Pays de Lons 54

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des lacs et du Revermont Un vrai journal GRATUIT d’informations - n°54 - Octobre 2011

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/ Pays de Lons n°54 - Octobre 2011

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Lons-le-Saunier - Urbanisme

Messia-sur-Sorne - Bal folk

Nouveaux logements sociaux à haute efficacité énergétique

Initiés par Néolia avec le soutien de la Ville de Lons et de la Communauté de communes du bassin lédonien (CCBL), des terrains à bâtir et deux résidences sont sortis de terre à Lons-le-Saunier et Montmorot. Le 16 septembre dernier, Marc Tavernier, président de Néolia, accompagné des maires de Lons-le-Saunier et de Montmorot, visitait les chantiers de ces logements sociaux. Cette visite scellait la première collaboration entre les collectivi­ tés lédoniennes – la Ville et la CCBL – et le constructeur Néolia. Ces réalisations immobilières participent au développement d’une offre diversifiée sur le ter­ ritoire, mêlant dans la même opération haute qualité environ­ nementale et énergétique, accessibilité à la propriété, loge­ ments sociaux et logements équipés spécifiquement pour les personnes âgées. Jacques Pélis­ sard, député­maire de Lons et président de la CCBL, s’est féli­ cité des relations loyales et confiantes que la Ville et la CCBL entretiennent avec Néolia. “La CCBL demeure en pointe dans l’animation d’une politique du logement globale sur son terri­ toire, grâce à la délégation des aides à la pierre qu’elle exerce depuis 2006. C’est à mon initia­ tive que les intercommunalités peuvent se saisir de cette com­ pétence et qu’à ce titre, la CCBL fut l’une des premières à l’avoir

fait” rappelait Jacques Pélissard. La structure intercommunale a ainsi mis la main au portefeuille pour financer une partie de ces réalisations, soit une enveloppe totale de 735 744 €. “Quasi­ ment le double des aides accor­ dées par les autres collectivités franc­comtoises” se félicitait Jacques Pélissard.

23 terrains à bâtir à Montmorot L’opération immobilière se déploie en trois chantiers, à Montmorot et Lons. 28 terrains à bâtir sur 3,3 hectares formeront le lotissement “Les Trois Fon­ taines” à Montmorot. Dans un cadre bucolique au plus près de la nature, la zone bénéficie d’un système de récupération des

eaux de pluie. Les terrains sont à ce jour viabilisés et bornés, et trois parcelles ont déjà été ven­ dues. Deux terrains seront réser­ vés pour la réalisation de huit maisons locatives qui devraient être livrées pour le début 2012.

Deux résidences locatives à Lons-le-Saunier A une encablure du centre­ville,

15 logements au sein d’une rési­ dence locative privatisée ont vu le jour au début de l’été. Avenue Paul Seguin, ce sont 52 loge­ ments locatifs qui devraient être achevés en juin 2012. Ces loge­ ments sociaux, à 300 m du centre­ville, sont certifiés BBC, et 12 d’entre eux bénéficient du “label génération” adaptés pour les personnes âgées. Ils sont ainsi équipés d’installations spé­ cifiques et offrent une accessibi­ lité renforcée. “Ces programmes s’inscrivent dans une démarche cohérente avec l’ambition envi­ ronnementale de la Ville et de la CCBL, puisqu’ils répondent à des objectifs de très bonne qualité énergétique” soulignait Jacques Pélissard. “Les projets rejoignent également notre volonté poli­ tique de favoriser l’accessibilité des logements et la mixité sociale. Ainsi, nous encoura­ geons Néolia à s’impliquer dans les opérations à venir de rénova­ tion de l’habitat en centre­ville”. Céline Garrigues

Chateau-Chalon - Tourisme

Suivez le guide avec votre iPhone !

Christian Vuillaume, le maire de Château-Chalon en pleine démonstration

curiosités du village échappent souvent aux touristes. Nous enregistrons 120 000 visiteurs par an, mais les retombées éco­ nomiques et la durée des visites ne nous satisfaisaient pas”. Qu’à cela ne tienne, l’édile s’est ainsi rapproché de la société IOdys­ sée, spécialisée dans la mise en valeur numérique du patrimoine touristique et culturel.

12 points d’intérêt Un circuit de 1,5 km a été concocté par le maire, proposant une halte sur douze curiosités du village, dont l’Eglise, la Maison de la Haute­Seille, l’ancienne Abbaye, les belvédères, la vigne conservatoire… A chaque arrêt, l’application lance un texte agré­

L’association Cancoillottefolk organise son premier Bal des Fondus le 29 octobre à la salle des fêtes de Messiasur-Sorne. La soirée sera partagée entre 3 groupes : “Au gré des vents”, un duo venu d’Alsace, “Sylvain Butté et ses amis”, des musi­ ciens franc­comtois et “Harpe Diem”, un couple “descendu” de Paris pour l’occasion. L’occa­ sion avec tous ces excellents musiciens de découvrir toutes sortes d’instruments tradition­ nels, de l’accordéon diatonique au violon, en passant par l’épi­ nette des Vosges, la harpe, ou encore la cornemuse… Bref, pré­ parez vos oreilles et vos jambes, ça va donner ! L’après­midi, de 14 h à 18 h, sera consacré, avec Danyèle et Gilles, à un stage de danses : valses à 5 temps, 8 temps et 11 temps et danses collectives d’Alsace.

Cancoillottefolk, l’association des fondus de folk du Jura

Voici une véritable innovation en matière de mobilité et de tourisme sur le territoire franc-comtois ! Lancée par la mairie de Château-Chalon, une application pour iPhone et iPad permet de visiter la commune jurassienne labellisée “plus beau village de France” grâce à un guide interactif. Une aubaine pour Christian Vuillaume, le maire de Château­ Chalon ! Cette application télé­ chargeable sur les produits Apple (iPhone et tablette iPad) permet de découvrir les incon­ tournables de Château­Chalon grâce à un contenu interactif proposant images, films et com­ mentaires. La mairie n’a donc pas laissé filer cette opportu­ nité, d’autant qu’elle ne lui a pas coûté un centime ! Un excellent levier pour faciliter la vie des touristes, tout en promouvant le commerce local. L’idée a fait son cheminement dans l’esprit de Christian Vuillaume à la suite d’un constat : “Je me suis rendu compte qu’il y avait un tourisme volatil à Château­Chalon. Les

Fondus de folk !

menté d’images et/ou d’un film retraçant l’histoire et l’intérêt du lieu. “L’objectif est que le visiteur quitte Château­Chalon en ayant appréhendé toute la richesse diversifiée de notre village” sou­ ligne Christian Vuillaume. Il a d’ailleurs élaboré les commen­ taires cet été, avec une liberté de contenu totale accordée par la société qui développe le produit. Cette dernière a conçu l’applica­ tion gratuitement, et la mairie a la charge de la promotion. En contrepartie, Iodyssée récupère les frais de téléchargement (0,79 €, première version dispo­ nible sur l’Apple store). Pour l’été 2012, la municipalité envisage la location de tablettes iPad. Céline Garrigues

Cancoillottefolk est une associa­ tion créée en juin 2010 par quelques fondus de “folk” du bassin lédonien. Par “folk”, entendez musiques et danses

traditionnelles et populaires. L’objectif de l’association est double : d’une part faire décou­ vrir et pratiquer à un plus grand nombre le patrimoine français, et, plus largement, européen de musique et de danses tradition­ nelles, et d’autre part de réunir les générations autour de ces danses et musiques issues de la tradition. L’association est basée à Messia­sur­Sorne, et a réuni pour sa première saison 45 ad­ hérents et a mené quelques actions : spectacle à la Maison de retraite de Montain, anima­ tion au Centre de vacances d’Uxelles, animations à l’école et au CLSH de Messia. Cancoillotte­ folk possède son propre groupe de musique traditionnelle : “Herbe folle’K”, qui accompagne les danseurs lors des sorties. Bal : le 29 octobre dès 21 h. 9 € (7 € adhérents Cancoillottefolk) / stage : 15 € Contact et renseignements : cancoillottefolk@free.fr ou 06 83 00 09 83

INVITATION AU VOYAGE Dans le cadre de la 8e invitation au voyage organisée par l’association ARCO le 8 octobre, deux ateliers d’artistes ouvriront leur porte à Nevy-sur-Seille : L’atelier d’Arlette Badoz, artiste peintre (465 Rue du Château Guinand 03 84 51 93 92, arlette.badoz@free.fr) et l’atelier Schuppert Elke Ingrid, artiste peintre, art thérapeute (Les Essertines Renseignements : 03 84 44 97 29). A Château-Chalon, l’atelier d’Alain Plesiat, artiste peintre photographe, ouvrira ses portes de 10 h à 19 h (Rue Saint-Jean, 06 89 30 26 07 alplesi@wanadoo.fr). A Frontenay, l’atelier d’Isabelle Proust, artiste peintre (Buon Fresco & Graveur), ouvrira ses portes de 10 h à 19 h (36 impasse de la Muriat, 06 87 75 03 51 www.isabelleproust.com).


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Poligny - Election Miss Franche-Comté

Carte Avantages Jeunes

La guerre des Miss franc-comtoises

LE CONSEIL GÉNÉRAL LANCE SA “PLANÈTE J”

le comité Geneviève de Fonte­ nay est venu jouer les trouble­ fêtes. “Anne­Laure Vouillot, inquiète de la proximité de ces deux concours, a préféré se reti­ rer. Ce fut une grande déception pour nous car la mairie s’était engagée” continue Dominique Bonnet.

Un concours à dimension humaine Ni une ni deux, Marie­Jo Bon­ not, correspondante régionale pour le comité de la Dame au chapeau, reprenait les choses en main, libérée de l’ombre de son homologue. “J’ai quitté Endemol en février”, raconte­t­elle. “Je pars avec un bon souvenir, mais nous n’allions plus dans le même sens. Geneviève de Fontenay cherchait une correspondante sur le secteur, et elle m’a pro­ posé le poste”. Depuis le début de l’été, Marie­Jo Bonnot a ainsi rencontré 16 jeunes filles. Les

candidates ont passé des tests de connaissance générale et d’expression écrite. Le jury a sélectionné le 28 août dernier une miss et une dauphine pour chaque département. “Les filles ont un niveau impressionnant avec de lourds bagages. Il y en a même une qui fait Sciences po !” commente l’organisatrice. C’est un concours à taille humaine que prépare le comité en collaboration avec la mairie de Poligny. “Ce concours sera moins coûteux et moins en grande pompe que celui prévu initialement” souligne l’édile qui met à disposition la salle des fêtes. “L’équipe de Marie­Jo Bonnot est dynamique et enthousiaste”. En première par­ tie, les candidates défileront en tenue de soirée, en robe de mariage… Les défilés seront ponctués par des chansons du groupe Ethnyk’ Chyk, et en seconde partie par un show de

Crédit Photo : sj image passion tél : 06 80 63 50 77

C’est un joyeux imbroglio qui s’est déroulé cet été quant à l’organisation de Miss Franche-Comté le mois prochain à Poligny ! Initialement organisé par le comité Endemol, ce dernier a claqué la porte début juillet. Le comité Geneviève de Fontenay a repris les choses en main, et l’élection aura bien lieu le 15 octobre à la salle des fêtes. Quatre miss pour un trône… Le 15 octobre prochain, le jury du comité Geneviève de Fontenay élira la future Miss Franche­ Comté nationale parmi les quatre miss Jura, Haute­Saône, Doubs et Territoire de Belfort. Dans les coulisses, l’organisation de cet événement qui n’a rien perdu de son glamour, a fait grincer quelques dents. A l’ori­ gine, le comité Endemol s’était engagé dans l’organisation de l’élection, aux côtés du maire de Poligny Dominique Bonnet, qui s’était pour sa part fortement impliqué. “Anne­Laure Vouillot, la déléguée régionale du comité Endemol, m’a indiqué qu’il y avait deux concours Miss Franche­Comté organisés sur le territoire à deux semaines d’in­ tervalle” explique Dominique Bonnet. En effet, le concours Endemol était programmé pour le 28 octobre, mais un deuxième concours concocté cette fois par

Johnny Sucess, sosie de Johnny Hallyday. En fin de soirée, la consécration ultime couronnera

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la nouvelle Miss Franche­Comté nationale et ses dauphines. Céline Garrigues

La carte Avantages Jeunes a fait sa rentrée avec son florilège de réductions et de gratuités. Culture, sports, loisirs, bou­ tiques, services… aucun domaine n’a été laissé sur le carreau et les utilisateurs n’au­ ront que l’embarras du choix pour profiter de ces bons plans. Pour sept euros et pour les moins de trente ans sans mini­ mum d’âge, la carte avantages jeunes est un véritable sésame. Les réductions et gratuités pro­ posées couvrent tous les domaines, sur tout le territoire du Jura et de la Franche­Comté. Nouveauté 2011, le chéquier Planète J, financé par le Conseil général du Jura est joint à la carte, uniquement pour les Jurassiens. Il offre des aides à l’obtention du BSR, du permis de conduire, ou encore le sou­ tien à la formation d’animateur (BAFA). Il propose également des bons plans pour des activi­ tés sportives. La carte avan­ tages jeunes et le chéquier Planète J sont désormais acces­ sibles gratuitement aux enfants

de 3 à 18 ans confiés à un assis­ tant familial. Par ailleurs, envi­ ron 160 communes du Jura offrent la carte, soit environ 4 800 cartes gratuites.

Les nouveautés lédoniennes Pour les principaux partenaires lédoniens, on retrouve le Bow­ ling 1055, le Centre Jurassien du Patrimoine, DS Parc, Le Bar à pâtes, Julien d’Orcel, Annabelle Onglerie et de nombreuses autres boutiques. Par ailleurs, le pack Avantages Jeunes propose un bon de 6 € pour une librai­ rie, et un abonnement annuel a une bibliothèque. C.G.

Lons-le-Saunier - Gastronomie

Lons-le-Saunier - Théâtre Group’

Premier salon professionnel des vins du Jura

Un nouvel atelier clown

Le 17 octobre prochain, le Comité interprofessionnel des vins du Jura, en partenariat avec l’Union départementale des métiers et industries de l’hôtellerie, organise le premier salon professionnel des vins du Jura à Lons-le-Saunier. Animés par la volonté de parta­ ger leur passion et leurs produits, plus de 55 vignerons accueille­ ront cavistes, personnels de salle, étudiants en œnologie, journa­ listes, professionnels du tourisme et de la restauration. Ce salon n’est donc pas destiné au grand public, mais à tous les profession­ nels. Cette journée sera l’occa­ sion de (re)découvrir les AOC Arbois, Côtes du Jura, Château Chalon, L’Etoile, Macvin du Jura et Crémant du Jura, et de (re)déguster les vins rouges de caractère (Poulsard, Trousseau, Pinot noir), vins blancs ouillés ou élevés sous voile (Chardonnay, Savagnin) et spécialités (Vin de paille, Vin jaune).

Jura, un vignoble purement AOC D’une superficie de près de

2 000 ha, le vignoble jurassien possède une grande diversité de terroirs : 5 cépages (Trousseau, Poulsard, Pinot noir, Savagnin, Chardonnay), 6 AOC (Arbois, Château­Chalon, Côtes du Jura, l’Etoile, Macvin et Crémant), environ 200 exploitations aux profils variés. La production viti­ vinicole s’appuie sur 3 struc­ tures : les coopératives, les pro­ ducteurs indépendants et les maisons de négoce. Parmi les Vins du Jura, on retrouve aussi des spécialités telles que le Vin Jaune, le roi des vins, et le Vin de Paille, aux arômes incompa­ rables. Lundi 17 octobre de 9 h à 18 h 30, salle du Bœuf sur le Toit, 135 place du Maréchal-Juin, 39000 Lons-le-Saunier.

Mené par Nicolas Moreau, cet atelier vous propose d’explorer diverses facettes du travail de clown… Au programme : travail de jeu corporel, improvisations, travail sur le gag, le bide, l’exploit… Le nez de clown est le plus petit des masques de théâtre. Les clowns ne sont pas forcément des gens multicolores et bruyants avec des grandes chaussures ! Les premières séances de ce tout nouvel ate­ lier ont déjà eu lieu les 14, 21 et 28 septembre à 19 h 30 dans la salle de l’Amuserie. L’Atelier “Clown” s’adresse à tous (mini­ mum 17 ans) débutants ou non, amateurs ou professionnels.

Qui est Nicolas Moreau ? Formé à l’Ecole nationale des arts du cirque de Bruxelles, il a également étudié au Centre National des Arts du Cirque de Chalons­en­Champagne. Il a par la suite intégré de nombreux spectacles : “Le cercle de Cailloutologie” et “Poilu” de sa compagnie Chicken Street en tournée actuellement, “Le cabi­

net des curiosités circassiennes” de la compagnie des Chercheurs d’air, “Les jeux en l’air” de la compagnie L’épate en l’air, “Nico & Arno” et “Goltoch 3” de la compagnie PI R2, “Le Prato fait son cirque” du théâtre du Prato, “AutomaticS” de la com­

pagnie CirkologioM. Nicolas Moreau est également parti plu­ sieurs fois en mission avec “Clowns sans Frontières” en Afghanistan et en Birmanie. Les mercredis à 19 h 30 à L’Amuserie. Participation : 150 € pour l’année. 03 84 24 55 61


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Poligny - Arts vivants

Place des théâtres perd son salarié, mais pas la pêche !

La baisse des subventions et la non-reconduction du contrat tremplin inquiète l’équipe de Place des théâtres, centre de ressources théâtrales à Poligny. Pour autant, les membres de l’association ne baissent pas les bras et continuent une partie de leur activité avec de nouveaux projets plein la tête !

A gauche, Mary Brischoux, chargée de projet, et à droite, Marine Bonjour, membre du conseil d’administration au sein de l’association Place des Théâtres.

Depuis onze années, Place des théâtres a su mener sa barque malgré les remous financiers

propres à l’activité culturelle en milieu rural. L’association, centre de ressources pour le

théâtre, met à disposition de tous une bibliothèque spéciali­ sée en théâtre contemporain.

800 ouvrages sont ainsi dispo­ nibles, ainsi qu’une importante collection d’avant­scène théâ­ tre. Si les documents sont acces­ sibles à un large public, ils visent néanmoins un public ciblé, celui des compagnies de théâtre, des étudiants et professionnels du spectacle. La structure associa­ tive s’est également spécialisée dans la formation pour enfants et adultes, via des ateliers et stages de pratique théâtrale. Elle assure en parallèle un rôle de conseiller auprès des compa­ gnies. “Les ateliers se sont consi­ dérablement développés depuis cinq ans depuis l’arrivée d’un salarié” explique Mary Bris­ choux, chargée de projet au sein de l’association. “Au fil des années, les compagnies nous connaissaient et nous sollici­ taient de plus en plus. Jusqu’à il y a trois ans, nous avions plus de demandes que d’ateliers à pro­ poser !”. Mais depuis la saison 2010 / 2011, les demandes sont en baisse constante. “La situa­ tion va en se dégradant” reprend Marine Bonjour, membre du conseil d’adminis­ tration. “Il y a de moins en moins d’ateliers. Nous vivons aujour­ d’hui une transition pour l’asso­ ciation”. En effet, avec la baisse des budgets des collectivités

locales, c’est tout le milieu asso­ ciatif qui trinque. Les compa­ gnies n’ont plus les moyens de se former. “Fin octobre, les sub­ ventions pour l’emploi tremplin prendront fin” déplore Marine Bonjour. “Avec la baisse des ate­ liers, nous n’aurons pas les moyens de financer un salarié”.

L’association souhaite se développer “Cette suppression de poste nous inquiète beaucoup. L’association ne fonctionnera plus que sur la base du bénévolat. Des axes de travail seront donc mis en som­ meil, comme les ateliers”. Mais d’autres devraient voir le jour avec la constitution d’un nou­ veau bureau. Un projet d’exten­ sion est en réflexion. “Place des théâtres souhaite s’élargir à Besançon à la fac de lettres” continue Mary Brischoux. “Pour l’heure, nous menons quelques actions à Besançon, et nous sou­ haiterions nous positionner comme un centre de ressources franc­comtois, avec un accent mis sur le Jura. Une équipe est en train de se créer à Besançon. C’est une nouvelle énergie, un nouvel enthousiasme, même si le projet n’est pas encore arrivé à maturité”. Céline Garrigues

Poligny - Culture

Mi-scène : une nouvelle saison éclectique L’association polinoise Mi-scène a récemment dévoilé sa programmation 2011 / 2012. C’est une saison diversifiée qui s’annonce, touchant tous les genres et tous les publics : humour, musique, théâtre, spectacle jeune public, marionnettes, théâtre de rue… De nombreuses compagnies présenteront leur nouveau spectacle, des plus décalés aux plus surprenants. Le 13 octobre prochain, le Théâtre Group’ ouvrira le bal avec sa pièce “La Jurassienne de réparation” : installés sommaire­ ment autour de leur camion­ nette et remorque fatiguées, les mécanos de la Jurassienne réali­ seront le diagnostic d’une panne auto, puis la surprenante répara­ tion de celle­ci en direct ! Le 17 novembre, “Monsieur Cha­ puis”, monsieur tout­le­monde et à la fois monsieur personne, témoignera sur scène avec ses mots, parfois violents, parfois désespérants. Les 26 et 27 dé­ cembre, il y aura aussi de quoi ravir les plus petits avec un festi­ val jeune public. Dans “Prome­ nade”, le fil du récit et le fil du temps se confondent pour un voyage plus immobile qu’il n’y paraît où se mêlent la dure nécessité et le succulent plaisir d’apprendre et de grandir. Le 19 janvier, la compagnie du I présentera “Voilà ce que je peux

dire de moi, là, dans l’instant”, un spectacle musico­théâtral sur ces choses qui nous touchent, sur ces choses qui vont nous chercher dans notre humanité.

Un projet avec les scolaires Le 22 février, Paulines Sales présen­ tera “De la salive comme oxygène”. Conçu pour être joué dans une salle de classe, ce spectacle dure le temps d’un cours. Suivant un pro­ cessus de création original, il s’est construit sous le regard pluriel d’adolescents de Maurepas, de Vire et d’Oran en Algérie pour que s’invente cet espace de rencontre avec l’autre. En mars, “Zazie et Max” se déclinera sous la forme d’une fable optimiste en 3 tableaux pour comédiennes et marion­ nettes. Suivra le 24 mai un spec­ tacle de théâtre clown, “Pamella” : c’est en danse et en musique que l’on partagera une tranche de vie de Pamella, danseuse solitaire. Enfin, le 23 juin, Mi­scène et Pro­

Sellières 27e FÊTE DE LA POMME ! A Sellières, la fête de la pomme est plus qu’une tradition, c’est une institution ! Chaque année, la manifestation réunit de nombreux exposants (plus de 100 en 2010) qui font découvrir aux visiteurs tout un monde de saveurs et de savoir-faire artisanaux. Les 8 et 9 octobre, de nombreuses animations mettront en valeur la pomme et les produits du terroir que les promeneurs pourront déguster à loisir.

Montmorot FOIRE D’AUTOMNE Le 15 octobre prochain, Montmorot célébrera sa traditionnelle foire d’automne.

Lons-le-Saunier 5e EDITION DU FESTIVAL VOCAL LE FRUIT DES VOIX Le festival se déclinera pour cette 5e édition sur deux semaines. Organisé par Musik Ap’ Passionato, l’objectif est de “mettre en appétit, susciter la curiosité musicale, donner à découvrir des cocktails de voix dans toutes les esthétiques et toutes les formes d’expressions vocales, avec un regard résolument tourné sur la création d’ici et d’ailleurs”, explique la présidente Nathalie Dion dans son édito du site dédié à l’événement (www.lefruitdesvoix.com). Au programme de ce cru : Danyel Waro et A Filetta (15 octobre, Théâtre de Lons à 20 h 30), Ommm (17 octobre, Salle des fêtes, Montmorot à 10 h 03, le 18 octobre, Foyer de vie Le Colibri, Lons à 18 h 02, le 19 octobre, Bœuf sur le toit, 10 h 59, le 20 octobre, Maison d’arrêt de Lons à 11 h), Bernard Massuir (21 octobre, Bœuf sur le Toit à 20 h 30), Youn sun nah et Ulf Wakenius (21 octobre, Bœuf sur le Toit à 21 h 45) Programmation complète : www.lefruitdesvoix.com

FOIRE DU JURA Du 21 au 24 octobre, le grand rendez-vous économique du Jura revient, avec une mise en veille en 2010, avec comme invité d’honneur la Thaïlande. De nombreux secteurs d’activité seront représentés à Juraparc à Lons-le-Saunier : collectivités et institutionnels, habitat et ameublement, artisanat et décoration, vins et produits alimentaires, mode et accessoires, vêtements, démonstrateurs d’articles ménagers et de bricolage…

POINT INFO SANTÉ Le 25 octobre à la Maison commune de la Marjorie : venez partager un moment pour parler santé. Résultats du concours “dessiner le logo du point info santé” et remise des lots.

Le 13 octobre prochain, Théâtre Group’ présentera “La Jurassienne de réparation”

modegel clôtureront la saison. “C’est un des temps forts de la sai­ son” commente Elizabeth Seigle­ Ferrand, présidente de Mi­Scène. “Le Kiosque a été réalisé en collabora­ tion avec Promodégel et le Moulin de Brainans. C’est un partenariat qui nous tient à cœur car nous souhaitons

mêler le plus de partenaires possibles. Après “Télémoustic”, un concert sur­ prise viendra clore cette fête et les deux saisons de Mi­Scène et du Mou­ lin de Brainans”. En parallèle de cette saison, l’association travaillera tout au long de l’année avec les classes de l’école Jacques Brel de Poligny. “C’est

la première fois que nous travaillerons avec une école entière”explique Eliza­ beth Seigle­Ferrand. “Les CP se pen­ cheront sur la scénographie, les CE sur la voix et le cœur, et les CM sur le théâtre. La création sera présentée en fin d’année sous forme de plusieurs représentations”.

Lect-Vouglans FÊTE DES VERGERS Le 9 octobre, de nombreuses animations seront au programme pour fêter les saveurs d’automne : vins, fromages, viande… Ateliers : jus de pomme, cuisine, décorations naturelles, jeux expos, conférences, spectacles : contes, folklore portugais, orgue de barbarie…


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André Garrigues, un technicien qui a pesé dans la balance… Si les origines de la balance remontent à la nuit des temps, la balance culinaire, elle, a révolutionné le quotidien de la ménagère des années 50-60. L’usine Terraillon met au point à Revigny en 1945 un nouveau mécanisme de balance culinaire et ménagère. Quelques années plus tard, la fameuse balance mécanique rouge Terraillon trônera alors dans les foyers de tous les Français. Jurassien d’adoption, André Garrigues fut directeur technique de l’entreprise pendant 38 ans, et bras droit de Paul Terraillon. Formé au sein de la prestigieuse Ecole nationale d’horlogerie et de mécanique de précision de Besançon, il fut le concepteur du principe et procédé de fabrication unique à l’époque de la balance Terraillon. Trente ans après, il se rappelle et nous raconte la grande aventure Terraillon, et l’âge d’or de la mécanique de pointe franc-comtoise. Il y a des inventions qui, sans en avoir l’air, ont bouleversé nos habitudes quotidiennes… Que serait aujourd’hui la cuisine d’Alain Ducasse sans une mesure d’une précision quasi chirurgicale de ses ingrédients ? L’usine Terraillon, implantée à Revigny entre 1945 et 1956, fut la toute première industrie à lancer sur le marché l’ancêtre de notre balance alimentaire élec­ tronique, grâce aux talents visionnaires de son charisma­ tique fondateur Paul Terraillon, mais également de son direc­ teur technique André Garrigues.

Un mécanisme unique Originaire du Doubs, André Gar­ rigues rejoint l’entreprise dès les débuts. “Paul Terraillon avait la bosse du commerce et de l’in­ dustrie” se rappelle l’ancien technicien paisiblement installé aujourd’hui dans le Var. “Il avait ça dans le sang et voulait faire mieux que son père, également industriel. Il avait une conviction si profonde de ses projets, qu’il arrivait, son charme aidant, à les

cise et plus performante. “Je suis vite devenu la cheville ouvrière de l’usine, mais ma pas­ sion restait la conception du pro­ duit, le tout en parfaite synergie avec Paul Terraillon avec qui je passais plusieurs heures par jour à en discuter et en débattre” insiste modestement le retraité. Et pourtant, son invention a siégé dans les cuisines de nom­ breux Français. Ce n’est pas rien…

4 millions de balances vendues L’usine de Revigny devenant exi­ guë, l’enseigne déménage à Annemasse en 1956. André Gar­ rigues met en place l’atelier de mécanique de précision capable de fabriquer les outillages uniques qui produiront les pièces de balances aux normes requises. “Paul Terraillon fait alors appel à un designer renommé afin de marier méca­ nisme et habillage haute cou­ ture”. La marque se positionne comme le leader national, voire européen, avec un monopole

incontesté sur le marché. Elle passera rapidement de 20 sala­ riés au dépôt à 400. Quelque quatre millions de balances seront ainsi fabriquées. La balance mécanique Terraillon fut même exposée au musée d’art moderne de New York. Mais même pendant les trente glorieuses, les fonds nécessaires à une croissance rapide ne tom­ baient pas du ciel… Il fallait convaincre financiers, banquiers et fournisseurs. “Ceci était l’af­ faire de Paul Terraillon, mais il me faisaient part de ses pro­ blèmes et soucis dans ses démarches”. Plus tard, le fils de Paul Ter­ raillon reprend l’entreprise fami­ liale. En 1981, il est contraint de déposer le bilan, et la société est rachetée par le groupe Bernard Tapie. Le redressement se concrétisera dès l’exercice 1981­ 1982 et la notoriété de la marque, qui subsiste encore, n’en sera pas affectée. C.G.

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Littérature

Une école pour les écrivains Professionnelle du livre, Christine Sondon Debreux souhaite ouvrir une école d’écrivains dès novembre à Seurre en Côte-d’Or. Un domaine dans lequel la France est à la traîne puisqu’on recense peu d’initiatives dans ce domaine.

Crédit photo : Studio photo Saint-Jean-de-Losne

Peut­on apprendre à devenir écrivain ? “On peut augmenter ses chances, mais il n’y a aucune certitude” répond Christine Son­ don Debreux, sous peu bien sûr d’avoir la fibre littéraire et un potentiel déjà existant. Editeurs depuis 2009 avec Claudine Son­

Christine Sondon Debreux ouvrira une école d’écrivains dès novembre.

faire admettre sans réels pro­ blèmes”. Dès 1943, Paul Ter­ raillon commande, grâce au Plan Marshall, les meilleures machines américaines afin de mettre sur pied un atelier de mécanique de précision. C’est en 1944 que l’industriel envi­ sage de fabriquer une balance de ménage, idée qu’il avait ramenée de Suisse. “Il lui fallait un technicien de pointe” conti­ nue André Garrigues. “Il s’adresse alors à l’Ecole Natio­ nale d’horlogerie et mécanique de précision de Besançon, et me voilà parti pour 38 ans ! J’y ai apporté ma passion de la méca­ nique, et les compétences et la rigueur enseignées à l’ENH”. Et également des procédés et outils de fabrication innovants, permettant une des mesures les plus précises d’Europe, le tout à un coût concurrentiel ! Il conçoit le mécanisme de la balance romaine culinaire, mécanisme inverse de ce qui se faisait à cette époque, dans le but d’une fabrication industrielle plus pré­

don à Saint­Jean­de­Losne, l’au­ teure souhaite écrire une nou­ velle page en se lançant dans ce projet d’école d’écrivains. Une idée qui a fait son chemin au bout de sa plume depuis quelque temps déjà. “Etant auteure depuis l’âge de 9 ans, j’ai rencontré beaucoup de diffi­ cultés à mes débuts. J’ai dû apprendre sur le tas, en éplu­ chant notamment les romans de Dumas. Il a une trame roma­ nesque extraordinaire !” C’est dans le cadre de son activité d’éditeurs que le constat d’un manque en la matière s’est pré­ cisé : “Je reçois beaucoup de textes qui mériteraient d’être remaniés. Beaucoup d’écrivains font du linéaire en travaillant les morceaux de l’histoire au fur et à

mesure qu’ils avancent. Ils fonc­ tionnent en direct. Les person­ nages sont souvent mal calés. Ils doivent avoir une âme et un corps, cela doit se réfléchir en amont de la phase d’écriture”. Son objectif est donc de per­ mettre aux personnes souhai­ tant écrire d’acquérir les tech­ niques de l’écriture romanesque.

“Jouer avec les règles” Les cours seront organisés par regroupements de cinq jours sur 11 mois, soit 350 heures de for­ mation. Au­delà de l’aspect écri­ ture, Christine Sondon Debreux souhaite également aborder l’économie du livre, sa commer­ cialisation et l’aspect juridique. Une démarche qui pourrait tou­ tefois soulever une question,

celle du risque de produire des clones, dans un art où l’expres­ sion personnelle est fondamen­ tale. “Notre but n’est pas de copier le système anglo­saxon où les auteurs sont tous formés dans le même moule” souligne Christine Sondon Debreux. “Nous souhaitons donner les règles et les astuces, mais une fois qu’elles sont acquises, le but est qu’elles soient transgressées. Il faut jouer avec ces règles. Il s’agit de bases qui aident à pré­ parer sa structure, mais cela ne veut pas dire que tout le monde écrira la même chose !”. Céline Garrigues

CSD Editions, 21, route de SaintJean-de-Losne, 21250 Pagny-leChâteau. www.csdeditions.com

L’entresort forain est de retour ! L’entresort forain ? Mais si, rappelez­vous : ce drôle de chapi­ teau en forme de moulin à café qui avait poussé l’année dernière, l’espace d’une nuit, à Mont­sur­ Monnet ! Et devant lequel trois personnages hir­ sutes, un peu hagards, haranguaient le badaud ! Un peu hagards et un peu poussiéreux. Tendez vos

pavillons, affûtez vos cornets, qu’ils disaient, pour vous inviter à entrer dans leur cirque improbable ! Vous étiez entrés ? Oui ? Alors, revenez­y, cet entresort forain a un goût de reviens­y. Sinon, c’est l’occasion rêvée pour une séance de rattrapage. Les 7 et 8 octobre au foyer rural de Loulle, à 18 h, 19 h 30, et 21 h.

Brainans - EN OCTOBRE AU MOULIN C’est reparti pour une nouvelle saison au expert du dancefloor et Moulins. Au programme en octobre : hip une technique de mix imparable, sera sans hop, drum’n’bass, métal et raggae ! Le 8 octobre, l’association Promdégel qui gère le Moulins de Brainans et l’EMMA (Ecole de musique moderne et actuelle) à Lons le Saunier propose un bœuf musical. Vous jouez d’un instru­ ment pour votre plaisir, en amateur ou à un bon niveau et vous souhaitez vous frotter à l’exercice de la fameuse “Jam Session” ? Alors la scène du Moulin vous est ouverte pour cette première soi­ rée. Elle est gratuite et ouverte à tous. Le 15 oc­ tobre, Fumuj se produira sur la scène du Moulins. Fumuj cultive une fusion rock/dub au son volumi­ neux et agité, tiraillée de multiples influences. Un mix terriblement efficace entre Shaka Ponk et Zenzile… Le 22 octobre, le Moulin organise le fes­ tival Resonances électroniques. Parmi la program­ mation de ce festival, Ed Rush, avec un sens

conteste le parrain de la scène drum’n’bass. Le 29 octobre sera une soi­ rée rock mise en place sous l’impulsion du groupe polinois Furax pour la sortie de son premier album. Slam in Church et Losing All, les Ed Rush au moulin de lauréats du tremplin du Brainans le 22 octobre mois d’avril débuteront cette soirée. Sidilarsen reviendra ensuite avec “Machine Rouge”, un 4e album qui condense le meilleur du groupe : un rock électro métal d’une efficacité rare, habité par des textes en français affichant une conscience sociale appuyée.


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Maintenant pour se faire des “amis” il y a Internet via les réseaux sociaux, les speed-dating organisés dans les grandes villes tentent d’apporter une réponse en remplaçant les bals d’antan… Malgré tout, les célibataires sont en augmentation, hommes et femmes vivent seuls en espérant que ça va changer…

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Dubois Nettoyage et Service à domicile LA GARANTIE D’UN NETTOYAGE DE QUALITÉ

C’est en 2006 que “Dubois Service à domicile” voyait le jour, sous la direction des deux sœurs gérantes, Nathalie Blanchon et Véronique Renaud. Les nouvelles prestations proposées par la structure permettaient ainsi de diversifier l’offre de service de Dubois Nettoyage lédonien, destinée aux professionnels.

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Service à domicile 03 84 43 49 19 14 av. Maillot Montmorot “Dubois Service à domicile propose des prestations aux particuliers, expliquent les deux sœurs. Nous intervenons pour l’entretien courant à domicile, de la maison ou de la véranda : repassage, ménage, vitrerie, espaces verts pour la tonte, la taille des haies et le petit jardinage”. Pour un décapage en profondeur, bien souvent les particuliers n’ont pas le matériel adéquat pour de telles tâches. Ainsi Dubois Service à domicile propose le nettoyage haute pression pour les murets, terrasses, piscines… De plus, l’entreprise assure le “grand nettoyage”, que nous sommes

souvent peu enclins à réaliser et qui pourtant est indispensable : cuisines, murs, plafonds, salles de bains, shampoing moquettes, canapés et fauteuils tissu, débarras de grenier…

Des plages horaires modulables 20 salariés composent l’équipe de Dubois Service à domicile. Ils se déplacent au domicile des clients, selon leurs desiderata, aussi bien à des horaires fixes et réguliers, que de façon occasionnelle. “Nous accordons une grande importance au recrutement, souligne Nathalie Blanchon. Il est accompagné d’une pro-

cédure, de tests pratiques et écrits. Les salariés commencent chez nos clients avec de l’expérience et des stages pratiques à leur actif”.

Les aides fiscales n’ont pas changé ! Il est à signaler que la loi de finances 2011 n’a pas modifié les modalités relatives à la déduction d’impôt. En effet, cette déduction d’impôt de 50 % est toujours possible, et la TVA reste à 5,5 %. Par ailleurs, les CESU préfinancés (chèques emplois service universel) faciliteront l’accès à l’ensemble de ces services !

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Edition

Les faits-divers, un pouvoir de fascination intact Fait-diversière et spécialiste de la rubrique justice au sein de l’hebdomadaire La Voix du Jura, la journaliste jurassienne Céline Trossat vient de publier un livre regroupant les grands faits-divers franc-comtois ayant marqué l’opinion ces dernières années. Zoom sur un genre qui nous fascine toujours autant… A l’origine un genre journalistique avec ses codes et ses règles, le fait-divers est devenu, au fil des siècles, l’objet d’une fascination morbide. Il passionne l’opinion et la société, en atteste la profusion de programmes télévisés qui ont trouvé dans ce créneau une manne financière. Et cet engouement pour le sordide semblerait remonter à la nuit des temps : à l’époque romaine les foules se bousculaient déjà pour assister aux jeux du cirque. Des siècles plus tard, le fait-divers continue de fasciner la presse et les lecteurs, et les exécutions étaient à une époque pas si lointaine retranscrites dans les moindres détails, jusqu’à l’arrivée du bourreau. “Je me suis toujours posé cette question. Estce que le fait-divers fascine vraiment tous les lecteurs ?”

obser ve la journaliste faitdiversière Céline Trossat. “Je pense qu’une partie des lecteurs est intéressée, pour l’autre, j’ai quelques doutes… Il y a quand même une part de voyeurisme dans ce genre”.

Une quinzaine d’affaires judiciaires Pour son ouvrage “Incroyables faits-divers”, elle a regroupé ses notes, les témoignages recueillis, les comptes rendus d’audiences… pour emmener le lecteur dans une fulgurante plongée dans les méandres du crime… “J’ai contacté la maison d’édition parisienne Grimal qui recherchait des auteurs. Ils m’ont alors proposé ce thème des affaires judiciaires en FrancheComté. Le livre est le premier d’une collection lancée dans toute la France” explique la jeune fille. “En deux mois, j’ai

Gérard Héchinger

regroupé tous les éléments et j’ai écrit le livre. Les faits-divers relatés se sont tous déroulés ces dernières années, voire ces derniers mois. Certaines affaires ne sont d’ailleurs pas encore passées au tribunal”. Au total, une quinzaine de dossiers contem-

porains, de la tuerie de Luxiol qui a vu quatorze personnes périr sous les balles d’un fou en 1989, à la découverte récente d’une cache de l’ETA dans une forêt du Jura, en passant par le meurtre du jeune Jonathan ou la torture d’une

Découvrez, au fil de l’enquête atypique du commissaire Octavien Touletan, l’univers fantaisiste de Gérard Héchinger qui signe là un premier roman policier pour le moins truculent et inhabituel.

collégienne de 14 ans par ses deux camarades de classe. Céline Garrigues

“Incroyables faits-divers”, Editions Grimal. Dans les bonnes librairies franc-comtoises et sur le site de la maison d’édition. 15,90 €

Jura - Société La baisse drastique des aides européennes et leur possible suppression à l’aube 2013 suscitent une vive inquiétude au sein des associations de solidarité. Alors que la demande d’aide alimentaire pour les plus nécessiteux est en constante évolution, l’annonce de l’Union alimentaire est une véritable douche froide pour les bénévoles du Secours populaire et des autres structures.

Mickaël Nasom, secrétaire géné­ ral de la fédération jurassienne du Secours populaire français. “C’est un tsunami alimentaire, alors que la précarité et la pau­ vreté s’aggravent !” En effet, depuis 2007, l’association enre­ gistre une augmentation de 20 à 30 % dans la distribution des colis alimentaires. Soit 9 000 colis dis­ tribués en 2010, pour environ 1 000 familles jurassiennes. “On

constate le retour des cheveux blancs” explique Mickaël Nasom qui a vu depuis trois ans le profil des bénéficiaires se transformer. “On voit beaucoup de jeunes, de familles monoparentales, et même des artisans et des chefs d’entreprise”. Pour le départe­ ment, le Secours populaire rece­ vait une enveloppe de 200 000 € par an de l’Europe. Si la décision de la Commission est maintenue,

Il faut remonter à 1987 pour voir les origines du PEAD. Ce pro­ gramme reposait sur le troc de matières premières (viande, lait, céréales, sucre, riz) des surplus de la PAC (politique agricole commune), contre des produits alimentaires finis auprès d’indus­ triels. Lorsque les surplus enre­ gistraient des baisses, ils étaient compensés par une allocation de l’Europe. Certains états mem­

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PL54

L’Europe pointée du doigt C’est un coup de bambou pour les associations qui se mobilisent toute l’année pour apporter l’aide alimentaire aux personnes nécessiteuses toujours plus nom­ breuses. Les demandes explo­ sent, mais les aides baissent : la pilule est dure à avaler pour le Secours Populaire. “Le Plan euro­ péen d’aide aux plus démunis (PEAD) va baisser de 400 M€ en 2012, soit 80 % en moins” tonne

bres de l’UE (notamment les Pays­Bas, l’Allemagne et l’Angle­ terre), refusant le PEAD, ont saisi la Cour de Justice européenne pour un “vice de procédure” juri­ dique : à l’origine, le PEAD repo­ sait uniquement sur la distribu­ tion de denrées alimentaires, et non sur une compensation financière. La Cour de Justice leur a donné raison, et a décidé que la Commission ne pouvait débloquer d’enveloppe finan­ cière pour continuer l’aide (le PEAD représentait 1 % du bud­ get de la PAC…). “Pour 2013, les prévisions de surplus sont nulles” s’inquiète Mickaël Nasom. “Les aides seront donc de 0 €”. Dans l’espoir que la situation se débloque, le Secours populaire doit faire face à d’autres difficul­ tés. L’association recherche acti­ vement de nouveaux locaux d’une superficie d’environ 800 m2, pour stocker les réserves et accueillir les bénéficiaires. A bon entendeur…

elle pourrait avoir des consé­ quences dramatiques, puisque ça serait pratiquement un colis sur deux qui serait amputé. Quatre associations sont principalement touchées : la Croix Rouge, les Restaurants du cœur, la Banque alimentaire et le Secours popu­ laire. “En réalité, beaucoup d’autres associations sont tou­ chées : les épiceries sociales, le Secours catholique… Nous recueillons les témoignages des bénéficiaires pour sensibiliser les pouvoirs publics. Un livre porte­ voix leur sera transmis”.

Maquette et mise en page - Text’oh ! Dole

L’Europe coupe les vivres aux plus démunis


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/ Pays de Lons n°54 - Octobre 2011

Lons-le-Saunier - Théâtre / exposition

Ruffey-sur-Seille - Evénement

Crédit photo : Jean-Michel Hugues Dit-Ciles

La Percée du Vin Jaune à Ruffey-sur-Seille

Après Arbois, la Percée du Vin Jaune posera ses jalons les 4 et 5 février 2012 à Ruffey-surSeille. Une excellente nouvelle pour Daniel Urbain, le maire de la commune, qui voit en cette manifestation un très bon vecteur de communication. Pendant deux journées, Ruffey­ sur­seille deviendra la capitale du Jura, et de la Franche­Comté entière le temps de cette 16e édition de la Percée du Vin Jaune. “Nous avons un viticul­

teur à Ruffey qui fait partie des Ambassadeurs du Vin Jaune” explique Daniel Urbain, le maire du village. “Nous discutions de l’idée d’accueillir la Percée depuis quelque temps déjà”.

C’est ainsi que les Ambassa­ deurs du Vin Jaune, organisa­ teurs de la manifestation, firent le déplacement à Ruffey, à la suite de quoi le village fit officiel­ lement acte de candidature.

Daniel Urbain reçut la réponse favorable il y a un peu moins d’un an. “Ce fut une bonne nou­ velle. Notre crainte était que la configuration du village ne puisse pas permettre une telle organisation et logistique”. En effet, si la commune n’aura pas la capacité d’accueillir 68 000 visiteurs comme ce fut le cas à Arbois cette année, elle devra tout de même prévoir la visite de quelque 20 000 personnes par jour, ce qui n’est pas rien… Un excellent vecteur de commu­ nication pour le petit village jurassien qui sera au centre de toutes les attentions, même au­ delà des frontières de la région. Autour de Ruffey, les profes­ sionnels de l’hôtellerie et de la restauration devraient aussi pro­ fiter des retombées écono­ miques d’un événement d’une telle ampleur.

Les désagréments inévitables, mais pas inquiétants Malgré le côté festif et populaire de la Percée, Ruffey devra tout de même composer avec les risques de débordements. “C’était au départ notre crainte.

Cela dit, pour avoir participé à plusieurs Percées, j’ai toujours trouvé qu’il y avait un esprit bon enfant. Il y a quelques petits débordements inévitables, mais les Ambassadeurs n’ont jamais constaté de gros incidents. Je pense plus à des désagréments qu’à des incidents” rassure Daniel Urbain. La commune aura en charge l’animation, la gestion des stationnements, les décorations, les caveaux, la sécurité et les secours. Céline Garrigues

Au programme n Le 4 février : expositions, animations, concours de cuisine, vente aux enchères de vieux millésimes, et à partir de 20 h 30, la soirée de la Percée. n Le 5 février, les festivités reprendront avec dès 9 h 30 une messe et “offrande du Vin Jaune", le cortège des vignerons, la cérémonie de la Percée du Vin Jaune avec l’intronisation, passation du symbole de la Percée et mise en perce du tonneau. Et l’après-midi, ouverture des caveaux, concours de sommellerie et expositions et animations de rue.

Jura - Culture

Les librairies jurassiennes à la fête Du 1er au 31 octobre dans tout le département, les libraires sont en fête et vous proposent un riche programme d’animations dans les librairies, ponctué d’une soirée littéraire et musicale, la “Nuit des libraires” à Lons-le-Saunier le 27 octobre. La manifestation, coordonnée par le Centre régional du Livre de Franche­Comté, veut mettre à l’honneur et faire mieux connaître ces passeurs privilégiés et indispensables du livre auprès du grand public. Une campagne médiatique a été organisée dans toute la région pour renforcer la visibilité, autour du programme d’animations et d’un message présentant les “plus” de la librai­ rie indépendante : conseil, com­ mande à l’unité, recherches, lieu culturel, constitution d’un assorti­ ment original par le libraire… Cette année “Librairies en fête !” donnera l’occasion de revenir tout particulièrement sur la loi sur le Prix unique du livre (10 août 1981) qui fête ses trente ans. Cette loi peu connue du grand public a permis de maintenir un réseau de librairies sur tout le ter­

ritoire français, en empêchant le contrôle du marché du livre par les grosses structures culturelles au désavantage des petits libraires. Dans le département, le programme d’animations pen­ dant le mois d’octobre atteste de la vitalité du tissu des librairies jurassiennes.

Animations et nuit des libraires Le 27 octobre à 20 h au Bœuf sur le toit, la compagnie lédonienne L’Atelier de l’Exil proposera un cabaret littéraire, soirée sur le thème de la littérature de voyage, avec des lectures de romans choi­ sis par les libraires jurassiens. Cette nuit sera également l’occa­ sion de rencontrer l’éditeur de La Lanterne Magique, maison d’édi­ tion bisontine spécialisée dans les récits de voyages.

Germaine Tillon : l’exposition Le Théâtre de la Petite Montagne reprend Une “Opérette à Ravensbrück” d’après “Verfügbar aux Enfers”, œuvre de Germaine Tillion, le 4 octobre à Saint-Maur et le 6 octobre à Lons-le-Saunier. La pièce sera complétée par une exposition à la MJC. Au moment de l’armistice de 1940, Germaine Tillon entre en résistance. Dénoncée, elle sera emprisonnée à Fresnes, puis déportée en octobre 1943, au camp de Ravensbrück. Sur un cahier soigneusement caché, elle écrit une opérette­revue. Elle y raconte les dures condi­ tions de détention avec humour, sur des airs tirés du répertoire lyrique ou populaire. Faire rire, rire de soi et trans­ mettre l’information, trois actes de résistance en situation extrême, telle est la perfor­

mance de Germaine Tillon. Du 3 au 7 octobre, l’exposition “Germaine Tillion” à la MJC Paul Emile Victor de Lons­le­Saunier donnera l’occasion, à travers des panneaux explicatifs et quelques ouvrages, de (re)découvrir la vie et l’œuvre de Germaine Tillion, ethnologue et résistante française. Mardi 4 octobre à 20 h 30 Bio Lopin : 10 € - Réservation au 03 84 48 57 54. Jeudi 6 octobre à 20 h 30 à la MJC Paul Emile Victor de Lons : 10 et 7 € Réservations : 03 84 24 44 92.

Montciel VENTES DE LIVRE D’OCCASION Le 14 octobre, la bibliothèque de Montciel organise sa vente d’automne de livres d’occasion de 14 h à 19 h.

Domblans FONDUE DOMBLANAISE ET SOIRÉE DANSANTE PROGRAMME COMPLET Lons-le-Saunier n Librairie Guivelle : 14 octobre à 15 h, rencontre-dédicace avec Françoise Desbiez. 28 octobre à 17 h : rencontredédicace avec Françoise Henry, associée au vernissage de l’exposition de peintures de sa sœur Isabelle Gardère. n La Boîte de Pandore : 21 octobre à partir de 18 h 30, rencontre veillée “La soupe aux livres” avec les éditions Parole : “L’Homme semence” (Lacolaffeille), “L’amour fait aux femmes” (Violette Ailhaud), “Rouge comme un cœur dans la bouche de Dieu” (Isabelle Hasbroucq) et nouveautés. Soupe servie par les libraires et apportée par les participants, textes, chants…

n 22 octobre à 10 h, à la médiathèque intercommunale du Val de Brenne : Café-lecture avec les éditions Parole.

Poligny La Nouvelle Librairie Polinoise : 11 octobre à 17 h, dans le cadre du festival de BD Pierre Feuille Ciseaux, animation et rencontre-débat avec les auteurs de bande dessinée américains Sarah Glidden, Anders Nilsen et Zak Sally Sarah Glidden. n 29 octobre à 15 h : rencontre-dédicace avec André Besson pour son dernier ouvrage Le trésor retrouvé des Templiers (éd. France Empire). n

Animation organisée au profit de la coopérative scolaire de l’école Désiré Monnier à Domblans. A partir de 19 h 30, à la salle des fêtes de Domblans. Inscriptions avant le 30 septembre à l’école de Domblans : 03 84 44 62 48

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Né dans les prairies et forêts jurassiennes, le miel de la Coopérative Apicole du Jura déploie une gamme de saveurs incomparables. Retrouvez tous les bienfaits de la nature dans une palette de produits aux qualités gustatives et thérapeutiques incontournables.

Teintures de plantes…

in Jura qui égaieront et surprendront vos papilles ! Le nougat, le pain d’épices artisanal et les bonbons au miel feront fondre les plus gourmands. Les tisanes aux plantes et bio propolis, constituées de la substance récoltée par les abeilles sur les bourgeons de certains arbres aux propriétés aseptisantes, vous assureront de passer une nuit calme et sereine. Le miel à la Coopérative Apicole du Jura, c’est aussi une déclinaison de produits salés qui agrémenteront vos salades et autres plats : vinaigre au

miel nature, au miel et plantes (sauge, romarin, estragon, thym) et moutarde au miel !

Les vertus thérapeutiques Les plantes et leurs nombreuses vertus thérapeutiques ne sont pas en reste à la Coopérative Apicole du Jura. Ainsi chacun peut trouver plante à son problème : la Valériane et ses vertus apaisantes, l’echinacée pour les infections de la peau, la passiflore pour les insomnies et la nervosité et l’épilobe pour les problèmes de vessie et de

prostate. Pour se soigner et se protéger, tout le monde y trouvera son bonheur : l’huile calmante contre les piqûres d’insectes à base de propolis, crème de massage ou huile des 36 plantes pour les problèmes musculaires, gel jambes légères à base de propolis, gel pieds sensibles à base de propolis, huiles essentielles et diffuseurs, ainsi que deux ouvrages, “les bienfaits des huiles essentielles” (éditions Artémis) et “je cuisine au miel” (éditions Albin Michel).

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Nos pages spéciales Auto-moto Fiat et Lancia

Nouvelle Lancia Thema : une alternative de classe Incontestablement, la star Lancia de cette rentrée est la Nouvelle Thema qui combine le meilleur des deux mondes Lancia et Chrysler, pour devenir l’Ambassadrice du Nouveau Lancia.

couple de 340 Nm à 4 650 tr/ min. Ce bloc moderne est asso­ cié à une boîte automatique 8 rapports. Les émissions de CO2 affichent 219 g/km pour consommation mixte de 9,4 l/ 100 km. La nouvelle Thema reçoit également un tout nou­ veau V6 Diesel de 3 litres de cylindrée VM Motori développé conjointement avec Fiat Power­ train, offrant au choix 190 ch ou 239 ch à 4 000 tr/min. Ils sont associés à une boîte automa­ tique à 5 rapports. Le couple de la version 190 ch est de 440 Nm de 1 600 à 2 800 tr/min et celui

de la version 239 ch atteint 550 Nm de 1 800 à 2 800 tr/min. Les émissions de CO2 restent contenues à 185 g/km pour une consommation mixte de 7,1 l/ 100 km. Technologiquement, cette propulsion reçoit les der­ nières évolutions en matière de sécurité active et passive : ESP de dernière génération, régula­ teur de vitesse adaptatif et sys­ tème de prévention de collision (ACC et FCS), phares bi­xénon auto adaptatifs, protection active des piétons, caméra de recul, système de détection d’angle mort…

LA RÉORGANISATION DU RÉSEAU LANCIA EST ACHEVÉE

Thema, Voyager et Flavia Cabrio : voici les trois premiers modèles issus de la coopération entre le Nouveau Lancia et Chrysler. Chacun de ces produits exprime les valeurs partagées entre Lancia et Chrysler, deve­ nus une seule et même iden­ tité : celle de l’élégance et de l’innovation technologique. A l’instar de la Thema originelle

née en 1984, la nouvelle berline haut de gamme de la marque italienne offre une alternative de classe au cœur d’un segment prestigieux et dont la clientèle est habituée à disposer du meilleur. Mesurant 5,07 mètres de long pour 1,90 m de large et 1,49 m de haut, la Nouvelle Thema offre un empattement de 3,05 m. Elle entre ainsi dans

le segment des limousines pres­ tigieuses grâce à son style contemporain et distinctif. Reposant sur une toute nouvelle plateforme d’origine Chrysler Group, la nouvelle Lancia Thema reçoit au choix un moteur essence ou un Diesel décliné en deux puissances. Le V6 essence Pentastar de 3,6 l développe 286 ch à 6 350 tr/min et offre un

Le 1er juin dernier la réorganisation du réseau de distribution Lancia et Chrysler en Europe et Suisse est arrivée à son terme et aura duré un an comme cela avait été annoncé. La nouvelle structure du réseau constitue une étape supplémentaire dans la croissance de la marque Lancia après la présentation de la nouvelle gamme de produits qui a eu lieu cette année au Salon de l’Automobile de Genève. Depuis le début du mois de juin l’élégante Lancia Delta, le modèle phare de la marque, est proposée dans de nouvelles exécutions particulièrement attractives. Très attendue et disponible pour la première fois en exécution cinq portes, la luxueuse voiture urbaine qu’est la nouvelle Lancia Ypsilon a inauguré l’offensive en termes de produits depuis le 24 juin. Dès cet automne, la Lancia Voyager arrivera à son tour sur le marché. Lancia propose ainsi une large palette qui couvre les besoins d’une vaste clientèle.

Old Cars Club Jurassien

Le rallye du Maroc en préparation

Après le rallye Dole-Tataouine-Dole en 2009, le Old Cars Club Jurassien organise du 6 au 23 octobre, au départ de Dole, un périple de 4 300 km au Maroc. Le parcours fera découvrir aux participants, en 12 étapes, les régions de Tanger, Fes, Meknes, Al Rachidia, Merzouga, Zagora, Ouarzazate, Marrakech, Essaouira, Casablanca. 19 voitures et 41 personnes sont inscrites. Parmi les voitures, on peut citer : des 2 CV, 4 l, Visa, BMW, Ford, Alfa Roméo, R25, Mazda, Lancia, 204 cab, Triumph, Porsche, Mitsubishi et VW. Tout au long du voyage, des arrêts sont prévus pour visiter les lieux et paysages typiques du Maroc. La traversée du Haut-Atlas (plus de 2000 m) et la région des grandes dunes de Marzouga feront parti des moments forts. Les organisateurs, Daniel Ehanno et Jean-Pierre Aulon espèrent que toutes les voitures pourront revenir à Dole sans encombre. Une palette de fournitures scolaires sera également remise dans les écoles des villes traversées.

Renault

Le pari électrique de Renault Deux nouveautés au programme de l’actualité Renault : un nouveau moteur pour les modèles Scénic et Laguna, et la sortie de la Kangoo ZE, première étape de la stratégie électrique de la marque au losange. Grâce au nouveau moteur Energy dCi 130, Scénic et Grand Scénic deviennent les mono­ spaces les plus sobres du mar­ ché. D’une cylindrée de 1,6 l pour 130 ch, ce moteur est le plus puissant de sa catégorie. Le tout nouveau Renault Energy dCi 130 affiche seule­ ment 4,4l/100km (en cycle mixte), des émissions de CO2 réduites à 115g/km, une baisse de plus d’1l/100 km et de 30 g de CO 2/km par rapport au

moteur 1.9 dCi130 précédent. Pour le Renault Laguna, le moteur diesel M9R (2.0 dCi) dispose du Stop & Start et de la récupération d’énergie au frei­ nage (Energy Smart Manage­ ment ou ESM). Il affiche des émissions de CO2 de 118 g / km pour la version Berline (en baisse de 18 g) et de 120 g / km pour la version Estate (en baisse de 16 g). Ces modèles sont disponibles dans toutes les concessions du Jura, depuis juin

pour le Scenic, et dès la fin d’année pour la Laguna.

“Feu” pour la Kangoo ZE La Kangoo ZE est le premier modèle commercialisé de la gamme électrique Renault (Kan­ goo ZE, Fluence ZE, Zoe Preview, Twizy). Reprenant tous les atouts d’une fourgonnette classique et proposant une autonomie de 170 km, il est destiné à une clien­ tèle exigeante quant au coût d’utilisation. Il allie aux points

forts de Renault Kangoo Express les avantages de la technologie électrique : zéro bruit et zéro émission. Il est essentiellement destiné aux professionnels et flottes d’entreprise. Un “plein” électrique devrait coûter entre 1 et 2 €. Renault propose un sys­ tème de location de batteries. Les concessions jurassiennes sont déjà équipées des systèmes pour recharger les véhicules. Par ailleurs, des accords devraient être passés avec les collectivités

afin d’équiper les parkings publics de bornes de rechargement. Le Kangoo ZE offre deux solutions de rechargement : une charge

longue toute la nuit, mais aussi une charge rapide de quelques heures sur un parking. Doté d’une motorisation de 44 kW

(60 ch), sa vitesse maximale est de 130 km/h. Les premières réservations ont débuté dès sep­ tembre.


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Ampera : la nouvelle électrique d’Opel Cette fois ça y est ! Après le concept et plusieurs modèles de pré-série, l’Ampera définitive montre son minois. Nous connaissions déjà la plupart des détails de cette électrique à autonomie étendue (40 à 80 km d’autonomie en tout électrique et 500 km grâce au moteur ther­ mique chargé de maintenir à niveau les batteries), mais l’Ampera nous cachait encore quelques détails. Son intérieur tout d’abord, puisque nous avons pu l’apercevoir cette fois­ci dans sa robe définitive. La planche de bord s’avère beaucoup plus convaincante que sur le proto­ type, plus cossue. Les sièges sem­ blent également profiter de cette même qualité perçue. Ses modes de conduite ensuite, au nombre de quatre. Le conducteur aura ainsi le choix via le bouton “Drive Mode” de la console centrale entre mode Normal, Sport, Mon­ tagne ou Ville. Ces différentes options optimisant plus ou moins la gestion de l’énergie selon le type de route et de conditions rencontrées. En mode Normal

quand le niveau de la batterie arrive au minimum, l’Opel Ampera passe en fonctionne­ ment à autonomie augmentée et le moteur thermique maintient la charge. Dans ce cas le freinage régénératif permet au moteur essence de rester au repos au cours des longues descentes. Le réglage Sport modifie auto­ matiquement la réponse de la pédale d’accélérateur pour offrir une arrivée du couple plus rapide, sans toutefois offrir de puissance supplémentaire. Le mode Montagne adapte auto­ matiquement le système pour qu’il garde assez de puissance dans les environnements monta­ gneux, afin que les perfor­ mances du véhicule ne soient pas compromises. Enfin, le mode Ville permet de faire démarrer immédiatement le prolongateur d’autonomie, économisant ainsi l’électricité stockée dans la bat­ terie pour plus tard.

Citroën

Citroën mise sur le haut de gamme La DS5 et la grande star de cette rentrée chez Citroën. Le constructeur a récemment dévoilé son étonnant nouveau modèle luxe qui devrait sortir le 17 novembre. Un système hybride peu polluant, une ligne élégante, un habitacle luxueux et de nombreux autres atouts font de cette berline une véritable premium. La sortie nationale est donc pré­ vue le 17 novembre, mais les commandes sont ouvertes au sein du réseau Citroën depuis le 12 septembre. Si la DS5 n’a plus grand­chose à voir avec la DS des années 50­60, elle a conservé son aspect “révolu­ tionnaire” qui faisait sa particu­ larité de l’époque. En effet, la marque française a misé sur le haut de gamme pour toutes les composantes de la DS5 : ligne, série, tableaux de bord… Citroën a ainsi mis le paquet pour séduire une nouvelle clientèle aisée. Après les succès de la DS3 et de la DS4, la troisième étape de la “fusée” DS se décline donc en ce modèle premium qui signe le retour du prestige à la française : une sculpture aéro­ dynamique qui se pare de maté­ riaux authentiques tels que le cuir Club et l’aluminium, et de confections uniques comme la confection de siège “bracelet”.

Les meilleures technologies La DS5 inaugure pour la marque la technologie Hybrid4, une chaîne de traction full­hybrid associant les performances routières du moteur Diesel HDi à l’efficacité de la propulsion électrique. Cet hybride offre des sensations de conduite énergisantes (200 ch, 4 roues motrices, roulage urbain électrique, fonction boost à l’accélération) et des émissions de CO2 très réduites (99 g/km).

Le luxe à bord ! Le tableau de bord a été imaginé à la manière d’un poste de pilo­ tage d’avion. Au volant, l’impres­ sion de se trouver dans un cock­ pit est saisissante ! Comme pour la DS4, les sièges sont en cuir façon bracelet, et le reste de l’ha­ bitacle est en cuir quasi­intégral. A l’extérieur, son esthétique lui confère une silhouette aérodyna­ mique grâce notamment à la présence de sabres en chrome ou en carbone partant du capot

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Sports mécaniques

Quel avenir

pour l’enduro ? Six ans après la circulaire Olin interdisant la circulation des véhicules motorisés sur les chemins dits “non carrossables”, comment se porte la pratique de l’enduro dans le Jura ? Les clubs peuvent-ils encore organiser sereinement des compétitions ?

Le Jura est une terre d’enduro, en atteste un calendrier de com­ pétitions bien rempli : pour la saison 2011, ce ne sont pas moins de 12 manifestations qui ont été organisées dans tout le département. Mais pour les nombreux clubs jurassiens, orga­ niser ces événements sportifs devient de plus en plus une gageure au vu de la réglementa­ tion stricte en la matière, qui vient s’ajouter à la multiplication des arrêtés préfectoraux. “Ces épreuves sont de plus en plus mises de côté” déplore Roger Dehran, délégué Franche­Comté de l’association Codever (Collec­ tif de défense des loisirs verts). “Elles sont régulièrement refu­ sées car les zones Natura 2000 et zones protégées sont de plus en plus nombreuses”. En effet, en 2005, la circulaire Olin faisait bondir la grande famille des loi­ sirs verts motorisés (quad, 4X4, enduro…). Ce texte restreint for­ tement la circulation motorisée sur les chemins jugés “non car­ rossables”. La police de l’envi­ ronnement est ainsi habilitée à verbaliser les utilisateurs de ce type d’engin.

“Une écologie radicale”

jusqu’au milieu de la fenêtre. A partir de 29 400 €, le construc­ teur espère atteindre l’objectif

de 15 000 voitures par an. Reste à savoir si la clientèle habituée aux voitures luxueuses alle­

mandes franchira les portes des concessions du constructeur français… Céline Garrigues

Seulement, un vice de procédure est venu se glisser dans ce texte, puisque la notion de “carrossabi­ lité” n’est définie dans aucun texte juridique, et les agents de l’administration ont seuls le pou­ voir de décider si une voie est car­ rossable ou non. “Ce terme n’existe pas dans le dictionnaire, et pourtant, les verbalisations continuent. Le président et un membre du club de Moirans­en­

Montagne repéraient il y a quelque temps le parcours d’un enduro : ils ont été tout deux ver­ balisés, et l’amende a été plus importante pour le président car il a été considéré comme déci­ deur !”. Roger Dehran dénonce une “écologie radicale” : “Il est faux de croire que nous polluons plus que les voitures normales. Nous n’accélérons pratiquement pas, et nous consommons beau­ coup moins que sur la route. On nous traite de délinquants. L’en­ duro a un avenir plus que res­ treint, il y a de moins en moins de possibilités d’organiser des com­ pétitions”. Si les utilisateurs de véhicules motorisés trouvent cette circulaire abusive, les écolo­ gistes estiment qu’elle doit pou­ voir protéger les espaces natu­ rels. Pour Marc Borneck, tête de liste départementale du Jura pour Europe­Ecologie­les­Verts, les solutions pour concilier la pra­ tique et le respect de l’environne­ ment existent : “Aujourd’hui on constate que les pratiquants non licenciés dans les clubs dévelop­ pent une pratique anarchique de l’enduro. Ils détruisent les che­ mins, la faune, la flore… J’entends que ce sport existe, mais il faut l’encadrer par les clubs, et trouver des terrains non utilisés. La loi reste évidemment très subjective, ce sont les communes qui déci­ dent de la carrossabilité ou non d’un chemin. Il faut saluer le tra­ vail réalisé dans les clubs pour res­ pecter au maximum la réglemen­ tation. Si on discute avec les clubs, on peut résoudre 90 % des pro­ blèmes !” Céline Garrigues


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Voiteur - Exposition

Le petit pois écossé

Eric Roset expose

Les perles de la traduction littérale

à la médiathèque La médiathèque intercommunale de Voiteur, aux côtés du Conseil général et d’autres médiathèques jurassiennes, participe au festival Mélod’histoires 2011. La programmation, qui rend hommage à la culture tzigane, a été concoctée autour des contes et de la musique. Partez à la découverte du quoti­ dien, des métiers et de la tradi­ tion orale au fil de multiples ren­ dez­vous dont le premier est une exposition de photogra­ phies d’Eric Roset. Vous les avez forcément croisés au coin d’une rue, le long d’une route, dans un campement de fortune aperçu aux portes de la ville. Si leur pré­ sence ne laisse jamais indiffé­ rent, on oublie que les Roms migrants, venus des pays de l’est chercher des conditions de vie meilleures, ont bien des his­ toires à raconter. Nous croisons aussi les “gens du voyage”, dénomination née par décret en 1972 : Les Manouches, les Gitans, les Yénishes, ceux qui ont le goût du voyage dans le sang et qui ont fait de la route leur chemin éternel. Inlassable­ ment, en France, en Suisse, en Roumanie, Eric Roset, depuis

une décennie, part et repart à la rencontre de ces hommes et de ces femmes. Il ne vole pas les images, il les partage. Il nous introduit à un regard critique, lorsqu’il saisit l’étroitesse d’un lieu de vie, malicieux, lorsqu’il saisit au vol un clin d’œil amusé, une expression confiante envers le photographe. Ce sont ces œuvres en empathie et enga­

gées que la médiathèque inter­ communale propose au public depuis le 6 septembre jusqu’au 29 octobre. L’exposition “Le camping c’est fantastique !” est visible sur le site de Voiteur et “Romnia, portraits de femmes” sur celui de Plainoiseau aux horaires d’ouverture au public.

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Hello les quêteurs de valeurs linguistiques et d’expressions idiosyncrasiques. Il faut savoir que d’innombrables tournures et expressions deviennent sens dessus-dessous une fois traduites.

Certaines sont “hilarantes” et “arracheuses de boyaux” (pour ainsi dire). Voici quelques perles : “il est un pique-nique à court d’un sandwich”, équivalent du Suisse “Ça va dans le chalet ou bien ?”. “Il est complètement noix” (pour les connaisseurs d’Astérix chez les Bretons, d’où le fameux “un nuage de lait s.v.p dans mon eau chaude”) “Saute sur ton vélo” semblable à “casse toi p’tit”, “aussi haut qu’un genou de sauterelle” égal à “haut comme 3 pommes”… “Three sheets to the wind” (trois draps dans le vent) est une expression irlandaise pour définir un excès de Guinness ou autre nectar alcoolisé. En écossais, “awa an’ beil yer heid”, (va bouillir ta tête) signifie “tu parles en charabia”, “a penny saved is a penny gained” (un penny économisé est un penny gagné) est une expression parlante, tout comme “confessed faults are half mended” (les erreurs confessées sont à moitié réparées). Au Pays de Galles, ils s’amusent avec un nom de village qui est le plus célèbre et le plus long nom sur la planète Terre. Essayez donc de prononcer ça : Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch ! Ce n’est pas une expression idiosyncrasique, mais le nom lui-même est drôle, sans compter sur le fait qu’il y a très peu de voyelles : “L’Église de BAILLIE WALLACE EURL Sainte-Marie dans le creux TRADUCTEUR INTERPRÈTE du noisetier blanc près du MULTILINGUE tourbillon rapide de Tim BAILLIE - 5 Grande rue 39570 NOGNA Tél. 03 84 44 72 04 Llantysilio de la grotte tim.baillie@orange.fr Expert Judiciaire et Formateur en langues rouge”…

Marchal.Informatique.39 PECIS Alexandre, 86 ans, Orbagna VALLET Christiane Marié PROST, 73 ans, Plasne VANIER Jean, 80 ans, Trenal PONCET Jean, 78 ans, Saint­Jean­d'Etreux CANQUE Lucette Veuf MICHAUD, 76 ans, Essia CHAMPOMIER Jacques, 80 ans, Lons­le­Saunier BAER Ernest, 87 ans, Doucier BORNAT Jean, 64 ans, Perrigny RENARD René, 70 ans, Lons­le­Saunier MOREL­FOURRIER Simonne Veuf MARGUET, 98 ans, Voiteur MONNET Emilie Veuf MAYOT, 102 ans, Florentia BOUVERET Andrée Veuf ROUSSOT, 78 ans, Messia­sur­Sorne TOULON Solange Veuf BOSSU, 92 ans, Lons­le­ DECES Saunier KOCHER René, 80 ans, Lons­le­Saunier DUMÉTIER Louis, 72 ans, Arinthod GAUTRONNET René, 79 ans, Lons­le­Saunier RAGUIN Anne, 81 ans, Voiteur PETIT Jean, 80 ans, Lons­le­Saunier LIEGEON Marcel, 89 ans, Lons­le­Saunier BRANGEAT Marie­Hélène, 81 ans, Chemilla MATHY René, 91 ans, Lons­le­Saunier FOSSI Guiseppa Veuf GELIN, 89 ans, Lons­le­ DANDELOT Marguerite Veuf BON, 96 ans, Lons­ Saunier le­Saunier FRANÇAIS Denise Veuf PRÉLY, 95 ans, Ruffey­sur­ LOPEZ Yvon, 79 ans, Lons­le­Saunier Seille BOLARD Hélène Veuf ROUSSEAU, 90 ans, Bief­du­ BESSON Claude Veuf PÉNOT, 82 ans, La Charme BUFFARD Véronique, 41 ans, Lons­le­Saunier Fourg QUÉTAUD Renée Veuf BICHON, 87 ans, Cernon RONDEAU Daniel, 67 ans, Charcier QUICHANTE Fernande Veuf ROUSSELOT, 87 ans, PERRIN Monique Marié PERNOT, 80 ans, Lons­le­Saunier Montmorot GRAPPIN Janine Divorcé CHARTON, 85 ans, Lons­ GRAND Gabriel, 78 ans, Poligny CARRÉ Jean, 80 ans, Ruffey­sur­Seille le­Saunier MIGNOT Serge, 79 ans, Lons­le­Saunier FÈVRE Raymond, 80 ans, Arthenas ARBUS Jean, 86 ans, Lons­le­Saunier PONCET Georges, 87 ans, Perrigny

Océane de Aurélien ARBOGAST et de Estelle PYON­BOUTRIT, Lons­le­Saunier Romuald de Gaëtan PIÉDERRIÈRE et de Caroline DEMANGE, Chevreaux Enzo de Gérard de CARVALHO et de Séverine GROS, Lons­le­Saunier Elsa de Anthony BERGER et de Marlène URENA, Bletterans Sinem de Turgut DAGLAR et de Fatma DAGLAR, Lons­le­Saunier Tess de Pierre­Alain BOURGEOIS et de Isabelle SALVI, Saint­Pierre Lilwenn de Jean­Philippe GABOREL et de Murielle PUIG, Ruffey­sur­Seille Tyméo de Jennifer LANNAUD, Lons­le­Saunier

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NAISSANCES Antoine de Philippe SPEYER­PAYS et de Cécile JANIER­DUBRY, Nance Timéo de Benoit JOLY et de Julie PIERS, Colonne Giovanni de Freddie RIZZATO et de Priscilla MARON, Sarrogna Chloé de Pierre­Emmanuel MOUTENET et de Leslie BOITET, Poids­de­Fiole Tom de Guillaume COUTURIER et de Aurélie BEGHIN, Lons­le­Saunier Soren de Guillaume COUTURIER et de Aurélie BEGHIN, Lons­le­Saunier Julie de Rémi PALANCHON et de Carine PAGET, Bréry Léo de Nicolas FROIDEVAL et de Anne­Sophie BOUBET, Lons­le­Saunier Arthur de José CARNEIRO MATOS GOMES et de Anne­Valérie DEGRACE, Meussia Manon de Bérenger CORROY et de Caroline BONATON, Vincent Lou de Pierre MARECHAL et de Julie SAIVE, Vevy Marie de Thomas VALLEUR et de Sandrine MARIAUX, Lons­le­Saunier Nathan de Charly SIMONIN et de Laura FEBVRE, Perrigny Gabrielle de Nicolas GOYET et de Carine BOSSU, Balanod Gabriel de Patrick GAILLIARD et de Clarisse LORGE, Crançot

Thomas de Pierre GUILLAUMA et de Catherine GRANDVAUX, Le Vernois Adonis de Stéphane MARION et de Estelle VOIRET, Briod Romane de Vincent DUVAL et de Séverine JEANDENANS, Ney Nicolas de Freddy GILAVERT et de Sophie TELLIER, Cosges Nolan de Mikaël RAMSAMY et de Karine ROHNER, Maynal Lilou de Cyrille CHAFFIOT et de Angélique BOULDRON, Vernantois Anaëlle de Joffrey CHAMOY et de Jessica MOREL, Cosges Adèm de Mustafa NADAS et de Céline GRIVEL, Lons­le­Saunier Luce de François SALLIN et de Pauline RUMELHART, Rosay Amber de Ahmed LAAJELI et de Rachida MOHAMMADI, Dompierre­sur­Mont Maxine de Thomas DELOULE et de Noémie LIESER, Saint­Maur Noé de Patrick GOMEZ et de Caroline LAURENT, Vincent Cassy de Rudy BATAILLARD et de Laura THEVENIN, Messia­sur­Sorne William de Jean­Christophe LECHEIN et de Alexandra JACQUIN, Dompierre­sur­Mont Timéo de Jean­Baptiste OUTHIER et de Elsa GAUDILLAT, Plasne Enzo de Jonathan VANDELLE et de Coralie LOGEROT, Lons­le­Saunier

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Jaimie de Mikael GENTELET et de Séverine BOURGEOIS, Digna Lino de Jérémy PLANCHENAULT et de Séverine REYMONDET, Bletterans Lyoris de Pierric ENGELS et de Julie CHARRIERE, Lons­le­Saunier Lilian de Denis CHAIZE et de Laureen GRIVOLAT, Courbouzon Fanny de François PERRIER­REPLEIN et de Maureen BATAILLARD, Lons­le­Saunier Sacha de Nicolas MATHEX et de Claire DEGENHARDT, Charchilla Louca de Gabriel JANOD et de Jennifer DE GOIS, Courlaoux Lorenzo de Yannick SALVI et de Anaïs PRIETO, Cize Julie de Stéphane GILLET et de Sarah BRUNET, Villevieux Timéo de Jérémie THIBERT et de Amandine ROSE, Orbagna Camille de Jean­Noël BAILLY et de Isabelle CHEVASSU, Ménétru­le­Vignoble Yoan de Vincent PERNET et de Edwige MAZZIER, Bréry Nathan de Guillaume BORGEOT et de Clémentine PICAUD, Nance Hugo de François PELLISSARD et de Vanessa CHATEAUX, Chaumergy Noéline de Maxime BONNIN et de Marie DALLOZ­BOURGUIGNON, Lons­le­Saunier William de Yves­Marie TOURREILLES et de Stéphanie SAINTY, Lons­le­Saunier Louis de Sébastien LESSARD et de Émeline RAVET, Ruffey­sur­Seille


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/ Pays de Lons n°54 - Octobre 2011

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Les Écuries

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La Mecque du Cheval au cœur de la Bresse

La résidence “cinq étoiles” pour chevaux existe ! Dans la verte campagne bressane, à dix kilomètres de Bletterans et à un jet de pierre du pimpant petit village de Chapelle-Voland, le domaine des Écuries Krystal - écurie de propriétaires - s’étend sur onze hectares.

Paradis des équidés de tous crins, le vaste écrin de verdure abrite un hectare de bâtiments flam­ bant neufs dédiés à l’accueil haut de gamme des chevaux et au confort de leur propriétaire. Dotées d’équipements ultra modernes, les écuries de 715 m2 disposent d’un solarium, d’une

sellerie et d’une douche chaude. Une vingtaine de vastes boxes de 12 m2, enrichis de paddocks indi­ viduels de 21 m2, offrent un confort exceptionnel à leurs occu­ pants à quatre pattes. Forte d’une expérience réussie d’une dizaine d’années dans la création et la gestion d’un centre de tourisme

équestre en Haute­Saône, la maî­ tresse des lieux, Christel Lagalice, a fait le choix de venir s’installer dans le Jura pour continuer à vivre de sa passion. “L’air du para­ dis est celui qui souffle entre les oreilles d’un cheval”, reprend­elle en citant un proverbe arabe. Titu­ laire du Brevet Fédéral d’Equita­ tion Ethologique de niveau 2(*), la souriante amazone a suivi une formation spécialisée à Saumur auprès de Nicolas Blondeau dont elle a adopté la méthode de débourrage. Spécialiste émérite bien connu dans le milieu hip­ pique, ce dernier est en charge de la formation des Gardes Républi­ cains en la matière. Logées sur place, Christel et sa famille assu­ rent la surveillance constante du domaine et accueillent au mois, au semestre ou à l’année, les che­ vaux des propriétaires soucieux d’offrir à leur animal des condi­ tions d’hébergement sans com­ mune mesure avec ce qui existe

Krystal, écurie de propriétaires, pension de chevaux haut de gamme, 39140 - CHAPELLE-VOLAND

dans tout l’Est de la France. Par ailleurs, diplômée en tant qu’ Auxiliaire de Santé Animale, Christel est en mesure d’offrir un suivi quotidien et les soins appro­ priés que nécessitent ses pen­ sionnaires. Entièrement couvert, le manège de 770 m2 est entière­ ment enduit d’un revêtement Copoplast dont la souplesse et la capacité d’absorption des chocs font le bonheur des chevaux et…

des cavaliers ! Une carrière en herbe de 1 000 m2 jouxte un mar­ cheur automatique dédié à la détente, à la remise en forme et à l’entraînement des montures. Un local privatif est mis à la disposi­ tion des cavaliers propriétaires qui peuvent y entreposer maté­ riel et équipements dans des casiers réservés à cet effet. Le Club­House qui leur est réservé est équipé d’un coin détente avec

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connexion internet Wi­Fi gratuite et d’une salle de bains avec douche et W.C. adaptés à l’accueil des personnes à mobilité réduite. Activité annexe du domaine, les cours dispensés par Christel concernent pour l’essentiel les cavaliers avertis en quête de per­ fectionnement. Même si pour autant les jeunes débutants sont les bienvenus le mercredi après­ midi, entre 15 h et 18 h. Les débutants adultes travaillent pour leur part dans des créneaux horaires “à la carte” en groupes volontairement restreints à trois cavaliers. Par ailleurs, Christel organise ponctuellement des stages de remise en confiance à destinations des cavaliers et de leur monture en butte à des pro­ blèmes relationnels particuliers (embarquement dans le van, pro­ blèmes de comportement, etc.).

Courriel lesecurieskrystal@orange.fr

Tél. 06 26 89 74 66 - 03 84 47 07 25

Textes sous la responsabilité de l’annonceur - Reproduction interdite - © Pays de Lons n°54

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