Pays Dolois 222

N°222

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Janvier 2020

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2 actus

Pays Dolois n°222 - janvier 2020

Saline d’Arc-et-Senans

La grande année du cirque !

Pas un rendez-vous à la Saline d’Arc-et-Senans sans évoquer de nouveaux projets ou de nouvelles programmations. Pour 2020, les sujets ne manquent pas ! Pour ce mois-ci, nous retenons “La dernière saison” du Cirque Plume qui plantera son chapiteau au cœur de la Saline au mois d’août et, pour clore définitivement la belle aventure, à Besançon d’octobre à décembre. Rencontre avec Bernard Kudlack, membre fondateur du Cirque Plume en 1983, et qui sera aussi commissaire des deux grandes expositions consacrées au cirque, durant l’été à La Saline.

Bernard Kudlack : “Nous avons réalisé ce que nous rêvions de faire… ” Comment est né le Cirque Plume ?

Le Cirque Plume est né en 1983 d’une fanfare de rue “Léa traction” et de deux petites troupes de cirque de rue. Ces musiciens et comédiens participaient tous à la Falaise des fous, festival jurassien des arts de la rue au lac de Chalain. Nous étions neuf au départ : Hervé Canaud, Michèle Faivre, Vincent Filliozat, Jean-Marie Jacquet, Bernard Kudlak, Pierre Kudlak, Jacques Marquès, Robert Miny et Brigitte Sepaser et le premier spectacle “Amour, jonglage et falbalas” est donné dans la cour du centre Pierre Bayle à Besançon sous un chapiteau que le théâtre des Manches à Balais nous avait prêté.

Vous aviez vous-même déjà une idée précise de l'avenir !

Oui, j’étais professionnel, marionnettiste, artiste de rue depuis 1978 et rêvais d'associer cirque, théâtre, musique... mais aussi la fête, le voyage, la poésie. Voilà comment est né l’esprit Cirque Plume tel qu’on le retrouve encore aujourd'hui. Nous avons reçu une aide du Conseil Régional de Franche-Comté qui nous a permis de financer une tournée dans les villages de la Région. Nous étions des saltimbanques, nous plantions notre chapiteau une semaine dans chaque village. Notre spectacle était déjà tout le Cirque Plume.

De plus, nous exposions les photos de Yves Perton sur nos spectacles de rue en fanfares. Le public était présent et chaleureux : c’était enthousiasmant ! On nous en parle encore. Nous étions quatre à être professionnels, les autres n’ont pas tardé à nous rejoindre à plein-temps.

Vous avez rapidement connu le succès ?

Oui, après les villages de Franche-Comté, nous sommes partis en tournée dans la grande région Est de la France. En 1986, nous sommes présents en off au

festival d’Avignon, le Cirque Plume entre alors dans le cercle des compagnies professionnelles reconnues. En 1987, nous créons un nouveau spectacle, “Spectacle de Cirque et de Merveilles” et partons pour une tournée dans toute la France. Dès 88 la presse nationale salue notre spectacle. Avec l'âme du Cirque Plume, nous avons participé à renouveler les arts du cirque et nous avons gardé, durant toutes ces années, le même désir de merveilles et de poésie.

Vient ensuite le grand chapiteau ?

Dans les années 90, je pensais que nous devions être capables d'accueillir toutes les disciplines du cirque sous un grand chapiteau et nous acquérons un premier chapiteau de 700 places, nous créons “No Animo, Mas Anima” ce spectacle est considéré aujourd’hui, dans l’histoire du cirque, comme le spectacle symbole du renouveau du cirque des années 90. Nous étions 12 ou 13 musiciens et circaciens, avec une équipe technique et administrative, la musique d’orchestre était la moitié créative de nos spectacles. Nous avons décidé de jouer en frontal face au public, comme au théâtre. La première représentation sous notre nouveau grand chapiteau de 1 000 places est donnée en juin 1996 à Salins-les-Bains avec la création de “L'harmonie est-elle municipale ?" Chapiteau sous lequel nous jouons encore.

Le Cirque Plume est devenu une grande entreprise ?

En effet et assez rapidement, un grand cirque qui voyage c’est une belle organisation. Nous avons créé onze spectacles et à chaque création, créé de nouveaux numéros, accueillis de nouveaux artistes, créé des univers circassiens et musicaux. Nouvelles tournées, nouveaux spectateurs... à la rencontre de nos publics partout en France, en Afrique du Nord, dans toute l’Europe occidentale, au Brésil, à New York...

Val d’Amour

Des locaux pour entreprises, télétravailleurs ou nomades…

Pour apporter une réponse aux problèmes de mobilité et à l’isolement des entrepreneurs, un espace de travail partagé est ouvert depuis novembre dernier à Chamblay.

Bernard Kudlack

Nous avons eu la chance de réaliser ce que nous rêvions de faire, d’avoir écrit et partagé cette belle histoire, collective, artistique et humaine. Avec ses joies et ses peines... Nous étions sans cesse en représentations et en création pour le spectacle suivant. Nous sommes restés attachés à la Franche-Comté, la nature, le vivant et la beauté du Jura. Cela a joué dans notre esthétisme.

2020, dernière année, dernières représentations justement ici en Franche-Comté ?

C’est une année particulière évidemment, avec des artistes, techniciens et administratifs du début qui arrêtent et les plus jeunes poursuivront leur chemin sur une autre route. Nous implanterons nos chapiteaux en août à la Saline d’Arc-et-Senans. J’adore ce lieu que nous connaissons depuis très longtemps.

C’est un lieu magique, c’est l’utopie, les lumières, l’architecture, le social... cela nous ressemble. Nous jouerons pour terminer “La dernière saison” d’octobre à décembre 2020 à Besançon, là où nous avons débuté et là où nous étions administrativement basés toutes ces années.

Ma sensation aujourd’hui ? “Il n'y aura pas de spectacle suivant pour le Cirque Plume, en revanche, je suis commissaire de deux grandes expositions à la Saline d’Arc-et-Senans pour l’été 2020. Sur le Cirque Plume dans la grande Berne et sur l’histoire du cirque dans la maison du directeur… je suis donc toujours en création... Et la vie va…

“Nous avons souhaité travailler ces dernières années sur la gestion de l’emploi, en voulant appor­ ter un service aux entreprises” explique Étienne Rougeot, en charge entre autres de l’économie du bassin qui tient à préserver l’emploi sur la commu­ nauté de communes du Val d’Amour. D’après les études menées : en 2013, seulement 35 % des habitants du Val d’Amour travaillaient sur le terri­ toire. Outre cette nécessité d’un rééquilibrage ter­ ritorial, notamment avec la proximité des com­ munes de Dole, Besançon, Arbois, Poligny ou Salins, le Relais d’Entreprises évite à des entrepreneurs d’être seul à domicile. Les avantages de cette nou­ velle organisation du travail sont nombreux : pas d’engagement, de bail... Le lieu a aussi pour voca­ tion de permettre aux entrepreneurs locaux de se rencontrer et de favoriser les échanges.

Aujourd’hui, trois sociétés utilisent le site. Les bureaux équipés peuvent accueillir bien d’autres entrepreneurs, télétravailleurs ou nomades comme des commerciaux.

Un véritable tiers-lieu Le rapprochement emploi­habitat est un enjeu important pour la Communauté de communes qui considère ce site comme un tiers­lieu, entre le domi­

E TAT C I V I L NAISSANCES Paul de Michaël GIBOUDEAUX et de Aurélie POUTHIER, Aiglepierre Kessie de Jérémie MAES et de Alison SIMON, Aumur Enzo de John MAIZIER et de Laury MARÉCHAL, Chaussin Adrien de Florent FOUCARD et de Claire LAVERGNE, Damparis Nina de Clint CASTALDO et de Lana GRONDIN, Dole Adrien de Alexis BESANCON et de Emilie SAULNIER, Dole Emrys de Johanis FASSORA et de Lorine MASSICOT, Dole

Margaux de Pierre­Olivier GRENOT et de Amandine GIESS, Dole Lya de Olivier KURT et de Cigdem DEMIR, Dole Léo de Thomas NICOD et de Amélie VANDROUX, Dole Lynn de Antoine BOUILLIER et de Emeline CASTELLON, Dole Kiara de Fahd BEAUGENDRE et de Marie KANAMA MPUMBU, Dole Maïssa de Zohaïr SRAÏDI et de Delphine PALLAUD, Dole Meriem de Ali SARI et de Fatiha MAROUF, Dole Tom de Sébastien BIZZO et de Emeline ROFFINELLA, La Vieille Loye

Camille de Sébastien PARMENTIER et de Floriane BARSU, Le Deschaux Hanna de Louis MASSARD et de Laurine LECOULTRE, Longwy sur le Doubs Samir de Abdelkarim BEN LAHBIB et de Houria OUKHENFEN, Mesnay Milan de Anthony MAITREPIERRE et de Tracy CUBY, Mouchard Martin de Pierre MUTELET et de Maddy CHAUME, Rahon Aria de Loïc BOLLÉ et de Christelle GAUTHIER, Saint Aubin Louis de Laurent ROBERT et de Rebecca FROISSARD, Sermange

DÉCÈS Anne­Marie GIRARD épouse BERTHAUD, Asnans Beauvoisin, 87 ans Georges AIMÉ, Audelange, 87 ans Denis GOICHOT, Belmont , 74 ans Guy BERNARD, Damparis, 78 ans Bernadette DONNET, Dampierre, 93 ans Adrienne COURVILLE veuve CARRÉ, Dole, 101 ans André MAILLARD, Dole, 62 ans Josiane LYET, Dole, 63 ans Yvonne BAUGILLOT veuve FRAYCENOT, Dole, 91 ans

Simone ROY veuve THIEBAUD, Dole, 96 ans Philippe BINET, Dole, 67 ans Daniel BELOND, Dole, 66 ans Robert NOIROT, Dole, 96 ans Baïda MAHAMDI veuve HAMDAOUI, Dole , 83 ans Catherine FORNONI, Dole, 74 ans Noëlle SELIG veuve LEMAZO, Dole, 92 ans Léon BARDOUILLET, Fraisans, 90 ans Bruno ROUX, Gevry 58 ans Monique BLANCHARD, veuve BAUDIER

Du 4 au 29 août 2020 Arc-et-Senans, sous chapiteau à la Saline Royale Ouverture de la billetterie le 25 mars 2020 sur billetterie.cirqueplume.com

cile et le travail. Dans les 120 m², les locataires bénéfi­ cient d’un espace de détente, de différents services, d’une grande salle de réunion… “Le lieu est vraiment un élément clef de la politique économique de la Commu­ nauté de communes” tient à souligner Étienne Rougeot.

Bientôt un deuxième lieu ?

Le relais d’Entreprises de Chamblay est installé dans les locaux de l’ancien siège de la Communauté de com­ munes, assurant toujours la gestion des lieux. “Les bureaux étaient opérationnels, nous avons juste mis un simple coup de peinture”. Pour mener à bien ce projet, la communauté de communes a fait appel à Relais d’Entreprises, premier réseau national des tiers­lieux d’activité et des espaces de co­working en milieu péri­ urbain et rural en France. L’organisme est confiant pour le développement du site, avec la fibre installée pour cet été et des travailleurs tendant à réduire leur mobi­ lité pour favoriser leur qualité de vie. Il se murmure même qu’un deuxième lieu de ce type pourrait être à l’étude sur le territoire…

Relais d’Entreprises du Val d’Amour, 52 grande rue à Chamblay. 03 84 37 74 74. Tarifs HT : à partir de 50 € par poste de travail mensuel 1 jour/semaine, 150 € 5 jours/semaine mensuel. Dès 10 € la demi-journée simple. Salle de réunion jusqu’à 60 personnes : 50 € la demi-journée.

Carola MISCHOK épouse GOGEL, Les Hays, 57 ans Jacqueline CERISE veuve BALLOCH, Montmirey la Ville , 78 ans Michel BLATEYRON, Saint Aubin, 82 ans Jean BACHUT, Saint Aubin, 87 ans veuve FERNANDES DA SILVA, Saint­ Aubin , 85 ans Michel DURET, Séligney, 89 ans Jeanine LALEURE veuve PERRAULT, Tavaux, 83 ans BARDET Suzanne veuve JUILLERET, Tavaux, 87 ans Louis BOISSON, Villers les Bois, 90 ans

Pays Dolois Un vrai journal GRATUIT d’informations

13 rue Alexandre Vialatte 39100 Dole Tél. 03 84 82 50 21 n°ISSN : 1 778-820X Imprimé en France

Rédaction redaction@paysdolois.fr Régie publicitaire Tél. 03 84 82 50 21 Portable 06 13 04 60 19 commercial@paysdolois.fr

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2020

et alors ?

Pays Dolois affiche son programme Dole

Dole

Jean-Baptiste Gagnoux conforté par les électeurs ?

Dole parc urbain Quel projet rive gauche ?

Dole hôpitaux

La confirmation d’un grand salon ?

Louis Pasteur Vers une célébration moderne en 2022 ?

La voie Grévy réinventée ?

Scène du Jura Arbois Poligny Salins Dans la continuité ?

La Commanderie Encore une belle saison ?

Salon Made in Jura C’est oui ou c’est non ?

Aéroport Avec la Région ou sans la Région ?

Nouvelle génération ?

On ouvre ?

Dole Mont /s Vaudrey

La patte Fassenet ?

Elections municipales

Dole complexe aquatique et sportif

Enfin le cinéma multiplexe ?

RégalExpo

Du nouveau ou pas ?

ou quel maire ?

Dole

Plus de clarté ?

Journal Pays Dolois

Jura Dolois Foot Objectifs atteints ?

Dole et Gastronomie

Projets hôtel et cosmétologie confirmés ?

Arbois Projet Pasteur, du nouveau ?

Salins-lesBains Quel maire ?

Arbois

Poligny

Le rond-point ?

La grande année des projets…

Grand Dole Rugby

Une dynamique confortée ?

Salins-lesBains

On monte ?

Center Parcs Poligny Une décision ?

Saline d’Arc-et-Senans

Plaine jurassienne

Jura Nord

Le grand cirque ?

Qui à la présidence ?

Du nouveau ?

Tavaux Grand Dole Nouveaux élus, nouveau bureau ?

Val d’Amour Ecoles, on ouvre et on poursuit ?

Mont-sousVaudrey Qui à la mairie ?

Zone Innovia

Marathon Arbois Dole

De nouvelles entreprises ?

Nouvelle formule ?

Jean-Marie Sermier candidat à la Région ?

Auxonne Un cœur de ville rénové ?

No Logo, Little Town, Rockalissimo…

Valeurs sûres ?

Et surtout on parlera de vous, de vos villages !

Plus de portraits, plus de rencontres...

Meilleurs vœux à vous !

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(1) Après étude et sous réserve dʼacceptation du dossier par la Caisse de Crédit Mutuel.

Après expiration du délai de mise à disposition des fonds et dʼun délai de rétractation de 14 jours. Caisse Fédérale de Crédit Mutuel et Caisses affiliées, société coopérative à forme de société anonyme au capital de 5 458 531 008 euros, 4 rue Frédéric-Guillaume Raiffeisen, 67913 Strasbourg Cedex 9, RCS Strasbourg B 588 505 354 - N° ORIAS : 07 003 758.

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On construit ?

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39

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JOURNÉES DE

L’HABITAT

ENTRÉE et PARKINGS GRATUITS

DU 24 AU 27 JANVIER 2020

Vendredi 24 janvier 14h: Ouverture 18h 30 : Inauguration

Samedi 25 et dimanche 26 janvier 10 h à 19h Julien Cionco, président des journées de l’Habitat

LE MOT DU PRÉSIDENT Toute l’équipe organisatrice vous attend pour les 39e journées de l’habitat du 24 au 27 janvier 2020. Pour la 3e année consécu­ tive les journées de l’habitat se déroule­ ront au parc des expositions : Dolexpo, rond­point des Droits de l’Homme à Dole.

Les journées de l’habitat c’est 3 900 m2 dédiés au bâtiment, 10500 entrées l’année passée, plus de 110professionnels répartis sur 3200m2. Ils vous accueilleront sur leur stand, construction, services financiers, énergie, plâtrerie, peinture, décoration, aménagement…

du terroir. Pour nos 39e journées, parmi les nombreux tirages au sort effectués sur les 4 journées, 39 seront gagnants. 39 visi­ teurs chanceux gagneront 39 cadeaux (baptêmes de l’air en montgolfière, balades fluviales, repas restaurants, paniers garnis, produits du terroir, bons d’achat, etc. ) venez tenter votre chance!

Lundi 27 janvier 10 h à 18h

Enfin je tiens à remercier vivement tous nos sponsors, nos partenaires, et les 22membres bénévoles du travail qui a été accompli tout au long de l’année qui font la réussite de ces journées.

À GAGNER BAPTÊMES DE L’AIR EN MONTGOLFIÈRE,

et à tous !

Bon salon à toutes

BALADES FLUVIALES, REPAS GASTRONOMIQUE, PANIERS GARNIS…

ET DE NOMBREUX AUTRES LOTS

Tout ce qui concerne l’habitat intérieur et extérieur.

Sur le thème principal de l’année : “39ANNÉES DE SAVOIR FAIRE JURASSIEN” ils vous présenteront leurs dernières nou­ veautés, leurs nouveaux produits, les nouvelles technologies car il y a un réel savoir­faire à découvrir dans notre beau département du jura… L’objectif principal de notre association est de soutenir la visi­ bilité des entreprises locales et permettre leur présence au sein de notre salon.

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JEUX CONCOURS G

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Nous aimons aussi les liens créés entre les entreprises, les visiteurs et les 22 béné­ voles de l’association. C’est pourquoi, l’en­ trée est gratuite, que 700 m2 sont réservés à la convivialité avec un espace restaura­ tion, animations, conférences et produits

CONFÉRENCES

RESTAURATION SUR PLACE TERROIR G

CONFÉRENCES VENDREDI 24 JANVIER 14 h à 15 h : AJENA Intervenant: M. Christophe Pignon / Isolation à 1€ : à prendre ou à laisser?

15 h à 16 h : NOTAIRE Intervenant: Me Claire-Lise Locurcio / Acquisition d’un bien immobilier par une SCI. 16 h à 17 h : NOTAIRE Intervenant: Me Emmanuel Moyse / Sujet à définir.

SAMEDI 25 JANVIER 14 h à 15 h : ADLR BFC Intervenant: Mme Elsa Dupont / Les points de vigilance à prendre en compte avant d’isoler ses combles.

15 h à 16 h : UNPI

15h à 16h: ADIL du JURA

Intervenant: M. Pierre Desfarges / Les dernières dispositions fiscales du gouvernement.

16 h à 17h : SOLIHA Intervenant: M. Bernard Cantenot / Quelles aides en 2020 sur le Grand Dole pour rénover votre logement ou engager un projet locatif ?

Intervenant: Mme Agnès Martinet-Fidon / Tour d’horizon des mesures fiscales 2020.

DIMANCHE 26 JANVIER 10 h à 11h : NOTAIRE

LUNDI 27 JANVIER 10 h à 11h : NOTAIRE Intervenant: Me Marc Barthen / Les diagnostiques lors des transactions immobilières.

11 h à 12h: AJENA Intervenant : M. Christophe Pignon / Chauffage : quelle énergie à quel prix ?

Intervenant: Me Dominique Ruez / Résidence principale et Protection du conjoint survivant.

Association Journées de l’Habitat - Tél. 03 84 82 49 90 - www.journeehabitatdole.fr

Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays Dolois n° 222 ­Janv. 2020

Une équipe dévouée, qui contribue largement à l’atmosphère conviviale de ce rendez-vous annuel

‘

MaG Élus Lettre de la vie politique et des échéances électorales - 01-09/19

Une longue période électorale se profile… Les élections municipales, intercommunales, départementales et régionales nous mènent, en effet, jusqu’en 2022. Pays Dolois entre en campagne avec un nouveau dossier mensuel, Mag’élus, consacré à l’actualité politique.

Contact rédaction : Yvon Amiot au 06 81 33 19 67 ou yvonamiot@orange.fr

Salins-les-Bains suscite les convoitises…

Ils seront finalement trois candidats à briguer la mairie de Salins-les-Bains en mars 2020 : Gilles Beder, Michel Cêtre et Michel Bugada. Une ville qui a repris des couleurs et qui suscite ainsi les convoitises. Au programme…

SALINS-LES-BAINS - GILLES BEDER

“Ensemble et unis pour Salins...”

Gilles Beder, actuel maire de Salins-les-Bains, est candidat à sa succession. Il souhaite poursuivre les projets engagés dans le cadre de Salins 2025. Rencontre…

M. Beder, vous êtes à nouveau candidat à Salins-les-Bains ?

Oui, c’est une question de motivation. Je pense que nous avons, avec mon équipe, fait évoluer la ville et initié d’importantes avancées pour l’avenir de Salins. On souhaite simplement poursuivre et voir aboutir les différents projets que nous avons mis en place. Il y a aussi de l’affectivité, Salins est une ville que j’aime, je veux la voir encore progresser et sentir des Salinois fiers de leur ville. Nous avons encore de beaux projets en cours. Mon équipe est soudée, me pousse et accepte de poursuivre avec moi. La moitié de l’équipe est renouvelée pour le mandat qui se présente et nous avons de nouvelles perspectives.

Ce mandat qui se termine fut éprouvant ?

Ce fut un mandat passionnant ! Éprouvant quand même car notre investissement était important et il y avait une forte attente des Salinoises et Salinois. Nous avons vécu la baisse des dotations de l’Etat, la fusion avec Arbois et Poligny, et mis en chantier des projets conséquents.

On termine ce mandat avec une équipe efficace, à l’écoute et qui a su réveiller cette ville. Une équipe aguerrie qui reste maintenant investie pour l’avenir. Une équipe capable d’aller chercher des subventions importantes en répondant avec succès à des appels à projets. Cela a permis

de lancer l’opération de revitalisation « Salins 2025 », d’initier de beaux projets, d’embellir l’entrée de la ville avec le carrefour du monument aux morts, de rénover la rue de la Liberté, de mieux valoriser la Furieuse… Nous avons changé l’image de Salins, de la belle endormie, nous sommes passés à la belle éveillée. Salins a retrouvé du prestige, la reconnaissance est aujourd’hui réelle. Salins est à nouveau une ville qui attire.

Vous avez vécu l’ouverture des nouveaux thermes ?

Nous avons réussi la construction et l’ouverture du nouvel établissement thermal. Nous avons trouvé un projet éloigné du centre-ville, pas encore débuté, mal dimensionné, pas encore financé et, en prévision, un déficit de fonctionnement de centaines de milliers d’euros par an. Nous avons amélioré le projet, réussi l’ouverture et l’établissement est bénéficiaire depuis la première année. Les équipes et les élus ont fait un travail remarquable.

De grands projets se dessinent même autour de l’eau de Salins ?

Oui en effet un grand projet se dessine à Salins. C’est un projet global financé par des fonds privés, une résidence hôtelière et une usine de cosmétologie.

Nous travaillons avec les services de l’intercommunalité pour apporter les réponses administratives et techniques. Nous sommes là pour faciliter et permettre la réussite de cette belle initiative. Ce sont de

nombreux emplois à la clé pour le territoire de Salins.

Rien n’est définitivement acquis mais nous sommes sur la bonne voie. Je l’espère de tout cœur et retiens, avant tout, que Salins est devenu à nouveau une destination qui attire les investisseurs. C’est un projet hors normes, un tel investissement serait synonyme de belles retombées pour la ville mais aussi pour toute l’intercommunalité. Nous, on y croit, contrairement à certains.

La fusion intercommunale était importante ?

Oui, la fusion avec Arbois et Poligny a permis de s’inscrire dans une nouvelle dimension. Salins a joué un rôle important pour relever ce défi, nous nous associons à l’intérêt commun tout en préservant les intérêts des Salinois et de l’ancienne communauté de communes. Là aussi Salins a su convaincre et mériter le respect et la reconnaissance. C’est un beau territoire avec de nombreux atouts, nous sommes assis sur un beau trésor commun. On a bien avancé avec un bon président qui a su maintenir le cap. Oui c’était nécessaire…

Votre liste est prête, quelles sont vos perspectives ?

Nous avons créé une nouvelle liste sans aucun problème, avec de nouveaux arrivants prêts à poursuivre l’aventure avec nous, un bel équilibre et une nouvelle motivation. Nous abordons ce nouveau mandat avec sérénité, avec le souhait d’associer plus encore les Salinois à l’évolution de la ville, aux animations. Avec la volonté de progresser ensemble, de permettre le maintien des commerces, l’arrivée de nouvelles entreprises et de nouvelles familles, de développer

Gilles Beder

plus encore la dynamique touristique. Pour cela, le fil rouge reste de poursuivre la revitalisation et la rénovation de la ville. Nous maintenons le plan façades, les primes d’accueil… L’aménagement du parc des Cordeliers se fera dans le mandat tout comme la restauration de la Grande saline, la destruction de l’îlot Princey et de nombreux travaux de voiries. C’est un nouveau mandat qui confirmera l’embellie de Salins mais aussi ses ambitions pour l’avenir.

Que retenez-vous à titre personnel ? À titre personnel, je retiens de ce premier mandat une expérience fabuleuse et formatrice. Je me sens serein pour l’avenir. La ville a bien progressé, nous affichons un beau bilan et de belles perspectives pour l’avenir. Je suis plutôt confiant, nous avons une volonté, un projet, une équipe… Ensemble nous serons unis pour la ville de Salins.

SALINS-LES-BAINS - MICHEL CETRE

“Plus de proximité avec les Salinoises et Salinois...”

Michel Cêtre est un jeune retraité. Il a quitté Ivrey, où il fut agriculteur, pour revenir s’installer à Salins où il est né.

Il souhaite apporter son expérience au service de la collectivité avec un nouveau projet…

M. Cêtre, merci de vous présenter ?

Je suis né à Salins et j’ai 63 ans. J’ai vécu à Ivrey et je suis un jeune retraité de l’agriculture depuis 15 mois. Aujourd’hui, je suis revenu m’installer à Salins et je suis disponible. J’ai assuré des responsabilités dans le monde agricole tant au niveau départemental que national. J’ai siégé pendant 30 ans à la Chambre d’agriculture du Jura, j’ai été président de la coopérative Jura Bétail de 1988 à 2000 et président d’une fédération nationale de l’élevage de 2010 à aujourd’hui. Je suis par ailleurs conseiller municipal d’Ivrey depuis cinq mandats dont deux mandats comme délégué à la Communauté de communes du Pays de Salins.

Pourquoi cette candidature à Salins ?

Quand on a servi l’intérêt général pendant de si nombreuses années, c’est ancré. Je peux encore donner de mon temps à la collectivité car je suis en retraite et en pleine forme. C’est avant tout une démarche personnelle au service d’une nouvelle équipe. Je ne suis pas dans une logique de conflit, nous sommes dans la construction d’un projet partagé qui nous semble mieux correspondre aujourd’hui aux besoins des Salinois.

Quels sont les grands axes de votre programme ?

J’ai relevé deux axes qui me semblent majeurs. La proximité et la prise en compte des besoins quotidiens des Salinois seront notre priorité. Nous devons aller au-delà de l’écoute et répondre plus efficacement aux désagréments. Nous sommes aussi face à une population de plus en plus âgée qui n’est pas assez accompagnée. Le deuxième point concerne l’économie et l’attractivité de la ville. L’établissement thermal et la Grande saline sont indéniablement des atouts touristiques de premier ordre pour l’économie et le développement de la ville. Ma deuxième priorité sera d’investir dans ces deux infrastructures afin d’asseoir notre progression touristique.

Et plus précisément sur la proximité ?

Pour ce qui est de la proximité, Salins dispose d’un tissu associatif important et remarquable, l’objectif est de mieux accompagner les associations. Nous agirons pour les seniors et je propose d’ouvrir à Salins un foyer d’habitation dédié aux personnes âgées valides et autonomes, c’est indispensable, ce sera au centre-ville en construction neuve ou en rénovation. La voirie est en mauvais état, nous mettrons en place un plan d’investissement sur cinq ans avec des zones à sécuriser. Nous aurons aussi à entretenir un patrimoine, historique ou religieux, qui se

Michel Cêtre

dégrade. Nous le rénoverons en fonction de nos capacités financières, les Salinois y sont très attachés.

Il est également important de mieux accompagner la jeunesse, de mener une réflexion avec eux sur leurs besoins et attentes. Nous devons donner l’envie à nos jeunes de rester vivre à Salins. La problématique environnementale doit également être une priorité, notamment la biodiversité et la protection de nos ressources. C’est une obligation, nous devons insister et la municipalité doit être investie au quotidien.

Pour ce qui est du tourisme et de l’économie ?

Côté économie, nous connaissons nos manques mais aussi nos atouts notamment au niveau touristique, c’est un axe de développement constant à privilégier.

Salins est encore en déficit d’emploi. J’entends parler de gros projets et d’installations, pour l’heure, je n’en sais pas plus. Des actions précises seront à conduire avec l’intercommunalité qui joue un rôle majeur

dans les domaines de l’économie, du commerce, des entreprises, du tourisme. Mais également pour l’environnement, l’enfance, la culture, les sports... Nous renforcerons l’implication de nos élus à la Communauté de communes, nous tenons à jouer un rôle essentiel. Les décisions importantes et les grands projets structurants se jouent là. Nous répondrons présents.

Pour conclure personnellement ?

Je relève un nouveau challenge avec un véritable projet, c’est le bon moment. Nous nous présentons avec une équipe renouvelée avec seulement deux élus de l’opposition actuelle. Nous avons une ambition pour Salins, on veut mieux accompagner les Salinoises et les Salinois au quotidien. J’ai la capacité et l’expérience de la vie publique, je saurai mener une équipe et les services dans une perspective d’avenir. Maintenant, ce sera projet contre projet, les Salinois auront le choix, c’est la démocratie.

Elections municipales à Dole…

HERVÉ PRAT - LISTE VERTE ET OUVERTE - EELV

“Améliorer le cadre de vie…”

Hervé Prat est professeur d’histoire et géographie au collège Ledoux à Dole. Ancien maire d’EclansNenon, il conduira la liste écologique aux prochaines municipales à Dole. Une liste ouverte pour lutter contre le dérèglement climatique…

Comment s’est dessinée votre candidature pour la mairie de Dole ?

La décision fut prise durant l’été 2019 suite à une discussion avec les partis de gauche pour préparer l’élection municipale de mars 2020.

Nous avons jugé que la charte portée par le collectif était insuffisante. Nous avons alors pensé que nous avions la légitimité pour porter une liste écologique à Dole, une liste verte et ouverte. J’ai été sollicité pour être tête de liste, j’ai accepté. Le bon résultat (14 %) de la liste Europe Écologie les Verts à Dole aux dernières Européennes montre que de nombreux Dolois souhaitent la présence des Verts pour mener la politique de cette ville. Ils ont raison car l’urgence climatique est bien là.

Vous avez déjà une expérience d’élu ?

Oui en effet, j’ai été maire d’Eclans-Nenon de 2014 à 2018 et délégué au Grand Dole, depuis sa création en 2008, jusqu’en 2018. Tout comme d'autres membres de notre liste, je connais les rouages de la vie politique, des institutions et des services de l’État. Je ne suis pas un novice, je sais où m'adresser. Je suis soucieux des finances publiques car dans la petite commune que j'ai eue à gérer, chaque euro compte. Je n’ai pas peur des responsabilités car nous avons toutes les compétences pour diriger la ville de Dole et l’Agglomération du Grand Dole. J’aime travailler les dossiers, les approfondir et les défendre. C’est une candidature pour gagner et gérer la ville, nous n'avons pas vocation à incarner une simple petite touche écologique dans la campagne.

Quels seront vos objectifs ?

Notre objectif est d’améliorer le cadre de vie de tous les Dolois en mettant en place une politique efficace de lutte contre le dérèglement climatique et en renforçant les services publics. Nous développerons la piétonnisation et la végétalisation. Nous souhaitons que tout

le monde puisse circuler en toute sécurité, permettre par exemple aux personnes handicapées de se déplacer plus aisément à Dole. Cependant, Dole n'est ni Besançon ni Dijon et avec notre équipe, il n'y aura pas de nouveaux projets pharaoniques. Le choix de construire un complexe aquatique et sportif démesuré tout en investissant en même temps dans la création de Dolexpo a plombé durablement les finances de la collectivité du Grand Dole. De plus, la majorité sortante a choisi de confier au privé la gestion du complexe aquatique, les usagers dolois risquent d'en faire les frais. Notre objectif est d’améliorer la ville en travaillant sur l’existant, par exemple l’îlot des Cordeliers - l’ancien palais de justice rue des Arènes au centre-ville. Pour ce qui est de l'amélioration de l'habitat, la priorité sera donnée à la rénovation de l'ancien plutôt qu'à de nouvelles constructions.

Comment envisagez-vous les choses au centre-ville ?

Pour revitaliser le centre-ville, nous souhaitons par exemple inciter les propriétaires à rénover et à améliorer l'isolation thermique de l'habitat en échange d'exonération de taxes foncières. En concertation avec les usagers et les commerçants, nous souhaitons étendre la zone piétonne du centre-ville, rétablir les navettes gratuites avec des parkings relais. La priorité sera de créer un réseau de bus que les gens aient envie d’utiliser plutôt que la gratuité qui n'est pas dans notre programme. Cependant, la majorité sortante a multiplié par trois le prix des abonnements, nous le diviserons par deux.

Vous souhaitez avancer sur les énergies renouvelables ?

Nous voulons créer une coopérative de producteurs d’énergie avec les communes voisines mais aussi avec des particuliers ou des entreprises.

L’objectif est de diminuer la consommation énergétique en amont puis de trouver de nouvelles surfaces pour installer du solaire. La ville peut

Hervé Prat entouré des coprésidents du comité de soutien : Hubert Guyet et Mathilde Bonzon

produire l’équivalent de la consommation électrique des bâtiments, des équipements et de l’éclairage public. C’est un cercle vertueux.

Tout comme pour l’alimentation ?

Nous avons pour objectif de tendre vers l’autonomie alimentaire. Nous souhaitons développer les espaces de production pour le maraîchage de proximité, par exemple sur la zone de Brevans aux portes de Dole. Il faut intensifier les efforts pour proposer une alimentation bio à Dole et nous avons pour objectif d'arriver à 100 % de bio et local dans la restauration collective.

Vous souhaitez vous appuyer sur la population ?

Oui, nous souhaitons échanger avec les habitants mais aussi avec le tissu associatif qui a de réelles compétences et qui fait vivre la ville. Nous écouterons les associations pour améliorer l'utilisation au quotidien des équipements existants. Élu maire de Dole, souhaiterez-vous être président de l’agglomération du Grand Dole ?

Les communes perdent de plus en plus de compétences au profit du Grand Dole. La ville de Dole représente un peu moins de la moitié des 54 000 habitants de l'agglomération et envoie un tiers des délégués. Pour autant, nous construisons un projet commun avec 46 autres communes et ce n’est pas forcément un Dolois qui doit présider l’agglomération. Il faut cependant une cohérence politique entre le maire de Dole et la présidence de l'agglomération. Les élus écologistes soutiendront donc pour la présidence du Grand Dole quelqu’un qui portera un projet écologique et solidaire. Il est toutefois indispensable que des vice-présidences reviennent aux élus de Dole.

Quelles sont vos positions sur l’hôpital et l’aéroport ?

Nous stopperons le financement public par le Grand Dole de l'aéroport de Dole-Tavaux qui favorise les émissions de gaz à effet de serre et les compagnies low cost. Les 150 000 euros versés par le Grand Dole serviront à financer le développement du réseau de bus. Pour l’hôpital, les élus locaux sont tributaires de la politique nationale mais nous travaillerons aux côtés des personnels et des usagers pour maintenir les lits, la chirurgie et la maternité. Par ailleurs, la ville de Dole est centrale entre Dijon et Besançon et il faut bien sûr maintenir le cadencement des TER vers ces agglomérations. Dole ne doit pas pour autant devenir une cité-dortoir, d’où la nécessité de créer de l’emploi sur le territoire. Le soutien à l'innovation pour la transition écologique doit se poursuivre sur la zone Innovia.

Quel message pour conclure ?

Notre liste est ouverte, elle regroupe des écologistes et des humanistes. Ce ne sera pas une liste d’encartés EELV, elle accueillera des personnes qui ont envie de s’engager et de s’impliquer localement sur des projets concrets. Nous défendons la sobriété et refusons le toujours plus, nous proposons un nouvel épanouissement aux Dolois. Là où il y a des élus écologistes, les politiques changent pour le bien-être de la population et de la nature. Nous défendons une écologie solidaire et nous souhaitons nous appuyer sur des expériences concrètes. Dans ce but, nous avons invité Damien Carême, Député européen EELV et Maire écologiste de Grande Synthe (Hauts de France) de 2001 à 2019 le jeudi 16 janvier à 20 heures à Dolexpo.

SALINS-LES-BAINS - MICHEL BUGADA

“Un projet global, durable et solidaire...”

Michel Bugada connaît bien Salins, il y est né et a suivi ici sa scolarité. Il fut directeur des services techniques avant de rejoindre le Loir-et-Cher. A la retraite et de retour à Salins, il souhaite s’investir pour Salins.

M. Bugada, comment vous présenter ?

J’ai 68 ans, je suis né ici, à Salins où je suis allé à l’école et au collège avant de rejoindre le lycée à Dole. J’ai travaillé avec mon père dans l’entreprise familiale de maçonnerie avant d'effectuer mon service militaire. A mon retour, j’ai travaillé à Clerval dans le Doubs et en région parisienne de 1975 à 1979. De retour en Franche-Comté, j'ai travaillé 4 ans pour une entreprise privée de BTP à Morteau. En 1983, j'ai intégré la Ville de Pontarlier, d'abord en tant que responsable voirie et maçonnerie, puis comme responsable du Centre Technique Municipal avec une centaine de personnes sous ma responsabilité, enfin au bureau d'études comme responsable du service circulation, cadre de vie et voirie. Je suis revenu à Salins en 2001 comme directeur des services techniques et après une formation d’ingénieur j'ai rejoint Salbris dans le Loir-et-Cher en 2005 comme Directeur des services techniques et de l'urbanisme. J’y reste jusqu’à la retraite en 2014.

Pendant cette période, je suis également maire de Neuvy-sur-Barangeon dans le Cher de 2008 à 2014, date de mon retour à Salins.

Quelles sont vos motivations pour candidater à la mairie de Salins ?

Je vois ce qui se passe à Salins ces dernières années et je trouve que la réalisation des projets n'est pas à la hauteur des enjeux pour Salins. Je n’ai personnellement pas de revanche à prendre et je n’ai aucune animosité avec mes concurrents. Je souhaite seulement un projet collectif et durable pour la Ville, pour toutes les Salinoises et tous les Salinois.

Quel regard portez-vous sur Salins ?

Pour moi Salins est "la Ville aux trois ors". L’or blanc pour le sel, le thermalisme et l’utilisation de l’eau salée ; l’or vert pour l’environnement et le cadre de vie ; l’or bleu, qui est la couleur de l’Unesco, pour le patrimoine historique dans sa globalité.

Que retenez-vous alors ?

Je retiens que ces différents éléments manquent de valorisation et de perspectives pour l’avenir. Nous proposons un projet global, durable et solidaire qui prend en compte le quotidien des Salinoises et Salinois mais aussi la vie du monde associatif. Avec mon équipe, nous souhaitons plus de lien social et envisageons plus de proximité et d’échanges sur la vie quo-

Michel Bugada

tidienne : la propreté, la voirie, les espaces verts, l’éclairage public, les trottoirs, les chemins, les déplacements doux… Nous voulons plus de concertation, donc de réunions avec tous les habitants pour les projets structurants. Par ailleurs, nous inscrirons Salins dans l’avenir, dans son territoire en misant sur ses atouts et en valorisant le tourisme. On fixera une vision, un développement harmonieux au service des trois ors.

La Communauté de communes “Cœur du Jura” est importante à vos yeux ?

Je pense que nous devons être plus présents, être mieux intégrés. C’est l’avenir, une ouverture sur le Département et la Région. Salins est un pôle majeur avec des atouts à défendre et des ambitions à faire valoir. C’est une chance de se projeter sur un tel territoire, avec Arbois et Poligny, dans une démarche de partenariat et de coopération.

Le patrimoine et l’immobilier de Salins vous interpellent ?

Nous proposons une régie municipale pour l’immo-

bilier, avec une vision globale d'avenir et d'attractivité. Il faut rénover plus, mieux accompagner nos concitoyens pour mieux favoriser la rénovation urbaine. L’objectif est de bien accueillir, de proposer des logements décents et économes en énergie, agréables à vivre pour tous. C’est un défi essentiel pour l’avenir, nous devons accélérer les choses, les rendre possibles.

Quel message souhaitez-vous transmettre pour conclure ?

Je suis Salinois et j'aime ma ville. Je pense qu’avec mes expériences d’ingénieur territorial, de maire et de délégué communautaire, avec l'expérience et les compétences de toute mon équipe, nous apporterons de nouvelles solutions concrètes pour Salins. Si Salins va mieux dans un territoire d’avenir, les Salinoises et les Salinois croiront en leur futur. Mes priorités restent la proximité, l’écoute, le respect et l’efficacité. Nous croyons en cette ville, il faut avancer en respectant le passé tout en permettant l'avenir.

Vincent Deffeuille : “Nous avons su évoluer, saisir les opportunités…”

Vincent Deffeuille est à la tête du groupe Deffeuille automo­ biles. Un groupe de 300 collaborateurs que l’on associe prin­ cipalement à la marque Renault­Dacia mais à laquelle il faut ajouter Fiat, Jeep, Alfa Roméo, Volkswagen, Seat, Audi, Kia, et Mitsubishi. Neuf concessions que l’on retrouve dans le Jura, le Doubs et l’Ain. Rencontre avec un homme passionné de 50 ans, marié à Claire, son épouse qui l’accompagne dans l’entreprise et avec qui il a fondé une famille de trois enfants.

M. Deffeuille, comment est né ce groupe automobile ?

Ma famille est originaire du Haut­Bugey dans l’Ain. Mon grand­ père est venu dans le Haut­Doubs en tant que fromager et toute la famille est restée dans le lait ou le fromage. Seul mon père s’est orienté vers la mécanique, il a repris un petit garage Renault à Belleherbe en 1965 et ensuite la concession Renault à Pontarlier, ville où je suis né en 1969. Voilà comment a débuté l’aventure Deffeuille automobiles qui dure encore aujourd’hui.

Un groupe que vous dirigez. Quel fut votre parcours pour en arriver là ?

Après des études dans le commerce à l’ESC Chambéry et une expérience de chef des ventes chez Leborgne en Savoie, j’ai rejoint la concession familiale à Pontarlier, après 2 ans de formation à l’automobile chez RENAULT, que j’ai finalement reprise progressivement entre 1995 et 1997, voilà 23 ans avec mon épouse.

Une concession qui en appellera d’autre part la suite ?

Oui en effet, nous sommes arrivés dans le secteur de l’auto­ mobile à une période où il connaissait une forte concentration.

Nous avons racheté en 2000 les concessions Renault de Saint­ Claude et Lons­le­Saunier. Nous nous sommes dès 2001 asso­ ciés avec la famille Cône, une association qui se poursuit jusqu’en 2007, année de la retraite de Jean­Pierre Cône. Notre groupe s’étendait largement sur la Franche­Comté et nous avons décidé en 2009 de réduire le périmètre, de se limiter géographiquement mais de se développer en associant Renault à d’autres marques complémentaires. Aujourd’hui, nous sommes installés à Pontarlier, Oyonnax, Lons­le­Saunier, Saint­Claude et Dole. Cela représente quatre concessions Renault Dacia, deux Fiat Alfa Roméo Jeep et Abarth, une Kia, une Mitsubishi, une Audi Volkswagen Seat. Autant de marques qui nécessitent une approche propre et particulière.

Un beau groupe et une belle diversité ?

Oui, un grand groupe parmi les petits et un petit groupe parmi les grands ! C’est un projet que nous partageons en couple et nous sommes fiers que notre groupe familial compte aujourd’hui 300 collaborateurs ! Cela nous permet d’être proche de nos clients sur un territoire sur lequel nous souhaitons être un partenaire majeur du secteur automobile.

Nous avons su évoluer, saisir les opportunités et opter au bon moment pour plus de marques dans un périmètre plus restreint. J’ai souhaité garder une proximité avec nos clients et nos équipes dans un monde automobile en constante évolu­ tion ! L’avenir reste encore à écrire, à inventer… Cela va encore beaucoup bouger dans les années à venir et il faudra encore s’adapter, il faudra passer de l’automobile à la mobilité…

Renault et l’ADMR du Jura : vous avez dit proximité ?

En cette fin d’année 2019, le groupe Deffeuille a livré sur l’ensemble du Jura 380 Renault Captur au personnel de l’ADMR, spécialiste du service à domicile. “C’est une très belle collaboration, elle est unique et la plus impor­ tante au niveau national cette année. Cela marque notre ancrage territorial avec un point de service à moins de 10 minutes de toute implantation de l’ADMR. Le Renault Captur est adapté à la mission de l’ADMR et offre confort et sécurité. Un plus pour l’ensemble des collaborateurs de l’ADMR” explique Vincent Deffeuille.

Pour Mme Carbonneau, Présidente de la Fédération ADMR du Jura, “ ... le déploiement de 380 véhicules de service constitue un projet important pour les 30 asso­ ciations du Jura. Avec cette action, nous entendons fa­ ciliter le recrutement de collaborateurs, les fidéliser et assurer de bonnes conditions de sécurité à l’occasion de leurs déplacements”. Pour Thomas Scrive, directeur de l’ADMR du Jura “cette proposition a été retenue pour son offre économique adaptée à notre activité, grâce au maillage des concessions du groupe Deffeuille dans tout le Jura et pour finir pour faciliter l’accompagne­ ment de l’ADMR sur la partie liée à la flotte automobile”

Claire et Vincent Deffeuille dans les locaux de la concession Renault à Lons­le­Saunier Il faut savoir rester à la hauteur de ces évolutions parfois très pointues ?

C’est notre souci permanent ! Nous sommes poussés par l’évolu­ tion technologique mais aussi par l’exigence de notre clientèle.

On joue un rôle important dans la vie des familles, la voiture reste centrale au cœur de la vie de tout le monde. Oui nous devons rester à la hauteur en apportant une qualité de service toujours plus grande. Le secteur est très concurrencé et nos clients sont très sollicités avec tous les moyens marketing et digitaux d’au­ jourd’hui !

Le personnel et l’accueil sont importants ?

Ici, c’est l’esprit de service avant tout ! Il faut savoir vendre des voitures, les entretenir, les réparer, les louer aussi… on pratique de multiples métiers. Nous restons en alerte permanente pour nous adapter. La formation et la mise à niveau de nos équipes sont une priorité. Nous recrutons de nombreux apprentis qui sont suivis en interne par des tuteurs et des maîtres d’apprentis­ sage. On suit la technologie, la progression et les exigences des constructeurs. Il faut perpétuellement évoluer, mais c’est une vraie source de motivation et de valorisation !

Comment envisagez­vous l’avenir ?

Le groupe Deffeuille vend 10 000 véhicules par an, 5 500 voitures neuves et 4 500 occasions. Nous souhaitons maintenir ce niveau.

On ne s’interdit pas de se développer encore en fonction des opportunités et toujours de la cohérence géographique. Nous restons attachés à cette entreprise et nous espérons à l’avenir que l’aventure familiale Deffeuille se poursuivra… on verra le moment venu. On souhaite pour l’heure rester un acteur local incontour­ nable dans le secteur automobile, poursuivre le chemin parcouru avec nos équipes et être toujours au service de nos clients. Ils attendent encore beaucoup de nous. Cette proximité et le service que nous leur apportons restent essentiels. Nous devrons pren­ dre le tournant imposé par l’évolution du secteur automobile tout en conservant les valeurs qui ont fait notre succès.

Mme Claire Deffeuille : “Je suis partie prenante depuis la pre­ mière heure en 1995. Nous sommes avec Vincent très complémentaires, c’est une aventure partagée. Nous avons eu trois enfants, tous majeurs aujourd’hui. Je me suis occupée de la vie familiale, un équili­ bre important pour Vincent. Aujourd’hui, je l’épaule dans les projets du groupe, le marketing et la communication... Je tra­ vaille au développement de notre activité location courte durée qui progresse. Nous sommes passionnés par notre travail. En famille, on aime le ski et le vélo, des ac­ tivités que l’on a pu partager ensemble durant toutes ces années.”

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Pays Dolois n°222 - janvier 2020

A la découverte de l’histoire du sel en Franche-Comté Les élèves de CE2-CM1-CM2 de l’école de Montbarrey ont travaillé sur l’Histoire du sel puis ils ont visité les deux Salines de Salins-les-Bains et d’Arc-et-Senans.

Les élèves de CE2-CM1-CM2 de l’école de Montbarrey

La lecture de l’album Fleur de Sel En classe, nous avons travaillé sur l’histoire de Fleur de Sel. Le livre parlait de deux enfants qui s’appelaient Galoup et Charlotte, surnommés “Fleur de Sel”. Charlotte habitait dans la Saline royale d’Arc­et­Senans et Galoup était le fils d’un saunier, ouvrier de la Saline de Salins­les­Bains. Le livre évoque la fabrication du sel, comment on le récupérait autrefois et parle des faux­sauniers.

Nous avons découvert les noms des bâtiments de la Saline royale et les métiers des ouvriers qui tra­ vaillaient à la Saline.

Il y avait des faux­sauniers qui volaient le sel, pas seulement des hommes mais aussi des femmes et des enfants. Des gardes, les Gabelous, surveil­ laient la Saline et arrêtaient les contrebandiers. Ils étaient alors fouettés, emprisonnés ou marqués au fer.

La Gabelle était l’impôt du sel qui appartenait au roi Louis XIV. Pour acheter le sel, il fallait payer la Gabelle.

La Saline de Salins-les-bains Ensuite, nous sommes allés visiter la Saline de Salins­les­Bains le lundi matin 14 octobre, pour découvrir le patrimoine local. Nous avons appris qu’il y avait plusieurs façons de récupérer le sel.

Au départ, on récupérait la saumure (l’eau salée) avec une pompe qui fonctionnait grâce à une

L’album Fleur de Sel, écrit par Géraldine Elschner. Illustration Stefane Girelle. Édition Elan vert

Ouverture de la Saline de Salins-les-Bains : Lundi au vendredi : 14 h - 17 h 30 Week-end : 10 h - 12 h / 14 h - 17 h 30 Du 1er février au 31 mars, ouverture également le matin de 10 h à 12 h, du lundi au vendredi.

Ouverture de la Saline Royale d’Arc-et-Senans : Jusqu’en mars, du lundi au dimanche : 10 h - 12 h / 14 h - 17 h

La “Saline de Chaux”, ancien nom de la Saline royale d’Arc-et-Senans

roue qui tournait avec l’eau douce de la rivière (La Furieuse). L’eau était envoyée jusqu’aux fours.

Il faisait très chaud près des fours parce que les berniers faisaient évaporer l’eau salée pour ne laisser que le sel. Avec la rable (une grosse pelle) les ouvriers ramassaient le sel. La pelle vide pesait jusqu’à 18 kg quand elle était humide !

La saline d’Arc-et-Senans L’après­midi, nous avons pique­niqué à la Saline royale. Nous avons découvert les jardins de la Saline. Les ouvriers cultivaient leurs légumes et vivaient dans la Saline car elle était éloignée du village.

Les ouvriers avaient une chambre par famille dans les bâtiments les Bernes.

Les sauniers avaient le droit de sortir mais ils devaient être fouillés par les Gabelous pour véri­ fier qu’ils ne volaient pas de sel.

C’est l’architecte Claude­Nicolas Ledoux qui a créé les plans de la Saline. Il voulait qu’elle ressemble à un palais royal. Elle est formée en arc de cercle.

Le plus grand bâtiment était celui du Directeur avec les gardes qui surveillaient les ouvriers au dernier étage.

Nous avons participé à des ateliers qui nous ont fait découvrir qu’il existe plusieurs sortes de sel : du gros, du fin, du noir, du rose, du bleu...

C’était trop bien et on vous conseille d’y aller !

Partenariat entre le Journal “Le Pays Dolois” et l’Education nationale Pour la 9e année consécutive, ce projet pédagogique est renouvelé. Après l’intervention de notre journaliste du Pays Dolois dans les classes afin de faire découvrir ce métier, les enfants se mettent dans la peau de reporters en herbe et réalisent un article sur un thème de leur choix.

Port-Lesney

Une nuit de la lecture sur 2 soirées !

Pour sa troisième participation à la Nuit de la lecture, la médiathèque Bel Air ne réserve pas une soirée, mais deux soirées spécifiques !

L’événement national “La Nuit de la lecture” est l’occasion de mettre à l’hon­ neur les livres. “Au mois de janvier, avec cette ambiance particulière d’hiver, il fait bon en médiathèque. Le public aime se retrouver pour passer une soirée intergénérationnelle, où le livre est mis à l’honneur, ce qui n’arrive pas si sou­ vent. C’est un véritable moment privilégié pour la lecture et le livre en général” explique Sandrine Delplanque, responsable du service culture et jeunesse à la Communauté du Val d’Amour.

“La soirée est toujours très conviviale” Cette année, La nuit de lecture est donnée sur deux soirées. Ce vendredi 17 janvier commencera avec des lectures pour les bébés, puis pour les enfants, ponctué ensuite de l’intervention de la conteuse Emmanuelle Minary.

Elle viendra présenter un conte qu’elle anime d’accessoires et d’éventuelles sonorités. Les adultes et ados sont ensuite invités à s’amuser avec la langue et la littérature, grâce aux jeux multiples de Jérôme Biro. “Les gens viennent quand ils veulent et pour ce qui les intéressent. L’entrée est libre et la soirée

est toujours très conviviale”. Un repas partagé est même prévu et une soirée pyjama prolonge la soirée pour tous les grands et petits qui veulent rester à la médiathèque pour s’amuser et s’effrayer avec des livres qui font peur…

L’heure de la veillée contée a sonné…

La suite du rendez­vous sera donnée le lendemain, le samedi soir, pour une veillée contée avec Marcelle et le violoncelle. Le spectacle est signé de la comédienne et metteuse en scène Élise Cagne, qui a déjà participé à des heures de contes à la médiathèque. Elle revient avec un beau spectacle, met­ tant en scène Marcelle, vieille râleuse au caractère trempé, baroudeuse et qui n’en a pas fini avec la vie. Elle crache et recrache, bouscule les “petiots” pour F.P les réveiller, les bourrer de gaufrettes et d’histoires à dormir debout.

Entrée libre, sans réservation à la médiathèque Bel Air de Port Lesney. Le vendredi 17 janvier à 17 h pour les 0-3 ans, 17 h 30 pour les plus de 3 ans, 18 h 15 avec l’intervention de la conteuse Emmanuelle Minary, repas partagé vers 19 h, jeux de mots avec Jérôme Biro dès 19 h 15, soirée pyjama pour se faire peur dès 20 h 15.

Veillée contée le samedi 18 janvier à 20 h avec Élise Cagne, à partir de 10 ans.

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Encore un néologisme ! Après les 60­75 ans qualifiés de “jeuniors” par le marketing qui cible leur pouvoir d’achat, voici les “quincados”, contraction de quinquagénaire et adolescent.

Ce nouveau concept ne s’arrête pas à une vision consumériste mais traduit l’évolution d’une conscience de l’âge et du mode de vie qui en découlent. Spécialiste des enjeux du vieillissement de la population, le sociologue Serge Guérin vient de lui consacrer un ouvrage “Les Quincados” aux éditions Calmann­Levy.

Le terme quincados désigne l’actuelle généra­ tion des 50­60 prenant conscience que l’allon­ gement de l’espérance de vie leur offre une forte probabilité d’avoir encore une bonne trentaine d’années à vivre. “Ce qui offre des perspectives, l’opportunité de rester jeune plus longtemps”, souligne le sociologue.

L’émergence de ces nouveaux seniors est por­ tée par les mutations économiques et socié­ tales : une plus grande autonomie financière,

culturelle et sociale des femmes dans une société de services qui “valorise la connais­ sance, la capacité d’apprendre et à compren­ dre, le relationnel et l’émotion. Des valeurs qui vont bien avec l’âge, lorsqu’il est associé à l’ex­ périence et à la capacité de prendre du recul”.

Séniorité positive Les quincados sont autant (voire plus) des femmes que des hommes. Une population plu­ tôt en bonne santé, urbaine et profitant d’un bon niveau de vie mais plus hétérogène qu’il n’y paraît, pas épargnée par le chômage, notam­ ment de longue durée ni par la baisse des reve­ nus liée à la retraite. “Ce n’est pas, ou plus, une

problématique financière ou matérielle qui est en jeu, mais une nécessité de vivre comme ils le désirent, une capacité mentale à récuser les normes de l’âge imposées par le discours domi­ nant et les directions d’entreprise, qui propage des représentations éculées des seniors mais encore particulièrement présentes”.

Les quincados soignent leur apparence et leur corps pour rester en forme plus longtemps, ne renoncent pas aux rencontres et à l’amour.

“Mais ils ne jouent pas aux jeunes, ne se pren­ nent pas pour des ados, précise Serge Guérin.

Etre quincados, c’est vivre sa séniorité de manière positive et avec l’ambition d’avoir tou­ APEI jours des projets”.

LE SAVIEZ-VOUS ?

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AIDES SOCIALES : À QUOI AVEZ-VOUS DROIT ?

Luminaires, meubles, vaisselle, horlogerie, jouet, tableau, plaque publicitaire, mobilier de jardin, ménagère en argent, métal argenté, bijoux anciens, objets religieux, bibelots et objets en tout genre…

Plus d’un tiers des personnes qui pourrait prétendre à des aides sociales n’y ont pas recours. Et vous, savez-vous qu’il existe des prestations spécifiques à partir de 55 ans ?

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Pièces de monnaies, médailles, cartes postales, poupées, montres…

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Les mutations de la société font apparaître de nouveaux seniors : les quincados. De la génération des 50-60 ans, ils inventent une autre façon de prendre de l’âge sans vieillir !

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Longtemps ignoré, le phénomène du non-recours aux aides sociales est aujourd’hui pris en compte par les organismes publics. Selon, l’observatoire Odenore “non-recours aux droits et services”, près de 40 % des personnes qui pourraient prétendre à des prestations sociales n’en bénéficient pas. Cela représente au moins 10 milliards d’euros non distribués chaque année.

Ce qu’on peut considérer comme un gâchis vient de l’obligation pour les bénéficiaires potentiels de solliciter ces aides pour y avoir accès. Avoir droit à une prestation ou un service ne suffit pas, il faut en faire la demande. Or, beaucoup ne les connaissent pas ou en ont entendu parler mais ne savent pas en quoi elles consistent ni comment les obtenir. D’autres pensent qu’ils ne sont pas concernés. À cela s’ajoutent la complexité de la démarche, la peur d’être stigmatisé, l’impression de “quémander” alors qu’il s’agit de faire valoir ses droits.

Profiter d’un simulateur individuel Les aides sociales couvrent les différents secteurs de la vie quotidienne : emploi, famille, santé, logement, loisirs-vacances, transport… Il existe, par exemple, une aide complémentaire à la santé (ACS) permettant aux personnes possédant de faibles ressources de souscrire une mutuelle à taux réduit. Mais elle est peu connue.

Dès l’âge de 55 ans, des aides spécifiques peut être débloquées pour aménager son logement dans le cadre du programme “bien vieillir chez soi” proposée par l’Assurance retraite. À partir de 65 ans, diverses allocations (solidarité, autonomie, aide à domicile…) sont prévues en fonction de la situation familiale et financière des seniors.

Pour savoir à quoi vous avez droit, vous pouvez consulter le site Internet www.aide-sociale.fr qui présente clairement le fonctionnement et les conditions d’accès de 200 aides existantes mais qui propose aussi un simulateur individuel. Très simple d’utilisation, celui-ci vous permet d’estimer vos droits et établit la liste des aides qui vous concernent.

APEI­actualités

Passion et soif de découvertes…

SALON DES VOYAGES

Installée depuis douze ans au centre­ville de Dole, l’agence de voyages PASSION DU MONDE mise sur la proximité, avec de nombreuses des na ons au départ de l’aéroport Dole­JURA. La personnalisa on des séjours est son deuxième atout, du forfait tout compris, aux presta ons à la carte.

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L’agence de voyages PASSION DU MONDE porte bien son nom. Quatre conseillères de voyage accompagnent par culiers et groupes pour leur pro­ poser des séjours, des circuits, des croisières ou des voyages à la carte. Ce qui les anime ? Leur passion des voyages. Un membre de l’équipe accompagne d’ailleurs toujours les clients par cipant aux voyages clé en main au départ de Dole. “Nous gérons sur place les éléments logis ques,

Agence de voyages “PASSION DU MONDE”

même si un guide francophone est présent. Cela nous permet aussi d’améliorer sans cesse nos pro­ grammes. Les accompagnements perme ent une meilleure connais­ sance des différentes des na ons afin de conseiller au mieux les futurs clients”. Pour ceux qui veulent barouder avec du confort, PASSION DU MONDE gère des séjours à la carte, en réservant vol, hôtel, loca on de voitures et guides selon les demandes.

Jordanie et Laponie au départ de Dole ! Une agence engagée aux côtés de l’aéroport Une quinzaine de départs sont disponibles depuis l’aéroport Dole­ JURA, que ce soit la Corse, Marrakech, Fès ou Porto toute l’année, mais aussi à des dates ponctuelles la Grèce, Madère, Les Baléares, Malte, le sud du Portugal, la Crète, la Croa e ou le Monténégro. Nouveauté 2020 : la Jordanie est désormais proposée.

“C’est une des na on parfaite pour les gens qui ont déjà pas mal voyagé et ceux qui mul plient les des na ons culturelles”. Suite au vif succès de février 2019, la Laponie sera de retour le 30 janvier 2021 au départ de Dole­ JURA.

Horaires d’ouverture :

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Lundi : 14 h à 18 h Du mardi au vendredi : 9 h à 12 h / 14 h à 18 h 30.

Samedi : 9 h 30 à 12 h 30 / 14 h à 17 h.

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Tendance voyage Il n’y a pas d’âge pour voyager. D’ailleurs, de plus en plus de seniors, encore actifs ou déjà à la retraite aiment profiter de leur temps libre pour partir en voyage, seul ou en famille.

Ces dernières années, plusieurs agences de voyages se sont même spécialisées dans l’organisation de voyage pour les personnes du troisième âge. Que ce soit en organisant des séjours groupés ou indivi­ duels, chacun essaye de faire pour le mieux afin de satisfaire cette catégorie de voyageurs en leur pro­ posant des activités et des sorties adaptées à leur condition physique mais aussi à leurs attentes en termes de voyage.

La randonnée pédestre La marche est un sport conseillé à tout le monde, quelle que soit sa tranche d’âge. La randonnée se diffère de la marche de par sa durée. Pour la prati­ quer, nul besoin de partir à l’autre bout du monde même si on peut trouver plusieurs circuits de ran­ donnée adaptés aux seniors dans plusieurs pays. Les seniors pourront profiter de leurs vacances en famille pour profiter de l’air frais de nos montagnes.

Il n’y a aucun but à atteindre, il faut juste profiter de ces quelques heures de sorties pour bien s’oxygéner.

Il est d’ailleurs reconnu que la pratique modérée de cette activité renforcerait notre système immuni­ taire. Les seniors pourront aussi s’adonner à d’autres activités sportives, mais d’une façon mesurée et

modérée. Si la destination de voyage est par exem­ ple une île tropicale, pourquoi ne pas pratiquer l’aquagym en version nature dans la mer ? En vacances dans les pays d’Asie, n’oubliez pas de faire quelques retraites de yoga.

Les croisières Autre idée d’activité que les voyagistes proposent souvent aux seniors : les croisières. C’est surtout le confort proposé sur ces grands paquebots de croi­ sières et l’absence de stress, car tout est organisé et planifié, qui attirent les seniors. Plusieurs types d’ac­ tivités sont aussi proposés à bord pour leur faire passer d’agréables moments. Le côté convivial du bateau permet à nos seniors de faire de nouvelles rencontres. Pendant les escales dans les ports, ils pourront en profiter pour faire des découvertes cul­ turelles en visitant les monuments et les sites mar­ quants de chaque étape. Parmi les destinations les plus prisées par les seniors pour partir en croisière, on peut citer la Méditerranée, l’Egypte, les Baléares ou encore la mer Rouge. Ceux qui ont plus de moyens opteront pour les Antilles. La plupart du temps, les compagnies de croisières offrent une réduction pour les seniors.

LE SAVIEZ-VOUS ?

BIEN CHOISIR SA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ Lorsqu’on prend sa retraite, il est fréquent de devoir changer de complémentaire santé. Alors que le “reste à charge zéro” est entré en vigueur depuis le 1er janvier 2020, comment bien choisir ?

La retraite, c’est une nouvelle vie qui commence mais aussi des revenus qui baissent et des conditions d’accès qui évoluent en matière de complémentaire santé. Faut-il pour autant changer de mutuelle ? La question se pose si celle-ci relève d’un contrat individuel mais aussi si vous êtes adhérent d’une mutuelle employeur. Dans ce second cas, vous avez la possibilité de la garder à la retraite mais pas dans les mêmes conditions. C’est avantageux, notamment pour les fonctionnaires auxquels s’appliquent souvent des tarifs moins onéreux que durant leur vie active. Les salariés du privé bénéficiant d’un contrat de groupe avec leur entreprise conserve les garanties souscrites mais la cotisation est plus chère (jusqu’à + 50 %) après la première année de retraite et l’employeur n’en assure plus sa part de financement.

Optique, dentaire, audition Pour l’optique, les prothèses dentaires et les aides auditives, la réforme “100 % santé” introduisant un reste à charge zéro s’applique depuis le 1er janvier 2020. Prenez-la en compte en étudiant le niveau de garanties proposé sur ces postes mais n’oubliez pas qu’elle se limite à certains équipements dans un cadre technique et tarifaire précis. Au-delà, votre prise en charge dépendra de votre mutuelle.

Sur Internet, des comparateurs de complémentaires santé vous aideront à trouver des offres personnalisées et à faire jouer la concurrence.

Pour faire votre choix, n’hésitez pas à demander des devis gratuits.

APEI­Actualités

Les séjours linguistiques Comme on dit, il n’y a pas d’âge pour apprendre.

Pourquoi ne pas combiner cette soif de découverte avec le prochain voyage en préparation. Vous voulez approfondir votre connaissance d’une langue, sachez que même les seniors peuvent partir en séjour linguistique à l’étranger. Quoi de mieux que d’en apprendre un peu plus sur l’histoire et la culture d’un pays tout en assimilant les bases de la

langue officielle en entrant en contact avec les locaux. Il est d’ailleurs reconnu que, arrivé à un cer­ tain âge, l’effort qu’on met dans l’apprentissage d’une langue ou de toute autre discipline, est parti­ culièrement bénéfique sur le plan intellectuel. Voya­ ger et partir en immersion totale dans un pays qui parle la langue en question est le moyen le plus rapide pour l’assimiler.

Source : Geoploria

Seniors et cinéma :

un amour réciproque !

Les plus de 50 ans assurent désormais près de la moitié des entrées dans les salles de cinéma et de plus en plus de films français leur sont destinés. Une love Story qui s’inscrit dans la durée.

Les seniors vont de plus en plus au cinéma et ça fait 10 ans que ça dure ! Alors que le nom­ bre d’entrées devrait battre un nouveau record en France sur l’ensemble de l’année 2019, on assiste à une chute vertigineuse du jeune public qui préfère regarder les films sur les plates­formes numériques notamment Netflix.

Au contraire, les plus de 50 ans fréquentent de plus en plus les salles obscures dont ils représentent désormais 44 % des entrées et font grimper la moyenne d’âge à 46 ans.

Dans le public “Les courbes des plus de 50 ans et des moins de 24 ans se sont croisées en 2011, et le phé­ nomène semble même s’accélérer. Il est pro­ bable que dans la pro­ chaine décennie, ils seront majoritaires devant le grand écran”, constate sur son blog Alain Le Diberder, auteur de “la nouvelle éco­ nomie de l’audiovisuel”. “Si il y a bien autant de sièges occupés dans les salles en

2019 qu’en 2010, ce ne sont pas les mêmes personnes. 20 millions d’entrées jeunes ont été remplacées par 20 millions d’entrées seniors”.

Un public qui, selon les spécialistes, “n’entre pas dans les préoccupations marketing des principaux distributeurs de films mais va voir un peu tout, en particulier le cinéma d’auteur”.

Il en conclut que les futurs cinéastes de la Fémis (Ecole nationale des métiers de l’image et du son) feront des films pour les plus de 50 ans… Ou alors pour Netflix !

Et aussi à l’écran Déjà, le cinéma français consacre de plus en plus de longs­métrages aux seniors. Un bon filon au regard des succès au box­office de

trois films sortis en 2019 : “Tanguy le retour” avec Sabine Azéma et André Dussollier en retraités heureux qui voient leur fils de 44 ans s’incruster chez eux suite à une rupture ; “C’est quoi cette mamie ?!”, une comédie autour d’une grand­mère excentrique inter­ prétée par Chantal Ladesou ; “Joyeuse retraite !” dans lequel Michèle Laroque et Thierry Lhermitte incarnent un couple de sexagénaires rêvant d’une retraite au soleil mais contraints d’user de tous les stratagèmes pour contourner les sollicitations familiales et ne pas avoir à garder leurs petits­enfants !

Et selon AlloCiné, la séquence senior devrait se prolonger, “beaucoup de films français des­ tinés prioritairement à ce public s’apprêtent à déferler en 2020”.

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Trois films sortis en 2019 consacrés aux seniors

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Reconnu pour son expertise et son professionnalisme l’enseigne ALAIN AFFLELOU de la zone des Épenottes vous propose ses nouvelles paires de lunettes sans reste à charge. Venez profiter d’un large choix de pro­ duits, sans ouvrir votre porte­monnaie !

Dans sa boutique de 300 m², alliant optique et audition, l’enseigne ALAIN AFFLELOU des Épenottes mise sur l’accompagne­ ment. “Tout le monde a de

l’appréhension au moment de changer de lunettes ou de trouver sa première paire.

Nous sommes là pour conseil­ ler les personnes au niveau technique, esthétique, mais

Toute l’équipe est là pour vous conseiller

aussi en fonction de ce qui lui ressemble le plus. Il faut des lunettes correspondant à la personnalité de chacun” sait

pertinemment Julie Marchi­ set, opticienne directrice.

Ici, avec plus de 1 500 réfé­ rences de montures, vous êtes certains de trouver le bon modèle, adapté à votre style et à votre budget. Des marques exclusives vous sont proposées en lunettes de vue ou de soleil telles que Vuarnet, Longchamp, Hugo Boss, Swarovski … ou encore La Reine des Neiges ou Les Minions pour les enfants ! Et un pôle de lunettes Jurassiennes a été développé, “c’est important pour nous de faire travailler

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L’offre fonctionne aussi bien pour la gamme homme, femme ou enfant. Ensuite,

rien n’empêche de se faire plaisir avec des montures de grandes marques. “Cela per­ met à tout le monde de chan­

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LE SAVIEZ-VOUS ?

INSUFFISANCE CARDIAQUE DES SYMPTÔMES SOUVENT NÉGLIGÉS

L’insuffisance cardiaque est la première cause d’hospitalisation à partir de 6065 ans et pourtant, elle reste une maladie méconnue car ses symptômes peuvent être banals.

“Avant, le cœur de mamie l’embêtait tout le temps, il la réveillait toutes les nuits, elle ne pouvait même plus promener Scotty, le chien. Elle avait du mal à monter les escaliers et était très essoufflée. Elle n’arrivait plus à mettre ses chaussures et ses pieds étaient tout gonflés. Mais un jour, Mamie a parlé avec son docteur et grâce à lui, son cœur est devenu plus sage. Et maintenant, elle peut faire plein de choses avec moi !” En voix- off d’un joli film d’animation, la jeune Juliette évoque l’insuffisance cardiaque, une maladie qui touche près d’un million de personnes en France mais qu’on connaît peu. Pour y remédier, le groupe pharmaceutique Novartis mène une campagne de sensibilisation.

L’insuffisance cardiaque est une maladie chronique grave mais qui n’empêche pas de profiter de la vie, avec un traitement adéquat et en respectant une bonne hygiène de vie.

Comment réduire le risque ?

Les signes qui doivent alerter sont l’impression de manquer d’air, un essoufflement fréquent, la sensation de fatigue qui ne s’estompe pas, une prise de poids inhabituel, un gonflement des jambes et des pieds. Si les objets que vous soulevez vous paraissent plus lourds, si vous avez du mal à dormir à cause d’une gêne respiratoire, il faut consulter un médecin. Le tabac, l’alcool et la “malbouffe” sont ses principaux ennemis. Pour réduire le risque, il est conseillé de pratiquer une activité physique régulière, d’apprendre à gérer le stress et d’adopter une alimentation saine et équilibrée.

Pour en savoir plus : www.suistoncœur.fr APEI

- janvier 2020

Ski de fond : la glisse au rythme des seniors Un rythme lent et régulier, pas d’impact sur les articulations, le plaisir d’avancer en pleine nature… le ski de fond est un sport d’hiver bien adapté aux seniors.

“J’aime le ski de fond car on peut avancer à son rythme sans craindre de gêner les plus jeunes qui dévalent les pistes à toute allure. Et ça permet d’admirer le paysage tout en fai­ sant de l’exercice physique. Je garde un souve­ nir ému d’une randonnée dans les Vosges. Le temps était brumeux mais arrivés sur un vaste plateau, le soleil s’est levé d’un coup, décou­ vrant un paysage merveilleux de nature pré­ servée dans un calme absolu. Grandiose !”

Comme Catherine, 63 ans, de plus en plus de seniors apprécient les sports d’hiver en dou­ ceur, loin des foules qui font la queue aux remontées mécaniques. Dans le Jura, les Vosges, les Alpes, les Pyrénées, le Massif cen­ tral, les stations de moyenne montagne pro­ posent des parcours de ski de fond en pleine nature, sur terrain plat ou un peu plus val­ lonné. La glisse version tranquille qui permet d’alterner l’endurance et l’intensité modérée, si on le désire.

Un travail du corps sans traumatisme La pratique du ski de fond a l’avantage de faire travailler le corps de manière globale et d’éviter les traumatismes. Non seulement, les chutes sont rares mais les articulations sont peu sollicitées. “C’est une activité de longue durée qui active la fonction cardiaque et maintient l’équilibre ainsi que la masse mus­ culaire des membres inférieurs mais aussi supérieurs. Sans impact sur les genoux et les hanches, ce sport peut même être pratiqué par les personnes qui montrent des premiers signes d’arthrose”, affirme sur France 3, le médecin du sport Xavier Bigard.

Outre les bienfaits sur le plan physique, le ski de fond procure un sentiment de bien­être grâce aux paysages variés qu’il permet de

découvrir sans se lasser. Côté technique, le traditionnel pas alternatif est facilement accessible. La progression se fait dans deux traces parallèles marquées au sol. Un système d’écailles sous les skis évite de reculer en montée. Plus exigeant au niveau cardiaque et respiratoire, le skating s’apparente au pas de patineurs comme le roller ou le patin à glace.

La tenue est beaucoup moins onéreuse que celle du ski alpin. Un T­shirt moulant et absor­ bant pour limiter la transpiration, une polaire et un coupe­vent, un collant thermique et extensible, une paire de gants chauds suffi­ sent. En forme de bottines, les chaussures sont attachées au ski uniquement sur le devant pour permettre le mouvement des chevilles.

© www.jura­tourism.com

16

APEI

LE JURA, C’EST PLUS DE 1 000 KM DE SKI DE FOND BALISÉS !

“Pour promeneurs ou sportifs expérimentés, le Jura vous offre un cadre idyllique pour vos vacances ! Vous prendrez du plaisir en ski nordique sur ce paradis blanc, au cœur du Parc naturel régional du Haut­Jura.

Que vous empruntiez les pistes de la forêt du Risoux, du Massif de la Haute­Joux, des Hautes­Combes, de la

forêt du Massacre, du Glacier à Morbier ou du Grand­ vaux, vous trouverez à coup sûr le parcours qui vous correspond ! Et peut­être aurez­vous la chance d’aper­ cevoir un chevreuil ou un chamois, témoins de la nature préservée et accessible du Jura.” www.jura-tourism.com

LA STATION DES ROUSSES RECONNUE PAR LE LABEL NORDIC FRANCE Le label Nordic France a reconnu la Station des Rousses comme l’un des sites nordiques ayant la meil­ leure qualité en France (5 “nordics”). Gage de qualité pour tous les amoureux de Nordique, ce label permet d’évaluer le niveau de l’offre de chaque station dans 4 catégories : le domaine skiable, la diversité des acti­ vités nordiques proposées, les différents services offerts aux pratiquants ainsi que la prise en compte du développement durable.

La Station des Rousses, c’est 200 km de pistes ski de fond et 100 km d’itinéraires raquette.

LES TEMPS FORTS DE JANVIER SONT :

• Les Jeux Olympiques de la Jeunesse, les épreuves de Biathlon, Combiné nordique et Saut à ski qui se dérou­ leront sur la Station des Rousses, au stade des Tuffes, du 9 au 22 janvier.

• La Transjeune, le mercredi 22 janvier.

Toutes les animations sur www.lesrousses.com

PLAINE JURASSIENNE Des animations à destination des seniors • Mercredi 8 Janvier - Atelier questions de sens Les mercredis à 9 h 30. Des ateliers animés par des professionnels de santé à destination des plus de 60 ans. Découvrir les secrets de ses 5 sens et comment les préserver au quotidien à travers un cycle de 7 thématiques : la santé globale, la santé visuelle, la santé auditive, le goût, l’odorat, le plaisir de manger, le sens du toucher, …

• Mercredi 8 Janvier - Atelier intergénérationnel de 14 h à 16 h – EHPAD Chaussin. Atelier gratuit • Lundi 20 Janvier - Atelier Happy tab Prodessa Les Lundis à 9 h. A destination des seniors : découvrez et apprenez à vous servir de la tablette numérique avec une animatrice de Prodessa qui vous prêtera une tablette si vous n’en avez pas.

• Jeudi 30 Janvier - Atelier mémoire Prodessa Les jeudis de 14 h 30 à 16 h 30.

Pour tous les ateliers, inscription gratuite nécessaire - MSAP Chaussin 03 84 81 83 11

Musclez votre cerveau en jouant aux échecs

Réclamant concentration, logique et mémorisation, le jeu d’échecs est considéré comme un sport cérébral. Une stratégie gagnante pour les seniors.

“Le cerveau est un muscle et les échecs son fitness !” Le multiple champion du monde Vladimir Kramnik résume ainsi son sport favori, auprès du maga­ zine suisse Le Temps. “Le jeu d’échecs aide à développer une pensée logique et cohérente, favorise la capacité de se projeter dans l’avenir, de voir dans l’espace, d’élaborer une stratégie, de concevoir une tactique”. Et en plus, c’est ludique ! Considéré comme un sport cérébral, les échecs ne requièrent pas une condition physique d’athlète. C’est une pratique intergénération­ nelle qu’on peut commencer dès l’enfance ou bien après. Il n’est jamais trop tard pour apprendre et découvrir, autour d’un carré de 64 cases noires et blanches, un univers où l’imagination et la créativité permettent d’anti­ ciper ses coups et de mettre en œuvre la stratégie.

“Il y a plus d’aventures sur un échiquier que sur toutes les mers du monde”, assure Gérard Depardieu qui interprète un entraîneur d’échecs dans le film “Fahim” qui est sorti sur les écrans en octobre dernier, retraçant le parcours d’un jeune immigré bangladais qui a obtenu l’asile en France grâce à sa vic­ amené à cultiver bon nombre de qualités telles que la patience, la mémorisation, toire au championnat du monde des moins de 12 ans. la logique, la concentration et la sérénité”.

Au­delà du plaisir du jeu, les échecs créent du lien social, entretiennent la joie de Entretenir sa vivacité d’esprit vivre, renforce l’estime de soi. Il constitue un outil efficace de prévention de la Cette invitation au voyage séduit aussi les seniors qui profitent de ses nom­ maladie d’Alzheimer. Raison de plus pour pousser ses pions sur l’échiquier et infli­ breux bienfaits pour la santé cognitive. “Le jeu d’échecs constitue un excel­ ger un échec et mat à son adversaire ! lent moyen pour entretenir sa vivacité d’esprit”, confirme Guy Bellaïche, Vous trouverez facilement un club près de chez vous, la France en compte près médecin engagé auprès de la fédération française d’échecs. “Le joueur est d’un millier. Il est également possible d’apprendre et de jouer sur Internet. APEI

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bre dernier à la salle des fêtes où se cotoyaient objets d’un autre temps, cartes postales et explications.

“Un siècle d’histoire au cœur des mémoires”

Le souvenir de votre plus belle émotion ?

Il y a tout juste un an, Lise Lemoine débutait son service civique à la mairie de Petit-Noir et prenait alors l’engagement de collecter les mémoires du village. Son bâton de pélerin à la main, et soutenue par Josée Elouard-Moreau, adjointe au maire, elle part à la rencontre de tous ceux qui en ont fait l’histoire et qui se souviennent... Nous l’avons rencontrée dans son “Atelier de Lise” au cœur de la Serre, où désormais, c’est dans le travail du bois et le design graphique qu’elle déploie toute son énergie.

Bonjour, il y a tout juste un an j’étais à la recherche d’un emploi à temps partiel afin de développer ma création d’activité en parallèle. Je n’avais pas envie de trouver un simple job alimentaire, et ça me tenait vraiment à cœur de m’engager dans un projet qui ait véritablement du sens. Lorsque j’ai vu l’offre de mission de service civique à la commune de Petit-Noir, il n’y avait aucun doute : j’avais trouvé ce dont je rêvais ! Un projet qui allie créativité, lien humain et dans lequel je pouvais mettre à profit mes compétences dans le domaine du multimédia.

Et vous personnellement, cette immersion dans la vie de nos anciens, vous a-t-elle marquée dans votre vision du quotidien ?

J’ai toujours adoré le contact avec les personnes âgées. D’une manière générale, se replonger un siècle en arrière m’a rappelé certains fondamentaux de l’existence. J’essaie le plus possible dans mon quotidien de tendre au zéro-déchet et à l’auto-suffisance. Leur mode de vie passé m’a donné encore plus envie de revenir à certains essentiels. Je dirais qu’il faut savoir garder le bon du progrès, en se rappelant le bon de l’ancien...

Comment est née l’idée de faire revivre le passé, de partir à la rencontre de ces habitants qui se souviennent... ?

C’est la commune de Petit-Noir qui fut à l’initiative de cette collecte des mémoires. Il a semblé capital de pouvoir inscrire dans le temps les récits de vie des générations passées afin de laisser une trace aux générations présentes et futures et figer dans le temps le patrimoine d’un village entier.

Quelques mots sur Gaspard pour conclure...

J’ai décidé d’utiliser un petit personnage fictif nommé Gaspard. Le papa de Gaspard est né à Petit-Noir, tout comme ses deux grands-parents chez qui il se rend en vacances ce printemps. C’est à travers les récits de Lucienne et Jean à leur petit-fils que chacun aura à loisir de confronter ses souvenirs.

En quelques lignes, pouvez-vous expliquer à nos lecteurs votre démarche ? Combien d’anciens avez-vous rencontrés ?

EN BREF

Au-delà d’ancrer l’histoire pour les générations futures, avez-vous un message à laisser aux jeunes lecteurs de ce XXIe siècle ?

Il est important de transmettre, cela fait partie du patrimoine local. Prendre le temps d’écouter nos parents, grands-parents, les anciens autour de nous... S’intéresser à tous les éléments passés qui ont créé l’Histoire et font que leurs vies sont telles qu’elles sont aujourd’hui. Et puis... pourquoi pas écrire leurs propres mémoires ?! Ou encore proposer aux anciens autour d’eux de les aider à écrire les leurs. Vivre ensemble. Ce projet avait également pour but de faire fleurir le lien intergénérationnel de multiples façons.

Lise, bonjour, quels étaient au départ vos projets en faisant le choix d’un service civique ?

Le projet débuta par plusieurs mois de visites chez les anciens. Je me rendais à leur domicile avec un simple bloc-notes, un stylo, et échangeais avec eux pendant deux heures environ. J’avais établi un questionnaire étoffé pour aborder un panel exhaustif de thématiques, et en fonction de chaque parcours de vie, nous débordions des sujets que je n’avais même pas imaginés à la base ! C’était extrêmement enrichissant. Les habitants se sont réellement prêtés au jeu, ce qui a donné lieu à une collecte colossale de

Je dirais que les visites chez les “Caracoins” m’ont profondément touchées.

Il ne s’agissait pas “juste” d’aller remplir un questionnaire. C’était un véritable moment de partage, une présence qui, pour certains, était rare, des confidences... J’ai eu de véritables coups de cœur ! Nous nous sommes donnés mutuellement beaucoup, et je pense que c’est grâce à la qualité de ces échanges qu’ont pu naître de si beaux résultats.

Josée Elouard-Moreau, adjointe, Lise Lemoine et Etienne Cordier, maire, présentent l’ouvrage à la vente

récits, photos et documents d’antan. J’ai rendu visite à une centaine d’habitants et commerçants. Ensuite, il a fallu analyser toutes les données et écrire le contenu du livre, puis le mettre en page et l’illustrer. Une exposition thématique, complémentaire à cette étude, a eu lieu les 19 et 20 octo-

A travers cet ouvrage de 250 pages, c’est 100 ans du passé des “Caracoins” qui défilent au fil des pages. “Ni étude sociologique, ni rapport anthropologique précis, ce livre a été fait par et pour les habitants, pour les générations présentes et futures” note son auteure.

L’ouvrage bien charpenté et richement illustré, est disponible à la vente au prix de 10 euros sur réservation au 03 84 81 62 07 (secrétariat mairie).

Chaussin

SUR LES CHEMINS DE COMPOSTELLE

Les 20 ans des Tongues Joviales

Nouvelle permanence mensuelle dans le Jura

C’est en 1999 au festival des Hays, dont François Ponsot était organisateur avec son groupe rock, qu’à 21 ans il a engendré la chorale “Les Tongues Joviales”. Le vingtième anniversaire de la formation s’étend sur une année qui a débuté dès le 14 décembre dernier à Aumur.

Amis marcheurs, vous avez peut-être, lors d’une lecture, d’un reportage, ou d’une rencontre, évoqué le projet de “faire” le chemin de Compostelle. De nombreuses questions se posent à l’évocation d’un futur départ sur ce chemin mythique appartenant au patrimoine mondial de l’Humanité, classé par l’Unesco en 1998.

Aussi, l’Association Franc­Comtoise du Che­ min de Compostelle (AF­CCC) tiendra une permanence le 3e jeudi du mois, à compter de janvier 2020 de 18 h à 20 h. Elle se tien­ dra salle Sainte­Claire dans le bâtiment de La Providence sur le site du Mont­Roland à Dole. Cette permanence animée par des bénévoles est ouverte à tous pour vous aider dans la préparation de votre projet de départ sur les chemins de Compostelle.

Premier RV le jeudi 16 janvier à 18 h 00.

Pour plus de renseignements : Paul 06 08 24 24 88 ou Danielle 06 42 41 39 85 contact@af-ccc.fr - www.af-ccc.fr

C’est à François Ponsot que revient la paternité de la chorale Les Tongues Joviales. Bébé, il est tombé dans la marmite de potion musique, car sa mère Danièle est musicienne, chef de chœur et aujourd’hui aussi choriste chez lui, avec ses sœurs elles­mêmes dans la branche. François est devenu un musicien polymorphe, entre saxo, guitare, piano et chant, qu’il enseigne. C’est en 1999 au festival des Hays, dont il était organisateur avec son groupe rock, qu’à 21 ans il a engendré la cho­ rale “Les Tongues Joviales”, nom né d’une boutade.

Depuis, cette formation d’aujourd’hui une ving­ taine de membres surfe sur des vagues musicales du monde, polyglottes, entre classique, liturgique et aussi humour dans ses chansons “plus bifluo­ rées”. Dans l’actualité culturelle, cet ensemble vocal soudé a su amener à Chaussin le festival tournant “Musichorales” en 2017, d’où un néces­ saire sens de l’organisation.

Le vingtième anniversaire de la formation s’étend sur une année qui a débuté dès le 14 décembre 2019 à Aumur. Le 29 février 2020 est proposé un concert de chorales à Chaussin, avec “Gaudeamus” de Vesoul, “avec qui nous avons notamment inter­ prété un concert de musique médiévale”, et

Les Tongues, toujours “plus bifluorées”

“L’Alouette de Chaussin”, “nos amis de toujours”.

En mai 2020 le groupe se produira en République Tchèque, avec l’orchestre symphonique de Klatovy, et des choristes de Pilzen, une amitié qui remonte à une génération. Est alors prévue la participation de la chorale de l’école de musique de Chaussin. A l’initiative de la FAMI (fédération des associations musicales de l’intercommunalité), les Tongues Joviales participeront le 13 juin à une grande jour­ née de la musique à Chaussin. Puis en juillet, tou­

jours sur place, elles accueilleront l’orchestre Les Cordes d’Argent de Saint­Pétersbourg pour deux concerts exceptionnels, où seront entre autres œuvres interprétées la “Misa Criolla” de Ramirez et les “Danses Polovstiennes” de Borodine. Enfin, après l’enregistrement d’un CD prévu en août, l’au­ tomne clôturera cette année de festivités par des concerts incluant des invités sur le secteur.

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Hell

by

Une belle saison à La Commanderie Mar

21 janv.

Marc Lavoine - chanson

Jeu

23 janv.

Bénabar - chanson

Sam

25 janv.

Salon des voyages

Jeu

30 janv.

Opéraporno - théâtre musical

Ven

31

Yves Jamait - chanson

janv.

7 fév.

Mar 11 fév.

Ven 14 fév.

Mar 18 fév.

Sam 21 fév.

Ven

“Compromis” - théâtre

Marc Lavoine Bénabar

Totalement 80

Cyrano

Black M

Théâtre

Concert

MARDI 18 FÉVRIER

SAMEDI 21 FÉVRIER

13 mars

Ines Reg - One man show Anne Roumanoff One woman show

VENDREDI 14 FEVRIER

Supertramp &

David Hallyday

Concert

MARDI 10 MARS

Dire Straits Tribute

Chanson

SAM. 7 MARS

Concert de Clôture de

Pupitres en liberté avec l’ Orchestre Victor Hugo Franche-Comté - musique

Celtic Legends - spectacle Calypso Rose - chanson

Journées de

l’Habitat

Mar

14

avr.

Fix Me d’Alban Richard - danse

Dim

19 avr.

“Le canard à l’orange” - théâtre

Sam

25 avr.

Sellig - One man show

13 mai

Chorale du collège Mont Roland - concert

Dim

17 mai

Ensemble saxophones

Sam

30 mai

L’After de Cirque et Fanfares

Sam

6 juin

Les danses du soleil - spectacle

Sam

13 juin

Les danses du soleil

Danse en corps - spectacle

Spectacle

Sam

20 juin

Les 26 et 27 juin

VENDREDI 7 FÉVRIER

Supertramp & Dire Straits Tribute - concert

Concert

Mer

Théâtre

Black M - concert

Ven

8 avr.

Sam 11 avr.

VENDREDI 31 JANVIER

Compromis

“Cyrano” - théâtre

David Hallyday - chanson

Mer

JEUDI 30 JANVIER

JEUDI 23 JANVIER

10 mars

29 mars

Chanson

MARDI 21 JANVIER

Mar

Dim

Yves Jamait

Théâtre musical

Totalement 80 - concert

7 mars

27 mars

Opéraporno

Chanson

Sam

Ven

Concert

Le gros sabordage - cirque

Anne Roumanoff

Celtic Legends

Du 24 au 27 janvier 2020

Le Canard à l’orange

One woman show

Spectacle

Théâtre

VENDREDI 27 MARS

MERCREDI 8 AVRIL

DIMANCHE 19 AVRIL

Salon des

Z’Arts Zen Du 18 au 19 avril 2020

Les désaxés

Gala de danse de la MJC - spectacle

Autour des ballets russes - spectacle

Le monde des

dinosaures Les 11 et 12 avril 2020

SAMEDI 6 JUIN

Réservations

Dole Tourisme Place Grévy - Dole

billetterie@hellodole.fr www.hellodole.fr www.lacommanderie-dole.fr

www.doletourisme.fr

www.lacommanderie-dole.fr

www.dolexpo.fr

20 sports

Pays Dolois n°222 - janvier 2020

Les sportifs et les équipes de l’année 2019 en pays dolois

Maxime Desprey (UMD)

Camille Cucherousset (Trail Besançon)

Pour sa première saison à L’UMD, le motard Maxime Desprey a été sacré champion de France élite MX1 2019.

Le jeune sportif de Moissey Camille Cucheroussey, licencié à l’ASPTT Besançon a effectué une année 2019 exceptionnelle avec une victoire au Défi de la Boucle à Besançon, une victoire au 10 km de Gryère (Suisse) et une seconde aux championnats du Monde de SKY-Running en août.

Cyril Viennot (Aquavélopode)

Pierre Gautherat (VC Dole) Champion de Bourgogne Franche-Comté de cyclo cross à Dole en décembre 2018 et sélectionné pour participer à la coupe du Monde de Cyclo Cross.

Le sociétaire de Dole Triathlon Aquavélopode a participé pour la 9e fois consécutivement aux championnats du Monde d’Ironman à Hawaï.

Dole/Chaussin F Handball L’équipe senior féminine de Dole/Chaussin a accédé à la Nationale 2F à l’issue de la saison 2018-2019 sous la houlette de Loïc Guinchard. Cette formation a perdu un match au cours de cette saison et réussi un résultat nul. Elle termine seconde de la poule de Nationale 3.

Anneline Gervais (CNDR)

Loïc Guichard (entraîneur Dole/Chaussin Handball)

C’est à Chalon, dimanche 15 décembre, que la nageuse du CNDR a décroché son titre de championne Bourgogne Franche-Comté Hiver sur le 4004N (5’23’’58). Elle est qualifiée pour les championnats de France Nationale 2 à Melun le 27 mai 2020.

Le nouvel entraîneur de Chaussin/Dole M, ex entraîneur de Dole/Chaussin F a été élu meilleur entraîneur de l’année 2019 par notre confrère le journal “le Progrès”.

PS Dole Crissey L’équipe du président Maurice Fares a accédé à la Départementale 1 à la fin de la saison 2018-2019. Cette formation est restée invaincue toute la saison en Départementale 2.

Régis Mathias

Laura Lavry (VC Dole)

Régis Mathias (CNDR) est sur tous les fronts. En effet aux derniers championnats de France Masters à Dunkerque, il a décroché le titre de champion de France Masters sur le 200 papillon, il termine 2e au 2004N, 400m4N, 1500NL et 200 brasse. Aux France été à Chalon-sur-Saône, il est champion de France au 100 et 200pap etc.

Pour la deuxième année consécutive, la Doloise du VC Dole, Laura Lavry, a terminé deuxième du Roc d’Azur et 3e de la coupe de France de VTT.

Rochefort/Amange La formation de Sébastien Baïocco a réussi une très belle saison 2018-2019. En effet, cette équipe a accédé à la Régionale 3 après avoir occupé les premières place de la poule de Départementale 1 pendant toute la saison 2017-2018.

Pierre Gautherat (VC Dole) Après 4 saisons au Guidon Bletteranois, c’est au Vélo Club Dolois qu’il est revenu le 1er novembre 2018.

Meilleur cadet en coupe de France de cyclo cross, il est devenu champion de BFC à Dole le 16 décembre dernier.

Val d’Amour Mont Vaudrey En difficulté lors de la saison 2018-2019, l’équipe du président Laurent Roy a parfaitement redressé la tête depuis la reprise de la saison 2019-2020 car elle est actuellement en tête de la Régionale après avoir réussi dix victoires sur dix matchs joués.

SUIVEZ VOS ÉQUIPES !

FOOTBALL

15pts - 5. Jura Dolois Football (2) 14pts - 6. Le Creusot JO 14pts - 7. Quetigny AS (2) 14pts - 8. Dijon USC 11pts - 9. St Marcel FR 11pts - 10. Lons 10pts - 11.

Dijon ASPTT 7pts - 12. Chalons FC (2) 6pts.

Nationale 3 - Groupe E

Régionale 3 - Poule D

14/12/19 Jura Dolois-Gueugnon 2-0

08/12/19 Val dʼAmour Mt Vaudrey-Sornay 4-1, Rochefort/Amange-Doubs 6-1, Jura Stad FC-Pontarlier 1-0 15/12/19 Val dʼAmour Mt Vaudrey-Mervans 2-0, Jura Stad Champagnole 1-6.

Classement au 21/12/19 1.Auxerre (2) 32pts - 2. Gueugnon 28pts - 3. Besançon Football 22pts - 4. Dijon FCO (2) 19pts - 5. Sochaux Montbéliard 19pts - 6. Pontarlier CA 19pts - 7. Racing Besançon 18pts - 8. Jura Dolois Football 16pts - 9. Morteau Montlebon 15pts - 10. IS Selongey 14pts - 11.

Montceau 13pts - 12. Sens FC 11pts - 13. Valdahon Vercel 5pts - 14. Roche Novillars 3pts.

Régionale 2 - Poule B

Classement au 08/12/19 1.Arcade Foot Pays Lunetier 24pts, 2. Haut Jura FC 22pts, 3. Jura Sud Foot (3) 19pts, 4. PS Dole/Crissey 18pts, 5. Jura Lacs Foot (2) 17pts, 6. Foucherans 16pts, 7. Montmorot O 12pts, 8. Sirod 11pts, 9. Triangle dʼOr Jura (2) 9pts, 10. Trois Monts 8pts, 11. Aiglepierre 8pts, 12. Jura Nord Foot 5pts.

Classement au 15/12/19

Départementale 2 - Poule B

1.Val dʼAmour Mt Vaudrey 30pts - 2. Triangle dʼOr Jura 24pts - 3. Champagnole (2) 20pts - 3. Coteaux de Seille 19pts - 5. Jura Stad F.C 16pts - 6. Rochefort/Amange 15pts - 7. Mervans CS 14pts - 8. Sornay AS 11pts - 9.

Pontarlier CA (4) 10pts - 10. Besançon Foot (3) 6pts 11. Doubs 4pts - 12. Dannemarie 0pt.

01/12/19 Mouchard-Jura Dolois Football (3) 0-0, MolayBeaufort 1-4 08/12/19 Jura Dolois Foot (3)-Plaine 39 8-1, Molay-Coteaux de Seille 2-3, Foucherans (2)-Mont/Vaudrey (2) 1-2.

07/12/19 Chalon FC (2)-Jura Dolois (2) 0-3

Départementale 1

Classement au 08/12/19

01/12/19 PS Dole Crissey-Jura Sud Foot (3) 1-2, Foucherans-Haut Jura FC 2-0.

07/12/19 Sirod-Foucherans 1-1, Arcade Foot Pays

1.AS La Chapelle de Guinchay 24pts - 2. Chevigny st Sauveur 17pts - 3. Beaune AS 15pts - 4. Marsannay CL

Lunetier-PS Dole Crissey 4-2, Jura Sud Foot (3)-Trois Monts 6-1, Jura Nord Foot-Triangle dʼOr (2) 0-0.

Jura Stad F.C Foot Pour sa 2e saison de fusion avec les clubs de Damparis et Saint Aubin, le club de Jura Stad F.C. a accédé à la Régionale 3 après avoir joué les premiers rôles dans le championnat de Départementale 1 lors de la saison 2018-2019.

Départementale 3 - Poule C

Classement au 22/12/19

01/12/19 PS Dole Crissey (2)-Trois Monts (2) 2-4, Rochefort/Amange (2)-Gevry 3-1, Rahon-Plaine 39 FC (2) 6-2, Archelange-Jura Stad FC (3) 0-0.

08/12/19 Moissey-PS Dole Crissey (2) 2-0, Trois Monts (2)-Rochefort/Amange (2) 0-2, Gevry-Rahon 0-0, Jura Stad FC-Jura Nord Foot (2) 1-1, Plaine 39 FC (2)-Archelange 4-2.

1.CS Nuiton 50pts - 2. C Ath Orsay Rugby Club 44pts 3. US Meyzieu 33pts - 4. Grand Dole Rugby 32pts - 5.

Club Ol Creusot Bourgogne 32pts - 6. Saint Priest 31pts - 7. CA Pontarlier 30pts - 8. UMS Pontault/Combault 29pts - 9. US Ris Orangis 25pts - 10. RC Rillieux 22pts - 11. Anthony Métro 92 10pts - 12. Rugby Club du Pays de Meaux 4pts.

Classement 08/12/19 1.Rochefort/Amange (2) 22pts - 2. Gevry FC 20pts - 3.

Rahon 19pts - 4. Trois Monts (2) 14pts - 5. Archelange 12pts - 6. Jura Stad FC (3) 10pts - Moissey 9pts - 8. PS Dole Crissey (2) 7pts - 9. Plaine 39 FC (2) 6pts - 10.

Jura Nord Foot (2) 0.

Classement au 08/12/19 1.Jura Dolois Foot (3) 23pts - 2. Plaine 39 FC 22pts - 3.

Poligny Grimont (2) 17pts - 4. Jura Stad F.C (2) 16pts 5. Lons (3) 15pts - 6. Mont/Vaudrey (2) 15 pts - 7. Coteaux de Seille (2) 15pts - 8. Mouchard Arc 14pts - 9.

Sud Revermont (2) 13pts - 10. Molay 9pts - 11. Beaufort 5pts - 12. Foucherans (2) 4pts.

RUGBY

Fédérale 2 08/12/19 US Ris Orangis-Grand Dole Rugby 9-13 15/12/19 Grand Dole Rugby-Pontault/Combault 18-14 22/12/19 Grand Dole Rugby-Anthony Métro 92 25-23

HANDBALL

Nationale 2 F 15/12/19 Seltz-Dole/Chaussin 22-31

Classement au 15/12/19 1.Colmar Centre Alsace 20pts - 2. Bassin Mussipontain Handball 20pts - 3. ASCAP Pays de Montbéliard HB 19pts - 3. Montigny les Metz 19pts - 5. Reischett 18pts 6. Entente Saône Mamirolle HB 16pts - 7. Chaumont 16pts - 8. Cercle Sportif Vésulien Haute Saône 14pts - 9 Seltz 13pts - 10. CA Pontarlier 13 pts - 11. Dole/Chaussin 12pts - Thann/Steinbach HBC 12pts.

Pays Dolois n°222 - janvier 2020

Une fin d’année 2019 réussie pour le JDF !

Le Jura Dolois Football a mis les petits plats dans les grands pour finir l’année 2019 en beauté. Des jeunes aux aînés, en passant par les féminines, les partenaires et les supporters, tous ont pu célébrer un mois de décembre en apothéose. Récit en 3 épisodes.

dégustation des produits festifs”. De belles découvertes gustatives proposées par les producteurs locaux et la direction d’Intermar­ ché (M. Manzoni), qui ont éveillé les papilles des convives. La soirée s’est prolongée dans une ambiance musicale et festive, évidem­ ment avec modération, car le sport allait reprendre ses droits pour l’épisode 3.

Les jeunes licenciés du JDF au service de leurs aînés pour un moment de solidarité intergénérationnel. (Source: JDF)

Episode 1 : les jeunes du JDF au service de leurs aînés Ce sont nos jeunes U12F, U14 et U15F qui ont ouvert le bal en étant des acteurs incontourna­ bles du “Goûter des Seniors” organisé le 4 décembre à La Commanderie. Ce moment de cohésion intergénérationnel s’inscrit pleine­ ment dans la démarche éducative et citoyenne que le JDF met en place au quotidien pour ses licenciés dans le cadre du “Programme éduca­ tif fédéral”. Service des goûters, puis échanges

et pas de danse partagés avec leurs aînés ont rythmé l’après­midi de nos jeunes footbal­ leuses et footballeurs.

Episode 2 : le Club Entreprises en mode “dégustation” Dès le lendemain, tous les partenaires, sup­ porters et joueurs seniors du JDF avaient ren­ dez­vous au Bistrot du Marché (Intermarché, Zone des Epenottes), privatisé pour l’occasion, pour la désormais traditionnelle “soirée de

Episode 3 : s’offrir Gueugnon juste avant la trêve Au moment de recevoir Gueugnon, ancien bastion professionnel et 2e du classement de N3, pour le dernier match avant la trêve, la confiance n’était pas forcément de mise… surtout que la précédente sortie du JDF à Besançon s’était soldée par un sévère 5­0.

Mais nos Rouges du JDF, emmenés par le coach Hervé Saclier et le capitaine Husein Dincer, étaient décidé à offrir une belle fête et un beau cadeau à leurs supporters, venus nombreux à Bobin : un coup de patte de Vouama, puis un second de Dabo finirent leur course au fond des filets “forgerons” pour libérer le public dolois. Une victoire 2­0, longuement célébrée, qui permet au JDF de se repositionner pour la suite de la saison.

J.L.

Les résultats National 3 30 novembre : Besançon Football 5 – 0 JDF. 14 décembre : JDF 2 – 0 Gueugnon.

Après 12 journées de championnat, le JDF est classé 7e.

1er décembre : JDF (B) 1 – 1 Quétigny (B).

7 décembre : Chalon (B) 0 – 3 JDF (B).

Après 10 journées de championnat, le JDF est classé 5e.

DORAS

4 janvier (amical) : JDF – Pontarlier.

11 janvier : Auxerre (B) – JDF. 25 janvier : JDF – Sens.

Régional 2 Poule B Reprise le 16 février 2020.

U17R Reprise le 8 mars 2020.

U17R Poule B 1er décembre : Vesoul 0 – 0 JDF. 8 décembre : JDF 3 – 0 Champagnole.

Après 11 journées de championnat, le JDF est classé 6e.

Départemental 2 Poule B 30 novembre : Mouchard 0 – 0 JDF (C).

8 décembre : JDF (C) 8 – 1 Plaine 39.

Après 11 journées de championnat, le JDF est classé 1er.

Yohan Aubry, chargé de développement commercial

Doras s’est installé à Dole en 2010. L’entreprise est spécialisée dans la négoce et la vente de matériaux, de menuiserie et de couverture au profit des particuliers et des professionnels du Grand Dole.

Une dizaine de collaborateurs y travaillent pour son bon développement et le showroom est fréquemment renouvelé.

Serge Royer est arrivé à la direction de Doras le 1er octobre 2019. Il a également un passé dans le football à Dole, c’est pourquoi il tenait à être partenaire du JDF, tout en restant fidèle à son slogan : “Des hommes et des femmes de métier”.

National 3

Régional 2 Poule B

Le JDF remercie ses partenaires

Serge Royer, dirigeant de Doras Dole

Les matchs à venir

Départemental 2 Poule B Reprise le 1er mars 2020.

Autres classements U18R : 12e après 11 journées.

U15R : 10e après 11 journées.

U14R : 4e après 10 journées.

U13 D1 : 1er après 7 journées.

U13 D2 : 2e après 7 journées.

U13 D3 : 1er après 7 journées.

U18F : 3e après 7 journées.

U15F : 2e après 5 journées.

Au chaud pour l’hiver !

VIRY Après avoir travaillé dans la vente de sites internet et d’outillage professionnel, Yohan Aubry a intégré l’entreprise Virly comme Chargé de Développement Commercial de la société située à Longvic.

Créée en 1967 et filiale du groupe Berthier, Virly est le concessionnaire exclusif de la marque Fenwick-Linde, n°1 français de la manutention et représente 7 sites en région Bourgogne FrancheComté. Spécialisé dans la distribution de marques Premium, le groupe familial propose une large gamme de chariots adaptés à tous les domaines de la manutention. Depuis 2015, Virly développe son axe Fenwick Robotics, afin d’accompagner ses clients dans l’optimisation de leurs sites. Groupe très investi dans la culture locale, Virly tient à aider depuis plusieurs années les associations sportives du bassin dolois, notamment le JDF.

Chaque joueuse de notre équipe féminine U15 a eu le plaisir de se voir offrir une doudoune grâce au partenariat mis en place avec Litrimarché Choisey/Dole. Toute l’équipe a passé une soirée festive dans les locaux de Monsieur Hautot, que nous remercions une nouvelle fois d’avoir mis nos licenciées U15F au chaud pour l’hiver !

L’équipe a pu étrenner son nouvel équipement dès le match de notre équipe fanion contre Gueugnon le 14décembre, au cours duquel les U15F officiaient comme “ramasseuses de Nos U15F reçue chez Litrimarché pour la remise des balles”. doudounes

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22 sports

Pays Dolois n°222 - janvier 2020

Rugby

Le Grand Dole Rugby investit dans la formation

Dole Genlis jeunes

Derniers résultats Dimanche 24 novembre à la Pépinière contre Pontarlier victoire 46 – 6 Dimanche 1 décembre à Saint Priest reporté au 8 février Dimanche 8 décembre à Ris Orangis victoire 13 – 9 Dimanche 15 décembre à la pépinière contre Pontault Combault victoire 18 – 14 Dimanche 22 décembre à Robert Bobin contre Antony victoire 25 – 23 PTS

J

G

N

P

DIF

O

D

50

11

10

0

1

465 209 256

5

1

2 Orsay

44

11

8

0

3

359 201 158

6

2

3 Grand Dole

36

10

7

0

3

241 181

61

2

2

4 Meyzieu

33

11

6

1

4

303 259

44

2

1

5 Le Creusot

32

10

6

0

4

228 208

20

3

2

6 Saint Priest

31

10

6

0

4

248 213

35

1

2

7 Pontarlier

30

11

6

0

5

273 284

-11

1

1

8 Ris Orangis

25

11

5

0

6

188 255

-67

0

1

9 Rillieux

24

9

4

0

5

242 219

23

3

1

10 Pontault Combault

24

10

3

1

6

141 180

-39

2

4

11 Antony

11

11

1

0

10 189 303 -114

0

3

12 Meaux

4

11

0

0

11 141 507 -336

0

0

EQUIPES 1 Nuits Saint Georges

Robin Boes conseiller technique club et Hugo Bouvier de formation licence STAPS, en apprentissage DEJEPS cette année

Il existe sans aucun doute différents moyens pour installer durablement un club de rugby au plus haut niveau. Le plus connu est celui du recrutement massif. Il est probablement efficace à très court terme mais il peut aussi être très volatile et nécessite surtout des moyens que le club n’a pas. C’est pourquoi, comme de plus en plus de clubs amateurs mais aussi pros, le projet de développement du Grand Dole Rugby s’appuie sur la formation.

Bien loin des moyens dont le monde professionnel se dote, le Grand Dole Rugby n’en assure pas moins son avenir en faisant un effort très impor­ tant dans ce domaine en axant sa stratégie sur le développement du rugby dans le bassin dolois.

Pour y parvenir, le GDR a créé deux emplois dont les missions sont d’intervenir dans les écoles, col­ lèges et lycées mais également en zone d’éduca­ tion prioritaire (loisirs populaires), voire dans les quartiers dits défavorisés, auprès de publics mixtes tant socialement que physiquement.

Un binôme gagnant Le binôme est constitué Robin Boes et de Hugo Bouvier. De formation master Staps complétée d’un DEJEPS, Robin a été embauché en août comme conseiller technique club. Il est secondé par Hugo Bouvier de formation licence STAPS, titu­ laire du BEJEPS obtenu l’an passé au GDR et en apprentissage DEJEPS cette année.

L’autre aspect de la formation concerne bien entendu l’école de rugby dont la direction est assu­ rée par un bénévole diplômé Jérôme Marlin et des éducateurs formés sous la responsabilité du conseiller technique Robin Boes qui a également la charge de l’entraînement des – de 16 et – de 19.

Pour être complet, il faut également parler des jeunes filles qui prennent de plus en plus d’impor­ tance au club tout comme l’excellente école d’arbi­ trage. Il faut noter qu’il est rare pour un club du niveau du GDR d’avoir une véritable école. Les autres clubs de la région font de la découverte de l’arbitrage.

Il est bien évident que la cohérence de cette orga­ nisation donnera des garanties quant à l’identité du jeu “à la grand doloise” puisque débutant à l’école, le jeune franchit tous les niveaux pour aboutir chez les – de 19.

Investissement dans la formation et investissement budgétaire Toutefois, pour consolider ces emplois, il est indis­ pensable de travailler avec les acteurs locaux.

C’est pourquoi des conventions avec la ligue de Bourgogne Franche­Comté, le comité départe­ mental ou encore le CFA du Sport ont été mises au point. C’est essentiel pour être au cœur des actions bassins et atténuer la charge financière restant au club.

Aujourd’hui ces deux jeunes travaillent dans des conditions optimum, ils peuvent préparer leurs actions dans des locaux neufs avec du matériel

récent qu’il s’agisse d’outils informatiques ou mobiliers, ils disposent de véhicules pour leurs déplacements professionnels, leur travail est reconnu, partout où ils passent, leurs compétences sont saluées et inévitablement cela se ressent sur le plan des effectifs jeunes avec plus 25 % d’effec­ tifs EDR en 2 ans.

Bien entendu, tout cet investissement n’est pas gratuit et c’est l’ensemble des aides des collectivi­ tés qui sont utilisées à ces fins ; sans elles, impos­ sible prétendre à une telle organisation et de tels résultats. Si les salaires et les moyens déployés sont couteux, 55 500 € par an, les aides directes couvrent environ 50 % des charges, les subven­ tions des collectivités sont donc les bienvenues tant pour le fonctionnement du club que pour la compensation salariale. Elles profitent donc pleine­ ment à l’aboutissement d’un projet jeune qui en est dans sa troisième année maintenant.

La part de budget ainsi consacrée au développe­ ment jeune n’a jamais été aussi élevée. C’est un vrai choix d’orientation budgétaire, une vraie stra­ tégie portée par les présidents et soutenue par le comité, les bénévoles et les joueurs seniors pour qui, le projet de club en lui­même, est vu comme très attractif.

S.A.S.

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Prochaines rencontres Dimanche 12 janvier au Creusot Dimanche 18 Janvier à la pépinière contre Rillieux Dimanche 25 janvier à Meaux

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