Pays Dolois 185

N°185 Septembre 2016

Pays Dolois

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2 actus

1.

Pays Dolois n°185 - Septembre 2016

Parc des expositions du Grand Dole

Jean-Pascal Fichère : “Nous devrons

saisir toutes les opportunités pour remplir cette salle…”

Les travaux vont bon train sur le site d’Idéal Standard à Dole. Tout doit être prêt pour accueillir le salon “Made in Jura” en octobre. Si l’on peut se réjouir d’une telle nouvelle infrastructure sur Dole, le projet soulève quelques interrogations. Eléments de réponse avec Jean-Pascal Fichère, président du Grand Dole.

Les travaux de réhabilitation du bâtiment d’Idéal Standard sont conséquents et inquiètent certains Dolois. Pourquoi le Grand Dole s’investit dans ces travaux ?

Idéal Standard cherchait à céder son immobilier.

Fin décembre 2015, nous avons racheté le bâti­ ment pour 3,5 millions d’euros. Au total, 58 000 m² dont 40 000 m² sont reloués à l’entreprise pour 300 000 €/an. Un achat raisonnable qui s’équilibre avec cette location et les différentes subventions régionales et nationales à venir. Avec un espace de 18 000 m² en notre possession, nous pensons organiser l’espace en deux parties de 9 000 m², cela reste à voir en fonction des besoins. Le Conseil départemental du Jura nous a contacté pour orga­ niser le salon “Made in Jura” mi­octobre, ce que nous avons accepté. Les travaux de réhabilitation seront terminés fin septembre, tout sera donc prêt pour le 15 octobre.

Il se murmure que le salon de l’habitat et la foire de Dole pourraient se tenir dans ces nouveaux locaux, est-ce possible ?

Il faudra bien évidemment saisir les opportunités pour le remplir. Nous n’avons pas encore eu de contacts avec les organisateurs du salon de l’habi­ tat mais il est certain qu’il sera plus facile d’implan­ ter de grands événements comme des salons ou des foires sur le nouveau site d’Idéal Standard.

“La Commanderie doit reprendre sa vocation de salle de spectacles…”

Faut-il donc s’inquiéter de l’avenir de la salle de La Commanderie ?

La nouvelle salle doit privilégier les expositions alors que La Commanderie doit s’attacher aux spectacles et séminaires. Nous allons d’ailleurs développer ces deux derniers éléments. La Com­ manderie doit reprendre sa vraie vocation de salle de spectacles.

Il existe déjà de gros salons à Dijon et Besançon, comment pensez-vous pouvoir concurrencer de tels événements ?

Nous ne voulons pas concurrencer les manifesta­ tions existantes mais nous ouvrir à de nouveaux rendez­vous. Nous souhaitons profiter de cet outil pour accueillir de nouveaux événements, peut­être notamment avec le département du Jura. Il faut savoir que cette nouvelle salle n’est pas chauffée, cela aurait coûté trop cher pour allonger la saison des salons qui a lieu essentiellement au printemps et à l’automne. Nous nous donnons trois ans pour sentir le marché et développer notre nouvelle salle d’exposition.

Pour optimiser l’offre touristique, une Société Publique Locale (SPL) baptisée “Hello Dole” a été annoncée, qu’en est-il ?

Cette structure souhaite renforcer la notion de “Dole, ville de congrès”. Comme beaucoup d’au­ tres collectivités, la SPL sera le seul contact pour la mise en place d’événements au parc des exposi­ tions, à La Commanderie ou pour l’Office de Tou­ risme. C’est un souhait d’être plus lisible et perfor­ mant sur ce sujet.

Mais aussi… côté sport Côté sport, un club “Grand Dole Rugby” a été créé. Quel sera le financement apporté au Club ?

Du coup, le Grand Dole va-t-il s’orienter vers une compétence sport ?

Rien n’est encore arrêté. Depuis longtemps, nous avons la volonté de soutenir le sport “fédé­ ral ou national” car c’est une forme de promo­ tion du territoire et de notre image. Combien et comment ? Nous ne le savons encore pas. Cette création est une première étape pour éventuel­ lement passer un cap vers d’autres sports.

Nous avons déjà une expérience de soutien ponctuel en aidant certains sportifs à titre indi­ viduel pour de grands championnats ou les Jeux Olympiques. C’est certain que cette compétence relève de l’intercommunal mais cette gestion politique est à repenser. C’est peut­être le début d’un cap à franchir…

E TAT C I V I L

Neyla de Mohamed GOUDJIL et de Fatiha SAIDANI, Champvans Chloé de Pierre QUENOT et de Sophie Viktoria de Boban STANKOVIC et de BOUTON, Champvans Amélie RIGAUX, Amange Soan de Julien JOUILLEROT et de Alexia Djino de Nicolas BOUDOT et de Manon LARQUEMIN, Champvans VUILLET, Arbois Marceau de Jason BERTHET et de Mathéo de Aurélien RAISON et de Mélanie MARECHAL­LYET, Chatenois Coraline MOUAZ, Arbois Ninon de Valentin DURIEZ et de Ezio de Maxime GUY et de Amélie Amandine CHEIKH BEN KADDOUR, OGLIOTTI, Asnans­Beauvoisin Chaussin Maëlys de Nicolas BARRAUX et de Heyden de Sullyvan VAUTHEY et de Sophie BRETON, Asnans­Beauvoisin Vanessa PIQUARD, Chaussin Nina de Jérémy VACHET et de Audrey Nohan de Lionel NICOUD et de Laetitia MERGEY, Augerans MOLARS, Chaussin Ethan de Jess DALVAL et de Emilie Emma de Aurélien BACHELU et de MOUTON, Authume Emilie GENERET, Dammartin Marpain Sefa de Sener BASA et de Laura Mathias de Stéphane BELPOIS et de CRANCE, Authume Christelle PHILIPPS, Damparis Flavie de Alexandre BERNOUX et de Malone de Christophe BRÉGAND et de Caroline LARGOT, Baverans Lise BELZUNG, Damparis Antonin de Etienne DORNER et de Léna Alice de Benjamin DUBAND et de DAUBIGNEY, Belmont Mélanie GENNETIER, Dole Capucine de Alexandre SUGNY et de Edgar de Vincent JACQUINOT et de Emilie GRILLON, Biarne Emilie BARBE, Dole Louana de Sébastien BEAUFILS et de Sébastian de David VANNER et de Stéphanie LIEFROID, Biarne Suzanne MARRON, Dole Agathe de Hugo RICHARD et de Juliette Tessa de Jordy MAINGRE et de Laura NOYAUX, Brans CHAMPION, Dole Evangéline de Oswald TALBOT et de Adâm de Jamal SAIDANI et de Sophie Cindy LEROUX, Champagney LENTISCO, Dole Chloé de Jérôme ZEYER et de Ingrid Léopaul de Antoine BINET et de SOLEILHAC, Champdivers Delphine ARTAUD, Dole Héloïse de Julien de REMONDY et de Anas de Hamid SABQI zet de Saïda Clémence DORAS, Champdivers AOUSSIF, Dole Lucas de Christophe SÉJOURNÉ et de Azumi de Cédric TOMASINI et de Claire Natacha AZEVEDO, Champdivers ASFAUX, Dole Julia de Loïc RIDET et de Aurélie Mayssa de Lhoussaine SEKAK et de THIBOUD, Champvans Hava KÖKEN, Dole

NAISSANCES

Maxence de Arnaud SPECQUE et de Eva GOZET, Dole Lenzo de Yannick VERGNAUD et de Delphine GUÉDET, Dole Léon de David FÈVRE et de Céline FRAICHARD, Dole Paolino de Sébastien MAGAGNIN et de Karine GUIBELIN, Dole Sélim de Samir BELGHORZI et de Justine DURAND, Dole Hugo de Sylvain JEANNET et de Anaïs SOSSAYA, Dole Julia de Adrien LOCOGE et de Emilie BROCARD, Dole Léna de Anthony LELU et de Coralie DOUSSOT, Dole Kimberley de Franck SPUCCIA et de Véronique GUINAUDEAU, Dole Enzo de Rui LOPES SILVA et de Susana ALVES NOGUEIRA SILVA, Dole Gloria de Fation VJERDHA et de Dindela LOSHA, DOLE Gabrielle de Duarte SILVA da CONCEICAO et de Natacha VINCENT, Dole Maé et Noa de Jérôme FRAICHARD et de Lucie BRULEBOIS, Dole Chada de Redouane BAOUFRIH et de Fatiha ZEROUKI, Dole Neyla de Taoufik EL GRAIOUI et de Rajaa BENYAKHLEF, Dole Élya de Maxime LECOMTE et de Laetitia MOLIN, Flammerans Sina de Arton TOÇANI et de Aferdita SEJDIU, Foucherans Rafaël de Alexis PITARD et de Gwladys GRILLON, Foucherans Amalia de Damien LAROCQUE et de Doriane MAIA, Foucherans

Le site Idéal Standard en cours de travaux actuellement

Salon “Made in Jura” : du “lourd” à Dole !

Il est peut-être temps de prendre la mesure de l’événement qui se présente à Dole au mois d’octobre. On se souviendra longtemps du premier salon au nouveau parc des expositions du Grand Dole !

Un très grand salon se prépare. Tout le Jura sera là. Clément Pernot, le Président du Conseil départemental du Jura peut afficher une certaine satisfaction : “Nous allons réunir à Dole, au cœur de la nouvelle région Bourgogne/Franche-Comté, ce qui se fait de mieux dans le Jura. “Made in Jura” est l’attachement des Jurassiens à leur département. Les forces vives du département ont répondu présent en masse, ce sera un très grand salon. Je ne doute pas que ce sera aussi un grand succès populaire.

Le Jura sera à la fête”. Imaginons : 18 000 m2 d’exposition, plus de 400 exposants dont environ 300 entreprises, la lunetterie, l’agroalimentaire, la plasturgie, le bois, le jouet, le tourisme… mais aussi les collectivités, les associations et certains départements voisins qui viendront se joindre à la manifestation.

Rendez-vous du 13 au 16 octobre 2016.

Goran de Marino CVITANOVIC et de Vanille MOULIN, Foucherans Kaya de Christophe LAINE et de Sandrine HOG, Foucherans Sarah de Alexandre BAUDRAS et de Irène VERMOT­DESROCHES, Gevry Alixe de Thomas GEST et de Claire MOUILLARD, Gevry Lilian de Esteban GIRARDET et de Cynthia DUTREY, La Vieille Loye Raphaël de Olivier MORIAU et de Marine PATAUD, Le Deschaux Layna de Julian COSTANTE et de Mégane VANTARD, Longwy sur le Doubs Gwendoline de Michaël PETIT et de Stéphanie PAGOT, Moissey Elena de Pierre DEBERT et de Sophie FRESSE, Moissey Tyméa de Matthieu LABIGAND ET DE Adeline CHAPUIS, Moissey Maxence de Ryan MOLARD et de Angélique PIETTE, Molay Farès de Océane GUIVIER, domiciliée à Monnières Lili de Johnny BRET et de Jennie PICOULET, Mont sous Vaudrey Kathleen de Jean­Marc REBNAUDOT et de Karine JACQUOT, Montbarrey Arsène de Antoine LIMOUSIN et de Florie HONEGGER, Montmirey la Ville Loan de Alexy NEGRO et de Charlotte LORMET, Offlanges Jade de Jean­Didier VUILLEMENOT et de Camille BASSARD, Orchamps Eyma de Valentin VILLET et de Emilie MICHEL, Ounans Arthur de Cyril REVILLOT et de Laura LOUREIRO, Parcey Sarah de Frédéric BAILLEUL et de Marie­ Hélène SIMEREY, Petit­Noir

Paulin de Grégory CHAPRON et de Anne­Sophie GAUVIN, Rainans Timéo de Alexandre PESSE­GIROD et de Meghann BORRULL, Saint­Aubin Noah de Romain TERON et de Mélanie RIQUET, Saint­Baraing Eléna de Tristan ROSE et de Aurélie BONNIN, Saint­Baraing Emilio de Donovan TROTTE et de Aurore DODET, Souvans Giulian de Thierry HEROZ et de Maïté GUYON, Souvans Mattéo de Jérôme PAPRET et de Jennifer BLASQUEZ, Tavaux Axel de Bertrand BAUD et de Pauline CHAPON, Tavaux Amaury de Jordan PETOT et de Sakina BOUGAUD, Tavaux Elena de Xavier YERLY et de Déborah BROCARD, Tavaux Johan de Jean­Michel RIETMANN et de Marylène HIRN, Tavaux Candice de Clément TETU et de Céline BROCHET, Tavaux Madeline de Julien COLIN et de Mathilde LIMAT, Vadans

Maurice WITTMANN, Champagney, 95 ans Maurice COYER, Champdivers, 83 ans Maurice EYNARD, Choisey, 89 ans Denise COMBES, Choisey, 59 ans Christiane DUGOIS épouse MICHAUD, Crissey, 80 ans Jeanine BIDEAUX épouse SIÉMINIACK, Dammartin­Marpain, 79 ans Roger PUTELAT, Damparis, 90 ans Cléa TOURNIER, Dole, 1 an Régis LEBOEUF, Dole, 87 ans Marc AUGRANDJEAN, Dole, 63 ans Monique CATELIN, Dole, 89 ans Robert BAREILLE, Dole, 89 ans Marie­Lucie GUYON veuve COSSÉ­ KNAUSS, Dole, 102 ans Zana MOULAI veuve DEDDOUCHE, Dole, 93 ans Raymonde HERRMANN veuve PARIS, Dole, 96 ans Georges SEBELON, Dole, 93 ans Joëlle DAUPHIN, Dole, 57 ans Maxime LAINE, Dole, 63 ans Bernard MARÉCHAL, Dole, 84 ans Daniel SIMONET, Dole, 69 ans Alain SONNET, Dole, 70 ans Jean ORDIONI, Dole, 78 ans Claude DUSSEAUX, Dole, 81 ans DÉCÈS Yvonne GENTEL épouse FRICHET, Dole, Yvette BOUDOT veuve CACHOT, 88 ans Annoire, 82 ans Michelle BAILLY, Dole, 92 ans Andrée LANAUD veuve GRIS, Arbois, 86 Denise BERTRAND veuve LEBRASSEUR, ans Dole, 85 ans Natacha PERNET, Authume, 43 ans Monique GAILLARD veuve BRENIAUX, Marcelle CORDIER épouse PETITJEAN, Dole, 82 ans Authume, 89 ans Patrick GAUTHIER, Dole, 57 ans Marianne LÉONARD épouse L’HÉRITIER, Michel GLANTZMANN, Dole, 86 ans Authume, 62 ans François KWIATKOWSKI, Dole, 56 ans Paul MICHAUD, Dole, 95 ans Berthe GENCE épouse OUTREY, Daniel SACON, Dole, 73 ans Belmont, 86 ans

Gilbert BELLEVILLE, Foucherans, 82 ans Pierre BEJEAN, Foucherans, 96 ans Marie­Louise JEANDON, Foucherans, 87 ans Georges BRELOT, Fraisans, 96 ans Georgette DRUOT veuve MAUFFREY, Fraisans, 103 ans Marie­France PÉRIARD épouse MARKIOLI, Gevry, 72 ans Claude FAIVRE, Jouhe, 58 ans Maurice BRALET, La Barre, 95 ans Renée BRENOT veuve SÉPRET, Le Deschaux, 87 ans Lucette VOISSAT veuve GAUTRON, Malange, 85 ans Colette EPAILLY, Malange, 79 ans Anaïs TERPO veuve RIVIÈRE, Malange, 89 ans Yvonne LESAGE veuve SIBILLE, Mont sous Vaudrey, 94 ans Jeanne­Marie BURKLÉ épouse THOMAS, Mont sous Vaudrey, 80 ans Michelle THEVENIN épouse JACQUOT, Petit­Noir, 83 ans Denise REBIERE vve TROY, Rainans, 94 ans Noélie AVIZOU veuve FRAISIER, Rochefort sur Nenon, 95 ans André JACOB, Saint Aubin, 89 ans Jacqueline CREACH épouse GIRARD, Saint­Baraing, 59 ans Colette LAPORTE veuve MARTIN, Santans, 84 ans Blaise SANTENDER, Tavaux, 76 ans Marie­Thérèse MOUGIN épouse BLANC, Tavaux, 80 ans Giovannina LORENZI épouse BANNELIER, Tavaux, 87 ans Gisèle CAMUZET veuve NOYAUX, Tavaux, 77 ans Pierre MAILLIER, Tavaux, 77 ans Jean­Georges BARBIER, Thervay, 92 ans

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4 actus

2.

Pays Dolois n°185 - Septembre 2016

Jura- Nord

Gérôme Fassenet et Christophe Ferrand :

“Deux nouvelles casernes neuves, c’est merveilleux !”

Pas une, mais deux ! Une nouvelle caserne de pompiers à Ranchot et une nouvelle gendarmerie à Dampierre, les habitants de Jura-Nord peuvent apprécier… ce n’est pas si fréquent.

Détails et précisions sur deux projets qui suscitent tout de même quelques réticences.

La nouvelle caserne des pompiers a été validée au dernier conseil communautaire et les travaux devraient commencer sous peu. Fin 2018 au plus tard, les pompiers de Fraisans et d’Orchamps intégre­ ront la nouvelle structure située sur la commune de Ranchot. “Il ne s’agit pas d’une fermeture mais d’un regroupement” soulignent Gérôme Fassenet et Christophe Ferrand, respectivement président et vice­président de la communauté de communes de Jura Nord. “La caserne d’Orchamps est la plus vétuste du département, elle est obsolète. Il faut en profiter pour mutualiser les moyens en regroupant l’effectif des deux casernes. Pour ce projet, cela fait un an que nous sommes en contact avec les casernes d’Orchamps et de Fraisans.

Nous en parlons depuis 15 années maintenant. Certains n’ont pas osé le faire avant, moi je prends les décisions pour gagner en efficacité et pour miser sur le rassemblement de moyens. Avec la logique perma­ nente de territoires intercommunaux, cela aurait même dû se faire bien plus tôt ” explique le président Gérôme Fassenet.

Ranchot comme épicentre Les élus ont proposé au SDIS (Service Départemental d’Incendie et de Secours) de rassembler ces deux casernes. Pour mener à bien ce projet, des études ont été réalisées sur l’accidentologie et sur les temps d’intervention. “La commune de Ranchot ressort comme l’épi­ centre” détail Christophe Ferrand. “Nous n’avons donc pas choisi l’emplacement. Du côté des effectifs, tous les postes seront

EN BREF

UNE 2e EDITION POUR LA FOIRE EXPO DE DOLE La Foire Expo revient à Dole du 16 au 19 septembre. Environ 150 artisans et commerçants seront présents autour de quatre grandes thématiques : l'habitat, la gastronomie, l'automobile et le bien-être.

Au programme : expos diverses, Vespas et autres Fiat 500, quelques Ferrari, une Lamborghini et une Maserati dimanche.

Mais aussi : fabrication de pâtes, initiation et dégustation du véritable café italien.

“Cette année, nous avons développé les secteurs de la gastronomie et du bien-être.

80 % de la foire propose des produits locaux de Bourgogne/Franche-Comté mais nous avons aussi un village italien, pays invité d’honneur.

Les enfants apprécieront la petite fête foraine et les animations gratuites. Nous avons frôlé les 9 000 visiteurs l'année dernière, nous espérons franchir le cap des 10 000 visiteurs...”, Marc Toutlian, organisateur de la foire.

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Du 16 au 19 septembre, de 10 h à 21 h (le 19 septembre, fermeture à 18 h).

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conservés car il s’agit d’un regroupement et non d’une fermeture” précise le vice­président. Les travaux débuteront prochainement pour un montant estimé entre 700 000 € et 800 000 €. Une facture partagée à 50 % pour le SDIS et 50 % pour l’intercommunalité. “En ce qui concerne la caserne existante de Fraisans, le bâtiment n’est pas perdu. Il pourra être utilisé pour les services administratifs ou tech­ niques de la collectivité” souligne Gérôme Fassenet.

Une nouvelle gendarmerie à Dampierre en 2019 La caserne de la gendarmerie fait également peau neuve. Une nou­ velle structure va être réalisée, comprenant la caserne mais aussi les logements. “Deux sites ont été proposés : Dampierre et Orchamps. Le site de Dampierre a finalement été choisi car il était bien situé et son terrain était assez grand pour accueillir aussi les familles” précise Christophe Ferrand. Il s’agit donc d’un regroupement des gendarme­ ries de Fraisans et d’Orchamps, soit 11 gendarmes. “Nous aurons plus d’efficacité par rapport à la masse de la population, représentant un bassin de 5 000 à 6 000 personnes”. Le coût de construction de la gendarmerie est estimé à un peu plus d’un million d’euros avec l’in­ tégration des logements, dont “79 % de subventions proviennent de l’État”. Les travaux devraient durer deux ans et se terminer vers la fin 2018 ou le début de l’année 2019.

Et aux deux élus de conclure : “Deux nouvelles casernes sur notre ter­ ritoire, c’est merveilleux !”

3. Arbois :

DES AVIS PARTAGÉS

ALEXANDRE BOLE, LE CHEF DE CORPS DE LA CASERNE DE FRAISANS : “Ce projet est absurde. Nous avions un service qui fonctionnait bien et la caserne de Fraisans n’est pas encore payée entièrement ! Cela va impliquer de la suppression de matériel. Sur les 7 engins dont dis­ posaient les casernes d’Orchamps et de Fraisans, il en restera seule­ ment 5 ! En plus, le temps d’intervention va être allongé. Les hommes habitaient à 2­3 kilomètres de leur caserne, ils seront dés­ ormais à 9­10 kilomètres, ce qui peut mettre en danger les per­ sonnes. Suite à cette annonce, sur nos 18 pompiers volontaires, 4 seulement continuent leur activité, c’est dommage !”

FRÉDÉRIC SOURBIER, LE CHEF DE CORPS D’ORCHAMPS : Interrogé par nos soins, Frédéric Sourbier, le Chef de corps d’Or­ champs, souhaite rester discret. Il explique que “ce projet permet de préparer l’avenir pour ces 20 prochaines années. La région et le département bougent, les pompiers aussi. Un changement n’est pas toujours facile à accepter mais tout a été voté. Nous allons gagner en efficacité. Les pompiers d’Orchamps n’ont pas de problème pour intégrer la structure. Cela nous offre même un bassin de 6 000 per­ sonnes nous permettant de trouver des pompiers volontaires, ce qui n’est pas négligeable pour remplir nos engins !”

Tourisme et attractivité

et maintenant ?

A Arbois, on se demande presque encore comment un tel engouement a pu arriver. En effet, Arbois fut avant l’été sacrée quatrième village préféré des Français dans la célèbre émission de France 2. Un très bon classement qui, par la suite, a valu d’autres reportages attirant à Arbois nombre de touristes et curieux. Retour sur le “phénomène” de l’été avec le bouillonant Philippe Bruniaux, adjoint au Maire d’Arbois en charge de l’action culturelle, du patrimoine, de l’animation et de la communication.

Comment est née cette présence à l’émission de France 2 “Le village préféré des Français” ?

Nous n’avons rien demandé ! C’est la chaîne qui nous a choisis. Après une première satisfaction d’être retenu, nous avons décidé de jouer notre chance à fond et de profiter au mieux de cette aubaine médiatique qui s’offrait à nous. Nous avons mis en marche la machine avec le service communication, l’Office de tourisme et la Mai­ son Pasteur. Nous avons activé tous nos réseaux et obtenu de nombreux soutiens. Cela a bien marché puisque nous terminons qua­ trième. De quoi nous rendre heureux ! Cela a permis de valoriser les indéniables atouts d’Ar­ bois. Les Arboisiens, qui sont déjà très attachés

à leur ville, ont ressenti une certaine fierté.

L’engouement fut en effet important.

Et maintenant ?

Pour quelles conséquences ?

Nous enregistrons cet été une progression de 30 % de fréquentation à l’office de tourisme. En terme de notoriété c’est énorme. Arbois est main­ tenant largement connue et reconnue. Toute la ville profite de cette situation. Une remarquable dynamique s’installe et c’est très bon pour nos commerces, nos restaurateurs, nos viticulteurs… et pour Pasteur aussi. Bon pour Arbois mais plus largement aussi pour le Jura et la région. Il faut reconnaître qu’il y avait beaucoup de monde à Arbois cet été.

Nous devons poursuivre dans ce sens, ne pas faiblir.

Maintenir une pression constante pour que les médias ne nous oublient pas. C’est une communica­ tion économique avec des retombées importantes.

Nous avons maintenant de bons contacts, à nous de développer plus encore cette attractivité. Nous avons de nombreux projets pour permettre aux visi­ teurs de rester plus longtemps sur Arbois. Nous sommes maintenant une locomotive sur le Jura et nous pensons qu’il y a encore matière à aller plus haut. La Ville d’Arbois continuera à s’investir avec enthousiasme pour que ce bel engouement reste bien présent. vous pouvez nous faire confiance !

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4.

Pays Dolois n°185 - Septembre 2016

Conseil départemental Après 22 ans d’engagement sur le canton Dole SudOuest, Michel Giniès confirme son départ. Il souhaite dorénavant se concentrer à la mairie de Damparis et à sa famille. Il sera remplacé par Philippe Genestier.

Michel Giniès : “Je pars dans

de bonnes conditions…”

Vous avez aujourd’hui décidé de quitter le Conseil départemental et votre mandat de conseiller sur le canton de Dole 2 (Dole Sud-Ouest), dont fait partie Damparis, ville où vous êtes maire. Confirmez-vous ce retrait ? Quelle en est la raison ?

Oui, je confirme la fin de ma mission de Conseiller départemental. Mes fonctions s’arrêtent ce 31 août 2016. Je souhaite me consacrer à ma commune en tant que maire de Damparis mais aussi prendre du temps pour ma famille.

Comment vous sentez-vous ? Votre binôme, Françoise Barthoulot, va-t-elle siéger seule ?

“Non, elle ne sera pas seule. Pour partir sereinement, j’avais besoin de passer le relais à quelqu’un de confiance. Aujourd’hui, les conditions sont pleinement réunies puisque mon successeur est Philippe Genestier. Il travaillera avec Mme Barthoulot. Je suis soulagé car je confie la mission à quelqu’un de très proche.

Nous avons des idées communes et Philippe Genestier a de l’expérience. J’ai confiance en mon remplaçant. Il sait faire aussi bien, sinon mieux que moi, avec son verbe et son dynamisme. Je suis très content car je sais que je passe le relais dans de bonnes conditions.”

Vous êtes élu au Conseil départemental (à l’époque Conseil général) depuis 1994, quel souvenir gardez-vous de cette première élection ?

J’ai un souvenir assez particulier de cette élection car je prenais la succession de Maurice Faivre-Picon. J’ai

été élu maire de Damparis le 10 janvier 1994 puis j’ai intégré l’ancien Conseil général en mars 1994. Un passage de relais réussi et voulu par mon prédécesseur. Je n’ai pas décidé de faire une carrière politique. On est venu me chercher en m’expliquant que j’avais les capacités pour lui succéder. Maurice Picon avait conquis le canton lors de sa création en 1976. J’ai accepté. Le canton est donc tenu par un élu communiste depuis 1976 ! Ces nouvelles fonctions étaient formidables mais me donnaient d’emblée de nouvelles responsabilités, à la fois pour le Conseil Général et pour la mairie. Je suis fier d’avoir pu conserver l’“héritage” de Maurice Faivre-Picon. Je suis très redevable de mon prédécesseur pour m’avoir lancé sur cette voie et j’ai eu à cœur de ne pas trahir sa confiance.

Quel bilan tirez-vous de votre mandat ?

Je tire un bilan très positif de ce mandat au département. Le canton est relativement petit en superficie, mais pas en terme de population. C’est d’ailleurs l’un des plus gros cantons, avec pratiquement 19 000 habitants. Ma fonction était très enrichissante. Cela m’a permis d’échanger et de faire de belles rencontres. Le contact avec les habitants était très intéressant. J’ai tenu à mener mes actions sérieusement, le plus souvent dans la discrétion car je n’aime pas me mettre en avant. J’étais d’ailleurs très timide étant jeune. Je ne pense pas m’être fait d’ennemis particuliers. J’ai longtemps été le seul communiste du département. J’ai pu faire entendre ma voix. J’ai défendu le grand dossier

Michel Giniès avec son successeur Philippe Genestier

Innovia pendant de longues années. Cette zone me semblait nécessaire pour le développement économique du Jura. C’est une très grande satisfaction. J’ai toujours aimé la proximité avec la population. J’aime m’occuper du domaine social et des personnes dans la précarité. Nous pouvons regretter la baisse des subventions de l’état, alors que l’on en a encore plus besoin…

Avez-vous des inquiétudes pour l’avenir ?

J’ai l’impression que tout est figé. Il manque du dynamisme. On ne porte plus des projets forts mais on accompagne des projets intercommunaux. J’avais même parlé de “politique déambulatoire”, en me demandant jusqu’où cela pourrait aller. En voyant les compétences transférées à la région je doute un peu de l’avenir…

Vous restez maire de Damparis… Quelles sont vos priorités pour la commune ? Est-ce votre dernier mandat de maire ?

Je ne sais pas, je verrai… Cela se fera quand j’estimerai les conditions réunies. Pour le moment, je veux m’investir pleinement et exclusivement pour ma commune et je ne veux pas décevoir. J’ai toujours eu à cœur de tenir mes engagements. Je ne parle pas pour ne rien dire et quand j’ai quelque chose à dire, je le dis.

J’ai d’ailleurs toujours été respecté et écouté au Conseil général. C’est une satisfaction. Actuellement, la priorité est donnée au projet de l’éco-quartier.

J’aime mon rôle de maire, on est dans du concret avec des contacts humains. Même si parfois, c’est vrai, ce n’est pas toujours facile car l’on manque de moyens…

F.P

PHILIPPE GENESTIER SUCCÈDE À MICHEL GINIÈS

Philippe Genestier devrait prendre ses fonctions dans le courant du mois de septembre. Il s’exprime suite aux déclarations de Michel Giniès : “Cela fait un certain temps déjà que nous menons campagne ensemble. Cela s’est fait naturellement.

Nous avons un passé militant communiste commun.

Quand Michel m’a sollicité au niveau cantonal, j’ai tout de suite dit “oui”. J’apprécie son humilité et sa proximité avec la population, loin de se focaliser sur son unique carrière. Après une belle carrière en tant qu’élu, il doit penser à sa vie personnelle et se dégager un peu de temps”.

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8 Actus

Pays Dolois n°185 - Septembre 2016

Travaux avenue Maréchal Juin - Dole - Interview flash Les travaux de la montée de La Bedugue à Dole sont maintenant terminés. Une belle réalisation. Cette nouvelle entrée de ville est sans conteste la plus belle de Dole avec cette vue plongeante sur la vieille ville. Une avenue trop roulante ? Un manque d’arbres ?

Des stationnements efficaces ? L’avenir nous le dira… Rencontre avec Philippe Jaboviste, élu en charge des travaux qui ne cache pas une première satisfaction, celle de voir l’avenue ouverte à la circulation comme convenu avant la rentrée scolaire.

“Il faut féliciter les entreprises qui ont œuvré sur le terrain.

De vrais professionnels.

Les pluies de juin ont retardé le chantier et au final on termine dans les temps avant la rentrée.

Chapeau !”

“Nous avons eu des réunions régulières avec les riverains et les commerçants.

Aujourd’hui, je note une certaine satisfaction. ”

5.

Philippe Jaboviste : “On ne plante pas d’arbres au mois d’août…”

“Les travaux ne sont pas totalement terminés. Reste à installer le nouveau mobilier urbain, des bancs, des poublles et des arrêts de bus à bonne hauteur pour l’accessibilté. Reste aussi à matérialiser au sol l’entrée des porches privés.”

“Et les arbres ? Des emplacements sont prévus.

Chacun sait que l’on ne plante pas d’arbres au mois d’août. Il seront prochainement plantés.”

“Globalement, nous conservons le même nombre de places de stationnement avec un meilleur accès aux commerces sans obstacle. C’était une forte demande depuis de nombreuses années. ” “Fini les poubelles sur les trottoirs. Les bacs disparaissent pour laisser place à des points d’apports volontaires en haut, au milieu et en bas de l’avenue. Ces points sont accessibles aux personnes à mobilité réduite.”

6. école pour la rentrée…

Dole - Ecole Pointelin - Une nouvelle

C’est beau une nouvelle école ! En grande partie réhabilité, le nouveau groupe scolaire Pointelin a ouvert pour cette rentrée 2016. Une agréable surprise pour les nouveaux élèves venus de l’école Jeanne d’Arc après sa fermeture. Nouvelles classes, nouveau gymnase, nouvelle bibliothèque… Visite guidée en images...

La salle pour le périscolaire

La bibliothèque

L’entrée de l’école

Le nouveau gymnase

“Attention. Pour l’heure, et en attente de la fin des travaux, la vitesse dans l’avenue reste limitée à 30 km/h.”

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Dans la palette de cet hiver, cap sur les violines, mauve, jaune moutarde et une déferlante de vert. Le rose fuchsia devient le nouveau rouge.

Sans oublier les couleurs argentées ou métallisées. Pourquoi les réserver aux tenues de fête de fin d’année ? On ose le doré même en plein jour par petites touches ou en accessoires. Voilà de quoi réveiller la traditionnelle palette de couleurs souvent cantonnée au gris, noir et bleu marine !

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En septembre 2015, sous un soleil de fin d’été et pendant la fête de la gastronomie, Dole a connu une belle effervescence, riche en émotions gustatives. En 2016, la fête se poursuit les 23, 24 et 25 septembre.

"L’événement se déroule désormais sur quatre lieux : la mise en bouche à la médiathèque de l’Hôtel Dieu, les bouchées gourmandes au cloître des Dames d’Ounans (soit le lycée Charles-Nodier), les fromages à la chapelle des Cordeliers et les pâtisseries à la chapelle des Jésuites."

"Pour ce week-end, la qualité et la gourmandise sont au rendez-vous. Nous nous adressons à des épicuriens ou à des familles sensibles au bien manger."

"Pendant ce week-end, la population va être impliquée.

Les rues seront animées avec des défilés et des animations. Des pièces de théâtre ou des groupes folkloriques se produiront dans les rues le samedi et le dimanche de 11h à 12h.

"Le pass dégustation est un véritable sésame.

Cette année, un petit carnet présentant les différents sites du patrimoine et ses acteurs sera même offert."

Patrick Franchini : “Nous sommes heureux de vous convier à cette nouvelle édition du weekend gourmand du Chat perché” "Cette année, nous avons encore plus de professionnels participants, dont des boulangeries et les quatre fruitières du secteur qui ont répondu présentes."

"Nos produits locaux sont importants. Ils sont mis en avant Place Nationale avec un village présentant les produits régionaux labellisés AOC et IGP."

F OOD ’in Dole Cuisiner, manger, déguster…

Des étudiants en tourisme impliqués pour le week-end du Chat Perché Les élèves du BTS Tourisme du lycée Charles Nodier à Dole s’investissent aussi pour le week-end gourmand du Chat Perché. Sylvie Demont-Prenat, professeure au lycée, nous explique les actions et objectifs de cet engagement.

“Nous étions déjà présents lors de la première édi­ tion” explique la professeure de BTS Tourisme. “Les élèves ont réalisé en amont une étude de position­ nement afin de connaître les événements similaires et de s’assurer de la force de réussite du rendez­ vous”. Cette année des actions de commercialisa­ tion ciblées sont menées comme la distribution de tracts à Dijon et Besançon. Les élèves vont ensuite pouvoir s’investir sur le terrain afin d’être “confron­ tés au réel”.

De l’accueil à l’animation Les 70 élèves de la filière BTS Tourisme vont ainsi réaliser différentes missions sur ces trois jours d’événements : accueil et remises d’informations dans les petits chalets, animations sur les diffé­ rents sites comme la montée au clocher de l’église ou la mise en place d’accessoires pour déguiser les enfants. “C’est un vrai travail d’équipe” précise Syl­ vie. “Les élèves s’entraînent en amont par le biais de jeux de rôle afin d’anticiper les demandes des visiteurs et de s’approprier la teneur de l’événe­ ment”.

Chaque élève a une tâche dédiée, choisie dans la mesure du possible en fonction de ses goûts. “Cer­ tains sont plus à l’aise avec les enfants alors que les élèves en 2e année vont par exemple endosser le

rôle de chef de groupe” explique Sylvie Demont­ Prenat. “Les différents métiers du tourisme sont ainsi représentés. C’est un bon exercice avec des contraintes et des imprévus permettant de se coor­ donner avec des gens que l’on connaît peu. Pour ces jeunes, ces journées sont intenses. Côté enca­ drement, cela représente des dizaines d’heures de travail avec les différents enseignants, dont cer­ tains font même partie du comité de pilotage de l’événement”.

Côté santé : “bien manger”, cela s’apprend !

La gastronomie et la santé vont de pair. Le week-end Gourmand du Chat Perché intègre donc cette notion de nutrition à travers des conférences gratuites le vendredi 23 septembre tout l’après-midi.

Pascal Jobez, élu en charge de la santé, de l’offre de soins et du handicap à la ville de Dole nous explique les enjeux et les objectifs de ces séances.

Au menu du vendredi...

Je me sens bien dans mon assiette !

Tout est fait pour bien démarrer le week-end gourmand du Chat Perché. Dès le vendredi, le Comité de Promotion des Produits Régionaux co-organise avec l'association "Gourmande du Chat Perché" une journée découverte au manège de Brack.

Durant la journée du vendredi 23 septembre, les épicuriens vont pouvoir s’en donner à cœur joie. "Sur le principe de la terre à la fourchette, une vingtaine d'intervenants vont proposer des dégustations culinaires, exposi­ tions, informations ludiques et gustatives. Le but est de faire travailler les cinq sens, de montrer l'ensemble des produits de la grande région Bourgogne/Franche­Comté, mais aussi les métiers de la table et de la gastronomie.

Notre partenariat avec l'Université Ouverte régionale, et plus spécialement de Dole, per­ met de découvrir ces filières et peut­être de susciter ensuite des vocations…" explique Marie Beneux, directrice du CPPR, Comité de Promotion des Produits Régionaux.

Durant cette journée, de nombreux secteurs liés aux métiers de bouche seront représen­ tés : pâtisserie/boulangerie, cuisine, art de la

table, œnologie, apiculture, mais aussi les métiers d'élevage avec la volaille de Bresse.

Les conférences du Chat Perché L'après­midi, le public pourra participer à plusieurs conférences pour "trouver le bien­être par leur assiette".

Au programme : ­ 14 h : accueil et introduction ­ 14 h 15 : "Je me sens bien dans mon assiette" ­ 15 h : "Tous gros demain" ­ 16 h : "Les bienfaits du chocolat" ­ 16 h 30 : "Les comportements alimentaires de la génération Z (les 15­25 ans)" ­ 17 h 15 : table ronde sur le “manger local”, “man­ ger bio” et “bien manger” De 9 h 00 à 18 h 00 au Manège de Brack.

Conférence dès 14 h 00. - Entrée gratuite.

Inscription conseillée à l'adresse : contact@cppr-fc.com

“Certains aliments sont vite interdits pour des raisons de cholestérol ou de sur­ poids par exemple. On oublie trop souvent les qualités nutritionnelles des pro­ duits alors que certains sont très riches, en Oméga 3 notamment. Chacun peut avoir le droit de savourer de bonnes choses à condition d’avoir une consomma­ tion raisonnable et que les professionnels développent des filières adaptées.

C’est le cas du réseau agricole Bleu, Blanc, Cœur. En introduisant les graines de lin dans l’alimentation des animaux, la viande, le fromage et les œufs issus de cette filière sont riches en OMEGA3. Ces corps gras sont une véritable protection cardio­vasculaire et neuroprotectrice. En sachant que la première cause de mor­ talité est causée par les accidents cardio­vasculaires, c’est un travail de santé pri­ mordial. Cette année, pour le week­end Gourmand du Chat Perché, nous sou­ haitons développer les conférences. Ces séances seront accessibles à tous les publics avec des notions scientifiques. Je souhaite aussi sensibiliser les profes­ sionnels de santé pour faire passer le relais toute l’année” explique Pascal Jobez.

Ces séances traitent de sujets d’actualité (à 15h : conférence sur le thème “Tous gros demain”) mais aussi des thématiques “plaisir” avec à 16 h : “les bienfaits du CHOCOLAT”. Qui a dit que la GOURMANDISE ne pouvait pas s’associer avec la NUTRITION ?

Partenaire du "Weekend gourmand du Chat perchĂŠ"

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F OOD ’in Dole Cuisiner, manger, déguster…

Philippe Troussard, profession Sommelier Avec l’obtention du titre de “Meilleur Ouvrier de France sommelier” en février 2015, Phi­ lippe Troussard est comblé. Au quotidien, il s’attache toujours à choisir le meilleur vin pour son client. Une mission délicate et une voie passionnante que le professionnel a rapi­ dement choisie comme spécialisation dans le cadre de ses études. “J’aime accorder les mets aux vins. Mon choix varie en fonction des goûts et du discours du client. Je cherche toujours à dégager la personnalité de mon interlocuteur. Au­delà de ce que l’on connaît, c’est un vrai travail de psychologie.” Le som­ melier prend aussi en compte d’autres fac­ teurs : “Le contexte est important. Autour d’une bouteille, il est nécessaire de tenir compte du temps et de la saison pour en apprécier sa juste valeur”.

Le goût de l’excellence Afin de trouver la bonne bouteille, Philippe Troussard dispose d’un vaste choix. Sa cave compte 600 références représentant 4000 bouteilles. Travaillant au sein de l’hôtel­res­

taurant familial Les Caudalies, il sait combien “l’obtention du col bleu, blanc et rouge par une petite auberge” est plus que gratifiant.

Compétiteur dans l’âme, Philippe Troussard aime les défis. Ce challenge, il le préparait depuis 8 ans car il s’était déjà présenté au concours en 2011. “Il faut se relever des défaites, ne rien lâcher et savoir faire des sacrifices. Avec une présentation possible tous les quatre ans, la compétition est lancée sur le même rythme que les Jeux Olympiques” explique le passionné de sports. Toujours fina­ liste ou demi­finaliste, dans les compétitions où il se présente (Master of Port, Meilleur sommelier de France...), le sommelier sou­ haite montrer “qu’il n’est pas nécessaire d’être dans un milieu reconnu pour être reconnu”.

Cette consécration en tant que MOF lui donne désormais de nouvelles responsabilités : “Le plus difficile ce n’est pas d’obtenir le titre, c’est de répondre à cette marque de confiance en l’assumant”, conclut­il.

Les Caudalies, hôtel-restaurant, 20 avenue Pasteur, 39600 Arbois

“Il n’est pas nécessaire d’être dans un milieu reconnu pour être reconnu.”

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Petite­fille de viticulteur et diplômée dans le domaine, Sylvana Chatenay est respon­ sable du magasin “Léon Marchand de Vins” depuis peu et travaille dans la boutique depuis trois années déjà.

Cette conseillère aguerrie aime orienter ses clients : “La boutique est un commerce de proximité. Je connais la plupart des gens qui rentrent. J’aime conseiller les acheteurs en fonction de leurs goûts et de leurs besoins”. L’employée du groupe Pernet – Jura Boisson prend plaisir à sélectionner les vins et à choisir les nouveautés qui plairont aux clients.

La boutique offre un vaste choix avec plus de 800 références

Des soirées thématiques aux coffrets cadeaux

Rouges, blancs, rosés, champagnes ou cré­ mants, qu’ils soient locaux ou de l’étranger, chacun peut trouver son bonheur. “Je vends beaucoup de Jura, de Bourgogne et de plus en plus de Bordeaux et de vins du Sud. La tendance du moment est aussi tournée vers les spiritueux. En trois ans, les ventes de rhum et de whisky ont beaucoup augmen­ tées. Je recommande aux clients de venir en boutique afin que je puisse les conseiller.

J’aime beaucoup ce contact client mais aussi les différents accords mets et vins” précise Sylvana.

Des conseils qui se retrouvent tout au long de l’année avec l’organisation de soirées de dégustation, privées ou publiques. L’occa­ sion de regrouper professionnels et ama­ teurs, “d’expliquer l’art de la dégustation, les différents accords mets et vins mais aussi de faire découvrir ou redécouvrir les produits” souligne la passionnée.

Et pour faire plaisir, il est possible d’opter pour un bon d’achat valable 12 mois ou des coffrets cadeaux à offrir ou à composer.

Sylvana vous conseille dans une cave de quartier sur les produits du groupe Pernet.

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C’EST TOUT C’EST À LA UNE…

Morgane et son équipe proposent bien plus que de la presse…

C’EST BIEN VU ET C’EST NOUVEAU !

Issue d’une famille de commerçants, Mor­ gane est une responsable plus que polyva­ lente. Il faut dire qu’elle propose une multi­ tude de services avec toute son équipe: 1500 à 2000 titres de presse, un service de location de véhicules utilitaires ou de tou­ risme, un dépôt pressing, le service de la Française des jeux, un point Relais Colis et Mondial Relais, sans oublier les recharges téléphoniques, les coffrets “box” à offrir, mais aussi la reproduction de clefs et de plaques.

En ce moment, chaque passage en caisse vous donne la possibilité de participer au tirage au sort organisé tout le mois de septembre par votre magasin Super U et la pizzeria Del Arte. Les bulletins sont à déposer dans l’urne du magasin. À gagner : 20 repas d’un montant de 15€.

Un rapport privilégié avec ses clients “Mon rôle est vraiment de conseiller les clients. J’aime cette proximité, ce rapport avec les gens. Au fil des années, j‘ai appris à connaître les habitudes de chacun. Il m’arrive de déjà préparer les articles sur le comptoir”. Morgane connaît les habitudes de passages et d’achats de ses clients, mais aussi extrêmement bien le magasin. “Je tra­ vaille ici depuis 10 ans dont 6 ans de presse et depuis quelques mois je gère ce point de vente. J’ai été hôtesse de caisse, hôtesse d’accueil mais j’ai aussi travaillé

C’EST DIT… “MON RÔLE EST VRAIMENT DE CONSEILLER LES CLIENTS. J’AIME CETTE PROXIMITÉ…”

TAVAUX DES REPAS DEL ARTE À GAGNER !

Morgan et sa collaboratrice Magalie

dans l’ancienne boulangerie, installée à l’époque dans la galerie marchande.

Aujourd’hui, mes collègues me demandent facilement des conseils pour trouver telle ou telle chose. Je peux même être amené à dépanner en caisse, à l’accueil mais aussi en rayon”. Des compétences multi­ ples qui font aujourd’hui sa force.

VOS COURSES EN TAXI, C'EST PRATIQUE !

Faites vos courses en toute tranquillité le mercredi et le samedi de chaque semaine grâce à notre navette qui est à votre disposition. Pour 10€ l’aller/retour, votre taxi vous dépose et revient vous chercher devant les portes du Super U Tavaux. Réservez votre navette . au

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VOTRE MAGASIN RECYCLE SON POLYSTYRÈNE ET A CRÉÉ UNE FILIÈRE tique), temps rapide en 10 minutes avec une température idéale de 27° (recommandée par les vétérinaires), mais aussi une désinfec­ tion automatique de la cabine après chaque lavage. Venez le tester prochainement !

Notre magasin Super U Tavaux récupère ses déchets en polystyrène et ceux d’industriels locaux. Ils sont envoyés par conteneurs dans un centre spécialisé et transformés en différents objets recyclés. Une démarche environnementale à l’initiative de votre magasin Super U Tavaux, lui permettant aussi de revendre des objets recyclés et d'arriver à presque 0% d’ordure sur le site de Tavaux. Notre magasin Super U Tavaux se veut être un tremplin pour pour l’avenir des futurs génération.

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JOURNAL DE LA PRÉVENTION ET DU TRI DU SICTOM DE LA ZONE DE DOLE

Que faire de vos DEA ?

Les Déchets d’Eléments d’Ameublement 3 POSSIBILITÉS •Faites plaisir à quelqu’un en donnant vos anciens objets ou en utilisant différents sites en ligne de dons, de trocs ou de ventes.

•Pensez aux associations qui récupèrent ces déchets pour lutter contre le gaspillage tout en contribuant au réemploi.

•Jetez vos DEA en déchèterie. En partenariat avec Eco-mobilier, les objets collectés sont recyclés, utilisés comme source d’énergie ou rénovés (Plus d’informations : www.eco-mobilier.fr)

Dans une seule et même benne, la déchèterie reprend : • Les matelas et sommiers.

• Le mobilier en plastique comme les salons de jardin.

• Le mobilier en bois : buffets, tables, bureaux, armoires, lits…

• Les fauteuils et canapés.

• Les meubles de cuisine et de salle de bains (SANS LES EVIERS ET ROBINETTERIES).

• Le mobilier en ferraille.

LE SAVIEZ-VOUS ?

Un badge de déchèterie et bacs = une adresse Les badges de déchèterie et les bacs attribués ne sont pas nominatifs. Ils correspondent à votre adresse d’habitation. Que vous soyez locataire ou propriétaire, le badge et les bacs sont attribués pour le logement. En cas de déménagement, vous devez laisser le badge et les bacs aux nouveaux habitants comme vous le faites avec les clefs.

Réduire vos déchets Une place e de compostage ? C’est quoi au juste ?

Une placette, c’est un lieu regroupant plusieurs composteurs.

Les placettes servent actuellement à valoriser les nombreuses épluchures des immeubles collectifs, des restaurants scolaires, des écoles, de la cuisine centrale de Dole, d’EHPAD et foyers logements, du centre spécialisé de Saint Ylie…

En déposant des épluchures (fruits et légumes, marc de café, coquilles d’œufs…), vous obtenez du compost pouvant servir ensuite à nourrir la terre des potagers, plantes, fleurs et jardinets et permettant de réduire jusqu’à 30 % le poids des déchets de vos bacs couvercle gris.

Les placettes de compostage se multiplient chaque année, bilan de ces cinq dernières années : 44 installations.

Vous voulez mettre en place une placette dans votre résidence, immeuble, restaurant, restaurant scolaire, école… ? Merci de bien vouloir nous contacter.

Les professionnels qui disposent de plus de 10 tonnes de biodéchet par an ont l’obligation de trier à la source, une placette est un des moyens.

SICTOM de la zone de Dole - 22, allée du Bois - 39100 BREVANS - Tél. 03 84 82 56 19 - www.sictomdole.fr

éco et commerces 23

Pays Dolois n°185 - Septembre 2016

De la calèche au carrosse…

On connaît Julien Dugois pour ses balades en calèche au centre-ville.

Avec des chevaux, une passion et beaucoup de motivation, il nous montre aujourd'hui que beaucoup de choses sont réalisables.

“Je pense avoir attrapé le virus du collectionneur” Avec son père, il a monté cette EARL (Exploitation Agricole à Res­ ponsabilité Limitée) pour vivre de sa passion. Un métier qu’il avoue prenant. “Ces dernières années, je ne suis pas sortie de la région à part pour des concours” explique Julien. Possédant aujourd’hui 50 chevaux avec son père, le pas­ sionné multiplie les activités pour la ville de Dole avec la Fête de l’eau, les Journées du Patrimoine, le week­end gourmand du Chat Perché…, mais aussi les presta­

tions pour les maisons de retraite ou les particuliers. Il réalise des animations pour les anniversaires et depuis peu pour des mariages.

Après avoir acheté progressive­ ment quatre magnifiques calèches de type Victoria, il sou­ haiterait en acquérir de nou­ velles. “Je pense avoir attrapé le virus du collectionneur. J’en ai acheté une neuve, d’autres ont été démontées et rénovées par mes soins et datent de plus de 100 ans ! Je regarde même pour acheter un carrosse fermé et acheter des chevaux blancs suite à des demandes”. Avec un site internet qui doit être lancé pro­ chainement, “les quinze mariages

réalisés dernièrement ont fonc­ tionné grâce au bouche­à­oreille et c’est déjà une réussite” confie le professionnel. Il faut dire qu’il est le seul à proposer ces presta­ tions dans le Jura et qu’ils sont seulement 3 ou 4 dans la région.

Et dans l’avenir ? Julien souhaite­ rait travailler en couple avec sa compagne ainsi qu’avec un employé toute l’année. Il veut aussi poursuivre le développe­ ment de ses prestations aux par­ ticuliers et aimerait même être contacté pour des reconstitu­ tions et des tournages de films…

Les Attelages du Val d’Amour Tél. 03 84 37 70 83

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Suite à un déménagement, un décès, un héritage…

en commandant en ligne !

Vous avez une maison, un appartement, une cave, un grenier, un garage, un local commercial ou simplement des objets encombrants

Le Grand Dole lance mi-septembre un site internet permettant de réaliser des achats locaux en ligne. Il réaffirme ainsi sa volonté de dynamiser le commerce sur le territoire, tout en renforçant l’attractivité économique du bassin dolois.

J’ACHÈTE OU JE RÉCUPÈRE…

Les habitants du Grand Dole et l’ensemble des internautes vont découvrir dans quelques jours un tout nouveau portail. Ce site internet, véritable outil, va permettre de réaliser des achats en ligne auprès de com­ merçants ou d’artisans locaux. “Ce projet concerne tous les commerçants, qu’ils soient au centre­ville, dans les villages ou en péri­ phérie” explique Jacques Péchinot, vice­prési­ dent du Grand Dole en charge de l’urbanisme et du commerce. “Nous privilégions aussi les circuits courts en sollicitant la Chambre d’Agriculture”. L’objectif étant de faciliter les achats de proximité et de défendre les emplois locaux.

Le portail, réalisé sur le modèle de la ville du Puy­en­Velay, va réunir tous les commerçants adhérents qui pourront proposer leurs diffé­

rents produits (ou juste s’en servir comme une passerelle pour indiquer l’adresse de leur site internet). Pour augmenter rapidement le nombre d’adhérents, les élus comptent sur les réseaux des commerçants existants : UniDole, Choisey, Tavaux ou encore Les Epenottes.

Peut-être 100 adhérents avant la fin de l’année…

“Nous partons sur un potentiel de 800 à 900 commerçants, artisans ou prestataires de ser­ vices » annonce Jacques Péchinot. « Comme la ville du Puy­en­Velay, l’objectif est de partir sur une base de 30 commerçants pour arriver à 100 adhérents à la fin de l’année”.

L’adhésion a été fixée à un montant de 20 €/ mois pour tous les commerces. “Le prix est abordable car il intègre la communication, le

à débarrasser !

référencement et l’accompagnement pour les commerçants. L’argent récolté ira à l’Office du Commerce qui sera le point de contact pour les commerçants. Il faut voir cela comme un outil de promotion et de développement commer­ cial” précise Jacques Péchinot. Côté consom­ mateurs, il est possible de créer un compte en quelques clics, de passer commande et de se faire livrer en boutique. Des chèques cadeaux valables chez tous les commerçants adhérents vont même pouvoir être achetés. Prochaine­ ment, la livraison à domicile ainsi que les cartes de fidélité pourront voir le jour.

L’adresse www.achetezadole.fr sera consultable à partir du 14 septembre prochain, date à laquelle est organisée une réunion d’information à l’intention des 800/900 commerçants et artisans du territoire.

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Il est un peu plus de 11h00 quand je me présente aux “Attelages du Val d’Amour”. Julien Dugois vient de rentrer de sa tournée du cen­ tre­ville. À 24 ans, cet amoureux des chevaux développe depuis six ans une activité plutôt originale...

Avec sa calèche et ses deux che­ veux surnommés “Trésor” et “Ura­ nus”, il part plusieurs matins par semaine arroser et vider les pou­ belles du centre­ville. “Au départ, je gérais uniquement l’arrosage mais depuis le début de l’année dernière, je vide aussi les poubelles du centre­ville, 30 en semaine et 80 le dimanche” précise­t­il.

Sa calèche est équipée d’un bac de réservoir d’eau pour l’arrosage mais aussi d’un petit conteneur stockant les détritus ramassés. “Il existe des calèches spécifiques au ramassage des ordures mais elles coûtent très chères. Pour le moment, nous allons déjà prévoir un toit pour nous abriter en cas de forte pluie” explique­t­il. Julien Dugois l’avoue : “On peut presque tout faire avec des chevaux. Nous ne sommes pas trop en avance dans la région à part Besançon qui propose de la tonte de pelouse. Le Nord de la France a déjà déve­ loppé le désherbage thermique, les boulangeries ambulantes ou le ramassage scolaire…”

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Pays Dolois n°185 - Septembre 2016

Des barbecues paysans tout en convivialité…

Les barbecues paysans sont organisés au Cours Saint-Mauris tous les jeudis. Ils se déroulent de 16 h à minuit tout l’été.

Cédric Rodrigues, le président de l’association “Rendez-vous des saveurs bio et des savoir-faire”, nous livre son bilan pour cet été 2016.

Cédric Rodrigues, le président de l’association “Rendez-vous des saveurs bio et des savoir-faire”

“L’objectif de notre association est de favoriser les circuits courts et de promouvoir les producteurs locaux et bio (80 % des producteurs du marché sont labellisés “bio”). Cette organisation est l’occa­ sion d’inciter à faire découvrir ce qui se fait dans les fermes” explique Cédric Rodrigues. “Nous avons de plus en plus de producteurs qui y participent. Plus de 25 cet été et 20 toute l’année”.

Tous les jeudis, habitués et touristes découvrent un rendez­vous festif et gourmand. Le marché des producteurs est organisé autour d’un grand espace pour le barbecue, où chacun est invité à déguster

les produits achetés sur place. Dès 18 h 00, un pre­ mier concert est organisé par l’association, suivi d’un autre organisé par le comité des fêtes. “Nous avons réussi à faire de ce rendez­vous, un instant convivial et participatif. Les gens jouent le jeu, ils mettent et enlèvent les tables d’eux­mêmes par exemple”.

Le rendez­vous hebdomadaire attire chaque semaine environ 1 000 personnes. “Cette année, nous avons eu moins de chance vis­à­vis de la météo. Mais lors des jeudis ensoleillés, nous avons eu beaucoup de monde”. Cette année, les visiteurs ont pu découvrir des groupes très variés comme “Jazz Interdit” ou le duo original batterie/accor­ déon “Les Bastardeaux” qui ont rencontré un grand succès. “La musique est variée mais elle doit coller à l’ambiance du barbecue. Pas de métal mais du reggae, du rock, de la chanson française ou des musiques du monde pour une ambiance conviviale”.

Cet été, deux nouveautés : l’association a fait ses crêpes elle­même et des bacs pour le tri sélectif ont été installés. “Nous remercions d’ailleurs Jean­ Marie Sermier et la municipalité pour les avoir ajoutés suite à nos demandes. Ce geste de tri cor­ respond à nos valeurs. Je veux aussi souligner que le marché du jeudi a lieu toute l’année, même en hiver, de 16 h 30 à 19 h 30” conclut Cédric Rodrigues.

Du côté des producteurs…

Guenièvre Rudolf avec son compagnon Adrien Ginbert, maraîcher “Nous sommes là depuis deux étés et toute l’année depuis juin. Pendant la saison estivale, nous aimons rencontrer plein de monde, discuter et échanger. C’est indispensable dans une ville comme Dole qu’il y ait est une place dédiée aux bons produits. Ici, nous sommes tous complémentaires. L’autre maraîcher présent au marché, Cédric Clément, propose justement des légumes que nous n’allons pas avoir sur le moment, comme les carottes. Les visiteurs sont aussi informés de notre démarche bio. Ils savent que l’on ne trouve pas que des produits calibrés comme au supermarché. Ils sont sensibles à tout cela”.

Marie Richeme et Thibault, apprenti

Marie Richeme tenant la Ferme d’en Fremier avec son mari Jean-Paul “En six ans, j’ai vu les choses changer. Les barbecues de l’été ont pris de l’ampleur. Je suis là toute l’année et je trouve que l’été, il y a de plus en plus de monde. La fréquentation est tout de même variable en fonction de la météo mais dans l’ensemble, les barbecues paysans attirent du monde. C’est mon plus gros marché ici. Les gens achètent pour le barbecue et rachètent par la suite. Le bouche-à oreille fonctionne et les clients satisfaits reviennent. Je varie aussi la production de mes produits et je démontre au quotidien que le fromage de vache peut exister dans le Jura”.

Du whisky aux bonbons…

Après le restaurant “2222” et la cave à whisky, voici “La Gourmandise”. Ce royaume des douceurs sucrées s’adresse aux petits comme aux grands. Ici, tout est permis !

Mathieu Sarrey, gérant de la boutique

“La gourmandise est un très joli défaut !” peut­on lire sur la façade de la nouvelle boutique gour­ mande située au 27 bis Grande Rue. Le repaire, ouvert le 14 août dernier, dévoile des délices pour toute la famille. “Nous essayons de faire plaisir à tout le monde, les parents comme les enfants afin que chacun y trouve son compte” explique Mathieu Sarrey, le gérant de la boutique.

Cette adresse gourmande affiche de belles cou­ leurs acidulées. Les gourmands vont pouvoir se laisser tenter par pas moins de 24 parfums de glaces ou de sorbets, des jus de fruits à composer avec des fruits de saison ou repartir avec un sachet de confiseries. “Nous avons plus de cent sortes de bonbons. J’essaye de les renouveler régulièrement en fonction de la demande. Dole avait besoin d’une boutique de bonbons car il n’y avait plus de maga­ sins de la sorte depuis longtemps. Je vais même proposer de la vente au kilo le deuxième samedi matin de chaque mois” avoue Mathieu Sarrey.

est en préparation afin de pouvoir commander en ligne et se faire livrer en magasin. “Nous essayons d’être sur tous les créneaux. Ce qui est innovant, c’est notre ouverture non stop jusqu’à 23 h 00. Je travaille beaucoup en soirée, c’est une vraie demande des Dolois”.

Cet hiver, les glaces et les confiseries seront encore présentes. Dès le mois d’octobre, des barbes à papa (et peut­être des marrons chauds) seront proposés, ainsi qu’un nouveau concept de “gau­ fres­sucettes” à personnaliser, présentées sur un bâton !

Un restaurant et une cave à whisky

Une ouverture nocturne

Mathieu Sarrey travaille avec le restaurant le 2222, situé à quelques pas de là. Il a été “déchargé” du restaurant afin de créer ce nouveau projet. Rappe­ lons que les gérants ne sont pas avares d’idées. Ils ont lancé une cave à whisky l’hiver dernier afin de “permettre aux clients de plus de 30 ans de se retrouver après le travail dans une ambiance piano bar”. À quand le prochain concept ?

L’offre ne s’arrête pas là. En boutique, des articles et petits cadeaux via un contrat de licence sont maintenant disponibles. Les clients peuvent retrouver plus de 400 produits et un site internet

La Gourmandise, 27 bis Grande Rue à Dole.

Du mardi au samedi, de 9 h 30 à 23 h 00 non stop.

Le dimanche de 14 h à 18 h.

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26 rentrée culturelle : demandez le programme SAISON CULTURELLE DOLOISE AUTOMNE 2016

VI LLE DE DOLE JEAN-PHILIPPE LEFÈVRE, ADJOINT EN CHARGE DE LA CULTURE

Spectacles, expositions ou salons. Quelques grandes dates à retenir…

“La Commanderie propose des spectacles équilibrés et une très belle programmation cette année.”

SEPTEMBRE 10 septembre : journée Portes Ouvertes MJC Dole 14 septembre : La danse des fleurs est celle des astres, performance (école des Beaux-arts)

17 septembre : festival de musique Besançon Franche-Comté, musique classique (La Collégiale)

23, 24 et 25 septembre : week-end gourmand du Chat Perché

En ce début de saison culturelle, rencontre avec JeanPhilippe Lefèvre, chargé de l’action culturelle, de l’événementiel et des relations internationales.

(centre-ville)

Comment se présente cette nouvelle saison ? Quelles sont les grandes lignes, les grands rendez-vous ?

1er octobre : concert de Lilian Renaud, chanson française

OCTOBRE (La Commanderie) Concert de Rouge Baiser (Grande Rue, de 14 h à 18 h)

La saison 2016/2017 sera une saison de consolidation, permettant de nous positionner entre la Bourgogne et la Franche-Comté. Je connais peu de villes qui ont lancé autant de nouveautés en deux ans : les Pupitres en Liberté, les galeries éphémères, la nuit des bars de noël, la nuit des copistes, le mois de la photographie, “chantons ensemble”… Il faut désormais stabiliser tous ces nouveaux temps forts et les conforter.

14 et 15 octobre : salon Made in Jura (Nouvelle salle des expositions) 18 octobre : vernissage de l’exposition “De David à Courbet” (Musée des Beaux-Arts) Les auditeurs du soir “Saint-Saëns et les Bois” (Auditorium Karl-Riepp)

Que représente une saison pour vous ? Quelles étaient vos priorités pour composer ce nouveau volet qui démarre ?

Selon moi, une politique culturelle doit s’articuler autour de quatre axes : • Valoriser les pratiques artistiques en mixant les amateurs et les artistes comme par exemple “Chantons ensemble”, • “Faire ensemble” grâce à des projets participatifs comme le Flash Mob de Cirques et Fanfares ou “La grande enquête” lors des Journées du Patrimoine, • Sortir des lieux dédiés (galeries éphémères, la nuit des bars de Noël…), • Privilégier le foisonnement et ne pas se focaliser sur un seul lieu et un seul style.

La Fabrique a trouvé sa place auprès des dolois. Avec un taux de remplissage de 80 % environ, la salle fonctionne bien comme elle est utilisée. Il s’agit du lieu de la Scène Nationale à Dole, mais cela n’empêche pas une mise à disponibilité pour d’autres créations, via un calendrier partagé.

On relève ces derniers temps une certaine déception des Dolois face à une programmation moins fournie à La Commanderie. Comment l’expliquez-vous et quant sera-t-il pour cette nouvelle saison ?

La Commanderie propose des spectacles équilibrés et une très belle programmation cette année, avec notamment Lilian Renaud, Doc Gynéco, Danakil, Messmer et bien d’autres. La grosse erreur de l’équipe municipale précédente a été de se focaliser sur La Commanderie. Elle n’est pas plus prioritaire par rapport à un autre site. Je vois cette salle comme un équipement où nous allons d’ailleurs y développer des séminaires afin de répondre à une demande. Quand on

5 novembre : inauguration du mois de la photographie 11 novembre : concert de Doc Gynéco, rap (La Commanderie) 20 novembre : concert de la Sainte-Cécile, orchestre d’harmonie du conservatoire de Dole (La Commanderie). Entrée gratuite.

construit la saison, on la réalise en fonction de tous les opérateurs culturels : Scènes du Jura, la direction culturelle de la ville, le musée ou la médiathèque. On regarde ce que tout le monde fait et on équilibre en terme de calendrier. Je veux que chacun puisse trouver ce qu’il recherche et que les gens puissent avoir le meilleur !

25 novembre : vernissage de l’exposition Le futur doit être dangereux (musée des Beaux-Arts)

26 novembre : concert de Danakil, reggae + l’Entourloop + Volodia + Mystical Faya (La Commanderie)

Du côté des grands événements, “Cirque et fanfares” et “pupitres en liberté” occupent une place importante dans la programmation. Le succès populaire de “Cirque et fanfares” ne se dément pas depuis la première édition. On a vu cette année des spectacles de rue de grande qualité et fortement appréciés du public face à une sélection de fanfares plutôt décevantes. Quelle réflexion menez-vous ? Va-t-on vers une évolution ? Que peut-on imaginer de nouveau pour la prochaine édition qui se prépare ?

Retrouvez le programme complet et d’autres dates sur www.sortiradole.fr

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Effectivement, tout le monde a été bluffé par les spectacles de rue. Le festival a fonctionné comme il doit fonctionner, grâce à la presse et au bouche-à-oreille pour conseiller les spectacles à ne pas manquer.

Il n’y avait pas de fanfares scéniques mais beaucoup de fanfares des balkans, que l’on écoute, sans forcément s’arrêter. Du coup, la musique était plus un lien entre les différents spectacles de rue. Je laisse Benjamin Poulain, le directeur artistique, d’envisager les autres éditions comme il le souhaite.

“Pupitre en liberté” est votre bébé. Là aussi, le succès populaire est au rendez-vous. Que souhaitez-vous pour la prochaine édition ?

Le but est de permettre au plus grand monde de découvrir la musique classique, d’assister à un concert symphonique de qualité et de faire découvrir aux dolois la valeur des musiciens du conservatoire. Pour la prochaine édition, je souhaiterais trouver une marraine ou un parrain prestigieux pour accompagner nos événements.

Quels événements sont prévus au musée des Beaux-Arts ?

Le lieu est intéressant car il illustre notre ambition de nous positionner entre la Bourgogne et la Franche-Comté. Le mois d’octobre sera un grand événement avec l’accueil de collections classiques du musée de Besançon. Avec des œuvres majeures comme les toiles de David ou de Courbet, c’est magnifique ! A retrouver aussi : “Le futur doit être dangereux”, une première exposition co-construite entre les FRAC de Bourgogne et de Franche-Comté.

Il se dit déjà que le salon de l’habitat ou la foire de Dole pourraient migrer vers la nouvelle salle d’Idéal Standard.

Peut-on envisager de grands spectacles culturels, des festivals ou des concerts dans cette nouvelle structure ?

Au moins, nous avons déjà réglé le problème de repli pour Cirques et Fanfares en cas de pluie ! Tout peut même se dérouler sur place si nécessaire, mais je ne connais pas encore la qualité acoustique du lieu. J’ai même fait une proposition au Moulin de Brainans ou à Scènes du Jura pour des spectacles de cirque, d’aller visiter le site.

N’oublions pas que La Commanderie est déjà équipée, c’est plus facile, mais il ne fait pas se priver du parc des expositions comme salle de spectacles. C’est tout à fait envisageable !

F.P

juin 2016

Pour palier à la fermeture du théâtre pour les travaux, La Fabrique a été inaugurée en début d’année 2016. On entame donc une première saison pleine dans cette nouvelle salle. Comment sera-t-elle utilisée et pour quelle programmation ?

NOVEMBRE

Service communication Alan Giboudeaux

Le label est une reconnaissance de l’Etat. Ce que fait Scènes du Jura, c’est le travail de fond mené par l’équipe et sa relation menée auprès du public. C’est un travail de fourmi et de présence. Actuellement, cela fonctionne très bien.

Du 13 au 22 octobre : Panique au Plazza, théâtre (La Fabrique)

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Ville V ille de Dole

Quel regard portez-vous sur la programmation de Scènes du Jura qui reste prépondérante ? Pensez-vous que l’on valorise suffisamment le label Scène Nationale ?

19 octobre : La belle et la bête, Malandin ballet Biarritz (La Commanderie, 20 h 30)

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Pays Dolois n°185 - Septembre 2016

MOU LI N DE B R AI NANS

Tourne, tourne, Moulin de Brainans…

Attirant 14 000 à 15 000 spectateurs depuis 2014, le Moulin de Brainans annonce une nouvelle saison musicale très riche, mais aussi un souhait de rénover le lieu. Détails et précisions.

“Notre programmation est éclectique” annonce Alan Giboudeaux, président de l’association Promodégel, pour la gestion du Moulin de Brainans. “Nous ne voulons pas nous cantonner à un seul style. Nous tentons de tous les représenter : rock, jazz, funk, pop, en passant par le reggae. Ainsi, tout le monde peut y trouver son compte.

La programmation de têtes d’affiches nous permet de prévoir des groupes plus intimistes et de faire découvrir de nouveaux talents, c’est aussi notre vocation…”.

Les valeurs de notre association sont multiples, comme celle “de défendre la culture en milieu rural et d’étendre la diffusion de notre programmation à d’autres salles. Nous programmons des spectacles à La Commanderie de Dole, à la salle de spectacle Le Bœuf sur le toit à Lons-le-Saunier ou L’Oppidum à Champagnole. Nous tenons au Moulin de Brainans, un lieu symbolisant toute notre histoire mais nous ne nous interdisons pas d’aller ailleurs.”

Des beaux projets Des projets pour ces prochains mois ? Alan Giboudeaux en dévoile quelques-uns : “Nous souhaitons rénover le Moulin de Brainans avec, pourquoi pas, l’intégration d’un atelier de répétition. C’est une de nos priorités. Nous allons rechercher des mécènes et partenaires pour le faire. Nous avons aussi la réécriture du projet SMAC (Scène de Musiques Actuelles) à réaliser afin obte-

Alan Giboudeaux, président de l’association Promodégel gérant le Moulin de Brainans

nir un nouveau label de 2017 à 2020”. En terme d’organisation, la structure se spécialise. “Nous avons embauché une “responsable de la communication et du développement du mécénat” au mois de juin. Nous avons le projet d’embaucher un régisseur pour la gestion de l’accueil des artistes, la logistique et les demandes techniques. Nous développons toute une logique de partage et de “vivre ensemble”. Les artistes et le public doivent se sentir à l’aise, afin de passer un bon moment”.

Ces notions de partage, Alan Giboudeaux sait combien elles sont importantes. “La culture doit rassembler les gens, sans haine, ni crainte, surtout après les attenF.P tats. Il faut avancer” nous livre le passionné. www.moulindebrainans.com

FORGES DE FRAISANS

Un beau programme et un concept inédit de chansons à livrer L’association culturelle des “Forges de Fraisans” annonce un programme 2016/2017 éclectique, intégrant à la fois du cirque, du théâtre, des concerts mais aussi des contes et des surprises.

© Crédit Photo Vincent Vanhecke

La compagnie “On-Off” part en mobylette livrer la chanson que vous avez commandée à la personne choisie !

“Avec le beau succès des séances de contes de la dernière saison, nous accueillons le 3e volet de la trilogie des Loups. Il s’intitule "Le Loup de fer" et il est à découvrir le 30 septembre” explique Purdey Bidas, responsable de la programmation.

“De grands moments sont aussi à noter comme : le concert du 8 avril de Hassan Hadji, rendant hommage à Jimi Hendrix, le magnifique spectacle de cirque « Badaboum », accessible dès 4 ans ou encore le groupe québécois « The Lost Fingers » reprenant des chansons de variétés, pouvant aller de Mickaël Jackson à Beyoncé. Nous avons une grande chance de pouvoir les accueillir au sein de leur tournée…” avoue la responsable de programmation.

Sing me a song Le 25 mai, le public est invité à découvrir un concept inédit. Avez­vous déjà pensé à livrer une chanson ? La compagnie “On­Off” l’a fait. Le prin­ cipe est simple et amusant : commandez une chan­ son et le groupe part en mobylette la livrer à la per­ sonne choisie. Déclarations et moments d’émotions devraient être de la partie. Le groupe de chanteurs­ livreurs termine ensuite le vendredi 26 mai avec un spectacle annoncé comme “une grande virtuosité vocale”.

Présentation de la saison aux Forges de Fraisans le jeudi 22 septembre à 19 h 30. Ouvert à tous.

Plus d’informations : lesforgesdefraisans.com

M E D IAT H E Q U E

Reprise des animations régulières • A partir du 8 septembre : ateliers chants polyphoniques pour adultes • A partir du 15 septembre : portage à domicile pour les personnes résidant dans le Val d’Amour et dans l’incapacité de se déplacer (passage une fois par mois de septembre à juillet) • A partir du 20 septembre : bébés lecteurs en partenariat avec le Relais Assistants maternels et la Microcrèche (petites histoires et

comptines pour les 0-3 ans), 1 fois par mois à Mont-sous-Vaudrey, La Loye, Port-Lesney/ Bel Air • A partir du 28 septembre : heure du Conte (tous les mercredis aprèsmidi hors vacances scolaires en alternance sur les 2 médiathèques : à 15 h 30 à Mont sous Vaudrey, à 16 h 30 à Port-Lesney/Bel Air) animée par Emmanuelle Minary pour les enfants à partir de 3 ans • A venir, d’autres animations

ponctuelles (Goûter parlotte tous les 2 mois environ, Ateliers d’initiation à l’informatique, Grande Lessive en octobre, Mois du doc en novembre…) seront annoncées sur la page Facebook Médiathèque du Val d’Amour.

Enfin, un projet de développement de partenariat avec le tout nouveau Secteur Jeunes du Val d’Amour est actuellement en réflexion.

28 rentrée culturelle : demandez le programme

Pays Dolois n°185 - Septembre 2016

LES SCÈNES DU JURA

Les Scènes du Jura vous invitent à rêver “Quels temps pour nos rêves demain ?”

En cette rentrée culturelle, nous ne pouvions pas manquer la programmation des Scènes du Jura. Très présents à Dole et Lons-le-Saunier, ils couvrent également l’ensemble du département jurassien. Avec Samuel Gallet, l’auteur de saison, la réflexion de la programmation est portée sur les rêves. Diurnes ou nocturnes, ils laissent la place aux projets et à la création artistique. Rencontre avec Virginie Boccard, directrice des Scènes du Jura.

Depuis 1997, vous vous attachez à promouvoir activement la création contemporaine sur l’ensemble du territoire jurassien. Comment se porte “Les Scènes du Jura” ? Que vous a apporté le label “Scène Nationale” ?

Nous avons toujours une volonté de progresser afin d’accueillir et de soutenir les artistes et de proposer plus d’artistes en résidence. Le label “Scène Nationale” nous a permis d’asseoir notre projet de promotion du spectacle vivantet de le faire reconnaître auprès des élus, des politiques, des associations et de l’ensemble de la population. Nous pouvons toujours faire mieux comme soutenir davantage la création artistique et développer plus d’actions sur le terrain mais, dans l’ensemble, les chiffres sont très satisfaisants. Nous notons une fidélisation mais aussi un renouvellement du public. Beaucoup de familles viennent désormais remplir nos salles. Au total, nous avons enregistré 1 100 abonnés à Dole, 1 700 abonnés à Lons-le-Saunier et 3100 abonnés sur tout le département. Nous sommes déjà en train de réfléchir aux prochains projets pour les quatre prochaines années…

Scènes du Jura fonctionnent sur plusieurs lieux géographiques. Comment faites-vous pour conserver votre dynamisme et varier vos spectacles ?

Oui, c’est l’une des particularités du projet. Nous allons fêter nos 20 ans et nous fonctionnons grâce à une équipe très active à Dole comme à Lons, sans oublier les autres villes jurassiennes. Il existe une motivation très forte de l’ensemble des salariés. Grâce aux différentes salles, nous proposons un large éventail de propositions artistiques. Nous sommes très bien dotés avec une grande richesse de spectacles.

Vous avez désormais su prendre votre place dans la programmation culturelle locale. On vous fait de plus en plus confiance et vous semblez même afficher une programmation plus importante que la ville de Dole, comment expliquez-vous cela ?

Grâce au label “Scène Nationale” notamment. C’est

LA COMPAGNIE ALTER EGO vous présente

une force, une réelle reconnaissance. Cela fait partie de la volonté politique de l’État d’offrir ce qui se fait de mieux en terme de spectacles vivants sur l’ensemble du territoire et sur les sites dits “plus ruraux”.

Notre programmation est aussi pluri-disciplinaire. Elle est très large et s’adresse à tous. Cela fait partie de nos missions d’accueillir tous ces artistes.

que l’on ne pouvait pas se payer avant, ou à un lieu où il n’était pas encore possible d’aller. Nous allons même intervenir dans des yourtes afin de faire découvrir le théâtre aux jeunes collégiens.

À Dole, la salle de “La Fabrique” a ouvert récemment. Comment organisez-vous la saison par rapport à cette salle ?

La nouvelle saison démarre. Comment l’avez-vous construite ? Commente la qualifiez-vous ? Quelles sont les nouveautés ou les spécificités ?

Cette nouvelle saison s’intitule “Urgent rêver”. Elle nous permet de nous questionner et de rêver avec les artistes. Samuel Gallet, notre auteur de saison va avec l’aide d’écrivains étudiants - demander aux habitants leurs rêves diurnes ou nocturnes afin de réaliser une cartographie des rêves jurassiens. Le contexte politique, économique et social est très difficile. Ce temps fort autour du rêve est donc l’affirmation de cette saison. Il prend la place des “scènes méditerranéennes” qui se sont déroulées sur 5 ou 6 saisons.

Nous souhaitons désormais ouvrir le champ à des actions différentes.

Pour Dole, nous disposons de la salle de “La Fabrique” en complémentarité avec la salle de La Commanderie.

L’idée est d’exploiter “La Fabrique” en prenant en compte la contrainte de la jauge à 200 personnes.

Nous programmons ainsi plusieurs représentations, nous permettant de garder les artistes sur plusieurs représentations. Les artistes aiment beaucoup ce lieu et il est très facile pour nous d’ajuster les spectacles dans cette salle. Nous réalisons également des interventions dans les collèges avec l’opération “Le théâtre,

c’est (dans ta) classe !”. Nous touchons ainsi plus de 3 000 collégiens en 15 jours. Depuis quatre ans, nous sensibilisons les jeunes au théâtre. Cela permet à certains de découvrir des pièces alors qu’ils n’ont jamais mis les pieds dans un théâtre !

La programmation intègre des disciplines multiples : du théâtre, du cirque, de la danse, du théâtre et de l’humour… Parmi les différentes dates programmées, quels sont vos spectacles coups de cœur ou d’exception ?

La saison commence avec “A marée basse”, un beau spectacle de cirque joué à La Fabrique. L’événement le plus exceptionnel est programmé au mois de décembre et s’intitule “L’opéra de quat’sous”. Joué pour les 10 ans de La Commanderie, cette comédie est un véritable opéra avec beaucoup d’intervenants. Autre événement, plus modeste pour le nombre d’acteurs : le spectacle “Dans ma chambre”. Alliant théâtre et musique, la représentation est prévue au mois de novembre. Elle se déroulera sous yourte au collège Ledoux. Le spectacle s'inscrit dans le cadre des actions de l'association pour la jeunesse. Les spectacles coups de cœur correspondent en fait à une programmation

A marée basse. © Vincent d’Eaubonne

M E D IAT H E Q U E

PL AI N E JU RA SS IE N N E

Animations gratuites pour tout âge SEPTEMBRE Vendredi 16 : “De l’Une à l’Autre”, spectacle théâtral intergénérationnel. A 20 h 30, 1 h 30, ados/adultes.

OCTOBRE “Docs ici, Court là”, films

Vendredi 18 : “La phobie des longueurs” par la Cie du Clair Obscur. Théâtre, jonglage. A 20 h 30 à la salle des fêtes de Petit-Noir. Tout public dès 8 ans.

DECEMBRE

documentaires

Mercredi 7 : “Contes mandarine” par la Cie

Mardi 4 : “Chaux, une forêt en mouvement”.

La Carotte. Conte théâtralisé et marionnettes de mandarines. A 15 h, 50 minutes, tout public dès 5 ans. Sur inscription

Film de J.P. Macchioni. Avec la participation d’Alain Goy, forestier. A 20 h 30, 52 minutes, ados/adultes.

Mardi 11 : “L’Harmonie”. Film de B. Harrison.

Avec la participation de Laurent Silvant, directeur d’orchestre d’harmonie. 20 h 30, 1 heure, ados/adultes.

La Cie Alter Ego reprend son brigadier de coulisses pour préparer la saison 2016/2017. C’est Clemenceau qui sera à l’affiche sur une création de Patrice Ducordeaux qui assurera la mise en scène. “Clemenceau, le tigre et l’hirondelle” permettra de découvrir un homme qui n’est pas qu’un porte-avions ou une station de métro !

Ce sera plus qu’étonnant et avec un tel personnage, on ne s’ennuie pas !

Pesmes, Dole, Tavaux, Arbois et une tournée en cours, à partir du 28 janvier. Contact : 06 30 41 83 57

Virginie Boccard

Mardi 4 : “Bon-Papa, un homme sous l’occupation”. Film de F. Férault. Avec la participation de Christian Lagalice, professeur d’histoire. 20 h 30, 1 h 10, ados/adultes.

NOVEMBRE Du mercredi 2 au samedi 5 : “Ça brade pour toi !”. Braderie de livres aux heures d'ouverture de la médiathèque

Du jeudi 3 au samedi 26 : “Une ligne, un tableau”. Exposition Artpluriel. Des paroles d’écrivains ont inspiré le collectif Artpluriel

“La phobie des longueurs” par la Cie du Clair Obscur.

>ROUTE DES VILLAGES Vendredi 9 Septembre Loto - Saint-Aubin

Organisé par le secours populaire. Animé par Dominique. Ouverture des portes à 18h. T. 03.84.79.22.47 / 06.74.96.83.59

Dimanche 11 Septembre Vide-greniers - Moissey

De 6 h à 18 h entrée gratuite pour les visiteurs. 2 € pour les exposants. T. 03.84.70.27.22

Dimanche 18 Septembre Vide-greniers - Chemin

A partir de 7h. T. 06.73.24.53.95 / 06.66.74.54.67

trompes du Valduc", organisé par l’association "Menotey Patrimoine" au profit de la restauration de l’église de Menotey. Participation libre.

Dimanche 25 Septembre

Concert orgue et trompes de chasse - St Jean de Losne A l’orgue historique à 17h30.

Libre participation.

Mercredi 28 Septembre Loto - Tavaux

Salle Gérard Philipe à 14h, animé par Brigitte, organisé par le club des supporters du JDF. Tél. 06.98.11.87.36

Début de la saison des randonnées - Losne

Dimanche 2 Octobre

Randonnée mensuelle du comité des fêtes de Losne

Avec Audrey Couette et Patrick Bavay organisé par le comité des fêtes à 14 h 30 Vide-greniers - Tavaux Stade de foot Paul Martin.

Organisé par JDF. T. 06 98 11 87 36

Vendredi 23 Septembre Concert - Menotey

Donné par la troupe "les

Thé dansant - Losne

Super LOTO

le mercredi 14 septembre

à TAVAUX à la salle Gérard Philipe Début des jeux 14 h, animé par Brigitte Bons d’achat de 20 à 500 euros.

Organisé par l’Amicale des Donneurs de Sang

Les bons “plants” de la ferme !

G Tomates Haricots G Concombres G Courgettes G G Poivrons Betteraves rouges G Aubergines G Oignons blanc…

G

PROF ITEZ PANIE DE N RS A BONN OS EMEN * T Local, Gourmand et Solidaire 46, rue de Saint­Ylie ­ FOUCHERANS Tél. 03 84 82 75 27 Horaires du magasin Du mardi au vendredi 9 h à 12 h et 14 h 30 à 19 h Samedi 9 h à 12 h et 14 h à 17 h.

* Renseignements par téléphone ou à la Ferme du Creux Vincent.

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Cueillir soi-même ses fruits et ses légumes devient un jeu d’enfants avec La ferme du Creux-Vincent. Le panier à la main, partez en famille à la quête de produits sains.

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Pays Dolois n°185 - Septembre 2016

JOU R N EES DU PATR IMOI N E

De l’enquête à la randonnée nocturne !

MBRE 17 E T 18 S E P TE

Pour ces Journées Européennes du Patrimoine, nous vous invitons à découvrir la ville de Dole d’une façon originale. Voici quatre idées, à décliner suivant vos envies...

1- La grande enquête “Le mystère de Miss Murdoch” Prêts à jouer les Sherlock Holmes ? En équipe de 2 à 4 personnes, partez dans le centre­ville pour résoudre une énigme passionnante. Pendant au moins 2 h, partez à la recherche d’indices subtile­ ment distillés par une quinzaine de personnages.

Un vrai jeu de Cluedo grandeur nature !

“Déjà mise en place l’année dernière, la grande enquête revient. Elle a eu énormément de suc­ cès, les participants jouaient vraiment le jeu.

Une association a même été créée depuis. Bien entendu, une toute nouvelle énigme est à découvrir cette année…” explique Aline Szewczyk, responsable de l’animation du patrimoine.

Dimanche de 10 h à 17 h. Gratuit. Inscription et départ à l’hôtel­Dieu­Médiathèque (salle du Forum, rez­de­chaussée) jusqu’à 15 h maxi­ mum. Les équipes gagnantes seront récompen­ sées lors de la proclamation des résultats qui aura lieu le dimanche à 18 h à l’hôtel­Dieu.

Pré-inscription 06 72 81 80 64 ou lagrandeenquete@free.fr

2- La randonnée semi-nocturne Pour la 4e année, les Journées Européennes du Patrimoine s’ouvriront dès le vendredi soir par une randonnée semi­nocturne. Dès 20 h, découvrez le centre­ville jalonné de surprises et, en fin de parcours, continuez à la lumière des flambeaux. L’itinéraire et les commentaires vous feront découvrir des lieux, des personnages et des événements en rapport avec le thème “Patrimoine et citoyenneté”. Organisé en parte­ nariat avec le Comité Départemental de Ran­ donnée Pédestre du Jura et l’Office de Tourisme du Pays de Dole. Vendredi 16 septembre de 20h à 23h. Parking de l’avenue de Lahr, à côté du chalet blanc. Sans inscription.

3- Laissez-moi vous raconter…

Qui de mieux qu’un habitant pour raconter son quartier ? Des habitants­bénévoles vous propo­ sent de devenir guide d’un jour. Laissez­vous porter par leurs anecdotes et leurs souvenirs, en toute simplicité. Quatre habitants, quatre lieux, quatre envies, quatre récits...

“Un beau projet participatif, véritable moment de partage” précise Aline Szewczyk.

• Le lycée Nodier dans les années 60 avec

Joselle Pointelin. Samedi 17 à 10 h devant l’hôtel­Dieu­Médiathèque • “La Villa Ferraris” avec Anne­Marie Peguillet.

Dimanche 18 à 10 h sur la Place du 11 Novembre • “La maison des Jésuites” avec Jean­Pierre Bouton samedi 17 à 15 h sur la Place aux Fleurs • “Mon collège de grammaire” avec Nicole Blanchot. Dimanche 18 à 15 h devant le théâtre

4- Visite de l’Hôtel de Ville par les élus La mairie a pris ses quartiers au cours des années 1980 dans un bâtiment du 18e siècle au passé mouvementé ! Venez découvrir cette histoire et comment s’exerce le pouvoir municipal aujourd’hui, guidé par les élu(e)s qui en ont la charge. Dimanche 18 septembre à 14h30, 15h30 et 16h30, devant l’hôtel de Ville. Sans inscription.

Tout le programme sur : www.doledujura.fr

LANCEZ-VOUS !

LA COMPAGNIE DE THÉÂTRE AMATEUR COMEDIADOL’ARTE AVEC TROIS NOUVEAUX ATELIERS À LA RENTRÉE

Martine Pingon et Robby Faivre

Les Jongleurs de Notre-Dame jouent “Panique au Plazza” !

Zone des Epenottes BP 212 - 39102 Dole Tél. 03 84 82 50 21 n°ISSN : 1 778-820X - Imprimé en France

Rédaction : Florence Pellero redaction@paysdolois.fr Régie publicitaire : 03 84 82 50 21 06 13 04 60 19 - commercial@paysdolois.fr

Ah ! Les Jongleurs de Notre-Dame ! Cette troupe de théâtre créée par le Chanoine Bouillon en 1949 joue inlassablement du Vaudeville, de la comédie, du “drôle” tous les ans. Et les comédiens amateurs de la troupe prennent toujours autant de plaisir. Les Jongleurs, c’est Robby Faivre à l’ambiance et aux relations publiques ! A la mise en scène, encore cette année, c’est Martine Pingon qui officie. “Je suis venue aux Jongleurs il y a cinq ans pour faire de la mise scène. Si jouer est pour moi indispensable, assurer la mise en scène est une grande passion. On reste des amateurs, on choisit une pièce, on répète et on joue !” s’amuse Martine Pingon. Cette année, les Jongleurs de Notre-Dame joueront “Panique au Plazza” à La Fabrique, nouvellement rénovée. A ne pas manquer !

Panique au Plazza : jeudi 13, vendredi 14 et samedi 15 octobre à 20 h 30 - Dimanche 16 octobre à 15 h - Samedi 20, vendredi 21 et samedi 22 octobre à 20 h 30.

Entrée 15 euros - Réservations à l’office de tourisme, place Grévy, Tél. 03 84 72 11 22 www.jongleurs-dole.fr

Cette année, les activités de la compagnie débuteront avec trois ateliers ayant pour but d’enrichir l’environnement du jeu théâtral. Encadré par trois professionnels, il y aura un atelier de travail sur l’ensemble des fondamentaux du théâtre, un atelier en lien avec le mime et la gestuelle et un autre qui vous emmènera vers des pratiques vocales et corporelles.

Ces ateliers se feront sur l’ensemble de la première partie de la saison dans l’optique de travailler des créations théâtrales où toutes ces techniques pourront servir le jeu des comédiens, mettre en relief une mise en scène, et bien entendu un texte.

Les ateliers et les répétitions ont lieu le lundi soir de 20 h à 22 h. Et toutes celles et ceux qui ont envie de se lancer dans l’aventure du théâtre amateur sont les bienvenus et peuvent contacter le 06.86.44.35.19.

La reprise des ateliers se fera le lundi 12 septembre.

Pour vous accompagner, notre écoute, la tradition de notre savoir-faire, la pérennité du souvenir…

Les Pompes Funèbres TANIER sont à votre écoute avec une assistance 7j/7j et 24h/24h Délégataire de la ville de Dole pour le CRÉMATORIUM

ARBOIS 03 84 37 50 89

DOLE 03 84 71 71 71

POLIGNY 03 84 37 14 94

TAVAUX 03 84 80 06 05

ASNANS 03 84 81 79 11

Mont s/s VAUDREY 03 84 81 50 21

MÉNAGE & REPASSAGE Rentrez chez vous et profitez de votre intérieur parfaitement entretenu comme vous le souhaitez. Votre linge, lavé, repassé et rangé par une véritable professionnelle !

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