Pascal bizern

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Pascal BIZERN

Le premier album de Bizern, «13 Vies» (EMI), vendu à plus de 7 000 exemplaires.

Dix semaines en play-list sur France-Inter et le Mouv avec le titre « Derrière la porte ».

Pascal sillonne les routes ... 80 dates en tournée pour cet album, Paris, Barcelone et tout le sud de la France ...

Interviews sur FR3 et FR2 (reportages tél

En première partie de Stéphan Eicher, Alain Souchon, Thomas Fersen, Cali et Jacques Higelin ... Les radios : « Sur la route » chez Lavige, «Sous les étoiles exactement» chez Serge Le Vaillant et Virgin radio.

Articles de presse : le Nouvel Observateur, L’indépendant, Le midi libre, La dépêche ... En 2011, il réalise un nouvel album « Le chaos sur mesure », sortie nationale prévue le 13 et 14 janvier 2012 au Théâtre Scène Nationale de Narbonne, entouré d’une nouvelle équipe de musiciens aussi incroyables que talentueux.

www.pahaska-­‐produc.on.com pahaska@pahaska-­‐produc.on.com

Siège Social -­‐75 rue Abbé Breuil, résidence Le Mas des Prune@es, 34070 Montpellier Adresse de correspondance – Rue de l’Église 30730 Parignargues Licences de spectacle: 2-­‐1018000 et 3-­‐1050715 Siret n° 508 946 027 00010 code APE: 9001 Z TVA Intracommunautaire : FR 87508 946 027 Directrice de produc-on, Laurence Vergeot 04 66 724 713 / 06 13 237 357 Directeur ar-s-que et technique, Roland Cerdelli 06 72 74 71 25 Webmaster et infographie, Martha Smagacz, l’agence du Bocal


La Genèse … par Pascal Bizern Après la sortie de l’album “13 vies” — 13 octobre 2009, EMI — et quelques mois passés sur les scènes et les routes, j’ai eu très vite l’envie d’écrire la suite de “Vertige(s)”, mon premier roman, sous forme cette fois de nouvelles, chacune d’entre elles correspondant à une chanson de l’album que vous tenez entre vos mains. Le 11 septembre 2001 est la clé de voûte chronologique de l’ouverture du livre et de l’album (“Sur l’épiderme des routes”). Mais contrairement à tout ce que l’on peut nous raconter ou prédire, je n’envisage jamais l’idée — au fil des pages et des chansons —, que la fin du monde puisse avoir lieu : mais est-ce vraiment une bonne nouvelle ? Mes jours et nuits passés à écrire ont ainsi confirmé mon optimisme désespéré : le chaos a bel et bien commencé, et nous n’en sortirons jamais si nous continuons à survivre en fermant les yeux plutôt que de les ouvrir et mourir courageux («Le chaos sur mesure»). Une fois la plupart des nouvelles achevées — et certainement pour contrebalancer cette sensation d’un monde de plus en plus délétère —, j’ai désiré, pour la réalisation de cet album, retourner aux sources vers une certaine idée du bonheur : le partage, la liberté de création, l’amitié, la générosité, le plaisir, l’insouciance, tous ces préceptes de vie qu’on nous a conseillés d’oublier ... Par chance, humilité et grâce à ces beaux humains qui ont porté mon projet, je me suis tout naturellement retrouvé dans un cadre idyllique : un studio-maison perdu dans la montagne, une guinguette ensoleillée près d’une rivière, les grillades et les vins du coin, notre petite gîte ouvert à tous, et presque aucune couverture téléphonique! La transition de la page écrite à l’espace sonore pouvait alors commencer …


Le chaos sur mesure « Le chaos sur mesure » : un nom tout trouvé pour un album dont la sortie est programmée en janvier 2012 … année de la soi-disant fin du monde. Coïncidence ? Bien sûr que non. « ... À l’heure où l’on parle beaucoup d’apocalypse, j’ai choisi ce titre car j’estime vraiment que l’homme est en train de se créer sa propre fin du monde », explique Pascal Bizern. « ... On ne prend plus parti pour rien, l’entraide s’effrite, les idéaux disparaissent… On se fabrique juste une zone de survie, chacun dans son coin. Et ce n’est pas comme ça qu’on va s’en sortir ! ». Cette nouvelle virée musicale est donc autant un avertissement qu’un tour d’horizon désenchanté d’une époque désabusée. Il y est notamment question du 11 Septembre (« Sur l’épiderme des routes »), des violences faites aux femmes (« Regarde les femmes tomber ») ou encore du suicide des jeunes (« Si j’aimais la vie »). Pour un peu, on en déduirait que Bizern a succombé à la déprime. Mais les apparences sont trompeuses ! Fidèle à son « optimisme désespéré », l’artiste assène ses quatre vérités avec une énergie tonitruante, n’oubliant pas non plus de s’arrêter sur la case de l’amour. Côté musique, le chanteur profite de son nouvel opus pour enrichir considérablement ses horizons. « ... J’ai voulu mêler des sons actuels à des tonalités plus classiques », indique-t- il. Le piano et l’accordéon font ainsi leur trou dans l’univers pop de l’artiste, tout comme la cornemuse, le beatbox ou encore le violoncelle. D’autant plus enthousiasmant que l’enregistrement s’est déroulé « ... dans des conditions dignes des années soixante-dix », venant de Bizern ça veut tout dire. « ... On a vécu dans un gîte pendant un mois, en totale autarcie. Humainement, ça a vraiment été fantastique, et de plus, les portables ne passaient pas ! » La passion de l’artiste et de ses comparses transcende donc les treize nouvelles itérations de ce « Chaos sur mesure ». On pourra s’en convaincre en live les vendredi 13 (!) et samedi 14 janvier 2012, au Théâtre Scène Nationnale de Narbonne, à l’occasion des deux concerts qui accompagneront le lancement de l’album (le recueil de nouvelles suivra en mars). Une fois de plus, les retrouvailles de Pascal Bizern avec son public s’annoncent explosives. Et pour que tout le monde soit de la fête, l’entrée est au tarif unique de dix euros cinquante : une nouvelle illustration de la volonté du chanteur de ne laisser vraiment personne au bord de la route. Cette philosophie l’avait déjà amené à offrir purement et simplement « Comme un coup de foudre », son nouveau single. Décidément, ce gars-là n’attend pas d’être en scène pour donner sans compter. La générosité à l’état brut, à l’image d’une musique dont on perçoit ici clairement le statut magnifique de reflet de l’âme. — Lionel Ormières


BIZERN: LE PARCOURS Un jour, peut-être, des météorologues adeptes de pop et de rock donneront son nom à une tornade ou à un ouragan. Plutôt funeste, certes, mais c’est pourtant le plus bel hommage que l’on pourrait rendre à Pascal Bizern. Quiconque l’a déjà vu sur une scène vous le dira : en concert, l’artiste balaye tout et emporte le public au passage, faisant déferler sur lui un véritable tsunami de fougue, d’énergie et de musique survoltée. Un phénomène, oui. Le terme n’a rien d’usurpé. Ce souffle constant qui semble le pousser toujours plus en avant, Bizern l’a clairement hérité de sa jeunesse. « ... J’ai grandi à une période où il était encore possible d’oser et de braver les interdits sans que ce soit immédiatement rédhibitoire », raconte-t-il. L’intéressé n’a que 16 ans lorsqu’il monte son premier groupe, The Woodembers. Deux ans plus tard, il décroche son Bac avec la mention Bien : pour fêter ça, l’ex-élève Bizern fonde Alix du côté de Vernet-lesBains. « ... On faisait de la pop coldwave en anglais », se souvient-il. « C’était un groupe de potes, d’amour et de bringues. Une super expérience ». L’apprentissage, le vrai, débute quand l’artiste rejoint le groupe California. Il a 22 ans « ... Le bal est une formidable école, car très difficile. Tu découvres comment fonctionne un public ! ». Le jeune prodige ne tarde pas à en capter toute la mécanique, galvanisant déjà les foules au travers de prestations mémorables. « ... J’avais carte blanche », s’exclame-t-il. « C’est là que j’ai compris qu’il fallait vivre la scène comme si rien d’autre ne comptait ». Aujourd’hui encore, nombre de nostalgiques se souviennent du « Calif’ de l’époque Bizern ». Une grande époque, assurément. Mais s’il ne manque jamais de saluer le génie de ses maîtres à penser musicaux, Pascal Bizern ne pouvait se contenter d’enchaîner les reprises (aussi inspirées soient-elles) de tubes ou de standards maintes fois entendus. L’ego ou l’ambition n’ont rien à y voir : l’homme a tout simplement trop de choses sur le coeur. Ses ressentis, ses sentiments, il les exprimera en chansons … les siennes. Dès la fin des années 80, Bizern sortait « Mille et une nuits », co-écrit avec Jean-Paul Chaluleau et distribué chez Carrère. Il crée ensuite le groupe Indy : quatre cent concerts et deux albums au compteur. « ... On a vécu le rock dans tous ses excès », confie-t-il « Mais en fait, j’ai toujours tout vécu à fond. Je n’ai que de bons souvenirs ! ». Nul ne contestera, en effet, la générosité du chanteur et son plaisir sincère à travailler avec d’autres artistes. Pourtant, un constat saute vite aux yeux : Bizern se suffit à lui-même. Plus qu’un leader ou un meneur de bande, il est une personnalité. Mieux : un personnage. Dès lors, Bizern ne sera plus seulement son nom… mais son nom d’artiste. Entre 1994 et 1999, il signe ainsi en solo chez Carton Rouge - Warner pour les singles « Non non non » et « Bukowski est mort (mais je suis sûr qu’il bande encore) ».


BIZERN: LE PARCOURS Cette mue créatrice s’accompagne ensuite d’une mutation géographique : amoureux de sa plage et de ses chalets, Pascal Bizern s’installe à Gruissan. C’est là qu’il dessine les contours d’un projet intitulé « Vertige(s) » … appelé à devenir l’album « 13 Vies ». La galette débarque fin octobre 2009, pépite pop « couleur anglaise » à l’efficacité proprement redoutable. Avant que la 3D n’envahisse les salles de cinéma, Bizern inventait la musique en relief : à chaque piste, son enthousiasme XXL saute aux oreilles de l’auditeur. Mais le chanteur n’est pas juste une pile électrique. Dans « 13 Vies », il dévoile aussi une profonde sensibilité (réécouter la magnifique « Valentine » pour s’en convaincre), doublée dans la déprime. Jamais. « Je suis convaincu d’un regard lucide sur ce qui l’entoure. que chaque moment peut être exceptionnel, Et de découvrir que la métaphore climatique dès lors qu’on le vit à fond », expliquetassociée à l’artiste s’applique aussi sur il. « Je m’oppose à ressasser le passé, ou le fond, tant ses textes s’attachent à à avoir des a priori sur l’avenir ». Ni regret, démonter les rouages d’un monde sans ni appréhension : les deux maîtres mots de chaleur. « ... La société actuelle ne propose l’ « optimisme désespéré » qui guide l’artiste qu’un bien-être de consommation et se dans sa vie et son travail. Cette sincérité fiche totalement du bien-être personnel », fait mouche : de premières parties remarquées estime-t-il. « Seule la culture peut pallier à (notamment au zénith) en concerts cette absence, à condition de refuser tout frénétiques (celui du Théâtre de Narbonne, modèle généraliste. Plus il y aura de monde en avril 2009, est resté dans les mémoires), dans cette optique, moins il y aura de de showcases acoustiques en clip mémorable contrôle et de standardisation ! » Bref : sa façon à lui de résister… et d’inciter les autres (300 figurants réunis à Gruissan pour « Derrière la porte » !), Bizern et ses à faire de même. « ... J’aime que les gens « 13 Vies » ont non seulement occupé le s’accaparent mes mots et mes chansons. Chacun peut en faire sa propre interprétation terrain mais aussi les esprits. On connaissait l’énorme potentiel du chanteur : il explose selon son vécu ou ses expériences. désormais au grand jour. La griffe est plantée. L’important à mes yeux, c’est d’abord que Profondément. mes textes parlent. Je n’écris pas que pour Alors, rassasié le Bizern ? Impossible. Étranger à ma gueule ! » toute notion de consécration, l’artiste dessinait Pour autant, le naturel revient vite au galop. l’ébauche de son prochain album alors Quoique souvent désabusé par la manière que « 13 Vies » débarquait à peine dans dont le monde tourne, Bizern ne donne pas les bacs. Le chanteur fait cette fois le lien entre musique et récit, via des nouvelles conçues comme les alter ego littéraires de chaque chanson. Une idée brillante qui scelle plus que jamais l’identité singulière de ce terrestre extra, quelque part entre Mick Jagger et Cyrano de Bergerac … avec, en prime, la flamboyante insouciance d’un Don Quichotte aux prises avec les moulins de la modernité. — Lionel Ormières (L’indépendant)


Les musiciens du Bizern Orchestra

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Pianiste, accordéoniste et arrangeur (Bernard Lavilliers, Balbino Medellin, Michel Jonasz, Sinead O’Connor, etc...). Un son et une présence uniques comme rarement vu ou entendu.

Batterie et percussions (Cali, Nadal, Lithium). En complète osmose avec son frère, le public déclare pendant les concerts qu’il est le meilleur batteur de

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Violon (Brumaire, Orchestre classique de Perpignan et du Grand Narbonne). La fougue et la jeunesse d’un virtuose en pleine ascension.

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Guitares et voix (Soldat Louis,Interface, Nadal, California). La classe en costard, du charisme et de vraies guitares.

France, et c’est vrai.

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Basse (Lithium). Cet artiste peintre manie son instrument comme s’il peignait une toile, avec délicatesse et bonheur.

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Bruno Le Rouzic :. Cornemuse et whistles (Céline Dion, JeanJacques Goldman, Michaël Jones, Julien Clerc, Catherine Lara, Patrick Fiori, Roch Voisine, et...). L’expérience du plus haut niveau, la finesse et le pur son celtique.

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Beatboxer (Les sols cirés, Skensus). Émule de Beardyman, il fait surgir tous les sons de sa bouche avec talent.


ARTICLES DE PRESSE L’Indépendant, avril 2009:

La déferlante Bizern

Mercredi soir, au Théâtre, Pascal Bizern a ainsi rappelé à quel point il est taillé pour la scène. L’homme n’a rien perdu de sa fougue démesurée. Fidèle à sa philosophie consistant à vivre chaque concert comme si c’était le dernier, l’artiste donne tout… Loin du romantisme larmoyant ou des textes méchamment engagés, Pascal Bizern se pose donc, plus humblement, en façonneur d’émotions. Un explorateur de l’amour qui n’a pas son pareil pour faire danser sur les écueils de l’alchimie homme-femme. — L.O.

Midi libre, février 2011:.

Le Bizern nouvelle formule est arrivé !

Nouvelle formule, nouvelle aventure. Ainsi pourrait se résumer le nouvel élan que viennent de prendre Pascal Bizern et son groupe éponyme. Un virage artistique sincèrement inspiré et pétri de maturité…. Il est vrai que Bizern a gravi une marche supplémentaire dans sa quête artistique dont les morceaux les plus savoureux seront présentés ce soir, à Narbonne, et le 17 mars à Béziers (salle Zinga Zanga) en première partie de Stéphan Eicher. Et, déjà, on en redemande. — Arnaud Chabé

Midi Libre juillet 2011 – Carcassonnais: Bizern : du pop-­‐rock en mode “carpe diem” Pour qui ne connaît pas Pascal Bizern, une première rencontre sur scène peut être déstabilisant. Car à peine les premières notes jouées, on comprend très vite deux choses. Que le bonhomme, qui a la double nationalité gruissano-catalane, prend un pied monumental sur les planches avec ses partenaires tous aussi doués les uns que les autres ; et que le star-system ferait bien d’enlever ses oeillères. Car il est clairement injuste que son premier album 13 vies n’ait reçu qu’un faible écho radiophonique (France Inter ou Le Mouv avaient pourtant loué sa qualité) récompensant chichement un opus délicieusement écrit tant d’un point de vue littéraire que musical. — Arnaud Chabé

L’Indépendant août 2011:

Le manège désenchanté de Pascal Bizern Pascal Bizern en route vers un nouvel opus:

Les rythmes enlevés de ses morceaux pop rock, son enthousiasme débridé en concert, ses mille et une façons de chanter l’amour… Tout chez Pascal Bizern témoigne de cet « optimisme désespéré » que l’artiste insuffle depuis des années à son publie. 13 Vies, son dernier album apparaissait ainsi comme un hymne à l’instant présent. Mais le prochain CD de l’auteur compositeur change littéralement la donne ; cette fois, Bizern tire la sonnette d’alarme. Et décrit le chaos sur mesure. ……. On l’aura compris le chaos sur mesure sera désenchanté, désabusé. Mais certainement pas tristounet. ….. Bref : vivement le « live » au Théâtre en janvier prochain. — L.O.


Fiche Technique Ø  VERSION ACOUSTIQUE : Sur Scène : Florian Vidal : Violon Pascal Bizern : Chant Olivier Le Millour : Guitare, Voix René Michel : Piano, Accordéon Bruno Le Rouzic: Cornemuse Thierry Le Millour : Cajón Régie Face : Une console 16 voies (Midas, Soundcraft...) Si console numérique, contacter Christophe. 6 Canaux de compressions (BBS, Drawner...) 2 Multi-Effets (PCM, SPX, TC...) 1 EQ 1/3 d’octave (Klark Technik,BSS...) NB : En l’absence de régie retour, la console de face doit posséder au moins six Auxiliaires (commutables pre - post) dont trois en série avec égaliseurs 1/3 d’octave (Klark Technik, BSS...) Régie Retour : Un console 16 voies (Midas, Soundcraft...) 7 Wedges identiques + 1 Control room (D1B, Martin, Clair Bros...) 5 EQ 1/3 d’octave (Klak Technik, BSS...). Pas de Yamaha graphique SVP. Diffusion : Celle-ci doit pouvoir délivrer 105 Db à la régie et couvrir de manière homogène l’ensemble du public. La diffusion doit également être de bonne facture (D&b, Adamson C. Heil...)

Ø  VERSION ÉLECTRIQUE : Sur Scène : Pascal Bizern : Chant Thierry Le Millour : Cajón

Florian Vidal : Violon Olivier Le Millour : Guitare, Voix Michel Sémat : Basse

Régie Face : Une console 24 voies (Midas, Soundcraft...) Si console numérique, contacter Christophe. 6 Canaux de compressions (BBS, Drawner...) 2 Multi-Effets (PCM, SPX, TC...) 1 EQ 1/3 d’octave (Klark Technik,BSS...) NB : En l’absence de régie retour, la console de face doit posséder au moins huit Auxiliaires (commutables pre - post) dont cinq en série avec égaliseurs 1/3 d’octave (Klark Technik, BSS...) Régie Retour : Un console 24 voies (Midas, Soundcraft...) 7 Wedges identiques + 1 Control room (D1B, Martin, Clair Bros...) 5 EQ 1/3 d’octave (Klak Technik, BSS...). Pas de Yamaha graphique SVP. Diffusion : Celle-ci doit pouvoir délivrer 105 Db à la régie et couvrir de manière homogène l’ensemble du public. La diffusion doit également être de bonne facture (D&b, Adamson C. Heil...)


Fiche Technique

Ø  VERSION TRIO : Sur Scène : Pascal Bizern : Chant René Michel : Piano, Accordéon Olivier Le Millour : Guitare, Voix Régie Face : Une console 16 voies (Midas, Soundcraft...) Si console numérique, contacter Christophe. 3 Canaux de compressions (BBS, Drawner...) 2 Multi-Effets (PCM, SPX, TC...) 1 EQ 1/3 d’octave (Klark Technik,BSS...)

NB : En l’absence de régie retour, la console de face doit posséder au moins six Auxiliaires (commutables pre - post) dont trois en série avec égaliseurs 1/3 d’octave (Klark Technik, BSS...)

Régie Retour : Un console 16 voies (Midas, Soundcraft...) 5 Wedges identiques + 1 Control room (D1B, Martin, Clair Bros...) 3 EQ 1/3 d’octave (Klak Technik, BSS...). Pas de Yamaha graphique SVP. Diffusion : Celle-ci doit pouvoir délivrer 105 Db à la régie et couvrir de manière homogène l’ensemble du public. La diffusion doit également être de bonne facture (D&b, Adamson C. Heil...)


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