Pays de Lons 147

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N°147

Mars 2020

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“Ces 30 années se sont engouffrées dans ma vie…” p. 4

Municipales Lons

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p. 4

Réchauffement climatique

Inquiétudes pour p. 14 le tourisme…

Dossier spécial P. 10 à 17

Bletterans

L’heure des travaux p. 36 est arrivée…

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Pays de Lons n°147 - mars 2020

Lons-le-Saunier - Politique

Jacques Pélissard : “je poursuivrai mon chemin comme un simple citoyen…” En mars 1989, Jacques Pélissard est elu à la mairie de Lons-le-Saunier le jour de ses 43 ans. 31 ans plus tard, il laisse aujourd’hui sa place de maire après cinq mandats. Il se confie aux Lédoniens avant de profiter autrement de la vie. Rencontre… Que vous inspirent ces 30 années à la mairie de Lons ? Ces 30 années se sont engouffrées dans ma vie. Je n’ai pas ménagé ma peine et cela m’a bien occupé. Il a fallu faire face à toutes les problématiques. Redresser une ville financièrement en difficulté, fidé­ liser les entreprises industrielles, réorganiser les ser­ vices de la ville, créer l’intercommunalité, assurer le développement culturel, social, sportif et écono­ mique, mais aussi la desserte ferroviaire et autorou­ tière. Assurer la gestion quotidienne, préparer l’ave­ nir d’une ville prend beaucoup de temps et je n’ai pas vu passer les années. Un exemple : il y a quelques mois j’ai marié un jeune couple, la mère de l’un des jeunes mariés est venue avec la photo de son propre mariage que j’avais alors célébré ! J’ai pris conscience des décennies qui s’étaient écoulées depuis mon élection ! Avec les Lédoniens, vous étiez proche mais pas trop... comment avez-vous vécu cette relation ? Ils vous ont fait confiance à cinq reprises... Oui en effet ils m’ont fait confiance à cinq reprises et les quatre dernières fois au premier tour ! Cela fait chaud au cœur, ce rapport de confiance est impor­ tant. Ça se mérite mais ça motive... Je suis resté naturel, je dis bonjour sans embrasser tout le monde, je ne tape pas dans le dos de chacun. Je m’efforce de dire simplement les choses, je crois à la parole publique, à la parole vraie et tenue. C’était ma crédibilité, je n’ai jamais eu à changer de trottoir. J’étais attentif à tout le monde et ma mémoire m’a beaucoup aidé. Je me souviens de ce que chacun m’a demandé et ce que j’ai fait pour eux. J’ai respecté les Ledoniennes et les Lédoniens, j’ai travaillé avec réserve et pudeur, j’ai toujours su gar­ der la distance nécessaire. Avez-vous réussi ce que vous rêviez de réaliser ici à Lons ? Que retenez-vous d’important, d’essentiel ? Pensez-vous avoir plus développer ou plus préserver la ville de Lons ? Nous avons réussi le redressement financier d’une ville quasiment en faillite en 1989. Aujourd’hui son endettement est plus bas que la moyenne nationale,

les impôts plus bas que dans les villes comparables et nous investissons plus. Cela me ravit. Nous avons pu développer notre économie en accompagnant la croissance d’entreprises telles que Bel et Lactalis par exemple. De nouvelles PME sont venues s’installer, bien souvent avec l’appui de la ville et notre taux de chômage est le plus bas de Franche­Comté. La ville a été pionnière en matière environnementale et pilote dans différents domaines comme le chauf­ fage au bois et le réseau de chaleur, le tri des déchets, la protection de la ressource en eau, la res­ tauration municipale bio. Mais aussi dans le fonc­ tionnement transversal de notre administration entre la ville et l’agglomération. Le nouvel Hôtel de Ville et d’Agglomération permet une meilleure effi­ cacité pour l’accueil du public et le travail des agents des deux collectivités. Vous étiez souvent précurseur: l’intercommunalité, le tri, le bio... Votre côté visionnaire est une qualité ? Je ne suis pas visionnaire ! Je pense simplement être en mesure d’identifier les défis. Je pense avoir su réfléchir, écouter pour tenter de trouver au bon moment les meilleures idées et les mettre en œuvre. J’ai su accepter les bonnes idées de certains, d’autres m’ont inspiré, d’autres conseillé. J’ai perçu très tôt que les villes allaient passer financièrement au régime sec. C’est arrivé... nous avions anticipé, fait les économies nécessaires, nous avons pu faire face. Cela a permis plus d’investissements que dans les villes de notre taille. On a pu faire la médiathèque, la piscine Aqua’ReL, Juraparc, le Boeuf sur le toit, la rénovation du théâ­ tre, la place de la Liberté... On a su préserver le cen­ tre­ville, on a préservé son esthétique et sa richesse patrimoniale. On l’a développé commercialement avec l’aménagement de zones piétonnes et de par­ kings tout en le protégeant de l’implantation à tout va de grandes surfaces qui créent de l’emploi mais qui en suppriment plus encore dans les commerces existants. Nous avons eu une approche globale et équilibrée. C’est un atout majeur aujourd’hui. Maire, c’est partager avec des élus, des services, des agents... qu’elle était votre ligne de

Jacques Pélissard heureux le jour de sa première élection en mars 1989.

conduite ? Que retenez-vous de toutes ces collaborations ? J’ai eu la chance d’être entouré par des élus et des fonctionnaires de grande qualité. On se réunissait une fois par semaine, on se disait tout, rien n’était caché. Chacun pouvait donner son avis et au final je prenais les décisions. Je pense qu’ils avaient confiance en moi comme moi en eux. Vous aviez une image... une image autoritaire parfois, que souhaitez-vous que l’on retienne de vous ? J’aimerais que l’on garde de moi l’image d’un maire qui a beaucoup travaillé, le souvenir de ma droiture et de ma passion pour notre ville et ses habitants. L’image d’un maire qui a fait avancer les choses et qui n’a pas subi la tyrannie du statu quo, un maire pionnier dans la méthode et pour les grandes avan­ cées. J’ai utilisé tous les outils juridiques et financiers pour réaliser sur notre territoire les investissements publics, permettant aux Lédoniens de mieux vivre sur leur terre.

Demain quel regard porterez-vous sur Lons ? Allez-vous fermer la porte ? Je continuerai à habiter à Lons et je n’interférerai pas avec mes successeurs. J’ai déjà eu cette attitude de neutralité lorsque j’ai passé le relais de la présidence du Sydom, de l’agglomération mais aussi de l’Asso­ ciation des Maires de France. J’aurai du temps pour découvrir de nouvelles activités et profiter de ma famille. Je reste maire jusqu’au dernier jour et ensuite je poursuivrai mon chemin comme simple citoyen. Un dernier message aux Lédoniens ? Mon message aux Lédoniens ? De la gratitude pour ces femmes et ces hommes qui m’ont accompagné, soutenu, fait confiance... c’était un puissant moteur pour moi. J’étais exigeant vis­à­vis de moi­même pour répondre à cette confiance. Ce fut une belle complicité. Les Lédoniens souhaitaient un maire attentif et efficace, j’ai œuvré pour cela et ça a duré 30 ans. Je les remercie pour ces années passion­ nantes, partagées au cours du plus long mandat d’un maire dans l’histoire de notre ville. Interview Yvon Amiot pour Lons Mag

Lons-le-Saunier

Dernier conseil municipal des enfants pour… Jacques Pélissard Après 7 années de bons et loyaux services, les mem­ bres du conseil municipal des jeunes se sont retrou­ vés autour de Viggo Törnqvist­Grosset, celui­là même qu’ils avaient élu maire voici quelques mois. Pour la dernière fois tous étaient là, actuels et anciens, impatients d’accueillir le maire, – le vrai – pour lui témoigner leur reconnaissance bien que prio­ rité soit donnée à la validation, à mains levées, de leurs projets : préparation d’un rallye sport, net­ toyage des écoles de la commune, jardinage avec les anciens, course d’orientation, inauguration d’une plaque à chewing­gum… Chanson, cadeaux, livre mémoire à l’encontre du maire Jacques Pélissard.

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En les remerciant tous pour leur implication et leur assiduité, le maire n’a pas oublié de leur rappeler combien il était important de s’intéresser à la vie citoyenne de ses concitoyens. La directrice des pôles enfance, petite enfance et sco­ laire, la responsable des jeunes élus, les animateurs et quelques élus se sont largement impliqués pour la réussite de la manifestation mais ce sont les enfants qui concluront avec : “maintenant on ose lever le doigt pour parler, on a appris à s’écouter ainsi qu’à se res­ pecter”.


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Pays de Lons n°147 - mars 2020

Gevingey

Lons-le-Saunier

Le Nez dans le vert a 10 ans et surfe sur le succès

Les Rendez-vous de l’Aventure, 5e édition du 12 au 15 mars

Le salon bien connu des amateurs et spécialistes de vins bio se déroulera les 22 et 23 mars au Château de Gevingey. C’est la dizième édition que les adhérents de l’association Le nez dans le vert organisent, et comme on ne change pas une formule qui marche, on reprend le format habituel ! Si le dimanche est dédié au grand public, le lundi s’adresse unique­ ment aux professionnels. Plus de quarante vignerons et vigneronnes du Jura seront sur place pour pré­ senter et faire goûter leurs cuvées. Si les producteurs sont du coin, les cavistes et restaurateurs qui se pres­ sent au salon viennent du monde entier. Il y a des représentants de plus d’une quainzaine de pays étran­ gers, qui repartent souvent avec de nombreuses commandes pour leur clientèle. Comme beaucoup de ses confrères, Céline Gormally, co­prési­ dente de l’association, exporte 60 % de ses bouteilles. Mais depuis deux ans, les professionnels français de la gastronomie se déplacent en plus grand nombre au salon jurassien, preuve que les vins bios du départe­ ment ont le vent en poupe. “Le problème, souligne Céline Gor­ mally, c’est le climat”. En 2017 et 2019 le gel a détruit une bonne par­ tie des récoltes. “C’est pour cela que les vignerons du Jura n’ont pas beaucoup de vins en ce moment”, explique la co­présidente. Cependant, les producteurs veillent à conserver du volume pour vendre sur le salon. Il sera donc possible de repartir avec quelques exemplaires des bouteilles les plus appréciées.

S’il est un événement à ne pas rater, c’est bien celui organisé prochainement à Lons du 12 au 15 mars, à savoir le Festival des Rendez-vous de l’Aventure. Virgile Charlot, président de cette association a visiblement l’art de rassembler des personnages hors du commun qui après avoir – tout comme lui­ baroudé à pied, à vélo, seul ou en duo autour du monde, ont décidé de divulguer leurs émotions en tournant des films, en écrivant des livres, en créant des tableaux, des illustrations… “C’est l’oc­ casion de découvrir les formidables richesses de notre monde”, écrit­il. Le festival prend ses aises à travers la ville dans tous les lieux susceptibles de recevoir confortable­ ment à l’abri et au chaud, un public nombreux. Le Carcom, le Mégarama, la Médiathèque, le Palace, l’Ellipse, l’Espace des Mouillères seront autant

d’endroits où il fera bon s’asseoir alors que les plus intrépides s’essayeront à la grimpe dans les arbres du Parc des Bains... C’est aussi avec le concours de la Fondation Bel et sous l’égide de l’Institut de France que les partici­ pants pourront voir ou revoir “La griffe et la Dent”, un film tourné par le Lédonien François Bel, deux fois primé à Cannes et puis ce sera l’occasion de marquer le 25e anniversaire du décès de Paul Emile Victor, un autre Lédonien qu’il est inutile de présenter. Quand aux 5 présentateurs retenus pour intéresser le public, nul doute que leur pas­ sion pourrait bien servir d’excuse pour des départs B.W. inopinés autour du monde !

Dimanche 22 mars de 10 heures à 18 heures. Restauration bio sur place. Entrée : 6 Lundi 23 mars de 9 heures à 13 heures.

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Pays de Lons n°147 - mars 2020

GÉRALDINE REVY - MUNICIPALES LONS LE SAUNIER

“Nous serons lʼexpression de la colère des Lédoniens…” A 40 ans, Géraldine vit sa troisième campagne, la première en tant que tête liste. Elle mène en effet une liste citoyenne soutenue par la France Insoumise. Une liste qui souhaite partager la politique autrement avec les citoyens. Rencontre… Comment peut-on définir votre programme ?

Géraldine Revy

Madame Revy, pourquoi cette candidature ?

Je suis militante politique depuis longtemps. Je constate aujourd’hui que la politique fait fuir une partie de nos concitoyens ce qui entraîne un désintérêt de la vie de la cité et de sa gestion, notamment dans les classes populaires ou d’élections en élections, le taux d’abstention augmente. Je suis une mili­ tante de terrain, syndicaliste, institutrice spé­ cialisée, lédonienne depuis toujours, dans le quartier des Toupes, je suis mariée et j’ai deux enfants. Mon investissement est fort dans le monde syndical et associatif avec une vraie volonté de faire changer les choses. Je me suis retrouvée avec d’autres dans le mou­ vement des gilets jaunes et nous avons décidé de dépasser les étiquettes et les appartenances politiques. Je suis une candi­ date citoyenne, nous sommes une liste citoyenne ouverte aux citoyens avec le sou­ tien de la France Insoumise et d’autres partis. Le collectif a fait le choix d’une candidature féminine, le choix d’une candidature jeune qui vient du monde du travail. Je le fais avec beaucoup de plaisir et de volonté.

Notre programme se décompose en plusieurs parties : • La justice sociale. Nous souhaitons plus de jus­ tice sociale dans la gestion de la ville. On voit que la société n’est pas uniforme, il y a des classes sociales, le rôle de la collectivité est de rendre accessible un service identique à tout le monde. Par exemple on propose une régie funéraire municipale car une population vieillissante ne peut laisser à la charge des enfants les impor­ tants frais de ses obsèques. • L’organisation du vivre ensemble est impor­ tante. Nous sommes pour la création d’une struc­ ture qui permet une meilleure gestion de la population. On embauchera des éducateurs de rue pour s’occuper des gens dans le besoin, on créera un accompagnement de la population, une structure d’accueil d’urgence pour un retour à la vie normale. Des éducateurs de rue qui auront pour mission de s’occuper d’une jeunesse sans perspective, d’une jeunesse livrée à elle­ même. Il faudra aussi revoir les ouvertures des structures actuelles pour s’adapter aux besoins. Nous voulons refonder la MJC pour une éduca­ tion populaire avec une certaine autonomie. Créer une vraie maison des associations pour leur permettre de porter des projets innovants pour répondre aux besoins des Lédoniens, c’est notre priorité. Nous sommes contre le Burger King et on verrait bien la maison des associations à la place, une maison des associations très active, avec les mêmes conditions d’accès pour tous.

• Repenser l’écologie, une préoccupation au cœur de notre projet politique, au service des citoyens. Nous voulons remettre le transport col­ lectif gratuit. On voit des bus qui circulent à vide, c’est de l’argent perdu. C’est un service qui ne correspond pas aux attentes et aux besoins de la population. Nous voulons la gratuité avec des cir­ cuits revus et des horaires adaptés aux besoins des Lédoniens , nous sommes pour la création de stationnement relais en entrées de ville avec la possibilités de prendre le bus. Nous souhaitons aussi créer une ceinture alimentaire autour de la ville, ce qui permet une nouvelle autonomie avec l’installation de nouveaux agriculteurs. • Nous souhaitons plus de démocratie dans la vision de la ville. On pense qu’il est possible de gérer la ville autrement. On doit tenir compte des mouvements populaires, on doit entendre ce que l’on nous dit. Nous rendrons possible le RIC au niveau municipal : une jauge de citoyens qui peut le demander avec l’obligation pour nous de res­ pecter le résultat. L’important est de débattre et de donner le goût de l’échange politique. On s’en­ gage à consulter la population avant d'engager de grands projets. • Le service public. Nous souhaitons redonner de la valeur au service public, lui redonner sa place en créant des emplois municipaux pérennes. Nous serons une municipalité de gauche pour combattre l’injustice sociale. Nous serons l’ex­ pression de la colère des Lédoniens pour trouver avec eux des solutions.

Que pensez-vous de Lons Agglomération ?

Si on souhaite la présidence ? Ce n’est pas la question, on demandera aux citoyens. La question c’est comment on organise le parte­ nariat avec les communes voisines, entre toutes les communes. On souhaite une réflexion commune, un apaisement des rela­ tions et un partage des décisions, que la grande ville n’impose plus. Pour l’hôpital que souhaitez-vous ?

On souhaite le rétablissement de la deuxième ligne de SMUR, plus de moyens, de recrute­ ments pour désengorger les urgences qui sont saturées et permettre un accueil serein. C’est une hérésie d’avoir supprimé des ser­ vices ailleurs dans le Jura, comme la mater­ nité à Saint­Claude par exemple. Comment accepter en 2020 que des femmes accouchent au bord de la route. L’hôpital souffre d’un manque d’offre médicale sur Lons. Nous crée­ rons un centre de santé municipal à disposi­ tion du public pour que tout le monde puisse se soigner avec l’installation de SOS médecins et des médecins payés par la mairie. Que dites-vous aux Lédoniennes et Lédoniens ?

Je suis la candidate des citoyens, je les invite à reprendre les choses en main et de décider eux­mêmes pour eux­mêmes. Je serai là à leurs côtés pour défendre la justice sociale et l’accès aux services pour tous.

Tourisme - Jérôme Fassenet, Président du Comité départemental du tourisme

“Nous travaillons afin de proposer de nouvelles activités quand la neige fait défaut…” Le réchauffement climatique est d’actualité depuis quelques années sans pour autant que les prises de conscience soient réelles. L’hiver plus que doux que nous vivons nous interpelle plus encore. La neige fait défaut et la saison touristique se trouve bien mal engagée… Que faire ? Quel avenir ? Eléments de réflexion avec Jérôme Fassenet… La saison hivernale est compliquée, la neige fait défaut, qu’est-ce que cela vous inspire ?

Cette saison n’est pas une surprise pour moi. En tant qu’agriculteur, voilà des années que je vois les conditions climatiques évoluer et changer avec les conséquences que cela représente. On ne peut que constater ces évolutions qui ne perturbent pas que la saison hivernale basée sur la neige et le ski... Oui nous sommes en alerte pour l’avenir car c’est notre économie qui se trouve ainsi déséquilibrée. Les professionnels tentent depuis des années de trouver des alternatives et des solutions, mais il est vrai que la saison que nous vivons est particulière. Elle n’interroge pas que le président du comité départemental du tourisme du Jura, de profondes réflexions sont à entamer et à partager avec l’en­ semble des acteurs jurassiens, à nous de faire preuve de responsabilité. Que faire alors ?

Nous n’avons malheureusement pas la solution miracle pour maîtriser le climat et encore moins pour inverser la tendance en claquant des doigts, il faudra du temps, beaucoup de temps. Nous avons déjà connu par le passé des saisons marquées par le manque de neige, espérons que cette saison extrême reste une exception mais, en effet, nous

devons anticiper l’avenir car cette situation est préoccupante. Nous travaillons afin de diversifier et améliorer l’accueil, de proposer de nouvelles activités alternatives quand la neige fait défaut, mais aussi quand le soleil brille fortement en été. Pourquoi pas autour des activités aqua­ludiques, de la gastronomie, de nos savoir­faire, d’une meil­ leure promotion des activités de pleine nature... Nous allons renforcer nos actions sur la marque Jura dans sa globalité toute l’année, sur les avants et arrières saisons que nous valoriserons plus encore. Dans le cas précis du réchauffement clima­ tique, le Haut Jura conserve, grâce à sa fraîcheur et sa végétation en été, une belle attractivité. Il reste un élément moteur et a encore un bel avenir. Voulez-vous dire que les saisons se décalent ?

Il fait moins froid en hiver et plus chaud en été et le reste de l’année. Nous accentuons donc nos efforts sur le printemps et l’arrière­saison estivale. En quelque sorte de Pâques à La Toussaint... L’ob­ jectif est d’attirer une nouvelle clientèle, de répar­ tir autrement l’activité. Je pense que nous avons une belle marge de progression avec les habitants de proximité qui sont les premiers touristes. Nous voulons développer plus encore les courts séjours ludiques pour attirer les habitants des départe­

ments voisins, de Dijon, de Besançon, de Rhône­ Alpes... mais aussi les Jurassiens qui ne connais­ sent pas tous les paysages et attraits de leur dépar­ tement. Vous restez confiant ?

Bien sûr ! Le tourisme dans le Jura se porte bien et notre département a une très bonne image grâce à ses légendaires paysages mais aussi grâce à ses savoir­faire comme le Comté, ses vins, sa gastrono­ mie mais aussi sa production artisanale et indus­ trielle... Le Jura est le premier département touris­ tique de Bourgogne Franche­Comté, on y vient pour les vacances scolaires mais aussi de plus en plus le week­end simplement pour se ressourcer en pleine nature ou profiter des thermes par exemple. Les campings connaissent à nouveau le succès en été et les réservations pour la prochaine saison sont boostées par le retour en force des Hollandais, des Belges, des Allemands... J’aime dire que nous sommes sur la valorisation de quatre sai­ sons, quatre territoires et quatre thèmes majeurs que sont les paysages, le patrimoine et les bourgs remarquables ; les activités de pleine nature ; la gastronomie et l’œunotourisme ; le bien­être. Vous voyez, nous avons matière à envisager l’avenir en toute confiance.


POLITIQUES SOCIALES ET SOLIDARITÉS

LE CONSEILL DÉP PA ARTEMENT TA AL MOBILISE 123,8 MILLIONS D’EUROS EN 2020 tables sans aide extérieure. Le Conseil départemental leur tend la main, partout sur le territoire. Dans le Jura, la solidarité n’est pas un vain mot, elle se décline chaque jour sur le terrain, pour tous les habitants qui en ont besoin. Chaque euro engagé dans cette démarche est une dépense dont le bienfondé est largement justifié. Le budget " affaires sociales " représente plus du tiers du budget total du Département pour 2020.

PHOTO/ PIXABA AY..COM CONCEPTION/ www.jura.fr - 2020

Le Département du Jura voue une attention soutenue et particulière aux personnes les moins favorisées. Il agit au quotidien grâce au travail des quelque 500 agents qui composent et animent le Pôle Des Solidarités (PDS). À travers ses différents services dédiés, le PDS intervient principalement en faveur de quatre grandes catégories de public : l’enfance et la famille, les personnes handicapées, les personnes âgées, les personnes en situation de précarité. Toute Jurassienne, tout Jurassien peut rencontrer des problèmes à un moment donné de son existence – des problèmes difficilement surmonsurmon


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Aéroport Dole-Jura

Une concession de service public... en attendant ! En signant une concession de service public avec la société Eidis, qui verra son terme en 2027, le département assure-t-il pour autant la pérennité de l’Aéroport Dole-Jura ? En posant d’emblée la question, le président Pernot fait état des relations qui sont actuellement tissées entre le Département et la Région sur ce dossier. “C’est la danse du ventre et ça me fatigue un peu”, résume-t-il avant de s’expliquer, donnant aux chiffres toute leur signification. 111 161 voyageurs ont utilisé les lignes au départ et à l’arrivée à Tavaux en 2019 et sont répartis comme suit : 30 % viennent de Côte d’Or, 20 % sont issus du Doubs, 9 % de la Saône­et­Loire, 5 % de la Haute Saône... Les Jurassiens ne sont que 13 % mais ce sont eux qui le supportent financiè­ rement à hauteur de 2,5 millions d’euros annuels. “La Région avec ses 140 000 euros se garderait­elle la place d’un strapontin et à titre de comparaison les 23 millions d’euros investis depuis 2007 c’est juste le prix de deux collèges parfaitement réno­ vés”, lance Clément Pernot.

Le discours imagé mais terriblement efficace de Clément Pernot, – le même depuis toujours –, fera bondir de sa chaise M. Michel Neugnot, venu au titre de vice­président régional. Profitant d’une assemblée attentive, porteur d’une volonté de dia­ logue, il rappellera “qu’une réunion est program­ mée le 12 mars à Dijon avec la présidente Marie­ Guite Duffay et que si les dernières rencontres n’ont pas abouties notamment sur la gouvernance, celle du 12 mars pourrait déboucher sur des élé­ ments de solution”.

Clément Pernot, président du Conseil Départemental, entouré par Franck Goldnadel, P.D.-G. du Groupe Eidis et de Gilbert Blondeau, vice-président du Conseil Départemental en charge des transports

Présentation du groupe EIDIS par M. Goldnadel, directeur général Le nouveau partenaire gère actuellement 22 concessions dont 19 aéroports en France. Pour le directeur, le projet d’exploitation d’EIDIS est simple, robuste, agile et permettra aux territoires de bénéficier d’une structure de haut niveau au cœur même du Pays dolois et du Jura. “Projet tou­ ristique qui servira la gastronomie, les sports de neige, les cascades, les montagnes... autant

qu’économique parce que le groupe EIDIS s’en­ gage à gérer le plus efficacement possible l’argent public tout autant que ceux d’embellissement, d’extension des bâtiments dans le cadre des exi­ gences environnementales actuelles, du parking qui deviendra payant. Partout où cela a été fait, il a été démontré d’impact sur l’activité”. Le P.D.G. de conclure que c’est aussi un programme pour tous les passionnés d’aviation. B.W.

Recherches archéologiques

La place de la Comédie au centre de toutes les attentions C’est à partir d’une convention signée entre la Ville et l’INRAP (Institut National de Recherche Archéologique Préventive) que cette première réunion entre chercheurs et archéologues, s’est tenue au cours de toute une semaine dans les locaux du Centre de Conservation et d’Etude René-Rémond situé 133 rue René Maire à Lons-le-Saunier. Le but est noble et enrichissant dès qu’il s’agit mettre en commun les hypothèses que cha­ cun a imaginées dans son coin au cours de trouvailles ici ou là sur le terrain, en tout cas au cours de fouilles ou de lectures spéciali­ sées. Lorsque 40 spécialistes se rassemblent pour la première fois autour d’un même sujet on est impatient de découvrir leurs conclu­ sions. Ce sera d’ailleurs chose faite dans les années à venir par l’intermédiaire d’une publi­ cation et sans doute d’expositions itinérantes. Pour l’instant, selon Jean­Luc Mordefroid, conservateur du Musée, si “ce travail de colla­ boration confirme en grande partie les hypo­ thèses émises par les uns, il aura permis de s’enrichir au travers de discussions avec les autres”.

Notre sous sol est particulièrement riche. Ainsi de la Place de la Comédie à la place de la Chevalerie et jusqu’à l’ancienne gendarmerie, se trouve, c’est sûr, une fontaine, un local technique de chauffe mais sans pouvoir affirmer s’il s’agit d’une alimen­ tation en eau pour les thermes ou pour une mai­ son particulière. Quant à la place de la Chevalerie on est certain qu’elle était inhabitée puisque inondée sous 1 mètre d’eau ! Invité, le maire Jacques Pélissard a rappelé “que toutes ces recherches ont débuté voici près 31 ans et qu’il avait été important pour lui de faire de Lons une ville d’aujourd’hui tout en préservant ses ves­ tiges du passé”. B.W.

E TAT C I V I L

DÉCÈS

NAISSANCES

DELAHOCHE Bernard, Arlay, 87 ans LONJARRET Maurice, Bletterans, 98 ans GASNE André, Bletterans, 95 ans PROST Bernard, Bletterans, 92 ans DENÊTRE André, Buvilly, 83 ans REBOULET Max, Chapelle­Voland, 84 ans TISSERAND Odette, Charcier, 86 ans MÉNÉTRIER Raymond, Clairvaux­ les­Lacs, 90 ans ROUSSEAU Sylvianne, Clairvaux­ les­Lacs, 93 ans FAVEAU Odette, Courlans, 78 ans BEAUPOIL Paulette, Cousance, 96 ans PROST Serge, Domblans, 81 ans BALAY Jeanne, L'Étoile, 72 ans BARON Andrée, Lons­le­Saunier, 96 ans

Adem de Abdelaziz CHEIKH BRAHIM et Stéphanie GUILLOT, Lons­le­Saunier Noé de Yann JAILLET et Laurine Ines de Eray DUYAR et Hind DUCHESNE, Augea DAANOUN, Lons­le­Saunier Célia de Didier QUENOUILLE et Juliette­Lou de Kevin NEAU et Angélique GAUTHERON, Augisey Margaux MILLIAN, Lons­le­Saunier Naïssa de Nassuf ALI M'MADI et Mattéo de Nicolas ZUGNO et Anfiat OUSSENI, Lons­le­Saunier Laurence KRIEGER, Barretaine Naël de Mathias MARCO et Léonie de Julien HUERTAS et Marine GALLET, Lons­le­Saunier Vanessa BILON, Bletterans Dora de Tunde MICHAEL et Stella Louise de Antoine PERSYN et OMOROWA, Lons­le­Saunier Anne­Claire MAHÉO, Clairvaux­les­ Capucine de Frédéric PERNET et Lacs Élodie BALAY, Montmorot Anatole de Sébastien RIGAUD et Sharone de Damien LACROIX et Bénédicte MICHAUD, Odjè DOTCHE, Montrond Commenailles Eliot de Steven GUICHON et Léa de Jérémy COLIN et Anaïs Justine BERTIN, Nogna JACQUET, Courlaoux Maxyne de Jérémy GROFFOD et Angéline PANIGOT, Orgelet Nancy de Frédéric SIREDEY et Judith BONNET, Cousance Anton de Baptiste FAIVRE et Claire FRIDEZ, Poligny Déborah de Nicolas MARTIN et Ethan de Jérémy TISSOT et Amélie Samantha MARTINS, Lons­le­ FALCAND­­CAPDEVIELLE, Revigny Saunier

HAUGER Isabelle, Lons­le­Saunier, 65 ans BÉGUET Mauricette, Lons­le­ Saunier, 94 ans DEMANGE Bernadette, Lons­le­ Saunier, 95 ans FOURNIER Georgette, Lons­le­ Saunier, 90 ans CHALARENQ Pauline, Lons­le­ Saunier, 96 ans LANÇON Henriette, Lons­le­ Saunier, 98 ans MARTIN Michelle, Lons­le­Saunier, 96 ans TISSOT Daniel, Lons­le­Saunier, 89 ans GUILLEMEZ Marcel, Lons­le­ Saunier, 94 ans ROLET Micheline, Lons­le­Saunier, 88 ans BOUVRET Michel, Lons­le­Saunier, 84 ans

HOMBLÉ Marie, Lons­le­Saunier, 91 ans CHAVANELLE Claude, Lons­le­ Saunier, 92 ans MICHEL Monique, Lons­le­Saunier, 90 ans MARTEL Robert, Lons­le­Saunier, 78 ans MARCHAL Adrien, Lons­le­Saunier, 88 ans COURVILLE Serge, Lons­le­Saunier, 79 ans TRÉBOZ Odette, Lons­le­Saunier, 92 ans de GRIVEL Christian, Macornay, 83 ans BOURGEOIS Bernard, Macornay, 91 ans VIAL­VOIRON Andrée, Macornay, 86 ans GAIFFE Sylvette, Menétru­le­ Vignoble, 64 ans BLAND Mathilde, Montain, 97 ans

GOYET Mauricette, Montain, 91 ans BOULLY Pascale, Montmorot, 53 ans BOUDIER Suzanne, Montmorot, 96 ans MAGNIN Isabelle, Nance, 94 ans

Zone des Epenottes 39100 Dole

VENNERI Maria, Orgelet, 77 ans

Tél. 03 84 82 50 21

BARSU Georges, Orgelet, 85 ans

n°ISSN : 1 778-820X

VERNIER Roger, Orgelet, 86 ans

Imprimé en France

RASSAT Yvonne, Orgelet, 96 ans PAQUIOM Thérèse, Poligny, 76 ans

Rédaction :

TOMASETTI Noel, Poligny, 79 ans

redaction@paysdelons.fr

CHAILLON Isabelle, Saint­Germain­ lès­Arlay, 52 ans FORGEMONT Véronique, Sellières, 60 ans JACQUIER Marc, Sellières, 93 ans GIRARD Fernand, Villevieux, 85 ans

Régie publicitaire Tél. 03 84 82 50 21 Portable 06 33 79 00 94 commercial@paysdelons.fr


NOTRE-DAME DE LA SALETTE

PORTES OUVERTES SAMEDI 21 MARS

Victime de son succès, l’établissement récolte les fruits d’initiatives audacieuses qui ont permis l’ouverture d’une nouvelle classe en primaire à la rentrée 2019 !

Placer lʼélève au centre du projet éducatif, pratiquer une pédagogie différenciée cʼest-à-dire adaptée au niveau des connaissances de chacun. “Ainsi, existe-t-il dans certaines matières, des groupes de couleur : sont classés Rouges les enfants ne présentant pas de difficultés d’apprentissage, Bleus les enfants qui feront l’objet d’une attention plus grande, enfin les Jaunes, ceux pour qui l’équipe pédagogique devra spécifiquement s’employer à adapter son enseignement”. En limitant volontairement à 25 le nombre dʼélèves par classe ce sont autant de critères parmi tant d'autres que les familles recherchent et trouvent dans lʼenceinte de ce château du XIII siècle. Lʼouverture dʼune nouvelle classe est un événement particulièrement attendu au sein dʼun établissement scolaire. Cʼest en effet la reconnaissance officielle de son dynamisme, du savoir-faire organisationnel des équipes pédagogique et administrative ainsi que de lʼimplication des parents dʼélèves.

NOUVEAU

cadre de leur projet, “Autour du monde” ont défilé pour le Nouvel An chinois et confectionné de délicieuses pâtisseries. En relation avec 511è Régiment du Train basé à Auxonne, les enfants de 3è de la classe Défense sont sensibilisés aux valeurs de la Nation ainsi quʼau devoir de mémoire. Cette année, les uns iront sur les plages du débarquement, pendant que dʼautres passeront une semaine en Toscane…

Ces différences qui font la différence ! “Respecter lʼélève pour quʼil retrouve confiance en lui et quʼil développe son autonomie dans un cadre pédagogique et éducatif” précise Mme Aline Rostollan, chef dʼétablissement du collège. Avec un taux de réussite au Diplôme National du Brevet de 97,5 %, les ados se sont quittés au mois de juin, “plus aguerris et plus volontaires pour poursuivre une formation qu’elle soit générale ou professionnelle”. Activités, projets pédagogiques, initiatives pour financer un voyage… à la Salette c’est presque la vie de château ! En partant une semaine à Lamoura, dès la rentrée scolaire les élèves des classes de sixième rentrent solidaires et plus respectueux des différences de chacun. Les élèves des CM1et CM2 au contact du responsable dʼun club dʼéchecs découvrent patience et stratégie. Tandis que les Maternelles, dans le

NOUVEAU

NOUVEAU

Soutien des initiatives intra-muros

À Voiteur, le samedi 21 mars 2020, les portes du Groupe Scolaire Notre-Dame de la Salette vont une nouvelle fois sʼouvrir pour permettre la découverte des lieux aux futurs élèves de lʼécole et du collège. De 9 h à 13 h pour lʼécole et de 8 h 30 à 13 h 30 pour le collège.

“Les élèves sʼengagent dans des actions pour permettre à tous de partir en voyage ! Ainsi pour préparer leur voyage à Bellecin les élèves de CM1 et CM2 ont cuisiné les tomates du jardin et vendu plus de soixante pots de sauce ainsi que des galettes des rois”, se félicite Sophie Orain, chef dʼétablissement de lʼécole primaire. Et aussi : Activités sportives dans le parc de 6 ha, jardinage, cross, VTT, mais aussi ateliers théâtre, chant, cirque… École catholique privée sous contrat NotreDame de la Salette invite à la réflexion religieuse sans jamais lʼimposer mais lʼambiance générale que lʼon perçoit en entrant dans les lieux appelle à lʼapaisement et au respect, alors…

22, rue Château Charrin

39210 Voiteur

Collège : 03 84 44 96 96 contact@collegelasalette.net

École : 03 84 44 63 39 ecolepriveevoiteur@gmail.com

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NOUVEAU

COM’BYCAR entre dans la COUR des GRANDS !

Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons n°147

RENDEZ-VOUS AUX PREMIÈRES PORTES OUVERTES LES 18 et 19 AVRIL 2020 Martial Bigueur, Sandra et Émilie

Bletterans, capitale de la Bresse jurassienne va bientôt inaugurer un nouveau SHOWROOM AUTOMOBILE au rondpoint de la zone du Moulin. Le bâtiment de feu Intermarché renaît depuis quelques jours sous de nouvelles couleurs et nul doute que cette enseigne va apporter au quartier un peu de la vie qui lui manquait.

Facile dʼaccès, entouré dʼun vaste parking gratuit, parfaitement signalé, COM’BYCAR très visible “d’où que l’on arrive et où que l’on aille depuis le centre-ville”, sourit un chef de famille en quête dʼun véhicule dʼoccasion. Anciennement installé au 3 rue des Acacias dans un local de 24m2, Martial Bigueur et son équipe profitent désormais dʼun espace confortable de plus de 800 m2 qui colle parfaitement aux objectifs de développement envisagé par le chef dʼentreprise. Damier rouge et noir pour le sol, enduit blanc pour les murs, basse tension pour les éclairages… il suffit de traverser ce HALL dʼEXPOSITION très tendance pour atteindre la réception où Émilie sʼactive derrière un mobilier flambant neuf. La secrétaire qui est arrivée récemment chez COM’BYCAR, société de vente et de négoce automobile va organiser tout ça à sa façon. “Ordre, rigueur, rigueur et encore rigueur”, insiste-t-elle sous le regard de Martial ainsi soulagé des tâches comptables et administratives. COM’BYCAR : GARANTIE NATIONALE Les véhicules qui sortent du garage bénéficient bien sûr dʼune garantie nationale 6 ou 12 mois comme du contrôle technique ainsi que dʼun entretien à jour.

COM’BYCAR : ACHAT, VENTE, NEUF, OCCASION, UTILITAIRE… TOUTES MARQUES FRANÇAISES ET ÉTRANGÈRES Apprenti chez Lons-auto, CAP électricien chez Daniel Journot, Bac Pro Mécanique au garage Duchène à Lons, “Martial Bigueur nʼest pas nouveau dans le métier”. Indépendant, passionné, il sʼinstalle à son compte en 2012 et développe progressivement la vente de véhicules neufs et dʼoccasion. Capable de trouver nʼimporte quel modèle à lʼétranger pourvu quʼil dispose des papiers administratifs prouvant la qualité de ses produits. Si les Allemandes ont sa préférence cʼest tout simplement parce quʼil dispose dʼun réseau sur place et que Sandra, son épouse, parle couramment la langue de Goëthe !

NETTOYAGE INTÉRIEUR ET EXTÉRIEUR… “Quand on aime les voitures, on veut qu’elles soient belles, alors on les soigne”, résume Martial qui propose le nettoyage des intérieurs comme celui des carrosseries.

PNEUS, ÉCHAPPEMENT, PLAQUETTES, ENTRETIEN COURANT… COM’BYCAR offre désormais tous les services dʼune station-service digne de ce nom et comme une bonne nouvelle nʼarrive jamais seule… la société annonce lʼarrivée dʼun commercial et bientôt celle dʼun mécanicien. Nul doute que Maurice, le chauffeur, nʼa pas fini de parcourir les routes de lʼEurope aux mains de son camion-remorque.

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GROUPE SCOLAIRE


FORMATIONS SECONDAIRES

AGRICULTURE ET RUR

DE BELLES FORMATIONS P LYCÉE AGRICOLE MANCY LONS

SAMEDI 14 MARS PORTES OUVERTES DE 9 H À 13 H Lycée Mancy Métiers du cheval . 3e enseignement agricole . Seconde Pro AH Activités hippiques

Antoine Philippe

. CAPa Palefrenier Soigneur

. BAC Pro CGEH Conduite et Gestion de l’Entreprise Hippique

. Formations complémentaires . Brevet Surveillant de Baignade . Brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur (BAFA) . Brevet Fédéral Animateur, Assistant d’Equitation

Métiers des services . 3e enseignement agricole . CAPa SAPVER Services Aux Personnes et Vente en Espace Rural

. BAC Pro SAPAT Services aux Personnes et Aux Territoires

. Formations complémentaires . Brevet Surveillant de Baignade . Brevet d’Aptitude aux Fonctions d’Animateur (BAFA)

Directeur adjoint chargé de la pédagogie

Filière cheval

Un monde d’excellence et de diversité… Le centre équestre de Mancy fonctionne en lien avec les usages de la profession. Cʼest à la fois un centre équestre, un centre de formation, un élevage, de lʼévénementiel sportif, de la vente de chevaux... En formation supérieure, les étudiants sont face à des projets concrets et rencontrent régulièrement les professionnels du territoire. Les formations sont accessibles en apprentissage et en formation continue ce qui contribue à un enrichissement du relationnel entre les apprenants. « Notre objectif est de répondre aux multiples possibilités professionnelles que lʼon retrouve dans le monde du cheval et son environnement. On maîtrise lʼensemble de la filière (CS ETJE, BP JEPS, DE JEPS, CS UCAC et TDE) et nous sommes en mesure de proposer du sur mesure, du modulaire car notre

adaptabilité est forte. Nous sommes dans lʼexcellence et à ce niveau dʼexpertise, nous faisons appel à des professionnels venus de toute la France pour encadrer les formations. On forme des élèves polyvalents... » explique Marion Sensi, coordinatrice de formation. Le lycée Mancy forme au monde du cheval, à lʼambiance du cheval... des formations qui répondent à lʼexigence du cheval. Le centre équestre est une ferme avec du vivant ouverte 7/7 jours, une organisation qui nécessite 7 salariés pour environ 75 étudiants qui sont dʼune manière ou dʼune autre en formation à Mancy en filière cheval. Nouveau : à la rentrée, le lycée développera des stages ERASMUS à lʼétranger dans des centres équestres renommés

Des formations adaptées pour les services à la personne en milieu rural… CAP SAPVER

BAC PRO SAPAT

Services Aux Personnes et Vente en Espace Rural

Services Aux Personnes et aux Territoires

Au moment où le service à la personne et le maintien à domicile sont dʼactualité, le CAP Sapver forme des employés qualifiés en services aux personnes et en accueil-vente en espace rural. Le titulaire du diplôme intervient auprès de nombreux publics et notamment des publics fragiles. Il les aide dans leurs tâches quotidiennes : alimentation, habillage, hygiène des personnes et des locaux, accueil, administration… Il assure également des activités dʼaccueil et/ou vente dans le cadre dʼune exploitation agricole ou para-agricole, petits commerces ruraux, petite hôtellerie. Ce CAP est accessible après la 3e en voie scolaire ou en apprentissage pendant deux ans. De nombreux travaux pratiques ont lieu en situation sur place avec des enfants et des personnes âgées mais aussi à lʼextérieur dans les lieux dʼaccueil ou dʼherbergement.

A la suite du CAP SAPVER, le BAC PRO SAPAT forme de futurs professionnels capables de concevoir une offre de services adaptée aux populations rurales et dʼorganiser des services destinés à mettre en valeur les territoires ruraux : services à la personne, prestation liées aux transports, aux loisirs, aux activités culturelles et sportives, au tourisme.

Comment définir le lycée Mancy ? Avec environ 400 élèves ou adultes en formation, le lycée agricole Mancy est un établissement à taille humaine situé dans un écrin de verdure à deux pas de la gare de Lons-le-Saunier. Le lycée se compose de deux filières distinctes mais complémentaires : une filière services à la personne en milieu rural et un centre hippique reconnu pour son rayonnement régional. Le lycée Mancy forme des jeunes du CAP au Bac professionnel en voie scolaire ou en apprentissage. Il dispense également un BTS et des titres en formation continue dans la filière équestre. Une diversité intéressante pour la dynamique de l’établissement. Le lycée s’inscrit ainsi comme un partenaire clé dans la dynamisation des territoires. Le lycée Mancy est aussi une ouverture vers l’extérieur ? Oui en effet car les élèves participent à de nombreux projets ou suivent des stages qui rendent les formations intéressantes et professionalisantes. Des projets avec de nombreux partenaires locaux tant dans les services à la personne que dans le monde du cheval. Nous ouvrons aussi notre établissement au public en organisant en interne des événements d’envergure comme par exemple Equi’Lons ou Mancy’up. Des formations aux débouchés intéressants ? Oui des débouchés intéressants : nos élèves trouvent rapidement un emploi à l’issue de leurs formations. Ce sont des formations spécifiques qui répondent aujourd’hui aux besoins des professionnels dans les services à la personne avec toute leur diversité mais aussi dans le monde du cheval car les formations de ce niveau sont rares. C’est une belle satisfaction pour l’ensemble des personnes qui œuvrent ici à Mancy…

Le jeudi 26 mars 2020, c’est “Mancy’Up” ! “MancyʼUp !” est la grande journée de valorisation des formations “Services Aux Personnes” du lycée Mancy. Une journée où les élèves accueillent en direct des enfants de primaire et des personnes âgées pour leur proposer leur propre programmation. Les enfants se retrouvent autour du thème “Agissons pour la planète” avec des animations scolaires par les terminales SAPAT et scéniques par les secondes Pro SAP. Pour les seniors, les élèves de seconde Pro SAP proposent des animations de type : escape game, atelier bien-être, jeux… La classe de CAPA1 SAPVER assure la préparation du goûter pour tout le monde. Et pour finir le 5e “Défi Cuisine et partage” se tiendra en présence de lʼAtelier cuisine de la Maison Commune, de lʼAtelier cuisine de lʼassociation FASSOKAN et lʼAtelier cuisine de Dole. Les équipes cuisinent de 8 h 30 à 12 h 30 et un jury de professionnels et le public choisissent les prix à décerner aux équipes lors du repas. Le thème de lʼannée est : légumes et épices, zéro déchet. Une belle journée en perspective !

www.lons-mancy.fr 410 montée Gauthier Villars 39015 Lons-le-Saunier Tél. 03 84 47 16 77


ALITÉ : OUR DE BEAUX MÉTIERS… LYCÉE AGRICOLE MONTMOROT

SAMEDI 14 MARS PORTES OUVERTES DE 9 H À 16 H

Lycée Montmorot DU CAPa à la licence pro par voie scolaire ou d’apprentissage

Agriculture . CAPa

BAC PRO CGEA Conduite et Gestion de l’Entreprise Agricole

Jardinier paysagiste

LA formation agricole par excellence…

Métier de l’agriculture Orientation Animale : ruminants

Le BAC pro CGEA est la formation socle du lycée agricole de Montmorot. Il est accessible après une seconde Pro Production Agricole, dʼun CAPa ou en suivant les procédures normales dʼaffectation. Par la suite, le BAC pro CGEA permet de poursuivre vers un BTS ACSE, Analyse Conduite et Stratégie de lʼEntreprise agricole. Les étudiants bénéficient dʼinstallations qui couvrent tous les domaines de la production. Une réelle exploitation agricole pour tous les travaux pratiques. Ici on élève des bovins, des bœufs, des veaux de lait, de la volaille fermière… et on produit du lait à Comté, de la viande, des vins bio sur trois hectares de vignes. Toute une organisation… Pour la production de Comté, la ferme du lycée agricole est adhérente de la fruitière des Coteaux de la Haute Seille à Lavigny. Le lycée dispose aussi dʼun atelier de mécanique pour le machinisme agricole, pour lʼentretien des machines et des tracteurs, pour lʼapprentissage de lʼutilisation des tracteurs ou autres engins. Une formation idéale pour les jeunes qui souhaitent sʼorienter vers le monde agricole. Nombre de produits issus de la ferme sont vendus directement sur place au magasin du lycée.

. CAPa . CAPa Métier de l’agriculture Orientation viticulture

. Seconde Pro PA Productions animales

. BAC Pro CGEA Conduite et Gestion de l’Entreprise Agricole

BAC technologique STAV

Dans les domaines de la production agricole et de l’aménagement… Le Bac STAV (sciences et technologies de l'agronomie et du vivant) est tourné vers le monde agricole et ses problématiques actuelles. Il se prépare par voie scolaire après une 2nde générale et technologique. C'est un diplôme d'Etat délivré par ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt qui permet de poursuivre des études supérieures dans les domaines de la biologie, de l'agriculture, de l'écologie, l'environnement et l'agroalimentaire. Ici à Montmorot, deux orientations sont proposées : la production agricole et lʼaménagement. Le BAC STAV sʼadresse aux élèves qui s'intéressent à l'évolution du monde agricole : environnement, qualité et sécurité alimentaire, gestion des ressources naturelles. Son objectif vise à développer une culture scientifique, technologique et générale spécifique à l'enseignement agricole. La formation comprend des enseignements généraux et technologiques sur la production agricole, la transformation des produits alimentaires, lʼaménagement et la valorisation des espaces… Elle inclut également plusieurs semaines de stages sur le terrain. Mathilde Romand

ET AUSSI Un BAC général à dominante scientifique Cʼest unique dans un lycée agricole. Il est possible de suivre un bac général à dominante scientifique à Montmorot. Trois spécialités sont proposées : mathématiques, physique-chimie et biologie-écologie.

Je suis en STAV dans le domaine de l’aménagement et de la valorisation des espaces. Cette formation est vraiment intéressante car elle est très diverse. Nous abordons différentes matières, plusieurs écosystèmes, différentes caractéristiques et les changements liés au dérèglement climatique. J’aime bien tout ce qui nous entoure. Je m’imagine travailler dans la forêt et m’orienter vers un BTS gestion forestière. Tout est intéressant et on reste en lien avec les filières générales… Antoine Ganard

Six élèves en compètition au salon de l’agriculture… Ils sont six volontaires issus de BAC Pro CGEA, de BAC STAV production ou de BAC général et technique et représentent le lycée au trophée national des lycées agricoles. Ils se sont déplacés avec une vache pour lʼépreuve de contention dʼanimal sur le ring du salon. Ils présentent aussi le lycée en langue étrangère, participent à un jeu de rôle… et tiennent un stand pendant cinq jours. Les élèves sont accompagnés du directeur dʼexploitation de la ferme et de deux enseignants. Cʼest important dʼêtre présent car cela permet de beaux échanges avec les autres lycées. Cʼest une belle expérience pour les lycéens qui consacrent leurs vacances à leurs passions…

Le Bac STAV est un bon compromis entre le bac professionnel et le bac général. On a une partie concrète agricole avec des matières spécialisées et aussi un contenu de matières générales. Je suis sur l’option élevage laitier, on suit tous les élevages et toutes les cultures. On fait de l’agronomie pour la culture végétale et de la zootechnie pour les animaux. Je veux être agriculteur dans mon exploitation. C’est un métier difficile mais épanouissant. Pour moi c’est le bonheur ! On est souvent en stage, cela nous permet de découvrir les entreprises agricoles et les nouvelles pratiques.

Lycée agricole Edgar Faure 614 avenue Edgar Faure 39570 Montmorot Tél. 03 84 87 20 00

www.montmorot.educagri.fr

Environnement . Seconde Pro NJPF Nature, jardin paysage et forêt

. BAC Pro GMNF Gestion des milieux naturels et de la faune

Voie générale et technologique . Seconde GT Générale et technologique

. BAC techno STAV Sciences et technologie de l’agronomie et du vivant

. BAC général à dominante scientifique


Champagnole

Centre S colaire

Jeanne d’Arc

PORTES OUVERTES samedis 28 mars et 13 juin DES FORMATIONS DANS DES SECTEURS PORTEURS D’EMPLOI

RESTAURATION, INTERNAT, CDI, WIFI, SALLE INFORMATIQUE…

UN ASSISTANT ANGLAIS POUR PARFAIRE L’APPRENTISSAGE DE LA LANGUE

• Seconde générale & technologique, découverte de nouvelles matières, pratique de stages en entreprises débouchant sur un Bac Sciences et Technologie du Management et de la Gestion suivi d’un BTS Négociation et Digitalisation de la Relation Client…

Fraîchement rénové, l’internat – dont l’accès se fait grâce à un badge – offre 48 chambres simples ou doubles pour 80 places dans l’ancienne clinique Saint-Joseph, bâtiment champagnolais incontournable s’il en est. Au rez-de-chaussée, on trouve l’accueil, le foyer, la salle du petit-déjeuner ; au premier étage, l’internat des garçons, au second celui des filles enfin au 3e celui des étudiants de BTS.

Pour la première fois, la “JEANNE” accueille un jeune assistant irlandais en la personne de Jonathan Ardiès. Étudiant à la Queens University de Belfast, le jeune homme de 21 ans découvre la France et se dit “heureux de transmettre ses connaissances à des Jurassiens avides de s’instruire.”. Jonathan constate “un niveau d’apprentissage particulièrement élevé”. À en juger par les carrières professionnelles qui se présentent aux diplômés du LYCÉE PRIVÉ JEANNE D’ARC, il est certain que l’idée de la présence d’un assistant linguistique soit un plus d’autant que les élèves en bénéficient dès l’âge de 8 ans !

• Bac Pro vente, Bac Pro Gestion Administration, Bac Pro Accueil Relation Client et Usager, Bac STMG, Marketing, Ressources Humaines et Communication… L’intervention des professionnels, les conférences, les voyages pédagogiques, les visites d’entreprises, la participation aux salons professionnels sont autant d’atouts que les jeunes apprécient particulièrement et peuvent vanter sur leur parcours estudiantin.

D’anciens élèves accueillent les nouveaux ! “On a passé notre jeunesse ici !”, plaisante un de ceux qui est entré à la maternelle et qui est à ce jour diplômé d’un BTS NDRC. “Embauché depuis peu dans une entreprise locale, mon témoignage auprès des nouveaux arrivants est un remerciement à tous ceux qui m’ont formé ici au lycée privé Jeanne d’Arc”, précise-t-il.

ENCORE DES INVESTISSEMENTS LOURDS RÉALISÉS EN 2020 Soucieux d’apporter confort aux élèves et sécurité aux familles, l’administration du LYCÉE PRIVÉ JEANNE D’ARC investit cette année dans la réfection des escaliers, la pose de deux ascenseurs, l’installation de sanitaires à destination des personnes à mobilité réduite… pour un montant de 700 000 euros.

Groupes en cours d'anglais

Centre S colaire

Jeanne d’Arc

Jonathan, correspondant Irlandais

10 rue du Sauget 39300 CHAMPAGNOLE Tél. 03 84 52 70 70 Site : www.centrescolairejeanned’arc.fr

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Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons n° 147

Si la porte de M. Ghislain Bonnet, directeur du Lycée privé Jeanne d’Arc reste en permanence ouverte aux élèves, à leurs familles ainsi qu’aux équipes administratives et pédagogiques, celles de l’établissement le seront à l’adresse des futurs élèves les samedis 28 mars et 13 juin de 9 h à 12 h 30 pour l’ensemble du groupe scolaire ainsi que le samedi 13 juin de 9 h à 12 h 30 pour les formations post 3e.


MAISON

BONIN RIDEAUX & LINGE DE MAISON

Dossier spécial IMMOBILIER

• Record de ventes immobilières : 2020 sur la même lancée ?........... p. 11 • Taux de crédit immobilier : quelles tendances en 2020 ?.... p. 12 • Choisir son assurance de prêt ................................ p. 12 • Avant, pendant, après une transaction immobilière : quel est le rôle du notaire ? p. 14 • Copropriété : ses avantages, ses inconvénients ................................... p. 14 • Bien préparer son projet immobilier ........................ p. 17 • Achat d’un terrain : quelles précautions avant de s’engager ?.................. p. 17

Record de ventes immobilières : 2020 sur la même lancée ?

CONFECTION SUR-MESURE : Conseil à domicile et pose !

VOILAGES - LINGE DE MAISON TISSU D’AMEUBLEMENT - TRINGLES STORES BATEAUX - PAROIS JAPONAISES…

C’est un record, une barre symbolique qui a été franchie à l’automne 2019. Selon l’INSEE, le volume des ventes immobilières dans l’ancien a atteint 1,06 million de ventes ! Quid de 2020 ? L’année 2019 restera dans les annales comme une année exceptionnelle, avec une augmen­ tation de 10 % du nombre de ventes sur un an, une hausse des prix de 1,9 % au niveau national et jusqu’à 5,2 % dans les dix plus grandes villes de France. Ces chiffres extraor­ dinaires s’expliquent en partie par les taux bas offerts par les organismes de prêt sur les achats immobiliers. Mais cette envolée va­t­ elle se poursuivre ? La tendance aux taux très bas, du côté des prêts, semble partie pour durer. Dans ces circonstances, le rythme des transactions devrait rester soutenu, avec un volume encore une fois supérieur au million. Du côté des prix, une hausse est attendue, d’environ 1,5 % sur l’ensemble du territoire et de 5 % dans les dix plus grandes villes. Le seul élément qui pourrait changer la donne serait la décision des banques de réduire la voilure en accordant moins de crédits immobiliers, mais rien n’alimente cette thèse. Au contraire, le volume de production de crédits immobi­ liers devrait rester le même en 2020 qu’en 2019. En revanche, il faut s’attendre à une contraction des montants attribués.

Les grandes villes en forte hausse Sans conteste, ce sont les grandes aggloméra­ tions qui ont subi les hausses les plus impor­ tantes et la tendance ne saurait se démentir pour 2020. Avec 11 % de plus sur un an, Lyon décroche la plus forte hausse, suivie de Nantes (+ 9,5 %), Paris (+ 8 %) et Angers (+ 7,3 %). Leur point commun ? Un dyna­

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misme économique fort qui entraîne une hausse de la démographie, et donc une pres­ sion immobilière. Autre record : à Paris, le prix au mètre carré a dépassé les 10 000 euros pour la première fois en 2019. Le fossé se creuse définitivement entre la capitale et les villes de province, un phénomène qui devrait pousser encore plus de jeunes actifs, à l’heure d’accueillir leurs premiers enfants, vers les grandes villes dynamiques de région. Quand, pour un crédit immobilier d’une mensualité de 1 000 euros, vous pouvez vous offrir un studio de 21 m² à Paris, vous pouvez acquérir 78 m² à Marseille ou 106 m² à Dijon ! APEI­Actualités. Marjolaine Koch

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Mars 2020 - Pays de Lons

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Taux de crédit immobilier : quelles tendances en 2020 ? Fin 2019, on constatait une très légère hausse des taux d’emprunt immobilier : les banques seraient-elles en train d’amorcer une remontée ? Rien n’est moins sûr même si, sur le fond, l’envolée de 2019 ne devrait pas se reproduire à l’identique en 2020, les banques n’y ayant pas forcément trouvé leur compte. En effet, l’excessive faiblesse des taux d’intérêt fragilise les banques et leur capa­ cité à générer des bénéfices : si la situation écono­ mique actuelle ne leur permet pas de rehausser les taux, elles vont en revanche mettre en place une stratégie qui leur permette de tirer des marges plus confortables.

Choisir son assurance de prêt de profiter d’une prise en charge des mensualités Outre les mensualités du prêt, lors met du crédit si vous n’avez plus d’activité professionnelle. d’un achat immobilier, l’assurance emprunteur est également très Étudier son profil pour faire le bon choix Tous les emprunteurs n’auront pas besoin du même souvent exigée par les banques niveau de garantie, ni des mêmes options. Ainsi, un même si elle n’est pas obligatoire… travailleur indépendant peut se passer de la garantie

Les taux de crédits sont en moyenne de 1,05 % sur 15 ans, 1,25 % sur 20 ans et 1,45 % sur 25 ans. Si l’on parle de légère hausse à la fin de l’année der­ nière, celle­ci ne concerne que certains profils comme les emprunteurs à faibles revenus et les durées d’emprunt longues. Le Haut Conseil de Sta­ bilité Financière, autorité française chargée de la surveillance du système financier, vient d’ailleurs de recommander d’interdire les prêts immobiliers au­ delà de 25 ans et les emprunts pour lesquels le taux d’endettement de l’emprunteur serait supérieur à 33 %. Dans les faits, ce sont les critères d’octroi de crédit qui semblent se durcir : la demande d’un apport personnel devient plus systématique et l’étude de l’épargne disponible après achat entre aussi en considération. Les profils considérés comme “plus risqués”, notamment sur ces deux cri­ tères, auront plus de difficulté à décrocher un crédit en 2020.

©Wayhome Studio ­ stock.adobe.com

Les critères se durcissent

Attention aux frais de dossier Si les taux d’intérêt devraient se maintenir à un niveau bas, les tarifs des frais de dossier eux, sont déjà réévalués à la hausse par certaines banques. Inclus dans le taux annuel effectif global (TAEG), il peut s’avérer particulièrement élevé et impacter le coût total du crédit. En effet, les frais sont calculés à partir du montant emprunté, ils représentent géné­ ralement 1 % du capital. Il est donc important de regarder ces frais à la loupe, et de les négocier au mieux pour optimiser l’offre. APEI­Actualités. Marjolaine Koch

L’assurance permet à l’organisme prêteur de se proté­ ger en cas de défaillance de l’emprunteur, mais donne aussi à ce dernier un filet de sécurité en cas d’accident de la vie. En cas de problème de santé ou bien de dis­ parition, l’assurance peut prendre en charge partielle­ ment ou totalement les mensualités du prêt. C’est donc un poste de dépense important à ne pas négliger car il peut peser dans le budget. D’où l’importance de bien choisir en comparant plusieurs offres, afin d’opti­ miser financièrement l’achat d’un bien. Cette assu­ rance peut se découper en plusieurs garanties, dont les deux principales sont l’assurance invalidité et l’as­ surance décès. Dans le premier cas, l’assurance invali­ dité couvre les situations dans lesquelles l’assuré se retrouve en incapacité de travailler. Dans le second cas, l’assurance décès couvre la disparition de l’assuré et, selon l’option choisie, remboursera une portion ou l’intégralité des mensualités. Il existe ensuite d’autres garanties facultatives pour se protéger, comme la garantie perte d’emploi qui, selon les situations, per­

perte d’emploi, notamment s’il dispose déjà d’une assurance professionnelle adaptée. Ensuite, il faut déterminer les profils de risque au sein du couple si vous empruntez à deux : le plus gros salaire a tout intérêt à prendre à son compte une plus grosse pro­ portion de la mensualité, par exemple 60 ou 70 %. S’il venait à disparaître, il ne resterait plus que 30 à 40 % des mensualités à régler au survivant. Il est aussi important, même à salaire égal, de prendre en consi­ dération l’aspect de la difficulté du travail : en cas d’ac­ tivité professionnelle dangereuse ou de métier classé à risque, il est plus prudent de s’assurer avec un niveau de garanties élevé. Ce cas de figure implique de créer volontairement un décalage en matière de pro­ tection entre les co­emprunteurs. Dernière règle : n’oubliez jamais qu’une banque ne peut pas vous imposer de recourir à sa propre assurance. Vous pou­ vez et devez, pour votre budget, comparer leur propo­ sition avec des assurances extérieures pour sélection­ ner la plus performante. APEI­Actualités. Marjolaine Koch

LES PORTES OUVERTES DE L’ACCESSION À LA PROPRIÉTÉ DU 23 AU 27 MARS 2020 À L’ADIL DU JURA TOUS LES APRÈS-MIDIS DE 14 H À 17 H 30 Vous envisagez de construire, d’acheter un appartement ou une maison, de rénover… alors venez rencontrer sans rendez-vous les juristes de l’ADIL du jura pour tout connaître sur… • les financements (prêts, subventions, primes, crédits d’impôt…)

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Mars 2020 - Pays de Lons

quel est le rôle du notaire ? De la négociation à l’acte définitif de vente, le notaire accompagne un projet immobilier pas à pas. Ses conseils avisés permettent d’éviter les pièges mais il propose d’autres services. Officier public, le notaire garantit le bon déroule­ ment d’une vente et en assure la confidentialité. Toutes les transactions immobilières passent obliga­ toirement par lui car il veille au respect de la législa­ tion. Grâce à leur banque de données nationale, les notaires ont les compétences pour évaluer un bien et réaliser une expertise. Certains interviennent même au stade de la négociation en proposant des offres. Dans ce cas, des honoraires spécifiques s’ajoutent à leur rémunération pour la réalisation de la vente.

Ne rien signer sans l’avis de son notaire Que la vente passe ou non par une agence immobi­ lière, le notaire sécurise juridiquement l’avant­ contrat, promesse ou compromis, engageant acqué­ reur et vendeur. Il est garant du respect du délai de rétractation et contrôle la validité des diagnostics obligatoires. Il effectue des formalités administra­ tives concernant le bien : titre de propriété, état hypothécaire, droit de préemption, servitudes éven­ tuelles… C’est lui qui examine aussi l’état civil des contractants et les conséquences patrimoniales de la transaction. Il s’intéresse à leur volet budgétaire : plan de financement et, le cas échéant, modalités d’emprunt. Son étude conserve le dépôt de garan­ tie, 5 à 10 % du prix de vente, versé par l’acheteur à la signature de l’avant­contrat. Il collecte les taxes liées à la vente (droits de mutation) pour les rever­ ser à l’administration fiscale et calcule, si nécessaire, la plus­value.

La signature de l’acte de vente Environ trois mois après le premier engagement, acheteur(s), vendeur(s), leurs notaires respectifs et

l’agent immobilier, s’il y en a un, se retrouvent pour la lecture et la signature de l’acte authentique. Cette signature s’effectue de plus en plus souvent sous forme dématérialisée via une tablette. L’étude nota­ riale doit conserver 75 ans ce titre, qui sera, au­delà, versé aux archives nationales. A l’occasion de la signature, les parties s’accordent sur leur quote­part de taxe foncière et de charges de copropriété. Il faut cependant attendre quelques mois pour recevoir le titre de propriété après sa parution au service de la publicité foncière. Il est accompagné de la facture définitive de la transaction comprenant les émolu­ ments du notaire, dont le montant est fixé par l’État, et les débours ou sommes payées par l’office à des tiers : géomètre, syndic, administrations… Bon à savoir : le site des notaires de France propose un simulateur pour évaluer les frais d’acquisition.

Copropriété : ses avantages, ses inconvénients Il n’est pas toujours possible, ni parfois souhaitable, d’éviter la copropriété. Mais avant d’en rejoindre une, il est primordial de vérifier certains points et son bon fonctionnement. Lors d’un achat immobilier, la plupart des déconvenues viennent souvent de là. Une “bonne” copropriété peut être le moyen de profiter de meilleures installations grâce aux coûts partagés : court de tennis, aire de jeux pour enfants, piscine, parc, jardin partagé… mais ces agréments du quotidien impliquent, en contrepartie, de vivre en “semi­commu­ nauté” et donc, de prendre des décisions en commun. Une copropriété bien gérée peut véritablement améliorer le quotidien des habitants. Aussi, le premier conseil avant d’acheter, est de prendre soin de vous assurer que le règlement de la copropriété vous convient autant que l’appartement. Prenez la peine de rencontrer deux à trois futurs voi­ sins, qui pourront vous éclairer sur les usages et le bon fonctionnement du groupe.

Des avantages indéniables Vivre en copropriété permet aux propriétaires de sous­traiter une partie de leurs devoirs au syndic : le premier avantage de cette solution est sans conteste le gain de temps, précieux pour ceux qui courent après. Les frais, que ce soit la réparation d’un ascenseur ou d’une toi­ ture, sont partagés entre tous les proprié­ taires au prorata de la surface occupée. Ils sont moindres qu’en maison individuelle et contribuent à apporter de la valeur ajoutée à l’ensemble de la copropriété.

©Olivier Le Moal Fotolia

Avant, pendant, après une transaction immobilière :

Des inconvénients à mesurer Sur le plan des dépenses, il faudra en revanche se plier au calendrier fixé par le plus grand nombre : vous n’êtes pas le seul à avoir la main, c’est un vote qui pro­ voquera le lancement de travaux. A vous de parvenir à régler la note dans les temps impartis… et c’est là qu’un autre risque intervient. Car certains coproprié­ taires ne sont pas bons payeurs et traî­ nent parfois, générant des frais pour l’en­ semble des occupants. Aussi, consultez scrupuleusement les comptes avant de vous engager pour vérifier, d’une part, qu’il y a une bonne gestion de l’ensemble, mais aussi pour vous assurer que la copropriété ne compte pas trop de mau­ vais payeurs, ou bien qu’elle sait réagir vite en cas de situation délicate. APEI­Actualités. Marjolaine Koch

APEI­Actualités. Nicole Gex

Joël Chamouton avec le médaillé Philippe Baverel

LA TRADITION EST RESPECTÉE JUSQU’À LA REMISE DES MÉDAILLES ! Cette année c’est le menuisier Philippe

Une référence dans le domaine de la construction bois…

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Lʼassemblage des poutres en bois massif est assez simple en suivant les plans établis par le bureau dʼétude mais il demande soin, rigueur et respect des consignes imposées par le fabricant. Joël Chamouton qui a repris lʼaffaire en janvier 2016, indique en effet que si le gain sur le coût de la main dʼœuvre nʼest pas négligeable, le montage du “hors d’eau- hors d’air” est assuré par nos équipes de pose afin de bénéficier du savoir-faire des poseurs et pouvoir déménager rapidement.

De 80mm à 150mm “c’est selon”, résume à sa façon le chef du bureau dʼétude qui fait de chaque projet une réalisation originale. Les CHALETS BOISSON respectent les normes dʼisolation actuelles créant dès quʻon y entre une sensation de bien-être, dès quʼon y vit un confort inimitable. “On a définitivement effacé l’idée d’occuper un jour une maison faite avec des matériaux d’antan”, confient encore des occupants.

pour 20années de fidélité au service de ce constructeur local qui n’en finit pas de grandir hors région, dans le Nord , dans les Alpes Maritimes, en Savoie, en Auvergne…

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S’adressant au récipiendaire, devant tous ses

Aux CHALETS BOISSON les anciens apprennent aux nouveaux et la qualification de maître dʼapprentissage acquise par Joël Chamouton prend tout son sens et déteint sur le personnel de chantier et le personnel administratif. Ainsi deux jeunes en apprentissage depuis 2 ans : Quentin Meunier responsable de projets et Pierre Vernier dessinateur à la conception sont embauchés en CDI pour la plus grande satisfaction de leurs formateurs et de Joël Chamouton. Pour répondre au carnet de commandes 2020 ainsi quʼà des prévisions particulièrement optimistes, Pierre Borne est le dernier apprenti-charpentier appelé en renfort.

Chamouton dresse le portrait d’un employé

collègues réunis pour l’occasion, Joël fidèle, dévoué, respectueux des clients et apprécié de tous ses collègues. “Jʼajoute encore que ta conscience professionnelle , ta compétence et ton sens de la responsabilité participe largement à la réputation de lʼentreprise. Le verre de l’amitié fut servi après la remise officielle de la médaille du travail . Cette cérémonie qui traduit parfaitement l’esprit familial de la Société, s’est terminée autour dʼun repas convivial de la table d’un restaurant local.

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I P u b l i r é d a c t i o n n e l Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons n° 147

L’Étoile est sans aucun doute un des villages jurassiens où la tradition consiste à proposer des produits de haut de gamme à tel point que sa renommée dépasse largement les frontières. Avec son principe de construction en madriers pour ses MAISONS, ses CHALETS, ses AUVENTS, ses CARPORTS, ses POOL HOUSE (abris de piscine), la société LES CHALETS BOISSON devient une référence incontournable dans le domaine de la construction et poursuit son développement

Baverel qui se voit offrir la médaille du travail


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TROIS NOUVELLES SOLUTIONS 100 % GRATUITES POUR VOTRE LOGEMENT En janvier 2019, face aux problèmes d’accès au logement, d’entrée dans l’emploi et d’égalité des territoires, les partenaires sociaux ont demandé au groupe Action Logement de se mobiliser pour faciliter l’accès au logement des salariés, favoriser leur mobilité et ainsi agir au profit de l’accès à l’emploi. Ce Plan d’Investissement Volontaire signé par Action Logement en avril 2019 s’articule autour de 7 axes : trois mesures pour le logement des salariés et quatre mesures pour soutenir la production et la réhabilitation de logements. Sur trois sujets fondamentaux, le lien entre l’emploi et le logement, le vieillissement de la population et les défis énergétiques, Action Logement apporte aux personnes les plus modestes les moyens d’agir.

ET SI VOUS POUVIEZ RESTER CHEZ VOUS ?

Adapter le logement des salariés au vieillissement et à la dépendance

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Conscients des enjeux liés au vieillissement de la population, nous savons tous que le soutien de nos aînés est devenu une nécessité. Avec l’âge, le risque de chutes devient plus important et le besoin d'améliorer l'accessibilité de leur logement devient vite l'une des priorités des seniors (anciens salariés de plus de 70 ans sous plafonds de ressources). Afin de les aider à vivre chez eux le plus sereinement possible, Action Logement leur permet de bénéficier d'une subvention allant jusqu'à 5 000 € pour adapter leur salle de bains et leurs sanitaires. Cette aide est également ouverte aux salariés en perte d'autonomie âgés de 60 ans et plus.

ET SI VOUS TROUVIEZ PLUS FACILEMENT VOTRE LOCATAIRE ?

Améliorer la performance énergétique des logements des salariés Les financements d’Action Logement Services, subvention jusqu’à 20 000 € pour les propriétaires occupants et 15 000 € pour les propriétaires bailleurs auquel peut s’ajouter un prêt à taux préférentiel de 30 000 €, permettent de maîtriser la facture énergétique, d’améliorer le confort des logements des locataires et des propriétaires occupants salariés d’entreprises du secteur privé et de valoriser les logements des propriétaires bailleurs salariés d’entreprises du secteur privé (ou logeant des salariés d’entreprises du secteur privé). Cette aide est soumise à plafonds de ressources et l’accompagnement technique obligatoire d’un assistant à maîtrise d’ouvrage est requis.

AIDE A ̀ LʼADAPTATION DU LOGEMENT AU VIEILLISSEMENT

Favoriser la mobilité des salariés AIDE AUX TRAVAUX DE RÉNOVATION ÉNERGÉTIQUE

FACILITER L’ACCÈS AU LOGEMENT POUR FAVORISER L’EMPLOI Depuis plus de 65 ans, la vocation d’Action Logement, acteur de référence du logement social et intermédiaire en France, est de faciliter l’accès au logement pour favoriser l’emploi. ➜ Action Logement gère paritairement la Participation des Employeurs à l’Effort de Construction (PEEC) en faveur du logement des salariés, de la performance des entreprises et de l’attractivité des territoires. Grâce à son implantation territoriale, au plus près des entreprises et de leurs salariés, deux missions principales sont menées : • Construire et financer des logements sociaux et intermédiaires • Accompagner les salariés dans leur mobilité résidentielle et professionnelle. ➜ Action Logement propose différents produits et services au profit des propriétaires ou locataires, salariés ou futurs salariés d’une entreprise du secteur privé :

• Prêts pour l’acquisition, les travaux d’amélioration et d’agrandissement de la résidence principale, • Aide à la recherche de logement pour les salariés , garantie Visale (cautionnement 100% gratuit pour le locataire et le propriétaire) et Avance Loca-Pass© (aide au financement du dépôt de garantie), • Subvention pour le paiement du loyer des jeunes en contrat d’apprentissage ou de professionnalisation (Mobili-Jeune©), • Aide et assistance lors d’une mobilité professionnelle (Mobili-Pass©), • Aide personnalisée aux salariés pour répondre à des difficultés ponctuelles liées au logement (CIL-Pass Assistance©).

Action Logement est au cœur de sa mission qui consiste à préserver et renforcer le lien emploi­logement. Une subvention forfaitaire de 1 000 € versée aux salariés aux revenus modestes (revenu net fiscal mensuel inférieur à 1,5 SMIC) qui déménagent pour se rapprocher de leur entreprise ou prendre un nouvel emploi. Sont concernés les salariés qui justifient d’un temps de déplacement domicile/travail de 30 minutes maximum, les salariés utilisant les transports collectifs en lieu et place de la voiture, les salariés en reprise d’emploi après chômage, les salarié accédant au 1er emploi ou les alternants. Il s’agit d’un dispositif simple, entièrement dématérialisé et qui laisse du temps au bénéficiaire puisqu’il a jusqu’à trois mois après son déménagement pour faire les démarches.

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Mars 2020 - Pays de Lons

Bien préparer son projet immobilier Maison ? Appartement ? Quelle surface ? Dans l’ancien ou le neuf ? Rechercher un logement conduit à résoudre de nombreuses questions techniques, juridiques et financières.

Aspects financiers Le premier interlocuteur d’un projet immobilier est le conseiller bancaire. Le futur acheteur détermine avec lui sa capacité d’acquisition, c’est­à­dire la somme qu’il peut consacrer à son achat, emprunt inclus et tous frais compris. En principe, un apport personnel de 10 % à 20 % est nécessaire. C’est actuellement moins en raison des taux d’intérêt très bas. Lorsque vous avez trouvé le logement de vos rêves, il faut éplucher les diagnostics obligatoires, examiner le montant des charges et des impôts locaux et, pour un immeuble, les procès­verbaux

des réunions de copropriété, susceptibles de mettre en évidence des travaux prévus ou des problèmes de voisinage. L’offre d’achat, en cas de négociation, se situe autour de moins 5 % du prix affiché. Beau­ coup moins si le marché est tendu.

Trois mois pour conclure Dès la signature du compromis ou de la promesse de vente, il est recommandé de consulter le notaire qui accompagnera la vente jusqu’à la signature de l’acte définitif. A ce stade, l’acquéreur verse une somme de 5 à 10 % du montant du bien, qui l’en­ gage à finaliser la transaction, au­delà des dix jours de délai de rétractation, sous peine du paiement d’une indemnité d’immobilisation. Une clause de condition suspensive évite cette pénalité, au cas où un prêt n’est pas accordé dans les deux mois. Les couples co­emprunteurs doivent définir la hauteur de la participation pécuniaire de chacun et étudier les répercussions patrimoniale et financière de leur acquisition. La prise de possession des lieux est envi­ sageable trois mois après la signature de l’avant­ contrat, au moment de la signature de l’acte défini­ tif. Juste avant, une ultime visite du bien est indispensable.

©Angelov ­ stock.adobe.com

Aujourd’hui, la recherche d’un logement commence sur internet via des sites de particuliers ou d’agences immobilières. Dans ce cas, une commission de 5 à 10 %, négociable par l’acheteur, devra être prévue. Si vous avez délimité précisément le périmètre où vous voulez acheter, vous pouvez visiter systémati­ quement les agences du secteur. Les ventes des biens les plus convoités se font très rapidement grâce à un fichier de demandes d’acquéreurs poten­ tiels, sans passer par la case “annonces”. Lors de la visite, il faut être vigilant sur l’état de la propriété, particulièrement l’installation électrique, le chauf­ fage, la toiture.

APEI­Actualités. Nicole Gex

Achat d’un terrain : quelles précautions avant de s’engager ?

BON A SAVOIR ÉTUDE DE TERRAIN : OBLIGATOIRE OU NON ?

Avant d’acheter un terrain pour y faire construire votre maison, assurez-vous qu’il soit conforme à votre projet et aux règles d’urbanisme. Voici les points à vérifier. C’est à cet endroit précis que vous rêvez d’édifier votre future demeure ! S’il s’agit d’un terrain isolé, vous devez avant tout vérifier qu’il est constructible. Pour cela, il vous faut consulter le plan local d’urbanisme (ou le document en tenant lieu) auprès de la commune sur laquelle est situé le terrain. Vous saurez ainsi s’il est dans une zone à risques naturels ou technologiques et vous y trouverez des informa­ tions sur les projets d’aménagements locaux ainsi que des précisions concernant les éventuelles règles de construction imposées.

Terrain à bâtir

Dans un lotissement Si le terrain que vous convoitez figure au sein d’un lotissement, il est sans doute constructible et viabilisé. Ce qui ne vous empêche pas de demander un certificat d’urbanisme à la mairie. Avant de signer l’acte d’achat, consultez impérativement le cahier des charges du lotissement pour prendre connaissance de vos obliga­ tions envers vos futurs voisins ainsi que le règlement du lotisse­ ment indiquant vos contraintes en termes d’architecture et de dimension de votre future maison. Ainsi, vous n’aurez pas de mau­ APEI­Actualités vaises surprises.

S’il s’agit d’un terrain à bâtir, le vendeur s’est obligatoirement engagé à ce qu’il soit constructible. Afin de vérifier ses limites exactes, deman­ dez un relevé cadastral à la mairie. Depuis janvier 2020, une étude géotechnique du sol est obligatoire si le terrain est sujet au risque de retrait­gonflement des argiles à un niveau fort et moyen. Elle doit être annexée à la promesse de vente. Cette dernière doit également conte­ nir une clause suspensive stipulant que l’acte authentique de vente sera signé sous réserve d’un permis de construire ou d’un certificat d’urbanisme contenant les règles applicables au terrain.

Viabilisé ou pas ©Sablin ­ stock.adobe.com

Au cas où le terrain n’est pas viabilisé (c’est­à­dire raccordé à la voirie et aux réseaux d’eau potable, d’assainissement, d’électricité, de télé­ phone…), vous devez vous assurer qu’il est viabilisable, sachant que les travaux seront alors à votre charge. Le vendeur est tenu de vous infor­ mer si le terrain résulte d’un bornage délimitant la propriété privée.

Vous envisagez d'acheter un terrain. Comment savoir si une étude de sol est obligatoire ou non ? Allez-vous devoir viabiliser la parcelle de votre future maison ? • Dans certains secteurs à risque (sismique, glissement de terrain...), une étude de sol est nécessaire. Ces zones sont concernées par un Plan de Prévention des Risques (P.P.R). De plus, la loi ELAN (loi sur l'Evolution du Logement, de l'Aménagement et du Numérique), une loi de 2018 prenant la suite de la loi ALUR, rend obligatoire l'étude de sol par le vendeur d'un terrain à bâtir dans certaines zones. Il s'agit des zones présentant un risque lié à la sécheresse et à la réhydratation des sols. Ces zones sont définies par arrêté ministériel. La mairie va pouvoir vous indiquer si votre terrain est concerné par l'étude de sol obligatoire ou pas. • L'étude de sol assainissement, quant à elle, est indispensable si vous allez mettre en place un assainissement individuel dans une zone non concernée par le tout-à-l'égout. Si votre terrain n'est pas concerné par l'étude de sol obligatoire, il est conseillé de prévoir une clause suspensive dans l'acte de vente qui va permettre une résiliation de la vente si l’étude de terrain réalisée par la suite révèle un surcoût de fondation très important lié à la qualité du terrain. • En dehors de toute obligation, faire faire une étude de sol avant construction est une sécurité. Si vous voulez souscrire une assurance dommages-ouvrage, une assurance finançant les travaux de réparation des désordres les plus graves pendant 10 ans, une étude géotechnique sera peut-être réclamée par les assureurs. Concernant la viabilisation du terrain, aucune obligation n'existe en la matière. Vous pouvez donc vous voir proposer à la vente un terrain non viabilisé à un prix attractif. EN BREF : L'étude du sol d'un terrain destiné à être construit, opération toujours rassurante pour un propriétaire, peut être même obligatoire dans certaines zones sensibles nécessitant un surcoût de fondation. www.travaux.com

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Bletterans

Centre-Bourg

Infos projet

n°6

Rue Louis XIV le Grand : début des travaux courant mars

Pendant les travaux la vie continue… Nous y voilà ! Les travaux du centre bourg de Bletterans commencent ce mois-ci rue Louis XIV le Grand. D’abord par l’assainissement et les réseaux d’eau, ensuite par les aménagements de surface et les finitions. Le détail et l’organisation des travaux, tout comme les mesures concrètes pour prévenir et limiter les gênes, ont été présentés par la municipalité fin février devant une soixantaine de commerçants et d’habitants de Bletterans. L’anticipation, la solidarité et la bonne volonté de chacun ont été rappelées pour assurer le bon déroulement de ces aménagements.

1. Toute une organisation… Sur le terrain, le chantier commencera au cours de la deuxième quinzaine de mars. C'est l'en­ treprise Petitjean TP qui interviendra la première pour les travaux d’eau et d’assainissement. Ils débuteront du côté du pont de la Seille et se poursuivront en direction de la place du Colom­ bier. Une tranchée de 450 mètres de long va être creusée sur toute la longueur de la rue (côté mairie en direction de Lons­le­Saunier). “Afin de faciliter l'accès et de maintenir les activités des commerces, nous allons travailler en quatre phases de 100 mètres” précise Jean­Marc Prabel, directeur des travaux. Chacun sera informé à l’avance de l’évolution des travaux ou d’éven­ tuelles coupures d’eau. La deuxième partie des travaux concerne les aménagements de surfaces de la rue. Ils commenceront deux à trois mois plus tard, probablement courant juillet. Pendant la phase de travaux, les commerçants et les habitants du centre sont appelés à laisser libre plus de places de parking pour les consommateurs. Afin de répondre aux questionne­ ments sur la réalisation des travaux, des permanences seront proposées aux commerçants par le bureau d’étude ABCD. La première date est fixée au lundi 23 mars, la seconde au 30 mars. Les permanences se dérouleront de 8 heures à midi, en mairie dans la salle du Conseil.

2. La circulation des voitures maintenue… La bonne nouvelle c’est que durant les travaux, la circulation dans la rue Louis XIV le Grand ne s’arrêtera pas. Le passage des voitures sera maintenu alors que les camions et les engins agri­ coles seront eux déviés vers d’autres axes, sauf obligations de livraisons. Le stationnement sera un peu perturbé sans que cela bouleverse les habitudes de chacun et c’est bien là l’essentiel. Il est par ailleurs demandé à chacun de faire preuve de discipline afin de laisser suffisamment de places de parking de la rue Louis XIV le Grand aux consommateurs. La priorité c’est que la vie économique ne soit pas déréglée. Le chantier doit s’organiser par tronçons de 100 mètres, le trafic sera alors alterné sur cette partie­là, et relativement fluide sur le reste de la rue.

3. Des déviations appropriées Pour réaliser les travaux dans de bonnes conditions, il faut éviter la circulation des poids lourds et engins agricoles au centre de Bletterans. C'est Laurent Lecomte de la société Via System qui se charge de prévoir des itinéraires bis et d’installer la signalétique qui va avec. “Pour être effi­ cace, il faut une bonne connaissance du terrain car l'objectif est de trouver les itinéraires les mieux adaptés pour les chauffeurs” souligne l'entrepreneur. Ça tombe bien, le terrain, il le connaît sur le bout des doigts et pour que tout soit prêt à temps, Laurent a commencé à tra­ vailler sur les déviations dès le début de l'année en lien avec la commune de Bletterans mais aussi avec toutes les communes où passeront les camions déviés. Les conseils départementaux du Jura et de Saône­et­Loire sont aussi associés à la démarche car les déviations mèneront ces véhicules vers Lons­le­Saunier ou Louhans par exemple. Les déviations seront annoncées sur l’A39 pour éviter la sortie Bletterans et la signalétique fleurira autour de Bletterans une semaine avant le début des travaux. Elle restera en place tout au long de ceux­ci et il n'est pas exclu qu'elle évolue au fur et à mesure de l'avancée du chantier, gardez l'œil !

Infos et contact travaux Le début des travaux dans la rue Louis XIV le Grand est fixé à la mi­mars 2020. Les travaux se poursuivront sur une durée de 12 à 15 mois. Pour poser toutes vos questions concernant les travaux, vous pouvez vous adresser à Cécile Bugaud au 07 84 90 33 24.

Beaucoup de monde à la présentation des travaux de la rue Louis XIV le Grand

4. Une veille et un soutien pour les commerçants… Les travaux de la rue Louis XIV le Grand doivent durer entre 12 et 15 mois. Bien que des mesures soient prises pour anticiper les gênes et faciliter l’accès aux commerces, on peut s’attendre à quelques perturbations, à la fois pour les usagers, mais aussi pour les commerçants. Lors de la réunion de février, Emilie Andrieux de la Chambre de commerce et d'industrie du Jura ainsi que Michel Di Martino, président du Tribunal de commerce de Lons­le­Saunier, étaient présents pour rassurer et informer les commerçants en cas de baisse de chiffre d’affaire. Il faut AN­TI­CI­PER. Voilà le maître mot pour éviter que certaines situations ne se compliquent. Ils ont insisté sur le fait que tous les acteurs locaux de la vie économique sont informés des travaux de Bletterans et prennent en compte les difficultés que cela peut représenter pour les commerçants. Ces derniers sont invités à observer attentivement l'évolution de leur activité et à engager rapidement les démarches en cas d’inquiétude. Un dispositif spécial est mis en place dans le cadre des travaux, il propose par exemple d'alléger les charges fixes, d'autoriser le chômage technique ou de négo­ cier des délais de paiement. Il permet également de faire des emprunts à taux zéro grâce à un partenariat avec Jura Initiatives et les banques. Ce dispositif, expérimenté à Dole et Saint­Claude dans des conditions similaires a fait ses preuves et cela a évité certaines fermetures. Le tout est de ne pas s'y prendre trop tard !

5. Union commerciale : “On garde le rythme !” Du côté de l’union commerciale de Bletterans, pas question de laisser cette période de chantier altérer le dynamisme commercial de la ville. L'Union entend ainsi conserver, voire accentuer, l'ensemble des manifestations prévues durant la période de travaux. Les animations commer­ ciales, les fêtes de fin d’année, des mamans, des papas se tiendront comme à l'accoutumée. Il s'agit de garder l'attractivité de la ville à son maximum. Les responsables de l’Union resteront aussi très attentifs à l’évolution des travaux afin d’informer en direct l’ensemble des adhérents. Parallèlement, la mairie propose d’organiser de nouveaux événements afin d’accentuer le côté festif. Parmi ceux­ci, on compte la journée des jeunes qui se déroulera le samedi 28 mars et se terminera avec un concert. Le Bresstival revient les 29 et 30 mai avec quelques nouveautés et des animations dès le samedi après­midi avec les jeunes des écoles.


C’est le commerce… Super U s’agrandit… Enfant, il en était sûr, il ne voulait pas devenir commerçant. Pourtant, aujourd'hui, Hubert Bartholomé dirige le Super U de Bletterans. Il a commencé très tôt pour aider son père qui tenait un petit magasin à Lons-le-Saunier. Son bac en poche, il prend la direction de Lyon pour devenir expert comptable, mais il se lasse des études et de son petit boulot chez Mc Donald’s. De retour à Lons, Hubert se tourne vers la grande distribution. Il est très motivé : “Les choses n’arrivent jamais comme ça. Elles se provoquent, en prenant des risques et en conservant une éthique” martèle-t-il. Cette détermination le mène à la tête d’un établissement de l’entreprise familiale : “J’ai dû faire deux fois plus d’efforts pour montrer à mon père et aux salariés que je méritais cette place”. En 2004, il devient alors gérant du Super U de Bletterans et s’y investit pleinement. Il en est le propriétaire depuis 2010. Dans un souci de crédibilité, il passe même un certificat de qualification professionnelle de boucher : “c’est le seul poste que je ne savais pas faire dans mon établissement” explique-t-il simplement. Mais la vérité, c’est qu’Hubert est un boulimique de nouveautés, il est curieux de tout. Il s’est initié au travail du bois, puis à celui de la soudure, il s’est mis aussi à la chasse et à la course à pied. Et comme il ne

Au palais d’Aydine Le plaisir de faire plaisir… fait rien à moitié, il s’est fixé l’objectif de faire le marathon de New York pour ses 50 ans. D’ici là, son établissement va s’agrandir. Il va passer de 2 000 à 2 500 m2. Il en profite pour étoffer l’offre en produits frais et “transformés maison”, c’est-à-dire au sein même du magasin. Amateur de bonne nourriture, il s’attache aussi à travailler avec des producteurs locaux. Hubert Bartholomé tient au contact client, mais il sait aussi s’adapter à une demande de libre-service comme par exemple avec le “Drive” qui devrait être plus efficace encore après les travaux. Ceux-ci débuteront mi-avril 2020 et devraient durer un an. Hubert Bartholome, Super U et Drive, 4 Faubourg d'Aval,

La cave de Bletterans Maxime Carion, un caviste épicurien

Cela faisait longtemps qu'Ibrahim Habbuloglu voulait acheter le kebab de Bletterans. Il n'était d’ailleurs pas le seul dans la famille car Aydine, son deuxième enfant, en rêvait lui aussi. Depuis 2017, Ibrahim est l'un des associès du restaurant, mais il n'a pas pu fêter cela avec son fils qui s'est éteint à l'âge de 21 ans. C'est en hommage à son garçon qu'il a renommé le restaurant « Au palais d'Aydine ». L'histoire familiale est douloureuse, mais Ibrahim, qui travaille avec son frère, a su relever le défi que représentait la gestion de ce kebab. Il s'est beaucoup investi dans le développement du restaurant. Celui que l'on surnomme Ibo est plein d'idées et d'envies. Il a commencé par mettre en place un buffet, puis il a agrandi la salle de restaurant à l'étage. Plus tard, lorsque la pizzeria de Bletterans a fermée, il a suivi une formation avec un professionnel. Depuis, il propose une variété de pizzas qu'il prend plaisir à fabriquer lui-même. “J'aime faire à manger, avoue-t-il. C'est créatif. J'y mets tout mon cœur et j'essaye de transmettre à mes clients des sensations à travers la nourriture”. A 50 ans, Ibrahim a de nombreux projets pour faire évoluer son entreprise. Bientôt, les clients pourront choisir à la carte leur repas. Ils seront composés de plats inspirés de la Turquie, de sa région natale reconnue pour la qualité de sa gastronomie et son accueil. Tout comme Ibrahim… Ibrahim Habbuloglu, Au Palais d'Aydine, 84 Rue Louis le Grand

Il n’y a aucun doute, Maxime Carion, le gérant de la Cave de Bletterans, est un passionné de vin. Il est né à Beaune il y a 31 ans et son amour pour le vin et la manière de le fabriquer s’est construit dès son enfance : “Je me souviens des fêtes de Noël, une période où l'on goûtait des vins d'exceptions en famille”. Il découvre par la suite de nouvelles sensations olfactives et gustatives et se rend compte que le monde viticole peut produire une multiplicité d'émotions. Après un BTS technico-commercial en boissons, vins et spiritueux à Beaune, Maxime part à Angoulême pour approfondir ses connaissances sur le cognac et les spiritueux. Il fait ensuite ses premières armes en tant que sommelier à la très renommée Maison Patriarche, puis s'envole à l'autre bout du monde pour apprendre l'anglais. Quand le jeune homme revient, on lui laisse le soin de développer une cave à Autun. Mais le Jura l'appelle de toutes ses forces et, après avoir repéré un local vide à Bletterans, il propose à sa société de s'y implanter. Qu'à cela ne tienne, la tâche de gérer la nouvelle cave jurassienne lui revient pour son plus grand bonheur. Maxime aime tellement son métier qu’il passe son temps libre à déguster de nouveaux nectars et à arpenter les salons viticoles. Une passion qu'il transmet aux nouvelles générations et à ses clients ici à Bletterans. Une adresse renommée pour la variété de ses vins et autres alcools… Maxime Carion, Cave de Bletterans, 97 Rue Louis le Grand

Nouveau - JECRÉEENFIL : Le parcours atypique de Rémi Rigaud Impossible de deviner tous les métiers que Rémi Rigaud a exercé avant de se glisser dans la peau d'un chef d’entreprise. En effet, son histoire est inhabituelle. Il est né dans le Jura en 1957 et connaît très bien le territoire et son terroir pour y avoir travaillé comme salarié agricole de nombreuses années. De la foresterie au maraichage en passant par la production laitière, Rémi est polyvalent. Puis l'association pour laquelle il travaille met la clé sous la porte et il se retrouve au chômage à plus de 50 ans. C’est un coup dur, mais il en faut plus pour abattre le jurassien car “je suis quelqu’un qui y va !” affirme-t-il. Il s’intéresse à la situation des chômeurs et retrouve alors un emploi de conseiller technique à l’UNEDIC. C'est à cette époque qu'il rencontre sa nouvelle compagne, une dentelière professionnelle qui l’emmène avec elle dans tous les salons où elle se rend. De fil en aiguille, Rémi se met à la dentelle, « aux fuseaux du Puy en Velay », précise-t-il. Il se passionne rapidement pour cette activité qui lui fait oublier tout le reste. Il passe des soirées et des week-end entiers à créer des objets de décoration, des bijoux ou des galons. Le couple s’apperçoit qu'il y a une demande à Bletterans et décide en novembre 2019 de monter une mercerie dans la rue Louix XIV le Grand. Elle a ouvert ce mois-ci… Rémi Rigaux, Jecréeenfil, 11 Rue Louis le Grand

C’est artistique… Paulin Lalaj prête ses mains pour de futures fresques Le projet de reconstruction du Centre-bourg de Bletterans va s’accompagner d’un volet artistique. La mairie et ses partenaires redessinent la ville. A la demande de la municipalité Paulin Lalaj, amoureux de peinture, utilisera ses aquarelles pour croquer les transformations imaginées pour Bletterans. L'œuvre représentera un avant/après hyperréaliste de la rue Louis XIV le Grand et de la nouvelle place de la Mairie. “Le thème est cadré et le Maire m’a fait une commande précise” explique Paulin Lalaj qui joue avec les couleurs et les mouvements. Artiste le jour et veilleur de nuit le soir, Paulin ne dort pas beaucoup, sa passion pour la peinture l’aidant à se tenir éveillé. Dans sa maison, à Lons-le-Saunier, il s’est même installé un atelier où il dessine inlassablement. Arrivé en France en 2015, cet Albanais de naissance est aussi amateur de littérature.Victor Hugo, Maupassant, Balzac… sont autant d’inspiration pour ses œuvres que les impressionnistes comme Monnet et Cézanne. C'est en visitant l’exposition du peintre à l'Hôtel du Parc de Lons-Le-Saunier, que les élus de Bletterans ont choisi Paulin Lalaj pour leur projet de fresques qui seront installées aux deux entrées de la ville. Aujourd'hui, c’est à la médiathèque d'Arinthod que sont exposées les dernières aquarelles de l'artiste, et cela jusqu'au 4 avril.


JOURNÉE PORTES OUVERTES

Samedi 14 mars de 8 h à 12 h 30 Rencontres avec les professeurs, les élèves et visite des ateliers

Le lycée Duhamel en phase avec une économie de territoire… Un établissement qui nourrit des liens étroits avec l’industrie locale… Depuis sa création, le lycée Jacques Duhamel reste en lien étroit avec les industries régionales qui façonnent la vie économique. Cette politique lui donne de la visibilité et une crédibilité qui n’est pas discutée aujourd’hui. Le bassin Dolois et plus largement le Jura et la Bourgogne Franche-Comté disposent de belles industries. L’un des partenaires historique du lycée est l'entreprise Solvay avec laquelle il entretient une collaboration étroite depuis plus de 50 ans. “Les élèves que nous avons en formation partent régulièrement en stage dans cette grande entreprise de renommée mondiale. Certains lycéens y sont même en apprentissage. C’est un exemple parmi tant d’autres, une chance pour nos lycéens…” souligne Fabrice Favero, chef de travaux au lycée. Certaines formations se sont développées et structurées en fonction des besoins spécifiques. Par exemple des formations en électrotechnique ou en maintenance qui permettent aux élèves de proposer leurs compétences là où il y a de fortes demandes. “C'est gagnant gagnant, explique Nathalie Kerbeci, proviseur du lycée, d'un côté on répond aux besoins des entreprises, de l'autre on s'assure que nos élèves trouveront facilement leur place sur le marché du travail. C'est quand même cela notre priorité”.

Dans la voie professionnelle et sur les formations post-bac l'équipe éducative souhaite renforcer aujourd'hui les parcours mixtes entre scolarité et apprentissage. Cette formule permet aux étudiants de se familiariser avec le monde professionnel et elle rencontre un accueil très favorable des entreprises. En outre, plusieurs projets sont actuellement à l'étude pour proposer de nouvelles formations dans le domaine industriel. Elles font une large place au technologies du numérique et de la réalité virtuelle comme support de formation. Par ailleurs, Florence Dimovitch, proviseure adjointe, rappelle que la mobilité est aussi une clé de la réussite. Des échanges avec le Royaume-Uni, l'Allemagne ou encore l'Espagne existent dores et déjà au lycée Duhamel. Le nouveau défi que se fixe l'établissement est l'obtention du label Euroscol, destiné aux écoles et aux établissements scolaires. “C'est un projet ambitieux qui demande plus d'encadrement, car ce type de programme s'adresse à des jeunes élèves”, souligne Mme Dimovitch.

Une section foot pour allier sport et scolarité Depuis le début de l'année scolaire, 28 élèves du Lycée Jacques Duhamel se retrouvent sur les terrains du JDF les mardi et vendredi après-midi. Ce sont les jeunes de la section foot mise en place par l'établissement scolaire avec le club Jura Dolois Football. « Cette collaboration s'inscrit parfaitement dans la vocation sportive du lycée », affirme Jérôme Coutrot, le proviseur adjoint. « La pratique des sports collectifs est un plus indéniable dans l'éducation des élèves ». Par ailleurs, la section foot du lycée permet de prolonger la classe football qui existe déjà au collège Mont Roland. La différence, c'est que celle du lycée est mixte. “C'était une condition que l'on a posé pour ouvrir la section”, rappelle monsieur Coutrot. D'ailleurs, il espère que les filles seront plus nombreuses à demander cette option à la rentrée 2020. Elles ne sont que six aujourd'hui sur les 28 élèves. Mais le proviseur adjoint n'est pas inquiet. « Elles s'y intéressent », assure-t-il. Les informations sont à prendre directement auprès du lycée ou bien auprès du Jura Dolois Football. Les dossiers sont à déposer courant mars, pour des tests prévus début mai.

Des formations en constante évolution Dans la voie générale et technologique, avec la réforme du lycée, l'établissement propose plus d'options encore pour satisfaire un large public.

Un parcours d’excellence au lycée Duhamel

Vive la chimie ! Le lycée Duhamel Duhamel offre de belles formations en chimie. Des formations abordables et ouvertes aux élèves curieux et consciencieux. En effet, la chimie c’est beaucoup de possibilités, de nombreuses compositions qui nécessitent une grande vigilance. Une vigilance liée aux dangers mais aussi à la précision et la maîtrise des processus, à la technicité des différents métiers proposés dans de nombreux secteurs. Ces formations sont méconnues et pourtant hautement nécessaires car on retrouve concrètement leurs applications partout dans notre quotidien. Les débouchés et l’emploi se trouvent dans la chimie, le traitement des eaux, l’agroalimentaire, le traitement des déchets, la plasturgie, la pharmacie, l’environnement... “On forme à de beaux métiers qui sont accessibles dans de belles entreprises locales. Que demander de plus ? Ces dernières accueillent d’ailleurs régulièrement nos lycéens en stages et les embauchent souvent par la suite à l’issue de la formation. Ici même, proche de Dole, la diversité est réelle avec Solvay, Innovyn, Bel, Bouvard Alina, C&K, Ynsect... mais aussi les syndicats des eaux comme Doléa ou même les fruitières à Comté comme à Chevigny ou Peintre

par exemple” explique Sylvie Unverzagt qui assure les cours avec Étienne Lousson. Le lycée Duhamel, une référence

Le lycée Duhamel est le seul établissement de l’académie à proposer le BAC pro PCEPC, Procédés de la Chimie de l’Eau et des Papiers Cartons, c’est une spécificité forte avec les débouchés déjà évoqués. Le bac STL (Sciences et Technologies de Laboratoire) propose deux spécialités : biotechnologies ou SPCL (Sciences Physiques et Chimiques en Laboratoire). Ce BAC ouvre ensuite sur le BTS métiers de l’eau dispensé ici même au Lycée Duhamel. Environ 150 lycéens suivent ces diverses formations en chimie et profitent d’ateliers, d’installations et d’équipements de haut niveau, à la hauteur des enjeux et des spécificités. Ainsi, les lycéens sortent avec une expérience qui répond aux attentes des entreprises. Des formations à découvrir...

ET SI ON ESSAYAIT ! RENDEZ-VOUS AVEC LA CHIMIE LE SAMEDI 14 MARS

C’est un dispositif interministériel, lancé en 2016, qui a pour vocation l’accès et la réussite dans l’enseignement supérieur des jeunes issus de milieux populaires résidants dans les quartiers prioritaires de la ville ou en zone rurale isolée. Ce dispositif vise à accroître l’ambition scolaire des jeunes collégiens et lycéens : lever les obstacles psychologiques, sociaux, culturels qui peuvent freiner l’accès des jeunes aux formations dans l’enseignement supérieur, l’accompagnement se fait ainsi du collège au baccalauréat. Les collèges classés REP ou REP+ choisissent de faire partie du dispositif. et les lycées poursuivent ensuite les actions auprès ce ces jeunes. Trois objectifs du dispositif Il s’agit tout d’abord de favoriser les parcours choisis, puis d’améliorer les résultats au bac mais aussi d’augmenter le taux d’accès vers le supérieur ainsi que le taux de réussite. L’équipe du lycée Duhamel épaule les élèves inscrits dans ce parcours à travers plusieurs axes. Elle soutient leurs motivation, consolide les acquis nécéssaires, apporte des méthodes de travail et des références culturelles adaptées à la réussite de leur diplôme. Elle éclaire leur choix d’orientation, les informe sur les institutions publiques, politiques et culturelles. Enfin, elle leur donne des renseignements sur les métiers et les milieux professionnels. Les actions mises en place Divers déplacements sont organisés, à Studyrama Dijon ou au parlement européen. Les élèves participent aussi à une rencontre inter-parcours d’excellence à Besançon. Il sont invités à participer au journal du lycée, “le Jacques a dit” et sont intégrés dans les activités du Conseil de vie lycéenne.

SECONDE GENERALE ET TECHNOLOGIQUE Pour découvrir sa voie Enseignements communs 2 enseignements (au plus) optionnels facultatifs à choisir

FILIÈRES GÉNÉRALES & TECHNOLOGIQUES BAC GÉNÉRAL Enseignements communs + 3 enseignements de spécialité en première à choisir parmi 11 possibles + 2 enseignements de spécialité en terminale. L’enseignement qui n’est pas choisi en terminale est évalué en fin de première.

BAC TECHNOLOGIQUE BACCALAURÉAT STI2D Sciences et technologies de l’industrie et du développement durable BACCALAURÉAT STL Sciences et technologies de laboratoire • Spécialité biotechnologie ou Sciences Physiques et Chimiques en Laboratoire BACCALAURÉAT STMG Sciences & Technologie du Management et de la Gestion

FILIÈRES PROFESSIONNELLES 3e PRÉPA PRO Classe de 3e pour la découverte professionnelle CAP Menuisier fabricant BAC PRO MELEC Métiers de l’Electricité et de ses Environnements Connectés BAC PRO Maintenance des Equipements Industriels BAC PRO Procédés de la Chimie, de l’Eau & des Papiers Cartons

FILIÈRES POST-BAC BTS Electrotechnique BTS Technico-commercial BTS Métiers de l’Eau

LYCEE JACQUES DUHAMEL Avenue Charles Laurent Thouverey | DOLE 03 84 79 78 00 | contact@lycee-duhamel.fr www.lycee-duhamel.fr

BTS Conception de Produits Industriels DNMADE (GRADE LICENCE) Diplôme National des Métiers d’Arts et du Design


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Pays de Lons n°147 - mars 2020

Festivals

Le 30 mai 2020 : TOUS au BRESSTIVAL de Bletterans ! Un programme varié et pour tous les goûts Le vendredi soir, le Bresstikid sera une soirée dédiée aux enfants des écoles locales, l’entrée est gratuite. Le samedi soir, le Bresstival débutera à 18 h et jusqu’à 2 h du matin !

LUCKY CHOPS : Brass / Funk DUB SILENCE : Reggae / Dub HOXY MORE : Rock / Folk NADAMAS : Raggamusette

LOBSTER : Pop’n’roll JEKYLL WOOD : Rock / Groove NOFLIPE : Hip-hop / Funk EIM FACTORY : Musique actuelle

60 bénévoles vous attendront sur le stade de foot prêté par la municipalité bletteranoise à l’occasion de ce Bresstival soutenu également par le Département et la Communauté de communes Bresse Haute Seille. “La billetterie est ouverte ! ”, souligne le président David Rolland. Le prix des entrées est fixé à 16 euros pour les adultes, 8 euros pour les jeunes de 12 à 17 ans et gratuit pour les moins de 12 ans. Réservation : www.bresstival.com Renseignements : contact@bresstival.com

1 chapiteau, 8 groupes régionaux, nationaux et même les Lucky Chops de New York Né en 2015 d’une volonté de dynamiser le secteur musical juras­ sien, le Bresstival programme, le dernier week­end de mai à Bletterans, des groupes de la région Bourgogne­Franche­comté aux côtés d’artistes de renommée nationale et internationale ! Outre son intention de dynamique territoriale, ce festival a été créé au sein et dans l’optique de financer l’école de musique Bresse Haute Seille. Le BRESSTIVAL est en passe de devenir l’un des événements majeurs du côté de la capitale de la Bresse Jurassienne “L’idée était bonne puisque la première édition en 2015 réunit plus de 1 000 personnes… 1 800 à la 3e ”, se souvient Florian Jacquard, l’un des instigateurs du Bresstival, mais la charge de travail est telle que les membres de l’association décident de prendre en

2018, une année sabbatique histoire de souffler un peu et d’envi­ sager l’avenir autrement. Le festival évolue alors, dès 2019, en association indépendante, Bresstival Production, avec la volonté de proposer une programmation musicale de qualité à des tarifs très abordables. Cette année, l’équipe met les bouchées double avec une programmation tout public composée de huit groupes qui joueront sur deux scènes en alternance, l’élaboration d’un site internet, la création d’une identité graphique et une campagne de communication entièrement revisitée. Il peut pleuvoir : les 2 scènes sont à l’abri sous un immense cha­ piteau. Pourquoi 2 scènes ? Pour des enchaînements les plus courts possibles. 8 groupes, buvette, petite restauration, crêpes, gaufres, sandwichs…

“Attention ! c’est pas du Disney !” Cette année, notre classe de CM1CM2 participe à un dispositif qui s'appelle “école et cinéma”. Ça veut dire que pendant l'année scolaire, nous allons voir trois séances. Mais attention ! Comme dit la maîtresse : c'est pas du Disney ! “École et cinéma”, c’est avant tout une façon de nous montrer, à nous les enfants, qu’il existe d’autres sortes de cinéma que celles que nous connaissons. D’ailleurs, le premier film que nous sommes allés voir ne nous a pas beaucoup plu. Il était très déstabilisant. Il s’intitulait “transport en commun”. L’histoire se déroulait en Afrique. Donc, jusque là, ça avait l’air cool ! Sauf que... pas du tout ! D’abord, ça chantait tout le temps. Et ce n’était pas du Maître Gims ! Les chansons étaient en africain et les musiques pas très entraînantes. De plus, certains passages étaient en français mais d’autres étaient en africain et donc, sous­titrés : la plupart du temps, nous n’ar­ rivions pas à tout lire ! Ce qui était bizarre égale­ ment, c’est que ce film n’était pas structuré : il n’avait pas vraiment de début ni de milieu ni de fin. Pour finir, il n’y avait pas d’action et ce n’était même pas drôle ! Bref, une expérience pas géniale. La deuxième séance à laquelle nous avons assisté était assez différente. Il s’agissait de cinq courts ­métrages qui traitaient du même sujet : la peur. C’est assez étrange de voir des films qui

La classe de CM1-CM2 de Plainoiseau

ne durent qu’une dizaine de minutes : on n’a pas vraiment le temps de s’habituer aux person­ nages. Et puis, il faut tout de suite comprendre de quoi ça parle ! Pour certains, le sujet de la peur était tout de suite évident, comme celui où on voit cette jeune fille hésiter en haut d’un plongeoir pendant 10 minutes ! Mais d’autres étaient plus durs à comprendre. Celui que nous avons préféré racontait l’histoire d’un ogre. C’est le jour de la “saint festin” le jour où les ogres mangent les enfants. Mais ce jour là, notre ogre tombe amoureux de sa voisine qui lui confie ses enfants pour la soirée. Que va t­il se passer ?

Notre dernière séance aura lieu le 2 avril. Nous irons voir “Le magicien d’Oz”. C’est un film qui date de 1939 ! Nous imaginons que les effets spéciaux ne sont pas tout à fait les mêmes que ceux que nous avons l’habitude de voir au cinéma ! La maîtresse va nous faire étudier le livre en littérature. Nous pourrons ainsi compa­ rer l’histoire écrite et l’histoire filmée. Cette expérience nous aura vraiment montré qu’il n’y a pas qu’une seule sorte de cinéma, qu’il existe différentes manières de raconter des histoires en images. Si nous n’avions pas vu ces films avec l’école, nous ne les aurions sans doute jamais vus…

Partenariat entre le Journal “Le Pays de Lons” et l’Éducation nationale Pour la 9e année consécutive, ce projet pédagogique est renouvelé. Après l’intervention de la journaliste du Pays de Lons dans les classes afin de faire découvrir ce métier, les enfants se mettent dans la peau de reporters en herbe et réalisent un article sur un thème de leur choix. Retrouvez en mai 2020, la classe de CM de l’école de Domblans.




24 vivre ici

Pays de Lons n°147 - mars 2020

Salon

Le bien-être s’invite en plaine jurassienne Créée en août 2019, la toute jeune association 4 Uni-vers organise son 2e salon du Bien-être et de la voyance à Petit-Noir les 7 et 8 mars prochain. Rencontre...

Sandrine, Martine, et Olivier, membres actifs de l’association 4-Uni-vers

Tout a commencé lors d’une rencontre sur un salon Bien­ être organisé par un ami. Sandrine était exposante, Martine et son mari Olivier faisait parti de l’organisation du salon. “Nous avons sympathisé et une amitié est née. Nous avions tous les trois comme objectif d’aider les personnes à travers l’organisation de salons. A travers notre association 4 Uni­ vers qui représente les 4 éléments de la nature, nous sou­ haitions à la fois faire découvrir des personnes incroyables qui aident chacun de nous à se sentir mieux dans son corps et dans son environnement mais aussi accompagner d’au­ tres associations locales qui ont pour but d’aider les autres. Une partie de nos bénéfices leur sont donc reversés.” nous confie Martine. Leur premier salon du bien­être a eu lieu à Ney, près de Champagnole début février dans une ambiance très convi­ viale. Martine originaire de Petit­Noir et son conjoint Oli­ vier souhaitaient faire découvrir leur association dans leur

village et c’est ainsi qu’ils vous donnent rendez­vous pour ce deuxième salon bien­être et voyance les 7 et 8 mars prochain.

Un spectacle d’hypnose au programme De nombreuses conférences et animations auront lieu notamment un spectacle d’hypnose par Manu Dorev le samedi et dimanche à 16 heures. “Et pour ce salon, nous avons souhaité aider une petite fille, atteinte d’autisme, qui a besoin de nous tous, pour aller à l’école comme tous les autres enfants de son âge. L’association choisie est Louane espoir vers l’école.” Une restauration sera assurée par un food truck proposant panini, hamburgers, churros... Salon Bien-être & voyance, les 7 et 8 mars, de 10 h à 18 h, salle des fêtes de Petit-Noir

28 EXPOSANTS

avec chacun leur spécialité, seront présents durant ces 2 jours de salon pour répondre aux visiteurs attendus nombreux. Ils vous proposeront bijoux, voyance, massages, yoga, naturo, bio, minéraux...

• Thierry BARDON : Chrysothérapie, communication animale

• Delphine PLATHEY : Bijoux magnetix pour hommes et femmes

• Véronique ZEHNDER : Bijoux et pierres semi-précieuse

• Lady B Nature : Savons, huile, bougies

• Pascal DELAGARDE : Gravure sur verre • Alexandra ISOARD : Thérapeute

• Rachel Colinet-Pioche : Stylo plume en verre et encre de Chine Démonstration et atelier

• Théo RACINE : Vente de spiruline

• Association L’E.V.E Louane vers l’école

• Sylvie CHARDON : Vente de lampes et bijoux ange

• Harmonie Vitalité Santé : Appareil de magnétothérapie

• Eric BRESSON : Vente oligothérapie et en phytothérapie

• Chantal Eden : Chanteuse

• Lucie TABOUREAU : Aloe vera pour humain et animaux

• Christophe GIRARDOT : Voyance

• Bruno BERNARD : Art du souffle, Thérapeute

• Amandine FORESTIER : Vente de bijoux, minéraux

• Sandrine Murer : Vente de bols de cristal, soins

• Joachim VOGT : Filtration et dynamiseur d’eau • Yolaine El KHRISSI : Hypnose humaniste • Christine THIBAULT : Médium • Jean-Claude MARTIN : Voyance • Julie KAMPF : Reboutologie • Yves RUHLAND : Apiculteur, vente de miel • Nathalie LAPORTE et Manu DOREV : Vente de bols chantants, artisanat Népalais • Association Yoga et Bien-être (cours de yoga à Petit-Noir, tous les lundis à 18h30 et mercredis à 10h) • Pascal DELGARDE : Gravure sur verre • Catherine TISSOT : Vente de minéraux de bien-être

Conférences : • 11 h Thierry Bourdon : La chrysothérapie • 13 h 45 Bruno Bernard : Des sensations à la libé­ ration : le voyage du souffle • 14 h 15 Alexandra Isoard : A la rencontre de soi­ même • 14 h 45 Lucie Taboureau : Les bienfaits de l’aloe vera pour les humains et les animaux • 15 h 15 Annie Friant : communication animale • 16 h Manu Dorev : spectacle d’hypnose • 17 h Chantal Eden : conférences et chant UNI­ QUEMENT LE SAMEDI

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Le festival Couleurs Jazz s'impose dans le paysage culturel régional… Il n’est plus timide du tout le festival lédonien Couleur jazz qui revient cette année pour une 9e édition. Il s’affirme même et compte bien séduire à nouveau un grand nombre de mélomanes, habitués ou non à ce style de musique. D’ailleurs, c’est pour lui redonner la place qu’il mérite que les organisateurs déploient d’importants moyens. La formule est atypique et innovante, puisque c’est le Conservatoire de musique et de danse qui organise ce festival Jazz. Le projet est financé par l’Espace communautaire Lons Agglomération et la commune de Lons-le-Saunier y est associée. Depuis deux ans, l’association PROD’IJ accueille le festival au Bœuf sur le Toit, elle est aussi missionnée pour orchestrer la programmation de ces cinq soirées dédiées au jazz. Cette année, elle a tablé sur le groove et certains concerts seront debout, pour mieux se trémousser !

Inf Infos os et rréservations éservations sur leboeufsurletoit.fr leboeufsurletoit.fr

-21h00

Rémi Panossian Duo R émi P anossian Nicolas Gardel & Nic olas G ardel -21h00

Festival The Django F estival All-Stars avec Pierre Blanchard a vec P ierre Blanchar d Samson et S amson Schmitt Schmitt -21h00

«Bigre!» «Bigre!» feat feat Célia Célia Kameni -20h30

MACEO PARKER

ère 1ère p partie artie : Pocket Pocket Full Full of Funk Funk

--18h30 18h30

Pulcinella Quart Quartet et

Les enfants de Jazz à l'école sous les projecteurs Cette année, près de 300 enfants montent sur scène du Festival Couleurs Jazz. Parfois accompagnés par les artistes qu'ils ont étudiés dans le cadre des Parcours d'Education Artistique, Culturelle et Environnementale initié par ECLA. Ces “PEACE” sont une des originalités du festival qui souhaite amener les plus jeunes vers le jazz, un style encore trop peu connu du grand public. Pourtant c'est une musique hyper vivante qui se marie très bien avec la musique actuelle et qui peut attirer tous les publics. Mercredi 25, dès 18 h 30, une centaine dʼélèves de CE1 et CE2 présentera le projet “Swing Gomme” sur la grande scène du Bœuf sur le Toit. Ils seront accompagnés par le Cactus Bluesy Band du conservatoire. Le deuxième projet est programmé jeudi 26, même heure, même lieu. Il s'appelle “American Dream” et

rassemble des enfants de CM1, CM2 et 6e. C'est un spectacle emmené par le groupe SuZy & Kho, un duo piano chant qui proposera un répertoire de musique américaine de la fin du XIXe jusquʼau XXIe siècle. Enfin, vendredi 27, le troisième projet qui se déroule aussi sur la grande scène à 18 h 30 est le travail de groupe de CP et de CE1 sur le recueil “Les Pʼtits Loups du Jazz”, avec le VPLH Quartet. Ces premières parties de soirée sont une véritable porte d'entrée pour un public non initié. C'est aussi l'occasion de façonner “le public de demain”, s'enthousiasment les organisateurs.

Pocketfull of funk : un groupe lédonien au festival… Couleur jazz accueille des musiciens internationalement reconnus, mais il laisse aussi de la place aux locaux. Parmi eux, le groupe lédonien Pocketfull of funk. La formation n’est pas toute jeune, mais elle s’est récemment recomposée. Les huit membres du groupe joueront leur nouveau set pour la première fois au festival. Mieux, ils sont programmés en première partie de Maceo Parker, dont ils sont de grands admirateurs. “On a commencé en jouant

des reprises de lui, et là, on va faire sa première partie. La boucle est bouclée !”, lance Jérémy Piau, le batteur. “Ce concert c'est une belle opportunité”,

ajoute Maïté Castella, choriste. Une opportunité qui a aussi valu beaucoup de boulot aux huit musiciens car ils ont renouvelé une grande partie de leurs compositions, la version qu'ils proposeront samedi 25 mars étant plus moderne. “On a recherché un côté plus harmonique avec les voix. On utilise aussi plus de samples. Mais notre public ne devrait pas être trop surpris, on a gardé le même esprit” détaille Jérémy. Lors de leur première participation au festival en 2013, Pocketfull of funk avait reçu une standing ovation mémorable. Cette année, le groupe rêve de partager quelques notes avec leur idole, Maceo Parker !

www.leboeufsurletoit.fr


26 loisirs et culture >ROUTE DES VILLAGES Dimanche 15 Mars Puces au matériel de couture et loisirs créatifs Macornay Tissus, laine, fils et cotons… Patrons, livres, revues, grilles, kits et modèles... Boutons, dentelles, rubans et perles... Machines à coudre, boîte à ouvrage, mannequin et cadres... Aiguilles, crochets... Matériel et outils de peinture, de décoration, de bricolage créatif... Passionnés de travaux manuels, artistes en herbe, vendeurs ou acheteurs ; venez vendre et/ou acheter ou tout simplement partager un moment convivial. Réservé aux particuliers.

Samedi 28 Mars Printemps des chorales Macornay - Le 28 et le 29 Mars Les chorales Mancy et Vénérabilis du Foyer Rural de Macornay fêtent le Printemps en accueillant le choeur Offenbach de Montrond. Deux concerts auront lieu. Le samedi 28 mars à 20 h 30 en l'église de Sainte Agnès et le dimanche 29 mars à 17 h en l'église de Macornay. Entrée 8 €

Pays de Lons n°147 - mars 2020

Vendredi 6 mars 2020 à 20 h 30 - CLUB SAGES COMME DES SAUVAGES + SUITCASE

• Sages comme des sauvages chantent les petits (en grec), les faibles (en français) et les fantômes (en créole). Nouvel album, nouvelle formule, nouvelle tournée. Le menu et le plan de table ont changé mais il restera toujours un couvert pour les invités et les ingrédients de passage. Comme une famille organiserait un réveillon, les quatre fantastiques ont remis le couvert et sacrément décoré leur salon itinérant. • Suitcase est composé de 3 jeunes musiciens multi-instrumentistes. Composant dans un style pop-rock acoustique, empruntant parfois les codes du rap ou du rock des années 1990. Sur scène, pas de batterie mais une énergie débordante ! Ces jeunes Jurassiens sont également lauréats du concours MyTremplin 2019 et ont sorti leur premier album, “The Fireside”. Tarifs : 15 € (normal) / 13 € (réduit) / 11 € (abonné)

Ça se passe en mars et c’est au Moulin ! Samedi 21 mars 2020 à 20 h 30 - GRANDE SALLE

Dimanche 29 mars 2020 à 16 h 00 - GRANDE SALLE

DEMI PORTION + ILLUSTRE ATCHOUM PAR FRANÇOIS HADJI LAZARO (PIGALLE)

Ici on ne parle pas de rap •français mais bel et bien de hip-

hop. Un hip-hop qui n’a pas de frontières, qui n’a pas de case tant sa musique est inclassable, un hip-hop de partage et de transmission ! En seconde partie ILLUSTRE. La rappeuse se déplace avec une aisance déconcertante sur la fine ligne de crête entre poésie et engagement. Hors des codes et non-binaire, remettant en question les clichés sur le genre, elle s’adresse à toute une génération, qui doit puiser dans ses complexes les plus enfouis, pour devenir enfin soi-même. Tarifs : 16 € (normal) / 14 € (réduit) / Gratuit abonné

Habitué à des concerts adultes il joue et •chante également pour les enfants avec ses musiciens. “Atchoum” sorti en novembre 2018 fait suite à “Ma Tata, mon Pingouin, Gérard et les Autres” et “Pouêt”, ses précédents livres-disques. Une part de mise en scène, d’histoires mais aussi présentation simple et rapide des divers instruments que les enfants ne connaissent pas. Côté musique, des chansons comiques ou tendres et une déferlante de sonorités allant du rock à la bourrée auvergnate, du tango argentin au reggae. Tout public à partir de 6 ans Tarifs : Normal : 12 € / Moins de 12 ans : 8€

Dimanche 29 Mars Repas Dansant animé par Dany Moureaux et Jérôme Baudoui Lons-Le-Saunier Repas Dansant à Juraparc Lons le Saunier, à partir de 12 h , animé par Dany Moureaux , Jérôme Baudoui accordéoniste de Patrick Sébastien, et plusieurs accordéonistes de la région. Scène Ouverte à tous les musiciens ... Menu 30 €. Réservations : 03 81 44 48 76 / 03 84 44 12 45 / 06 51 63 29 90 . Paiement à la réservation, nombre de places limitées !

La petite entreprise Après l’escapade exceptionnelle à travers le monde que la jurassienne Caroline Moireaux vient d’effectuer sur 8 années, et qu’elle est venue nous présenter il y a huit jours, dans une salle tout juste restaurée… pleine à craquer… retour en musique mardi 17 mars prochain avec un sympathique groupe originaire de l’Ain et son super clin d’œil spécifique au grand Alain Bashung. Ambiance et présentation avec Arnaud Colignon, qui officie à la guitare et au chant dans cette Ode à Bashung, surprenante. Les réservations c’est dès maintenant, par retour de mail ou par téléphone au 03.84.24.34.60 “LE COLIBRI” 50 Rue Victor Lorain, 39000 Lons le Saunier - Tél. 03.84.24.34.60 gilles.huybrechts-colibri@orange.fr www.le-colibri.org

Lieu-dit “Le Moulin” 39800 BRAINANS www.lemoulinjura.fr - 03 84 37 50 40

Hell

Le Colibri

by

Celtic Legends Spectacle

Dire Straits Tribute

One man show

Anne Roumanoff

Concert

VENDREDI 13 MARS

VENDREDI 27 MARS

Supertramp & SAM. 7 MARS

Calypso Rose Fix Me

Sellig

Chanson

Danse

One man show

SAM. 11 AVRIL

MARDI 14 AVRIL

SAMEDI 25 AVRIL

INES REG

One woman show

Les danses du soleil Spectacle

SAMEDI 6 JUIN

MERCREDI 8 AVRIL

Festival d’expression - Spectacle MARDI 16 ET MERCREDI 17 JUIN

Réservations Dole Tourisme Place Grévy - Dole 03 84 72 11 22 billetterie@hellodole.fr www.hellodole.fr www.lacommanderie-dole.fr

www.doletourisme.fr

www.lacommanderie-dole.fr

www.dolexpo.fr


OuLaLa ! Mag’culture

L’Amuserie

La grande saga de la Françafrique Par la Cie 3 points de suspension (74). C'est un spectacle, une comédie musicale, un documentaire sur la Françafrique ! Avec plein de personnages historiques joués avec truculence. Sans concession sur cette partie plutôt sombre de l'histoire de France, mais plein d'humour. Nicolas Chapoulier de la célèbre compagnie "Les 3 points" nous parle des colonies, des politiciens, de l'Afrique. Engagé, drôle, salutaire ! Vendredi 13 mars - 21 h - 5 €/ 10 € Réservation possible au 03 84 24 55 61

Les Ateliers du Musée des Beaux-Arts Mardi 3 Mars. Atelier Herbier

Mercredi 25 Mars. Atelier Frappe ta monnaie

Mais comment fait-on un herbier ? Ce sera l’occasion de s'initier au dessin botanique et de repartir avec ses premières planches d'herbier. A partir de 6 ans. Débute à 14 h 30. Tarif : 4 €

Atelier Frappe ta monnaie Coin, avers, revers... la fabrication de monnaies gauloises n’aura plus de secret pour toi. Tu repars avec une monnaie que tu auras frappée. A toi de viser juste ! À partir de 8 ans Débute à 14 h 30. Tarif : 4 €

Jeudi 5 Mars. Atelier Enduit à la romaine C’est l'occasion d'apprendre à réaliser une fresque à la manière d'un peintre gallo-romain. A partir de 8 ans Débute à 14 h 30. Tarif : 4 €

Ateliers des 3, 5 et 25 mars sur réservation (03 84 47 88 49).

Dimanche 15 Mars. Chefs d’œuvre de Jean-Joseph Perraud

Musée des BA place Philibert-deChalon Lons-le-Saunier Tél. 03 84 47 64 30 www.lonslesaunier.fr/ les-musees

Découvrez le parcours exceptionnel de ce sculpteur du 19e siècle grâce aux œuvres qui ont forgé sa réputation et qui ornent, pour certaines, de célèbres bâtiments parisiens. Visite commentée à 14 h 30 Durée : 1 h 00 Tarif : 4 € (entrée du musée incluse)

Les Scènes du Jura

Candide THÉÂTRE / CRÉATION VOLTAIRE / ARNAUD MEUNIER Il faut cultiver à cour et à jardin Candide est une comédie acide sur la religion, le colonialisme, l’origine du mal et la recherche du bonheur, ainsi qu’une oeuvre pionnière dans sa critique féroce des formes d’oppression, qu’elles soient individuelles ou collectives. Si vous êtes prêts à faire fi des convenances et des bonnes moeurs et à plonger avec délice dans un océan d’images et de sons propre à remettre en cause vos préjugés, ce spectacle vous ravira et vous prouvera que la candeur, c’est un peu comme le sel, les lipides ou l’alcool : point trop n’en faut... LONS-LE-SAUNIER - LE THÉÂTRE MER 11 MARS > 20H30 JEU 12 MARS > 20H30

Dans la peau d’un magicien MAGIE THIERRY COLLET / ÉRIC DIDRY Les 400 tours Beaucoup plus sensible et intime que dans Qui-Vive, son précédent spectacle, Dans la peau d’un magicien est l’occasion pour lui de revenir à l’essentiel : l’amour de la magie qui le guide depuis ses sept ans... LONS-LE-SAUNIER, LE THÉÂTRE JEU 19 MARS > 20H30 VEN 20 MARS > 20H30

Vertikal DANSE - MOURAD MERZOUKI - CIE KÄFIG 2020, l’odyssée de l’espace Le mélange des éléments, le rapprochement des contraires, l’éclatement des codes de la danse : voilà ce qui fait le sel de la nouvelle création de Mourad Merzouki. Au XXIe siècle, quatre cents ans après Isaac Newton, quelque chose nous dit que l’art sera hybride ou ne sera pas... LONS-LE-SAUNIER. JURAPARC JEU 26 MARS > 20H30

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