Pays de Lons 109

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Octobre 2016

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Pays de Lons n°109 - Octobre 2016

Immersion à la 730e foire traditionnelle de Bletterans !

Du 9 au 11 septembre a eu lieu la foire de Bletterans sur le thème “Les Gaulois s’invitent”. Le mardi 13 septembre, la célèbre foire traditionnelle de la ville s’est ensuite installée dans les rues. Depuis 730 ans, ce rendez-vous festif et gourmand est devenu incontournable. Le temps d’une journée, immersion au cœur de ce rendez-vous unique.

De multiples couleurs, des produits de qualité, de la musique festive et de nombreux visiteurs… la foire traditionnelle de la Mi S’tembre de Bletterans est le rendez­vous à ne pas manquer. Ce mardi 13 septem­ bre, le public est toujours aussi nombreux et se presse devant les différents stands. Que ce soit au marché couvert, place Orion, sur le parking des Carmes ou au marché rue de la Demi­lune, tout le centre de Blet­ terans est en fête. Les animations sont nombreuses et variées : fabrication de Comté à l’ancienne, ani­ mation avec des cors de chasse, des expositions ou encore la présence de nombreux animaux : ovins, caprins, chevaux, poneys, chiens, chats. Plus loin, sous un chapiteau, un jury goûte et compare des fro­ mages de chèvres et de brebis. Il s’agit du concours de fromages de Franche­Comté organisé durant la foire. Pendant que certains dégustent, d’autres décident de profiter d’un baptême de l’air en hélicoptère.

Lors de cette journée, on ose tout !

De la gourmandise aux savoir-faire…

Les 73 exposants mettent à l’honneur la gastronomie (fromages, pain d’épices, oignons, nougat, noisettes, miel, huiles, jus de pomme, pains et pâtisserie, vins et champagnes…) mais aussi le savoir­faire créatif (savons, bijoux, fleurs séchées…) ou encore les machines agricoles et les animaux. Autant de diversités, tous complémentaires et témoignant d’un certain savoir­faire local. Pour terminer cette journée, direction le repas de clôture au marché couvert pour goûter la nourriture gauloise. Au menu : le célèbre sanglier d’Obélix, de la musique et des danses entraînantes. La soirée prend fin. Il est grand temps de remettre son chapeau gaulois et de se donner rendez­vous l’année prochaine ! Et dire que cela dur depuis 1286… F.P

TROIS QUESTIONS À FRANÇOIS PERRODIN, maire de Bletterans

Pourquoi la foire traditionnelle de Bletterans est-elle organisée le mardi ? Comment a-t-elle évolué au fil du temps ?

Cette foire a toujours été organisée le mardi, après la nativité de la vierge qui tombe le 8 septembre.

Au fil du temps, la date du 2e mardi de septembre s’est instaurée. L’idée a été évoquée d’organiser la foire le samedi pour avoir plus de monde, comme l’ont fait d’autres foires, mais nous avons pour le moment toujours respecté la tradition. Il y a 30­ 40 ans, avec la baisse des stands d’animaux, nous avons voulu donner un coup de jeune à la foire en l’orientant dans l’esprit d’une foire comtoise où sont proposés des produits locaux.

Pour cette 730e édition, le public était-il au rendez-vous ? Quelles étaient les nouveautés ?

Cette année, nous avons eu une grosse affluence le samedi soir. Entre 5 000 à 6 000 personnes sont

E TAT C I V I L

venus assister au défilé folklorique des associa­ tions, au feu d’artifice “son et lumière” et à la fête foraine, ouverte très tard dans la nuit. Enormé­ ment de visiteurs sont venus aussi sur l’ensemble du week­end. Nous avons eu beaucoup de chance avec le temps. Les curieux ont pu profiter de l’ex­ position de voitures anciennes le dimanche et de la brocante de 60 exposants attirant plus de 2 000 visiteurs sur les deux jours. Nous sommes même obligés de refuser des exposants pour manque de place et pour plus de sécurité. Du côté de la sécu­ rité justement, l’entrée de Bletterans a été sécuri­ sée avec l’aide de la gendarmerie. Des nouveautés ont aussi été mises en place : les baptêmes en héli­ coptère le mardi et, pour la deuxième fois seule­ ment, une belle pièce de théâtre était proposée le vendredi. Au vu de la qualité du théâtre­spectacle, on s’attendait même à encore plus de monde…

Marie-Claude Cartaux : “Je n’habite pas loin de Bletterans et j’aime venir à la foire pour me promener et découvrir les nouveautés. Je m’intéresse à tout, des gourmandises aux animaux. Je regarde les produits et j’aime me laisser ten­ ter pour l’achat d’un objet coup de cœur. Nous sommes venus tôt ce matin et je trouve déjà qu’il y a du monde. Le parking était plein mais nous avons tout de même trouvé une place un peu plus loin. Chaque année, si le beau temps est là, je viens forcément à la foire. J’ai aussi l’habitude de venir toute l’année faire des achats au marché de Bletterans”.

Michel Meugnier : “Je viens une fois de temps en temps et d’autant plus depuis que je suis en retraite. Du coup, depuis quatre ans, nous venons tous les ans. Je ne cherche rien de spécial mais je viens par curiosité et pour l’ambiance. J’aime le concept de la foire, me promener, découvrir et rencontrer des gens. Avec mon épouse, nous sommes venus ce matin, nous allons ensuite au res­ taurant puis nous reviendrons en fin d’après­midi, vers 16­17 h pour terminer la journée. Désormais, nous bloquons la date de la foire pour pouvoir être présents. Après je trouve que cette année, il y a moins de choses que l’année dernière et moins d’exposants”.

Pourquoi avoir choisi ce thème des Gaulois ?

Quel sera le thème de l’année prochaine ?

Cette année, les Gaulois ont été le fil conducteur de la Mi S’tembre. Un thème amusant avec un clin d’œil à l’histoire puisque Bletterans a été traversée par l’ancienne voie gallo­romaine reliant Lons à Chalon pour transporter le sel. Et la légendaire race de notre poulet de Bresse s’appelle La Gau­ loise. Pour développer cette idée, j’aime dire que Bletterans est une ville où l’on peut s’amuser et faire des “Gauloiseries” ! Après, il est vrai que l’or­ ganisation de la foire demande beaucoup de tra­ vail. Une chose est certaine, le prochain thème n’est pas encore défini…

Hugo de Benoît BARTE et Olivia UTTENWEILER, Courbouzon Sasha de Anthony BLANC et Tom de Patrick BUCHIN et Angélique REVERCHON, Amandine GIRARD, Alièze Courlaoux Tom de Nicolas FROMENT et Timéo de Julien OUDOT et Marie­ Cyrielle PACCARD, Baume­les­ Claire STELY, Geruge Messieurs Léo de Yoan BOUILLOD et Loan de Laurent SAGE et Julia Amandine DUBOIS, L’Étoile DEPROST, Beaufort Laly de Anthony JOUVENCEAU et Lysa de Brice BÉJANNIN et Jessica VARONE, Larnaud Karine GAMBS, Beaufort Mélisse de Ufuk AVCI et Lucile Iris de Youri GOYPIERON et DELAINE, Le Vernois Aurore BONNIN, Bletterans Adam de Laïd BENAISSA YAHIA et Lola de Romain LOCATELLI et Amira LAMRI, Lons­le­Saunier Leslie DEPAILLER, Clairvaux­les­ Lacs Isleym de Youssef SABRI et Marion VUILLEMIN, Lons­le­Saunier Sami de Pierre­Henry MANDRILLON et Houleye DIALLO, Semih de Mustapha GEZER et Clairvaux­les­Lacs Vanessa URENA, Lons­le­Saunier Damien de Jérémie MARTEL et Ela­Deniz de Erdinç GÜL et Nazan Mathilde ANSTETT, Clairvaux­les­ ÖNAL, Lons­le­Saunier Lacs Elisabeth de El­Had BACAR et Théo de Victorien FAUTRELLE et Anchouroi CHIDOU, Lons­le­ Lucie ROUTIER, Commenailles Saunier Alessio de Grégory COSTA et Sara Véli de Altin MARRA et Precylla RICCI, Cosges ROCHE, Lons­le­Saunier Clara de Benoît BARTE et Olivia Firas de Messaoud BOUHEMBEL UTTENWEILER, Courbouzon et Laila SAIDI, Lons­le­Saunier

NAISSANCES

TÉMOIGNAGES DE DEUX VISITEURS…

Ayman de Lahoucine ER­RKHA et Julia CLERC, Macornay Joao de Jean­Paul LUIS et Justine BELLANGER, Macornay Gautier de Nicolas VALLET et Céline DUMON, Mantry Marceau de Antonin SAMMIER et Gaëlle BERNIER, Maynal Loan de Benoit BAUDRON et Sonia KRATTINGER, Maynal Clarisse de Romain BOURNY et Camille LAMY, Messia­sur­Sorne Malak de Abdelouahd DEMNATI et Naïma SAADI, Montmorot Séraphine de Damien GAUTIER de BREUVAND et Florence VILLET, Montmorot Jules de Léo BORDIER et Laura PEPE, Montrond Aloïs de Alexandre GUILLAUME et Meggy RUFENACHT, Orgelet Enzo de Enrique GIROD et Christelle JOLY, Perrigny Léana de Stéphane TOUZALIN et Angélique MARTINEZ, Perrigny Théo de Willy VACHÉ et Julie BRIET, Picarreau Louis de Charly SIMONIN et Laura FEBVRE, Poids­de­Fiole

Emma de Franck LOUREIRO et Prescilia DANAS, Poligny Pablo de Cyril TOURNIER et Jacqueline LAIGROZ, Poligny Marilou de Sébastien GAUTHRAY et Florine CHARPY­GUITTAT, Relans Mathis de Damien BOISSON et Stéphanie GRAPPIN, Ruffey­sur­ Seille Emma de Alexandre THOMASSIN et Muriel VAUCHER, Sainte­Agnès Altaïr de Belaid BOUAZZAOUI et Gabrielle HEITZINGER, Sellières Lenny de stéphane FUMEY et Céline SOUSSIA, Thoiria Léna de David MASUÉ et Angélique BERTRAND, Toulouse­ le­Château Nino de Thibault LABOURIER et Aurélia PONTAROLLO, Villevieux

BOURGEOIS André, Chaumergy, 93 ans MATHIEUX Michel, Condamine, 79 ans BELLEVILLE Jeanne, Cousance, 96 ans GEOFFROY Philippe, Digna, 55 ans LACROIX Odile, La Tour­du­Meix, 80 ans DOURIAUD Jeanne, Lons­le­Saunier, 93 ans DOLE Monique, Lons­le­Saunier, 76 ans BANDRIER Gilberte, Lons­le­Saunier, 77 ans CHOQUET Marie­Thérèse, Lons­ le­Saunier, 96 ans MASSON Robert, Lons­le­Saunier, 93 ans MESSINGER Christiane, Lons­le­Saunier, 90 ans DOBEK Alain, Lons­le­Saunier, 58 ans VINCENT Louis, Lons­le­Saunier, DÉCÈS 68 ans MOREY Joël, Bletterans, 69 ans VINCENT Irène, Lons­le­Saunier, BRENIAUX Francis, Brainans, 84 ans 85 ans GRANDPIERRE Daniel, Buvilly, 80 ans MARQUE Gaëtan, Lons­le­Saunier, COTON Victorine, Cesancey, 89 ans 26 ans

DU CÔTÉ DES EXPOSANTS… M. et Mme Cugnot, éleveurs de chevaux : Fidèles habitués sur la foire, M. et Mme Cugnot en ont perdu la notion du temps. “Cela fait 15 ans que nous exposons” raconte Mme Cugnot. “Non, cela fait plus de 25 ans” reprend son mari. Ce qui est certain c’est que le couple éleveur de chevaux vient ici avec passion. “Nous prenons un réel plaisir à préparer nos chevaux. Ils sont lavés et coiffés pour l’occasion. Certains avec des nattes, d’au­ tres des couettes. Nous avons pour la foire six juments et un étalon.

L’une des juments a même gagné récemment le concours départe­ mental « Modèles et allures » de Saint­Germain­du­Bois”.

M. Toinard, apiculteur : “Cela fait 14 ans que je participe à la foire. Je propose mes produits réalisés dans mon exploitation de Saille­ nard. Je pense que c’est un très bon moyen de promou­ voir les créations et de mettre en valeur notre métier et notre savoir­faire. Cette manifestation met bien en avant les activités et elle est bien fréquentée, tout en touchant un secteur local. Le public répond bien. J’ai une clientèle d’années en années qui a l’habitude de venir acheter mes produits lors de cette foire.”

CAVALIÈRE Nicole, Lons­le­Saunier, 70 ans BOUCHARD André, Lons­le­Saunier, 91 ans POUILLARD Andrée, Lons­le­Saunier, 95 ans DESQUIENS Simone, Lons­le­Saunier, 85 ans RUZAFA ROMERO Rufino, Lons­le­Saunier, 80 ans CHARBONNIER Alexandre, Mantry, 80 ans LEVILLAIN Gisèle, Marigna­sur­ Valouse, 74 ans MALLET Numa, Messia­sur­Sorne, 91 ans NOIRAUT Madeleine, Miéry, 80 ans GENEVOIS Roland, Montmorot, 64 ans DALOZ Aline, Onoz, 101 ans GONNET Gérard, Perrigny, 88 ans GENTELET Simone, Quintigny, 86 ans CRUAT Suzanne, Saint­Laurent­la­ Roche, 95 ans ATKINS Robert, Saint­Maurice­ Crillat, 65 ans BIALLUCH Christel, Vincent, 81 ans NOIROT François, Voiteur, 87 ans

Zone des Epenottes BP 212 - 39102 Dole Tél. 03 84 82 50 21 n°ISSN : 1 778-820X Imprimé en France

Rédaction : redaction@paysdelons.fr Régie publicitaire Tél. 03 84 82 50 21 Portable 06 33 79 00 94 commercial@paysdelons.fr

JULIEN

PALOMÉRA ÉLECTRICITÉ & DÉPANNAGE “ Je manage, je ne coordonne pas, je gère” En se définissant manager, l’électri­ est installée depuis maintenant de nom­ Julien donne l’exemple de cette pharmacie ou encore de l’entreprise Cash Converter à cien Julien Paloméra met son breuses années. auditoire instantanément au courant. Formé au CFA bisontin Vauban, il a gravi Dole pour lesquelles il a dernièrement tous les échelons depuis l’apprentissage : employé, responsable de chantiers dans le groupe SPIE TRINDEL pour la partie indus­ trie, associé avec son frère José. La diversité des chantiers qu’il a eu à traiter lui confère une autorité rarement remise en cause.

“Les temps changent”, assure pourtant celui qui s’est rapidement adapté à un marché en pleine expansion, celui de manager.

Il explique que depuis quelques temps le client en mal de travaux cherche du clefs en main plutôt que des entreprises séparées.

L’idée faisant son chemin, le chef d’entreprise est maintenant capable de prendre un chan­ tier de A à Z, de l’organiser et de le suivre.

“Je suis un transmetteur d’ordres, je me place entre le client et des professionnels installés depuis longtemps sur le secteur, qui sont tous qualifiés : plus de temps perdu, plus de coup de fil sans réponse, terminés les rendez­vous inu­ tiles.”

assuré “sans surcoût puisque les entreprises restent indépendantes”, le management de

tous les corps d’état : du terrassier au maçon, du plaquiste au menuisier, du plom­ bier au carreleur... un service qui apporte la tranquillité au client ainsi que la garantie d’un travail exécuté par des pros qualifiés, locaux de surcroît.

Bien sûr, Julien assure toujours avec Vincent, l’ancien apprenti devenu son colla­ borateur, les dépannages, les mises aux normes, les installations de réseaux informatiques, installations en neuf et rénovations...

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Il explique ce qui à ses yeux fait la diffé­ rence. “35 ans d’expérience ça compte…” avance tout d’abord le chef de l’entreprise JULIEN PALOMERA­ELECTRIC­LEDONIA, bien connue dans le bassin lédonien. La société

4 culture Samedi 8 Octobre Conférence “Le Jura singulier de Pierre Klemczynski” - Lons-Le-Saunier Dans le cadre de l'exposition “Pierre Klemczynski (1910-1991). Peindre la sensibilité”, présentée jusqu’au 6 novembre au musée des Beaux-Arts, conférence de Sylvie de Vesvrotte : “Le Jura singulier de Pierre Klemczynski”. L'artiste déclare en 1972 : “Je fais un peu corps avec ce pays qui est le mien. Et j'avoue que j'ai un choc dans le Jura, parce que le Jura est très varié”. Le peintre né à SaintClaude peint régulièrement sites et paysages jurassiens. Mais surtout, il expose tous les ans à partir de 1949 et jusqu'en 1986 à Lons-le-Saunier ses toiles récentes, avant de les présenter dans les salons et galeries parisiens.

Fête de la Science : Quand les fossiles racontent le Jura… -

Lons-Le-Saunier - Le 8 et le 9 Octobre Les musées de Lons proposent une exposition sur la paléontologie. Musée des Beaux-Arts. Entrée gratuite.

Plus d’infos : https://facebook.com/museelons

Jeudi 13 Octobre Fête de la Science : ateliers lectures

Lons-Le-Saunier Proposés par la médiathèque des Cordeliers et l’association “Lire et faire lire”. Sélection d’ouvrages en lien avec la paléontologie et la géologie. Médiathèque des Cordeliers. Gratuit sur réservation au 03 84 47 85 50 ou 03 84 47 43 37.

Vendredi 14 Octobre Conférence : Etude et valorisation d’un site paléontologique à empreintes : la plage aux Ptérosaures de Crayssac (Lot)

Lons-Le-Saunier Conférence de Jean-Michel Mazin (Directeur de recherche émérite au CNRS). Etude et valorisation d’un site paléontologique à empreintes : la plage aux Ptérosaures de Crayssac (Lot). Maison commune (Espace Marjorie) 1025 rue des Gentianes. Gratuit.

Samedi 15 et dimanche 16 Octobre Fête de la Science : Quand les fossiles racontent le Jura… - Lons-Le-Saunier Exposition sur la paléontologie. Musée des Beaux-Arts. Entrée gratuite Plus d’infos : https://facebook.com/museelons

Jeudi 20 Octobre Un Maire de famille - Lons-Le-Saunier C’est l’histoire politique des communes et celle de Nicolas Debray ancien maire d’Étival dans le HautJura. Au-delà de la découverte de la vie d’un maire rural, cette conférence gesticulée pose la question de l’avenir des communes et plus largement de l’avenir de la démocratie. Rien que ça... A 19h30, salle de l'Atelier de l'Exil, Bœuf sur le toit. Entrée 9 € et 7 € (adhérent). Réservation très conseillée.

Samedi 5 Novembre Visite guidée de l'exposition “Pierre Klemczynski (1910-1991). Peindre la sensibilité” - Lons-Le-Saunier Visite guidée exceptionnelle de l'exposition par Bernard Chemorin, collectionneur et ami du peintre. Une occasion unique et originale de découvrir l’œuvre de Pierre Klemczynski. Auteur du catalogue raisonné de l’artiste, Bernard Chemorin pose son regard sur une sélection d’œuvres pour une visite haute en couleurs. A ne pas manquer !

Le festival Le Fruit des Voix 10e édition !

Le festival vocal Le Fruit des Voix fête cette année ses 10 ans. Une découverte musicale qui s’adresse à tous. Programme avec Annick Meschinet, la présidente de l’association organisatrice.

En 2007, le festival avait duré cinq jours, la 10e édi­ tion se déroule désormais sur trois semaines. Trois semaines de découvertes, de sonorités, de rythmes et d’expressions vocales très diversifiées.

L’association lédonienne Musik Ap’Passionato donne à voir des représentations variées, avec un souci d’être accessible au plus grand nombre.

“J’aime donner l’idée d’un fruit que l’on donne à goûter. Le public est invité à découvrir la singularité des voix dans toutes leurs formes d’expression et d’esthétique musicale. Cette découverte est une mise en appétit, une curiosité. Les prix sont très accessibles, avec une fourchette de 7 à 21 € envi­ ron. Au­delà du tarif, j’estime que le festival doit toucher aussi les “publics empêchés” comme ceux qui ne peuvent pas sortir ou se déplacer. Nous intervenons en maison d’arrêt, dans les établisse­ ments pour personnes âgées ou aussi en milieu scolaire” explique la présidente Annick Meschinet.

son tout nouvel album. Pour l’anniversaire du fes­ tival, la découverte et la fête sont plus que jamais au rendez­vous. L’événement est réalisé grâce aux mécènes, bénévoles, collectivités locales et territo­ riales, mais aussi les nombreux partenaires dont Les Scènes du Jura, le Moulin de Brainans, l’Amu­ serie, le Centre Culturel Communautaire des Cor­

Festival le Fruit des Voix. Toute la programmation : www.lefruitdesvoix.com. Association Musik Ap’Passionato. 03 84 24 86 89.

Un public varié, une programmation éclectique Les publics sont éclectiques, à l’image de la pro­ grammation. A découvrir : un feu d’artifice de sonorités avec 3SOMESISTERS, un voyage musical avec Radio Babel, du rire et du burlesque avec les quatre chanteurs de la compagnie Joe Sature ou encore l’artiste Dhafer Youssef qui vient de sortir

© Leny Guetta BD

Un feu d’artifice de sonorités avec 3SOMESISTERS

EN BREF

A bien y réfléchir, et puisque vous soulevez la question, il faudra quand même trouver un titre un peu plus percutant. Ça y est ! C’est officiel ! Après quelques jours passés dans son nouveau lieu de résidence, la compagnie des 26000 couverts va pouvoir vous présenter ce qui sera son pro­ chain spectacle de rue ! Bon, c’est encore une ébauche. Le texte n’est pas vraiment écrit, la musique est en cours, il y a des costumes qui manquent et de très gros problèmes d’accessoires à régler. Sans compter qu’il est assez périlleux de mener une procession avec une marionnette géante sur un plateau de théâtre...

Mais ces aléas sont relativement insignifiants au regard de la nature de cette procession. Il s’agit d’une cérémonie funèbre entremêlant légendes urbaines et faits divers macabres, destinée à célébrer l’absurdité risible de la mort.

Or, comme le demandait Molière dans Le Malade Imagi­ naire : “N’y a­t­il pas quelque danger à contrefaire le mort ?”. Si. C’est d’ailleurs pour ça que vous ne tarderez pas à percevoir des cris d’effroi dans les coulisses et des traces sanglantes sur les murs. C’est bien connu : à jouer avec le feu, on se brûle... À bien y réfléchir... débute donc sous l’éclairage fonctionnel du plein feu, avec une scène dépourvue de tout artifice, simple lieu de travail où les comédiens répètent du mieux qu’ils peuvent ; jusqu’à ce que des ombres se meuvent sur un écran improvisé, que la lueur d’un chandelier dévoile une scène de crime et que le plateau retrouve ses pleins pouvoirs de mystification. À bien y réfléchir... est du théâ­ tre dans le théâtre, qui vous fera partager la folle jubilation de ces moments de recherche où toutes les portes sont grandes ouvertes ; le seul petit souci, quand les portes sont grandes ouvertes comme ça, c’est que, parfois, elles claquent...

En tout cas, c’est surprenant, drôle et bien joué !

---> Associations, annoncez GRATUITEMENT vos manifestations sur notre site internet. Elles seront diffusées en ligne immédiatement et paraîtront dans la presse du mois concerné.

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deliers, mais aussi des structures comme l’Ellipse.

La salle de spectacles, gérée par l’association, vient de réouvrir à l’espace Les Mouillères et promet encore de nombreuses représentations…

© Raynaud de Lage

Pièce “démontée”. Théâtre 26000 couverts / P. Nicolle. Durée 1 h 45, dès 14 ans.

Les 11, 12, 13 et 14 octobre à 20 h 30.

Grande salle du Bœuf sur le Toit. 13 €, 10 €.

Infos / Réservations 03 84 86 03 03 contact@scenesdujura.com Abonnement http://www.lamuserie.com Coréalisation L’amuserie et Les Scènes du Jura, Scène Nationale. © Raynaud de Lage

LA PLACE DE L’ART DANS LA SOCIETE SAMEDI 8 OCTOBRE • à 16 h : projection d’un filmdocumentaire sur les trieurs de déchets au Brésil où l’artiste Vic Muniz a réalisé leurs portraits à partir de matériaux recyclables.

• 18 h : table ronde autour de 4 intervenants. Amélie Lavin, directrice du musée de Dole, Brigitte Renaud, présidente de Malbuisson’art, Catherine Grostabussiat, conseillère pédagogique en arts plastiques, Stanislas Belhomme, cofondateur du Mausa aux Forges de Baudin.

Salle du Carcom, place du 11 novembre à Lons-le-Saunier, DU 7 AU 9 OCTOBRE. Exposition. “Construction, déconstruction, bannières”.

Ouvert au public le vendredi 7 de 14 h à 19 h, le samedi 8 de 14 h à 18 h, le dimanche 10 de 10 h à 12 h et de 14 h à 19 h.

Hall du Carcom. Entrée libre.

Renseignements ARCO 03 84 37 59 93 / 03 84 43 21 00

Règlement disponible sur simple demande à assoc.lucas@gmail.com

>ROUTE DES VILLAGES

Pays de Lons n°109 - Octobre 2016

* Chez les commerçants munis d’un drapeau “Je par cipe” 8000 € en bons d’achat répar s comme suit : 1 lot de 1000 € / 2 lots de 500 € 4 lots de 200 € / 4 lots de 100 € 50 lots de 40 € / 140 lots de 20 € Un bulletin de participation sera remis par votre commerçant par tranche de 20 euros dʼachat (maximum 5) à déposer dans lʼurne située à lʼOffice du tourisme de Lons.

Jusquʼau 15 octobre 2016.

ORGANISÉ PAR LUCAS Lons Union Commerçants Ar sans Services

I Publirédactionnel

Lydie Jacquet a une vocation vraie pour son métier de conseillère funéraire.

C’est en faisant le point sur sa vie qu’elle a fait le choix de reconversion pro­ fessionnelle pour mettre cette vocation au service des familles touchées par un deuil.

Depuis votre arrivée au funérarium polinois, quels sont les changements que vous avez apportés ?

J’ai souhaité des locaux plus spacieux pour recevoir les familles dans d’excellentes conditions. Il existe un bureau contigu au funérarium qui permet d’organiser les obsèques dans la discrétion et le respect des familles. Le magasin d’articles funéraires a lui aussi été transformé pour offrir un plus grand choix. Le funérarium est revisité par une décoration sobre mais chaleureuse, avec des couleurs chaudes et apaisantes.

Les salons où reposent les défunts ont eux

Quelles sont les demandes des familles que vous recevez ?

Le contrat­obsèques qui permet de définir de son vivant le caractère et les modalités de ses funérailles. Une large gamme de monuments exposés à la marbrerie­usine

de Mont­ Sous­Vaudrey, siège Tanier depuis un siècle. Notre implantation bien ancrée, la qualité de notre accueil, notre savoir­faire reconnu, tout cela nous permet de répon­ dre à l’attente des familles.

aussi été repensés sur un concept plus pro­ pice au recueillement.

Disposez­vous d’une salle pour les cérémonies ?

Les familles polinoises trouveront au funéra­ rium Tanier une grande salle d’une capacité d’accueil de plus de 100 personnes où se déroulent les cérémonies. Il existe une tradition à Poligny, après la cérémonie d’hommage, la famille réunit ses proches et amis pour leur offrir le verre du souvenir et nous mettons cette salle à disposition. Ceci fait partie aussi de mon métier, accompagner les familles et répondre à leurs attentes.

Les Pompes Funèbres TANIER sont à votre écoute avec une assistance 7j/7 - 24h/24 Bureau ouvert du lundi au samedi de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 18 h.

Email : l.jacquet@p anier.fr Délégataire de la ville de Dole pour le CRÉMATORIUM

FUNERARIUM POLINOIS - 5, rue Roger Thirode - 39800 Poligny - 03 84 37 14 94 - 06 73 02 51 99

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Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons n° 101

Lydie Jacquet

Cœur de

LONS page urbaine du mois…

Ça vit en ville…

Une vingtaine d’associations étaient présentes à la fête du sport le 10 septembre dernier place de la Liberté…

Dominique Joseph - Président association LUCAS

“…une quinzaine commerciale, c’est du concret…”

DOMINIQUE JOSEPH SE DÉMÈNE POUR LE COMMERCE DU CENTRE-VILLE LEDONIEN. IL EST PRÉSIDENT DE “LUC AS” UNE DES DEUX ASSOCIATIONS DE COMMERÇANTS PRÉSENTES SUR LA VILLE. PAS UN PRÉSIDENT "PARCE QU'IL EN FAUT UN", MAIS UN PRÉSIDENT QUI A À CŒUR, AVEC LES MEMBRES DU BUREAU, DE FÉDÉRER ET DE PROPOSER DES ACTIONS CONCRÈTES. “DE FAIRE BOUGER LES LIGNES” COMME ON DIT !

COMME CETTE QUINZAINE COMMERCIALE ORGANISÉE EN OCTOBRE… Une quinzaine commerciale, un événement des temps lointains ? Non ! Une nouvelle animation commerciale mise en place par LUCAS, l’association lédonienne de commerçants. “Nous devons proposer des actions concrètes. Des événements qui profitent à notre clientèle mais aussi aux commerçants participants” annonce d’entrée Dominique Joseph. Le principe de la quinzaine commerciale est simple et ouvert à tous. Pour tout achat réalisé durant la période, des bulletins de participation sont remis par les commerçants. Les bulletins sont à déposer dans l’urne située à l’office de tourisme afin de gagner des bons d’achat après tirage au sort. Les bons d’achat sont à consommer chez les commerçants participants. La boucle est bouclée, tout le monde s’y retrouve ! “Une quinzaine commerciale, c’est du concret…” rappelle Dominique Joseph qui voit déjà plus loin. “Notre objectif est d’accueillir environ 150 commerçants dans l’association. Nous avons un beau centre-ville et les commerçants reprennent un peu confiance. A nous d’agir en groupe pour peser. Cette première opération est une étape vers les fêtes de Noël. Je suis confiant…” conclut Dominique Joseph.

UNE QUINZAINE COMMERCIALE A LONS-LE-SAUNIER DU 1ER AU 15 OCTOBRE 2016 A GAGNER : 8 000 EUROS DE BONS D’ACHAT 200 BONS D’ACHAT DONT UN BON DE 1000 EUROS !

UNE SOIXANTAINE DE COMMERÇANTS PARTICIPANTS

Christophe COUILLEROT - Biscuits Billiotte

“J’aime ma ville !”

SI ON LUI DEMANDE POURQUOI IL EST REVENU OUVRIR UNE BOUTIQUE À LONS, CHRISTOPHE COUILLEROT RÉPOND INSTANTANÉMENT QUE C’EST PARCE QU’IL AIME LA VILLE OÙ IL EST NÉ, QU’IL Y FAIT BON VIVRE, ET CERISE SUR LE GÂTEAU BILLIOTTE, PARCE QUE “LES LÉDONIENS SONT SYMPAS”.

Parti exercer à Dijon pendant 7 ans après avoir été 17 ans commerçant rue Jean Jaurès sous l’enseigne Jouet-Sélect, Christophe Couillerot a éprouvé le besoin de rentrer à la maison à l’occasion d’une restructuration d’entreprise qui l’emmenait à Orléans : “Je ne me voyais pas enfermé dans un bureau, un casque sur les oreilles à faire du phoning toute la journée”. Achat du fonds, maintien de la gamme,

Christophe reprend la Biscuiterie Billiotte, au 26 de la rue Lecourbe. Progressivement il ajoute les produits de petits producteurs locaux car “aujourd’hui on a plaisir à offrir un assortiment de biscuits, de confitures, de caramels, de café, de chocolats, d’épicerie fine… comme on offre des fleurs”.

Oui, mais n’oubliez pas les biscuits…

Biscuiterie Billiotte, 26 rue Lecourbe - Lons-le-Saunier - Tél. 03 84 43 11 72

Les temps changent…

Le Conseil municipal de Lons-le-Saunier s’est tenu ce lundi 26 septembre pour la première fois au nouvel hôtel de ville situé 4, avenue du 44e Régiment d’Infanterie. Fini l’ancien hôtel de ville historique qui accueillait les Conseils depuis… 1743, nous a-t-on précisé.

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12 MaG sports

Pays de Lons n°109 - Octobre 2016

Comité départemental olympique et sportif du Jura

Claude Azema “Le Jura va avoir un rôle à jouer en 2020” Alors que les Jeux Olympiques viennent tout juste de se terminer, connaissez-vous le Comité Olympique et Sportif du Jura ?

Visite guidée…

Mais alors, quelles sont les fonctions d’une antenne départementale ?

sportifs et de loisirs dans le Jura, soit un total de 55 000 licenciés. De l’aé­ ronautique, à la spéléologie, en pas­ sant par le ball­trap (cet entraîne­ ment à la chasse, pratiqué comme activité sportive) ou encore les échecs, le choix est donc très large.

Pour mieux gérer les demandes, l’association est constituée en trois commissions : l’animation, la com­ munication et le CRIB (Centre de Ressources et d’Information pour les bénévoles). Les 3 salariés et les 19 bénévoles œuvrent donc pour représenter les sports auprès du grand public et fédérer le mouve­ ment sportif jurassien.

La structure est constituée en asso­ ciation et fédère 50 mouvements

Des sportifs… et des

Un Comité Départemental Olym­ pique et Sportif existe dans le Jura et il est installé à Lons­le­Saunier !

Constitué en association, le CDOS est localisé rue Rouget de Lisle. Une fois la porte poussée, pas de dra­ peau tricolore, ni de Marseillaise (pourtant le nom de la rue l’évoque…). Le bureau reste discret mais Isabelle Maubert, agent de développement et infographiste, ainsi que ses collègues vous accueil­ lent chaleureusement.

bénévoles !

Des journées sportives et de remises de prix sont organisées régulièrement pour récompenser les jeunes sportifs ou les bénévoles “pas assez reconnus” clame Isabelle Maubert. Le comité c’est aussi des formations ouvertes à tous les bénévoles du Jura (assistance juri­ dique, aide aux démarches adminis­ tratives …), mais aussi du sport en milieu carcéral avec des interven­ tions plusieurs fois par semaine à la maison d’arrêt de Lons­le­Saunier.

Une seule devise : le sport pour tous !

F.P

LE MOT DU PRÉSIDENT, CLAUDE AZEMA “Le CDOS du Jura se porte bien, les idées et les activités ne manquent pas, mais il est vrai que nous faisons avec ce que nous avons. Nous manquons un peu de soutien et de moyens de la part des collectivités et de l’Etat. Je suis membre du conseil d’administration sportif français et j’étais à Rio pendant ces Jeux Olympiques. J’étais chargé d’accueillir les invités dans le club français mais aussi de faire découvrir la pétanque dans le cadre de la candidature de 2024. La pratique pourrait être reconnue comme sport à part entière ou additionnelle avec d’autres sports. Le Jura va aussi avoir un rôle à jouer en 2020 car nous allons accueillir trois épreuves (le combiné nordique, le saut et le biathlon) lors des Jeux Olympiques de la Jeunesse, réunissant des jeunes athlètes de 15 à 18 ans de plus de 200 pays à travers le monde !”.

Aurélie Vadrot - Club aquatique du bassin lédonien “Le CABL39 va bientôt plonger dans son grand meeting !”

C’est parti ! Le club aquatique du bassin lédonien est en plein préparatif de son grand meeting, prévu les 15 et 16 octobre prochains.

Michel Hallé, président du CABL39 et Aurélie Vadrot, entraîneur et responsable technique

Le club aquatique du bassin lédonien, le CABL39 pour les intimes, relance sa nouvelle saison après la réouverture du bassin Aqua’reL. Label­ lisé pour l’apprentissage de la natation, il déve­ loppe aussi bien sa pratique en compétition qu’en loisirs. “Les cours sont adaptés au niveau et à l’envie des nageurs” décrit Aurélie Vadrot, entraîneur et responsable technique. “C’est important que les personnes se sentent bien au club. Elles sont d’ailleurs accueillies à la carte en fonction de leur niveau” détaille Michel Hallé, le président du CABL39. Les sportifs disposent de bonnes conditions de pratique mais les locaux sont à partager : “Le même bassin est ouvert au public et à deux autres clubs”. Une logistique en somme pas toujours facile à mettre en place, surtout que le club souhaiterait développer de nouveaux projets comme l’ouverture d’une sec­ tion de natation synchronisée et une autre pour

la natation en eau libre pour nager en extérieur dans des lacs par exemple.

Rendez-vous au meeting…

Le club est en préparation du grand meeting de natation qui aura lieu les 15 et 16 octobre pro­ chains. “Cette année, nous l’organisons sur deux jours pour permettre à plus de personnes de venir et de multiplier les épreuves”. Selon Aurélie Vadrot, “Tout est fait pour accueillir au mieux les athlètes et les entraîneurs”. 100 nageurs avaient participé à l’événement l’année dernière. Pour cette dixième édition, les organisateurs espèrent faire aussi bien voire mieux que l’année der­ nière. “Nous souhaitons aussi constituer une équipe solide de bénévoles afin de continuer à organiser des événements comme celui­ci” lance F.P Aurélie Vadrot.

CABL39 : 03 70 06 00 67 ou cabledonien39@gmail.com

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MaG sports 13

Pays de Lons n°109 - Octobre 2016

Fair-Play Karaté club

Christophe Bouvret “Des jeux de rôle pour simuler les agressions !”

Se défendre, anticiper les coups et améliorer les réflexes, le FairPlay Karaté Club de Lons propose bien plus que des arts martiaux. familial rassemblant un nombre important de pra­ tiquants puisqu’il s’agit de l’un des plus gros clubs du Jura en karaté et en self­défense. Ces deux dis­ ciplines disposent d’un enseignement de qualité grâce aux huit entraîneurs diplômés et qualifiés.

“Tous nos instructeurs sont bénévoles” précise Gérard Legros, responsable du club. Le karaté se pratique dès l’âge de 5 ans, “dès que les petits veu­ lent découvrir les arts martiaux. Ensuite, le passage des différentes ceintures, de la blanche à la mar­ ron, se réalise directement au club”. Ce sport de combat ancestral possède différentes techniques qui se maîtrisent au fil des années. Le passage de la ceinture noire se réalise donc à la Fédération Française régionale.

L’art martial comme outil de défense face aux agressions Gérard Legros responsable du club et Christophe Bouvret, entraîneur de self-défense

L’association du Fair­Play Karaté Club de Lons, créée depuis cinq ans, est une structure à l’esprit familial d’environ 60 licenciés. Un cadre convivial et

Mélange de karaté, de judo et d’aïkido, le self­ défense attire de plus en plus de monde, les hommes comme les femmes. “Nous accueillons les jeunes dès 14 ans mais nous ne faisons pas de nos adhérents de supers combattants. Les exercices se portent sous forme de jeux de rôle avec des simu­ lations d’agressions du quotidien comme les vols

Les adhérents de l’association à l’entraînement

de portables, de sacs, des chutes d’objets… Nous réalisons des mises en condition pour travailler sur des faits concrets. Les personnes sont là pour apprendre et affûter leurs réflexes. Tout cela s’ap­ prend comme savoir bien tomber. Même à 70 ans, nous pouvons le faire…” précise Christophe Bou­ vret, entraîneur de self­défense. “Les entraîne­ ments sont réalisés par petits groupes avec plu­ sieurs entraîneurs, ce qui nous permet de constituer des petits groupes de travail de quatre personnes”. Plusieurs stages thématiques sont aussi réalisés au cours de l’année proposant ainsi différentes techniques.

Fair-Play Karaté Club de Lons le Saunier. 03 84 24 52 11.

EN BREF AIKIDO

Le club d’aïkido de Lons organise au dojo départemental, un stage de ligue le samedi 15 octobre 2016 de 14 h à 18 h animé par Michel Erb 6e Dan (Directeur technique régional) et un stage national le dimanche 19 mars de 9 h à 13 h avec Mare Seye 6e Dan. Les cours adultes ont repris le mardi de 18 h 45 à 20 h 45 et le jeudi de 19 h 30 à 20 h 45 suivi d'un cours ancien jusqu'à 22 h. Les cours enfants ont lieu le mercredi de 14 h à 17 h.

Rugby - Cercle sportif lédonien

Un nouveau président au CS Lons Rugby Pour cette nouvelle saison, le Cercle Sportif Lédonien est porté par un nouveau visage, tout aussi motivé. Témoignage et ambitions de Joël Tomakplekonou.

Au mois de septembre, le Cercle Sportif Lédonien a changé de président. Jean­Pierre Badin ayant quitté ses fonctions, c’est Joël Tomakplekonou qui reprend les rênes du club. Ce passionné de rugby est rentré au club comme joueur en 2003.

“J’ai tout appris sur le tas. Malgré mes diffé­ rentes mutations professionnelles, je ne suis jamais parti du club en 13 ans. Le Cercle Sportif était en Fédérale 1 quand je suis arrivé. Il est dés­ ormais en Fédérale 3”. Actuellement au même niveau que Saint­Claude ou encore Tavaux, la prio­ rité du CS Lons rugby est de conforter son classe­ ment sur la durée.

Vous souhaitez faire partie du prochain numéro ?

“Il faut garder la tête sur les épaules” “L’objectif est de maintenir le club en Fédérale 3 pour ces trois ou quatre prochaines années. Après si la structure le permet et si les moyens sont là, nous pourrions tenter l’aventure vers la Fédé­ rale 2. Mais il faut garder la tête sur les épaules, avec un budget de 300 00 €, la Fédérale 2 demande deux fois plus de budget. Il faudrait en effet compter 600 000 à 700 000 €. Pour le moment, il faut rester lucide et faire en sorte que notre bon niveau soit conservé. Nous sommes heureux d’avoir accueilli de très bons joueurs qui

s’illustrent désormais au plus haut niveau comme Maxime Trossat en Fédérale 1 à Dijon, Félix Lam­ bey ou Franck Romanet au Top 14 à Lyon. Nous avons même eu la chance d’avoir vu passer d’il­ lustres joueurs comme Karena Wihongi ou Mojee Ratuvou.” Le rugby s’apprend dès le plus jeune âge. L’école de rugby accueille les petits sportifs à partir de 5­6 ans pour un jour peut­être devenir de grands champions, qui sait…

F.P

Cercle Sportif Lédonien. École de rugby : 06 89 90 24 72.

Adultes : 06 77 18 45 97.

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Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­interdite © Pays de 109 Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction ­ ©Lons Paysn°de Lons n° 109

LE CHANGEMENT...

C’EST MAINTENANT! Créée en 1989 par José Bento, l’entreprise JURA-VITRAGES située à l’entrée du village de Courlans depuis Lons, est en plein chamboulement.

Nouveau patron en la personne de Mickaël Gras, nouveau logo, nou­ velle salle d’expo, nouveau look... “seule subsiste, la méthode de travail basée sur la rigueur dans le travail et la qualité des produits”, clame haut et fort le jeune repreneur. Âgé d’à peine 36 ans, Mickaël affiche un passé lourd d’expériences.

Avec un CAP miroiterie, un BEP menuiseries bois, le BAC PRO menuiseries alu obtenus au Corbu­ sier, Mickaël ajoute le BTS “Clos et Couvert du Bâtiment” qu’il a réussi à Felletin (Creuse) “dans le seul lycée français qui prépare cet examen par alternance”. Apprenti puis employé dans diverses entreprises locales spécialisées, il s’est installé à son compte sous le nom de Mika­Pose

jusqu’à ce que se présente l’opportu­ JURA­VITRAGES nité de la reprise de JURA­VITRAGES. pose également les pergolas qui “C’est chose faite depuis sont de véritables le 1er septembre”! pièces de vie, habita­ Fenêtres, portes­fenêtres, portes de bles toute l’année “si garages, portes d’entrées, “c’est le lot l’isolation est faite en communément appelé menuiseries inté­ conséquence”, insiste rieures et extérieures lorsqu’on construit Mickaël. un bâtiment”, explique celui qui pro­ Avec Alexandre, Julien et pose le bois, l’alu ou le PVC comme Philippe, l’équipe de poseurs est inchangée. Nadège arrive à matériaux. l’accueil et à la gestion, Mickaël NOUVEAU: le Carport, rencontre les clients, approvisionne une structure Verre / Alu! et surveille les chantiers.

Il l’exposera prochainement sur le Après 27 années au service de la clien­ parking : “c’est un abri à voiture, trans­ tèle, José prend sa retraite mais reste parent, esthétique qui peut être installé encore quinze jours pour une trans­ en une demi­journée et qui ne nécessite mission saine de cette petite entre­ prise qui ne connaît pas la crise. pas de permis de construire.”

Nadège

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Mon Lit

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LA RÉFÉRENCE DEPUIS 1927 !

Literie

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• • Couettes • Oreillers • Linges de lit

Christophe Bouvret

Matelas, sommiers, sièges, rideaux et pour la déco de la cham­ bre : housses de couettes, draps, oreillers... pour des nuits de rêve !

Aux n°6 et 8 de la rue Paul Mazaroz, du nom de l’artiste atypique lédonien à la fois mécène, peintre, auteur d’essais sociologique et économique, s’étend sur deux étages, la douillette boutique MON LIT. Christophe, tapissier­décorateur de formation et Isabelle son épouse, couturière diplômée, sont la troisième génération de cette dynastie lédonienne qui a ouvert boutique dès l’année 1927.

“C’est le spécialiste de la réfection des fauteuils, des chaises, des canapés et j’ai apprécié ses conseils lorsque j’ai équipé mon appar­ tement en rideaux et tentures”, avance Antoinette, de passage dans la salle d’expo qui vient “cette fois pour choisir un bon cou­ chage.”

A force d’entendre ses clients lui demander des couvre­lits et autres accessoires sur mesure, l’idée de se spécialiser dans le couchage de qualité est une opportunité qui ne lui a pas échap­ pée.

Formation permanente, vente de produits de qualité de fabrica­ tion exclusivement française, livraison... Christophe garantit sa literie entre 5 et 12 ans, adapte la vente au besoin du client et à son budget, non sans lui expliquer les techniques de fabrication qui évoluent sans cesse.

Répartition des charges, relâchement des muscles, meilleure cir­ culation sanguine, c’est le dernier cri d’une technologie naturel­ lement intelligente : le matelas MémoNat à zones de confort dif­

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férenciées pour une combinaison exceptionnelle à mémoire de forme qui épouse votre corps pour des nuits de rêve ­ dixit la pla­ quette commerciale...

“De fait, tous ceux qui l’essaient l’adoptent un jour ou l’autre mais quelquefois pour des questions de budget, ils commencent par un oreiller qui a les mêmes caractéristiques”, remarque le conseiller.

Sièges, rideaux, matelas, couettes, MON LIT c’est aussi les som­ miers, les bois et les têtes de lit. Sagement présentée sur plus de 300 m2, l’expo cache bien son jeu tant le choix est conséquent sans oublier les commandes possibles sur catalogues.

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Octobre 2016

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Petit ou grand format…

Il y a forcément une place pour vous !

Au sommaire…

Rénovation complète, restauration partielle ou réaménagement intérieur… la rénovation est un moyen efficace pour améliorer son confort de vie mais aussi sa santé ! Quelques conseils pour améliorer son quotidien.

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Dossier octobre 2016 -

Nos conseils pour une rénovation réussie

Etablir une liste de travaux Vous pourrez ensuite établir une liste des tra­ vaux à réaliser en commençant par d’éven­ tuelles démolitions si elles s’avèrent nécessaires.

Prévoyez le gros œuvre : conforter les fonda­ tions ou la charpente, refaire la toiture, ravaler les façades, ajouter des ouvertures, créer ou transformer des cloisons, réaliser des saignées pour le passage des gaines électriques, adapter la plomberie pour la création d’un espace sani­ taire, installer un plancher chauffant… Puis les huisseries, l’éclairage, les revêtements de sol et muraux… Quelle que soit la nature des travaux envisagés, vous devrez penser à y inclure l’amé­ lioration de la performance énergétique car les exigences en la matière deviennent de plus en plus importantes : isolation, étanchéité à l’air, ventilation, chauffage. Plus vos travaux seront menés globalement et bien organisés, meilleurs seront leurs résultats.

Bien choisir ses artisans Pour choisir les professionnels intervenants sur le chantier, privilégiez la proximité, vérifiez les qualifications, les références, la fiabilité finan­ cière et la garantie décennale. Demandez plu­ sieurs devis, comparez attentivement les presta­

RENOVER QUAND ON EST LOCATAIRE

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Pour rénover son logement, le locataire doit obtenir l’accord du propriétaire.

Il peut en revanche faire de petits aménagements et travaux d’entretien ou de décoration.

L’ADIL 39 : l’ADIL du Jura est chargée d’informer les Jurassiens sur leurs droits et devoirs en matière de logement.

LONS-LE-SAUNIER : 32, rue Rouget de Lisle, du lundi au jeudi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h 30, le vendredi après-midi de 14 h à 17 h 30. DOLE : 1er et 3e jeudis de 14 h 30 à 17 h dans les locaux de la SA Doloise - 5A, rue Bougauld. 03 84 86 19 30

De précieux conseillers Une bonne préparation s’impose donc. N’hési­ tez pas à demander conseil. Vous pouvez vous adresser au CAUE (Conseil d’architecture, d’ur­ banisme et d’environnement). Dans le cadre de sa mission, cet organisme public répond aux questions des particuliers sur des projets d’ex­ tension, de restauration, de transformations et d’aménagements de l’habitat. Pour des travaux de rénovation énergétique, vous trouverez de nombreuses informations auprès de l’espace info­énergie. (Voir adresses utiles page 4) Vous pouvez aussi faire appel à un architecte, même si son intervention n’est obligatoire que si votre projet de travaux conduit la surface de plancher ou l’emprise au sol du bâti à dépasser 170 m2. Ça vous coûtera entre 10 % et 15 % du montant total des travaux mais au final, ça peut être rentable car l’architecte vous aidera à concevoir votre projet de rénovation, saura vous informer sur les contraintes techniques à res­ pecter, va pouvoir maîtriser les étapes – et les prix qu’il connaît bien –, organiser l’intervention des entreprises, s’assurer du respect des délais et du budget. Il apporte une garantie en enga­ geant sa responsabilité professionnelle qui est couverte par une assurance.

La loi précise clairement les obligations des locataires et des propriétaires en matière de logement.

Ainsi, le bailleur doit fournir un logement en bon état d’usage et de réparation. […] Une clause dans le contrat de bail peut mentionner des travaux que le locataire exécutera (ou fera faire), en contrepartie d’une réduction de loyer.

Lorsque le logement est en bon état d’usage, le locataire peut prendre l’initiative de petits travaux d’entretien, d’aménagement ou de décoration. Par exemple, il a le droit de remplacer la moquette ou le papier peint, de repeindre une pièce, de poser une étagère, de fixer des meubles à condition qu’ils soient amovibles ou d’accrocher des tableaux, à condition de reboucher les trous en partant. Lui incombent également les menues réparations pour conserver en bon état les portes, fenêtres, vitrages, serrures, murs, plafonds, revêtements de sols, placards…

ADRESSES UTILES Vous avez un projet de rénovation, de construction, d’achat, d’investissement locatif : prenez contact avec les différents organismes dont la vocation première est d’informer et conseiller en toute objectivité.

Rénovation complète, restauration partielle ou réaménagement intérieur… quels que soient les travaux envisagés, bien les organiser garantit un meilleur résultat.

Si vous projetez de rénover votre habitat pour le rendre plus confortable et mieux adapté à votre vie quotidienne, la première chose à faire est un état des lieux précis de l’ensemble : structure du bâtiment et de la toiture, défauts dans les murs et le sol, résistance des matériaux, présence d’humidité, diagnostic thermique… Ce check­up est essentiel dans le cadre d’une rénovation complète mais il a aussi son importance pour un réaménagement plus léger car chaque petite modification peut s’accompagner de travaux plus complexes.

Pays de Lons

Jura Habitat met en œuvre les politiques publiques de l’habitat.

AGENCE de LONS-LE-SAUNIER : tous les jours de 9 h à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30 (sauf vendredi 17 h), 32, rue Rouget de Lisle - 03 84 86 19 10.

AGENCE de DOLE : ouverte les lundis, mercredis et vendredis de 9 h à 12 h, 3 avenue Aristide Briand.

© Herreneck Fotolia

tions proposées et faites préciser le délai d’exé­ cution des travaux car leur date de début et la durée estimée doivent y figurer mais cette obli­ gation est rarement respectée.

Renseignez­vous en mairie pour savoir si un per­ mis de construire ou une déclaration préalable de travaux est nécessaire. Les échafaudages, bennes ou palissades de chantier sur la voie publique sont également soumis à autorisation.

Enfin, le suivi du chantier est impératif, de pré­ férence chaque jour ou au moins une fois par semaine, pour vérifier que les travaux sont bien coordonnés et correspondent à vos plans. Vous pouvez vous en charger vous­même ou mission­ ner un architecte ou un maître d’œuvre.

APEI­Actualités

Pas de transformation sans autorisation En revanche, le locataire ne peut pas se lancer dans une rénovation plus importante “transformant la chose louée”, sans l’accord du propriétaire. Sans une autorisation écrite, pas question d’abattre donc une cloison, de remplacer une douche par une baignoire ou d’installer une porte blindée. Si des travaux de la sorte sont effectués sans accord préalable, le bailleur peut conserver le bénéfice des transformations sans indemniser le locataire pour les frais engagés. Il a aussi le droit, sous certaines conditions, d’exiger la remise en l’état initial des lieux.

Certains travaux de rénovation sont obligatoirement à la charge du propriétaire et le locataire ne peut s’opposer à leur réalisation. C’est le cas du remplacement ou de la remise en état de la chaudière et des radiateurs, de la réparation des murs de soutènement ou de la toiture, du changement des fenêtres et des volets. Une participation financière, limitée dans sa durée et son montant, peut être demandée au locataire pour les travaux de rénovation énergétique. Elle doit apparaître clairement sur la quittance de loyer.

AJENA Espace Info Energie : pour votre projet de rénovation, de construction ou pour obtenir un conseil afin de réduire vos factures d’énergies, contactez l’association AJENA. Vous trouverez des informations sur le choix et la mise en œuvre des matériaux de construction et d’isolation, le chauffage, des listes de professionnels, les aides financières mobilisables, etc.

Sur rendez-vous en téléphonant au 03 84 47 81 14. LONS-LE-SAUNIER : le lundi de 14 h à 17 h 30 et du mardi au vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h. 28, boulevard Gambetta, Lons-le-Saunier. PERMANENCES à DOLE : sur rendez-vous au 03 84 47 81 14.

ENTREPRISES - HABITAT : Entreprises-Habitat Action Logement met l’expérience de ses équipes à votre service afin de vous accompagner tout au long de votre parcours résidentiel grâce à des aides gratuites et des conseils personnalisés : aides à la location, prêts à faible taux pour acheter, construire ou faire des travaux, aides à la mobilité professionnelle, accompagnement social et financier afin de surmonter des difficultés financières et conseils pour le financement de vos projets immobiliers…

LONS-LE-SAUNIER : le lundi de 14 h à 17 h, du mardi au jeudi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h, le vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 16 h.

49 rue du Commerce. 03 84 24 90 64 DOLE : antenne permanente au siège de la Doloise, 5A, rue Bougauld CAUE du Jura : En amont de tout projet de construction ou de rénovation, un architecte conseiller du CAUE vous apporte les informations adaptées sur les aspects : paysagers (insertion dans le site), architecturaux, (implantation, plans et façades, couleurs…), réglementaires (documents d’urbanisme…)

LONS-LE-SAUNIER : 151 rue Regard - siège du CAUE - chaque mardi de 8 h 30 à 12 h ou de 14 h à 17 h. DOLE : bâtiment de la visitation 3 avenue Aristide Briand, 1er étage - le 1er mardi du mois à partir de 14 h.

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les tables… les possibilités d’utiliser le verre en décoration ou en agencement sont ainsi innombrables.

Franck à la découpe

Plus traditionnels, le double vitrage thermique, la découpe de verres à la demande, la miroiterie sur­mesure pour le neuf ou la rénovation restent les activités de Franck, le miroitier de métier, alors que l’accueil, les visites de chantier et les bonnes idées proposées au client indécis revien­ nent à Anne­Sophie, la technico­commerciale.

Le lancement de la boutique de vente en ligne “verre­et­deco.fr” sur laquelle on pourra décou­ vrir un choix de verres et d’accessoires “comme si on y était” et bien sûr passer commande, témoigne du dynamisme de cette entreprise polinoise en plein essor.

En apportant son expérience de 25 ans passés dans l’industrie verrière et dans la menuiserie, ainsi que sa sensibilité, Florence Meunier a créé

“de toutes pièces” la MIROITERIE POLINOISE en 2010. L’équipe vous attend tous les jours de 8 h à 12 h de 13 h 30 à 18 h du lundi au jeudi et de 8 h à 12 h le vendredi.

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À gauche, Florence Meunier, gérante, accompagnée d’Anne­sophie, technico­commerciale.

qui apporte à chaque pièce de la maison une note personnelle.

A la question de savoir si elle se positionne comme créatrice ou décoratrice, Florence répond simplement “qu’elle aime ce qui sort de l’ordinaire, ce qui est beau sans pour autant coû­ ter trop cher”. Le showroom en cours d’extension en sera une fois de plus l’heureuse démonstra­ tion.

“La transparence a du style”, la MIROITERIE POLINOISE hausse le ton en donnant des couleurs à votre intérieur, elle s’adresse aussi bien aux particuliers qu’aux profes­ sionnels.

Verres laqués pour des créations modernes, verres décoratifs pour les portes intérieures et les cloisons, verres feuilletés pour les rampes d’esca­ lier, verres trempés pour les parois de douches et

Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons n° 109

En proposant des produits qu’on ne trouve pas ailleurs, Florence Meunier, la gérante de cette entreprise polinoise située rue Arago à Poligny en plein centre de la zone industrielle, ne se dis­ tingue­t­elle pas des miroitiers classiques ?

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Pays de Lons - Dossier octobre 2016

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Le chauffage et l’eau chaude sanitaire sont très gourmands en énergie mais des mesures simples permettent d’en réduire la consommation et de faire des économies.

Comme dit l’adage, l’énergie la moins chère est celle qu’on ne consomme pas.

Or, le chauffage et l’eau chaude sanitaire représentent 75 % des dépenses énergé­ tiques d’un ménage. Il y a néanmoins moyen d’agir pour réduire la facture, sans pour autant changer entièrement de système de chauffage.

En premier lieu, il faut parfaire l’isolation de la maison afin de faire la chasse aux déperditions de chaleur par la toiture, les parois vitrées, les murs… Pour com­ mencer, mieux vaux s’adresser à l’espace info énergie (voir encadré en page 16) afin d’obtenir des conseils et d’envisager si nécessaire un diagnostic thermique préalable à d’éventuels travaux de réno­ vation. En fonction de l’installation de chauffage individuel dont vous disposez, des améliorations sont possibles à moin­ dre frais. Dans le cadre d’un chauffage central, pensez à calorifuger les tuyaux lorsqu’ils traversent des faux plafonds ou des pièces non chauffées, comme le garage ou la cave. Cela évite de refroidir l’eau qui y circule. A cet effet, vous trou­ verez facilement, dans les magasins de bricolage, des manchons de différents diamètres en mousse polyéthylène.

Régulation Poser des robinets thermostatiques sur les radiateurs permet de régler la tem­ pérature de chauffe en fonction des besoins spécifiques de chaque pièce.

Une programmation centralisée avec un thermostat d’ambiance est également incontournable. Vous choisissez ainsi le

degré souhaité en journée et la nuit. Ce qui vous procure un meilleur confort et évite que la chaudière ne se déclenche inutilement. Des modèles perfectionnés de programmation offrent désormais la possibilité d’être pilotés à distance, pour davantage de précision liée à votre mode de vie ou à partir des tempéra­ tures extérieures.

Si vous avez des radiateurs électriques, il

Une chaudière, ça s’entretient !

L’entretien annuel d’une chaudière est obligatoire pour toutes les chaudières qu’elles fonctionnent au fioul, au gaz ou au bois. Il doit être réalisé par un professionnel qualifié. La visite comprend la vérification du bon fonctionnement de la chaudière, son nettoyage et son réglage si nécessaire.

Le but essentiel est d’éviter les risques d’intoxication au monoxyde de carbone. A l’issue de la visite, une attestation mentionnant l’ensemble des opérations effectuées doit vous être remise. Le coût varie entre 80 euros et 180 euros en fonction du modèle de chaudière.

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est plus simple de faire évoluer le maté­ riel qu’en cas de chauffage central. Vous pouvez remplacer les convecteurs d’an­ cienne génération par des émetteurs rayonnants à chaleur douce. Là encore, un système de régulation intégré fait baisser la consommation de 5 à 15 %.

Un comportement plus économe vous aidera également à limiter les dépenses.

19 °C dans la journée et 16 °C la nuit sont les températures recommandées.

Fermez les volets (ou à défaut, d’épais rideaux intérieurs) la nuit afin de mieux garder la chaleur dans la maison. Pour l’eau chaude sanitaire, réglez la tempéra­ ture de votre chauffe­eau entre 55° et 60° (ou 45° à 50° s’il s’agit d’un modèle thermodynamique). C’est suffisant pour éviter un entartrage rapide de l’appareil et limiter le développement de bactéries nocives.

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HENRIET L’entreprise de Charpente­couverture­zinguerie créée en 2002 par Pierre­Yves Henriet compte à ce jour 9 salariés, “c’est dire à quel point la progression a été rapide”.

Installé rue Arago, (zone industrielle), le bâtiment de la Charpente­couverture­zinguerie HENRIET qui comprend le stockage, les ateliers, un hall d’accueil au rez­de­chaussée, le secrétariat et le bureau à l’étage se fait remarquer par sa gran­ deur mais plus encore, “par le bien­être ambiant

qu’on perçoit en grimpant l’escalier”, commente par hasard un client à la recherche d’un devis.

Intérieur bois, larges baies vitrées, éclairage natu­ rel dominant… le ton est donné, l’ambiance est propice aux affaires, voilà déjà un aperçu du savoir­faire de l’entreprise.

Charpente traditionnelle, rénovation, lamellé­ collé, extension de bâtiments existants… les réfé­ rences qui sont affichées au mur sous forme de photographies alors que d’autres, innombrables, sont stockées dans l’ordinateur, dévoilent “le soin et les compétences”, les impératifs défendus par l’entrepreneur et respectés par ses équipes. Écoute, conseils, avantages… “La solution bois a tellement d’atouts dès lors qu’on aborde le confort, l’hydrométrie, le pouvoir isolant, la rapidité de construction”, que le système est en train de lami­ ner tous les autres à condition qu’il soit une affaire de professionnels qualifiés. Le département du Jura dispose d’une surface boisée conséquente permettant un approvisionnement local pour la renommée de l’entreprise, dépassant largement la zone polinoise, “ceci explique sans­doute aussi cela.”

Nul doute qu’Hervé, les deux Clément, Benoît, Kevin, Emmanuel, qui constituent l’équipe technique, et Edith la secré­ taire, ont du pain sur la planche pour les mois à venir et qu’ils pourront ajouter de nombreuses références dans leurs carnets personnels.

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Pays de Lons - Dossier octobre 2016

La cuisine 2016 est conviviale, déco et pro La cuisine s’impose depuis quelques années comme le point de ralliement familial. En 2016, elle est coordonnée au salon, parfaitement équipée et même intelligente.

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La cuisine moderne est ouverte, idéalement avec îlot central (quand la configuration le permet) ou semi­ ouverte, voire en L et avec une ver­ rière de style industriel. Elle commu­ nique avec le salon, se fond en lui, reprenant les mêmes codes de cou­ leurs et de style. “La préparation des repas ensemble redevient actuelle­ ment essentielle, explique Valérie Ducoulombier, architecte d’intérieur et gérante d’une agence Notes de Styles*, dans l’Essonne. En famille ou entre amis, on partage, on fait parti­ ciper… La cuisine est avant tout un lieu convivial, tout en alliant design et fonctionnalité”. Qu’elle soit vintage, nature, contemporaine ou maison de famille, elle est aussi de plus en plus ouverte sur la verdure, le jardin, le potager… avec des notions de volume, de lumière et d’espace.

Matières nobles et décoration personnalisée Puisqu’elle est visible de tous, la cui­ sine est enfin valorisée. On lui choisit

donc avec attention des couleurs tendances et personnalisées, du mobilier design, en créant une ambiance cosy… Le bois est une des matières star de cette pièce, en par­ ticulier le chêne et le noyer en 2016 (selon les nouvelles collections Aviva). Les façades sont travaillées, texturisées, les équipements sont sur­mesure. Même l’évier n’est plus un élément basique : on le choisit au besoin en triangle, carré ou rectan­ gulaire, XS ou XL, et avec des options et des accessoires comme un bac multifonctions, une planche à décou­ per amovible, un égouttoir intégré…

Enfin, il est possible de changer de déco de temps en temps, en modi­ fiant la couleur des murs voire du mobilier avec des peintures spéciales comme Syntilor, en posant un vinyle adhésif comme nouvelle crédence ou en camouflant le réfrigérateur et le lave­vaisselle avec des stickers trompe­l’œil… La cuisine suit nos envies, gustatives et décoratives !

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“Les appareils connectés deviennent une réalité”, reprend Valérie Ducou­ lombier. “Il est désormais courant de commander sa cafetière via son smartphone et bientôt, il sera normal de scanner ses produits sur le frigo”.

Le réfrigérateur, d’ailleurs, meuble à part entière et central de la cuisine, monte en gamme et devient un chef­ d’œuvre de la conservation. Equipé de haute technologie, il forme avec le four, un duo de performances pour à la fois rehausser l’esthétisme de la cuisine et offrir un service de grande qualité. Et ce n’est que le début… LG Electronics vient par exemple de pré­ senter sa nouvelle station Smart ThinQ®, capable de surveiller et contrôler tous les appareils électro­ ménagers : réfrigérateur, four, clima­ tiseur, lumière, cafetière… La cuisine nous réserve encore de bien belles surprises ! *www.notesdestyles.com APEI­Actualités. Claire Lelong­Lehoang

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Dossier octobre 2016 -

Douche ou baignoire ?

Quels sont mes besoins ? De quelle surface je dispose ? Pour quel coût et quelle consommation d’eau ? Voilà les questions à se poser avant de choisir entre douche et baignoire.

Après la COP21, difficile d’ignorer que chacun, par ses comportements, contribue à limiter le réchauffement climatique. Autant dire que la baignoire, qui nécessite 120 à 200 litres d’eau, n’est plus dans l’air du temps quand la douche, selon la durée, n’en dépense que 40 à 80 litres.

Autre élément de comparaison : dans nos vies trépidantes, on ne trouve le temps de prendre

un bain que de temps en temps… Du coup, on se douche quotidiennement dans une baignoire – ce qui n’est pas commode – alors qu’il existe des installations de douche confortables et même relaxantes.

La salle de bain : une pièce à vivre La tendance, en matière de salle de bain, vise à

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optimiser une surface souvent réduite. Ergono­ mie, accessibilité et bien­être sont les maîtres mots du dernier salon idéobain. Les designers conçoivent des espaces par modules, favorisant un passage fluide du lieu de la toilette, le lavabo, à la cabine de douche. Ils privilégient les “2 en 1”, comme les baignoires­douches, les formes asymétriques, les réceptacles galbés ou en sif­ flet. Les parois sont translucides, voire végé­ tales. Les meubles, peu profonds, occupent toute la hauteur. Pour la couleur, les mariages de blanc, noir, gris, brun ont toujours la cote. Les céramiques italiennes offrent des gammes élé­ gantes et créatives. On peut oser aussi l’effet patchwork en alternant des carreaux très colo­ rés aux motifs variés.

Et la douche à l’italienne ?

Tous ceux qui l’ont essayée dans une maison de vacances rêvent d’une douche à l’italienne, réa­ lisée sans bac, au ras du sol. Plus de crainte d’éclabousser : une légère pente ramène l’eau vers l’évacuation. Une technique à oublier en copropriété : placé dans le sol, le siphon se trouve aussi… dans le plafond du voisin !

Les possesseurs de maison individuelle compte­ ront de 600 à 2 000 euros pour en installer une.

Tandis qu’un bac classique coûte entre 130 et 400 euros, en prévoyant de 130 à 700 euros pour la robinetterie, selon la qualité, et de 200 à 1 000 euros pour la pose. A titre de comparai­ son, une baignoire revient de 70 à plus de 5 000 euros. Ajouter de 300 à 1 000 euros de pose. L’acrylique et l’acier restent meilleur mar­ ché que la résine ou la fonte. Cette matière néo­ rétro a toujours ses inconditionnels.

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Dressing : le top du rangement personnalisé Installer un dressing chez soi, c’est s’offrir un équipement modulable capable de répondre au plus près de vos besoins en rangement vestimentaire. Prévoyez l’usage que vous en ferez pour choisir le modèle le plus adapté. Dans quelle pièce sera-t-il le plus utile, de quel espace disposez-vous et de quel volume de rangement avez-vous besoin ? Y rangerez-vous les chaussures, vos sacs ou valises ? Est-il destiné à la garde-robe de madame, de monsieur ou du couple ?

En fonction de votre budget, vous pourrez le composer vous-même avec des éléments standards ou faire appel à une enseigne spécialisée pour un projet sur-mesure. Ouvert, un dressing constitue une pièce à part entière. Il peut aussi être équipé de portes, essentiellement coulissantes dont la qualité du système de guidage est primordiale pour la fluidité de l’utilisation quotidienne. Leur revêtement crée le décor : bois naturel, laqué, verre, miroir…

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LA MAISON DE LA POSE

organisées les 1,2,3 octobre vous perme ront de vous plonger dans le monde du bien­être, l’équipe Douvre vous y a endra !

Ouvert de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h.

s’ouvre au Monde du SPA !

La rue Victor Puiseux (ZI) s’enrichit d’un nouvel espace, qui, à lui seul vaut la visite ! En effet, pour avoir effectué des travaux d’aménagements conséquents dans un bâtiment, certes existant mais vieillissant, Christian, Brigitte Douvre et leur fils Maxime ont réussi en plus un pari qui sem­ blait fou, celui de l’ouverture au public dès la ren­ trée de septembre !

Il faut désormais grimper quelques marches pour atteindre un volume vaste, clair où la déco inté­ rieure, œuvre du patron “spécialiste de la chose depuis de très longues années”, est si chaleu­ reuse qu’elle invite naturellement au bien­être et

à la détente, “c’est le monde du SPA !” Inventée en 1956 par des Italiens expatriés aux Etats Unis, la première pompe à immersion a plus de 60 ans d’âge, elle alors était destinée à soulager les symptômes et les souffrances d’un enfant atteints d’une arthrite rhumatoïde. C’est en remarquant les bienfaits des séances d’hydrothé­ rapie faites sur son enfant à l’hôpital que Candido Jacuzzi se pencha sur le problème. Depuis, la société a déposé plus de 250 brevets internatio­ naux qui en font un exemple d’excellence dans le développement de produits technologiques avancés. S’ils ont été ensuite utilisés par de très nombreux sportifs pour éliminer, récupérer, se

détendre, les bienfaits des massages doux dans une eau chaude (36°), sont désormais accessibles aux particuliers.

A la différence d’une piscine, qu’il soit intérieur ou extérieur, le SPA est utilisable été comme hiver, 365 jours par an.

Les modèles sont diffèrents en fonction de leur destination : usage familial collectif ou public…

L’hydromassage selon Jacuzzi®, Les spas sont équipés de jets adaptés à chaque groupe musculaire, aussi bien dans leur place­ ment, leurs dimensions ou leur intensité. Leur flux, composé d’un mélange d’air et d’eau masse

efficacement mais non violemment chaque zone du corps. Jacuzzi® a confié l’exclusivité de la dis­ tribution de ses produits pour les départements 01, 39 ,71 à la MAISON DE LA POSE reconnue par ailleurs, comme les spécialistes incontestables de l’aménagement clefs en main de la salle de bains.

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en respectant rigoureusement la définition du Petit Larousse, AC Design situé 110 rue du Montarlier à Courlans frappe fort et donne d’ores et déjà rendez­vous aux amoureux d’objets meublants déco à l’occa­ sion de l’imminent salon “Made in Jura.”

En effet, les 13, 14, 15 et 16 ctobre pro­ chains seront pour Anne­Cécile et Frédéric Dégut l’occasion de mettre un terme à plus de 15 mois d’études, de mises au points et de fabrication de cette série hors du com­ mun : tabourets, bouts de canapé, tables, sellettes, lampadaires, totems... constituent

ces articles fabriqués suivant une technique particulièrement minutieuse conçue dans l’atelier qui jouxte la maison familiale.

“C’est du bois façonné lamellé collé qu’il faut ensuite travailler au tour”, résume l’artisan­ créateur qui tient secret la suite du process de réalisation que seule l’expérience autorise.

En effet, issu de la section tournerie du lycée Vernotte de Moirans, il est responsa­ ble de fabrication dans une entreprise locale avant de s’installer à son compte en 2000. Là, il se taille des parts de marché dans la fabrication de cuisines sur mesure, d’escaliers, d’ameublement, de menuiseries extérieures...

En alliant les compétences artistiques de son épouse Anne­Cécile, architecte d’intérieur de profession ainsi que maître­ d’œuvre, “ils pensent l’espace, créent la forme”, et ils donnent alors, en commun, nais­ sance à “ces lignes épurées qui invitent au toucher, où le regard se pose inexorablement.”

En jouant sur les hauteurs qui varient de 45 cm à 195 cm, en posant des verres ronds ou ovales proportionnés, le client créé son intérieur, transforme l’un en tabouret, l’au­ tre en table, en sellette, lampadaire, totem… Il choisit le chêne de Bourgogne, le sapin du Jura, le bois exotique teinté de résine acrylique satinée, lavable anti­taches, sans solvants, sans odeur, qui résiste aux UV qui ne déteint pas.

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Pays de Lons - Dossier mars 2016

Comment assainir l’air chez soi ?

Produits d’entretien, matériaux, tabagisme… Les émissions de polluants sont nombreuses dans les logements. Voici quelques astuces pour assainir l’air intérieur.

Selon une étude récente de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), la pollution de l’air intérieur entraînerait la mort de 20 000 personnes par an en France. De nombreux polluants présents dans les logements, les bureaux, les bâti­ ments publics, sont en effet à l’origine des cancers, de mala­ dies cardiovasculaires, d’intoxications, etc. Parmi ces pol­ luants, on trouve des produits chimiques comme les composés organiques volatils (COV) présents dans les pein­ tures ou les produits d’entretien, les phtalates contenus dans le plastique et certains matériaux, le monoxyde de carbone produit par des appareils de chauffage défaillants.

Il y a aussi des particules fines émises par des isolants, le bricolage ou le ménage. Sans oublier, la fumée du tabac, nocive même pour les non­fumeurs présents dans la mai­ son, et l’humidité, source de prolifération bactérienne.

Indispensable aération Au quotidien, quelques gestes simples permettent d’assai­ nir l’air intérieur de votre logement. Lorsque vous choisis­ sez vos produits ménagers, privilégiez ceux qui sont label­

lisés écologiques, ou le bicarbonate de soude, ou encore le vinaigre blanc. Surtout, évitez le mélange de produits sus­ ceptibles d’entraîner des émanations toxiques Ne cherchez pas à créer une bonne odeur avec des bougies ou des par­ fums d’ambiance non naturels, ils ne font qu’ajouter des COV à l’atmosphère !

Si vous devez faire des travaux d’aménagement ou de déco­ ration, attention au choix des peintures, vernis, colles ou sol­ vants. Soyez attentifs à ce qui est indiqué sur l’étiquette et privilégiez le classement A+ ou A. De la même manière, au moment de l’achat de vos meubles, n’hésitez pas à vous ren­ seigner sur leurs matériaux de fabrication, notamment pour les agglomérés.

Aérer votre logement reste la solution la plus efficace pour renouveler l’air. Si possible tous les jours, même seulement 5 minutes en hiver. Ne laissez pas les moisissures s’installer dans les pièces humides. Si vous disposez d’une ventilation mécanique (VMC), n’oubliez pas de l’entretenir et de net­ toyer régulièrement les bouches d’aération.

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RÉNOVER SON HABITAT POUR UN QUOTIDIEN PLUS SAIN La rénovation est un moyen efficace pour améliorer son confort de vie mais aussi sa santé ! Qualité de sommeil, air frais, lumière naturelle et faible taux d’humidité figurent en effet parmi les cinq critères d’un habitat sain : les conseils pour améliorer son quotidien.

Le Baromètre de l’Habitat Sain VELUX 2016, étude menée dans 14 pays européens dont la France, vient de mettre en exergue les critères qui amènent à indissociables pour bien se sentir chez soi.

1. Installer des stores occultants ou des volets roulants pour optimiser le sommeil Les Européens dont le logement est propice à un sommeil récupérateur ont 50 % de chances en plus de se sentir en bonne santé et en bonne forme.

En France, 91 % des personnes interrogées disent ne pas bénéficier de conditions de sommeil optimales.

2. Recourir aux thermostats en hiver, aux protections solaires et à la ventilation naturelle en été, pour maintenir des températures intérieures confortables. Les Européens exposés au froid dans leur logement présentent un risque supérieur d’environ 50 % de souffrir d’infections rhino-pharyngées.

En France, 16 % trouvent leur logement trop froid en hiver, et 32 % le trouvent trop chaud en été. Les températures intérieures généralement jugées optimales se situent entre 20° C et 25° C.

3. Aérer son logement au moins 2 fois par jour Les Européens qui n’aèrent jamais leur logement sont deux fois plus exposés au risque d’asthénie ou grosse fatigue, que ceux qui le ventilent deux à quatre fois par jour.

En France, 68 % des personnes aèrent leur logement moins de 2 fois par jour.

4. Bien répartir l’entrée de lumière naturelle dans les pièces du logement Habiter un logement suffisamment baigné de lumière naturelle diminue de près de moitié le risque de sensation de grosse fatigue.

En France, 27 % s’estiment trop dépendants de la lumière artificielle à l’intérieur de leur logement.

5. Faire de la ventilation un rempart contre l’humidité Les Européens exposés à la moisissure dans leur logement présentent un risque de 50 % plus élevé de souffrir de sécheresse ou d’irritation de la gorge.

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Dossier octobre 2016 -

Pays de Lons

A l’arrière-saison, rénover vos meubles de jardin, Table en bois, chaises en fer forgé, fauteuil en résine tressée : après une saison ou deux, ils ont besoin d’un coup de neuf…

Mais comment faire ? Voici quelques bases.

En hiver, rentrez votre mobilier de jardin, voire vos décorations extérieures. Idéalement dans un atelier frais et sec. Non seulement, ces élé­ ments ne souffriront pas du gel, de la pluie et de la neige, mais c’est aussi l’occasion pour eux de “faire peau neuve”… et de gagner du temps sur le nettoyage de printemps ! Retroussez vos manches, c’est parti !

Mobilier en bois : dégriser, déshuiler, décaper Un bois en bonne santé doit être bien propre et bien hydraté. La première étape de la rénovation est toujours de préparer le support avant l’appli­ cation de produits de protection : commencez donc par nettoyer, déshuiler et/ou décaper avec grand soin. Owatrol/Durieu est le spécialiste des produits de nettoyage et de soin pour les maté­ riaux d’extérieur avec des formules à la fois sim­ ples et rapides d’usage. Par exemple, l’Owatrol Pro multiusages est un allié précieux pour élimi­ ner toutes les précédentes couches de peintures abîmées. Il s’agira également de redonner à votre bois l’éclat perdu sous l’effet des UV (le dégriser) et de bien désincruster les fibres suite à l’applica­ tion d’huiles diverses. Utilisez alors par exemple les produits Net­trol®.

Mobilier en fer : relooker et protéger © Ingo Bartussek Fotolia

Le mobilier en fer peut allier le charme d’antan à un style tendance grâce à l’application d’une

peinture de couleur à la mode. Mais avant de penser à la finition décorative, le fer a besoin d’être protégé de la rouille. Choisissez un pro­ duit de professionnel comme l’Oxi Bois&Fer d’Oxi Peintures qui pénétrera au cœur du sup­ port en métal ferreux pour neutraliser les par­ ticules de rouille. En imprégnant le support dans la masse, les risques de reprise de corro­ sion sont minimes : une protection durable qui isole ces surfaces des agressions extérieures. comme son nom l’indique, ce produit est aussi adapté au mobilier en bois. Et côté déco, 14 teintes sont disponibles, de quoi personna­ liser tout votre mobilier d’intérieur !

Mobilier en résine tressée : de la douceur !

La résine tressée est le troisième matériau ten­ dance au jardin depuis une dizaine d’années.

Avant même de penser à pouvoir la rénover, investissez dès son achat dans une résine tres­ sée d’excellente qualité, c’est­à­dire teintée dans la masse : ainsi, les coups et rayures éven­ tuels n’endommageront pas son aspect géné­ ral. Ensuite, pour la nettoyer sans l’abîmer, uti­ lisez des produits et un équipement doux : commencez par laver votre mobilier à grande eau avec un tuyau d’arrosage, voire avec un nettoyeur haute pression. Puis une simple éponge humide, un savon de cuisine, éventuel­ lement du vinaigre blanc et un chiffon doux suffisent !

APEI­Actualités. Claire Lelong­Lehouang

…installer des récupérateurs d’eau de pluie Gratuite et pure, l’eau de pluie est précieuse au jardin. Mettez tout en œuvre pour l’économiser et la récupérer !

Fait main ou clé­en­main Vous pouvez donc créer votre récupérateur d’eau unique avec un contenant de votre choix ou encore le choisir en jardinerie ou magasin de bricolage. Les grandes enseignes proposent

généralement des modèles aériens de 200 à 1 000 litres, de forme cubique, ronge, rectangu­ laire, et au look design ou trompe­l’œil (brique, bois, pierre, terre cuite, amphore, tonneau ou pots XL)… Le récupérateur d’eau est donc accessoire qui peut même devenir décoratif !

Côté déco, on aime aussi l’idée de la chaîne de pluie, alternative esthétique et design aux tra­ ditionnelles descentes de gouttières en zinc, puisque les coupelles peuvent être en cuivre, laiton, aluminium ou acier inoxydable. Plus qu’un accessoire pratique, c’est une ambiance qu’elle donne au jardin !

En cuve enterrée Les modèles plus grands encore (jusqu’à plus de 5 000 litres) peuvent être nécessaires si la pluviométrie est importante et si votre utilisa­ tion de l’eau de pluie est conséquente sur un grand terrain par exemple. Ces modèles XL s’appellent des citernes qui sont généralement enterrées pour des raisons esthétiques et de gain de place. Un aménagement à prévoir dès

le début de la conception de votre jardin, de façon à pouvoir ensuite la recouvrir d’une dalle. D’ailleurs, “ce système peut aussi fournir de l’eau de pluie pour certains usages domes­ tiques”. Indispensable : l’installation d’un trop­ plein pour éviter les débordements comme en cas d’orage violent par exemple.

Quelques conseils de pro Choisissez toujours un modèle avec couvercle pour que l’eau reste propre et pour éviter les accidents. Et “si le récupérateur est surélevé (posé sur des briques ou des blocs de béton), un robinet placé en bas permet de remplir l’ar­ rosoir facilement”. Par ailleurs, “il ne devrait jamais toucher un mur à cause des problèmes d’humidité en cas de débordement”. Enfin, à l’automne, c’est aussi le moment de vidanger et de nettoyer votre récupérateur d’eau. Vous pouvez d’ailleurs jeter les dépôts au compost !

APEI­actualités. Claire Lelong­Lehoang

A lire : “Mon premier jardin biologique facilement”, de Fiona Hopes, éditions Marabout, 5,95 euros

OUVERT : du lundi de 14h à 18h30 Mardi au vendredi de 9h30 à 12h et de 14h à 18h30 le samedi de 9h30 à 12h et de 14h à 17h

Tél. 03 84 85 08 81 Piscines Concept 39 - Patrice BUATOIS / Concessionnaire exclusif JURA

www.desjoyaux.fr

51, rue E. Vauchez - 39570 MESSIA-SUR-SORNE (LONS)

piscinesconcept39@orange.fr

© Monique Pouzet Fotolia

Cet automne, installez un récupérateur d’eau dans votre jardin : il vous sera de la plus grande utilité pendant une dizaine d’années. Pour com­ mencer, l’équipement nécessaire peut être mini­ mal : “Tuyaux et chéneaux pour acheminer l’eau, et un récipient pour la recueillir et la conserver”, conseille Fiona Hopes, auteur du livre “Mon premier jardin biologique facile­ ment”. “Le système le plus simple consiste à gui­ der l’eau qui tombe sur le toit vers les chéneaux et les tuyaux de descente pour qu’elle se déverse dans un tonneau ou une citerne. Des adapta­ teurs raccordés aux tuyaux stoppent l’arrivée d’eau quand le tonneau est plein pour éviter les débordements.” Il est possible d’ajouter plu­ sieurs tonneaux côte à côte, reliés les uns aux autres, si vous avez besoins de beaucoup d’eau.

CHARPENTE CONSTRUCTION & AGRANDISSEMENT SURÉLÉVATION DES PAVILLONS D’HABITATION IMPLANTATION DE BÂTIMENTS AGRICOLES… I Publirédactionnel

CHARPENTE

R2S

Aussi inattendue qu’avant­gardiste, l’entreprise de charpente R2S située rue de la Combe à Lavigny, est en passe de réussir une aventure industrielle hors du commun.

Une SCOP : quésaco ?

“Juridiquement une SCOP est une société coopé­ rative de forme SA, SARL, SAS dont les salariés sont les associés majoritaires. Si tous les salariés ne sont pas associés ils ont vocation à le devenir. Dans une SCOP, il y a un dirigeant comme dans toute les entreprises mais il est élu par les salariés...”

En adoptant ce principe, Sébastien Roulin et

PRÉSENTS À

Sébastien Rigaud ont eu le nez fin au point de remporter, moins de 7 ans après la création cette l’affaire originale, des succès commer­ ciaux et techniques d’importance tout en créant autour d’eux l’émulation de leurs colla­ borateurs.

Ainsi la toute jeune Cécilia, 23 ans, en licence PRO Conducteur de Travaux et Développement Durable, se voyant proposer des parts, “est entrée dans le capital de la SCOP”, se félicite Sébastien.

“Il fallait oser !”

En 2013, les deux auto­entrepreneur quittent leurs métiers de fonctionnaire. N’auraient­ils pas été des précurseurs en devinant l’explosion

d’un secteur d’activités, celui de la Construc­ tion Passive ? D’un commun accord, ils allient une nouvelle fois leurs compétences respec­ tives et complètent leur carte de visite en ajoutant à la charpente, la construction, l’agrandissement, la surélévation des pavillons d’habitation, l’implantation de bâtiments agri­ coles et industriels tous plus lumineux, plus confortables, plus sains, plus économiques, en un mot plus écologiques.

Grâce à l’emploi de matériaux inertes, l’insuf­ flation d’ouate de cellulose dans les combles, la fibre de bois rigide en vertical, les circuits courts, le bois bien­sur comme ossature, la ventilation double flux… les propriétaires

voient leur consommation d’énergie baissée spectaculairement...

Avec Younes et Benoit les deux autres charpen­ tiers, Frédéric chargé de la ventilation et des études thermiques, R2S a tiré le gros lot et prône des normes encore plus strictes qui ver­ ront une maison d’habitation produire plus d’énergie qu’elle en consomme, “Nous, on est déjà prêts !” assure Sébastien Roulin qui prend malgré tout le temps de la formation des jeunes tel Antoine 16 ans, qui vient du lycée Corbusieret Etienne et Maxime de l’AFPA, per­ pétuant ainsi le principe de transmission du savoir si cher aux artisans.

MADE IN JU16RA 13, 14, 15 et OCTOBRE - DOLE

I Publirédactionnel

A Poligny, Gilles et Muriel Sassier : Artisans ? Non, artistes !

De l’imagination pour Mon­ sieur, des doigts de fée pour Madame ou réciproquement…

Les pièces d’ébénisterie qu’ils créent ensemble rue Jean Bertin à Poligny, sont des pièces uniques et probablement qu’ils sont les seuls en France à être capables de les réaliser.

La capitale du Comté pourrait aussi bien se nom­ mer capitale du savoir­faire et de la minutie tant le résultat est bluffant. “De la conception à la réa­ lisation, ils frôlent la perfection absolue”, assure un client en admiration dans la petite salle d’expo qui sert d’entrée à l’entreprise alors que dehors sèchent à l’ancienne, c’est à dire couverts mais aux quatre vents, plus de 60 m3 de bois d’es­ sences différentes, “que des feuillus de la région” tonne le chef d’entreprise.

Qu’on lui commande un meuble, une porte, une horloge pour l’orner d’un animal, d’un person­ nage, d’un objet qui reflète une passion, une pro­ fession… “La démarche est la même : je médite

sur le choix des essences des bois que je vais mélanger car regardez, le frêne, le poirier, l’érable, le noyer n’ont ni les mêmes teintes, ni les mêmes veines, ni le même fini et à peine on l’oriente un peu que leur chatoiement est différent.”

œuvres fabriquées à la demande et à l’unité.

C’est à partir de ces observations que l’artisan­ artiste obtient la finesse et la beauté de ses

Il revient alors à incruster le motif dans le support en massif d’un autre bois suivant une technique minutieuse : l’incrustation.

La planche à dessin sortie du tiroir, c’est au tour de Muriel son épouse d’intervenir pour la sculp­ ture du motif choisi par le client et de l’agrémen­ ter (éventuellement) avec un motif pyrogravé !

Coup d’œil, coup de main, patience… le ciseau à bois fait des copeaux jusqu’à satisfaire les exi­ gences de l’auteur à tel point que l’on compare aisément le résultat final à de la marqueterie en relief.

“C’est le plus beau compliment qu’on me fait régulièrement !”

Le chef d’entreprise formé à Mouchard détient un CAP de mécanicien affûteur, un BT industrie et commerce du bois, il a encore le niveau BTS tech­ nico­commercial options Bois et Agrumes, alors

ZONE INDUSTRIELLE ­ RUE JEAN BERTIN ­ 39800 POLIGNY ­ 03 84 37 08 85 ­ www.ebeniste­sassier­39.com

que Muriel, sa conjointe collaboratrice, dispose de 5 CAP, celui d’Ébénisterie, celui de Menuiserie Agencement, ceux d’Arts du bois option Marque­ terie, une autre option Sculpture ornementaliste, enfin celui de Tournerie, d’un BEP Bois et Maté­ riaux associés et d’un BAC PRO option Ébéniste­ rie… Après avoir repris l’entreprise familiale en 2002, Gilles Sassier vous invite à découvrir son site : www.ebeniste­sassier­39.com Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons n° 109

Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons n° 109

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