Départ B de Saint Michel Thubeuf Au carrefour, dans le bourg, tourner à droite, et poursuivre par la route en face en laissant l’église à sa droite. Sortir du village et, à l’intersection suivante, prendre à gauche la direction « les Lucas ». Après la ferme, poursuivre par le chemin en herbe jusqu’à l’intersection. Prendre le deuxième chemin de gauche près de l’ancienne tour du télégraphe. Longer le tracé de l’ancienne voie ferrée jusqu’au carrefour d’une route bitumée. Traverser dans l’axe et suivre le chemin. Au carrefour d’une route, traverser dans l’axe et poursuivre sur la route en face vers « la Racinière ». Dans le hameau, prendre le chemin à droite avant une maison. Au carrefour d’une voie goudronnée, près d’une ferme à « la Solardière », tourner à gauche et suivre la route par « les Fosses ». Au carrefour dans le hameau, prendre à droite. Dans une courbe à gauche quitter la route et prendre un chemin en face qui passe près de l’usine du SIRTOM. Au carrefour suivant, tourner à droite pour passer devant « la ferme du Parc » en remarquant le curieux pigeonnier (propriété privée). Avec prudence, longer la départementale 918 jusqu’à une intersection. Prendre le chemin en herbe à droite. Au carrefour d’une route goudronnée, tourner à gauche sur 60 mètres puis à droite par un chemin de terre devant une maison. Suivre le chemin, traverser le hameau de « la Bellangère » jusqu’à l’intersection. Prendre la route à gauche vers L’Aigle. Au rond-point prendre sur la gauche vers la zone artisanale. Au carrefour suivant, prendre un chemin de terre à droite à travers champs. Il mène vers la zone commerciale. Longer la rocade, passer le pont à droite au dessus de celle-ci puis tourner à droite vers le hameau du Minerai par la route bitumée. Au carrefour suivant, traverser dans l’axe avec prudence la D 926. Continuer la route goudronnée jusqu’au carrefour du calvaire du Souchey. Prendre à gauche le chemin de terre pour revenir vers L’Aigle. Arriver à la rocade, longer celle-ci jusqu’au pont, passer dessous à gauche puis remonter à gauche de l’autre côté de la voie rapide. En haut, tourner à droite et suivre le chemin jusqu’à la rue de la Fonte que l’on prend à gauche.
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Pays d’Ouche Nord
Conception et réalisation Ad litteram 02 32 60 13 13 - Crédit photo : Thomas Peyrou et Pays d’Ouche Développement - Cartes n° 1814 E - 1814 O - 1815 O - © IGN - Paris - 2008 - Autorisation n° 43-08002
Le télégraphe
Pays d’Ouche Nord Circuit n°5 Le Télégraphe
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Circuit n°5
Le Télégraphe
19 km - 4 h 45 circuit 12
Départ A de L’Aigle Attention : ce circuit emprunte sur une partie des bois dans lesquels on chasse à tir d’octobre à février. Il sera prudent de ne pas s’y aventurer pendant cette période. Départ « A » de L’Aigle, rue de la Fonte. Après les anciens abattoirs, prendre le chemin montant à droite. Traverser le lotissement des Fauvettes et poursuivre le chemin. À l’intersection d’une route goudronnée (calvaire) continuer le chemin en herbe en face. Traverser une route goudronnée et poursuivre en face. A l’intersection suivante prendre la route à droite puis en face par le hameau de « Belzaise ». Laisser une route à droite puis après un ancien passage à niveau, poursuivre en face vers la « Ferme de Belzaise ». Laisser l’entrée de la ferme à gauche et prendre le chemin de terre à droite jusqu’à la forêt. À l’intersection de chemins, prendre à droite. Le chemin longe la forêt de L’Aigle, (domaine de plus de 400 ha où il n’est pas rare de rencontrer chevreuils ou sangliers). Poursuivre sur près de 2 km jusqu’à l’intersection de la route nationale. Avec prudence, tourner à droite et longer la D 926. Prendre la deuxième route à gauche vers « la Corne » et St-Michel.
Départ A
circuit 4
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circuit 9
Ancienne tour du télégraphe
Le télégraphe de Chappe L’ingénieur sarthois Claude Chappe, inventeur d’un système de transmission optique, a dirigé, en 1798, les travaux de construction des cinquante-huit postes qui composaient la ligne télégraphique aérienne de Paris à Brest. Décidé par la Marine pour informer la capitale de tout événement stratégique survenant sur les côtes en cette période de guerre contre les Anglais, le télégraphe permettait de transmettre (par temps clair !) un message en seulement huit minutes au long des cinq cent quarante kilomètres de la ligne. La tour carrée de briques roses et silex recouverts d’un enduit de chaux et sable qui mesure seize mètres de haut servait de support aux « grands bras » dont les diverses positions formaient quatre-vingt-douze signes servant au codage des messages. Les postes télégraphiques aériens furent supprimés entre 1854 et 1856 et remplacés par le télégraphe électrique. Il n’en reste plus que quelques exemplaires dans le pays, dont celui du « Buat », témoin des balbutiements de la communication.
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Départ B
circuit 6
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