Pays de Lons 103

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N° 103 Mars 2016

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Pays de Lons

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Fonctionnement de la plateforme régionale

p. 16-17

Laurence Fluttaz

Madame “Culture” de la Grande Région

© Jean­Marc Baudet

Lons, capitale des

“rendez-vous de l’aventure”

p2

Larsen,

p. 2

un surnom, un illustrateur

p 18

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2 actu “Les rendez-vous de l’aventure” :

Virgile Charlot créé l’événement !

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Avec des films, des livres, des reportages, le baroudeur solitaire propose de rencontrer des aventuriers de renommée internationale : une première en France, du 31 mars au 2 avril !

Virgile Charlot a parcouru 22 000 km à vélo en solitaire.

EXPRESS

POLIGNY - CENTER PARCS SOUHAITE DES ÉTUDES SUPPLÉMENTAIRES Alors que la réponse était attendue le 3 février dernier sur l’éventuelle ouverture d’un nouveau Center Parcs à Poligny, le groupe Pierre & Vacances-Center Parcs a fait savoir, avant de se prononcer sur la poursuite du projet, qu’il procéderait à des études complémentaires. Ces études concerneront la voirie et l’accès au Center Parcs, les eaux naturelles, les réseaux et les retombées du projet sur le tourisme local. Le groupe a par ailleurs demandé au nouvel exécutif de la Région Bourgogne-Franche-Comté la confirmation du soutien au projet. La Région a réaffirmé sa position dans la foulée par la voix de sa présidente Marie-Guite Dufay : “La position de la Région n’a pas changé. Elle est de soutenir ces deux projets qui peuvent être accélérateurs du tourisme et de la création d’emplois, à condition de respecter toutes les questions environnementales, notamment la protection de la ressource en eau, des équilibres écologiques et de toutes les questions posées pendant le débat public”.

Santé : un centre

pluridisciplinaire en projet

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Ce centre de santé pluridisciplinaire, initié par la Mutualité française du Jura, a notamment pour objectif de faire découvrir au public, par des conférences et une bibliothèque, les médecines et les soins conventionnels complémentaires.

Contrairement au projet de la future maison de santé en cours d’étude dans l’ancien bâtiment des lunettes Bourgeois aux Mouillères, ce centre de santé pluridisci­ plinaire, initié par la Mutualité française du Jura, va regrouper des médecins spé­ cialistes et des généralistes qui seront salariés et qui mèneront des actions de prévention, parallèlement à leurs consul­ tations. Comme il est envisagé de créer un comité d’orientation où les usagers pourront participer à la gestion du centre, la réunion du 11 février dernier au centre social René Feït était destinée à regrouper le plus de monde, afin d’obtenir le plus de moyens possibles en fonction des demandes des usagers. Catherine Palanchon, présidente de l’as­ sociation locale “Mieux vivre sa santé” sert de relais pour cette opération en cours d’études qui devrait voir le jour dès

2017. Outre les conférences et les actions de prévention, ce projet d’intérêt collectif offrira un accès à toutes les spécialités médicales dans un délai raisonnable, en raison d’une grande amplitude des horaires d’ouverture. Les avantages de ce centre sont également importants avec la pratique systématique du tiers payant sans dépassement d’honoraires. D’après une étude récente, le département du Jura manque de spécialistes, notamment de psychiatres, de dermatologues, de pédiatres… Ce centre devrait contribuer à améliorer la situation. B.W.

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Pays de Lons n°103 - Mars 2016

“Lons, capitale des premiers Rendez­ vous de l’Aventure” : il fallait oser, mais à en juger l’enthousiasme des partenaires qui s’impliquent avec lui, le pari d’un festival unique en son genre a séduit les institutions locales, des grands groupes privés et publics. “Un soutien essentiel sans lequel rien n’aurait été possible”, souligne Virgile Charlot, “aventurier” jurassien au carnet de voyages exceptionnel : 22 000 km à vélo en solitaire de Lons au Cap, les Amériques à vélo accom­ pagné de sa compagne Marion, le Maroc, l’Afrique… A 25 ans, le jeune diplômé en com­ merce et sciences politiques, malgré un bon job, décide de tout plaquer pour vivre ses rêves. Il prend des images, présente des conférences et montre plus que les reportages habi­ tuels. En parlant des autochtones qu’il rencontre et qui deviennent ses amis, il éclaire notre pensée sur l’évolution du monde. Après avoir croisé sur la route “des énergu­ mènes” comme lui, et “parcouru un bout de chemin et gardé le contact avec eux”, il les fait aujourd’hui venir, afin de nous faire profiter de leurs

expéditions. “C’est aussi pour rendre un hommage au grand explorateur lédonien qu’était Paul Emile Victor”, précise Virgile Charlot, qui a choisi sa fille Daphné Victor comme marraine du festival.

Les meilleures réalisations récompensées Parmi les invités de ce festival, on retrouvera Mathieu Crepel, cham­ pion du monde de snowboard, qui présentera son expédition en Alaska. Vingt films seront projetés au cours de ces 3 jours et seront suivis de débats avec leurs auteurs. Celui qui aura le plus surpris recevra le Prix du Jury. Du côté des livres, quatre écri­ vains seront sélectionnés, et l’un d’eux sera distingué par le Prix du Public, alors que le Prix du Livre décerné par un jury professionnel récompensera un des ouvrages de la sélection officielle. Cette manifesta­ tion, qui se prépare avec l’aide de 30 bénévoles, se déroulera au Carcom, à la médiathèque 4C, au Mégarama, ainsi qu’à la Maison de la Vache Qui Rit les 31 mars, 1er et 2 avril. B.W.

“Chouette on va au restau” :

un programme pour un meilleur accueil dans les cantines

Tout au long de l’année 2016, un vaste programme pédagogique sera mené au sein des accueils de loisirs sans hébergement (ASLH) de la ville de Lons, afin de faire évoluer les habitudes alimentaires des enfants et “redorer” l’image des cantines. “Chouette on va au restau” : voici le nom de cette action d’envergure conduite dans les centres de loisirs et centres aérés gérés par le centre communal d’action sociale (CCAS) de la ville de Lons, soit quelque 1 500 enfants âgés de 3 à 16 ans concernés. Objectifs : sensibiliser les jeunes lédoniens aux bonnes habitudes alimentaires, au goût, lutter contre le gaspillage, décou­ vrir l’agriculture… mais aussi reva­ loriser l’image dégradée dont souf­ frent les cantines. La réflexion est née en mars 2015, initiée par Véro­ nique Lambert, directrice du cen­ tre aéré de Montciel, sur “un constat de gaspillage alimentaire trop important dans les cantines”. Puis l’entrée de la ville de Lons dans le dispositif “Territoire zéro déchet – zéro gaspillage” est venu accélérer la réflexion. “Avant la mise en œuvre du programme, nous avons eu un temps de travail et d’échange avec la Maison de la

Vache qui Rit sur la réduction des déchets et le gâchis alimentaire” raconte la directrice. La structure culturelle du groupe BEL, de son côté, était alors engagée dans un autre programme national d’édu­ cation alimentaire baptisé Nutris­ simo Junior, en partenariat avec la fondation Pileje et l’Institut Pas­ teur de Lille. Sélectionnée dans le cadre de ce programme, l’école élémentaire Richebourg bénéfi­ ciera alors en 2016 de plusieurs interventions de sensibilisation sur l’alimentation et la santé. L’oppor­ tunité pour Véronique Lambert de greffer cette action nationale au projet lédonien “Chouette on va au restau”. Tout au long de l’année, au sein des ALSH Briand, Rous­ seau, Dolto/Brassens, Les Toupes,

Mouillères, Richebourg, Couchant, Prévert et du centre aéré de Mont­ ciel, différents intervenants sensi­ biliseront les enfants mais aussi les cuisiniers : “A titre d’exemple, des carottes et des panais servis en morceaux resteront bien souvent dans l’assiette. Alors que proposés en purée, il y a beaucoup moins de gâchis, reprend la directrice de Montciel. Nous souhaitons que les cantines ne soient plus perçues comme des cantines, mais comme des restos. C’est pourquoi cette opération s’accompagne aussi d’une amélioration du cadre de vie.” Pour égayer les lieux grâce à l’art contemporain, les enfants tra­ vailleront avec la Maison de la Vache qui Rit, et participeront au projet Boîte collector.

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L’ECOLE DE MANAGEMENT COMMERCIAL DU JURA ouvre ses portes à Lons-le-Saunier et Dole ! Diplômes Bac+2, Bac+3, étudiants, sala­ guée à l’Enseignement Supérieur. En relation riés, demandeurs d’emploi, formations étroite avec les entreprises locales, c’est gratuites par alternance: l’EMC tape fort! aussi son originalité et sa force, l’EMC a Reconnue aujourd’hui par le monde profes­ sionnel, l’Ecole de Management Commercial du Jura ouvre ses portes le samedi 12 mars et continue d’innover en présentant deux nouvelles formations porteuses d’emploi qui s’adressent notamment à des jeunes d’après Bac, à des personnels désireux de progresser dans leur entreprise ainsi qu’à des deman­ deurs d’emploi. Assistant(e) en ressources humaines “Il faut avoir le Bac et faire preuve d’une année d’expérience professionnelle ou justi­ fier d’un niveau Bac et de 3 ans d’expérience”, explique Virginie Guitraud, la Directrice délé­

mesuré la demande réelle des petites et moyennes entreprises soucieuses d’intro­ duire dans leurs rangs une personne polyvalente qualifiée chargée du recrute­ ment, de la gestion du personnel, de l’élaboration des fiches de paie, du développe­ ment des compétences des collaborateurs… La formation en alternance démarre le 8 novembre en contrat Pro comprenant 74 jours de formation et le reste du temps en entreprise.

Responsable d’un Centre de Profit Tourisme Hôtellerie­restauration Là encore, c’est sur le terrain et à la demande conjointe des patrons et des salariés du sec­ teur d’activité que la décision de développement de la for­ mation a été décidée. En effet, déjà programmée en 2014 avec dix élèves, la formation s’est soldée par 8 emplois directs, les deux autres pour­ suivant en master ; deux sont Directeurs de camping, une est Adjointe de direction dans un grand groupe hôte­ lier… “La demande était justifiée, il fallait seulement ajuster ce premier essai en

Promotion 2014 : Gestionnaire d’Unité Commerciale Spécialisée

intégrant l’alternance”, justifie Virginie Gui­ traud. Cette formation qui comprend 92 jours en centre de formation et nécessite un Bac + 2 à l’entrée, porte sur 4 axes : la gestion financière, la stratégie commerciale, la gestion des ressources humaines, la gestion de production.Mais l’EMC, c’est aussi après un Bac la possibilité de devenir Gestionnaire d’Unité Commerciale spécialisée, Responsa­ ble de Développement Commercial, Attaché Commercial.

pour les recruter le samedi 12 mars de 9 h à 16 h, 87 place de la Comédie à Lons­le­Sau­ nier et 1 rue Louis de la Verne à Dole.

Nouvelle forma o tion : Assistant(e (e)) Ressources Hum maines

L’EMC reçoit les futurs bacheliers, les étudiants, les salariés souhaitant se qualifier, les demandeurs d’emploi ainsi que toute entreprise intéressée

Promotion 2014 : Responsable d’un Centre de Profit Tourisme Hôtellerie­restauration

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4 actu

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Pays de Lons n°103 - Mars 2016

“Soutenir les mises en réseau” Laurence Fluttaz,

nouvelle vice-présidente en charge de la culture de la Grande Région

Le 6 février dernier, Laurence Fluttaz inaugurait la nouvelle salle culturelle doloise, la Fabrique. L’occasion d’interroger la nouvelle vice-présidente en charge de la culture de la grande région Bourgogne-Franche-Comté sur les perspectives et orientations de sa future politique culturelle. Agée de 46 ans, mère de deux enfants et orthophoniste de profession, Laurence Fluttaz est élue à Chalon-sur-Saône depuis 2008, d’abord en tant que conseillère municipale, puis vice-présidente à l’enseignement supérieur au sein de l’agglomération du Grand Chalon. Ce mandat est un nouveau challenge pour cette militante socialiste de longue date.

Que représente pour vous la culture, qu’incluezvous dans ce terme ? Il s’agissait avant pour moi essentiellement d’art vivant, de musées, de théâtre… Je découvre aujourd’hui un aspect important, celui du patrimoine. Mais aussi ceux du livre et de l’audiovisuel pour lesquels la Région s’engage activement.

À titre personnel, quels sont vos goûts en matière culturelle ? L’art vivant, le spectacle, la lecture et la musique classique.

Comment percevez-vous globalement la culture en Bourgogne-Franche-Comté ? Je prends aujourd’hui mes marques. Je pense que la culture peut être une belle façon de découvrir la grande région, de se l’approprier par cette porte là. En tout cas, je m’y emploie. La Bourgogne-Franche-Comté est riche d’une grande diversité culturelle, je découvre davantage à ce jour la Franche-Comté. Dans ce grand périmètre, il faudra forcément faire travailler ensemble les acteurs de la culture, et être facilitateur de mises en réseau. Nous devrons aussi favoriser les complémentarités, créer du lien et des offres complémentaires entre les lieux et les acteurs.

La Région va-t-elle fixer une ligne directrice propre, où s’appuiera-t-elle sur l’existant en poursuivant une politique d’aide et de soutien ? Sans doute les deux. Orienter, soutenir la culture, mais

EN BREF CHAMPROUGIER

LE HAUT DÉBIT EST ACCESSIBLE Le 12 février dernier, Hervé Gimaret, maire de Champrougier, et Cyprien Matéos, délégué régional Orange en Franche-Comté inauguraient l’installation d’un nouvel équipement haut débit. Grâce à cette modernisation du réseau, la totalité des foyers de Champrougier et de Chemenot ont à présent accès à des débits de 8 Mbit/s voire jusqu’à du 50 Mbit/s. La commune de Le Chateley bénéficie, quant à elle, pour les foyers déjà éligibles à l’ADSL, d’une augmentation significative de leur débit et donc d’un confort d’utilisation. Les habitants de ces communes souhaitant souscrire un abonnement internet haut débit ADSL ou adapter un contrat existant, doivent prendre contact avec leur opérateur fournisseur d’accès internet.

aussi s’appuyer sur l’existant. Je fais le tour des événements qui existent, puis nous fixerons des orientations plus claires une fois ce travail terminé. Il existe plusieurs FRAC, plusieurs scènes nationales, plusieurs sites Unesco… Il faudra s’appuyer sur tout cela pour créer un réseau qui soit moteur.

La région Bourgogne-Franche-Comté accueille des événements culturels importants, tels que Chalon dans la rue, les Eurockéennes, le festival de musique de Besançon… Que souhaitez-vous pour ces grands événements ? Si notre ligne n’est probablement pas de créer de nouveaux événements, nous continuerons de soutenir fortement des événements marqueurs de l’identité de notre région. Ne plus soutenir ces grandes manifestations n’est pas d’actualité. L’objectif est de mettre la culture au fronton. Nous voulons croire que la culture peut être un ferment du vivre ensemble, permettant de “raccrocher” la population, de s’ouvrir aux autres… Cela est essentiel pour lutter contre la montée des extrêmes.

Dans cette idée, l’accès à la culture pour tous est-il une de vos priorités ? Oui, nous souhaitons une accessibilité de lieux, de propositions. Il faut favoriser cela, favoriser les premières “accroches” et les premières rencontres avec la culture, en allant par exemple au-devant de certains publics comme dans les écoles.

Connaissez-vous certaines manifestations du Jura, à l’instar de Cirque et Fanfares, ou feu les Déboussolades ? Je ne les connais pas. En revanche la Percée du vin jaune, la Transjurassienne bénéficient d’une véritable notoriété.

Connaissez-vous la particularité des Scènes du Jura, celle d’être une scène nationale d’ampleur départementale ? Cela est exemplaire, et c’est ce que nous devons favoriser. Certains acteurs ont pris les devants. Il faut soutenir les mises en réseau.

Dole peut-elle avoir sa place en matière d’offres culturelles, entre Besançon et Dijon ? Le fait que Marie-Guite Dufay ait choisi une vice-présidente qui ne soit ni Dijonnaise ni Bisontine est volontaire, afin de tendre vers un véritable équilibre entre les territoires, les faire vivre, sans privilégier systématiquement Besançon et Dijon. Il est difficile de se prononcer pour l’heure, mais Dole a une carte à jouer.

Puisque vous parlez d’équilibre entre les territoires, Dole possède sa manifestation culturelle, tandis que celle de la préfecture jurassienne a été arrêtée

Vous inaugurez aujourd’hui la nouvelle salle de la Fabrique. Est-ce un moment particulier pour vous ? Oui, c’est une façon de découvrir les acteurs d’un territoire, et voir comment un nouveau lieu culturel va vivre. Il est toujours positif de participer à quelque chose qui commence.

Pourra­t­on payer son comté en pives cet été ? C’est en tout cas le souhait de l’association qui travaille activement pour la mise en circulation d’une mon­ naie locale, dès juillet 2016. “Une monnaie régionale, mais à développement local” précise Jean­Jacques Bret, président de l’association. Autrement dit, l’ob­ jectif est de faire circuler cette monnaie sonnante et trébuchante sous forme de billets (1 pive = 1 euro) à l’échelle de la Franche­Comté, tout en implantant des bureaux de change dans des bassins de vie iden­ tifiés, Besançon et le Pays du Revermont pour débu­

ter. Des groupes de réflexion se sont également constitués en Haute­Saône, à Belfort, à Lons­le­Sau­ nier, et Dole pourrait être intéressée. C’est une pre­ mière dans le Jura. Chez nos voisins, le lancement d’un sol bisontin avait échoué il y a quelques années. Succursales bancaires ou commerçants volontaires pourront officier en tant que bureaux de change, avec l’objectif d’alimenter chacun de ces points d’échange à hauteur de 40 000 euros. Seuls les adhé­ rents (10 euros annuels d’adhésion) pourront ache­ ter des pives en échange d’euros, puis régler leurs achats chez les commerçants partenaires. L’associa­ tion compte sur un financement participatif, une demande de prêt à taux zéro et des subventions pour mener à bien le projet et faire tourner la planche à billets.

Un projet social et solidaire

Comme chaque année, la Ligue de FrancheComté des échecs organisait le mois dernier le championnat féminin rapide régional. Au terme du tournoi, Emily Minaud de l’Echiquier Lédonien est sacrée championne de Franche-Comté, et représentera la Ligue à Avignon les 10 et 11 juin prochains. Emily conserve son titre depuis quatre saisons.

“L’objectif est de dynamiser l’économie locale, inciter à consommer localement, instaurer une solidarité entre consommateurs et fournisseurs” explique Jean­Jacques Bret. Insuffler une certaine éthique d’achat, favoriser les circuits courts, inciter au loca­ vore : autant de comportements qui répondent aux valeurs de l’économie sociale et solidaire. Une solu­ tion locale face au désordre global ? Il faut ajouter

Aaron de Anaïs PIMENTEL SANCHEZ, Lons­le­S. Houcine de Ali HOUDJOUDJOU et Kheïra HIADSI, Lons­le­S. Yann de Damien BRESSON et Pauline DROUHARD, Lons­le­S. Nina de Christophe MARIE et Marie DECOUTEIX, Lons­le­S. Leila de Mohamed KENNANE et Fatima SOUFI, Lons­le­S. Hugo de Raphaël GUICHARDIERE et Cécile COLOMBET, Lons­le­S. Élise de Gary SAUNY et Aurélie LEVEQUE, Montain Titouan de Charles BERTHELOT et Francine TIXIER, Montmorot Lino de Loïc FARINHA et Lucie VUITTON, Montmorot Schana de Charlie BERGER et Sabine VAN HUFFEL, Montmorot Evrim de Yakup ALTINKAYNAK et Songül GEZGIN, Montmorot Lucie de Christophe LEROY et Magali GARNIER, Nogna

Martin de Frédéric SCHOUMANN et Isabelle GROS, Orgelet Callie de Benoit PARISOT et Caroline LACHAL, Pannessières Kylian de Frédéric BOUILLIER et Laetitia MOUREY, Perrigny Mathis de Frédéric COCHU et Marion BOULEY, Pimorin Simon de Adrien SOUCHAIRE et Laetitia COLIN, Pimorin Arthur de Frédéric BLANC et Estelle GREUSARD, Relans Lisandro de Mohamed LAZRAK et Nathalie OLIVEIRA, Sainte­Agnès Milan de Nicolas JOSEPH et Mélanie AUDRY, Trenal Noa de Danyel DURIEZ et Anaïs DUFRESNE, Vernantois Lilian de Cédric CÔTE et Elise DAVID, Vertamboz Oscar de Thomas GAND et Élodie MARIETIS, Vincelles Zola de Emmanuel PRINCE et Héloïse CATTEAU, Vincent

DÉCÈS EMEYRIAT Andrée, Augea, 90 ans GIANNETTA Cristina, Chilly­le­ Vignoble, 84 ans STADELMANN Lucien, Clairvaux­ les­Lacs, 97 ans COURTOUT Nicole, Courbouzon, 76 ans DALLOZ Jean­Louis, Courlaoux, 83 ans GAY Louis, Cousance, 93 ans AUGIER Marie­Thérèse, Cousance, 73 ans BADAUT Gérard, Cousance, 86 ans COMBE Fernand, Crançot, 92 ans PERNOT Renée, Desnes, 94 ans PERNOT André, Domblans, 92 ans FAROZ Odile, Grusse, 89 ans PORCHEREL Marthe, La Frasnée, 78 ans LAUBÉPIN Jeanine, Lons­le­S., 83 ans

DUBREZ­FORGNONE Germaine, Lons­le­S., 90 ans LAPUENTE Didier, Lons­le­S., 48 ans FOLIAU Jeanne, Lons­le­S., 80 ans LAKDAR Fabrice, Lons­le­S., 40 ans RAYMOND Yvonne, Lons­le­S., 96 ans SIMERAY Simone, Lons­le­S., 85 ans PÉLISSARD Albert, Lons­le­S., 74 ans FERRIER Paulette, Lons­le­S., 87 ans SANTI Giuseppa, Lons­le­S., 91 ans VICHERAT Lucette, Lons­le­S., 92 ans DECKER Guillaume, Lons­le­S., 50 ans MARSAL Berthe, Lons­le­S., 93 ans VIARD Andrée, Lons­le­S., 90 ans GROS Michelle, Lons­le­S., 87 ans

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Propos recueillis par C.G.

Une association jurassienne œuvre pour la mise en circulation d’une monnaie locale complémentaire, la Pive.

CHAMPIONNE DE FRANCHE-COMTÉ

Camille de Nicolas RIBAUD et NAISSANCES Pauline COLOT, Doucier Léandro de Grégory CHESSEL et Sacha de Jérémie HUMBERT et Virginie BREGAND, Arlay Manon MEYNIER, Fontainebrux Noah de Jérôme NICOL et Mireille Romain de Nicolas BEGGIATO et PÉPIN, Baume­les­Messieurs Aurélie TERRIEN, Frébuans Tessa de Yves PERROT et Laura Pierre de Mathieu RIGARD et ROUSSET, Beaufort Agnès GREA, Graye­et­Charnay Anouk de Simon PARRA et Claire Natéo de Ludovic BRUN et Julie TSCHANZ, Grusse BONNAFÉ, Cesancey Vadim de Marc­Antoine VAN Maëlys de Thomas DAVID et Elodie BEAUMER, Champrougier HOECKE et Déborah TISSOT, L'Étoile Théo de Josselin GOEPFERT et Gauthier de Florent THEODORI et Élodie REMY, Chapelle­Voland Hélène GERGIC, L'Étoile Angelina de Julian ANSTETT et Axel de Sébastien MONNERET et Anaïs TOURNET, Chêne­Sec Marylène BÔLE, La Marre Enzo de Nicolas LAPORTE et Laura Milo de Julien CORNET et Émilie HOLVECK, Courbette BERNARD, Lavigny Zahra de Rabia EL MAROUFI et Noham de Yannick VAUTRIN et Nezha BOUZAILOUL, Courlans Marine BOURDY, Lombard Keryan de Eric FONTAINE et Nael de Mohammed BOUMEDINE Tiphany CLAUDIN, Cousance et Yasmina SAÎL, Lons­le­S.

Il est difficile de se prononcer aujourd’hui. Pourquoi pas ? En tout cas, le budget culture est maintenu, et l’enveloppe est constante. Des choix seront faits. Pour le moment, nous rencontrons les élus et les acteurs de la Région.

La Pive, future monnaie comtoise ?

ECHECS EMILIE MINAUD

E TAT C I V I L

par le Conseil départemental, faute de budgets. La Région pourrait-elle être un partenaire financier pour que cet événement renaisse de ses cendres ?

que les pives ne pouvant être épargnées, elles seront de fait remises en circulation rapidement. Pour autant, les adhérents ne sont pas des nostal­ giques du franc. “Nous ne sommes pas en train de dire qu’il faut sortir de l’euro. Mais le développement local est un élément fédérateur. Quand les groupes, les réunions de quartier s’organiseront, cela créera du lien social. La pive n’est pas une concurrente à l’euro, mais la suprématie de l’euro rend aussi l’éco­ nomie fragile. Une monnaie complémentaire rend un système plus résilient.” Le projet est louable, mais est­il viable sur le long terme ? Les monnaies com­ plémentaires font florès en France depuis plusieurs années, et la disparition de certaines d’entre elles montre les limites du système. Le périmètre étant limité, il faudra d’abord que les entreprises et les commerçants jouent le jeu. Passé l’effet de mode, les consommateurs devront conserver leur enthou­ siasme sur le long terme, tout comme les bénévoles. “Je pense que c’est la mobilisation citoyenne qui fera la différence. La Franche­Comté possède un terreau fort de solidarités. Historiquement, les gens ont l’ha­ bitude de travailler ensemble. Plus il y aura de com­ merçants volontaires, mieux ça fonctionnera.” C.G. Financement participatif : www.arizuka.com/fr/projects/la-pive-monnaie-comtoise

JACOB Andréa, Lons­le­S., 94 ans ORSAT Marcel, Lons­le­S., 91 ans MAILLARD Serge, Maisod, 72 ans JULLIEN Michel, Marigna­sur­ Valouse, 73 ans PIRON Jean, Meussia, 79 ans DACLIN Paulette, Montain, 93 ans KIHM Michel, Montmorot, 73 ans BAYET Geneviève, Montmorot, 84 ans MARTIN Roger, Orgelet, 88 ans BONNOT Odette, Poligny, 80 ans MOYSE Gilberte, Poligny, 89 ans COUSSEN Jean­Pierre, Rotalier, 68 ans NOUVELOT Irma, Saint­Germain­ lès­Arlay, 93 ans LEBOIS Roger, Sellières, 83 ans

Zone des Epenottes BP 212 - 39102 Dole Tél. 03 84 82 50 21 n°ISSN : 1 778-820X Imprimé en France

Rédaction : redaction@paysdelons.fr Régie publicitaire Tél. 03 84 82 50 21 Portable 06 33 79 00 94 commercial@paysdelons.fr


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Lycée Mancy

PORTES OUVERTES

Les journées portes ouvertes du 12 mars 2016 seront l’opportunité de rencontrer les formateurs, de visiter les locaux mais aussi de prendre la mesure de cet éta­ blissement qui offre de multiples possibilités de formations qualifiantes où l’emploi est quasiment assuré dès la réussite aux examens. Services à la personne, vente en espace rural, technicien de services, employé d’or­ ganismes d’accueil, accès aux concours de la fonction publique… Avec ses filières Services, Moniteur d’équitation, Groom, Coach en compétition avec sa filière cheval… le lycée Mancy offre une multitude de possibilités. Yann Decorce, directeur de l’apprentissage et de la formation continue avoue être parti­ culièrement sollicité en ce moment,

“car on entre dans la période où les jeunes sont censés choisir les options qui sont déter­ minantes pour leur avenir”. Informer, préciser les conditions d’inscription, présen­ ter les orientations qui sont de plus en plus choisies par les jeunes et leur famille, le lycée Mancy affiche en plus d’une réussite remar­

9h 17h

quable aux examens, un taux d’insertion dans le monde du travail qui avoisine les 100 %, notamment dans les filières Services à la Personne, et ce dès la fin de la formation. “Et puis les familles prendront connaissance des passerelles qui existent avec les forma­ tions dispensées au Lycée agricole de Montmorot, le jeune ne perdant pas le béné­ fice de ce qu’il a déjà appris. Ceci explique sans­doute cela, mais en faisant aussi le choix de limiter d’office le nombre d’élèves par classe”, ajoute Mme Nelly Gherardi, provi­ seur adjointe. “Le contrôle continu tout au long de l’année scolaire, une section euro­ péenne, des stages professionnels à l’étranger, le passage du BAFA (Brevet d’Apti­ tude aux Fonctions Animateur), celui du BSB (Brevet de Surveillant de Baignade), des stages à l’étranger, la présence d’un assistant linguistique” : une véritable boîte à outils multi­services en complément de la forma­ tion.

Très demandés, le CAPA Services à la Per­ sonne et Vente en Espace Rural, le Bac Pro Services aux Personnes et aux Territoires et le BTSA Développement et Animation des Territoires ruraux sont des formations professionnelles avec des enseignements classiques (maths, français, histoire, géo, informatique)… auxquels s’ajoutent l’éduca­ tion sociale et familiale, l’économie­gestion, la connaissance des publics et des territoires de l’éducation socioculturelle du CAP au BTSA. Les formations du CAP et du Bac Pro peuvent se faire par voie scolaire ou par celle de l’apprentissage avec la signature d’un contrat dans une structure travaillant dans les services à la personne, crèches, écoles, mai­ sons de retraite… Le lycée Mancy, dont la réputation au niveau national dans le monde hippique n’est plus à faire, a tissé sa toile avec l’apprentissage, “une formation, un diplôme, un emploi” dans les filières Service à la personne.

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Mars 2016

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Au sommaire… Retrouvez dans ce dossier toute l’actualité en matière d’habitat et d’immobilier. Les applications de la loi de finances 2016 dans le Jura, les aides à la rénovation, le marché de l’immobilier dans le bassin lédonien… Un dossier local pour vos interrogations locales.

Loi de finances 2016 Immobilier : ce qui va changer en 2016 Prêt à taux zéro élargi, eco-prêt à taux zéro prorogé, maintien des aides au logement dans le cadre de l’accession à la propriété… Pas de grandes révolutions dans le secteur de l’immobilier pour cette loi de finances 2016 qui s’inscrit dans la stabilité. Le point avec Agnès Martinet, directrice de l’ADIL du Jura, agence départementale d’information sur le logement du Jura. Nouveautés financières et fiscales I Elargissement du prêt à taux zéro (PTZ). Le PTZ, accordé par les

banques, est de nouveau ouvert à l’acquisition de logements exis­ tants avec travaux pour tout le territoire du Jura (et de la France). En 2015, il était limité aux logements neufs ou anciens avec travaux pour seulement 44 communes jurassiennes. “Pour bénéficier du PTZ, il faut être primo­accédant, ne pas dépasser un plafond de res­ sources, et accéder à un logement neuf ou existant dont les travaux représentent au moins 1/3 du prix d’achat” précise Agnès Martinet. Autres nouveautés : son montant est également élargi. En 2015, il ne devait pas dépasser 18 % du coût total de l’opération. Aujourd’hui, il peut financer jusqu’à 40 % de votre achat. Enfin, les primo­accédants bénéficiaires du PTZ devaient habiter le logement principal durant toute la durée du prêt. Aujourd’hui, cette durée est ramenée à six ans. A noter que les travaux autorisés par ce dispositif peuvent être réalisés par des artisans, ou par le particulier. “Nous conseillons de ne jamais minimiser l’ampleur des travaux à réaliser, laissée à l’estimation de l’acheteur. Il ne faut pas sous­estimer par exemple une toiture à refaire, et se retrouver propriétaire, mais dans de mauvaises conditions.” I Réforme des APL. Les aides au logement pour l’accession à la propriété sont maintenues, alors qu’elles devaient disparaître au 1er janvier 2016.

tion de faire appel à un professionnel “Reconnu garant de l’environ­ nement” (RGE). Il peut aussi concerner des travaux de rénovation du système d’assainissement non collectif. Nouveauté : il est désor­ mais ouvert aux travaux d’économie d’énergie pour des proprié­ taires bénéficiaires d’une subvention de l’ANAH, sans obligation de répondre aux actions du bouquet d’énergie, et sans obligation cette fois­ci de faire appel à un artisan RGE. “Il ne faut pas hésiter à insis­ ter auprès de son banquier pour bénéficier de cet éco­prêt, dès lors que vous avez un accord écrit de subventions de l’ANAH.” I Prorogation du crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE), jusqu’au 31 décembre 2016. Il concerne les travaux d’écono­ mies d’énergie et les équipements d’énergies renouvelables. Le taux du crédit est fixé à 30 % sur le prix TTC des équipements et maté­ riaux, dans une limite de plafond de dépenses, et selon la composi­ tion du foyer. Les propriétaires doivent faire appel à un profession­ nel RGE pour certains équipements. Nouveauté : il s’appliquera sur

Agnès Martinet, directrice de l’ADIL 39

l’acquisition d’une chaudière à “haute performance énergétique” et non plus seulement “à condensation” comme c’était le cas aupara­ vant. “Il y a tout intérêt à passer par un artisan RGE dès le début, afin de pouvoir cumuler les dispositifs existants. Le site renovation­ info­service.gouv.fr recense les professionnels RGE.” I Maintien du crédit d’impôt d’aide à la personne. Il est destiné aux travaux d’adaptation au logement pour les personnes âgées ou handicapées, et est cumulable avec les subventions de l’ANAH.

Qu’est-ce que l’ADIL du Jura ? Association à but non lucratif créée en 1985 à l’initiative de différents partenaires locaux et nationaux, l’ADIL du Jura est chargée d’informer les Jurassiens sur leurs droits et devoirs en matière de logement, dans le respect de trois principes : neutralité, objectivité et gratuité du service rendu. Ses juristes sont à votre disposition pour répondre à toutes les questions liées à l’habitat, que ce soit sur les relations entre propriétaires et locataires, sur l’accession à la propriété et son financement, sur les avantages fiscaux, sur l’investissement locatif,

Amélioration de l’habitat

sur l’urbanisme, la copropriété ou encore les relations de voisinage. Outre sa mission générale d’information constituant un véritable ser-

I L’éco­PTZ, permettant de financer des travaux de rénovation

vice d’intérêt public, l’ADIL du Jura assure la coordination du dispositif départemental de lutte contre l’habitat indigne et indécent.

énergétique, est prorogé jusqu’au 31 décembre 2018. Il permet de financer deux à six actions d’un bouquet de travaux défini, à condi­

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Pays de Lons - Dossier mars 2016

Conjoncture immobilière Lons : les prix se stabilisent Après plusieurs années de baisse consécutive, les prix de l’immobilier se stabilisent, et connaissent même une légère hausse en 2016. Le point avec Me Rault, notaire à Lons, et vice-président de la chambre interdépartementale des notaires de Franche-Comté. Comment se porte le marché de l’immobilier ? Concrètement, après avoir subi une baisse importante ces dernières années, les prix de l’immobilier sont maintenant stabilisés, et plutôt à la hausse en ce moment. Le fait que les taux d’intérêt soient bas depuis un certain temps et le reste est un facteur très important pour l’économie immobilière, et plus généralement le secteur du bâtiment, et l’accession à la propriété en particulier. Dans tous les cas de figure, l’estimation d’un bien immobilier ne peut se faire qu’au cas par cas, en visitant chaque bien. La statistique est, et reste, un outil qui est un des éléments utilisé pour estimer un bien. Les nouvelles mesures fiscales et financières vont-elles venir conforter cette tendance ? Le nouveau prêt à taux zéro devrait lui aussi accroître cet engouement pour l’accession à la propriété. Pour en discuter avec les agences immobilières avec qui

les notaires travaillent, ils ont ce même sentiment. Les notaires souhaitent-ils aujourd’hui se positionner comme des agents immobiliers ? Les notaires restent des interlocuteurs privilégiés des particuliers, non seulement pour évaluer leurs biens, mais aussi et surtout pour effectuer avec eux un audit indispensable avant la mise en vente sur le marché de leurs biens immobiliers. La capacité des vendeurs, la TVA, la plus-value, sont autant d’éléments qui doivent être vus avant afin que le vendeur ne subisse pas de déconvenues. Vous êtes plutôt optimiste pour 2016 ? Aujourd’hui, nous sommes plutôt sur une note optimiste, à la fois pour les vendeurs car les prix sont en légère hausse, mais aussi pour les acquéreurs qui bénéficient de taux bancaires très intéressants. C’est une fenêtre de tir qu’il ne faut pas laisser passer pour ceux qui ont un projet.

Le Bon coin et les sites d’annonces en ligne, nouveaux acteurs du marché immobilier ? Depuis plusieurs années, le web a révolutionné notre manière de nous informer sur les biens immobiliers à vendre. Exit le temps des petites annonces papier sans vie et sans photos. Notre premier réflexe est généralement de se connecter aux sites généralistes, comme le Bon coin, ou

sites spécialisés, comme SeLoger.com ou PAP. Les annonces immobilières de particulier à particulier s’inscrivent-elles comme une concurrence déloyale pour les agences immobilières, puisque les transactions sans intermédiaire ne sont pas soumises aux frais d’agence ? “On ressent assez peu la concurrence des sites de petites annonces, ni “l’ubérisation” de l’immobilier, en matière d’achat, répond Dominique Gremmel, responsable de l’agence Orpi de Dole. Cela est peut-être plus vrai pour ce qui est de la location.” D’ailleurs, nombreuses sont les agences à utiliser ce nouveau vecteur et publier leurs annonces sur le site du Bon coin par exemple, moyennant finances (à l’inverse du quidam qui ne déboursera rien pour mettre en ligne son annonce). “Les sites spécialisés comme SeLoger.com sont plus utiles pour nous car les

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recherches sont ciblées. Aujourd’hui, au moins 80 % de nos appels proviennent du web, c’est la première façon de vendre un bien.” reprend l’agent immobilier. La concurrence, les agences immobilières la perçoivent davantage du côté des notaires, qui veulent faire savoir qu’ils sont aussi bons intermédiaires que les agents immobiliers. Il faut dire que les notaires ont un argument de taille à proposer aux acquéreurs : des honoraires encadrés, qui ne fluctuent pas comme peuvent le faire les frais d’agence. Moins “gourmands”, les notaires eux aussi ne se privent pas de mettre en ligne leurs annonces immobilières. “L’objectif n’est pas de créer une concurrence, nous avons de très bonnes relations avec les agences doloises”, insiste Me Barthen, notaire à Dole. C.G.

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A

l’entrée du village de Cousance “mais sur la commune de Cuisia”, précise Daniel Jaillet le patron. Le bâtiment en impose avec à l’étage une structure par­ faitement aménagée et réservée à l’accueil du public, à la gestion administrative et dés­ ormais au management et à l’animation d’une équipe d’intervention qui se compose de10 techniciens qualifiés. “On est bien loin du magasin artisanal de la vente de transistors situé dans le village voi­ sin de Cuiseaux créé par mon père Paul en 1951”, rappelle celui qui s’est impliqué dès 1980 dans le commerce familial, qui avait déjà évolué vers la fourniture d’appareils ménagers, le dépannage, l’installation à des­ tination des particuliers et des entreprises. Technicien dans l’âme, désireux de restruc­ turer cette petite société, Daniel Jaillet regroupe les ateliers et la salle d’expo.

“En 2000, avec les bureaux, nouvelle sur­ face, nouvel élan”, le technicien sort ses griffes et poursuit en plus de l’électricité générale aux particuliers et aux commerces, ses services dans le secteur tertiaire, c’est­à­ dire “aux collectivités, aux maisons de retraite, aux écoles, aux salles de specta­ cles”...ainsi qu’au secteur industriel. Les références continuent de s’accumuler, il ins­ crit son nom de spécialiste par exemple à l’équipement électrique et à l’installation des câblages informatiques, d’alarme et d’incendie au Bœuf sur le toit, à la légume­ rie municipale, à la nouvelle mairie... Jaillet Électricien est aussi chargé de la restructu­ ration du collège Briand à Lons, de l’école d’Arinthod...

Depuis, Simon s’est formé, il a obtenu toutes les habilitations et actuelle­ ment il poursuit une formation de 18 mois en Direction­Marketing­ Communication et Gestion à Besançon, mais décompresse dès qu’il le peut derrière son piano et sur sa moto, car “un peu de freestyle, ça détend”, assure­il. L’avenir appartient à Jaillet Électricien!

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Pays de Lons - Dossier mars 2016

Rénovation : le point sur les aides disponibles Outre les subventions des collectivités, de nombreuses aides existent et peuvent être sollicitées pour entreprendre des travaux d’économie d’énergie. Parfois méconnues du grand public, elles peuvent se cumuler et faire réduire la facture finale de façon significative. Un opérateur jurassien, Jura Habitat, peut instruire les dossiers et solliciter pour vous les aides. Le programme Habiter mieux. Réservé aux proprié­ taires occupants aux revenus modestes, le programme “Habi­ ter mieux” permet de subven­ tionner des travaux d’économie d’énergie, à condition que ces travaux permettent de réaliser au minimum 25 % d’économie d’énergie. Ce programme est ali­ menté d’une part par les sub­ ventions de l’ANAH, l’Agence nationale de l’habitat, et par le FART, le Fonds d’aide à la rénova­ tion thermique. Dans le Jura, c’est l’association Jura Habitat qui est le relais de ce pro­ gramme auprès des particuliers. Les techniciens de Jura Habitat réalisent au préalable un diag­ nostic au domicile des proprié­ taires afin de définir quels tra­ vaux permettraient d’atteindre ces fameux 25 % d’économie d’énergie : isolation des com­ bles, changement de menuise­ ries, équipements pour le chauf­ fage, l’eau chaude, pose d’une ventilation performante… Les propriétaires, selon leurs res­ sources et le secteur du Jura dans lequel ils résident, pourront obtenir des subventions de 30 % à 60 % (ANAH + Etat + collectivi­ tés locales) de leurs travaux d’économies d’énergie, dans la limite de 20 000 euros HT maxi­ mum de travaux subventionna­

L’ADIL 39 (voir page 7) : informe les Jurassiens sur leurs droits et devoirs en matière de logement. Lons-le-Saunier 32, rue Rouget de Lisle, du lundi au jeudi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h 30, le vendredi après-midi de 14 h à 17 h 30. Jura Habitat (voir ci-dessus) met en œuvre les politiques publiques de l’habitat.

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bles. En complément, des sub­ ventions des caisses de retraites sont possibles pour les proprié­ taires retraités. Pour toute infor­ mation, contacter JURA Habitat (voir ci­contre). Le plan national de rénova­

tion énergétique de l’habitat. Ce programme prévoit des aides financières adaptées à toutes les situations des ménages, desti­ nées à la rénovation énergétique de l’habitat. Les aides existantes (éco­prêt à taux zéro, crédit d’impôt transition énergétique) sont conservées. Le site Internet renovation­info­service.gouv.fr permet de prendre rendez­vous auprès du point rénovation info service le plus proche et de bénéficier d’un conseil person­ nalisé. Le programme régional Effilogis continue en 2016. Le programme régional Effilogis permet aux particuliers, bailleurs sociaux ou collectivités d’obtenir des conseils, de réaliser des audits, de bénéficier d’aides financières pour accompagner les projets et atteindre le niveau Bâtiment Basse Consommation­ Effinergie (BBC­Effinergie). Mal­ gré la fusion avec la Bourgogne, ce programme continue selon les procédures définies en 2015.

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Jura Habitat est une association présente depuis plus de 50 ans sur le département du Jura aux côtés des particuliers et des collectivités locales pour les accompagner dans leur projet habitat et cadre de vie. Ses missions : mettre en œuvre les politiques publiques de l’habitat pour permettre aux foyers modestes de se maintenir ou d’accéder à un logement décent et adapté, lutter contre la précarité énergétique et l’habitat indigne, maintenir à domicile les personnes âgées et/ou handicapées, proposer une offre de logement locatif social accessible. Jura Habitat est l’opérateur agréé pour accompagner les particuliers dans leur projet. Agence de Lons-le-Saunier : tous les jours de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h, 32, rue Rouget de Lisle - 03 84 86 19 10. Agence de Dole : ouverte les lundis, mercredis et vendredis de 9 h à 12 h, 3 avenue Aristide Briand.

A gauche, Claude Pecclet, directeur de Jura Habitat, aux côtés de Bernard Cantenot, responsable du service Habitat.

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Dossier mars 2016 -

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Comme ce fut le cas en 2015, les taux des crédits immobiliers continuent d’atteindre un niveau historiquement bas : 2,20 % en moyenne en novembre dernier, selon l’Observatoire Crédit / Logement CSA. Au regard de l’orientation de la politique monétaire européenne et du ralentissement économique mondial qui freine la banque centrale américaine dans sa remontée des taux, les taux immobiliers ne devraient pas remonter cette année. Bonne nouvelle : avec la baisse des taux, le montant de l’apport personnel demandé est en forte baisse. Et l’entrée en vigueur du nouveau prêt à taux zéro devrait soutenir le marché du neuf.

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Quel prêt pour mon projet ? En marge des formules “classiques” de prêts bancaires, il existe d’autres solutions adaptées à chaque situation et chaque projet. Le point sur les prêts aidés ou conventionnés. I Primo­accédant : le prêt à taux zéro Pour les jeunes actifs avec un apport person­ nel modeste, pour une première acquisition, la solution la plus adaptée est le PTZ. Ce dis­ positif est encore plus attractif en 2016 car il est élargi (voir page 2). I Salarié du secteur privé : le prêt action logement Le prêt action logement est une aide au financement pour l’achat de la résidence principale, pour une première acquisition. Il est accordé aux salariés d’une société privée, industrielle et commerciale, mais non agri­ cole, d’au moins dix salariés. Ce prêt est accordé à ces salariés, quelle que soit leur ancienneté dans l’entreprise, ainsi qu’aux salariés en préretraite ou retraités depuis moins de cinq ans. En effet, toutes les entre­ prises de plus de dix salariés participent à l’effort de construction en faveur des sala­ riés. Elles reversent ainsi une part de leur masse salariale, qui s’élève aujourd’hui à 0,45 % des rémunérations versées aux employés. Les prêts sont accordés sous condition de ressources du bénéficiaire. Son

revenu fiscal de référence (celui de l’année N­2, c’est­à­dire celui de 2011 pour une demande effectuée en 2013, ou celui de l’année N­1 s’il est plus favorable) doit être inférieur aux plafonds du Prêt locatif inter­ médiaire (PLI). Le prêt action logement peut servir à financer aussi bien un logement ancien qu’un logement neuf qui doit respec­ ter un niveau de performance énergétique. Pour obtenir le Prêt action logement, adres­ sez une demande auprès de votre employeur. Il est libre d’accepter ou de refu­ ser, notamment si l’enveloppe allouée a déjà été distribuée. Dans la majorité des cas, le prêt est consenti non par l’employeur lui­ même mais par un organisme collecteur. I Le prêt conventionné cumulable avec d’autres prêts Il est accordé sans conditions de ressources par une banque ou un établissement finan­ cier ayant passé une convention avec l’Etat. Ce prêt peut financer jusqu’à l’intégralité du coût de l’acquisition dans le neuf ou l’ancien, mais aussi certains travaux d’amélioration du logement. Le prêt conventionné peut être

complété par un PTZ, un prêt d’épargne logement, un prêt action logement, un prêt pour les fonctionnaires. Il permet également de percevoir les APL. I Le plan d’épargne logement Le plan épargne logement (PEL) est une épargne bloquée pendant au moins 4 ans et qui, ensuite, peut être utilisé de 3 façons différentes : pour­ suivi, clôturé pour récu­ pérer l’argent ainsi éco­ nomisé ou utilisé pour obtenir un prêt. Pour l’épargnant, le taux de rémunération est défini par le contrat qu’il signe avec l’établissement ban­ caire lors de l’ouverture du compte. Le taux d’intérêt prévu à l’ou­ verture du PEL s’appliquera pendant toute la durée du contrat. Après 4 ans d’épargne, il est possible de demander un prêt pour financer l’achat, la construction, la rénovation ou l’ex­ tension d’une résidence principale.

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J Sécurité… Sérénité Située à quelques encablures de Champa­ gnole depuis l’année 2004, elle compte à ce jour autour du patron Jean­Philippe, une équipe de 5 techniciens, antennistes, électroniciens, domoticiens, tous formés en permanence et, pour organiser les ren­ dez­vous et dresser les plannings, une secrétaire. La protection intérieure et exté­ rieure des bâtiments étant devenue pour

Sylvain, antenniste

les professionnels comme pour les particu­ liers un souci majeur, ENTREPRISE JEANNIN a inscrit son nom sur tout le département en proposant du matériel sans cesse en évolution, “sans fil, hyperfréquences adap­ tables, optiques tri focales sur batteries sans déclenchements intempestifs”. “Avec l’arrivée prochaine de la Haute Défi­ nition, plus de 5 millions de postes de télévision pourront être inutilisables, sauf

Ici le sourire et la bonne humeur sont de mise !

en les équipant d’un adaptateur, après avoir effectué un diagnostic. C’est une demande actuelle urgente”

Un métier complexe “Dans un autre domaine, la pose d’an­ tennes est très technique” assure le spécialiste. Il prend l’exemple “d’un parti­ culier qui peut recevoir tel ou tel émetteur télé alors que son voisin immédiat devra être orienté sur un autre relais grâce à un équipement différent qui ne Jean­Philippe, coûte pas forcément le même responsable de l’entreprise prix”. C’est un métier complexe et Sylvette, secrétaire. que seule la connaissance par­ faite du territoire soulage en lui évitant de grimper à chaque fois sur les toits, de s’arnacher pour respecter les consignes de sécurité qui est un autre souci majeur du responsable. Quant à la motorisation des portails, c’est encore une spécialité que propose ENTREPRISE JEANNIN. L’offre se fait sur devis bien sûr et ne pose généralement guère

Dylan, domoticien en formation

de problème, l’intervention se déroulant dans la journée. Reste encore un secteur en perpétuelle évolution, “on pourrait dire en pleine révo­ lution”, plaisante le chef d’entreprise qui selon sa déontologie, se charge de la for­ mation pratique du jeune Dylan.

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Spécialisée dans l’alarme, la pose d’antennes, la vidéosurveillance, la motorisation de portails, les antennes, l’entreprise Jeannin offre à la fois aux particuliers et aux entreprises des solutions personnalisées.


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Dossier mars 2016 -

Pays de Lons

Comment se porte le marché de la construction bois ? Elégant, noble, chaleureux, durable et performant d’un point de vue thermique, le matériau bois a des atouts pour séduire les nouveaux acquéreurs, surtout dans un territoire où la filière est valorisée. Si la construction bois a connu une progression régulière par le passé et a mieux résisté à la crise, elle est un peu plus à la peine aujourd’hui. Implantées à Bans, à côté de Mont-sous-Vaudrey, les Constructions Chauvin, co-gérées aujourd’hui par Frank et Laurent Chauvin, sont les leaders jurassiens de la construction bois. Le point sur le secteur avec Laurent Chauvin. Que représente la construction bois dans le marché de la construction ? Il n’existe pas de chiffres officiels. On peut estimer entre 5 et 10 % de parts de marché selon les années. On a pu aller jusqu’à 12 % dans les bonnes années. Ce système constructif est-il toujours en progression aujourd’hui ? Il est en léger repli. Nous subissons les effets de la crise, car le bois est un système plutôt qualitatif, donc plus onéreux. Auparavant, ce marché a-t-il connu une évolution constante ? Il a connu une croissance ininterrompue de 2000 à 2013. En 2008, avec les premières secousses qui ont touché l’immobilier, nous avons malgré tout réussi à passer ce cap, grâce à la qualité de ce matériau. Le grain de sable qui a fait décrocher les professions du bois fut la réglementation thermique 2012 (RT 2012), mise en application au 1er janvier 2013.

Pourtant, on pourrait penser que la réglementation est plutôt en faveur du bois… Certes, nous mettons en avant la performance thermique du bois. Sauf que cette RT 2012 a sans doute opérer un certain lavage de cerveau… Elle impose des études qui déterminent la performance thermique des matériaux. Mais le bois est connu pour être un matériau isolant depuis des millénaires, sans qu’il soit nécessaire d’y ajouter une couche d’isolant supplémentaire. Pour autant, aucune étude scientifique n’atteste ses capacités isolantes. Les petits constructeurs n’ont donc pas eu les moyens de financer ces études. Quels sont vos clients, et quel est leur budget aujourd’hui ? La crise a fait que les acquéreurs viennent aujourd’hui nous voir avec un budget en recul de 20 à 40 %. Aujourd’hui, notre clientèle type est un jeune couple actif et plutôt aisé. On ressent un soubresaut aujourd’hui avec des gens qui ont envie de se

faire plaisir et assouvir leur rêve. Où commercialisez-vous vos produits ? 30 % maximum de nos produits sont vendus en FrancheComté. Pour le reste, nous les commercialisons en Savoie et Haute-Savoie, dans les Vosges, le Massif Central, les Alpes du Sud, les Pyrénées… Mais aussi dans des zones plus urbanisées pour ce qui est des villas, en région lyonnaise, grenobloise, parisienne… La construction bois reste onéreuse, pouvez-vous gagner en compétitivité ? Il faut compter entre 2 000 et 2 400 euros du mètre carré. Dans une logique d’autoconstruction, il est possible de faire baisser l’enveloppe. Par ailleurs, nous sommes partenaires d’une nouvelle société à Montsous-Vaudrey développant un système constructif modulaire, afin d’industrialiser encore plus le process. L’idée est de mettre au point des modules dans lesquels tout est déjà créé (struc-

ture, électricité…) que l’on assemblera sur place, réduisant les coûts. Cette activité démarre avec l’objectif d’atteindre une production standardisée avec les mêmes composants, tout en offrant la possibilité de personnaliser son architecture et son intérieur. Nous sommes actionnaires, fournisseurs et bailleurs de la société Technologie Habitat. Quelles sont les tendances et les nouveautés ? On observe des évolutions technologiques intéressantes. Nous avons mis au point des madriers dans lesquels les matériaux d’isolation sont déjà intégrés. Sans doute pourrat-on imaginer un jour la possibilité de coller un autre matériau au bois : par exemple du bois à l’intérieur, et de la pierre à l’extérieur, réduisant là aussi les coûts. On s’en sortira par l’innovation. C’est pour cette raison que nous avons intégré un architecte en interne. Propos recueillis par C.G. A gauche, Frank Chauvin, aux côtés de Laurent Chauvin, tous deux co-gérants des Constructions Chauvin.

“Une maison contemporaine ne coûte pas forcément plus cher”

La Conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement du Jura est un organisme qui a pour missions de promouvoir la qualité architecturale, urbaine et environnementale dans le département. Centre de ressources, lieu d’échanges et de diffusion culturelle, le CAUE 39 apporte aussi une aide à la décision. Son conseil est accessible à un public varié. Il intervient à toutes les échelles, de la parcelle au grand territoire. I L’information et la sensibilisation du public à la qualité de

© Agence Arborès

Si on ne trouve pas encore pléthore de maisons contemporaines dans le Jura, force est de constater qu’on en aperçoit de plus en plus, en zones urbaines comme en zones rurales. Une maison contemporaine est souvent associée à un architecte, qui s’attachera à réaliser une construction ne ressemblant pas à une forme existante, dans le respect des attentes et des demandes de son client. Nous avons tous peu ou prou la même conception de la maison contemporaine : un toit plat (ou toit-terrasse), des lignes épurées, des volumes multiples assemblés, de grandes baies vitrées, et de grands espaces lumineux à l’intérieur. “Il y a deux éléments essentiels dans l’architecture contemporaine : l’insertion du projet dans le site, et la performance énergétique, explique Florence Juillard-Ferreux, directrice du Conseil d’architecture d’urbanisme et de l’environnement du Jura (CAUE 39, voir ci-contre). Pour le reste, s’il n’y

Qu’est-ce que le CAUE 39 ?

Exemple d’une maison individuelle contemporaine bioclimatique BBC

a pas de “codes”, on observera effectivement souvent des lignes épurées, des formes simples…” En extérieur, les jeux de volume ne sont pas une règle systématique, mais on respectera des volumes compacts : en effet, plus la surface des murs est grande, plus les coûts de construction sont importants. Un toit-terrasse n’est pas non plus systématique, des maisons contemporaines peuvent posséder un ou plusieurs pans. “Une maison contemporaine doit être pensée par un architecte, reprend la directrice de l’organisme. Il doit répondre aux besoins des particuliers. Nous conseillons de rencontrer plusieurs architectes, d’expliquer ses souhaits, voir plusieurs réalisations. Une

maison sur-mesure ne coûte pas forcément plus cher car il y a une optimisation de l’espace au sol : on évite les espaces perdus, on limite les couloirs. De plus, l’architecte doit tenir compte de votre budget.”

Performance énergétique et insertion dans le site Une maison contemporaine se doit d’être économe en énergie, et atteindre idéalement le BBC. De grandes ouvertures côté sud pour faire rentrer la chaleur et lumière et favoriser les économies d’énergie, une toiture plate végétalisée pour la récupération des eaux de pluie, des murs plus épais, des matériaux isolants, des

fenêtres performantes… doivent être pensés. Le système de maison passive est également accessible en architecture contemporaine. Si ses coûts de construction sont plus importants, son coût de fonctionnement et les charges seront plus bas, et on pourra se permettre des mensualités de remboursement moins importantes. Une maison contemporaine doit aussi mettre en valeur les éléments extérieurs. “Elle peut aussi s’implanter au milieu de maisons anciennes, et mettre en valeur le patrimoine d’origine. Si on est contemporain et simple, on met en valeur ce qu’il y a autour.” C.G.

l’architecture, de l’urbanisme et de l’environnement, par la culture et la pédagogie. I La formation des maîtres d’ouvrage et des professionnels. I L’information et le conseil auprès des particuliers qui

désirent construire ou rénover, afin d’assurer la qualité architecturale des constructions et leur bonne insertion dans le site environnant. I Le conseil aux collectivités locales pour leurs projets

d’urbanisme, d’architecture, d’espaces publics ou d’environnement, à travers une approche transversale et globale, respectueuse des critères du développement durable. Pour les particuliers, au cours de permanence sur rendez-vous, les architectes-conseillers informent en toute indépendance sur les aspects paysagers (l’insertion du projet sur le site, les plantations à conserver, à prévoir...), architecturaux (l’implantation du projet en prenant en compte le paysage bâti environnant, les contraintes climatiques, topographiques, la recherche d’une cohérence entre le programme, le site et le projet, la qualité des volumes, des matériaux, des couleurs…), réglementaires (cadre juridique concernant la construction ou l’urbanisme), et patrimoniaux (identification des caractères architecturaux du bâtiment à réhabiliter, recherche de principes de réhabilitation…). Lons-le-Saunier : le mardi 8 h 30 à 11 h 15 et 14 h à 17 h, 151 rue Regard. 03 84 24 30 36. Dole : 1er mardi du mois, 14 h à 16 h 15, Bâtiment de La Visitation - 3 avenue Aristide Briand.


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GOÛT, COMPÉTENCES ET UNE RÉPUTATION QUI N’EST PLUS À FAIRE ! En reprenant ce local situé 240 rue Victor­Pui­ seux, Christian Douvre, aidé de son épouse Brigitte et de son fils Maxime a réalisé un de ses rêves. Infatigable, il poursuit son chemin et, depuis le mois de décembre, il passe tout son temps et donne toute son énergie pour créer une salle d’exposition. Elle sera prête pour les portes ouvertes des 1, 2, 3, et 4 avril 2016 !

Si l’artisan plâtrier­peintre qui a exercé pen­ dant 18 ans pour le compte de l’entreprise Renaud Duby à Replonges s’est fait la main à la pose de sols, à la peinture, à la tapisserie, il n’a pu enfouir longtemps ses talents de créa­ teur d’espaces, son goût pour l’aménagement de salles de bains. En apportant “l’originalité mais le fonctionnel”, Christian Douvre se démarque de la concurrence et la salle d’expo qui est en cours d’exécution sera la prochaine étape, celle des Spas et des saunas, car l’entreprise est devenue une référence dans ce domaine très spécifique qui allie esthé­ tique, technique et minutie. “De 2 à 8 places, extérieur ou intérieur, encastré ou aérien, le Spa ou le sauna compte de plus en plus d’adeptes, de

même que la salle de bains qui est devenue une pièce incontournable dans la maison”, constate le spécialiste. En s’accompagnant de la non moins connue marque “Jaccuzi®” qui possède un départe­ ment dédié aux professionnels pour la création des spas WELLNESS que ce soit à des­ tination des particuliers, des hôtels, des campings... en comptant sur les qualifications professionnelles de son fils Maxime, artisan RGE en plomberie­chauffage­adoucisseur, qui les a dernièrement rejoints, la Maison de la Pose offre un service complet qui va de l’avant­projet à la réalisation. Bois, gaz, fioul, chauffage central, poêle à granulés, Maxime sait faire au point d’être reconnu “proactif de la marque Viessmann et d’apporter une pres­ tation de qualité”.

Christian, Brigitte et Maxime forment “un trio redoutable où chacun exprime ses compé­ tences dans des domaines complémentaires”. En offrant un service clé en main, ils libèrent le client des soucis de coordination et de surveil­ lance du chantier, ils assurent la mise en place, la mise en route ainsi que le service après­ vente.

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16 Aéroport Dole Jura

Pays de Lons n°103 - Mars 2016

l’aéroport vole encore… ! “L’infrastructure s’inscrit dans le développement du territoire” La chambre de commerce et d’industrie du Jura et Keolis assurent l’exploitation de la plateforme jurassienne depuis 2010. Le point sur les missions de chacun avec Rémy Laurent, président de la CCI du Jura.

Rémy Laurent

Quels sont les rôles respectifs de la CCI et de Keolis dans la gestion de l’aéroport ?

gnies aériennes. Air Vallée est venue en première, puis ont répondu Danube Wings, Ryanair, Sky Taxi, Air Corsica, Jetairfly…

Une délégation de service public a débuté en 2010 et a confié l’exploitation de l’aéroport à la CCI et à Keolis. Keolis détient 51 % de la société d’exploitation de l’aéroport Dole Jura (SEADJ), en assure la direction générale, et des missions de négociations avec les compagnies. La CCI détient 49 % et assure des missions de gestion, comptabilité, communication… La DSP prendra fin en 2019, et nous ignorons à ce jour si elle sera reconduite.

Lorsqu’une compagnie met en place des vols réguliers au départ de Dole Jura, qui porte les risques ?

Combien de passagers transitent chaque année par l’aéroport de Dole Jura ? Avant 2010, nous étions à 5 000 passagers annuels. En 2012, avec l’arrivée de Christophe Perny à la tête du Département, les objectifs ont été revus à la hausse. En 2015, nous étions à 135 000 passagers. À chaque fois, nous étions au-dessus des objectifs, nécessitant une adaptation de la voilure et une prise en compte de la réglementation et de la sécurité (infrastructures, trafic, pompiers, sûreté…), en symbiose avec la Direction générale de l’aviation civile et ses contrôleurs, les douaniers et les gendarmes.

Qu’est-ce qui a permis de faire décoller la plateforme jurassienne depuis quatre ans ? Le fait qu’elle ait obtenu son autonomie dans l’espace aérien : on ne dépend plus de Dijon ni de Bâle-Mulhouse depuis 2012. Les contrôleurs ont leur autonomie. Cela a permis d’attirer les compa-

Ce sont les compagnies qui supportent tous les risques liés à une destination, ainsi que la politique de la billetterie. Ce sont les compagnies qui décident si un marché est suffisant et récurrent. Pour cela, il faut un équilibre entre la fréquence, la taille de l’appareil, et la cible.

Quels sont les vols qui ont le mieux marché ? Porto, Marrakech, Fès et Lisbonne.

Disposez-vous aujourd’hui d’un outil permettant d’évaluer les retombées économiques réelles pour le bassin et le département ? Une étude d’impact en 2014 a estimé les retombées directes et indirectes à plus de 6 millions d’euros. On dit qu’il n’y a pas suffisamment de réceptifs, c’est-à-dire de voyageurs qui viennent dans le Jura. On les estime pourtant à 20 %, au-delà des regroupements familiaux qui ont eux aussi des retombées économiques.

D’où viennent les voyageurs qui décollent du Jura ? 22 % proviennent du Doubs, 18 % du Jura, 22 % de Côte-d’Or, et 19 % de Saône-et-Loire. Des voyageurs viennent aussi de l’Ain et de la Suisse.

“Ryanair ne partira pas comme ça…” Directeur de l’aéroport Dole Jura depuis 2013, Jean-Jacques Berto revient sur le fonctionnement de la plateforme régionale.

Quels sont les différents métiers de l’aéroport ? 21 personnes dépendent directement de l’aéroport : les pompiers, les agents de piste, les bagagistes, et les agents de comptoir. 13 personnes appartiennent à la société de sûreté aéroportuaire Astriam. 5 contrôleurs aériens dépendent de la Direction générale de l’aviation civile (DGAC). Une dizaine d’intérimaires vient renforcer nos effectifs à l’enregistrement et à l’embarquement. Enfin, une dizaine de salariés dépend des sociétés qui jouxtent l’aéroport : Aeropassion, Jolliet Innovation, et Air Mana. Soit en tout plus de 50 personnes qui travaillent sur le site.

Quels sont les changements importants engendrés par l’état d’urgence ? Le plus gros changement concerne les douaniers qui effectuent des contrôles systématiques sur tous les vols commerciaux, y compris au sein de l’espace Schengen.

Les temps d’attente sont-ils plus réduits dans un petit aéroport ? Non, nous avons les mêmes spécificités, contraintes et contrôles que les autres aéroports. Nous demandons donc aux passagers de se présenter deux heures avant le départ.

Jean-Jacques Berto, second en partant de la droite, et toute l’équipe de l’aéroport Dole Jura.

La piste est-elle en mesure d’accueillir aujourd’hui des gros porteurs ? Non, ce n’est pas la vocation d’un aéroport

Rémy Laurent, président de la CCI du Jura

Quel est votre programme estival pour 2016 ? L’objectif est de 110 000 passagers pour cet été. À ce jour, Lisbonne n’est pas encore confirmée. En revanche, des vols réguliers desserviront Marrakech, Porto, Fès, la Corse, Nice, Bastia, Bordeaux et Toulouse. Les charters proposeront des rotations pour l’Italie, le Monténégro, Faro, Palma de Majorque, Madère et Malte.

Quel est l’avenir de Ryanair sur la plateforme ? Leurs taux de remplissage sont bons. Si on ne leur donne pas de visibilité, ils partiront…

Le développement de l’aéroport étant aujourd’hui totalement lié aux décisions politiques, êtes-vous inquiet pour l’avenir de la plateforme ? Il s’agit d’une très belle plateforme qui a répondu aux objectifs, avec des équipes qui ont répondu aux attentes et aux enjeux. Notre force est aussi de posséder un bassin de chalandise qui a prouvé sa capacité à drainer des passagers dans les deux sens. Tout le monde y trouve son compte, et c’est aussi un élément d’attractivité pour la zone économique Innovia. Cette infrastructure s’inscrit dans le développement du territoire. Propos recueillis par C.G.

régional, nous n’y avons aucun intérêt. Les longs courriers sont tous centralisés à Paris. Nous accueillons des moyens porteurs pour les vols moyens courriers, de cinq heures maximum, qui irriguent l’Europe et le bassin méditerranéen.

de 100 km, c’est un atout pour attirer les compagnies. De plus, s’il n’y a pas d’offre, il n’y a automatiquement pas de demande. C’est aussi pour cette raison que les compagnies prennent le risque d’ouvrir une ligne.

Qui fournit le carburant ?

Les compagnies travaillent-elles ensemble pour partager le remplissage des avions ?

Le groupe pétrolier BP nous livre quatre fois par semaine. Puis ce sont les agents avitailleurs de l’aéroport qui ravitaillent les avions.

La plateforme est-elle en mesure de faire atterrir des avions en cas de très mauvaises conditions météorologiques ? Nous sommes équipés en matériel d’aide à l’atterrissage, permettant d’atterrir dans presque toutes les conditions. En cas de visibilité à moins de 750 m, les avions sont déroutés vers Lyon, si les conditions ne s’améliorent pas. Nous enregistrons 3 ou 4 déroutements par an, notamment en raison du brouillard.

Les redevances aéronautiques sont-elles moindres pour une petite plateforme, permettant d’être plus compétitive auprès des compagnies ? Les redevances sont négociées avec les compagnies, nous nous alignons sur ce qui se fait ailleurs. C’est avant tout la stratégie commerciale des compagnies qui fera qu’elles viennent s’implanter là ou elles ne sont pas présentes. Ici, il n’y a rien à moins

Non, car nous n’avons pas de gros porteurs. En revanche, nous n’avons pas encore trouvé de compagnies pour mettre en place des accords interlines. Ces derniers permettraient aux passagers de s’enregistrer à Tavaux, puis rejoindre l’autre bout du monde en passant par un hub, grâce aux possibilités de pré-acheminement.

Comment s’annonce la saison estivale ? Les objectifs sont supérieurs à 100 000 passagers, moins qu’en 2015 en raison de l’arrêt de la ligne vers Lisbonne. Nous aurons une moyenne de 17 rotations par semaine, ce qui s’inscrit dans la moyenne des années précédentes. On devrait rester sur ces objectifs pour les 3 ou 4 années à venir.

Même si Ryanair quitte la plateforme ? Nous partons à ce jour sur le même programme avec Ryanair. A eux de décider s’ils restent ou non. Mais ils ne partiront pas comme ça… Propos recueillis par C.G.


Aéroport Dole Jura 17

Pays de Lons n°103 - Mars 2016

ET DEMAIN, L’AÉROPORT ? Comment parler de l’aéroport, sans évoquer son avenir, prochainement lié à des décisions politiques tant du côté du Conseil départemental du Jura qu’à la nouvelle Grande Région Bourgogne / Franche-Comté. Pour l’heure, quand est-il ?

CLÉMENT PERNOT, Président du Conseil départemental du Jura “La délégation de service public confiée par le Conseil départemental du Jura au duo Keolis/Chambre de Commerce et d’Industrie du Jura pour la gestion de l’aéroport court jusqu’en 2019. Le renouvellement ou non de cette délégation se préparera dès 2017/2018. Le département du Jura ne souhaite plus financer seul 3 des 4 millions néces­ saires au fonctionnement de la structure. Nous sommes donc simplement à la recherche de partenaires pour pérenniser l’activité. Je rappelle que les Jurassiens représentent 18 % des 135 000 passagers annuels. Le restant venant à 95 % de Bourgogne/Franche­Comté. Il serait difficile aujourd’hui de se priver d’un tel équipement, d’autant plus si la fermeture de l’aéroport de Dijon se confirme. Je ne désespère pas que des solutions soient trouvées avec la nouvelle Grande Région, les départements voisins ou autres collectivités. Nous restons ouverts à toutes propositions.”

MARIE-GUITE DUFAY, Présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté “Nous proposerons à l’occasion du débat sur les orientations budgétaires du 18 mars prochain le lancement d’un audit des fonctions aéroportuaires en Bour­ gogne­Franche­Comté, afin d’établir un diagnostic et des préconisations de déve­ loppement rationnel et équilibré. Cet audit sera confié à un prestataire indépen­ dant et devra associer tous les acteurs partie prenante (collectivités locales, CCI, acteurs économiques et du tourisme notamment). Une restitution de cet audit pourrait être programmée pour une conférence territoriale de l’action publique (CTAP) qui sera à organiser au début du second semestre (septembre­octobre).”

39 AUTORISATIONS POUR LES TAXIS DU GRAND DOLE Lors de la dernière assemblée générale de la Fédération jurassienne des taxis indépendants début février, le directeur des services du cabinet du préfet du Jura a annoncé que 39 autorisations de taxi pour l’aéroport de Dole allaient être délivrées. Seuls les taxis du Grand Dole seront autorisés à stationner.

CONTRÔLEUR AÉRIEN, LES YEUX DU CIEL !

On l’imagine isolé et coupé du reste du monde dans sa tour d’ivoire. Et pour­ tant, le contrôleur aérien, plus com­ munément appelé aiguilleur du ciel, est en liaison permanente avec les pilotes et les autres centres de contrôle en France. Ces travailleurs de l’ombre assurent une mission essen­ tielle : éviter que deux avions ne se percutent. Sans aiguilleurs du ciel, pas de trafic aérien. A l’aéroport de Tavaux, ils sont cinq contrôleurs aériens, dirigés par Louis Grossmann, A droite, Louis Grossmann, chef de la circulation aérienne, tous chef de la circulation aérienne dépendants de la DGAC, la Direction générale de l’aviation civile. Son métier, comme celui de ses cinq collègues : ordonner le trafic, orchestrer le ballet des atterrissages et des décollages sur son secteur, grâce à un outil, le radar. “L’espace aérien est divisé en plusieurs zones : l’es­ pace supérieur, entre 6 et 18 km de hauteur, surveillé par cinq grands centres en France. En dessous, dans la zone “terminale”, les avions sont gérés par des zones “d’approche” qui cou­ vrent plusieurs aérodromes. Ici, Bâle­Mulhouse surveille notre zone terminale. Enfin, la zone d’aérodrome dont on s’occupe ici concerne toutes les trajectoires en dessous de 600 m, pour un diamètre de 15 km” explique Louis Grossman. Sur ce secteur, les aiguilleurs surveillent donc tous les atterrissages, les décollages mais aussi les entraînements. Soit environ une qua­ rantaine d’avions par jour en moyenne (jusqu’à 70 en été) à coordonner. Lorsque plusieurs aéronefs se présentent en même temps, ils sont invités à “tourner en rond” en attendant leur tour, dans un circuit d’attente dans les airs ayant la forme d’un hippodrome. Autant dire que la rigueur et le self­control sont les qualités qui doivent guider l’aiguilleur du ciel. “Maî­ triser la situation et non la subir, ajoute Louis Grossmann. A une vitesse de 7 km/ minute en moyenne dans notre zone, 20 secondes d’inattention et ça peut être la catastrophe.” Dans le ciel, outre le trafic des avions qui sont localisés en permanence grâce à leur transpondeur, il faudra être vigilant aux zones militaires interdites, le réseau très basse altitude de la Défense ou RTBA, destiné aux avions de chasse de l’armée. Dans notre secteur, la zone “R45” passe à proximité d’Arbois et de Chalon­sur­Saône.

PASSION DU MONDE, agence de voyages : “Un poste est financé grâce à nos activités liées à l’aéroport”

L’agence de voyages doloise Passion du monde, créée en 2008, fut une des seules agences jurassiennes à organiser elle­ même ses voyages au départ de l’aéroport de Tavaux. Aujourd’hui, elle poursuit cette offre de proximité, en partenariat avec le tour operator (TO) Top of Travel. Dès 2011, France Mandrille, responsable d’agence, mettait en place des rotations vers les Baléares et la Tunisie. “Ce fut une véritable volonté de proposer des départs locaux, alors que plus personne ne croyait en cette plateforme”, raconte la gérante. Malgré les risques financiers portés par l’entreprise seule puisqu’elle “fabriquait” ses propres L’équipe de Passion du Monde, agence de voyages doloise packages, impliquant l’affrètement des avions (jusqu’à 300 000 euros d’engagement financier par saison), le pari est relevé. Une vingtaine de vols sont organisés par an, et les seuils de rentabilité (entre 75 et 80 % de remplissage par avion) sont atteints. Depuis 2014, l’affrètement, c’est­à­dire la location d’avions, ne s’opère plus directement par les agences locales. “L’aéroport nous a proposé des solutions alternatives en partenariat avec les TO” poursuit France. Après Voyamar, c’est aujourd’hui Top of Travel qui fournit des voyages clé en main au départ de Tavaux auprès des agences locales, pour un coût inférieur. Ces dernières les revendent ensuite essentiellement à une clientèle individuelle. Face à cette concurrence, Passion du Monde a su se démarquer en continuant d’organiser ses propres programmes en partenariat avec Top of Travel. L’Italie du Sud et le Portugal du Sud notamment, séjours montés par l’équipe doloise, mais vendus par Top of Travel, qui porte donc les risques financiers. “Nous enregistrons environ 98 % de satisfaction de nos clients qui décollent de Tavaux. Le personnel accueillant et disponible est mis en avant, ainsi que la gratuité du parking, et l’accessibilité de la plateforme. Il manque désormais en priorité une salle d’en­ registrement plus spacieuse, ainsi qu’une salle d’embarquement plus grande.” France regrette aujourd’hui le manque de visibilité sur l’avenir de la plateforme, qui est selon elle un véritable poumon économique pour les professionnels de la région. “Toutes les agences de Bourgogne et de Franche­ Comté sont concernées et sensibilisées sur la question de l’aéroport Dole Jura. Sur les quatre salariés de l’agence, un poste est financé grâce à nos activités liées à la plateforme. Les agences n’ont pourtant jamais été consultées par les politiques sur leurs propositions pour développer l’infrastructure. Nous, entreprises privées, pouvons soutenir les départs avec un maximum de passagers, mais il faut une véri­ C.G. table volonté politique pour développer et pérenniser cet aéroport régional.”

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18 vivre ici DES VILLAGES Samedi 5 Mars Puces aux vêtements Messia-Sur-Sorne Vente d'habits, chaussures, bijoux, ceintures, tous tissus, accessoires qui vont avec l'habillement… A la salle des fêtes 40 rue Aimé Berthod

Jeudi 10 Mars O Dieu Poligny La première est l’Israélienne Eden Golan, professeure de renom en Histoire juive. Pacifiste, elle éprouve une forte empathie à l’égard du peuple palestinien, jusqu’au moment où elle échappe de justesse à un attentat kamikaze qui la traumatise. La deuxième, Shirin Akhras, palestinienne, est une étudiante musulmane âgée de 20 ans. Elle décide de sacrifier sa vie pour son peuple en se portant volontaire pour être kamikaze, mais avant de se faire exploser pour Allah, elle doit accomplir une série d’épreuves visant à tester sa volonté et la force de son âme. La dernière est l’Américaine Mina Wilkinson, militaire en mission sur le territoire israélo-palestinien. Les conflits entre Israéliens et Palestiniens composent sa routine quotidienne. Elle les observe d’un oeil parfois distrait, souvent blasé, mais non dépourvu de perplexité sur le rôle qu’elle est censée tenir au sein de ces conflits. 20 h 30 - Cave théâtre de Poligny Tarif : 7 et 12 euros Contact : miscene39@gmail.com

Dimanche 13 Mars Puces de la couture et des loisirs créatifs Macornay Tissus, laine, fils et cotons.. patrons, livres, revues, grilles, kits et modèles... Boutons, dentelles, rubans et perles... Machines à coudre,boîte à ouvrage, mannequin... Aiguilles, crochets... Matériel et outils de décoration, de bricolage... Passionnés de travaux manuels, artistes en herbe, vendeurs ou acheteurs ; venez vendre et/ou acheter ou tout simplement partager un moment convivial. Réservé aux particuliers Inscriptions au 06.83.68.79.76 www.foyerruraldemacornay

Samedi 2 Avril Puces aux jouets et puériculture Messia-Sur-Sorne Vente jeux, jouets de tous âges, livres, CD, DVD..... Habits de la naissance à 10 ans. Matériel et articles de puériculture A la salle des fêtes 40 rue Aimé Berthod Associations, annoncez GRATUITEMENT vos manifestations. Elles seront diffusées en ligne immédiatement et paraîtront dans la presse du mois concerné.

www.paysdelons.fr Rubrique “Annoncez votre manifestation” *Contenu de cette rubrique sous l’entière responsabilité des annonceurs

PORTRAIT - Larsen, illustrateur

“Un surnom à force de brouiller les ondes !” Celui qui a déchaîné les passions des auditeurs de Radio Lacuzon a hérité de ce surnom indélébile… celui de Larsen, il le revendique ! Les créations de l’illustrateur rayonnent aujourd’hui en Allemagne, en Suisse, et au Japon. “En 1983, j’étais venu parler de ma profession d’illustrateur sur la radio Lacuzon, mythique station lédonienne des années 82. Or, l’inter­ view qui devait durer une demi­heure, s’est transformée en un stage qui a duré plus de 4 ans.” Sa façon naturelle de s’exprimer le dis­ tinguant immédiatement, le jeune homme s’éprend de l’ambiance du studio de diffusion, et anime alors l’émission “Music­Power” dif­ fusée tous les jours de 17 h 30 à 19 h. Ce hit­ parade faisait la part belle aux nouveautés bouillonnantes très écoutées en raison de l’éclosion des radios libres. “J’avais un telle pêche, je bougeais tellement que ce terrible Larsen – un son sursaturé en général très aigu qui se produit lorsqu’un microphone passe devant un haut­parleur – était devenu ma marque de fabrique.” Moins connu sous le nom de Laurent Daniel, c’est son pseudo Larsen qui apparaît aujourd’hui encore sur ses carnets de chèques, sur ses factures, sur la

boîte aux lettres, et c’est ainsi qu’il a bâti une répu­ tation hors frontières. Bien qu’il s’en défende, Lar­ sen est considéré comme un artiste éclectique qui exprime son talent suivant des fulgurations, des flashs l’obligeant à un éveil permanent : “Il faut vite noter l’idée, le slogan qu’on a trouvé sous peine de le perdre”. C’est d’ailleurs ce qui l’a obligé à aména­ ger dans son pavillon­bureau deux salons diffé­ rents : un pour la semaine, l’autre pour le week­ end, car le repos de l’esprit est nécessaire pour être performant. Issu d’une famille versée dans l’art – maman est styliste, papa est à ses heures per­ dues un dessinateur hors pair, son oncle est sculp­ teur… – lui dessine ses premiers indiens à l’âge de 4 ans. A 16 ans, il bénéficie d’une dérogation pour entrer aux beaux­arts de Besançon, puis il intègre une agence de pub à Paris avant de s’installer à son compte dans la préfecture jurassienne en 1994. Les créations de Larsen rayonnent en Allemagne, en Suisse, et au Japon. Quotidiennement à 20 heures, il donne rendez­vous à son public via Facebook

Maison de la Vache qui rit

Lab’bel “met à nu” sa collection Le Laboratoire Artistique du Groupe Bel, Lab’Bel, expose sa collection d’art contemporain dans trois lieux différents : la Maison de la Vache qui rit à Lons, le musée des beaux-arts de Dole, et au jardin du Belvédère Calonne de Sappel à Baume-les-Messieurs.

Depuis sa création en 2010, Lab’Bel, Le Labo­ ratoire Artistique du Groupe Bel, constitue une collection d’art contemporain, qui pour être encore modeste par le nombre de ses œuvres, compose déjà un ensemble caracté­ risé par une approche marquée sous le triple signe du décalage, de l’humour et de l’imper­ tinence. Jouant sur le titre d’une des œuvres les plus emblématiques de Marcel Duchamp – “La Mariée mise à nu par ses célibataires, même” – Lab’Bel souhaite donc mettre “à nu” sa propre collection en la déployant dans trois lieux différents, tous situés dans le Jura : La Maison de La Vache qui rit (Lons­le­Saunier ­ du 19 février au 1er mai 2016), le Musée des Beaux­Arts de Dole (du 18 mars au 22 mai 2016), le magnifique jardin du Belvédère Calonne de Sappel à Baume­les­Messieurs (les week­ends du 18 mars au 30 juin 2016). Pour Lab’Bel cette “mise à nu” consiste à dévoiler ses dernières acquisitions et interroger les enjeux d’une collection d’art contemporain.

© Groupe Bel-HPFeldmann-2015

> ROUTE

Pays de Lons n°103 - Mars 2016

Une des œuvres présentées lors de l’exposition, la Boîte Collector Vache qui rit Hans-Peter Feldmann.

en dépôt la collection, présente quant à lui une sélection composée d’œuvres de James Clarkson, Chris Evans, Jef Geys, Gabriel Kuri, Benoît Maire, Jonathan Monk, Jorge Pedro Nuñez, Roman Ondák, John Stezaker et Slaven Tolj. Sculptures, installations, vidéo, photos et peintures ponctuent un parcours structuré sur de longs couloirs, jalonné de surprises où le principe de réappropriation, largement pratiqué par les artistes rassemblés, permet par moments de déployer le principe même de la collec­ tion au regard d’une autre. Enfin, l’environnement natu­ rel du jardin du Belvédère Calonne de Sappel à Baume­ Lons-le-Saunier, Dole, Baume-les-Messieurs, trois muséographies pour trois lieux différents les­Messieurs est propice au dévoilement et à l’épanouissement du corps comme en témoigne un Chacun des trois lieux, en raison de sa nature ensemble de sculptures et une animation esquissant des et de son statut, induit ses propres logiques pas de menuet de Daniel Dewar & Grégory Gicquel. d’exposition, de sélection et de dialogue entre les œuvres. Déshabillages ludiques, souvent Visites guidées itinérantes… Afin de mettre en place très colorés et ironiques animent par exemple d’autres séries de dialogues avec les pièces exposées, la sélection présentée à La Maison de La vache l’exposition propose également une série de rencontres et qui rit où sont rassemblées des pièces de Tho­ d’événements. Un week­end spécial de visite est organisé mas Bayrle, d’Étienne Chambaud, de Hans­ les 2 et 3 avril durant lequel des navettes gratuites Peter Feldmann, de Ryan Gander, de Rubén permettront de circuler entre les trois lieux. Réservations - Musée des Beaux-arts de Dole par email : Grilo, d’Anna Molska et d’Ugo Rondinone. Le Musée des Beaux­Arts de Dole, où est mise l.collombier@dole.org ou par téléphone au 03 84 79 25 85.

pour un dessin humoristique sur l’actualité. Il est encore critique d’art en commentant des tableaux de maître sur la toile, et donne quelques conférences auprès des jeunes écoliers locaux qu’il décrit B.W. “passionnants”. Pour le découvrir : larsen-illustration.com

CONSEIL DÉPARTEMENTAL

René Millet, une grande figure jurassienne nous a quittés Le 22 février, les Jurassiens ont appris, avec une immense tristesse, le décès de René Millet, à l’âge de 79 ans, ancien Vice­président du Conseil général du Jura, Maire de Granges­sur­Baume et Président de l’Association des Maires du Jura. Né en 1937, René­Joseph­François Millet, fils d’agriculteur, agent d’assu­ rances, s’engage très jeune au service du Jura, dans une carrière politique longue, humble et sans discontinuer. Elu dans la commune de Granges­sur­Baume en 1965, il en est le pre­ mier magistrat jusqu’en 2008. Il participe à la fondation de la Com­ munauté de Communes des Coteaux de la Haute­Seille, dont il est le Président et principal promoteur. Conscient du rôle des maires, pour accompagner la vie des territoires ruraux, il occupe la présidence de l’Association des Maires du Jura, jusqu’en 2006. Il fut responsable de son essor et de son actuelle efficacité dans la défense de la diversité rurale jurassienne. Il est élu dans le Canton de Voiteur, devenu le Canton de Poligny, durant quatre mandats (1982­2008), à la suite de Pierre Peltier, puis du Sénateur et Président du Conseil général Jean Gravier, pour qui il conserve une grande admiration et une grande fidélité politique. En effet, issu du Centre­droit démocrate­chrétien, René Millet avait un goût prononcé pour les valeurs qui ont très long­ temps fondé le consensus démocratique jurassien. Il prend tour à tour les fonctions de Vice­président chargé de la Charte intercommu­ nale, des Affaires Scolaires et Culturelles, de l’Enseignement et de la Formation, puis des Infrastructures, des Transports et de la Voirie. Son expertise et son état d’esprit volontaire dans chacun de ces domaines ont fait avancer le Jura. Fidèle à ses prédécesseurs et for­ midable organisateur, il fut aussi un passeur de l’esprit d’engage­ ment, afin que les Conseillers généraux, au­delà des différences de générations, se côtoient pour transmettre et apprendre les uns des autres. Clément Pernot, Président du Conseil départemental du Jura, a tenu à saluer ce grand Jurassien, duquel il a beaucoup reçu et dont il témoigne aujourd’hui de l’influence positive : “Tous, nous gardons le souvenir d’un homme profondément jurassien par ses racines et son engagement, toujours accessible pour chacun, un homme de conviction et d’écoute, d’une grande humilité. Il prenait toujours le parti du consensus, de la concorde et l’action discrète et efficace. Les Jurassiens lui doivent beaucoup”.


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Pays de Lons n°103 - Mars 2016

CONSEIL DÉPARTEMENTAL - TOUR DE FRANCE

Clément Pernot s’engage pour la convention 2016-2018

Partenariat Assemblée des Départe­ ments de France (ADF) / Amaury Sport Organisation (A.S.O.), le Prési­ dent du Conseil Départemental du Jura a vécu, ce mercredi 17 février 2016, une belle journée particulière, rayonnante même puisqu’elle était placée sous le signe du vélo ! L’hôtel Sully, siège parisien du Cen­ tre des Monuments Nationaux pré­ sidé par Philippe Bélaval, accueillait un aréopage composé de présidents de conseils départementaux et de représentants d’A.S.O. emmenés par Christian Prudhomme, avec la presse pour témoin. L’objectif de cette manifestation était triple : pré­ senter le partenariat ADF /A.S.O., communiquer sur la nouvelle marque “Départements de France”,

valoriser l’implication de l’ADF (pré­ sidée par Dominique Bussereau, ancien ministre) et des Départe­ ments dans l’organisation du Tour de France. Il est vrai que les départements sont concernés au premier chef par la mythique épreuve cycliste puisque la course en traverse 35 cette année, la quasi­totalité du parcours (97 %) empruntant des routes départementales. Ce Tour cru 2016 sera un Tour encore plus “vert” avec un soin particulier accordé au ramassage des déchets (notam­ ment dans les espaces sensibles) et aux solutions collectives d’achemi­ nement des spectateurs. Clément Pernot, en charge du Tour de France pour l’ADF, a donc assisté

le Président Bussereau lors de la signature de la convention de parte­ nariat technique, valable trois ans. Cette convention revêt une grande importance pour les deux signa­ taires : d’une part, les Départements assurent avec leurs agents, l’organi­ sation technique (préparation, entre­ tien et sécurité des routes), d’autre part A.S.O. utilise tous les outils de communication pour promouvoir les Départements. Le Président du Département du Jura occupe ainsi un rôle­charnière avant, pendant, après l’épreuve à résonance interna­ tionale dont les organisateurs ont bien compris une réalité : sans les territoires et leurs habitants, le Tour ne tournerait pas…

Le comité des fêtes de Montmorot.

MONTMOROT

“Es-tu historia comtois” le 5 mars

Le comité des fêtes de Montmorot propose le spectacle “Es tu historia comtois” le samedi 5 mars, à 20 h 30, à l’église de Montmorot. Une troupe musicale (25 musiciens, un narrateur et un comédien) vous fera revivre l’époque très tourmentée de notre région aux XVIe et XVIIe siècles. La création de ce spectacle et les compositions musicales ont été réalisées par un Catharu, Philippe Pernet. “Ce spectacle a déjà été présenté dans différentes communes du département. Je l’avais découvert avec plaisir à

Briod, se souvient Céline Trossat, bénévole de l’association. Philippe Pernet habitant Montmorot, je me réjouis que le comité des fêtes permette de le faire connaître gratuitement aux Catharus.” Le lendemain, le dynamique comité et Modélisme 39 proposeront un salon du modélisme, de 10 h à 18 h, à la salle des fêtes. Sur près de 1 000 m2, le public pourra découvrir camions, voitures, avions, bateaux, trains… une fois encore gratuitement.

> 10/10 - Pôle art au département !

Depuis plusieurs années, l’association Artpol propose des expositions d’artistes jurassiens. Celles-ci sont installées dans le hall de l’hôtel du département du Jura. L’édition 2016 est baptisée 10/10 (dix sur dix) et sera visible à partir du 1er mars 2016. Artpol, association franc-comtoise d’artistes plasticiens, poursuit un beau cheminement depuis sa création en 2004. Son nom exprime sa philosophie : l’art est dans la cité et participe à sa vie, art et société s’irriguant mutuellement. “Chaque territoire produit des talents propres à son environnement, son histoire, son paysage économique et social ; le Jura constitue alors la « matière première » pour tous ces artistes”. Ceux-ci, non contents d’exposer, d’animer, de partager, exportent aussi leur Jura de cœur, en d’autres régions et pays. Créer, c’est communiquer, donner à voir et naturellement se tourner vers les enfants des écoles. Des visites guidées vont permettre à 500 bambins de découvrir les dix artistes de ce millésime 2016. Paul Gonez (sculpture mixte sur bois et métal), Jean Daubas (photographie), Jacky Grossiord (installation/encaustique), Daniel Léger (composition mixte), Isabelle Grandvaux (peinture sur support rigide/sculpture), Evelyne Cêtre (peinture), Marcelle Mille (craie grasse), Talaat Jaber (peinture), André Choteau (photographie), Noëlle Damnon(peinture). L’exposition 10/10 est visible dans le hall du Conseil départemental du Jura durant les heures d’ouverture : 8h30-12h30 / 13h30-17h30

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>SPECTACLES - THÉÂTRE Vendredi 4 mars

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“Batman contre Robespierre” Théâtre

Collectif d’acteurs, auteurs, metteurs en scène, scénographe, musiciens. Lons-le-Saunier, l’Amuserie, 21 h. 6 et 9 euros. Réservations : 03 84 24 5561.

Lundi 7 et mardi 8 mars

“De Passage” - Marionnettes “De passage” est un voyage dans la géographie intime d’un enfant de neuf ans. Tous les soirs, sa génitrice part travailler. C’est donc seul que le bambin doit traverser un certain nombre d’épreuves, comme la confrontation avec la maladie, l’appréhension de la mort ou la quête de la vérité sur sa naissance pour pouvoir, au terme de cet apprentissage, tracer sa route, comme on dit aujourd’hui… Lons-le-Saunier, le Bœuf sur le toit, lundi 7 à 14 h 15 et mardi 8 à 10 h et 19 h 30. 10 à 13 euros. Réservations : 03 84 86 03 03.

Vendredi 18 mars “Toute la mer du monde : le nouvel album de The Première Party” C’est un groupe solo ! Ou plutôt un solo de groupe, vu qu’il se retrouve seul avec sa guitare. Pas vraiment un gagnant ce Rockerlooser de “The Premiere Party”, mais très attendrissant, minable et finalement tellement marrant. Alex campe pile poil un personnage tout droit sorti d’un film ou d’une BD qu’on a l’impression de connaître. Lons-le-Saunier, l’Amuserie, 21 h. 6 et 9 euros. Réservations : 03 84 24 5561

Mardi 22 mars

“Le Dernier Contingent” Théâtre Librement inspiré du roman éponyme d’Alain Julien Rudefoucault, Le Dernier contingent raconte le parcours de six adolescents tout juste sortis de l’enfance… et déjà en perdition, subissant de plein fouet la violence de l’époque, l’incapacité

de la justice et de la police, l’impuissance des éducateurs, la démission des parents et le règne de l’argent-roi. Conçu comme une tragédie de la modernité, le texte prend la forme d’une catastrophe culminant, comme il se doit, dans une scène finale apocalyptique… Lons-le-Saunier, le théâtre, 20 h 30, de 11 à 21 euros. Réservations : 03 84 86 03 03.

Mardi 29 mars

“Rouge” - Danse hip-hop Pourquoi intituler un spectacle Rouge quand le rouge n’apparaît ni dans le décor, ni dans les costumes, ni dans les lumières ? C’est la question qu’on peut se poser devant la dernière création de la compagnie S’Poart. La réponse est simple : par goût du paradoxe… Lons-le-Saunier, Le Théâtre, 20 h 30, de 11 à 21 euros. Réservations : 03 84 86 03 03.

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