Pays Dolois 192

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Jean-Pierre Parizon

Nouvelle impulsion à la CCI du Jura ! p. 4

Une question de qualité…

Dossier reportage page 19/22

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Pays Dolois n°192 - Avril 2017

Visite préfectorale Nouvellement nommé dans le Jura, Richard Vignon visite une à une les intercommunalités jurassiennes. Ces dernières semaines, il était présent à Jura Nord, La Plaine Jurassienne et Le Val d’Amour…

Richard Vignon, Préfet du Jura, visite le nord du département M. le Préfet, pourquoi ces visites sur les Communautés de communes ?

“Il est pour moi normal de découvrir sur place les territoires du département. Pour mieux comprendre les enjeux, la géographie, les voies de communication… Les élus locaux nous proposent des visites très enrichissantes, on découvre des entreprises, des réalisations et de nombreux projets. On évoque les évolutions, les visions d’avenir, le développement, l’aménagement…”

Que dites-vous aux élus et acteurs locaux ?

“Je leur dis que l’Etat est là pour faciliter, pour soutenir, pour aider… plus que pour contrôler, sanctionner, limiter.”

Que pensez-vous du bassin dolois ?

“J’ai visité des communautés de communes en symbiose

avec leur territoire. Beaucoup de projets pertinents pour l’avenir sont en cours. De plus, les communautés de communes se rapprochent et travaillent ensemble en synergie. C’est un territoire qui gravite autour de Dole, un bassin non enclavé, ouvert sur Dijon et Besançon. C’est un beau territoire avec de réels atouts.”

A Jura Nord

Au Val d’Amour

Et globalement du travail des élus ?

Les élus se sont appropriés l’intercommunalité, les besoins, mais aussi les exigences. L’intercommunalité permet de garder le territoire vivant, cela oblige aussi de la cohérence et de la cohésion. Je rencontre des élus engagés qui prennent la mesure des enjeux. Je suis très optimiste pour l’avenir des communautés de communes.

A la Plaine Jurassienne

Dole - Commerce - achetezadole.fr

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EN BREF

“Nous avons tous à partager cet intérêt collectif…”

15 CAMÉRAS DE VIDÉOSURVEILLANCE SUPPLÉMENTAIRES !

Annoncé un peu partout dans les rues du Grand Dole, le nouveau site internet achetezadole.fr ne passe pas inaperçu ! Jean-Pascal Fichère, Président du Grand Dole, nous explique les objectifs de cette vitrine locale.

Pensez-vous que cette vitrine en ligne soit un réel outil pour le dynamisme du centre-ville ?

Oui, car si nous ne faisons rien, nous n’aurons rien en retour. Le dynamisme est un tout. Avec les différents travaux réalisés en ce moment au centre-ville, ce site internet est un élément supplémentaire. Il faut conserver cette attractivité et donner envie aux habitants de venir se balader au centre-ville et consommer. Nous avons tous à partager cet intérêt collectif : que les commerces se portent bien. Notre force, c’est la fédération de beaucoup de monde.

Quels sont les éléments que vous n’avez pas pu réaliser et ceux que vous souhaitez encore développer autour du site ?

Jean-Pascal Fichère, Président du Grand Dole et Annabelle Receveur de la Maison du projet Cœur de Ville

Quel est le fonctionnement du site achetezadole.fr et son principe ?

Nous cherchons à dynamiser les commerces traditionnels du centre-ville. Le projet permet aux petits commerces, à qui la gestion d’une vitrine en ligne peut faire peur, d’en posséder une à moindre coût. Pour seulement 20 €/mois, avec une administration gérée par la Maison du projet Cœur de Ville, le concept est très intéressant ! Le commerce sur internet est sûrement un bon outil ! Il correspond à une attente car les commerçants cherchent des pistes pour maintenir leur activité. Pour que cela puisse fonctionner, il faut être tous solidaires, avec les commerces de zones ou

E TAT C I V I L NAISSANCES Liyam de Sarah Courrier, Dole Nathan de Olivier PANNAUX et de Cécile CORDONNIER, Abergement la Ronce Lina de Nader HAMMAMI et de Stéphanie GENEZ, Annoire Lucas de Simon MOUILLET et de Emilie PICHON, Asnans­ Beauvoisin Ézzélino de Christopher DABONOT et de Samantha MINEZ, Champagney Romane de Samuel LAMY et de Laure AGNELOT, Champagney Léandre de Josselin VIVIES et de Charlotte GAUTHIER, Châtenois Léonard de Dimitri BON et de Estelle VALLEAU, Chaussin

Ana de Frédéric JULIEN et de Julie BESSON, Chaussin Léo de Eddie BARDOUX et de Justine BOURLON, Chemin Marichèle de Cédric ATHIAS et de Régine NGO NYEMB YAMB, Dammartin­Marpain Ethan de Julien LIVET et de Céline DUPLESSIS, Damparis Emmy et Mila de Baptiste BOITET et de Julie PAQUES, Damparis Clara de Cédric SÈVE et de Charline DAVID, Dole Jules de Alexandre GUYOT et de Mélodie CHARIS, Dole Emma de Sylvain GLAB et de Nadège ROBERT, Dole Lilou de Michaël CAVATZ et de Léa LAFFIN, Dole

les centres-bourgs comme à Tavaux ou Parcey. Nous avons sollicité les Grandes et Moyennes Surfaces du Grand Dole.

Quels sont les objectifs fixés pour le site ?

L’objectif est de réunir un maximum de commerçants dans ce projet. Nous en avions déjà 30 au mois de décembre, nous en sommes aujourd’hui à 69 et nous en espérons 80 pour la fin d’année. Au total, le site réunit 2 000 produits. L’idée est vraiment de montrer les articles et de donner envie aux internautes de se rendre en boutique pour les voir ou les essayer. Il faut avant tout susciter l’envie, même avec seulement quelques produits par boutique !

Armand et Émeline de Didier COLART et de Cindy DELABRIERE, Dole Aneta de Ersan FAZLI et de Senada ISMAIL, Dole Victoria de Kevin DECOU et de Morgane BARATA­GERALDES, Dole Kyliane de Kevin HUSSON et de Cindy GODART, Dole Tahïthya de Ludovic GUY et de Doriane DUCORDEAUX, Dole Lola de Nicolas TOMÉ et de Virginie ESTEVES GOMES, Dole Pierre de Grégoire CORTET et de Stéphanie AMIOT, Dole Amïra de Saad ZIBOUCHE et de Sara BERERICHE, Dole Mathys de Julien DUGOIS et de Laura CAMBRAS, Falletans

Léa de Mathieu PAROISSE et de Leslie ACHARD, Foucherans Eliott de Nicolas GUILLEMIN et Mélanie BLAISON, Gendrey Liam de Grégory JUPILLE et de Marie­Emilie VALCHER, Lavans les Dole Matéo de Benjamin TERRIER et de Aurore FLUCHON, Neublans­Abergement Ferréol de Nicolas JEANNEAUX et de Claire BARTNIG, Offlanges Inès de Virgile DALLERY – BLET et de Charlotte THÉLIER, Orchamps Elio de Christian FERNANDEZ et de Géraldine LECLERE, Saint­Aubin Mael de Cédric COIFFIER et de Justine PACAUD, Saint­Aubin

Le modèle du site du Puy-en-Velay propose de la livraison à domicile. Cela génère une logistique lourde et ne correspond pas à nos souhaits : nous souhaitons privilégier le déplacement des habitants dans les commerces. Par contre, nous allons développer la notion de “points relais”. Si quelqu’un réalise des achats chez plusieurs commerçants, il pourra récupérer l’ensemble de sa commande dans une seule boutique. Nous souhaitons aussi développer les chèques K’Dole. L’idée est simple : que les entreprises ou les particuliers puissent offrir ces bons cadeaux afin de dépenser localement. Nous avons déjà vendu 8 000 € de chèques cadeaux. En touchant de grosses structures, nous espérons en vendre 100 000 € pour la fin de l’année. Nous avons également lancé une campagne de communication et un jeu concours.

Tylian de Loïc BUSSIÈRE et de Charline BERNIER, Sampans Charles de Wilson MAGALHAES et de Laetitia JOSI, Sermange Célia de Arnaud MOTHIN et de Lise­Marie COLOMBÉRA, Tavaux Matheïs de Corentin BOISSON et de Mylène HORY, Tavaux Diégo de Alexandre GIROD et de Cécilia DE ALMEIDA, Villette les Dole

Marcel PROST, Champvans, 82 ans Michel MONNET, Choisey , 81 ans Marguerite BASSEN épouse BONNOTTE, Damparis, 80 ans Monique VIAL, Dole, 64 ans André PAPRET, Dole, 87 ans Jean TOURNEUR, Dole, 83 ans Bernard PICARD, Dole, 80 ans Andrée BOUBOULEIX veuve CHARRIOT, Dole, 83 ans Charles FOYET, Dole, 71 ans Marie­Thérèse PETIT veuve DÉCÈS Léon RAMOUSSE, Arbois, 75 ans CREDOZ, Dole, 84 ans Lucie PONCET, Arc et Senans, Denis GRENOT, Dole , 68 ans Pierre BREMOND, Dole, 100 ans 82 ans André MEUNIER, Balaiseaux, Françoise DUMONTANT veuve 80 ans DROCOURT, Dole , 84 ans

F.P

Actuellement mis en place dans les quartiers des Mesnils Pasteur, de la gare et du centre-ville de Dole, le système de vidéosurveillance va être élargi notamment pour s’installer dans les écoles.

L’occasion de faire un bilan sur la sécurité.

C’est un fait, la délinquance de proximité pour la ville de Dole se stabilise à un niveau relativement bas, tout comme les violences familiales. Et depuis trois ans, les actes enregistrés dans le quartier des Mesnils Pasteurs sont identiques aux autres quartiers. Mais sur toute la ville, les faits portés sur l’intégralité physique (incluant désormais les violences verbales portées sur les réseaux sociaux) et les cambriolages de maisons individuelles sont en hausse. Pour solution : l’opération gratuite “tranquillité vacances”, ayant permis dernièrement à 567 logements d’être surveillés et de n’enregistrer aucun cambriolage. Pour améliorer la sécurité, un système de vidéosurveillance a également été mis en place au mois d’octobre.

Pour Nicolas Ventre, sous-préfet de Dole, “la vidéosurveillance est une avancée majeure pour la prévention, la qualité de la protection du territoire et l’élucidation d’affaires”. En 3 mois, 25 extractions ont été réalisées dans le cadre d’enquêtes judiciaires. Selon Jean-Marie Sermier, député-maire de Dole, “le système donne aujourd’hui des signes encourageants pour l’élucidation d’affaires, grâce à l’identification de personnes”.

“Le taux d’accidentologie reste élevé” Suite à l’efficacité du dispositif en place, la ville va élargir le système en installant quinze nouveaux appareils dans les établissements scolaires. Un choix qui va de pair avec les prérogatives de l’État, désignant les écoles, collèges et lycées comme cibles potentielles en ces périodes d’état d’urgence.

Mais la délinquance est aussi routière. Jean-Luc Lennon, procureur du Jura a affirmé les prochains enjeux : “Le taux d’accidentologie reste élevé”. Il va en faire une priorité sur le département, tout comme les violences crapuleuses ou intrafamiliales, ainsi que le trafic de stupéfiants.

Henriette PETIT veuve HOUZELOT, Dole , 96 ans Andrée GENCE veuve MATRA, Falletans , 89 ans Bluette SCHIRMANN veuve BOURGOIN, Malange, 90 ans Danielle ATTINGER épouse LEMOIGNE, Orchamps , 72 ans Maurice LÉVY, Petit­Noir , 65 ans Jeanne GODARD veuve COLLIN, Saint­Aubin , 100 ans Gabriel BARBOTTE, Tavaux, 88 ans Paulette GAUTHEY veuve GUILLEMIN, Tavaux , 90 ans Alain GROSJEAN, Villette les Arbois, 69 ans Jean­François MOUQUOD, Villette les Dole, 66 ans

F.P

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Rédaction : redaction@paysdolois.fr Régie publicitaire Tél. 03 84 82 50 21 Portable 06 13 04 60 19 commercial@paysdolois.fr

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Pays Dolois n°192 - Avril 2017

3 Jean-Pierre Parizon impulse…

Chambre de commerce et d’industrie du Jura

Numérique, formation, jeunesse…

Jean-Pierre Parizon est le nouveau président de la CCI du Jura. Un poste qu’il aborde avec une grande détermination et une volonté non dissimulée. Rencontre…

M. Parizon, qui êtes-vous ?

“Je suis un pur Jurassien né à Montmorot. J’ai travaillé avec mon frère pendant 37 ans dans l’automobile à Messia et à Foucherans. En 2008, nous avons eu l’occasion de céder nos entreprises. Ayant une attirance pour l’aéronautique, j’ai acheté une entreprise à Gevry. Mon bureau est toujours à Dole et je travaille maintenant dans la location d’avions et dans le vol découverte.” Étiez-vous programmé pour devenir Président de la CCI du Jura ?

“Pas vraiment. Cette élection à la présidence de la CCI est due au départ de Rémy Laurent, mon prédécesseur qui a été élu à la présidence de la CCI de Région Bourgogne/Franche-Comté. Permettez-moi de saluer la qualité du travail qu’il a accompli ici dans le Jura. J’ai travaillé à ses côtés au bureau de la CCI pendant une mandature, où j’ai pu apprécier le travail fourni avec les services. J’ai accepté ce poste car ma disponibilité me le permet. C’est un poste qui demande beaucoup de présence. Je suis intéressé par le développement économique et je vais travailler avec l’équipe dans le même esprit constructif pour les entreprises et leur environnement.”

Comment voyez-vous l’économie jurassienne ?

“Je dirais que l’économie jurassienne va mieux.

Sans pour autant trop se réjouir car nous sortons d’une période longue et difficile, et que l’équilibre reste parfois fragile pour certaines entreprises.

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Dans l’industrie et les services, on semble avoir un peu plus de lisibilité. On peut dire que le Jura ne va pas si mal, nous avons de belles entreprises, mais il faut s’en occuper.”

Quels sont pour vous les enjeux dans le Jura ?

“Nous sommes face à des enjeux importants.

L’exercice n’est pas facile. Notre rôle à la CCI, c’est d’être présent aux côtés des entreprises. Ainsi, de la création d’entreprise à l’accompagnement de proximité, de la cession à la transmission… tout cela concerne les actions de la CCI. C’est notre quotidien. En termes d’enjeux, nous avons ciblé le numérique et ses usages. La progression en ce domaine est fulgurante et de nombreuses entreprises ne sont pas prêtes. C’est un enjeu majeur.

Faciliter les recrutements dans les entreprises jurassiennes, c’est pour nous un autre enjeu majeur. La formation est aussi un axe fort de notre politique. Mettre en valeur l’économie du Jura, c’est notre objectif, communiquer, valoriser notre attractivité professionnelle, notre attractivité territoriale… La CCI du Jura doit être à la pointe pour aider les entreprises dans tous ces domaines.”

Le numérique sera une priorité ?

“Oui, comme je viens de l’expliquer, c’est une priorité. Cela impacte tout le monde, de l’industrie au commerce de détail. Nous avons trop longtemps considéré le numérique comme un danger au lieu de l’imaginer comme une opportunité. Il faut s’en

persuader, dépasser les craintes. Heureusement il y a les jeunes. La jeunesse me rassure, la jeunesse est pleine d’idées, elle est motivée par la création, elle nous aide à avancer. Les 25/30 ans sauront s’adapter, nous devons intégrer plus rapidement ces jeunes dans nos entreprises.

Cela rejoint la formation ?

“Je le répète, le Jura se porte plutôt mieux mais les entreprises peinent encore à recruter suffisamment de personnel qualifié. On a un problème d’adaptation des compétences. La vitesse d’évolution est telle que nous devons encore renforcer la valorisation des savoir-faire et des métiers, faire évoluer en permanence les formations, les rapprocher toujours plus des entreprises, comme nous le faisons notamment par l’apprentissage, quel que soit le niveau ! L’alternance est très efficace, cela correspond à l’attente des chefs d’entreprise. Les organismes de formation s’organisent, évoluent d’ailleurs dans cet esprit.

Le numérique, la formation, la jeunesse et faciliter les recrutements et l’emploi dans les entreprises… c’est votre feuille de route ?

“Vous avez bien compris, c’est un beau programme qui concerne toutes les entreprises. Mais il y a bien d’autres sujets sur lesquels nous pourrions nous étendre… Une prochaine fois peut-être… Je souhaite impulser une nouvelle dynamique liée aux réalités.”

Les thermes de Salins-les-Bains, un mois après…

Gilles Beder, maire : “Une ouverture

Que dire aujourd’hui de l’aéroport Dole Jura ?

“Dire que la CCI a pour seule responsabilité avec Kéolis de faire fonctionner l’aéroport et ce dans les meilleures conditions d’exploitation exigées par son trafic et la réglementation aéronautique française et européenne en la matière. Son avenir n’est pas de notre responsabilité, ni même ce qui se passe entre le Département et la Région Bourgogne Franche-Comté. Je pense qu’un aéroport est un élément positif pour une région qui veut se développer économiquement. Nous attendons actuellement d’en savoir un peu plus pour les suites qui pourraient être données. On verra en fonction des éléments que l’on nous apporte.”

Quel message passeriez-vous aux Jurassiens ?

“Je souhaite dire aux Jurassiens qu’ils ont la chance de vivre dans un département magnifique. Mais cela ne fait pas tout, je souhaite que chacun puisse bien profiter de la vie ici. Il nous faut donc des entreprises performantes, dans un environnement favorable à leur accueil et leur développement, et avec des salariés performants. Les jeunes – comme ceux qui ont été récemment récompensés par leur parcours et leur talent, notamment grâce à l’apprentissage – nous démontrent qu’avec détermination, il n’y a pas de projets impossibles…”

encourageante…”

Les nouveaux thermes de Salins sont ouverts depuis le 13 février. Si la municipalité se réjouit d’une belle fréquentation, cela n’est pas sans occasionner certains désagréments… Le point avec M. Beder, maire de Salins ?

M. Beder, que retenez-vous de ce premier mois d’exploitation ?

“C’est une réussite, une belle satisfaction, la fréquentation est importante, tant pour les curistes que pour la partie bien-être. Cela est encourageant pour l’avenir. L’agencement et les fonctionnalités plaisent et nombre de visiteurs reviennent. Ces nouveaux thermes étaient attendus et cela confirme un fort potentiel pour Salins. Je suis plutôt satisfait, même si tout n’est pas encore parfait.”

La forte fréquentation n’est pourtant pas pour plaire à tout le monde ?

“Oui en effet, nous sommes victimes de notre succès ! Notamment aux heures d’ouverture au public. En période de forte affluence, l’agitation et le bruit dérangent certains qui ne manquent pas de comparer les thermes à une piscine municipale. Cela prouve au moins que l’établissement profite à tout le monde, mais prouve aussi que nous devons prendre quelques précautions pour assurer le confort de tous. Chacun doit s’y retrouver.”

Comment expliquer ces problèmes ?

“Pour ce qui est du bruit, nous rencontrons un gros problème acoustique et isophonique à cause d’un revêtement qui ne convient pas. C’est un problème technique que nous ne pourrons solutionner qu’en période de fermeture en janvier 2018.

Nous ne nous attendions pas à un tel afflux de public, peut-être manquions-nous de personnel à l’ouverture pour veiller à la discipline et au respect du repos de chacun. Il n’est pas facile d’empêcher les enfants de crier et pour continuer à les accueillir, peut-être pourrions-nous alors envisager des plages horaires qui leur soient dédiées.”

Qu’envisagez-vous pour la suite ?

“Il est important d’améliorer l’accueil du public. Nous devons fixer des règles de bonne conduite liées à un établissement thermal. Veiller à ce qu’elles soient visibles de tous et qu’elles soient respectées. Le personnel sera plus vigilant, ainsi, la situation s’améliorera avec le temps, c’est juste une question de bon sens.”

Prévoyez-vous de réguler les entrées ?

“Je préconise que l’on respecte certaines règles. Si les choses n’évoluent pas suffisamment, nous envisagerons d’autres mesures. Pour l’heure, il y a urgence à intervenir, mais pas à tout remettre en cause.”

Ces thermes sont-ils déjà bénéfiques pour Salins ?

“Je constate que les thermes attirent un nouveau public à Salins. Avec les beaux jours, cela devrait s’accentuer encore. Cela ne peut être que profitable, même s’il est un peu tôt pour dresser des premiers bilans.

N’oublions pas que nous avons à Salins des thermes flambant neufs !

Ne boudons pas notre plaisir.”

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Pays Dolois n°192 - Avril 2017

Fraisans, cœur de culture Depuis cinq ans, le site des Forges de Fraisans offre une programmation culturelle très riche : spectacles variés, représentations scolaires, animations estivales... Zoom sur la programmation de cet été, récemment étoffée grâce au financement participatif et rencontre avec Christian Girod, maire de Fraisans, qui nous annonce de nouveaux projets pour développer le site.

Rencontre avec Christian Girod, maire

Forges de Fraisans : bientôt un hôtel 3 étoiles et un restaurant haut standing ?

Alors que les Forges de Fraisans accueillent de plus en plus de monde à travers sa programmation culturelle, les séminaires devraient se développer et un hôtel 3 étoiles, couplé d’une table haut de gamme pourraient voir le jour. Rencontre avec Christian Girod, maire de Fraisans.

Vous portez le lieu des Forges de Fraisans avec la prise en charge de sa réhabilitation, son entretien et ses charges, en quoi ce lieu est un vecteur économique et culturel important ? Comment faire face à ces nombreuses dépenses ?

“C’est avant tout un important vecteur culturel. Nous avions un gros manque dans ce domaine sur le territoire. Avec ce projet de réhabilitation des Forges, nous voulions proposer une salle qui soit polyvalente, permettant d’accueillir les événements des associations, des manifestations culturelles et également louer la salle à des particuliers, pour des mariages par exemple.

Les charges et les frais d’entretien sont importants pour la mairie. Les spectacles ont également un coût, malgré le prix des entrées et la participation de l’association (financée par la Communauté de communes, le département et la région). Pour compenser la part restante à

la charge de la commune, nous souhaitons développer l’accueil de séminaires dans ces prochains mois”.

Pour une commune comme Fraisans, le fait de disposer de cet espace culturel est un vrai pari.

Les dernières représentations semblent même attirer de plus en plus de monde, comment l’expliquez-vous ?

“L’affluence était en baisse pour les spectacles de l’année dernière. Cette année, elle explose, passant en moyenne de 60 spectateurs à 200 personnes par représentation aujourd’hui. La dynamique est nouvelle, nous avons accentué notre communication mais aussi notre système de réservation qui est plus performant, sur internet et sur les différents points de vente.

L’augmentation de la fréquentation est liée à tout cela. Dans tous les cas, nous voulons vraiment conserver une idée : celle d’accueillir de nouveaux artistes en

devenir. Les Forges doivent être un tremplin pour faire connaître les artistes que l’on ne pourrait plus ensuite se permettre de payer avec leur notoriété naissante”.

Vous accueillez également No Logo, le plus important festival du Jura, pensez-vous que cet événement soit une force supplémentaire ?

“Maintenant, beaucoup de personnes savent mieux situer Fraisans ! C’est vrai que No Logo dispose d’une notoriété nationale et internationale qui peut faire connaître les Forges et Fraisans. Le festival a un impact financier non négligeable sur la région, que ce soit en termes de transport, d’emplois ou pour la meilleure connaissance du Jura. C’est un facteur de développement économique sur le secteur, c’est certain. Après, je ne suis pas sûr que cela fasse réellement venir une population supplémentaire car nous touchons deux publics bien différents”.

Girod Christian, maire de Fraisans

Comment allez-vous continuer à développer les Forges de Fraisans ? Quels sont vos projets ?

“Nous continuons à rembourser notre emprunt contracté pour l’investissement. Il reste encore des choses à faire comme la réhabilitation du local de l’ancienne turbine électrique pour l’utiliser à des fins touristiques et aménager un local de rangement. Nous avons aussi un beau projet : celui de développer un hôtel 3 étoiles de 40 chambres, de belles chambres en gite et un restaurant de haut standing car il y a peu de bonnes tables aux alentours, à part à Dole. Nous souhaitons ficeler le projet pour la fin de l’année et peutêtre le mettre en place en 2018. Les personnes vont ainsi pouvoir rester quelques jours. Comme pour Les Forges, il n’y a pas une réelle demande, mais nous allons la créer !”

F.P

Rendez-vous estival

Les Forges de Fraisans vont mettre le “feu” cet été !

Purdey Bidas, responsable de la programmation des Forges de Fraisans

“Pour les cinq ans des Forges de Fraisans, nous voulions marquer l’événement avec une pro­ grammation plus conséquente” explique Pur­ dey Bidas, responsable de la programmation.

Son idée notamment : faire venir plus d’ar­ tistes et offrir des choses différentes, à l’image de cette sieste sonore, proposant au public d’écouter une bande sonore de chants d’oi­ seaux au pied d’un platane. Pour marquer les esprits et offrir une belle programmation, un appel aux dons sur internet a été lancé. “Nous avons sollicité les collectivités territoriales mais nous savions que les réponses allaient être tar­ dives. Nous avons donc essayer le financement

Avec des spectacles tous publics proposés toute l’année, Les Forges de Fraisans affichent une programmation spécifique pour la période estivale. Traditionnellement nommé, “la Guinguette des Forges”, ce rendez-vous se compose de spectacles et concerts gratuits à apprécier au bord de l’eau. Pour son 5e anniversaire, le site annonce des surprises supplémentaires…

participatif, sans savoir vraiment si cela allait fonctionner”. Cette opération de crowfunding a finalement permis de réunir 5 000 € en quelques semaines. 156 donateurs se sont manifestés via la plate­forme en ligne mais aussi d’autres contribu­ teurs sont venus spontanément participer, avec des dons allant de 5 à 150 € pour les particuliers et de 200 et 1 000 € pour des entreprises. Ce qui a touché la responsable de la programmation, ce sont également les nombreux messages venus accompagner les dons : de véritables mots d’en­ couragement et de satisfaction ! Elle a ainsi pu percevoir la motivation du public à retrouver ce rendez­vous estival.

“Nous défendons le statut des intermittents du spectacle” Grâce aux dons, cette année sera ponctuée de nombreuses représentations : 17 concerts au lieu de 10, 3 guinguettes au lieu de 2, 3 spectacles jeunes publics au lieu d’un seul, mais aussi un feu d’artifice beaucoup plus conséquent, sans oublier le très gros spectacle de feu annoncé : “peplum” de la compagnie La Salamandre. “Il s’agit d’un magnifique spectacle pyrotechnique de style antique pour l’ouverture le 15 juillet”. Au pro­ gramme également pour ces festivités : des groupes locaux comme Aérophone ou Nadamas et sa ragga musette, le groupe Electric Hat avec son

duo guitare/harmonica, mais aussi les groupes Spakr ou DJ Frogg. “L’ensemble des concerts de cette période estivale est à la charge de l’asso­ ciation. Alors que nous défendons le statut des intermittents du spectacle, payer les artistes représente tout de même un coût. À chaque saison, pour ces rendez­vous des Guinguettes, nous sommes déficitaires de 10 000 €. Les sub­ ventions des collectivités locales permettent tout juste d’équilibrer. Cet appel aux dons nous permet de marquer cet anniversaire. Peut­être lancerons­nous un nouvel appel aux dons pour F.P les 10 ans du site…”

La Guinguette des Forges, du 15 juillet au 5 août.

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Pays Dolois n°192 - Avril 2017

AVC 39 : prévenir pour mieux réagir !

Agissant au niveau départemental, AVC 39 apporte une aide aux patients atteints d’accident vasculaire cérébral. Au programme : prévention des risques, accompagnement, temps de parole et bien plus...

Représentant la troisième cause de mortalité après les maladies cardio­vasculaires et les cancers, l’ac­ cident vasculaire cérébral touche chaque année 125 000 personnes. Pour justement prévenir et informer au maximum, l’association AVC39, sous l’égide de France AVC et agréée à l’agence natio­ nale de santé, a été créée en 2004. “Lors des pre­ miers signes d’AVC (faiblesse d’un côté du corps, paralysie du visage ou d’un membre, difficultés à parler…), il faut agir et contacter le 15” explique Jacques Guyon, membre du bureau. “Après un tel accident, les signes ne sont pas visibles. Il s’agit souvent de problèmes cognitifs comme des pro­ blèmes de concentration, de fatigue, de mémoire, pertes d’équilibre… De plus, quand les personnes sortent de l’hôpital ou d’un centre de rééducation,

elles sont souvent un peu perdues. Elles peuvent nous contacter pour des conseils afin d’aménager leur domicile ou de l’aide administrative” explique Didier Petitjean, président de l’association.

“L’entourage a parfois des difficultés à comprendre un proche après un AVC” Au­delà de l’aide apportée aux victimes, l’associa­ tion réalise tout au long de l’année des interven­ tions dans les lieux où elle est sollicitée, établisse­ ments scolaires, hôpitaux, entreprises ou salons thématiques. “Nous sentons que les gens ont besoin d’être plus informés sur ce sujet. Nous avons de plus en plus de demandes”. Et pour les per­ sonnes concernées, des temps d’échange et de parole sont organisés tous les deux mois. “L’entou­

rage a parfois des difficultés à comprendre un proche après un AVC car les signes ne sont pas visi­ bles. Se retrouver entre nous permet de parler librement car c’est vrai, un accident vasculaire cérébral fait de nous quelqu’un d’autre, avec des bouleversements et des changements”. Alors que les deux hommes ont connu personnellement cet accident il y a quelques années et qu’ils n’ont pas réellement trouvé l’aide dont ils avaient besoin, cette implication est une belle revanche…

F.P

Les prochains grands rendez-vous d’AVC 39 (gratuits et sans inscription) : - Vendredi 14 et samedi 15 avril : présence au salon des séniors à la Commanderie de Dole de 10 h à 18 h (17 h le samedi)

- Vendredi 21 avril à 20 h : conférence sur les AVC à la salle Edgar Faure en mairie de Dole (présence du neurologue Dr Bouhamra du CHU de Besançon) - Jeudi 27 avril à 18 h 30 : conférence au Manège de Brack sur les AVC avec la mutuelle ALTPIS - Dimanche 30 avril : parcours du cœur à Dole de 9 h à 16 h AVC39. Permanence au 03 84 82 73 11 (ou laissez un message, vous serez recontacté au plus vite). franceavc39@wanadoo.fr

“La Faulx”, Dole s’offre un nouveau quartier Gare de Dole : l’esplanade Jean-Pierre Santa-Cruz inaugurée Reflétant la réhabilitation de la gare de Dole et sa concentration des différents modes de transport, la nouvelle esplanade s’affiche fièrement. Ce nouveau parvis a été tout récemment inauguré.

L’esplanade située devant la gare vient d’être inaugu­ rée sous le nom de Jean­Pierre Santa­Cruz. Rendant hommage à un ancien maire de Dole et député du Jura, cette place a été embellie et aménagée afin d’être plus accessible. “Cette nouvelle gare est une réussite esthétique” approuve Jean­Pascal Fichère, pré­ sident du Grand Dole. Les récents travaux ont permis de créer une gare routière, d’aménager l’avenue Aris­ tide­Briand, réorganiser le stationnement en créant des parkings de courte et moyenne durée, créer un abri à vélo sécurisé et une borne de recharge pour les véhicules électriques. “Ces aménagements répondent à une forte attente d’accessibilité et d’intermodalité entre le bus, le vélo et la voiture” explique le député­ maire Jean­Marie Sermier qui revient tout de même sur les modifications apportées au projet initial : “nous ne sommes pas là pour nous chicaner. Le projet a été bien fait dès le départ. Il a juste nécessité quelques modifications pour s’y garer”. Alors que le parking de la Rotonde est de plus en plus utilisé, ceux des Messa­ geries et de l’ancienne gare routière viennent proposer des places supplémentaires.

Un site donnant lieu à de nouveaux projets…

Autres aménagements importants à venir en 2018 pour répondre aux dernières normes : l’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite mais aussi pour

faciliter l’accès à tous les usagers. “Trois ascenseurs pour accéder aux quais, une rampe depuis les par­ kings et un rehaussement des trois quais ont été prévus” précise le sous­préfet de Dole, Nicolas Ventre. Autres projets à l’étude : améliorer la signalétique pour peut­être faire passer les véhi­ cules par le contournement, développer des lieux de réception dans l’ancien buffet et hôtel de la gare et pourquoi pas créer des bureaux de cowor­ king. Pour les élus, la situation de la gare, à seule­ ment 1 h 49 de Paris gare de Lyon, est une vérita­ ble chance. Marie­Guite Dufay, présidente de la région Bourgogne­Franche­Comté, présente lors de cette inauguration souligne : “Dole est une ville bien située et peut tirer parti de sa position cen­ trale au sein de la grande région mais il faut rester vigilant”. Elle évoque notamment le TGV qui ne passe pas par Dole…

Une place, un nom…

Jean­Pierre Santa­Cruz (938­1995) fut maire du Dole de 1977 à 1983 mais également député du département de 1981 à 1986 et de 1988 à 1993. Il fut aussi conseiller général de 1973 à 1985 et conseiller régional de 1986 à 1995. C’est sous son mandat que les rues piétonnes du centre­ville et le réseau de bus dolois ont été créés.

Ouvert du lundi au jeudi de 12 h à 21 h 30 Vendredi et samedi de 12 h à 22 h / Dimanche : midi et soir

C’est parti pour le nouveau lotissement dolois baptisé “La Faulx” ! La moitié des terrains ont été vendus et la première construction doit être livrée dans quelques mois.

Longtemps mis à l’arrêt, le nouveau lotisse­ ment “La Faulx” prend forme. Situé dans la continuité de la rue des Pacottes sur le secteur de Landon, le lotissement se compose de dix­huit parcelles de 660 m² à 1 000 m². Pensé depuis plusieurs années déjà mais repoussé le temps des négociations foncières et tech­ niques, le projet avait fait l’objet d’une liste d’attente alors que les terrains n’étaient pas encore en vente. La voirie est prête, les par­ celles en vente, il ne reste plus que l’éclairage à installer. Neuf réservations ont été enregis­ trées, cinq demandes de permis de construire ont été déposées dont quatre ont déjà obtenu un avis favorable. La livraison de la première maison est même programmée pour la fin de l’année. Delphine Guedet et Yannick Vergnaud, devraient être les premiers propriétaires du quartier. Alors qu’ils attendaient la concrétisa­ tion de ce projet avec impatience, habiter dans le quartier de Landon était une évidence : “Quand nous avons appris que les terrains allaient être en vente, nous n’avons pas hésité.

Nous étions même sur liste d’attente en 2014.

Locataires juste à côté, nous voulions rester dans ce secteur agréable, surtout que notre fils est déjà scolarisé”. Leur maison de 100 m² est désormais en cours de construction.

“Beaucoup de personnes partent en périphérie à cause des terrains souvent hors de prix” En prenant en compte les travaux réalisés pour un montant de 480 000 € pour la voierie, les réseaux et les différentes études, la municipa­ lité a finalement fixé le prix de vente à 71 €/m² hors taxe, un prix proche de la moyenne du

Les futurs propriétaires, Delphine Guedet et Yannick Vergnaud

secteur. Alors que les terrains à bâtir se font de plus en plus rares à Dole, ce projet constitue l’une des seuls occasions d’être propriétaires d’une maison neuve en lotissement. L’autre projet en vue serait les terrains situés à proxi­ mité du centre social l’Escale. La ville est en train de les acquérir petit à petit. Côté demandes individuelles, “nous n’enregistrons que dix permis de construire par an hors lotis­ sement sur la ville” explique Jean­Marie Ser­ mier, député­maire de Dole. “Beaucoup de personnes partent en périphérie à cause des terrains souvent hors de prix”…

F.P

Les neuf lots encore disponibles sont consultables sur www.doledujura.fr.

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Le journal

du centre-ville N°06

Bientôt ici :

une fontaine SÈCHE, avec de L’EAU… Ah !?

Ah, ces Dolois ! Une fontaine sèche avec de l’eau…C’est simple, quand elle fonctionne, elle est mouillée, quand elle est à l’arrêt, elle est sèche !

Et quand elle marche, cette fontaine diffuse un beau concert de jets d’eau sortis du sol. À n’en pas douter un bel effet, un bel apport naturel. Ces fontaines sèches connaissent un franc succès, elles font la joie des enfants et sont plutôt rafraî­ chissantes en été… Une belle installation entre rues piétonnes et la place Nationale…

JEANNE D’ARC, CLEMENCEAU

SORTIE D’ÉCOLE… Sans une certaine nostalgie, la fin de l’école Jeanne d’Arc approche… Les travaux de préparation indispensables à la démolition se poursuivent. La démolition finale est programmée courant avril. Viendront ensuite les fouilles archéologiques, avant que ce nouvel espace libéré devienne, dans un premier temps, un nouveau parking de centre­ville. 87 places de parking supplémentaires et gratuites pour faciliter l’accès aux commerces.

RETENEZ BIEN CETTE DATE !

SAMEDI 20 MAI C’EST JOUR DE FÊTE !

Inauguration générale ! Belle journée festive à l’occasion de la fin des travaux. Animations, concerts…

Bienvenue dans votre nouveau centre­ville.

NOS COMMERÇANT(E)S SONT ÉPATANT(E)S !

JADE’OR !

CUIRS EN FOLIES Avec sa boutique colorée, la gérante Sandrine Moutault, a su créer un véritable lieu pétillant à son image. Après avoir écumé les marchés depuis plus de vingt ans, elle s’est lancée : “Un centre­ville sans maroquinerie c’est juste impensable ! Je connais bien mes produits et je distribue ceux dont j’apprécie la qualité. Ils sont en cuir ou en synthétique haut de gamme. Je valorise les marques françaises comme Le Tanneur mais aussi d’autres gammes afin de proposer de la qualité à moindre coût !”. À retrouver : une délicieuse odeur de cuir avec sacs à main, sacoches hommes, ceintures, bagages, parapluies Made in Jura et très prochainement des foulards de soie de Lyon…

Carrément Cuir, 28 rue des Arènes, 03 84 72 12 83.

Du mardi au jeudi de 9 h 30 à 12 h 30 et de 14 h 00 à 19 h 00.

Vendredi et samedi de 9 h 30 à 19 h 00 non stop.

Nom d’un chien !

LARGE CHOIX ! Être à la mode et se faire plaisir doit être possible pour toutes les femmes. Depuis mi­mars, “Juste pour elle” habille les femmes du 40 au 56. “J’aime la sympathie des Dolois, c’est ce qui m’a poussé à ouvrir ma boutique.

Pour les grandes tailles, il n’est pas toujours évident de trouver de belles choses. Je travaille avec des fournisseurs parisiens et je propose des nouveautés très régulièrement” explique Ghania Iddir. Ici, les belles pierres apparentes mettent en lumière les tops, pantalons et les nombreux accessoires : sacs, bijoux ou encore foulards.

Un cadeau à offrir ? Jade et Christelle trouveront forcément la pépite qu’il vous faut. Après le succès d’une première boutique à Chaussin, Christelle vient d’ouvrir cette deuxième adresse avec sa fille Jade. Disposant d’une très belle situation rue de la sous­préfecture, La Maison de Jade dévoile un espace de 80 m² où vous pourrez trouver des articles d’art de la table, cadeaux de naissance, déco, vêtements femmes et cadeaux hommes. Ici, le choix est là mais toujours sélectionné avec goût !.

La Maison de Jade, 6 rue de la sous-préfecture.

Du mardi au samedi de 9 h 30 à 12 h 30 et de 14 h à 18 h 30.

Juste pour elle, 29 rue des Arènes.

Mardi, mercredi et jeudi de 9 h 30 à 12 h 30 et de 14 h à 19 h.

Vendredi et samedi de 9 h à 19 h non stop.

Duel en direct !

Spectacle magie et jongleries

SAMEDI 29 AVRIL PLACE DU 8 MAI 15 H 30

ACHETEZADOLE.FR… ILS Y SONT !

UN CHIEN DANS LA VILLE SAMEDI 15 AVRIL COURS SAINT-MAURIS 14 H À 17 H

UN NOUVEL ACCÈS À LA PLACE GRÉVY : PLUTÔT MALIN ! Dans le cadre des travaux du cœur de ville, la piétonnisation de la rue de la Sous­Préfecture oblige les usagers de la rue Arney à revenir sur leurs pas par la rue du Gouvernement pour rejoindre le boulevard Wilson. Bientôt, il sera possible de remonter vers la place Grévy par la rue du Gouvernement après un aménagement permettant la circulation en double sens dans la partie haute de la rue. Une belle opportunité de rejoindre la place Grévy et les grands axes sans détour. C’est malin !

COMME UNE 2e BOUTIQUE !

Pour Marielle Humblot, “ce site est un bel outil de communication avec des interactions intéressantes comme la possibilité de réaliser des ventes flashs, de proposer des promotions mais aussi de prendre directement des rendez­vous. Je suis connectée dessus presque tous les jours. C’est comme une deuxième boutique !”.

Ce bar à ongles avec 1 200 références de vernis, propose aussi des produits de cosmétique, du maquillage, des accessoires et un espace bio, avec des prix ne dépassant jamais les 8 € !

Glossy Make Up, 50 Grande Rue.

CONNECT’ATTITUDE

“Nous proposons nos produits et nos services sur le site, tout en montrant que les techniciens/artisans sont des passionnés et n’affichent pas des prix plus chers que les grosses enseignes ! Les achats informatiques nécessitent des conseils pointus et donc de se déplacer en boutique. Le site permet avant tout de montrer nos compétences !” explique le gérant Florian Vierjan qui propose en magasin : matériel, dépannage, maintenance, mais aussi des réparations de tablettes et de smartphones.

Platinium informatique, 60 rue des Arènes.

Avril 2017 FRÉDÉRIC COLIN FIAT DOLE :

Boîte automatique

Tous les doutes maintenant levés !

La boîte automatique : non merci ! Les tendances changent… et êtes-vous certain d’en connaître toutes les qualités, surtout avec les dernières générations de transmission ? Tous les constructeurs proposent de nouveaux modèles plus performants encore. On peut même parler aujourd’hui d’engouement…

L’imaginaire collectif prête souvent à la transmission automatique des défauts infondés. Ainsi le conducteur non initié imagine encore la vieille boîte auto au passage de rapports lents, brutaux et inopportuns tuant la sportivité, le plaisir de conduire et engen­ drant une consommation plus importante que sa consœur manuelle. Aujourd’hui, la boîte automatique a sensiblement progressé sur le plan technique pour s’imposer par un fonctionnement d’une réelle efficacité, gommant tous les défauts précités grâce à des gestions électroniques ultra­précises et efficaces. De plus, compte tenu des nouvelles prérogatives en matière de circulation, l’au­ tomatisme s’impose de lui­même en permettant une conduite reposante en toutes circonstances et notamment dans les bouchons.

Outre la sélection du meilleur rapport, l’atout de la boîte automatique reste l’absence d’embrayage. La pédale de gauche disparaît, laissant simplement au conducteur le soin d’accélérer ou de freiner.

Les boîtes modernes offrent un agrément d’utilisation de premier plan, par des passages de rapports rapides et à bon escient, mais aussi en offrant au conducteur la possibilité de monter ou de descendre les rapports en cas d’envie. En bref, la boîte automatique moderne apporte de multiples avantages, en permettant une distribution très progressive du couple. Reste le problème de la consommation, le dernier point négatif de l’automatisme imputable à son fonctionnement hydraulique, nettement plus gourmand en énergie. Mais la donne s’inverse : la boîte automatique à multiples rapports s’impose pour réduire la consommation et permet aux véhicules de fonctionner avec des énergies alternatives.

“Aujourd’hui, les voitures automatiques représentent une vente sur cinq. Les clients se posent plus facilement la question de l’automatique avant leur achat. Ils nous interrogent et sont de mieux en mieux informés quand ils arrivent chez nous. Le comportement des conducteurs évolue, la conduite n’est plus la même, elle est moins agressive, moins sportive, plus légère. Les gens roulent plus tranquillement, se fatiguent moins et sont très attachés aux questions environnementales. Sur ce dernier point, les boîtes à vitesses automatiques ont beaucoup évolué et la voiture automatique ne consomme pas plus qu’un autre modèle.

C’est un élément majeur pour le choix d’un véhicule. Il fut un temps où la voiture automatique était réservée aux grosses voitures routières pour des personnes souvent en déplacement sur de longs trajets.

Aujourd’hui, les modèles automatiques que nous vendons le plus sont les petites voitures citadines. Les dames apprécient ! Question tarifs, les véhicules automatiques sont en moyenne 15 % supérieur aux autres modèles.

Soit par exemple 1 000 euros de plus sur une FIAT 500. Pour nous, ce nouvel engouement est très positif, c’est maintenant tendance et je pense que le marché va encore se développer dans les années qui viennent.

Oui nous conseillons l’automatique.”

Fréderic Colin, Directeur Fiat Dole

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BONUS VELO ELECTRIQUE Ségolène Royal crée un bonus de 200 euros pour l’achat de vélos à assistance électrique.

Cette aide, instaurée très récemment, le 19 février 2017 par l'Etat est valable sur tout le territoire jusqu'au 31 janvier 2018. Avec ce “bonus vélo électrique” à 200 euros, Ségolène Royal poursuit son action en 2017 pour promouvoir la mobilité durable. L’aide est réservée aux vélos à assistance électrique qui n’utilisent pas de batterie au plomb.

Retraité, sportif ou actif :

le vélo électrique est en vogue Un vélo vient de vous dépasser en trombe alors que vous êtes le roi de la pédale ? Au feu suivant, le mystère est levé : c’est un vélo à assistance électrique (VAE) qui vous a laissé sur place ! Avec ces machines de plus en plus populaires, fini les montées poussives, les arrivées au bureau en sueur ou les efforts face au vent. Il existe aujourd’hui une foule de modèles, y compris des VTT et des vélos de course, à des prix allant de 600 à 6 000 euros. L’autonomie des batteries est largement suffisante pour les déplacements urbains. Le magazine “Que choisir” vous donne quelques repères pour vous y retrouver.

Les avantages du vélo électrique

La batterie

Les sensations en roulant sont en général jugées très agréables. Vous repartez très facilement après chaque arrêt à un feu. Vous passez les côtes sans effort. Vous transportez aisément un enfant sur un siège derrière vous. En revanche, il y a quelques limites à prendre en compte. Quand la batterie est déchargée, vous vous retrouvez avec un vélo pesant un âne mort, entre 20 et 30 kg. Choisissez un modèle le plus léger possible s’il vous faut fran­ chir des marches vélo à la main pour le ranger, ou manœuvrer dans un couloir étroit.

Autonomie. Pour des trajets courts, une batterie de 8 Ah suffit. Les fabricants sérieux donnent des four­ chettes larges, type “50 à 95 km”. C’est peu précis, mais c’est honnête. Il est impossible de dire exacte­ ment quelle distance couvre une batterie donnée.

Trop de paramètres entrent en compte : votre poids, votre force, le vent, le gonflage des pneus, le relief, etc. Pour donner un ordre de grandeur, disons qu’une batterie de 36 V­10 Ah neuve permet de parcourir plusieurs dizaines de kilomètres à une allure comprise entre 15 et 25 km/h. Certains fabri­ cants mettent en avant des dispositifs visant à récu­ pérer de l’énergie pour la batterie dans les des­ centes et au freinage. L’idée semble logique et séduisante, mais le rendement est décevant.

vent à l’arrière, car il favorise la propulsion. Les modèles haut de gamme comportent pour la plu­ part un capteur de force ou de couple : l’assistance est progressive, selon l’effort fourni par le cycliste.

L’impression d’aisance et de confort sur la route est manifeste. La conduite se fait sans à­coup et, une fois ce système essayé, il est difficile de passer à un modèle moins perfectionné. Dans les gammes de prix moyens, les capteurs de pédalage sont prédo­ minants. Ils fournissent une assistance dite “tout ou rien”, livrée d’emblée à son maximum, dès qu’on appuie sur les pédales.

Le couple. Exprimé en newtons par mètre (N·m), il représente la force du moteur. En pratique, plus le couple est élevé, plus la sensation de facilité est grande. C’est une valeur à regarder de près si vous comptez utiliser votre vélo électrique en montagne.

Le moteur

La console

Il peut être situé dans la roue arrière, dans la roue avant ou dans le pédalier, ce qui est idéal car le vélo est alors bien équilibré. Placé dans une des roues, le moteur peut gêner la réparation en cas de crevai­ son. S’il est installé dans le moyeu de la roue avant, il aura tendance à alourdir la direction et à rendre le vélo un peu instable. Sur un VTT, le moteur est sou­

Ce petit module de contrôle est en général clipsé sur le guidon. Il permet de sélectionner le niveau d’assistance, et de visualiser le niveau de charge de la batterie. Parfois s’y affiche le nombre de kilomè­ tres parcourus. Sur certains modèles, la console contrôle l’allumage des lumières : pratique !

Le prix

* Avec batterie Lithium 6,6 AH. **Prix payé en caisse. ***Subvention accordée par l’Etat sur présentation de la facture, voir conditions en centre et sur norauto.fr.

En dessous de 600 €, attention. Le fabricant a for­ cément sacrifié quelque chose. Entre 700 et 1 200 €, l’éventail de choix est déjà large en matière de vélos urbains ou mixtes randonnée­ ville. Entre 1 200 et 3 000 €, vous trouverez soit des vélos urbains de bonne facture et bien équipés (freins à disque, éclairage très performant, cadre en aluminium, moteur dans le pédalier, assistance proportionnelle, design élégant, etc.), soit des vélos tout­terrain électriques. Au­delà de 3 000 €, vous aurez un VTT haut de gamme.

www.quechoisir.org

Pour Ségolène Royal, “Ce dispositif vient compléter l’ensemble des mesures en faveur de la mobilité électrique : maintien du bonus de 6 000 euros pour l’achat d’une voiture électrique, complété par une prime à la conversion de 4 000 euros en cas de mise au rebut d’un véhicule immatriculé avant le 1er janvier 2006 ; extension de cette prime à la conversion aux véhicules utilitaires ; mise en place d’un nouveau bonus pour les véhicules 2-3 roues motorisés”.

Selon l’étude publiée par l’ADEME en septembre 2016, on ressort que : • les principaux bénéficiaires de l’aide à l’acquisition d’un vélo à assistance électrique seront des actifs utilisant leur voiture pour se rendre au travail. En effet, la distance moyenne parcourue par un vélo à assistance électrique est de 7,4 km contre 3,8 km pour un vélo traditionnel ; • le report modal sur le vélo à assistance électrique depuis la voiture ou le deuxroues motorisé représente donc un enjeu important pour lutter contre la pollution de l’air ; • les aides à l’achat de vélos à assistance ont tendance à favoriser l’économie locale de la filière, puisque que 80 %, des vélos sont achetés chez des revendeurs spécialisés.

Ministère de l’environnement, de l’énergie et de la mer

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Pays Dolois n°192 - Avril 2017

Les sportifs du mois Justin Bournier

L’équipe du mois - Jura Dolois Malgré ses quatre matchs nuls consécutifs au cours du mois de mars, Baume-les-Dames-Jura Dolois 1-1, Jura Dolois-Jura Sud 2-2, Levier-Jura Dolois 0-0 et Roche/Novillars-Jura Dolois 2-2, l’équipe d’Hervé Saclier reste co-leader du championnat de Division d’Honneur.

Justin Bournier (DAC) prend la 3e place avec un chrono de 21’33 qui représente son record personnel en salle.

Cyril Viennot

Laura Lavry

Médaille de bronze pour Cyril Viennot (Aquavélopode) début mars à l’Ironman en Nouvelle Zélande 8h25’43 (Vélo 180km 4h42, Marathon 2h43)

Médaille de bronze pour Laura Lavry lors d’une manche de coupe de France ce dimanche 26 mars à Marseille. La Doloise termine troisième cadette.

Reco du Marathon du Pays de Pasteur du 8 octobre 2017 Le dimanche 12 mars, une soixantaine de marathoniens se sont retrouvés à Ecleux pour reconnaître la deuxième partie du marathon du 8 octobre entre Arbois et Dole. Le prochain rendez-vous est fixé le 23 avril entre Belmont et Dole soit 14 km. Contact 06.75.37.14.75

Base-Ball

Futsal - Mont Roland champion d’académie

Les Titans de Dole organisaient samedi 11 mars au COSSEC des Mesnils Pasteur le premier match de championnat Indorr de Base Ball avec deux équipes les Lynx groupement de quatre équipes (Titans Dole, Montbéliard, Dijon et Besançon) contre Saint-Germain-du-Plain (Bourgogne). 25 jeunes pratiquant cette discipline se sont donné la réplique à Dole lors de deux rencontres. La victoire est revenue au Lynx.

Pour la 5e année consécutive, l’équipe de Futsal du Collège Mont Roland est championne d’académie. L’équipe de Kébir Tahraoui disputera le 5 avril les championnats inter académie. S’ils se qualifient, ils pourront disputer les France UNSS à Dole le 6 juin.

Gymnastique FSCF L’UGD et tous les clubs jurassiens avaient rendez-vous les samedi 25 mars et dimanche 26 mars à Dole pour disputer les championnats départementaux imposés de gymnastique FSCF. Les finales régionales se dérouleront le 2 avril à Maîche pour les filles et à Valentigney pour les garçons.

Ci-contre. Lauralyne Dessery (Union Gymnique Doloise)

Cora Trail du Mont Roland Cette année, le DAC innove, les 10 km de Cora sont remplacés par un trail au Mont Roland. Les inscriptions vont bon train. Pour l’instant, près de 200 concurrents se sont déjà inscrits. Attention, l’organisation arrête les inscriptions lorsque le chiffre de 300 concurrents sera atteint. inscriptions-takik-sport.com

Gymnastique FFG 70 jeunes gymnastes sur le praticable dolois Le samedi 11 mars, les Feux Follets Gym Dole organisaient dans leur salle spécialisée aux Mesnils Pasteur les championnats départementaux de gymnastique poussins. Ils étaient qualificatifs pour les championnats régionaux qui se dérouleront les 8 et 9 avril à Dole.

Ci-dessus. Jules Gaumiot (Feux Follets Gym)

SUIVEZ VOS ÉQUIPES !

Poule B

FOOTBALL

Classement au 26/03/17

Division dʼHonneur 04/03/17 Baume les Dames Jura Dolois 1-1 11/03/17 Jura Dolois-Jura Sud 2-2 18/03/17 Levier-Jura Dolois 0-0 26/03/17 Roche/Novillars-Jura Dolois 2-2

Classement au 26/03/17 1.Saint Vit 52pts - 2. Jura Dolois 52pts - 3. Clémenceau 50pts - 4. Belfortaine ASM FC (2) 49pts - 5. Pontarlier CA (2) 49pts - 6. Roche/Novillars 47pts - 7. Grandvillars 47pts - 8. Jura Sud Foot (2) 43pts - 9. Levier 41pts - 10.

Pont de Roide Vermondans 41pts - 11. Champagnole 40pts - 12. Besançon P.S 39pts - 13. Baumes les Dames 38pts - 14. Bresse Jura Foot 37pts.

LR3 - Poule A 04/03/17 Ornans-Foucherans (remis) 11/03/17 Foucherans-Vaux les St Claude 0-4 25/03/17 Sud Revermont-Foucherans 4-0

Classement au 26/03/17 1.Besançon PS (2) 48pts - 2. Ornans (2) 46pts - 3. Pouilley les Vignes 42pts - 4. Chateau de Joux 38pts - 5. Jura Sud (3) 37pts - 6. Clémenceau Besançon (2) 36pts - 7. Sud Revermont 34pts - 8. Bresse Jura Foot (2) 32pts - 9. Vaux les Saint Claude 30pts - 10. Saint Vit (2) 29pts - 11. Champagnole (2) 29pts -12. Foucherans 26pts.

VTT Combes aux Loups Près de 260 vététistes avaient rendez-vous à la Combe aux Loups dimanche 19 mars pour participer aux 1er Championnats Bourgogne Franche-Comté de VTT. Les jeunes vététistes du Nord Jura se sont distingués lors de cette compétition pour de nombreux sociétaires du VC Dole Enzo Bideau 1er en minine.

Antonin Menetre 1er en poussin et de l’ACDTR avec la victoire de Maxence Kozmick en benjamin.

Aiglepierre -Jura Dolois (3) 1-0, Brenne Orain-Rochefort/Amange 0-3 19/03/17 Saint Aubin-Jura Nord 3-1, PS Dole CrisseyBrenne Orain 4-0 25/03/17 Jura Dolois (3)-Saint Aubin 2-2, Sirod-Jura Nord (2) 0-1 26/03/17 Rochefort Amange-Plaine 39 2-1

12/03/17 Foucherans (2)-Saint Aubin (2) 5-1, SouvansGevry 3-2, Molay-Archelange 1-1 19/03/17 Saint Aubin (2)-Rahon 1-0, Mont/Vaudrey (3)Chaussin Plaine (2) 0-0 26/03/17 Saint Aubin (2)-Trois Monts (2) 1-4, RahonFoucherans (2) 0-4, Gevry fc-Pleure 2-2, Mont/Vaudrey (3)-Molay 0-2, Archelange-Souvans 3-1

Classement au 26/03/17

1.Poligny Grimont 52pts - 2. Larians/Munans 46pts - 3.

Jura Nord Foot 43pts - 4. Roche Novillars (2) 42pts - 5.

Morbier 39pts - 6. Jura Dolois Foot (2) 37pts - 7. Saône Mamirolle 35pts - 8. Les 2 Vels 34pts - 9. Mouchard Arc 32pts, 10. Damparis 29pts - 11. Dannemarie 26pts - 12.

Chatillon Devecey 17pts.

Classement au 26/03/17

Classement au 26/03/17

HANDBALL - Prénationale F

1re Division de District

3e Division de District - Poule B

05/03/17 Andelot-Mont/Vaudrey 0-1 11/03/17 Trois Monts-Beaufort 1-3 19/03/17 Trois Monts-Lons (2) 1-1 26/03/17 Trois Monts-Coteaux de Seille (2) 3-1, Crotenay/Combe dʼAin-Mont/Vaudrey 0-1

05/03/17 Montbarrey-Mouchard 3-0, Mont/Vaudrey (2)Andelot (2) 4-1 12/03/17 Mont/Vaudrey (2)-Mouchard (2) 2-0 19/03/17 Chaux du Dombief-Montbarrey 6-0 26/03/17 Montbarrey-Macornay 1-4, Mont/VaudreyChaux du Dombief 1-4

05/03/17 Jura Dolois (2)-Chatillon Devecey 6-2, Riche Novillars-Jura Dolois 1-0 11/03/17 Jura Nord—Poligny Grimont 1-2 18/03/17 Larians Munans-Jura Dolois 4-1 26/03/17 Jura Dolois-Dannemarie 1-2

Classement au 26/03/17 1. Montmorot 45pts - 2. Lons (2) 42pts - 3. Saint Claude Rc 41pts - 4. Beaufort 41pts - 5. Mont /Vaudrey 40pts 6. Trois Monts 36pts - 7. Jura Lacs (2) 36pts - 8. Crotenay/Combe dʼAin 30pts - 9. Andelot OC 26pts - 10. Coteaux de Seille (2) 23pts - 11. Haut Jura FC 20pts -12.

Triangle dʼor Jura (2) 20pts.

2e Division de District 04/03/17 Jura Dolois (3)-Plaine 39 3-0 05/03/17 Rochefort-Choisey 5-1 11/03/17 Plaine 39-PS Dole Crissey 4-0 12/03/17 Saint Aubin-Sirod 0-0, Choisey-Lons (3) 1-0,

1. Aiglepierre 47pts, 2. Rochefort/Amange 45pts, 3.

Saint Aubin 43pts, 4. Plaine 39 41pts, 5. Sirod 38pts, 6.

PS Dole Crissey 34pts, 7. Brenne Orain 34pts, 8. Jura Nord (2) 32pts, 9. Choisey 30pts, 10. Jura Dolois (2) 29pts, 11. Lons (3) 26pts, 12. Sud Revermont (2) 20pts.

Classement au 26/03/17

1. Foucherans (2) 43pts - 2. Rahon 42pts - 3. Archelange 36pts - 4. Saint Aubin (2) 35pts - 5. Pleure 34pts 6. Trois Monts (2) 33pts - 7. Gevry Fc 33pts - 8. Molay 32pts - 9. Souvans 26pts - 10. Mont/Vaudrey (3) 20pts 11. Chaussin Plaine (2) 19pts - 12. Damparis 0 (forfait Général).

RUGBY Fédérale 3 05/03/17 CS Nuitons-Grand Dole Rugby 19-9 12/03/17 Grand Dole Rugby-Besançon 31-19 19/03/17RC Pont à Mousson-Grand Dole Rugby 10-8

1.Chaux du Dombief 53pts - 2. Macornay 49pts - 3.

Mont/Vaudrey (2) 44pts - 4. Montbarrey 43pts - 5. Perrigny/Conliège 39pts - 6. Foncine 38pts - 7. ASPTT Grand Lons 35pts - 8. Plateau 39 32pts - 9. Aiglepierre (2) 27pts - 10. La Joux (2) 26pts - 11. Mouchard Arc (2) 22pts - 12. Andelot (2) 19pts.

Classement au 19/03/17

Poule C

Honneur

05/03/17 Pleure-Foucherans (2) 0-2, Gevry-Molay 0-0, Mont/Vaudrey (3)-Trois Monts 3-0, Archelange-Chaussin/Plaine (2) 2-0, Rahon-Souvans 4-1

05/03/17 Cluny-Dole 16-5 19/03/17 Chagny-Dole 26-12 26/03/17 Dole-ASCAP 9-35

1. CS Nuitons 66pts - 2. CA Pontarlier 62pts - 3. OL Besançon 49pts - 4. CS Lédonien 39pts - 5. Grand Dole Rugby 35pts - 6. RC Metz Moselle 35pts - 7. RC Auxerrois 34pts - 8. Genlis 30pts - 9. FC Haguenau 27pts - 10. Pont à Mousson 12pts.

1. Avenir Sport Tournus 66pts, 2. US Buxy 61pts, 3.

ASCAP 55pts, 4. Saint Apollinaire 47pts, 5. XV Charolais/Brionnais 41pts, 6. Vesoul 40pts, 7. Champagnole Rugby 38pts, 8. Cluny 36pts, 9. Chagny 28pts, 10. US Dole 19pts, 11. AS Pougues la Charité 6pts.

11/03/17 HBC Meursault-ent Dole/Chausin 29-27 18/03/17 ent Dole/Chaussin-Doubs Central 21-21 26/03/17 ent Saônoise Féminine-ent Dole/Chaussin 14-27

Classement au 26/03/17 1. Beaune 44pts, 2. Maiche 43pts, 3. HBC Val de Saône 39pts, 4. ent Dole/Chaussin 38pts, 5. Al Longvic 35pts, 6. Chevigny St Sauveur 32pts, 7. Arnay le Duc 31pts, 8. HBC Meursault 28pts, 9. US Saint Vit 26pts, 10. Doubs Central 26pts, 11. Entente Saônoise F 16pts, 12. Cercle Sportif Vésulien 11pts.

Prénationale M 04/03/17 HBC Val de LʼOgnon-ES Chaussin 24-33 11/03/17 ES Chaussin-HBC Lure 29-24 18/03/17 USO Nevers-ES Chaussin 32-29 25/03/17 HBC-Semur 32-32

Classement au 26/03/17 1. HBC Semur (2) 49pts, 2. CA Pontarlier 47pts, 3. Lure 45pts, 4. Marsannay (2) 40pts, 5. AS Palente/Orchamps 40pts, 6. AL Luxeuil 387. 7. Val lʼOgnon 37pts, 8. Nevers 36pts, 9. ES Chaussin 36pts, 10. Entente Yonne Nord 36pts, 11. HBC Danjoutin 36pts, 12. Creusot/Torcy/Montchanin 30pts, 13. CS Fontaine les Dijon 30pts, 14. Pays Nuiton 23pts.

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Les bons “plants” de la ferme !

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de superficie exploitée en maraîchage

1.9 ha de superficie du verger

Ouverture de saisons ! s t n a l p s e d e n i Sema

du mardi 2 mai au samedi 6 mai

20 000 nombre de plants de fleurs

nibles o p is d s t n la p s Premier vril à partir du 15 a

22 000 nombre de plants de légumes

10 000 nombre de plants de fraises

Une nouvelle serre de 500 m2 !

La vente à la ferme progresse ces derniers mois. Afin de répondre à la demande et approvisionner plus encore le nouveau magasin en produits maison et de saison, une nou­ velle serre a fait son apparition sur le site de Foucherans.

Plus de choix, plus de volume, plus de qualité… La Ferme du Creux Vincent est prête pour cette nouvelle saison !

3700 m2

de surface de tunnels

46, rue de Saint­Ylie ­ 39100 FOUCHERANS Tél. 03 84 82 75 27 Horaires du magasin Du mardi au vendredi 9 h à 12 h et 14 h 30 à 19 h Samedi 9 h à 12 h et 14 h à 17 h.

Plus de choix au magasin !

Au­delà des fruits et légumes, le magasin étoffe son offre complémentaire. En plus des fromages, du pain… le rayon vin s’est développé et un nou­ veau rayon épicerie fine est maintenant à disposi­ tion. Découvrez vinaigres, moutardes, huiles, épices et produits régionaux.

La Vieille Loye

Champagne sur Loue

Chatelay Germigney

La Loye Augerans

Chissey sur Loue

Montbarrey Belmont Santans

Cramans

Ounans

Souvans

Chamblay

Ecleux

Villers Farlay

Port Lesney Grange de Vaivre

Bans

Vaudrey Mont sous Vaudrey

Villeneuve d’Aval

Mouchard Pagnoz

Une question de qualité…

24 communes, 9 850 habitants, la Loue, la forêt de Chaux… la Communauté de communes du Val d’Amour vit, et vit bien.

Le Val d’Amour a une belle image, une image nature, une image paisible… Une question de qualité de vie préservée, de volonté et d’intelligence aussi pour maintenir la vie et l’activité dans les bourgs et villages. Un long travail qui aujourd’hui se concrétise par une organisation vouée aux services à la personne, au développement économique et touristique, à la culture… Une question d’attractivité pour l’avenir…

Une nouvelle vision commune Henri Alixant, Maire de Pagnoz, vice-président en charge de l’urbanisme et du développement du territoire

“GAGNER DES HABITANTS, MAÎTRISER L’URBANISME ET PROTÉGER NOTRE ENVIRONNEMENT…”

Quelles étaient les priorités ?

Ce ne sont pas des priorités mais une volonté, des réflexions, des prévisions, des exigences… Que voulons-nous pour nos villages et collectivement pour notre bassin de vie ? Cela concerne l’habitat, les constructions, les transports, l’environnement, l’activité économique… Nous nous étions fixés comme objectif de maîtriser l’urbanisation et la construction tout en gagnant des habitants.

Chloé Salbin CCVA

Le PLUI est prêt à être validé ?

Oui, c’est un long travail qui se termine. 150 réunions ont été nécessaires pour aboutir à ce plan et nous disposons aujourd’hui d’une photographie précise de notre territoire. Toutes les communes sont maintenant pourvues d’un plan d’urbanisme pour les 15 ans à venir. Les règles et les périmètres sont maintenant fixés.

Et au final ?

L’intérêt commun, la solidarité même, se sont imposés. Notre volonté de maîtriser l’urbanisme et de protéger notre environnement est respectée. Une répartition raisonnable des parcelles constructibles dans chaque commune est maintenant établie. Il en est de même pour les espaces liés à l’activité économique. Reste maintenant à accueillir de nouveaux habitants. Le Val d’Amour compte 9 850 habitants, atteindre dans les années qui viennent la barre des 10 000 semble raisonnable.

Cela voudra dire que nous avons enrayé la baisse.

Côté économie, on souhaite conforter l’existant sur Mont-sous-Vaudrey, Mouchard, Port-Lesney…

L’équilibre est bon et ne nécessite pas pour l’heure de grands aménagements supplémentaires.

Comment attirer plus d’habitants ?

Tout est question d’attractivité, toutes les commissions sont concernées, c’est un ensemble. Le PLUI doit s’accompagner de mesures pour l’habitat, pour la construction. Dans ce sens, la Communauté de communes lance une nouvelle Opération Pour l’Amélioration de l’Habitat (OPAH) qui vise à favoriser la rénovation et la réhabilitation des maisons et des logements anciens. Tout est question d’équilibre, d’harmonie et de volonté.

UNE VISION PRÉSIDENTIELLE ET COLLECTIVE… Une vision présidentielle n’est pas une vision pompeuse. C’est, pour Michel Rochet, une vision partagée, imaginée, réfléchie… pour les habitants, pour les communes, pour l’avenir. Michel Rochet trace le chemin… sème les projets et les objectifs pour le Val d’Amour, avec beaucoup de modernité, de culot parfois. Michel Rochet aime l’avenir, aime avancer, être en avance. “Quand on est en retard, on subit” dit-il… Pas le style du Val d’Amour.

L’attractivité ? “C’est avoir de l’espace disponible pour accueillir de nouveaux habitants, des services adaptés. C’est montrer que nous sommes organisés, que sur ce territoire rural, chacun a droit aux services indispensables de la vie quotidienne. Ici, le mot rural ne veut plus dire qu’on y trouve rien !”

CCVA

Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal est en cours d’élaboration depuis 2012. Il est pour la première fois intercommunal afin de définir une vision commune et stratégique à l’échelle du territoire du Val d’Amour. Un exercice qui a nécessité de nombreux échanges avec les 24 communes. Rencontre avec Henri Alixant.

Michel Rochet, Maire de Mouchard, Président de la Communauté de communes Le Val d’Amour

L’enfance jeunesse ? “C’est une volonté majeure.

C’est une réponse aux attentes des jeunes ménages, l’enfant dans son contexte global. La prise en charge des enfants et des jeunes de 0 à 18 ans. Nous proposons des solutions de proximité sur tout le territoire. Par ailleurs, le Val d’Amour en lien avec les communes projette la création de 4 ou 5 groupes scolaires. Nous préparons l’avenir.”

La culture ? “La culture comme élément d’attractivité, c’est une particularité du Val d’Amour.

La culture, c’est la vie des gens. Toute la vie, de la petite enfance aux seniors. Ici, la culture se partage, c’est un service de proximité à la population. C’est une volonté forte. Le Val d’Amour est porteur de culture.”

Un Plan Local d’Urbanisme Intercommunal ? “Un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUI) parle peu aux habitants. Et pourtant cela concrétise les

CCVA

UNE VISION PRÉSIDENTIELLE ET COLLECTIVE… choix d’un territoire qui décide, pour son avenir, de son organisation et de son évolution dans le temps.

Le “I” de PLUI est important. La réflexion est intercommunale et la répartition se fait sur l’ensemble des villages qui compose le Val d’Amour. L’avenir n’est plus individuel.”

CCVA

Michel Rochet, Maire de Mouchard, Président de la Communauté de communes Le Val d’Amour

Les petits devant…

Nos objectifs ? “Permettre à chaque village de se développer encore, d’être valorisé. Respecter l’environnement, notre environnement, garder notre qualité de vie dans tous les sens du terme…”

Christine Guyot, Maire de La Loye, vice-présidente en charge de l’enfance et de la jeunesse

“DE QUALITÉ, DONC BEAUCOUP UTILISÉ !”

CCVA

Gagner en population ? “Tout le monde veut accueillir plus d’habitants ! Le Val d’Amour aussi !

Dans ce sens, nous réservons un espace raisonnable pour construire dans les villages et une nouvelle Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat (OPAH) se met en place pour impulser la rénovation et la réhabilitation de l’existant.”

Le haut débit ? “Nous y sommes, ouf ! Nous nous sommes battus pour être intégré dans le programme départemental. C’est indispensable quand on évoque l’attractivité. Le Val d’Amour est prêt, avec le Conseil départemental, à développer dans les villages une montée en débit ou le haut débit. Tout le monde sera desservi progressivement.”

CCVA

Le service enfance jeunesse est un grand et beau service.

C’est un accueil des jeunes enfants en microcrèche à La Loye, c’est un relais assistantes maternelles itinérant, ce sont dix accueils de loisirs périscolaires, c’est un accueil de loisirs extrascolaire… le tout encadré par 33 professionnels. Rencontre avec Christine Guyot vice-présidente en charge de l’enfance et de la jeunesse.

L’enfance jeunesse, une priorité intercommunale ?

L’économie ? “L’économie est un moyen de maintenir la confiance de chacun. C’est l’emploi, les commerces, les entreprises, les services… C’est une prise en charge globale des besoins des entreprises de toutes tailles, une préoccupation quotidienne…”

Le tourisme ? “Oui, nous pouvons valoriser plus encore l’activité touristique. Tout ce que nous développons peut y contribuer. La rénovation de logements, la culture, la communication…

Nous avons quelques atouts et sommes à proximité de sites attractifs comme Arc-et-Senans, Dole, Salins-les-Bains et Arbois….”

Oui sans nul doute ! Le Val d’Amour est un territoire rural, familial où l’humain à toute sa place. De fait, le service aux familles est primordial, en particulier l’enfance jeunesse. Notre volonté est maximale, nous savons que ces services contribuent à maintenir ou à faire venir de jeunes ménages dans nos villages.

Vous intervenez partout ?

Qui dit rural ne dit pas isolement. On veut que chaque village garde un service de proximité. C’est un choix de répartir une offre équitable pour tous les habitants. Cela nécessite des moyens humains que le Val d’Amour porte.

33 professionnels s’occupent des enfants.

L’organisation pour la petite enfance est originale ?

Vous voulez parler du relais assistantes maternelles itinérant ? C’est un lieu d’information, de rencontre et d’échange au service des parents, des enfants et des assistantes maternelles du Val d’Amour. Nous recensons en-

La Communauté de communes ? “Le Val d’Amour va bien. Nous avons déjà fait un grand bout de chemin dans l’organisation, dans l’implication de toutes les communes. Aujourd’hui, nous sommes en phase de concrétisation. On avance encore, c’est une nécessité pour améliorer et maintenir notre cadre de vie…”

Les accueils de loisirs Les P'tits Minots CHISSEY-SUR-LOUE - 06.31.30.64.94 al.chisseysurloue@valdamour.com Les Ablettes LA LOYE - 03.84.69.48.23 al.laloye@valdamour.com

Les finances ? “Nos finances se portent bien. Nous sommes en mesure d’investir encore. Le pacte fiscal qui, depuis 3 ans, prend en compte la fiscalité des communes et de la communauté de commune a permis de maintenir le budget et les capacités des communes.”

L'Ile aux Enfants MONT-SOUS-VAUDREY - 03.84.80.00.27 al.montsousvaudrey@valdamour.com Bel Air PORT-LESNEY - 03.84.37.85.18 al.portlesney@valdamour.com

PAROLE DE FONDATEUR Pays Dolois

Denis Goichot siège à la Communauté de Communes du Val d’Amour depuis sa création en 1994. Et pour cause, M. Goichot est conseillé municipal de Belmont depuis 1971 et maire depuis 1977 ! Il aime le Val d’Amour et l’intercommunalité : “Le nom Val d’Amour est en lui-même déjà attractif. La Loue, la forêt de Chaux… Ici, il y a un certain cachet. C’est plaisant d’y vivre…” explique M. Goichot. Ce dernier croit vivement en l’esprit communautaire. “Depuis 1994, le Val d’Amour n’a pas cessé d’évoluer. Déjà en 1994, nous avions acheté des locaux pour développer de l’activité économique” se rappelle Denis Goichot. “Aujourd’hui, la solidarité est présente. Le pacte fiscal, la mutualisation, le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal (PLUI)… sont autant d’éléments maintenant partagés qui profitent à l’intérêt général et aux communes. Nous avons encore de beaux projets, l’OPAH, le haut débit, les groupes scolaires…

Personnellement, je souhaite que le projet de nouvelles écoles aboutisse rapidement” conclut Denis Goichot.

Les Z'amours VAUDREY - 06.31.30.68.16 al.vaudrey@valdamour.com Les Zouzouilles CRAMANS - 06.30.61.15.55 al.cramans@valdamour.com

Non, c’est juste un accueil de loisirs par école ou groupement pédagogique. Les enfants sont accueillis, matin, midi et soir. C’est un choix. Tout fonctionne bien, les inscriptions sont en progression. 280 enfants profitent de la cantine le midi ! Sur 880 enfants scolarisés sur le Val d’Amour, 75 % ont déjà fréquenté les accueils. Tout est de proximité ! Par ailleurs, un accueil de loisirs extra-scolaire fonctionne à Mont-sous-Vaudrey le mercredi et pendant les vacances scolaires, nous assurons nos propres navettes pour transporter les enfants.

Et la jeunesse, les ados ?

Nous organisons depuis 2015, des animations pour les ados. Des sorties, des camps d’été pendant les vacances scolaires. Nous souhaitons encore développer ce service en lien avec les jeunes. Leurs propositions sont d’ailleurs les bienvenues !

Solène Mignard, Maman de Louisa, accueil de loisirs Mont-sous-Vaudrey “Nous venons d’arriver sur le secteur, cet accueil a beaucoup aidé ma fille pour faire des connaissances. L’accueil et les activités sont très bien, on ne dépose pas simplement son enfant, il y a un plus, une écoute. Sans cet accueil de loisirs, je n’aurai pas d’autre solution, ce serait plus compliqué.”

La Clairière de Chaux LA VIEILLE LOYE - 03.84.80.02.06 al.lavieilleloye@valdamour.com Les Muscadous MOUCHARD - 03.84.37.80.87 al.mouchard@valdamour.com Les Greloups SOUVANS - 03.84.69.49.92 al.souvans@valdamour.com Les Poup'ys VILLERS FARLAY - 03.84.37.79.78 al.villersfarlay@valdamour.com

Micro-crèche intercommunale La Loye - 03 84 69 48 23 microcreche.ccva@valdamour.com

Dix accueils de loisirs périscolaires, c’est impressionnant ?

Amélie Foray, Augerans. Maman d’Elsa, microcrèche La Loye “C’est un service d‘une grande qualité. L’équipe est très agréable, accueillante, toujours à l’écoute, on peut échanger. Il y a peu d’enfants, ainsi l’évolution de chaque enfant est prise en compte. Elsa s’y plaît beaucoup, on le sent bien. Et notre plus grande fille est à l’école juste en face, nous habitons à Augerans, c’est idéal. Je suis vraiment très contente.”

Pays Dolois

Denis Goichot, maire de Belmont

viron 90 assistantes maternelles sur le Val d’Amour, il est difficile de toutes les réunir à Chamblay avec les enfants, alors nous allons à elles, sur place dans les villages. Là, nous organisons des rencontres avec les assistantes, les enfants, les parents… Ce sont de beaux temps d’échange, on crée des temps de jeux, des rencontres intergénérationnelles… c’est appréciable pour tout le monde. Oui, c’est assez original. Les jeunes enfants peuvent aussi profiter de la micro-crèche à La Loye. C’est un autre accueil collectif proposé aux familles. On prend en charge une dizaine d’enfants par jour du matin au soir.

Sandrine Delplanque directrice service enfance, Carole Serrurot, pôle accueil de loisirs “Un accueil de loisirs par école permet de ne pas déplacer les enfants et de maintenir un lien entre scolaire et périscolaire. Pour l’animation, chaque centre dispose d’une autonomie pour le choix des activités. En extrascolaire, le mercredi et pendant les vacances, nous accueillons les enfants de 3 à 12 ans, nous proposons des mini-stages, des camps l’été… au niveau activités, nous avons moyens de faire sur place. Pour les ados, ce n’est pas la même démarche. Un référent secteur jeune s’occupe d’aller vers eux, les relations progressent.”

“CÔTÉ TOURISME, NOUS AVONS DE QUOI SÉDUIRE ET DÉVELOPPER ENCORE NOTRE OFFRE…” “Le Val d’Amour est le poumon vert du bassin dolois avec une identité naturelle forte, propice au tourisme doux, rural et environnemental. La forêt de Chaux et la Loue sont des éléments naturels intéressants. Cette nature nous offre de belles possibilités pour le sport de plein air, la randonnée, le vélo, le canoë… Si nous complétons avec le patrimoine, les savoir-faire locaux, les fruitières à Comté à Ounans et Grange de Vaivre, les viticulteurs à Cramans et Champagne sur Loue… nous avons de quoi séduire. Les deux sites Unesco à Arc-et-Senans et Salins-les-Bains, les villes de Dole et Arbois… ajoutent de la diversité à proximité. A nous de croire plus encore en ces atouts. A nous de développer une politique touristique volontaire, de passer à une phase de promotion plus active. L’ambition que nous avons pour ce territoire doit nous guider. Nous avons pour objectif, avec des supports de communication adaptés, de maintenir les touristes plus longtemps au profit des campings, des hébergeurs, des restaurateurs, des commerces… Nous avons les moyens de mieux faire et d’attirer plus encore.”

CCVA

Etienne Rougeaux, Maire d’Ecleux, en charge du développement économique et touristique Tourisme et économie, économie et tourisme… qu’il parle de l’un ou de l’autre, Etienne Rougeaux reste habité de la même passion, de la même force de conviction pour valoriser les atouts du Val d’Amour et les actions de la Communauté de communes qui visent à épauler les entreprises et à promouvoir le tourisme. Echange…

"POUR VALORISER ET SOUTENIR L'ÉCONOMIE ET L’EMPLOI"

Un relais local de proximité

Christian Chopard

Les services dont relèvent les entreprises sont à Dole, à Lons, voire plus loin encore.

Nous proposons aux entrepreneurs de disposer d’un accueil physique pour répondre à leurs premières interrogations.

Nous apportons l’information ou orientons vers les organismes partenaires.

Nous jouons pleinement notre rôle de relais local et de proximité. Cette démarche s'inscrit dans un dispositif de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences. A terme, nous avons l’ambition de proposer un lieu d’accueil et de ressources des entreprises et de l’emploi ; un espace dédié où les organismes départementaux et régionaux pourraient tenir des permanences et permettre de gagner du temps dans les démarches. On travaille dans la durée pour créer du lien entre les entreprises et les acteurs de l’économie.

Des soirées thématiques Dès 2017, nous organisons des soirées thématiques d’information à destination des entreprises. L’objectif est d’expliquer le dispositif mis en place par le Val d’Amour, de faire en sorte que les entreprises échangent sur leurs besoins, qu’elles se connaissent mieux. Nous créons ainsi les conditions qui incitent à une dynamique économique commune.

Le Val d’Amour restera attractif s’il favorise les services à la personne, s’il favorise l’emploi, valorise ses entreprises, valorise, soutient et défend ses commerces…

“LA CAMPAGNE DOIT ÊTRE MODERNE !”

A peine élue maire de Vaudrey, Virginie Pate est chargée de la communication et des technologies de l’information à la Communauté de communes. Entre communication et numérique Virginie Pate défend une information pertinente et accessible à tous.

La maison des services occupe une place importante

“Je ne veux plus entendre manque de communication. La communication intercommunale c’est avant tout de présenter correctement aux habitants les actions menées afin que chacun prenne connaissance et conscience du travail effectué, de la pertinence des services mis à disposition. Dire ce qu’on fait et faire ce qu’on dit ! La population aime savoir, aime la transparence. Nous apportons de la modernité, la nouvelle identité visuelle est prête, nous travaillons à un nouveau journal, à un nouveau site internet… des éléments utiles aussi à notre communication externe si importante pour valoriser notre territoire et nos villages. Nous nous donnons les moyens de réussir, d’accompagner nos projets et notre développement.

Oui, nous souhaitons accueillir de nouveaux habitants et des entreprises, dans ce sens, la communication nous aide. Mais dans le même temps, les carences en haut débit peuvent être un frein à ce développement.

Enfin, sur ce sujet, nous avançons. Il y a urgence, à défaut d’en gagner, nous pourrions perdre des habitants. Le numérique, c’est prioritaire… il faut que la campagne soit moderne !”

L’économie c’est l’emploi. Dans ce contexte, la maison de services au public d’Ounans portée par Agate paysages occupe une place importante, Notamment en appui aux demandeurs d’emplois. Nous nous appuyons sur ces savoir-faire qui permettent de guider les jeunes vers l’emploi, vers des emplois locaux, vers des parcours de formation. On passe de l’insertion sociale à l’insertion professionnelle puis au retour à l’emploi avec des compétences solides. Le Val d’Amour investi et investira encore dans ce domaine pour permettre à chacun de trouver un emploi, de créer ou de reprendre une activité.”

Pays Dolois

CCVA

Virginie Pate, Maire de Vaudrey, vice-présidente à la communication et aux technologies de l’information

Pays Dolois

“Le lien entre économie et intercommunalité ne peut se résumer à la présence de zones d’activités. C’est aussi notre capacité à proposer de nouveaux services aux entreprises. Si le nouveau Plan Local d’Urbanisme du Val d’Amour ne prévoit pas l’aménagement de zones économiques supplémentaires, le Val d’Amour se dote de moyens pour dynamiser son économie et se rapprocher des entrepreneurs.

Christian Chopard

CCVA

Chloé Salbin

Economie, tourisme, haut débit…

Le Val d’Amour se positionne.

Daniel Ratton, Maire d’Ounans,

“SANS LE HAUT DÉBIT, ON NE FAIT PLUS RIEN !”

“On en parle depuis des années ! Tout le monde attend le haut débit, les particuliers, les entreprises, les commerces… Ici à Ounans à la mairie, les transmissions électroniques sont laborieuses ! Il est grand temps que l’on évolue, que cela change. Cet état de fait doit cesser. On ne peut pas parler de développement ou d’attractivité sans le haut débit. Le haut débit est maintenant une priorité dans le choix d’une location ou l’achat d’un bien. Heureusement, la Communauté de communes est intervenue auprès du Conseil départemental du Jura pour que Val d’Amour s’inscrive dans le programme de développement dès la première tranche de travaux. Maintenant c’est acté ! Certaines communes seront, dans un premier temps, concernées par une montée en débit, d’autre comme Ounans auront la chance d’être alimentées en très haut débit directement. C’est une question de contrainte technique. Les premiers travaux sont annoncés dès 2018. Voilà une bonne nouvelle, un soulagement !”

CCVA

CCVA

Les Rencontres théâtrales du Val d’Amour

Pays Dolois

Alain Bigueur, Maire de La Vieille Loye, vice-président en charge de la culture et de la vie associative siège au Val d’Amour depuis la création et vice-président depuis 1998

“LA CULTURE EN MILIEU RURAL, C’EST POSSIBLE !”

Pays Dolois

L’édition 2017 se prépare avec les Radeliers.

Les médiathèques

Mont Sous Vaudrey - 14 rue Jules Gre ´ vy - 03 84 80 01 44 Port Lesney - Quartier Bel Air - 03 84 73 70 98 mediatheque@valdamour.com

Laurent Devèze directeur général institut supérieur des Beaux-Arts de Besançon (ISBA) “Créer ici Back to the trees (retour aux arbres) est une volonté commune, avec le Val d’Amour, de sortir, de s’ouvrir, de bousculer les frontières.

C’est courageux d’associer un territoire à l’art, à la culture… Le Val d’Amour le fait. La culture, ça donne envie de vivre. “Back to the trees, rassemblera encore une soixantaine d’artistes, un parcours ouvert dans la nature à Chamblay le samedi 1er juillet de 18 h à 1 h du matin. Les radeliers de la Loue participeront à cet événement éphémère.”

Pays Dolois

“Oui, la culture compte sur le Val d’Amour. Elle a naturellement germé et progressé au rythme des rencontres, des échanges, des opportunités… Nous avons osé, nous nous sommes laissés porter… La culture est là et bien là, en mouvement, parfois dans un village, parfois dans un autre, là où on ne l’attend pas, où elle surprend. La culture sur le Val d’Amour est née en 1998 d’une initiative originale d’habitants de Montbarrey qui souhaitaient alors partager autour du livre. De cette volonté est née la première bibliothèque intercommunale “Le Valkili”. Cette bibliothèque deviendra médiathèque à Mont-sousVaudrey, suivie d’une deuxième médiathèque très proche de Mouchard, à Port Lesney plus précisément au quartier “Bel air”. Bien ancrées aujourd’hui sur le territoire, elles représentent des lieux de découvertes, de rencontres et d’échanges inestimables en milieu rural, tournées vers l'avenir. Aujourd’hui, ce

“Back to the trees”, rencontre d’art contemporain

sont 1 390 adhérents pour 9 800 habitants, soit 15 % de la population de nos villages, c’est pas mal ! De nombreux bénévoles des villages aident aux animations et au fonctionnement, sans eux, le service ne serait pas le même. Les deux médiathèques sont en travaux, nous créons de nouveaux espaces culturels en lien avec l’enfance jeunesse.

Les rendez-vous culturels à venir sont nombreux, une programmation qui donne une image positive du Val d’Amour : “Les Rencontres théâtrales” festival théâtral, “Back to the trees” rencontre d’art contemporain, “Little Town festival” festival de rock mais aussi les visites du patrimoine, le Mois du film documentaire, les cafés philo, les rdv de la Clairière de Chaux à La Vieille Loye… sont maintenant des références. La volonté aussi depuis l’année dernière d’exposer les artistes locaux dans des lieux “atypiques”. Les habitants adhèrent et la présence d’un large public venu de l’extérieur se confirme. La culture vecteur d’attractivité en milieu rural ? Oui c’est possible, la volonté intercommunale du Val d’amour le prouve…”

Pays Dolois

La culture est présente sur le Val d’Amour, la culture est visible. Le fruit d’une volonté, d’une évolution constante, d’une ouverture. Le fruit d’un travail mené, année après année, par la Communauté de communes du Val d’Amour.

Eric Petijean créateur et directeur “Je suis originaire de Mont sous Vaudrey. J’ai exercé comme comédien à Paris pendant 25 ans. Quand j’ai eu envie de créer moi-même, pour parler de choses qui me plaisent, je suis revenu ici pour m’investir dans le Val d’Amour.

J’ai créé des spectacles, mais aussi un festival.

Ainsi sont nées les Rencontres théâtrales du Val d’Amour. L’idée est de faire participer des comédiens amateurs mais aussi des bénévoles dans les villages. De faire le lien entre professionnels et amateurs, avec l’ambition de produire de la qualité, de créer un spectacle tous les ans. Les rencontres tournent dans les villages et le succès est grandissant. Cette année, la 6e édition se tiendra à Port-Lesney du 21 au 25 juin. Encore de belles rencontres en perspective. Rien de tout cela ne fut possible sans la Communauté de communes du Val d’Amour qui y a cru et y croit encore. On travaille ensemble, il y a un sens à soutenir le théâtre, la culture en milieu rural.”

Pays Dolois

Plus d’espace encore pour les deux médiathèques…

Sophie Kuentz, Michèle Faivre-Miny, Caroline Barnabé, Laura Faillat

Danièle Schmitt, adhérente : “Cette médiathèque m’aide beaucoup dans mes recherches pour mes activités manuelles. Je me repose sur le personnel qui est très disponible et très aimable. C’est un service fort appréciable.”

Caroline Barnabé directrice des médiathèques du Val d’Amour “Nos deux médiathèques sont très fréquentées. Faire venir le public sur place est notre priorité, le faire venir pour qu’il s’approprie les lieux, pour qu’il profite des animations. Une médiathèque c’est pour tout le monde, c’est ouvert à tous, c’est plus que des rayonnages et des livres, c’est un lieu de rencontre, un espace culturel ! C’est vivre la médiathèque comme 3e lieu, celui que l’on fréquente après le travail et la maison. Les travaux vont nous permettre d’améliorer encore le confort et l’accueil, nous aménageons un nouvel espace dédié aux ados. Oui, les bénévoles sont précieux, indispensables même. Une vingtaine qui aide les six salariés pour les prêts, le rangement en rayonnage, le portage à domicile… mais aussi pour les animations lors d’accueils de classes, d’animations périscolaires, de rencontres intergénérationnelles ou avec les assistantes maternelles et les bébés lecteurs. Nous sommes soutenues, la volonté intercommunale est forte, il y a une dynamique, le public s’y retrouve.”

© Communauté de communes Le Val d’Amour - Création maquette : Guillaume André - Rédaction : Pays Dolois

La culture est là et bien là, en mouvement, parfois dans un village, parfois dans un autre, là où on ne l’attend pas, Là où elle surprend…

vivre ici 23

Pays Dolois n°192 - Avril 2017

Mont-Sous-Vaudrey

Le CCSVA, c’est près de 600 licenciés !

Le Centre Culturel et Sportif du Val d’Amour est une structure très dynamique. Comptant presque 600 licenciés chaque année, l’association propose des activités très variées.

Créé en 1966, le CCSVA a fêté l’année dernière ses 50 ans. L’association est la preuve d’une demande d’activités sportives et culturelles – pour les adultes comme les plus jeunes – toujours aussi forte. “La structure rayonne sur tout le Val d’Amour. Elle attire même des personnes venant du secteur de Montbarrey. Pour les enfants, cela évite à leurs parents de devoir les emmener jusqu’à Dole ou Poligny, tout en leur proposant des activités variées et de qualité” explique le président Fran­ çois Fraichard.

Du football au twirling baton Née à l’origine du CCSVA, la section de football, compte aujourd’hui plus de 200 licenciés et l’une de ses équipes seniors est en première division

départementale. Le centre culturel et sportif du Val d’Amour, c’est aussi plus de 100 licenciés en Judo et une petite cinquantaine en ping­pong. Il pro­ pose également une discipline originale depuis septembre 2002 : le twirling baton. “Ce sport est très spécifique et il demande beaucoup d’implica­ tion pour participer aux compétitions régionales et nationales”. Plusieurs adhérentes se sont déjà illus­ trées comme l’équipe cadette qui a remporté la Coupe de France en 2009, un podium en coupe de France en individuel la même année ou un duo minime sacré Champion de France de Nationale 2 en 2013.

Et également des activités culturelles D’autres activités hors compétition sont proposées

comme de la gymnastique pour adultes (step, stre­ ching…), danse, baby­gym et théâtre avec plusieurs représentations chaque année mais aussi une sec­ tion d’activités manuelles proposant en fin d’année des articles au marché de Noël de Mont­sous­Vau­ drey. Une multitude d’activités qui demandent for­ cément la présence de bénévoles pour gérer les différentes sections. Au total, 50 personnes sont présentes, “mais cela n’est jamais assez car les activités demandent beaucoup d’investissement” avoue le président. Côté finance, l’association a la chance de pouvoir disposer d’un entraîneur de football sous contrat aidé. “Cela permet d’avoir une personne disponible pour les jeunes le mer­ credi. C’est grâce à cela que nous pouvons enregis­ trer autant de licenciés. Malgré les aides publiques

CCSVA, 13 rue Jules Grévy à Mont-sous-Vaudrey (permanence le vendredi de 10 h à 12 h). ccsva@laposte.net

Pourquoi vouloir rejoindre le Val d’Amour ?

Quelles sont les procédures engagées ?

“Parce que le Val d’Amour est notre bassin de vie.

Parce que Chamblay est à 8 minutes et qu’Ornans est à 50 minutes ! Il y a une logique à rejoindre une collectivité proche de chez nous. Nous n’avons rien contre le Doubs et Ornans, nous voulons simplement mutualiser nos moyens avec les communes du Val d’Amour.” Êtes-vous soutenus ?

“La première procédure de droit commun où nous demandions de quitter Loue Lison a été refusée par cette dernière. Reste la procédure administrative qui vise à annuler l’arrêté du Préfet du Doubs qui nous intègre à Loue Lison. Le jugement est attendu en mai/juin. Dans tous les cas, il y aura appel…

Nous demandons simplement que la loi soit respectée. Si le tribunal suit la loi, nous aurons gain de cause.”

“Oui, le Conseil municipal est soutenu par les habitants d’Arc-et-Senans qui ont répondu à un sondage. Sur 625 réponses, 616 sont favorables au Val d’Amour et 9 à Loue Lison. Le Val d’Amour est favorable à notre venue, le Jura aussi. Arc-et-Senans est tournée vers le Jura.”

Vous ne lâcherez rien ?

“On ne lâche rien. Notre mariage avec le Val d’Amour est un mariage d’amour, avec Loue Lison, c’est un mariage forcé. Ce n’est pas tout à fait pareil.

C’est une situation regrettable, je souhaite vivement qu’elle progresse…”

et les différents sponsors, le financement reste compliqué” souligne le président. Les cotisations des différentes sections devraient donc augmenter légèrement pour la rentrée prochaine…

F.P

Arc-et-Senans

Et si Arc-et-Senans rejoignait le Val d’Amour ?

Art-et-Senans est dans le département du Doubs, mais aussi un peu dans le Jura. En effet, Arc et Senans est clairement enclavé dans le département du Jura et dans la Communauté de communes jurassienne du Val d’Amour. A se demander même comment cela fut possible. Et si Arc-et-Senans rejoignait le Val d’Amour si proche ? Oui, mais qui dit Arc-et-Senans dit Saline, et qui dit Saline d’Arc-et-Senans dit grand site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Et alors ? Rencontre avec Jacques Maurice, maire d’Arc-et-Senans.

M. Maurice, à quand remonte cette volonté d’Arcet-Senans de rejoindre le Val d’Amour ?

rejoindre le Val d’Amour. Voilà la situation, voilà ce que l’on nous refuse.”

“Depuis 2015 où l’on nous oblige – après la fusion forcée des Communautés d’Amancey, Ornans et Quingey – à rejoindre la Communauté de communes Loue Lison qui se gère depuis Ornans située à 45 km et 50 minutes de route d’Arc-et-Senans.

Depuis que le Préfet du Doubs refuse de nous laisser rejoindre le Val d’Amour. Nous étions très bien dans la Communauté de communes de Quingey, nous n’avions rien demandé. Quitte à changer, plutôt que de rejoindre Ornans, nous souhaitons

A votre avis pour quelle raison ?

“Selon le Préfet, la Saline d’Arc-et-Senans est dans le Doubs et elle ne doit pas quitter le Doubs. Une raison irrecevable. Il n’a jamais été question que la Saline quitte le Doubs, ni même qu’Arc-et-Senans quitte le Doubs ! La Saline ne nous appartient pas, elle appartient au département du Doubs. Nous n’intervenons pas dans sa gestion. Je le répète, cet argument est irrecevable. Il est même contraire à la loi.”

Saline d’Arc-et-Senans

Une chambre à la Saline, c’est royal !

Après avoir obtenu il y a quatre ans le label Qualité Tourisme pour le site patrimonial de la saline, le site a vu dernièrement ses chambres 3 étoiles, elles aussi labellisées.

Une belle récompense pour ce lieu historique de plus en plus fréquenté.

La saline d’Arc­et­Senans constitue l’un des patrimoines majeurs de la région. Tout au long de l’année, les visiteurs sont bien là : le site a même enregistré 105 000 entrées en 2016, un chiffre en augmentation depuis ces trois der­ nières années. Connue pour son site classé au patrimoine mondial de l’Unesco, l’adresse pro­ pose aussi de nouvelles prestations depuis le début des années 2000 avec l’organisation de séminaires, pouvant accueillir jusqu’à neuf cents personnes mais aussi trente­et­une chambres ouvertes aux réservations de

groupes et aux particuliers ainsi que de la petite restauration en haute saison. Classées 3 étoiles en mai 2013, ces chambres d’hôtel ont obtenu la labellisation Qualité Tourisme en fin d’année 2016.

Des prestations et des services récompensés qui s’accordent avec la labellisation Qualité Tourisme, déjà reçue en 2014 pour le site patrimonial.

“À l’époque, les chambres n’étaient pas commercialisées” “Les chambres existaient depuis 1970 mais elles n’étaient pas commercialisées. Elles servaient aux

clients uniquement” explique Julie De Sloover, directrice du pôle événements d’entreprises et séjours. Ce choix de fonctionnement complémen­ taire a été effectué pour répondre à l’autofinance­ ment des sites culturels. Les différentes chambres ont alors été totalement revisitées par le célèbre designer Jean­Michel Wilmotte et décorées par l’architecte et auteur de bandes dessinées Damien Cabiron. Dans un esprit épuré, elles comportent toutes, une fresque rappelant la volonté de Claude­Nicolas Ledoux, créateur de la saline, qui souhaitait une architecture “aussi pure que celle du

soleil dans sa course”. Les clients apprécient, et encore plus “lorsque nous avons notre specta­ cle Lux Salina – proposé cette année du 20 juil­ let au 26 août – les clients sont heureux de pou­ voir se restaurer et se loger sur place” précise Julie De Sloover. Et la saline ne va pas s’arrêter là : la création de neuf chambres supplémen­ taires est déjà prévue…

F.P

Saline royale à Arc-et-Senans. 03 81 54 45 00. www.salineroyale.com

info déchets

JOURNAL DE LA PRÉVENTION ET DU TRI DU SICTOM DE LA ZONE DE DOLE

Le compostage domestique Le compost peut être utilisé pour le potager ou les plantes d’intérieur. C’est un geste écocitoyen qui permet de valoriser les déchets tout en produisant un engrais 100 % naturel.

Le SICTOM encourage le compostage pour diminuer le poids des ordures ménagères. Il est possible de se rendre sur le site de Brevans pour acheter un modèle en bois ou en plastique pour 15 € seulement.

> Je mets quoi

dans mon compost ?

Déchets de cuisine : Restes de repas : pain, fromage, pâtes, fruits et légumes en morceaux.

G Épluchures, coquilles d’œufs écrasées.

G Marc de café et thé avec filtre papier.

G

Déchets de la maison : Essuie-tout, papier journal.

Certains cartons non imprimés : boîtes d’œufs et rouleaux en carton.

G Fleurs fanées, plantes…

G G

> On évite : restes de viande et poisson, plantes malades ou traitées, papier glacé.

Variez les apports et mélangez le compost régulièrement !

Réunions d’informations sur le compostage et sur le tri proposées aux communes sur demande.

Contact : prevention@sictomdole.fr

Composter c’est :

30 % deen déchets moins 3 4 000 m d’eau de moins à incinérer

Déchets du jardin : Feuilles mortes, tontes de gazon, tailles broyées ou fragmentées.

G Pailles, écorces…

G

Nos bureaux sont ouverts au public du lundi au vendredi de 8 h 30 à 11 h 45 et de 13 h 30 à 15 h 45.

Déchéteries : NOUVEAUX HORAIRES !

LE SICTOM SERA PRÉSENT SUR LES MARCHÉS :

Depuis le 27 mars jusqu’au 14 octobre , les horaires d’été sont en place* !

DOLE BREVANS TAVAUX CHAUSSIN Mt/VAUDREY DAMPIERRE VILLERS-FARLAY

LUNDI

MARDI

MERCREDI

JEUDI

VENDREDI

SAMEDI

9 h - 11 h 45 13 h 30 - 18 h

9 h - 11 h 45 13 h 30 - 18 h

9 h - 11 h 45 13 h 30 - 18 h

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8 h 30 - 11 h 45 13 h 30 - 18 h

8 h 30 - 11 h 45 13 h 30 - 18 h

8 h 30 - 11 h 45 13 h 30 - 18 h

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9 h - 11 h 45 9 h - 11 h 45 13 h 30 - 17 h 45 9 h - 11 h 45

MONTMIREY et SALIGNEY

9 h - 11 h 45

9 h - 11 h 45

13 h 30 - 17 h 45

13 h 30 - 17 h 45

SAINT-AUBIN

9 h - 11 h 45

9 h - 11 h 45 13 h 30 - 17 h 45

BADGE OBLIGATOIRE !

Pour accéder aux différentes déchèteries du SICTOM, le badge est obligatoire depuis l’année dernière. Ce précieux sésame permet jusqu’à 26 passages par an. Les personnes qui ne possèdent pas ce badge peuvent se rendre au site de Dole-Brevans pour le récupérer. Il est délivré sur présentation du formulaire - (à télécharger sur www.sictomdole.fr, page “accueil”, rubrique “actualités”) - d’une carte d’identité et d’un justificatif de domicile datant de moins de 3 mois.

DOLE - LES HALLES : les jeudis 4 mai, 1er juin et 6 juillet

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SAINT AUBIN : les mercredis 10 mai, 14 juin et 12 juillet

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MOISSEY : les mardis 16 mai, 20 juin et 18 juillet

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CHAUSSIN : les mardis 23 mai et 25 juillet.

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MON COMPTE MON SUIVI… Pour accéder à votre suivi du nombre de levée de vos bacs et de vos passages en déchèterie,

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Avril 2017

Spécial

Dolois” Hors-série “Pays

Au sommaire...

MAISON

BONIN

Aux premiers rayons de soleil, on en profite pour améliorer son confort : on agrandit, on aménage des petits plus et on pense déjà isolation pour le prochain hiver !

RIDEAUX & LINGE DE MAISON

Page

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Agrandir sa terrasse

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Bien choisir son abri de jardin

Installer une cave à vin : mode d’emploi

Auvent et pergola : abris de choix

Aménager votre sous­sol en pièce de vie

Conseil Conseil àà domicile domicile et et pose pose !!

Vivre différemment en recréant

du lien social en région doloise !

Une association, défendant des valeurs de partage et d’entraide, a été créée récemment. Son objectif ? Trouver un logement dit “participatif” puis vivre ensemble en partageant ces mêmes valeurs !

Nelly Maupoil, présidente de l’association

Vivre autrement cela vous tente ? Mili­ tante pour l’habitat participatif, l’associa­ tion Picaflores a été créée en début d’an­ née dernière. L’objectif : rassembler des personnes prêtes à se lancer dans un projet de vie pour vivre autrement. Sous un même toit (une grande maison par exemple), des espaces privatifs peuvent s’organiser autour de lieux communs. Les avantages : “mutualiser le matériel, le temps et les ressources financières”

explique l’un des adhérents, André Mag­ nin. Les membres de l’association sont conscients que chacun aspire à des modes de vie différents. “C’est un vérita­ ble prolongement de notre mode de vie qui permet de recréer du lien social et d’accentuer la solidarité inter­génération­ nelle ou avec des personnes souffrant de handicap. Nous trouvons plus d’avan­ tages que d’inconvénients à vivre sur ce principe : mutualisation du matériel, covoiturage, garde d’enfants, mixité sociale, solidarité et réduction de l’impact sur l’environnement. Une charte com­ mune a été écrite car toutes les per­ sonnes qui adhèrent à ce projet parta­ gent ces valeurs. Si certaines personnes préfèrent la campagne et d’autres la ville, plusieurs projets de logements peuvent être réalisés” précise Nelly Maupoil, pré­ sidente de l’association.

et biens ont déjà été visités à Dole ou les environs. Plusieurs solutions administra­ tives s’offrent au groupe comme l’habitat coopératif, la copropriété, l’autopromo­ tion (en étant propriétaire chacun de son logement) ou encore la solution mixte de l’habitat social qui mobilise un organisme HLM. L’association, ouverte à ces diffé­ rentes formes de statuts, souhaite aujourd’hui rencontrer d’autres per­ sonnes, prêtes à s’engager dans un tel projet participatif. Les membres espèrent bien trouver un logement d’ici moins d’un an – ou bien plus tôt –, mais ils le précisent : “l’association continuera au­ delà du premier projet…”.

F.P

“L’association continuera au-delà du premier projet”

Association Picaflores. http://picaflores.unblog.fr picaflores@ntymail.com Facebook : Colibris de Dole Habitat groupé

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avril 2017 -

Agrandir sa terrasse

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En réalisant une extension de votre terrasse, vous pourrez satisfaire votre envie de prolonger votre espace à vivre extérieur pour mieux profiter des beaux jours.

Avant de commencer les travaux, vérifiez bien quelles sont les obligations légales concer­ nant votre projet d’extension. Si votre ter­ rasse est de plain­pied et qu’elle ne dépasse pas du sol, vous n’aurez pas besoin d’une autorisation administrative. En revanche, s’il

s’agit d’une terrasse surélevée, vous devrez déposer une déclaration de travaux jusqu’à 20 m2 et, au­delà, demander un permis de construire. Cependant, selon la loi, il n’y a pas besoin de permis de construire s’il n’y a pas de “surélévation significative”. En l’absence de

précision claire sur le caractère significatif ou non d’une surélévation, pensez à consulter le service de l’urbanisme de votre commune. Il procédera à la vérification de votre projet de travaux. Cela vous permettra de ne pas avoir de mauvaises surprises à terme et d’être obligé de détruire votre extension.

Quelques règles de base Si vous voulez agrandir votre terrasse, il est conseillé de refaire entièrement le support quand aucune précaution n’a été prise lors de la première construction. Soyez vigilant. Votre terrasse doit disposer d’une pente d’environ 2 % sur la dalle pour que l’eau ne stagne pas dessous. Pour agrandir une terrasse de plain­ pied, il est nécessaire de surélever la terrasse de 5 cm au minimum de la terre. Cela évite les infiltrations d’eau et la présence de mousses ou de mauvaises herbes entre les dalles. Et pour ne pas subir de désagréments, il est préférable de faire appel au même maî­ tre d’œuvre pour réaliser les fondations et le revêtement. Il pourra ainsi assurer la bonne évacuation des eaux. Cette solution de construction avec fondations vous permettra d’avoir une extension solide, liée à la partie existante de votre maison. Vous pouvez tou­ tefois agrandir votre terrasse existante sans réaliser de fondations. Ce modèle de construction peut être adapté aux terrasses en bois, en bois composite ou en caillebotis.

Il faudra tout de même construire de petites tranchées pour fixer les supports de base qui accueilleront le revêtement.

APEI­Actualités. Marie­Sylvie Maufus

Bien choisir son abri de jardin

Pays dolois

ASTUCIEUX...

Quelques astuces pour entretenir terrasses et extérieurs !

Ce n’est pas la peine de vous armer de multiples produits pour agir dans votre jardin et vos extérieurs. Vous pouvez faire beaucoup avec trois fois rien. Le tout est de connaître quelques astuces et recettes qui faciliteront votre quotidien.

Stop à la mousse. Pour enlever la mousse sur la terrasse et les meubles extérieurs, diluez 3 cuillères à soupe de bicarbonate dans 1 litre d’eau tiède puis frottez avec une brosse et un balai-brosse et rincez bien.

Blanchir les terrasses en dalles. Pour les terrasses carrelées, réalisez une poudre avec 1 cuillère à soupe de percarbonate de soude (ou 2 cuillères à soupe d’acide citrique) et 1 cuillère à soupe de cristaux de soude. Saupoudrez le mélange sur les dalles à blanchir, trempez le balaibrosse dans l’eau et brossez dalles et joints. Bien rincer, surtout les dalles calcaires.

Décapez les marques de rouille. Dissolvez de l’acide citrique et du sel fin dans un peu d’eau.

Recouvrez la tache, laissez agir au moins une heure, frottez délicatement puis rincez.

Recommencez si besoin.

Spray dégraissant. Ce produit vous servira pour toute surface à nettoyer comme multi-usages (salon de jardin, vitres, jeux d’extérieur...).

Versez 180 ml de vinaigre blanc, ajoutez 300 ml d’eau puis 5 ml de mousse naturelle et, enfin, 15 gouttes d’huile essentielle (les agrumes sont conseillés pour mieux dégraisser). Et si vous ajoutez quelques gouttes d’huile essentielle africaine, vous éloignerez moustiques et mouches qui n’aiment pas cette odeur !

Pour toutes ces recettes, respecter les dosages et faites d’abord un essai sur une partie peu visible.

D’autres astuces délivrées par la marque Galipoli, consacrée au sur www.galipoli.fr

Du simple cabanon à l’abri aménageable voire habitable, la gamme des abris de jardin s’est considérablement élargie et s’adapte aux différents besoins. être montés sans démarche administrative. Entre 5 et 20 m2, il faudra faire une déclaration préalable de travaux en mairie. Et les grands modèles nécessiteront un permis de construire.

Les types de matériaux En bois, en métal, en synthétique, les abris de jardin ont fortement évolué depuis quelques années. Très largement utilisé, le bois est le matériau le plus esthétique. Il se fond parfaitement dans l’univers du jardin. C’est également un bon isolateur contre le froid. Les bois massifs comme le pin ou le sapin nécessitent un entretien régulier. Il est donc important d’appliquer un traitement sur le bois (lasure) et de le renouveler. À l’inverse, les abris en métal (acier et alu­ minium) ou en PVC n’ont pas besoin d’entretien en dehors d’un simple dépoussiérage. Les abris en PVC ou résine ont l’avantage d’être légers et l’on peut les monter soi­même sans difficulté.

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Comme tout projet, l’installation d’un abri de jardin demande réflexion. Et pour déterminer le modèle qui vous convient le mieux, vous devez explorer deux pistes : l’utilité souhaitée et la taille nécessaire. Très facile à installer, y compris dans un espace restreint, un abri de moins de 6 m2 vous permet de stocker vos outils et votre matériel d’entre­ tien (tondeuse, taille haies). Une dimension de 7 à 14 m2 représente une surface de rangement confortable pour accueillir des vélos, des jeux d’enfants, votre mobilier de jardin hors saison ou en cas de mauvais temps. Les plus bri­ coleurs peuvent facilement, avec un modèle de plus de 9 m2, installer un établi et y faire leur atelier. Au­delà de 14 m2, vous avez la possibilité de créer une véritable pièce à vivre, pratique et fonctionnelle, par exemple une cuisine d’extérieur, un espace de jeux et même un bureau ou une chambre d’amis. Il vous faudra alors une hauteur minimale de 2,20 m pour pouvoir circuler sans contrainte et choisir un modèle avec fenêtres, de manière à faire entrer la lumière du jour. Seuls les abris de moins de 5 m2 peuvent

APEI­Actualités. Marie­Sylvie Maufus

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“Il ne me faut seulement trois à quatre jours pour avoir une réponse des banques” Après 17ans à travailler comme conseillère ban­ caire, elle a souhaité ouvrir sa propre structure en 2009. “Je n’ai pas aimé le multi­services proposé par les banques, et préféré me cantonner dans la spé­ cialisation dans mon domaine de prédilection qui est le financement immobilier. J’ai donc créé ma pro­ pre entreprise afin d’agir vraiment pour le client.

J’aime ce contact et ce sentiment de confiance”. Son professionnalisme et ses compétences dans le domaine de l’acquisition immobilière, la fiscalité, les biens patrimoniaux, les placements financiers, la renégociation et les rachats de crédits sont plus qu’appréciés. Désormais, elle travaille dans tout le Jura, mais elle intervient aussi pour des clients ins­ tallés en Côte­d’Or, dans le Doubs, en Haute­Saône et en Saône­et­Loire. Elle adapte ses horaires selon les disponibilités de ses clients et travaille de plus en plus via internet, avec des clients qui lui envoient directement les pièces nécessaires à l’étude du dossier en les scannant ou par courrier

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postal. “Le fait d’être une petite structure indépen­ dante et d’avoir un réel contact avec les banquiers, me permet d’être très réactive et de rebondir rapi­ dement! Ici, tout va très vite, il ne nous faut que trois à quatre jours pour avoir une réponse des banques !

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Il n’est jamais agréable de prendre une averse sur la tête lorsqu’on stationne sur le perron de sa maison, le temps de tour­ ner la clé dans la serrure ! C’est pourquoi les auvents sont fréquents au­dessus des portes d’entrée. Dans la forme tradition­ nelle en éventail, encore présente sur les demeures anciennes, on les appelle “marquise”. Les modèles d’aujourd’hui sont plus diversifiés. Classique, la mini­ charpente en bois au toit incliné est recouverte de tuiles. Elégante, la struc­ ture en fer forgé est surmontée de verre acrylique. Moderne, les profilés alumi­ nium ou acier portent une couverture en polycarbone (un matériau clair et trans­ parent) s’adaptant bien aux formes arrondies.

D’une taille plus importante, l’auvent peut aussi couvrir un escalier extérieur, être installé au­dessus des portes de garage, servir d’abri de voitures (“car port”) façon préau, ou faire la transition entre un espace extérieur et un espace intérieur. En avancée devant la façade de la maison, il protège la terrasse.

La pergola murale ou autoportée Dans un rôle similaire, la pergola peut

Pergola à toile Komilfo

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aussi être accolée à la maison ou faire office de construction séparée (on parle alors de pergola autoportée). C’est même la tendance de l’été ! Il existe aussi des pergolas démontables en toile, sou­ vent utilisées comme tonnelles pour des réceptions en plein air.

Très prisées dans les régions où les étés sont chauds, les pergolas végétalisées créent un espace de fraîcheur en ombra­ geant la terrasse. Généralement en bois ou en fer forgé, elles sont couvertes de poutrelles à claire­voie servant de sup­ port aux plantes grimpantes. Dans un

style très nature, des canisses peuvent aussi faire office de toit.

Servant d’abri contre le vent et les intem­ péries, les pergolas murales s’apparen­ tent de plus en plus à des vérandas ouvertes. En bois, alu, fer forgé et PVC, leur structure a la solidité pour durer, tandis qu’un toit en verre ou plexiglas assure un maximum de luminosité. De quoi en faire une pièce supplémentaire de la maison où l’on peut s’attabler en plein air et profiter du barbecue, même si la météo est mitigée.

APEI­Actualités

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belle saison. Chez Intex, on explique que “les spas gonflables nouvelle génération débordent de qualités : de formes rondes ou octogonales, ils sont dotés d’une structure unique Fiber Tech extrêmement solide. Ils s’installent avec une grande facilité, à l’intérieur comme à l’extérieur”. Une excellente alternative à la piscine dans le gain de place comme dans les économies !

Fauteuil, matelas, piscine, spa… Grâce au gonflable, le jardin se transforme en villégiature fun et design. Des gammes qui se déclinent en outdoor comme en indoor !

Une histoire qui ne manque pas d’air. Le mobilier gonflable conserve une place de choix au jardin comme dans la maison. Tout a commencé autour de la piscine, lieu de farniente par excellence : bouées XL, matelas-bain de soleil… Le gonflable est confortable, facile à transporter et à ranger.

Du mobilier pop-up. Il se gonfle aujourd’hui en quelques minutes seulement, vraiment pratique chez soi ou ailleurs… Le mobilier gonflable est d’ailleurs prisé pour décorer les réceptions comme les mariages, les anniversaires, les soirées professionnelles. Poufs, fauteuils pour adultes comme pour les kids… voilà des éléments faciles à vivre, nomades, décoratifs et ludiques. Par ailleurs, certaines marques comme Parade Design et Qui est Paul ? lancent aussi des lampes gonflables pour les longues soirées d’été. De même, Blofield propose un set de table en forme de banc-bouée gonflable pour des pique-niques originaux !

Spa : le must. La cerise sur le gâteau dans le domaine du gonflable, c’est le spa : intégrable dans des petits espaces (250 m2 suffisent), certains modèles ne pèsent pas plus de 50 kg et sont donc transportables (pour partir en week-end par exemple). Surtout, ils se rangent à la fin de la

APEI­Actualités. Claire Lelong­Lehoang

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Installer une cave à vin : mode d’emploi

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Tout le monde n’a pas la chance de disposer d’une cave voûtée pour conserver ses bonnes bouteilles.

Mais d’autres solutions sont envisageables pour stocker petits et grands crus.

Une cave à vin nécessite de l’attention. Car le vin est une boisson fragile. Si vous avez une cave dans votre immeuble ou votre maison, vous pouvez l’utiliser mais vous devez respec­ ter certaines conditions pour installer et bien conserver vos bouteilles. Veillez à instaurer une température ambiante d’environ 12°. Si votre cave est trop chaude ou trop froide, n’hésitez pas installer une climatisation spéciale. Ne stockez pas au même endroit des meubles et du vin et posez une cloison totalement étanche pour maintenir un taux d’hygromé­ trie de 70 % d’humidité dans la cave à vin. En dessous de 60 % d’humidité, les bouchons peuvent sécher et perdre leur souplesse et leur étanchéité. En revanche, une cave trop humide aura besoin d’un déshumidificateur.

Assurez­vous d’avoir une bonne ventilation.

Ne bouchez pas les soupiraux. Une ventilation haute, apportant de l’air frais, combinée à une ventilation basse, crée un mouvement de

renouvellement de l’air. Par ailleurs, les mau­ vaises odeurs sont l’ennemi du vin. Et pour garder l’arôme, bannissez de votre cave les pots de peinture et les solvants.

Caves enterrées et caves d’appartement Vous pouvez créer une cave de toutes pièces et opter ainsi pour une cave à vin enterrée.

Vous faites creuser à environ deux mètres de profondeur, sous la pièce de votre choix (cui­ sine, par exemple) ou même dans votre jar­ din, une cave préfabriquée. Il s’agit d’une cave ronde ou ovale qui est encastrée dans le sol et dans laquelle vous accédez par un escalier en hélice. Vous pouvez enfin choisir une cave d’appartement. Il existe aujourd’hui des modèles adaptés à tous les cas de figure et tous les budgets, du plus sobre au plus sophistiqué, du raisonnable au plus onéreux.

APEI­Actualités. Marie­Sylvie Maufus

Aménager votre sous-sol en pièce de vie Créer une pièce en plus au sous-sol est un bon moyen d’agrandir son espace de vie sans pour autant avoir besoin de déménager.

Lorsque les mètres carrés vous font défaut, un sous­sol bien aménagé peut se métamorpho­ ser en un endroit confortable et accueillir une chambre, un bureau ou une salle de jeux, par exemple. Mais l’aménagement des sous­sols est soumis à des règles. Vous devez déposer une déclaration de travaux auprès de votre mairie pour un espace compris entre 10 et 20 m2. Au­delà, l’obtention d’un permis de construire est obligatoire. Si vous êtes copro­ priétaire, vous devez demander l’accord de copropriété pour faire les travaux. De plus, cer­ taines contraintes sont à remplir, comme une hauteur minimale de 2,10 m pour le plafond.

Outre la mise aux normes des postes classiques (eau, électricité, plomberie, chauffage), vous devrez être particulièrement attentif à certains travaux propres à la transformation du sous­sol.

QUE DIT LA LOI ?

Ne pas négliger l’humidité et la ventilation L’humidité nuit à la solidité de la construction, mais aussi à la santé des occupants. Traiter ce problème est obligatoire en drainant le sol autour de votre maison ou en appliquant un revêtement étanche sur les murs. Par ailleurs, votre sous­sol doit être isolé avant d’être amé­ nagé. Si votre pièce est semi­enterrée, vous devrez revoir l’isolation du plafond et des murs. Côté ventilation, les bouches d’entrée du sous­sol sont insuffisantes pour évacuer l’humidité et les polluants qui se trouvent dans l’air intérieur. Une solution s’impose : la ventilation mécanique contrôlée (VMC). Elle va gérer l’extraction de l’air vicié et la pénétra­ tion de l’air neuf en fonction des besoins.

Pièce particulièrement sombre au plafond bas, le sous­sol nécessite un éclairage intégré

© DR

dans le plafond ou des luminaires de type spot ou plafonnier. Et si la configuration le permet, un puits de lumière sera toujours le bienvenu.

Enfin, ne négligez pas la création d’un nouvel escalier car celui d’origine est souvent étroit et pentu. Cet escalier se doit d’être conforta­ ble surtout si vous avez aménagé une pièce souterraine destinée à être régulièrement fré­ quentée.

APEI­Actualités. Marie­Sylvie Maufus

La conversion d’un sous-sol en local d’habitation est très règlementée en France. Le code de la santé interdit purement et simplement de vivre dans les caves, sous-sols, combles, pièces dépourvues d’ouverture sur l’extérieur et autres locaux par nature impropres à l’habitation. Il est donc formellement interdit de vendre ou de mettre en location une cave telle quelle, sans aucun lien avec un rez-dechaussée, la salubrité des locaux et la qualité de l’air sont ici en question.

En aménagement maison comme dans la très grande majorité des cas, le sous-sol n’est pas considéré, en termes d’urbanisme, comme une partie du logement, il n’est donc pas soumis à la loi Carrez et n’est pas comptabilisé dans la surface totale du logement, sauf s’il est semi-enterré et que, lorsque l’on se tient dans la pièce, le regard peut se porter sur l’extérieur. Comme pour l’aménagement de combles, d’un garage ou d’une dépendance en surface habitable, l’aménagement d’un sous-sol est soumis à quelques formalités préalables. Entre autres, les pièces principales doivent être pourvues d’un ouvrant et de surfaces transparentes donnant sur l’extérieur. www.camif-habitat.fr/amenagement/maison/sous-sol/

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Créée en 1991 avec sa boutique à Vesoul, l’en­ seigne a su s’imposer sur le secteur des lumi­ naires et dispose également d’une boutique à Besançon. Elle est installée à Dole depuis 1994, l’ajout de l’enseigne Soléa sur la façade a été effectué en début d’année et permet ainsi une identification comme marque nationale. Avec un choix impressionnant de références propo­ sées dans un espace de 500m², Luminance­ Soléa propose des luminaires intérieurs et exté­ rieurs, des abat­jours, des petits meubles et des objets de décoration comme les tableaux et les miroirs. “Nous avons plus de 4000 produits en

boutique, ce qui représente le plus large choix sur le Grand Dole et bien au­delà” explique Peggy Peutot, gérante de la boutique depuis plus de 23ans. Du choix mais aussi du conseil pour l’enseigne familiale qui a été créée par ses parents. “Avec une gamme de prix très large, des styles très variés (contemporain, classique industriel, charme rétro) chacun peut trouver son bonheur. Notre objectif est vraiment de conseiller le client pour lui proposer un produit adapté à ses besoins, à sa décoration mais aussi à son budget. Il faut ajuster l’éclairage à chaque pièce. Nous avons un rôle de conseil car le besoin en éclairage n’est pas le même dans une chambre ou un salon par exemple. Nous propo­ sons à nos clients de venir avec leurs plans, leurs échantillons de papier peint et de tissus. Pour une rénovation ou une construction de loge­

ment, nous pouvons aussi orienter les personnes sur les emplacements des arrivées électriques (nous offrons même la possibilité de tester le produit 48h à domicile avant l’achat)”.

“Des produits toujours plus performants et intégrant les dernières technologies” “L’arrivée des nouvelles technologies révolu­ tionne notre métier. C’est ainsi qu’aujourd’hui nous pouvons proposer tous types d’ampoules leds ainsi que des luminaires toujours plus des­ ign grâce à la led intégrée. Notre expérience prend toute son importance face à une nouvelle façon d’aborder l’éclairage, à laquelle les clients ne sont pas habitués”. Luminance­Solea travaille en collaboration avec un fabricant d’abat­jour français et peut ainsi vous en proposer toutes formes et un choix de coloris important (sur devis).

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avril 2017 -

Pays dolois

Rénovation thermique : les pièges à éviter Améliorer l’isolation, changer les fenêtres, revoir le mode de chauffage... Avant de vous lancer dans la rénovation thermique de votre logement, voici quelques pièges à éviter.

A l’heure de la transition énergétique, la réno­ vation thermique des bâtiments est dans l’air du temps. Un marché porteur où pullulent les offres commerciales, parfois assorties d’un démarchage insistant. Si vous envisagez des travaux pour mieux isoler et chauffer votre maison, le premier piège à éviter est de ne jamais signer un contrat sans avoir aupara­ vant consulté plusieurs entreprises.

Ne pas se précipiter En matière de rénovation thermique, chaque maison est un cas à part. Méfiez­vous des solutions toutes faites que l’on pourrait vous proposer. Pour y voir plus clair, n’hésitez pas à vous informer en vous adressant à l’espace info énergie ou point rénovation info service* le plus proche de chez vous. C’est un service public gratuit où des conseillers vous aident à avoir une vue globale de votre habitat et à hiérarchiser vos priorités. Il est en effet impor­ tant de parfaire l’isolation de la maison avant

de changer le chauffage car dans l’ordre inverse, vous pourriez vous retrouver avec une chaudière surdimensionnée par rapport à vos besoins, une fois le logement isolé.

Réaliser un diagnostic thermique avant travaux Un bon diagnostic avant travaux permet d’établir un plan d’améliorations énergétiques à réaliser dans un ordre précis. Pour cela, ne vous contentez pas du diagnostic de perfor­ mance énergétique (DPE) obligatoire lors de la vente ou de la location d’un bien immobi­ lier. Faites réaliser un diagnostic thermique par un bureau d’études ou un artisan. Au final, vous y gagnerez du temps et de l’argent car vous saurez précisément où sont les déperditions de chaleur à corriger et vous aurez une analyse chiffrée précise prenant en compte vos usages.

Ne mettez pas de chantier en route sans connaître la durée des travaux et sans avoir

TOUR D’HORIZON DES SIGLES La mention RGE donne un repère simple aux particuliers pour identifier les entreprises apportant un savoir-faire pour la réalisation de travaux d’économie d’énergie. Elle permet de distinguer à la fois des entreprises en capacité d’aider leur client à mener un projet d’amélioration globale de la performance énergétique de leur logement (ECO Artisan, Pros de la Performance Energétique, CERTIBAT), et des entreprises qualifiées pour la mise en œuvre de certaines solutions (QUALIT’EnR).

En dehors des signes de qualité “Reconnu Garant de l’Environnement”, il existe également des qualifications (QUALIBAT, QUALIFELEC). Elles apportent la garantie de la capacité de l’entreprise à réaliser un certain type de travaux, à un niveau de technicité défini.

Tour d’horizon des signes de qualité des entreprises et artisans du bâtiment • Éco Artisan est une marque créée par la CAPEB (Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment) pour répondre aux exigences Grenelle de l’Environnement. Le principe de ce label est de pouvoir identifier les professionnels compétents en matière d’efficacité énergétique.

• Le label Pros de la Performance Energétique a été créé par la Fédération Française du Bâtiment. Il identifie des professionnels compétents et qualifiés en matière de rénovation énergétique.

• L’organisme de qualification Qualibat, via sa filiale CERTIBAT, délivre cette certification pour identifier une compétence spécifique de l’entreprise dans le domaine de la rénovation énergétique.

• Qualit’ENR est l’association française pour la qualité d’installation des systèmes à énergie renouvelable. Entre autres, elle gère les dispositifs “Qualisol”, “Qualibois”, “QualiPV” et plus récemment “QualiPAC”.

• QUALIBAT est un organisme de qualification et de certification dans le domaine du bâtiment. Il y a aujourd’hui près de 33 000 entreprises QUALIBAT, de toutes tailles et de toutes spécialités. Les entreprises sont sélectionnées sur leurs aptitudes à réaliser des travaux dans une activité donnée.

• QUALIFELEC compte 28 qualifications, recouvrant toutes les activités liées à l’installation électrique. Pour devenir “QUALIFELEC”, l’entreprise doit faire preuve de son engagement à offrir des prestations de qualité.

établi votre budget. Les aides financières de l’Etat servent souvent d’argumentaire commer­ cial mais vérifiez ce à quoi vous avez réelle­ ment droit. Car le crédit d’impôt est plafonné et son montant différent selon le nombre de personnes à charge. L’éco­prêt à taux zéro est soumis à conditions de ressources. Certaines aides, y compris celles des collectivités locales, sont cumulables. D’autres pas !

Comparer les devis Ne vous fiez pas à la première entreprise venue. Mieux vaut en sélectionner plusieurs en se fiant aux signes de qualité, dont le label RGE (obligatoire pour bénéficier des aides de l’Etat). Comparez attentivement les devis. De même, n’acceptez pas les yeux fermés, les matériaux et équipements proposés. Regar­ dez bien les indices de performance ther­ mique. Par exemple pour les fenêtres, la qua­ lité du double vitrage compte mais aussi celle de la menuiserie. Sans oublier que la bonne

© Cyril Comtat Fotolia

intégration au bâti (en dépose totale ou en remplaçant le dormant) est aussi importante.

Si la mise en œuvre est ratée, rien ne sert d’avoir du bon matériel ! *Trouver un conseiller sur http://www.renovation-info-service.gouv.fr/ APEI­Actualités

RGE : qualité et rénovation Mais que signifie ce sigle ?

Pour engager des travaux de rénovation énergétique d’un logement, il est conseillé de faire appel à des professionnels labellisés RGE. Explications...

RGE pour Reconnu Garant de l’Environnement. Ce sigle est un moyen de reconnaître les entreprises qualifiées pour réaliser des travaux d’efficacité énergétique en rénovation et l’instal­ lation d’équipements favorisant les économies d’énergie ou utilisant les énergies renouvelables. Les consommateurs sou­ haitant engager ce type de travaux doivent obligatoirement faire appel aux professionnels labellisés RGE pour bénéficier des aides publiques, tels que le crédit d’impôt transition éner­ gétique ou l’éco­prêt à taux zéro. Afin d’obtenir cette qualifi­ cation, les entreprises doivent s’engager dans une démarche de qualité destinée à valoriser leur savoir­faire et à renforcer la relation de confiance avec leurs clients. Pour ce faire, il leur faut répondre à des obligations administratives (notamment la garantie décennale), techniques, opérationnelles et finan­ cières. Leurs compétences sont attestées, formations à l’ap­ pui, par plusieurs organismes : Qualibat (efficacité énergé­ tique et énergies renouvelables), Qualifelec (travaux électriques), Qualit’ENR (solaire thermique, photovoltaïque, chauffage au bois, pompe à chaleur), Certibat (offre globale de rénovation énergétique), Cerquami (certification NF Envi­ ronnement, HQE). Eux­mêmes sont agréés par le Comité fran­ çais d’accréditation (COFRAC) en termes de compétence, d’in­ dépendance, d’impartialité et de transparence.

Peut mieux faire !

Valable quatre ans, la mention RGE fait l’objet d’un suivi annuel et d’un contrôle aléatoire d’une des réalisations de l’entreprise dans les deux ans suivant son attribution. Bien identifié des consommateurs, ce dispositif leur apporte des garanties claires et constitue une valeur ajoutée pour les arti­ sans. Mais il n’éradique pas pour autant certaines pratiques commerciales déloyales. La DGCCRF (répression des fraudes) préconisait ainsi en 2015 de maintenir une surveillance rap­ prochée du secteur.

En septembre 2016, l’UFC Que Choisir a mené une enquête basée sur la collecte de devis pour dix maisons mal isolées, auprès des professionnels RGE. L’association a relevé que, dans la pratique, l’évaluation énergétique du bâtiment dans son ensemble (isolation, ventilation, production de chaleur) n’est presque jamais réalisée, que les travaux préconisés n’ap­ portent pas de “solution de rénovation globale cohérente et performante” et que les économies d’énergie promises ne cor­ respondent pas à la réalité. Un constat sévère, néanmoins éta­ bli à partir d’un petit échantillon de professionnels, mais appe­ lant à un renforcement de la formation et des contrôles.

72 000 entreprises sont labellisées RGE. APEI­Actualités

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En proposant du conseil dans le domaine de la rénovation, Aubertin & Associés met son expérience au service des clients.

“Nous mettons notre expérience au service des particuliers, des professionnels et des ges­ tions immobilières. Il faut dire qu’entre notre atelier de menuiserie, notre entrepôt et notre bureau, nous disposons d’un local d’une super­ ficie totale de 400 m²”, explique­t­il.

Aménagement intérieur “La société est spécialisée en aménagement intérieur. Pour des travaux de rénovation, d’agrandissement ou de réhabilitation, l’en­ treprise Aubertin & associés assure l’isolation, la peinture et le placo.” Grâce à des salariés spécialisés, la qualité et le savoir­faire sont valorisés. Les chantiers sont même livrés clés en main, de l’isolation à la finition.

Menuiserie intérieure et extérieure Sur la menuiserie, l’autre secteur d’activité, les clients sont invités à découvrir une gamme de matériaux PVC, bois et alumi­ nium. “Nous essayons de travailler avec des produits de fabrication française, c’est mon engagement. Nous proposons la pose de fenêtres, volets roulants, portes de garage par des employés expérimentés. Avec notre propre atelier de fabrication, nous réalisons tous types de menuiserie bois et panneaux sur

mesure : dressing, meubles prélaminés et massifs, escaliers, etc. L’entreprise a investi justement dans une plaqueuse de champs automatisés pour répondre à la demande sur les aménagements en panneaux mélaminés.

Nos équipes sont en poste depuis plusieurs années et savent s’adapter pour travailler chez le particulier ou les professionnels”.

Un éco artisan “Cela fait des années que nous sommes spé­ cialisés dans la rénovation, c’est un métier à part” conclut Stéphane Gabry. La société emploie neuf collaborateurs et dispose même de la certification RGE (Reconnu Garant de l’Environnement). Une orientation permet­ tant de reconnaître la compétence de l’entreprise dans le domaine de la perfor­ mance énergétique, tout en facilitant l'accès aux aides proposées par l'État.

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avril 2017 -

Pays dolois

Rénovation énergétique : lancez-vous En 2016, les mesures gouvernementales en faveur des aides aux travaux n’ont jamais été aussi importantes. L’occasion de faire le point sur les solutions envisageables ! envies d’aménagement et de rénovation éner­ gétique”.

Les deux principales aides sont le fonds de garantie nationale dit Eco­prêt à taux zéro (alias éco­PTZ), et le fonds de garantie pour la rénovation énergétique (FGRE). Et la nou­ veauté, depuis juillet 2016, c’est l’Eco­PTZ

Quelle étiquette énergétique pour votre maison ou appartement ?

Commencez par apprendre à bien connaître votre habitat et prenez acte de la date des derniers travaux. Attention, si vous habitez un pavillon des années 80 avec combles (perdus ou pas), l’épaisseur de l’isolant correspond généralement à la réglementation de l’époque (10­15 cm) alors qu’aujourd’hui elle est de 30 cm de laine de verre… Votre loge­ ment est donc certes isolé, mais peut­être pas aux normes actuelles, et la laine de verre s’est sans doute tassée… Il vous faudra sans doute envisager une remise aux normes qui vous apportera un confort supplémentaire au quo­ tidien et vous fera faire des économies de chauffage !

Le point sur les (nombreuses) aides Il existe de nouvelles aides à la rénovation énergétique, permettant d’accompagner tous les foyers, même les ménages modestes et les copropriétés, dans leur projet de rénova­ tion. “Jusqu’à fin 2016, nous avons vécu une conjonction de facteurs et de financements qui est une chance pour les particuliers, pour adapter leur patrimoine au confort d’au­ jourd’hui”, explique Matthieu Paillot, direc­ teur général de www.Monexpert­isolation.fr.

“Les moyens mobilisés par tous les acteurs sont au sommet pour vous aider dans vos

Climatisation :

le confort en toutes saisons Profiter chez soi d’un air rafraîchi en été et réchauffé en hiver, c’est le confort proposé par la climatisation réversible dont l’installation est possible en rénovation.

Aujourd’hui, la climatisation n’est plus réservée au seul apport d’air frais. Les appareils récents ont en effet tellement évolué qu’une climatisation réversible per­ met de gagner en confort pour un prix quasiment équivalent. En mode chauf­ fage, la pompe à chaleur air­air puise les calories de l’air extérieur pour chauffer la maison en hiver. Selon le même principe mais avec un cycle inversé, les calories de l’air intérieur sont évacuées vers l’extérieur en été. La chaleur est filtrée et diffusée via un boîtier extérieur et une ou plusieurs

unités intérieures, le tout relié par des tubes de cuivre où circule un fluide calo­ porteur et frigorigène qui transporte les calories. Le système fonctionne grâce à un apport électrique.

Recenser vos besoins L’installation d’une climatisation réversible varie selon le profil recherché. Pour une grande maison de plain­pied avec des combles perdus, il est préférable d’opter pour un générateur central et un réseau de gaines placé dans les combles. Ainsi,

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MonExpert­isolation.fr est un service sur internet qui accompagne les particuliers qui se lancent dans des travaux de rénovation énergétique, avant, pendant et après les tra­ vaux, dans toutes leurs démarches. Tél. 0977 40 40 50 (prix d’un appel local).

APEI­Actualités. Claire Lelong­Lehoang

seules les grilles de ventilation sont appa­ rentes au plafond. Pour équiper une pièce d’une taille d’environ 20 m2, une seule unité intérieure suffit. Pour l’ensemble du logement sans possibilité de gainage, un système multi­splits permet une autono­ mie de réglage, pièce par pièce. Les unités intérieures peuvent se fixer au mur, plutôt en hauteur, ou s’accrocher au plafond. Il faut ensuite trouver le moyen le plus dis­ cret d’effectuer les liaisons vers l’extérieur.

Etudier son cœfficient de performance

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Seulement 6 % des Français connaissent réel­ lement les aides de l’État en matière de tra­ vaux d’économie d’énergie, et plus d’un Fran­ çais sur deux a froid dans son habitat en hiver malgré l’utilisation du chauffage… De nom­ breux logements subissent en effet des déperditions de chaleur sans que ses habi­ tants en soient conscients. Savez­vous seule­ ment quels sont ces principaux postes de déperditions de chaleur ?

Dans une maison individuelle, les combles arrivent en tête de liste, responsables d’une déperdition de 25 à 30 % de la chaleur si elles sont mal isolées. Ce sont ensuite les cloisons extérieures, puis pêle­mêle les fuites d’air, la ventilation naturelle, les planchers, et enfin (oui enfin !) les portes et fenêtres. L’idéal pour faire le bilan énergétique de votre habitat : un diagnostic DPE.

complémentaire, qui octroie non pas seule­ ment un prêt de 20 000 € par logement, mais aussi un deuxième à hauteur de 30 000 €, pour pouvoir financer un second chantier de rénovation énergétique.

Pour y avoir droit, vous devez faire appel à un professionnel qualifié RGE, et les travaux doi­ vent concerner un bâtiment à vocation de résidence principale. “Par ailleurs, ajoute Mat­ thieu Paillot, depuis ce début année 2017, les particuliers peuvent désormais cumuler les mesures entre elles, et ne sont plus soumis à des conditions de ressources”. Voilà qui devrait vous donner l’impulsion pour déclencher des travaux, sans hésiter plus longtemps !

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Il existe aussi des modèles de climatiseur, moins puissants, sans raccordement frigo­ rifique. Un seul appareil joue alors le rôle des unités intérieure et extérieure. Il peut être posé comme un radiateur en perçant des trous dans le mur pour l’entrée et la sortie de l’air ainsi que l’évacuation des condensats. Combinant les fonctions de rafraîchissement en été et de chauffage en hiver, la climatisation réversible apporte un confort de plus en plus recherché, d’au­ tant qu’elle participe à la déshumidifica­ tion, purifie l’air, élimine les mauvaises odeurs... C’est une solution – notamment en remplacement d’un chauffage élec­ trique ancien – qui ne réclame pas de gros travaux mais dont l’efficacité dépend de plusieurs critères. Les hauts plafonds lui conviennent mal comme les températures hivernales extrêmes. Elle est plus rentable dans une maison bien isolée en ayant étu­ dié au plus près la puissance nécessaire, dimensionnée au logement et son coeffi­ cient de performance par rapport à la quantité d’électricité consommée. Atten­ tion aussi au bruit émis par certains appa­ reils. Il est vivement conseillé de faire appel à un professionnel qualifié pour l’installation.

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Tel est le souhait du dirigeant Jean-Philippe FOUILLAND qui transmet petit à petit son entreprise à ses neveux Maxime et Benjamin, récemment rejoints par Antoine, le fils de JeanPhilippe.

Installée depuis peu dans de nouveaux locaux à Bans, lʼentreprise cultive la pluralité de ses donneurs dʼordres : architectes, maîtres dʼœuvre, industriels, artisans, particuliers, agricultures, coopératives fromagères, au sein dʼune équipe dʼune quarantaine de personnes.

La structure très présente dans le Haut-Doubs possède également une entreprise de Menuiserie Aluminium à Pontarlier qui lui sert de “base avancée” pour son développement sur le secteur.

Lʼengagement de lʼéquipe et la diversité des chantiers lui permettent de répondre à toutes les sollicitations sur le secteur Bourgogne/Franche-Comté, même si des chantiers plus lointains sont abordés au gré des donneurs dʼordres.

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36 culture et loisirs

Pays Dolois n°192 - Avril 2017

Partenariat entre l’Education Nationale et le Pays Dolois

C’est l’heure de la visite à l’école Pergaud Les CM1-CM2 de Tavaux vous présentent leur école...

En arrivant devant l’école, il y a un parking, et aussi la crèche, la garderie et la salle Gérard Philipe.

Les classes du primaire ont découvert l’escrime à la salle Gérard Philipe, avec un intervenant, les mardis 3, 17, 24, 31 janvier, 7 et 14 février.

Pour la fête de fin d’année, toutes les classes pré­ sentent un spectacle. Après, il y a une kermesse dans la cour de récré.

Et une fois par an, au bois des Vernaux Les trois écoles de Tavaux se retrouvent pour cou­ rir. Les CP courent 8 min, les CE1 10 min, les CE2 13 min, les CM1 18 min et les CM2 20 min. Dans notre école, nous avons des champions !

En dehors du temps d’école, il est possible d’y regarder les animaux sans les nourrir. Il y a aussi des jeux, une piste de BMX, un terrain de basket, un terrain de pétanque, une table de ping­pong.

Vous pouvez aussi pique­niquer, suivre le parcours de santé, faire du vélo sur les bosses ou marcher dans la nature.

Une fois passé le portillon de l’école, on entre dans la cour.

Stages jeunes de 6 à 12 ans Vacances de Pâques Organisé par le Club Athlétique Chaussinois du lundi 24 au vendredi 18 avril les après-midis, de 14 h à 16 h 30.

Sur les terrains de sport de Chaussin.

Accueil 13 h 30. Coût 6 € la semaine.

Repli gymnase si mauvais temps.

Inscription et renseignements au 03 84 81 24 86 (fin de journée)

ver. Il y en avait de toutes sortes : moineaux, corbeaux, mésanges, rouge­gorges,...

Quand c’est l’heure, nous rentrons dans notre classe, à l’étage.

Pour acquérir les compétences en Français et en Mathématiques au CM1 et au CM2, le travail est organisé en ceintures de compétences de diffé­ rentes couleurs. Chacun prépare sa feuille de route pour la semaine avec des exercices de diffé­

rentes difficultés (1, 2 ,3 étoiles et défis). C’est un travail qui se fait en autonomie mais si nous n’y arrivons pas nous pouvons appeler à l’aide un camarade.

Si notre travail est bien présenté (cahiers, poésies, illustrations,...), nous avons un tampon de cham­ pion de copie. Avec dix tampons, nous obtenons un joker comme changer de place pendant une semaine.

Les métiers de la classe nous aident à nous orga­

Partenariat entre le Journal “Le Pays Dolois” et l’Education nationale Pour la 7e année consécutive, ce projet pédagogique est renouvelé. Après l’intervention d’un journaliste dans les classes afin de faire découvrir ce métier, les enfants se mettent dans la peau de reporters en herbe et réalisent un article sur un thème de leur choix.

Retrouvez en mai, la classe de CM2 de l’école de Cramans.

“French Kiss” aux Pupitres en liberté Depuis trois ans, la musique classique est à l’honneur avec le rendez-vous des Pupitres en liberté. L’un des grands rendez-vous est le concert de l’orchestre Victor-Hugo Franche-Comté.

Explications.

Alors que les Pupitres en liberté font la part belle à la musique classique pour une troisième édition, l’orchestre Victor Hugo Franche­Comté est à nou­ veau présent. Seul concert payant de l’événement, ce moment musical est un grand rendez­vous et intègre même des professeurs du conservatoire dans son orchestre. Pour Jean­Philippe Lefèvre, “il permet de donner aux dolois une relation avec leur conservatoire, de reconnaître les professeurs comme des artistes et d’offrir un élément rayonnant dans la grande région”. À Nicolas Charrière, direc­ teur du conservatoire de Dole de préciser : “lors de ce concert, les enseignants sont les artistes princi­ paux, c’est un véritable espace d’expression pour les équipes du conservatoire. Il s’agit de l’un des gros rendez­vous de Pupitres en liberté”.

“La musique est pour tout le monde.

C’est un moment de silence, d’attente et d’écoute rare”

richesse folle” annonce Jérôme Thiébaux, délégué général de l’Orchestre Victor Hugo Franche­Comté.

“Nous sommes très heureux de jouer dans la salle de La Commanderie et de pouvoir venir défendre chaque année la musique classique”. Au pro­ gramme de ce concert : musique française mêlant grand romantisme d’Hector Berlioz, la sublime sym­ phonie de Georges Bizet et le très “punchy” concerto pour trombone d’Henri Tomasi. Au quotidien, l’or­ chestre propose une saison musicale variée dans ses villes d’attache, de Besançon et de Montbéliard, mais aussi sur toute la région. Des concerts symphoniques aux œuvres lyriques, en passant par des concerts jeune public ou participatifs, la programmation est large. L’orchestre a même récemment enregistré plu­ sieurs disques. À Jérôme Thiébaux de conclure : “la musique est pour tout le monde. C’est un moment de silence, d’attente et d’écoute, rare de nos jours. C’est avant tout du plaisir et de l’émotion et une histoire à créer avec les gens…”

F.P

Annonçant un concert sur la thématique “French Kiss”. L’affiche se veut “un brin provocateur pour annoncer un programme musical sensuel, profond avec une touche de légèreté, le tout offrant une

Pupitres en liberté les 8 et 9 avril. Concert de l’orchestre Victor-Hugo Franche-Comté le 9 avril à 18 h à La Commanderie de Dole. 10 . Billetterie : Office de tourisme, place Grévy à Dole. 03 84 72 11 22.

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Le lundi, les CM1­CM2 peuvent jouer aux dames ou au jeu de l’oie ; le mardi, au ping­pong ; le jeudi, au basket avec les deux paniers installés et le vendredi, c’est foot avec les deux cages prévues.

Il y a un arbitre qui constitue les équipes et gère le match.

Les classes de CP­CE1 et de CE2 peuvent aussi jouer, bien sûr, les autres jours mais selon le plan­ ning.

Il y a aussi d’autres jeux : balle au camp, loup per­ vier, cheval, loup prison, courses, loup famille.

Nous avons, pour cette fin d’année, un nouveau projet qui est le jardinage. Nous avons deux bacs où nous allons planter des fruits, des légumes et des fleurs. L’année dernière, nous avions mis une mangeoire à oiseaux pour les nourrir et les obser­

niser. Suivant la couleur de la ceinture de compor­ tement, nous choisissons de plus en plus de métiers. Par exemple, pour la ceinture verte, il y a soigneur, joker, maître du temps, remplaçant et rituel.

Le conseil de classe se réunit au moins une fois par semaine. Tous les élèves s’installent en cercle avec un(e) président(e) et un(e) vice­président(e).

Chacun peut proposer une idée, une félicitation, un changement de ceinture, une question ou un problème. Les échanges se font dans le respect de la parole de l’autre et le conseil prend des déci­ sions sur la vie de la classe (il peut même suspen­ dre un élève de ceinture). Tout est noté sur un cahier pour se souvenir.

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38 culture et loisirs

Pays Dolois n°192 - Avril 2017

Musée des BA - Jusqu’au 28 mai

>ROUTE DES VILLAGES

Peindre, dit-elle ?

Le musée des beaux-arts présente sa nouvelle exposition : 40 artistes féminines, autant d’œuvres et un projet porté par trois femmes pour mettre à l’honneur des femmes artistes.

Y aurait­il une différence de facture entre la version masculine et la version féminine d’une œuvre ? La facture féminine est­elle spécifique ? Existe­t­elle ? Ces questions ont longtemps été un enjeu de l’histoire de l’art sur les artistes femmes à mesure qu’elles prenaient place sur la scène artis­ tique. L’exposition “Peindre, dit­elle ?” fait suite à une première édition présentée fin 2015 à Rochechouart, près de Limoges. Le rendez­vous est à l’initiative de Julie Crenn, critique d’art et commissaire indé­ pendante et Annabelle Ténèze, aujourd’hui directrice du musée des Abattoirs de Tou­ louse. Amélie Lavin, directrice du musée de Dole, a rejoint les deux femmes pour accueillir et développer en ses murs, ce deuxième volet. Décrié à l’époque pour le choix réduit d’une œuvre par artiste mais aussi pour le fait que l’exposition ne pré­ sentait que des œuvres féminines, le ren­

AGENDA

JOB DATING ALTERNANCE 2017 Le Grand Dole et la Ville s’associent aux acteurs professionnels pour la promotion de l’apprentissage et de l’alternance sur notre territoire. Cette 2e édition est organisée le mercredi 12 avril de 14 h à 17 h à La Commanderie. Le principe du Job Dating est de permettre, pour les entreprises, de rencontrer en quelques heures un maximum de candidats. Ce lien direct est généralement apprécié par les demandeurs d’emploi.

Si vous avez des persceptives de recrutement d’apprentis, contactez l’espace jeunes de Dole, espacejeunes.dole@ejfc.org

Mercredi 5 Avril

Lundi 17 Avril

Organisé par la gym de Petit-Noir.

Animé par Brigitte. Ouverture des portes 12h, début des jeux 14h.

Réservation 06.87.16.94.50 ou 03.84.81.68.09

Salle événementielle à 14h.

Animé par Totor

Loto - Tavaux

Jade Boissin et son triptyque

Super Loto - Auxonne

Vendredi 7 Avril

dez­vous revient d’une façon encore plus importante. “Nous ne voulions pas nous arrêter là. Le choix d’une œuvre est une invitation à découvrir un artiste.

Aujourd’hui, nous revenons avec deux fois plus d’artistes et un catalogue” explique Julie Crenn, critique d’art et commissaire indépendante. “Il ne s’agit pas d’une expo­ sition sur le féminin mais d’une exposition militante féminine. Les femmes artistes manquent de visibilité malgré le fait qu’elles soient aussi nombreuses voire plus nombreuses. C’est un fait, mais notre col­ lection du musée ne représente que très peu de femmes” avoue Amélie Lavin, direc­ trice du musée de Dole.

La peinture sous toutes ses formes

ture, auto­portrait, découpage d’anciennes toiles peintes pour offrir une peinture en relief signée Mathilde Denize. Les sources d’inspirations sont aussi multiples : jeux vidéo ou période du 19e siècle. Les œuvres offrent des jeux d’espace, de matières ou de figures comme la répétition de motifs jusqu’à créer une forme de malaise. Cette exposition, très variée, saura marquer dif­ féremment chaque visiteur. “En général, les personnes sont marquées par des œuvres différentes” avoue Annabelle Ténèze. Les superpositions de dessins ins­ pirées de l’art oriental de Camille Fischer ne passent pas inaperçues, tout comme les immenses triptyques sur toile de la cadette Jade Boissin utilisant l’autoportrait pour faire passer des messages…

F.P

Cette exposition de peinture, réunissant les œuvres de 40 artistes femmes, affiche la peinture sous toutes ses formes : sculp­

Exposition “Peindre, dit-elle - Chap. 2”.

Du 10 mars au 28 mai 2017 au musée des BeauxArts de Dole.

Tour de France 2017 : 5 000 élèves dans le peloton La dictée du Tour, organisée pour la première fois cette année, est un événement national. La ville de Dole, en partenariat avec l’entreprise Amaury Sport Organisation, a répondu présente. 472 collégiens de Dole, Montsous-Vaudrey et Saint-Aubin ont ainsi pu y participer…

Alors que le tour de France fait étape à Dole dans seulement 100 jours, des collégiens locaux s’impliquent à leur manière pour l’évènement. Le vendredi 24 mars, ils étaient nom­ breux à participer à la dictée du Tour, organisée dans une partie des villes accueillant cet été le Tour de France.

L’objectif : rapprocher le jeune public des champions et mettre en avant le passage du rendez­vous sportif dans les communes des élèves concernés.

Avec un total de 5 000 petits inscrits Jean-François Bernard pendant la lecture de la dictée à travers toute la France, les collé­ giens participants de Dole, Saint­ Aubin et Mont­sous­Vaudrey ont représenté presque 10 % de l’effectif total national, soit 472 élèves de 9 à 12 ans. Après le décès de Roger Pingeon qui devait initialement jouer le rôle du maître d’école et dicter l’exercice, c’est finalement Jean­François Ber­ nard qui s’est lancé dans la lecture d’un texte évoquant… le cyclisme, évidemment !

Ce grand cycliste a marqué les esprits en s’imposant dans le contre­la­montre sur les pentes du Mont­Ventoux en 1987, où il terminera 3e du Tour de France.

Visite des coulisses du Tour Attablés et – pour la plupart – attentifs, les collégiens devront attendre à partir du 30 avril prochain pour découvrir les résultats qui seront alors communiqués en ligne. Les meil­ leures copies seront sélectionnées et neuf d’entre elles seront tirées au sort. Les élèves, auteurs de ces copies, auront le privilège de visiter les coulisses du Tour de France samedi 8 juillet, d’entrer dans le village des coureurs et de monter sur le podium !

F.P

Trio Kazoo : spectacle musico-burlesque La Barre Symphonie en ré mineur de Nicolas Sépoloswsky interprétée par le grand conservatoire communal de Knokke-le-Zoute

Loto des Sapeurs-Pompiers Saint-Aubin Animé par Dominique.

Réservations : 06.63.94.66.41 ou 06.62.94.39.58

Samedi 8 et Dimanche 9 Avril

Journée d'adoption, Fête du Printemps - Biarne Refuge SPA à Biarne. De 13h à 17h.

Visite du refuge. Conseil d'adoption. Samedi, Canirun (Les chiens vont jouer en courant après un leurre ), dimanche à 15h Oberythmee par le Club Canin Dolois Soirée dansante - Dampierre A partir de 20 h, au profit des enfants de l'école. Animé par DJ Tommy. Menu adulte 20 €, enfant 8 €. Réservation obligatoire.

Puces - Dampierre Organisées par le RAM de la communauté de communes Jura Nord. Puériculture, vêtements et jouets. Salle des fêtes, de 8 h30 à 12h. Entrée gratuite.

Puces - Falletans De 7h à 18h. Organisé par Avenir de Falletans.

Journée d'études Histoire et Patrimoine du Val de Saône Saint Jean De Losne Grande salle de l'EHPAD, place d'Armes, conférences et visites sur le thème de l'Art et l'histoire : Louis Victor Chocarne (1816-1883) : un peintre dijonnais à découvrir, Histoire rapide de l'hôpital d'Auxonne, Les possessions de l'Abbaye de Citeaux sur le territoire de Losne d'après le terrier de 1480 et jusqu'à la Révolution, Grange de Saule (Cîteaux) et grange d’Outre Aube (Clairvaux, Les bibliothèques des établissements religieux du Valde-Saône au moment de la Révolution française. Visites : église de Losne, petite visite historique de l’hôpital de St-Jeande-Losne. Participation libre et gratuite. Organisation : association Saône Nature et Patrimoine.

Dimanche 16 Avril

Samedi 22 Avril

Soirée musicale - Losne Récital Bastien Lallemant (chant et guitare) auteur compositeur en trio avec Florent Mascret (violoncelle) et Pierre-Olivier Fernandez (violon ). Entrée : 5 € gratuit moins de 18 ans à la salle des fêtes.

Repas dansant avec accordéon - Tavaux Repas dansant avec un champion de l'accordéon, Olivier Lopez et sa chanteuse de charme professionnelle, à la salle des fêtes. Tous les grands classiques et morceaux virtuoses d'accordéon seront représentés ainsi que les styles modernes et variétés. Inscription auprès de l'Accordéon Club Arc-en-Ciel Monique Guinot au 06.76.27.76.40 ou auprès de l'école d'accordéon Gérard Cousseau au 06.60.48.69.04

Samedi 29 Avril

Repas dansant “Pot-au-feu” La Loye Organisé par les Cordiers de La Loye à la salle polyvalente de La Loye à partir de 19h30.

Inscriptions jusqu'au jeudi 27 Avril au 03 84 71 04 20. Tarif : adultes 16 €, enfants de moins de 12 ans 8 €.

Dimanche 30 Avril

Exposition artistique - Peseux Peintures, photos, sculpture, linogravure, graphisme Vide-greniers - Saint-Baraing Organisé par le comité des fêtes Contact 06.83.42.46.59.

Cavalcade - Tavaux Cavalcade entre Tavaux et Damparis, défilé de chars, groupes costumés et musique dans les rues Vide-jardin - Foire aux plantes - Le Deschaux De 8h à 18h. Particuliers et professionnels. 1 € le ml.

Renseignements et inscriptions au 06.70.56.40.90 ou 06.64.87.87.16. Entrée gratuite.

Samedi 6 Mai

Loto - Champvans Organisé par le Banda Jazz. Salle des fêtes. Début des jeux 20h.

Animé par Brigitte.

Réservations 03 84 82 39 46

Dimanche 7 Mai

Vide-greniers des Sapeurspompiers - St-Aubin

De 6h à 18h. 2 € le ml.

Réservation : 06.63.94.66.41 ou 06.62.94.39.58

Foire aux puces et foire artisanale - Champvans Expositions et vente par des artisans (sur réservation) de leur production à partir de 9 h. Sur le parking : puces (pas de réservation, 2 € le mètre linéaire), à partir de 6h. Entrée gratuite pour les visiteurs.

Renseignements : 03-84-79-15-81 ou 03-84-82-62-59

Annoncez GRATUITEMENT vos manifestations sur :

www.paysdolois.fr Rubrique “Annoncez votre manifestation” *Contenu de cette rubrique sous l’entière responsabilité des annonceurs

Pour vous accompagner, notre écoute, la tradition de notre savoir-faire, la pérennité du souvenir…

Les Pompes Funèbres TANIER sont à votre écoute avec une assistance 7j/7j et 24h/24h Délégataire de la ville de Dole pour le CRÉMATORIUM

ARBOIS 03 84 37 50 89

DOLE 03 84 71 71 71

POLIGNY 03 84 37 14 94

TAVAUX 03 84 80 06 05

ASNANS 03 84 81 79 11

Mont s/s VAUDREY 03 84 81 50 21

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