Pays de Lons 70

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Sous les feux des projecteurs Pendant une semaine, la préfecture jurassienne a été la star du petit écran dans le cadre de l’émission de France 3 “Midi en France”.

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Le forum des carrières à Juraparc le 15 mars - p. 4

Poligny Des essences tchèques et allemandes dans la forêt polinoise - p. 15

Habitat Dernier volet : défiscalisation et négociation... - p. 8 à 13

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Lons le Saunier - Midi en France

Lons sous les projecteurs !

Pendant une semaine, la préfecture jurassienne a été la star du petit écran dans le cadre de l’émission de France 3 “Midi en France”. Deux jours de tournage à Lons-le-Saunier pour cinq jours de diffusion ont permis à Laurent Boyer et ses chroniqueurs de faire la lumière sur la ville. Culture locale, savoir-faire, gastronomie… tout un programme pour faire découvrir les richesses de Lons-le-Saunier et du département aux téléspectateurs de l’Hexagone.

Un sacré coup de pub pour la commune, en attestent les nombreuses demandes de renseignements enregistrées par l’office de tourisme ! Parmi ces appels provenant de la France entière, les termes remportent la majorité des suffrages. Le public lédonien lui aussi était au rendezvous, malgré un froid polaire. Plateau et caméras ont envahi la Place de la Liberté, et avec eux plus de 80 personnes, pour faire tourner une machine bien huilée.

Retour en images, et dans les coulisses de l’émission.

Evelyne Thomas aux côtés de Prisca, l’ancienne Clodette.

Laurent Boyer : “On a besoin de retrouver nos valeurs” Laurent Boyer nous a reçus dans sa loge entre deux tournages. L’occasion de revenir sur la préparation de l’émission et son succès.

Pourquoi avoir choisi la ville de Lons pour poser les caméras de Midi en France ?

La mairie nous a sollicités. Nous sommes sollicités en permanence pour montrer les valeurs d’une ville à l’ensemble du territoire.

On ne parle pas des problèmes qui sont déjà diffusés sur les journaux régionaux, mais on est là pour mettre en avant les valeurs d’une ville, son industrie locale, ses produits…

Comment préparez-vous l’émission ?

Dix-sept journalistes reporter d’images viennent un mois à l’avance, et les chroniqueurs font le déplacement une semaine avant le tournage. Pour ma part, j’ai un dossier comprenant toutes les caractéristiques de la ville que je lis entièrement.

Parallèlement, vingt-deux journalistes, spécialisés dans le tourisme, prennent contact avec les mairies, les offices de tourisme et font des recherches sur le département.

Le fait qu’il n’y ait pas de barrières devant le public n’a jamais posé de problèmes de sécurité ?

Jamais. Tout le monde peut venir, les gens se placent comme ils le souhaitent, il n’y a aucune sélection. C’est la “vie de la ville”.

Qu’est ce qui plaît, selon vous, dans cette information “d’hyperproximité” ?

A l’époque de la mondialisation, on a besoin de retrouver nos valeurs, nos repères, de s’enraciner et de s’identifier à un territoire.

Propos recueillis par Céline Garrigues

L’investissement de l’équipe municipale pour relayer l’information et accueillir les équipes a été salué par le rédacteur en chef de l’émission, Christophe Guyomard. Pour Jacques Pélissard, député-maire de Lons-le-Saunier, ici en compagnie de Laurent Boyer et de la chroniqueuse Nathalie Simon, “c’est un atout considérable pour le département qui va apporter de la notoriété, des retombées économiques et touristiques”. A noter que la ville n’a eu à débourser que les prestations matérielles pour l’accueil de l’émission.

Environ 40 techniciens étaient présents pour assurer le bon déroulement du tournage. Sur le plateau, une grue avec un cadreur, un machiniste grue, six cadreurs, sans oublier les techniciens son et lumière. En extérieur, les contraintes sont multiples : il faut s’adapter à l’environnement, au public. “Il y a toujours une part d’imprévu en direct” explique le réalisateur Laurent Daum. “La météo fait partie des impondérables, aujourd’hui, le froid fige”.

Dans le car régie, chaque écran correspond à une caméra. Devant, le piano permet de les contrôler.

Le réalisateur est le chef d’orchestre de cette machine bien huilée. Nous assistons à un insert pendant le journal régional de France 3. Durant deux minutes, Laurent Boyer interrompt le 13 heures pour présenter l’émission.

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Jura - Education

Rythmes scolaires : les communes

jurassiennes ne seront pas prêtes pour 2013

Le 5 février dernier à Montmorot, l’Association des maires du Jura débattait avec le Directeur d’Académie et le Préfet du Jura sur la question de la réforme des rythmes scolaires, face à une salle pleine. Les maires jurassiens sont unanimes sur la question : l’aide octroyée par l’Etat n’est pas suffisante. Pour l’heure, la majorité des communes dit ne pas être prête pour la rentrée 2013.

Quelques semaines après la parution du décret sur les rythmes scolaires, c’est un vent de panique qui souffle parmi les maires jurassiens. En effet, la semaine de quatre jours et demi soulève de nom­ breuses questions : celles des moyens, de l’enca­ drement, des transports scolaires… Si de nom­ breux maires sont favorables au réaménagement des temps scolaires, c’est la précipitation de la mise en place de la réforme qui sème le trouble.

Septembre 2013 ou 2014 : chacun s’accorde à penser qu’il est préférable d’attendre. “C’est un électrochoc, beaucoup n’avaient pas compris qu’ils devaient délibérer avant le 1er mars pour un report” s’exclame Sylvie Vermeillet, présidente de l’Association des maires du Jura (AMJ). Le délai a depuis été repoussé à fin mars. Le 5 février der­ nier, le Préfet du Jura et le Directeur d’académie sont venus écouter à Montmorot les interroga­ tions des maires jurassiens. “La majorité des maires se positionne pour 2014” indique Sylvie

Vermeillet. Pour l’heure, seules deux communes seraient prêtes pour la rentrée 2013, dont Chaus­ sin. Un casse­tête pour le Conseil général du Jura : en charge du transport scolaire, devra­t­il le mettre en place pour seulement deux com­ munes ? Christophe Perny, qui s’est prononcé favorablement à un report en 2014, indique qu’il serait préférable que toutes les communes se mettent d’accord pour un report. La demi­jour­ née supplémentaire engendrera un coût d’un mil­ lion d’euros pour le Conseil général.

Des dotations insuffisantes Pour 2013, toutes les communes qui passeront à la semaine de quatre jours et demi de cours béné­ ficieront d’une aide de 50 euros par enfant, plus un fonds de 40 euros par enfant pour les com­ munes éligibles à la DSU (Dotation de solidarité urbaine) et la DSR (Dotation de Solidarité Rurale).

“Soit au maximum une aide de 90 euros dans le

cas le plus favorable. Nous avons calculé qu’il fau­ drait quatre fois plus”. Cette réforme, coûteuse pour les communes, soulève de nombreuses questions : quels locaux, quel personnel enca­ drant, quelles activités, quels horaires… ? Du côté du syndicat majoritaire des enseignants, le SNUIPP­FSU du Jura, cette réforme n’est pas acceptable, notamment sur le point du périsco­ laire : “Cette question est très perverse ! Les maires vont sûrement nous demander d’assurer les temps périscolaires. Les enseignants sur place qui n’au­ ront pas les moyens de rentrer chez eux les midis seront à la disposition des mairies. Il s’agira d’heures supplémentaires “municipalisées”, alors que nos revendications vont vers une augmenta­ tion du salaire pure” s’insurge Nathalie Pszola, secrétaire départemental du syndicat. “De plus, la pause méridienne sera allongée, et il sera ingé­ rable de récupérer des enfants épuisés à 15 h”.

Lons-le-Saunier - Orientation, 15 mars

Le forum des carrières

donne des pistes d’orientation

Le forum des carrières Info 3 se tiendra le vendredi 15 mars à Juraparc à Lons Le Saunier.

Elèves et parents trouveront toutes les informations relatives à la poursuite des études après la 3e, ainsi que les différents débouchés.

Céline Garrigues

D.R.

ECLA ESPÈRE UNE RÉPONSE UNANIME

L’Espace Communautaire Lons Agglomération a lancé une concertation pour que toutes les communes se positionnent pour 2014. “J’avais demandé à François Hollande de laisser l’option pour 2013 ou 2014 sans pénalités” indique le député Jacques Pélissard, président d’ECLA. “Il ne serait pas raisonnable d’appliquer la réforme en 2013. Nous avons estimé le coût de 150 à 300 euros par élève, nous serions donc déficitaires de 100 euros par élève pour la seule année 2013. Nous espérons une réponse unanime des communes”.

Bien connu pour ses giboulées, le mois de mars l’est également en matière d’orientation pour les élèves de 3e. C’est à cette époque que les vœux provisoires sont déterminés. Ils seront ensuite confirmés en mai avant d’être approuvés, ou non, par la commission d’affectation.

Ces vœux auront un impact direct sur le parcours post 3e des collégiens, voir sur leur futur profession­ nel. Dans le but d’éclairer les jeunes sur leur avenir scolaire, les Centres d’Informations et d’Orientations de Lons­le­Saunier et de Poligny, les accueilleront, avec leurs établissements, à Juraparc le vendredi 15 mars pour le traditionnel Forum des Carrières.

Rendez­vous annuel incontournable des collèges, cette journée permettra de mettre en relation les jeunes avec les représentants des différentes forma­ tions existantes dans le Jura, voire dans l’Hexagone.

De nombreux professionnels seront présents afin de parler des débouchés de certaines voies, qu’elles soient professionnelles ou générales. Plus de 200 intervenants sont attendus, mais le chiffre est faible comparé aux 1 632 élèves qui arpenteront les allées du forum le jour de l’événement. Pendant que les adolescents déambuleront de stand en stand à la recherche de LA formation, les parents seront conviés sous le “Kiosque Parent” où les proviseurs des différents établissements du Jura pourront répondre à toutes leurs questions. Les indécis pour­ ront s’adresser aux conseillers d’orientation psycho­ logue, afin de définir leur projet d’étude. A noter que cette année, une animation portant sur les métiers de l’agroalimentaire, de dégustation entre autres, sera proposée sur le pôle agroalimentaire.

Claire Jacquesson

De 9 h à 16 h 30. Entrée libre.

Pour plus d’informations : CIO de Lons-le-Saunier, 03 84 87 00 50 et CIO de Poligny, 03 84 37 21 69

Jura - Agriculture

Tourisme

Jeunes Agriculteurs de Franche-Comté alertent sur les filières en danger

Un bon début de saison

Tous les ans, Jeunes Agriculteurs de Franche­Comté organise la semaine RGA, Renouvellement des générations en agriculture, une semaine dédiée à l’installation en agriculture et à la transmission.

Cette année, le syndicat a choisi pour cette semaine du 11 au 15 février de mettre en avant des filières dont l’enjeu aujourd’hui est de renouveler les générations. Première cible, la filière ovine. Le constat régional est clair : 68 % des éleveurs ont plus de 50 ans, et plus de la moitié des brebis doit changer de propriétaire d’ici 10 ans.

Renouveler les générations devient alors le défi majeur de la filière ovine. Deuxième cible : la filière porcine. Les installations en élevage porcin se font rares en Franche­Comté depuis plusieurs années, car cette production est moins ancrée dans la culture franc­comtoise que l’élevage bovin. Elle souffre d’a priori injustifiés alors même qu’il existe des possibilités de créer des ateliers économiquement viables.

Le Comité départemental du tourisme indique que cette saison d’hi­ ver est caractérisée par une évaluation plutôt satisfaisante de l’acti­ vité touristique en montagne en ce début de saison, en particulier pour les hébergements collectifs, les hébergements de randonnée et les sites de visite. Les fréquentations françaises compensent une baisse constatée des fréquentations étrangères.

Lons - Elections municipales 2014

Marc-Henri Duvernet candidat aux municipales La grande bataille des municipales 2014 est lancée. Premier assaillant pour ravir la municipalité à la droite : le conseiller général du canton de Lons-le-Saunier Nord Marc-Henri Duvernet. A 26 ans, il aura face à lui un “dinosaure”, de 40 ans son aîné : Jacques Pélissard, qui devrait se représenter en mars 2014.

Le poulain de Christophe Perny, Marc­Henry Duvernet (PS) a annoncé officiellement sa candi­ dature à la municipalité de Lons­ le­Saunier. Le jeune candidat, conseiller général du Jura, se positionne comme “un rassem­ bleur du PS jusqu’au centre”.

Bénéficiant du soutien du prési­ dent du Conseil général Chris­ tophe Perny, il veut faire de “sa Marc-Henri Duvernet (au centre) a reçu jeunesse une force”. Pourtant, à le soutien de Christophe Perny (à gauche) 26 ans, a­t­il les épaules assez pour sa candidature à la mairie de Lons. solides, possède­t­il les connais­ sances suffisantes de la politique locale et de la société civile pour tenir les rênes de la mairie lédonienne ? S’il multiplie les fonctions (Président de l’ADIL, 1er Vice­ Président du Conseil d’Architecture d’Urbanisme Environnement du Jura, Prési­ dent d’Info Jeunesse Jura…), il n’a pour l’heure pas d’expérience au sein du conseil municipal. Sa candidature s’inscrit en tout cas pour lui dans “la continuité de son mandat de conseiller général”. Cet homme de terrain compte aller à la rencontre des Jurassiens durant sa campagne “pour écouter leurs attentes”. Pour lui, “il ne s’agit pas de faire un catalogue de propositions”. Pour l’heure, il n’a pas encore C.G. annoncé ses priorités pour la Ville de Lons.

Appel à projets sur le tourisme de la région : fin des candidatures le 30 avril Depuis le 1er décembre 2012, le Conseil régional de Franche­Comté a lancé son second appel à projets sur le thème du tourisme et de la nature. La démarche vise à favoriser l’aménagement, l’équipe­ ment et la valorisation des sites naturels de la région, et s’adresse à tous les acteurs touristiques concernés. Tout porteur de projet peut s’adresser au Comité régional du tourisme avant le 30 avril 2013.

Tourisme et handicap : Œnotourisme : de nouveaux professionnels trois nouveaux sites jurassiens labellisés Le label Tourisme et handicap, créé en 2001 par l’association nationale récompensés T&H, vise à améliorer l’accueil touristique des publics ayant des besoins Depuis fin 2011, le Comité départemental du tourisme du Jura mène une démarche de qualification du vignoble du Jura grâce à la nou­ velle marque nationale Vignobles et Découverte, consistant à marier le secteur viticole et le tourisme. En février 2012, 100 prestataires jurassiens étaient sélectionnés par le jury, auxquels s’ajoutent 28 nouvelles prestations en février 2013.

spécifiques, et valorise les efforts des professionnels du tourisme en matière d’accessibilité et d’accueil de ces clientèles. Suite à la Commis­ sion Nationale T&H, qui s’est déroulée en décembre 2012, trois nou­ veaux sites jurassiens obtiennent le label : la Maison de la Vache qui rit à Lons­le­Saunier (désormais labellisée pour 4 types de handicaps, le premier musée à l’être en Franche­Comté), le Musée du Jouet de Moi­ rans­en­Montagne, et le camping le Martinet à Saint­Claude.

Pays de Lons n째70 - Mars 2013 /

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Salon

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Lidia Hunkeler souffle le show, pas l’effroi !

I Publirédactionnel

Confortablement installée au centre­ville d’Arbois, rue Cour­ celles, dans son pimpant salon reconnaissable entre tous par son enseigne violette du plus bel effet, la sémillante coiffeuse Lidia Hunkeler s’est rapidement impo­ sée comme la partenaire incon­ tournable des élégantes de la région dont elle s’est fait la com­ plice au quotidien. Diplômée sty­ liste­visagiste, véritable artiste capillicultrice, l’élégante jeune femme au regard d’azur s’est fait une spécialité du relookage intel­ ligent, individuellement adapté à la morphologie, à l’allure géné­ rale et à la personnalité de ceux et celles – de plus en plus nom­

breux ! – qui lui font confiance.

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une étude personnalisée approfon­ die et une approche détaillée.

J’échange longuement avec mes clients avant d’intervenir concrète­ ment : interpréter les volumes, mettre en harmonie la couleur de la peau et des yeux avec la cheve­ lure et les accessoires permet incontestablement de sublimer le résultat final”, détaille la sou­ riante Figaro. Une démarche artistique qui a retenti comme une évidence en trouvant un aboutissement particulièrement remarqué en novembre dernier dans le cadre d’un impression­ nant show de coiffure au cours duquel Lidia a eu l’occasion de présenter les nouvelles ten­

dances de la coiffure à un public bluffé et sous le charme. Particu­ lièrement mise en valeur et… en beauté à cette occasion, la toute nouvelle Miss Tulipe élue à Poli­ gny n’a pu que se féliciter d’avoir remis sa chevelure entre les mains de cette professionnelle émérite, jamais à cours d’imagi­ nation et d’idées. Un savoir­faire que l’affable Lidia décline à l’in­ fini dans l’intimité et la douceur de son salon parfaitement équipé où la convivialité et la détente sont les maîtres mots.

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Textes sous la responsabilité de l’annonceur - Reproduction interdite - © Pays Dolois n° 141 - Pays de Lons n° 70

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Perrigny - Technologies de l’information et de la communication

Un nouveau centre numérique pour les entreprises

Depuis 2007, JURATIC promeut l’utilisation des technologies de l’information et de la communication auprès des entreprises et des collectivités. La mise en place du Centre numérique du Jura en 2013 est venue étoffer les services de JURATIC afin d’augmenter l’accessibilité aux TIC. Par manque de temps ou d’ex­ périence, les petites et moyennes entreprises négligent les technologies d’information et de communication. Pourtant leurs débouchés ont un rôle à jouer dans l’activité des entre­ prises. Née en 2007 de la colla­ boration du Conseil général du Jura et des trois chambres consulaires du Jura ( Chambre de commerce et d’industrie, Chambre des métiers et chambre de l’agriculture), l’asso­ ciation JURATIC accompagne les chefs d’entreprises dans l’appro­ priation de tous les outils numé­ riques de communication sur Internet. La mise en place d’en­ tretiens personnalisés associés à des ateliers, deux à trois par an, permet un suivi des participants.

Chargé de mission à JURATIC, Aziz Sabri, définit le rôle de la plateforme : “JURATIC assure le relais entre l’offre et la demande des PME : on apporte l’informa­ tion et la compréhension des

outils, mais on ne réalise pas de prestations dans les entre­ prises”. Pour les réalisations, JURATIC met en relation les sociétés vers l’un des 100 pro­ fessionnels du numérique du Jura. Fort de ce système, JURA­ TIC a souhaité renforcer son action en créant le Centre numérique du Jura. Ouverte depuis février à Perrigny, cette

structure permet aux PME et aux professionnels des TIC de pouvoir se rencontrer et échan­ ger. Le CNJ s’inscrit dans la dynamique d’évolution des entreprises jurassiennes. Désor­ mais, la plupart d’entre elles désirent s’orienter vers des solu­ tions plus performantes. A cet effet, de nouveaux services ont été développés comme la loca­

tion d’une salle de réunion tout équipée (accès très haut débit…) ou la mise en place de sho­ wrooms pour les professionnels du numérique. Claire Jacquesson Pour plus de renseignements : Centre numérique du Jura, 175 rue du Marchet 39570 Perrigny, 03 70 29 98 30 et par Internet http://www.juranumerique.fr.

NOMINATION DE JACQUES PÉLISSARD AU CNI : UN IMPACT POUR L’INDUSTRIE JURASSIENNE ?

Jacques Pélissard, députémaire de Lons-le-Saunier, a été le mois dernier nominé au Conseil national de l’industrie (CNI), installé le 5 février dernier par Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif. Son objectif est de resserrer les liens entre les industries qui dépendent les unes des autres. Il structure ses travaux par filières, pour déterminer les actions spécifiques concrètes qui renforcent chaque industrie dans la compétition mondiale. Si Jacques Pélissard, président de l’association des Maires de France, a été nominé pour son statut, on peut aussi espérer que pour une fois, ce sera l’occasion de mettre en avant et de défendre l’industrie jurassienne au niveau national, qui n’a pas à rougir de ses atouts face à d’autres territoires de la région à l’instar du Nord Franche-Comté.

Lons-le-Saunier - Culture

Un multiplexe Mégarama pour 2014 Régent et aux frais de rupture du bail, soit une enveloppe de 280 000 euros.

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Jacques Pélissard mise sur la culture

En février, la commission départementale d’aménagement commercial s’est positionnée favorablement pour le projet de multiplexe à Lons-le-Saunier. En lieu et place du Régent, un grand complexe cinématographique devrait donc voir le jour au premier semestre 2014.

A l’initiative de la Ville de Lons­le­Saunier, ce nouveau complexe culturel viendra remplacer une structure, qui, en plus d’être vieillissante, était inesthétique.

C’est un homme d’expérience qui a été choisi par appel d’offres pour porter le projet. Jean­Pierre Lemoine, PDG du groupe Mégarama, qui possédait les murs du Palace et gérait le Régent, implantera donc un multiplexe Mégarama à Lons,

comme c’est déjà le cas à Audincourt et Besançon. Les travaux de démolition du Régent devraient débuter dans les semaines qui viennent, pour faire place à l’aube 2014 à un équipement flambant neuf. Sept salles, 1 000 sièges, une ouver­ ture sept jours sur sept, une diffusion jus­ qu’à minuit, cafétéria, possibilité d’une terrasse en été… de quoi ravir les ciné­ philes ! La plus grande salle devrait

prendre la forme d’un amphithéâtre, et le cinéma devrait être équipé d’une nou­ velle technologie du son surround, le “Dolby atmos”. En France, seuls deux complexes sont déjà dotés de ce système.

Une quinzaine d’emplois devraient être créés, et la fréquentation pour la pre­ mière année est estimée à 265 000 entrées. L’investissement pour la Ville de Lons devrait se limiter à la démolition du

La crise n’est donc pas synonyme de vache maigre en matière de culture pour le député­maire. Avec la nouvelle média­ thèque, la rénovation massive du pôle artistique du Bœuf sur le toit, cet équipe­ ment supplémentaire complète un inves­ tissement communal déjà lourd dans le domaine de la culture. “A condition que l’on sache faire” concède Jacques Pélis­ sard. “Il faut maîtriser l’endettement et faire la chasse au gaspillage, ce que nous faisons”. Mais, la culture reste un investis­ sement à long terme pour certains, avec des retombées diffuses. “C’est aussi un investissement à court terme. On avait du mal à faire venir les cadres à Lons, nous avons aujourd’hui une vraie réponse cul­ turelle à proposer, avec l’ensemble des registres : théâtre, médiathèque, spec­ tacle vivant… Cela participe à l’attractivité de la ville, à l’animation du centre­ville, et Céline Garrigues créé des emplois”.

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/ Pays de Lons n°70 - Mars 2013

Pages “Spécial Habitat” 3/3

SOMMAIRE

(Mars)

EN TROIS PARTIES

“Pays de Lons” a dressé, au cours de ses parutions de janvier, février et mars, un panorama de la sphère immobilière dans le Jura. Pour conclure ce dossier, dans ce dernier volet, nous nous pencherons sur les dispositifs de défiscalisation pour investir dans l’immobilier : parmi l’arsenal existant, quelles mesures sont les plus intéressantes ? Nous nous intéresserons également à la renégociation de son prêt immobilier, dans un contexte où les taux n’ont jamais été aussi bas. Enfin, les conseils de l’UFC Que Choisir pour éviter les arnaques en matière de chauffage.

JANVIER Acquisition du terrain.

La conjoncture vue par les notaires.

Le point de vue des banquiers et des courtiers n Les agences immobilières et la crise. Tendance : home staging, investissement malin ou fausse bonne idée ? n n

FÉVRIER n n

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Patrimoine et immobilier

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Défiscalisation immobilière : quels dispositifs ?

Page 8. Défiscalisation immobilière : quels dispositifs ?

Page 11. Renégocier son prêt : c’est maintenant !

Page 13. Décoration intérieure : une affaire de professionnel

MARS

La défiscalisation immobilière permet de réaliser des économies d’impôt en investissant dans le locatif. Elle reste cependant un investissement immobilier à part entière, et il faut donc prendre des précautions. Attention aux mirages des différentes offres de défiscalisation existantes. Le point avec Hervé Mosimann, conseil en investissement et financement jurassien.

Loin devant les placements financiers soumis aux turbulences cycliques, la pierre restera toujours une valeur refuge. Si la crise a démontré qu’elle pouvait être également victime de fluctua­ tions, il n’empêche qu’on aura toujours besoin d’un toit pour se loger. En matière d’immobilier, les dispositifs permettant de réduire ses impôts fleurissent. Duflot, Malraux… les mécanismes sont assez complexes, et il peut être utile de se faire aider par des professionnels pour y voir plus clair. “Défiscalisation est un mot un peu barbare qui a une connotation négative” concède Hervé Mosimann, conseil en investissement et financement lédonien. “Je pense que l’on se trompe en voulant investir dans le locatif pour payer moins d’impôts. Il s’agit déjà de gérer son patrimoine et se garantir une sécurité familiale”. Le Jura n’est pas éligible à certains dispositifs de défiscalisation, notamment la nouvelle loi Duflot, qui remplace l’ancien Scellier. “Depuis la loi Scellier, afin d’éviter que l’on construise n’importe où sans connaître les besoins, on a mis des zones. Le Jura est dans la zone C”. Il faut donc investir dans un autre département. Cette loi permet une réduction d’impôt de 18 % du prix de revient pla­ fonné à 300 000 euros, étalée sur neuf ans. Ce dispositif est cumulable avec tous les autres dispositifs fiscaux hors Loi Duflot Outre­mer.

La fiscalité de la location meublée est assez méconnue. “Nous ne sommes plus dans la catégorie des revenus fonciers, mais dans celle des bénéfices industriels et commerciaux. Les locations meublées sont très peu imposées”. Dans cette stratégie, l’inves­ tisseur pourra ainsi réaliser des économies permettant d’amor­ tir la valeur de son bien.

Acheter en nue-propriété coûte moins cher Ce montage juridique un peu particulier consiste à scinder une propriété en deux. Le particulier achète la nue­propriété d’un logement neuf, et un investisseur profite de l’usufruit du bien. Le particulier n’empoche donc pas les loyers et ne profite pas du logement acquis, durant une période assez longue. “Le montant de l’investissement est réduit de 40 à 50 % par rapport à la valeur du bien” explique le conseil en investissement.

Les précautions à prendre Si les dispositifs fiscaux sont avantageux, et les besoins de logement réels, il faut prendre des pincettes avec la défiscalisation Outre­ mer. “C’est dangereux. A 8 000 km, il est difficile d’intervenir”. Face aux risques climatiques, locatifs, aux arnaques, il est difficile de récupérer sa mise. En métropole également, Hervé Mosimann sou­ ligne l’importance de la localisation. “Il faut s’assurer du besoin et d’un bon emplacement, ce qui facilitera la revente”.

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Textes sous la responsabilité de l’annonceur - Reproduction interdite - © Pays de Lons n°70

Les vacances à la maison

Entreprise familiale et artisanale fondée en 1966, Desjoyaux est devenue entre­temps le premier cons­ tructeur mondial de piscines enterrées en misant sur la simplicité et la qualité dans l’installation, l’utilisa­ tion et l’entretien de ses piscines. En 46 ans, sous son label d’excellence, ce ne sont pas moins de 14 000 réalisations par an qui se sont multipliées comme les petits pains sur les cinq continents. Concessionnaire exclusif pour le Jura, Patrice Buatois a rejoint l’en­ seigne, il y a quinze ans, comme gérant de la conces­ sion de Messia­sur­Sorne avant d’en prendre la direc­ tion en 2010. Installée à la sortie du village, dans le sens Lons­Lyon, en léger retrait de la route.

700 heureux propriétaires C’est là que Patrice Buatois et son épouse, qui travail­ lent en famille, reçoivent leurs clients et affinent avec eux le projet de leur rêve : une piscine pour goûter, en toute tranquillité et les pieds dans l’eau, le plaisir et la détente de vraies “vacances à la maison”. Un rêve par­ faitement accessible qu’ont déjà pu concrétiser les

sept cent heureux propriétaires qui, en quinze ans, ont fait confiance à l’expérience de pisciniste de Patrice Buatois et au matériel réputé de Desjoyaux piscines. Qu’elle soit “prêt à plonger” ou à monter soi­ même, de forme ovoïde ou rectangulaire**, la struc­ ture du “coffrage perdu”, en polypropylène imputres­ cible, où l’on coule un béton armé monobloc, assure une solidité maximale à votre piscine tandis que la qualité du Liner employé lui confère une étanchéité à toute épreuve. Un mode opératoire qui a fait la renommée de Desjoyaux et lui permet d’appliquer une garantie décennale sur ses produits qui s’étend de la structure jusqu’à l’installation. Pour ajouter une touche d’originalité, vous pourrez même choisir la couleur de votre bassin et le fondre dans son environ­ nement en choisissant votre Liner parmi une riche palette de coloris autorisant toutes les fantaisies.

Conçues sans local technique et sans canalisation, les piscines Desjoyaux sont équipées d’un système de filtration breveté par la marque, développant une puissance de 18 à 25 m2/heure et assurant une

finesse de filtration de 6 microns. De quoi profiter en permanence et l’esprit tranquille d’une eau limpide tout en vous débarrassant des fastidieuses corvées d’entretien. Professionnel aguerri, Patrice Buatois tra­ vaille depuis quatorze ans en partenariat étroit avec une équipe de poseurs expérimentés de l’entreprise Petiot père et fils de Chilly­le­Vignoble qui a déjà réa­ lisé pour son compte pas moins de deux cents bas­ sins. Soucieux de la satisfaction de ses clients, Patrice Buatois les accompagne dans chaque étape de la réa­ lisation de leur projet jusqu’à sa finalisation et se tient à leur entière disposition, soit en se déplaçant, soit au téléphone où à la boutique.

OUVERT du lundi de 14 h à 18 h 30 Mardi au vendredi de 9 h 30 à 12 h et de 14 h à 18 h 30 le samedi de 9 h 30 à 12 h et de 14 h à 17 h

** Outre le matériel classique de la gamme, pour ce qui concerne la forme de la piscine que vous avez ima­ giné, Patrice Buatois étudie avec vous tous les projets et réalisations particulières. * Pour l’achat d’une piscine Desjoyaux (hors piscines hors sol) équipée d’un groupe de filtration Desjoyaux, valable au choix sur l’un des escaliers : R176, R276, re276 ou l’escalier sous liner.

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Pays de Lons n°70 - Mars 2013 /

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Préparez vos jardins pour le printemps !

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L’UFC QUE CHOISIR : PRUDENCE POUR TOUT CE QUI CONCERNE LE CHAUFFAGE En matière d’habitat, l’antenne jurassienne de l’association de consommateurs indique qu’il n’y a pas un domaine particulier qui cumulerait davantage de litiges. Elle attire tout de même l’attention pour tout ce qui touche au chauffage. “Il faut être prudent avec les entreprises extérieures à la région concernant les installations photovoltaïques” indique Alain Cler, président de l’antenne jurassienne. “Les particuliers se font démarcher par téléphone, et bien souvent, ce n’est pas l’entreprise qui fait l’installation. Pour ce domaine, il faut privilégier les entreprises locales”. Toujours concernant le chauffage, les chaudières, de plus en plus performantes, mais aussi de plus en plus compliquées techniquement, posent problème.

L’association reçoit régulièrement des consommateurs en litige avec des installateurs inscrits aux abonnés absent. La chaudière ne fonctionne pas, et le service après vente est inexistant. “Les artisans ne connaissent pas forcément ces nouvelles contraintes techniques, ils doivent se former. Quand il y a un dysfonctionnement, ils doivent intervenir après l’installation”. Le président tient tout de même à ajouter que la majorité des artisans demeure sérieuse et professionnelle. Autre point litigieux : les chaudières fuel à condensation. Selon l’association, beaucoup tomberaient en panne.

“Les installateurs ne savent plus quoi faire. Les pièces à changer coûtent chères”. Dernier domaine où la prudence est de rigueur : l’appât du crédit d’impôt sur l’éolien. Alors que la plupart des crédits d’impôt sont à la baisse, celui concernant le petit éolien domestique reste alléchant (32 %). “L’éolienne de toiture ne marche pas !” prévient Alain Cler. “Il faut au minimum une hauteur de 20 m. Attention aux arnaques !”.

RENÉGOCIER SON PRÊT IMMOBILIER : C’EST MAINTENANT !

Les taux ont atteint des taux historiquement bas depuis 1945. Mais cette baisse ne sera pas éternelle, et une renégociation ou un rachat de prêt peut vous faire réaliser des économies non négligeables. Quelles sont les précautions à prendre ? Comment opérer ? Le but de la manœuvre consiste à racheter son prêt actuel par un prêt plus avantageux, soit auprès de son banquier, soit auprès d’un établissement concurrent. La promesse est alléchante : réduction de la durée d’emprunt (jusqu’à trois ans), et économie pouvant aller jusqu’à 25 000 euros. Pour ce faire, il faut qu’il y ait au moins un point d’écart entre le taux souscrit et le taux actuel pour que la démarche soit rentable. Si vous avez contracté un prêt dont le taux d’intérêt est égal ou supérieur à 4,20 %, il faut se pencher sur la question. Sont ainsi concernées les personnes qui ont souscrit un prêt en 2007, 2008, 2009 et 2011 (en 2010,

les taux étaient également très bas). Autre point : l’emprunteur doit être dans le premier tiers de son prêt, là où il rembourse le plus les intérêts. Enfin, le capital restant dû doit être supérieur à 50 000 euros pour que l’opération vaille le coup. Par ailleurs, le banquier acceptera de réétudier votre dossier si votre situation n’a pas évolué en votre défaveur : perte d’emploi, baisse des revenus…

Tout d’abord, commencez par vous rapprocher de votre banque, en lui demandant de revoir son taux à la baisse. Si elle accepte, elle pourra vous faire payer la modification du contrat initial par des frais de dossiers avoisinant les 1 % du capital renégocié. Si votre banque refuse de revoir son taux, vous pouvez alors faire jouer la concurrence, en prenant en compte tous les frais que cela engendrera.

ETANCHÉITÉ À L’AIR DES BÂTIMENTS : UN FILM À DESTINATION DES PROFESSIONNELS ET FORMATEURS DU BÂTIMENT Un nouvel outil pédagogique, sous la forme d’un film et d’un guide, vient d’être édité par le Pôle énergie de Franche-Comté. Il est le résultat d’un travail collaboratif entre les régions Franche-Comté, Alsace, Pays de Loire et l’ADEME de ces régions. Destiné aux maîtres d’ouvrage, concepteurs, bureaux d’études, entreprises…, il vise à donner une base pour appréhender correctement la complexité de l’étanchéité à l’air des bâtiments. Le guide détaille certaines étapes clés de l’étanchéité à l’air, notamment en conception. Des encarts mettent en évidence les idées reçues, les points techniques particuliers et les spécificités liés à la rénovation. Le film illustre, à travers les séquences et les témoignages de professionnels, les étapes de la mise en œuvre de l’étanchéité à l’air sur chantier.

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Pays de Lons n°70 - Mars 2013 /

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Décoration intérieure : une affaire de professionnel ?

Vous êtes en panne d’inspiration pour votre décoration d’intérieur ? Et si vous faisiez appel à un professionnel de la décoration ? Il saura vous conseiller selon votre personnalité et vos goûts, pour un budget raisonné. Les perspectives avec Dominique Lair, coaching en décoration, qui vient de s’installer à Dole.

Avant…

Quelles couleurs, quel agencement, comment capter la lumière… ? Autant de questions qui peuvent se poser lorsqu’on souhaite (re)décorer son intérieur. Malgré toute notre bonne volonté, nous n’avons pas toujours les bonnes pistes pour donner un style à son intérieur. Contrairement aux idées reçues, faire appel à un professionnel de la décoration n’est pas nécessairement ruineux. Il saura en effet s’adapter à votre budget, four­ nir les astuces pour customiser vos meubles, tout en respectant votre per­ sonnalité et vos envies. Dans le Jura, Dominique Lair, professeur d’arts appliqués, vient de s’installer et livre les clés de la déco à ses clients dési­ reux de mettre en scène leur intérieur. En collaboration avec l’agence immobilière doloise Alliance Immobilier avec qui elle travaille, elle apporte sa griffe, sans rien imposer. “L’idée est de réaménager l’espace, l’harmo­ niser, créer une ambiance qui correspond au client. J’améliore ce qui ne plaît plus, et j’utilise ce qui plaît” explique la coach. Pour ce faire, elle envi­

Après le passage de la décoratrice d’intérieur : les couleurs sont harmonisées et l’espace réaménagé

sage l’intérieur sous deux angles : l’agencement des meubles, facilitant la circulation, et l’harmo­ nisation des couleurs, des matières, des styles et de la lumière. Elle intervient alors sur trois domaines : la visite conseil, la conception et le coaching déco.

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Lons-le-Saunier - Société

Bruno Boulefkhad

déménage son “siège” à Paris

Le Lédonien, qui assiège l’agence de la Société Générale Place de la Liberté à Lons-le-Saunier depuis plus de 300 jours, vient de “gagner le droit” de continuer son combat : la cour d’appel de Besançon a estimé le mois dernier que sa présence n’était pas jugée comme un trouble. Une décision qui confirme le premier jugement du tribunal de grande instance de Lons pris il y a près de huit mois. Le Jurassien, plus motivé que jamais à défendre “son honneur”, confie vouloir continuer son action à Paris, devant le siège de la banque.

Bruno Boulefkhad a gagné une victoire, mais pas la guerre.

Cette décision de justice n’a pas adouci sa colère, au contraire, il est encore plus déterminé à dénoncer ce qu’il appelle les “abus bancaires”. Un homme seul face aux insti­ tutions bancaires, symbole de la superpuissance financière.

Le combat est un peu déséquilibré, mais qu’importe, Bruno Boulefkhad “ne lâchera rien”. Depuis plus de 300 jours, il tient un siège devant la banque Société Générale à Lons (sur la voie publique), de 8 h à 18 h, par tous les temps.

Emmailloté dans son panneau jaune flashy, il tient bon, mal­ gré les tentatives de découragement de l’établissement.

“C’est une histoire de principes, pas d’argent. Je défends mon honneur et ma dignité” clame celui qui a dû mettre la clé sous la porte, pris à la gorge par des crédits coûteux.

Le crédit Oséo en cause Rappel des faits. 2008, en pleine crise économique : le sec­ teur automobile s’effondre. Le Lédonien, gérant d’un garage spécialisé dans la vente de véhicules d’occasion depuis vingt ans, est frappé de plein fouet par la crise, malgré une bonne santé financière. Son affaire, “Flash Auto” réalise en 2008 un chiffre d’affaires de 6 millions d’euros et dégage un bénéfice

de 30 000 euros. Les deux banques qui le suivent, la Société Générale et le Crédit Agricole, lui accordaient une autorisa­ tion de découvert allant jusqu’à 700 000 euros. Le gouverne­ ment met en place un dispositif de garantie de crédit, Oséo, pour aider les entreprises en proie à des problèmes de tré­ sorerie. Les deux banques proposent alors à Bruno de trans­ former son autorisation de découvert en crédit Oséo. “Ils m’ont mis la pression pour que j’accepte, malgré mon inca­ pacité à rembourser. Il aurait fallu que je fasse 60 % de chiffre d’affaires en plus” explique l’ancien chef d’entreprise, qui se retrouvera alors avec des traites mensuelles de plus de 15 000 euros à rembourser. “Elles m’ont menacé d’interdit bancaire si je refusais le crédit. Sous la pression, j’ai finale­ ment accepté. Plusieurs certificats médicaux attestent que j’étais en dépression réactionnelle”.

“J’ai perdu 16 kilos, j’étais en dépression” Malgré la saisine du tribunal de commerce par Bruno Boulef­ khad et la désignation d’un médiateur, les parties ne parvien­ nent pas à trouver un terrain d’entente. Les banques, qui s’étaient engagées à stopper les prélèvements pendant les négociations, ne tiennent pas leur engagement. Bruno est

contraint de déposer le bilan. “J’ai perdu 16 kilos, j’étais en dépression. Les portes du suicide n’étaient plus très loin. Je me suis rendu devant la Société Générale avec 5 litres d’es­ sence, j’ai voulu m’immoler devant la banque. Ils n’avaient pas le droit de faire ça, ils ont voulu se protéger au détriment des intérêts de leur client”. Il décide alors de faire le siège devant la banque, muni d’un panneau affublé d’un texte élo­ quent : “STOP aux abus bancaires, cette banque a coulé mon entreprise en pratiquant le crédit ruineux”. Les médias natio­ naux s’emparent de son histoire : M6, Canal +, I­Télé se déplacent à Lons­le­Saunier. “Aujourd’hui, ce n’est plus mon histoire, tout le monde se sent concerné. Je ne vais pas m’ar­ rêter là. Je compte partir à Paris pour déménager mon siège devant la maison mère de la Société Générale pour une durée illimitée. J’attends qu’ils reconnaissent avoir détourné de son utilisation le crédit Oséo”.

A ce jour, le fond du litige, concernant le recouvrement de ses dettes, est toujours entre les mains de la justice.

LA SOCIÉTÉ GÉNÉRALE NOUS A RÉPONDU S’il n’a pas été possible d’obtenir un rendez-vous auprès de la direction départementale de la Société Générale, le service communication du groupe nous a répondu.

Joëlle Rosello a indiqué qu’il revenait à la justice de se prononcer sur cette affaire. Elle précise “déplorer cette situation que nous suivons avec beaucoup d’attention. La banque a toujours accompagné ce client avec conseils et relation continue. Ce que nous pouvons dire, c’est que les montants avancés par M. Boulefkhad sont très éloignés de nos chiffres. Nous allons faire le nécessaire pour que la situation ne perdure pas”.

Céline Garrigues

Lons-le-Saunier

Jura - Aéroport Dole Jura

CENTRE AÉRÉ DE MONTCIEL :

Ryanair lance une nouvelle ligne vers Marrakech

UNE ANNÉE SOUS LE SIGNE DE LA CULTURE Après une année 2012 sur le thème de l’enfant citoyen, le centre aéré de Montciel articulera en 2013 ses actions autour de l’accès à la culture. La convention internationale des droits de l’enfant stipulant que les enfants doivent avoir accès à la culture, le centre aéré de Montciel a décidé pour 2013 de placer cette thématique au cœur de ses animations. La culture étant un axe prioritaire de l’éducation, ce projet se déclinera autour de huit thématiques afin d’appréhender la culture dans sa globalité : l’art (design, art contemporain, mode, peinture…), le sonore (musique, le théâtre, la danse…), le patrimoine (lecture de paysages, notre histoire, archéologie...), les sciences (vidéo, sciences et vie, informatique…), la littérature (langage, calligraphie, littérature…), les différents lieux de culture (médiathèque, cinéma…), culinaire (cuisine d’antan, la cuisine nouvelle, la cuisine des divers pays, de nos régions…), et l’interculturalité (le vivre ensemble, découvrir les traditions…).

Jura ELECTIONS À LA CHAMBRE D’AGRICULTURE : LA FDSEA-JA EN TÊTE Les élections à la chambre d’agriculture, qui renouvellent pour 6 ans l’ensemble des membres des collèges qui les composent, se déroulaient le mois dernier. Dans le Jura, le taux de participation pour le collège des exploitants était de 49 %. La liste FDSEA - JA arrive en tête avec 57,27 % des voix, suivi de la Confédération paysanne (23,15 %) et la Coordination rurale (19,57 %).

Le 5 février dernier, Ryanair présentait à la presse sa nouvelle liaison Dole-Marrakech à partir du 25 avril. La compagnie low-cost espère augmenter son trafic avec un minimum de 15 000 passagers pour la saison été 2013.

Jonathan Brisy, responsable des ventes et marketing de la France et la Bel­ gique pour le groupe Ryanair, avait fait le déplacement en personne à Tavaux pour présenter cette nouvelle liaison à destination de Marrakech. Peut­être pour tenter d’apaiser les polémiques dont la compagnie low­cost fait l’objet en matière de sécurité. En l’occurrence la récente affaire espagnole, pour laquelle elle a été dédouanée depuis.

Le responsable marketing ne manquait pas de vanter ses excellents résultats.

Présente sur la plateforme doloise depuis avril 2012 avec la ligne Dole­ Porto, la compagnie irlandaise lançait en novembre dernier une nouvelle liai­ son Dole­Londres pour avril. Et mainte­ nant Marrakech à portée de bagages.

Avec ces trois lignes, Ryanair annonce engendrer un flux de 75 000 passagers pour 2013.

Les deux vols hebdomadaires s’opére­ ront les jeudis et les dimanches, et le prix de lancement est annoncé à 40 euros l’aller simple. Jonathan Brisy affirmait que la moyenne des billets de la compagnie est de 53 euros, en fonc­ tion du remplissage de l’avion (plus l’avion est rempli, plus les places sont chères). Pourtant, deux jours après l’annonce, le site indiquait déjà un aller simple à 88 euros pour le 25 avril. Ce à quoi il faut ajouter le supplément des bagages qui partent en soutes à partir de 15 kg, et les frais de carte bancaire.

Pour Christophe Perny, cette nouvelle ligne s’inscrit dans sa politique de développement de la plateforme jurassienne. “Une nouvelle destina­ tion pour une nouvelle dimension” indiquait le président du Conseil général qui espère accueillir 100 000 voyageurs par an toutes lignes confondues, avec les retombées éco­ nomiques que cela peut engendrer sur le territoire. Mimouna Radi, consule générale du Maroc à Dijon,

était également de la partie et se féli­ citait de cet “événement heureux”.

Outre l’aspect touristique, il permet­ tra en effet un rapprochement fami­ lial pour “la communauté de la région qui se lamente de l’éloignement des aéroports”. Elle soulevait néanmoins une inquiétude : celle d’une possible concurrence avec la RAM (Royal Air Maroc). Jonathan Brisy bottait en touche en répondant que Ryanair propose des tarifs attractifs et que la concurrence est importante. Par ailleurs, précisons que pour le Maroc, le passeport est obligatoire pour les vols secs, a contrario des séjours organisés où la carte d’identité est suffisante.

Céline Garrigues

Horaires : Du 25 avril au 24 octobre.

Départ de Dole : 21 h 10, arrivée à Marrakech : 23 h 25.

Départ de Marrakech : 16 h 30, arrivée à Dole : 20 h 45

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Val de Sorne - Petite enfance

Chevreaux - Loisirs

A la crèche de Macornay, on lave les couches

Chantiers volontaires : chaux et pierre de taille

Inaugurée le 2 février dernier, la nouvelle crèche intercommunale de Macornay expérimente l’utilisation des couches lavables. Pilote dans le département, cette action permettra de réduire les déchets et ses coûts de traitement. La nouvelle structure est aujourd’hui remplie à 75 %.

Macornay. Sachant que plu­ sieurs dizaines de couches sont utilisées par jour pour une crèche avec cette capacité d’ac­ cueil, cela représente à la fin de

l’année plus de deux tonnes de déchets. D’où la volonté de la directrice d’introduire des couches lavables. Inaugurée le mois dernier, la structure multi­

ment de la CAF, et du Conseil général), l’enveloppe globale du projet s’élève à 415 000 euros HT.

12 places, peut-être bientôt 15 Fin 2011, la première pierre était posée. Labellisé BBC, le bâtiment a une superficie de 180 m2 au sol, et est composé de deux salles d’activité communicantes, per­ mettant de séparer les petits et les grands. Les deux dortoirs sont également séparés. Une direc­ trice­éducatrice jeunes enfants, deux auxiliaires puéricultrices et deux CAP petite enfance compo­ sent l’équipe. Les locaux ont été prévus pour un multi­accueil (régulier et occasionnel) de 15 lits. Pour l’heure, la conven­ tion signée avec la CAF est de 12 enfants, de dix semaines à trois ans. “Si la fréquentation augmente, nous pourrons chan­ ger la convention, et passer à 15 enfants” précise Michel Fischer. La structure enregistre aujourd’hui un taux d’occupation de 75 %, mais devrait être com­ plète au printemps.

Céline Garrigues

Poligny - Biodiversité

La forêt polinoise à l’heure de la mondialisation Les villes jumelées de Poligny, Klatovy (République Tchèque) et Schopfheim (Allemagne) mènent ensemble un projet de coopération internationale sur le thème de la forêt. Objectif : importer des essences des villes jumelles dans la forêt polinoise, et inversement, afin d’étudier leur adaptation.

Un double intérêt écologique et pédagogique pour ce projet qui devrait voir le jour début 2014.

Récemment, une délégation polinoise, composée de représentants de la municipalité, de l’ONF, et du Pays du Revermont (Programme LEADER), s’est rendue à Prague dans le cadre d’un projet de coopération inter­ nationale dans le domaine de la forêt avec les villes jumelées de Klatovy (République Tchèque) et Schopf­ heim (Allemagne). Ce dernier est basé sur l’idée de la création, au sein de la forêt polinoise, d’une parcelle regroupant des essences d’arbres provenant des villes jumelles (après autorisation des autorités compé­ tentes), et même chose de leur côté. L’intérêt scienti­ fique est l’observation du développement de ces essences, de leur adaptation aux sols locaux, de l’éven­ tuel potentiel de production. Il peut aussi déboucher sur des échanges entre les professionnels de la forêt des différents pays sur leurs méthodes de travail et de gestion de la forêt, voire des formations conjointes…

La parcelle sera aménagée L’intérêt est également pédagogique : recréer un morceau des villes jumelles sur les territoires, décou­ vrir des essences moins répandues dans les forêts jurassiennes, présenter ces essences et leur milieu d’origine. Cela s’accompagnera d’un aménagement

Comme chaque année, l’association des Amis de Chevreaux Chatel organise des chantiers volontaires et stages d’initiation. Cette année, ils se dérouleront sur le thème de la “maçonnerie à la chaux et pierre de taille”.

Les vestiges du château de Chevreaux accueillent depuis 1990 des actions éducatives et solidaires autour d’un projet de sauvegarde concret. Chaque année des chantiers volontaires, des stages d’ini­ tiation, des visites et animations sont organisés pour redonner une vie au site. Vous avez des vacances ou du temps libre ? Vous vou­ lez faire travailler vos mains dans une ambiance sympathique ?

Vous avez un mur ou une maison en pierre à rénover ? Vous êtes passionnés de patrimoine ou simplement curieux ? L’association des Amis de Chevreaux Chatel propose au mois d’avril ses anima­ tions “maçonnerie à la chaux et taille de pierre”, adaptées à chaque public. Ces chantiers pratiques et conviviaux ont lieu au château de Chevreaux et proposent aux participants une connais­ sance des matériaux et des outils à utiliser en restauration ou éco­ construction et une initiation au travail de la pierre et de la chaux (taille, maçonnerie, jointoiement). Ils sont aussi l’occasion d’échan­ ger les expériences, de participer à des travaux concrets en faveur du patrimoine, et de découvrir et les loisirs actifs !

Du 15 au 20 et du 21 au 26 avril : “En chantier !”, deux chantiers volontaires pour les 16-25 ans en priorité.

Du 29 avril au 3 mai : “La pierre, c’est chaux !” : un stage d’initiation ouvert à tous à partir de 16 ans (possibilité de participation à la journée).

Pour renseignements et inscriptions : www.accjura.fr

Jura - Loisirs

Un séjour pour découvrir la nature jurassienne Pour la cinquième année, la LPO Franche-Comté organise, en partenariat avec le Comité départemental du tourisme du Jura, trois séjours de découverte de la nature.

A l’ambassade de France à Prague avec, entre autres, l’ambassadeur Pierre Lévy, Rudolf Salvetr, maire de Klatovy, et André Jourd’hui, conseiller municipal de Poligny délégué à la forêt.

de la parcelle concernée (panneaux d’information, aire de retournement pour les véhicules, chemin pour

aller au cœur de la forêt de coopération). Parallèle­ ment est étudiée la possibilité de planter un panel des essences les plus communes dans chaque forêt au sein de l’Arboretum de Poligny.

Ces derniers mois, les échanges ont été nombreux entre les villes jumelées, mais aussi avec les différents partenaires que sont l’ONF, le Pays du Revermont, la DRAF. Le projet devrait aboutir fin 2013 ou début 2014.

Une réunion de travail s’est tenue à l’Institut français de Prague, avec les représentants de la ville de Kla­ tovy. L’accueil a été assuré par Olivier Jacquot, direc­ teur de l’institut français de Prague et conseiller de coopération et d’action culturelle à l’Ambassade de France, natif de la région polinoise. Chaque déléga­ tion a présenté sa forêt (superficie, essences, utilisa­ tions, mode de gestion, débouchés de la production), puis est intervenue une discussion sur la façon, pour chaque ville, de décliner et de concrétiser ce projet sur son territoire. Les délégations de Klatovy et Poli­ gny ont déjeuné à l’Ambassade de France, en pré­ sence de Pierre Levy, ambassadeur de France en République Tchèque. Le projet de coopération fores­ tière a été présenté à l’ambassadeur qui s’est montré intéressé.

© Louis Eloy

“Ce n’est pas plus compliqué pour nous, il suffit juste de lan­ cer une machine le soir” explique cette salariée de la crèche flambant neuve de

accueil a ouvert ses portes aux petits bouts du territoire, et même au­delà, fin novem­ bre 2012. Elle répond à un besoin fort de la population en matière de mode de garde. En 2008, une étude de la CAF faisait état d’un déficit de 34 % sur l’offre des places d’accueil des assistantes maternelles agréées, par rapport à la demande des parents (soit 52 à 56 places). “Il est apparu également que le choix de mode de garde n’était pas suffisamment diversifié” explique Michel Fischer, prési­ dent de la communauté de communes du Val de Sorne, porteuse du projet. En 2010, l’intercommunalité prenait la compétence petite enfance. Un an plus tôt, elle avait acquis une grosse propriété à la commune de Macornay. Le rez­de­chaus­ sée du bâtiment installé sur ce terrain, propriété de la com­ mune, a été mis à disposition de la communauté de communes et a permis le lancement des tra­ vaux. Financée à 70 % par des subventions extérieures (notam­

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D’une durée de trois jours, ils ont pour objectif la découverte de la faune sauvage de la région dans une ambiance conviviale. Accompagnés d’un guide nature de l’association, les participants auront le plaisir de s’immerger dans la nature jurassienne et de découvrir les espèces d’oiseaux et de mam­ mifères caractéristiques du massif, de profiter du paysage et du calme de cette nature tout en prenant du bon temps

autour des tables locales. Le séjour aura pour thème “Sur les traces du lynx”. Du 22 au 24 mars, vous découvrirez les merveilles de nature du Haut­ Jura, au pays du chat forestier, du cerf et bien sûr, du grand félin…

LPO Franche-Comté, 03 81 50 43 10 - franchecomte@lpo.fr http://franche-comte.lpo.fr Jura Tourisme, 03 84 87 08 88 sejour@jura-tourism.com

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/ Pays de Lons n°70 - Mars 2013

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Sports - Rugby

Le compte à rebours a commencé au C.S. Lons Sacré Champion de Bourgogne-Franche-Comté au terme d’une victoire d’anthologie décrochée à Beaune face à Dijon un fameux 5 mai 2012 qui restera dans les mémoires dans la cité de Rouget de Lisle, en début de saison, le CS Lons ne s’attendait pas à souffrir autant au sein d’une fédérale 3 qu’il retrouvait après trois années d’un long purgatoire en division d’Honneur.

C.S. LONS digest • 350 licenciés.

Une école de rugby destinée aux 5-15 ans.

• Une équipe cadets, une équipe juniors, deux équipes seniors, une équipe féminine moins de 18 ans, une équipe féminine plus de 18 ans, une équipe vétérans.

• 230 000 euros de budget pour la saison 2012/2013.

Palmarès Crédit photo : RA Lons

Champion de France Promotion (Troisième Division) : 1932 Champion de France Fédérale 2 : 2000 Champion de Franche-Comté : 1931

La mascotte du CSL Un dinosaure avec des gants de boxe, inauguré le 25 octobre 2008.

Boxe - Débuts réussis pour Larabi et Khatchaterian Dans le cadre du Critérium national de la catégorie super­légers, Mohamed Larabi (Ring athlétique Lons) a séduit le public toulon­ nais du gymnase du Port Marchand par sa détermination et ses enchaînements précis qui lui ont permis de battre aux points le boxeur local Samson Tshghrikyan, un jeune adversaire très motivé et dur au mal. Bien que blessé à la main droite dans la deuxième reprise, Larabi a dominé son rival.

Toujours pour le Critérium national, mais cette fois­ci en mi­ moyens, Gueram Khatchaterian (RA Lons) a créé la surprise en obtenant match nul à Epernay face au boxeur local Bryan Boussis.

Une belle opposition de style entre le technicien champenois Boussis et le puissant Franc­Comtois Gueram, en nets progrès.

A noter que le jeune boxeur amateur Ali Banazli (RA Lons) qui accompagnait Gueram a perdu aux points.

Versés dans la poule 7, aux côtés de Saint­Claude et de Champagnole, les Lédoniens avaient plutôt bien entamé leur saison avant de marquer le pas. Au point qu’à quatre matches de l’épilogue, ils vont devoir ferrailler ferme pour conserver leur place sur l’échiquier natio­ nal. “On savait que ça serait dur mais on est quand même en deçà de ce qu’on espérait au plan des résultats”, confesse le président Jean­Pierre Badin, à la tête du club depuis 2009. “Depuis quelques années, avec la professionnalisation du

rugby et la création du Top 14, le niveau de fédérale 3 est devenu bien meilleur.

Par un effet de domino, on a vu certains joueurs de l’élite intégrer des équipes de niveau inférieur. Idem pour certains joueurs étrangers et pour des jeunes pen­ sionnaires issus de centres de formation.

Pour ce qui nous concerne, il ne nous manque souvent pas grand­chose. Si ce n’est toutefois un manque criant d’expé­ rience à ce niveau et un peu de métier.

Quand on tient un résultat positif on a du mal à le conserver et à concrétiser”.

Actuellement 8e (sur 10, Ndlr), avec 20 points au compteur les Sang et Or du CSL ne possèdent qu’un petit point d’avance sur Thonon, leur principal rival pour le maintien. Sauf tremblement de terre, Champagnole étant déjà condamné à la relégation, il ne reste plus qu’une place sur l’échafaud. Celle de Lons ? Un scénario catastrophe auquel ne veut pas croire le président Badin qui espère bien voir le buteur écossais Corey Venus et ses parte­ naires redresser rapidement la tête. Ne serait­ce que pour récompenser le sou­

Il faut le savoir : C’est au lycée Rouget-de-Lisle, au début du XXe siècle, que le rugby fait son apparition à Lons.

Jusqu’avant la seconde guerre mondiale, les Lédoniens, autoproclamés “Enfants du Jura”, dominèrent le rugby régional.

Premier club associatif de la ville, l’Union sportive lédonienne voit le jour en 1905.

L’équipe joue alors en maillots cerclés vert et noir. L’effectif se compose de militaires du 44e R.I. de la garnison locale et de lycéens. tien inconditionnel du peuple de l’Ovalie Lédonienne et des cinq cents spectateurs qui garnissent régulièrement les travées Philippe Gavillet du Stade Dumas.

Crédit photo : Trans’organisation / Arnaud Sinistre

Mais aussi…

Cyclisme : Quentin Labous à Jura Cyclisme

Transjurassienne 2013 Biathlon - Un bon début de saison pour Quentin Fillon Maillet Une transju’ domptée par les Français !

En janvier, avant de partir pour Obertilliach, en Autriche où se sont tenus les championnats du monde junior, Quentin Fillon Maillet, le jeune biathlète de Saint­Laurent­en­Grandvaux, obtenait une place pour les IBU cup en Scandinavie, en terminant 2 et 3e Français aux sélec­ tions. Concourant avec les meilleurs biathlètes mondiaux, il se classait 35e en Suède puis 4e en Norvège. Il a également terminé champion et vice champion de France aux Championnats de France qui ont eu lieu aux Contamines. Arrivé en Autriche le 23 janvier pour une semaine intense de compétition, Quentin Fillon Maillet décroche la médaille d’argent en relais, avec ses 3 coéquipiers, Clément Dumont, Mathieu Legrand et Dany Chavoutier. Le 20 février dernier, il se classait 5e des championnats d’Europe à Bansko en individuel juniors. Il décrochait la même place le 24 février en poursuite.

Cette 35e édition de la Transjurassienne, épreuve de ski de fond la plus impor­ tante de France, s’est déroulée sous les meilleurs hospices. Neige et soleil étaient au rendez­vous les 9 et 10 février derniers, pour les 4 200 fondeurs, sur le parcours Lamoura­Mouthe. Les tricolores se sont emparés de l’épreuve, ce qui n’était pas arrivé depuis 2004 et la victoire d’Alexandre Rousselet et Anne­Laure Migneret. Sur le parcours historique du 76 km, Benoît Chauvet s’impose devant Adrien Mougel et Emilien Buisson. Chez les dames, c’est aussi une Française qui remporte le 57 km, Célia Bourgeois.

Quentin Labous, ancien pensionnaire de l’AC Bisontine, a signé le mois dernier à Jura Cyclisme. Agé de 19 ans, il terminait l’année der­ nière 4e du Grand Prix de Louhans, 5e du Prix de la Plaine Tonique à Montrevel, 9e du Prix des 2 Communes Morteau­Les Fins et du Sou­ venir Marius Vial aux Avenières, 12e du Prix du Pays de Montbéliard Agglomération ou encore 16e du Circuit de l’Etang à Saint­ Sernin­du­Bois.

Football : Aurélien Aubry nouveau coach du RC Lons

Suite au départ de Nicolas Debord, remercié par les dirigeants du RC Lons suite aux contestations des joueurs, c’est Aurélien Aubry qui a repris les rênes de l’entraînement. Il a été notamment gardien de but à Dijon et Grenoble.

Cross : 11 Jurassiens qualifiés pour les France

Le 17 février dernier, les Pré­France de cross à Bischwiller ont per­ mis à onze Jurassiens de décrocher leur ticket pour les championnats de France. L’Arinthodien licencié au DUC, Manu David, passe à côté du podium du cross long pour dix malheureuses secondes.

Pays de Lons n°70 - Mars 2013 /

JURAMONTS COMTÉ

Crémerie et épicerie fine SES COMTÉS ET SPÉCIALITÉS RÉGIONALES, VINS ET CHARCUTERIE…

COMME CHAQUE ANNÉE, LE COMTÉ JURAMONTS EST MÉDAILLÉ, EN 2012 : 2 MÉDAILLES OR ET 3 MÉDAILLES BRONZE AU CGA DE PARIS Toute l’équipe Juramonts vous réserve un accueil particulier au sein de sa crémerie.

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Tél. / Fax. 03 84 37 12 22 - 21, place des Déportés - 39800 POLIGNY www.comte-juramonts.com

Lons le Saunier - Journée de la femme

Les femmes à l’honneur !

La journée de la femme, le 8 mars, fêtera la naissance des premiers trophées des femmes d’exception Jura dans les locaux du Conseil général du Jura à Lonsle-Saunier. Cette cérémonie est la première du genre dans le département.

Mettre à l’honneur la contribution des femmes dans le monde économique, social et culturel, telle était la volonté de l’association Elles Jura avec cet événe­ ment. Ce club apolitique féminin a pour vocation de lutter contre les préjugés à l’encontre de la classe féminine, en favo­ risant la créativité et l’innovation au tra­ vers de la mixité. Par le biais d’un réseau de marraines, développé sur Champa­ gnole et le Sud Revermont, les bénévoles œuvrent également en faveur des femmes au chômage, en les accompa­

gnants dans leurs recherches d’emplois.

Nicole Guyot, présidente d’Elles Jura, explique la vocation de ces récom­ penses : “Le Jura a pas mal de femmes qui ont des responsabilités, mais elles sont rarement mises à l’honneur. Les tro­ phées permettront une reconnaissance portant sur le fait qu’elles participent à l’économie et à l’avancée du territoire”.

Les candidates ont été proposées par des membres de la structure en fonction de leur travail dans différents domaines comme l’art, le sport ou le domaine asso­

L’association Elles Jura, ses partenaires et sponsors se réunissaient le mois dernier afin de présenter les trophées des femmes d’exception à la presse.

ciatif. Les 19 candidates, âgées de 22 à 82 ans, sont nominées dans 6 catégories de trophée : femme d’exception, femme de conviction, femme de défi, femme de cœur, meilleur espoir et coup de cœur du jury. Brillante illustration de la mixité et de la singularité des parcours des nomi­ nées, Margot Laffite, pilote automobile et animatrice sur Eurosport, sera la mar­

Communauté de communes

Bresse Revermont lance sa saison culturelle

Crédit photo : P.Guyon ­ Bilboquet

Pour la deuxième année, après une saison test en 2012, la communauté de communes Bresse Revermont développe sa programmation culturelle. Celle-ci sera plus étoffée que l’année dernière, et touchera à tous les domaines, avec des tarifs accessibles à tous.

Le festival balades contées sera un des moments forts de la saison 2013.

“La communauté de communes a pris la compétence culture il y a trois ans, nous sommes partis de zéro !” explique Dominique Mean, vice­présidente en charge de la culture. Créer intégrale­ ment une saison culturelle inter­ communale en milieu rural, telle était le défi de l’élue de Bresse Revermont. Auparavant, les associations locales portaient et promouvaient individuellement leurs projets culturels. Aujour­ d’hui, les manifestations sont toutes regroupées au sein d’un document unique et synthé­ tique, au graphisme dynamique et moderne. Sorti en janvier, les “Culturales” regroupe les exposi­ tions, spectacles, conférences,

Théâtre et Opérette

Dole - Le Chanteur de Mexico

Cette opérette à grand spectacle est sans doute la plus connue, toutes générations confondues grâce à sa célèbre mélodie Mexico ! L’ouvrage, immortalisé par Luis Mariano, Bourvil et Annie Cordy, sera proposé pour la première fois à Dole dans une mise en scène de Pierre Sybil, sous la baguette de Jean-Pierre Boutte. Des décors magnifiques, des costumes chatoyants et une distribution de qualité : Mathieu Sempere (de la troupe des Stentors), Estelle Danière (des Folies Bergères, Nonnesens, Chantons sous la Pluie, Certains l’aiment chaud), Vanessa Cailhol (Cabaret, Mamma Mia, le livre de la Jungle, Les Misérables), sans oublier les incontournables Pierre Sybil, Fabrice Lelievre et Roby Faivre.

A La Commanderie à Dole, le samedi 20 avril à 20 h 30, et le dimanche 21 avril à 15 h Billetterie de La Commanderie, 1, Cours Clémenceau, Dole, 03.63.36.7000, Office du Tourisme de Dole et Lons, Magasins Fnac, Carrefour, Géant, Cora Auchan, Leclerc, Virgin Mégastore… de 20 à 40 euros.

raine de la soirée. Lors de la remise des prix, une exposition photos intitulée “Femmes et diversité au cœur de la République” sera présentée au public.

Claire Jacquesson

Entrée sur invitation.

Pour plus de renseignements : Elles Jura 5A rue Bougauld 39100 Dole, Tél : 03 84 79 85 96 www.elles-jura.fr

festivals… du territoire pour l’an­ née 2013. “Nous avons souhaité une culture accessible à toutes les générations, et dont le bud­ get n’est pas un frein. Les tarifs ne dépassent pas cinq euros” continue Dominique Mean. “La culture n’est pas réservée qu’aux grandes agglomérations. Un ter­ ritoire qui vit peut amener des gens à s’y installer. De plus, elle crée du lien social et décloisonne les générations”.

Trois animations portées par l’intercommunalité Les Vocal’s Nana, chorale fémi­ nine, proposera un concert “Chants du monde” le 12 avril prochain. Le festival balades contées sera un des moments forts de la saison, du 21 au 27 juillet. Il sera l’occasion pour les randonneurs de découvrir les thématiques des sentiers d’in­ terprétation au gré de leurs ren­ contres avec des troupes de théâtre. Enfin, “Débrayage”, le 26 octobre, sera le théâtre de plusieurs sketches drôles et

féroces. Autour de ces rendez­ vous, le but était aussi de fédé­ rer les associations culturelles existantes, en leur donnant un coup de pouce pour leur promo­ tion. On retrouvera ainsi le Bis­ trot Brassens, ou encore l’asso­ ciation Brin de cultures. Enfin, un partenariat avec l’Université Ouverte permettra de proposer des conférences sur des théma­ tiques locales.

C.G.

En projet un réseau de lecture publique intercommunale A terme, l’objectif est aussi de créer un réseau unique de lecture publique avec la médiathèque de Commenailles et les bibliothèques de Bletterans et Sellières. Il permettrait d’emprunter des livres dans un de ces sites, et de les ramener dans un autre, avec une carte d’abonnement unique. La communauté de communes est pour l’heure en attente des réponses de subventions. Le projet pourrait aboutir en 2015.

Montmorot - “Hold-up” Poligny - Marie

par les Catha’Strophes

La troupe de théâtre les Catha’Strophes de l’ESM théâtre répète depuis septembre leur prochain spectacle : “Hold-up”, de Jean Stuart. Une comédie en quatre actes, qui va les entraîner pendants deux heures dans une folle aventure. Dans la campagne à Lisieux, où un célèbre écrivain, Patrick, s’organise pour passer un week-end avec sa maîtresse, lorsqu’il voit surgir sa femme, sa très chère belle-mère accompagnée de son meilleur ami et sa nouvelle fiancée. Tout pourrait rentrer dans l’ordre si, à quelques kilomètres de là, deux gangsters ne venaient de faire le casse du siècle ! Après de nombreux quiproquos, le calme va-t-il revenir ?

Le 22 et 23 mars à 20 h 30 et le 24 mars à 16 h à la salle Georges Trouillot à Montmorot.

4 €, gratuit -10 ans.

Rémond raconte la vie d’André Agassi

André est un tennisman américain. André est classé numéro un mondial. André joue au tennis depuis trente ans. Mais André a un problème. André déteste le tennis… Un bandeau blanc sur la tête, Marie Rémond se met dans la peau d’André Agassi et casse le mythe du joueur américain. Elle montre la face cachée de la planète tennis. La pièce est inspirée de l’autobiographie d’André Agassi.

Le 12 mars à la salle des fêtes de Poligny

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Route des Villages La

Brery Loto des écoles Samedi 9 Mars Salle des fêtes à 20h, vente des cartes à partir de 19h. De nombreux lots et bons d'achats à gagner ! Organisé par les parents d'élèves des écoles de St-Germain-lès-Arlay et Bréry

Lons-Le-Saunier Brocante de Pâques Du 30 Mars au 1er Avril 40 exposants pro. De 9h à 19h les samedi et dimanche. De 10h à 18h le lundi. Entrée libre

Dédicace de Robert Viel Samedi 2 Mars A partir de 10 heures, à la librairie Guivelle, venez découvrir le second livre de Robert Viel : "J'irai marcher sur ses terres" Journée consacrée à la Russie et la Sibérie, échange sur ce pays qui demeure toujours très mystérieux pour les Français.

Spectacle Mercredi 6 Mars A 15h30 à la médiathèque. "Histoire des 4 vents", "Ecoute ! Les arbres ont frissonné…" d'Anne Sorbadère (Cie Eclats de lyre) Le spectacle s’inspire des sons de l’Asie et de son célèbre théâtre d’ombres. Pour les enfants de 6 mois à 8 ans. Sur inscription

Forgues, Avenue de Pau. Site : www.lons-accueil.fr

Quintigny Conférence “Jardiner Autrement” Jeudi 7 Mars Conférence organisée dans le cadre d'Université Ouverte “Jardiner Autrement” de Benjamin Baudiquez à la salle des fêtes à 18h30. Présentation de nouvelles méthodes de jardinage plus respectueuses de l'environnement.

Voiteur Les Bols Chantants Jeudi 7 Mars De 20h30 à 22h30, Salle de la Tour. Les bols chantants tibétains, par leurs sons et leurs vibrations, vous apporteront une relaxation profonde. Inscription obligatoire, par mail equilibrevoiteur@orange.fr ou par téléphone au 06 79 18 33 19

Conférence Mardi 12 Mars "De l'enfant roi à l'enfant tyran".

Animé par Marie-Jo Gacek, conseillère conjugale et familiale. Salle des Fêtes à 20h30.

Entrée libre et gratuite. Organisé par le Relais Assistantes Maternelles Itinérant, tél. 03 84 44 04 41 (Charlotte Girard)

Portes Ouvertes

Festival de Bridge

Samedi 16 Mars Au Collège de la Salette à Voiteur. De 9h à 17h. Visites en petits groupes avec professeurs, présentation de l'organisation pédagogique, rencontre autour d'un café

Du 30 Mars au 1er Avril De 9h à 20h. Salle Gérard

Le 23 et le 24 Mars

Râble de lapin aux girolles Recette pour 4 personnes Offerte par la brasserie Le Strasbourg

Ingrédients G G G G G G G G

4 râbles de lapin 400 g de Girolles 400 g de champignons de Paris 4 échalotes du Poitou 50 g de beurre 20 cl de fond de veau Sel et poivre 1 barquette de mâche

Carnaval

Théâtre “Derrière le rideau” Durant deux mois, la troupe de théâtre “les Baladins” a mis en place un atelier d’improvisation, de techniques de théâtre, de travail des émo­ tions… et présente “Derrière le rideau”. On ne sait pas ce qui se passe derrière le rideau si on n’est pas acteur… et là aussi il y a du spectacle.

Tarif : 6 et 8 €. Réservations au 03 84 37 30 50.

Poligny les 8 et 9 mars à 20h30 et le 10 mars à 17h à la maison des jeunes, Buvilly le 15 mars à 20h30, Brainans le 16 mars à 20h30, Passenans le 5 avril à 20h30, Lons le 3 mai à 20h30 à la salle du Puits-Salé et Arbois le 4 mai à 20h30.

Annoncez GRATUITEMENT vos manifestations sur www.paysdelons.fr Cette page Agenda nous est communiquée par les organisateurs.

Nous ne pouvons être tenus responsables en cas d’inexactitude.

E TAT C I V I L

RECETTE

Progression • • • • • • • • • •

Désosser les râbles en une pièce Rôtir les os et les panures Réaliser un fond avec le tout Ajouter 20 cl de fond de veau Réduire des 2/3 et passer à l'étamine Ciseler les échalotes et les tomber au beurre Ajouter les girolles et champignons de Paris hachés Cuire pour réaliser une duxelle sèche Assaisonner Disposer les râbles à plat pour obtenir une bande d'une seule pièce

Elliot de Edouard HUDECEK et Mélanie BAUDOIN, Dompierre­sur­Mont NAISSANCES de Damien FLEURY et Aurélie MOINE, Lou­Ann de Thomas BOINON et Céline PACCAUD, Augea Clémence Frontenay Oscar de Aurélien BOUVERET et Emilie DEFRASNE, Aron de Benjamin CUVELIER et Cindy REYBARD, Geruge Bonlieu Robin de Mathieu JEUNET et Mélanie GUYETANT, La Yolan de Damien LONCHAMPT et Gaëlle MANERA, Chaux­du­Dombief Bornay Lucas de Jérémy GRAND et Amélie ROBLIN, Chapelle­ Élisa de Philippe THIBERT et Sophie PELTIER, Larnaud Axel de Eddie GUYOT et Maïté GREBOT, Lombard Voland Jules de Xavier PERCIOT et Meggie TERRIEN, Charézier Maé de Eddie GUYOT et Maïté GREBOT, Lombard Melih de Zafer CICIN et Evelyne ONAY, Lons­le­Saunier Enzo de Olivier BLONDEAU et Stéphanie CUCHE, Yanis de Cédric DAVID et Laetitia LARIBI, Lons­le­ Châtillon Saunier Hugo de Peter DOUCHE et Céline GIMBRET, Conliège Ethan de Ghislain BURDET et Céline DOURIAUD, Cosges Léane de Olivier BILLON­GRAND et Laurence BARDY, Lons­le­Saunier Sacha de Richard MANDRILLON et Virginie GUYON, Sara de Yahia EL BOUKHRISSI et Fadoua SEFIANI, Lons­ Crotenay le­Saunier Quentin de Mickaël VANDELLE et Florence THOLIN, Cuisia Angelo de Divine AGBOR et Duygu BAL, Lons­le­Saunier

Louison de Thomas MANGE et Blandine KLINGUER, Lons­le­Saunier Rose­Marie de Jean­Noël CLÉMENT et Sandrine TOURNIER, Lons­le­Saunier Soulaymane­Ali de Zoubair ESSAJNANI et Christelle GATEAU, Lons­le­Saunier Sofiane de Redouane KALLOUBI et Mélissa EPAILLY, Lons­le­Saunier Yassine de Abdelkader EL GHARRABI et Touria DROUCH, Messia­sur­Sorne Noémie de Aurélien CELARD et Audrey MOREL, Montain Sara de Jérôme VIDAL et Magali GLISSANT, Montmorot Maher de Mohamed OUFKIR et Ichrafe TAILOUTA, Montmorot Lucas de Stéphane VINCENT et Ophélie MARILLIER, Montmorot Nathan de Willy VACHÉ et Julie BRIET, Picarreau

• Garnir avec la duxelle • Rouler en ballotin dans un film alimentaire • Cuire à la vapeur pendant 30 minutes

Dressage • Faire un buisson de mâche assaisonné • Trancher la ballotine et ranger en éventail • Napper avec le jus

Julia de Michel PERRIN et Manon REYMONDET, Poids­ de­Fiole Lucie de Philippe BATAILLARD et Sandrine GALUCHOT, Poligny Édouard de Benoit BADOZ et Virginie BERTHELOT, Poligny Lola de Laurent GAUTHERON et Marie LACROIX, Revigny Rémi de Frédéric VERJUS et Perrine PARENT, Saffloz Manoé de Nicolas MONTASSIER et Dorothée PASSERIEUX, Saint­Laurent­la­Roche Esteban de Martial TAIN et Caroline ROY, Saint­Lothain Marlène de Frédéric MONNIER et Lassavane KOFFI GEHLEN, Soucia Malo de Nicolas JEUNET et Vanessa DELORME, Tourmont April de Clément CATTENOZ et Anne­Camille SEYSSEL, Vernantois Hugo de Baptiste ROUTIER et Mélanie CULA, Villevieux

DÉCÈS GUYOT Renée, Arlay, 82 ans BOURGOUIN Geneviève, Arlay, 92 ans JACQUES Armande, Bletterans, 85 ans BERROD Suzanne, Bletterans, 88 ans MICHEL Ida, Chapelle­Voland, 79 ans VIRET Georgette, Chavéria, 89 ans VINARD Antoinette, Clairvaux­les­Lacs, 92 ans GUYÉTAND Henri, Clairvaux­les­Lacs, 86 ans BARBEY André, Courlaoux, 61 ans BALLAN Florian, Crotenay, 76 ans GARNIER Renée, La Marre, 90 ans GUICHARD Serge, Larnaud, 83 ans EISENMANN Marguerite, Lons­le­Saunier, 84 ans PARENT Antoine, Lons­le­Saunier, 73 ans MICHAUD Marie, Lons­le­Saunier, 85 ans JACQUOT Marie, Lons­le­Saunier, 87 ans BAILLY René, Lons­le­Saunier, 89 ans SAPPEZ Michelle, Lons­le­Saunier, 76 ans

VERPILLAT Andrée, Lons­le­Saunier, 89 ans CUSANT Andrée, Lons­le­Saunier, 87 ans DUCRET Jean, Lons­le­Saunier, 69 ans SIREDEY Geneviève, Lons­le­Saunier, 89 ans NOUVET Marie, Lons­le­Saunier, 95 ans SOURY Christian, Lons­le­Saunier, 49 ans ESTEVES Luis, Mantry, 75 ans SCHNEUWLY Marcelle, Montaigu, 90 ans GANDELIN Odette, Montmorot, 89 ans RELING Jean­Louis, Montmorot, 65 ans GOLAY Isabelle, Patornay, 48 ans DAMELET Odette, Publy, 90 ans BOIS Eugénie, Revigny, 93 ans GUYET Gisèle, Saint­Didier, 71 ans FERRUT Lucette, Thoiria, 92 ans CARNET Roger, Vernantois, 86 ans BEZIN Paulette, Villevieux, 85 ans GALLET René, Vincelles, 86 ans

Pays de Lons n°70 - Mars 2013 /

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des lacs et du Revermont

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DPE E.

RUFFEYSUR-SEILLE : Maison indépendante sur 1520 m2 de terrain, comprenant 2 logements, dépendances, chauffage gaz: 180.000 €. DPE D.

ARLAY : Maison mitoyenne sur un coté, type F4, dépendance, terrain de 6 ares 78 centiares : 132.000€. DPE F. ARLAY : Maison en pierres, à rénover, sur deux niveaux, dépendances, terrain. Prix: 99.500€. DPE G. BOSJEAN : Ferme bressane rénovée : 197.000€. DPE D. CHAPELLE VOLAND : Immeuble d’habitation de Type F6 habitable à rénover avec terrain-dépendances : 145.000€ à débattre. DPE F. CHAPELLE VOLAND : Maison indépendante à terminer de rénover, dépendance, terrain de 44 ares 92 centiares : 102.000€. DPE F. LE PLANOIS : Maison de plain pied récente de Type F5, dépendance séparée, sur 19a de terrain : 165.000€. DPE D. LE PLANOIS : Maison Type bressane entièrement rénovée, dépendance, terrain de 15a environ : 195.000€. DPE D. BEAUREPAIRE EN BRESSE : Maison indépendante sur sous-sol, type F4, combles en cour d'aménagement, terrain de 2170 m2. 143.000 €. DPE D. BEAUREPAIRE EN BRESSE : Maison rénovée de type F5 sur sous-sol, terrain derrière la maison : 150.000 €. DPE E. COMMENAILLES : Deux terrains à bâtir de 13 ares, viabilisés : 35.000€ chacun.

COURLANS: Maison à rénover avec grand terrain et dépendances: 95.700 €. DPE G. CHAUMERGY : Deux terrains à bâtir : l'un de 927 m2: 22.000€. / l'autre de 940 m2: 25.000€.

BOIS DE GAND : Grande maison d’habitation avec box à chevaux attenant état neuf et terrain : 577.000€ à débattre. DPE D. BLETTERANS : Immeuble au Centre. 5 logements différents types-cour-dépendances : 195.000€. DPE E. BLETTERANS : Terrain à bâtir de 1950 m² : 35.000€.

BLETTERANS : Centre bourg: maison rénovée de type F3 sur deux niveaux, cuisine équipée, grenier, dépendances, terrain.110.000 €. DPE D. RUFFEY-SUR-SEILLE : maison renovée sur deux niveaux, cour devant, terrain derrière, terrasse, jardin, pré pour 4346m2.160.000 €. DPE E. RUFFEY-SUR-SEILLE : Bâtiment à rénover à usage d’habitation: 80.000€. DPE G. NANCE : Deux terrains à bâtir de 35 ares chacun : 40.000€ chacun.

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/ Pays de Lons n째70 - Mars 2013