Pays Dolois 103

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Sécurité oblige…

La

Ça roule en Pays Dolois ! Ce mois-ci, Pays Dolois vous propose sont traditionnel cahier sur l’actualité automobile. Voitures anciennes, voitures nouvelles, passion des petits camions, nouvelles plaques d’immatriculation… mais aussi beaucoup de sécurité routière avec les radars automatiques et les travaux du carrefour de Bans. En route !

à tous niveaux

Journal du Lycée Pasteur Mont-Roland - Dole - N°4 - Lycée sous contrat d’association avec l’Etat

CAHIER SPÉCIAL 4 PAGES

Cahier spécial autos

Grande Ecole

Professionnel Général et technologique Supérieur

Dole

Egalité femme/homme Journées de l’égalité

P3

Pages 22 à 27

Dole

Tavaux

Inauguration du centre médico/psychologique ■

Bans

Sports

Fraisans : 40 ans de lutte ! Mont sous Vaudrey Poligny

P14

Culture

La saison bat son plein…

Pour la 3e année consécutive

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P12

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LES ENFANTS ■ DOLE / POLITIQUE / SEMAINE DE L’EGALITE FEMME/HOMME

Les rendez-vous de l’égalité Femme/Homme Du 13 au 20 mars, plusieurs rendez-vous festifs et créatifs ponctueront cette semaine sur la thématique de l’égalité femme/homme. Des actions destinées à sensibiliser sur divers axes, notamment l’égalité professionnelle, les violences faites aux femmes et à s’interroger à la fois sur la place de la femme dans la société et les politiques locales à définir et mettre en place pour rendre cette égalité hommes-femmes non plus seulement de droit mais bien de fait. Le point avec Raphaëlle Maniere, conseillère municipale de la ville de Dole, seule déléguée à l’égalité femme/homme sur le Jura. L’égalité hommes-femmes, un enjeu démocratique Actions en faveur de l’égalité professionnelle entre hommes et femmes, sensibilisation aux relations entre filles et garçons sur le mieux vivre ensemble, le respect au sein des établissements scolaires, mise en évidence des violences faites aux femmes sous toutes leurs formes, aide aux victimes de ces violences par l’instauration d’hébergements d’urgence, d’associations labellisées de référence (Femmes Debout), autant d’axes sur lesquels travaille activement la municipalité de

Dole, sous l’égide de Raphaëlle Maniere, conseillère municipale déléguée à l’égalité femme/homme. La seule déléguée à ces thématiques dans le Jura, témoignant de la volonté forte de la ville de Dole de s’impliquer à travers des actions politiques. “Il s’agit d’un enjeu démocratique par rapport à la société, une problématique qu’il faut rendre visible. Nous savons qu’une femme meurt tous les deux jours et demi, victime de violences, le chômage, la précarité, les temps partiels touchent davantage les femmes. Quelle est aujourd’hui la

place de la femme dans la société ? Nous avons profité de la journée internationale du droit des femmes le 8 mars pour organiser diverses actions de sensibilisation, de débat tout en restant festives.”

Des rendez-vous festifs Premier rendez-vous de cette semaine consacrée à la thématique de l’égalité femme/ homme, le vendredi 13 mars à 20 h 30 à La Rive Mont Roland avec une soirée théâtre en copartenariat avec “Femmes Debout” et le collège Mont Roland sur le

thème de la condition des femmes dans la clandestinité en France. Une pièce intitulée “Zéphira, les pieds dans la poussière”. Place ensuite à un ciné débat le vendredi 20 mars à la MJC sur le thème du féminisme. En soirée, plusieurs amateurs (MJC, Loisirs populaires, Cœurs de Cité) interviendront, mettant leurs diverses formes d’expression (le mime, le slam) au service de l’égalité femme/homme. Une semaine qui trouvera son point d’orgue le 14 avril avec un colloque régional s’adressant aux élus sur la question : “quelles politiques locales sur les violences faites aux femmes ?” à La Commanderie de 9 h à 16 h 30. Un colloque qui sera ouvert le matin aux partenaires et aux travailleurs sociaux ainsi qu’aux lycées. “La matinée sera consacrée au traitement du mécanisme de la violence et à un état des lieux du droit français et européen. L’après midi permettra d’aborder les aspects politiques” explique Raphaëlle Maniere. Chloé Chamouton

■ TAVAUX / USINE SOLVAY / POLITIQUE ECOLE

Solvay sur les bancs des écoles : une intense politique école-entreprise La politique école-entreprise initiée en 2002 par l’usine Solvay à l’occasion de la charte école-entreprise se décline sur plusieurs axes d’interventions, aussi bien au niveau de l’information au sein des collèges, qu’au niveau des lycées, notamment le lycée Duhamel à Dole et des IUT de chimie, à savoir Besançon et Nancy. Faire connaître et apprécier les filières techniques aux jeunes , revaloriser les métiers qui ouvrent sur des perspectives de carrières, informer les jeunes et leurs familles sur les filières et les formations, aider en apportant une expérience au sein des cycles de formations, telles sont les ambitions de cette politique école.

Les portes ouvertes, un moment privilégié d’échanges et de dialogues pour apporter un éclairage sur la diversité des métiers de l’industrie chimique et permettre aux jeunes d’effectuer un choix de formations.

L

’entreprise Solvay se veut présente à tous les niveaux, de la 3e jusqu’aux études supérieures de type Bac plus 2” insiste Isaline Moureaux, chargée de communication.

L’industrie chimique sous toutes ses facettes

Une politique école-entreprise qui a pris son élan en 2002, sous l’impulsion de la signature de la charte écoleentreprise et qui en 2008 étend ses ramifications et accroît son potentiel d’actions et d’interventions à destination des scolaires et étu-

diants. “Début 2008, nous avons effectivement relancé notre politique école en nouant des partenariats avec des écoles du bassin dolois. Nous intensifions notre volume d’actions et nous nous situons dans une dynamique globale pédagogique”. Au rang des objectifs de cette politique, “la promotion de l’industrie chimique pour pallier au déficit de vocations. Il s’agit de revaloriser les filières techniques qui souffrent d’une mauvaise image. Or ce sont précisément ces filières qui conduisent à des métiers et par la suite à des carrières” commente Bruno Marchal, responsable recrutements et gestion des Carrières. Un autre axe consiste

également à mieux faire connaître le groupe Solvay et surtout à faire découvrir nos sites, les métiers que nous proposons et les formations spécifiques appropriées.” insiste Bruno Marchal.

Des interventions du collège aux écoles d’ingénieurs, au fil du parcours scolaire Ainsi, une dizaine de personnes interviennent au sein des écoles pour partager leur expérience, leur vécu professionnel, leur parcours au sein de l’entreprise et échanger ainsi avec les jeunes. “Nous intervenons dans les collèges auprès des élèves de 3e, (Mont Roland, Maryse Bastié) à l’occasion de journées portes ouvertes, de forums,

de tables rondes. L’occasion d’apporter un éclairage et une visibilité sur les métiers que nous pouvons offrir”. Pour 2009, dans le cadre d’une convention nationale entre le Rectorat, les organisations interprofessionnelles, les fédérations de parents d’élèves et les branches professionnelles signée en 2007, Solvay s’est engagé à réaliser trois présentations auprès des collégiens afin de les inciter à s’intéresser à la chimie, pour leur faire prendre conscience que nos métiers ont un impact sur notre quotidien. Le groupe intervient également à d’autres échelons scolaires, à travers des actions plus ciblées comme le partenariat avec le lycée Jacques Duhamel et notamment les BTS électrotechnique, ou encore auprès de l’IUT de Besançon avec des animations de travaux pratiques, ou la mise en place d’un challenge sur la thématique de l’eau. “Avec comme ambition de leur montrer en les impliquant que les activités chimiques peuvent apporter des solutions et des réponses aux problématiques du dévelop-

pement durable, à l’opposé des images de la chimie polluante”. Autre atout de la politique instaurée par le groupe : l’adaptabilité aux besoins et aux sollicitations de chacun. “En fonction des attentes, nous construisons et élaborons nos actions. Du sur mesure en quelque sorte qui permet de donner satisfaction”. Même si l’efficacité de cette politique effective depuis un an ne se quantifie pas, “les réactions des partenaires se révèlent toutes positives” s’enthousiasme Bruno Marchal. Chloé Chamouton

FONT CARNAVAL Le comité des fêtes de Dole en accord avec l’inspection de l’éducation nationale organise le carnaval des enfants le mardi 24 mars dès 14 h à l’entrée de la rue de Besançon. Les enfants suivront un itinéraire de la rue de Besançon jusqu’à la place Précipiano où Monsieur Carnaval sera brûlé devant la Caserne des pompiers.

ELECTION DE MISS PAYS DOLOIS Pas de chapeau, ni de Madame de Fontenay. Néanmoins la cérémonie demeure celle d’une élection avec gagnante à l’arrivée élue Miss Pays dolois. L’élection de Miss Pays dolois et de ses dauphines organisée par le comité des fêtes de Dole se déroulera le samedi 28 mars à la salle des fêtes, lors d’une soirée Show musicale présentée par le Groupe de Blanzy. Prix d’entrée à 5 euros, gratuit pour moins de 10 ans. Toute jeune fille de Dole, du pays dolois peut se présenter. Il suffit d’avoir entre 16 et 25 ans, d’accepter de participer aux diverses animations, la première étant les fêtes de Pentecôte des 30 et 31 mai. Les mineures doivent fournir une autorisation parentale. Envoyer votre courier de candidature à Michel Petit, président du Comité des fêtes, hôtel de ville, 39100 Dole avec votre photo et votre motivation.

SOUTENIR UN PROJET ÉTUDIANT AVEC LE LYCÉE DUHAMEL DE DOLE Solvay soutient le projet d’identification et de traitement des rejets chimiques, mené par les étudiants du Brevet de Technicien Supérieur Electrotechnique du lycée Jacques Duhamel à Dole. En tant que partenaire industriel, Solvay met à disposition plusieurs de ses professionnels comme ressources techniques pour effectuer l’analyse des rejets et apporter des conseils dans le choix des matériels à utiliser. Une visite d’une unité de traitement de l’usine Solvay de Tavaux sera organisée avant la fin d’année scolaire 2009 pour que les étudiants découvrent et connaissent les techniques utilisées dans l’industrie.

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Dépositaire agrée Pays Dolois - janvier 2009 - 3


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Routgees des Villa La

Saint Aubin Loto Vendredi 13 mars au foyer rural organisé par l’école de musique.

Compétition de Judo Samedi 14 mars : au foyer rural.

Multivision Notre Dame Vendredi 20 mars à 20 h 30 : Foyer rural.

■ TAVAUX / BÂTIMENT / INAUGURATION CENTRE MEDICO-PSYCHOLOGIQUE

Un nouveau centre pour la prise en charge des pathologies Meilleure accessibilité, plus grande clarté, espace, autant d’atouts qui ont été dévoilés lors de l’inauguration des nouveaux locaux de la structure psychiatrique à savoir un centre médico-psychologique / hôpital de jour et un CATTP (centre d’accueil thérapeutique à temps partiel) à Tavaux le vendredi 20 février. L’occasion aussi d’échanger avec les équipes soignantes présentes et de mieux comprendre les rouages de la psychiatrie pour faciliter la réinsertion des patients au sein de la vie sociale.

Spectacle Starmania Samedi 21 mars : organisé au foyer rural par l’école de musique.

Banquet des Classes en 4 et 9. Samedi 4 avril : au foyer rural.

Dole Spectacle RLC Sortie d’usine. Récit du monde ouvrier. La Rive Mont Roland. 10 avril à 20 h 30.

Stages - de salsa cubaine animé par Gilles et Valérie Authier. Le dimanche 15 mars de 15 h à 17 h à l’ancienne école Rockefeller. - de danse africaine animé par Kaoussou Goudiaby et ses percussionnistes le dimanche 22 mars de 10 h à 12 h 30. au gymnase Rochebelle.

La Barre Soirée Reguzon-chansons avec les Dolipranes vendredi 20 mars à 20 h

Théâtre Vendredi 17 avril à 20 h 30. “Musée’Homme” par la “Comediadol’Arte”

Goux

“La prise en charge psychiatrique réside dans l’extra-hospitalier, à travers la mise en place de centres de consultations et d’hôpitaux de jour suivant un maillage sur tout le territoire jurassien” explique Jacques Augier, directeur du centre hospitalier du Jura.

Un pôle santé unique “Depuis 1991, il existait un CMP à Tavaux près de l’église, implanté, 60 route

de communication”

La galaxie Facebook, impossible d’échapper à cette nouvelle vague qui a fait son apparition sur la toile au milieu des blogs comme myspace ou autres sites comme Copains d’avant. Le commerçant dolois Fabrice Schlegel a bien capté ce nouveau potentiel du web pour créer un groupe “Dole ville morte plus maintenant”. Avec comme ambition de réunir plusieurs facebookers et ainsi de dynamiser le centreville en créant de multiples animations.

La Loye Soirée cartes

Théâtre Vendredi 13 et samedi 14 mars à 20 h 30 : “La Soupière”.

Montmirey le Château

“Facebook est un formidable outil de communication et d’information” reconnaît Fabrice Schegel, commerçant dolois, à l’initiative de la création d’un groupe d’échanges et de discussion sur Facebook “Dole ville morte ? Plus maintenant”.

Concert vocal

Un outil professionnel

Dimanche 5 avril : chorale du Tourdion et la chorale Chœur à cœur.

“Il existe une utilisation intelligente et stratégique de Facebook. L’objectif de ce

Pays Dolois - mars 2009 - 4

Une prise en charge qui passe par des consultations avec une équipe spécialisée et

Facebook : “un nouvel outil

Par le comité des fêtes. Salle de la Gouvenelle samedi 28 mars à 20 h 30 et samedi 4 avril 20 h 30.

Etrepigney

Une prise en charge des pathologies

■ DOLE / PORTRAIT / NOUVELLES TECHNOLOGIES

Théâtre

Samedi 28 mars : avec les cordiers de La Loye.

nationale, mais les locaux devenaient vétustes et trop à l’étroit, peu adaptés aux besoins réels du ser vice Nous avons profité de la proposition du syndicat intercommunal à vocation unique ( le SIVU) de nous fournir le terrain pour construire un nouveau CMP au cœur de Tavaux, à proximité de l’EHPAD de 60 places avec cette vocation de créer un pôle de santé unique”. Un atout qui

permettra ainsi de créer des liens entre le CMP et l’EHPAD, reconnaît Jacques Augier. “Le centre médicopsychologique et l’hôpital de jour ont comme objectifs d’accueillir des patients adultes atteints de troubles psychologiques de toutes sortes (dépression, agoraphobie). La formule hôpital de jour permet une prise en charge médicale et soignante sur une journée ou pendant des périodes sur cette journée, évitant ainsi l’hospitalisation complète, en favorisant ainsi le maintien des patients dans le milieu familial, social et professionnel”.

groupe qui désormais compte 900 adhérents facebookers essentiellement des Dolois consiste à redonner une certaine attractivité au centreville, en créant des animations pour les jeunes et éviter la désertion vers Dijon ou Besançon”. Fabrice Schlegel fourmille d’idées. “L’idéal serait de mettre en ligne une sorte d’agenda culturel pour

faire bouger Dole ” poursuit celui-ci.

Un facebook agenda Et preuve de l’efficacité de Facebook que Fabrice qualifie “d’outil professionnel”, le succès des soirées notamment la première “Facebook Party” du Jura qui s’est déroulée le 13 février au restaurant la Casa Loca et qui a réuni 250 personnes ainsi que

plurisdisciplinaire composée de médecins, infirmiers, psychologiques mais également par des activités thérapeutiques.“Ces activités ludiques, sous l’égide d’un infirmier déclinées en activités d’expression, éducatives, sportives ou de créativité par exemple un atelier cuisine, lecture, piscine, permettent de déceler les forces et faiblesses des patients et de les faire travailler en fonction de cela pour faciliter la réinsertion au sein de la vie sociale.” Ce sont souvent les institutions (comme Etapes), les médecins généralistes, les assistantes sociales, associations qui orientent les patients vers les CMP, mais les particuliers effectuent aussi la démarche pour obtenir un entretien” souligne Jacques Augier. “Chaque

patient a par la suite un référent infirmier ce qui permet un suivi individualisé et un repère pour le patient”. Meilleure accessibilité, plus grande clarté, espace, salles adaptées ( salle de cuisine, salle de relaxation, un local dédié aux activités thérapeutiques), “l’aménagement a été conçu pour rendre les lieux plus agréables. “C’est une belle construction moderne et lumineuse. Rien à voir avec l’ancien centre” s’est enthousiasmée Chantal Torck, présidente du conseil d’administration. “Le personnel s’y trouve bien” a constaté Dominique

des soirées étudiantes. Convivialité, création de liens, échanges, dans une société individualiste, Facebook permet à de multiples personnes “amies sur Facebook” de nouer des relations virtuelles. “Et quoi de mieux que les ambiances festives pour fédérer les facebookers. Avec les soirées mises en place via l’outil de communication Facebook, nous avons quand même attiré 500 personnes de Dole et des environs” s’enthousiasme Fabrice. En vue dans quelques mois, une seconde “Facebook Party”. “Avoir son profil facebook devient un code pour initiés. Ça permet souvent d’entamer une discussion.” souligne Fabrice. En tout cas, c’est sûr : il faudra désormais compter avec Facebook pour instaurer une nouvelle politique communicationnelle sur Dole.

RENCONTRE CLIENT ROI - BANQUE POPULAIRE

Chloé Chamouton

Vannier, directrice du centre. Un résultat qui allie clarté et fonctionnalité a souligné JeanMichel Daubigney, maire de Tavaux. Les travaux ont débuté au printemps 2007 et nous sommes ouverts depuis novembre 2008” précise Jacques Augier. Dans un mois, une maison plurisdisciplinaire ainsi que 12 logements construits avec l’opac se situeront à proximité du centre médico-psychologique. Chloé Chamouton

Ouvert du lundi au vendredi de 8 h 30 à 16 h 30. CMP, 6 avenue de l’Europe, 39500 Tavaux - 03 84 71 45 12

Les CMP dans le Jura 20 centres médico-psychologiques sont répartis sur le territoire. Le Jura est découpé en quatre pôles ou secteurs d’intervention, autour de Dole, autour de Lons-le-Saunier, le Haut-Jura et le pôle adultes du Triangle d’Or (Salins les Bains, Champagnole, Arbois). Tavaux est sous la responsabilité de ce pôle.

SIGNATURE DE LA CONVENTION DE PARTENARIAT Rencontre des membres client roi à la Banque populaire de Dole Grévy le 6 février dernier pour un évènement particulier avec la signature d’une convention de partenariat entre la banque populaire Bourgogne Franche-Comté et l’association Client roi de Dole en la présence d’Alain Grenot et M. Viret représentants de la banque et Mme Bertin Mourot présidente de l’association. Il s’en est suivi un moment de convivialité pour clore la soirée.


Publirédactionnel

La proximité au cœur de la Mutuelle de Poitiers Assurances Qualité de l’accueil, personnalisation des contacts, devoir de conseils pour répondre aux besoins des assurés : autant de valeurs humaines et professionnelles revendiquées par la Mutuelle de Poitiers Assurances qui a implanté son agence à Dole le 1er avril 2006.

“Nos assurés ne sont pas des dossiers gérés par des plateaux téléphoniques. Nous les connaissons et ça change tout !” insistent Carole Vacelet responsable de l’agence de Dole et Bernard Fleury, inspecteur général.

La proximité, l’atout de la Mutuelle de Poitiers Assurances Alors que la tendance globale est à la centralisation et la gestion à distance des dossiers, la Mutuelle de Poitiers Assurances s’appuie

sur son réseau d’agents, conseillers et interlocuteurs privilégiés de ses assurés. Avec ses 275 agences implantées sur 56 départements, la Mutuelle de Poitiers met son savoir-faire et son expérience depuis

170 ans au service des particuliers, des artisans et commerçants. “Le contact reste primordial. J’apprends à bien connaître mes assurés d’où la nécessité d’une qualité d’accueil et d’écoute irréprochables”, précise Carole Va c e l e t . “ N o s relations doivent être de véritables relations de confiance. Une différence appréciée par mes assurés qui savent à qui s’adresser en cas de sinistre comme au quotidien.”

Une gamme complète de contrats

Une agence située au cœur de Dole qui a ouvert ses portes le 1er avril 2006

Disposant d’une gamme complète de contrats (auto, habitation, santé, retraite, prévoyance…), Carole Vacelet propose toujours une étude globale des besoins d’un assuré pour y répondre au mieux. “J’ai un devoir de

Carole Vacelet, responsable de l’agence de Dole est à l’écoute des assurés et répond à leurs besoins

conseil auquel je suis très attachée depuis le début de ma carrière à la Mutuelle de Poi-

tiers en 1995”, souligne cette franc-comtoise d’origine. La Mutuelle de Poitiers Assurances, c’est une autre façon

de vivre l’assurance au quotidien, une conception plus humaine des rapports entre l’assureur et l’assuré.

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D E S V I L L A G E S E N PAY S D O L O I S - N ° 5 8 • HECTOR BOUDINHON (1795 - 1865) : Chef d’escadron de carabiniers. Il vécut sa retraite à Balaiseaux où il fut maire de 1852 à 1865. Chevalier de la légion d’honneur • MAURICE RÉMONDY (1914-1940) : Né à Balaiseaux, il devint ingénieur. Lieutenant d’artillerie en 1940, il s’illustra à maintes reprises. Tombé au champ d’Honneur le 10 juin 1940. Chevalier de la légion d’honneur, une rue de la localité lui est dédiée. • ENFANTS DU PAYS MORTS AU CHAMP D’HONNEUR : 11 en 1914/1918 et 1 en 1939/1945.

Balaiseaux : 4 hameaux pour une commune Contrairement à l’étymologie de nombreux lieux qui sont souvent des énigmes, celle de Balaiseaux est bien connue. Quand, en 1550, Aimé de Balay et son épouse Anne de Saulx décidèrent d’installer quelques baraques de bûcherons en pleine forêt, ils fondèrent Balay-Saulx…, tout simplement. Le véritable nom est BalaiSeaux. On retrouve trace de son nom dans les écrits anciens également sous la forme de Balleseaux puis Ballaiseaux. Le territoire sur lequel il prit naissance s’appelait autrefois, Sainte Marie et appartenait à la seigneurie de Longwy.

La noble histoire d’Aimé et d’Anne Si Aimé II de Balay n’avait pas épousé en secondes noces, Anne de Saulx, fille du nouveau propriétaire de la baronnie de Longwy, le village n’aurait peut-être jamais existé ! En effet, Aimé II de Balay, fils d’Aimé de Balay, 1er du nom, chambellan de Marguerite d’Autriche et grand bailli de Dole, était seigneur de Lavans et de Marigna. Vers 1537, il avait épousé Véronique de Courcelles dont il eut une fille. Vers 1548, son second mariage avec Anne de Saulx, Dame de Longwy, lui donna le titre de baron de ce lieu. En 1550, afin

de défricher pour mettre la terre en culture et y construire des habitations, le couple proposa à sept particuliers d’Asnans une superficie globale de 500 journaux dans ces bois. Ainsi se forma un nouveau village de chaumières qu’ils baptisèrent Balay-Saulx, scellant ainsi leur union. Leurs deux fils, Etienne et Aimé III se qualifièrent seigneurs du lieu qui, après avoir été essarté, mis au jour divers débris de constructions et même quelques monnaies romaines attestant que des gens ont vécu à SainteMarie il y a bien longtemps. Etienne et Aimé III étant morts sans postérité, c’est le fils de Marie, leur sœur qui hérita de la petite seigneurie. La famille de Balay la conserva jusqu’en 1772, année où elle fut vendue à M. de Moussière, lieutenant général au baillage de Dijon qui la conserva jusqu’à la révolution.

L’ancien château Avant la création de Balai-

Hameau de la Chapelle vu du ciel.

seaux, le hameau de SainteMarie constituait un fief particulier. Il avait été démembré de Longwy en 1371. Un manoir féodal et une ferme appelée “Grange-Colombier” y étaient implantés. Celle-ci était très importante car pourvue de vastes dépendances. De larges fossés et des palissades entouraient l’ensemble. En 1636, le village, comme le château, furent entièrement détruits, à tel point que durant neuf années toutes les familles désertèrent le site. A partir de 1645, une vie s’installa à nouveau grâce à d’anciens habitants qui, avec eux, amenèrent de nouvelles familles. En 1790, on notait 333 personnes, certainement le plus fort nombre enregistré dans la commune. Le château ne fut jamais reconstruit, mais à son emplacement, une belle maison bourgeoise et de vastes bâtiments de ferme se sont élevés. M. Denis Cannelle y élève des chevaux comtois et sa demeure abrite quelques chambres d’hôtes.

La ferme Sainte Marie

dédiée à Saint-Denis, évêque patron de la commune. Tombée en ruines, un début de reconstruction en briques fut entrepris ailleurs en 1851. Une cloche fut accrochée dans le petit clocheton en 1865, année où se terminèrent les travaux. Mais depuis toujours, les habitants fréquentent l’église de Saint-Baraing. Celle-ci est d’ailleurs commune aux deux villages, comme le petit cimetière qui l’entoure. En 2004, la commune participa logiquement à sa restauration. Cependant à Balaiseaux, on tient beaucoup à la petite chapelle qui est née avec le village. En 1903, des travaux de restauration durent être réalisés par la municipalité, notamment la consolidation du mur ouest fortement lézardé. Quelques

Pas d’église, mais une chapelle Peu après la fondation de Balaiseaux, une chapelle fut construite en 1570. Elle était La chapelle

bénévoles entreprirent la rénovation intérieure de 1991 à 1994. Enfin, en 2007, cette chapelle Saint Denis fut entièrement restaurée grâce à l’argent communal auquel se sont ajoutées quelques subventions et une souscription. Notons la réussite des vitraux réalisés par Philippe Tatre. Remarquablement stylisés, ils symbolisent les quatre hameaux, le couple fondateur et bien sûr Saint-Denis. Elle accueille les fidèles deux fois par an, pour la Saint-Denis et le samedi après Pâques. Des baptêmes y sont également célébrés.

Le pays des étangs Si une vingtaine d’exploitants agricoles existaient encore en 1964, on n’en compte plus que quatre aujourd’hui. Tous sont

au hameau de La Gratte : Gérard Michaud (élevage et céréales) – Denis Cannelle (Elevage de chevaux comtois et dressage) – François Chapelotte (élevage et céréales) et Agnès Verpeaux (élevage). Notons également que JeanPierre Bernard, boucher à Tavaux est également un important éleveur à Balaiseaux. Mais dans ce pays où le remembrement fut opérationnel dès 1964, on dénombre douze étangs, soit environ 35 hectares en eau. Celui de Servotte est le plus étendu, avec 27 ha (10 ha sur Balaiseaux et 17 ha sur Saint-Baraing). D’autres ont des noms dont l’origine mériterait d’être connue. C’est le cas des étangs Cure dent, de la Folie, de Pisseminette, de la Moule Brousse, ou encore de la Bredouille. Pêchés régulièrement, ils font partie du paysage, même si en 1877, le conseil municipal délibérait afin d’obtenir leur suppression, étant… soi-disant, source de fièvres et de maladies. En 1879, un rapport d’enquête rejeta la demande. L’histoire ne dit pas si c’était pour continuer à entendre la cloche de minuit le soir de Noël, celle qui, com-

mandée par Anne de Saulx en 1570 pour sa petite chapelle, se perdit au fond d’un trou, le charretier s’étant enlisé dans un terrain mou devenu étang. Une belle légende qui se raconte encore…

SC3 et ULM : deux pistes dans le vent Les années 1990 devaient marquer le paisible petit village, et notamment le quartier de La Chapelle. En effet, lorsque Christian Rigogne ouvrit une discothèque en juillet 1990, un vent de révolte se mit à souffler malgré son implantation un peu à l’écart. Musicien dans l’âme, Christian avait déjà créé son orchestre “Les Spirfires” avec lequel il se produisit de 1968 à 1980. Puis il monta la première disco mobile du Jura “Star Music”, se produisant jusqu’en 1990. Balaiseaux devint son fief en 1987 avec l’installation d’un bal monté qui fut le point de ralliement de la jeunesse régionale. Ainsi, trois années plus tard naissait cette discothèque baptisée SC3. Une clientèle fidèle âgée de 16 à 50 ans et plus, amateur de musique avec ambiance généraliste, s’y rend chaque fin de semaine. Plusieurs artistes se sont déjà

Gérard Michaud : “Il nous faut absolument une mairie digne de ce nom !” Avec La Chapelle, Praneuf, Pétrey et La Gratte, Gérard Michaud peut presque prétendre avoir quatre communes à gérer. En effet, ces différents quartiers qui forment le village sont relativement séparés les uns des autres. Gérard Michaud, enfant du pays, est au conseil municipal depuis 1989. 1er adjoint en 1995, il fut élu maire en 2001. Agriculteur, il prend le temps de nous recevoir dans sa minuscule mairie, une salle de quelque 20 à 25 m2. “Il en est ainsi depuis 1844 ! Il nous faut absolument construire un bâtiment” déclare-t-il, non sans ajouter : “mais il faudra trouver le financement !” Evi-

demment, Balaiseaux vit selon ses moyens. ”Ces années dernières, nous avons remis en état une partie de la voirie, amélioré l’assainissement, participé à la restauration de notre chapelle et de l’église à Saint-Baraing, refait la toiture, la cour et le chauffage de l’école, participé à l’aménagement de nouvelles classes à Rahon…” Le maire et son conseil municipal ont le souci de rendre leur commune plus agréable. Ainsi, outre la poursuite des travaux de voirie, cette mairie tant attendue fait partie des projets. Elle se construira à côté de celle d’aujourd’hui au Praneuf, mais elle sera intégrée dans un bâtiment comportant une salle polyvalente pouvant recevoir environ 70 personnes. Le maire

y pense donc sérieusement, comptant naturellement sur des aides venant de différents organismes comme la Plaine Jurassienne pour laquelle il avoue être très favorable. “Elle apporte des services à la population, mais pas suffisamment. Les actions demandent à être développées” constate-t-il. Pour trouver un commerce, il faut aller à Chaussin ou Le Deschaux. Par contre, à Balaiseaux on trouve Bresse Montages Services (entreprise de constructions métalliques), un paysagiste (SARL Fumey), un architecte (Fernand Belperron), un transporteur (transport Coutot) et on peut prendre le taxi (taxi du Val d’Orain). Seules deux associations existent : ABCD (Culture – Détente) et l’ACCA des chasseurs.

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> Après un CAP, un BEP ou une réorientation en fin de 1ère Entrée en BAC PRO “services” en 2 ans pour travailler dans les secteurs sociaux, culturels et touristiques, et poursuite dans des établissements qui préparent des BTS(a)-IUT/DUT-FAC Accès aux concours sociaux et para-médicaux

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Pays Dolois - mars 2009 - 6


L’école aussi a son histoire C’est grâce à Véronique Guéraud, originaire et habitant le village que nous pouvons reconstituer les différentes péripéties de l’activité scolaire. Elle-même, professeur des écoles dans un village voisin, se passionne pour la généalogie, le patrimoine local et son histoire. Ses nombreux articles dans les bulletins municipaux sont toujours très appréciés. Avec tantôt deux écoles et tantôt plus rien, Balaiseaux a finalement réussi à retrouver un cours quelques années après le regroupement scolaire effectué en 1977 avec Rahon et Saint-Baraing. Actuellement, c’est le cours préparatoire qui est au village. Une salle d’étude fut construite en 1844 au Praneuf, point central de l’agglomération. Durant la période d’hiver, elle accueillait les 40 enfants du village. En 1881, après avoir subi une restauration importante cinq années plus tôt, elle abritait 64 enfants. Ce nombre jugé incompatible avec la grandeur de la salle (50 m2), les parents d’élèves habitant le hameau de La Chapelle adressèrent une pétition aux autori-

Christian Rigogne devant l’entrée du SC3

Départ

Ecoliers en 1909 de gauche à droite - Rang du haut : Josephine Gay – Jeanne Mouton – Hermine Mouton – Marie Maitre – Denis Pernin – Francis Maitre – Emile Mouton – Aimé Maitre. 2e rang : Céleste Gay – Fernande Legey – Léa Leuba – Lucienne Gay – Mme Masson (institutrice) - Léon Gay – Auguste Pernin – Elie Humbert – Louis Leuba. 3e rang : Louise Noirot – Félicie Leuba – Marie Gay – Gabrielle Michaud – Georgette Pruneaux – Charles Masson – Georges Ramboz – Jules Riche – Henri Maitre – Ferréol Pernin 4e rang : Louise Mouton – Georgette Gay – Joséphine Légey – Gabrielle Pernin – Augustine Maitre – Lucien Mouton

L’ancienne école devenue Mairie

La Base de pilotage ULM

école de pilotage et de vastes hangars furent construits. Après avoir été un centre de formation, le site devient une simple base de loisirs fonctionnant essentiellement l’été.

Une belle légende qui se raconte encore… Mais à Balaiseaux (les anciens prononcent Balay-Saulx), on se souvient encore de l’exploitation des sablières le long de la route de Chaussin au Deschaux, dont le sable faisait le bonheur des fonderies

doloises et d’ailleurs. Déjà ouvertes vers 1885, elles fonctionnèrent jusqu’en 1964. Ce sable qu’il fallait aller chercher à la pelle et à la pioche à 1,80 m sous terre, a donné du travail à quelques familles locales. Jean Baudin, le dernier exploitant nous rappelle entre autres le souvenir des Petetin, Mouton, Légey, Blondey, Maître et bien sûr Baudin. Tous ont usé les manches de ces outils ancestraux pour accéder au précieux matériau. Georges et Marie Desgouilles âgés respective-

ment de 92 et 89 ans sont les doyens du village. Comme d’autres, ils se souviennent de cette activité disparue lorsque les fonderies fermèrent leurs portes. Les temps ont bien changé et le marchand de sable est passé sur Balaiseaux, laissant un village regardant couler l’Orain, mais qui ne s’est pas endormi pour autant… JT

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Balaiseaux (39120) Altitude : 196 à 222 m. Superficie : 601 ha dont 1/2 forêt Population : 270 habitants Canton de Chaussin Communauté de Communes : Plaine jurassienne Conseil municipal Michaud Gérard : maire Petit Emmanuel : adjoint Pernin Colette : adjoint Quaile Yann : adjoint Auzeau Delphine Bellanger Laurent Chapelotte Daniel Cretin Christophe Gaendel Henri Mouton Laurence Belin Bernard Les derniers maires 1925 – 1929 : Francis Pruneau 1929 – 1935 : Xénophon Blondey 1935 – 1945 : Ferdinand Legey 1945 – 1962 : Marcel Blondey 1962 – 1965 : Paul Legey 1965 – 1983 : Robert Bon 1983 – 1995 : Henri Gandel 1995 – 2001 : Serge Maréchal 2001 : Gérard Michaud

Localités

km

Horaires

Dole Goux La Loye Augerans Belmont Mont sous Vaudrey Abergement le petit Grozon Tourmont Poligny ZI Plasne Chateau Chalon Voiteur Nevy sur Seille La Marre Carrefour Château Chalon Voiteur Le Vernois Lons le Saunier

5 9 11 13 18 30 33 37 41 45 54 58 61 69 73 81 85 88 96

13 h 43 13 h 46 13 h 49 14 h 57 14 h 15 14 h 22 14 h 27 14 h 32 14 h 37 14 h 51 14 h 57 15 h 01 15 h 07 15 h 19 15 h 31 15 h 37 15 h 42 15 h 54

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Arrivée

des lacs et du Revermont

BONIN

maison

produits, le dernier en date étant le groupe “Images”. Une terrasse pour fumeur a été aménagée et l’éthylotest électronique entre en action lors de chaque fin de soirée. Mais en 1991, une autre piste s’ouvrait dans le même hameau, non pas de danse, mais pour ULM. Michel Gras, pilote et instructeur créait son

tés. On refusa les enfants des communes voisines. La chapelle fut réquisitionnée pour servir de salle de classe. Mais en 1888, avec 52 enfants scolarisés, la chapelle d’une surface de 32 m2 s’avérait trop petite. L’école de Praneuf comptait alors 42 élèves. La population augmentant, il fut enfin décidé de construire un établissement scolaire à proximité. Il ouvrira en 1894 et fonctionnera jusqu’en 1949, ne comptant plus que trois élèves. De 1915 à 1919, Praneuf fut abandonné pour cause de guerre. L’école fermera à nouveau en 1923. Détruite par un incendie en 1947, elle fut reconstruite et rouverte en 1951. Celle de La Chapelle revivait de 1955 à 1961. Hélas, en 1970, Praneuf baissait définitivement ses rideaux, ses quatre élèves étant dirigés sur Rahon. Le village tournait ainsi la page scolaire, mais c’était sans compter sur les efforts des uns et des autres et du nouveau maire Henri Gandel qui, en 1984, après d’importants travaux dans l’école de la Chapelle, réussissait à lui redonner vie avec Marie-Line Frisa comme maîtresse, en remplacement de M. Bouveret. C’est cette classe qui fonctionne encore aujourd’hui avec Marie-Hélène Givdivelli.

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Publirédactionnel

Automne 2009 - Nous, les agriculteurs de la Plaine, vous expliquons notre métier au quotidien

Faire connaître le métier d'agriculteurs au quotidien, comprendre la santé des plantes et le rythme des cultures céréalières, tels sont les objectifs de cette page consacrée au GVA Chemin-Dole (groupement de vulgarisation agricole). Ce mois-ci, découvrons la fertilisation ou nutrition des plantes, c’est-à-dire pourquoi et comment les agriculteurs apportent aux plantes, les éléments minéraux indispensables à leur croissance. “Communiquer autour de notre métier afin d’expliquer au grand public ce que nous effectuons au cours des saisons, notre manière de cultiver, et limiter un certain nombre de préjugés qui ont contribué à véhiculer une mauvaise image de l’agriculture, telles sont nos ambitions à travers cette page”, souligne Didier Fontaine, président du GVA Chemin-Dole. “Ce mois-ci, nous souhaitons vous faire découvrir les travaux que nous allons réaliser dès la fin de l’hiver et ceci jusqu’au printemps. L’hiver que nous venons de traverser a été rigoureux et bénéfique pour les cultures et la structure de la terre. Avec l’allongement des jours et l’arrivée du printemps, les plantes reprennent leur croissance : les premiers apports d’éléments fertilisants, par les agriculteurs, vont débuter.”

Les rendez-vous du GVA RENCONTRES AVEC LES SCOLAIRES, DES MISSIONS PÉDAGOGIQUES, LUDIQUES ET INTERACTIVES Les agriculteurs du GVA ont adopté cultures rencontrées sur le secteur une nouvelle mission pédago- et expliquons les travaux qui y sont gique : celle d’aller à la rencontre associés. Echantillons de graines, des scolaires pour faire découvrir de paille, de foin, de luzerne, autant leur métier. “Ces rencontres orga- d’éléments qui servent à montrer nisées, avec l’accord de l’inspecteur cette diversité aux enfants” d’académie de Dole, et en partena- explique Didier Fontaine, président riat avec les JA (jeunes agricul- du GVA. Un échange pédagogique, teurs) des cantons de Chaussin et ludique et convivial, puisque l’après Chemin, se déroulent sur un après midi se termine, en beauté, par un midi, avec des classes de CM2. “En goûter composé de comté, de pain matière de support, nous utilisons et de jus de fruit. un CR Rom qui présente l’agricul- Une expérience qui s’est révélée, ture franc-comtois : nous expli- dès la première rencontre, extrêquons le métier d’éleveur et la mement enrichissante. “Nous façon dont on produit du lait. Nous sommes surpris et impressionnés, montrons aussi la diversité des à chaque rencontre, par la perti-

nence et la multitude de questions que les enfants nous posent. Ceuxci se montrent toujours très intéressés. Ce sont des échanges très interactifs” s’enthousiasment les agriculteurs du GVA qui participent à ces rencontres.

PRÊTS POUR LE RANDO-CHAMP ? Le GVA organise le 17 mai après-midi un rando-champ, invitant le public à pratiquer une randonnée dans les champs, à proximité de Dole. “L’idée de cette randonnée consiste à élaborer un circuit pour expliquer les différentes cultures et leurs différents stades. Bien entendu, nous répondrons à toutes vos questions” précisent les agriculteurs du GVA. Alors prêts pour un rando-champ ? Notez dès à présent cette date dans votre agenda.

ET LE POUVOIR D’ACHAT ? “On nous accuse d’être responsables de l’augmentation du prix des produits alimentaires. Certes, il y a eu une augmentation des matières premières agricoles mais pas à la hauteur des augmentations observées sur les produits des différents magasins. De plus, depuis 6 mois, les prix des matières premières agricoles ont été largement revus à la baisse, et sont désormais plus bas que ceux d’il y a 2 ans. Et pourtant aucune baisse n’a été constaté par les consommateurs sur les différents étalages. D’autre part, le coût des intrants (engrais, produits phytosanitaires, gasoil…) sur les exploitations agricoles a augmenté plus vite que le prix de vente des matières premières agricoles. Ceci est en particulier vrai pour les engrais, dont les prix, malgré la baisse du pétrole, continuent de flamber.

L’actualité des cultures

ZOOM sur

La culture d’orge L’orge est une céréale à paille qui se caractérise par ses épis aux longues barbes. C’est la plus ancienne des céréales. Sa capacité d’adaptation aux sols arides, à la chaleur, au froid et à l’altitude, fait qu’elle est cultivée dans le monde entier. En France, l’essentiel de la production d’orge se concentre dans les régions Centre, Pays de la Loire, Champagne et Bourgogne. Selon les variétés, l’orge peut être semée en hiver ou au printemps : on parle d’orge d’hiver et d’orge de printemps. Autrefois, l’orge était cultivée pour la fabrication de pain et de bouillies. Une fois le processus de fermentation découvert, l’orge permit la fabrication des premières bières. Aujourd’hui, les deux débouchés principaux sont l’alimentation du bétail et la malterie pour la fabrication de bière. D’autre part, l’amidon contenu dans le grain d’orge sert de matière première pour l’industrie : pour l’onctuosité des

sauces, pour la brillance du papier et pour les plastiques, les détergents, la colle, biocarburant… En France, l’orge occupe la troisième place en termes de production et de surface cultivée : 10 millions de tonnes produites en moyenne sur 1,7 million d’hectares.

PORTES OUVERTES Maison Familiale d’Amange et de Salins-les-Bains Samedi 14 Mars de 10 h à 18 h

Pays Dolois - mars 2009 - 8


Entretien avec les agriculteurs du GVA

FERTILISATION : “la juste dose au bon moment” CE QU’EN PENSENT LES EXPERTS ? A quoi sert la fertilisation ? En agriculture, les plantes cultivées consomment, pour pousser, des éléments nutritifs. Il s’agit majoritairement de l’azote, du phosphore et de la potasse. Les gains récoltés renferment donc des éléments minéraux retirés du sol. Transportés vers les consommateurs, dans les villes, les éléments nutritifs ne sont donc pas restitués aux terres agricoles. Alors, année après année, en l’absence d’apport d’éléments nutritifs, le sol s’appauvrit et les rendements des récoltes diminuent. La fertilisation, qui consiste à apporter les éléments nutritifs nécessaires aux cultures, est donc une condition pour une agriculture durable. La fertilisation est aussi indispensable à la croissance de la plante que le lait à la croissance du nouveau-né. Pour fertiliser les cultures, les agriculteurs ont besoin d’apporter les éléments nutritifs ou fertilisants quelque soit le mode de production qu’ils choisissent (agriculture biologique, raisonnée…). Pour cela, ils peuvent apporter des engrais organiques (éffluents d’élevage fumier, lisier, déchets verts compostés…) et/ou des engrais de synthèse issus de l’industrie chimique. Les engrais ont pour objectif

crée T N E M E N É L’ÉV MARS MEDI 14 A S U A 2 I D N U L DU

1 PNEU d’apporter de l’azote, du phosphore et/ou de la potasse ainsi que les oligo-élément indispensables aux plantes. Comment bien utiliser les engrais ? La quantité d’éléments fertilisants donc d’engrais à apporter sur une culture est calculée de façon précise par l’agriculteur. Il utilise la méthode du bilan : d’un côté, il estime les besoins de la plante en éléments nutritifs (azote, phosphore et potasse) et de l’autre, il comptabilise les éléments nutritifs déjà présents dans le sol, qui ne seront donc pas amenés. Pour ajuster son calcul, l’agriculteur dispose de plusieurs outils pour prendre en compte l’état de la culture, du sol et également le climat (outil informatique, analyse de terre…).

Didier Fontaine,

Agriculteur à Saint-Aubin

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Comment ont évolué vos pratiques en matière de fertilisation ? “Aujourd’hui, nous utilisons de nombreux outils qui nous permettent d’apporter la juste dose d’éléments fertilisants à la plante. Nous fractionnons également beaucoup plus ces apports afin de les positionner lors des périodes de croissance de la plante c’est-à-dire aux moments où ses besoins sont les plus importants. (4 passages contre 2 seulement, il y a 15 ans).” * Valable sur la même dimension. Hors montage, équilibrage et valves.

Quels sont ces outils ? D’abord des calculs, qui nous permettent d’estimer les quantités d’éléments nutritifs N (azote) P (phosphore) et K (potasse) qu’il faudra apporter à la culture. Pour cela, nous devons estimer le rendement que produira la culture considérée, en fonction de la qualité du sol, du climat et de la variété. Ensuite, diverses analyses de terre ou de plante nous permettent d’ajuster ces doses en fonction de l’état de la plante et du sol : nous prenons en compte les apports d’engrais de fermes précédents, les résidus de la culture de la campagne précédente qui peuvent restituer une quantité non négligeable d’éléments nutritifs.

Ceci contribue-t-il à éviter les pollutions ? Oui, en partie car si vous apportez à la plante que ce dont elle a besoin, les risques de perte, notamment par lessivage (entraînement en profondeur par l’écoulement des eaux d’infiltration de certains éléments tels les nitrates), des éléments nutritifs est réduit. Ceci conjugué au fractionnement des apports, au moment où les besoins de la plante sont les plus importants, limitent encore les pertes dans le milieu. De plus, pour éviter la fuite des éléments nutritifs dans l’eau des rivières, les agriculteurs ont mis en place des bandes enherbées de 5 m de large, le long des cours d’eau. Leur rôle est de retenir ces éléments en les absorbant par les racines. Certains agriculteurs mettent, également, en place des végétaux pendant l’hiver, après la moisson et avant l’implantation d’une culture dite de printemps, pour absorber les éléments nutritifs du sol et éviter leur lessivage, pendant les pluies d’automne et d’hiver. Ces végétaux, une fois détruits, restitueront à la culture de printemps une part des éléments nutritifs qui lui seront nécessaires.

Pourtant, il y a des nitrates dans l’eau… Oui, certes. A l’état naturel, des nitrates sont présents dans l’eau. On parle de “bruit de fond”. Il faut savoir qu’en zone de culture, avec un simple travail du sol, on favorise la minéralisation de l’azote, et donc la production de nitrates même si aucun engrais n’est apporté. D’autre part, dans le secteur, les analyses d’eau sont plutôt bonnes. Les maxima mesurés atteignent la moitié de la norme de potabilité de 50 mg/litre de nitrates (norme qui présente déjà un certain niveau de sécurité).

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Routgees des Villa La

■ LES PETITES PLUMES CLASSE DE CM1/CM2 GENDREY

Damparis Fête de printemps Dimanche 29 mars : place du 1er mai. 2e édition du marché artisanal et gastronomique organisé au gymnase Auguste Delaune et sur parking par l’amicale du personnel communal.

Cours de dessin au musée

Spectacle Notre Dame de Lumière Vendredi 3 avril à 20 h 30

Choisey Théâtre Samedi 21 mars à 20 h 30 et dimanche 22 mars à 15 h : salle des fêtes. “L’arbre à came” avec le groupe théâtral du foyer rural. Autres séances les 27, 28 mars et 3 avril à 20 h 30.

Le lundi 26 janvier, la classe CM1-CM2 de Gendrey est allée au musée archéologique de Dijon : ”A notre arrivée, nous avons regardé une vidéo sur l’art et la manière de tailler un biface” (outil des hommes préhistoriques) à partir de silex. Au départ, il faut enlever le cortex du silex en retirant des éclats.

Crissey Dîner cabaret Samedi 14 mars à 20 h : salle des fêtes organisé par le Foyer Rural. Soirée animée par “Le Bouffon et ses clochettes”.

Ensuite, nous avons observé une vitrine expliquant l’époque de la pierre taillée, le paléolitique. En ce temps-là, les hommes vivaient dans des

Parcey Repas dansant Samedi 14 mars à 20 h : organisé à la salle des fêtes par l’Association de parents d’élèves.

Mont-sousVaudrey L’heure du conte Mercredi 18 mars : de 10 h 30 à 11 h 30 à la médiathèque.

Bans Carnaval des enfants Dimanche 15 mars : avec l’association Baniers et Banières.

tentes à l’entrée de grottes. Ils chassaient les rennes, les bisons et les chevaux, pas les mammouths qui étaitent trop féroces. Un dessin montrait

Les P’tites Plumes Atelier d’écriture, fruit d’un partenariat entre l’Education Nationale et le journal “Pays Dolois”, en collaboration avec quatre écoles du pays dolois, chacune des classes rédigeant deux articles au cours de l’année. Le mois prochain dans le cadre du partenariat entre l’éducation nationale et le Pays Dolois, retrouvez l’école de Gatey en compagnie de l’instituteur M. Bernard. ■ DOLE / CLASSE DE 3E MEDIA DU COLLEGE MONT ROLAND

Journalistes en herbe

Fraisans Conférence

Rans Repas des Anciens 29 mars

Repas de printemps du club des aînés Mercredi 25 mars à midi : salle communale.

Falletans Coq au vin Dimanche 15 mars : organisé par l’Avenir de Falletans.

Chasse aux œufs Dimanche 12 avril : Chasse aux œufs avec l’APE.

pigiste. Le statut d’un pigiste consiste à mettre son écriture à la disposition d’un autre type de public en ayant la possibilité d’écrire pour différents magazines.

Et en année de troisième, vous destiniez-vous au métier de journaliste ?

Samedi 28 mars à 20 h : salle des fêtes : “La résistance dans le Jura” avec André Besson.

Sermange

que le crâne de l’homme de Néanderthal était plus allongé, son nez était busqué, et au niveau des sourcils c’était plus gros que chez l’homme de Cro-Magnon. On voyait aussi que la végétation comportait très peu d’ arbres à cause des périodes de glaciation. Dans une autre vitrine, nous avons examiné des pierres polies : les hommes commençaient à cultiver et fabriquaient des haches pour défricher. Ils vivaient dans des maisons avec le toit en chaume et les murs en torchis. Une faisselle (poteries avec des petits trous) était là pour nous montrer que les hommes de la pierre polie savaient alors fabriquer du fromage, et donc élevaient des animaux. Par la suite, nous sommes allés dans une salle d’art plastique, où nous avons dessiné des bifaces et d’autres objets de l’époque paléolithique que l’animatrice nous prêtait. Cela s’appelle du dessin d’observation. “Nous avons touché de vrais objets qui dataient de plus de 100 000 ans.” “Ce qui m’a étonné, c’est la taille d’un fragment de molaire de mammouth”. “Le trajet était long. J’étais malade.” “Cette visite s’est révélée intéressante. J’ai préféré le dessin”. “Ce que j’ai aimé par dessus tout, c’était la vidéo sur la pierre du silex.”

Le journal Pays Dolois était l’invité de la classe de 3e Média du collège Mont Roland. Au programme de cette rencontre avec élèves et professeurs Karl Falgueres et Marie-Christine Rivot, échanges sur le métier de journaliste, les écoles et formations. Une rencontre qui a donné lieu à un article réalisé par les élèves sur les conseils de la journaliste du Pays Dolois. Une initiation à la technique de l’interview. Lors du jeudi 12 février 2009, nous avons interviewé Melle Chamouton, journaliste au Pays Dolois, qui a eu la gentillesse de venir présenter ce

métier qu’elle exerce depuis trois ans. Elle nous a raconté son parcours qui est vraiment intéressant. Quelques réponses à nos questions.

Tout d’abord, comment s’est déroulée votre carrière de journaliste ? Pour débuter dans le journalisme j’ai tout d’abord commencé par deux ans de prépa puis une licence et un Dea de philosophie. En poursuivant par un Master Euromédia, j’ai fini par me spécialiser dans la presse écrite. Mais j’ai été également

Je me destinais à devenir vétérinaire, c’était mon idée, c’était loin du journalisme ! Mais je me suis sentie attirée par des études littéraires. Après le bac, j’ai passé un master, donc un diplôme à bac +5 et voilà.

En quoi consiste exactement le métier de journaliste ? Le métier de journaliste consiste en premier lieu à rechercher des thèmes. La deuxième étape consiste à prendre contact avec les per-

■ DOLE : LYCÉE DUHAMEL

8 ÉTUDIANTS DU BTS MUC EN FINALE DES NÉGOCIALES À NANCY Beau palmarès pour 8 étudiants du BTS Muc du lycée Duhamel qui participeront les 31 mars et 1er avril à la finale des Négociales au zénith de Nancy. “Il s’agit d’un concours national de négociations commerciales sous forme de jeux de rôles. La journée de sélection s’est déroulée à Dole le 19 février à Dole. Sur 113 étudiants des sections commerciales de Dole et de Lons le Saunier, 13 étudiants ont été sélectionnés dont 8 du BTS MUC du lycée Duhamel parmi lesquels 6 candidats de 1ère année et 2 de 2e année. C’est assez exceptionnel” s’enthousiasme Hélène Géant, professeur de commerce, coordinatrice des Négociales, elle même ancienne finaliste de ce challenge qui fête ses 20 ans cette année. “C’est la deuxième année que nous participons, et c’est la deuxième année que nous partons en finale. Nous avions présenté cette année 22 étudiants, et parmi les non finalistes ils ont tous été très bien classés” poursuit hélène. “Préparation, entraînement,” autant d’ingrédients qui ont contribué au succès des élèves très fiers de participer à cette finale. ■ CHAMPVANS / EDUCATION

LA REVOLTE DU DICO La compagnie “Alter Ego” présente une révolte un peu particulière le mardi 17 mars à la salle des fêtes de Champvans. Intitulée “la révolte des mots”, cette pièce de théâtre écrite par Gus Colbert alias Patrice Ducordeaux dans le cadre de la semaine de la langue française et du 50e anniversaire de la création du ministère de la culture mettra en scène les 26 élèves de la classe de cm2 de l’école de Champvans dans la peau de mots. Une initiative ludique et originale. Une soirée placée sous le signe de l’univers littéraire avec la mise en place d’une dictée de Pivot d’une durée de 30 minutes pour les adultes Salle des fêtes de Champvans - 20 h 30 sonnes concernées par les thèmes choisis. Vient ensuite l’écriture des articles et pour finir la mise en page effectuée par les maquettistes. Dans le métier de journaliste il faut s’adapter aux lecteurs, penser à notre rôle d’informateur. Certaines rubriques réapparaissent de temps à autres, comme l’économie, la politique, la gastronomie et bien d’autres… Il faut toujours essayer de retranscrire ses notes peu de temps après.

Quelles sont les qualités que l’on doit posséder ? Elles sont diverses. J’étais

timide, mais avec mon métier, je rencontre beaucoup d’interlocuteurs. Et puis, le journalisme est un travail d’équipe : nous trouvons les sujets, réalisons les interviews, les photos, mais derrière, il y a la mise en page assurée par les maquettistes.

Comment intègre t-on un journal ? Lettres de motivations, CV et autres… Il faut ensuite faire des stages qui durent entre trois et six mois (trois mois minimum). C’est en forgeant que l’on devient forgeron.

La boucherie chevaline

est à nouveau à votre service LE MARCHÉ DE DOLE À VOTRE SERVICE LE MARDI, JEUDI, SAMEDI MATIN DE 7 H À 12 H 30 ET LE VENDREDI APRÈS-MIDI DE 14 H À 19 H Pays Dolois - mars 2009 - 10


Publirédactionnel

La Tour de Pize

Une autre idée de la restauration rapide La Tour de Pize a changé de propriétaire ! Depuis le 20 décembre 2008, Florent et Séverine Charpy ont repris ce restaurant. La carte et la qualité des produits, comme l’équipe et les locaux n’ont pas changé, mais de retour du salon européen du sandwich, ce jeune couple plein de bonnes idées nous réserve quelques nouveautés avec l’arrivée des beaux jours…

O

riginaires de l’Ain, c’est la reprise de la boulangerie-pâtisserie de Mont-sous-Vaudrey, qui a amené Florent et Séverine dans le Jura, il y a cinq ans. Pâtissier de formation, Florent avait envie d’évoluer, le couple a donc cherché une autre affaire à reprendre dans le Jura. Le concept de restauration rapide artisanale créé par M. et Mme Journot, il y a plus de 20 ans, à Choisey, les a immédiatement séduits, car ils recherchent avant tout à satisfaire leurs clients avec des produits de qualité, tout en restant indépendants. Une aire de jeux sécurisée pour distraire les enfants vous permet de manger tranquillement.

Florent, Séverine, Nabila, Sébastien et Catherine, vos “cuisiniers rapides”.

Une carte très diversifiée, qui se développe encore…

Des produits frais pour votre santé

Sur place ou à emporter, à toute heure de la journée, la Tour de Pize vous offre toujours une carte annuelle avec un large choix dans toutes les gammes : une multitude de sandwiches froids et chauds, avec toutes sortes de garnitures, des pizzas, des salades, des assiettes repas, sans oublier les desserts… “Nous allons compléter cette carte existante par une gamme plus “light”, proposer une alternative aux frites, avec par exemple une salade du moment composée de légumes de saison” nous explique Séverine Charpy.

Les sandwiches et repas sont essentiellement préparés avec des produits frais, mais aussi des produits du terroir, tels que comté, sau-

cisse fumée, cancoillotte… “Je prépare chaque jour la pâte à pizza. Tout est fait suivant les demandes, rien n’est préparé par avance. Bien sûr cette politique qualitative demande des approvisionnements plus fréquents, mais c’est aussi cela : donner une autre image de la restauration rapide. Nous sommes des artisans avant tout. Pour l’été prochain notamment, nous proposerons de nouvelles glaces, avec un grand choix de parfums. Fabriquées artisanalement, elles permettront à notre clientèle de découvrir des saveurs authentiques. C’est notre

Une quarantaine de places assises à l’intérieur dans une ambiance chaleureuse…

façon de nous démarquer” ajoute Florent.

Une qualité artisanale pour le goût L’équipe de salariés, avec son pizzaïolo et ses cuisiniers, n’a pas changé, elle s’est même étoffée avec l’arrivée d’Alban à la fabrication des sandwiches, le weekend. “Nous avions envie de continuer à offrir un service et des produits de qualité comme avant, mais aussi d’apporter notre touche personnelle à La Tour de Pize. Aussi, notre visite, la semaine dernière, au 10e salon européen du sandwich à Paris, nous a permis de rencontrer des fournisseurs artisanaux, de concrétiser nos idées et d’en trouver de nouvelles pour faire évoluer la carte, améliorer le confort des clients à l’intérieur, mais surtout en terrasse” conclut Séverine.

LA TOUR DE PIZE 1 rue de Fourney - CHOISEY - Tél. 03 84 82 77 25 Du mardi au dimanche de 10 h à 22 h, non-stop … et autant en terrasse pour profiter du beau temps à la belle saison.


SPORTS ■ DOLE FUTSAL/TOURNOI DU COS

LE CHIFFRE

LES VÉTÉRANS EN IMPOSENT AU TOURNOI DU COS

500

c’est le nombre de gymnastes qui s’est déplacé lors des championnats de France comté par équipe les 7 et 8 février dernier à la salle spécialisée des Mesnils Pasteur.

Le traditionnel tournoi du COS s’est déroulé au gymnase Barberousse le 7 février dernier. En finale ce sont les vétérans qui s’imposaient face à l’équipe de Solvay dirigée par Arnaud Euvrard (5-4). C’est en présence de nombreuses personnalités que les organisateurs décernaient le prix du fair-play à l’équipe de la Gendarmerie, le prix du meilleur joueur à Fabrice Béneton (Rollet) et du meilleur gardien Gérard Guyot (Vétéran) 1.les Vétérans, 2. Solvay, 3. Hôpital de Dole, 4. Pompier de Dole, 5. SNCF, 6. PS Dole Crissey, 7. Rollet, 8. Gendarmerie, 9. Ville de Dole, 10.Courderot, 11. DDE, 12. Hôpital St Ylie

Suivez vos équipes ! Football Division d’Honneur 08/02/09 4 Rivières 70-Jura Dolois 0-2 28/02/09 Arbois-Jura Dolois 0-0 Classement au 01/03/09 1. Pont de Roide Vermondans - 2. Ornans - 3. Lons - 4. Morteau - 5. Jura Dolois - 6. Jura Sud (B) - 7 . Belfort ASM (B) - 8. Roches/Novillars - 9. Clémenceau - 10. 4 Rivières - 11. Arbois - 12. Bresse Jura - 13. Pontarlier (B) - 14. Audincourt.

La réserve 3 du JDB

Retour en Nationale 3 ! Jura Dolois va retrouver lors de la saison 2009-2010 la Nationale 3. Cette nouvelle accession est réalisée officiellement depuis samedi 28 février lors de la victoire face à Gray 93-68. Le président Jean Louis Cuisant l’avait fixé comme objectif en début de saison.

Président ,Jura Dolois retrouve la Nationale 3 pour la prochaine saison. Comment cela s’est- il passé ?

vince car nous comptons sur lui pour la prochaine saison. Pour le reste c’est encore un peu trop tôt pour en parler.

Nous avions l’objectif de retrouver aussitôt notre place en Nationale. Seul Belfort pouvait nous priver de montée. Nous nous sommes imposés à l’aller et au retour. Du fait nous n’avions plus d’obstacle.

Votre équipe 2 a réussi également son objectif évolué la saison prochaine en Prénationale. On voulait que l’équipe 2 soit proche de la première. Cela est presque réussi l’équipe possède trois points d’avance avec aucune défaite.

Qu’allez-vous faire pour maintenir l’équipe dans de bonnes dispositions jusqu’à Quel bilan tirez-vous après la fin de saison ? six mois de compétition ?

Notre objectif reste de rester C’est un président heureux, invaincu toute la saison. Il puisque ses deux équipes nous reste 6 matchs… seniors garçons sont en tête de la compétition, l’équipe Vous pensez déjà à la féminine senior va se mainprochaine saison en N3. Ce que je peux dire à l’heure tenir en Prénationale et que actuelle c’est que nous comp- les équipes de jeunes se terons dans nos rangs débrouillent avec une belle Bakari Sané et on espère performance des benjamines que l’amie de Brice Monier qui dominent leur chamtrouve du travail en pro- pionnat.

■ FRAISANS

40 ans de lutte à l’Indépendante de Fraisans Depuis deux ans, Bruno Grouillot, ancien lutteur et athlète a repris le flambeau de l’Indépendante de Lutte de Fraisans. Créé en 1969 par Maurice Grand ce club a connu ses heures de gloire dans les années 80 lorsque Françoise Pin devenait championne du monde et Karine Roy vice championne du monde de lutte gréco-romaine.

Après un passage à vide durant quelques années, le club du Nord Jura, seul club jurassien repart de l’avant. Une nouvelle équipe avec Benjamin Soldera secrétaire et Eddy Lia baud trésorier s’est constituée autour du nouveau président Grillot. Forte de 70 licenciés, l’Indépendante de Fraisans recommence tout doucement à progresser dans la hiérarchie de la lutte franccomtoise. Dimanche dernier un lutteur, Florian Mouette se présentait aux championnats

de France à Metz avec l’espoir de décrocher le podium. Mais l’Indépendante a déjà enregistré de bons résultats, avec Lucie Magnons, championne de France, Christophe Pontigny médaille d’argent et la 3e marche du podium pour Laura Mouette et Benjamin Soldera. “Le club est reparti sur des bases plus sereines en intégrant travail discipline et stages” indique Bruno Grillot “Nous allons également travailler la formation et l’arbitrage. Mais nous sommes obli-

■ EQUIPE DU MOIS

FOOT : LUSO DOLOISE

Actuellement dans le haut du classement de la poule C de la 3e Division de District, LUSO Doloise , si ce club continue sur sa lancée est en passe de gravir un échelon à la fin de la saison 2008-2009.

Division Honneur Régionale 01/03/09 Choisey Morbier 2-2 Jura Dolois-Noidans 1-2 Classement au 01/03/09 1. Baume les Dames - 2. PS Besançon - 3. Besançon RC (C) - 4. Champagnole - 5. Belfort Sud - -6. Morbier - 7. Plateau 25 - 8. Noidans - 9. Saint Vit 10. Choisey - 11. Fesches le Chatel 12. Jura Dolois (B).

Promotion d’Honneur

gés de faire avec les moyens du bord pour remettre ce club sur de bons rails.”

Les 40 ans de l’indépendante olympique Le 2 mai 2009 un grand évènement viendra fermer l’année sportive 2008-2009 avec les 40 ans du club de l’Indépendante de lutte de Fraisans. Pour ce faire, l’équipe dirigeante du Nord Jura a mis les petits plats dans les grands en invitant au gymnase Maurice Grand de Fraisans une grande journée de lutte avec les jeunes de Besançon, Baume les Dames, Pontarlier Jussey et Fraisans animée par les frères de lutte Guenot, le champion olympique Steve et Christophe médaille de bronze. La troisième personnalité à fouler le tapis fraisannois est Ghani Yalouz, ancien lutteur de Besançon et médaillé d’argent aux JO d’Atlanta.

Nouveau Hall d’exposition Prix direct d’usine

01/03/09 Chatillon-Jura Nord 2-3 Classement au 01/03/09 1. Vesoul (C) - 2. Jura Nord - 3. Dannemarie - 4. Planoise 5.Rioz/Etuz/Cussey - 6. Jura Lacs - 7. Orchamps Vennes - 8. Lons - 8. St Loup - 9. Arc/Gray - 10. Jura Lacs - 11. Vallée du Breuchin - 12. Chatillon/Devecey.

Promotion de Ligue 01/03/09 Rochefort/Amange-Velotte 1-0 Classement au 01/03/09 1. PTT Besançon - 2. Poligny - 3. Arbois (C) - 4. Rochefort/Amange - 5. Levier 6. Coteaux de Seille - 7. Velotte - 8. Montmorot - 9. Jura Lacs (B) - 10. Montfaucon - 11. Aiglepierre - 12. Frasne.

1ère Division de District 21/02/09 Foucherans-Sud Rev. 2-1 22/02/09 Chaussin-PS Dole Cris. 0-2 Mont/Vaudrey-Sirod 4-1 01/03/09 PS Dole-Crissey-Grimont 0-4 Foucherans-Bois d’Amont 6-0 Classement au 01/03/09 1. Foucherans - 2. Grimont - 3. Mont/Vaudrey - 4. Sud Revermont 5.PS Dole Crissey - 6.Chaussin - 7. Champagnole - 8. Saint Claude - 9. Bois d’Amont -10.Sirod - 11. La Joux 12. Morbier (B).

2e Division de District 22/02/09 Choisey-Petit Noir 3-0, Trois Monts-Bresse Jura (B) 3-3, Damparis-Chapelle Voland 3-0 01/03/09 Chapelle Voland-Choisey 0-3, Saint Aubin-Archelange 6-0, SalinsTrois Monts 0-3, Mouchard-Petit Noir 20, Damparis-Molay 3-0, Jura Nord (B)Bresse Jura 1-1 Classement au 01/03/09 1. Choisey (B) - 2.Saint Aubin - 3. Bresse Jura (B) - 4.Trois Monts - 5. Damparis - 6. Molay - 7. Mouchard/Arc

- 8. Jura Nord (B) - 9. Chapelle Voland 10. Salins - 11. Archelange - 12. Petit Noir

3e Div. de District - Poule C 01/03/09 Jura Nord (C)-PS Dole Crissey (B) (forfait PSDC) , Luso Doloise-Rochefort/Amange (B) match arrêté, Mont/Vaudrey-Abergement 2-2, Moissey-Montbarrey 1-1, Classement au 01/03/09 1. Abergement - 2. Luso Doloise 3.Aiglepierre - 4 Grimont (B) - 5. Rochefort/Amange - 6. Montbarrey - 7. Moissey 8. Rahon - 9. Jura Nord (C) 10.Mont/Vaudrey - 11. PS Dole Crissey.

Rugby Fédérale 3 08/02/09 Dole-Saint Appolinaire 22-8, Tavaux-Chatenoy 32-18 14/02/09 Couches-Tavaux 27-13 15/02/09 Dole-Anthony 14-14 22/02/09 Dole-Tavaux 6-0 01/03/09 Tavaux-Melun 12-17 Migennes-Dole 12-13 Classement au 01/03/09 1. Auxerre, 2. Val d’Europe, 3. Anthony, 4. Dole, 5.Chagny, 6. Melun, 7. Chevreuse, 8. Couches, 9. Tavaux, 10. St Appolinaire, 11. Chatenoy, 12. Migennes

Basket Prénationale 07/02/09 Belfort-Jura Dolois 66-84 14/02/09 Jura Dolois-Devecey 115-60 28/02 Jura Dole-Val de Gray 93-68 28/03/09 Vesoul-jura Dolois 51-78 (rencontre avancée au 08/11/08) Classement au 14/02/09 1. Jura Dolois Basket - 2. Belfort - 3. Vesoul – 4. Lons (B) - 5. Gray - 6. Besac (B) - 7. Poligny (B) - 8. Pontarlier - 9. Prolé Saint Claude - 10. Thise.

Handball Nationale 3 M 07/02/09 Longvic-Dole 30-22 14/02/09 Dole-Molsheim 31-25 Classement au 01/03/09 1. Villefranche - 2 Schiltigheim - 3. Longvic - 4. Troyes - 5. Dole - 6. Dieulouard - 7.Salamandre Saint Doulchard - 8. Gray - 9.Molsheim - 10. Wittelsheim - 11. Mulhouse - 12. Marmoutier - 13. Palente - 14. Marsannay.

Nationale 3 F 08/02/09 Vaux en Velin-Chaussin 38-16 Classement au 08/02/09 1. Vaux en Velin - 2. Voiron - 3. Annecy - 4. Tassin - 5. Pontarlier - 6. Macon - 7. Chaussin - 8. Saint Fons - 8. Maiche - 9. Meyland - 10. Handball Club Perignatois - 11. Saint Vit.

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La

Grande Ecole

Professionnel Général et technologique Supérieur

Journal du Lycée Pasteur Mont-Roland - Dole - N°4 - Lycée sous contrat d’association avec l’Etat

www.lyceepasteur-roland.com Quel que soit votre niveau, que vous choisissiez la voie professionnelle, générale ou technologique, dans les filières du tertiaire, du médico-social, des nouvelles technologies, de l’électronique numérique, de la maintenance, de l’art, de la couture… une formation correspondra à vos attentes au Lycée Pasteur Mont Roland ! Ici, chaque jeune peut dès la 3e à bac+4 suivre ses études au sein d’un même établissement. De la réussite à tous niveaux

à tous niveaux

A Dole de la 3e à Bac+4 Rentrée 2009

Encore des changements… • BAC PRO 3 ans • Réforme de la voie professionnelle • Inscription du BTS dans la voie du LMD…(licence-master-doctorat) Toutes ces réformes vont vers une clarification de notre système scolaire et une lisibilité plus européenne. Pensons que les gagnants seront les jeunes, ceux pour qui nous sommes là et pour qui nous œuvrons. Le lycée Pasteur Mont-Roland a su s’adapter et offrira dès la rentrée 2009 en lycée professionnel les diplômes rénovés.

L’internat,

la grande école de la vie

Sur le plan pédagogique, le lycée Pasteur MontRoland dispose d’un projet d’établissement commun à toutes les formations. Il est basé sur la notion de réussite personnelle de chaque élève et défend l’idée qu’un lycéen qui obtient un BEP réussit tout autant ses études qu’un étudiant qui obtient un BTS ! Pour ce faire, une équipe pédagogique est en contact permanent avec les élèves qui en ont besoin, et ce à tous les niveaux de formation. Sur le plan technique, les moyens mis à disposition sont évidemment très importants et les investissements constants ! Par exemple, tous les ateliers sont équipés de matériels à la pointe des techniques nouvelles. L’internat, une grande famille Au rang des nouveautés de la rentrée, un nouvel internat opérationnel et rénové permettant d’accueillir 180 élèves et étudiants sur deux sites. Des travaux de rénovation qui permettront de mettre en place un nouveau concept de chambres à 3 lits avec des sanitaires à l’intérieur. Des travaux qui misent également sur l’accessibilité des élèves handicapés avec l’installation des ascenseurs et des rampes d’accès. “Nous accueillons des élèves de la 3e jusqu’au BTS ainsi que des enfants handicapés de l’UPI, d’où l’importance de disposer d’équipements adaptés” souligne Marie-Pierre Musiaux, responsable de l’internat.

Encadrés par un personnel éducatif de trois surveillants à leur écoute, les élèves prennent leur repas au self du lycée où les plats sont préparés sur place. L’internat se veut un lieu de vie, un espace de convivialité. “L’internat, c’est une grande famille. Au menu, de nombreuses activités et animations sont mises en place pour permettre aux jeunes de se connaître. Marché de Noël à Montbéliard, sorties récréatives à Dijon, organisation de soirées dansantes, de repas de Noël, sorties théâtre, sorties au centre-ville de Dole le mercredi après midi, autant d’ingrédients qui rythment l’ambiance conviviale de l’internat. Toutes les sorties se font avec l’accord des parents…” insiste Marie-Pierre Musiaux témoignant d’un réel souci d’encadrement des élèves. Quelques élèves majeurs des métiers du spectacle restent le week-end en autonomie. “L’internat est donc un lieu de vie chaleureux, où l’élève suit un rythme de vie équilibré dans un environnement structuré et de bonnes conditions de travail avec notamment 1 h 30 d’étude obligatoire tous les soirs encadrée par un surveillant. Il apprend à vivre en groupe et à respecter les

REPERES Le Lycée Pasteur Mont-Roland compte à la rentrée 2008 1078 élèves et étudiants

301 élèves au Lycée

d’Enseignement Professionnel

534 élèves au Lycée

d’Enseignement Général et Technologique

243 apprentis ou sta-

giaires de la formation continue

145 élèves internes 303 demi-pensionnaires 630 externes

autres, grâce à un règlement strict modulé en fonction de l’âge des élèves, pour devenir petit à petit responsable et autonome.” Responsable des internats : Marie-Pierre MUSIAUX - Tél. 06 08 02 15 68 Il est possible de prendre rendez-vous pour visiter

Portes Ouvertes à Dole Samedis 14 mars et 4 avril - 9 h/13 h Enseignement Supérieur

www.L3pmres.info - Tél. 03 84 79 75 00

expressions

La parole à

Yves Colombo Chef d’établissement du Lycée Pasteur - Mont Roland

Qu’est-ce qu’aujourd’hui la Grande Ecole ? Je dirais aujourd’hui que mon établissement est une fédération de 3 établissements autour d’un projet commun : le lycée professionnel, le lycée général et technologique et l’enseignement supérieur qui ont gardé des savoir-faire différents (projet pédagogique propre à chaque entité, management des équipes adapté en fonction des jeunes…) correspondant au public accueilli. Mais nous sommes tous « ensemble » autour d’un projet d’établissement commun que l’on décline de diverses façons pour le bien de nos 1 100 lycéens, étudiants et apprentis. Comment appréhendez-vous la réforme des lycées ? Pour le lycée professionnel nous avions un peu d’avance . Les équipes pédagogiques travaillent sur cette réforme depuis deux ans et à la rentrée 2008 nous avons ouvert les premiers Bacs Pro 3 ans. Je pense qu’avoir réduit le nombre d’années en lycée professionnel de façon à ce que le cursus soit le même qu’en lycée général est une bonne chose. Nous aurons donc à la rentrée 3 bacs professionnels rénovés et nous participons à la réflexion sur les certifications intermédiaires pour les jeunes qui quitteraient le système sans diplôme. Pour le lycée général et technologique la réforme a été repoussée en 2010, mais je dirais que le Lycée Pasteur MontRoland a mis en place dès la rentrée 2004 un premier aspect de cette réforme. Cela nous a permis de : - diminuer le nombre de redoublement en Seconde par la mise en place de soutien et de cours en petits groupes (temps aménagés) - d’élever sensiblement le niveau de maîtrise des langues vivantes étrangères - d’augmenter le nombre d’inscriptions post-bacs. Tous ces points sont listés dans la future réforme et je pense qu’ils sont essentiels. Nous avons, comme d’autres établissements en France, anticipé la réforme du lycée et nous nous intéressons de près aux modalités de l’expérimentation. Que représente aujourd’hui l’enseignement catholique au lycée Pasteur Mont-Roland ? L’enseignement catholique est un réseau d’établissements. Sur le secteur dolois, les établissements catholiques (écoles, collèges et lycées) sont regroupés en un réseau appelé P.R.U.N.A. Notre lycée, sous tutelle des Frères des Ecoles Chrétiennes, fait également partie du réseau Lasallien, 1er réseau congréganiste de France. A une époque on parlait de catéchisme, prière du matin, messe journalière… aujourd’hui, nous vivons un autre temps. C’est toute la vie de l’établissement, son organisation, ses pédagogies, le mode d’exercice des responsabilités, le climat relationnel qui constituent le champ de l’animation pastorale…

www.lyceepasteur-roland.com

Enseignement Professionnel et Enseignement Général et Technologique

www.lyceepasteur-roland.com - Tél. 03 84 79 66 01

#

La

Grande Ecole

Professionnel Général et technologique Supérieur

à tous niveaux

Sous contrat d’association avec l’Etat

Une situation géographique idéale - Au cœur du centreville de Dole et à 3 minutes des gares routière et ferroviaire, le lycée et l’internat se trouvent très bien desservis par les transports urbains.


2

La Grande Ecole de l’Enseignement

#

expressions

La parole à

Fréderic Cossin Directeur-adjoint site Pasteur Le bac pro en 3 ans est mis en place depuis la rentrée 2008, quels en sont les avantages ? Les élèves sortant de troisième pourront obtenir un bac professionnel après trois années de formation, soit l’équivalent des bacs généraux et technologiques. Il permet aux jeunes de se spécialiser dans un champ professionnel grâce à une période de formation en entreprise de 22 semaines réparties sur les 3 ans. La mise en place des passerelles est essentielle. Les passerelles ? L’objectif est de permettre à un élève de seconde ou de première générale ou technologique, de se réorienter directement en 1re bac pro. Des heures de remise à niveau dans le champ professionnel dominant seront proposées. Le même dispositif existe pour les élèves ayant obtenu un CAP souhaitant rejoindre un bac pro. Alors fini le CAP et le BEP ? Non, les CAP restent en place dans les lycées professionnels ainsi que quelques BEP. Notre établissement propose le BEP carrières sanitaires et sociales. De plus pour les élèves de bac pro, lors de la deuxième année de formation, ils pourront se présenter à un examen intermédiaire du CAP ou du BEP. Dans notre établissement, les équipes pédagogiques mettent en place un accompagnement personnalisé afin d’aider les élèves à obtenir cette certification. Devenir ingénieur après un bac pro, c’est possible ? Bien sûr, je vous cite l’exemple d’un élève qui après avoir obtenu son bac pro systèmes électroniques numériques, a poursuivi ses études en BTS audiovisuel et en formation d’ingénieur du son. Mais attention, les entreprises n’embauchent pas que des ingénieurs !

L’Unité Pédagogique d’Intégration : “une petite famille” “Du soutien, de la confiance, de la patience…” autant d’atouts évoqués par Mathieu, Jessica et Etienne, élèves de l’UPI au lycée Pasteur Mont-Roland. “Les professeurs nous aident et nous rattrapons le niveau à notre rythme” explique Mathieu. Un dispositif d’insertion mis en place depuis 2003, qui vise à prendre en charge des jeunes handicapés mentaux et/ou déficients intellectuels en milieu ordinaire pendant 2 à 4 ans. “L’objectif de cette structure est d’aider les jeunes à progresser dans leurs apprentissages, à consolider leurs acquis pour qu’ils puissent trouver un emploi adapté à leurs capacités ; chaque élève bénéficiant d’un parcours professionnel individualisé” ajoute Mme Henault, coordinatrice. La meilleure source d’intégration pour ces jeunes c’est la vie du lycée, avec le self, la chorale... comme tous les autres jeunes, c’est un excellent tremplin à la vie sociale. Ces jeunes effectuent aussi de nombreux stages en entreprises et collectivités. Nous en profitons pour lancer un appel aux entreprises qui souhaiteraient accueillir en stage un jeune de l’UPI, elles peuvent nous contacter au 03 84 79 66 14.

Professionnel et Post BAC

Choisir sa formation en fonction d’un projet professionnel

Lycée sous contrat d’association avec l’Etat

Lors de la préparation de son orientation, il est important qu’un jeune se pose les bonnes questions. Quels sont mes centres d’intérêts ? Qui suis-je ? Quel est mon projet professionnel ? Comment je me situe sur le plan scolaire ? Quelques exemples :

J’aime :

Pour cette rentrée 2008, les

Réparer ou dépanner des biens, analyser le fonctionnement, travailler dans le milieu industriel…

nouveaux BACS PRO 3 ANS ont

Je choisis :

BIENVENUE AUX BACS PRO 3 ANS

fait leur entrée dans le cursus de la formation professionnelle. Après la 3e, ils ont pour objectif d’élever le niveau de qualification en portant un plus grand nombre des jeunes au niveau IV et ainsi de contribuer à renforcer l’attractivité de la voie professionnelle. Ils tendent aussi

Bac pro 3 ans Maintenance des équipements industriels. Poursuites d’études possibles : BTS Technico-commercial BTS Mécanique et automatismes industriels…

J’aime :

informer, communiquer, organiser, gérer et utiliser des outils de bureautique

La réussite ça compte ! 85,7% au Brevet

90,7% au BEP 92,3% à la Mention complémentaire

85,4% en BAC Professionnel

Je choisis :

Bac pro 3 ans secrétariat ou comptabilité Poursuites d’études possibles : professionnelle au regard des BTS Informatique et réseaux pour voies générale et technologique BTS Assistant de gestion PME/PMI l’industrie BTS Assistant de manager DUT Génie électrique… et répondre au mieux aux BTS Comptabilité et gestion des besoins du monde économique. J’aime : animer, écouter, servir, organisations. Se substituant aux BEP, ces travailler avec les enfants ou dans le J’aime : mettre en œuvre des monde hospitalier. diplômes s’obtiendront en trois systèmes vidéos, numériques, ans au lieu de quatre (BEP + BAC Je choisis : BEP Carrières saniélectroniques, électrodomestiques, taires et sociales pro) et permettront l’entrée en alarmes et sécurité… Poursuites d’études possibles : BTS. Le lycée Pasteur MontJe choisis : Bac pro 3 ans Bac Techno ST2S Roland a accueilli ces nouveaux Systèmes électroniques et numéMention complémentaire aide à rythmes de formation dès la riques. domicile rentrée 2008. Quatre formations Poursuites d’études possibles : BTS SP3S (Services et prestations BTS Domotique des secteurs sanitaire et social) sont ainsi proposées :

à affirmer l’égalité de la voie

G Bac

Pro MEI :

Maintenance des Equipements Industriels G Bac

Pro SEN

Systèmes Electroniques Numériques G Bac

Pro Secrétariat

G Bac

Pro Comptabilité

Renseignements : www.lyceepasteur-roland.com

DTMS :

DIPLÔME TECHNICIEN DES METIERS DU SPECTACLE - OPTION HABILLAGE Cette formation est l’équivalent d’un bac, et permet d’exercer le métier d’assistant création costume habilleuse dans le domaine du cinéma, du théâtre, du cirque... Pour être admis il faut soit : - un CAP ou un BEP dans le milieu de l’habillement - un brevet des métiers d’art - un bac pro artisanat et métiers

d’art ou métiers de la mode - un bac général ou technologique. La formation est de deux ans dont 16 semaines de formation en milieu professionnel en France ou à l’étranger. Possibilité de poursuite d’études en DMA, DEUG ou formations complémentaires.

Des périodes de formation en Europe

G

râce à l’adhésion aux programmes européens, le lycée Pasteur Mt Roland permet à des jeunes des filières de DTMS (technicien des métiers du spectacle), de DMA (diplôme des métiers d’art option costumier), de bac pro industriel ou ter-

tiaire, de réaliser leur période de formation en entreprise dans un pays européen : Suède, Espagne, Italie, Autriche, Tchéquie, Belgique, Luxembourg… Chaque année une vingtaine d’étudiants sont concernés par ces échanges.

Samedis 14 mars et 4 avril 9h /13h

Journées PORTES OUVERTES Enseignement Professionnel et Post Bac Site Pasteur - 9 avenue Rockefeller - DOLE www.lyceepasteur-roland.com - Tél. 03 84 79 66 10

Les formations Formation Professionnelle • 3e

Découverte Professionnelle 6 heures • BEP Carrières Sanitaires et Sociales • Mention Complémentaire Aide à domicile • BAC PRO 3 ANS - SEN Systèmes Electroniques Numériques • BAC PRO 3 ANS - MEI Maintenance des Equipements Industriels • BAC PRO 3 ANS Secrétariat ou Comptabilité • FCIL Formation Secrétariat médical Métiers d’Art • Diplôme

de Technicien des Métiers du Spectacle, option habillage • Classe Préparatoire au Diplôme des Métiers d’Art • Diplôme des Métiers d’Art option Costumier Réalisateur Enseignement Spécialisé • UPI

Unité Pédagogique d’Intégration (après 16 ans)

LA TROISIÈME DÉCOUVERTE PROFESSIONNELLE « Nous ne regrettons pas notre choix. Notre fils M…… a trouvé sa voie ; ses résultats nous le confirment ainsi que son attitude. » C’est ainsi que les parents jugent l’évolution de leur enfant. Les élèves de 4e rencontrant des difficultés dans le modèle scolaire classique peuvent entrer en 3eDP6. Le socle commun du programme de troisième intègre six heures de découverte professionnelle. Ainsi, les élèves peuvent découvrir les métiers de l’industrie et des services. Ce module de découverte leur permet de concrétiser leur projet professionnel. De plus leur formation est complétée par trois stages d’une semaine dans le milieu professionnel. Les élèves sont entourés par une équipe pédagogique, qui les conseille sur l’orientation et leur redonne confiance en eux.


La Grande Ecole de l’Enseignement Général et Technologique

www.lyceepasteur-roland.com

et approfondissement. Nous souhaitons ainsi rendre tous les ateliers pédagogiques plus lisibles. Il s’agit de donner une identité claire à nos sections et de préparer et faciliter l’orientation des lycéens vers une première ou une terminale. Le choix d’une spécificité en seconde n’est pas déterminant mais reste une aide pour la suite de leur parcours. L’orientation vers les Etudes Supérieures, toutes les clés pour effectuer le bon choix !

Le temps scolaire s’organise… Du lundi au vendredi, de 8 h 00 à 17 h 30, le site Mont-Roland travaille depuis quatre ans avec des horaires aménagés. Les séquences de cours durent 45 minutes. Les enseignants proposent ainsi aux élèves, sur le temps disponible, un parcours individualisé sous la forme d’ateliers de soutien, d’approfondisssement ou d’ouverture.

Les formations • Bac

Général Série S (spécialités maths, physique-chimie, SVT ou sciences de l’ingénieur)

• Bac

Général Série ES (spécialités sciences économiques, anglais, italien, maths) • Bac

Général Série L (spécialités anglais et italien) • Bac

Technologique Sciences et Technologies de la santé et du social (ST2S) • FCIL

Préparation aux Concours Paramédicaux et Sociaux

Les options en seconde La Langue Vivante 2 est obligatoire Une option obligatoire à choisir : • Sciences Economiques et Sociales • Mesures Physiques et Informatiques • Biologie de Laboratoire et Paramédicale • Initiation aux Sciences de l’Ingénieur • Sciences Médico-Sociales • LV3 Italien Une option facultative possible : • EPS, Arts plastiques ou LV3 italien, latin (grec possible mais au cas par cas).

Des secondes optionnelles tout en couleur ! Les quatre classes de seconde ont chacune une spécialisation correspondant à une coloration précise : “bleu” pour la classe sciences et techniques, “vert” pour la classe bilangue anglais/allemand ou anglais/espagnol, “violet” pour la classe biologie et santé et “orange” pour la classe média et société. Deux ateliers hebdomadaires spécialisés de 45 minutes sont dispensés par l’équipe enseignante en fonction de cette coloration. A côté des deux ateliers d’approfondissement, deux autres ateliers de 45 minutes de soutien seront intégrés dans l’emploi du temps des élèves permettant d’équilibrer entre soutien

Sur le site Mont Roland, en matière d’orientation, la priorité est donnée à l’information, au conseil et au soutien pour aider le jeune à trouver sa voie. Dès la seconde, un stage d’observation en entreprise est obligatoire. En Terminale, une journée est organisée pour aller au salon de l’Etudiant à Lyon. Une rencontre obligatoire pour les premières et les terminales se déroule au lycée avec les anciens élèves. Les élèves de la filière SMS rencontrent également des professionnels de la santé, du sanitaire et social qui présentent leur métier. Par ailleurs, le professeur principal joue le rôle d’un conseiller dans l’orientation proposée, car il connaît bien chaque élève, le cursus scolaire de chacun. Et au final c’est l’élève qui fait son choix. Des devoirs surveillés et des bacs blancs pour s’entraîner A la rentrée prochaine, tous les élèves qu’ils soient en seconde, première ou terminale auront un DS par semaine de 1 h 30 / 2 h, intégré dans leur emploi du temps pour s’entraîner aux examens dans les conditions du baccalauréat. Ceci en plus des contrôles organisés pendant les cours par chaque professeur. Deux bacs blancs complets avec toutes les matières de l’écrit et de l’oral sont organisés pour les terminales. Les épreuves anticipées de première sont également préparées par tous les élèves.

CONFÉRENCES DES MÉTIERS : LES MÉTIERS AU CŒUR DES ÉCHANGES

L

expressions

La parole à

Fréderic Hanchin Directeur-adjoint, site Mont-Roland

Aujourd’hui, la voie générale proposée au lycée Pasteur Mont Roland ouvre aux baccalauréats littéraire, scientifique et économique. Quels en sont les attraits ?

Posséder un baccalauréat général, c’est la porte d’entrée pour des études longues ou courtes : à l’Université, en lycée (BTS), dans les écoles d’ingénieurs, les grandes écoles, mais aussi pour de nombreux concours... Comment cela s’organise ?

L’année de seconde est une année d’orientation. Les options choisies par le lycéen lui laissent le maximum de possibilités pour choisir sa série de première, en fin de seconde. A qui s’adresse la voie technologique ?

La voie technologique est un équilibre entre les filières générales et professionnelles. Les options choisies en seconde par l’élève restent avant tout une découverte et ne prédéterminent pas du choix de son futur bac. Ce n’est pas parce qu’un élève choisit l’option sciences économiques qu’il est obligé de poursuivre sur un bac sciences économiques à la fin de son année de seconde. Le bac ST2S est fait pour les élèves qui souhaitent travailler dans le milieu sanitaire et social : aider les enfants, les malades, les personnes âgées en milieu hospitalier, ainsi que les personnes en difficulté d’insertion dans les structures sociales. Il remplace le bac SMS. Le bac ST2S cible davantage les études courtes mais ouvre à un certain nombre de concours : notamment ceux d’infirmières, d’assistantes sociales, d’éducateurs spécialisés.

e principe de ces conférences ? Faire

tableau clair et visible des parcours

venir d’anciens élèves du lycée Pas-

d’accès à ce métier, combattre les fausses

Comment s’effectuent les inscriptions ?

teur Mont Roland, déjà profession-

représentations, et démystifier certaines

nels, afin qu’ils présentent leur parcours

professions. Six conférences ont été pro-

d’études, leur métier avec ses contraintes

grammées sur l’année 2008-2009, avec

et ses attraits. Des conférences fondées sur

l’intervention d’un chercheur au CNRS,

le dialogue et les échanges. Des confé-

d’une assistante sociale, d’un docteur en

rences basées sur la diversité avec chaque

pharmacie, d’une kinésithérapeute. Les

mois la présence d’un intervenant différent

prochaines conférences se dérouleront le

de 16 h 45 à 18 h 30. Avec une triple

lundi 16 mars avec Mlle Pelin, journaliste

Les modalités sont très simples. Il suffit d’effectuer une demande de dossier directement au lycée. Lors des journées portes ouvertes, les dossiers pourront être retirés. Ensuite je reçois chaque jeune avec ses parents. Le but de cet entretien est de cerner le projet de l’élève et de lui proposer la meilleure orientation. Enfin j’expose le projet pédagogique du lycée.

ambition : présenter de façon objective les

radio et le lundi 11 mai avec M. Grenier,

atouts et les enjeux d’un métier, dresser un

éducateur spécialisé.

Samedis 14 mars et 4 avril 9h /13h Journées PORTES OUVERTES Enseignement Général et Technologique Site Mont Roland - 55 bd Wilson - DOLE Lycée sous contrat d’association avec l’Etat

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La réussite ça compte !

100% de bacheliers en filière L 74% de bacheliers en filière ES 87% de bacheliers en filière S 89% de bacheliers en filière SMS 92% de bacheliers en filière STI


4

La Grande Ecole de l’Enseignement Supérieur

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Les formations

La parole à

Annie Delvaux

Les BTS en apprentissage • BTS Assistant de gestion PME-PMI • BTS

Commerce international

Directrice-adjointe, site Don Bosco

• BTS Comptabilité et gestion des organisations • BTS

Domotique*

• BTS

Informatique de gestion*

• BTS

Négociation et Relation

client • BTS

Professions immobilières

• BTS

Technico-commercial* • BTS Economie Sociale et Familiale en contrat de professionnalisation • BTS

Management des Unités Commerciales en contrat de professionnalisation *partenaire du CFAI

Les BTS en formation initiale • BTS

Assistant Manager • BTS Comptabilité et gestion des organisations • BTS Informatique de gestion • Nouveauté BTS SP3S Services et prestations des secteurs sanitaire et social (voir ci-contre)

Les ETUDES post BTS • Administrateur

des Systèmes d’Informations (niv. 2) • Diplôme de comptabilité et de gestion (ex DECF) (niv. 2) • Technicien en Gestion des Ressources Humaines Autre formation : Stage INSER (Stage insertion de public handicapé)

LA FORMATION OUVERTE À DISTANCE (LA FOAD) : LES NOUVELLES TECHNOLOGIES À L’HONNEUR Nous avons mis en place de façon effective la FOAD depuis cette année. Il s’agit de cours de soutien en français, en anglais, en mathématiques et méthodologie à partir d’un outil informatique permettant un suivi individualisé. Cet outil à distance demeure la forme d’apprentissage

expressions

Annie Delvaux, vous êtes responsable de l’enseignement supérieur, une étape importante dans la vie d’un jeune, étudiant ou apprenti ?

Une culture d’engagement… Les Jeunes du site de Don Bosco ont fait un choix : suivre une formation post bac. Ils doivent respecter leur engagement avec enthousiasme et sérieux pour obtenir leur BTS. “L’important n’est pas le temps nécessaire pour l’obtenir, mais bien de l’obtenir !” nous rappelle Annie Delvaux. Aussi, c’est une véritable philosophie de vie qui est engagée au sein du lycée. Apprendre et comprendre Les élèves qui préparent un BTS sont destinés à occuper des postes à responsabilité qui nécessitent des capacités de réflexion et d’analyse. En postBAC, apprendre un métier est fondamental, en comprendre l’organisation est tout aussi important car les étudiants devront par la suite être capables d’analyser et gérer toutes situations. Dans ce sens, notre équipe enseignante insiste vivement au quotidien sur ces fondamentaux. Aider et accompagner Chaque semaine, le responsable de dispositif prend le temps de faire un point avec ses étudiants Ce dernier peut ainsi déceler les problèmes de la vie de groupe ou les difficultés d’un jeune. De plus, nous proposons aux jeunes qui en ont besoin, quatre heures d’ateliers de remédiation par quinzaine afin de combler d’éventuelles lacunes. En fin de chaque quinzaine de présence au lycée,

OUVERTURE D’UNENOUVELLE SECTION : LE BTS SP3S

SERVICES ET PRESTATIONS DES SECTEURS SANITAIRE ET SOCIAL

Ce nouveau BTS prépare à des métiers du sanitaire et du social pour évoluer vers des métiers d’assistance administrative dans des structures de protection sociale et d’aide à domicile. Il n’en existe que deux dans toute l’académie de Franche-Comté. Le BTS SP3S favorise l’insertion professionnelle mais il est aussi un tremplin pour la poursuite des études en faculté.

les étudiants peuvent s’inscrire à des ateliers thématiques pour revoir certains cours. Sensibiliser à la création d’entreprise Inciter les jeunes à créer leur entreprise, les sensibiliser à une démarche de création en proposant deux temps forts sur l’année scolaire, telle est l’ambition de la cellule école-entreprise mise en place par l’association “Entreprendre et Réussir”. Pendant une semaine consacrée au jeu d’entreprise, les étudiants en 2e année de BTS travaillent en équipe, apprennent à se connaître et montent leur projet d’entreprise. “Cette action, permet aux étudiants de mieux appréhender le monde de l’entreprise et ses contraintes” explique Nicole Bougault, responsable de ces interactions. Un esprit d’initiative à l’œuvre également pour les Bacs+3 qui doivent trouver une idée de projet, le mettre en place et gérer les financements.

UN DISPOSITIF SPÉCIFIQUE : LE STAGE INSER Ce stage conventionné par le Conseil Régional de Franche-Comté et l’AGEFIPH a comme ambition de favoriser l’insertion professionnelle et sociale de personnes handicapées mentales en milieu ordinaire de travail. Un stage qui permet à une quinzaine de jeunes demandeurs d’emploi entre 16 et 30 ans d’acquérir des comportements professionnels destinés à les adapter au milieu du travail et de développer leur autonomie. Contact : Martine Miguel de la Torre Tél. 03 84 79 75 00

Oui, en effet, pour la plupart de nos jeunes, c’est la dernière étape avant la vie professionnelle. Il est donc primordial pour eux de réussir. Nous sommes là pour les aider, on ne prépare pas un BTS au hasard, il faut de la volonté, l’envie de travailler pour bâtir un projet professionnel sérieux. L’important ce n’est pas le nombre d’années qu’il a fallu pour obtenir un diplôme, mais bien de posséder les compétences pour trouver un emploi. Pour cela, au Lycée Pasteur Mont-Roland, nous proposons en temps plein ou en alternance, 13 BTS en deux ans et 3 formations post BTS. A quoi est dû le succès de ces formations en deux ans ? Les BTS permettent aux étudiants d’acquérir des connaissances théoriques et des compétences techniques. Ainsi, le BTS prend de l’importance et constitue désormais un tremplin pour accéder aux licences professionnelles. Si le BTS reste un moyen rapide d’accéder à une qualification professionnelle avec un débouché direct sur un métier, il tend désormais à être valorisé et offre la possibilité aux jeunes après un bac+2 de poursuivre des études en licence. Deux BTS permettent de suivre un cursus supérieur sur place à Dole : BTS informatique de gestion et BTS comptabilité et gestion des organisations. Comment choisir au lycée entre une formation à temps plein ou en alternance ? Avant son entrée au lycée, chaque jeune est reçu, par le responsable de dispositif, spécialiste du diplôme. Lors de cet entretien, plusieurs points sont abordés : la filière choisie, le diplôme que le jeune souhaite préparer, mais aussi les réalités du métier envisagé, ses exigences, les compétences et qualités requises... Ainsi, il dispose de tous les éléments pour choisir la façon qui lui conviendra le mieux pour obtenir son diplôme. La voie de l’apprentissage exige plus de travail et d’investissement, mais l’insertion professionnelle est ensuite plus rapide.

La réussite ça compte !

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L’ALTERNANCE ECOLE-ENTREPRISE, PILIER DU BTS EN APPRENTISSAGE Le point fort du BTS en apprentissage réside dans son système d’alternance école-entreprise. Une formation gratuite sans frais d’étude (prise en charge soit par l’entreprise soit par le Conseil régional de Franche-Comté) et qui fait ses preuves. Salarié de l’entreprise, le jeune acquiert les bases d’un apprentissage professionnel qui débouchera souvent sur un emploi au sein de l’entreprise où il a effectué son alternance.

de réussite en BTS

75% des élèves trouvent un emploi après 6 mois

adaptée aux jeunes d’aujourd’hui. C’est un support pédagogique et ludique.

Samedis 14 mars et 4 avril

Il s’adresse aux jeunes de BTS première année qui ont des difficultés dans les matières citées ci-dessus. Cet outil

Journées PORTES OUVERTES

d’apprentissage à distance va de paire avec la mise en place d’un livret de suivi numérique et interactif pour les

Enseignement Supérieur

étudiants en alternance. Il sera mis en ligne en 2009 et sera testé par les

Site Don Bosco - 27 rue Pasteur - DOLE

apprentis et les entreprises du BTS informatique de gestion.

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La Grande Ecole à tous niveaux. Journal du Lycée Pasteur Mont-Roland - n°4 - Rédacteur en chef : Yves Colombo - Conception rédaction et réalisation : Paoh ! Dole


C U LT U R E COLLÉGIALE

■ DOLE / LA COMMANDERIE / HUMOUR ONE-MAN SHOW / SAMEDI 21 MARS

■ DOLE / ANNIVERSAIRE

“J’ai toujours été un clown”

Première pierre 500 ans après

De la finance à l’humour, c’est le parcours de François Xavier Demaison suite à l’effondrement des tours du 11 septembre vécu comme un électrochoc. L’histoire d’une reconversion que l’humoriste traduit dans ce one man show intitulé “Demaison s’envole” à travers des personnages fantasques et décalés, entre un vieux boxeur à la retraite, une grand-mère russe et même un castor. Nul doute que le 21 mars Demaison s’envolera à La Commanderie.

D’où vient le titre de votre spectacle “Demaison s’envole ?” “Demaison s’envole” correspond à la version la plus aboutie du spectacle. Celle qui nous a permis de rencontrer le succès, grâce au succès je me suis envolé !

En quoi consiste ce spectacle ? De quoi vous inspirez-vous ? Je m’inspire de mon vécu, de mon imaginaire. Une histoire mettant en scène mes 15 personnages qui s’inspirent de ma vie. Le seul but de ce spectacle est de faire rire les gens et de les faire voyager un peu.

Comment composez-vous vos personnages ? Ce sont soit des rencontres soit des personnages qui sor-

tent de ma folie ! Ils ont tous une fêlure, ils sont bourrés d’humanité, je les aime vraiment. Même le petit castor Bitou ! Ce ont des personnages qui parlent à tout le monde.

La comédie, c’était un rêve de gosse ? Comment devient-on humoriste après fiscaliste ? Les attentats du 11 septembre 2001 ont-ils été un déclic ? Fiscaliste, c’était une parenthèse. Ma passion c’est le spectacle, ça l’a toujours été. Pour faire plaisir à mes parents, j’ai passé le bac, fais des études et endossé un costume qui n’était pas le mien. J’ai toujours été un clown qui voulait faire rire les gens. Alors j’ai fermé la parenthèse de fiscaliste. Le 11 septembre a été l’accéléra-

La célébration de la pose de la première pierre de la Collégiale le 9 février 1509, un moment important de l’histoire de l’édifice. Un hommage rendu 500 ans plus tard le lundi 9 février devant la sacristie de la Collégiale, qui pour l’occasion avait ouvert ses portes dévoilant un pan de sa restauration avant une ouverture officielle au public le 31 mai, sous le sceau des festivités de la Pentecôte.

teur d’une introspection. La prise de conscience que je ne voulais plus perdre ma vie à la gagner et je me suis rendu compte que ma place était sur scène.

Comment avez-vous géré ce succès fulgurant ? Pensez-vous que le public se reconnaisse dans les personnages que vous interprétez ? Ce sont des personnages originaux, très populaires, que je défends avec sincérité alors forcément ils s’y reconnaissent, ça parle a tout le monde.

Le sketch “le castor”, est-ce une histoire vraie ? Oui, c’est une histoire vraie ! À l’origine, c’est un cochon d’Inde mais pour le sketch, je l’ai transformé en castor ! Mes parents ne voulaient

plus de mon cochon d’Inde à la maison, alors on l’a abandonné dans une forêt… ça m’a traumatisé.

Qu’appréciez-vous dans le fait d’être sur scène ? Quelles sensations cela vous procure t-il ?

Vous incarnez Coluche. Quels souvenirs gardezvous de cette expérience ?

C’est beaucoup d’amour reçu. Une sensation que je ressens nulle part ailleurs.

C’est une expérience magnifique, extrême, un travail d’acteur reconnu par mes paires puisque je suis nommé au césar du meilleur acteur.

Propos recueillis par Chloé Chamouton

Samedi 21 mars à 20 h 30. Point Info spectacles. 1 cours Georges Clémenceau Tél. 03 63 36 7000

Alan Stivell “degemer

mat Pays Dolois !”

Alan Stivell, bonjour au Pays Dolois ! Ambiance celtique à La Commanderie qui le temps d’une soirée sera rythmée par la harpe celtique du troubadour Alan Stivell, dans une alliance entre tradition bretonne et modernité rock électronique et les cornemuses écossaises du scottish pipe Band. Kilts, un cocktail celtique entraînant, un souffle d’Eire pour un voyage au cœur des landes, des grèves et de la civilisation celtique. Gwenhadus, kilts, cornemuses, harpes, Dole se mettra au diapason de la Celtie le samedi 14 mars à 20 h 30. beaucoup de gens ont bien compris qu’il faut trouver une voie médiane entre la fermeture sur soi et un plongeon dans un monde totalement uniformisé. La musique celtique est fraternelle.

Où puisez-vous votre inspiration ? Mes inspirations expriment ma vie dans la diversité du monde, des sentiments, des savoirs, sans exclure mon attachement et ma passion pour la Bretagne et la Celtie.

de la culture et du propos.

Une occasion de faire la fête en célébrant la celtitude. Bien sûr, depuis les années 70, la musique est le vecteur majeur de communication pour la Culture bretonne et ses cousines celtes. Ce que j’ai toujours essayé de faire ressortir, c’est la modernité

Mélanger mes racines celtiques avec toutes les sortes de musiques, de styles et de techniques imaginables, c’est en ef fet ma démarche, depuis mes tous débuts au milieu des années 60. J’étais le premier à le faire dans le monde celte. Aujourd’hui,

Dans votre dernier album “Explore “, vous mélangez anglais, français, breton et traitez de thèmes d’actualité. Quel est le sens de ces différents mariages ?

“Oyez oyez gentes dames et damoiseaux l’histoire de la Collégiale, la naissance d’un édifice entre Moyen-Age et Temps Modernes”.

Une première pierre symbole de l’identité doloise

DOLE / COMMANDERIE / SAINT PATRICK / 14 MARS

Que représente pour vous la Saint Patrick ? Pensezvous que la musique celtique demeure un vecteur essentiel pour faire connaître une langue, une culture ?

Jacky Theurot avait revêtu le costume d’époque pour présenter les étapes importantes de l’histoire de l’édifice.

De nombreux artistes et groupes de musique celtique revendiquent la filiation “Alan Stivell”. Nombreux, parmi lesquels le groupe de rock breton nantais Daonet, ont été ceux qui ont repris Tri Martolod en l’agrémentant à leur manière. Avez-vous conscience d’avoir contribué à l’essor de la vague celtique ? C’était un rêve d’enfance, puis d’ado. Je me suis beaucoup investi et j’ai eu la joie de voir ma démarche porter ses fruits, ceci très rapidement. Tout a démarré en 1970 avec mon premier album professionnel “Reflets”, suivi de “Renaissance de la harpe celtique” et surtout

mon “Live à l’Olympia”. Parfois je trouve qu’on compte un peu trop sur moi pour lancer de nouvelles “vagues celtes”. Il va bien falloir que d’autres prennent vraiment le relais. Et ce n’est pas seulement la musique (les talents existent), c’est promouvoir et communiquer.

Quels morceaux de votre répertoire avez-vous prévu de jouer à La Commanderie à Dole ? Mes concerts de PrintempsEté rappellent encore ceux de ma tournée Explore et annoncent déjà l’album et la tournée suivante. Il y aura déjà du neuf et aussi des reprises.

Quel message souhaitezvous délivrer aux Dolois du Jura ? J’aime beaucoup le Jura. On peut y trouver, plus facilement qu’en Bretagne, des

endroits peu fréquentés ou habités. Je crois que les Jurassiens comme les Bretons attachent de l’importance aux choses vraies, à la nature.

Quels sont vos projets ? Vos souhaits pour cette nouvelle année 2009 concernant la Bretagne ? Je suis en plein travail pour mon nouvel album (sortie prévue en Octobre). C’est pourquoi je me limite à une mini-tournée, dont Dole est la deuxième date. Une grande tournée se prépare pour 2010. Pour la Bretagne je souhaite ardemment que nos espoirs de réunification (Nantes), l’officialisation de notre langue ne soient pas déçus.

La Collégiale avait ouvert ses portes lundi 9 février 2009 pour célébrer la pose de sa première pierre le 9 février 1509. L’occasion pour Jacky Theurot, habillé en costume d’époque de se replonger dans l’histoire de la Collégiale, rappelant les dates importantes de la naissance de cet imposant bâtiment à la puissance architecturale “symbole de l’imprégnation religieuse mais aussi de l’identité doloise à travers son clocher gigantesque” comme l’a rappelé le maire de Dole Jean-Claude Wambst. Le tout dans une ambiance médiévale, avec des interludes musicaux assurés par un troubadour de la troupe jurassienne Maruzala, Luc Burbaloff. Témoin de ce moment historique, les lettres gothiques inscrites dans la pierre du linteau de la sacristie.

Une collégiale restaurée Une Collégiale qui a dévoilé une partie de sa restauration, la réouverture officielle s’effectuant le samedi 30 mai après deux années de travaux menés grâce au concours financier de l’Etat et des col-

lectivités territoriales. “Le but de ces travaux de restauration n’était pas de remettre à neuf mais bien de retrouver les enduits d’origine” a fait remarquer L ysiane Duc, guide. Protection des éléments de l’église, à savoir sol, coffrage de l’orgue, du mobilier, consolidation des voûtes, travail sur la ferronerie, nettoyage des chapelles latérales, autant d’étapes effectuées sous l’égide de Paul Barnoud, architecte en chef des monuments historiques. Des travaux qui ont permis de mettre à jour des trésors patrimoniaux parmi lesquels des piliers de nefs avec des séries de croix bleues, des éléments de décors, des couleurs et de renouer avec la luminosité naturelle de l’édifice. Des piliers qui se pareront également des douze toiles de Laurent Pécheux en restauration. Une célébration de la pose de la première pierre qui a trouvé son apogée dans la projection de la multivision “Notre Dame de Lumière”, mélange de photographies, de mises en scènes costumées, retraçant 500 ans d’histoire de la Dame de Lumière, contés par la Collégiale elle-même. Retour sur 500 ans d’histoire... prochaine étape sur le parcours de cette célébration: les festivités de la Pentecôte. Chloé Chamouton

Propos recueillis par Chloé Chamouton

www.alan-stivell.com Samedi 14 mars à 20 h 30 La Commanderie à Dole Point Info spectacles Cours Georges Clémenceau Tél. 03 63 36 7000

Des kilts, des binious… et de la guiness Tradition celtique à l’honneur avec le Scottish Pipe Band. Au programme, une pincée de cornemuses écossaises (biniuo bras), le tout saupoudré d’un pupitre de batteries avec des kilts sur la scène de La Commanderie. Des kilts, des binious, de la guiness, ambiance écossaise et verte Erin. Né il a 50 ans, ce pipe band composé de 60 membres ont participé au spectacle d’André Rieu et feront l’ouverure des JO d’hiver de Vancouver au Canada en 2010.

Les lettres gothiques scellent dans le minéral la pose de la première pierre le 9 février 1509. Pays Dolois - mars 2009 - 17


C U LT U R E ■ DAMPARIS / SALON CREATIONS PASSIONS / 28 ET 29 MARS 2009

■ DOLE / THEATRE / LE SYSTEME RIBADIER / 24 MARS

À l’honneur animations et créations

Bruno Solo ou l’art d’être infidèle

Créations, passions, animations et gastronomie, tels sont les ingrédients des deux manifestations le salon Créations Passion et la foire de printemps organisée le dimanche 29 mars. Peinture sur soie, aquarelles, pastels, huiles sur toile, sculptures, céramiques, calligraphies, bijoux en perles de verre autant de facettes artistiques qui se dévoileront lors du salon créations passions les 28 et 29 mars de 9 h à 18 h.

Damparis placée sous le signe d’une double animation avec le salon créations passion sur deux jours, les 28 et 29 mars et la foire de printemps le dimanche 29 mars. Au menu de cette édition 2009 du salon créations-passions, beaucoup de créativité avec une quarantaine d’exposants.

Facettes artistiques Une fête de printemps créée en 2001 qui permet à de nombreux artistes de présenter leurs créations sous toutes les facettes, de la peinture sur soie en passant par les aquarelles, la calligraphie, les poèmes illustrés, le point de

croix, les tableaux en relief, les sculptures sur bois, “D’année en année, de nouveaux artistes participent à la manifestation” s’enthousiasme André Albertini, en charge de la culture à la mairie de Damparis. Une manifestation dont l’atout repose sur les démonstrations artistiques et des expositions. Avec en guise de nouveauté, un pôle consacré à l’archéologie locale.

Un marché de printemps, foire gastronomique et artisanale Cette année, le salon créations passion se doublera d’une autre manifestation, à savoir un marché de prin-

temps le dimanche 29 mars, de 9 h à 18 h, organisé par l’amicale du personnel communal, permettant de diversifier l’offre festive pendant le week-end. Au menu de cette grande foire artisanale et gastronomique, une restaurationbuvette, une cinquantaine d’exposants dans des domaines divers, avec des produits locaux du terroir, de l’artisanat, du maquillage. Une foire qui sera rythmée par des animations : fête foraine, spectacles de danse assurés par des associations locales, (le club de danse country anywest de Chaussin, les Océanes damparisiennes, le club de danse orientale de la MJC de Dole) table du Luculus, grands concours de vélos décorés pour les enfants de 3 à 12 ans, autant d’ingrédients pour bien débuter le printemps. Damparis vivra pendant deux jours au rythme de l’art et des animations. Chloé Chamouton

Créations Passions : salle des fêtes. Marché de printemps : gymnase Auguste Delaune et parking du 1er mai. Entrée gratuite : 06 33 56 12 26

On le connaissait pour l’avoir vu dans “Caméra Café” aux côtés d’Yvan Le Bolloch. Ce joyeux trublion du petit écran l’est aussi sur la scène. Acteur dans “la Vérité si je mens” et comédien, il manie l’humour comme une arme, incarnant dans “le Système Ribadier” un mari infidèle qui hypnotise sa femme pour pouvoir profiter de ses maîtresses. Du burlesque, de l’humour, de l’acide, un cocktail vaudevillesque à savourer le 24 mars à la Commanderie. Bruno Solo réinvente le système Ribadier, pièce écrite par Georges Feydeau en 1892. L’histoire d’un homme qui hypnotise sa femme pour la tromper. “J’ai toujours beaucoup lu Feydeau, je connais bien ses pièces, elles me font rire. Sa façon de dynamiter le monde de la bourgeoisie par l’humour me plaît beaucoup” commente Bruno Solo. “Dans le personnage de Ribadier, j’aime son assurance et son côté fanfaron.” Mise en scène par Christian Bujeau, spécialiste de Feydeau, fasciné par “cette école du burlesque comme il le dit lui-même”, la pièce se révèle un vaudeville extraordinaire à la touche moderne

sous le jeu de Bruno Solo et d’Anne Jacquemin. La période choisie pour les costumes et les décors est de 1930, l’époque où les couturiers libèrent la femme et où les hommes sont en panama”. “Monter sur les planches, c’était une aventure avec la possibilité d’enrichir son personnage au fil des tournées”. Encore une autre facette que Bruno Solo dévoile, celle d’homme de théâtre. Humour, jalousie, mariage, tentation avec l’hypnose comme élément clé de l’intrigue, autant de thèmes du quotidien abordés par le système Ribadier. Ch.C

Mardi 24 mars à 20 h 30. Point Info spectacles, 1 cours Clémenceau - 03 63 36 70 00

■ DOLE / MUSIQUE / PATRICIA KAAS / 10 AVRIL 2009

La muse en son Kabaret Le 10 avril, Patricia Kaas fera son Kabaret à La Commanderie pour un show composé de douze nouvelles chansons dans une ambiance des années 30. Un album intitulé “Kabaret” sorti le 15 décembre qui se décline en spectacle pour un hommage au cabaret. Kabaret comme un double clin d’œil au nom de scène de Patricia Kaas et au Cabaret en langue allemande.

ENHCO ET COMPAGNIE À LA MJC DE DOLE : LA LIBERTÉ CRÉATIVE DU JAZZ Un quartet qui distillera un répertoire de compositions originales et de standards du jazz. Un groupe dirigé par Thomas Enhco, composé de quatre jeunes virtuoses qui s’est produit sur les grandes scènes parisiennes et aux côtés de Didier Lockwood. Entre jazz moderne et liberté créative, le quartet se laisse aller à toutes les variations. ouant ensemble depuis 10 ans, ils ont sillonné le monde, de Marciac à Pékin, de Vienne à Manille, de New York à l’Olympia… Esquisse, leur premier album, fruit de cette belle complicité, est sorti chez Ames, le label de Didier Lockwood, que les quatre comparses accompagnent fréquemment. Studio MJC, vendredi 27 mars à 20 h 30.

Après Sexe Fort en 2004, la chanteuse Patricia Kaas ouvre les portes de son Kabaret en douze chansons, un peu comme un retour aux sources de ce qui plaît à l’artiste. Le projet Kabaret ? un melting pot d’influences, dans une atmosphère années 30, entre le cabaret à Berlin, le jazz à Saint Germain et le tango à Buenos Aires. “Nous nous sommes entourés de professionnels en fonction de ces styles : Laurent Brifo qui a travaillé avec les Gotan Project pour le tango, les Caravan palace pour le côté jazz manouche.” commente Patricia Kaas. K comme Kabaret, K comme Patricia Kaas, mais surtout K comme un clin d’œil au cabaret en langue

allemande. “D’ailleurs le projet vient de là, de l’écoute d’une chanson allemande : la chance jamais ne dure”. En véritable “Addicte aux héroïnes”, ce Kabaret est une ode aux héroïnes des années 30, à Greta Garbo, Suzy Solidor, Coco Chanel, Martha Graham. Un hommage aussi à sa maman dans la chanson “une dernière fois”. Un spectacle conçu comme un Kabaret, avec un mélange de projections, de films, de sons, des passages de lecture, des moments de danse, le tout chorégraphié par Régis Obadia. “Kabaret est un vrai spectacle avec des projectiuons en noir et blanc, des nouvelles chansons mais aussi 50 % d’anciennes chansons réarrangées. C’est un mélange d’éléments qui m’ont touchée” confie Patricia Kaas. Ch.C

E TAT C I V I L NAISSANCES

Louane de Christophe GUYON et de Anne DROUHAIN, Foucherans Lilou de Michel VASSALO et de Laetitia GRAPENTIN, Dole. Aloyse de Thierry JACQUOT et de Karine GALAUD, Goux. Sofiane Stéphane VALETTE et de Peggy COLOMBO, Balaiseaux. Nolan de Fabrice MULLER et de Odette JACQUOT, Offlanges. Alexandre de Marc PAGNIER et de Sandrine EPAILLY, Parcey Louna de Cédric GRAPPIN et de Céline JACQUOT, Chaussin. Sohane de Fabien BICHOT et de Mélissa HAOUÈS, Tavaux. Mélyne de Christophe BOUBOULEIX et de Alexandra LAMAILLE, Amange. Justine de Joël ROUSSOT et de Nathalie TISSOT, Saint-Aubin. Valentin de Frédéric JURET et de Sandrine TRULLARD, Balaiseaux. Lucas de David MAIZIER et de Mélanie RIDET, Germigney. Mélina de Thomas AMIOT et de Natacha CHICAULT, Annoire. Aurélie de Cyril MONIER et de Delphine JOST, Offlanges. Pays Dolois - mars 2009 - 18

Lou de François LARUE et de Camille ABBIATECI, Dole Maxence de Julien ROYER et de Aurélie LEGRET, Chaussin. Rémy de Marc PONS et de Florence MALINE, Dole Lyloo de Stéphane ZARAGOZA et de Marylise CAFFIN, Dole. Candice de Jérôme GENCE et de Marie MINEUR, Chaussin. Flavie de Jean-Claude CÊTRE et de Aurore PEREIRA, Chaînée-des-Coupis. Matthieu de Olivier LACROIX et de Aline NKOKSAN, Biarne. Kenshin de Philippe PHOMMAVONGSA et de Laetitia GUY, Dole. Ophélie de Jean-Claude COCHEY et de Christel MOREL, Montbarrey. Thiméo de Jean-Alain PARIS et de Célina PERROT, Chaussin Lilou de Jean-Marie BREDIN et de Séverine GROS, Audelange Jordan de Frédéric LE FORT et de Céline BARTHELET, Montbarrey Rose de Vincent GAILLARD et de Aurélie NEYRAT, Dole. Enzo de Christophe PICCOLO et de Nathalie COLOMBO-LAMBERT, Chaussin.

Cassy de Stephen DOS SANTOS et de Vanille MOULIN, Tavaux Yassir de Mostafa MAAROUF et de Hasnaa ABOUKHASSIB, Dole Mathys de Jamel ADJEL et de Charline VANTARD, Chaussin Noé de Olivier GRESSET et de Karine EPENOY, Dole. Gabriel de Stéphane LALA et de Carole DECHAUME, Authume. Ismaël de Fateh GUELLIL et de Aïcha BENKAHLA, Dole Evan de Grégory MEUNIER et de sandrine BUGUET, Dole. Anis de Samir CAMDZIC et de Mirela DURMIC, Dole Théophile de Cyrille BOLL et de Carole MATHIS, Chaussin. Adonis de Boris FARGEAS et de Clarisse CHARVOLIN, Amange. Alissa de Abderrahman HAMDANI et de Itto HASSAOUI, Dole. Léa de Laurent PANNAUX et de Céline MARTIN, Dole Pierre de John MEURANT et de Sophie GEORGE, Foulenay Maéline de Pierre-Lou ADANALIAN et de Sophie AUVERNOIS, Dole

Méline de Sébastien MAUGAIN et de Laetitia CESSIN, Rochefort sur Nenon Juline de Christophe LAMOTTE et de MarieEve PONCET, Chaussin. Morgane de Jérôme DELARCHE et de Adeline DHIVERS, Peseux Théo de Laurent MATHÉ et de Nadège SPLAWSKI, Neublans-Abergement Alain de Christophe PERNEY et de Danielle DONARD, Gredisans Juliette de Sylvain CHARPENTIER et de Amandine ROFFINELLA, Dole. Louka de Franck VERDELET et de Anne-Laure CUREAUX, Authume. Louane de Mickaël LAURENT et de Aurélia NIVALLE, Tavaux Joffrey de Anthony CHEVASSUS-AGNÈS et de Isabelle HILLIER, Menotey. Hugo de Julien CALINON et de Magali AULON, Authume Clément de Raphaël RICHARD et de Maud JOUAIN, Brans. Clara de David BOUILLOD et de Christèle PROST, Le Deschaux Jules de Julie GAILLARD, Dole. Manola de Louis NOGAREDE et de Sandrine TATRE, Tavaux. Elisa de Sylvain GONCE et de Audrey SYBOZ, Baverans

Élias de Mustapha YAMINE et de Hanane EL OUALI, Champvans Louis de Julien DEWAELE et de Stéphanie THÉVENET, Amange. Liam de Mathieu MAURICE et de Elodie CART, Dole. Maéline de Yohann BATTU et de Aurélie BOUVARD, Dole. Léane de Yohann BATTU et de Aurélie BOUVARD, Dole. Milo de Patrick GREFFIER et de Emilie GUYOT, La Vieille-Loye. Gabriel de Alexandre DONNET et de Céline HUOT, Chevigny Anatole de Jérôme BELTRAMELLI et de Elise BOICHUT, Champdivers Charli de Romain FAUDOT et de Laëticia LEBAUD, Aumont Florena de Claude POIMBOEUF et de Annie CRIMMERS, Chaussin Marie de François MIGNOT et de Sabine VACHERET, Sampans Emerson de Manuel BAPTISTA et de Virginie VOISIN, Tavaux Jaison de Dominique BESIA et de Stéphanie TOURNIER, La Vieille Loye. Alexandre de Nicholas MURPHY et de Anne JOURDY, Dole.

Enzo de Maxime CALON et de Virginie ALARCON, Dole Alexis de Franck LOUET et de Aurélie CHEVROLAT, Dole Lucas de Raphaël PROST et de Maryline VALVERDE, Tavaux. Lola de Laurent REMY et de Ghenima ZAHER, Tavaux DÉCÈS

GUYOT veuve LIÉFROID -Foucherans- 78 ans COLLETTE veuve PÉLISSARD- Vaudrey-90 ans BERTHOD Michel - Mont sous Vaudrey -62 ans BARRAUX veuve CHARPIOT SolangeChampvans-86 ans LORMET Magdelaine- Moissey -95 ans PUGET veuve LADREYT Alexandrine - Dole-85 ans DEFOUR veuve CORDIER- Pagney-84 ans MORÉALE veuve SCHWARTZMANN Doride Chamblay -96 ans GORDOT veuve ADARBÈS ARMADA Marie Mont sous Vaudrey-84 ans TISSIER André -Annoire-87 ans KAFKA veuve BELLEVILLE Colette - Tavaux-80 ans BUATOIS Lucien - Dole -92 ans VIMEUX Jacques -Dole -80 ans MARECHAL veuve GARNIERAnnie - Mont sous Vaudrey - 60 ans

DUFOUR Pierre -Dole-86 ans CATEL Lucien - Fraisans -81 ans AYARD Michel - Dole-85 ans PEDROCCHI Victor - Tavaux -88 ans GRESSET veuve COURNOT Raymonde Malange - 94 ans PASSOT Jean - Dole- 95 ans SEIGNIER Gérard - Dole- 81 ans JACQUOT épouse HENRY Gabrielle -Dole-87 ans THEVENIN Camille Saint Aubin - 80 ans BAUQUEREY épouse BOICHUT Marguerite Dole -86 ans OUDOT Robert Choisey-81 ans ARRU veuve CLOIX Madeleine,Foucherans - 81 ans COMBETTE veuve SCHROLL Renée Chamblay -71 ans LATTEUX Roger, Dole-72 ans ZADOINOFF épouse BABET Ghislaine, Dole 53 ans MAIRET veuve LAGALICE, Dole- 68 ans DUBOIS Jules, Tassenières-94 ans RODOT Roberte, Dampierre -85 ans LACROIX épouse BERTHET Hélène, Chissey sur Loue -80 ans GIRARD Gaston, Saint Aubin - 79 ans REQUOI veuve GUILLERME Colette, Dole72 ans


C U LT U R E ■ BREVANS / SPECTACLE COMPAGNIE CHICKADEE / 20 ET 21 MARS

Plaisirs d’amour

A l’instar du nom de la compagnie Chickadee qui en américain signifie “mésange”, leurs spectacles sont un savant mélange de danses chorégraphiées, de chants polyphoniques et de mise en scène, le tout ponctué d’humour et d’émotion. Sous la houlette de Catherine Chandon et de Jean-Jacques Dorier, la compagnie Chickadee fait de nouveau preuve de créativité avec son troisième spectacle “Plaisirs D’amour”.

Un vaudeville amoureux “Pour ce spectacle, la troupe

compte 5 personnes dont un régisseur. Au menu de cette troisième comédie musicale, une intrigue qui repose sur des relations amoureuses entre quatre personnages qui s’occupent des vestiaires dans un théâtre. “Il s’agit d’archétypes parmi lesquels figurent la pin up, la midinette psychorigide, le futur ex-mari interprété façon Jean-Pierre Bacri, et le play boy, avec en chef d’orchestre de ces relations une sorte d’ange-diable nommé Cupidiable avec des cornes rouges et des ailes blanches invisibles aux yeux des personnages mais qui tisse des liens entre eux. Plus les relations sont dégradées, plus cette créature se révèle contente” explique Catherine. Une intrigue amoureuse que ponctuent 35 chansons françaises d’amour, choisies par coup de cœur et en fonction de l’évolution d’une histoire d’amour et des étapes de la rencontre à la rupture en passant par les premiers moments, la passion amou-

reuse, le premier engagement, les premières désillusions, les infidélités, la jalousie. Jacques brel “Ne me quitte pas”, Francis Cabrel “Un samedi soir sur la terre”, Jacques Higelin, les frères Jacques, autant d’artistes qui sont conviés dans ce vaudeville, avec un accompagnement à la guitare et l’accordéon. Répétitions, créations des costume et des chorégraphies, mises en scène rigoureuses, chants polyphoniques “il faut compter un an de travail pour élaborer un spectacle” souligne Jean-Jacques. De l’amour, de l’humour, du dynamisme, de l’émotion, autant d’ingrédients pour donner du plaisir aux spectateurs. Chloé Chamouton

Premières représentations le vendredi 20 et samedi 21 mars, salle des fêtes de Brevans. 20 h 30. 8 euros pour les adultes et 5 euros pour les enfants. Gratuit pour les Brevannais sur inscription en mairie

DOLE / MUSIQUE / LA COMMANDERIE

UNE SYMPHONIE POUR PINK FLOYD : ENTRE MUSIQUE ET CHOREGRAPHIES Pink Floyd en version symphonique, c’est le défi musical relevé par l’ensemble orchestral de Champagnole, l’ensemble Ariolica de Pontarlier, le groupe de rock avec Jean-Michel Trimaille, Ivan Jacquin, Cyril Jacquot, Jean-Jacques et Lucas Dorier et 16 choristes. Des choristes, un groupe de rock, c’est assez insolite pour une interprétation de Pink Floyd. “En même temps, Pink Floyd a ouvert l’ère du rock contestataire, de la musique surréaliste. Elle se rattache à la lignée des musiques expérimentales, utilisant des ambiances planantes sans négliger la voix humaine. On peut donc transcrire la musique de Pink Floyd en écriture symphonique.“ évoque le président de l’ensemble orchestral de Champagnole. Un grand spectacle musical tiré des grands albums de Pink Floyd le tout avec des arrangements inédits de Philippe Gonin et des chorégraphies pour le chœur de Catherine Chandon. Au menu de ce cocktail symphonique, le respect d’une diversité de climats à travers la présentation de 12 pièces mythiques dont l’intégrale d’Atom Heart Mother. “Money, Time”, “Another Brick in the wall”, l’orchestre interprètera des titres qui ont marqué toute une génération. Un projet qui signe la rencontre entre le rock et le classique, le tout avec une technique de reproduction du son numérisée et novatrice”. Un petit bijou de prouesse musicale à découvrir à Dole. Samedi 4 avril à La Commanderie à 20 h 30. Point Info spectacles. Tél. 03 63 36 7000 - Cours Georges Clémenceau

■ DOLE / SHOW MULTICULTUREL / ASSOCIATION SALSACORAZON39 / SAMEDI 18 AVRIL

Auberge - Pizzeria Chambres et tables d’hôtes à DAMPARIS

Les Danses du Soleil, un voyage festif Faire découvrir différentes cultures à travers les danses pour un voyage festif et une ambiance chaleureuse distillée par six compagnies professionnelles, telle est l’ambition de ce premier show multiculturel organisé par l’association Salsacorazon39 le samedi 18 avril à la salle des fêtes de Dole. Un spectacle de qualité entre salsa, danse africaine, danse orientale, danse indienne, flamenco et samba. La danse du cœur et de la passion

Danser avec son cœur, faire partager cette passion de la salsa, telle est la volonté de l’association Salsacorazon39 créée en 2007 sous l’impulsion de deux professeurs de danse Salsero Gilles et Salsera Valou.

“C’est en janvier 2007 que l’aventure a débuté avec un challenge à relever. Certains danseurs de l’école Megadanse ont en effet été recrutés afin de préparer une chorégraphie de rueda de Casino, l’objectif étant d’initier ces danseurs à la salsa cubaine et de présenter la chorégraphie au gala de l’école qui fêtait ses 10 ans d’existence” expliquent Deborah Giraud et Pierre Vernier, membres de l’association Salsacorazon39. Une association qui dispense trois niveaux de cours de danse avec la création d’un atelier chorégraphique composé de 4 couples pour des galas et des représentations dans des salles,

des restaurants. “La salsa réunit un public intergénérationnel, c’est vraiment très divers”. L’association propose également des stages aux entreprises, aux associations, et anime des soirées à la Casa Loca avec des formules repas et stages, l’idée étant de développer une interactivité entre le public et les danseurs.

Voyage au pays des danses du Soleil, un show multiculturel Fruit de cette passion, la création d’un show multiculturel. Une première sur Dole. “L’objectif à travers ce show de qualité consiste à faire découvrir ces autres formes de cultures qui reflètent la joie de vivre, faire découvrir notre association” souligne Thomas

16 Place Nationale - DOLE Du 3464 au Tél. 03 84 82 71 35

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A39 D321

Ferme de la Borde Rugby

N5 Tavaux cité

Vernier. Un spectacle qui sera rythmé par trois temps. “Des danses chorégraphiques assurées par des compagnies professionnelles de Dijon et par l’association Salasacorazon 39. Au menu festif de ces danses du Soleil, un voyage esthétique au cœur de 9 chorégraphies de salasa (cubaine, rueda de casino, shine, portoricaine), 3 chorégraphies de danse indienne entre tradition et modernité façon Bollywood, deux chorégraphies de danse africaine, 8 chorégraphies de danse orientale, 3 chorégraphies de danse brésilienne et 3 chorégraphies de flamenco”. Un spectacle coloré qui se doublera d’un

apprentissage didactique et ludique par le biais d’ateliers de démonstration de pas et de techniques de danse, l’objectif consistant à rendre ces danses accessibles” explique Deborah Giraud. Et en clôture festive du show, une soirée dansante à dominante tropicale, avec un panel d’animations en salsa, danse africaine et danse orientale, offrant aux spectateurs la possibilité de s’initier à ces multiples danses, riches de traditions et de valeurs culturelles. Un show qui mélangera les cultures pour un partage tout en couleurs et en festivités.

N73

Aéroport Dole-Tavaux

© Via Michelin

Troisième spectacle de la compagnie brevannaise Chickadee, sorte de vaudeville reposant sur des intrigues amoureuses où se croisent cinq personnages archétypiques, une midinette psychorigide, un play boy, une pin-up, et un futur ex mari, sous l’œil d’un cupidiable. Un tricotage malicieux entre danses, chants polyphoniques et jeu de scène.

Damparis (Stade de rugby, entrée Tavaux Cités)

03 84 72 77 82

Chloé Chamouton

Samedi 18 avril à 20 h - Salle des fêtes - gilvalou@wanadoo.fr

■ DOLE / COMMANDERIE / DANSE

■ LA COMMANDERIE/ THEATRE

■ DÉDICACES ET SPECTACLES

L’ALCHIMIE DE LA DANSE ET DU RÊVE Inspirée d’un conte d’Hoffman, l’œuvre Coppélia relate l’histoire d’un homme qui tombe amoureux d’un automate, provoquant la colère de sa fiancée : le chorégraphe et metteur en scène Jo Stromgen, norvégien impulse à cette histoire une nouvelle modernité, en lien avec les thématiques de la chirurgie plastique et clonage: les danseurs du ballet de l’opéra national du Rhin interagissent avec les accessoires, le tout avec une puissance symbolique.

LES CHANTS D’ADIEU, LA POLYPHONIE DE CULTURES

LES DÉS IRISÉS DE JANE PERRIN

ENTRE OCCIDENT ET ORIENT Une pièce interculturelle, qui invite à la confrontation de deux cultures autour de gestes simples autour d’une mise en scène de Laurent Gutmann (s’asseoir, boire, attendre) lors d’une cérémonie de deuil : celle de Marie, jeune enseignante française mariée au Japon décédée brutalement. Les répliques en japonais ne sont pas surtitrées, d’où cette impression de décalage. Cette pièce d’Oriza Hirata, figure de proue du théâtre contemporain japonais mêle comédie et tragédie. Celui-ci saisit l’occasion de ce décès pour confronter les identités et les visions du monde.

La poétesse doloise Jane Perrin poursuit ses pérégrinations poétiques et littéraires avec un nouveau recueil ”Dés irisés” de 42 textes illustrés en couleurs par l’aquarelliste Marie-Thérèse Dupuis. (dédicace à la Passerelle le 4 avril à 14 h). Elle s’occupe de l’organisation du récital de l’association Sentiers en poésie avec la présence d’élèves de 4e du collège Ledoux, de 4e du collège de l’Arc, de 3e du collège Briand à Lons qui procéderont à la lecture de leurs textes.

Mardi 31 mars à 20 h 30, durée 1 h 20

Mardi 7 avril à 20 h 30 - La Commanderie

22 mars : récital à l’auditorium à 17 h 15. 17 avril à 18h15 : au forum de la médiathèque : “Rencontre avec les pierres de Dole”

PAOH ! Editions Siège social : 13, rue Alexandre Vialatte - Dole Mars 2009 Adresse Pays Dolois - 13 rue Alexandre Vialatte - BP 212 - 39102 Dole Tél. 03 84 82 50 21 - Fax : 03 84 72 37 81 - n°ISSN : 1778-820X Régie publicitaire : Tél. 03 84 82 50 21 Mise en page et photogravure PAOH! Studio graphique - Dole - Tél. 03 84 82 50 21 Imprimé en France à 33 000 exemplaires Pays Dolois - mars 2009 - 19


Publirédactionnel

Le compostage, un intérêt économique et écologique Les Jurassiens ont été précurseurs en matière de tri des déchets, ce qui a permis de maîtriser l’évolution des coûts par rapport à certains de nos voisins. Une logique environnementale qui se poursuit avec le compostage domestique. Alors pourquoi et comment composter ? Le compostage, mode d’emploi.

Composteurs : d’où viennent-ils ? Les composteurs sont fabriqués par le CAT ( centre d’aide par le travail) de Saint-Claude dans le Haut-Jura. Il s’agit de matériel local. Le Sictom achète ce matériel au CAT 55 euros et le met à disposition auprès des usagers à 15 euros. Les gens peuvent également se procurer un composteur plastique dans toutes les jardineries.

Le compostage en pratique Faire son compost, un jeu d’enfant Pas besoin d’être un jardinier professionnel et averti pour effectuer ce geste écologique. Tous les déchets organiques : épluchures de légumes, restes de repas peuvent être valorisés par compostage.

L’art de bien composter Trois règles simples à mettre en pratique pour produire un bon compost : mélanger les différentes catégories de déchets, aérer les matières, surveiller l’humidité. Tous les déchets organiques sont compostables : les déchets de cuisine (épluchures, coquilles d’oeufs, marc de café, fruits et légumes abîmés). Les déchets de jardin : tontes de gazon, feuilles, fleurs fânées, mauvaises herbes. Les déchets de maison: mouchoirs en papier et essuie-tout, cendres de bois, sciures, copeaux.

Le compostage domestique : pourquoi ?

Et si je ne m’occupe pas de mon composteur ? Un intérêt économique Les ordures ménagères comportent environ 40 % de produits compostables et par conséquent réutilisables. Si ces produits ne sont pas compostés domestiquement, ils sont collectés par les camions poubelles puis transportés à Brevans

dans un premier temps avant d’être acheminés par camion à Lons le Saunier pour être incinérés au centre d’incinération. D’où l’intérêt économique du compostage. Composter permet de réduire les coûts de transports, d’éviter les rotations de camions sur la route et de réduire le volume des déchets qui s’accumulent à l’usine d’incinération (voir photo ci-dessus).

Un intérêt écologique Le compostage, c’est un geste pour l’environnement. Le compost a d’ailleurs plus d’un atout dans son sac pour plaire. L’engrais naturel dans l’air du temps bio favorise la fertilité du sol en améliorant sa structure et en apportant les éléments nutritifs nécessaires à la croissance des végétaux. Il favorise l’amélioration du sol et permet d’obtenir un engrais de qualité et naturel pour votre jardin. Faire son compost procure une satisfaction personnelle et permet la prise de conscience du cycle de vie de la matière organique. Le compost est un processus naturel, il provient de la trans-

SICTOM de la zone de Dole Tél. 03 84 82 56 19 www.sictomdole.org 22, allée du Bois - 39100 Brevans

Pays Dolois - mars 2009 - 20

formation aérobie de déchets organiques par le biais de micro-organismes. Le produit obtenu se transformera dans le sol en humus, très utile en agriculture et en jardinage. Les matières en compostage sont transformées en présence d’oxygène et d’eau par des micro-organismes et des organismes de plus grande taille ( lombrics, acariens, cloportes). Les déchets perdent leur aspect d’origine et deviennent compost, un produit qui va contribuer dans le sol à renforcer le stock d’humus. Limitation de la quantité d’ordures ménagères, amélioration de la vie du sol, autant de raisons de composter. Le compostage domestique est donc une technique naturelle qui contribue à la préservation de votre environnement.

A propos de la compostière de Brevans. Tout ce qui se trouve déposé dans les bennes à déchets verts des déchèterie est composté de façon industrielle sur le site de la compostière de Brevans.

Si je ne retourne pas mon compost, aucun souci. Le composteur fonctionne en mode pourrissoir. Le processus de dégradation est un peu plus lent. A noter qu’il ne dégage aucune odeur nauséabonde. Le composteur d’aujourd hui, c’est le pourrissoir utilisé par nos grands pères.

Le compostage est-il réservé aux particuliers qui ont un jardin ? Non, des composteurs individuels peuvent être installés au bas des immeubles. Pas d’excuse par conséquent pour ne pas pratiquer le compostage.

Comment utiliser son compost ? Le processus de compostage domestique peut prendre de deux mois à deux ans selon les déchets utilisés et l’effort fourni. Un compost mûr se caractérise par un aspect homogène, une couleur sombre, une agréable odeur de terre et une structure grumeleuse qui s’émiette. Le compost a de nombreux effets bénéfiques sur le sol et les végétaux. Il peut être utilisé de deux manières différentes : comme amendement organique, ou comme support de culture, contribuant à la croissance des plantes.

Et les lombricomposteurs ? Le lombricompostage consiste à produire du compost à l’aide des vers. Ils mangent la matière végétale en décomposition et la rejettent en fines particules qui enrichissent le sol. Ils peuvent absorber et rejeter chaque jour l’équivalent de leur poids. En plus, les vers creusent des tunnels et aèrent la terre en favorisant l’enracinement des plantes et le développement des micro organismes. Quelques foyers dolois en sont déjà équipés. Le lombricomposteur est un petit appareil d’appartement.


ECO CITOYEN ■ DOLE / ENVIRONNEMENT / OPERATION PASSIFLORE JE REDUIS MES DECHETS

■ PARCEY / PORTRAIT PASSIFLORIENS

Une stratégie de réduction des déchets Le naturel au quotidien Opération Passiflore, “je réduis mes déchets”. Ce projet porté par le Grand Dole et la Ville de Dole vise à sensibiliser aux différentes manières de réduire le volume des déchets et ceci à travers cinq axes stratégiques. Une opération sur la base du volontariat avec une trentaine de familles qui ont accepté de jouer le jeu de Passiflore. Avec comme ambitions , la réduction du coût du traitement des déchets et la préservation de l’environnement.

“L’opération passiflore ne s’apparente pas à une opération commando ni à un camp militaire” tient à préciser Pascal Blain, président de l’association Serre Vivante.

Passiflore, une opération en cinq axes stratégiques Ce projet porté par le Grand Dole, impliquant la ville de Dole, le Sictom, le Sydom, des associations notamment l’Ademe, l’Ascomade, Jura Nature Environnement, Serre Vivante, les Ateliers Pasteur, en synergie vise avant tout à sensibiliser les gens à la réduction du volume des déchets à travers cinq axes stratégiques dont l’opération

Stop pub, afin de réduire le poids de papiers publicitaires dans les boîtes aux lettres, soit un volume de 2 à 3 kg par mois. Le second axe concerne la prévention en termes d’achats, pour sensibiliser les clients. L’intérêt de cette opération consiste à faire prendre conscience aux gens de certains gestes qui pour certains se sont transformés en réflexes, comme “prendre son cabas au lieu d’un sac plastique”. Au menu de cette opération, un gros zoom sur le compostage avec la remise aux participants d’un composteur individuel au cours d’une matinée en mars. Compostage individuel, mais égale-

ment collectif à travers une réflexion sur la manière d’éliminer les déchets à l’échelle d’un immeuble ou d’un quartier à travers les exemples d’autres collectivités “C’est la ville de Damparis qui a été choisie comme site pilote par le Grand Dole pour cette réflexion sur la façon de composter ensemble”. Un projet qui pointe aussi la question des couches culottes réutilisables avec l’intervention de Vincent Gaillard, chargé de mission à l’Ascomade. “Les couches représentent 4 % de nos poubelles.” précise Pascal Blain. Dernier axe de Passiflore, la mise en place d’un plan local de prévention pour concrétiser ces cinq axes stratégiques en se fondant sur l’expérience de régions phares dans cette politique.

Une opération sur la base du volontariat Dans le cadre de ce projet, “trente familles se sont portées volontaires, acceptant de servir de cobayes ou de testeurs. Parmi ces trente familles, certaines utiliseront un composteur, d’autres refuseront de mettre l’étiquette stop pub sur leurs boîtes aux

■ DOLE

BRÈVES ÉCOLOGIQUES

BALADES NATURE

• le 26 mars à 18 h à la mairie de Dole, rencontre autour de l’utilisation de couches réutilisables avec Vincent Gaillard, Chargé de mission prévention des déchets à l’ASCOMADE. • le 15 avril : visite du centre de tri à Lons. Départ en bus à 13 h 30 (gratuit et ouvert à tous - Réservation souhaitée à passiflore.jereduitsmesdechets@orange.fr ou au 09 77 58 22 99)

2 sorties nature sont organisées en collaboration avec les Ateliers Pasteur

SAMEDI 14

MARS À

14

H

15

devant la mairie de Gendrey : une autre façon d’épurer l’eau : la rhizosphère

SAMEDI 4

AVRIL À

14

H

15

rdv Dole, passerelle de La Commanderie Sorties Gratuites. 03 84 82 11 23

lettres. Cela nous permet d’obser ver les comportements des consommateurs et d’établir une sociologie des types de foyers. “On constate d’ailleurs que les couples actifs avec ou sans enfants représentent le type de foyer le plus répandu dans ce projet, après figurent les retraités, les personnes seules” constate Pascal Blain. Mais à l’orgine ces volontaires sont des gens très motivés et d’excellents trieurs” souligne celui-ci. Par ailleurs, cette opération vise aussi à faire prendre conscience des impacts financiers et environnementaux du tri et de la réduction du volume des déchets. L’idée étant d’inciter les personnes à pratiquer les bons gestes environnementaux. “Nous voulons montrer qu’il est possible de réduire le volume des déchets à travers des opérations de prévention” conclut Pascal Blain. Chloé Chamouton

Mise en pratique des cinq axes stratégiques déclinés par l’opération Passiflore à travers quelques portraits de volontaires qui pendant un an ont accepté de jouer le jeu du projet. Deux portraits de familles volontaires et témoins qui transmettent leur expérience au quotidien à travers leurs gestes pour l’environnement.

André Jacquot, 65 ans, retraité, fait la traque à la publicité. L’étiquette Stop pub dénote son engagement de passiflorien.

“Le respect de l’environnement, une démarche naturelle”. Au 1, rue des Sorbiers, l’étiquette “Stop pub” donne le ton. A 65 ans, André Jacquot passionné de nature, respectueux de l’environnement, fait partie des passifloriens. “J’ai toujours aimé la nature, je fais mon compost avec des déchets organiques et des végétaux, je récupère l’eau de pluie dans une

ancienne cuve de fioul de 600 litres que j’ai acquise auprès du voisin”. Le compost remplace les engrais. Et André Jacquot ne met aucun désherbant. “Je désherbe tout à la main, ça me permet de prendre l’air et de faire du sport maintenant que je suis à la retraite”. Au rang des gestes menés au quotidien, André lutte depuis deux ans contre le surplus de catalogues et la perte de papier

Une cuve d’eau élaborée de façon artisanale. “Certes, l’installation est précaire mais efficace, et l’eau de pluie permet d’arroser les plantes” commente André Jacquot

dans sa boîte aux lettres par le biais de l’étiquette “Action stop pub”. Utilisation de cabas à la place des sacs plastiques, piles rechargeables, autant de petits gestes simples qu’André réalise au quotidien. En bon bricoleur, avec une petite dose d’ingéniosité, André a même élaboré un chauffeau solaire. Passiflore, c’est une excellente initiative. C’est pour cela que je me suis impliqué. J’espère pouvoir montrer l’exemple et inciter d’autres personnes à prendre conscience de gestes simples. D’ailleurs, j’ai initié mon voisin au compostage. Il avait l’habitude de mettre ses déchets (coquilles d’œufs, épluchures…) à la poubelle. Maintenant, composter est devenu pour lui un réflexe”. Pour André, la préservation de l’environnement est une démarche naturelle. “C’est une philosophie comportementale”. Chloé Chamouton

■ PARCEY / PORTRAIT PASSIFLORIENS

Aurélie et Frank Louet, adjointe du patrimoine et des bibliothèques et technicien de maintenance :

“Une action citoyenne”

OPÉRATION COMPOSTAGE “Dans le cadre de la semaine du développement durable qui se déroulera début avril, nous comptons mener deux projets avec l’école des Commards et les Jardins Fleuris aux Mesnils Pasteurs sur cette notion de compostage” explique Pascal Blain.

“Nous avons refait notre cuisine et prévu des poubelles adaptées. Nous pratiquions déjà le compostage des aliments. Participer à cette opération nous permet de nous autoévaluer et de nous comparer à d’autres familles. C’est aussi l’occasion d’échanger et de partager quelques astuces. C’est une action citoyenne, une manière de penser aux générations

futures. Et avec l’arrivée d’un bébé, on s’est lancé dans les couches, les lingettes lavables. Cela nous permet de sensibiliser nos proches aussi. Depuis que je participe à cette opération, j’ai appris pas mal de choses sur le coût des déchets, le poids des emballages. Plutôt que d’emmener les déchets verts à la benne, mieux vaut les composter dans le jardin”.

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JURA / AUTOMOBILE / HISTOIRE

La DS, histoire d’un mythe Esprit d’initiative, révolution technologique, ainsi se révèle la DS inventée par le visionnaire André Citroën en 1938. Forte de cet impact nostalgique et de la touche affective véhiculée par la DS, Citroën signe en 2009 le retour de la mythique voiture. Retour sur l’histoire d’une star automobile qui fit le tour des cinq continents. Avec ce nouveau sigle DS, Citroën parie sur la fibre nostalgique pour rehausser ses ventes. Le modèle emblématique DS fut en effet commercialisé entre 1955 et 1975. Elle était la voiture officielle de la présidence de la République sous le général de Gaulle. Sous le style de Citroën, la DS renaît de ses cendres et devrait être commercialisée en 2010. “Rien à voir avec les lignes de l’ancienne. Citroën a cru pouvoir renouer avec un symbole affectif en relançant cette marque mythique” commente Jean-Pierre Aulon. Un coup de marketing plutôt qu’un retour aux lignes originelles.

Ford KA Page 19

La DS, histoire d’un mythe

3 hommes et un couffin.

La DS 19, la voiture qui a réinventé l’automobile. L’esprit d’initiative, l’avant garde, la communication, voilà les principaux traits d’une entreprise française fondée en 1919 par un vrai entrepreneur, visionnaire pour son époque : André Citroën. Chacune de ses voitures a constitué un formidable bond technologique pour toute l’industrie automobile. Avec la DS (suivi de l’ID), la firme aux chevrons a frappé encore plus fort, donnant carte blanche à son fantastique bureau d’étude d’alors, pour imaginer la voiture de l’an 2000.

L’idée de la création d’un véhicule, futur remplaçant de la traction 15/six date de 1938. Un projet qui en 1946 se nommait VGD pour Voiture de Grande Diffusion. Les idées fusent alors. Et trois hommes vont faire de ce rêve éveillé la plus folle des aventures. Lefebvre, Magès et Bertoni. Deux ingénieurs et un designer. Lefebvre pense à une nouvelle structure pour privilégier la sécurité de la voiture et la sérénité du conducteur : il exige de son équipe que l’on trouve un moyen d’éviter tout angle mort dans la vision, en réduisant au maximum les pieds

de pare-brise. Les portes sans encadrement naîtront de cette idée. Puis le capot et le pavillon sont imaginés pour être faits en un seul morceau, et en alu ! Sans oublier le pare-brise bombé. Parallèlement, Paul Magès travaille sur la célèbre suspension hydropneumatique, qui fait aujourd’hui encore toute la réputation de la marque. “Il fallait être fou pour se lancer dans un truc pareil, se souvient-il, et si j’étais sorti d’une grande école, je ne l’aurais jamais fait !” C’est lui qui va inventer l’inconcevable : marier le gaz au liquide hydraulique. Le troisième Larron, Flaminio Bertoni imagine en ce début 1954 la ligne de la future DS. Quant à l’aménagement intérieur, et en particulier le tableau de bord, il reste de son entière création. Début 1955 la VGD doit être prête pour le salon de l’automobile d’octobre. Restait le nom. D’abord baptisé VGD, les projets étaient numérotés D1, D2 etc. D’où

Evolution de la DS avec le nouveau concept DS2

le nom DS qui fut retenu, et qui permettait une association phonétique heureuse (déesse). Telle qu’elle apparaît au salon de Paris en octobre 1955, la DS fait l’effet d’une bombe. Résultat : ruée sur le stand, des commandes qui affluent : 749 en 45 minutes, 12 000 en fin de journée et 80 000 voitures vendues à la fin du salon ! Une folie qui permettait à Citroën de remplir ses carnets pour 2 ans ! Parmi le plus célèbre de ces partisans, le général de Gaulle qui, on se le rappelle, se fit “sauver la vie” par sa DS lors de l’attentat du petit clamart. Finalement, en 20 ans, il y aura eu 1 330 755 DS produites en France et au total 1 455 746 véhicules construits à travers le monde : Belgique, Royaume-Uni, Afrique du Sud. la DS est une voiture inimitable qui a osé l’impensable et a fait de Citroën le constructeur le plus original de la planète. Marque affective sans aucun doute pour Philippe Grenot qui s’est lancé dans la remise en état d’une DS modèle 71 (achetée en 1999) avec sa couleur et ses pièces d’origine, une DS ayant appartenu à Laurent Thouveret, maire de Dole et Monsieur Villette sous-préfet de Dole. “C’est la ligne et le confort qui me plaisent. Un coup de coeur” assure celui-ci. La déesse a encore de beaux jours devant elle. Chloé Chamouton

ANECDOTES DE DS

Les DS ne démarrent pas à marée haute Electronique et automobile ont connu des débuts difficiles en matière de cohabitation. Les archives de la Direction des Méthodes et Etudes Industrielles recèlent des anecdotes amusantes sur l’histoire agitée de ce couple, pourtant parti pour durer... Dans les années 70, au Havre, plusieurs automobilistes, détenteurs de la fameuse DS 21 à injection électronique, rapportent qu’ils connaissent aux abords du port, des problèmes moteur : celui-ci cale à marée montante. La DS aurait elle peur de l’eau ? Les ingénieurs de Citroën d’abord déconcertés par le phénomène calent eux aussi, puis finissent par comprendre que ces incidents mécaniques pour le moins étranges ont une explication bien rationnelle. Ce n’est pas la proximité du port et les phénomènes de marée qui provoquent des incidents mais bien plutôt la présence des bateaux, équipés de radars qui perturbent le fonctionnement des équipements électroniques embarqués sur les voitures...

Quand la femme se faisait DS.... Curieuse destinée que celle de Jacques Estérel, qui ingénieur des arts et métiers, fut connu en tant qu’auteur compositeur fin diseur de chansons mais aussi comme couturier. Il s’est vu confier en 1959, la mission de tailler des robes haute couture dans les tissus qui décorent l’intérieur de nos DS et ID 19 !

La DS star du cinéma Filmographie sélective des cas où sa présence est remarquable : > Rabbi Jacob (1973), avec Louis de Funès > Le Grand Restaurant (1966), avec Louis de Funès > Madame Irma conduite par Ludo, l’ami de Francis. > La Beuze, une DS corbillard noire > Fantômas se déchaîne, où l’on voit une DS volante. > Chacal (1973) comporte la reconstitution de la tentative échouée d’assassinat de De Gaulle en DS dans l’attentat du Petit-Clamart. > Cold Fever, voyage à travers l’Islande dans une DS.

Pays Dolois - mars 2009 - 23


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■ JURA / SECURITE

Dole

Giratoire de Bans :

Améliorer la sécurité Financés par le Conseil général du Jura, les travaux d’aménagement du carrefour de Bans en un giratoire à quatre branches ont débuté en décembre 2008. Un aménagement nécessaire en raison de l’insécurité et de la dangerosité de cette zone, favorable aux accidents mortels. Un carrrefour qualifié de coupegorge par les membres de l’association Carefour de Bans. Un projet qui aura mis 9 ans pour voir le jour. cet aménagement, démarcher auprès des élus et des administrations, débloquer les financements, trouver le foncier. L’association a réussi à obtenir quelques éléments de signalétique, l’installation d’une ligne blanche permettant de limiter la casse” explique Hervé Nicolas. Sur la route nationale, une pancarte jaune ne manque pas d’attirer l’attention des automobilistes sur “l’accumulation d’accidents” à hauteur de ce carrefour.

Un carrefour dangereux avec accumulation d’accidents mortels Les Baniers (comprenez habitants de Bans) ne cachent pas leur soulagement. “Nous espérons que l’aménagement de ce carrefour évitera les accidents”. Un giratoire souhaité depuis longtemps selon l’association “carrefours de Bans”. Depuis le 7 mars 2000, sous l’égide d’Hervé Nicolas son président, l’association militait pour l’aménagement de ces carrefours (intersection Bans-Belmont et la patte d’oie permettant soit de se rendre sur Poligny, soit sur Mont-Sous-Vaudrey) renouvelant les opérations du type pétitions avec banderoles au slogan évocateur “Carrefour dangereux. Signer la pétition”

pour la “construction d’un carrefour giratoire” à la place de l’actuel coupe-gorge. “Ce sont plus de 4 200 signatures que nous avions recueillies dans la journée dans une bonne ambiance et avec une participation volontaire des automobilistes. C’était en février 2001, soit un an après la création de l’association.” se souvient Hervé Nicolas. Le déclic ? “Ma voisine qui a eu un grave accident en septembre 1999 et la collision qui a eu lieu avec un car scolaire début 2000. C’est là que nous avons décidé de réagir” explique Hervé Nicolas qui a perdu son fils et l’amie de celui-ci dans un accident qui a eu lieu sur le même carrefour en 1998. “On voyait des traces de freins assez exceptionnelles. Un motard de la gendarmerie s’est même cassé le poignet, les accidents matériels s’accumulaient. Il aura fallu se battre et prendre son bâton de pélerin, un véritable chemin de croix pour obtenir

Création d’un giratoire à quatre branches : “Améliorer la sécurité” “L’intérêt premier de l’aménagement de ce carrefour réside dans la sécurité, priorité majeure du Conseil général du Jura”, souligne Dimitri Ronstalder, chargé de communication. “Il s’agit d’une opération d’aménagement qui consiste en la réalisation d’un carrefour giratoire sur la RD905. A ce jour, il existe deux carrefours distincts. L’objectif consiste à construire un seul giratoire à quatre branches.” Par arrêté préfectoral n°937 du 13 juin 2007, le préfet du Jura a déclaré d’utilité publique les travaux relatifs au projet d’aménagement d’un carrefour giratoire sur le territoire de la commune de Bans à l’intersection des RD 905 (ex-RN 5), RD 472 et RD 239. Un aménagement nécessaire au vu de l’insécurité de ces deux carrefours. “Entre 1998 et 2008, on a dénombré de nombreux accidents mor-

BELMONT : CAP SUR LA SÉCURITÉ La commune de Belmont très impliquée mise sur la sécurité des usagers de la route en multipliant les infrastructures comme la mise en place de chicanes. En projet la reconstruction du Pont de Belmont. “Une étude a été lancée dernièrement. Son taux de fréquentation est énorme, il est étroit pour le passage des camions et des engins agricoles, et le tablier à savoir les bords du pont sont extrêmement abîmés” commente Alain Bigueur. “Si tout va bien, ce nouveau pont pourrait être réalisé en 2012 sur le même principe que celui d’Ounans. Pour ne pas bloquer la circultion, l’ancien pont serait laissé le temps des travaux” poursuit celui-ci.

Bans

Quelques caractéristiques techniques :

Mont sous Vaudrey

Rayon extérieur du giratoire : 25 mètres Largeur de l’anneau, à savoir la portion sur laquelle les automobilistes circulent : 7 mètres Financement assumé à 100 % par le Conseil général pour un montant de 1,5 million d’euros. tels. La sécurité des usagers et automobilistes demeurant l’un des axes majeurs et forts de la politique du Conseil général sous l’égide du Président Jean Raquin, il s’avérait indispensable de sécuriser cette zone”. Pour l’année 2009, concernant le budget voirie le Conseil général a consacré 31,3 millions d’euros en investissements et 9,2 millions d’euros en fonctionnement”. Les travaux qui ont débuté en décembre 2008 s’étaleront sur une période de 10 mois.

■ GIRATOIRE DE BANS / TROIS QUESTIONS A ALAIN BIGUEUR

Un agencement bien pensé Il aura fallu attendre 11 ans avant que l’aménagement d’un giratoire à 4 branches ne soit réalisé à Bans afin de garantir la sécurité des automobilistes. Trois questions à Alain Bigueur, Conseiller général du Canton de Montbarrey depuis 1998, membre de la commission des infrastructures, qui s’est impliqué avec acharnement et volonté dans ce dossier.

Chloé Chamouton

Témoignage de Guy Villet, maire de Bans depuis 1989 et agriculteur

“Un soulagement pour les habitants” “Cet aménagement a toujours été la priorité des élus depuis plus de trente ans. Mais cette demande a vraiment évolué depuis 11 ans suite à de multiples accidents matériels (à une fréquence de un par mois certaines années) et mortels (quatre sur une période de 30 ans). Ces accidents sont dûs à la vitesse le plus souvent et à la non visibilité. Un jeune du village et son amie y ont laissé la vie. J’ai eu deux accidents dont un accident matériel moi aussi l’année dernière. Un camion m’a bousculé et j’ai perdu pas mal de matériel agricole. C’est un carrefour très dangereux. Il aura fallu du temps pour que ce projet d’aménagement prenne forme. Les travaux ont d’ailleurs débuté. Cet aménagement est un véritable soulagement.”

Poligny

Pourquoi a t-il fallu attendre 11 ans avant la construction de ce giratoire ? C’était un dossier d’Etat qui suite à la loi de décentralisation est revenu au Conseil général. J’ai demandé l’inscription de ce carrefour au contrat de plan état-région sur la période 2000-2006 pour obtenir un financement. Ce dossier a fait couler beaucoup d’encre. Il a fallu aussi obtenir l’acquisition des terrains ce qui a ralenti les démarches. Je suis soulagé que ce dossier se termine. Mais il y a eu trop d’accidents.

Quelles ont été les actions menées ? Depuis 1998, de nombreuses actions ont été menées au carrefour actuel : notam-

ment la mise en place d’un stop au lieu du cédez le passage et l’installation d’une ligne blanche. Tout ceci grâce à l’implication de l’association Carrefour de Bans, des habitants de Bans, des maires de Bans et Mont Sous Vaudrey, du Président de la Communauté de Communes.

Comment s’agence ce carrefour ? C’est un agencement bien pensé. Dans un premier temps, les services de l’Etat souhaitaient que l’aménagement s’effectue au carrefour actuel de Mont-Sous-Vaudrey. Or nous avons préféré pour des raisons de sécurité que le giratoire soit réalisé au niveau du carrefour actuel de Bans. Ainsi les routes départementales venant de Poligny et de Mont-Sous-Vaudrey deviendront parallèles et seront ramenées toutes les deux au giratoire avec la possibilité de passage aménagé pour les convois exceptionnels afin de leur éviter le détour. Un bac de rétention obligatoire sera prévu pour

récupérer les eaux qui seront traitées par des filtres naturels. Un chemin piétonnier sera également conçu suite à la demande des habitants pour se rendre sur la zone industrielle et commerciale. Ce giratoire donnant accès à des terrains agricoles du côté de la route menant à Belmont, nous avons pensé à une possibilité de stationnement de tracteur avec deux remorques pour les agriculteurs. La Communauté de Communes du Val d’Amour financera l’aménagement intérieur du giratoire en agençant des éléments significatifs du Val d’Amour. Ce giratoire sera en effet situé juste à l’entrée du Val d’Amour. Un giratoire, ça fait aussi ralentir. Et celui-ci permettra de favoriser l’accessibilité à la zone au vu des projets qui se profilent notamment la construction du boulodrome, en régulant le flux de la circulation. Propos recueillis par Chloé Chamouton

Témoignage Sous lieutenant Jean-Pierre Agostini, chef du centre de secours de Mont Sous Vaudrey “C’est le manque de vigilance qui est en cause. Il est vrai que le poste de secours se trouve aux premières loges. J’ai assisté à un certain nombre d’accidents. C’est un carrfour que l’on évite. Moi aussi, j’ai eu un accident à deux reprises. Cette opération d’aménagement était une nécessité.”

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UN PARC AUTOMOBILE À FOUCHERANS : TRAVAUX D’AMÉNAGEMENT ACHEVÉS Un vrai journal

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Cap sur le projet de création d’un pôle automobiles, à savoir d’une zone d’activités dédiée à la vente d’automobiles sur la commune de Foucherans. La Communauté d’Agglomération a aménagé une zone de 11 hectares pour ces travaux d’aménagement qui sont achevés. Ce nouveau pôle accueillera différents concessionnaires avec comme objectif de capter une clientèle locale mais aussi dijonnaise ou bisontine.

-VELOS…

NOUVEAUTÉS 2009

■ JURA / PLAQUES D’IMMATRICULATION

Une nouvelle identité pour nos véhicules Le nouveau système d’immatriculation des véhicules entrera en vigueur à partir du 15 avril prochain pour les véhicules neufs et à partir du 15 juin pour ceux d’occasion.

Mégane III de chez Renault : sportive et élégante Fruit d’une recherche de design “coup de cœur”, Nouvelle Renault Mégane, dynamique et élégante, conjugue les codes de l’univers sportif et de la passion automobile. A bord, Nouvelle Renault Mégane est dotée de nombreux atouts en matière d’ergonomie et de confort.

Opel Insignia : l’entrée dans une nouvelle ère

La raison de cette réforme : “L’actuel système d’immatriculation, qui date de 1950, sera bientôt saturé ; et parce que le système informatique qui les gère est vieillissant et ne peut plus évoluer techniquement” (www.interieur.gouv.fr). Désormais un véhicule aura le même numéro tout au long de sa vie, de sa première mise en circulation jusqu’à sa destruction, même en cas de déménagement, de vente ou d’achat (ce qui devrait simplifier la vie des automobilistes). Ce nouveau système se veut plus simple, plus sûr, plus performant et plus économique

en temps et en argent, du fait de la simplification des procédures, et notamment parce qu’un véhicule pourra être immatriculé partout en France, quel que soit le lieu de domicile de son propriétaire, auprès d’un professionnel habilité ou d’une préfecture. Ce numéro unique permettra également de mieux lutter contre les fraudes. Petite précision : les véhicules d’occasion seront concernés à partir du 15 juin 2009. La nouvelle immatriculation sera attribuée dès lors qu’il y a aura changement de propriétaire ou de toute modification affectant la carte grise.

Et l’identité territoriale dans tout ça ?

Ce qu’ils en pensent :

2 lettres, 1 tiret, 3 chiffres, 1 tiret, 2 lettres. Sur la plaque continuera à figurer le numéro du département. Il y aura même le logo de la région correspondant. La différence avec le système actuel est que cette référence locale n’aura plus obligatoirement de lien avec le lieu de résidence du propriétaire, qui aura alors le choix.

Julie, 22 ans, étudiante

Préfecture du Jura, 8 rue de la Préfecture, 39030 Lons-le-Saunier Cedex www.jura.pref.gouv.fr

“Notre voiture, c’est aussi une façon de nous identifier. Quand on part en vacances, on reconnaît les gens qui habitent dans le même département que nous, ça fait plaisir, on a envie de les rencontrer, c’est sympa de se retrouver très loin de chez nous. Et chez nous, on a plus envie d’être tolérant vis-à-vis des conducteurs extérieurs qui se perdent un peu. Il y aura peut-être moins de repères.”

Marie, 52 ans, agent hospitalier “Cela aurait été dommage de perdre le numéro du département parce que quand on voyage on repère les voitures des autres départements et ça permet d’apprendre la géographie en même temps. C’est marrant de retrouver dans une région tout à fait opposée à la nôtre quelqu’un du même coin que nous. J’espère vraiment que ça ne changera pas. Il faut absolument que le nouveau système permette de conserver ce symbole auquel on est très attaché.”

■ DOLE / PASSION INSOLITE / PORTRAIT COLLECTIONNEUR MAQUETTISTE

Trente-sept appelées, une seule élue, c’est la loi d’un prix qui couronne cette année une berline routière ambitieuse, une singularité face aux nombreuses candidates compactes. Elue et sacrée voiture de l’année 2009, avec son design avant-gardiste, ses technologies innovantes, la nouvelle Opel Insignia offre une sécurité maximale, une dynamique de classe supérieure, une ergonomie parfaite. En écho à la silhouette gracieuse et musclée de la carrosserie, les formes et les surfaces de l’habitacle sont dessinées avec soin et réalisées avec des matériaux de qualité.

Des camions en maquettes A quoi reconnaît-on un collectionneur passionné ? Aux nombreux objets qui ornent les vitrines. Claude Marandel fait partie de ces personnes aux passions insolites. Collectionneur de voitures miniatures depuis une trentaine d’années, ce routier bientôt à la retraite réalise des maquettes de camions, pièces uniques réalisées à partir de boîtes mais adaptées en fonction des envies du créateur. Un travail de patience et de fourmi qu’il expose lors de concours. Rencontre. Claude Marandel est tombé dans le chaudron de la maquette depuis son plus jeune âge. “Cela fait une trentaine d’années que je m’intéresse à la voiture”. Dans son garage, les vitrines regorgent de voitures miniatures, plus de 900.

La maquette de camions comme passion “Au départ je collection-

La nouvelle C3 Picasso, l’ingéniosité sur toute la ligne Avec son design extérieur audacieux, la nouvelle C3 Picasso Citroën affiche son caractère. Grâce à son pare-brise panoramique, vous vous sentirez comme dans une bulle. Fruit de la créativité de la marque, C3 Picasso se démarque à la fois par un style audacieux, une architecture novatrice et une ingéniosité marquante. Son comportement routier, agile et enjoué comblera une clientèle en quête de plaisir et de sensations.

nais les voitures européennes et puis j’ai commencé à me lancer dans la confection de maquettes de camion”. Routier de son état depuis qu’il a “son permis camion”, Claude Marandel reconnaît que “ses maquettes plus qu’une passion sont devenues une véritable drogue”. Celui-ci n’hésite pas à parcourir les concours de toute la France pour confronter ses techniques, échanger des astuces avec d’autres maquettistes. “Je serai en retraite dans un mois, je vais pouvoir me rendre en Belgique, au Luxembourg pour comparer le savoir-faire des autres pays en ce domaine” se réjouit Claude.

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La haute couture des camions Une passion qui nécessite du temps et de la patience. “J’achète une boîte de camion en magasin. C’est la base, après je bricole et j’adapte en fonction de mes envies. Je prends des photos de camions en taille réelle, j’effectue des mesures. Il faut compter entre quatre mois et un an et demi de travail pour réaliser une maquette. Tout dépend de la complexité. Parfois il faut adapter le châssis, trouver tel type d’essieux.” Façonnée sous les mains expertes de Claude, chaque pièce est unique. Des pièces qui lui ont valu de remporter une quarantaine de médailles. Si certains possèdent dans

Claude Marandel réalise ses maquettes de camions à partir de photos. Il a participé à plusieurs concours et a remporté une quarantaine de coupes

leurs tiroirs des stocks de boulons ou de ferraille, Claude lui a des boîtes de camions plein les armoires. “J’ai 45 camions terminés et 90 en attente. De même, il me reste 130 voitures miniatures à monter que j’ai achetées il y

a une quinzaine d’années”. Le rêve de Claude ? réunir tous les passionnés de maquettes en un club et faire une exposition sur Dole “pourquoi pas à l’occasion du Téléthon par exemple”. Chloé Chamouton

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R O C H E F O RT S U R N E N O N - T É L . 0 3 8 4 7 0 6 0 5 1 Pays Dolois - mars 2009 - 26


■ JURA / SECURITE ROUTIERE / RADARS

Souriez, vous êtes flashés Les radars, la hantise des conducteurs. Avec 11 radars situés à des points stratégiques sur le Jura, cela donne matière à réfléchir. Alors plus qu’une machine à prendre de l’argent aux automobilistes, la prolifération de radars n’est-elle pas un moyen d’inciter les usagers de la route à ralentir pour garantir leur sécurité ? Le radar reste un outil au service de la sécurité routière, l’un des axes majeurs de la politique de la préfecture du Jura. Le point avec Christian Cuchet, secrétaire général de la Préfecture du Jura. Il est des points stratégiques dont il vaut mieux se méfier pour éviter de recevoir une surprise financière dans sa boîte aux lettres.

Combien y a t-il de radars dans le Jura ? 11 radars fixes sont installés dans le Jura dont 3 mis en service en 2008. Il s’agit de Dole (RD 905), Champagnole( RN 5) et Dampierre(RD 673).

Comment les sites d’implantation des radars sont-ils choisis? Les sites d’implantation des radars fixes automatiques doivent dans la mesure du possible répondre aux critères suivants : - L’accidentalité. Il convient de privilégier les sites sur lesquels sont observés une concentration d’accidents de gravité élevée, et pour lesquels le non respect de la vitesse autorisée constitue une cause fréquemment identifiée d’accidents. - La logique d’itinéraire. Il s’agit de couvrir un territoire pour que sur un itinéraire Est/Ouest ou Nord/Sud, un usager de la route soit fréquemment contrôlé (au minimum tous les 100 kms sur autoroute et 50 kms sur route). - L’accessibilité des sites. Proposer des sites où les contrôles traditionnels nécessitent une présence physique difficile ou impossible. Sans oublier les

caractéristiques géométriques de la voie. J’ajouterai que le site d’implantation d’un radar fixe automatisé ne doit pas souffrir de quelconques contestations juridiques ce qui nécessite des études techniques de faisabilité pour fiabiliser les résultats des contrôles.

Quel est l’impact des radars ? A l’endroit des radars, l’effet est immédiat et les zones concernées ne constituent plus des zones particulièrement accidentogènes. En effet, les usagers de la route veillent à respecter la vitesse autorisée en ralentissant à l’approche du radar puis plusieurs centaines de mètres après. L’impact d’un radar fixe sur la vitesse est démontré sur une bande d’environ 1 à 2 km avant et après l’emplacement du radar. Mais surtout, les radars ont eu un effet général sur le comportement des conducteurs qui sont désormais plus

prudents. La vitesse moyenne enregistrée sur une quinzaine de sites dans le Jura est en baisse régulière depuis 5 ans. Les observateurs de la Sécurité Routière pensent d’ailleurs que c’est la raison essentielle de la réduction du nombre de tués sur les routes ces dernières années.

Quel est le hit parade ? Le radar le plus “productif” du département en 2008 est celui installé à Morbier sur la RN5. 3 714 conducteurs ont été pris en infraction par cet équipement sur un total général d’infractions relevées par l’ensemble des radars du département (9 758) soit 38 %. Celui de Menotey a relevé 1 487 infractions. Celui de Dole, 678. Celui de Dampierre, 218 mais il n’a fonctionné qu’un trimestre en 2008. Il convient de souligner que 93 % des constatations concernent des infractions inférieures à 20 km/h. Enfin, le nombre d’infrac-

LA CARAVANE DE PIERRE AULON, PROBABLEMENT LA PREMIÈRE DANS LE JURA. Un peu après la guerre, Pierre Aulon, fervent lecteur de Système D, un magazine de bricolage, découvre qu’il est possible d’acquérir des plans à l’échelle 1, d’une roulotte à 2 roues. Immédiatement, il commande le jeu de plans, et se met au travail dans une grange à Authume, aidé par un de ses cousins. Il y avait un seul lit pour 4 personnes et une cuisine sur l’avant. Cette caravane a roulé jusque dans les années 70, après avoir été tractée successivement par la C4, le Tub, une Simca aronde et une P 60, dans toute la France, mais également en Suisse, Allemagne, Italie, Autriche, Espagne, Gibraltar, et même en Yougoslavie, par Pierre Aulon, et ses 2 fils. Lors de la première sortie de la “roulotte”, les voisins donnèrent, en plaisantant, le surnom de “camp volant”, surnom qui désignait, à cette époque les gitans qui stationnaient parfois dans les villages, et habitaient dans des roulottes.

tions relevées par les radars fixes du Jura, en dépit d’un parc plus important, a diminué de 12 % en 2008 par rapport à 2007.

Comment se mettent en place les radars mobiles? L’emplacement des radars mobiles (7 dans le Jura) relève d’une stratégie de contrôles qui peut évoluer en fonction des événements et des informations à disposition des services sur les comportements et les habitudes des usagers de la route. Ainsi la gendarmerie a été dotée récemment d’un radar compteur qui mesure discrètement et sans possibilité de sanctionner la vitesse enregistrée sur tel ou tel axe. Si des vitesses excessives sont régulièrement enregistrées, des contrôles par radar mobile pourront alors être organisés. La couverture en radars fixes est à peu près assurée désormais dans le Jura. En 2009, la priorité va être portée sur les radars de constatation de la vitesse en approche des passages à niveau les plus sensibles (un radar devrait être installé à Vercia). Un plan d’installation de systèmes de contrôle automatique de franchissement de feux rouges sera mis en œuvre également en 2009. Les principales communes du département seront concernées dont Dole.

■ JURA / SECURITE ROUTIERE / PERMIS DE CONDUIRE

Permis de conduire :

ce qui change en 2009 ? La lutte contre l’insécurité routière s’inscrit dès 2009 dans une réforme du permis de conduire composée de 15 mesures. Le but est de rendre l’obtention du permis moins longue, moins chère et plus sûre. Le point avec Philippe Valenchon, responsable des permis de conduire à la DDE. La réforme majeure dans l’obtention du permis de conduire concerne les délais préalables aux examens (code et conduite). Actuellement les cours de conduite ne peuvent commencer, et le code ne peut être passé, qu’après l’enregistrement des candidats en préfecture. La réduction des délais induite par la réforme permettra que les cours de conduite puissent commencer dès l’inscription en auto-école et que le code, dès avril 2009, puisse être passé dès l’enregistrement du dossier d’inscription. L’apprentissage anticipé de la conduite et la conduite accompagnée seront encouragés par la simplification des démarches, l’abaissement de l’âge de l’accompagnateur et la favorisation de l’apprentissage sur le lieu de travail. Côté financement, la réforme annonce que dès le second semestre 2009, le fond de cohésion sociale prendra en charge la caution du prêt

pour le “permis à un euro par jour” pour les jeunes exclus du système bancaire et inscrits dans une démarche de formation ou d’accès à l’emploi. Les demandeurs d’emploi et les allocataires du RSA (revenu de solidarité active) seront aidés également pour faciliter le retour à l’emploi. Quant à la rénovation des programmes de formation et de l’examen, le Premier ministre François Fillon a annoncé que le gouvernement allait engager immédiatement une concertation avec les compa-

Les chiffres du permis dans le Jura en 2008

5388 candidats au Permis B, 3375 reçus en 1ère représentation, soit 64,7% de réussite (national : 54%). gnies d’assurance et les autoécoles afin d’envisager “un rendez-vous post-permis à 6 mois”. L’épreuve du code sera modernisée et celle de la conduite “évoluera pour passer d’un décompte d’erreurs à un véritable bilan de compétences et de comportement dès le début de 2010”.

Petite histoire du permis de conduire et de la sécurité routière Si cette année la ceinture de sécurité fête ses 50 ans (il y a 30 ans qu’elle obligatoire à l’avant), le permis de conduire a lui 110 ans. Quant à la notion de sécurité routière, elle voit officiellement le jour en 1851, avec la loi relative “à la police du roulage et des messageries publiques” : liberté de circuler pour les automobiles mais dans le cadre d’une réglementation. Le permis de conduire naît officiellement le 10 mars 1899 avec un décret rendant obligatoire sur tout le territoire français la détention du certificat de capacité par l’ensemble des conducteurs. Dix ans plus tard, une commission est mise en place pour élaborer un Code de la route (création en 1917 des premières écoles de conduite). Le Parlement et le Conseil européens prévoit pour 2013 un modèle unique de permis.

Propos recueillis par Chloé Chamouton

NOUVEAUTÉS 2009 Seat Exeo, une berline sportive Exeo vient du latin Exire, qui signifie aller de l’avant. Nouveau départ pour Seat, donc, avec une Ibiza bien née et... une ancienne A4 habilement vêtue à l’espagnole. Exit la morosité. La Seat Exeo dispose de formes très harmonieuses qui lui confèrent une élégance extrêmement classique. Soucieuse de l’environnement, elle est équipée d’un toit avec capteur d’énergie solaire. Celui-ci alimente le système de ventilation de la berline. Ses ingénieurs l’ont dotée d’une suspension avant à 4 bras et d’une suspension arrière à bras trapézoïdal. Elle est dotée d’une offre Diesel à rampe commune de dernière génération.

La Ford Ka, un petit bijou de facilité Mon nom est Ka, Ford Ka. Originale, espiègle et dynamique, la Nouvelle Ka définit de nouveaux critères sur le segment des petites voitures. Conçue pour la ville, elle se positionne comme un véhicule moderne au style dynamique et expressif très évocateur de l’esprit du modèle d’origine. Elle bénéficie d’un design intérieur dynamique et élégant rehaussé de couleurs expressives, d’éléments fortement contrastés et fourmillant de détails ingénieux. Tout l’aménagement intérieur, qu’il s’agisse des sièges ou des commandes, a bénéficié d’un soin minutieux et d’une qualité de finition rarement atteinte dans les véhicules de cette catégorie. Facile à conduire, la nouvelle ford Ka mise sur une excellente visibilité pour se garer dans les coins les plus difficiles.

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AUTOMOBILE

Pays Dolois - mars 2009 - 27



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