Pays de Lons 77

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N°77 Novembre 2013

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Le bassin versant de l’Ain amont ne possédait pas encore de contrat de rivière. Le projet est en phase d’élaboration depuis la création du comité de rivière. Il concerne 106 communes jurassiennes. p. 2

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2 l’essentiel de l’info

Pays de Lons n°77 - Novembre 2013

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Un contrat de rivière Ain amont en projet Plusieurs réunions viennent de se dérouler dans le département pour le présenter et échanger avec les acteurs concernés (agriculteurs, pêcheurs, usagers des milieux aquatiques pour des activités sportives...).

Cent cinquante personnes environ ont participé aux trois réunions d’information et d’échanges qui étaient organisées récemment sur le projet de contrat de rivière Ain amont. Elles étaient dirigées par Michel Balland, président du Comité de rivière, instance créée en octobre 2012. Trois commissions thématiques ont été constituées pour travailler sur les différents objectifs : la gestion quantitative et qualitative de l’eau ; la préservation, restauration des milieux aquatiques et du patrimoine naturel ; la valorisation du territoire, tourisme, communication et gouvernance. Le périmètre du projet concerne 106 communes jurassiennes, des sources de l’Ain jusqu’à l’amont de Vouglans.

Lors des réunions, les intervenants ont expliqué quelles étaient les prochaines étapes pour aboutir à ce contrat, applicable en 2015. Parmi les actions à venir, des études complémentaires vont être lan­ cées. Dans les jours qui viennent, une étude d’un an démarrera pour aboutir à un diagnostic agri­ cole, autrement dit arriver à définir un programme hiérarchisé d’actions nécessaires pour réduire les pollutions ponctuelles et les pollutions diffuses. Une étude sur les cours d’eau sera également menée pendant un an dès janvier pour mettre en place un plan de gestion et des fiches action afin d’amé­ liorer le fonctionnement naturel des cours d’eau. Des acquisitions complémentaires de données sur la qualité des cours d’eau devront être faites d’ici septembre. Un travail de sensibilisation sur les zones humides a déjà démarré et se poursuivra car le bassin versant de l’Ain amont (925 km2, envi­ ron 360 km de cours d’eau principaux) comprend de nombreuses zones humides et aussi de nom­ breux espaces naturels bénéficiant d’une protection. Le Conseil général investira 600 000 euros dans ce contrat.

Céline Trossat

CONSEIL MUNICIPAL DES ENFANTS

Timothé Santus nouveau maire

Il s’agissait d’élire, parmi eux, l’enfant qui assumera le rôle de maire pen­ dant un an. De nombreux élèves s’étaient porté candidats. C’est finalement Timothé Santus qui a emporté l’élection. Pur hasard, il succède à sa cousine, Emma.

Devant les enfants, le député­maire Jacques Pélissard a remis son écharpe de maire à Timothé. Il a rappelé aux jeunes élus “l’importance de la confiance donnée par les électeurs, de toujours œuvrer dans le sens de l’in­ térêt général et les responsabilités qu’incombe un mandat local”.

Les enfants vont d’ores et déjà pouvoir se mettre au travail. Ils partageront leurs idées au sein de trois commissions distinctes : sports, développement durable et culture. Certaines de leurs propositions remonteront devant le conseil municipal des adultes.

Les vingt-sept jeunes conseillers municipaux de Lons-le-Saunier, choisis par leurs camarades de classes des écoles primaires, viennent de se réunir en mairie pour un rendez-vous important.

La Ville de Lons-le-Saunier vous invite le 30 novembre 2013 - Place de la Liberté 17 h Lancement des illuminations de Noël Papillotes & Vin chaud 17 h 30 Concert de la Batterie-fanfare de Lons OFFERTS !

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Pays de Lons n째77 - Novembre 2013

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4 l’essentiel de l’info ILS L’ONT DIT ÉCHOS DE LA BLOGOSPHÈRE ET TWITTOSPHÈRE LOCALES

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Pays de Lons n°77 - Novembre 2013

LONS

Le “Petit ange de Colombie” est de retour Albeiro Vargas, le Petit ange de Colombie, a bien grandi aujourd’hui… Beaucoup ont découvert grâce aux médias l’histoire de ce petit garçon colombien de tout juste six ans qui décida de s’oc­ cuper des personnes âgées de la rue et des bidon­ villes. Aujourd’hui, Albeiro Vargas a 34 ans, il s’est marié, mais il reste toujours aux yeux de beau­ coup le Petit ange de Colombie. Depuis 29 ans, il continue son action avec la même énergie.

Albeiro est connu à Lons­le­Saunier car pendant plusieurs années, il a entretenu des liens avec la ville et les jeunes du foyer Saint­Joseph. De pas­ sage à Lons pendant plusieurs jours le mois der­ nier, Albeiro a donné une conférence au centre diocésain de Montciel. L’occasion pour Philippe Cannard, Directeur du Centre communal d’action sociale de Lons­le­Saunier, qui l’a bien connu, de revenir sur l’histoire hors du commun du jeune homme. “Au cœur de sa fondation en Colombie, il prend en charge les personnes âgées abandon­ nées dans les rues, en se faisant aider par les enfants du quartier. La fondation finance les frais de scolarité et les uniformes des enfants. D’années en années, ils prennent du grade et deviennent à leur tour Anges gardiens” raconte Philippe Can­ nard qui a déjà visité à six reprises la fondation colombienne. “C’est le directeur de l’époque du foyer Saint­Joseph, Jean­Marie Ducquet, qui avait

GÉRARD PIARD, BLOG “QUOI DE NEUF DANS LE JURA” “L’aéroport de Dijon-Bourgogne traverse une grande zone de turbulences. Avec le désengagement financier du Conseil général de Côte-d’Or et les menaces qui pèsent sur la base aérienne de Longvic, les Bourguignons sont dans une mauvaise passe. Nous aurions grand tort de nous en réjouir”.

JEAN-PHILIPPE LEFÈVRE BLOG “DOLE-LA PROMESSE DE L’AUBE” “Yves Deschamps Président d’honneur des Scènes du Jura nous a quittés (…). Les souvenirs se bousculent. J’en garde un : nous sommes fin août 1995 à Aurillac au festival du théâtre de rue, il est rayonnant, impérial souriant… Il me “chaperonne” une bouteille de champagne à la main… des verres dans l’autre… Il est alors le “pape” du théâtre de rue au ministère de la culture ; moi j’ai 31 ans et j’ai le sentiment d’être aux côtés d’une star ni plus ni moins… mais bien plus qu’une étoile, Yves Deschamps a été pour beaucoup d’entre nous un soleil auprès duquel nous venions chercher la chaleur du réconfort et de l’apaisement”.

JACQUES PÉLISSARD PAGE FACEBOOK DU DÉPUTÉ-MAIRE DE LONS-LE-SAUNIER “Et si le bénévolat était intégré, sous certaines conditions, dans le calcul des retraites ?

Je viens d’écrire au Premier Ministre Jean-Marc Ayrault afin d’attirer son attention sur une disposition qu’il semble juste de pouvoir étudier dans le cadre du projet de réforme des retraites débattu actuellement par le Parlement”.

DANIELLE BRULEBOIS BLOG DE LA VICE-PRÉSIDENTE DU CONSEIL GÉNÉRAL DU JURA “Denis Trossat, trésorier général de la Fédération française de football est venu luimême remettre le label argent du district à l’école de foot de Bletterans-Commenailles.

Ce précieux diplôme récompense la qualité de l’accueil, de l’encadrement et des actions éducatives du club. C’est aussi la reconnaissance du travail dévoué des éducateurs et des bénévoles qui, tout au long de l’année, sensibilisent les jeunes aux valeurs de respect, de tolérance, de partage et de solidarité. Le football représente, pour tous ces jeunes licenciés, un vecteur de socialisation et d’apprentissage du civisme”.

MARC-HENRI DUVERNET BLOG DU CONSEILLER GÉNÉRAL DU JURA “Inauguration des logements étudiants de l’Ecole Supérieure du Professorat et de l’Education (ESPE) de Lons-le-Saunier (...) : l’opération a donc consisté à restructurer 42 chambres de 9 m² minimum avec ajout d’une cabine de douche de 1,5 m² (...). Le coût total de l’opération, entièrement financée par le Conseil général est de 1 547 000 euros”.

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“CE QUI VA VRAIMENT SAOULER LES FRANÇAIS”

La filière vin en colère L’association nationale Vin et société, intégrant la filière vini/viticole jurassienne, lance une campagne de mobilisation contre les cinq mesures envisagées par le gouvernement afin de renforcer la loi Evin.

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Céline Garrigues

“Ce qui va vraiment saouler les Français” : voici le nom éloquent de cette grande campagne de mobilisation, relayée par un site éponyme. L’association Vin et société, représentant tous les acteurs de la filière vini/viticole française, et soutenue par le Comité interprofessionnel des vins du Jura, se sent stigmatisée par ce renforcement de la loi. Cinq mesures envisagées sont à l’ori­ gine de la colère des viticulteurs : l’interdiction de parler du vin sur Internet, l’interdiction de par­ ler positivement des vins dans les médias, une taxation supplémentaire, la radicalisation du mes­ sage sanitaire, et le durcissement des mentions sanitaires sur les étiquettes. Ce qui agace les professionnels de la filière : l’assimilation du vin à une drogue qui serait nocif dès le premier verre.

Dans le Jura, les acteurs de la vigne se mobilisent aux côtés de la filière française. “S’il y a une taxa­ tion supplémentaire, le prix de la bouteille de vin pourrait augmenter de 30 à 60 centimes par bou­ teille. Il y aurait donc moins de ventes, et toute la filière jurassienne en pâtirait” tonne Franck Vichet, coopérateur au Caveau des Byards et représentant pour le Jura de Vin et Société. “La filière représente plus de 1 000 emplois dans le Jura, pour 600 000 bouteilles vendues par an. Compte tenu de la conjoncture, on ne peut pas se priver du deuxième secteur exportateur français !”. Mais derrière cette dimension économique, les viticulteurs se sentent méprisés et montrés du doigt.

“Nous ne sommes pas des dealers, nous prônons la modération. Nous sommes responsables et faisons de la prévention ! Qu’on nous laisse gagner notre vie !” reprend Franck Vichet.

D’ici quelques mois, les parlementaires devront se pencher sur ces mesures. L’association Vin et société a souhaité d’ores et déjà anticiper la concertation avec le gouvernement avant une éven­ tuelle légifération. “Dans le Jura, nous avons la chance d’avoir des parlementaires qui nous sou­ tiennent. Mais d’autres territoires français ne sont pas viticoles, et il faut sensibiliser les députés à la dimension culturelle du vin”. Pour l’heure, la MILDT (mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie) a déjà fait marche arrière sur la première mesure concernant l’interdic­ tion de la publicité des vins sur Internet.

Céline Garrigues

SARROGNA investit pour une eau potable de qualité L’unité de traitement de l’eau potable par ultrafiltration a été inaugurée, mi­octobre, dans la commune de Sarrogna, en Petite Montagne. “C’est une technologie simple et fiable, qui garantit une eau de qualité et constante”, a expliqué le maire, Jean Carron, en présence du préfet et de plusieurs élus. La commune distribue l’eau potable en régie sur sept hameaux.

Le coût global de cette opération est de 378 691 euros. Il restera 85 699 euros à la charge de la commune car elle a perçu différentes subventions : 107 792 euros de l’Agence de l’eau, 43 339 euros du Conseil général, 71 861 euros du Fonds de solidarité rurale et 70 000 euros de l’Etat au titre de la Dotation d’équipement des territoires ruraux.

PRÉCARITÉ Energie Logis : 300 familles accompagnées Le président du Conseil général, Christophe Perny, et le directeur d’EDF collectivités grand Est, Denis Violle, viennent de faire un premier bilan positif de leur partenariat. Fin 2012, ils avaient pris l’initiative de lancer le dispositif “Energie Logis ; Mieux vivre dans un logement sain et économe”.

D’ici la fin de cette année, quelque 300 familles en situation de précarité auront ainsi bénéficié d’un accompagnement personnalisé afin de leur permettre de mieux maitriser leur consommation d’énergie.

56 foyers ont déjà été accompagnés individuellement et 150 ont participé à des ateliers pour s’approprier notamment les “éco­gestes”. “Certains locataires ont pris conscience de la nécessité d’évoluer”, explique Chris­

pris contact avec Albeiro par le biais d’une asso­ ciation. Il est ensuite venu régulièrement à Lons, tous les deux ans, rencontrer les jeunes du foyer.

Des échanges – courriers postaux pour les fêtes, les anniversaires, des dessins, des visioconférences – étaient également réguliers entre les Anges gar­ diens et les jeunes du foyer”. Des liens solides dépassant les frontières géographiques à travers lesquels les enfants parlaient de leur culture, leur école, leurs loisirs… “Je l’ai rencontré pour la pre­ mière fois en 1998, il avait vingt ans. Très rapide­ ment, je me suis rendu compte qu’on pouvait lui apporter nos techniques en gérontologie. Par contre, pour la question de l’humain, il était beau­ coup plus avancé que nous. Dans sa fondation, chacun a un rôle social. C’est ce qui m’a impres­ sionné : le côté humain, social et chaleureux”.

A 16 ans, Albeiro Vargas recevait les “clefs de la ville” de Lons­le­Saunier par les mains du député­ maire Jacques Pélissard. Depuis, Philippe Cannard a gardé contact avec certains des Anges gardiens de la fondation. “Aujourd’hui, une dizaine de jeunes ont un emploi, et me disent que c’est grâce à Albeiro qu’ils sont sortis du quartier. Là­bas, l’in­ tergénérationnel, c’est du concret, c’est naturel, les jeunes s’occupent des anciens !”.

tophe Perny. Ainsi, un locataire a quitté son logement très énergivore. Un autre a monté un dossier d’aides afin d’acquérir un poêle à bois pour son logement chauffé initialement à l’électricité. EDF a également remis un kit énergie solidarité aux 206 foyers déjà soutenus. De son côté, le Conseil général a choisi d’en acheter 500 supplémentaires et de les distribuer à des foyers jurassiens également bien ciblés.

La collectivité et EDF n’entendent pas s’en tenir là et réfléchissent déjà à d’autres actions. Une réunion d’information destinée aux bailleurs privés est en cours d’organisation sur le thème de la fiscalité et des aides à la rénovation thermique.

EXPRESS LONS-LE-SAUNIER CULTURE : UN CENTRE D’EXPOSITION D’ARTS PLASTIQUES EN PROJET La 2e tranche des travaux de rénovation de l’Hôtel de Balay rue des Cordeliers a débuté fin octobre. Une fois la réhabilitation terminée, le bâtiment devrait abriter un centre d’exposition d’arts plastiques. La première phase, en 2012, concernait le gros œuvre et représentait un investissement de 277 087,85 euros H.T. pour la Ville. Cette deuxième tranche s’étalera sur douze mois et consistera à restaurer l’ensemble extérieur de l’édifice, pour un investissement de 597 580,76 euros H.T. (subvention de 145 000 euros de la DRAC et 145 000 euros du Conseil général). Quand les travaux seront terminés, le Centre d’exposition d’arts plastiques de l’Hôtel de Balay ainsi que la Médiathèque 4C constitueront un beau centre culturel.

LONS EST AMIE DES ENFANTS !

Lons-le-Saunier fait officiellement partie du réseau "Ville amie des enfants" attribué par l’Unicef France. Le dossier a été déposé l’été dernier par Jacques Pélissard, préparé par les différents services. Enthousiasmée par les réalisations lédoniennes, Michèle Barzach, la présidente de l’Unicef France, a donné son accord et devrait venir en personne à Lons pour la remise du titre.

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Pays de Lons n°77 - Novembre 2013

I Publirédactionnel

Générale d’optique

le savoir-faire des Jurassiens au service des Jurassiens

Mais que dire de l’immense magasin de 150 m2 entièrement aménagé qui abrite une salle d’examen de vue high­tech, des rayonnages compilant pas moins de 1 600 montures de lunettes de vue et solaires de grandes marques disponibles sur l’instant (Podd, Urbaz, Sensaya, Metis, Ray Ban, Gucci…) et tout un assortiment de lentilles et leurs produits d’entretien. Là, vous attend Frédéric Henriet. Jurassien “pur jus” né à Nozeroy, le dynamique chef d’entre­ prise diplômé de l’École nationale d’optique Victor­Bérard de Morez revendique son atta­ chement à son terroir natal. Au point d’avoir

choisi d’encadrer une équipe de quatre opti­ ciens diplômés ayant suivi dans la même école le même cursus que lui. Rencontre.

Frédéric Henriet, pouvez­vous nous éclairer sur le concept que vous développez dans votre enseigne ?

Ici, il n’y a pas de “vendeurs de lunettes” mais une équipe de quatre opticiens uniquement composée de professionnels compétents. Ils sont spécialisés dans le verre progressif et par­ ticulièrement formés à la prise de mesure. Trois d’entre eux ont plus de quinze ans de métier et

nous permet de pratiquer ces tarifs particuliè­ rement attractifs. Par ailleurs, nous sommes attachés à certains détails qui pour nous ont de l’importance. Par exemple, nous ne commer­ cialisons jamais les montures en exposition.

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PaysDolois154 ­ Nov2013

Frédéric Henriet (deuxième en partant de la gauche) accompagné de son équipe.

leur formation les autorise tous à pratiquer la vérification visuelle. C’est un réel avantage pour les clients puisque depuis 2007 les renou­ vellements d’équipements ne sont plus subor­ donnés à l’obtention d’une nouvelle ordon­ nance, ces dernières ayant maintenant une durée de validité de trois ans.

Vous avez ouvert il y a trois ans un magasin à Dole. Qu’est­ce qui a motivé votre installa­ tion à Lons ?

Il y a longtemps que j’y pensais car les gens venaient de tous les coins du département s’équiper à Dole. Nous étions attendus par la clientèle et depuis l’ouverture, les clients sont au rendez­vous. Nous nous appuyons sur une entreprise créée en 1992 et qui possède désor­ mais plus de 500 magasins répartis dans tout l’Hexagone. En France, une paire de lunettes sur dix vendue porte notre griffe. Dans le cadre de notre ouverture, nous vous offrons un chèque de remise de 50 % à valoir sur toutes les montures optiques.

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Installée depuis début septembre à Montmorot en bordure de la RN 83 en lieu et place de l’ancien magasin “Tout Occas”, à un jet de pierre de Lons, en direction de Bourg-en-Bresse, l’enseigne Générale d’optique a trouvé là un emplacement idéal pour l’accueil de la clientèle grâce à un spacieux parking privatif.

6 l’essentiel de l’info

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Pays de Lons n°77 - Novembre 2013

Open Data du Jura

Plus de transparence pour les Jurassiens

Alain Pernot, alias le Dindon Enchaîné, vient de lancer le premier Open Data du Jura.

C’est un particulier, que beaucoup connaissent déjà pour son journal satirique jurassien, qui est l’initiative de cette démarche. Le “Dindon Enchaîné” a déjà mis en ligne plus de 12 00O documents sur le premier Open Data du Jura (et de Franche­Comté) lancé le mois dernier. Ce terme désigne la mise à disposition gratuite des documents publics (délibérations, données budgétaires…) à destination de tous les citoyens. “L’idée est de mettre un maximum de données qui ne sont pas la propriété des élus” explique Alain Pernot, alias le Dindon Enchaîné.

Si la marche de la libération des données publique reste lente en France, Alain Pernot note une amélioration : “Il y a eu des progrès en dix ans. Certaines municipalités ou intercommunalités jurassiennes font des efforts et publient déjà sur leur site l’intégralité de leurs délibéra­ tions et de leur budget. Mais il y a encore du chemin. Nos élus n’ont pas cette culture de la transparence. Ils oublient un peu trop facilement qu’ils ont des comptes à rendre !”. Les données publiques, un secret d’alcôve ? On pourrait le croire, au vu des réticences manifestées par certaines collectivités. A plus de 70 reprises, Alain Pernot a dû saisir la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA). Pour

La mise à disposition gratuite des données publiques peine à se développer en France. Son objectif : plus de démocratie et de transparence.

Le premier Open Data du Jura vient de voir le jour.

l’heure, le site héberge certains documents que l’on ne trouvera plus aujourd’hui (des délibérations antérieures à 2003 du Conseil général du Jura), mais aussi une pléthore d’autres informations : comptes­rendus de réunions, données budgétaires, subventions, résultats d’élections, professions de foi, comptes de campagne pour les villes jurassiennes importantes… Alain Pernot est en train d’envoyer une série de cour­ riers à toutes les collectivités et syndicats mixtes du Jura. “Les plus grosses carences concernent les syndicats des eaux dans le Jura et le traitement des ordures ménagères : il y a un gros travail à faire !”. Le Dindon Enchaîné souhaite par la même occasion lancer un message à tous les élus souhaitant jouer le jeu : le site est à leur disposition. Quel que soit le besoin – ou non – des Jurassiens quant à ces données, “l’im­ portant est le droit de regard et la possibilité de les consulter” souligne­ t­il. A terme, un usage économique pour les entreprises pourrait être complémentaire de l’usage citoyen.

Céline Garrigues

http://wikileaksjura.canalblog.com/

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E-Tourisme Le CDT du Jura forme les ANT de Franche-Comté

Dans le cadre de ses missions de formation aux nouveaux métiers du numérique, le Comité départemental du tourisme (CDT) du Jura vient de lancer un nouveau module destiné aux offices de tourisme de toute la région. Cette formation d’Anima­ teur numérique de territoire (ANT) avait été lancée en 2012, et se déploie aujourd’hui dans toute la Franche­Comté. “L’objectif est de professionnaliser les offices de tourisme en développant le numérique afin de répondre aux nouvelles attentes des touristes” explique Adeline Jeunot, chargée de développement territorial au CDT du Jura. En effet, aujourd’hui, 40 % des touristes utilisent leur smartphone pour organiser leur séjour, et 80 % des réserva­ tions se font en ligne. Un virage numérique à ne pas rater pour les OT. A la fin de la session, quinze ANT seront formés, dont sept dans le Jura (Lons­le­Saunier, CDT du Jura, Arbois, Salins­les­ Bains, Dole, Jura Mont Rivières et Saint­Claude). Ils accompagne­ ront les OT dans le développement des outils numériques : site Internet, visibilité, référencement, mobilité et m­tourisme, réseaux sociaux, et e­réputation.

C.G.

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Zéro gâchis zéro déchets

l’essentiel de l’info 7 IME DE MONTAIGU Grâce à Vivaldi, 11 résidents ont signé un contrat

Une journée pour sensibiliser au gaspillage alimentaire A l’initiative du SYDOM du Jura, et avec le concours financier de l’ADEME, de la DRAAF et du Conseil général du Jura, la journée “Zéro gâchis, zéro déchet” le 19 novembre prochain aura pour objectif de mobiliser les professionnels et les particuliers contre le gaspillage alimentaire.

Depuis cinq ans, le SYDOM du Jura intervient déjà dans les établissements scolaires du départe­ ment pour sensibiliser les élèves au compost des déchets organiques. “En entrant dans les cui­ sines, on s’est rendu compte qu’il y a beaucoup de gaspillage. Faire peser les déchets devenait déjà un geste plus concret pour s’apercevoir qu’il y en a beaucoup dans les poubelles” explique Bénédicte Jorcin, chargée de mission prévention au sein du SYDOM. Le but de cet évènement sera aussi d’impliquer un maximum de public, car nous pouvons tous devenir acteurs : restau­ rateurs collectifs et privés, collectivités, établissements publics… La matinée de 9 h à 12 h sera destinée aux gestionnaires, chefs d’établissements scolaires, cuisiniers et responsables de col­ lectivités territoriales afin d’échanger, partager et s’informer sur la lutte contre le gaspillage ali­ mentaire. “Il y aura six intervenants qui ont réellement mesuré leur gaspillage” reprend Béné­ dicte Jorcin. “Dans un lycée, la moyenne française de gaspillage est de 134 g par assiette. Le lycée Saint­Pierre de Bourg­en Bresse en est à 8 g par assiette. Des solutions ont été trouvées, dont les participants pourront s’inspirer”.

L’après­midi, de 12 h à 16 h, des ateliers d’éducation au goût seront proposés aux écoliers, col­ légiens et lycéens. L’idée sera de faire appel davantage à son odorat et autres sens pour dégus­ ter, en oubliant le côté visuel des plats.

Enfin, en soirée, le SYDOM réservera une surprise aux participants : la première “disco soupe du Jura”, où chaque convive devra apporter son économe.

C.G.

Disco soupe ouverte à tous, le 19 novembre au CarCom de Lons-le-Saunier à partir de 18 h 30.

Gratuit, amener un économe.

Le groupe Ugecam et ses entreprises partenaires se sont retrouvés récemment pour fêter leur premier anniversaire de collaboration.

L’opérateur de santé Ugecam a signé, pour une deuxième année, la charte Vivaldi avec une trentaine d’entreprises partenaires. Ces dernières s’engagent ainsi à accueillir au sein de leur structure des résidents de l’Institut médico­ éducatif Les Cent Tilleuls de Montaigu afin de leur propo­ ser un parcours d’évaluation­diagnostic et d’orientation pour préparer les étapes d’un projet professionnel.

Il s’agit d’une formation plutôt innovante sur le marché local, dont les retombées sont d’ores et déjà positives. Car depuis la mise en place de la charte en septembre 2012, 56 personnes ont été accompagnées par les partenaires.

Pour onze d’entre elles, cela a abouti à la signature d’un contrat d’apprentissage ou contrat aidé. Par exemple, deux adultes de l’IME, qui avaient été employés au ser­

vice Espaces verts de la municipalité de Lons­le­Saunier, ont vu leur mission prolongée par la signature d’un contrat aidé de six mois, contrat que la mairie souhaite­ rait pouvoir renouveler.

Une dizaine de personnes ont également abandonné la formation, dont la moitié du fait de leurs problèmes de santé. Pour trois d’entre elles, des demandes d’orienta­ tion ont été formulées auprès de la Maison départemen­ tale des personnes handicapées. Treize sont actuellement à la recherche d’un emploi (six ont été mises en contact direct avec des entreprises). Dix­huit suivent un parcours de formation balisé et initialisé dès la fin de la mission Vivaldi. Enfin, une personne exerce déjà un nouveau métier qu’elle a choisi.

Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons n°77

I Publirédactionnel

ou quand la gourmandise… le dispute au confort La Maison d’Eusébia est idéalement nichée à l’entrée du village de Château Chalon considéré comme l’un des plus beaux villages de France. Le restaurant La Maison d’Eusébia accueille les visiteurs dans l’ancienne bibliothèque des abbesses de la cité médiévale rendue célèbre par son fameux Vin Jaune.

Propriétaires des lieux, Cécile et Laurent Peirano ont entièrement rénové l’intérieur de ce bâtiment histo­ rique datant du 18e siècle, qui allie désormais le charme discret et apaisant des vieilles pierres à un confort moderne. Le restaurant de vingt six couverts propose une ambiance contemporaine propice à la détente et la dégustation. C’est dans ce cadre super­ bement aménagé que Laurent, cuisinier autodidacte depuis 20 ans régale ses convives d’une cuisine d’hier et d’aujourd’hui. Il élabore ses plats avec des produits locaux, frais et de saison qui sont cuisinés et mis en œuvre sur place ; pas question pour lui de céder à la facilité de l’assemblage. Laurent a concocté une nou­ velle carte sur laquelle, entre autres délices culinaires, les noix de Saint Jacques rôties à l’orange et orzo côtoient un magret de canard au gratin de kiwis.

Quant à la carte des vins du Jura et d’ailleurs, il va

sans dire qu’elle est à l’avenant de ce foisonnement gourmand. Le tout pour des tarifs parfaitement abor­ dables : formules de 28 à 42 euros.

Pour les couples et les familles en quête d’authen­ tique, La Maison d’Eusébia dispose de confortables et spacieuses chambres de charme équipées de télé­ vision à écran plat, WiFi, lits de relaxation ainsi que baignoire et douche dans chaque chambre.

Douillettement installé vous pourrez profiter d’un grand bain bouillonnant à 37° dans la jolie cave voû­ tée ou à votre demande Cécile la maîtresse de maison, esthéticienne de métier, sera en mesure de vous proposer des massages de détente et de relaxation. C’est dire qu’à La Maison d’Eusébia on sait choyer ses clients et les dorloter… Pour satisfaire davantage notre clientèle, nous faisons construire une piscine chauffée pour cet été.

Bons civaedrsaeirae,ux Ann cadeaux de noël, fêtes des mères…

r : dîner, nuitée, Au choix, combine et carte de soins, accès à notre Spa dégustation atelier de cuisine et gneron. Une idée de vins chez un vi plaisir. simple pour faire

Cécile et Laurent Peirano - La Maison d’Eusébia - Chambres de charme, Spa, Restaurant.

2, rue Ducret - 39210 Château Chalon - Jura - Tél. 03 84 44 92 10 - www.eusebia.fr - Email : maisondeusebia@gmail.com

8 éco et commerces

Pays de Lons n°77 - Novembre 2013

Rivoire-Jacquemin

EXPRESS

Bel ouvre ses portes

INVESTISSEMENT

L’usine Bel de Lons­le­Saunier recevait le mois dernier la visite du député­maire Jacques Pélissard et ouvrait ses portes à la presse. L’occasion de plonger dans les coulisses du site lédonien du troisième groupe mondial de fromages de marque. Si cette visite, strictement encadrée, n’aura pas dévoilé les secrets de fabrication du célèbre fromage fondu, elle aura fait le zoom sur un des fleurons de l’économie jurassienne. Yann Lamblin, directeur du site depuis quatre ans, commençait par présenter l’activité du groupe. Bel, c’est bien sûr la Vache qui rit, mais aussi Babybel, Leerdammer, Kiri, Boursin, Toastinette, Apéricube, Pik et Croq... Dans le Jura, les deux sites de Lons­le­Saunier et Dole se partagent la production de Vache qui rit de toute l’Europe de l’ouest, et la production mondiale d’Apéricube et de Piq et Croq. C’est en 1921 que l’acti­ vité démarrait à Lons­le­Saunier, et l’usine fut construite cinq ans plus tard. En 1963, la production d’Apéricube était lancée, suivie de celle de Piq et Croc en 2000. Le site lédonien accueille aussi une activité recherche et développement. Dès le début, il œuvre pour la réduction des nuisances sonores, et aussi pour une meilleure gestion environnementale. “Avec l’ouverture du contournement ouest de Lons­le­Saunier, le bruit ambiant va bais­ ser puisque les camions ne circuleront plus, et nous devrons redou­ bler d’effort pour baisser les nuisances sonores” commentait Yann Lamblin. Jacques Pélissard, qui a toujours souhaité des liens forts avec cette société intra muros, rappelait une anecdote survenue en 1990 : “Il y avait 40 cm de neige sur le toit de l’usine qui com­ mençait à fléchir. Les pompiers étaient montés sur le toit, j’y étais aussi, et nous avons pelleté la neige. Des rapports de confiance ont toujours été présents”.

Après cette rapide présentation, le directeur nous emmenait ensuite dans les différents ateliers de conditionnement. Au sein du premier, destiné à l’emballage de la Vache qui rit, tout démarre par une grande bobine d’aluminium, dans laquelle sont découpés les triangles d’emballage. Ceux­ci sont disposés ensuite dans des coques, puis le fromage y est coulé chaud et liquide.

C’est ainsi que plusieurs millions de portions sont fabriqués par jour, puis rangés dans les boîtes en carton.

C.G.

BPIFRANCE INSTALLÉE EN FRANCHE-COMTÉ Groupe public d’investissement et de financement pour les entreprises, la banque publique Bpifrance a été lancée le mois dernier en Franche-Comté.

Une équipe de 13 personnes à Besançon aura pour mission d’accompagner les entreprises franc-comtoises dans leur financement. Reprenant l’ensemble des activités d’OSEO, ce pôle sera dédié au financement de l’innovation, au cofinancement bancaire et à la garantie de prêts.

SALON DE L’OPTIQUE LES ENTREPRISES JURASSIENNES PRIMÉES Organisé lors du salon Silmo de l’optique et de la lunetterie à Paris, le Silmo d’Or récompense la créativité et l’esprit inventif de la profession. Le 26 septembre dernier, la société Julbo à Longchaumois a remporté un Silmo d’or avec le produit “Tensing Flight” dans la catégorie lunettes de sport.

Vuillet-Vega à Morez s’est vu également décerner 4 Trophées dont le 1er prix Classement Général par la Centrale des Opticiens.

COMMERCES LES UNIONS COMMERCIALES DU CENTRE-VILLE ET DE PÉRIPHÉRIES MAIN DANS LA MAIN On entend souvent parler de la forte concurrence, voire de l’animosité entre les commerçants des centres-villes et ceux des périphéries. Mais des initiatives, à l’image de celle de Lons-le-Saunier, existent et montrent qu’une bonne entente est possible et que ces commerces peuvent être complémentaires. Les unions commerciales de Lons-le-Saunier (Ledopole, Géant, Galerie et Arc en Sel, La Marjorie) et Chantrans (Hyper U, Espace Chantrans) se sont associés pour proposer tous ensemble des animations à leurs clients. “Les commerçants des associations se connaissent et s’entendent bien. Nous avons une même manière de penser le commerce ensemble” explique Sandrine Morel, présidente de Ledopole, l’association des commerçants de Lons-le-Saunier.

“Nous avons été capables de nous mettre autour d’une table et de discuter ensemble”. L’idée de collaborer et créer une action commune est alors rapidement venue. “Nous avons créé de toutes pièces cette animation, afin de satisfaire toutes les enseignes de chaque zone, en faisant abstraction de la concurrence” reprend Sandrine Morel. Depuis le 21 octobre jusqu’au 10 novembre, un jeu permet aux clients de gagner de nombreux lots (voiture, séjour au ski, tablettes... soit 20 000 euros de dotation) en récupérant une carte jeux auprès des commerçants participants.

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JOURNALISTES ANGLAIS EN VISITE DANS LE JURA

Afin de promouvoir la ligne aérienne Ryannair Dole-Londres Stansted, représentant pour le Jura un fort potentiel de développement touristique et économique, le CDT du Jura, la CCI, l’aéroport Dole Jura et l’office de tourisme dolois organisaient un voyage de presse dans le Jura avec cinq journalistes anglais le mois dernier.

Un séjour de cinq jours avec pour objectif de faire découvrir les sites phares et les spécialités gastronomiques du Jura et de la Bourgogne.

A l’occasion de la mise en service de la nouvelle ligne aérienne Dole-Londres, un séjour tout compris a été créé, appelé “Jura-Burgundy : discovering great wines !”. Il propose au grand public, en particulier anglais, de découvrir le Jura et la Bourgogne en 4 jours / 3 nuits (de 259 euros à 399 euros par personne, selon la formule choisie, vol non compris).

Nouvelle cave d’affinage Visite guidée avec Jacques Subileau, directeur général de RivoireJacquemin

Le mois dernier, l’affineur jurassien Rivoire­Jacquemin inaugurait en grande pompe sa nouvelle cave d’affinage. D’une superficie de 1 700 m2, sur huit mètres de hauteur, la construction a su répondre à des contraintes tech­ niques, avec 17 000 m3 de terre déblayés pour le terrassement, et esthé­ tique, avec une voûte en mélèze magnifique. Avec 4 600 tonnes de comté affinées par an, Rivoire­Jacquemin est le quatrième affineur de Franche­ Comté. Un des objectifs de l’opération était de centraliser la totalité de l’ac­ tivité sur le site de Montmorot. “Nous progressons en terme de tonnage vendu, avec une demande plus importante pour les vieux comtés. Nous avions besoin de plus d’espace pour affiner plus de meules, et plus long­ temps” explique Jacques Subileau, Directeur général du site. “De plus, nous avions un stockage extérieur, mais nous avions besoin de tout regrouper au même endroit”. Avec ce nouveau bâtiment, la capacité totale de stockage de la société est aujourd’hui de 120 000 meules, soit 30 000 meules supplémen­ taires. Les travaux ont débuté en avril 2012, et les premiers fromages étaient dorlotés dès février 2013. “Avec cette cave voûtée, l’air circule mieux, per­ mettant une meilleure ventilation” assure Jacques Subileau. Trois millions d’euros ont été nécessaires pour la construction de la cave, qui est aujour­ d’hui déjà remplie.

C.G.

AGRICULTURE DOSSIERS INELIGIBLES AU PMBE : “UN VRAI PROBLÈME” Les exploitants agricoles souhaitant réaliser des travaux afin de moderniser leur bâtiment d’élevage peuvent bénéficier d’une subvention de l’Etat.

Ce Plan de modernisation des bâtiments d’élevage (PMBE) doit être utilisé uniquement pour la construction d’un nouveau bâtiment, en remplacement d’un plus vétuste. Depuis septembre, 71 dossiers ont été déposés en Franche-Comté, représentant plus de 20 millions d’euros de travaux. Seulement, les agriculteurs francs-comtois viennent d’apprendre que seules 22 demandes seront prises en charge par l’Etat, avec une moyenne de 25 000 euros d’aides par dossier. Seize dossiers ont été considérés comme inéligibles, consécutivement au renforcement des critères d’éligibilité. “Et les 33 autres dossiers sont éligibles mais risquent de ne pas bénéficier des aides car les enveloppes sont vides !” s’exclame Etienne Rougeaux, directeur de la FDSEA du Jura.“En Allemagne, les länder accompagnent bien plus que chez nous les modernisations de bâtiments. Les régions devront aussi jouer ce rôle à terme. Soutenir l’investissement est une politique de long terme : les agriculteurs resteront plus longtemps sur le territoire, et ils font fonctionner l’économie locale en faisant appel aux artisans. Tant que les accords de subventions ne sont pas donnés, les agriculteurs C.G. ne peuvent commencer les travaux : tout est décalé, c’est un vrai problème !”.

FONDS FRANCHE-COMTÉ DÉFIS 2 PREMIER INVESTISSEMENT POUR UNE ENTREPRISE JURASSIENNE “Fonds Franche-Comté défis 2” est le nom du nouveau fonds dédié aux entreprises franc-comtoises, géré par Invest PME. Cette filiale investit depuis plus de quinze ans dans l’économie franc-comtoise pour créer et développer les entreprises régionales. Après “Franche-Comté PME Défis 2010”, Franche-Comté défis 2 a pour vocation d’investir dans les sociétés franc-comtoises saines, mais ayant subi des difficultés essentiellement liées à la crise. Des incidents conjoncturels, tels que des problèmes de trésorerie, baisse temporaire du chiffre d’affaires, chute des commandes…

“Nous estimons que ces entreprises en phase de rebond sont viables, si la trésorerie est consolidée” explique Patrick Blasselle, président du directoire d’Invest PME. L’apport financier est compris entre 150 000 et 400 000 euros. “Un investissement plutôt risqué pour des entreprises qui n’intéressent pas les investisseurs car elles ont connu des difficultés” conçoit Patrick Blasselle. “Mais ces sociétés ont réellement rebondi après la crise et ont connu une nouvelle phase de croissance : l’histoire montre que cela peut être efficace !”.

Située à Saint Laurent en Grandvaux, la société LDS (Lunetterie David Seiller) emploie 47 personnes et est spécialisée dans la finition et le traitement de surface de montures de lunettes. Le Fonds Franche-Comté Défis 2 a investi 150 000 euros au capital de cette PME. “Elle avait un problème conjoncturel lié à ses deux sites de production qu’il fallait réunir sur le même site. Les banques ont dit qu’il fallait une augmentation de capitale pour suivre. C’est ce qu’on a fait”. Grâce à cette aide, LDS a pu mobiliser plus d’un million d’euros de financements complémentaires.

C.G.

MADE IN JURA “ESPRIT D’ENTREPRENDRE”

CHALLENGE DES UNIONS COMMERCIALES

A RÉUNI LES ENTREPRISES JURASSIENNES

1er PRIX POUR BLETTERANS ET SALINS-LES-BAINS

Créé en 2003 par le Conseil général du Jura, le concept “Made in Jura” avait pour objectif de fédérer les entreprises jurassiennes dans un réseau de plus de 700 entreprises. En 2011, après l’arrivée de la nouvelle majorité départementale et son président Christophe Perny, le dispositif a évolué : si les salons Made in Jura n’ont pas été réitérés, de nouvelles initiatives ont vu le jour, tel que le récent évènement Esprit d’entreprendre, les 3 et 4 octobre derniers. Lors de ces deux journées dédiées à l’économie jurassienne, chefs d’entreprises, décideurs économiques et jeunes entreprises ont pu se rencontrer, échanger, témoigner. Une quarantaine d’entreprises avaient fait le déplacement. Cinq ambassadeurs économiques du Jura ont également été mis à l’honneur pour leur développement et leurs innovations : Oxibis group, SCIT, Baud Industries, Jean-Charles Arnaud (Fromagerie Arnaud) et le Groupe Lacroix. “L’objectif de l’évènement est atteint” assure Christophe Perny, président du Conseil général du Jura. “Les entreprises ont échangé, et il y a eu des témoignages d’entreprises extérieures au département, montrant une volonté d’ouverture. Si certains regrettent le salon Made in Jura, aujourd’hui, c’est un outil de valorisation de l’économie jurassienne à l’extérieur. Nous allons continuer ainsi”.

Plusieurs initiatives internationales pourraient ainsi voir le jour en 2014, et notamment en Russie.

© Jean-Marc Baudet

Le 14 octobre dernier, le second chalenge des unions commerciales du Jura, organisé par la Chambre de commerce et d’industrie, investissait Juraparc. Afin de valoriser ces unions, de soutenir et crédibiliser leurs diverses initiatives, les prix et récompenses étaient remis à la fin de la cérémonie. Douze unions commerciales étaient en lice. Les structures distinguées sont les suivantes : 1er prix de la catégorie “UC installées dans des communes de moins de 2 500 habitants” : UC Industrielle et Artisanale de Bletterans (1 000 euros). 1er prix de la catégorie “UC installées dans des communes de plus de 2 500 habitants” : UC et Artisanale Salinoise de Salins-les-Bains (1 000 euros). Prix “Coup de cœur” du jury : UC de Tavaux (1 000 euros). Prix “Mention spéciale” du jury : LEDOPOLE (500 euros).

vivre ici 9

Pays de Lons n°77 - Novembre 2013

PORTRAIT

Roger Buffard, 22 ans au service des autres

RAPIDO LONS-LE-SAUNIER

30e CONGRÈS NATIONAL DE LA FÉDÉRATION DES TAXIS

Durant 22 années, Roger Buffard fut président du comité Valentin Haüy de Lons-le-Saunier. Un engagement récompensé le 17 octobre dernier par la remise de la distinction d’officier de l’Ordre National du Mérite.

Roger Buffard et Josiane Chaloyard, viceprésidente du comité Valentin Haüy de Lons-leSaunier

Dans les locaux du comité Valentin Haüy de Lons­le­Saunier, c’est un homme fringuant de 87 ans qui nous reçoit. Même s’il a laissé son siège de président, il donne encore la main réguliè­ rement. C’est en cherchant des solutions pour son petit­fils mal­ voyant que Roger Buffard entrait en contact avec le comité, association au service des aveugles et malvoyants. “Je me suis laissé embobiner par l’ancienne présidente pour reprendre sa succession” plaisante le récipiendaire. Durant 22 années, il s’est dévoué corps et âmes pour défendre les droits et la cause des malvoyants. Une bataille au quotidien face aux divers problèmes administratifs rencontrés par les déficients visuels, mais aussi une écoute attentive, des conseils et du réconfort dont beau­ coup témoignent aujourd’hui. “Nous aurons toujours le souvenir de son écoute, sans compter, de son humeur toujours égal, et des solutions qu’il apportait systématiquement” raconte Josiane Cha­ loyard, vice­présidente du comité. Roger Buffard fut un homme

d’écoute certes, mais aussi un homme de terrain car c’est sur les chantiers qu’il bataillait avec les différentes commissions d’ac­ cessibilité. C’est particulièrement ému que le Lédonien tient à saluer le soutient indéfectible de son épouse : “Le travail de bureau, les courriers, les milliers de convocations, les bulletins d’information : c’est grâce à mon épouse que tout ce travail a pu se réaliser. Sans sa patience, je n’aurais pu accomplir cette tâche” lâche­t­il bouleversé.

Véritable force tranquille, Roger Buffard n’a jamais tapé du poing sur la table quand il se heurtait à des refus. Il allait voir ailleurs, tout simplement, en quête d’autres solutions. “J’étais pugnace mais pas emmerdant” sourit­il. Durant ces 22 années d’investissement, il garde aussi de forts souvenirs. “Des ren­ contres, des voyages, des repas… Et aussi des interventions dans les collèges et les lycées durant lesquelles les élèves buvaient les paroles du malvoyant”.

C.G.

EDITION

E TAT C I V I L Roméo de Cyril LE BRIS et Laetitia NAISSANCES Hugo de Jérôme VINCENT et Magali CAUZO, Lons­le­Saunier Tinoë de Mickaël HENRY et Julie THIBERT, Beaufort Alexis de Jérôme BONNOT et Magali BONIN, Messia­sur­Sorne Assia de Nicolas TOILLION et Akima GANDEL, Bersaillin LAZRAK, Montmorot Timéo de Mickaël CONSTANTIN et Mehmet de Ismail KARADEMIR et Christelle COQUET, Chilly­le­Vignoble Yildiz ÖNCÜ, Orgelet Léo de Florent GAILLARD et Isabelle Aedan de Alexandre VALAT et MÔRE, Clairvaux­les­Lacs Lauriane PELLICIOLI, Plainoiseau Mathis de Fabrice CABAT et Céline Amaury de Thierry PRETTE et Elsa TRUMEAU, Conliège GAUTHIER, Poligny Louise de Nicolas FAVIER et Claire Faustine de Jérôme FOUCHEY et MONAMY, Cosges Maria­Mercedes PEILLON, Pont­de­ Maëlys de Cyril GUILLEMIN et Sylviane Poitte GASNE, Courlaoux Léna de Sébastien BOURDIN et Charline de Alexandre MINSBERGHE Myriam BRUN, Publy et Anne­Lise FEYEUX, Courlaoux Johan de Julien JOURNOT et Laetitia REAUX, Saint­Maurice­Crillat Maël de Olivier LECOQ et Sylvia BERNARD, Fay­en­Montagne DÉCÈS Rose de Florian COULON et Marine CHARLES, Geruge DAVID Reine, Arthenas, 78 ans

BOSSARD Jean­Pierre, Bletterans, 76 ans DEFERT Anne­Marie, Chaussenans, 85 ans GAVAND René, Clairvaux­les­Lacs , 85 ans DANJEAN Marcel, Conliège, 105 ans PROCHWIEZ Philippe, Desnes, 55 ans SIMON Henri, La Marre, 83 ans OUTHIER Gérard, Le Fied, 86 ans BESSARD Lucien, Lons­le­Saunier, 94 ans MARGUET Jeanine, Lons­le­Saunier, 67 ans GALMICHE Madeleine, Lons­le­Saunier, 96 ans DESHUISSARD Roger, Lons­le­Saunier, 87 ans GRANDVOINNET Suzanne, Lons­le­ Saunier, 89 ans CHAPUIS Suzanne, Lons­le­Saunier, 84 ans

de MICHELI Roger, Lons­le­Saunier, 78 ans EUDE Denise, Lons­le­Saunier, 98 ans GRENEZ Pierre, Lons­le­Saunier, 94 ans GRILLET Christian, Lons­le­Saunier, 54 ans ZANETTE Inès, Lons­le­Saunier, 88 ans CLERC Henri, Lons­le­Saunier, 82 ans BONIN Evelyne, Lons­le­Saunier, 60 ans COLON Daniel, Lons­le­Saunier, 86 ans GAILLARD Pierre, Lons­le­Saunier, 86 ans BERNARD Madeleine, Maynal, 90 ans MATHY Maria, Perrigny, 104 ans MÉTHY Robert, Plainoiseau, 79 ans DESGRANGE Josiane, Poligny, 75 ans CRINQUAND Henri, Poligny, 92 ans FAIVRE Marcelle, Poligny, 92 ans DALOZ Roger, Pont­de­Poitte, 91 ans GOURAND Françoise, Publy, 75 ans BERTHAUD Rose, Ruffey­sur­Seille , 98 ans

CLÉMENT GAVAND “JE

Le mois dernier, Lons-le-Saunier recevait pour la seconde fois depuis 1993 le congrès national de la fédération nationale des taxis indépendants. Trente ans après sa création, le syndicat national revenait ainsi sur ses terres d’origine puisque c’est à quelques kilomètres de Lons-le-Saunier qu’il fut créé.

DES ENROBÉS MOINS POLLUANTS

Le mois dernier, ECLA réalisait l’application d’un enrobé dans la future Zone des Plaines II. 1 200 tonnes environ d’enrobé tiède ont été appliquées, à une température de fabrication de 130 °C au lieu de 170 °C, permettant une économie de “combustible fossile nectaire” pour cette fabrication, mais également un meilleur confort pour les agents qui appliquent ces enrobés. Cette technique nécessite un adjuvant à la formule de base, qui permet au bitume de rester malléable à faible température.

ELECTIONS MISS FRANCHE-COMTÉ Le 8 novembre prochain, l’élection de Miss Franche-Comté 2013 (Comité Miss France) se tiendra à Juraparc à partir de 21 h.

HÔPITAL : APRÈS LA CHIRURGIE, LES SERVICES DE MÉDECINE SE RESTRUCTURENT

Le centre hospitalier de Lons-le-Saunier s’est engagé il y a déjà plusieurs mois vers une prise en charge ambulatoire accrue de ses patients.

En effet, en début d’année, les services de chirurgie et de gynécologie obstétrique se sont réorganisés afin de permettre notamment

DÉDICACES

ALAIN CHESTIER À LA LIBRAIRIE DES ARCADES À LONS Rencontrez le co-auteur de “Littérature et progéniture” le 23 novembre à la Librairie des Arcades. Dans leur ouvrage, Véronique et Alain Chestier se penchent sur la descendance des grands écrivains : plus de 60 % des écrivains étudiés dans les programmes scolaires n’ont pas eu de descendance reconnue. De là naît

T’AIME”, AU-DELÀ DES PRÉJUGÉS, UNE HISTOIRE D’AMOUR UNIVERSELLE

Jeune Jurassien exilé à Paris, Clément Gavand publie son premier roman “Je t’aime”. Dans ce livre, le contre-ténor du conservatoire régional de la Seine-Saint-Denis parle de l’homosexualité, mais surtout de l’amour et de la passion.

Clément Gavand, “Je t’aime”. Edition Baudelaire.

Prix public 13 euros

une augmentation et une modernisation de la chirurgie ambulatoire et la création d’un service de chirurgie de semaine. C’est au tour maintenant des services de médecine de se réorganiser de la même manière. Trois nouveaux services de médecine ont vu le jour : l’ouverture d’un service de médecine conventionnelle de 30 lits à orientation pneumologique et oncologique, le regroupement de l’unité de chimiothérapie ambulatoire et celle d’hospitalisation de jour (HDJ) au sein du service de Médecine 2, et la création d’un service d’hospitalisation de semaine polyvalent de 18 lits. L’Hôpital assure qu’aucun agent hospitalier ne perdra son emploi dans cette opération.

JACQUES PÉLISSARD NOMMÉ A LA TÊTE DE L’ASSOCIATION FRANCE LOCALE Le député-maire de Lons-le-Saunier Jacques Pélissard a été nommé le 22 octobre dernier Président du conseil d’administration de l’Association France locale. Cette nouvelle association réunit onze collectivités et a pour objectif de permettre aux collectivités d’être autonomes et de se financer par elles-mêmes, de sécuriser leur capacité à financer leurs investissements, de diversifier leurs sources de financement, et de fournir des prêts avantageux aux collectivités.

CONLIÈGE

LA FRICHE BOLARD LAISSERA PLACE À DES LOGEMENTS SOCIAUX Les travaux de démolition de la friche industrielle “Bolard” on débuté le 22 octobre dernier. Ils ont été précédés par une opération de désamiantage. Les travaux vont se poursuivre pendant 3 semaines environ. La friche laissera place avant la fin de l’année à un immense parking, avant la création de logements sociaux et autres équipements.

une singulière question qui fait l’objet du livre : l’acte d’écrire pourrait-il occulter, entraver, voire empêcher, celui, plus largement partagé par le commun des mortels, de se reproduire ?

A offrir ou à s’offrir...

“Littérature et progéniture”, 272 pages. 19 €

ALAIN GOY

sera présent du vendredi 15 au dimanche 17 novembre au Forum du livre et du jouet organisé par l'OCCE du Jura. avec son dernier ouvrage “Le Grand Voyage”.

Collection jeunesse avec CD audio Forum du livre et du jouet. 15-17 novembre.

Juraparc à Lons-le-Saunier

itinérante de 39 photos. Il souhaite aujourd’hui éditer un livre avec une sélection de ces photos afin de permettre au public de découvrir une autre facette de l’hôpital,“les coulisses”, la présence qui se dégage des personnes photographiées. “Éditer un livre photo coûte cher ! Votre soutien va me permettre de lancer l’impression plus sereinement financièrement” explique-t-il sur sa page Ulule. http://fr.ulule.com/chambre-39/

PHOTOGRAPHIES

LONS-LE-SAUNIER FOIRE AUX LIVRES

Photographe depuis l’âge de 15 ans et réalisateur de documentaires, Vincent Bidault s’attache à mettre en valeur ceux qu’on ne voit pas ou peu. Après avoir suivi deux clowns dans les couloirs de l’hôpital de Lons-le-Saunier avec sa caméra en 2012, puis photographié la vie dans cinq hôpitaux du Jura durant l’année 2013, il a réalisé une exposition

Profit aux bénéfices de l’association. 8 et 9 novembre, 29 A rue des Toupes à Lons-le-Saunier. De 9 h à 18 h

VINCENT BIDAULT LANCE UN FINANCEMENT PARTICIPATIF POUR ÉDITER SON LIVRE

L’association Paralysés de France organise sa foire aux livres les 8 et 9 novembre dans ses locaux. Les passionnés de lecture trouveront romans, polars, vieux livres, livres pour enfants… Les collectionneurs pourront dénicher au milieu de quelques cartes postales, de disques vinyles, de CD, le trésor recherché depuis si longtemps !

10 vivre ici

Pays de Lons n°77 - Novembre 2013

droits vous accueille dans le Jura Depuis 2011, les trois organismes indépendants – la HALDE, le Défenseur des droits et le Médiateur de la République – se sont regroupés en un guichet unique : le Défenseur des droits. Cette haute autorité vous épaule à Dole et à Lons-le-Saunier.

Arlette Lassout, déléguée départementale du Défenseur des droits, accueille le public à Dole et Lons.

“Nous sommes plus qu’une association, nous sommes une haute autorité : nous pouvons demander aux parties mises en cause de s’expliquer” explique Arlette Lassout, délé­ guée départementale du Défenseur des droits. Ils sont 440 à exercer cette mission en France, dont deux dans le Jura. Plus de 130 personnes sont reçues chaque année par Arlette Lassout et Michel Caillon à Dole et Lons­le­Saunier, pour des problèmes de dis­ crimination, où lorsqu’elles butent face à l’administration. “Nous accueillons le public quel que soit le problème” reprend Arlette Lassout. “Il existe 18 critères de discrimina­ tions, plus un 19e qu’est le harcèlement (voir ci­contre). Les discriminations peuvent por­ ter sur le logement, l’accès aux services et aux loisirs, à l’éducation, dans le domaine professionnel…”. Tout citoyen peut ainsi sai­ sir le Défenseur des droits, en cas de conflit avec une administration, si les droits d’un mineur ne sont pas respectés, s’il est vic­ time d’une discrimination… “En en parlant,

POLIGNY NOUVEAUX RYTHMES SCOLAIRES : CONFÉRENCE DE H. MONTAGNER La réforme entrera en application à Poligny à la rentrée de septembre 2014. Aujourd’hui, aucune décision n’est encore prise concernant les nouveaux rythmes : les élèves polinois travailleront-ils le mercredi matin ? Le samedi matin ? Avant de décider, les élus de la commune ont souhaité solliciter l’avis d’un expert des rythmes chronobiologiques des enfants, conférencier international, Hubert Montagner, Docteur ès Sciences et ancien Directeur de recherches à l’INSERM. Le 5 novembre, il animera une conférence à 20 h 30 dans la salle de cinéma Ciné-Comté.

C.G.

BILAN 2012 DES SERVICES DE L’ETAT Arlette Lassout : les 1er et 3e jeudis du mois au Point Info Familles de Lons-le-Saunier, et les 1er et 3e vendredis du mois à la souspréfecture de Dole. Sur RV au 06 17 19 77 57.

L’INSÉCURITÉ ROUTIÈRE EN BAISSE Le mois dernier, le préfet du Jura Jacques Quastana présentait le rapport 2012 des activités des services de l’Etat dans le Jura. L’année 2012 confirme que le Jura reste un département préservé des lourds phénomènes nationaux de délinquance. Malgré la légère hausse de certains indicateurs, les faits de délinquance restent inférieurs à la moyenne nationale. L’accidentalité sur les routes du Jura est en baisse par rapport à 2011 (– 9,5 % d’accidents, – 6,5 % de tués et – 10,5 % de blessés). L’alcool, à l’origine de 45 % des accidents mortels, et la vitesse excessive, sont les deux causes principales des accidents mortels.

Michel Caillon : à la préfecture de Lons-le-Saunier, sur RV au 03 84 86 86 43.

LES 18 CRITÈRES DE DISCRIMINATIONS

AGRICULTURE

L’origine, le sexe, la situation de famille, la grossesse, l’apparence physique, le patronyme, l’état de santé, le handicap, les caractéristiques génétiques, les mœurs, l’orientation sexuelle, l’âge, les opinions politiques, les activités syndicales, l’appartenance ou la non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée.

LES CUMA SE REGROUPENT POUR L’ACHAT DU MATÉRIEL AGRICOLE Le mois dernier, un partenariat était signé entre la Fédération départementale des coopératives d’utilisation du matériel agricole (FDCuma) et le Conseil général du Jura. Dans le cadre de son “Pacte agriculture Jura 2013-2015”, l’organe exécutif du département a attribué une subvention de 38 000 euros à la FDCuma pour la mise en œuvre en 2013 de l’action “Pour une mécanisation raisonnée, partagée et respectueuse de l’environnement”. Cette action permettra aux 1 600 agriculteurs réunis dans les 86 Cuma du Jura de mutualiser leurs achats de matériel agricole. Un triple intérêt souligné par Christophe Perny, président du Conseil général : “Cette rationalisation des coûts a un intérêt économique, mais aussi environnemental et social”. Et comme le note Patrick Mougeot, président de la FDCuma “Les agriculteurs peuvent ainsi acquérir des machines de haute précision qui effectuent par exemple un épandage bien plus respectueux des sols, une moisson plus efficace…”.

LONS-LE-SAUNIER

MONTAGNES DU JURA

Le conservatoire lance un atelier écriture de chanson

LA MARQUE VEUT ATTIRER DE NOUVEAUX CLIENTS Apres avoir gagné en visibilité et en notoriété depuis 10 ans, la marque Montagnes du Jura, intégrant l’ensemble du massif jurassien, entend progresser en lisibilite, en contenus et en trafic grâce à une toute nouvelle campagne qui demarrait mi-octobre. “La feuille de route de Montagnes du Jura pour 2013 - 2020 est résolument marketing”, explique Thierry Delorme, Commissaire à l’aménagement du Massif du Jura au sein de la DATAR (Délégation interministérielle à l’aménagement du territoire et à l’attractivité régionale). “C’est l’image et la notoriété de la marque qui généreront les retombées économiques escomptées. Et toutes les actions prévues sont orientées pour faire connaître la destination, fédérer les partenaires locaux et séduire de nouveaux publics”. De nouvelles cibles géographiques seront ainsi visées dans cette nouvelle stratégie : les régions Ile-de-France et Nord-Pas-de-Calais pour le marché France, et la Belgique et les Pays-Bas pour le marché européen. Trois types de clients prioritaires ont également été ciblés, dont Montagnes du Jura pourra répondre aux attentes : la famille “première fois à la montagne”, la famille des “voyageurs découvreurs”, et la famille “esprits nordiques”. Plus concrètement, le nouveau slogan de la marque sera : “L’autre versant de la montagne”.

Initié par Laurent Jacquet, professeur de trombone au conservatoire, cet atelier avait déjà été mis en place deux années. L’expérience est ainsi renouvelée et se déploiera “de la page blanche jusqu’à l’enregistrement d’un CD par élève” explique Laurent Jacquet. Les élèves choisiront un thème en commun et écriront le texte durant toute la saison. “Nous réunirons des mots, des idées ou des expressions qui seront couchés sur le papier. Je coordonne, tout en étant acteur avec les élèves” précise le professeur. Ils poseront ensuite individuellement leur voix lors de l’enregistrement dans un studio du Centre départemental de documentation pédagogique de Lons. “C’est tout une aventure.

On ne sait pas où on va arriver, on avance au ressenti. Il faut accepter la surprise !”.

Les mercredis de 13 h 30 à 14 h 30. Renseignements au 03 84 47 88 59

Premières rencontres de la sécurité Le 19 octobre dernier, la préfecture du Jura organisait ses premières rencontres de la sécurité. Cette initiative nationale déclinée dans chaque territoire a permis aux Jurassiens de rencontrer les forces de sécurité intérieure : gendarmerie nationale, police nationale, personnels de la sécurité civile, qui ont présenté leurs diverses missions. Les participants ont pu parcourir les différents stands et ateliers, et appréhender les multiples thématiques, telles que le secours en montagne, la prévention de la délinquance, la cybercriminalité… L’accent a été mis également sur la sécurité routière qui reste l’une des priorités des services de l’Etat dans le Jura. Un stand interactif était dédié à la prévention routière afin de sensibiliser les usagers sur les comportements à risque (vitesse, alcool au volant, fatigue, distracteurs…).

LONS-LE-SAUNIER PORTES OUVERTES DE L’ESAT Les 21 et 22 novembre, l’ESAT de Lons-le-Saunier fêtera ses 50 ans et organisera pour l’occasion des portes ouvertes les après-midis. Le 21 novembre, un débat témoignane sera également organisé au Carcom.

Ouverture : lundi : 14 h - 19 h Mardi au samedi : 9 h 30 - 12 h / 14 h - 19 h

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Droits et libertés - Le défenseur des

les victimes ont souvent peur que ça s’ampli­ fie, peur de perdre leur emploi… Mais elles restent maîtres de leur dossier : elles peu­ vent dire STOP à tout moment. Générale­ ment, quand les gens viennent nous voir, c’est qu’ils veulent s’en sortir. Pour beau­ coup, nous sommes le dernier recours. Nous intervenons quand tout a été essayé”.

Lorsque les actes discriminatoires sont inconscients, une médiation peut suffire à régler les différents. Mais lorsque les faits sont plus graves, un dossier peut être trans­ mis aux juristes de la haute autorité à Paris.

Pays de Lons n째77 - Novembre 2013

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Pays de Lons n°77 - Novembre 2013

LA ROUTE DES VILLAGES… Jeudi 7 Novembre

Dimanche 24 Novembre

"Le poète comme Boxeur" - Poligny

Spectacle musical/Jacques Boilley

Ce “théâtre-musique” atypique met en scène des textes du poète algérien Kateb Yacine. A 20h30, Cave Théâtre de Poligny

Domblans La balade de l’épouvantail. Concert pour les enfants à partir de 3 ans de Jacques Boilley, auteur-compositeur-interprète jurassien.

Salle des Fêtes de Domblans à 15h. Organisé par l’Association Tom Pouce.

Samedi 9 Novembre Concert à l’Eglise - Larnaud Au profit des populations défavorisées du Niger, dans le cadre de son action “Puits du Niger”. Au programme de cette soirée à partir de 20 h : le Chœur des Mouraches, Régine, et Jean-Noël Duval.

Marché d’automne - Vercia

Lundi 11 Novembre

Organisé au profit du Sillon Comtois, foyer pour autistes adultes. Le bénéfice de cette journée sera intégralement reversé à cette association (expo-vente de 10 à 18h).

Bourse expo miniature - Lons-Le-Saunier

Loto en faveur de Noëlly - Larnaud

Echanger ou de partager autos, trains, avions, bateaux, tracteurs, saynètes ou Dioramas, figurines, maquettes, playmobil, modélisme, poupées, bois tôle & Mécanique, jouets et jeux anciens… etc. De 9h à 17h à Juraparc. 3 euros (+15ans) – Gratuit pour les -15ans. L’entrée du salon vous donne accès également à la Bourse Military. Contact 06 68 31 79 05 ou miniatures-passion@laposte.net Blog : http://juraparc-miniatures.skyrock.com

Tout le village de Larnaud se mobilisera pour Noëlly, petite fille atteinte de leucodystrophie, à l’occasion d’un loto organisé en sa faveur. Une action organisée par les habitants afin de venir en aide aux parents de la fillette dans le cadre des transports médicaux pour Paris.

Vendredi 29 Novembre “Des abeilles et des hommes”, projection-débat - Lons-le-Saunier

Dimanche 17 Novembre Marché de noël artisanal - Messia-sur-Sorne A la salle des fêtes de 10h à 17h, entrée gratuite.

Bijoux, objets en tissu, bonnets, gants.., point de croix, jouets et jeux made in Jura, stylos bois..., boïtes miniatures, confiture, miel, pain d’épice, escargots, savons, décos de noël, tissus artisanaux, tableaux, poterie...

Loto des écoles - Passenans Les écoles maternelles et primaires de SaintLothain et Passenans organiseront un Loto dont les bénéfices permettront aux élèves de participer à des activités sportives et culturelles et de partir en classe verte.

L’association CABA Sud-Revermont propose une soirée sur le thème de la disparition des abeilles, qui frappe aussi le Jura. La soirée débutera par la diffusion du documentaire de Markus Imhoof, “Des abeillles et des Hommes”. Elle se poursuivra par un débat qui apportera des éclairages professionnels et jurassiens à cette question : “Les abeilles sont-elles en train de disparaître ?

Et si elles disparaissaient, que se passerait-il ?

Comment chacun de nous peut-il aider les abeilles à survivre ?”. A 20 h au CarCom de Lons-le-Saunier.

Entrée 3 euros.

RECETTE

Offerte par le restaurant Le bouchon du château

Tourte de canard Trompettes et foie gras Ingrédients Filet de cannette 300g, (cube) Filet de veau 300g (cube) G Filet mignon de porc 300g (cube) G Gorge de porc 150g (haché) G Foie blond de volaille 150g (haché) G Sel épicé 11g G Foie gras de canard 350g G G

Lait Trompettes de mort 200g (haché) G Beurre, Sel G Porto rouge et Cognac G Feuilletage G Œuf 2 jaunes = dorure G Vinaigre blanc 100g G Sucre 50g = caramel G G

Méthodologie • Faire tremper le foie gras dans l’eau

et du lait pendant 4 h.

• Taillez les filets de viandes en cubes.

• Les faire mariner dans le porto et le cognac pendant 1 h.

• Hachez la gorge et le foie de volaille.

• Retirez les vaisseaux sanguins du lobe de foie gras.

EXPOSITIONS Une exposition sur la protection des monuments historiques dans le Jura Cette année, la thématique retenue pour la 30e édition des Journées européennes du patrimoine était la célébration du centenaire de la loi fondatrice sur les monuments historiques du 31 décembre 1913. Cette loi a su poser les fondations d’un système riche de dispositifs de protection du patrimoine monumental, artistique, urbain et paysager en France. La loi de 1913 et ses compléments successifs ont ainsi permis de garantir la continuité des sites et objets patrimoniaux et, par extension, du tissu culturel et touristique de chaque région. A cette occasion, les agents des Archives départementales ont souhaité réaliser une exposition sur la protection des monuments historiques dans le Jura depuis la loi de 1913. Cette exposition montre, documents à l’appui, la démarche de protection dans son histoire et son évolution.

Tous ceux qui l’ont vue ont souligné la qualité du travail réalisé, le fait qu’elle soit extrêmement bien documentée et bien présentée.

En la visitant, vous apprendrez peut-être que le premier édifice classé monument historique dans le Jura est l’église de Chissey-sur-Loue (1843). L’église de Chaussin est, quant à elle, un des derniers édifices religieux classés (25 octobre 2012).

Un panneau sur les objets d’art précise que le Jura est un des départements de Franche-Comté comptant le plus grand nombre d’objets protégés. On découvre encore que notre département est un des tout premiers à avoir débuté le recensement de son patrimoine industriel. D’autres panneaux sont dédiés aux châteaux, ouvrages d’art, fontaines… Le Conseil général a prêté la maquette originale en plâtre du projet de la statue de Rouget-de-Lisle par Frédéric Auguste Bartholdi.

Jusqu’au 30 novembre aux Archives, impasse des Archives, à Montmorot, aux heures d’ouverture de la salle de lecture, du lundi au vendredi de 8 h à 12 h et de 13 h 15 à 17 h 15. Entrée libre. Possiblité de visite guidée sur inscription pour les particuliers le lundi 4 novembre à 16 h 30 et le vendredi 22 novembre à 16 h 45.

EXPRESS LONS-LE-SAUNIER

LE FRAC S’EXPORTE À LONS

VOYAGE CHEZ ANTHONY BROWNE

Pour l’ouverture de son nouveau bâtiment au sein de la Cité des arts de Besançon et pour célébrer également son 30e anniversaire, le Frac déploie ses collections en région. Après Belfort, Montbéliard, Dole, c’est au tour du Musée des Beaux-Arts de Lons-le-Saunier. Celui-ci présente les œuvres de cinq artistes d’origines diverses qui ont été acquises par le Frac entre 1988 et 2000.

Jusqu’au 5 janvier 2014

Pour qui s’intéresse à la littérature de jeunesse, Anthony Browne est devenu une référence incontournable. Cet auteur-illustrateur anglais, né en 1946, publie depuis 1976 des albums au graphisme très reconnaissable : ses dessins, très travaillés, sont proches de la réalité. Mais si les décors sont souvent ancrés dans le quotidien, ses personnages sont vite rattrapés par un imaginaire qui les transporte dans des histoires drôles et émouvantes à la fois. Les enfants sont souvent les héros de ces aventures qui font référence à des situations qu’ils vivent au quotidien.

Passionnées par cet auteur, Marie-Claude Cretin-Maitenaz (bibliothécaire à la retraite) et Marie-Jeanne Carrat (ancienne présidente du Centre de recherche et d’information sur la littérature de jeunesse Ain) ont conçu cette exposition. Des décors grandeur nature nous entraînent sur les lieux emblématiques des albums d’Anthony Browne :“Le tunnel”,“Ourson et les chasseurs”,“Ourson et la ville”,“Des invités bien encombrants”… Les panneaux, vitrines, objets plongent le visiteur au cœur de l’univers d’Anthony Browne, ne lui donnant plus qu’une seule envie à la sortie : celle de lire ou relire ses albums…

Jusqu’au 13 décembre, ESPE Franche-Comté, site de Lons-le-Saunier – 23 rue des écoles

CHILLY-LE-VIGNOBLE EXPO DE MARIANNE TATAR ET ATELIER POUR “JARDINS ARC EN CIEL” L’association animera le 22 novembre prochain au Centre Solena une causerie, exposition et vernissage avec Marianne Tatar. Cette autodidacte, passionnée de création, peint depuis plus de trente ans.

Son hypersensibilité l’a poussé, un jour, à créer de manière totalement intuitive… Le 23 novembre, de 9 h à 18 h, un atelier d’initiation à la peinture sera proposé avec l’artiste.

Inscriptions et infos au 06 89 27 65 60

Le Bouchon du Château www.lebouchonduchateau.com

• Assaisonnez-le avec les 7 g de sel

épicer en massant.

• Dans une calotte mélangez la farce,

les cubes de viandes, le mix haché et les 20 g de sel épicé.

• Faite sauter les trompettes de mort au beurre et salez.

Offrez un Bon Cadeau pour un repas en tête à tête à vos proches, amis ou collègues pour Noël, anniversaire ou autres événements, etc.

Nous sommes à votre disposition pour tous renseignements !

Dès maintenant passez commande de votre foie gras

Montage • Montez dans un moule la tourte Farce/

• Enduire la croûte de caramel

trompette /foie gras/trompette/farce.

• Laissez reposer pendant 4 h.

• Mettre en pate feuilletée et collez avec la dorure.

• Dorez le feuilletage et faire des stries sur la pate.

• Mettre au four a 230°c pendant 20 min.

de vinaigre.

• Finir la cuisson pendant environ 15 min.

• Servir chaud en entrée (accompagnez d’une salade aillée). Ou en plat avec une purée de panais et jus de viande.

• Vin Conseillé : jura vieux poulsard/gamay Amalgamé, Allante et Boulanger.

pour les fêtes de Noël avant le 16/12/2013 !

Réception des commandes jusqu’au 24 décembre à midi.

Notre Foie gras maison cuit au torchon et ses accompagnements : Nature ou truffe de Bourgogne, Ketchup de coings, chutney de figues au balsamique ou brioche au noisettes et canneberges. Lots de 250, 500, 750 ou 1000 g.

Restaurant fermé du 24/12/2013 au 03/01/2014

34, rue du viseney, 39570 MIREBEL - Commandes et réservations au 03

84 25 18 60

sports 13

Pays de Lons n°77 - Novembre 2013

EXPRESS MESSIA-SUR-SORNE

Les sportifs de l’office intercommunal de sports récompensés Le 18 octobre dernier, les meilleurs sportifs et dirigeants de l’Office Intercommunal des Sports ont été récompensés à Messia-sur-Sorne. Cette organsime, créé en 2010 à l’initiative de Espace Communautaire de Lons Agglomération, regroupe les clubs sportifs du territoire.

300 personnes ont participé à l’événement, et plus de 60 médailles et coupes ont été remises aux plus méritants.

BOXE

Le Lédonien Yoann Portailler champion de France Le 11 octobre dernier, le licencié du RA Lons est devenu champion de France de boxe, catégorie superplumes, devant plus de mille personnes au GES du Solvan.

Face au Rennais Sébastien Cornu, Yoann Portailler a su faire preuve d’audace et de persévérance pour s’adjuger une victoire de prestige, qualificative pour les championnats d’Europe.

Trampoline et tumbling

370

GYMNASTES ATTENDUS POUR LES CHAMPIONNATS DE FRANCE

Le 30 novembre prochain, la salle GES de Lons­ le­Saunier sera le théâtre d’une compétition par­ ticulièrement spectaculaire : les championnats de France de trampoline et tumbling. Si ces dis­ ciplines, toutes deux affiliées à la Fédération française de gymnastique, demeurent peu médiatisées, elles n’en sont pas moins impres­ sionnantes. Le principe ? Réaliser un enchaîne­ ment de plusieurs éléments acrobatiques sur la toile du trampoline sans répéter deux fois la même figure. Le gymnaste doit montrer un contrôle permanent, une hauteur constante et une exécution parfaite. Pour le tumbling, les concurrents devront exécuter une série de huit acrobaties sur une piste élastique.

Football américain made in Jura

Les “Hawks” prennent leur envol Lons-le-Saunier a désormais son équipe de football américain, les Hawks (faucons en anglais).

Peu connu en France, ce sport compte pourtant de plus en plus d’adeptes. A Lons-le-Saunier, deux jeunes hommes passionnés et pratiquants la discipline, Kevin Lebeau et Leo-Paul Biichlé, ont lancé le pari de créer un club. Grâce aux réseaux sociaux notamment, les Jurassiens ont déjà suscité l’intérêt d’une vingtaine de personnes. “Vingt sont venus pas curiosité, et on a pu recruter une quinzaine de joueurs réguliers” explique Kevin Lebeau, président du club. “Mais ce n’est pas encore suffisant. L’objectif est d’avoir un effectif suffisamment important pour intégrer un championnat l’année prochaine”. Deux possibilités s’offriront alors à eux : la ligue de Bourgogne, ou la division 3 de Franche-Comté. “Ca sera sans doute plus compliqué pour la deuxième solution, car il faudra au moins 36 joueurs, et le niveau est plus élevé”. En attendant, les Hawks s’entraînent cette saison au COSEC de Lons-le-Saunier, avec l’expertise d’un coach, ancien professionnel de rugby, tout juste recruté par l’association. Des matchs amicaux devraient être également organisés. “Nous souhaiterions que les joueurs soient tous équipés rapidement. Il faut prévoir un casque, des épaulières, ainsi que des protèges-genoux, cuisses, hanches, coccyx et protège-dents”.

Un investissement obligatoire pour disputer une rencontre, à la charge des joueurs, ainsi que l’acquisisiton de la licence.

Pour les personnes intéressées, joueurs ou sponsors privés : rendez-vous sur la page Facebook Hawks de Lons-le-Saunier

60 clubs en lice Le club lédonien la Jurassienne s’active depuis six mois pour l’organisation de la manifestation.

Une tâche qu’il maîtrise désormais car le club a déjà organisé deux demi­finales en 2008 et 2011 en sport acrobatique. 60 clubs, soit 370 sportifs, feront le déplacement à Lons­le­Saunier. Les meilleurs français et françaises de ces disciplines en découdront face à un public attendu nom­ breux. Pour le trampoline, les meilleurs mon­ diaux juniors sont attendus. Côté jurassien, seul le club de Saint­Claude s’est qualifié chez les N3 garçons. Les filles de la Jurassienne, qui se sont qualifiées les quatre précédentes années, ont raté le coche cette année. “Nous allons deman­ der à passer hors concours pour voir si on aurait pu être dans le coup” précise François Deodati, C.G. responsable technique de la compétition.

© Conseil régional de Franche-Comté

Neuf Jurassiens sélectionnés aux JO de Sotchi Les athlètes francs-comtois présélectionnés pour les Jeux Olympiques et paralympiques d’hiver 2014 étaient reçus le mois dernier à l’Hôtel de Région à Besançon. Les XXIIes JO d’hiver se dérouleront du 7 au 23 février 2014 à Sotchi, en Russie.

Les athlètes comtois y seront sans doute présents en nombre, avec à leur tête Jason Lamy Chappuis, désigné porte-drapeau de la délégation française, Sébastien Lacroix et Vincent Gauthier Manuel. Les Jurassiens présélectionnés sont les suivants : Anaïs Bescond, Quentin Fillon Maillet, Vincent Gauthier Manuel, Théo Hannon, Aurore Jean, Sébastien Lacroix, Jason Lamy Chapuis, Ronan Lamy Chappuis, Cyril Miranda.

Novembre 2013

e Lons d s y a P e d ie r é s Hors

Apprendre à gérer son stress Fatigue, stress, maux de tête ou de dos, irritabilité, insomnies... Votre corps vous envoie ses signaux d’alarme qui empoisonnent votre quotidien.

Il est temps de décrocher un instant, de se détendre et de retrouver le bien-être.

“Pays de Lons” vous livre quelques gestes simples au naturels et conseils détente pour se déconnecter physiquement et mentalement.

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Ouvert le lundi de 14 h à 19 h - Mardi, jeudi et vendredi de 9 h à 19 h (de 12 h à 14h sur RDV) - Mercredi (Pas de soins, uniquement pour prise de RDV) - Samedi de 9 h à 16 h non-stop

* Offres valables uniquement pour la période des fêtes de fin d’année 2013.

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2

Hors-série novembre 2013 -

le sport ?

les a mis ?

Ces petits riens qui font du bien à votre quotidien

les factures, le courrier le travail ? les réunions ?

2. Savoir déconnecter…

Les yogis le savent depuis des millénaires. Les scientifiques le démontrent aujourd’hui : pour gagner la paix du corps et du cœur, il n’y a qu’à… respirer ! En profondeur, lentement, et en toute conscience. Donc en y mettant tout de même un peu du sien !

Lâcher prise et apprendre à vivre le moment présent sans culpabiliser. Pas toujours facile mais pourtant essentiel pour se ressourcer.

Pour Catherine Ternaux, auteur de “Respirer la vie”, il est important de ne pas changer du tout au tout sa respiration du jour au lendemain. “Mieux vaut d’abord prendre bien conscience de la façon dont on respire. Pour cela, on s’allonge sur le dos et on essaie de sentir le mouvement de piston du dia­ phragme, ce muscle qui s’abaisse pour libérer la partie supérieure de l’abdo­ men et permettre aux poumons de “faire le plein”. En prendre conscience, c’est sentir que, pendant l’inspiration, le ventre se gonfle, les côtes s’écartent, le bas des poumons se remplit d’air ; puis le niveau de l’air monte dans les poumons, entraînant le soulèvement de la cage thoracique jusqu’au niveau claviculaire. A l’expiration, le diaphragme remonte, donc le ventre s’aplatit ; et les poumons se vidant d’air, la cage thoracique s’abaisse.”

Une bonne respiration mérite qu’on lui consacre quelques minutes par jour.

Entraînez­vous trois minutes matin, midi et soir. Cela n’a pas seulement le pouvoir de réguler nos émotions et de chasser le stress, elle agit directement sur notre santé.

les courses ?

le médecin ?

Comment se manifeste votre stress ? Pour certains, un battement de cœur qui s’accélère ou un léger sentiment de malaise suffisent à leur faire savoir qu’ils commencent à être angoissés ou dépassés.

Quelques petits conseils simples pour reprendre le contrôle.

1. Apprendre à respirer Inspirez, expirez… mais pas trop vite

Pays de Lons

qui fait le buzz... Un bon éclat de rire est une bonne technique de relaxation.

“Les rires augmentent le volume d’air riche en oxygène que vous ingérez, sti­ mulent votre cœur, vos poumons, et vos muscles, et augmentent les endor­ phines qui sont relâchées par le cerveau”, explique le site Mayo Clinic.

Sérieusement, éteignez votre téléphone

Nouvelles technologies et vieilles angoisses Arrêter de penser en boucle, d’enchaîner les gestes automatiques, de faire plusieurs choses à la fois, cela s’appelle déconnecter. Et si l’exercice est moins simple qu’il en a l’air, il est rendu encore plus difficile par l’invasion des nou­ velles technologies. “Téléphones portables et connexions Internet nous cou­ pent en deux : nous sommes ici et ailleurs, seul et avec quelqu’un d’autre”, constate Béatrice Millêtre. Selon la psychologue et psychothérapeute, ces outils censés nous faciliter le quotidien sont tout sauf propices à notre bien­ être mental. En nous maintenant sur le qui­vive, dans l’inquiétude de man­ quer une personne ou une opportunité, ils réactivent nos vieilles angoisses : exclusion, vide, solitude… Et nous privent d’un vrai remède : vivre pleine­ ment le moment présent. Faites le test : réussirez­vous à vous déconnecter au moins une heure avant le coucher.

Et si vous ne réussissez pas à quitter votre ordinateur…

Une autre solution s’offre à vous : des programmes de gestion de stress en ligne, comme la méditation guidée, diminuent les niveaux de stress et aug­ mentent les résultats de bien­être émotionnel. Ou encore regardez une vidéo

Ce sont surtout les smartphones qui sont liés à une augmentation du stress, puisque les gens se sentent de plus en plus obligés de répondre aux mes­ sages à tout moment.

3. Gérer son temps Du temps, on a toujours l’impression d’en manquer. Concilier projet d’études, responsabilités professionnelles et vie personnelle, c’est du sport !

Encore plus quand s’ajoutent à tout cela des responsabilités familiales.

Typiquement, la personne stressée tombe malade pendant les vacances et souffre de migraine le week­end. Pourtant, il suffit d’une bonne organisation et de quelques règles pour y arriver.

Etablir des priorités La clé : établir des listes des choses que vous devez gérer en fonction de leur importance et ne pas vous éparpiller dans vos activités.

I Publirédactionnel

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Esthetic Avenue quand l’esthétique devient un art de vivre...

Idéalement situé face à l’entrée principale de l’hypermarché de la zone commerciale Chantrans de Montmorot, près de Lons, l’institut de beauté Esthétic Avenue dirigé par la souriante Laetitia­Hélène Josserand étale ses installations ultramodernes sur près de 100 m2. Depuis juin 2010, date de son ouverture, la pimpante enseigne, aisé­ ment reconnaissable au coquet lapin stylisé sorti de l’imagination graphique de l’époux de la maîtresse des lieux, Frédéric, s’est construite une clientèle aussi imposante que fidèle grâce au dynamisme, au profes­ sionnalisme de l’équipe en place et à la qualité des soins dispensés. Mais aussi à la faveur de l’incomparable confort et à la

convivialité proposés par l’endroit. Dans un décor soigné, élégamment décoré et cha­ leureux se succèdent en enfilade pas moins de trois cabines d’épilation*, une cabine de soins “corps”, une autre dédiée à la manu­ cure et au maquillage ainsi qu’une cabine U.V. haute technologie de dernière généra­ tion dotée d’un appareil dûment homolo­ gué, enregistré et immatriculé à la préfec­ ture du Jura. Esthéticienne diplômée, Laetitia­Hélène accueille une clientèle qui n’hésite pas à venir de très loin pour venir se faire dorloter dans une ambiance pro­ pice à la détente et à la décontraction : “Notre clientèle est pour partie issue du bassin lédonien, mais certains viennent de

la Bresse et du Haut­Jura. Par ailleurs, nous recevons de plus en plus de jeunes grâce à des formules tarifaires adaptées.”, détaille la sémillante maîtresse des lieux. Laquelle s’est au surplus faite une spécialité de l’ac­ cueil des messieurs, lesquels n’ont pas tou­ jours bonne presse chez la concurrence.

“Chez nous, les hommes forment 30 % de la clientèle . Aujourd’hui les hommes pren­ nent soin d’eux et ils n’apprécient pas plus que nous les stigmates du vieillissement et ils s’attachent à préserver leur corps et leur capital séduction. Outre les habitués, nom­ breux sont ceux qui nous sont adressés par leur épouse ou leur amie. De plus, c’est une clientèle sympathique”. Toujours soucieuse

d’élargir la gamme de ses services, Laetitia­ Hélène va proposer en plus des prestations habituelles et de son offre de soins “Duo” (les deux personnes sont côte à côte dans la cabine et ont chacune leur esthéticienne, Ndlr), un “soin­massage” assis : “Il s’agit d’une séance de soins de 15 minutes durant laquelle le client reste assis et n’a pas à se déshabiller. Pour un tarif très attractif, cela reste un très bon moyen pour se détendre et déstresser à l’heure de la pause déjeu­ ner. On travaille sur tout le haut du corps et sur les mains”. De quoi rendre le petit lapin d’Esthétic Avenue encore plus populaire que celui d’un célèbre magazine de charme...

* Pour les épilations, l’institut n’utilise que de la cire française haut de gamme Perron Rigot et diffuse ses gammes en soins visage NOVEXPERT (lutte contre le vieillissement), sa gamme bio adaptée à tout type de peaux et sa gamme pour les ados en délicatesse avec des peaux à problèmes juvéniles. **Pour l’épilation intégrale homme du maillot, une attitude correcte est exigée. Port obligatoire du string jetable fourni par l’institut.

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Horaires d’ouverture : Ouvert, avec ou sans rendez­vous*, du lundi au vendredi de 10 h à 19 h, sans interruption, et le samedi de 9 h à 18 h, sans interruption. * En fonction de nos disponibilités

Esthetic Avenue - Centre commercial espace Chantrans - 39570 Montmorot - Tél : 03 84 24 79 20

Pays de Lons - Hors-série novembre 2013 Rappelez­vous, nous n’aurons jamais le temps de tout faire. Nous n’avons donc pas le choix, nous devons apprendre à sacrifier certaines activités même si cela peut sembler difficile au début et choisir ce qui est prioritaire.

Il faut donc se fixer des objectifs réalisables.

Anticipez les fêtes !

Optimiser son efficacité Vous devez savoir à quel moment de la journée, vous êtes le plus efficace ; les rendez­vous essentiels devront alors être programmés à ce moment­là. L’efficacité est naturellement importante pour gérer son temps. Être efficace permet de ne pas perdre de temps et de pouvoir accomplir plus de choses et aux vues des statistiques, ce n’est pas un mal, car 60 % d’entre vous se sentent très occupés.

4. Faire du sport

Êtes-vous en surpoids ?

5. Positiver “Contrairement aux insatisfaits chroniques, les personnes optimistes intègrent le stress dans leur vie. Elles savent que leur parcours peut être semé d’obstacles, mais elles l’acceptent mieux”, observe Silvia André dans son ouvrage “J’arrête de stresser”. En théorie : Regarder la partie pleine du verre et pas toujours la partie vide.

Renforcer positivement les autres Nous nous comportons souvent comme ces parents qui reçoivent le bulletin de leur enfant et qui passent en diagonal les notes pour fondre sur l’échec en oubliant la série de notes convenables voire excellentes et qui le signent sans félicitation !

Ou encore, à force de vivre ou d’être en contact avec quelqu’un, il arrive que ses qualités s’estompent et qu’on finisse par ne plus voir que ses défauts. Et à chaque constatation, nous nous en énervons davantage : “il ne changera jamais !”

Les défauts sont irritants, mais à force de ne plus voir que ceux­ci, nous risquons fort de râler en permanence.

Or râler est la meilleure façon d’entretenir notre stress. Après un peu d’entraînement, les sourires remplaceront bien­ tôt les jérémiades.

Optimisme : on jouit des petits bonheurs À trop courir, on en oublie tous les moments de joie qui s’offrent à nous au quotidien. Le sourire d’un commerçant, un soleil matinal, une nouvelle pousse sur une plante… autant de petits événements susceptibles d’insuffler des ondes positives dans notre vie. Le soir venu, repenser à 2 ou 3 choses plaisantes de la journée aide à prendre conscience de l’importance de ces détails. Et quoi de mieux que de s’endormir avec des pensées agréables et de se réveiller avec des pensées positives ?

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Un plan diététique personnalisé Le but de la méthode est d’atteindre son poids idéal sans restriction et sans frustration qui entraî­ nent fatigue et carences alimentaires. Elle se Vincent CHICANNE décline ainsi : Sans contrainte… § Le plan diététique est défini en fonction de la Que vous soyez femme ou homme, vous avez quelques kilos en trop, vous pouvez les perdre personne. sans contrainte grâce à la méthode exclusive pro­ § Le suivi hebdomadaire est gratuit. § Un véritable accompagnement destiné à maintenir posée par Naturhouse, laquelle repose simple­ ment sur une alimentation équilibrée. Ce concept la motivation afin que la réussite soit totale. § Prescription de compléments alimentaires Natu­ créé en 1995 a déjà permis de satisfaire plus de rhouse à base de plantes, selon l’évolution de la quatre millions de personnes grâce à la prise en perte de poids, chacun ayant une action spécifique charge par une diététicienne diplômée qui, après qui correspond à un objectif précis (ceinture un bilan complet, met en place votre plan diété­ tique personnalisé. Travailler sur un rééquilibrage abdominale, cellulite, digestion…). § Stabilisation du poids : cette phase marque la fin alimentaire permet d’affirmer au client qu’il entame sa dernière démarche de perte de poids. du plan diététique. § Entretien du poids destiné à préserver les résultats obtenus et à prendre en main, grâce aux effets La stabilisation, une étape primordiale bénéfiques des plantes, le bon fonctionnement de Beaucoup pourront en témoigner : le plus difficile n’est pas de perdre du poids, mais de stabiliser le votre organisme.

Dans ce suivi personnalisé, les consultations sont résultat obtenu. La phase de stabilisation est donc gratuites. Seuls les compléments alimentaires qui une étape essentielle pour parvenir à votre objec­ ne sont en aucun cas des substituts de repas ou tif et le pérenniser. C'est pour cette raison que Naturhouse accorde une attention toute particu­ des coupe­faim, sont à la charge du client. lière au suivi de ses clients(e)s. Après la première phase de rééquilibrage, une période de deux mois de stabilisation prendra le relais, pendant laquelle la personne sera accompagnée à raison d’une séance toutes les deux semaines. Conseillé par la diététicienne, vous saurez comment réintégrer les aliments “plaisir” : quelle quantité, à quel moment, quelle fréquence… Après ces deux mois, une nouvelle phase d’entretien de six mois per­ mettra de faire le point mensuellement sur votre poids, et sur vos nouvelles habitudes alimentaires.

Grâce à ce suivi personnalisé, les kilos perdus ne réapparaîtront pas dans le cadre d'une alimenta­ tion équilibrée. Mais surtout, en appliquant ces conseils, votre confiance en vous sera reboostée : votre poids idéal se maintiendra de façon durable.

Anne Claire PERRIER GROS CLAUDE, diététicienne-nutritionniste

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Pour se défouler, se vider la tête ou s’évader, le sport c’est vraiment parfait. Il permet d’évacuer les tensions et de canaliser l’énergie. En cela, il est une arme parfaite contre le stress.

Durant un exercice physique, des hormones du bien être, les endorphines, sont libérées. Vous vous sentez mieux, votre degré d’anxiété s’en trouve diminué et votre sommeil apaisé.

Sport antistress : Dès 30 minutes par jour à raison de cinq fois par semaine, les vertus du sport sont avérées. (Source : Pr Martine Duclos, service de médecine du sport et des explorations fonctionnelles, CHU Clermont Ferrand)

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Hors-série novembre 2013 -

Anti-stress

Pays de Lons

Ces plantes qui vous font du bien

Plutôt que dʼabuser dʼantidépresseurs ou de caféine selon les cas, faites confiance aux vertus des plantes. Le stress nʼest pas une fatalité, et les plantes peuvent sʼavérer efficaces pour apaiser la nervosité, lʼanxiété, les angoisses, les tensions, lʼirritabilité et les insomnies. Contrairement aux médicaments chimiques, elles ne créent pas de dépendance ni dʼaccoutumance.

Les plantes aromatiques Le thym ou farigoulette Base du bouquet garni, le thym a des propriétés antisep­ tiques, antitussives, révulsives. Son infusion après un repas copieux est une boisson très digestive. Apprenez à déguster vos tisanes de thym sans sucre.

Comment faire une boisson anti­déprime ?

Ingrédients : 1 goutte d’Huile essentielle de Thym thujanol 1 goutte d’Huile essentielle de Romarin 1 cuillère à café de Miel Versez les huiles essentielles dans la cuillère miel et remuez dans une tasse d’eau chaude. Vous boirez cette tisane 2 à 3 fois par jour pendant une quinzaine de jours.

L’huile essentielle de thym thujanol harmonise les affec­ tions nerveuses. L’huile essentielle de romarin est un bon anti­stress qui lutte également contre la fatigue intellec­ tuelle.

Le romarin ou rosée de mer Quoi de meilleur qu’une bonne tisane avant de se cou­ cher? Ce sont ses feuilles que l’on fait infuser pour leurs propriétés antiseptiques, antispamodiques, stimulantes et toniques : le romarin soulage les maux de tête, amé­

Ses vertus Apaisante : l’huile essentielle de camomille romaine est l’anti­stress par excellence, à diluer dans une huile végé­ tale pour un massage.

Détente : diluée dans le bain dans un dispersant, l’huile essentielle de camomille romaine favorise la relaxation.

Calmante : idéale pour apaiser l’épiderme, à appliquer aussi en soin du visage. Équilibrante : quelques gouttes d’huile essentielle de camomille romaine dans un diffuseur permettent d’équi­ librer l’humeur.

liore la mémoire et la concentration, fortifie les convales­ cents et combat les effets du stress et de la fatigue.

Infusion Infuser, pendant 10 minutes, 2 g de romarin séché dans 150 ml d’eau bouillante; prendre de 2 à 3 tasses par jour.

La sauge officinale Ce n’est pas pour rien, si on l’appelle “herbe sacrée”, puisqu’en latin salvare veut dire guérir. Ne dit­on pas : “Qui a de la sauge dans son jardin, ne connaît pas le médecin”.

La lavande officinale ou le lavandin La lavande a une action tonifiante sur le système nerveux et soulage la dépression. Elle apaise les maux de tête, favorise le sommeil et calme les spasmes digestifs.

La solution anti­stress La lavande possède des senteurs apaisantes. Si vous res­ sentez l’angoisse ou la colère monter en vous, sortez votre flacon d’huile essentielle de lavande. Faites tomber quelques gouttes sur un mouchoir et respirez. Quelques gouttes sur les tempes, respirez profondément, fermez les yeux…

En cas de rhume psychologique dû au stress, déposez quelques gouttes d’huile essentielle sur votre thorax, massez… Vous respirez déjà mieux !

Les plantes médicinales La camomille La camomille calme l’agitation nerveuse. Une tisane de

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Comment se déstresser avec de la sauge ?

Faites bouillir un litre d’eau dans une casserole. Mettez­ y ensuite les feuilles de sauge. Laissez infuser pendant environ 15 minutes puis conserver la dans une bouteille en verre. Buvez un verre par jour de cette décoction tous les matins ou avant de dormir.

Le tilleul camomille est reconnue vous aider à soulager la nervo­ sité et éloigner l’insomnie que cet “énervement” pour­ rait engendrer. Rajoutez avec plaisir du miel.

L’huile essentielle de camomille romaine est idéale pour apaiser et prendre soin de sa peau au quotidien. Très douce, elle peut être utilisée pour ses différentes vertus.

C’est même l’une des rares huiles essentielles qui peut convenir aux enfants.

Ses fleurs sont utilisées en infusions pour leurs propriétés calmantes, apaisantes et anti­stress. La tisane de tilleul est recommandée contre les troubles nerveux et les crises d’angoisse.

Remède de grand­mère Faites bouillir l’eau dans votre casserole. Hors du feu, ajoutez­y les fleurs de tilleul, puis laissez infuser. Buvez cette infusion anti­stress tout au long de la journée.

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Pays de Lons - Hors-série novembre 2013

Relaxation, méditation, yoga et autres...

Apprendre à gérer son stress Si vous ne voulez pas vous engager dans un apprentis­ sage des véritables techniques de méditation, vous pou­ vez faire quelques exercices simples : – D’abord, installez­vous dans un endroit calme, où vous ne serez pas dérangé ; – Essayez de mettre une lumière douce (bougies) ; – Installez­vous confortablement, assis (pas forcément en tailleur !) ; – Fermez les yeux et, détendez­vous, écoutez votre res­ piration ; – Essayez de visualiser une image ou pourquoi pas, regardez une reproduction de tableau qui vous parle ; – D’autres techniques proposent de visualiser chaque partie de son corps, d’en prendre conscience les unes après les autres, en partant des pieds ; – Les techniques de relaxation peuvent vous compléter la méditation, pour vous aider à vous détendre. L’idée et de ne pas penser au travail, aux contrariétés ou à des choses de votre quotidien.

– Essayer de rester dans cet état de calme un quart d’heure, chaque jour !

Relaxation et massage pour gérer son stress Les massages sont un excellent moyen pour se détendre et lutter contre les tensions liées au stress. En effet, le

Le stress est souvent à l’origine d’anxiété, d’insomnie, voire de dépression ou de maladies psychosomatiques.

C’est un mal d’aujourd’hui. Nous voulons en faire toujours plus : il faut donc aller encore plus vite. Autour de nous, les facteurs de stress sont nombreux et comme il est difficile d’y échapper, autant apprendre à les gérer.

Méditation et Yoga La méditation, c’est à la base le fait de “méditer”, donc simplement de réfléchir. Mais aujourd’hui, avec les approches orientales, ce terme désigne les techniques pour se vider la tête, pour retrouver la quiétude.

Il n’existe pas une mais plusieurs techniques de médita­ tion. Chacune repose à peu près sur les mêmes bases.

Parmi toutes les méthodes, il y a le yoga, qui n’est pas

bien sûr uniquement une méthode de méditation. Bien que le yoga soit une discipline qui remonte à plus de 5 000 ans, nous commençons à peine à en découvrir les bienfaits. En plus de tonifier et de renforcer le corps, il contribue à faire baisser la pression artérielle et à soula­ ger la dépression.

Des exercices faciles

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stress est souvent marqué par des muscles tendus qui pro­ voquent des maux de dos, de la tête ou d’autres douleurs.

Le massage permet de se détendre, de relâcher les mus­ cles et ainsi de supprimer ces douleurs insupportables.

De plus, lors du massage, quelqu’un d’autre s’occupe de vous, vous pouvez alors complètement vous relâcher, laisser faire, ne penser à rien ou même dormir. Profitez de ce moment de bien­être qui est un véritable moyen efficace de recharger ses batteries. Il existe une multi­ tude de méthode de massages : massage Shiatsu, mas­ sage thaïlandais, massage avec des pierres… mais ils ont tous le même but : la détente des muscles.

Gestion du stress : les autres traitements En plus d’une psychothérapie, de la relaxation ou des autres traitements, vous pouvez utiliser d’autres solutions alternatives ou complémentaires pour vous détendre. n L’homéopathie. C’est une médecine individualisée. A partir d’un entretien durant lequel le médecin va lier vos symptômes physiques avec votre bien­être psychique, il vous proposera des médicaments homéopathiques adaptés à votre corps et à votre psychisme. n L’acupuncture. L’acupuncteur va mettre en lien vos symptômes physiques avec vos émotions et chercher la cause du stress. L’acupuncture permet de refaire circuler l’énergie dans le corps et l’esprit. n Le sauna, le hammam. Profitez d’un moment de calme dans une ambiance chaleureuse. Fermez les yeux et lais­ sez votre corps se reposer. n Les vacances. La réponse est un peu facile mais de bonnes vacances loin de votre téléphone peuvent être la seule solution évidente pour en finir avec votre stress.

Apprendre à méditer En réalité, toute la journée, les pensées se succèdent dans notre esprit, en file indienne, sans répit. Il n'y a presque aucune seconde pendant laquelle notre esprit n'est pas accaparé par une pensée quelconque. Le prin­ cipe de base de la méditation est de développer son attention et sa concentration.

Lorsque la méditation est pratiquée correctement, on commence à ressentir les premiers bienfaits au bout de 2 à 3 semaines. Une transformation interne plus profonde s'opère au bout de quelques mois de pratique. Les bienfaits retirés d'une pratique régulière de la méditation sont nombreux et ils ont été prouvés par des milliers d'études scientifiques au cours des siècles.

Même si vous n'êtes pas prêts à une introspection aussi profonde, l'accroissement de votre capacité d'attention vous procurera de nombreux bienfaits dans votre vie quotidienne.

Pour tenter l’expérience, il vous suffit de fermer les yeux, de ralentir légèrement votre respiration et de vous concentrer sur la sensation de l'air qui rentre et qui sort par vos narines.

Vous vous rendrez compte qu'il est difficile de rester concentré sur cette sensation car des pensées et des idées traversent sans cesse notre esprit et nous empêchent de rester totalement concentrés. Lorsque votre esprit s'égare, essayez de vous reconcentrer sur la sensation de l'air entre vos narines.

De nombreux livres, magazines et sites internet regorgent de conseils et guideront vos premiers pas.

Les meilleurs moments pour s’adonner à cet exercice sont le matin au réveil, mais aussi après une petite marche ou en écoutant de la musique apaisante... Quelques minutes quotidiennes suffisent, mais choisissez toujours un moment où vous êtes seul(e) et tranquille. source : http://www.apprendre­a­mediter.com/

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