôle car on devait se mettre d’accord pour l’installation d’éoliennes ou pas. J’ai bien aimé l’étude des photos ; il y avait la déforestation, des centrales nucléaires, des déchets. Benji : J’ai appris qu’on pouvait chauffer de l’eau avec le soleil. Avec les photos, on a comparé les consommations d’énergie. J’ai pris conscience qu’il fallait recycler les déchets en plastique. Clara : j’ai bien aimé le jeu de rôles car j’ai appris qu’on devait beaucoup discuter pour installer des éoliennes et ça coutait cher. Grâce aux photos, on a vu ce qui se passait dans le monde. Catalin : on a vu qu’il y avait des gens pauvres et des gens riches. Darshini :






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Nous avons bien aimé c e s animation avons appr s et nous is beaucoup de choses. falloir fair Il va e des effo r ts si nous garder une voulons vie conforta b le dans les venir. Nou années à s devons donc appr économiser e ndre à l’énergie e t à développ énergies ren er les ouvelables.


Classe de CP/CE1 La ferrière ORVAULT

Découvrir le monde des oiseaux (les milieux de vie et les différentes espèces )

« Je sais décrire un oiseau »


le jeu du dessin d’oiseau à deviner Petit jeu sur les oiseaux construit par les CP/CE1 1) L’hirondelle revient en France

a) au printemps. b) en automne. c) en été.

2) Etre une vieille chouette, c’est être

a) une vieille voiture. b) une vieille femme. c) une vieille brouette.

3) Etre un drôle d’oiseau, c’est être

a) bavard. b) bizarre. c) rigolo.

4) Le hibou dort 5) Le héron mange

6) Le gros bec mange

a) le jour. b) la nuit. a) des poissons. b) des vers. c) des graines.

a) des noyaux et des noisettes. b) des noix de coco. c) des oranges.


7) La poule est

a) un mammifère. b) un oiseau. c) un ovipare.

8) Etre une poule mouillée, c’est

a) avoir pris sa douche. b) être peureux. c) être une poule après la pluie.

9) Avoir une cervelle de moineau, c’est

a) avoir peu de mémoire. b) pouvoir parler comme un oiseau. c) savoir où est caché ton nid.

10) Le centre ornithologique se trouve

a) à Bouguenais. b) à à Saint-Herblain. c) Orvault.

Attention, voici les bonnes réponses : 1)a

2)b

3)b

4)a

5)a

6)a

7)b,c 8)b 9)a

10)c

Jeu des phrases à trou. Utilise les mots : roue, palmées, blanche, blanc et noir, observatoire, bec, trous, migrateurs, d’eau. 1)La buse a un nez __________.


2) Le paon fait la _________ quand il est amoureux. 3) Le pic vert fait des __________ dans le tronc des arbres.

4) Le canard a des pattes ___________. 5) Le cygne est de couleur _____________. 6) Des oiseaux comme l’hirondelle et la cigogne, quand c’est l’hiver, partent vers les pays chauds, ce sont des oiseaux ________________. 7) La pie a 2 couleurs : le ____________ et le ____________.

8) Le foulque, le martin-pêcheur, le héron sont des oiseaux ________. 9) Pour observer un oiseau sans le déranger, on rentre dans un ________________ et on le regarde avec une longue-vue.


Attention, voici les réponses du jeu des phrases à trou. 1) bec – 2) roue – 3) trous – 4) palmées - 5) blanche – 6) migrateurs – 7) blanc et noir – 8) d’eau – 9) observatoire


« La sortie à Bouguenais était géniale »


Ecole Pont Marchand CM1/CM2 classe de Mme Gabelin Zola

PROJET ENERGIES avec la Serre Ondine d'Orvault mars- avril 2012

rĂŠdacteurs de l'article: Tom Launay, Lucie Leroyer, Constance Le Marchand, Lucas Piesseau, Arthur Gautier, Armand Guemy, Axel Babin, Baptiste Chaintreau


1 ère séance 5 mars 2012 1ère visite de Vincent Fontenille de la Serre Ondine Nous avons travaillé sur des photos de paysage, d'usine, de barrage , de panneaux solaires. Chacun devait choisir 2 photos et exprimer ses impressions. On a découvert qu'il y avait plusieurs façons de produire de l'électricité : éolienne , centrales nucléaires, barrage hydraulique … Nous avons également appris qu'il y a 2 sortes d'énergie: primaire, secondaire. L'énergie secondaire est une énergie qu'il faut transformer pour avoir à la fin une autre énergie. L' énergie primaire elle, est utilisée directement. Nous avons également évoqué les nuisances produites par les différentes centrales électriques, depuis la pollution sonore, visuelle, jusqu'à la pollution des sols. Nous avons parlé des sources d'énergies fossiles, comme le charbon, le pétrole, le gaz, qui sont en quantité limitée sur Terre, et servent prioritairement dans nos centrales en produisant beaucoup de pollution. Pour les remplacer, on pourrait utiliser des sources d'énergies renouvelables, comme le vent, le soleil, l'eau; mais on ne sait pas encore fournir autant d'électricité avec ce type d'énergie. Pour finir, Vincent nous a fait participer à un jeu de rôles où un maire discute de l'implantation d'éoliennes sur sa commune. On a fait des groupes de 5 et il nous a distribué les rôles: un maire qui veut être réélu, un préfet favorable aux éoliennes, EDF contre, un habitant contre à cause du bruit, un habitant pour car cela va créer des emplois.


Le but de Vincent était de nous faire débattre comme des grands et de nous montrer la difficulté pour se mettre d'accord à plusieurs sur un projet. Cela n'a pas trop fonctionné car c'était la première fois que nous débattions en jouant un rôle. Nous ne savions pas argumenter. Et nous avions tendance à suivre l'avis du meilleur parleur, sans vérifier ses arguments.

Mais le jeu était véritablement

intéressant et nous a bien plu. Nous aurions bien aimé le refaire!

2éme séance 19 mars 2012 Vincent nous a fait faire une expérience pour faire chauffer l'eau d'une bouteille. Nous avons fait 5 groupes. Chaque groupe disposait: -d'un carton, d'une bouteille d'eau, un sac poubelle, de l'isolant et une plaque de plexiglass. Au début, nous avons mesuré la température de l'eau avec un thermomètre: l'eau était à 14 °C. Nous avons eu 30 min pour trouver la meilleure solution pour faire chauffer l'eau le plus rapidement possible.

Puis chaque groupe a expliqué

pourquoi il avait disposé les objets comme ça. Nous sommes revenus chercher les boîtes au bout d'une heure. Le groupe de Lucas chaud à l'intérieur.»

a enfermé la bouteille dans le sac poubelle «pour faire


Mais de ce fait là, le plexiglass ne sert à rien. Résultat 14°C. Le groupe de Thibault a disposé la laine autour de la bouteille pour « que ça garde le chaud »; ils ont installé le plexiglass de manière à concentrer la chaleur dans le carton. Vincent nous signale que la laine garde la chaleur de la bouteille mais ne la chauffe pas! D'autre part, le plexiglass n'est pas un miroir, donc le rayonnement du soleil chauffe le carton et repart. Malgré tout ils ont obtenu 17°C.

Dans le groupe d'Oscar, ils ont disposé un plexiglass par dessus la boîte et l'isolant à l'intérieur de la boîte pour garder la chaleur: c'est exactement le principe de l'effet de serre. Ce groupe a obtenu 20°C.


Dans le groupe de Joäne, ils voulaient fait un « effet de loupe » sur la bouteille avec le plexiglass mis en oblique, mais la chaleur ressortait librement, donc cela ne pouvait pas marcher. Ils ont quand même obtenu 17°C.

Dans le groupe de Jeanne, ils ont disposé les éléments comme dans le groupe d'Oscar, mais ils ont disposé tout l'ensemble sur le goudron chaud et ils ont obtenu

21°C: c'est le meilleur score!

C'est avec surprise que nous avons appris que la solution trouvée par le groupe de Jeanne et celui d'Oscar, est celle qui est utilisée dans les panneaux solaires thermiques, des panneaux qui servent à chauffer l'eau des habitations et que l'on peut voir sur certains toits de maisons. Pendant que les expériences avaient lieu dans la cour, Vincent nous a demandé ce qu'on pourrait faire pour réduire nos consommations habituelles d'énergies. Nous avons trouvé qu'on pouvait faire du covoiturage, utiliser des vélos pour se déplacer, ou bien les transports en commun pour limiter notre dépense en pétrole. Dans les habitats, nous pourrions installer des panneaux solaires thermiques pour


chauffer l'eau, sur le modèle de notre expérience.

3éme séance La visite s'est déroulée en deux temps. Tout d'abord, nous sommes allés à la centrale photovoltaïque de Beaulieu (quartier Sud de Nantes) pour découvrir un autre type de panneaux solaires: cette fois, il s'agissait de voir comment fonctionnent des panneaux qui fournissent de l'électricité. La centrale solaire se trouve au 5ème étage du parking du centre commercial Carrefour. Nous avons eu un guide qui s'appelait Vincent -lui aussi-. Il nous a emmené au dessus du transformateur électrique et nous avons vu de plus près les panneaux solaires qui forment un toit au parking. Nous avons posé des questions, il nous a répondu. Il nous a expliqué comment consommer moins d'énergie: mettre des toilettes sèches, bien isoler la maison -la 2ème dépense en énergie dans un foyer après le transport-, mettre des panneaux solaires, ne pas gaspiller l'eau. Vincent nous a expliqué que nos parents pouvaient contacter gratuitement des associations pour obtenir des renseignements sur les économies d'énergie. Ensuite, nous avons visité l'association Bolivia Inti Sud Soleil et une dame, Gaëlle, nous a accueillis et nous a fait faire quelques expériences. Elle nous a distribué des petites cartes de différentes matières; nous les avons exposées au soleil pendant quelques minutes et après nous avons regardé quelle carte était la plus chaude. Gaëlle nous a montré des fours solaires: il y en avait 2; un en forme de pyramide tronquée, et l'autre en forme de parabole. Le premier four pouvait fonctionner sans le soleil car il dispose d'un isolant, mais ne pouvait chauffer qu'à 180°C à peu près. Le deuxième four ne pouvait pas fonctionner sans le soleil mais chauffait très fort à 450°C environ: il a brûlé une


feuille que Gaëlle tenait dans la main en quelques secondes! Gaëlle nous a expliqué qu'en achetant un four solaire, il y en avait en réalité un pour nous et un autre -à un prix moins élevé- pour les pauvres de Bolivie et d'autres pays d'Amérique du Sud. Le petit four pyramidal coûte environ 300€, tandis que le four parabolique coûte entre 1000 et 2000€. Nous sommes partis avec un excellent souvenir de cette visite!


ÉCOLE ÉLÉMENTAIRE PONT MARCHAND Classe de CP-CE1

Objectif du projet : Découverte du monde du vivant Intitulé du projet : Cycle et croissance des végétaux

La démarche s’est appuyée sur l’observation, la réalisation d’expériences, la représentation sous forme de dessins et de textes et la pratique du jardinage. Sa mise en œuvre s’est effectuée en plusieurs étapes : - découverte de la plante et des familles de légumes, - la graine et le bulbe, - semis et plantations au jardin.


LE BULBE DE JACINTHE

La croissance du bulbe dans un vase au raz de l’eau.

La croissance du bulbe dans la terre


LE PETIT POIS

Le petit pois a germĂŠ. Il a fait des racines et des feuilles.

Une pousse

Quelques feuilles

La plante a grandi

Les feuilles ont grossi

Premières fleurs

Deux gousses


NOTRE JARDIN On a retourné la terre. J'ai mis du terreau, j'ai tassé la terre et ratissé. Après j'ai planté une échalote. J'ai semé des petits pois et des radis. J'ai planté des tomates-cerises. Ensuite on a griffé la terre. Virginie nous a tous fait goûter la ciboulette. Notre potager le mai

Après on a arrosé.

Le plan de tomates en fleurs

La salade

Aujourd'hui, j'ai planté des pommes de terre, j'ai commencé par faire un grand trou puis j’ai déposé la pomme de terre dans le trou. J'ai planté de la salade dans le potager, j’ai semé des radis et on a arrosé les radis et les salades. Avant de semer des radis, on a fait trois traits dans la terre, ensuite on a planté de la salade dans la terre après on a arrosé nos plantations. J'ai semé des fèves avec Virginie et j'ai arrosé.

Notre potager le 5 juin


LES JARDINIERS

Virginie nous a raconté une histoire de plantes. Virginie nous a appris que la plante avait besoin de la terre, d'eau et aussi du soleil. La terre apporte de la nourriture à la plante. Le soleil apporte la lumière et la chaleur. J’ai appris que les tomates n’aiment pas trop l’eau sur les feuilles et que les radis ça se sème.

Virginie nous a appris à planter. Elle nous a appris que le bulbe faisait des bulbilles. Virginie nous a appris à gratter la terre et puis à ne pas mettre les outils en l’air. J'ai appris à utiliser les outils comme le transplantoir, le plantoir, la griffe, le râteau.

Ce que j'ai le plus aimé c’est de planter les légumes. J’ai adoré utiliser les outils et planter. J'ai aimé quand on a planté dans la terre et quand on a griffé. J’ai adoré la ciboulette que Virginie nous a fait goûter.

J’ai aimé semer des radis. J’ai aimé quand j’ai planté de la salade et aussi quand j’ai arrosé. J’ai aimé quand elle nous a raconté l’histoire des plantes et quand on a arrosé le jardin. J'ai aimé quand j'ai planté avec Virginie. J'ai bien aimé le jardinage


Dans les herbes folles de la prairie !

École élémentaire Bois Saint-Louis Classe de CP Bretagne Vivante et la Mairie d’Orvault

Juin 2012


Que savons-nous déjà avant d’aller dans la prairie ? Nous avons appris à faire la différence entre le « vivant » et le « non vivant ».

Les hommes, les animaux et les plantes sont vivants. Précisions de la maitresse : A partir de ce constat, la classe va travailler sur deux objectifs : - Prendre conscience de la diversité du monde animal. - Eduquer le regard pour observer.

Un premier temps fort : le Muséum d’Histoire Naturelle visite de la galerie de Zoologie.

Exemples de travaux réalisés au muséum par les élèves.


Tous les animaux que nous avons observés ont pu monter sur le tapis « l’animal a une colonne vertébrale ». Certains ont pu être rangés sur un tapis plus petit : «l’animal a des poils » ou « l’animal a des plumes » ou « l’animal a une carapace ».

Nous nous posons la question de savoir si les petites bêtes de la prairie peuvent monter sur un tapis, pour être classés comme le font les scientifiques. Pour cela nous devons aller les observer. Malheureusement, nous n’avons pas encore pu le faire à cause du temps …. Ce n’est que partie remise on l’espère.


Le milieu forestier Classe de Monsieur Gabelin Gilles CM1-CM2 La Salentine

Les types de forêts Par Manon G., Lisa T.

Il y a plusieurs types de forêts dans le monde . Les plus connues sont : La forêt tempérée : qui se situe: surtout en Europe, en Amérique et en Asie La forêt équatoriale: qui se situe: au sud de l'Amérique, de l'Afrique, de l'Asie et au nord de l'Australie, La forêt boréale : qui se situe: au nord de l'Amérique et de l'Eurasie La forêt méditerranéenne: qui se situe: au sud de l'Europe et de l'Australie Les forêts ne sont pas toutes composées de la même variété de végétaux. Par exemple: La forêt tempérée est surtout constituée de : chênes de toute sortes, de hêtres, de douglas, de noisetiers, d'érables, de châtaigners …


Les métiers du bois Par Tudor O., Mathias G.

L'ouvrier forestier Sous l'ordre du technicien forestier, il assure l'entretien de la forêt et l'entretien les chemins forestiers. Le technicien forestier C'est lui qui prévoit toutes les opérations pour l'ensemble d'une forêt et organise le marquage des arbres à abattre et les ventes de bois. Il conseille également les propriétaires des forêts. L'ingénieur forestier Il organise la gestion des forêts. Il conçoit les voies d'évacuation des bois coupés, les écoulements des eaux de pluie. Il donne des conseils pour les opérations de reboisement. Le bûcheron Il s'occupe de couper les arbres sans faire de dégâts sur les jeune arbres ni les arbres voisins. Il coupe les branches et classe les arbres abattus en différentes catégories en fonction de leur utilisation. Le debardeur Il transporte les arbres abattus. E

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Retrouve les mots suivants : charpentier – sève – scierie – menuisier – arbre – forêt – maison – bois – feuille – bûcheron – tronc – dosse – chêne ( et le nom de l'auteur!!)


LES ARBRES DES SOUS BOIS

Par Oscar S., Gabin F., Louis L.

IL EXISTE PLUSIEURS SORTES D'ARBRES DANS LES SOUS BOIS DU CENS: Le chêne, le noisetier sont les plus connus mais il y en a beaucoup d'autres comme le houx, le châtaignier, le frêne, l'érable. Le laurier palme est spécial, il vient d Amérique du sud et se répand grâce aux oiseaux. LES FRUITS DES ARBRES DU CENS: Le chêne fait des glands. Le châtaignier fait des châtaignes. Le noisetier fait des noisettes. Le houx fait de la drupe.

Voici une petite planche pour vous aider à les reconnaître :


DES OISEAUX DU SOUS BOIS Le pic vert par SĂŠbastien L. et Mohamet N.


Le reconnaître : Le Pic vert, qu'il soit mâle ou femelle, a une face supérieure verte, le croupion jaune, la face inférieure gris-vert et le dessus de la tête rouge. La femelle se distingue par sa moustache noire, tandis que celle du mâle est rouge, entourée de noir. Les jeunes sont plus clairs et tachetés. Taille, poids : Cet oiseau mesure environ 30 cm de longueur pour une masse d'environ 200 g. Son régime alimentaire : Le Pic vert se nourrit principalement d'insectes et de larves, capturés sur le sol. Il recherche particulièrement les fourmilières dans les prés, car les fourmis représentent plus de 90 % de son alimentation. Dans le sud de l'Europe, il s'attaque également aux ruches, en hiver.

Le merle noir par Maëlle R. et Marie D. Le reconnaître :

Le mâle est entièrement noir, à part le bec jaune et un anneau jaune autour de l'œil, et possède un vaste répertoire de vocalisations tandis que la femelle adulte et les juvéniles ont un plumage brun. Taille, poids : La taille du Merle Noir est d'environ 25 cm avec une envergure qui oscille entre 34 et 38,5 cm pour un poids variant de 80 à 110g selon les saisons. Son régime alimentaire : Le régime alimentaire des Merles Noirs est omnivore. Ils se nourrissent d'une grande variété d'espèces d'insectes, de vers et de divers autres petits animaux et ils consomment également des fruits et parfois des graines.


Le troglodyte mignon par Jennyfer D. et Laëtitia A. Le reconnaître : Son corps rond est vêtu d'un plumage brunâtre et légèrement barré. Il a en outre un bec mince et très pointu. Ce petit oiseau est surmonté d'une petite queue, presque toujours dressée verticalement. De plus, il fait partie des oiseaux les plus petits d'Europe après le roitelet. Taille, poids : Le troglodyte mignon mesure à peu près dix centimètres. Son régime alimentaire : Le régime alimentaire des Merles Noirs est omnivore. Ils se nourrissent d'une grande variété d'espèces d'insectes, de vers et de divers autres petits animaux et ils consomment également des fruits et parfois des graines.

Haïkus Le matin se lève Le vent courbe les arbres Dans l'aurore bleue Antoine Guehenneuc

Un petit renard trottine dans l'herbe épaisse parmi le feuillage Antoine Gabard

Dans la belle forêt Il y a des fougères Qui ont très très soif Louis Lemoine


Ecole La Salentine CE2-CM1

Mars

Mi-mai

La biodiversitĂŠ dans la VallĂŠe du Cens


QUIZZ rapide sur le Cens Est ce un fleuve, une rivière ou un ruisseau ?

Une biodiversité à protéger !

Combien de km mesure t-il ?

Conseils pour les promeneurs :

Quelles communes traverse-t-il ?

Rester sur les sentiers

Ne pas faire de bouquet avec les fleurs.

Où se jette le Cens ?

Uriel –Thomas Réponses plus bas !

Ne pas jeter des déchets par terre Tristan-Mélina

Un envahisseur ! que rien

Le laurier palme envahit la Vallée du Cens…conséquences ?

SOS ,SOS! Il faut réagir !

Ca va devenir un véritable problème : Le laurier palme s’échappe des jardins individuels et les personnes qui en ont ,l’ont sans doute remarqué : les plantes ne poussent pas au pied de cet arbuste…

Une grande question: Pourquoi ces personnes en plantent -elles ? Probablement parce qu'il ne perd jamais ses feuilles...et cela les protège du voisinage. Mais pensons à la Vallée ! Les services nature de la mairie pourraient peut-être nous aider à déraciner ce spécimen !

Mais pourquoi ce laurier est-il néfaste ? Les plantes qui poussent en mars ont besoin de lumière par exemple la ficaire, la jacinthe des bois, l’anémone: car à fin d'hiver, les arbres n'ont pas encore de feuilles donc le soleil est intense et c’est justement ce que dont ces plantes ont besoin. Désormais le laurier palme leur fait de plus en plus d’ombre ! Réagissons et ne le laissons pas envahir la Vallée du Cens. Cléophée-Margaux Réponses du Quizz : une rivière, dans l’Erdre, 23 km, Vigneux, Sautron, Orvault et Nantes


Qui suis je ? Mon premier est un animal familier. Mon deuxième est l'enveloppe de l'oreiller. Mon troisième est la deuxième syllabe de grenier. Mon tout est un arbre de la Vallée du Cens. Qui suis-je ? (Cha-tai-gnier)Stella-Léontine Mon premier est un oiseau, Mon deuxième coule dans les veines Mon troisième est l'endroit où on dort Mon tout est une plante de la vallée du Cens dont la fleur est jaune. Qui suis-je ? (Pi-ssen-lit)Jade-Hadja-Mélina

Qu’est-ce que la botanique ? Le botaniste étudie les plantes et les végétaux et non pas les insectes !! Il a besoin de plusieurs objets : le carnet de croquis, une loupe un crayon de bois et une gomme … et des yeux !

Mon premier est la première syllabe de ficelle Mon deuxième est la capitale de l'Egypte Mon tout est une fleur de la Vallee du cens Qui suis-je ? (Fi-caire)Alexandre-Marie

Mon premier est la première syllabe de sucer eme

Mon deuxième est la 18 lettre de l'alphabet Mon troisième coule du robinet Mon tout est un arbre de la vallée du Cens Qui suis-je ? (su-r-eau)Laurine-Juliette-Wouiem Mon premier est un objet qui coupe du bois. Mon deuxième est la 20 lettre de l' alphabet. Mon troisième est un pronom personnel féminin. Mon quatrième est un objet avec lequel on s'éclaire dans le noir. Mon cinquième est quelque-chose qui recouvre les os. Mon tout est un oiseau de la Vallée du Cens. Qui suis-je ? (Si-t-elle-torche-peau)Uriel-Thomas-Ferat

Wouiem et Cléophée


Un peu de poésie !

Ma Vallée Dans ma vallée , il y a la Nature Dans ma Nature , il y a de l 'herbe

Ô , ma Vallée !

Dans mon herbe , il y a des fleurs

Clip clop , voici le doux clapotis de l'eau !

Dans mes fleur , il y a du pollen

Ma vallée abrite mille bêtes

Mais où vont les abeilles ?

Cui cui , voici le bruit des oiseaux !

Elles volent sous le soleil !

Dans la nature mille fleurettes .

Solène

Ma vallée naît et renaît

La ficaire

Ma forêt meurt et revit

Sous les arbres de la vallée,

Et voilà ce qu'elle est !

La ficaire se réveille,

Ô ma vallée!

Vivement l'été ! Margaux

Renaissance de la vallée Ô beau jour de printemps ! Arbres et arbustes aux jolies feuilles, Le long de tes troncs courent des écureuils Des abeilles font entendre leur bourdonnement

Murmurent les abeilles. La demoiselle est émerveillée, Par les chants des oiseaux, Par le bruit de l'eau, La nature est belle sous le soleil ... Laurine, Juliette et Wouiem

Dans le sous-bois poussent des ficaires

Ma tendre Vallée

Et l'anémone brille d'étincelles à la lumière

Tendre Vallée du Cens !

Dans les arbres volent les mésanges charbonnière

La première fois que je t'ai vue

Quelle joie en attendant l'hiver prochain !

Tes feuilles n'avaient pas encore poussé

Jade et Mélina

Mais ton Cens coulait en abondance. Tes fleurs étaient nées depuis longtemps

Le réveil de la Vallée

Et au bout de tes fines branches

Hiver, Vallée endormie!

Tes bourgeons commençaient à s'ouvrir, il était temps

Seul le Cens est dans son lit

Au pied de tes arbres poussaient ton herbe fraîche.

Soudain, les bourgeons se réveillent Et butinent les abeilles.

L'abeille butinait l'anémone des bois, La pie rigolait avec le pic-vert

Les insectes s'envolent

La chenille grimpait le long de la ficaire

Et réveillent la Vallée

Jolies clochettes que celles de la jacinthe des bois !

Les oiseaux décollent

Cléophée et Adèle

Et volent dans l'orée. Les fleurs s'épanouissent

Le jardin de la vallée

Et les papillons se réjouissent

Les oiseaux survolent le ruisseau

Les oiseaux sont contents

Les plantes naissent près de l’eau

De voler dans le vent.

Les châtaigniers poussent dans la vallée

Paul, Dimitri et Tristan

L’eau claque sur les rochers. Stella, Tissem, Léontine


Les impressions sur nos sorties …. « C'était très intéressant ; nous avons appris beaucoup de choses sur la vallée du Cens ,les plantes ,les fleurs et les arbres. » Margaux « Nous avons pu constater des différences entre le mois de mars et le mois de mai. » « Les deux sorties m'ont appris beaucoup de choses. »Aélia « Avant la sortie, je confondais les ficaires et les boutons d'or. »Marie. « J'ai bien aimé les deux sorties , Nelly expliquait précisément les choses. »Léontine « Se promener dans la Vallée du Cens provoque une sensation agréable et j’aimerais y retourner une troisième me fois pour vivre cette sensation. » Alexandre « La vallée du Cens … c’était génial ! » Mélina


École maternelle Pont-Marchand Classe de moyenne et grande sections création d'un jardin potager OBJECTIFS : * apprendre à réaliser des semis (en classe) * observer les différentes étapes de la germination et du développement d'une plante * apprendre à réaliser des plantations dans le jardin de l'école

Ce projet a été mis en place en collaboration avec Vincent FONTENILLE, animateur environnement et développement durable de la ville d'Orvault. Le bilan de ce projet a été réalisé par les enfants. Pour différencier leurs paroles du texte ajouté par l'enseignante, deux polices distinctes ont été utilisées. : Texte dicté par les enfants, retranscrit avec toute leur spontanéité

texte ajouté par l'enseignante

Ce que nous avons fait : Une histoire pour débuter le projet : « Vincent nous a lu une histoire. C'était sur les graines. Il fallait du soleil pour les plantes et de l'eau et de la terre. » « Avec l'histoire d'un panda aussi. Il plantait une graine dans un pot, et après elle poussait. Il a pleuré parce que la plante poussait pas, et après elle poussait. » « Au début il savait pas qu'elle avait poussé dans la terre. »


« Il a arrosé sa plante. »

Ce que nous avons fait lors de la première séance avec Vincent : « On a semé des graines de petits pois, de haricots verts, de courgettes. » « On les a semées dans des pots en plastique. On a mis de la terre dans les pots. On a creusé un trou pour bien que ça pousse. On sème une graine dans chaque trou. On rebouche le trou et on arrose. Après on les a laissées plusieurs semaines dans l'atelier. » « Elles ont poussé, sauf quelques plantes. »

Un plant de courgette

Un plant de petit pois


Un plant de haricot vert

En parallèle, nous avons fait quelques expérimentations, toutes proposées par les élèves. « On a planté des graines avec d'autres façons pour voir si les plantes poussaient: terre, soleil, pas d'eau ; soleil tout seul ; eau avec des lentilles, eau avec des pois chiche, terre avec haricot... »

Entre les deux séances avec Vincent, les enfants ont réalisé presque chaque semaine un dessin d'observation de leur plant.

Avant la deuxième séance avec Vincent : « On a enlevé les mauvaises herbes dans le jardin, pour faire plus de place, pour faire plus joli, pour planter des plantes. »


Pendant la deuxième séance avec Vincent :

« On a retourné la terre avec Vincent. » « On les a mises (les plantes semées en classe) dans le jardin. On a creusé des trous avec les mains, avec des râteaux, avec des pelles. On a planté les haricots, les courgettes, les petits pois et aussi des salades et des pommes de terre. On a arrosé. » « Aussi on a fait pousser de la salade. » « Les salades ont bien poussé. Les petits pois, les haricots, les courgettes n'ont pas très bien poussé. »


Ce que nous avons appris: « On a appris à jardiner avec Vincent. Il nous a appris à mettre les graines dans le pot, à faire des légumes. » « On a appris comment ça pousse les plantes, avec de l'eau, de la terre et du soleil. » « Les racines elles sortent de la graine, et après la tige elle commence à grandir, et les feuilles apparaissent. »

petit pois

courgette


Ce que nous pensons de ce projet, ce que nous avons aimé...ou pas ! « J'ai bien aimé planter les plantes dans le jardin. » « J'ai bien aimé quand il y avait la plante qui avait des haricots. J'ai bien aimé tout. » « Je voudrais refaire du jardinage. » « J'ai aimé tout. » « Ce que j'ai préféré c'est enlever les mauvaises herbes. » « Moi j'ai pas aimé quand ma plante avait pas poussé, par contre j'aimais bien quand on a fait du jardinage . » « J'ai pas aimé quand on a enlevé les mauvaises herbes. » « J'ai aimé quand on a enlevé les mauvaises herbes. » « J'ai aimé arroser les plantes avec un arrosoir. » « Moi j'ai bien aimé quand on a planté dans le jardin. » « J'aimais bien quand on arrosait la salade. »

Depuis, nous continuons à jardiner. Nous désherbons, nous arrosons. Nous avons semé d'autres graines (radis, carottes, basilic...) et attendons patiemment que ça pousse...


Projet sur l'eau, classe de CE2-CM1 École Pont Marchand, Orvault Durant le mois de mai, les élèves de la classe ont travaillé autour du thème de l'eau. Au cours de ce projet, des intervenants sont venus nous aider à faire des expériences, à réaliser des maquettes, ou nous ont apporté leurs connaissances lors de visites. Merci donc à Vincent Fontenille (Serre Ondine), Gilles Naour (Mairie d'Orvault) et Sophie (Ecopole) pour leur aide précieuse. Dans ce document, vous trouverez le déroulement du projet de la classe, expliqué par les élèves. Bonne lecture, Claire Gergaud, enseignante de la classe de CE2-CM1

Nous avons travaillé pendant trois semaines sur les états de l'eau, le cycle de l'eau dans la nature, le circuit de l'eau dans les villes, et sur l'eau à Sô Ava et à Kindia, deux villes jumelées à Orvault. Nous avons fait des expériences sur les états de l'eau, nous avons fait des maquettes pour reconstituer le circuit domestique de l'eau. Nous sommes allés voir une station d'épuration pour comprendre comment l'eau est nettoyée. Texte écrit par Katharina, Nolan, Marius, Sarah, Martin, Nurgül et Esia

Voici ce que nous avons appris pendant ces trois semaines:

Les états de l'eau L'eau existe sous 3 états: – L'état liquide, L'état solide, – – L'état gazeux. Nous avons réalisé des expériences pour observer l'eau changer d'état. Nous avons mis de l'eau au congélateur. Elle a gelé (la solidification de l'eau se passe à 0°C) et nous avons remarqué que la glace prend plus de place que l'eau liquide. Nous avons aussi fait fondre un glaçon qui s'est transformé en eau liquide: c'est la fusion . Nous avons fait bouillir de l'eau pour voir l'ébullition. Nous avons vu que si on laisse de l'eau dans une assiette dans la classe, elle s'évapore, et l'assiette est sèche quelques jours plus tard.. Nous avons observé la vapeur d'eau se transformer en eau liquide quand elle a touché la vitre froide de la classe, cala s'appelle la condensation. Voici un schéma qui résume les trois états de l'eau:

Texte et schéma de Lise, Marie, Charlène et Solène


Le cycle naturel de l'eau Après les états de l'eau, nous avons travaillé sur le cycle naturel de l'eau.

Étape 1:

L'eau s'évapore des mers et des océans sous l'effet de la chaleur et du vent.

Étape 2:

En montant et sous l'effet du refroidissement, la vapeur d'eau se condense et forme des nuages.

Étape 3:

Les nuages rejettent leurs gouttelettes d'eau, ça s'appelle les précipitations. S'il fait froid, il neige, sinon il pleut.

Étape 4:

L'eau ruisselle dans les rivières ou les fleuves et regagne les mers ou les océans.

Étape 5:

Une autre partie de l'eau s' infiltre dans le sol et forme des nappes phréatiques, qui rejoignent aussi les océans. Texte et schéma réalisés par Clément, Hugo et Arthur


Le cycle domestique de l'eau On a construit des maquettes sur le cycle de l'eau domestique pour mieux comprendre comment l'eau arrive et part de nos maisons. Voici la photo d'une maquette du circuit domestique de l'eau, que nous vous expliquons:

1- La station de pompage Ici, on pompe l'eau des fleuves (la Loire pour les Nantais).

7- A la station d'épuration, on nettoie l'eau avant de la rejeter dans la Loire.

2- L'usine de traitement de l'eau. Ici, on traite l'eau pour qu'elle devienne potable.

6- Les eaux usées coulent dans les égouts pour aller dans la station d'épuration.

5- L'eau potable va dans les maisons, les écoles, les usines. Les habitants utilisent l'eau potable pour travailler, se laver, laver le linge, la vaisselle, boire et aller aux toilettes. Quand on a utilisé l'eau potable, on dit qu'elle est usée.

3- L'eau potable circule dans les canalisations puis va dans le château d'eau. 4- Le château d'eau est un grand réservoir d'eau potable qui est en hauteur pour donner de la pression dans nos maisons.

Textes de Titouan, Lilian et Pierre

La station d'épuration En classe, nous avons essayé de nettoyer l'eau comme dans les stations d'épuration. D'abord, nous avons sali de l'eau avec de la terre, des feuilles, des détritus, du savon, de l'huile. On a utilisé une passoire pour retenir les gros objets: les feuilles, les cailloux, la terre. Avec un filtre à café, et du sable, on a enlevé les plus petites saletés. Avec une cuillère, on a enlevé l'huile qui flottait sur l'eau. Katharina, Nolan, Marius, Sarah, Martin, Nurgül et Esia

Visite de la station d'épuration de Tougas Nous sommes allés à la station d'épuration.


La station d'épuration est un endroit où on traite l'eau qui arrive des égouts. On peut trouver dans l'eau: des cotons-tiges, de l'huile, des feuilles, des bouteilles, du savon... (1) D'abord, pour enlever les plus gros déchets, l'eau passe à travers des grilles de deux centimètres, c'est le dégrillage. Après, une pompe va faire monter l'eau (2), qui va passer dans une grille de moins d'un centimètre (3) . Un grand râteau va racler l'huile qui flotte à la surface de l'eau (4) . Après on va faire stresser les bactéries (5). Elles vont se nourrir des excréments et des urines puis elles vont faire leurs besoins (6), on appelle ça des boues. L'eau va partir dans un grand bassin et les boues vont s'enfoncer dans le fond (6). L 'eau qui était au dessus du bassin va être rejetée dans la Loire. C'est de l'eau purifiée, elle n'est pas potable. Ce texte a été écrit par Enora, Bassine, Flavie et Victor

Schéma du traitement des eaux usées à la station d'épuration de Tougas

Quelques informations sur l'eau et sur l'eau en Afrique Gilles Naour nous a montré un diaporama sur les villes jumelées d'Orvault: Sô Ava (Bénin), Kindia (Guinée).

Kindia (Guinée)

Sô Ava (Bénin) Nous avons retenu des informations sur l'eau, et sur l'eau en Afrique : • Le blason de la ville d'Orvault a un rapport avec l'eau: Les petites vagues représentent le Cens, qui coule à Orvault. • L'eau n'a pas d'odeur ni de couleur, à part si elle est polluée. • En Afrique, l'eau potable est très rare , il faut faire beaucoup de kilomètres pour aller en chercher. • A Sô Ava l' eau est très polluée car les habitants vivent dans les maisons sur pilotis. Ils font les lessives, ils se lavent dedans, ils n'ont pas tous de toilettes. Pour moins polluer l'eau et pour en utiliser moins, la ville d' Orvault a financé des toilettes sèches à Sô Ava . • Dans les villes, il n'y a pas d'égout, il y a des caniveaux. Lors de grandes averses, l'eau déborde des caniveaux, ce qui provoque des maladies . Ce texte a été écrit par Elsa, Honoré, Sacha, Anouk et Céline


Nous avons imaginé un jardin pour notre école.

Dans mon jardin j’ai mis des fraisiers, des citrouilles, un pommier et des salades.

Maélie

Dans mon jardin j’ai planté des pommes de terre, des salades et des carottes. Méline

Dans mon jardin pousse des poireaux, des radis et des carottes. Clémence


Nous avons observé, nommé et trié des légumes.

J’ai joué au jeu des sept familles de légumes. Nina


Nous avons fait des expériences en classe.

Nous avons appris qu’une plante a besoin d’eau, de lumière, de chaleur et de terre pour bien pousser !


Nous avons travaillé dans notre jardin avec de vrais outils de jardinage.

Dans notre jardin, nous avons semé des radis, des fèves, nous avons planté une pomme de terre, un plant de courgette et des brocolis.

Pour semer des radis : 1. J’ai griffé la terre. 2. J’ai fait un sillon avec un plantoir conique. 3. J’ai semé des graines dans le sillon puis j’ai recouvert de terre. Dessin de Kelvin, commenté par Axelle


1. J’ai gratté la terre avec une griffe. 2. J’ai ratissé la terre avec le râteau. 3. J’ai fait un trou. 4. J’ai planté la salade.

Clémence


Nous avons planté quatre choux brocolis.

1. Nous griffons la terre avec une griffe à fleur. 2. Virginie met du composte. 3. Nous mélangeons la terre et le composte avec un râteau.

4. Virginie apporte des petits plants de chou brocoli. 5. Amélie fait un trou avec le transplantoir.

6. Nous recouvrons le trou de terre. 7. Les choux brocolis ont bien poussé !


J’ai appris à semer des graines et à arroser. Noa J’ai appris à ne pas faire des gestes brusques dans le jardin avec les outils. J’ai aimé semer des radis. Simon J’ai appris à planter des pommes de terre. J’ai aimé semer des fèves. Noah J’ai appris à planter des courgettes et semer des radis. Méline J’ai appris à semer des graines de fève. J’ai trouvé que la graine de fève était toute douce. Antoine et Luca J’ai appris à semer des graines de petit pois, j’ai aimé semer des fèves. Romane J’ai appris à planter des choux brocolis et ils ont bien poussé. Il y a des trous dans les salades. Léa J’ai appris à semer des graines de petits pois et j’ai aimé quand j’ai planté des brocolis. Amélie J’ai appris à planter des brocolis , j’ai aimé dessiner un jardin imaginaire et j’ai appris les familles de légumes. Léonie J’ai semé des radis, j’ai bien aimé planter une courgette.

Antonin J’ai appris à semer des graines des radis. Liam


J’ai appris à semer des graines de radis. Axelle J’ai appris à planter une pomme de terre. Marie-Lou J’ai appris les familles de légumes. J’ai aimé planter de la salade. Clémence J’ai appris à semer des fèves et j’ai aimé toucher la graine de fève. Maélie J’ai appris à semer des radis et j’ai aimé que Virginie nous apprenne à comprendre l’histoire de la graine. Yasmine J’ai appris à semer des fèves et j’ai beaucoup aimé regarder les salades pousser dans notre potager. Nina J’ai aimé planter des brocolis dans le jardin. Alexandre J’ai planté une pomme de terre dans le jardin. Pierre J’ai appris à planter des brocolis et j’ai aimé voir les brocolis pousser. Arthur J’ai appris comment mettre des graines dans la terre. J’ai aimé voir les plantes pousser dans le jardin. Lolie J’ai aimé quand j’ai semé des graines de fève. Baptiste J’ai appris à semer des radis, j’aime mettre les graines de petit pois dans la terre. Kelvin


Les légumes de notre jardin ont bien poussé, nous les avons bien arrosés ! Nous sommes impatients de les récolter et de les déguster ! Nous remercions Virginie de nous avoir aidés à comprendre l’histoire de la graine et à devenir des jardiniers !

La classe de CP de l’école Pont Marchand


Projet : les oiseaux Cette année, les élèves de CE1 de l'école de la Ferrière à Orvault ont travaillé sur le thème des oiseaux avec l'aide de la Serre Ondine. Ils ont appris à les décrire et à en reconnaître certains qui sont présents dans notre région. Les enfants vous proposent des devinettes : vous devez retrouver l'oiseau qu'ils décrivent...



Qui suis-je ? Je me tiens Ă l'horizontal et mon corps est ovale comme un ballon de rugby. Mon bec est court, pointu et blanc. Ma queue et mon cou sont courts. Mon plumage est tout noir.


Je suis … … la foulque.

Le saviez-vous? La foulque plonge pour attraper des algues et des plantes aquatiques. Elle secoue ses ailes pour les

sécher.


Qui suis-je ? Mon corps est assez petit et ovale. Ma queue est noire et découpée en V ; Mon bec est court et épais. Mon plumage est blanc et noir.


Je suis ... ‌ l'hirondelle.

Le saviez-vous ? Les hirondelles volent au ras de l'eau pour gober des insectes, des moustiques..


Qui suis-je ? Mon corps est vertical et ovale. J'ai un bec long, pointu et fin. Mes pattes sont très longues, fines et palmées. J'ai une grande plume à l'arrière de la tête. Mon plumage est blanc.


Je suis ... … l'aigrette garzette. Le saviez-vous ? L'aigrette garzette pratique la pêche à pied : elle fait trembler ses pattes pour que les poissons posés au fond de l'eau remontent et elle peut

ainsi les manger.


Qui suis-je ? J'ai un bec assez court, noir et crochu. Je me tiens debout grâce à des pattes courtes munies de serres. Mon plumage est blanc avec un dégradé de marron.


Je suis … … le faucon pèlerin.

Le faucon pèlerin est l'animal le plus rapide du monde puisqu'il peut atteindre des pointes de 300 km/h en vol piqué. Il assomme ses

proies en se servant de sa vitesse.


Qui suis-je ? Je me tiens Ă l'horizontal et mon corps est ovale comme un ballon de rugby. Mon bec est ĂŠpais, long, jaune et orange. Ma queue est assez longue. J'ai des pattes courtes et palmĂŠes. Mon plumage est noir.


Je suis ... … le cormoran.

Le saviez-vous ? Pour pêcher, le cormoran peut nager en apnée pendant plus de 30 secondes et parcourir une dizaine

de mètres.


Qui suis-je ? Je me tiens Ă l'horizontal et mon corps est ovale comme un ballon de rugby. Mon bec est plat et jaune. Ma queue est courte. Mes pattes sont courtes, palmĂŠes et orange. Mon plumage est vert sur la tĂŞte et marron, gris et noir sur le corps.


Je suis ... … le canard colvert.

Le saviez-vous ? Seul le mâle a ces belles couleurs pendant la période de reproduction. La femelle a un plumage gris, brun et blanc.




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