Pays de Lons 114

DOSSIER

N°114

HABITAT 2017

Mars 2017

1ER RÉSEAU D’EXPERTS

SALLE DE BAINS Retrouvez-nous page 23 !

Pays de Lons

200, route de Voiteur 39000 LONS-LE-SAUNIER Tél. 03 84 47 28 74

Journal GRATUIT d’informations

Programme complet - Cahier central

Lons-le-Saunier

D’aventures en aventures Assistant(e) familial(e)

des familles, des enfants, un métier…

Politique Législatives

Marc­Henri Duvernet pour combattre…

p. 10

Baume-lesMessieurs Qui est Pascal Cardinal ?

p. 2

Sylvie Laroche Page 2

La formation des jeunes…

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PORTES OUVERTES Du 11 au 26 mars inclus FESCHAUX - 39570 VILLENEUVE-SOUS-PYMONT

2 actu

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Pays de Lons n°114 - Mars 2017

Politique - Elections législatives

Marc-Henri Duvernet : “Passer à une gauche de combat…” la création d’un service publique des maisons de retraites ; la mise en place d’un revenu universel pour les jeunes de 18 à 25 ans, nous porterons un plan national pour aider les associations et projets portés par des jeunes de moins de 30 ans, mais aussi les loisirs populaires en renforçant les centres de loisirs avec les Communautés de communes.

Nous financerons cette transition en réduisant la fraude fiscale et en développant une justice fiscale efficace.

Pour la transition démocratique, nous voulons la 6e République pour rendre le pouvoir aux Français et nous proposons une loi de refondation de la vie politique qui mettra fin aux professionnels de la politique, ou encore que la réserve parlementaire ici soit gérée de manière publique par un jury de citoyens et d’élus ; nous établirons la reconnaissance du vote blanc, le “49-3 citoyen” qui convoque un référendum pour adopter une loi via une pétition nationale d’1 % du corps électoral ; pour la laïcité, inscrire la loi de 1905 dans la constitution. Redonnons confiance à la démocratie et sa place à l’intelligence collective !"

Transition écologique, c’est atteindre le 100 % renouvelables d’ici 2050 en soutenant les projets citoyens, en développant l’agro-écologie avec pour objectif avant fin 2022, de fournir 50 % des scolaires locaux… en circuits cours et bio ; en favorisant l’installation et la reconversion d’agriculteurs en bio via des aides qui favorisent l’acquisition du foncier. Pour finir, favoriser la desserte ferroviaire sur notre territoire. La ligne Besançon-Lons-Bourg doit être développée et répondre aux besoin de tous les usagers, avec plus de trains.

Marc-Henri Duvernet est candidat du Parti Socialiste aux législatives de 2017 sur la circonscription de Lons. En répondant à nos questions, il exprime son état d’esprit, ses priorités et ses ambitions.

M. Duvernet, qui êtes-vous personnellement ?

Je suis agent d’assurances à mon compte depuis 2014, après avoir été salarié. Je suis aussi conseiller municipal de Lons-le-Saunier. C’est mon seul mandat. J’ai démissionné de mon poste de conseiller communautaire à l’agglomération il y a un mois. Je ne me vois pas comme un professionnel de la politique. Je pense que chaque élu devrait avoir un métier à côté de son mandat. Si je suis élu député pour 5 ans, je démissionnerai de mon mandat municipal. Je suis pour le mandat unique non renouvelable !

Pourquoi êtes-vous candidat ?

Je suis candidat pour le parti socialiste. Je suis de gauche et j’ai toujours fait de la politique pour tenter d’améliorer la vie des gens.

Aujourd’hui, je fais un constat accablant : une famille qui a peu d’argent ou pas de “piston” ne peut pas garantir un avenir meilleur à ses enfants. Nombre de nos concitoyens le constatent et le vivent. Je souhaite que l’on passe d’une gauche de constat à une gauche de combat. Que l’on décide de l’avenir que nous souhaitons. D’une politique qui se partage collectivement avec la population. Je parle le “nous” et non le “je”, le pouvoir personnel ne m’intéresse pas. Nous souhaitons que le pouvoir soit rendu à la population.

Concrètement avec quelle équipe allez-vous construire ce projet ?

Notre projet, nous allons l’enrichir dans les semaines à venir avec une équipe composée de citoyens engagés, de militants fidèles, d’un directeur de campagne, Claude Borcard, conseiller municipal à Lons-le-Saunier, une cellule de communication composée de jeunes actifs, étudiants et précaires... Quatre porte-paroles complètent cette équipe : Isabelle Grandvaux, Conseillère municipale de Poligny, Michel Junier, Maire de Saint-Didier, Denise Vuillaume, retraitée des impôts et bénévole associative sur la Haute Seille, Philippe Chavanne, Maire des Trois Châteaux et Vice-Président à la culture de la Communauté de Communes “Portes du Jura”.

Irez-vous à la rencontre des habitants ?

Oui, nous irons sur le terrain à la rencontre des citoyens et des acteurs du territoire. C’est l’ADN de notre campagne : écouter la base. Nous

Que représente pour vous ce territoire ?

Ce territoire je l’aime. Je suis enthousiasmé par les habitants, les savoirfaire… Je pense que la meilleure façon de défendre ce territoire, c’est de le préserver, de l’animer, de le protéger. En le protégeant d’un projet comme Center parcs contre lequel je vais militer. L’argent public ne doit par être siphonné par les multinationales, ce modèle touristique est dépassé et nous devons respecter notre patrimoine naturel. Le Center parcs, n’est pas un projet d’avenir. Nous avons d’autres projets touristiques à mener, des projets utiles et créateurs d’emplois durables.

organiserons des “petits-déjeuners de la ruralité” sur cinq territoires : Haute-Seille, Poligny, Saint-Amour, Revermont, Ecla/Bresse, Orgelet Petite Montagne. On se refuse de mener ce projet sans les habitants.

Il n’y a plus en politique d’hommes providentiels. Les habitants ne sont pas seulement des électeurs, mais des citoyens actifs. Rendons le pouvoir aux citoyens ! Aujourd’hui, les vieilles recettes dans de vieilles cuisines politiques apportent de mauvaises réponses… Changeons !

Dans ce sens, le député est certes un élu de la nation, mais aussi un animateur de territoire pour créer du lien.

Vous êtes soutien de Benoît Hamon Oui, je me sens bien avec Benoît Hamon qui est porteur d’enthousiasme et de rassemblement. Une nouvelle page de la gauche s’écrit.

2017 est le premier chapitre. Sur le Jura, une victoire durable de la gauche est possible.

Quelles sont fondamentalement vos propositions ?

Notre projet repose sur trois transitions : sociale, démocratique et écologique.

La transition sociale, c’est la création du 5e risque de la Sécurité sociale par la prise en charge intégrale de la dépendance, avec notamment

Que vous inspire cette campagne présidentielle ?

Elle m’inspire : “Vivement la VIe République !” avec de nouveaux élus et plus d’élections à la proportionnelle.

2 Le “Monsieur” de Baume…

Pascal Cardinal - Baume-les-Messieurs

Baume-les-Messieurs, un CV touristique à faire pâlir nombre de spécialistes du tourisme. Baume-les-Messieurs classé parmi les plus beaux villages de France est niché au cœur d’une magnifique reculée du Jura, avec une abbaye impériale classée site clunisien, des grottes, des cascades et une petite rivière bucolique… Vous savez, ce genre de village incontournable lors d’un séjour touristique.

Mais au fait, comment ça marche ?

Pascal Cardinal est né à Dole voilà une cinquantaine d’années, nous dit­il. On le croit… Après une carrière dans l’audiovisuel, Pas­ cal Cardinal arrive à Baume­les­Messieurs en 2008. Un virage pro­ fessionnel pour lui. Il achète un hôtel­restaurant en plein cœur du village face à l’entrée de l’Abbaye. Venu pour faire prospérer cette affaire, P. Cardinal se rend vite compte que le développement tou­ ristique n’est pas à la hauteur de ses espérances et de ses prévi­ sions. Il ne voit pas d’autres solutions que de s’inscrire dans les décisions municipales pour faire évoluer les choses. Inscrit sur la liste du maire sortant, il est élu à sa place ! Et voilà, en 2009, Pascal Cardinal aux commandes d’un petit joyau qui ne demande qu’à prospérer. Mais les finances municipales sont au plus bas, suite à de gros travaux d’assainissement. Que faire ? “Se remonter les manches” assure­t­il.

“On commence par les grottes…”

Une bonne nouvelle tout de même, abbaye, camping et grottes relèvent des finances municipales. “Suite à une rapide analyse, le premier chantier fut de faire progresser les grottes pour évoluer.

Nous avons fait quelques travaux d’aménagement et proposé au public une nouvelle scénographie. La progression fut réelle. Alors pourquoi ne pas garder le touriste plus longtemps en lui propo­ sant de profiter pleinement de la nature, de l’architecture, de la culture, des restaurants…? L’idée était de faire progresser les entrées à l’abbaye, grâce à un pass commun grottes/abbaye” se rappelle Pascal Cardinal. Le 1100 e anniversaire des sites clunisiens en 2009 fut aussi un beau coup de pouce pour l’abbaye. “Un grand événement. Tous les habitants se sont mobilisés, tout comme le département…”. Le besoin de mieux accueillir s’est vite

fait sentir et certains aménagements nécessaires, comme les parkings par exemple, furent aménagés.

Des habitants à protéger 2010/2012 fut une forte période de progression. “Notre analyse était juste. Le village a changé de visage, de rythme aussi. Tous ces développements se sont faits sans augmenter les impôts des habitants. Les solutions d’hébergement et de restauration ont elles aussi progressées. Nous avons même ouvert une boutique souvenir, librairie… comme tout grand site touristique qui se res­ pecte !” s’amuse P. Cardinal.

Des projets plus ambitieux encore…

“Notre village est en forte croissance. Nous entrons dans une étape partagée entre tourisme et culture. Ici à Baume c’est lié.

Tout comme cette relation avec la nature, Baume est un joyau indissociable d’un site naturel remarquable” rappelle René Per­ ret, 3e adjoint auprès de Pascal Cardinal qui ne manque d’ajou­ ter : “Ce village représente un formidable atout pour la région et le département. C’est un espace rare, c’est un faire­valoir qui nous motive à développer plus encore l’axe touristique et cultu­ rel. La marge de progression est importante. Avec les nouveaux bâtiments que la municipalité vient d’acheter au conseil dépar­ mental, nous visons à l’avenir une progression entre 200 et 300 000 visiteurs par an tout en gardant ce côté typique et rural d’un petit village.”

Des projets plus ambitieux encore…

En effet, les élus de Baume ont entamé les premières discus­ sions avec la DRAC pour investir de nouveaux locaux et offrir au

Pascal Cardinal, maire de Baume-les-Messieurs

public une scénographie moderne et dynamique. “C’est un autre niveau, c’est un projet ambitieux avec de nouveaux partenaires et des demandes d’aides importantes. Nous voulons créer l’événe­ ment… Voilà maintenant huit ans que nous développons ce vil­ lage, que nous créons de l’emploi… c’est le moment d’aller plus loin encore” explique Pascal Cardinal qui croit fort en ce nouveau défi. Le restaurant de Pascal Cardinal est toujours ouvert, Baume­ les­Messieurs prospère et emploie une quinzaine de saisonniers en été… L’aventure se poursuit…

Mairie de Baume-les-Messieurs - Tél. 03 84 44 61 41

L’INSTITUT DE VOTRE BEAUTÉ !

Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons n° 114.

La lédonienne Aurore Genoudet issue de la célèbre école Dumonceau ne fait pas exception au constat : “plus de 50 % des jeunes qui se forment en apprentissage par l’alternance créent un jour leur entreprise”.

Après son CAP puis son BP “Esthétique”, la voilà partie à Bourg pour cinq années “his­ toire de parfaire mes connaissances et de

me faire la main”, plaisante­t­elle mais, tenaillée par le besoin d’indépendance et le goût d’entreprendre, lorsqu’un jour cette vitrine pour le moins sinistre, plutôt som­ bre, guère en correspondance avec celle d’un institut de beauté est “à vendre”, son sang ne fait qu’un tour !

Elle l’imagine à son nom, à son image fait de larges baies vitrées, clair à l’in­ térieur, spacieux pour peu qu’elle abatte quelques cloisons, com­ posé de petits espaces intimes bien éclairés, d’une salle d’attente donnant sur l’entrée, sonorisée avec de la musique relaxante… elle l’appellerait même : “SECRETS DE BEAUTÉ” !

Devenue propriétaire, alors qu’elle exerce en même temps sa passion à domicile sur le secteur de Lons et du premier plateau, Aurore réalise les travaux d’amé­ nagements et l’institut ouvre ses portes en décembre 2016 !

Avec trois cabines de soins, pour l’épilation, les soins du visage, le modelage relaxant, les soins du corps, le gommage, la manu­ cure… les hommes et les dames ­ les ados à partir de 12 ans ­ béné­ ficient d’un espace complet dédié

au bien­être et à la détente “à deux pas de la ville avec un grand parking où il est facile de se garer”.

Le lipomodelage Pour satisfaire sa clientèle particulièrement fidèle, “SECRETS DE BEAUTÉ”, s’équipe pro­ chainement du fameux PALPER­ROULER­ MOTORISE LPG particulièrement efficace dans le traitement de la cellulite et des graisses résistantes. Déstocker, raffermir, resculpter : combiné à une hygiène alimen­ taire et de l’exercice le LIPOMODELAGE redresse les courbes, élimine les graisses résistantes, affine la taille, déloge les graisses et redessine le torse selon l’étude scientifique récente du professeur Lafontan (INSERM DE Toulouse).

Aurore a choisi de mettre en vente dans l’espace boutique les produits PAYOT© pour le corps et le visage et ARTDECO© pour le maquillage.

Quant au bon cadeau “c’est super” d’après la jeune Amélie qui vient justement choisir les produits de beauté qui lui conviennent avec le bon que son petit ami lui a offert pour la Saint­Valentin !

Fermé le lundi ma n et le jeudi après­midi.

Ouvert de 9h à 19h et sur RV de 12h à 14h et le samedi de 8h à 15h non stop.

209, rue du Jura - 39570 MACORNAY - 03 84 43 36 14

Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons n° 114.

Julie Verjus, votre op cienne

Voici déjà 7 années que l’OPTIQUE DU VAL DE SORNE a ouvert ses portes à Macornay.

Ayant la bougeotte et l’envie de parfaire ses connaissances Julie Verjus, diplômée de l’Ecole d’Optique de Morez, a passé 5 D.U d’Optomé­ trie, deux à Toulouse puis trois à Orsay tout en travaillant dans un magasin indépendant puis sous enseigne dans le Gers et le Tarn et Garonne. “En saisissant l’opportunité de ce com­ merce à Macornay, j’ai retrouvé ma famille, une extraordinaire qualité de vie, la proximité de Lons, mais aussi un parking gratuit facile d’accès et une clientèle locale fort sympathique... mais j’ai aussi le plaisir de constater le nombre grandissant de

Lédoniens qui entrent dans ma boutique”. Julie conclue que son envie de création d’entreprise, son besoin d’indépendance et son désir d’être au service de ses clients se sont enfin réalisés !

Ici, toutes les mutuelles vous remboursent, voilà ce qu’on lit sur la vitrine ! « Je fais partie du collectif d’opticiens Optici’Ain­ Jura qui refuse les réseaux mis en place par des complémentaires de santé ». Ce groupement de professionnels est bien décidé à lutter pour son indépendance et n’admet pas de se voir imposer une collection de montures par une plate­forme de tiers payant. “Je n’ai pas envie que ce soit mon

La transparence ! assurance qui me dise chez qui je dois aller ache­ ter mes lunettes, ni quelles lunettes choisir” s’in­ surge Josette, une cliente qui essaie des mon­ tures devant un miroir. “Je préfère porter une lunette qui me plaît plutôt que de me voir rem­ bourser intégralement un équipement que je n’ai pas choisi et elle calcul que si la durée de vie de sa monture est d’environ 4 à 5 ans, un supplé­ ment de 30 ou 40 euros, sera vite oublié”.

A L’OPTIQUE DU VAL DE SORNE on trouve une nouvelle collection de montures fabrication 100% française : BALMAIN mais aussi les lunettes TRACTION fabriquées à Lons dans l’ancienne chapelle des Ursulines, les gammes Haut­Jurassiennes OXIBIS, SONIA RYKIEL, les solaires JULBO...et pour les plus jeunes des gammes colorées telles que BANANA MOON, RIPCURL, catimini... Hommes, femmes enfants trouveront leur bonheur, les fervents de lentilles de contact aussi mais Julie insiste : “Si elles sont

en perpétuel progrès et permettent nombre de corrections quel que soit l’âge du patient, des essais sont indispensables, l’entretien est primor­ dial, l’hygiène est de rigueur” !

Nouveaux horaires !

Le lundi sur RDV Mardi, mercredi, jeudi : 9h­12h et 14h­18h30 Vendredi : 9h­18h30 non­stop Samedi : 9h­17h non­stop

209, rue du Jura 39570 MACORNAY Tél. 03 84 86 25 51

Cœur de

LONS page urbaine du mois…

DANS SA CATÉGORIE DE POPULATION, LE COMMERCE LÉDONIEN EST GRATIFIÉ PAR UNE RÉCENTE ÉTUDE NATIONALE D’UNE TRÈS BONNE VITALITÉ… PLUTÔT UNE NOUVELLE RASSURANTE… SURPRIS, PAS SURPRIS… ?

“A-t-on le droit de s’en réjouir ?”

Dominique Joseph Président de LUCAS association des commerçants du centre-ville

“C’est encourageant…”

Jacques Pellissard, Maire de Lons-le-Saunier

“Nous avons su maintenir un cap” Je n’ai pas été surpris. Plutôt heureux de voir que notre politique envers le commerce du centre-ville était la bonne. Nous avons su maintenir un cap. C’est le résultat d’actions conjuguées dans le temps. Nous avons maîtrisé l’extension des zones commerciales.

A Lons, il y a trois zones commerciales : Chantrans, Casino et le centre-ville ! Nous avons autorisé des extensions mais pas de nouvelles zones commerciales, nous avons su maintenir l’équilibre et éviter trop de vacances des commerces au centre-ville. Nous avons aménagé, rénové et embelli le centre-ville pour qu’il soit plus coloré, plus dynamique, plus accessible… Le centre-ville de Lons est agréable. Notre politique de parking fut importante. Il y a 25 ans, nous étions les premiers à proposer des parkings gratuits la première heure. Gratuit, comme sur les parkings des grandes surfaces. Nous n’avons pas augmenté la fiscalité des commerçants et nos taux restent inférieurs à la moyenne nationale. Nous avons maintenu la circulation en ville en adéquation avec les parkings. J’ai souhaité que l’on puisse rentrer en ville en voiture, que le centreville reste accessible. Il faut une cohabitation intelligente, à Lons cela marche très bien et profite aux commerçants. A l’avenir ? Il faut éviter toute grande surface généraliste supplémentaire.

L’avenir du commerce en centre-ville passe par des commerces divers et performants. Par la qualité, le conseil, le service, l’accueil, l’animation… pour lutter contre l’e-commerce. Notre situation géographique est aussi un atout, profitons-en… Je reste très confiant sur l’avenir du centre-ville de Lons.

Quand on laisse supposer que les commerces contribuent à une belle dynamique de Lons, franchement ça fait plaisir !

Cette présence dans ce classement ? Oui, c’est encourageant et motivant… cela permet de fidéliser plus de commerçants dans notre association. Notre investissement et notre travail ont ainsi plus de sens. Oui, je suis surpris. On pense toujours que tout va mal ! Ce bon classement n’est pas dû au hasard…

L’accès à toutes les rues commerçantes en voiture est un élément essentiel, primordial… C’est de plus en plus rare en France. Cette situation nous permet de piétonniser les rues quand on le souhaite, en fonction des événements. Les parkings accessibles et abordables au niveau tarif sont aussi une réponse au maintien du commerce de centre-ville. À Lons, on est tout de suite au centre-ville, Lons est un grand centreville commercial ! Ici on trouve tout et de nouveaux commerces s’installent quand certains ferment. Le service proposé est de qualité ! Le commerce est la force du centreville, on draine des clients assez largement aux alentours, jusqu’à trente kilomètres à la ronde. De plus, les clients profitent des terrasses, des restaurants, du marché… C’est un ensemble intéressant. Cette reconnaissance est à valoriser, à nous de le dire haut et fort que c’est une bonne chose pour nous tous ! On prouve que l’on sait se démarquer, progresser… C’est important que nos clients en prennent aussi conscience.

M. Lionel Flatry, Président de l’association des commerçants du Vieux Lons

“On n’est pas “bouffé” par les zones”

Patrick Elvezy, Président de l’agglomération Ecla Le commerce lédonien est une locomotive pour le bassin, même si certains bourgs, comme Bletterans par exemple, participent aussi activement à cette attractivité et au maintien des commerces. On vient à Lons faire ses courses ! Cela participe à l’organisation du territoire. Je pense que le commerce lédonien répond aux attentes des consommateurs. Peut-être manque-t-il une grande surface liée à l’aménagement de la maison, liée à des achats occasionnels, source d’évasion vers les grandes agglomérations ?

Nous veillerons à ne pas rajouter de structures alimentaires supplémentaires, on conforte l’existant et les éventuelles extensions.

J’ai été surpris par le résultat de cette étude dont j’ignorais la réalisation. J’ai trouvé sympa que Lons soit bien classée dans la catégorie des petites villes, celles qui sont le plus menacées par la désertification des centres-villes ! Cela conforte notre présence dans ce classement. Je trouve que Lons a les avantages d’une grande ville sans les inconvénients. Ici, il règne un esprit villageois, cordial, bien veillant… Cela se répercute dans la confiance et la fidélité des clients envers leurs commerçants. Cela nous oblige à la qualité, à innover, à jouer la carte de la proximité. Oui, le commerce a été bien maîtrisé sur Lons. On est un peu privilégié. On n’est pas “bouffé” par les zones… Notre petite taille nous protège des grandes enseignes et des zones horribles que l’on voit partout en France avant d’atteindre le centre-ville. La voiture en ville ? Le Jura est rural, on se déplace et on vient en ville en voiture. Il faut laisser entrer les gens en voiture, favoriser les pauses minutes… La qualité des commerces ? Je pense que l’offre est correcte, tout comme la qualité et la diversité…

A ceux qui ont ironisé sur ce classement ? Cela m’énerve ! Je réponds qu’il faut apprécier ce que nous avons, nous profitons d’un cadre agréable et devons le faire vivre. Ce bon classement est mérité et important pour nos commerces. Ceux qui disent que Lons c’est nul se trompent…

Cœur de

LONS page urbaine du mois…

Aux Délices de la Table...

Autrement dit “chez Terrasse” !

“Qu’on l’appelle par son nom plutôt que par son identité commerciale ne vexe pas André, il sera juste heureux de savoir qu’on entre chez lui par plaisir”, certifie un de ces inconditionnels qui cherchent avant tout le goût, la qualité des produits authentiques, des fruits et des légumes de première qualité, du comté luxe, des volailles AOC, des huîtres Marenne Oléron... “J’ai vendu mon commerce situé au 13 place de la liberté au Saint Dé (le poissonnier), je suis parti en retraite, au bout de trois mois je m’ennuyais, du coup je lui ai racheté son local encore vide à moins de cinquante mètres de celui que j’avais avant”. Connu pour être un piètre dormeur, “pendant 30 ans j’ai fermé les yeux pas plus de trois heures chaque nuit, environ dix heures par semaine”, confie celui qui en a profité pour bosser comme un chef et du même coup rendre service à plusieurs générations de Lédoniens.

Rayonnant, il ferme majestueusement boutique un jour par semaine mais les journées sont toujours de 15 heures. Sportif de haut niveau, il a couru en première catégorie du temps des Chavy, Morel, Ostertag raflant avec eux toutes les courses cyclistes de la région pendant au moins une décennie. Malgré ses occupations, André a été aussi le dernier président du Vélo Club Lédonien.

Boutique ENRIK... c’est chic !

Habilleur plutôt que vendeur Dominique Wattrin l’ex-parisien tombé par hasard amoureux d’une habitante puis du département n’est jamais reparti et il a fait peu à peu de cette boutique située au 19 rue Lecourbe à Lons, un des derniers hauts lieux de la mode où il fait bon se retrouver pour choisir paisiblement ses vêtements. En choisissant depuis plus de trente années de rester dans le moyen haut de gamme “bien lui en a pris”, rétorque Christophe, un habitué des lieux qui assure “trouver ici des tenues dignes de sa profession de représentant”. Cool, sportive, négligée, ou même quelquefois qualifiée “de tue l’amour”, la mode est-elle le reflet de la société... où l’inverse, s’interrogeait en son temps la célèbre Coco Chanel ? Habilleur plutôt que vendeur, Dominique s’il est un des derniers à offrir les services d’une retoucheuse maison capable de satisfaire un ourlet en quelques heures, il propose des vêtements personnalisés, sur-mesure où le client choisit le tissu et sa couleur, la coupe, la forme... le tout en quelques jours !

ENRIK c’est encore quelques chaussures assorties, des chemises, des polos, des jeans... le tout avec le sourire !

Aux Délices de la table - 13, place de la liberté

Boutique Enrik - 19, rue Lecourbe

Meubles Duval

“C’est la caverne d’Ali Baba !”

S’il est un magasin qui fait partie du patrimoine, “Jean-

du stock qui avoisine les 10 000 pièces. Le magasin Duval est

Noël, Anne-Claude, Olivier... la tribu Duval est du genre à nous

arrivé sous les arcades en 1997 après 24 ans passés route de

laisser entrer dans le magasin pour notre seul plaisir, sans nous

Besançon. En souhaitant se rapprocher du centre, Jean-Noël

harceler” : le compliment est flatteur mais il est partagé par

a alors repris les locaux des meubles Rongier poursuivant

tous ceux qui connaissent les deux niveaux d’exposition qui

ainsi d’une autre façon la destination initiale des lieux.

mesurent environ 700 m2, “sans doute le plus grand magasin

A l’originalité des vitrines périodiquement renouvelées, à

du genre dans le coin”. Vaisselles, bibelots, meubles,

l’accueil, au choix, Jean-Noël ajoute une autre corde à son

canapés... il y en a pour toutes les bourses et pour satisfaire

arc : guitariste-compositeur-interprète, il se produit lors de

toutes les envies à tous les moments de l’année. Qualifiée

concerts locaux notamment lors de la fête de la musique où

souvent de “caverne d’Ali Baba” par les touristes étrangers et

la cour intérieure de l’immeuble est bien trop exiguë...

français qui viennent et reviennent chaque année en raison

Meuble Duval

6 dossier Formation

Pays de Lons n°114 - Mars 2017

Sylvie Laroche - vice-présidente régionale en charge de l’apprentissage et de la formation professionnelle

“Bien former nos jeunes est une priorité, une exigence…”

Sylvie Laroche est vice-présidence à la Région Bourgogne Franche-Comté en charge de l’apprentissage et de la formation professionnelle. Un vaste sujet, une préoccupation même, mais plutôt positive. Analyse…

Quand on dit formation, qu’est-ce que cela représente pour vous ?

La façon d’aborder la formation est tout à fait différente aujourd’hui. On ne choisit plus forcément une orientation et un métier pour la vie. Les métiers évoluent, la formation aussi.

Les chefs d’entreprises sont directement confrontés au niveau de compétences des salariés. Une formation, un métier, ne suffit plus à garantir un même emploi pour la vie. Il faut des formations complémentaires et prendre conscience que la formation, c’est maintenant tout au long de la vie.

Alors comment bien commencer ? Quelles sont les priorités de la région ?

Nous nous reposons sur certains repères mis à notre disposition et qui alimentent notre réflexion et nos actions. Il faut savoir qu’une bonne qualification divise par cinq le risque de chômage ; que 42 % des emplois actuels vont, soit disparaître, soit être prochainement impactés en terme de changement et d’évolution ; que 2/3 des enfants qui sont aujourd’hui en maternelle feront des métiers que l’on ne connaît pas forcément aujourd’hui. On sait aussi que d’ici 2020, soit demain matin, environ 2 300 000 emplois ne trouveront pas preneur car tous ces emplois seront, à minima, accessibles avec une formation BAC + 2. Face à cela, comment se projette-t-on ? Comment vat-on évoluer ? Comment définir une stratégie de formations à l’échelle de la grande région ?

Nos priorités sont de répondre aux exigences de l’économie, des métiers et des professionnels, en proposant des formations pertinentes à nos jeunes. La réactivité est aussi un élément essentiel à développer, l’évolution de certains métiers est si rapide. Mais la région n’est pas seule, la formation n’est pas que professionnelle, c’est aussi l’éducation nationale, l’univer-

sité, les formations post-Bac en DUT, BTS et d’autres… qui proposent aujourd’hui de vrais parcours ciblés et professionnalisants.

L’apprentissage reste à développer ?

Oui en effet. L’apprentissage et les formations par alternance sont pilotés par la région.

Aujourd’hui, on peut se former en apprentissage du niveau CAP jusqu’au niveau ingénieur et ensuite faire de belles carrières. Sept apprentis sur dix trouvent un emploi dans les six mois qui suivent la fin de leur formation.

L’apprentissage n’est plus dévalorisant et la formation est concrète. Dans ce sens, la région Bourgogne – Franche-Comté, souhaite expérimenter l’apprentissage jusqu’à l’âge de 30 ans, un dispositif qui tient compte de l’évolution de la société et de l’entrée de plus en plus tardive dans la vie active. Cela peut par exemple permettre à un jeune de reprendre une formation après deux années d’université. Nous créons ainsi une offre de formations professionnelles complémentaires à ceux qui décrochent et se retrouvent sans diplôme. L’objectif de la région, c’est d’accompagner en apprentissage 20 000 jeunes par an.

L’orientation est aussi importante ?

L’orientation est un vrai sujet. Il faut que tout le monde ait accès à l’information. L’orientation est désormais une compétence régionale et nous allons créer un service public qui doit permettre de trouver plus facilement une information de proximité liée à des besoins locaux. Nous avons besoin de donner à chaque jeune, à chaque adulte de cette région, une boussole qui lui permet de faire les bons choix.

Il est important d’être mieux informé sur les filières et leur évolution. Il y a ici de si beaux métiers à découvrir, que ce soit dans l’artisanat ou l’industrie. L’information et l’orientation sont le relais de toutes les formations disponibles sur notre territoire. Dans ce sens, la région

met en place un outil grand public sur l’offre, sur l’évolution des métiers et des filières.

Qu’est-ce que le fond régional d’appui à la professionnalisation ?

C’est de l’instantané qui nous oblige à adapter l’offre de formation aux besoins de qualification des citoyens et aux besoins de compétences de notre tissu économique régional. Le fonds régional d’appui à la professionnalisation est initié pour apporter des réponses rapides et sur-mesure aux besoins des entreprises en matière de recrutement. On doit être capable, en réactivité, de monter une formation spécifique pour les besoins d’une filière ou d’une entreprise face à de nouvelles demandes ou évolutions techniques. L’anticipation est importante, il ne suffit plus d’accompagner.

Il faut des qualifications professionnelles longues mais aussi des formations de spécialisation courtes pour répondre aux urgences des entreprises.

Doit-on déjà inventer les formations de demain ?

Oui, il faut prévoir les formations de demain !

Mais tout va si vite ! Il faut surtout inventer encore de nouvelles formes de formations adaptées. Il faut aussi croire aux nouveaux métiers, au numérique, à la transition énergétique… Certains métiers seront demain recherchés, à nous d’anticiper et de préparer les jeunes afin de répondre à la demande.

Que dire aux jeunes en phase d’orientation ou de recherches d’information ?

En priorité de s’orienter en fonction de leurs envies. Choisir une formation, un métier qui passionne. Mais il faut aussi faire face aux réalités. J’invite les jeunes à visiter les centres de formation lors des journées portes ouvertes.

Ces dernières sont nombreuses et réparties sur l’ensemble de la région. C’est souvent l’occasion de découvrir de nouvelles formations que l’on ne soupçonne pas, de rencontrer les formateurs et les étudiants. Les parents sont aussi importants pour les jeunes. On peut suivre ici en Bourgogne – Franche-Comté de nombreuses formations, la diversité est là et abordable pour chacun. Bien former nos jeunes est une grande priorité, une exigence.

En conclusion, que souhaitez-vous ?

Restez-vous confiante ?

Oui, nous avons de bonnes raisons de rester positif. Cette région est économiquement dynamique ! Je rencontre des entreprises en pleine évolution et qui ont des besoins d’emplois. Des emplois nouveaux avec de nouvelles compétences. Le pire serait de ne pas accompagner cette reprise faute de jeunes ou de demandeurs d’emplois correctement formés à ces métiers. Le budget global de la formation à la Région Bourgogne – Franche-comté s’élève à 275 millions d’euros. Le signe d’une réelle volonté qui nous impose des résultats probants.

Bourgogne- Franche-Comté

Apprentissimo : le salon de l’apprentissage et de l’alternance Grâce à son concept “2 jours, 1 lieu, 4 villages pour faire le bon choix”, Apprentissimo est le rendez­vous de l’apprentissage et de l’alternance en Bourgogne ­ Franche­Comté. C’est un évènement unique dans notre région, fédérant tous les acteurs de la filière. Il apporte ainsi une réponse à la fois glo­ bale et ciblée aux questions que se pose tout candidat à l’alternance.

Il est divisé en 4 villages : Le village Multimédia, dédié à la

consultation de sites Internet d’orienta­ tion ou d’information sur les métiers.

Des ateliers CV et lettres de motivation sont également proposés.

Le village Métiers : ce village présente un véritable panorama des formations, du CAP à Bac+5, proposées en alter­ nance en Bourgogne et Franche Comté, ainsi que des métiers qui recrutent.

Le village Conseil, qui regroupe les experts de l’orientation, de l’emploi, de l’apprentissage et de l’alternance, avec

également un stand dédié au handicap, un sur le permis de conduire ; un autre sur les stages à l’étranger.

Le village Recrutement : réservé aux entreprises proposant des offres en alternance, ce village permet aux visi­ teurs de rencontrer des recruteurs, déposer leur candidature et même passer des entretiens d’embauche.

Apprentissimo s’adresse principale­ ment aux jeunes de 15 à 25 ans qui souhaitent préparer une formation en

alternance (apprentissage ou profes­ sionnalisation) ou découvrir les métiers porteurs d’emploi. Le salon peut aussi être source de solutions pour les per­ sonnes demandeurs d’emploi ou sala­ riées, en quête de formation ou de reconversion professionnelle.

11 et 12 avril au Parc des Expositions de Dijon Mardi 11 : 10 h - 18 h 30, Mercredi 12 : 9 h 30 - 18 h Entrée libre Liste des exposants, programme, et informations pratiques sur www.apprentissimo-bourgogne.fr Renseignements : Priscilla DEVELET - 03.80.65.92.31.

CFAI BESANÇON

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8 avenue des Montboucons 25000 Besançon

03 81 41 39 83 I

CFAI DOLE

5b rue Bougauld 39100 Dole

03 84 82 91 70 I

CFAI GEVINGEY

Route de Lons-Le-Saunier 39570 Gevingey

03 84 82 91 70 I

CFAI EXINCOURT 5 rue du Château 25400 Exincourt

03 81 32 67 32 I

CFAI BELFORT

14 Rue Georges Besse 90000 Belfort

03 81 32 67 32 I

CFAI VESOUL

1 rue Tallerot - Espace de la Motte 70000 Vesoul

03 81 32 67 32

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UNE CHANCE POUR TON AVENIR Bénéficie des avantages étudiants et du statut de salarié pour apprendre tout en touchant ton premier salaire !

Grâce au CFAI Franche-Comté, choisis parmi plus de 34 formations, du CAP au diplôme dʼingénieur. Tu pourras acquérir en même temps un métier et une expérience professionnelle.

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CHOISIR SON ORIENTATION Profite de cette journée pour découvrir les passionnants métiers de lʼindustrie et les formations qui y préparent, les équipements modernes des CFAI, échanger avec nos formateurs et apprentis.

Donne-toi toutes les chances pour ton avenir ! Viens avec tes amis ou ta famille.

Le Pôle Formation des Industries Technologiques est membre du réseau UIMM.

PORTES OUVERTES SAMEDI 11 MARS - De 9h à 16h30 / Tous les sites.

MERCREDI 24 MAI - De 10h à 18h “Spécial recrutement” / Besançon.

MERCREDI 31 MAI - De 10h à 18h “Spécial recrutement” / Exincourt.

Des formations du CAP au diplôme d’ingénieur CAP, Bac Pro, BTS, et tu peux même aller jusquʼau diplôme dʼingénieur !

Préparer un diplôme en étant payé Ces formations sont non seulement gratuites, mais surtout rémunérées !

Des débouchés garantis !

90 % dʼentre vous trouvent un emploi dans les 6 mois suivant leur formation.

Des métiers d’avenir Lʼindustrie, cʼest passionnant et riche en perspectives !

Visites guidées.

Démonstrations en ateliers sur machines à outils.

Témoignages d’apprentis.

Présentation de l’apprentissage industriel.

8 dossier Formation

Pays de Lons n°114 - Mars 2017

Etudes supérieures © Patryssia Fotolia

Un prêt bancaire pour financer ses études

Entre 650 et 1 150 € par mois. C’est le coût des études, incluant les frais d’inscription mais aussi le logement, les transports et les dépenses courantes, selon une enquête récemment publiée par le syndicat étu­ diant UNEF. Pour le financer, un étudiant peut avoir recours à un prêt bancaire, à condition d’être majeur et de ne pas dépasser la limite d’âge fixée entre 28 et 30 ans. Tous les établissements financiers proposent des prêts étudiants. Faire jouer la concurrence est donc possible pour décrocher le taux d’intérêt le plus compé­ titif. Ce dernier peut osciller de un à deux points (le plus haut actuel est à 3,50 %).

Suivre des études supérieures coûte cher. Pour les financer, les étudiants peuvent solliciter un prêt bancaire. Pratique à condition de bien négocier.

© Sylv1rob1 Fotolia

Négocier son prêt Pour négocier le prêt le plus intéressant, il est conseillé de s’adresser en premier lieu à la banque de ses parents. S’ils sont bons clients, la négociation sera plus aisée et les agences sont souvent prêtes à faire un geste commercial afin d’assurer la fidélisa­ tion de leur clientèle sur plusieurs généra­ tions. De plus, les relations de confiance facilitent la garantie du prêt pour laquelle

une caution est obligatoire. Il est égale­ ment possible de passer par les services des universités, des grandes écoles ou des mutuelles étudiantes qui font profiter leurs élèves ou sociétaires de partenariats avan­ tageux avec les établissements bancaires.

Rembourser après le diplôme Pour comparer les différentes offres, mieux vaut regarder en détail le coût total du crédit incluant les frais de dossier, les intérêts et l’assurance. Le montant du prêt varie en fonction du projet de l’emprun­ teur et de son niveau d’études. Il est en moyenne de 8 000 € mais peut grimper jusqu’à 45 000 €, les banques ayant ten­ dance à prêter davantage à ceux qui sui­ vent un cursus réputé pour avoir de bons débouchés professionnels.

La longueur des études intervient aussi sur la durée du prêt qui peut s’étaler sur une dizaine d’années. Le remboursement du crédit intervient généralement à la fin des études, diplôme en poche ou pas. En attendant, deux options sont possibles : un ajournement total des remboursements ou une franchise partielle pendant laquelle l’étudiant rembourse seulement les inté­ rêts et les primes d’assurance. Dans les deux cas, plus la franchise est longue, plus l’amortissement induira ensuite des men­ sualités élevées sur une période plus courte. Là encore, tout se négocie, y com­ pris le remboursement anticipé du prêt sans frais.

APEI­Actualités

Séjours linguistiques : des vacances pour grandir

Petite histoire d'un grand dessein

La petite histoire du

Lycée Polyvalent Hyacinthe

Apprendre une langue en découvrant la vie dans un pays étranger, tout en s’amusant : c’est l’alléchant programme des séjours linguistiques. Des vacances qui font grandir.

Grande-Bretagne, Espagne, Allemagne, Canada, Etats-Unis… Selon la langue vivante à perfectionner, le choix des destinations est plus ou moins vaste, en Europe ou sur d’autres continents. Tout dépend de votre budget mais pas besoin de partir très loin pour être dépaysé. En revanche, il est important d’opter pour un organisateur dont le sérieux est reconnu et ce n’est pas toujours aisé car il existe plus de 150 agences spécialisées en France. Pour en savoir plus, vous pouvez vous adresser à l’Union nationale des séjours linguistiques et éducatifs (Unosel) qui travaille en réseau avec l’Education nationale et bénéficie d’un label de qualité renforcé. C’est sur le terrain qu’on apprend le mieux une langue vivante en étant confronté aux différentes intonations et en intégrant les usages courants. Dans un autre contexte que celui de la classe, les adolescents sont obligés d’utiliser la langue étrangère apprise pour communiquer.

De 11 à 18 ans

“En ce printemps 1929, monsieur Hya­ cinthe Friant, maire de Poligny est inquiet. En effet Raymond Poincarré décide de réactualiser le réseau des pré­ fectures et des sous­préfectures, en conséquences, celle de Poligny doit fer­ mer. Que faire alors de cet édifice situé en plein cœur de ville ? Monsieur le maire, également conseiller général et directeur de l’Ecole Nationale de l’In­ dustrie Laitière, par ailleurs fin gourmet, fait de cette catastrophe annoncée... une chance. Ce bâtiment sera une école de référence, unique et différente et comme il faudra toujours bien manger,

que les maisons recherchent en perma­ nence des jeunes filles de qualité suscep­ tibles d’assurer l’éducation et le couvert, il crée l’Ecole Nationale Professionnelle de jeunes filles en 1934 qui devient Lycée en 1959”.

Magnifique depuis sa cour intérieure, majestueux à l’extérieur, le lycée Friant a su maintenir l’excellence malgré un nombre grandissant d’élèves ainsi qu’une diversification de son enseigne­ ment. 120 professeurs, 1 200 élèves, deux sites dont un à Arbois pour les BAC Pro, sections Hôtellerie, Sanitaire et social, Bac général... faible pourcentage

d’élèves décrocheurs grâce au pro­ gramme ERASMUS+, Friant s’envole non seulement avec un taux global de réus­ site aux examens qui avoisine les 91 % mais aussi et peut­être surtout avec un taux record d’insertion des jeunes dans le monde du travail. Quant “Aux Vignes” à Arbois et “Le Relais Polinois”, ses deux restaurants d’application où il est impé­ ratif de réserver si l’on veut y déguster quelques plats d’exception, leur chiffre d’affaires en progression de 257 % depuis leur fusion en 2007 suffit à lui seul pour nous inciter à y faire une BW halte.

En fonction de l’âge de votre enfant, vous avez le choix entre plusieurs formules sur une durée de une à trois semaines. C’est à partir de 11 ans qu’un séjour linguistique est profitable. Avant, c’est trop tôt car il faut déjà être autonome pour supporter la séparation avec les parents, gérer ses bagages, etc.

Pour une première expérience, l’hébergement dans un collège est rassurant. Tout se déroule sur place au contact des collégiens d’autres nationalités, avec cours le matin et activités l’après-midi. Dans le même esprit mais davantage axé sur la détente (sans cours) et avec la possibilité de loger dans une famille, le “summer camp” est apprécié jusqu’à 14 ans. De 15 à 18 ans, la maîtrise de la langue est plus avancée, ce qui favorise l’immersion dans une famille avec davantage de temps libre.

Dans tous les cas, pour que les progrès soient au rendez-vous, il faut que votre ado soit content de partir. Faites-en une expérience valorisante.

APEI­Actualités. F.L.

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JournĂŠe Portes Ouvertes SAMEDI 11 MARS 2017 De 8 h 30 Ă 12 h 30 sur les deux sites (Arbois et Poligny)

Et oui !

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43, rue Larney 39600 Arbois

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www.lycee­friant.com

400, rue du Docteur Jean-Michel - 39100 LONS-LE-SAUNIER - Renseignements : 03 84 35 26 00

10 vivre ici

Pays de Lons n°114 - Mars 2017

Conseil départemental du Jura - Enfance-famille

Assistant(e) familial(e) : des enfants, des familles, un métier…

Les assistants familiaux accueillent dans leur pro­ pre famille, à leur propre domicile, des enfants séparés de leurs parents. Pas étonnant donc que “famille d’accueil” reste la dénomination la plus utilisée par le grand public pour reconnaître l’in­ vestissement de ces familles. “C’est une famille qui accueille les enfants… Ma famille… Etre en famille, c’est plus sécurisant et plus chaleureux pour les enfants. Ce sont des enfants à protéger, à accom­ pagner… C’est une attention permanente, c’est de l’humain avant tout, avec tout ce que cela com­ porte… l’attachement est important pour ces enfants, nous leur offrons un refuge…” rappelle Geneviève Rieux, assistante familiale à Dole depuis 1992. “Je n’ai jamais regretté ce métier, ce n’est pourtant pas un long fleuve tranquille, c’est parfois compliqué… Oui, c’est aussi un métier” rajoute Geneviève. “J’accueille actuellement 4 enfants de 8 à 15 ans dont un en relais. Cela fait maintenant 20 ans que je fais ce métier, nous sommes au ser­ vice des services sociaux du département. Les rela­ tions professionnelles sont importantes. Cela nous permet de mieux appréhender les difficultés car on reçoit des enfants de moins en moins indemnes… mais nous devons garder notre spontanéité avec les enfants, c’est un métier non standardisé que l’on fait avec nos tripes, il ne faut pas que cela change.” nous explique aussi Sophie Girardi, assis­ tante familiale à Lons­le­Saunier.

337 enfants placés dans le Jura Comment ces enfants arrivent­ils dans les familles ? “Ces enfants sont confiés au Conseil départemental soit par une décision judiciaire prise par le juge des enfants, soit par une mesure de pro­ tection administrative prise en commun par la famille et les services du département dans le cadre, souvent, d’une aide éducative à domicile.

Dans ces deux cas, les enfants sont toujours confiés temporairement aux assistants. Pas au­delà d’un an, mais avec des périodes renouvelables. Ainsi, certains enfants restent dans la même famille de l’enfance à la majorité” nous explique Sabine Choumiloff, assistante sociale au département. Au total, 337 enfants sont accueillis dans le Jura.

Plus connus sous le nom de famille d’accueil d’enfants placés, les assistants familiaux sont des professionnels à part entière. Agréés et reconnus, ils sont recrutés et salariés par le Conseil départemental du Jura. Enfants, accueil, familles… qu’en est-il de cette prise en charge personnalisée ?

Geneviève Rieux et ses 176 collègues jurassiens, sont salariées par le Conseil départemental au service enfance famille. “C’est un vrai métier avec un diplôme d’Etat délivré par la Direction Régionale et Départementale de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale et un agrément délivré par la Protection Maternelle et Infantile (PMI) après des entretiens et des visites au domi­ cile de l’assistant. Le Service de l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE) s’occupe ensuite du suivi et de l’accompagnement des enfants placés et la Direc­ tion des ressources humaines suit le salarié pro­ prement dit. Un encadrement et un suivi indis­ pensable…” explique Dominique Marie, chef du service enfance famille.

2017, année spécifique de l’assistanat familial Chantal Torck, vice­présidente aux affaires sociales est très attachée à la professionnalisation et à la valorisation de cette profession d’assistant familial.

“Je trouve que ces assistants sont précieux pour tout le monde, enfants, parents, familles… Les enfants sont bien dans les familles. Ce sont des parents de secours. C’est normal qu’ils soient épaulés et bien formés, c’est une volonté départementale que je partage avec notre président Clément Pernot. Nous disposons de vrais professionnels qui aiment les enfants… Oui, j’ai souhaité que 2017 soit leur année.

Ils le méritent… Ce sont de vrais partenaires. Le Conseil départemental peut aller plus loin encore.

Assistant familial, un métier encadré Chantal Torck, vice-présidente aux affaires sociales

Les nouvelles candidatures sont les bienvenues…” nous confie Chantal Torck. Cette année 2017, en signe de reconnaissance, sera donc spécifiquement dédiée à cette professionnalisation. Cela se concré­ tise par un séminaire consacré aux aspects juri­ diques, décrets et lois, mais aussi par des travaux

spécifiques autour de l’accueil des tout­petits et de l’accueil des enfants à problématiques multiples.

Vous avez dit professionnalisation ? “Ce métier est incroyable, voire impossible… Ces assistant(e)s sont toujours présent(e)s, toujours là, sans attendre…” conclut Dominique Maire, presque un hommage.

SANDRINE TREBOZ,

DIRECTRICE DES SERVICES DU CONSEIL DÉPARTEMENTAL Exercer le métier d’assistant familial ne s’improvise pas et nécessite de s’abstraire des schémas classiques du contrat de travail. Offrir un cadre éducatif à un enfant, pour une période plus ou moins longue, c’est un investissement à 100%, y compris sur le temps personnel. Il faut donc avant tout être disponible, savoir trouver sa juste place entre l’enfant, les parents, le cadre institutionnel. Se substituer à la famille dans toutes ses dimensions implique aussi une capacité à prendre du recul par rapport aux situations des enfants. Il faut savoir gérer des situations complexes, liées au parcours de l’enfant mais aussi à la relation avec les parents qui peuvent rejeter la mesure prise par l’autorité judiciaire ou administrative.

Pour accomplir ce métier, l’assistant familial est un salarié du Departement. C’est un statut particulier, avec ses propres règles d’embauche et de rémunération différentes de celles d’un fonctionnaire. Ce sont des agents contractuels de droit public, à durée indéterminée. L’un de nos objectifs est d’améliorer la relation entre l’institution départementale et les assistants familiaux, notamment de mieux les intégrer dans le processus d’information aux agents. Le fait de travailler à domicile conduit à une forme d’isolement, en tant qu’employeur nous devons en tenir compte.

50 c %

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Pour prendre soin de ces enfants ou adolescents,

Geneviève Rieux, assistante familiale à Dole, Sabine Choumiloff, assistante sociale au département, Dominique Marie, chef du service enfance famille.

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03 84 81 68 98 06 84 14 96 87

22 rue du Saulçois - 39120 PETIT-NOIR E-mail : cd.revy@wanadoo.fr

Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons n° 114.

Vous avez ré­ouvert début février ?

Boutique Fraîchement relookée, la boutique est encore plus belle !

Anne­Sylvie, présentez­vous !

Je suis gérante de la boutique CHRISTEL depuis 11 ans. Native de Lons, j’ai fais mes études en langues étrangères appliquées à l’université puis intégré une école de commerce en région pari­ sienne spécialisée dans le domaine de la grande distribution. J’ai intégré un grand groupe américain de cosmétiques à Paris pour le poste d’assistante commerciale secteur grands magasins et ensuite je suis partie à Lyon chez un équipementier automobile japonais où j’ai occupé la fonction de chargée client. Je suis mariée et j’ai deux enfants. Las du stress des grandes villes et pour préserver notre vie de famille, nous avons décidé de revenir dans notre Jura. Aussi j’ai pu réaliser mon rêve de jeune fille, avoir une boutique, être indépendante.

Parlez­nous de votre boutique.

La boutique CHRISTEL est une boutique multi marques. Nous avons en permanence 6 à 7 marques à dominance italienne pla­ cées moyenne / haut de gamme. Chacok, Garella, Max Mara avec

sa ligne Week­end et Persona, Trussardi, Twin Set et récemment une marque allemande Marc Caïn. Chacune représente un type de femme, de la business woman à la cliente plus sportive.

Oui, dès la réouverture après les travaux, nous avons mis en place la nouvelle collection printemps­été 2017. Nos clientes l’at­ tendent avec impatience, elles viennent dès février pour être sûres de trouver leur taille.

Nouveauté cette saison ! Notre collection sera présentée sous forme de thèmes... alors rendez­vous vendredi 10 mars à partir de 17 h pour notre premier thème marin. Et vous pouvez suivre l’actualité sur notre page Facebook.

Quelles sont les femmes qui s’habillent chez vous ?

Je peux dire toutes, car nos marques touchent une clientèle diffé­ rente. Nous avons des femmes très sport et chic en passant par la cliente branchée. Ce sont des femmes actives ou, lorsqu’elles sont à la retraite, elles sont très coquettes. Nous habillons les femmes de la taille 36 à la taille 46. Nous avons de plus en plus une clientèle de passage qui revient à la boutique dès qu’elle en a l’occasion.

Qu’est ce qui fait la différence dans votre boutique ?

Je vais commencer par la qualité. Je pense que c’est cela qui crée une partie de notre différence. Autre point important, je tiens vraiment à l’accueil, que la cliente achète ou pas ! Nous sommes également là pour la conseiller, lui donner les tendances de la mode. Nous avons également élargi nos jours d’ouverture : sur rendez­vous le lundi après midi !

29, rue Jean-Jaurès - 39000 LONS LE SAUNIER - Tel 03 84 24 48 56 -

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L’AVENTURE EN FILMS jeudi 16 mars

samedi 18 mars

18H00 / CINÉMA DES CORDELIERS

11H00 / CINÉMA MÉGARAMA

CLAUDE MARTHALER, EMBRASSER LA TERRE

AVENTURE SUR LA BANQUISE

Réaliser un portrait documentaire de Claude Marthaler demande de la cuisse ! Il faut être prêt à enfourcher sa bicyclette, et le rejoindre quelque part au bout du monde. Pour l’occasion, c’est dans les chaînes du Pamir que j’ai roulé avec lui pendant 10 jours. Caméra au poing, j’ai vécu un temps au côté d’un homme capable de vivre le voyage si intensément qu’ il donne parfois l’impression d’embrasser la terre.

SÉANCE SPÉCIALE FAMILLE / tarif unique 3.50€

Un film d’Alexandre Lachavanne – Production RTS / Suisse, 2016 Durée/ 70 min + échange avec Claude Marthaler

19H00 / CINÉMA MÉGARAMA

France et Éric vivent depuis 15 ans sur un voilier pris dans la banquise une grande partie de l’année. Un bateau qui sert de plateforme logistique pour les projets scientifiques en Arctique.

Aujourd’hui, Léonie 9 ans et Aurore 6 ans partagent ce quotidien si particulier à 60 km au Nord du cercle polaire arctique. Ce film nous fait découvrir leur quotidien hors du commun.

Un film écrit par Katia Chapoutier et Éric Brossier, réalisé par Katia Chapoutier Production : Éléphant Doc. / France, 2016 Durée / 58 min + échange avec la famille Brossier et Katia Chapoutier

LES EAUX BLANCHES + INAUGURATION « Pourquoi on saute des chutes ? Pourquoi on descend des rivières ? Vivre ensemble dehors pendant 3 semaines. Contempler des couchers de soleil qui n’en finissent pas. Passer ses journées sur la rivière et pagayer, pagayer… » “Les Eaux Blanches” est une plongée dans l’univers du kayak de haute rivière à travers les paysages volcaniques d’Islande. Un Voyage aux côtés de cinq kayakistes français, au rythme de l’eau.

Un film de Hugo Clouzeau – We Are Hungy et MC4 production France, 2016 Durée / 52 min + échange avec Hugo Clouzeau et Stéphane Pion

14H00 / CINÉMA MÉGARAMA LA COUR DES GRANDS À Siurana, en Catalogne, un morceau de rocher appelé « El Pati » est parcouru de voies d’escalade de difficulté extrême.

Un couple de grimpeurs de haut niveau, Stéphane et Alizée, s’y est installé pour l’hiver et passe son temps à s’entraîner pour réussir ces voies difficiles.

21H00 / CINÉMA MÉGARAMA

La cour des grands a l’ambition de toucher le tout public, mais aussi de jeter une pierre dans le genre déjà bien établi qu’est le film d’escalade.

LE TRAÎNEAU DU DESTIN

Un film de Guillaume Lion – autoproduction / Belgique, 2016 Durée / 47 min + échange avec Guillaume Lion

Sébastien, aventurier polaire, va disputer dans quelques mois la Yukon Quest en Alaska. Avec ses chiens, ils devront surmonter toutes les épreuves pour être au départ. Seront-ils prêts pour s’engager dans la plus difficile course de chiens de traîneaux de la planète ?

Un film de Paul-Aurélien Combre - Mona Lisa Production / France, 2016 Durée / 52 min + échange avec Paul Aurélien Combre

vendredi 17 mars 18H00 / CINÉMA MÉGARAMA PAR-DELÀ LES HAUTEURS En 2015, onze jeunes footballeurs issus des quartiers difficiles de la banlieue parisienne s’engagent dans une aventure collective au Népal, qui va les mener jusqu’au sommet du Kala Pattar (5 800 m). Un projet sportif, une histoire de solidarité et d’ouverture au monde.

15H00 / CINÉMA DES CORDELIERS PAPOUASIE AU CŒUR D’UN MONDE PERDU Le film suit l’odyssée d’une expédition scientifique pluridisciplinaire plongée dans un écosystème hors-norme : le massif karstique de Lengguru, en Papouasie Occidentale. Cette région a permis le développement d’une myriade d’espèces que l’on ne trouve nulle part ailleurs, et sur lesquelles tout, ou presque, reste à découvrir.

Un film de Christine Tournadre - Mona Lisa Production, IRD, ARTE / France, 2016 Durée / 87 minutes + échange avec Christine Tournadre

17H00 / CINÉMA MÉGARAMA LE MYSTÈRE MÉROU En Polynésie Française, un rassemblement spectaculaire de milliers de mérous a attiré l’attention de l’équipe du biologiste photographe Laurent Ballesta. Ces poissons attendent la pleine lune pour se reproduire tous en même temps un seul jour dans l’année ! Profitant de cette période d’une incroyable richesse, Laurent Ballesta va réaliser un record en effectuant une plongée de 24 heures…

Un film de Gil Kebaïli & Laurent Ballesta Les films d’Ici, Arte, Andromède Océanologie / France, 2015 Durée / 52 min + échange avec un membre de l’équipe

LES VOYAGEURS SANS TRACE

18H00 / CINÉMA DES CORDELIERS

En 1938, trois Parisiens partent d’une rive du Wyoming pour tenter la première expédition en kayak des rivières Verte et Colorado.

En filmant leur voyage, ils tournent le premier documentaire d’aventure en couleur aux États-Unis. Pourtant, pendant 75 années ces bobines resteront inconnues, jusqu’à ce qu’Ian voit le trio sur un petit panneau historique.

EQALUSUAQ

Un film de Ian McCLuskey - Production Teva & NW Documentary/USA, 2015 Durée / VOST / 80 min + échange avec Raymond de Seynes

21H00 / CINÉMA MÉGARAMA

Juillet en Alaska. Des millions de saumons remontent les rivières, attendus de tous : grizzlis, lions de mers, orques, aigles, requins ou jeunes apnéistes photographes !

Un film magnifique, une immersion vivifiante en Alaska, des rencontres humaines et animales !

Un film de Kévin Peyrusse et Hugo Braconnier Production : Asso SEDNA / France, 2015 Durée / 52 min + échange avec Kevin Peyrusse

THOMAS PESQUET L’ÉTOFFE D’UN HÉROS

18H30 / CINÉMA MÉGARAMA

Thomas Pesquet, plus jeune astronaute européen et dixième Français à voyager dans l’espace, s’apprête à partir pour l’ISS (station spatiale internationale). Un compte à rebours haletant avant la concrétisation de l’épopée d’une vie et la réalisation d’un rêve d’enfant : contempler la Terre depuis l’espace et se rapprocher un peu plus des étoiles.

SEMEUSES DE JOIE

Un film de Jürgen Hansen et Pierre-Emmanuel Le Goff La Vingt-Cinquième Heure production / France, 2016 Durée / 72 min + échange avec Jürgen Hansen

20h30 / CINÉMA DES CORDELIERS BERGÈRE DES GLACES Dans la région montagneuse du Ladakh, dans l’extrême nord de l’Inde, la bergère Tsering mène paître son troupeau de 300 moutons et chèvres pashmînâ sur les hauts plateaux de l’Himalaya, à 5 600 mètres d’altitude. Durant un an, son frère l’a filmée. Des images aussi rares qu’émouvantes, où l’on découvre le rapport presque maternel qui lie la bergère à ses bêtes.

Un film de Stanzin Dorjai Gya et Christiane Mordelet Les Films de la découverte / France, 2015 Durée / 74 min + échange avec Christiane Mordelet

dimanche 19 mars 10h30 / CINÉMA MÉGARAMA L’APPEL DE LA BANQUISE Cinéma Mégarama Au cœur de l’hiver polaire, Mike Magidson relève enfin le défi inspiré par sa rencontre avec Unartoq, le grand chasseur inuit du Groenland : 50 jours, totalement livré à lui-même dans le grand désert blanc, à affronter les éléments. Un véritable défi pour l’homme occidental qu’il est…

Un film de Mike Magidson, coréalisé par Xavier Liberman Production MFP / France, 2016 Durée / 99 min + échange avec Mike Magidson

BARTAS

Un film de Michel Domaine – Framedivision /Italie, 2015 Durée / 53 min + échange avec Luca Polo et Mattia Tresca

20H30 / CINÉMA DES CORDELIERS

Un film der Mathieu Czenichow et Éric Beaufils GEDEON Programmes, avec la participation de France Télévisions / France, 2016 Durée / 52 min + échange avec Éric Beaufils et Daniel Ramseier membre de l’équipe au sol, responsable de l’équipement des pilotes

14H00 / CINÉMA MÉGARAMA

19H30 / CINÉMA MÉGARAMA

Un film de Brian Mathé, Morgan Monchaud et Siphay Vera Production Solidream / France, 2016 Durée / 52 min + échange avec Brian Mathé

À bord de leur avion solaire Solar Impulse 2, les pionniers Bertrand Piccard et André Borschberg ont accompli l’exploit de faire le tour du monde sans carburant, à la seule énergie du soleil. 43 000 kilomètres à travers cinq continents et deux océans. Une épopée humaine aussi bien que technologique, qui inspirera les politiques environnementales et la société de demain.

RIDING 4 000

Un film de Bruno Peyronnet – Production : MC4 / France, 2015 Durée / 52 min + échange avec Samir Souadji et deux jeunes de l’expédition

Dans les montagnes isolées du Pamir, trois amis mettent à l’épreuve un concept original de vélo en bambou fabriqué par de jeunes artisans-ingénieurs français. Entre deux ascensions à près de 6 000 m, il s’agit surtout de rencontrer ceux qui œuvrent en cohérence avec leur environnement. Depuis chez soi, jusque dans les montagnes du Tadjikistan, leur aventure invite à se questionner sur le sens et la portée de nos actions.

SOLAR IMPULSE : L’IMPOSSIBLE TOUR DU MONDE

15H30 / CINÉMA MÉGARAMA Luca Polo et Mattia Tresca ont choisi de marquer avec le speed riding « leurs » montagnes, celles qui les ont fascinés toute leur vie. Une trilogie de premières descentes mondiales du Mont-Blanc, Mont Rose et Cervin. Un exploit qui raconte le sport, la vitesse, la montagne, la passion. Beaucoup d’exploits qui en racontent un seul, le plus important : l’amitié.

SOLIDREAM LES ŒUVRES DU PAMIR

20h30 / CINÉMA MÉGARAMA

C’est l’histoire d’une promesse que Caroline Riegel, voyageuse-cinéaste, a fait à onze nonnes bouddhistes au sourire aussi large que leur générosité, et qui n’ont jamais quitté leur village du Zanskar perché à près de 4 000 mètres dans la vallée himalayenne. La promesse de les emmener traverser toutes ensemble leur pays, l’Inde.

Un film de Caroline Riegel – L’envol production / France, 2015 Durée / 52 min + échange avec Caroline Riegel

Cinéma Mégarama En juin 2015, six des meilleurs highliners français se sont fixés un objectif : battre le record du monde de highline en installant une ligne démesurée au Cassé de la Rivière de l’Est, sur l’île de la Réunion.

L’équipe tente par tous les moyens de faire évoluer leur pratique où la seule fédération réside dans la motivation et la confiance de chacun.

Un film de Quentin Sixdeniers - Les Six Patates production / France, 2016 Durée / 44 min + échange avec Quentin Sixdeniers

SURPRISE / Le film sera suivi d’un film surprise et de la cérémonie de remise des prix à 16h00

vivre ici 17

Pays de Lons n°114 - Mars 2017

Trophées de l’apprentissage

Une soirée pour valoriser la réussite des apprentis Première édition du genre, la remise des Trophées de l’Apprentissage a tenu ses promesses. Jeudi 16 février, le Carcom a fait le plein de personnalités des mondes de l’entreprise, des centres de formation et des institutions sensibles à la réussite – pas toujours programmée – de ces jeunes issus de l’apprentissage et de la formation par alternance.

“On ne fera jamais rien de toi, tu finiras caissière”... celle qui est aujourd’hui ingénieure, celui qui est chef d’entreprise, un autre qui est installé exploi­ tant agricole ne peuvent s’empêcher “tant on a encore ces réflexions d’instituteurs ou profs en tra­ vers de la gorge”, commentent­ils. Mais voilà, aujourd’hui ils rayonnent de bonheur, ils ont réussi et ils démontrent “que tout est possible”.

Jessica est désormais commerciale en CDI dans le groupe Defeuille, Simon travaille au Canada, Kévin est exploitant agricole à son compte, Amandine est responsable Méthodes chez Dalloz­Créations à Saint­Claude, Elie fait le tour de France si cher aux

Vélo qui rit

Quand le Pio dépiaute une bagnole... pour de vrai !

Bientôt la vélorution !

“Rigolo, décalé mais toujours gentil”... le Pio, surnom amical de cet acteur professionnel pensionnaire au Théâtre group’ depuis des décennies, suscite l’intérêt à chacune de ses initiatives, aussi inattendue qu’elle soit.

Claude Changarnier, présidente de Vélo qui rit

nouveau président d’ECLA, une solution puisse être trouvée pour faire avancer les choses. “Dans beaucoup de villes françaises, des traçages ont été réalisés avec une vraie piste cyclable à la clef” constate Claude Changarnier. Une pétition a aussi été lancée en ligne sur change.org regroupant déjà 617 signataires.

Création d’un mécano-vélo Au quotidien, l’association militante propose des solutions pour se (re)mettre au vélo grâce à son système de “vélo école”. Apprendre à se déplacer en ville, maniabilité ou étude du meilleur trajet entre le domicile et le travail, les bénévoles restent à l’écoute des usagers. Un mécano­vélo va même être installé prochainement au sein de l’entreprise d’insertion Oasis afin d’apprendre à réparer son vélo et à être autonome. Après la révolution, place à la “Vélorution”, une balade de Lons vers Mont­ morot aura lieu le 22 avril. L’objectif : “rassembler le plus de monde et donner aux gens l’envie de faire du vélo !”

F.P

Contactée par nos soins, Christiane Maugain, maire de Perrigny confirme que la plainte est toujours active contre l’association ainsi que le remboursement de la “facture des dégradations. La façon de procédé a été jugée dangereuse pour les usagers. Lorsque l’on touche au domaine public, on ne peut pas faire n’importe quoi. La sécurité des personnes sur la chaussée n’était pas assurée et on mettait les personnes en danger. La route, avec la présence des nombreux camions, reste très dangereuse. La discussion est engagée avec ECLA. La piste cyclable est envisagée le long du chemin de la Vallière, situé à Montaigu.

Maintenant que la commune fait partie de la Communauté de Communes, cela est envisageable”.

Vélo qui rit. Vélorution, le 22 avril à 14 h place de la Liberté à Lons-le-Saunier, gratuit. Vélo école : 10 en sus des 10 d’adhésion à l’association. www.veloquirit39000.fubicy.org - veloquirit@gmail.com

La rédaction

crédit photo Chloë Lebert

L’association militante Vélo qui rit, encourageant les déplacements à vélo, multiplie ses actions et ne désespère pas de voir apparaître la piste cyclable au niveau de Perrigny.

“Je fais du bien à moi­même et à la planète” lance la présidente de Vélo qui rit, sa bicyclette à la main. À la tête de l’association lédonienne qui prône les déplacements en vélo, Claude Changarnier milite pour encourager ce mode de transport. L’associa­ tion, créée en 2001, fait la promotion du vélo et a fait parler d’elle en novembre dernier après avoir tracé le balisage d’une piste cyclable au niveau de Perrigny. Une initiative qui s’est soldée par une plainte de la commune de Perrigny. “La route a été refaite en 2005 et selon la loi LAURE, désormais pour la réalisation de nouvelles routes ou des réfec­ tions, une piste cyclable doit être prévue”. L’associa­ tion, qui fait la demande de la réalisation d’une piste cyclable depuis plusieurs années, ne com­ prend pas ces choix politiques et budgétaires. “Le parcours entre Lons­le­Saunier à Conliège est presque plat, c’est un itinéraire que l’on peut par­ courir facilement au quotidien. Avec les trottoirs de 4 mètres de large, nous pouvons attribuer 2 mètres aux piétons et 2 mètres aux cyclistes, il y a assez de place”. La commune n’a finalement pas retiré sa plainte et la facture des frais de nettoyage a été réglée par l’assurance de l’association. Vélo qui rit espère qu’entre les retombées médiatiques et le

Compagnons, Maxime est responsable du service maintenance à la Franc­Comtoise de Confort à Dole, Alexandre a repris l’entreprise de peinture Bagnard et dirige déjà 11 salariés, Julie est barman à Eurodisneyland, Stacy est développeuse­opéra­ trice de données dans la société Drive à Lons...

Les maîtres de stages qui les ont formés selon le principe de transmission du savoir si cher au monde artisanal ou industriel, ont évoqué la motivation, la bonne volonté et l’application de tous ces jeunes et, en leur remettant ce trophée, ils ont officialisé leur réussite de la plus belle des manières.

Il se déguise cette fois en prof de mécanique “sauf que c’est pas pour rigoler, c’est pour de vrai et c’est pour rendre service !” s’exclame­t­ il. Passionné par la mécanique automobile, il entend dire souvent “qu’on ne sait plus chan­ ger une ampoule de phare, déboucher un carbu, régler une bougie, changer une roue...”, alors en puisant dans sa grande bonté, il organise dans la cour de l’Amuserie, le samedi 1er et le dimanche 2 avril à partir de 9 h 30, un premier stage sérieux mais pas triste pour transmettre sa science à qui vou­ dra se débrouiller un peu tout seul et faire des économies d’entretien et de garage.

Inscriptions pour réservations au 06 79 37 81 04 L’atelier mécanique aura lieu le 1er et le 2 avril le matin au Bœuf sur le toit.

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La MGEN du Jura,

Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays Dolois n° 189

une mutuelle ouverte à tous !

La MGEN du Jura est présente depuis 1948 sur le territoire lédonien. Une équipe de six conseillères vous accueillent au quotidien, et répondent à vos questions concernant vos droits et prestations.

MGEN intervient dans le domaine de la complémentaire santé mais aussi de la pré­ voyance, de l’action sociale et de l’habitat.

C’est une mutuelle, “c'est­à­dire une société de personnes à but non lucratif, qui s’inscrit dans le secteur de l’Economie Sociale et Soli­ daire” précise Catherine Zimmermann, directrice de la MGEN du Jura.

MGEN accorde depuis toujours une place prépondérante à la prévention avec des

actions plus innovantes les une que les autres. Un exemple avec VIVOPTIM, un pro­ gramme de santé interactive sur le risque cardiovasculaire.

Le groupe MGEN soutient de nombreuses actions sportives, d’’où le choix de Martin Fourcade, biathlète, comme porte­drapeau.

“Le Jura n’est pas en reste puisque l’invité de la journée sport santé MGEN 2016 à Lons le Saunier était Quentin Fillon­Maillet, biathlète jurassien” précise Jean­Philippe Mussillon, délégué chargé de la prévention, du déve­ loppement et de la communication. La MGEN du Jura est également depuis trois ans partenaire de l'organisation du Trail des

Reculées. En s’engageant auprès des asso­ ciations jurassiennes qui encouragent la pra­ tique d’une activité physique régulière et adaptée, la MGEN du Jura se positionne en faveur de la prévention et du bien­être.

MGEN est une mutuelle qui place l’adhérent au centre de ses préoccupations.

Aujourd’hui, elle est ouverte à tous. Venez la découvrir, pourquoi pas lors de la prochaine journée sport­santé programmée le samedi 20 mai au Centre de Services de Lons !

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Vous avez un projet de rénovation, de construction, d’achat, d’investissement locatif : prenez contact avec les différents organismes dont la vocation première est d’informer et conseiller en toute objectivité.

Des conseils neutres et gratuits pour tout savoir sur vos droits et devoirs pour louer, acheter, construire ou encore rénover, connaître les aides financières et fiscales pour réaliser votre projet.

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Du lundi au jeudi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h 30, le vendredi après-midi de 14 h à 17 h 30. Permanence DOLE : 1er et 3e jeudis de 14 h 30 à 17 h dans les locaux de la SA Doloise - 5A, rue Bougauld. www.adil39.org

Pour votre projet de rénovation, de construction ou pour obtenir un conseil afin de réduire vos factures d’énergies, contactez l’association AJENA. Vous trouverez des informations sur le choix et la mise en œuvre des matériaux de construction et d’isolation, le chauffage, des listes de professionnels, les aides financières mobilisables, etc.

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Sur rendez-vous en téléphonant au 03 84 47 81 14 LONS-LE-SAUNIER : 28 bd Gambetta. Le lundi de 14 h à 17 h et du mardi au vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h. PERMANENCES à DOLE sur RV. www.ajena.org

Vous êtes salarié(e) ?

Action Logement vous accompagne dans votre parcours logement, à chaque étape de votre vie personnelle et professionnelle, quels que soient votre budget et votre projet. Vous souhaitez louer ou acheter, vous souhaitez faire des travaux, vous avez un projet de mobilité professionnelle, vous rencontrez des difficultés passagères... parlez-en avec nous car nous avons les solutions (aides à la location, prêts à faible taux pour acheter, construire ou faire des travaux, aides à la mobilité professionnelle, accompagnement social et financier afin de surmonter des difficultés financières et conseils pour le financement de vos projets immobiliers...)

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Le lundi au jeudi de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 17 h, le vendredi de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 16 h 30. Tél. 03 84 24 90 64. www.actionlogement.fr

En amont de tout projet de construction ou de rénovation, un architecte conseiller du CAUE vous apporte les informations adaptées sur les aspects : paysagers (insertion dans le site), architecturaux, (implantation, plans et façades, couleurs...), réglementaires (documents d’urbanisme...).

LONS-LE-SAUNIER : 151 rue regard - chaque mardi de 8 h 30 à 11 h 15 ou de 14 h à 17 h. DOLE : 3 av. A. Briand - le 1er mardi du mois de 14 h à 16 h 15. Tél. 03 84 24 30 36. www.caue39.fr

Vous êtes propriétaire occupant et vous souhaitez : réaliser des travaux d’économie d’énergie ? améliorer votre logement ? adapter votre logement à votre état de santé, à votre âge, ou à un handicap ? Vous êtes propriétaire d’un logement que vous souhaitez louer ? Nous vous apportons des conseils personnalisés sur les plans techniques et financiers, et nous vous assistons dans votre montage de dossiers (subventions, prêts, ...)

LONS-LE-SAUNIER : 32 rue Rouget de Lisle, tous les jours de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h. DOLE : 3 rue A. Briand, les lundis, mercredis et vendredis de 9 h à 12 h.

Tél. 03 84 86 19 10 - www.jura.soliha.fr

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PERNIN

Pas besoin de GPS si on s’est un peu égaré, il suffit de demander : il y aura toujours un ancien client pour nous indiquer que Saint­ Maur, “c’est à 5 minutes de Lons dans la grande ligne droite entre Montaigu et Orgelet...”. Le bouche à oreilles suffirait­il au bonheur de cette entreprise spécialisée dans la menuise­ rie Bois, Alu, PVC qui a installé son siège social en 2015 au lieu dit “La Rippe de Saint Maur” ?

Profil REHAU, 4x16x4 argon, triple vitrage si la baie vitrée est au nord, le message est clair “on ne fait pas n’importe quoi, n’importe où, à n’importe quel prix en matière d’ouvertures extérieures et intérieures dans un pavillon, dans une ferme ou dans une entreprise. Fenê­ tres, portes fenêtres, portes d’entrée, porte de service, porte de garage, l’étanchéité des bâti­

ments modernes sont conditionnés par la qualité des produits qu’ils soient en alu, en PVC ou en bois mais aussi par la précision de la prise des cotes et le soin de la pose. Un autre point fort de l’entreprise c’est son expé­ rience. En effet crée en 1986 à Poids de Fiole, LES MENUISERIES PERNIN ont immédiate­ ment bénéficié du professionnalisme du patron tout droit issu d’un long passé de menuisier aux établissement Barraux de Poids de Fiole avant qu’il devienne le poseur régio­ nal de volets pour une célèbre entreprise alsa­ cienne. Qualifiée RGE depuis 2014, le travail de MENUISERIES PERNIN donne droit à la TVA réduite et aux prêts à taux zéro.

L’expérience c’est son dada !

“J’en ai posé 1500 par an de 1986 à 2008”, se souvient­il. L’âge de la retraite arrivant, Rémy le patriarche passe la main à Laurent, son fils avec les bases qui sont les siennes : sérieux, honnêteté, service, assistance “et ça marche au point que l’agenda 2017 est chargé de ren­ dez­vous, de mesures, de pose pour de nom­ breux mois”. Les MENUISERIES PERNIN recon­ nues comme des spécialistes dans leur domaine voient leur zone d’intervention se confirmer. Fréquemment appelés aux abords de la Suisse, à Divonne, à Gex... “parce qu’ils

font des choses techniques et originales et que le service après­vente est à la hauteur”.

Le compliment n’est pas mince ! Sur les chan­ tiers, Michel et Stéphane qui affichent à eux deux plus de 20 années de pose, au bureau pour la compta, la gestion, les devis et les plannings, Josiane l’épouse de Rémy, qui sera remplacée par sa belle­fille Julie. “L’entreprise familiale, reste familiale” !

MENUISERIES PERNIN - La Rippe, route d’Orgelet - 39570 SAINT MAUR - Tél. 03 84 48 36 35 - E-mail : rlpernin@gmail.com PROFESSIONNEL

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Rénovation énergétique, c’est maintenant…

L’aide à la rénovation énergétique des logements constitue la priorité pour cette année 2017. Renseignez-vous, c’est le moment de profiter de certains avantages. Le point avec Agnès Martinet, directrice de l’ADIL du Jura, agence départementale d’information sur le logement du Jura.

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I Et si vous ne laissiez plus le froid entrer chez vous ?

L’ADIL et l’AJENA sont les portes d’entrée dans le Jura pour tout savoir sur les aides financières et fiscales ou encore les travaux ou les équi­ pements et matériaux les plus efficaces pour gagner en performance énergétique. La tendance la plus forte pour 2017, ce sont les aides à la rénovation énergétique des logements (maisons ou appartements).

C’est en ce moment le pilier de la politique nationale de l’habitat pour des logements économes et écologiques. Des travaux de rénovation thermique sont nécessaires pour améliorer votre confort et vous chauffer à un coût raisonnable. Il peut s’agir d’isoler votre logement au niveau des murs, de la toiture ou des fenêtres. Ou encore améliorer ou remplacer votre système de chauffage ou de production d’eau chaude. Plusieurs dispositifs d’aides existent (subventions, prêt spéci­ fique comme l’éco­prêt ou encore aide fiscale sous forme de crédit d’impôt pour les propriétaires occupants). La principale aide financière provient de l’Anah (Agence Nationale de l’Habitat), www.anah.fr apporte un soutien par priorité aux propriétaires occupants sans oublier toutefois les propriétaires bailleurs. Ainsi, pour les propriétaires occupants, sous condition de ressources et sous réserve que les tra­ vaux projetés fassent baisser leur consommation énergétique d’au moins 25 %, l’Anah apporte des aides pouvant aller jusqu’à 60 % du coût des travaux HT. Pour cela, un accompagnement est prévu à toutes les étapes de votre projet. L’Etat a en effet mis en place en place des outils pour favoriser l’accès à l’information… en vue de faci­ liter la réalisation des travaux. Un site dédié a été créé www.renova­ tion­info­service.gouv.fr informant sur les démarches à suivre, sur les lieux où s’adresser, sur les aides...

ADIL ET AJENA, deux Points Rénovation Info Services Mais l’accès le plus concret reste l’ADIL du Jura, www.adil39.org, réfé­ rencée comme l’un des deux Points Rénovation Info Service (PRIS) pour le Jura. Ces points infos services recensent l’ensemble des aides mobilisables par un particulier pour la rénovation de son logement.

C’est une porte d’entrée neutre et gratuite... “On écoute, on analyse la situation, on informe sur les différents dispositifs d’aides auxquels le particulier peut prétendre et on l’oriente vers les organismes lui per­ mettant de concrétiser son projet et monter ses dossiers” explique Agnès Martinet, directrice de l’ADIL Jura. Cette première analyse est importante, elle évite une perte de temps et permet au public de

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Agnès Martinet, directrice de l’ADIL 39

prendre les bonnes directions en fonction de son dossier.

L’Ajena, www.ajena.org, autre point rénovation info service sur le Jura, complète ces informations financières et fiscales par des informations sur le plan technique (choix des travaux, des matériaux, des matériels proposés). L’Ajena imagine avec les propriétaires les meilleures solu­ tions techniques. Une fois les informations collectées, il appartient au particulier de faire établir des devis par les professionnels de son choix (tous les dispositifs d’aide sont subordonnés à passer par des entre­ prises). Puis il doit faire établir les dossiers de demande d’aides. S’il a droit à des aides de l’Anah, il doit contacter Soliha Jura (anciennement JURA Habitat), www.jura.soliha.fr, qui prend le relais pour monter le dossier et vous accompagner dans vos projets d’habitat. “Peu importe l’avancement de votre projet, il ne faut pas hésiter à nous consulter pour profiter de ces aides pendant qu’elles existent ! Elles peuvent être importantes et nous vous orienterons vers les meilleurs interlocuteurs et professionnels” conclut Agnès Martinet.

Qu’est-ce que l’ADIL du Jura ?

Association à but non lucratif, l’ADIL du Jura est chargée d’informer les Jurassiens sur leurs droits et devoirs en matière de logement, dans le respect de trois principes : neutralité, objectivité et gratuité du service rendu. l’ADIL est à votre disposition pour répondre à toutes les questions liées à l’habitat, que ce soit sur les relations entre propriétaires et locataires, sur l’accession à la propriété et son financement, sur les avantages fiscaux, sur l’investissement locatif, sur l’urbanisme, la copropriété ou encore les relations de voisinage.

Lons-le-Saunier : 32, rue Rouget de Lisle, du lundi au jeudi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h 30, le vendredi après-midi de 14 h à 17 h 30.

Dole : 1er et 3e jeudis de 14 h 30 à 17 h dans les locaux de la SA Doloise - 5A, rue Bougauld. 03 84 86 19 30.

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Habitat ? Logement ? Rénovation de votre logement ?

le Conseil Départemental du Jura en rajoute !

Le département du Jura met en œuvre, dans le cadre de la délégation de compétence des aides à la pierre, une politique volontaire d’amélioration du parc de logements sociaux et privés existants. Pour atteindre cet objectif, le département gère et oriente les financements de l’agence nationale de l’Habitat (Anah) et accorde des subventions complémentaires sur ses propres fonds.

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Lutter contre la précarité énergétique, l’habitat indigne et favoriser l’adaptation des logements au handicap et à la perte d’autonomie n’estil pas louable ? Dans ce cadre, le Conseil Départemental du Jura reçoit, au titre des aides à la pierre, des financements de l’Etat par le biais de l’Anah. Plus que de distribuer ces fonds, et conscients des enjeux de demain, le département s’engage financièrement en complément de ces aides. Sur la période 2016/2018, c’est un programme ambitieux de 16 millions de travaux qui est engagé : 12,2 millions sur les financements de l’Anah et 3,8 millions financés par le Département du Jura. Ces crédits s’adressent à la fois aux particuliers, aux bailleurs publics et aux communes.

Des aides ciblées et disponibles

DU 4 MARS AU 1er AVRIL 2017

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“Ces aides sont prévues pour favoriser la réhabilitation des logements, la rénovation thermique et les économies d’énergie, pour traiter les situations d’habitat indigne ou trop dégradé, pour développer avec les propriétaires bailleurs l’offre de logements locatifs à loyer maîtrisé et sobre en énergie” confie Mélanie Berton, chef du service habitat urbanisme et énergie. “60 % des habitants sont éligibles et les subventions peuvent atteindre 70 % du financement total. Le Conseil départemental subventionne par an environ 500 logements pour les particuliers et environ 250 logements rénovés ou construits pour les bailleurs. De plus, ces travaux sont autant de marchés pour les entreprises locales qui bénéficient de 14 millions d’euros de travaux sur la même période” conclut Mélanie Berton. Les demandes de dossiers sont à adresser chez Soliha qui se charge de constituer votre dossier et de transmettre les demandes de subvention au Conseil départemental. Nous vous invitons à rapidement déposer vos dossiers. En cette année 2017, les aides de l’Etat sont conséquentes et pour l’heure encore disponibles.

Mélanie Berton - Responsable service habitat urbanisme et énergie

Soliha : 32 rue Rouget de Lisle 39000 Lons-le-Saunier.

Tél. 03 84 86 19 10 contact@jura.soliha.fr - www.jura.soliha.fr Agglomération Grand Dole - Service habitat - Tél. 03 84 79 79 79

Les

ARTISANS du REVERMONT

Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons n° 114

Une belle histoire !

En s’installant dernièrement 3 bis avenue Aristide Briand à Lons, les ARTISANS du REVERMONT qui existent depuis 2004 à Cousance, posent la seconde pierre d’un édifice qui n’en finit pas de grandir !

L’un, Jean­François Uny est plâ­ trier­peintre­décorateur, pose­ menuiserie­agencement, l’autre, Dominique Delorme, est maçon­ plombier­chauffagiste… “ils se sont connus sur les chantiers il y a bien longtemps et ils se sont associés”.

Travaillant pour leur compte, les deux hommes, incités par la demande répétée et encoura­ geante des clients créent ensem­ ble sous forme de Maîtrise d’œu­ vre, la société Les ARTISANS DU

REVERMONT. Ils établissent des règles simples à l’avantage du client : Un seul interlocuteur, un bureau d’études pour les plans, des équipes d’artisans locaux qua­ lifiés et reconnus, des réunions régulières en cours de travaux… “et ça marche immédiatement”.

Quand le bâtiment va tout va, la période est faste, les ARTISANS DU REVERMONT empilent les références mais avec les nouvelles normes de constructions, si les

réalisations dans le neuf se font plus rares, elles permettent au groupement de sortir leur seconde arme : la rénovation !

“C’est plus technique”, répondent les deux associés “et seuls les arti­ sans qualifiés sont capables de prévoir —sans dommage pour des bâtiments existants— des travaux de démolition, de consolidation ou de surélévation”.

Le percement d’un trou dans un vieux mur, la reprise des charges dans une charpente transformée le calcul d’une dalle imposent du matériel, de l’adresse et des connaissances particulières que seule la pratique apporte, “ce sont nos atouts”.

En ce qui concerne les garanties, elles existent et “comment faire autrement”, s’interroge d’ailleurs Jean­François Uny. Au cours d’une réunion conviviale, tous les artisans qui interviennent sur un chantier rencontrent leurs clients car “on travaille mieux quand on se connaît” et c’est en même temps l’occasion de se pré­ senter et d’échanger sur le projet.

A la conception des plans, au des­ sin, à l’implantation du projet, au bureau… on trouve Corine Mas­ trodicasa, la géomètre de profes­ sion qui prendra en compte les besoins des clients, l’esthétique du projet, sa faisabilité, les caractéris­ tiques thermiques liées à la régle­ mentation en vigueur, ce qui apportera au client une réalisation très réussie et confortable.

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Corine Mastrodicasa en compagnie de Jean­François Uny

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Propriétaire / Locataire

Droits et obligations

Locataire Extérieur

Des obligations s’imposent au propriétaire bailleur et au locataire pendant toute la durée du bail. Elles sont identiques pour les logements loués vides ou meublés à titre de résidence principale.

Les obligations du locataire Le locataire paie le loyer et les charges au terme convenu dans le bail. Il entretient le logement et y réalise les réparations locatives qui relèvent de sa responsabilité.

Il utilise son logement paisiblement, en respectant la destination qui lui a été donnée par le bail (habitation ou mixte), ainsi que le règlement de copropriété.

Il souscrit une assurance contre les risques locatifs (dégâts des eaux, incendie, explosion, vol …) et le bailleur peut lui demander, chaque année, un justificatif de cette souscription. Une clause peut prévoir la résiliation du bail en cas d’absence d’assurance. Le bail­ leur peut également la souscrire pour le compte du locataire, après une mise en demeure.

Le locataire est responsable des dégradations et pertes intervenues dans le logement sauf si elles sont dues à la force majeure, à une faute du bailleur ou du fait d’une personne que le locataire n’a pas introduite chez lui.

Il est interdit de transformer le logement, ou les équipements, sans l’accord écrit du bailleur. Dans le cas contraire, au moment du départ, celui­ci peut conserver le bénéfice des transformations sans indemniser le locataire ou exiger la remise en état initial des lieux. S’il s’agit d’adapter le logement à un handicap ou à une perte d’autonomie, l’absence de réponse du bailleur quatre mois après la demande écrite du locataire vaudra acceptation et le locataire pourra réaliser les travaux.

Le locataire ne peut pas s’opposer aux travaux de réparation ou d’entretien du logement, d’amélioration des parties communes ou de la performance énergétique qui nécessitent une intervention dans le logement. Il peut demander au bailleur une diminution du loyer, si ces travaux durent plus de 21 jours et la résiliation du bail, s’ils rendent le logement inhabitable.

Le locataire ne peut ni céder le bail, ni sous­louer le logement sans l’accord écrit du bailleur.

En cas de mise en vente du logement et lorsque le locataire a reçu un congé conforme du bailleur, il ne peut pas empêcher les visites du logement dès lors qu’il en a été informé au préalable. En revanche, il ne peut être obligé d’accepter les visites durant les jours fériés ou plus de deux heures par jour ouvrable.

Qui répare ? Qui entretient ?

Cheminée • ramonage

2

Gouttières, chéneaux descentes eaux pluviales • débouchage, nettoyage et entretien de la grille d’évacuation des eaux pluviales

3

Balcon • débouchage évacuation

4

Volets et grilles • entretien et remplacement lames • graissage gonds, paumelles et charnières

5

Auvent • entretien, nettoyage

6

Porte d’entrée • graissage gonds, paumelles et charnières • poignée, serrures, canons : entretien et remplacement • clés et badges : remplacement

7

Boîte aux lettres • remplacement serrures et gonds • remplacement clés

8

Porte­garage • entretien peinture • remplacement poignée, chaînette, ressorts...

9

Fosse septique • vidange, entretien

10

Compteurs d’eau • entretien, protection contre le gel Haies, arbustes, pelouse • entretien, taille, tonte...

Intérieur

Propriétaire

Sol • entretien et pose parquet, dalles, linoléum, moquette

Extérieur

1

Maison individuelle

Les obligations du baillleur Le bailleur doit remettre au locataire un logement décent qui res­ pecte la sécurité physique et la santé des locataires et comporte certains équipements essentiels.

Le logement doit également répondre à un critère de performance énergétique minimale, être en bon état d’usage et de réparation avec des équipements qui fonctionnent et être bien entretenu.

Le bailleur assure au locataire un usage paisible du logement et lui transmet gratuitement, à sa demande, les quittances de loyer et de charges. Il justifie les charges dues.

Il ne peut pas s’opposer aux aménagements réalisés par le loca­ taire, dès lors que ceux­ci ne constituent pas une transformation du logement.

Si la réalisation de travaux d’entretien ou de réparation nécessite une intervention dans le logement, le bailleur doit au préalable en informer le locataire de leur nature et de leurs modalités de réali­ sation par courrier recommandé avec avis de réception.

Le bailleur ne doit pas entrer dans le logement du locataire sans son accord, même s’il a conservé un jeu de clés.

1

Toiture • entretien, réparation

Plafonds ­ murs • maintien en état de propreté • menus raccords de peinture, tapisseries • rebouchage des trous

Intérieur Chaudière • remplacement

Placards • Remplacement des tablettes, boutons, poignées

Ballon électrique • remplacement, détartrage

Les recours en cas de litige En cas de litige, le locataire comme le bailleur peuvent saisir le concilia­ teur de justice ou la Commission départementale de conciliation (CDC).

Saisie gratuitement, la CDC a pour rôle de trouver un accord entre le propriétaire et le locataire. En cas d’échec de la conciliation, le juge du tribunal d’instance peut être saisi. (Renseignez­vous auprès de votre ADIL).

Des procédures simplifiées sont possibles. Le juge pourra obliger l’une des parties à exécuter son obligation, résilier le contrat en cas de man­ quement grave et, le cas échéant, condamner au paiement de dom­ mages et intérêts.

Dans certains cas, un mandat peut être donné à une association pour agir en justice.

Source ADIL

Détecteur de fumée • vérification du fonctionnement, remplacement piles...

Colonne d’eau usée • remplacement Conduit d’alimentation d’eau

Chaudière • nettoyage grille • ramonage conduit • entretien annuel par un professionnel

• remplacement

Radiateurs • remplacement

Tableau électrique

Evacuation / arrivée d’eau • débouchage entretien évacuations sous évier, siphons • remplacement joints, colliers, clapets, tuyaux flexible douche...

• remplacement

Porte d’entrée • remplacement sauf

en cas de dégradations Détecteur de fumée

Source Ministère du logement et d’habitat durable

• remplacement

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26 MaG sports

Pays de Lons n°114 - Mars 2017

BILLARD CLUB LÉDONIEN

Le billard : un club, une équipe, une passion…

Avec un loyer et des charges élevés, le billard club lédonien peine à recruter de nouveaux joueurs.

Grâce à l’intervention de la vice-présidente d’ECLA en charge des sports, les cotisations vont déjà pouvoir baisser.

Améliorer sa technique, sa stratégie puis entrer en compétition, le billard est un sport offrant de mul­ tiples possibilités. Né aux alentours de 1987, le Bil­ lard Club Lédonien compte aujourd’hui 28 mem­ bres et propose des entraînements deux fois par semaine. Mais, depuis vingt ans, les locaux loués à l’OPH, sont aux frais de l’association. “Le prix de la salle et des charges nous oblige à appliquer des cotisations élevées et le manque de place ne nous permet pas d’installer des billards de 3,10 mètres, pourtant utilisés lors des compétitions en natio­ nale 1” explique le président, Jean­Marie Pélligand.

En effet, sur les effectifs, une dizaine de joueurs réalisent de la compétition et trois sont classés au niveau national. L’association a même organisé une finale de ligue de Bourgogne Franche­Comté le 5 février dernier. “Mais il est difficile de faire évo­ luer les joueurs dans des catégories plus hautes sans possibilités d’équipements adaptés”.

La cotisation va baisser Même si le club espère intégrer prochainement une salle adaptée, les choses évoluent tout de même puisque madame Olbinski, la vice­prési­

dente d’ECLA en charge des sports a obtenu un allègement du loyer de la part d’OPH. “Une baisse des charges qui va se répercuter sur le prix de la cotisation annuelle” annonce immédiatement le président. “Au lieu de 350 €, nous espérons pro­ poser la cotisation à 250 € et les deux premières années d’adhésion sont déjà proposées respecti­ vement à partir de 120 et 250 €”. Mais cette réa­ lité d’adhésion a aussi un impact sur le type de joueurs. “La population est vieillissante et nous avons des difficultés à fidéliser les joueurs sur plu­ sieurs années. Le prix de la cotisation doit forcé­ ment en être pour quelque chose… Nous sommes contents de pouvoir trouver des solutions à ce problème !”

Hubert Mathez, vainqueur de la finale de la grande ligue de Bourgogne Franche-Comté.

“Adhérent depuis les débuts du club, je ne passe pas une journée sans penser au bil­ lard. C’est une vraie passion. J’aime l’am­ biance de cette vie associative et le sport en lui­même avec les différentes compéti­ tions locales et nationales. Je m’entraîne deux à trois par semaine et je suis assidû­ ment les actualités du sport. Avec le bil­ lard, j’apprécie la technique, le mental, la stratégie et la gestion du stress”.

Il participera à la finale nationale les 25 et 26 mars prochains.

F.P

Semaine découverte avec des initiations gratuites : Mardi 7, mercredi 8 et jeudi 9 mars de 18 h à 19 h 30.

Samedi 11 de 14 h 30 à 16 h00.

Billard Club Lédonien, 395 avenue Paul Seguin à Lons-le-Saunier. Entraînements le lundi de 17 h à 19 h pour les débutants et le jeudi de 17 h 30 à 19 h pour les compétiteurs.

CLUB LA JURASSIENNE

Compétition acrobatique, accrochez-vous !

Proposant de la gymnastique artistique, acrobatique et du trampoline, La Jurassienne organise prochainement le master Open Elite. Un beau spectacle en perspective…

Avec 200 licenciés cette année, le club La Juras­ sienne est en progression. “Cela est peut­être lié aux Jeux Olympiques, nous ne savons pas vrai­ ment” s’interroge François Déodati, le président du Club. Née en 1881 avec pour seule section, la gym­ nastique artistique, l’association a pu proposer à ses licenciés du trampoline dès 1997 et de la gym­ nastique acrobatique au début des années 2000.

En 130 ans, le club a été représenté par de grands champions comme Michel Mathiot, 3 fois cham­ pion de France et qui a participé à 4 Jeux Olym­ piques ou encore Michel Bourgeois et Sophie Quéré, pour leurs niveaux à l’international. Les

E TAT C I V I L

Nolan de Quentin BOURDEAU et Anne­Sophie BOULY, NAISSANCES Crançot Aurèle de Laurent PERRARD Gabriel de Loïs MATIVET et et Laetitia POMMIER, Augisey Caroline BARGOT, Crotenay Matéo de Félicien JOUHAM et Lylou de Yvann MICHELLI et Myriam LÉMONT, Crotenay Cécile MARICHY, Beaufort Elsa de Jérémy MARTIN et Lola de Yoann BROCARD et Charlène FAURE, Doucier France DAMNON, Bréry Léane de Julien FOURTIER et Maxime de Fabien OMER et Marina REYMOND, L’Étoile Déborah WACOGNE, Zeynep de Veli BAYKARA et Charézier Serap KIR, Lons­le­Saunier Massilia de Raphaël VALLET et Léa de Bertrand VENET et Karinne GUILLOT, Colonne Cécilia LADDE, Lons­le­Saunier Aimé de Stéphane LE BOSSÉ Nael de Karim REMICHI et et Aurélie JACQUENOD, Marion TSCHUDI, Mantry Courbouzon Noémie de Raphaël MERLIN et Annabelle PAILLARD, Lana de Jérémy MARIE et Laura FROISSARD, Cousance Poligny

DÉCÈS SIMPLET Monique, Bonlieu, 84 ans GRANDVAUX Louis, Bréry, 94 ans BENOIT Jeanine, Chambéria, 83 ans COPPOLA Graziano, Chilly­le­ Vignoble, 79 ans GRAND Jean, Clairvaux­les­ Lacs, 81 ans

GUYOT Germaine, Lons­le­Saunier, 96 ans BIENEK Herbert, Lons­le­Saunier, 58 ans BULLY Marie, Lons­le­Saunier, 96 ans ZOURAK Rachid, Lons­le­Saunier, 38 ans BOUCHARD Sylvie, Lons­le­Saunier, 59 ans

BOIS Andrée, Lavigny, 90 ans

GAUTHIER Monique, Lons­le­Saunier, 99 ans

BEAUVIVRE Gisèle, Lons­le­Saunier, 85 ans

RONDOT Jean­Pierre, Lons­le­Saunier, 59 ans

SAVEL Jean, Lons­le­Saunier, 78 ans

SOURD Georgette, Lons­le­Saunier, 86 ans

GUILLAUME Gilbert, Lons­le­Saunier, 82 ans

CAPBLON Anne­Marie, Lons­le­Saunier, 82 ans

jeunes continuent à évoluer à leur rythme, sur les traces de leurs aînés. “Nous avons actuellement une championne de Franche­Comté, qui peut aller en championnat de France” précise le président.

Place à la compétition !

Le club organise le master Open Elite avec des épreuves de trampoline, gymnastique acrobatique et de tumbling, un praticable de 30 mètres de long qui rebondit pour réaliser de multiples figures. “Les différentes disciplines sont très techniques et demandent de la précision. C’est à chaque fois un vrai spectacle et le trampoline par exemple,

CHARLOT Paul, Lons­le­Saunier, 93 ans ROTA Rosalia, Lons­le­Saunier, 89 ans FERRY Georgette, Lons­le­Saunier, 99 ans TISSOT Renée, Lons­le­Saunier, 90 ans GAUTHIER Henri, Lons­le­Saunier, 95 ans MATHON Jacques, Lons­le­Saunier, 74 ans BAILLY Bernard, Lons­le­Saunier, 88 ans COUILLEROT Jeanne, Lons­le­Saunier, 87 ans GAILLARD Bernard, Macornay, 84 ans PAYSANT Colette, Mantry, 71 ans

impressionne avec sa hauteur. Nous prenons plaisir à organiser ce rendez­vous, qui suscitera peut­être de nouvelles vocations…”. Ce pré­championnat de France accueillera également des compétiteurs étrangers dont une équipe suisse et une sélection de jeunes pour l’équipe de France en championnat du monde va aussi être réalisée durant le week­ end. Une compétition avec du haut niveau !

F.P

La Jurassienne, 15 avenue du stade à Lons-le-Saunier.

Organisation du Master Open Elite, les 6 et 7 mai au GES du Solvan à Lons.

VILLARD Marcelle, Marigny, 103 ans TISSOT Jean­Claude, Pannessières, 68 ans SAMSON Simone, Passenans, 93 ans SASSARD Marguerite, Soucia, 94 ans BRETON Bernard, Toulouse­le­Château, 81 ans VANSEVEREN Jack, Vernantois, 71 ans PETIT Michel, Vevy, 67 ans DUC Marie­France, Villevieux, 63 ans VÉRISSEL Marcel, Vincelles, 99 ans VACHERAT André, Voiteur, 95 ans

Zone des Epenottes BP 212 - 39102 Dole Tél. 03 84 82 50 21 n°ISSN : 1 778-820X Imprimé en France

Rédaction : redaction@paysdelons.fr Régie publicitaire Tél. 03 84 82 50 21 Portable 06 33 79 00 94 commercial@paysdelons.fr

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MaG sports 27

Pays de Lons n°114 - Mars 2017

Crédit Photo Olivier Arandel

C L U B V T T D E CO N L I È G E

La Coupe de France se prépare !

Avec ses bons résultats obtenus en international et national en 2016, le club VTT de Conliège a remporté le classement du meilleur club jurassien de la saison 2016. En 2017, il continue dans cette voie en organisant à nouveau la Coupe de France au mois de juin.

Les membres du club VTT de Conliège partagent cette communion entre le sport et la nature depuis 1991. Intégrée comme une section du foyer rural de Conliège, l’activité a créé sa propre association en 1998. Désormais, les 180 membres évoluent en loisirs ou en compétition, sans oublier l’école de cyclisme comptant 80 enfants de 6 à 14 ans. En 1991, l’organisation de l’épreuve régionale, La Conliégeoise, avait lancé la section VTT. Depuis le club a toujours pris plaisir à organiser régulière­ ment des événements. Cette année, le club se lance un nouveau gros challenge : celui d’organiser la coupe de France. Déjà organisée à plusieurs reprises depuis 2002, l’association aime se lancer des défis. “C’est un véritable challenge d’organiser une épreuve de cette envergure. Nous nous sommes aperçus qu’une organisation de ce type permettait de fédérer les adhérents du club. C’est vraiment que du bonus et cela nous permet de ne pas rester dans une certaine routine” explique Jean­François Biard, président du club.

“Les meilleurs athlètes européens seront présents” Les 23, 24 et 25 juin prochains, 1 300 athlètes sont ainsi attendus soit plus de 5 000 personnes au total. Avec un label d’excellence attribué par le l’Union Cycliste Internationale pour l’organisation au niveau du club, les cyclistes participants peu­ vent ainsi doubler leurs points obtenus. “Nous ne sommes que 13 en Europe cette année à avoir obtenu ce label « hors classe ». Cela laisse à penser que les meilleurs athlètes européens seront pré­ sents. Les Français sont aussi bien classés.

Quelques Lédoniens devraient se distinguer comme Estelle Morel­Boudout, très bien classée, l’espoir masculin Clément Berthet ou encore l’Ornanais Bastien Michaud”. Le VTT Club de Conliège ne va pas s’arrêter là : il projette l’année prochaine d’or­ F.P ganiser les championnats de France !

Club VTT de Conliège. Permanence le vendredi de 17 h à 19 h au 10 rue des Perrières à Lons-le-saunier. Coupe de France, les 23, 24 et 25 juin. Cross Country le 23 juin dans les jardins du Conseil Départemental de Lons, 24 et 25 au circuit olympique de Montciel. https://vttconliege.com.

TRAIL DES RECULÉES

Plus qu’un trail, un très beau Trail !

13e édition et même pas peur ! Le trail des reculées se porte bien et ce n’est pas la nouvelle épreuve qui se tiendra le dimanche 2 avril qui contredira la tendance. On attend 2 500 coureurs…

Bertrand Forget organisateur du trail des reculées avec l’ALL Trail, parle avec plaisir des parcours et des paysages traversés et de la convivialité qui règne sur cette manifestation. “Le trail des reculées est reconnu pour sa beauté et sa diversité de pay­ sages, le trail doit représenter le territoire, coller avec. On fait découvrir le Jura, le terrain est idéal.

Ici, c’est ludique, on a une belle diversité et pour moi, « la diversité, c’est la richesse qui se décline… », le trail des reculées est un beau trail !” confirme Bertrand Forget. Cette année, on attend environ 2 500 coureurs qui emprunteront 4 par­ cours de 12, 22, 34 et 46 km. “C’est une nouveauté

cette année, le parcours de 12 km est ouvert à tous, sans classement et sans certificat médical. Un parcours à partager tranquillement entre amis ou en famille. Juste pour faire partie de la fête, de l’ambiance.” précise Bertrand. Pour les autres par­ cours, il y a tout de même quelques cadors qui viendront pour gagner ! Ils auront de quoi s’amu­ ser et souffrir un peu.

Des produits locaux en récompense !

Une des particularités du trail des reculées, et peut­être même un atout pour les inscriptions, c’est le coq au vin jaune et aux morilles servi à tous

les participants à l’arrivée, un signe caractéristique de convivialité. Pour les vainqueurs, les dotations sont des produits régionaux, notamment des meules de Morbier ! Autre nouveauté 2017, la possibilité de passer le dimanche avec les col­ lègues de travail en participant au chalenge entre­ prises “Made in trail”. La sécurité sur le parcours sera cette année encore assurée par environ 150 bénévoles.

Trail des reculées. Dimanche 2 avril. Départ place de la Liberté à Lons-le-Saunier à partir de 7 h 30.

Animations le samedi 1er avril. Renseignement : www.traildesreculees.fr - Tél. 06 76 45 48 77

Funérarium de Poligny Rue Roger Thirode - ZI - 39800 Poligny - 03 84 37 14 94 Pour vous accompagner, notre écoute, la tradition de notre savoir-faire, la pérennité du souvenir…

Les Pompes Funèbres TANIER sont à votre écoute avec une assistance 7j/7j et 24h/24h

ARBOIS 03 84 37 50 89

DOLE 03 84 71 71 71

TAVAUX 03 84 80 06 05

ASNANS 03 84 81 79 11

Mont s/s VAUDREY 03 84 81 50 21

! à j é d s 10 an

Dépannage et entretien toutes marques. Contrat d’entre­ tien, désembouage, régulation… station technique agréée !

Perrigny peut s’enorgueillir d’avoir dans sa zone industrielle ECO ENERGIE SERVICE 39, une entre­ prise qui a bâti ­ à l’ancienne­ sa réputation sur la confiance et la parole donnée. En effet, points de contrats tatillons ou de petites lignes presque illisibles en bas à gauche de la feuille, pour Fabrice Jacquot, le patron et Gwenaëlle, son épouse­collaboratrice, “si les écrits restent les paroles suffisent encore” et entre gens du bâti­ ment ça fonctionne parfaitement.

“La mise en route des installations, le dépan­ nage, l’entretien, le conseil mais pas de vente de chaudières, de radiateurs, d’accessoires dans le dos des installateurs professionnels”, ces mots résument à eux seuls leur déontologie dans le métier.

Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons n° 114.

ECO ENERGIE SERVICE 39: STATION TECHNIQUE AGREEE !

Conformité des installations, respect des normes, sécurité pour les particuliers, tranquil­ lité pour les fournisseurs, plus particulièrement pour le Comptoir des Fers qui nous suit depuis le début… la STATION TECHNIQUE, reconnais­ sance professionnelle des grandes marques, c’est la référence ! Elle joue un rôle de plus en plus grand dans ce monde normalisé à souhait.

Ainsi les chaudières gaz FRISQUET, les chau­ dières fioul, gaz ATLANTIC et CHAPPEE, les chau­ dières à bois et à granules FROLING passent exclusivement entre ses mains avant le premier feu. CAP, BEP maintenance, Bac Technique F3, BTS Génie Energétique en poche, il n’a eu guère de mal à être embauché chez un distributeur en matériels de chauffage à Montmorot (Thermi­ confort), puis au sercice SAV de cette même enseigne. Pendant huit années, il effectue les mises en service, les entretiens, les dépannages, solutionne les problèmes de chauffage mais la boucle étant bouclée, il s’installe à son compte comme dépanneur ­exclusivement dépanneur­ insiste t­il dans son village natal de La Marre et Jérôme en interven on

immédiatement son rayon d’intervention s’agrandit. En 2015, ce bâtiment de stockage en pleine zone, parfaitement situé, doté d’un immense parking et d’une surface de stockage conséquente étant libre… “ne suffirait­il pas de l’aménager pour en faire quelque chose de bien et de se recentrer sur le département” ? Les tra­ vaux ne durent que quelque mois, Fabrice et son épouse Gwenaëlle qui a effectué la formation “Gestion et Administration des Entreprises du Bâtiment” à la CAPEB, emménagent au 140 Impasse des Grangettes à Perrigny en janvier 2015.

Le contrat d’entretien : Quésaco ?

C’est un document signé entre les deux parties client/ECO ENERGIE SERVICE 39 qui présente de nombreux avantages : 1. “A ce jour l’entretien annuel par un spécia­ liste est non seulement obligatoire mais il per­ met aussi de réduire sa facture d’énergie de 12% en moyenne”, dixit le SYNASAV. 2. C’est Séverine, la secrétaire, qui, en accord avec le client, gère les dates d’intervention.

“Finis les oublis, les urgences, les maisons froides et les crises de nerfs”, sourit elle.

3. Aux dates dites “anniversaires” , Jérôme, Jean­Louis et Cyril interviennent dans les chaufferies, écoutent, testent, démontent, net­ toient, règlent et garantissent le bon fonction­ nement.

4. Dans le cadre d’une chaudière à fioul le gicleur est compris ainsi que le déplacement, la main d’œuvre pendant un an.

5. Si la chaudière est au gaz, le contrat offre en plus le détartrage (dans le cadre d’une chau­ dière à production instantanée) Le SYNASAV (Syndicat National de la Maintenance et des Services en Efficacité Energétique), met en ligne le site à destination du grand public :

03 84 85 39 55

(Répondeur en dehors des heures de service)

Ouvert du lundi au vendredi de 8h à 12h et de 14h à 17h30

INFORMATIONS PRATIQUES Le RAMONAGE ?

Pas plus que nous vendons de matériel nous ramonons les conduits de feu !

“A chacun son métier, le respect de la sécurité et du travail bien fait”.

LE CALCAIRE c’est LE CHOLESTEROL de la TUYAUTERIE et du CHAUFE EAU “C’est une question qui revient souvent. L’erreur est de produire de l’eau trop chaude surtout dans notre région où elle est très calcaire ! L’idéal c’est 45­50°.

C’est à partir de 55° que l’on produit du calcaire capable de boucher les canalisations et le chauffe­eau”.

La RÉGULATION source de CONFORT et d’ÉCONOMIES !

Trop souvent on constate des températures inadaptées, aujourd’hui on peut réguler, programmer, être connecté pour un investissement très vite amorti.

Alors dans ce cadre de conseils et de confort nous installons des appareils simples, peu onéreux qui permettent de substantielles économies d’énergie.

www.je­fais­entretenir­ma­chaudiere.com

Ouvert lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi de 8h à 12h et de 14h à 17h30

39570 PERRIGNY - Z.I. - 140, impasse des Grangettes