Pays de Lons 110

N° 110 Novembre 2016

Pays de Lons Journal GRATUIT d’informations

DAVID Assainissement SARL

Hydrocurage G Terrassement G Débouchage de réseaux G Détartrage de colonne G Passage caméra G Pompage et court­circuitage de fosse septique G

317 rue des Gentianes ­ LONS LE SAUNIER 06 71 12 92 63

Rendez-vous à Poligny Au pied du premier plateau du Jura, Poligny se voue à une richesse architecturale et historique, mais aussi à un dynamisme bien palpable grâce à ses 80 associations. La commune reflète également la diversité du paysage du Jura avec ses grottes, son vignoble, ses reculées et ses nombreuses activités à pratiquer.

Cœur de

p. 10

affiche 60 000 visiteurs

p. 6

“Les rendezvous de l’aventure” reviennent p. 5

page urbaine du mois…

Sport Nouveau rendez-vous mensuel

p. 4

ENVOLÉES DE LA

La salon Made in Jura

LONS

LES

Le “fit ping tonic” et le “ping by night arrivent dans le Jura p. 20

SALLE DE BAINS

2 vivre ici Longwy-sur-le-Doubs

Pays de Lons n°110 - Novembre 2016

Une école locale réputée en naturopathie

Alors que la prise de médicaments est de plus en plus décriée, des écoles sérieuses forment des futurs praticiens aux médecines douces. L’une d’elle, l’ENA & MNC, située à Longwy­sur­le­Doubs est réputée.

“C’est en voulant gérer des problèmes de stress que j’ai découvert la naturopa­ thie. Finalement je m’occupe aussi des autres” explique Kévin Lomberget, fon­ dateur de l’École de Naturopathe Appliquée et de Médecines Non Convention­ nelles (ENA & MNC) à Longwy­sur­le­Doubs. Se détendre, soigner des maux ou des problèmes plus profonds, la nature offre de multiples vertus. “Nous tra­ vaillons main dans la main avec la médecine mais nous nous attachons vrai­ ment aux problèmes de fond”. Le professionnel souhaite prendre le temps : “Ici, une consultation dure 1 h à 1 h 30”. Les émotions, le corps, l’organisme, le vécu, tout est analysé pour adapter au mieux les soins proposés. “Nous voyons plus de 300 pathologies différentes dans l’année. Elles sont toutes traitées avec des méthodes naturelles. Alors que la prise de médicaments peut apporter des maux supplémentaires, nous apportons des solutions pour soigner autrement” explique le professionnel.

L’école fait intervenir 40 professionnels afin d’approfondir les disciplines.

Kévin Lomberget, fondateur de l’École de Naturopathe à Longwy-sur-le-Doubs.

LE SAVIEZ-VOUS ?

• HYDROTHERAPIE : utiliser les vertus thérapeutiques de l’eau aussi bien en externe qu’en interne.

• MORPHOPSYCHOLOGIE : grâce à la lecture des traits de caractère du visage, la morphopsychologie permet d’éclairer certains de nos comportements.

“J’ai eu l’idée de proposer cette formation après avoir étudié dans une école de massages puis de naturopathie, mais l’une était basée uniquement sur la pra­ tique, l’autre sur la théorie. Il est important de lier les deux pour expliquer ce que l’on fait et de savoir pourquoi on le fait. Nous apportons aussi des réponses scientifiques sur les vertus des différentes pratiques”.

Une école de campagne connue dans le monde entier Cette école, située en pleine nature, “était un pari fou”. Aujourd’hui, elle offre de nombreux avantages comme utiliser la nature et les plantes. Après huit années de préparation pour trouver les intervenants, le lieu et créer la struc­ ture, l’école a vu le jour en 2012. Les formations sont désormais très prisées.

“Nos élèves viennent de Suisse, des États­Unis, de Bul­ garie ou encore des DOM­TOM”. En quatre ans, l’ENA & MNC a multiplié par dix le nombre d’élèves et trente candidatures ont dû être refusées à la rentrée. En plus de la rentrée de septembre, une nouvelle section va être ouverte en janvier 2017 et une formation e­lear­ ning pour suivre une partie de la formation depuis chez soi est en développement.

ENA & MNC 5 rue de l'église - 39120 Longwy-sur-le-Doubs 09 83 94 34 65. - http://ecole-de-naturopathie.fr

Santé

Un centre de soins à Lons pour la maladie de Lyme ?

Alors que la maladie de Lyme est en recrudescence en Europe, et très présente dans le Jura, la ville de Lons est candidate pour la création d’un centre de soins dédié à la maladie.

Le gouvernement a dévoilé récemment son “plan national” pour améliorer la prise en charge de la maladie de Lyme. Ce plan prévoit le développe­ ment des prises en charge pour l’orientation des malades. En ce sens, la ville de Lons­le­Saunier est candidate pour la création d’une structure spéci­ fique. Cette initiative fait suite au projet de la mai­ son de santé dont les travaux ont déjà commencé.

“Avec cette maison, nous faisons forcément un lien avec les pathologies rencontrées dans le Jura.

Notre département est d’ailleurs l’un des départe­ ments les plus touchés” explique Benoît Chevrier, directeur de communication de la ville de Lons­le­ Saunier. “Il n’existe pas de centre de soins en France. Les tests de dépistage de la maladie ne sont pas fiables et les protocoles utilisés sont des copies d’un système américain non adapté. Nous

E TAT C I V I L NAISSANCES Tom de Patrick BUCHIN et Amandine GIRARD, Alièze Enzo de Romain CETRE et Sophie MAIRE, Arlay Tom de Nicolas FROMENT et Cyrielle PACCARD, Baume­les­Messieurs Élio de Anthony PUTIN et Florine SAGOT, Beaufort Iris de Youri GOYPIERON et Aurore BONNIN, Bletterans Jade de Victor LAPOSTOLLE et Morgane HUMBERT, Bonnaud Damien de Jérémie MARTEL et Mathilde ANSTETT, Clairvaux­les­Lacs Alessio de Grégory COSTA et Sara RICCI, Cosges Sasha de Anthony BLANC et Angélique REVERCHON, Courlaoux Élise de Jérôme BRENIAUX et Sonia COURVOISIER, Le Vernois

avons besoin d’un vrai protocole de soins” reven­ dique l’élu. “Aujourd’hui les malades sont de plus en plus nombreux et le dépistage ainsi que le suivi laissent à désirer. Il manque des formations aux médecins et aux professionnels qui restent mal informés sur cette maladie”.

Des infections majeures dans le Jura La propagation des tics est d’actualité dans le Jura.

30 % des personnes diagnostiquées en Bour­ gogne/ Franche­Comté sont d’ailleurs infectées dans le Jura. Les personnes concernées et des médecins impliqués ont rejoint la Fédération Fran­ çaise contre les Maladies Vectorielles à Tiques ou encore les associations présentes à travers la France comme LYM’PACT dans l’Est. Les diagnos­ tics sur les modes de contamination restent encore

Véli de Altin MARRA et Precylla ROCHE, Lons­le­ Saunier Firas de Messaoud BOUHEMBEL et Laila SAIDI, Lons­le­Saunier Chloé de Jordan GUILLEMIN et Camille GRENIER, Lons­le­Saunier Jannät de Saïd EL­ATMANI et Dounia ZITOUNI, Lons­le­Saunier Arya de Kevin NYAMBA et Anne­Sophie GUITON, Lons­le­Saunier Chayma de Sidi MELIANI et Emmanuelle PIMENTEL SANCHEZ, Lons­le­Saunier Leon de Zdzislaw STASIAK et Claire FERNANDEZ, Lons­le­Saunier Robin de Guillaume TAUBATY et Virginie FLORIANI, Miéry Noah de Yacine MAHSENE et Sophia BOUSLAH, Montmorot Théo de Gérald ELBACHIR et Jill ARBEZ­CARME, Montmorot

flous. Pour Benoît Chevrier, “Ce projet est une opportunité pour former des médecins et avancer la recherche. Le professeur Christian Perronne, Chef de service en infectiologie à Garches est d’ail­ leurs prêt à venir accompagner les médecins pour le lancement du centre et sûrement d’autres pro­ fessionnels, pas encore contactés à ce jour...”.

Plus d’informations : www.lympact.fr et http://ffmvt.org

LE SAVIEZ-VOUS ?

La maladie de Lyme est en forte expansion en Europe. Cette maladie est due à une bactérie transmise par les tiques et peut entraîner des complications graves si elle n'est pas soignée correctement avec des antibiotiques.

Jules de Léo BORDIER et Laura PEPE, Montrond Arthur de Thibault BESSON et Charlyne HOUSER, Montrond Éden de Christophe SILVA MACHADO et Charlotte LE GOFF, Nance Léana de Stéphane TOUZALIN et Angélique MARTINEZ, Perrigny Enora de Jean­Jacques LACROIX et Angélique JOUVANCEAUX, Perrigny Louis de Charly SIMONIN et Laura FEBVRE, Poids­ de­Fiole Enzo de Julien MARRON et Aurélie SEROZ, Poligny Ana de Alban BERTSCHY et Virginie ROBELEY, Poligny Emma de Arnaud GIRARD et Laure JACQUEMARD, Quintigny Ninon de Emmanuel THUILLIER et Marion AUVILLAIN, Saint­Maur

DÉCÈS BRENIAUX Francis, Brainans, 84 ans REVERCHON Maxime, Buvilly, 84 ans MATHIEUX Michel, Condamine, 79 ans WAGNER Micheline, Darbonnay, 82 ans GEOFFROY Philippe, Digna, 55 ans MARANO Jean­Pierre, Frébuans, 75 ans FRAY André, Gigny, 89 ans POUILLARD Andrée, Lons­le­Saunier, 95 ans DESQUIENS Simone, Lons­le­Saunier, 85 ans RUZAFA ROMERO Rufino, Lons­le­Saunier, 80 ans BLANC Germaine, Lons­le­Saunier, 75 ans TISSERAND Carine, Lons­le­Saunier, 38 ans RAFFIN Gérard, Macornay, 82 ans MALLET Numa, Messia­sur­Sorne, 91 ans UNY Marthe, Perrigny, 92 ans DAMAS Jeanne, Vevy, 86 ans

Zone des Epenottes BP 212 - 39102 Dole Tél. 03 84 82 50 21 n°ISSN : 1 778-820X - Imprimé en France

Rédaction : redaction@paysdelons.fr Régie publicitaire Tél. 03 84 82 50 21 Portable 06 33 79 00 94 commercial@paysdelons.fr

Prix directs d’usine, verres et montures Made in Jura, carte d’authenticité...

Besoin de lunettes, envie d’une nouvelle mon­ ture, changez vos verres, soyez clairs... prenez rendez­vous au magasin d’usine VISIOPTIMUM sur la zone industrielle de la Marjorie. Guy Mon­ noyeur, Jonathan et son équipe d’ingénieurs, Françoise l’opticienne diplômée de l’école d’op­ tique de Morez, vous proposent des verres pro­ gressifs, simples, blancs ou teintés à partir de 150 euros l’unité et des montures exclusive­ ment Made in Jura. “Autrefois les fabriques de verres de lunettes ­fleurons industriels juras­ siens­ avaient pour noms Lizon, Bourgeois… plu­

sieurs centaines d’ouvriers qualifiés travaillaient au polissage, au montage...” et l’ingénieur Mon­ noyeur qui en a fait partie, a pris voici quelques années, la décision de créer à nouveau une filière locale à partir de ses machines fabriquées dans le Jura et brevetées internationales.

Il occupe une partie du rez de chaussée au Magellan. Il reçoit en 2009, le premier prix OSEO des mains de Valérie Péqueresse, Ministre de la Recherche. VISIOPTIMUM, classée Entre­ prise Innovante, n’a plus qu’à produire et ali­ menter le réseau des opticiens.

Fort de ses succès commerciaux, Guy Mon­ noyeur opte pour une distribution complémen­ taire, celle de la vente directe aux particuliers. Il ajoute plusieurs gammes de montures exclusi­ vement Made in Jura et Made in France en

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Françoise au service du client métal, en acétate et même une gamme numé­ rotée en bois “ce sont des exemplaires uniques qui apportent l’originalité et qui personnalisent chaque client”, précise l’opticienne Françoise.

“Fabriqués sur place et pour chaque cas, blancs, teintés simples ou progressifs...les délais sont courts, le coût est moindre, le transport est réduit, l’entreprise participe de fait au dévelop­ pement durable.” Une carte d’authenticité est remise à chaque acheteur, un parrainage per­ met d’obtenir des ristournes supplémentaires… le service est complet.

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Margaux, actuellement en licence pro traite­ ment de surface et Jonathan, ingénieur.

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Cœur de

LONS page urbaine du mois…

QUINZAINE COMMERCIALE A LONS-LE-SAUNIER ILS ONT GAGNÉ 1 000 EUROS : Climonet Catherine N°12127 chez Eve boutic 500 EUROS : Donelaine Mylène N°04233 chez E-planet Gros Olivier N°05554 chez Optic 2000 200 EUROS : Bones Pascal N°01941 chez E-planet Crevan Catherine N°11219 chez Esprit Blazejczyk Gerard N°01053 chez Le coin de Paris Defougeres Denise N°03340 chez New Mod Autres lots et gagnants affichés chez les commerçants participants

Lionel Flattry - Président association des commerçants du vieux Lons

“Fédérer, c'est gagner !”

“LORSQUE 19 COMMERÇANTS SE CONCERTENT ET ÉMETTENT LE VŒU DE TRAVAILLER ENSEMBLE... ÇA MARCHE !” AINSI AVEC CET ESPRIT DE SOLIDARITÉ, LES COMMERÇANTS DES RUES DE RONDE, TRAVERSIÈRE ET PERRIN ONT RÉUSSI PLUSIEURS JOLIS COUPS TOUT AU LONG DE CETTE ANNÉE 2016.

Concerts, brocantes, décorations communes de Noël, présence d'artisans au travail… “Les plus belles rues de la ville” ont fait le plein cet été et les terrasses assaillies jusque tard dans les soirées... faisant dire à beaucoup “que le quartier sentait bon les villes du sud, qu'il était très agréable d'y dîner, d'écouter la musique, de découvrir des artistes, des peintres, des photographes…” et même “que Saint Germain des Prés avait du souci à se faire” ! Au moment où la morosité gagne du terrain un peu partout, l'Association des commerçants du vieux Lons, par l'intermédiaire de son président Lionel Flattry et de ses adhérents, fixe une dynamique à laquelle les lédoniens mais aussi les touristes répondent favorablement. Exemple de bonne entente, défense intelligente des intérêts de chacun... La bonne santé revient dans le quartier et c'est tant mieux ! L'objectif avoué des commerçants est d'obtenir la circulation piétonne de ces rues typiques tout au long de l'année, le président Flattry et son équipe imaginent la reconduction des animations passées, en projettent d'autres mais il faudra attendre un peu pour connaître le programme. La grande journée de Noël se déroulera le 18 décembre dans un quartier entièrement piéton, initiative que soutiennent et facilitent la Ville de Lons et le Conseil départemental.

On y croisera entre autres, artistes, musiciens, on s'y verra offrir quelques verres de vin chaud, on y consommera quelques friandises en harmonie avec la saison, on y découvrira de belles décorations, un tapis de sol...et le Père-Noël.

Delphine Stanojlovic - Eve Boutic

“On est bien ici !”

PARTIE À LYON QUELQUES ANNÉES POUR RAISONS PROFESSIONNELLES, LA LÉDONIENNE DELPHINE STANOJLOVIC, N'A PAS RÉSISTÉ TRÈS LONGTEMPS À L'APPEL DE “CE PAYS OÙ L' ON RESPIRE”, LE PAYS DE SES RACINES, LE JURA !

Le retour aux sources avec l'opportunité de reprendre cette charmante petite boutique située rue SaintDésiré, qui répond au nom enchanteur d'Eve Boutic.

Une occasion possible pour Delphine grâce à la sympathie et la fidélité que lui témoignent ses clients, par la taille humaine de la ville et par l'ambiance apaisante qui y règne. “Comparée à celle d'une grande métropole,

on est bien ici…” Spécialiste reconnue de la lingerie féminine, Delphine a relooké son commerce, elle offre un espace convivial où il fait bon entrer pour découvrir des gammes très prisées telles que Prima Donna, Aubade, Simone Pérèle...

Eve Boutic, 17, rue Saint-Désiré - Lons-le-Saunier - Tél. 03 84 24 43 74

Festival

“Les rendez-vous de l’aventure” reviennent en mars…

EN RÉUNISSANT AU MÊME ENDROIT ET EN MÊME TEMPS FILMS, LIVRES ET CONFÉRENCES, EN INVITANT, APRÈS DAPHNÉE VICTOR, LE LÉDONIEN FRANÇOIS BERNARD, AVENTURIER MONDIALEMENT CONNU, LA SECONDE ÉDITION DE CETTE MANIFESTATION UNIQUE EN FRANCE PROMET DE BELLES RENCONTRES ET D'INTÉRESSANTS ÉCHANGES. CET ÉVÉNEMENT MAJEUR SE TIENDRA DU 16 AU 19 MARS 2017.

“2 000 personnes de 14 départements sont venues à Lons l'année dernière”, précise Marion, chargée de la communication. Rappelons que le couple Virgile et Marion Charlot, chevilles ouvrières de ces “Rendez-vous de l’aventure”, baroudent régulièrement à pied ou à vélo autour du monde et c'est au hasard de leurs périples, qu'ils ont noué des amitiés avec certains de ces personnages hors du commun qu'ils invitent pour l'occasion. “Le Mégarama, la médiathèque, le Carcom prêtent leurs murs. La place du 11 novembre se laissera faire pour accueillir un bâtiment éphémère pour le moins original, probablement une yourte. La librairie La Boîte de Pandore se joint aussi à la fête pour l'organisation du Jury littéraire, la Ville de Lons et le Conseil départemental s'impliquent et soutiennent l'initiative”, Marion est ravie ! L'association “La Fabrique de l'Aventure” sait également qu'elle peut compter sur le dévouement de ses bénévoles pour mener à bien les différentes étapes de ce festival. Pendant ces quatre jours, le grand public est invité à rencontrer des aventuriers de toutes les disciplines à travers des projections de cinéma en présence de leurs réalisateurs, des rencontres littéraires et dédicaces avec des écrivains-voyageurs... Ateliers participatifs et démonstrations sont également à l'ordre du jour d'autant que les scolaires, largement invités à la fête l'année dernière avaient démontré leur intérêt lors d'échanges avec les auteurs, les photographes et les cinéastes présents. Cachottier, le couple Charlot ménage le suspens et garde le secret de quelques surprises... il faudra donc patienter jusqu'au printemps !

Théâtre

Boulevard au Bœuf les 12 et 13 novembre La Ville de Lons-le-Saunier organise un week-end de théâtre les 12 et 13 novembre prochains au Bœuf sur le toit. Au programme deux séances différentes avec le théâtre de la Citerne : le samedi a 20h “Le roi Victor”, une pièce de Louis Calaferte et le dimanche a 15h30 “Courtes et fines... Courteline” deux petites pièces de Georges Courteline : “Monsieur Badin” et “La peur des coups”. L’intention est de donner à voir une forme de théâtre de pur divertissement dont les codes fonctionnent toujours auprès du grand public et sur le principe d’un week-end d’automne.

Re ´servation : Office de tourisme des Co ̂ teaux du Jura a ` Lons-le-Saunier, place du 11 novembre Billetterie : Sur place les jours de repre ´sentation (1h avant le de ´but) Prix unique : 5 € l’entre ´e

François Bernard : A travers le monde depuis trente ans, il est allé de l'Himalaya à la jungle en passant par les pôles et les déserts. Il a gravi les plus hauts sommets et les plus grands volcans. Voulant faire partager sa passion il a projeté ATKA, un voilier stationné dans le Groenland pendant 18 mois sur lequel il a reçu scientifiques, artistes, sportifs et enfants... “Le festival sera pour moi l'occasion de faire découvrir cette aventure hors du commun”, se flatte l'explorateur.

6 actus

Pays de Lons n°110 - Novembre 2016

C’était “Made in Jura” à Dole !

Durant quatre jours, du 13 au 16 octobre derniers, le salon Made in Jura a connu un vif succès. Plus de 60 000 visiteurs pour ce salon organisé pour la première fois à Dole… En effet, pour sa quatrième édition, le salon Made in Jura a pris place au sein de “Dolexpo”, la nouvelle salle des expositions du bassin dolois fraîchement inaugurée. De par sa taille, le bâtiment annonce la couleur : 18 000 m2, 2 halls, plus de 400 exposants… le plan des stands est bien utile. “Je ne pensais pas que cela serait aussi grand” avouent certains visiteurs. En quelques mois, le Grand Dole a réussi à métamorphoser le site industriel. Le Conseil départemental s’est de son côté mobilisé pour réunir les acteurs économiques, entreprises, artisans, associations, collectivités… Le savoir-faire jurassien était ainsi représenté, une bien belle vitrine !

Paroles de visiteurs Pierre et Corinne Magnon “Le salon a amené beaucoup de monde, cela fait du bien. Il a pris de l’ampleur à Dole. Nous sommes venus par curiosité, c’est une grosse manifes­ tation organisée dans le Jura, il fallait venir ! Nous apprenons beaucoup de choses et nous nous rendons compte que nous ne connaissons pas si bien le département qui ne se réduit pas à du fromage et des lunettes !”

Clément Pernot, Président du Conseil départemental

“Made in Jura ne peut pas s’arrêter maintenant…”

Laurence et Didier Picaud­Keller “Nous revenons car nous n’avons pas eu le temps de tout voir. Avec les navettes c’est bien pratique. Nous voulions voir le nouveau bâtiment et ne pensions pas qu’il y avait autant d’entreprises présentes. J’ai aussi pu rencontrer la société Solvay et poser mes questions. Nous avons regoûté avec plaisir aux produits régionaux et ma femme a même pu rencontrer des interlocuteurs inté­ ressants pour son travail. Seul bémol : les dif­ férentes activités sont un peu mélangées…”.

Nous ressentons une grande satisfaction d’avoir pu réunir autant d’exposants et de visiteurs. C’est très encourageant pour l’avenir. C’est au­delà de ce que nous avions imaginé. Nous avons reçu de multiples remerciements et messages de satisfaction.

Certains secteurs absents sur ce salon auront, je pense, à cœur d’être présents lors de la prochaine édition. Je regrette de ne pas avoir anticipé ces absences. Nous veil­ lerons à nous adapter pour recevoir tout le monde. Beaucoup de personnes m’inter­ rogent sur la suite à donner à ce salon. Nous avons tellement souhaité son retour qu’il est difficile d’imaginer ne pas le renouveler. Quand ? Nous verrons avec l’asso­ ciation Made in Jura. Tous les trois ans peut être un bon rythme. Une année pour se reposer, une année pour l’imaginer et une année pour le préparer ! Le Conseil dépar­ temental restera très proche de l’association. Nous resterons présents en termes de promotion et de marketing territorial. Nous allons maintenant nous consacrer à l’étape “Made in Jura” du Tour de France. Ce sera un important moment pour le Jura.

Joëlle Coulot “Je suis éblouie par toutes les belles choses fabriquées dans le Jura. On n’imagine pas assez la richesse de notre département. Le lieu fourmille d’idées. L’ambiance est très agréable. Le site est immense et je commence d’ail­ leurs à fatiguer. J’habite à Doucier, à 1 h de Dole mais cela vaut le coup de faire 70 km pour venir jusqu’ici, sur­ tout que le salon est plus grand qu’avant. Il y a quelques années, je venais au salon Made in Jura pour chercher à faire construire ma maison. Maintenant, c’est plus pour prendre des contacts afin de réaliser de petits travaux.

Laurent Chauvin, Président de l’association Made in Jura

“Que l’esprit Made in Jura perdure…”

Avec 60 000 entrées en 4 jours, le salon est une réussite. L’as­ sociation s’attendait à un succès populaire mais pas à ce niveau !

Le salon a fait la démonstration que la marque va bien au­delà du Jura. En effet, nous avons rayonné en Bourgogne, dans le Doubs, en Saône­et­Loire, en Haute­Saône… Le Jura et Dole sont bien au cœur de la grande région. Jeudi et vendredi ont offert la qualité d’un salon professionnel grâce à des échanges entre les entreprises. Nous garderons tous à l’esprit la foule de visiteurs le samedi et le dimanche.

Quand le salon reviendra­t­il ? Je ne suis pas le seul à décider mais pour ma part, réitérer l’événement dans trois ans me paraît être une bonne fréquence. J’aime dire “ce qui est rare est cher”.

Le salon a bien marché, il a rapproché entreprises et visiteurs, mais il ne faut pas banaliser l’événement et le déprécier. Une pépite doit rester une pépite. L’objectif est de faire en sorte que l’esprit Made in Jura perdure, tout en conservant son originalité.

Dans une situation où la communication et l’économie sont par­

Laurent Chauvin et l’association “Made In Jura” composée de professionels jurassiens ont maintenant la charge de faire vivre la marque au quotidien.

Pour les grands et les petits…

Roméo, 8 ans, les yeux pétillants, explique : “J’ai pu jouer au tennis et découvrir le tir à la carabine laser, mais je suis aussi monté dans un camion où l’on soigne les sportifs. C’est un grand camion et il en existe seulement deux dans le monde. J’ai vu des lunettes réalisées avec des morceaux du Titanic et j’ai pu monter dans la caravane Made in Jura pour faire l’expérience d’être dans un appareil photo géant. J’ai vraiment découvert plein de choses.”

fois difficiles, rassembler le petit artisan et la grande entreprise est une chance mais aussi un moyen de remplacer les ondes négatives par des ondes positives. Le salon redonne de la confiance à beaucoup. Le Tour de France traverse le départe­ ment et va pouvoir faire écho au salon en s’appelant “La Made in Jura”. Une étape 100 % jurassienne permettant la promotion du territoire. Au quotidien, la marque vit dans les entreprises jurassiennes qui se sont appropriées le logo et se diffuse plus encore grâce aux jurassiens eux­même. Ainsi tout le monde contribue à la promotion du Jura. © Raynaud de Lage

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PAGET PÂTISSERIE ROUGET DE LISLE DSFDSFSDFDS

Le jeune artisan pâtissier­chocolatier est dans son laboratoire... heureux comme un poisson dans l’eau !

En reprenant cette pâtisserie­salon de thé de renom particulière­ ment bien située au n°22 de la rue du commerce, Mathieu a satisfait son désir, celui d’être un jour chef d’entreprise.

Infatigable, l’artisan ne ménage pas ses efforts, l’esprit toujours en éveil, il cogite en permanence “car la mise au point d’un nou­ veau gâteau dure une bonne semaine.”

“Tout se passe au labo. Avec mon équipe, je pèse, je mélange, je cuis... je teste l’association d’ingrédients, j’imagine une présenta­ tion originale car c’est au premier regard jeté sur la vitrine que les gens s’arrêtent et goûtent”. Ne s’accordant ainsi pas de droit à l’erreur, Mathieu Paget offre un éventail de gâteaux individuels ou familiaux qui mettent l’eau à la bouche.

Au classique mais toujours apprécié “Rouget de Lisle”, subtile macaronade aux amandes, à la crème au beurre et au praliné, s’est ajouté un autre fleuron, “Le Montélimar” une mousse au nougat et une compôtée de cassis délicatement posées sur un sablé breton maison...

“Il vaut mieux vaut venir dans la boutique pour découvrir”, glisse Raymonde, une habituée des lieux. “Les consommateurs sont les meilleurs juges, je leur fait goûter, j’écoute leurs critiques, je modi­ fie les dosages s’il le faut.”

La boutique, facile d’accès, a fait l’objet de travaux de rénovation, le salon de thé a été agrandi et offre un espace convivial pour les petits déjeuners, les goûters délicats, un moment paisible entre amis à toute heure du jour.

Pâtissier... mais aussi Chocolatier !

Sans exclure le chocolat blanc, Mathieu préfère le noir qu’il trouve plus corsé “et surtout sans huile de palme, à 100 % au beurre de cacao.” A la framboise, au cassis..., les ballotins exci­ tent les papilles !

Pâtissier­chocolatier… mais aussi glacier !

Fruits naturels, sucre, crème, les glaces sont naturelles, les autochtones et les estivants ne se sont pas trompés “la saison a été impressionnante aussi bien en demi­litre qu’en cornet”.

Ouvert du lundi au vendredi : 7h à 12h30 ­ 13h30 à 19h. Dimanche et jours fériés : 8h à 12h15

22 rue du Commerce • LONS LE SAUNIER • 03 84 24 51 80 • www.mathieupaget.fr

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Nous répondons aux préoccupations des parents et futurs parents : nutrition, accidents domestiques, vue et audition de l’enfant.

La Mutuelle Familiale propose une complémentaire de vie qui agit sur la santé des salariés, en impliquant les acteurs de santé dans un projet de prévention globale, avec des actions adaptées aux besoins de chaque entreprise : sensibilisation et programmes spécifiques pour les actifs, agenda assurant la traçabilité des événements santé au cours de la vie professionnelle.

Prendre soin de votre santé et vous accompagner dans la vie, c’est complémentaire et c’est un axe fort de l’engagement de La Mutuelle Familiale.

Vos modes de vie, vos habitudes, votre environnement influent sur votre santé. C’est pourquoi La Mutuelle Familiale vous aide à prendre soin de vous pour mieux prévenir les risques et vous propose des prestations de prévention et de dépistage.

Un site Internet dédié à la santé : Le site mapreventionsante.fr informe et conseille les internautes pour améliorer durablement leur santé : « Ma santé au quotidien », « Ma santé au travail », « Ma santé et mon environnement », qui apportent des conseils santé personnalisés. Il permet aussi aux adhérents de s’inscrire aux ateliers de prévention organisés par La Mutuelle Familiale.

Un accompagnement par téléphone au 39 35 : Les adhérents de La Mutuelle Familiale peuvent être conseillés dans l’arrêt du tabac, leur alimentation, le maintien à domicile et toute question de santé sur la plateforme et le site Internet Priorité Santé Mutualiste.

Pour tout renseignement : preventionfranchecomte@mutuelle-familiale. fr Nos agences sont ouvertes du mardi au vendredi de 9h à 13h et de 14h à 18h et le samedi de 9h à 12h.

DOLE

Aider les seniors à bien avancer en âge est une de nos priorités à travers des actions de groupe.

Les ateliers « Bien vieillir » associent théorie et pratique : stimuler sa mémoire, pratiquer une activité physique, ménager son dos, entretenir son équilibre, connaître son sommeil.

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DEVIS SUR Mutuelle régie par le livre II du Code de la Mutualité – Siège social : 52, rue d’Hauteville 75487 Paris cedex 10 - SIREN n° 784 442 915 - Document non contractuel Crédits photo : Momentimages, Brand New Images, Westend61, Roger Richter - Octobre 2016

8 actus

Pays de Lons n°110 - Novembre 2016

C’était “Made in Jura” à Dole !

Equip’Evénement - Tavaux : “Installation des stands : c’est un chantier comme les autres sauf que nous étions à la maison…”

Du travail en coulisses…

Les stands ont été montés en un temps record afin que tout soit prêt pour la grande ouverture au public. L’entreprise Equip’Evénement loca­ lisée à Tavaux a géré la mise en place du salon, de la moquette à l’élec­ tricité en passant par l’éclairage et la signalétique intérieure et exté­ rieure. “Nous avons eu un peu plus de temps que d’habitude car la salle était disponible et nous étions sur place. Nous avons étalé la mise en place sur dix jours alors que nous réalisons habituellement tout cela en quatre jours. Nous avions aussi d’autres salons en même temps à Grenoble, Chartres ou Caen…” explique Baptiste Recordon, chargé de projet “Evénements”. Pour l’entreprise qui installe 90 à 120 salons en France et à l’étranger, une vingtaine de personnes suffisent pour mon­ ter et démonter les lieux. “C’est un chantier comme les autres mais nous étions à la maison. La société a d’ailleurs déjà participé aux pré­ cédentes éditions. Nous avons inauguré l’installation dans cette nou­ velle salle. À quelques détails près, tout s’est très bien passé”.

Un salon c’est aussi des femmes et des hommes de l’ombre. Ménage, café, restauration et installation/démontage des stands, nous avons suivi quelques secteurs cachés du salon.

Rubin - Lons-le-Saunier : “Le ménage commençait à 5 h du matin” Qui dit salon, dit forcément nettoyage et propreté. Ce service, assuré par la société Rubin avec ses deux sociétés partenaires NTS et SNS, a demandé une organisation précise. “J’ai dix personnes présentes pour ces quatre jours. Nous disposons d’un matériel adapté (balayeuses autoporteuses, autolaveuses…) pour pouvoir assurer le nettoyage des 7 000 m² d’allées, des 800 m² d’accueil, des 900 m² de restauration, sans oublier les 200 m² de l’espace VIP…” explique Anne Guillot­Rubin, co­gérante des sociétés Rubin à Lons­le­Saunier. De 5 h à 10 h du matin, les dix employés s’attèlent à rendre le site propre, sans oublier les sanitaires. “Une personne est présente toute la journée pour nettoyer les quatre espaces toilettes et sanitaires”. La société a l’habitude de travailler sur de grandes superficies, alimentaires ou industrielles par exemple et avait déjà participé au salon en 2009. Pour entreposer le matériel et faciliter la tâche des collaborateurs, deux locaux sont disponibles de chaque côté de la foire des expositions. “Ces deux espaces sont bien pratiques car nous marchons chaque jour environ dix kilomètres” avoue Nadine, l’une des chefs d’équipe.

L’équipe de nettoyage au complet

Etable gourmande - Hauteroche : “Mon mari se levait à 1 h 30 du matin pour préparer les repas”

Stéphanie Viret et Lucie Perrard

Un petit chariot avec du café et des viennoiseries, cela attire forcément. Il est 9 h 30 et le salon va bientôt ouvrir. Stéphanie Viret, co­gérante de L’Étable Gourmande déambule dans les allées. Un plan dans une main, le chariot dans l’autre, elle part à la recherche des pôles cafétérias intégrés au sein des allées.

Ces espaces gourmands proposent de la vente de café et des viennoiseries.

Stéphanie, son mari Yannick, et ses collègues Lucie et Olivier Perrard du Bou­ chon du Château à Mirebel, assurent l’ensemble de la restauration pendant

toute la durée de l’événement. Mais le gros du travail se fait à l’extérieur du salon. “Yannick, mon mari, se lève à 1 h 30 du matin pour préparer les repas. Rien que pour les plats chauds, nous en préparons 400. Il faut ensuite conditionner les prépara­ tions et transporter le tout”. Un challenge auquel la société est habituée. Elle assure régulièrement des repas de réceptions et avait déjà participé au salon en 2009.

La Maison de la Pose a exPOSÉ au salon Made in Jura La Maison de la Pose était présente au salon Made in Jura les 13, 14, 15 et 16 octobre derniers pour présenter ses nouveaux modèles de Jacuzzis®.

“Made in Jura s’est ouvert aux distributeurs, ce qui nous a permis de participer à ce grand rendez­vous” explique la co­gérante Brigitte Douvre. L’entreprise conçoit, rénove, aménage des salles de bains per­ sonnalisées et les livre “clé en main”, adapte les installations aux per­ sonnes à mobilité réduite, réalise la plomberie et le chauffage. La société est aussi spécialisée dans les Jacuzzis® et les saunas. Lors du salon qui s’est déroulé à Dole, les visiteurs ont ainsi pu découvrir cer­ tains modèles. Pour en savoir plus, rendez­vous en boutique : “Nous venons de transformer notre entrepôt en salle d’exposition. Sept modèles de spas et Jacuzzis® sont ainsi exposés au public”.

Portes ouvertes : les 2, 3, 4 et 5 novembre.

Participation au salon d’Automne à Cousance les 5 et 6 novembre.

La Maison de la Pose - 240 rue Victor Puiseux - 39000 Lons-le-Saunier Tél. 03 84 47 15 24

Baptiste Recordon

Un camion dans Dolexpo !

Il s’agit d’un centre médical mobile de 17 m de long. Il est destiné à apporter un diag­ nostic en imagerie médicale pour les blessés lors de mani­ festations sportives tel que le Tour de France. Made in Jura, Made in Monnières ! Et oui !

Un appareil photo géant ! Le projet de la Caravane Obscura transformée en appareil photo­ graphique “géant” se veut être un outil pédagogique et artis­ tique. L’initiative est portée par l’association wArf, souhaitant développer la création et la sen­ sibilité artistique. Elle lance un appel au financement participa­ tif sur my­courte­echelle.com.

Cyrille Bréro, conseiller municipal de la ville de Lons et attaché parlementaire de Jacques Pélissard :

“Nous avons montré le dynamisme opéré depuis plusieurs années et valorisé l'économie et le patrimoine de la ville” Que représente votre présence et votre investissement au salon Made in Jura ? Quels étaient les objectifs et les animations mises en place ?

C'était pour nous une évidence que les forces vives de la ville de Lons-le-Saunier et de la Communauté d'Agglomération soient représentées au salon Made in Jura. L'objectif était avant tout de montrer les territoires et les spécificités, surtout que le salon était historiquement organisé à Lons-le-Saunier. Ce stand représente l'investissement de la ville depuis ces dernières années.

Votre stand a marqué les esprits. Comment avez-vous pu vous démarquer sur ce point ?

Le salon a fait beaucoup d'entrées. Nous avons intéressé des centaines voire des milliers de visiteurs. Nous sommes très satisfaits de notre présence sur le stand. Il était d'ailleurs très dynamique.

Nous avons osé les couleurs et les effets de surprise avec nos animations et notre mobilier. Nous avions de grands fauteuils colorés, mais aussi des tablettes. Il fallait oser surprendre et nous l'avons fait !

Quel est le bilan de cette implication ?

L'idée était de montrer la force et l'attractivité de notre territoire sur ces thématiques. Lons joue une place prépondérante dans le Jura en tant que capitale administrative. Elle a une véritable implication économique sur les territoires. Nous avons montré le dynamisme opéré depuis plusieurs années et valorisé l'économie et le patrimoine de la ville. Cet impact visuel et cette communication ont marqué les esprits. Pendant quatre jours, nous avons expliqué et informé la population de la ville de Lons, mais aussi des personnes originaires d'un peu partout.

Ardiet parquets Vente directe, pose, rénovation...

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Parquets massifs, flottants, lames vinyles, lambris, accessoires et produits d’entretien...

“Se démarquer de la concurrence, proposer des produits techniques de qualité, offrir des décors originaux signés par des créateurs, être au service du particulier comme du pro­ fessionnel...”, Ardiet parquets situé dans la Zone Industrielle de Messia, poursuit son

bonhomme de chemin avec ses nouvelles collections d’automne. Reconnu comme étant le spécialiste des sols de qualité, Ardiet parquets propose la vente directe aux parti­ culiers à poser soi­même, la vente aux professionnels mais dispose aussi d’une équipe de parqueteurs qui sont tous des spé­ cialistes de la chose depuis de nombreuses années. “Je tiens à ce que les gens se sentent libres de choisir leur mode de pose”, affirme Elise, la gérante.

Un client témoigne :

“Savoir démonter, poncer, revigorer les par­ quets anciens mais aussi, à la demande, les remplacer par des produits plus contempo­ rains ne s’improvise pas” témoigne un client de l’entreprise.

ARDIET parquets, c’est aussi l’écoute, le conseil, le meilleur choix d’autant qu’avec les nouvelles gammes qui arrivent, il y a toujours une proposition qui s’adapte.

Parquets vinyles, dalles clipsées, imitation carrelage à s’y méprendre, voici qu’apparaît la dalle plombante, “pas de colle, pas de clou, pas d’agrafe... son seul poids la tient en place”. Si le support est adéquat, sa faible épaisseur (5 mm) permet de la poser à peu près n’importe où et pour n’importe quel usage. “C’est un produit qui a bouleversé le marché” affirme Elise.

Aujourd’hui il n’y a plus de limite !

Esthétique, contemporaine, la gamme Edi­ tion imaginée par des grands designers permet toutes les folies et les personnalisa­

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tions d’intérieurs. Dans le showroom une gamme complète d’échantillons avec par exemple des prix de stratifiés de qualité qui commencent à 12,99 € et “Chez ARDIET par­ quets, en emporter quelques uns à la maison pour choisir tranquillement en famille c’est possible”.

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Ouvert du lundi au vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 19 h.

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Une partie de la sympathique équipe d’Ardiet parquets

10 Ville &

Pays de Lons n°110 - Novembre 2016

Village

Poligny, capitale du Comté Au pied du premier plateau du Jura, Poligny se voue à une richesse architecturale et historique, mais aussi à un dynamisme bien palpable grâce à ses 80 associations. La commune reflète également la diversité du paysage du Jura avec ses grottes, son vignoble, ses reculées et ses nombreuses activités à pratiquer.

Nous vous accueillons dans une nouvelle ambiance plus spacieuse et chaleureuse dans nos nouveaux locaux !

Profitez des conseils de vos libraires : littérature, polars, jeunesse, région, vie pratique… Papèterie, dvd et jeux éducatifs.

Large assortiment, commandes, et rencontres gratuites avec des écrivains !

Retrouvez nos coups de cœur et notre agenda sur Facebook !

3, rue Travot - POLIGNY - 03 84 37 29 82

Les Charmilles Bar - Hôtel - Restaurant

Cuisine régionale & traditionnelle !

MENUS SPÉCIAL GIBIERS Et à partir du 2 novembre, venez découvrir notre menu TRIPIER !

Menus et plats du jour à partir de 8€ tous les midis du mardi au vendredi

14, av. de la Gare - POLIGNY Réservation 03 84 37 24 51

Cinquième plus grosse ville du départe­ ment avec environ 5 000 habitants, Poligny se distingue par ses 400 000 meules de Comté vieillissant au sein de beaux sites d’affinage mais aussi son vignoble et ses caves. Ville gourmande par excellence, c’est une commune en mouvement grâce au dynamisme de ses 2400 jeunes scolarisés dans la commune, principalement au lycée polyvalent Hyacinthe Friant, réputé natio­ nalement dans le milieu de l'hôtellerie ou à l’école nationale de l’Industrie Laitière et des biotechnologies. Les jeunes et toute la population aiment se retrouver sur la place des Déportés où se situe le lycée hôtelier, de nombreux cafés, des commerces, mais aussi le marché, organisé le lundi et le ven­ dredi matin. Avec sa Grande Rue récem­ ment rénovée et ses nouvelles structures comme la création de maison de santé ou l’agrandissement de la crèche, Poligny est une ville où il fait bon vivre.

Une vie associative dynamique Toute l’année, le riche tissu associatif de Poligny se distingue aussi bien dans les domaines de la culture, des loisirs ou du sport grâce aux 80 associations présentes dans la commune. Citons entre autres l’as­ sociation “Les Jacobins” attachée à restau­ rer et à faire vivre l'ancienne église du cou­ vent des Jacobins, la Séquanaise avec ses actions en direction de la jeunesse et ses activités pour tous, la librairie associative polinoise, Mi­Scène pour son organisation de spectacles ou encore ARCO pour la pro­ motion de l’art contemporain.

Un patrimoine historique La ville, au riche patrimoine historique, dis­ pose de beaux édifices religieux et mili­ taires avec l’église des Jacobins, l’église de Mouthier­Le­Vieillard, la collégiale Saint­ Hippolyte, mais aussi le Couvent des Ursu­ lines ou la tour de la Sergenterie, l’un des nombreux vestiges de défense des rem­ parts du XVIe siècle. Poligny compte pas moins de 29 fontaines dont la fontaine des Morts et la fontaine aux poissons, les plus anciennes de la ville. La commune offre aussi un beau patrimoine naturel comme le belvédère de la Croix du Dan surplombant Poligny, le mont de Grimont, les grottes de

Roncevaux, du Coupot et du Trou­de­la­ lune ou encore les sources de la Glantine et de l’Orain, affluent du Doubs. Un cadre de nature agréable, propice à de nombreuses activités, qui confère aux habitants une qualité de vie indéniable.

Animations et fête de la bière Depuis sa création en 2006, la fête de la bière attire chaque année de plus en plus de monde. Elle s’est désormais ancrée comme l’événement phare de la ville. Elle

attire de nombreux brasseurs du départe­ ment, de la région mais aussi de la France entière. Amère, acidulée, sucrée, blonde, brune ou ambrée, partez à la rencontre des acteurs de la boisson pour une expérience enrichissante et authentique. Organisée au mois de mars, elle attire désormais jusqu’à 5 000 visiteurs.

Comté et vins, la pause gourmande Poligny est aussi un repaire pour tous les gourmands. Venez flâner sur la route tou­ Suite page 15

La

Cie du

Vin

Cécile JOUAN

Caviste

& Vins de prestige

13, rue Travot

39800 POLIGNY

Tél. 09 72 37 61 41 Mobile : 06 45 32 39 52

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PRINTEMPS GOURMET… Eric et Corinne Klufts, les nouveaux propriétaires de l’INTERMARCHE situé au n°83 de la RN 5 à Poligny dynamisent le restaurant et relookent le magasin !

Le samedi, c’est un plat local maison !

“Au Bistrot du Marché, c’est que du frais”, lancent en chœur les deux responsables du restaurant qui sont dans la maison depuis plus de 5 années. “Sylvie à la popotte, Céline au service”, le duo souligne du même coup la convivialité qui règne dans l’établisse­ ment et qui plaît aux habitués. Debout devant une casserole fumante où mijote depuis le début de la matinée un pot­au­feu et ses légumes fraîchement épluchés, la cuisinière surveille le four où dorent quelques pâtisseries maison qui termineront les repas du jour alors que la mise en place se fait pressante avant le rush du midi.

Tous les midis, en plus de son menu du jour à moins de douze euros, Le Bistrot du Marché affiche une carte complète et variée avec des entrées selon les saisons, des plats du jour à la carte, des viandes grillées, un éventail de desserts maison et des sug­ gestions locales ­grandes ou petites­ telles que des salades Juras­

13

sienne, Montagnarde, Campagnarde, celles aux foies de volailles ou aux gésiers confits, des burgers Franc­Comtois…

“Entre les formules express à moins de 10 euros, printanière ou hivernale à 10,90 euros et la formule GOURMET à 13,90 euros ce n’est qu’une question de temps passé à table.” Entre deux courses dans le magasin et pendant toute la journée, la petite pause autour du café gourmand composé d’une boisson chaude et d’un duo de mini­desserts est toujours possible !

“Le samedi c’est plat local toujours cuisiné maison comme la tar­ tiflette, le pot­au­feu, le bœuf bourguignon”… Eric et Corinne, dépositaires de presse auparavant, géraient près de 220 détail­ lants, ils sont arrivés tout droit de Besançon au mois de janvier et ils lancent le relooking intérieur et extérieur du magasin, déve­ loppent le DRIVE, poursuivent les livraisons à domicile… Ils sont

PLANCHES APÉRO chaudes & froides

Bières bouteilles différentes Cocktails avec ou sans alcool Boissons chaudes…

Soirées : Concerts DJ - Karaoké - Ecran TV Baby Flechettes - WIFI

JEUDI 10 NOV.

ERIC MOUNG De 22 h à 1 h Puis MIX !

30, Place des Déportés - POLIGNY - 03 84 51 68 87 Retrouvez-nous sur

Corinne et Eric Klufts

aussi Maîtres de stage pour des jeunes en apprentissage ou en Bac PRO. L’équipe, forte de plus de quarante salariés, est au ser­ vice d’une clientèle de plus en plus nombreuse, Le Bistrot du Marché avec ses 60 places confortables vous attend tous les midis. Réservations au 03 84 37 60 60 pour les anniversaires, les groupes, les clubs sportifs et les associations…

Originalité :

BIÈRES PRESSION !

60

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pubatelier Poligny

Ouvert du lundi au vendredi de 8h30 à 19h30.

Samedi de 8h30 à 19h. / Dimanche de 8h30 à 12h30.

Au bistrot du Marché ­ Galerie marchande

39800 POLIGNY www.intermarche.com

Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Paysde Lons n° 110

Des Formules EXPRESS

12 Poligny, capitale du Comté Boucherie Charcuterie Traiteur Nadège & René

Dominique Bonnet est le Maire de Poligny. C’est son deuxième et son seul mandat. En effet, il n’a pas d’autre mandat électif hormis son poste de vicePrésident à la Communauté de Communes. Il se partage entre son poste de professeur à l’Enilbio et sa passion pour sa ville et le Jura, son équilibre entre la nature et la patrimoine. Rencontre…

GROSJEAN

Plats cuisinés - Bœuf Charolais 2 route de Genève - POLIGNY

03 84 37 10 80 - Fermeture Le lundi

DOMAINE MICHEL THIBAUT

Dégutation & Vente au domaine 2 rue des petites marnes

39800 POLIGNY 03 84 57 56 15

Dominique Bonnet, Maire de Poligny :

“Poligny est connue nationalement…”

“Poligny est avant tout la capitale du Comté…

400 000 meules dorment ici ! Poligny est reconnue nationalement. Pour le Comté, mais aussi grâce à ses deux écoles nationales l’Enil bio et le lycée hôtelier Friant. Nous accueillons à Poligny beaucoup de monde de l’extérieur.”

“5 000 habitants et 2 400 jeunes scolarisés de la maternelle au Master. Poligny est une ville jeune. Et cela se remarque dans les rues.”

“Le tissu associatif est fort. Nous comptons 1700 licenciés dans les associations sportives.

Les associations liées à la sauvegarde de notre patrimoine et à la l’animation de la ville sont aussi très actives.

C’est une spécificitée polinoise !”

“La réfection de la Grande rue est (enfin !) terminée. C’était très attendu. C’est maintenant plus accueillant, c’est un beau lieu d’échanges et de rencontres avec plus d’espaces pour les piétons. Nous avons gagné en lumière.”

“L’économie se porte plutôt bien. Nous comptons sur Poligny 3 600 emplois et de belles entreprises…”

“Grâce aux affineurs de Comté, nous disposons de quatre belles fromageries qui captent les touristes de passage. C’est important.”

Z.I. POLIGNY RUE JEAN BERTIN 03 84 37 08 85

www.ebeniste­sassier­39.com

Et Center Parcs ? C’est une opportunité extraordinaire pour Poligny. Nous avons étudié la faisabilité avec la plus grande importance. Le projet doit se faire au plus vite en prenant en compte les éléments soulevés lors des débats publics. Ce projet va créer 300 emplois dont 210 à temps complet. La phase de construction devrait générer 500 emplois et 70 % d’entreprises locales sur les chantiers !

CRÉMERIE

Marie & Christophe

www.cremerie-juraflore.com Ouvert du lundi au vendredi de 8 h à 12 h 15 / 14 h 30 à 19 h.

Samedi de 8 h à 12 h 15 / 14 h à 19 h.

Dimanches et jours fériés de 9 h à 12 h.

Le comté Juraflore, le plus médaillé de tous les comtés !

Expédition dans toute la France Comtés, Morbier, Mont dOr, Bleu de Gex, Polinois, produits laitiers, charcuteries, saucisses de Morteau, épicerie fine…

15, Place des Déportés 39000 POLIGNY - Tél. 03 84 37 13 50

“Oui, je pense que la fusion avec Arbois et Salins est une bonne chose pour notre avenir. Nous aurons un beau territoire sur le Jura. Je souhaite simplement que Poligny soit justement respectée.”

I Publirédactionnel

Un emplacement stratégique...

Un service complet !

DSFDSFSDFDS

Les nouveaux POINTS FORTS de POINT S : boutique, service minute sans rendez­vous, accessoires, entretien, mécanique… poursuivant sa diversification avec les ouver­ tures de trois agences POINT S, l’une en 2005 à Montmorot, la seconde à Pontarlier en 2015 et présentement de celle­ci au nouveau rond­ point à l’entrée de la capitale du Comté..

Spécialiste du pneu “du fauteuil roulant à l’en­ gin de chantier”, POINT S, réseau d’indépen­ dants, fort de ses 475 points de vente en France, propose ainsi un stock impressionnant de modèles ainsi qu’une réelle complémenta­ rité entre les ateliers.

Capable de répondre à n’importe quelle demande, POINT S mise avant tout sur la qua­

lité et le service et se donne le droit de refuser ces accessoires de sécurité ­que sont les pneus­ “s’ils sont non conformes, insuffisam­ ment adaptés aux conditions climatiques ou même vraiment pas chers”. Tous les pneus montés sont de marque mais surtout ils sont garantis !

de vente “car j’aime le contact avec les clients avant tout”, avoue le jeune homme. Avec cette agence, POINT S qui emploie 19 personnes à Poligny et qui en compte 28 pour l’ensemble de ses agences est “gonflé à bloc” pour entamer la saison hivernale qui se profile à l’horizon.

“Ici on est pneumaticien”, clament Claude et Romain.

Nouvelle également pour répondre aux besoins des habitants le bassin polinois et les plateaux environnants, la boutique qui jouxte les ateliers de montage. On y trouvera les pro­ duits d’entretien et de nettoyages, des huiles, des attaches remorques, des accessoires d’éclairage, des plaquettes de freins mais aussi tout ce qui concerne le confort intérieur, les housses, le multimédia, la hi­fi, les enceintes...

Passant du montage au commerce, c’est Romain qui prend les rênes du nouveau point

Romain Dieudonné

Ouvert du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 18h, le samedi de 8h30 à 12h et de 14h à 18h.

Rue Roger Thirode ­ Zone Industrielle

39800 POLIGNY

Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Paysde Lons n° 110

En installant un atelier flambant neuf le long d’une route qui conduit du Bas au Haut­Jura, tout près d’un rond­point, aux abords d’une zone commerciale de plus en plus fréquentée, Claude Courvoisier et Etienne Dumont diri­ geants de POINT S ont fait le choix du dyna­ misme.

“J’aime quand ça bouge”, plaisante celui qui préside, depuis 2002 l’affaire située en zone industrielle à Poligny tout en rappelant que cette entreprise a été créée en 1948 par la famille Chevassu. Depuis le quinquagénaire s’est bâti une réputation hors de ses murs en

Etienne Dumont et Claude Courvoisier entourés de leurs collaborateurs

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Un pari fou mais réussi !

Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons n° 110

Bon appétit : le Mont d’Or, après y avoir creusé un trou dans son centre pour le remplir d’un verre de blanc du Jura, dans sa boîte en bois est mis au four...il est servi accompagné de charcuteries et de pommes de terre !

Quelques mois après s’être “mis sur son 31 pour marquer ses 30 ans”, la surface de vente agrandie, refaite à neuf et achalandée de multi­ ples produits de producteurs locaux, l’équipe de la crèmerie­fromagerie JURAMONTS située 21place des Déportés, en plein centre­ville de Poligny “a de quoi sourire”, se satisfait Christian Nicolas, le responsable des lieux !

Inaugurée au mois d’avril, si la nouvelle vitrine a fait son effet auprès des touristes de passage, elle a aussi conquis de nombreux Polinois.

Devenue le lieu de rendez­vous des gourmets et des gourmands, la crèmerie­fromagerie JURA­ MONTS propose à la veille de la saison hivernale, parmi de nombreuses références, fermiers, BIO, de terroir ou AOP, des spécialités jurassiennes et Franc­Comtoises propices aux veillées en famille ou entre amis telles que la cancoillotte, les sau­ cisses de Morteau, le fameux Mont d’Or, la raclette ainsi que toutes les charcuteries artisa­ nales traditionnelles, les jambons secs, natures ou fumés et bien sur tous les vins du Jura, “les meilleurs vins du monde”, avait dit un jour Napo­ léon Bonaparte en parlant de ce millésime excep­ tionnel qui pousse dans le Jura, “une petite contrée loin de tout, faite de vallées et de cas­ cades.”

Largement dimensionné, le rayon épicerie fine, offre une gamme complète de produits issus de producteurs sélectionnés et permet la confection de paniers cadeaux originaux.

“Le service préparation des plateaux de fromages ou de charcuteries à l’occasion d’événements familiaux, mariages, anniversaires, de sémi­

Le maître­fromager consulte le livre d’or signé par les clients ! naires... dépasse les prévisions, de même, la livraison gratuite des commandes dans le 39800 s’avère être une bonne idée”, confirme le Maître­ Fromager Nicolas.

www.comte-juramonts.com 21, place des Déportés - 39800 POLIGNY Tél. 03 84 37 12 22 - Fax. 03 84 37 07 04 cremeriejuramonts@wanadoo.fr

Ouvert 7 jours sur 7 : Du lundi au samedi : 8H 30 à 12h30 et 13h30 à 19h Dimanches et jours fériés : 8h30 à 12h30.

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Les trésors d’Amandine Déposez vos vêtements, chaussures... repartez avec un bon d’achat !

Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Paysde Lons n° 110

L’astuce qui consiste à rendre original un système qui existe déjà n’est t­il pas en soi un gage de réussite ?

En remettant au goût du jour un vrai ser­ vice de couture Amandine a ouvert du même coup, au n°5 de la route de Genève, (à deux pas de la Place des Déportés) une friperie d’un nouveau genre basée sur le don et la générosité.

LES TRESORS D’AMANDINE : un service nouveau de collecte de vêtements, de chaussures, et d’accessoires de mode.

Que ce soit pour les enfants, (du bébé à

l’ado), pour les dames du 34 au 60, ou pour les hommes jusqu’au XXXL, la mode change vite et comme elle considère qu’il est dommage de jeter des habits ou des chaussures en parfait état, la jeune dame a pris le temps d’une année sabbatique pour réfléchir à ce concept.

Un principe simple : Les affaires sont récupérées comme un don.

Ainsi les vêtements adultes hommes et femmes apportés propres et en bon état sont pesés et payés en bon d’achat, 1,80 € le kg, les vêtements bébé et enfant 2,30 € le kg, s’ils sont de marque (Ralph Lauren, Burberry...) c’est 3,50 € le kg.

Un principe innovant : Les donateurs repartent alors avec un bon d’achat équivalent au poids déposé valable un an dans le magasin, et, convi­ vialité oblige, ils pourront se voir offrir un petit café lors de leurs passages impromptus.

Pour des raisons de place, la réserve route de Genève étant devenue trop petite, il convient après rendez­vous, de déposer les vêtements au n° 34 de la rue de Boussières à Poligny.

LES TRESORS D’AMANDINE : Un service de couture.

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ristique des vins du Jura, déguster des crus régionaux et découvrir les grandes frui­ tières reconnues au­delà des frontières.

Fromage de tradition artisanale, ancré dans son terroir, le Comté est le premier à obte­ nir une Appellation d’Origine Contrôlée en France. Les arômes subtils de ce fromage raviront vos papilles aux fromageries Vagnes, Arnaud Juraflore, Juramonts Comté ou dans les caves d’affinage. Pour accompa­ gner vos mets, les vins du Jura sont nom­ breux : Chardonnay, Savagnin, Vin Jaune, Vin de Paille, MacVin ou Crémant. Les dif­ férents caves et domaines de la ville expri­ ment tout le savoir­faire régional : Les Jaco­ bins, Domaine Badoz, Michel Thibault, Noir Frères, Reverchon, les domaines Les Monts Martin ou Morel... À vous les dégustations et les visites !

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Poligny, capitale du Comté 15

Pays de Lons n°110 - Novembre 2016

L’école nationale d’industrie laitière (Enil) de Mamirolle (Doubs) et sa soeur jumelle jurassienne, l’Enilbio, ancrée à Poligny, sont nées respectivement en 1888 et 1889. Depuis quasiment 150 ans, ces écoles ont formé des généra­ tions de fromagers, des spécialistes de la bio­industrie de transformation et des techniques agroalimentaires. Petite immersion laitière…

Balade historique à travers la Cité : à vos baskets !

Deux boucles sont proposées pour décou­ vrir un peu plus de 1000 ans d’histoire : • La boucle du centre­ville, avec huit points d’arrêt, permet de découvrir le patrimoine architectural de Poligny. Départ et arrivée vers la fontaine de la Place des Déportés.

Une variante existe (non matérialisée au sol) permet de découvrir les vestiges des remparts de l’ancien Château de Grimont, les toits de Poligny, la Tour de la Sergenterie sous un autre angle et le quartier vigneron de Charcigny.

• Avec deux points d’arrêt, la boucle du quartier de Mouthier­le­Vieillard permet de découvrir deux des plus vieux quartiers de Poligny (Boussières et Mouthier­le­Vieil­ lard), une superbe église, un très beau cloî­ tre et une vue imprenable sur la Croix du Dan. Départ : sous le traje des Fromagers (porche) sur la Place des Déportés.

“La culture de l’établissement repose sur son ancrage dans le milieu professionnel et son atelier technologique de transformation”, résume Patrice Dieudonné, direc­ teur adjoint de l’Enilbio de Poligny. “Nos deux écoles ont un socle commun, l’in­ dustrie laitière et fromagère. Mais Poligny reste le berceau de l’affinage du Comté !” L’une des singularités (un atout majeur) de Poligny réside dans le fait que les élèves mettent tout de suite la main à la… pâte, qu’ils soient en apprentissage ou en filière générale. “Nous avons un atelier technologique de transformation qui fonctionne toute l’année avec les élèves. Avec le lait que nous collectons chez nos producteurs locaux, nous fabriquons et produisons des yaourts et des fromages.

Nous produisons également de la bière artisanale biologique. En fonctionnant toute l’année, nous assurons une présence commerciale constante.” On sait bien que dans le commerce on est vite oublié, donc il faut tout simplement être là. De plus, le travail en atelier responsabilise les jeunes qui doivent gérer la bonne trans­ formation du produit laitier et considérer que la marge d’erreur est faible voire inexistante. Ce sont certes des métiers exigeants mais passionnants avec de réelles perspectives d’évolution “92 % de nos élèves diplômés trouvent un travail immé­ diatement.” Des élèves motivés, des savoirs transmis par des passionnés, des pro­ duits nobles… Un cocktail typiquement franc­comtois et renommé comme tel !

Ah, le Comté !

Poligny ne peut pas se dissocier de son Comté. La maison du célèbre fromage ainsi que le CIGC, le Comité Interprofessionnel de Gestion du Comté, sont situés à Poligny. Rencontre avec son président, Claude Vermot-Desroches.

“Le CIGC rassemble et représente des producteurs de lait, des fruitières privées, des affineurs et des coopératives. L’organisme de défense et de gestion du Comté est un lieu de réflexion et de cohésion autour de ce produit.

Nous travaillons sur toute la France mais aussi avec des agences à l’étranger comme en Allemagne, en Belgique, au Royaume-Uni ou aux Etats-Unis. Le CIGC gère également l’ensemble les publicités diffusées dans les médias. Nous partons sur un budget annuel de 5,5 millions d’euros” explique Claude Vermot-Desroches, président du CIGC. Le Comté réussit bien mais il est de plus en plus parasité ou copié. Afin d’augmenter l’image du produit, le CIGC réalise des études sur sa valeur auprès du consommateur. “L’objectif est de savoir réellement ce que l’on offre et de mener une réflexion sur ce que l’on peut apporter de plus” avoue le président.

Bientôt une nouvelle Maison du Comté Espace ludique pour le public, la Maison du Comté propose un parcours didactique et sensoriel. La première AOP de France se découvre à travers un territoire et des paysages, de la prairie à la cave d’affinage. “Avec 15 000 visiteurs par an, la structure est relativement petite et vieillissante”. La nouvelle Maison du Comté sera située au Sud de Poligny, sur l’ancien stade Bonnotte. Avec un début des travaux prévu pour fin 2017, l’ouverture peut être éventuellement envisagée pour 2018. “Nous espérons ensuite accueillir jusqu’à 40 000 visiteurs par an” annonce Claude Vermot-Desroches.

La Maison du Comté. Avenue de la résistance à Poligny. Tarifs : adulte 5 €, 6-18 ans 3 €, moins de 6 ans gratuit.

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16 Poligny, capitale du Comté Des sociétés bien implantées Poligny génère de nombreux emplois avec la présence de grosses sociétés comme :

• Groupe Diager Leader : entreprise Diager (bâtiment) 200 employés à Poligny et entreprise Diager Industries (aéronautique, industrie) 100 employés. Premier fabricant européen de forets pour le béton : une présence dans 5 continents, 20 millions de forets fabriqués par an et 55 années d’expérience.

• Entreprise Bonnet-Thirode (société Horis) : 150 employés à Poligny. Le réseau d’installateurs de matériel de cuisine professionnelle leader en France. Les équipes de la marque assurent tous les ans plus de 10 000 installations et 60 000 interventions de maintenance.

• D’autres plus petites entreprises génèrent des emplois et rayonnent au niveau national comme : la société Zenka et son système de lunettes modulables avec la conception et la commercialisation assurées à Poligny, l’entreprise GMA Packaging Machinery, spécialisée dans la conception et la fabrication de machines d’emballage et de conditionnement du fromage en portions, mais aussi Dadaux Gastrotech, fabricant français de matériel de boucherie pour la charcuterie et l’agroalimentaire.

Pays de Lons n°110 - Novembre 2016

Sens et essences de l’excellence L’hôtellerie est un monde particulier régi par des règles strictes, un pro­ tocole exigeant suivant les différents métiers. Une chose est sûre, le client est vraiment roi et cette devise est appliquée à la lettre (et dans l’esprit !) par les élèves du lycée hôtelier Hyacinthe Friant de Poligny.

Tout d’abord une précision s’impose : l’hôtellerie représente 62 % de l’effectif global de l’établissement qui propose par ailleurs une filière générale et une filière sanitaire et sociale. Il n’empêche, la formation théorique et concrète est inscrite dans l’ADN du lieu qui, en 1934, abritait l’école nationale ménagère de jeunes filles. Dans les années 1950, le maire de Poligny H. Friant lui confère son orientation hôtelière avant que l’établissement ne devienne un peu plus polyva­ lent dès les années 1970 et ne fusionne avec le lycée professionnel d’Arbois. “Nous cultivons des valeurs simples qui se nomment rigueur, discipline… d’ailleurs les élèves sont en tenue professionnelle, résume serei­ nement et fermement la proviseure Armelle Claudet.

Pour nous et surtout pour eux, le diplôme et l’expé­ rience sont importants !” Tout est dit dans la mesure où le cursus en hôtellerie, tous métiers confondus (du cuisinier au maître d’hôtel en passant par le barman et le pâtissier), présente la nécessaire particularité de l’al­ ternance. “Nos élèves font des saisons, ils participent

également à des concours pour mieux se valoriser” insiste Patrick Derozier, chef de travaux. “Il y a environ une trentaine de concours par an, et il ne faut pas compter ses heures ! Ici, on prend du plaisir quand on apprend…” Il s’agit d’une constante dans l’univers hôtelier : quand on choisit un tel métier, c’est par pas­ sion sinon la… mayonnaise ne prend pas. Mais la pas­ sion peut mener loin. Pour preuve, on retrouve des diplômés polinois dans les restaurants étoilés français et de grands établissements à l’étranger.

Jean-François Gaillard, Président du Comté de Grimont :

“Poligny, principale zone industrielle et commerciale” Quel est le poids actuel de Poligny au sein de la Communauté de communes ? Quels sont les atouts du territoire ?

Le bon niveau du Poligny Jura Basket Comté Avec 110 joueurs et 20 dirigeants, le Poligny Jura Basket Comté - PJBC pour les intimes - est une véritable institution à Poligny. Découverte des ambitions du club.

L’association sportive “le Poligny Jura Basket Comté” joue à un bon niveau et se reflète sur le dynamisme de la ville. Joël Taubaty est le tout nouveau président du club mais il est investi depuis une quinzaine d’années. Il explique : “Pour une ville de presque 5 000 habitants, le club dispose d’une belle énergie. Nous avons connu deux fois la montée en Nationale 2. Nous y sommes restés quatre/cinq ans mais nous avons dû demander à la fédération de nous reléguer en Nationale 3 par manque d’argent. Un jeu en Nationale 3 demande un budget de 140 000 euros alors qu’une évolution en Nationale 2 tourne autour de 250 000 euros. Cette décision nous a permis d’améliorer notre santé financière depuis l’année dernière”. Le nouveau président veut avant tout rester prudent.

“Il ne faut pas envisager trop vite un retour en Nationale 2 et équilibrer le budget”. “Nous espérons nous maintenir en Nationale 3 mais aussi faire revenir du monde dans les tribunes.” Aujourd’hui, le PJBC souhaite se refaire une santé financière en réalisant des actions et des manifestations assurant des rentrées d’agent. La Saint-Sylvestre sera organisée à la salle des fêtes et nouveauté : un bal aura lieu le 13 juillet. Le club mise aussi sur le retour d’anciens jeunes licenciés du club. “Nous avons enregistré le retour de Ludovic Arbez, capitaine, mais aussi de Thibault Roy, Romain Favre et de l’entraîneur Mickaël Nachon.

Avec toute cette effervescence, nous espérons nous maintenir en Nationale 3 mais aussi faire revenir du monde dans les tribunes. L’ambiance est importante, celui qui aime le basket l’aime à n’importe quel niveau”.

La Communauté de communes représente 30 communes et 11 000 habitants, dont 4 300 habitants pour Poligny. Il s'agit de la quatrième Communauté de communes du département, en dehors de Lons-le-Saunier et de Dole. Poligny représente donc 40 % de la population totale de la Communauté de communes. La ville, c'est avant tout une multitude de services comme la piscine, la bibliothèque ou l'école de musique. Il s'agit même de la principale zone industrielle et commerciale. Poligny a un poids important, tant au niveau culturel, qu'économique. Beaucoup d'entreprises sont installées au sein de la ville, représentant un véritable noyau dur pour l'emploi. 80 % des emplois sont d'ailleurs concentrés sur Poligny avec un secteur tertiaire bien représenté grâce aux nombreux services : les impôts, mais aussi les écoles, l'Ecole Nationale d'Industrie Laitière et le lycée Hyacinthe Friant. Citons aussi l'INRA, le laboratoire d’analyses départemental du jura et le CTFC (Centre Technique des Fromages Comtois).

Comment va s'inscrire Poligny au sein de la nouvelle Communauté de communes, la regroupant avec les villes d'Arbois et de Salin-les-Bains ?

Cette fusion sera en place à partir du 1er janvier. Elle va permettre la création d'une grande Communauté de communes représentant 23 000 habitants. Il s'agira de la première Communauté de communes du département en termes d'habitants et de commerce, toujours en dehors des agglomérations de Dole et de Lons. Le bassin de population

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Sur les 30 communes, 27 étaient au départ opposées à ce projet. Pourtant, le regroupement se fera quand même. Des réunions se tiennent régulièrement afin d'organiser au mieux ces modifications. Cette décision est aussi un poids économique fort pour les pôles “tourisme” et “santé”. En effet, Salin-les-Bains dispose de plusieurs atouts dans ce domaine grâce à ses établissements comme la Saline ou les thermes. Il s'agit d'une complémentarité forte, un atout pour cette fusion.

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“Je vends à toi... pas à quelqu’un d’autre !” de s’installer dans le centre­ville au moment où Mme Véronique Raphanel, installée depuis onze années lui confiait son désir de retraite en ajoutant : “je vends à toi... pas à quelqu’un d’autre !”

Chacun ayant le désir de conclure, la reprise s’est faite rapide­ ment. “Par respect et le temps que mes anciennes clientes trouvent une solution pour se faire coiffer, je poursuis quelque temps encore en parallèle mon ancienne activité.”

Dans LE P’TIT CAILLOU retapé à neuf, prennent place 3 fauteuils pour les coupes, deux pour les shampoings, un autre étant réservé aux enfants. Avec Eugène Perma, comme gamme de produits français qu’elle utilise de longue date, Lucie propose

des coupes modernes que sa qualification de visagiste lui confère.

Pour les jeunes, “la tendance est au dégradé à blanc, c’est à dire ras sur les côtés et long sur le crâne”, explique la coiffeuse qui avoue se servir alors de la tondeuse ou des ciseaux suivant la technicité de la coupe.

Barbier de formation, “j’aime étaler la mousse, manier le blaireau et faire glisser le coupe­chou sur la peau” mais elle précise qu’il faut beaucoup de temps, “environ 1h pour la barbe et les che­ veux.”

Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Paysde Lons n° 110

Ouvert du mardi au samedi de 9h à 12h et d 14h à19h.

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“C’est juste un peu plus bas à gauche” ! A Poligny, ABRACADA­ BRA, la petite boutique de prêt à porter féminin, non loin de la Place des Déportés, a déjà conquis le cœur des dames en recherche de vêtements distingués mais abordables.

chaussures parfaitement assorties à ces tenues vestimentaires qui font la différence. La sympathie qui règne a même entraîné certaines clientes à participer à des séances de photos de mode.

Il suffit de pousser la porte pour pénétrer dans un univers char­ mant et douillet : couleurs tendances pour les murs, sobriété pour la déco... “on est comme dans un cocon”, plaisante Colette, une cliente occupée à un essayage dans une cabine !

Angélique, formée aux métiers du commerce au CFA de Gevin­ gey, puis à la CCI dispose d’un BAC PRO puis d’un BTS. Caissière à Décathlon, sympathisant aisément avec ses clientes, elle ren­ contre Julie, “une joggeuse patentée qui tient déjà une bou­ tique de mode à Mont sous Vaudrey”.

“Les vêtements de coupe moderne fabriqués pour la plupart importés d’Italie sont renouvelés tous les mois, les tailles vont du 34 au 52, ils habillent les femmes, les ados comme les fil­ lettes !”. Angélique, la charmante vendeuse­responsable de la boutique polinoise laisse volontiers les clientes découvrir les habits parmi les présentoirs.

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Polyester, viscose, laine, coton… on choisit ce qu’on veut porter, on essaye... ABRACADABRA, c’est aussi les accessoires tels que chapeaux, écharpes, ceintures ainsi que des bijoux et quelques

Histoire d’une rencontre fortuite !

Partie à Lille exercer quelque temps, Julie revient au pays, ouvre ABRACADABRA à Arbois et projette dans la foulée l’ouverture d’un second commerce à Poligny. L’offre d’emploi est passée dans les gazettes locales, rendez­vous est pris pour le recrute­ ment d’une vendeuse, responsable de magasin. Éberluée, c’est ainsi par le plus grand du hasard que la toute jeune caissière retrouve cette cliente qui devient instantanément sa patronne !

ABRACADABRA a des projets sous le coude mais.... “CHUT pour l’instant”.

ouvert du mardi au vendredi de 9h30 à 12h et de 14h à 19h. Le samedi en continu de 9h30 à 19 h.

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“Hommes, femmes, enfants sur rendez­vous”, c’est simple, c’est écrit sur la vitrine !. Si l’enseigne n’a pas changé, depuis le 1er mars c’est une nouvelle coiffeuse qui shampouine, coupe, coiffe...

Lucie Brugger n’est pas une inconnue dans le bassin de la capitale du Comté puisqu’au volant de sa voiture et pendant plus de deux années, elle a sillonné les routes en exerçant la profession de coiffeuse à domicile après s’être perfectionnée pendant une décennie dans différents salons régionaux.

Lassée par les déplacements incessants, les kilomètres à rallonge ainsi que les journées sans fin, elle ne pouvait rater l’opportunité

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Bien manger permet de rester en bonne santé et de se proté­ ger de certaines maladies. Mais ce n’est pas tout, l’alimentation est aussi la clé pour conserver une belle peau et de beaux ongles et cheveux.

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Avoir une belle peau ne se joue pas seulement dans la salle de bain, mais aussi en cuisine. Les aliments jouent un rôle important pour garder une peau éclatante et en bonne santé. Le b­a ba est d’adopter une alimentation variée et équilibrée.

Nutriments beauté Tout d’abord, pour composer votre repas au mieux, n’oubliez pas d’inviter à votre table les acides gras essentiels contenus dans les huiles (huiles de germe de blé, de tournesol…), les fruits secs (noisettes, amandes…) et les poissons gras (sau­ mon, maquereau…). Ces nutriments aideront votre peau à afficher une belle élasticité. Pour l’éclat, privilégiez la vitamine C contenue dans les agrumes et dans les fruits exotiques. Le bêta­carotène (présent dans les carottes, melons, abricots, épinards, brocolis) est également intéressant, tout comme les aliments riches en zinc et en sélénium. Ces derniers se trouvent principalement dans les fruits de mer, la viande rouge, les œufs et le foie de volaille.

Le zinc est un allié privilégié des cheveux, il favorise la pousse. Le soufre (présent dans les choux, fruits de mer ou le cresson) et le fer (viande rouge, légumes à feuilles vertes foncées) permettent de renforcer les ongles et les cheveux, d’évi­ ter la casse et de favoriser la synthèse de la kératine. La vitamine A permet d’avoir des cheveux souples et brillants. On en trouve dans l’huile d’onagre et de poisson, le caviar et le jaune d’œuf.

Enfin, pour garder bonne mine, limitez au maximum les épisodes de “malbouffe” : plats préparés trop salés, fast­foods et autres confiseries. L’alcool n’est non plus un ami de la peau, comme le tabac, responsable d’un teint terne !

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Tout d'abord, l'équipement : si la tenue en soi n'est pas vraiment un casse­tête (un t­shirt et un jogging en coton feront parfaitement l'af­ faire), prenez soin de vos pieds en choisissant

des chaussures adéquates. Vérifiez qu'elles ont une bonne accroche au sol, un bon main­ tien du pied grâce aux renforts latéraux, et un bon amorti pour permettre l'absorption des chocs. Enfin, côté matériel, un cardio fré­ quence mètre peut être très utile pour reprendre en douceur : grâce à cet appareil, vous contrôlez mieux votre effort en vérifiant

Les premières séances doivent être douces pour réhabituer le corps à cet effort sur la longueur. Durant cinq à dix minutes, privilé­ giez la marche ou une course tranquille, avant d'attaquer l'effort d'endurance. Durant une trentaine de minutes, tâchez de courir à votre rythme sans être essoufflé. Une dernière phase viendra boucler la séance : marchez au pas de course, le temps que votre pouls retrouve un rythme normal, avant de vous étirer pour éviter raideurs musculaires et blessures. La seconde phase pourra, au fil des séances, s'allonger selon votre ressenti, mais aussi gagner en vitesse.

Pour vous aider dans cette reprise, si vous disposez d'un smartphone, n'hésitez pas à télécharger une application qui vous géoloca­ lisera, récapitulera votre parcours, la distance, le temps d'entraînement voire parfois la fré­ quence cardiaque, reliée à un appareil. Run­ keeper, Runtastic, Pumatrac, Nike+ running sont les plus en vogue, mais d'autres, comme Smilesrun, se sont spécialisés dans les pro­ grammes de reprise d'entraînement, en pro­ posant de suivre des étapes à chaque nou­ velle course pour maîtriser ses efforts et ressentir la progression au fil des séances.

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Le “fit ping tonic” et le “ping by night” arrivent dans le Jura Le tennis de table évolue et se décline pour faire découvrir la discipline sous un autre jour… et parfois dans le noir !

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LONS LE SAUNIER 26, rue du Commerce Tél. 03 84 47 34 43

Le tennis de table est en perte de vitesse. “Nous enregistrons une baisse des licenciés depuis deux ans” annonce Yannick Jac­ quier, conseiller technique pour le tennis de table au Comité départemental du Jura et de Franche­Comté. “Un nouveau bureau vient d’être mis en place fin juin avec comme nouveau directeur Patrick Monneret. Ces nouvelles personnes dyna­ miques ainsi que les actions des différents clubs et comités vont contribuer à redynamiser la discipline. Nous sommes confiants pour ces prochaines années”. Les objectifs de cette saison sont nombreux : accompagner les clubs, travailler avec des structures proposant du sport adapté aux personnes souf­ frant d’un handicap, proposer des formations aux animateurs, arbitres et dirigeants, mais aussi élargir la découverte du sport aux non adhérents avec des journées de découverte destinées au grand public et aux scolaires. La demande et l’offre sont bien là car le tennis de table peut se pratiquer dès 4/7 ans. “A cet âge, les enfants découvrent la discipline. C’est une première approche sous forme d’activités. Il faut encore former plus d’animateurs pour développer cette section au sein des clubs”.

De nouvelles disciplines Le tennis de table s’offre un petit coup de jeune en proposant depuis peu le “Fit ping tonic”. Réservée aux femmes, cette sec­ tion se compose d’un échauffement sur musique, de jeux ludiques, d’exercices de gainage, d’un renforcement musculaire et de stretching. “Aujourd’hui Asnans­Beauvoisin est le seul club du Jura à proposer ce concept. Notre objectif est de for­ mer 4 à 5 nouvelles personnes dans le Jura pour l’enseigner dans d’autres clubs. Les femmes sont peu présentes en tennis de table mais elles sont bien représentées dans le Jura. Elles sont présentes essentiellement dans quelques très gros clubs, ce qui fait un peu monter les chiffres par rapport à la moyenne nationale”. Autre grande nouveauté : le ping by night. Ce

concept inédit permettra au Jura de faire partie des premiers départements de France à proposer la discipline et le premier département de la région. Le concept est simple : jouer dans la nuit avec une balle fluorescente. “L’idée est de développer le côté loisirs du tennis de table car la compétition est encore très présente”. Une fois les clubs équipés, la discipline devrait être lancée début 2017 dans le département. “L’objectif est de revenir à 800 licenciés” explique Yannick Jacquier, conseiller technique pour le tennis de table au Comité départemental du Jura et de Franche­Comté.

Les chiffres du tennis de table dans le Jura : ­ 17 clubs dans le Jura ­ 450 à 500 licenciés à ce jour ­ 800 licenciés il y a 3 ans ­ Chaque club compte entre 15 et 100 licenciés

D O S S I E R T E N N I S D E TA B L E

L’Amicale Laïque : un club, une histoire La section tennis de table de l’Amicale Laïque est un club historique de Lons-le-Saunier. Découverte du club d’hier et d’aujourd’hui.

Le tennis de table de l’Amicale Laïque se veut convivial, “presque familial” souligne Gilles Verret, le président du Club. La section se compose actuel­ lement de deux équipes, l’une jouant en Départementale 1 et l’autre en Départementale 2. “En équipe, il y a deux ans, nous sommes descendus du niveau régional à départemental. Nous espérons pouvoir remonter pro­ chainement” avoue le président. “En individuel, trois personnes partici­ pent aux championnats départementaux”. La section s’implique donc dans cette voie et chaque année, la section organise une journée pour les championnats individuels.

Un club ouvert à tous Comme le souligne Gilles Verret, “L’Amicale Laïque a été créée avant­ guerre et ce terme de “laïque” indiquait à tout le monde la possibilité de pratiquer une activité. Le tennis de table est la deuxième section créée après le basket”. Le club est donc ouvert à tous mais principalement aux adultes. “Les enfants ont besoin d’une structure adaptée avec un entraî­ neur dédié et formé. Si besoin, nous les orientons vers d’autres clubs de la ville de Lons”.

Tennis de table de l’Amicale Laïque. Renseignements : Raphaël Fourny, 06 71 95 96 03, raphael.fourny@laposte.fr. Entraînements : mardi de 19 h à 21 h.

Entraînements libres : vendredi de 19 h à 21 h.

Funérarium de Poligny Rue Roger Thirode - ZI - 39800 Poligny - 03 84 37 14 94 Pour vous accompagner, notre écoute, la tradition de notre savoir-faire, la pérennité du souvenir…

Les Pompes Funèbres TANIER sont à votre écoute avec une assistance 7j/7j et 24h/24h

ARBOIS 03 84 37 50 89

DOLE 03 84 71 71 71

TAVAUX 03 84 80 06 05

ASNANS 03 84 81 79 11

Mont s/s VAUDREY 03 84 81 50 21

‘

22 MaG sports

Pays de Lons n°110 - Novembre 2016

D O S S I E R T E N N I S D E TA B L E

Tennis de table - Conliège

“Nous allons pouvoir relancer la section et espérer doubler à nouveau les effectifs” En perte de vitesse, le club de Conliège va pouvoir regonfler ses effectifs. Explications avec Jean-Marc Gascuel, président du club.

Avec 25 adhérents, le club de tennis de table de Conliège démarre sa neuvième saison en affichant deux équipes dans les compéti­ tions départementales. La première joue en division 2 aux côtés de Mont­sous­Vaudrey, Vadans, Longchaumois, l’Amicale Laïque lédonienne, l’Espérance Lédonienne, Dampierre et Censeau. La seconde s’illustre en division 3 dans le groupe d’Asnans­Beauvoi­ sin, Mouchard, Mont­sous­Vaudrey, les PTT Dole­Foucherans, la MJC de Dole et l’Espérance Lédonienne. “L’objectif est de remon­ ter en D1 car nous avons un bon jeu mais aussi de développer le côté loisirs du tennis de table à travers des journées « décou­ verte ». Nous allons en organiser une à Perrigny pour les habitants mais aussi pour les scolaires. En misant sur les jeunes, nous pou­ vons ainsi toucher de futurs joueurs” explique Jean­Marc Gascuel, président du club.

Un nouveau lieu d’entraînement “Il y a seulement cinq ans, nous étions 35 adhérents. Notre salle destinée aux entraînements a changé entre temps. Elle était plus petite et nous avons dû refuser de nouvelles inscriptions par manque de place”. Un fait qui devrait désormais ne plus poser problème car le club bénéficie de la salle des fêtes pour lieu d’entraînement. “Nous allons pouvoir relancer la section et espérer doubler à nouveau les effectifs, surtout que nous fai­ sons tout pour rendre les licences abordables grâce à des actions comme le vide­greniers ou à des recherches de spon­ sors”.

Tennis de table de Conliège. 07 82 84 37 24. Entraînements le mercredi de 19 h à 21 h pour les adultes et le jeudi de 17 h 30 à 18 h 45 pour le jeudi. Licence adulte : 75 €, enfant : 50 €.

D O S S I E R T E N N I S D E TA B L E

“Les pongistes de l’Espérance Lédonienne progressent à un niveau très intéressant”.

La section de tennis de table de l’Espérance Lédonienne représente le plus gros club du département, avec des joueurs de 4 à 80 ans ! Zoom sur ce gros club lédonien avec son nouveau président Florent Baussay et l’entraîneur Radu Stelea.

L’Espérance Lédonienne est organisée autour de trois pôles : la nata­ tion, la gymnastique et le tennis de table. Cette dernière discipline, avec déjà plus de 70 licenciés en ce début de reprise (une centaine pour toute la saison de l’année dernière) est le plus gros club du Jura.

Dynamique et très active, la section de tennis de table vient de nom­ mer son nouveau président : Florent Baussay. La section loisirs pro­ pose deux séances par semaine, le lundi et le jeudi de 20 h à 21 h.

“Pendant ces séances conviviales, tout est fait pour s’amuser, c’est sans prise de tête” explique Radu Stelea, l’entraîneur. Le groupe com­ pétiteur se compose de huit équipes. Quatre jouent en Régionale, quatre en Départementale. “Avec notre entraîneur Radu Stelea, les joueurs vont pouvoir progresser à un niveau intéressant. Il serait pré­ maturé de vouloir passer en Nationale à la fin de l’année, mais d’ici deux ans cela pourrait être envisageable” indique le président Florent Baussay. Grâce aux entraînements plus nombreux, les joueurs indivi­ duels en Nationale sont passés de 2 à 4 en un an. “Et ce n’est que le début…” promet le président.

Le tennis de table : un sport pour tous “Ce sport est mixte et peut se pratiquer à tous les âges. Notre doyen va avoir 80 ans et c’est l’un des meilleurs du club” précise le président.

“Nous avons aussi une section baby­ping accessible dès 4/6 ans. Cer­ tains se débrouillent bien et arrivent à jouer sur table” ajoute l’entraî­ neur. Le sport peut aussi être un tremplin pour réunir la population.

Selon Florent Baussey, “Le tennis de table doit se démocratiser sur le bassin lédonien. Il doit attirer différents jeunes comme dans le quar­ tier de La Marjorie. Le sport peut être fédérateur pour la ville”. En ce sens, des animations ont eu lieu fin août afin de faire découvrir le tennis de table à tous. “Les retours ont été excellents, nous ne pen­ sions pas que ces journées allaient nous apporter autant. Certaines personnes ont même repris la raquette après avoir arrêté. Nous remercions d’ailleurs la ville pour son aide” se réjouit le président. Les joueurs sont présents, le niveau aussi, reste les supporters. Dans l’im­ médiat, le club souhaite augmenter les supporters lors des journées de championnat, surtout que le club organise un tournoi national le premier week­end du mois de mai. Des joueurs connus devraient être présents…

Espérance Lédonienne. 80 rue de l’Espérance à Lons-le-Saunier. Florent Baussay 06 83 33 34 13 et Radu Stelea 06 76 99 96 71. Loisirs : 145 €.

Compétition : 165 €. – 12 ans : 85 €/an la 1ère année d’inscription, 120 € la 2e année d’inscription.

Ski Club Lédonien

Bientôt la bourse aux skis !

Depuis 1934, le Ski Club Lédonien propose du ski de descente pour toute la famille. Un club qui vit sur les pistes mais aussi grâce à son chalet…

La saison de ski approche. La section du Ski Club Lédonien, présidée par Lionel de Montgrand, compte 60 à 70 adhérents. “Nous sommes un club de loisirs, nous venons pour partager un moment convivial et avec tous les niveaux, de la première étoile jusqu’au hors piste”. Pour encadrer tout ce petit monde, “nos huit moniteurs sont reformés tous les trois ans. Il faut suivre l’évolution du ski et proposer toujours des formations plus adaptées” explique le président du club. Chaque samedi après­midis, les sportifs sont invités à participer à une sortie à la station de La Dôle. Le départ a lieu sur la place du marché (place de Verdun). “Nous débutons la saison officiellement le premier samedi des vacances de Noël mais, depuis ces der­

nières années, elle commence bien plus tard, aux alentours de mi­janvier” explique le sportif.

Une ambiance conviviale “Pour chaque sortie, notre forfait intègre le trans­ port et le goûter au chalet”. En effet, le Ski Club Lédonien est né en 1934, époque où les membres ont construit leur propre chalet à Tabagnoz. Il est donc le repaire des skieurs du club. “Nous louons le chalet à tout le monde sur simple paiement de la cotisation annuelle. Il s’agit de notre plus grande source de revenus” explique Lionel de Montgrand.

Une époque marquante pour le club et, fait amu­ sant, le doyen du groupe est né la même année que la création du club !

Ski club lédonien. Adhésion annuelle de 55 €. La sortie : 33 €/adulte, 28 €/enfant, 23 € pour le 2e enfant.

Où s’équiper ?

Chaque adhérent a trois possibilités pour acquérir le matériel : - Apporter son propre équipement - Opter pour la location à l’année, idéal pour des enfants et des ados qui grandissent vite - Profiter de la bourse aux skis organisée par le club le 19 novembre Bourse aux skis le samedi 19 novembre de 9 h à 14 h au stade de rugby Dumas. Dépôt du matériel la veille de 14 h à 19 h. Récupération le samedi de 16 h à 18 h.

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