Pays de Lons 81

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N°81 Mars 2014

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Pays de Lons n°81 - Mars 2014

Gendarmes et maires amplifient leurs liens

La présidente de l’association des maires du Jura, Sylvie Vermeillet, et le commandant du groupement de gendarmerie, le colonel Joël Gleyzon, viennent de signer une convention de partenariat, déclinaison de celle nationale signée en juin dernier par deux Jurassiens : Denis Favier et Jacques Pélissard. Son objectif est triple : mieux se connaître, mieux échanger au quotidien, conseiller et informer pour une meilleure tranquillité publique.

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Le colonel Gleyzon a profité du rendez­vous pour sensibiliser les personnes présentes sur un thème qui lui est cher : la participa­ tion citoyenne. “Il consiste en l’installation d’une chaîne de vigi­ lance et de diffusion d’informations améliorant la prévention de proximité vis­à­vis de tous les habitants et facilitant l’échange de renseignements entre la population et les forces de sécurité”, a­ t­il présenté. Si le dispositif en est à ses balbutiements dans le département, le colonel Gelyzon a insisté sur son efficacité pour lutter contre les atteintes aux biens. “Dans la Drôme où cet outil a été mis en œuvre, une baisse encourageante de la délinquance d’appropriation a été observée, avec 20 à 40 % d’actes de délin­ quance en moins”, a illustré le commandant du groupement.

La présidente de l’association des maires du Jura, Sylvie Vermeillet, s’est montrée prudente sur ce sujet : “Des collègues ne sont pas favorables à cette participation citoyenne” a­t­elle fait remarquer, tout en ne fermant pas la porte au dispositif. “Que ceux qui sont prêts testent, c’est très bien. D’autres s’engageront par la suite dans cette voie si on fait le relais de son succès et de son efficacité”. Sur la convention, l’élue n’a pu que se réjouir : “Après l’urbanisme, la pré­ occupation principale des maires est un besoin de lien avec les gen­ darmes. Cette convention montre des avancées réelles à un moment où les maires en ont vraiment besoin”.

La présidente de l’association des maires du Jura et le commandant du groupement se sont engagés pour que maires et gendarmes échangent mieux.

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SCÈNES DU JURA Après le label, le contrat...

Régie publicitaire 03 84 82 50 21 - 06 33 79 00 94 commercial@paysdelons.fr Prochaine sortie en boîte aux lettres 31 mars 2014 Rédaction : redaction@paysdelons.fr Pays de Lons : Zone des Epenottes 13 rue Alexandre Vialatte BP 212 - 39102 Dole Tél. 03 84 82 50 21 - Fax : 03 84 72 37 81 n°ISSN : 1 778-820X - Imprimé en France

De g. à d., le président des Scènes du Jura, sa directrice et le préfet de région apposent leur signature sur le contrat d’objectifs et de moyens.

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Les Scènes du Jura ont été labellisées Scène nationale à l’occasion de la venue de la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, à Dole, le 5 avril 2013. La formalisation de cette labellisation vient de donner lieu à la signature d’un contrat d’objectifs et de moyens d’une durée de quatre saisons théâtrales, comprises entre septembre 2013 et juin 2017. Elle a réuni onze partenaires publics, l’Etat et plusieurs col­ lectivités. “Ce contrat fixe notre feuille de route, nos droits et nos devoirs”, a rappelé le président de l’association, Jean Piret. “Je mesure le chemin parcouru depuis quatre ans dont l’objectif était d’obtenir le label ; notre travail acharné qui s’est terminé par la venue de la ministre et la signature de ce contrat”, s’est félicitée quant à elle la directrice, Virginie Boccard. “Ce contrat permettra de défendre les arts et la culture pour ce territoire et ses habitants”.

Les élus se sont réjouis que les Scènes du Jura permettent à chaque Jurassien d’avoir accès à des spectacles aux formes variées (théâtre, arts de la rue, marionnettes, arts du cirque, conte, musique et danse). Ce projet aura également eu le mérite de “créer l’unanimité et faire rentrer le théâtre à la préfecture du Jura !” (lieu qui accueillait la signature), a souligné, avec beaucoup d’humour, le pré­ fet de région, Stéphane Fratacci.

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Pays de Lons n째81 - Mars 2014

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4 l’essentiel de l’info

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EXPRESS MUNICIPALES BERNARD ROUX REPREND LA TÊTE DE LA LISTE “OSEZ LONS” Suite à la défection d’Alain Jendemange le mois dernier, Bernard Roux a repris la tête de sa liste indépendante “Osez Lons”. Une démission à quelques semaines des élections expliquée par l’ampleur de la tâche mal mesurée par Alain Jendemange. “Il fallait acquérir de grosses connaissances sur les dossiers lédoniens, ce qui aurait été difficile au regard de ses activités de dirigeant de sociétés” explique Alain Holveck, chargé des relations presse pour Bernard Roux.

“Mais il n’y a aucune dissension interne” assure le communiquant. “Juste un coup d’arrêt et quelques interrogations sur l’aspect sécuritaire de notre liste : il n’y a aucun virage sécuritaire comme cela a pu être interprété”. De son côté, l’ancien énarque Bernard Roux, qui avait émis quelques réserves sur son âge – 78 ans – et une place de N° 1 sur sa liste, est finalement revenu sur ses doutes : “Il assume son âge, ce n’est pas une tare, dans la mesure où il a les idées”.

MUNICIPALES MARC-HENRI DUVERNET : “MOI, MAIRE DE LONS-LE-SAUNIER” Voici une anaphore qui n’est pas passée inaperçue lors du débat télévisé de France 3 Franche-Comté à Lons-le-Saunier le 8 février dernier, “La Voix est libre”. A deux reprises, MarcHenri Duvernet, candidat PS à la mairie de Lonsle-Saunier, a osé un “Moi, maire de Lons-leSaunier”, qui n’est pas sans rappeler une certaine anaphore présidentielle… Acte involontaire ou délibéré ? Chacun se fera sa propre idée…

SOCIÉTÉ LE CONSEIL GÉNÉRAL S’ENGAGE POUR L’EMPLOI DES PERSONNES HANDICAPÉES Le 18 février dernier, le Conseil général du Jura signait une convention avec la Caisse des dépôts (FIPHFP : Fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la Fonction publique). Ce fonds finance les actions de recrutement ou de maintien dans l’emploi de personnes handicapées dans la fonction publique. Par cette convention, le Conseil général s’engage, entre autres, à favoriser le recrutement des demandeurs d’emploi bénéficiaires de l’obligation d’emploi et de mener à bien des actions d’adaptation des postes, de maintien dans l’emploi et de reclassement. En 2006, le taux d’emploi de personnes en situation de handicap au Conseil général était de 1,78 %. En 2014, il est de 5,51 %. L’aide totale du FIPHFP sur la période de trois ans s’élève à 452 912 euros.

VOITEUR CONCOURS DE TAILLE DE LA VIGNE : LA PREMIÈRE PLACE POUR UNE FEMME Le 15 février dernier, le 7e concours de taille de la vigne, organisé par la Chambre d’agriculture du Jura et la Société de Viticulture du Jura, se tenait à Voiteur. 30 participants y prenaient part (viticulteurs, salariés et aussi étudiants). Au terme des épreuves pratiques et théoriques, c’est une femme qui pour la première fois remporte le concours (Sonia Saint-Voirin). A noter la belle troisième place remportée par un étudiant (William Musard).

La marque de fabrique du jeune candidat est d’être sur le terrain. Son premier meeting de rue s’est déroulé à la Marjorie mi-février. D’autres devaient suivre.

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MUNICIPALES LONS

Marc-Henri Duvernet : sa jeunesse, sa présence sur le terrain... sont des atouts

Sur sa motivation à se présenter candidat aux prochaines municipales de Lons, Marc­Henri Duvernet est clair : “Il s’agit pour moi du prolongement de mon man­ dat de conseiller général pour mieux servir les Lédoniens et ma ville natale que j’aime tant”. Le Lédonien de 27 ans estime que “sa jeunesse est un atout formidable pour Lons”. Sa marque de fabrique, être sur le terrain, constitue aussi un sérieux avan­ tage. Marc­Henri Duvernet vient de lancer des meetings de rue, le premier ayant eu lieu dans le quartier de la Marjorie, pour créer des contacts simples, directs... avec les habitants. Le candidat souhaite égale­ ment mettre en avant quelques priorités pour la ville : l’emploi d’abord, mais aussi les seniors, le fonds de revitalisation pour tous les quartiers de la ville, sa volonté de ramener les couples avec enfants, déve­ lopper des filières universitaires, faire du centre­ville le plus grand centre commer­ cial du département...

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Pays de Lons n°81 - Mars 2014

MUNICIPALES LONS

Thierry Gaffiot présente une liste forte de la diversité de ses membres

Une liste, soutenue par le Front de gauche, mène campagne actuellement pour les municipales à Lons. Elle s’intitule : “En avant la gauche, pour une ville sociale, éco­ logique et solidaire”, une appellation qui résume son projet. “Pour le faire­vivre, nous proposons aux Lédonien(ne)s un contrat de gestion : il s’agira ensemble de défi­ nir et construire les programmes et d’agir”, présente Thierry Gaffiot. Le professeur des écoles de 53 ans et conseiller municipal sortant est la tête de liste. “On veut battre la droite et réancrer la politique de la ville à gauche, enchaîne Géraldine Revy, 34 ans, professeur des écoles spécialisées et deuxième sur la liste. On se positionne comme la seule liste à gauche puisque Marc­Henri Duvernet dit rassembler bien au­ delà.” Sur cette liste, se trouvent des militants associatifs du logement social, un thème dont on sait qu’il tient particulièrement à cœur à Thierry Gaffiot : Robert Germain et Gérard Marmet ; des syndicalistes : Patrick Poisson, Pascal Buatois, Ludovic Pernet... Mais il y a aussi des “candidats qui représentent l’ouverture que nous voulions”. Thierry Gaffiot cite Elodie Balay, 28 ans, aide­soignante, militante mutualiste ; Jean­François Gauchet, 51 ans, coordonnateur d’offre de santé et de prévention ; Cécile Joubert, 34 ans, éducatrice spécialisée... “Notre liste représente la diversité de la ville, des engagements, des personnes, des investissements poli­ tiques, associatifs, syndicaux...” Mais ajoute le candidat, “toutes ces personnes par­ tagent la même idée : ce qui nous guide, c’est l’humain d’abord”. Thierry Gaffiot pré­ cise que la liste fera campagne sur le terrain. “Dans chaque quartier, on organisera des cafés de liste.” Le final de la campagne est prévu le 21 mars au Carcom.

Céline Trossat Thierry Gaffiot a présenté sa liste “En avant la gauche, pour une ville sociale, écologique et solidaire” au Carcom récemment.

Son équipe est “plurielle, diversifiée et elle laisse la part belle à la société civile. Les personnes sont là pour leurs compétences et pas pour leur étiquette politique”, pré­ cise Marc­Henri Duvernet. Il affirme que toutes ces personnes travaillent avec lui depuis plusieurs mois a minima. Parmi ses membres, le candidat cite Paule Petitjean, 64 ans, proviseur honoraire du lycée Jean­Michel ; Maryse Martinet, 55 ans, commerçante sous les Arcades ; Jean­Yves Ravier, 55 ans, kinésithéra­ peute­osthéopathe ; Willy Bourgeois, 25 ans, directeur commercial associé dans une entreprise ; Nadia Gavard, 40 ans, conseillère municipale ; Anne Perrin, 46 ans, chef de service éducatif APEI ; Christian Stengel, 54 ans, major de police à la retraite ; Nicole Paraiso, 59 ans, avo­ cate... A l’heure où nous mettons sous presse, Marc­Henri Duvernet n’avait pas encore dévoilé les membres de sa liste.

Céline Trossat

Un accueil de jour pour les femmes victimes de violence

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Le 21 février dernier, un accueil de jour départemental pour les femmes victimes de violence a été inauguré dans le Jura. Particularité du département : cet accueil de proximité, gratuit et anonyme, se décline sur deux sites, Dole et Lons­le­Saunier. Piloté par l’association départementale CIDFF, la préfecture du Jura, le Conseil général du Jura et l’association Femmes Debout pour l’antenne doloise, ce lieu d’accueil et d’écoute aura pour missions d’informer les victimes sur les droits et disposi­ tifs existants, les orienter vers les bons interlocuteurs ou services médicaux, favoriser le dialogue par une écoute attentive, évaluer leurs besoins… “Nous accueillons de plus en plus de femmes victimes de violence. Entre 2012 et 2013, il y a eu une augmentation de 70 % de victimes” déplore Dominique Tisserand, présidente de Femmes Debout. “Cet accueil sera l’occasion de faire encore plus

de prévention, et ce dès la maternelle, pour apprendre aux plus jeunes que la société est basée sur le respect”.

Sur chacun des deux sites, des professionnels seront à l’écoute des femmes en détresse : psychologues, juristes, éducateurs spécialisés… “Statistiquement il est prouvé que ces femmes font en moyenne sept allers­ retours avant de partir définitivement de chez elle. L’ac­ cueil de jour, ouvert sans interruption toute la journée, aux femmes et leurs enfants, est là pour prévenir ces situations et les anticiper” explique Chantal Galmard, présidente du CIDFF du Jura. Tel est l’essence de ce dis­ positif : informer avant que l’hébergement d’urgence ne soit nécessaire. “Notre espoir, c’est de pouvoir intervenir en amont et pas lorsqu’il est trop tard”.

Accueil de jour de Lons-le-Saunier : CIDFF, 1000 rue des Gentianes.

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Pays de Lons n°81 - Mars 2014

Prendre soin de soi !

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6 l’essentiel de l’info

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ARCHEOLOGIE

Un accompagnement intéressant pour le futur musée

Le maire de Lons, Jacques Pélissard, et le président de l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives), Jean­Paul Jacob, viennent de signer une convention de partenariat d’une durée de trois ans. L’objectif était de formaliser une collaboration déjà vieille de dix ans.

De manière ponctuelle, ils œuvraient déjà de concert lors d’expositions, publications...

La collaboration désormais envisagée va loin. “En associant un service d’archéologie et un musée, c’est toute la chaîne opératoire, de la fouille à l’exposition, qui est concernée. D’autre part, et pour la première fois, l’Inrap souhaite contribuer à des opérations de longue durée et notamment au projet scientifique et culturel et à la programmation des collections qui seront exposées dans le futur musée de Lons”, résume Jacques Pélissard.

Si le musée archéologique ne verra pas le jour avant plusieurs années, le dossier avance bien et cette convention va le faire progresser davantage encore. A noter que ce dossier est aussi le der­ nier projet d’une politique globale de la ville en matière d’archéologie. “D’abord on trouve, ensuite on conserve et après on expose”, a rappelé Jacques Pélissard. Des vestiges archéologiques, la ville de Lons en a trouvés lors de ses chantiers de reconstruction de la ville. Un centre de conservation et d’études a ensuite été créé dans la zone industrielle. Reste donc le musée à réa­ liser pour exposer “la richesse” de la ville.

Jacques Pélissard a remis la médaille d’honneur de la ville à Jean-Paul Jacob.

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Culture Le théâtre s’invite en classe !

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17 établissements scolaires jurassiens ont bénéficié du dispositif “Le théâtre c’est (dans ta) classe”.

Du 10 au 21 février derniers, comédiens et comédiennes de théâtre ont investi les salles de classe au sein de 17 établissements jurassiens. Une expérience originale qui a permis à des collégiens et lycéens de se familiariser avec le genre théâtral.

Si tu ne vas pas au théâtre, le théâtre viendra à toi… Voici le concept de ce dispositif innovant mis en place par les Scènes du Jura et le Conseil général du Jura en 2013. Lors de cette première édition, quelque 5 500 élèves, pour 18 établissements jurassiens, avaient vu leur salle de classe investie par les comédiens, avec pour seuls décors tables et tableau, sans artifices lumineux ni sonores. Après le succès de cette première saison saluée par la ministre de la Culture Aurélie Filipetti, les Scènes du Jura, en col­ laboration avec le Théâtre Am Stram Gram de Genève et Château Rouge à Annemasse, ont passé deux nouvelles commandes d’un monologue dramatique destiné à être représenté en classe. Cette année, l’auteure genevoise Valérie Poirier, et Rémi De Vos, auteur de saison des Scènes du Jura, ont répondu à cette commande et ont livré deux textes, d’une trentaine de minutes chacun, “John W.” et “Apprendre à rêver”, représentés dans 17 établisse­ ments scolaires. “Nous considérons que le théâtre, partie majeure de la littérature française, est un moyen d’entrer dans la littérature

et de maîtriser la langue française” expliquait Danielle Brulebois, première vice­présidente du Conseil général du Jura. “Les élèves voient le texte s’incarner par le jeu d’un comédien. En renouant un lien avec l’écrit qui est de la vie et de l’humain, on pourra les ame­ ner plus facilement vers d’autres auteurs comme Racine ou Molière”. Aussi une occasion de désacraliser le théâtre et le rendre accessible à tous, comme le soulignait Christian Parent, vice­prési­ dent des Scènes du Jura : “Le projet permet aussi à beaucoup de jeunes qui n’auraient pas forcément l’occasion de rencontrer nos lieux de diffusion de découvrir le théâtre”. En classe, l’accueil fut excellent et les élèves se sont montrés impliqués, comme l’attes­ tait un des comédiens : “La mayonnaise a vite pris, nous avons eu une écoute et de la réactivité. A la fin, nous avons échangé sur la création, et les questions sur le sens et la forme ont été variées. Les élèves ont aussi débattu entre eux, et on sentait que les échanges étaient animés !”.

C.G.

Election Miss Bresse Revermont Manon et Héloïse Panier : deux miss pour le prix d’une !

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Il était une fois le joli conte de fée des sœurs Panier. L’une est Miss Prestige Franche-Comté, l’autre suit le sillon de sa grande sœur dans le grand chemin des concours de beauté.

Simplicité et humilité : voici les termes qui pourraient caractériser Manon, 19 ans, et sa cadette de deux ans Héloïse. Les deux Jurassiens arpentent les podiums des concours de beauté depuis plusieurs années. Manon porte fière­ ment les couronnes de Miss Prestige Jura et Miss Prestige Franche­Comté, et représentait la région lors de l’élection nationale en janvier dernier, diffusée en direct sur la chaîne TV8 Mont Blanc. De son côté Héloïse, pour son jeune âge, peut se targuer de déjà porter deux écharpes de première dauphine. Les sœurs ont la tête bien faite mais aussi bien remplie, et solidement vissée sur leurs épaules. Pourtant la vie ne les a pas épargnées, et c’est dans l’adversité qu’elles ont su se construire et avancer. A l’adolescence, âge de l’insouciance et des loisirs, leur maman est gravement accidentée à la suite d’une opération chirurgicale, et les deux jeunes filles ont dû apprendre à se débrouiller seules. “Ça a été dur de l’accepter, ça forge le caractère. Mais nous avons la chance qu’elle soit là” raconte pudiquement Manon.

Chez les Panier, c’est la danse qui est avant tout une histoire de famille. Avec une maman et un beau­papa professeurs de danse, il était tout naturel que les jeunes filles enfilent leurs premières ballerines très tôt, avant l’âge de cinq ans. Une école de la vie qui leur a transmis rigueur et confiance en soi. Manon, qui jongle aujourd’hui entre ses études supérieures – 2e année de BTS Esthétique Cosmétique à Bourg­en­Bresse – et ses fonctions de Miss, avoue ressentir un certain manque pour sa passion : “Avant mon BTS, je m’entraînais 20 heures par semaine. Pour des raisons de santé, une hernie discale, j’ai dû renoncer à l’idée de faire car­ rière. Aujourd’hui ça me manque, mais je sais que bientôt, après mon BTS, je pourrai envisager de donner des cours le soir. J’adore partager et transmettre. La danse m’a beaucoup apporté : l’assurance, la confiance en soi. Lors des directs à la télévision, je n’ai jamais paniqué”. C’est en 2012 que la Doloise participe à ses pre­ miers concours de beauté. Le jour de ses 18 ans – signe du destin ? – elle termine première dauphine à l’élec­ tion de Miss Prestige Jura. La même année, elle s’empare de la couronne de seconde dauphine à l’élection régionale. “J’ai tenté les casting d’Endemol, mais je ne m’y suis pas retrouvée. C’est ainsi que je me suis ins­ crite au concours de Geneviève de Fontenay qui correspondait plus à mes attentes”. La seconde tentative sera la bonne puisque la consécration arrive le 19 mai 2013 avec le titre de Miss Prestige Jura, puis le 9 novembre à Chaussin avec la couronne de Miss Prestige Franche­Comté. En janvier dernier, Manon représentait donc les couleurs locales au Lido à Paris, pour la grande élection nationale. Si elle ne remportait pas le plébiscite final du Jury, elle est fière d’être repartie avec l’écharpe de “Miss Charme Pétillant National 2014”.

De son côté, Héloïse, lycéenne en Première STL au lycée Jacques Duhamel de Dole, se destine à une car­ rière au sein de la police scientifique. Quand elle n’est pas sur les bancs de sa classe, elle consacre son temps libre à la danse. “Jusqu’à 15 h d’entraînement par semaine avant, et aujourd’hui, j’ai dû réduire à cause de problèmes à la cheville” explique l’adolescente, le regard plein d’admiration pour sa grande sœur. “Elle est un exemple. On est devenue très proche depuis qu’elle est partie à Bourg. Je la suivais partout lors de ses déplacements les week­ends, et cela m’a donné envie de tenter ma chance. Un jour, lors d’un défilé où il

EXPRESS TOURISME LA RÉGIE CHALAIN VOUGLANS SE DOTE D’UN PORTAIL INTERNET La régie départementale Chalain Vouglans, qui exploite les deux sites jurassiens touristiques éponymes, vient d’annoncer le lancement de son premier portail Internet. Le site a été conçu avec la société jurassienne Apicius, un des leaders dans la création de sites Internet pour l’hôtellerie et la restauration. Un portail “à l’image de la Régie Chalain Vouglans, premier hébergeur en Franche-Comté (55% des nuitées) : innovant, attractif, ludique et fonctionnel” annonce la direction de l’établissement.

VOITEUR RETOUR EN CHIFFRES SUR LA PERCÉE 2014

43 000 visiteurs.

2 villages et 75 caveaux ont accueilli les visiteurs.

3 000 euros : prix de vente

manquait une miss, ma sœur m’a poussée pour que je la remplace, et j’ai défilé”. C’est ainsi que le virus est transmis. Elle participe en janvier 2013 à Miss Tulipe de Vigne à Poli­ gny, où, malgré le trac, elle finit première dauphine, puis à Miss Bresse Revermont en mars où elle repart également avec le titre de première dauphine. Une écharpe qui lui permet de participer à tous les événements associatifs, culturels, commerciaux... Elle retentera sa chance le 15 mars prochain à l’élection de Miss Bresse­Revermont 2014. “La concurrence sera rude, c’est un challenge à relever. J’étais très timide, et grâce aux Céline Garrigues concours je prends de l’assurance et apprends à tenir le regard”.

Le 15 mars, élection de Miss Bresse-Revermont 2014, salle des fêtes de Commenailles

d’un Vin de Paille Château Chalon 1893 de Henri Bouveret lors de la vente aux enchères 2 000 euros : prix de vente d’un Marc du Jura 1868 du Domaine Bourdy lors de la vente aux enchères.

19e édition : en 2015, la fête aura lieu à Montigny-lesArsures, les 31 janvier et 1er février.

Pays de Lons n°81 - Mars 2014

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FONDS EUROPÉENS THIERRY

EN BREF

REPENTIN EN VISITE DANS LE JURA

SOIRÉE DU RÉSEAU ENTREPRENDRE FRANCHE-COMTÉ DEUX LAURÉATS JURASSIENS Le 11 février dernier, la soirée des lauréats du réseau Entreprendre Franche-Comté se tenait à Vesoul. 13 lauréats ont été mis à l’honneur, dont deux Jurassiens, pour leur projet de développement innovant, leur stratégie de diversification ou de création de nouvelles activités : l’entreprise lédonienne Kleslo, spécialisée dans la fabrication de fauteuils de spectacles, et Cemo-Lunetterie à La Chaumusse.

CONCOURS GRAINE DE CRÉATEURS SIX LAURÉATS Fin janvier, le concours Graines de créateurs primait six lauréats jurassiens. Financé et organisé par Info Jeunesse Jura et le Conseil général, il a pour objectif de soutenir les projets de jeunes de 11 à 30 ans revêtant une dimension créative. Les structures et projets récompensés sont : association “Les jeunes en avant” pour “Les jeunes produisent Cauet à Champagnole”, Mathilde Fusier et Maurine Roger, membres du groupe Chicks, pour “Ose”, Amélie Thomas pour la MJC de Dole, le Groupe Aw, Nelson Malleus pour “Concert/Conférence sur la simulation orchestrale numérique” et l’ENILBIO de Poligny pour “Le lait du pis au fromage”.

A gauche, le ministre délégué aux Affaires européennes, Thierry Repentin, visitait L’ENILBIO de Poligny le 7 février dernier.

Fin janvier, le Comité de suivi des fonds européens se tenait à Champagnole. L’occasion pour l’État, la Région Franche-Comté, les collectivités locales, la Commission européenne et les représentants du monde économique et social, de faire le point sur l’avancée des différents programmes. Pour la période 20072013, la Franche-Comté a bénéficié de 588 millions d’euros d’aides financières européennes. De nombreux projets jurassiens ont pu voir le jour grâce à ces crédits. Notamment pour le Décolletage Jurassien, société basée à Champagnole spécialisée dans l’usinage de tous les métaux, qui a pu investir dans du nouveau matériel grâce au programme FEDER. Le 7 février dernier, le ministre délégué aux Affaires européennes, Thierry Repentin, venait prendre le pouls dans le Jura des investissements rendus possible grâce aux crédits européens.

Il visitait notamment L’ENILBIO de Poligny, qui développe actuellement un projet de plateforme technologique agroalimentaire, et qui a bénéficié des fonds FEDER.

éco et commerces 7 JURASSIENS ONT BÉNÉFICIÉ D’UN MICROCRÉDIT EN 2013

Le mois dernier, l’Adie – Association pour le droit à l’initiative économique – fêtait ses 25 ans de microcrédit en France. Pour l’occasion, l’antenne doloise proposait un atelier collectif suivi d’un accueil individuel le 4 février dans ses locaux au centre Olympe de Gouges. Initialement connu comme un système d’aide sociale dans les pays en voie de développement, le microcrédit a fait son apparition en France il y a plus de 25 ans. Pionnier de la microfinance, l’Adie, créée en 1989, finance et accompagne de petits entrepreneurs qui n’ont pas accès aux prêts bancaires classiques. Quand les banques leur claquent la porte au nez, il leur reste une solution : celle du microcrédit, un dispositif permettant d’octroyer des “mini-prêts” à des personnes exclues du monde du travail ou du système bancaire classique.

“Nous accompagnons également les porteurs de projet, à condition qu’ils le désirent, et que cela ne soit pas perçu comme un contrôle” explique François Chamosset, conseiller Adie pour le Jura. Pour de multiples raisons, ces petits clients n’intéressent pas les banques car ils représentent trop de risques. Parfois fichés à la Banque de France, ils bénéficient des minima sociaux et n’ont pas d’apport personnel. Le montant moyen prêté par l’ADIE est de 4000 euros, et peut s’élever jusqu’à 10 000 euros maximum. “Je vais passer une à deux heures avec chaque personne pour évaluer son projet et prêter la somme nécessaire, ce qui ne serait pas rentable pour une banque. En revanche, ce financement est plus cher qu’un

crédit bancaire classique, car les banques nous prêtent l’argent et nous devons élever les taux pour financer notre activité” reprend le conseiller. Les taux oscillent ainsi entre 6,78 et 7,78 %, pour une durée moyenne de remboursement comprise entre 30 et 48 mois. En 2013, 34 entreprises jurassiennes ont pu naître grâce à ce financement, pour 90 Jurassiens accompagnés. Les secteurs économiques concernent essentiellement la vente ambulante, la restauration rapide, les services à la personne, et plus spécifiquement pour le Jura, des activités agricoles comme l’apiculture, la viticulture, le bucheronnage, ou encore le petit bricolage pour certaines communautés comme les gens du voyage.

“Les clients que nous accueillons sont essentiellement des personnes éloignées de l’emploi salarié, et correspondent aux populations généralement les plus touchées par le chômage : jeunes de moins de 30 ans, femmes, seniors de plus de 55 ans... Sur dix demandes, la moitié sera financée”. Car si la microfinance peut s’avérer être un outil économique efficace, l’Adie prend soin de ne pas entraîner les bénéficiaires dans la spirale infernale du surendettement et étudie soigneusement les dossiers, la motivation des demandeurs, et la viabilité économique de leur projet. C’est ainsi que 95 % des microcrédits accordés sont remboursés intégralement.

Céline Garrigues

Adie Lons-le Saunier : maison de l’emploi-1000 rue des Gentianes.

Sports Boxe Magali Odde chute en demi-finale

Évènement ski de fond

Le 2 février dernier, la pensionnaire du RA Lons, Magali Odde, se qualifiait pour les demifinales du championnat de France Seniors Femmes de boxe amateur en battant à Chartres Mélina Ainaoui. Elle s’imposait aux points à l’unanimité des juges. Elle se rendait le 8 février dernier à Nantes pour tenter d’obtenir son billet pour la finale des moins de 54 kg.

Malheureusement la Lédonienne s’est inclinée aux points.

Chiens de traineaux

Championnat de France Les 22 et 23 mars prochains, Lajoux accueillera deux épreuves prestigieuses et spectaculaires : le championnat de France des clubs de ski de fond le samedi, et le Nordic Chalenge le dimanche, organisés par le club Haut-Jura Ski. Les meilleurs athlètes nationaux, parmi lesquels les sélectionnés olympiques et les champions du monde junior/U23 tenteront sans doute de compléter leur palmarès. Début des épreuves à 9 h.

A noter un autre évènement le week-end du 28, 29 et 30 mars : les championnats de France nordique (fond, biathlon, saut, combiné) au stade des Tuffes à Prémanon.

Course internationale Les 8 et 9 mars prochains, La Pesse accueillera une course internationale de chiens de traineaux, organisée par le 1er club féminin au monde, le SGT, et comptant pour les championnats de Belgique. Pour la 7e année, la course recevra des mushers Allemands, Belges, Hollandais et Français. Cette année, le trophée “mushers Pro” remporté, l’an dernier, par un Jurassien, viendra compléter l’épreuve.

EXPRESS Handball

Course hors stade

Les filles au Pays-Bas !

Foulées bletteranoises

Alors que les deux équipes fanions du club de l’US Lons poursuivent leur mission “maintien”, les équipes jeunes du club continuent de briller. En effet, les - 18 ans filles sont toujours en course pour le titre en Inter-régions. A noter aussi qu’au sein des - 14 ans filles, une vingtaine de joueuses participeront à un tournoi international aux Pays-Bas les 19 et 20 avril prochains. La relève se tient déjà prête !

Le Lons Athlétique Club organisera les 19e Foulées Bletteranoises le 9 mars à Bletterans.

Le 10 km Label Régional, est classant et qualificatif aux Championnats de France FFA. Cette année il est le support des championnats du Jura pour la distance 10 km.

La course est ouverte à tous les athlètes licenciés FFA ou non, hommes et femmes.

© fabcreaphoto

BLETTERANS

Semaine du football au féminin Le District du Jura de Football organise pour la seconde année consécutive la semaine du football au féminin. Cette année, initiation, plaisir, découverte et jeux seront les valeurs qui guideront les jeunes filles à travers divers ateliers animés. Dans le bassin lédonien, elle se déclinera au gymnase de Bletterans le 6 mars.

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Pays de Lons n째81 - Mars 2014

Mars 2014

Spécial

ble a h c a t é d s n o L e d s Hors-série de Pay

Cap sur votre projet d’acquisition La recherche de son futur cocon, qu’il s’agisse d’un appartement neuf ou à rénover, d’une maison à bâtir ou à retaper, doit répondre aux aspirations de vie et aux contraintes professionnelles ou de mobilité du ménage. Quel cadre de vie privilégier selon la composition de son foyer ? Quelles contraintes règlementaires sont liées à la construction ou la mise en location de son bien ? Comment choisir les artisans ?

Quelles sont les tendances de décoration intérieure ? “Pays de Lons” vous propose un tour d’horizon des questions incontournables dans votre projet d’acquisition.

La vente en viager Comment fonctionne-t-elle ?

Qui est concerné ?

Toute personne ayant la capacité juridique peut vendre ou acheter un logement en viager.

Comment est fixé le prix de la vente ?

Le prix de vente peut être librement fixé entre les parties, sans toutefois pouvoir dépasser la différence entre : ­ la valeur vénale, c’est­à­dire l’estimation financière du logement dans une région donnée. ­ et la valeur du logement occupé déterminée par des barèmes en fonction notam­ ment de l’espérance de vie du crédirentier.

Ces barèmes peuvent être consultés auprès d’un notaire, d’une compagnie d’as­ surance ou d’une caisse de prévoyance.

Comment est fixé le prix de la rente ?

Au moment de la signature de l’acte de vente, le débirentier peut régler au comptant

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Hors-série mars 2014 -

Pays de Lons

Immobilier Les prix du marché

La vente en viager (suite)

A Lons, en janvier 2014, prix moyen des biens immobiliers au m2

une partie de la vente appelée “le bouquet”.

Cette somme est alors déduite du montant de la rente. Ainsi plus le bouquet est important, moins le montant de la rente est élevé. Pour assurer la sécurité du paiement des rentes, le crédirentier peut notamment inscrire dans l’acte de vente : ­ une clause dite “résolutoire” qui l’autorise à reprendre son bien si plusieurs rentes ne sont plus versées par le débirentier. ­ et une clause lui permettant de se réser­ ver le droit de conserver le bouquet (s’il a été versé), en cas de résiliation du contrat de vente.

Les parties peuvent également insérer dans l’acte de vente une clause d’indexation per­ mettant la révision automatique du montant de la rente suivant, par exemple, un indice publié par l’institut national de la statistique et des études économiques (Insee).

Prix bas : 727 euros Prix moyen : 1 143 euros Prix haut : 1 714 euros Evolution des prix sur une période de 12 mois : ­ 4,3 % Source : Efficity

La loi Duflot pourrait être appliquée après l’été Adoptée le 20 février dernier par le Parlement, la loi pour l’accès au logement et urbanisme rénové (Alur) et ses premières mesures pourraient être appliquées dès septembre 2014, si le Conseil constitutionnel ne donne pas raison aux parlementaires UMP. En effet, ces derniers ont saisi l’institution quelques jours après le vote, contestant plusieurs éléments du texte, notamment l’encadrement des loyers. Si elle est appliquée, qu’est-ce que cette loi va changer pour les propriétaires et les locataires ?

Quelles sont les conséquences sur le bien ? À l’égard du crédirentier : les réparations et entretiens courants du logement ainsi que le paiement de la taxe d’habitation et des factures d’énergie restent à la charge du crédirentier sauf s’il libère totalement le bien vendu. À l’égard du débirentier : il ne peut occuper le logement qu’au jour du décès du crédirentier, sauf si celui­ci le libère tout de suite.

La taxe foncière est à la charge du débiren­ tier, à moins que les parties en aient décidé autrement.

1. Des loyers encadrés, avec une baisse des loyers dans les zones étendues.

2. Garantie universelle des loyers (GUL) : elle permettra d’indemniser le bailleur dès le signalement d’un impayé, et de prévenir les expulsions en accompagnant les locataires en difficulté. La GUL figurera automatiquement sur le bail.

3. Pour les locataires, les frais d’agence divisés par deux.

4. Marchands de liste : fins des abus. Les marchands de liste devront avoir

Sources : service­public.fr

5. Remise en ordre de la gestion des copropriétés par les syndics : comptes séparés sans frais supplémentaires pour les copropriétaires, et tarifs des syndics encadrés.

6. Demande de logement social : une démarche plus simple grâce à un dossier de demande unique.

7. Lutte contre l’habitat indigne et les marchands de sommeil, avec une amende de 1 000 euros par jour pour les propriétaires qui n’auront pas réalisé les travaux dans les délais prescrits. Les marchands de sommeil déjà condamnés n’auront plus le droit d’acheter des biens immobiliers.

8. Trêve hivernale rétablie pour les occupants sans droit ni titre, du 1er novembre au 31 mars.

9. Habitat participatif inscrit dans la loi avec un vrai statut juridique.

10. Terres agricoles et naturelles mieux protégées.

l’exclusivité des logements proposés sur les listes qu’ils vendent.

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Pays de Lons - Hors-série mars 2014 -

Mon habitation Les exigences de la règlementation thermique 2012 Depuis le 1er janvier 2013, toutes les constructions neuves doivent respecter cette nouvelle règlementation thermique.

Les extensions et surélévations de bâtiments existants aussi !

Une obligation de résultats pour un bâtiment basse consommation Trois exigences de résultats définies par trois coefficients : n Le Bbio (Besoin bioclimatique conventionnel) exprime les besoins liés au chauffage, à la climatisation et à l’éclairage. Un Bbio performant s’obtient : en travaillant sur l’orientation et la disposition des baies afin de favoriser les apports solaires en hiver tout en s’en protégeant en été ; en privilégiant l’éclairage naturel ; en prenant en compte l’inertie pour le confort d’été ; en limitant les déperditions thermiques grâce à la compacité des volumes et à une bonne isolation des parois opaques (murs, dalle et toiture) et des baies (fenêtres et portes donnant sur l’extérieur ou sur un local non chauffé). n Le Cep (Coefficient de consommation conventionnelle d’énergie primaire) porte sur les consommations annuelles ramenées au m² liées aux cinq usages suivants : chauffage ; climatisation s’il y a lieu ; eau chaude sani­ taire ; éclairage ; auxiliaires (pompes à chaleur, ventilateurs…). n Le Tic caractérise la Température intérieure conventionnelle en période de forte chaleur.

Sa limitation vise à assurer un bon niveau de confort et à éviter les surchauffes sans qu’il soit nécessaire de climatiser.

Ces coefficients Bbio, Cep et Tic sont vérifiés par l’intermédiaire d’un calcul issu d’une étude thermique. Pour chaque maison, ils doivent être inférieurs à des valeurs maximales (Bbio max, Cep max et Tic réf) définies. Cette étude thermique va vous permettre d’optimiser la conception architecturale, de trouver les solutions techniques les plus efficaces pour consommer le moins d’énergie possible. Cette étude présente des consommations dites conventionnelles, calculées par rapport à des scénarios d’usage type des logements (temps de pré­ sence, température de consigne, nombre d’occupants en fonction de la surface, besoins d’eau chaude sanitaire, données météorologiques

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moyennées…). Elles ne correspondront donc pas forcément aux consommations relevées sur votre compteur. Cela dépendra de l’usage réel que vous ferez de votre logement et de la météo de l’année.

La conception et l’exécution des travaux à surveiller de près Pour répondre aux exigences du Bbio, certains points sont à surveiller de près lors de la conception : prévoir une ventilation performante (simple flux, double flux, …) ; traiter les ponts thermiques ; traiter la perméabilité à l’air (vérifiée grâce à un test) ; prévoir une surface totale des baies au moins égale à 1/6 de la surface habitable ; recourir aux énergies renouvelables ; installer une protection solaire mobile dans les chambres (volets ou stores extérieurs) ; prévoir un dispositif de mesure ou d’estimation des différentes consommations d’énergie.

Quelle énergie choisir ?

La RT 2012 impose le recours à une source d’énergie renouvelable ou à une solution alterna­ tive. Vous avez le choix entre ces 4 points, sources d’énergie renouvelable : les capteurs solaires thermiques pour la production d’eau chaude sanitaire ; les panneaux photovoltaïques pour la production d’électricité ; les chaudières à bois ou les poêles à bois ; le raccordement à un réseau de chaleur alimenté à plus de 50 % par des énergies renouvelables. En solution alternative, vous pouvez avoir recours à : un chauffe­eau thermodynamique ; une chaudière à micro cogénération.

Pourquoi le test d’étanchéité à l’air est-il obligatoire ?

Un test d’étanchéité à l’air est obligatoire car il permet un contrôle qualitatif de résultat. Une bonne étanchéité à l’air concourt à la performance énergétique de votre maison et à votre confort. Le test est réalisé en occultant les entrées d’air et bouches d’extraction du système de ventilation et en mettant la maison en surpression ou dépression. Il permet de quantifier les entrées ou sorties d’air parasites.

Source : Ademe

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Hors-série mars 2014 -

Pays de Lons

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Les Travaux. Bien choisir son artisan Prenez un bon départ dans la construction ou la rénovation de votre maison. Posez les bonnes questions aux professionnels du bâtiment. Divers éléments sont à prendre en considération afin de bien choisir l’artisan qui viendra réaliser vos travaux ou votre construction de maison.

Tout d’abord, privilégier la proximité est important. Contactez un artisan situé dans un rayon de 20 à 30 km. Cette proximité vous permettra de rencontrer plus facilement l’en­ treprise qui réalisera votre projet, avant, pendant et après les travaux. L’expérience de l’entreprise, son historique et ses réalisations précédentes sont également des aspects à vérifier. Renseignez­vous auprès de vos voisins, vos commerçants, ou directement auprès des clients de l’entreprise. N’hésitez pas à contacter plusieurs entreprises et demandez trois devis différents. Pas plus, car au­delà il vous sera difficile de faire des comparaisons judicieuses.

Que devez-vous identifier dans le devis ?

Un devis est un descriptif estimatif mais détaillé, de toutes les prestations qui seront réa­ lisées par le professionnel choisi. Il vous permettra de vérifier dans le détail la qualité, la quantité des matériaux nécessaires aux travaux (construction, rénovation, terrassement, fondation, dallage, entretien…) commandés, la main­d’œuvre nécessaire, ainsi que le tarif pratiqué par le professionnel.

Que devrez-vous vérifier et demander avec ce devis ? ­ Le Professionnel s’est­il déplacé pour étudier le terrain (emplacement, accès, contrainte…) ? ­ Les délais prévisibles d’intervention. ­ La copie des assurances civiles et décennales de l’entreprise qui sont obligatoires. ­ L’adhésion de l’entreprise à des réseaux professionnels indépendants lui permettant d’avoir des informations, de se former et d’être conseillée. ­ Une liste de références de chantier, similaires à vos projets.

Ce qu’il vous reste à faire ­ Donner votre réponse à ou aux artisan(s). ­ Demander à votre mairie les autorisations administratives nécessaires et les règles d’ur­ banisme à respecter. ­ Vous êtes également responsable, vous devrez donc vous assurer du respect des règles de la construction.

Source : http://www.guide­de­l­habitat.com

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Piscines Desjoyaux Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons n°81

Les vacances à la maison Entreprise familiale et artisanale fondée en 1966, Desjoyaux est devenue entre­temps le premier cons­ tructeur mondial de piscines enterrées en misant sur la simplicité et la qualité dans l’installation, l’utilisation et l’entretien de ses piscines. En 47 ans, sous son label d’excellence, ce ne sont pas moins de 14 000 réalisa­ tions par an qui se sont multipliées comme les petits pains sur les cinq continents. Concessionnaire exclusif pour le Jura, Patrice Buatois a rejoint l’enseigne, il y a seize ans, comme gérant de la concession de Messia­ sur­Sorne avant d’en prendre la direction en 2010. Ins­ tallée à la sortie du village, dans le sens Lons­Lyon, en léger retrait de la route.

700 heureux propriétaires C’est là que Patrice Buatois et son épouse, qui travail­ lent en famille, reçoivent leurs clients et affinent avec eux le projet de leur rêve : une piscine pour goûter, en toute tranquillité et les pieds dans l’eau, le plaisir et la détente de vraies “vacances à la maison”. Un rêve par­ faitement accessible qu’ont déjà pu concrétiser les sept cent heureux propriétaires qui, en seize ans, ont fait

confiance à l’expérience de pisciniste de Patrice Buatois et au matériel réputé de Desjoyaux piscines. Qu’elle soit “prêt à plonger” ou à monter soi­même, de forme ovoïde ou rectangulaire**, la structure du “coffrage perdu”, en polypropylène imputrescible, où l’on coule un béton armé monobloc, assure une solidité maxi­ male à votre piscine tandis que la qualité du Liner employé lui confère une étanchéité à toute épreuve.

Un mode opératoire qui a fait la renommée de Des­ joyaux et lui permet d’appliquer une garantie décen­ nale sur ses produits qui s’étend de la structure jusqu’à l’installation. Pour ajouter une touche d’originalité, vous pourrez même choisir la couleur de votre bassin et le fondre dans son environnement en choisissant votre Liner parmi une riche palette de coloris autori­ sant toutes les fantaisies. Conçues sans local technique et sans canalisation, les piscines Desjoyaux sont équi­ pées d’un système de filtration breveté par la marque, développant une puissance de 18 à 25 m2/heure et assurant une finesse de filtration de 6 microns. De quoi profiter en permanence et l’esprit tranquille d’une eau limpide tout en vous débarrassant des fastidieuses cor­

Offre spéciale

Portes ouvertes

DU 8 AU 23 MARS vées d’entretien. Professionnel aguerri, Patrice Buatois travaille depuis quatorze ans en partenariat étroit avec une équipe de poseurs expérimentés de l’entreprise Petiot père et fils de Chilly­le­Vignoble qui a déjà réalisé pour son compte pas moins de deux cents bas­ sins. Soucieux de la satisfaction de ses clients, Patrice Buatois les accompagne dans chaque étape de la réali­ sation de leur projet jusqu’à sa finalisation et se tient à leur entière disposition, soit en se déplaçant, soit au téléphone où à la boutique. ** Outre le matériel classique de la gamme, pour ce qui concerne la forme de la piscine que vous avez imaginé, Patrice Buatois étudie avec vous tous les projets et réa­ lisations particulières.

OUVERT du lundi de 14 h à 18 h 30 Mardi au vendredi de 9 h 30 à 12 h et de 14 h à 18 h 30 le samedi de 9 h 30 à 12 h et de 14 h à 17 h

C’est le jour pour se jeter à l’eau !

Piscines Concept 39 Patrice BUATOIS Concessionnaire exclusif JURA

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Hors-série mars 2014 -

Pays de Lons

Choisir sa cuisine équipée

LA VMC DOUBLE FLUX

L’achat d’une cuisine intégrée et équipée est un complément naturel à l’aménagement d’une maison, et le coût de cet investissement n’est pas négligeable dans le budget des ménages.

Qu’est-ce que la VMC double flux ?

A quoi sert-elle ?

Quels sont ses avantages ?

Vous avez des idées et un certain talent pour imaginer et dresser une première esquisse de votre cuisine. Le cuisiniste, à partir des éléments que vous lui formu­ lerez (plan, perspective effectuée à la main), finalisera votre projet à l’aide de logi­ ciels graphiques. Il adaptera ainsi vos exigences aux matières, couleurs, volumes et formes conçus par ses soins. L’ergonomie, une des contraintes les plus impé­ ratives à appréhender dans le projet de conception de cuisine équipée, sera trai­ tée grâce à des adaptations en hauteur du plan de travail, une réflexion en amont pour réduire les pas inutiles en regroupant avec logique les fonctions rangement, cuisson et lavage, et à une judicieuse utilisation des multiples accessoires (coulis­ sants, table­tiroir escamotables) liés au mobilier ou indépendants.

Le choix des matériaux La grande diversité des matériaux utilisés par les fabricants de cuisine intégrée permet, de nos jours, de réaliser des cuisines très personnalisées ou sur­mesure dans un style contemporain, traditionnel, design ou moderne. La majorité des corps de meubles est réalisée en panneaux de particules surfacés mélaminés. Les chants sont en général protégés par un revêtement PVC ou mélaminé d’épaisseur variable ou également réalisés en bois, métal ou laque. Pour les portes de cuisine, les bois massifs se prêtent à toutes les fantaisies. Au chêne (matériau solide) s’ajoutent d’autres essences comme le châtaignier (moins onéreux), l’érable, le hêtre, le bouleau, le merisier… Vérifiez la compétence d’un bon concepteur ins­ tallateur de cuisine équipée, c’est d’abord bien l’observer, certains détails impor­ tants ne trompent pas : il établit une fiche découverte pour bien cerner par écrit vos attentes, vos goûts… Il réalise une première esquisse du plan de conception à partir des dimensions fournies par le client, pour bien visualiser le projet. La clarté du plan de la cuisine proposé démontre que le professionnel a bien com­ pris le projet du client. Il établit un devis détaillé, distinct du bon de commande afin de permettre au client de réfléchir sur l’offre de prix.

Deux bons de commande distincts

Source : http://www.guide­de­l­habitat.com

* Voir conditions en magasin

L’un portera sur les fournitures (meubles, électroménager, accessoires) avec des services de conception validés par les associations nationales de consommateurs

et inclus dans le prix des fournitures (plans de conception et plans techniques font partie intégrante du contrat).

L’autre portera sur les prestations de pose validées par les associations de consommateurs (contrat d’entreprise ou de services de pose et autres travaux éventuels). La responsabilité de la pose est clairement assumée par le concepteur installateur de cuisines, même en cas de sous­traitance.

La pose est réglementée par un contrat d’entretien qui énumère les prestations de services et les prix qui les accompagnent ainsi que la date d’exécution des tra­ vaux et le montant des acomptes.

Ce contrat précise également si une entreprise sous traitante effectuera la pose.

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336, rue Louis Rémy ­ Z.I. ­ 39570 MESSIA SUR SORNE

Le principe de la VMC double flux est de réaliser une circulation de l’air par une ventilation mécanique. Elle assure ainsi l’aération d’une habitation. Elle récupère les calories de l’air pollué par les pièces comme la cuisine, la salle d’eau et les toilettes. Ces calories serviront à réchauffer l’air neuf qui entre par la VMC. Une circulation d’air chaud est ainsi constatée dans la maison. Avec ce système, deux réseaux de conduits sont installés à l’inverse du simple flux. La maison devient alors étanche à l’air. Plusieurs avantages sont obtenus avec la VMC double flux. Tout d’abord, elle économise considérablement le coût du chauffage, car elle récupère énormément de calories. Les occupants n’éprouvent aucun courant d’air, privilégiant ainsi leur confort. Par ailleurs, la chaleur est bien répartie dans toutes les pièces. La qualité de l’air est meilleure, car elle est filtrée.

La VMC double flux offre également une isolation acoustique irréprochable parce que les entrées d’air vers l’extérieur sont supprimées.

Pour connaître parfaitement ce produit, il faut aussi connaître son fonctionnement. En effet, la VMC double flux est dotée d’un caisson d’évacuation qui récupère l’air neuf. Puis l’air est filtré à l’aide d’un filtre performant afin de débarrasser les polluants de cet air. En hiver, un échangeur thermique prend en charge l’air neuf pour réchauffer la maison. Avec ce système, l’installation des entrées d’air au-dessus des fenêtres n’est plus nécessaire.

La VMC double flux coûte un peu plus cher que le simple flux. Par contre, elle permet d’économiser considérablement le chauffage. Elle récupère ainsi 60 % de l’énergie. Cette récupération peut atteindre jusqu’à 90 % avec les systèmes à haut rendement. Elle est donc très performante malgré son prix élevé et vous fera économiser sur vos factures d’énergie. C’est donc un bon investissement à long terme.

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Pays de Lons - Hors-série mars 2014 -

Décoration intérieure Harmonisez les couleurs selon les pièces La couleur et la lumière sont liées par le phénomène couleur-lumière, très subjectif, qui apparaît par l’intermédiaire de notre œil. La couleur est le résultat de 3 éléments : matière + lumière + vision. première pièce que l’on voit en pénétrant chez vous, est à la fois accueillante et annonciatrice du style de votre maison. Elle devra s’harmoniser avec la décoration des pièces voisines, du moins si elles communiquent largement entre elles.

La salle de séjour, est la pièce à vivre, évitez donc les couleurs agressives.

Trouvez le choix de vos teintes en fonction de la personnalité de chacun. Les cou­ leurs primaires vous permettront d’insister sur le côté dynamique de votre vie de famille. Pour les tempérer, vous les associerez à du blanc. Au contraire, vous sou­ haitez obtenir une ambiance calme et intime : utilisez des tons beiges et bruns.

Pour délimiter la zone repas et détente, employez deux teintes de la même gamme de couleur.

La chambre à coucher. Les couleurs utilisées seront différentes selon qu’il s’agit de la décoration de la chambre d’enfants ou d’adultes. Pour des enfants en bas âge, préférez des couleurs pastel, pour une harmonie douce. Le vert tendre est très sollicité aujourd’hui afin de remplacer les traditionnels roses et bleus. Pour des enfants plus âgés, il vous faudra tenir compte de leurs goûts. Les couleurs vives sont souvent utilisées en petites touches, comme par exemple pour les encadrements de fenêtre, portes de placard, plinthes… Attention aux couleurs trop agressives dont on se lasse rapidement. Pour une décoration de chambre d’adultes, on utilise plus rare­ ment des teintes violentes. Pour une ambiance paisible et propice au repos, préfé­ rez des coloris en demi­teintes. Les tons beiges ont le vent en poupe. Afin de com­ pléter la décoration de votre chambre, pensez à harmoniser les couleurs choisies avec les accessoires et autres revêtements comme la moquette, doubles rideaux… en les choisissant dans les mêmes tons mais légèrement plus sombres afin de faire ressortir le caractère de votre décoration.

La cuisine. La cuisine où l’on passe beaucoup de temps sera décorée et peinte selon le style de votre cuisine aménagée. Dans une cuisine­laboratoire où le blanc pré­ domine, prévoyez quelques touches de couleurs vives : rouge ou vert par exemple. Des meubles en bois pourront également donner une note de chaleur. Si le jaune est sou­ vent utilisé pour des ambiances ensoleillées, le bleu et le vert quant à eux vous don­ neront une idée de nature et fraîcheur. Les teintes sombres conviennent mal à l’idée de propreté associée à la cuisine. Préférez­les pour le coin repas, où elles créeront une atmosphère intime.

Pour la salle de bain, utilisez des peintures avec des teintes chaudes, qui donneront une impression de chaleur, essentielle pour cette pièce. Si votre salle de bains est petite, les couleurs sombres donneront une sensation d’étouffement.

Veillez alors à l’éclaircir en utilisant des couleurs claires. Certains tons donnent mau­ vaise mine, et ne conviennent donc pas à cette pièce dans laquelle on se maquille.

Trichez au jeu Les proportions de chaque pièce peuvent être corrigées par le jeu de la couleur : les couleurs chaudes et les tons foncés “avancent” un mur tandis que les couleurs froides et les tons clairs le “reculent”. Si le plafond d’une pièce est trop haut, il fau­ dra utiliser un ton plus soutenu que celui posé aux murs. Si à l’inverse il est trop bas, élevez­le en le peignant en blanc, ou dans un ton plus clair que celui des murs.

Le couloir est trop étroit : choisissez le blanc pour les murs et le plafond, vous l’élar­ girez ou alors vous modifierez ses proportions en adoptant des tons sombres pour le sol et le plafond et des tons clairs pour les murs. Un couloir trop long : une cou­ leur sombre pour le mur du fond modifiera cet aspect. Pour une pièce trop sombre, le blanc l’éclaircira, ou encore le jaune, qui apportera l’impression que le soleil entre dans la pièce.

Source : http://www.guide­de­l­habitat.com

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Hors-série mars 2014 -

Quelles tendances pour vos sols ?

BON À SAVOIR

Du naturel, des teintes douces, des matières faciles à vivre et à entretenir, un soupçon d’innovations technologiques : sols et murs aiment le beau, le bio, les revêtements sains et durables.

Le béton ciré

Sur le sol, le parquet a la vedette. Mais attention, le vrai, aux larges lattes de préférence avec des fini­ tions huilées, au rendu proche du bois brut, ou teintées sombre, quasi noir. Ce qui permet de répondre aux deux grandes tendances actuelles de la décoration, l’épuré simplissime inspiré des ten­ dances scandinaves, et le sophistiqué oscillant du baroque (venu du sud) au loft chic (venu d’outre­ Atlantique).

Dans la lignée du naturel, les sols souples séduisent par leur esthétique, leur facilité d’installation et leurs prix très sages. Le linoléum, et aussi tous les revêtements en fibres végétales : liège, coco, jonc de mer ou encore sisal se déclinent en moquette à base de tissages variés, simples, doubles, tressés ou jacquard à chevrons.

Le carrelage est aussi plébiscité. Granit, céramique, carreau de ciment, pierre calcaire, ardoise… La ten­ dance est aux larges carreaux qui, grâce à l’impres­ sion digitale, se déclinent en trompe l’œil, imitant le bois, le marbre ou la pierre.

Source : http://www.guide­de­l­habitat.com

La technique du béton ciré doit être enca­ drée et normalisée, tant au niveau tech­ nique qu’au niveau assurabilité de l’ou­ vrage par l’entreprise et les artisans utilisant ces techniques. Dès sa concep­ tion, l’entreprise utilisant le béton ciré doit réfléchir à sa mise en place : posera­t­on une dalle, un dallage ou encore une chape ? Devra­t­on réaliser les murs et les cloisons de l’habitat, avant ou après la pose du béton ciré ? Quelles normes d’épaisseur du béton ciré devra­t­on appli­ quer, quelles armatures ? Et les normes de qualité devront également être étu­ diées. La couleur sera­t­elle appliquée par saupoudrage ou coulis ? De plus, lors des opérations de talochage et de lissage à la truelle mécanique, le pied des murs doit être réalisé avec soin quand l’outil méca­ nisé n’y a pas accès. La cure est recom­ mandée, et les joints de retraits réalisés conformément au plan de calepinage.

L’éventuel produit de cure est décapé un mois après le coulage, puis ensuite on applique la cire. Toutes ces techniques sont à prendre en compte pour un bon rendu du béton ciré, qui apportera toute satisfaction au client et à qui il faudra remettre la fiche d’entretien spécifique à la finition réalisée. Attention, se lancer dans de tels travaux nécessite de réelles compétences, faites appel à un artisan

Pays de Lons

spécialisé afin d’avoir en plus d’une belle réalisation, des conseils appropriés à votre habitat.

Des matériaux naturels pour vos travaux Quels que soient vos projets d’isolation, de peintures, d’enduits, de parquets… il existe des matériaux respectueux de l’en­ vironnement, de votre habitat et de votre santé. De plus en plus tendances, ces matériaux naturels ou écologiques peu­ vent être utilisés pour différents types de travaux. Certains artisans se sont spéciali­ sés dans ces matériaux. A base de chanvre, de fibre de bois, de ouate de cel­ lulose ou de coton, ces isolants garantis­ sent un triple objectif : confort thermique durant l’hiver, l’été et aussi confort pho­ nique. Tout en apportant une plus­value verte à votre domicile. Côté peinture, ces produits peuvent être respectueux de l’environnement et sains. Les peintures à la chaux connaissent un regain d’intérêt à l’intérieur comme à l’extérieur ; le solvant correspond à l’eau et les pigments sont naturels. Les peintures dites naturelles apportent une réponse plus écologique.

Elles utilisent des pigments naturels miné­ raux et végétaux. Côté sol, il faudra veiller à l’origine du matériau utilisé. Les labels FSC et PEFC garantissent que ces bois sont issus de forêts gérées durablement.

Les automatismes capables d’améliorer la gestion de la maison au quotidien intéressent de plus en plus les propriétaires soucieux de se simplifier la vie et d’économiser de l’énergie. La domotique, qui désigne ces nouvelles fonc­ tionnalités, est d’autant plus accessible aujourd’hui qu’elle s’aborde “à la carte”, à son rythme, en fonction de ses besoins, de ses choix et de son bud­ get. Totalement évolutive, elle apporte un niveau de confort, de sécurité, d’économie d’énergie et de communication, insoupçonnable jusqu’alors. Il est cependant recommandé de s’adresser à des installateurs électriciens spécifiquement formés.

Régler son chauffage d’un seul geste

Voici quelques exemples de systèmes qui s’installent facilement dans une construction neuve ou dans un projet de rénovation.

La domotique

Ils s’appuient sur une nouvelle génération d’interrupteurs, dits “interscénario”, qui intègrent une électronique avancée. Ils se programment et communiquent tous entre eux en utilisant plusieurs technologies possibles : courant porteurs (CPL), radio (RF), infrarouge (IR) ou bus.

L’interscénario installé dans l’entrée permet de combiner plusieurs fonctions et de commander plusieurs scénarios de vie choisis par le propriétaire. En appuyant sur un bouton de l’interscénario programmé pour cette situation, le scénario “je quitte ma maison” éteint toutes les lumières, réduit le chauf­ fage, ferme les volets, active l’alarme et simule une présence pour les zones à protéger. En appuyant sur un autre bouton de l’interscénario programmé différemment : le scénario “je rentre” allume les lumières souhaitées, posi­ tionne le chauffage en mode “confort”, ouvre les volets et désactive l’alarme.

Eteindre ou allumer toutes les lumières d’un seul geste

Les systèmes qui améliorent la sécurité

La domotique, évolution des modes de vie qui s’accompagne d’une recherche de nouvelles fonctionnalités pour la maison !

Au moment du départ pour une journée de travail ou pour les vacances, l’éclairage centralisé permet de combiner derrière un seul bouton, l’extinc­ tion simultanée de toutes les lumières. A l’inverse, l’appui sur la touche “arrivée” déclenchera l’allumage souhaité, par exemple celui de l’entrée, du salon et de la cuisine.

Commander d’un seul point tous ses volets électriques

Surprendre, faire fuir l’intrus et être prévenu par téléphone ou SMS : le sys­ tème utilise une alarme anti­intrusion multiservices. Il est composé d’une centrale d’alarme reliée à un serveur téléphonique, de détecteurs infra­ rouges, d’une sirène intérieure qui fait fuir l’intrus. Le propriétaire est pré­ venu en cas de déclenchement de l’alarme sur son mobile ou son téléphone fixe par un message enregistré ou par SMS. Il ne s’agit là que d’un petit aperçu de l’étendue des fonctionnalités propo­ sées par la domotique. Il faut compter entre 100 et 120 euros pour une ins­ tallation de base.

Le système qui améliore le confort

LUMINAIRE - DÉCORATION

C’est la commande centralisée des volets. Cette commande peut se poser dans une chambre, à la tête du lit, ou dans l’entrée. D’un seul geste, tous les volets se ferment, ou bien seulement ceux que vous souhaitez abaisser.

Venez découvrir les premières nouveautés de l'année et repartez avec notre nouveau catalogue SOLEA 2014 !

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Le réglage s’opère à partir d’un programmateur de température ou d’une commande de dérogation locale installée dans le logement. Il peut agir sur le plancher chauffant ou le plafond rayonnant du séjour et sur les radiateurs des chambres et salles de bains. D’une simple pression sur un bouton, le niveau de température souhaité est sélectionné, de façon permanente ou temporaire, en mode “confort, “réduit”, “éco” ou “hors gel”.

Programmer et actionner d’un geste ses scénarios de vie

Source : http://www.guide­de­l­habitat.com

Fenêtres PVC / ALU - Volets roulants/battants - Portails - Portes de garage - Moustiquaires - Stores intérieurs et extérieurs I Publirédactionnel

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Hors-série mars 2014 -

Pays de Lons

Extension et extérieurs. La véranda On compte 800 000 nouvelles constructions de vérandas chaque année. Agréables à vivre, elles sont aujourd’hui considérées comme une pièce supplémentaire faisant partie intégrante de la maison.

Si les architectes la considéraient autrefois comme un rajout inesthétique à la maison, la véranda est aujourd’hui envisagée comme une pièce qui agrandit véritablement la surface d’habitation. D’autant que les nombreuses évolutions en matière d’isolation phonique et thermique permettent de profiter de sa véranda toute l’année. Perçue comme une pièce conviviale, on s’y retrouve en famille pour partager un repas ou pour un moment de détente. La surface moyenne des vérandas a aussi beaucoup aug­ menté. Les petites vérandas, qui servaient de débarras ou de lieu pour sécher le linge, ont laissé la place à de vastes pièces correspondant à un nouvel art de vivre.

Lieu de transition entre le jardin et la maison, la véranda est l’endroit idéal pour ins­ taller des plantes qui pourront profiter de la lumière du jour à l’abri du gel. Le princi­ pal est de choisir des plantes qui supportent bien les températures fraîches l’hiver et les fortes chaleurs l’été. Ainsi, les cactées, les ficus et les philodendrons s’y plaisent beaucoup. Certaines plantes d’extérieur comme les bougainvilliers ou les hibiscus s’y adaptent bien et apporteront de la couleur au moment de la floraison.

Les agrumes adoreront y passer l’hiver, mais devront être sortis à la saison chaude.

Pour les adeptes des plaisirs aquatiques, l’installation d’un jacuzzi peut aussi être pré­ vue afin de se détendre tout en profitant de la vue sur son jardin, été comme hiver.

Dans ce cas, il est conseillé de prévoir un bon système de ventilation ou de déshumi­ dification de l’air.

Fabricant Installateur Sur-Mesure depuis 1987

VOUS VOUS SENTEZ À L’ÉTROIT ?

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Bien penser sa véranda La construction d’une véranda n’est pas à prendre à la légère. Afin de s’assurer un maximum de confort, certains points doivent être bien étudiés. Avant même de com­ mencer la construction d’une véranda, il vous faudra choisir le meilleur endroit pour profiter au maximum des rayons du soleil tout au long de l’année, tout en étant pro­ tégé de la chaleur durant l’été. Vous avez également la possibilité de construire une véranda solaire qui vous dispensera de l’installation d’un moyen de chauffage.

Prévenir des effractions Majoritairement constituée de parois en verre, une véranda peut être considérée comme un point faible dans la protection de l’habitation contre les cambrio­ lages. Il est bien sûr possible de la doter de systèmes de fermeture de sécurité ou de volets roulants intégrés. Certains vitrages sont également conçus pour aug­ menter leur résistance aux coups et décourager ainsi les cambrioleurs.

Source : http://www.guide-de-l-habitat.com

Les beaux jours arrivent !

C’est le moment de penser à vos nettoyages de vitres et décapages de sol

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Pays de Lons

Piscine coque, optez pour la rapidité et l’efficacité !

Vous envisagez l’achat d’une piscine creusée : la piscine coque est une solution qui peut vous convenir. Généralement moins coûteuse qu’une piscine maçonnée, mais tout aussi esthétique, la piscine coque est également plus rapide à mettre en place.

La piscine coque présente de nombreux avantages : plus facile à mettre en œuvre qu’une piscine creusée, elle est égale­ ment plus durable qu’une piscine hors­ sol… pour un plaisir de baignade assuré !

Installation d’une piscine coque

© Piscine Oxygène

Rapide à installer, la piscine coque com­ bine les avantages d’une piscine creusée ou enterrée, sans ses inconvénients. La coque est majoritairement en polyester, un matériau très résistant et imputrescible.

Solide et parfaitement étanche, la piscine coque durera de nombreuses années.

La mise en œuvre d’une piscine coque se fait en plusieurs étapes : n Choix de l’emplacement : cette étape est très importante, votre piscine coque doit être abritée des vents et bénéficier d’un bon ensoleillement.

n Terrassement : le terrain doit ensuite être creusé pour accueillir votre piscine coque. Cette opération nécessite du maté­ riel adapté à la nature de votre sol et sera de préférence confiée à un professionnel. n Fond de fouille : votre piscine coque sera posée sur un fond de gravier. n Livraison : la coque de votre piscine est livrée et déposée par le transporteur. n Tuyauterie : une fois votre piscine coque déposée, la tuyauterie est mise en place pour l’arrivée de l’eau de votre pis­ cine. n Remblai : une opération de remblai est effectuée pour assurer la stabilité de votre piscine coque. n Margelles : en dernier lieu, la piscine coque sera équipée de ses margelles.

La gamme de piscines coque proposée par les fournisseurs est aujourd’hui très éten­ due : de la piscine coque à fond plat à la

piscine coque à fond incliné en passant par la piscine coque avec volet roulant.

Terrasse de piscine en béton décoratif : optez pour le design et la sécurité !

Vous devrez ensuite rechercher le maté­ riau idéal pour des abords esthétiques, sûrs et confortables ? Le béton décoratif est une bonne piste : il vous permettra d’aménager des surfaces non glissantes adaptées aux jeux d’enfants et gardiennes de fraîcheur, même par de fortes cha­ leurs. De plus, les bétons décoratifs vous proposent un vaste choix de reliefs et de matières, de l’imitation carrelage, bois, dalle, pierre opus, ardoise mais aussi et pour se fondre dans votre environnement le pavé ou le faux rocher. A noter qu’il peut également s’employer en parkings, terrasses, allées de jardin…

Formation

Pays de Lons - Pages Spéciales Mars 2014

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e

Que faire après la 3 dans le Jura ?

Vous quittez bientôt le collège ! De nouvelles voies s’ouvrent à vous. Pour choisir celle où vous allez vous engager, le guide “Après la 3e” vous apporte les informations nécessaires, des conseils et des éclairages. Apprendre où, comment, pourquoi ? Pays Dolois a extrait les offres de formation proposées dans le Jura.

Les bacs généraux

Les bacs technologiques

Bac économique et social (ES), scientifique (S), littéraire (L)

Bac hôtellerie Poligny ­ Lycée Hyacinthe Friant

Préparés dans la plupart des établis­ sements. Ci­dessous, quelques bacs L et S plus rares.

Bac sciences et technologies de l’agronomie et du vivant (STAV)

Bac L - arts

Montmorot ­ Lycée agricole de Lons­ le Saunier Edgar Faure

n Arts

plastiques Dole Lycée Charles Nodier Lons­le­Saunier Lycée Jean Michel n Musique Dole Lycée Charles Nodier Lons­le­Saunier Lycée Jean Michel n Théâtre Salins­les­Bains Lycée Victor

Bac S - sciences de l’ingénieur (S-SI) Champagnole Lycée Paul­Emile Victor Dole Lycée Jacques Duhamel Dole Lycée privé Pasteur Mont­ Roland Lons­le­Saunier Lycée privé Ste­Marie Morez Lycée Victor Bérard

Bac sciences et technologies de l’industrie et du développement durable (STI2D) Mouchard ­ Lycée du bois Saint­Claude ­ Lycée Pré St­Sauveur Champagnole ­ Lycée Paul­Emile Vic­ tor Dole ­ Lycée Jacques Duhamel Saint­Claude ­ Lycée Pré St­Sauveur Morez ­ Lycée Victor Bérard

Bac sciences et technologies de la santé et du social (ST2S) Dole ­ Lycée privé Pasteur Mt­Roland Poligny ­ Lycée Hyacinthe Friant

Bac sciences et technologies de laboratoire (STL) Dole ­ Lycée Jacques Duhamel Morez ­ Lycée Victor Bérard

Bac sciences et technologies du management et de la gestion (STMG) Dole ­ Lycée Jacques Duhamel Lons­le­Saunier ­ Lycée Jean Michel Saint­Claude ­ Lycée Pré St­Sauveur Champagnole ­ Lycée privé Jeanne d’Arc

Bac sciences et technologies du design et des arts appliqués (STD2A) Ecoles hors Jura.

Bac techniques de la musique et de la danse (TMD) Ecoles hors Jura.

Salons et Portes Ouvertes : moments incontournables avant de prendre une décision !

Les différents salons sont des moments privilégiés pour rencontrer des enseignants et des professionnels... et ainsi recueillir conseils et témoignages.

Lors des journées Portes Ouvertes, c'est aussi l'occasion de visiter les lieux, les ateliers, de se rendre compte des outils et matériels utilisés et d'observer des réalisations d'élèves. Cela permet aussi de se faire une idée sur les conditions de vie dans l'établissement, de visiter l'internat par exemple...

22 Formation La voie professionnelle en LP ou par l’apprentissage Préparer un diplôme (bac pro, CAP…) et apprendre un métier, en passant pro­ gressivement de l’école au monde du travail. Mais aussi vous permettre de poursuivre votre formation vers un niveau supérieur.

Les établissements publics (voie scolaire) n CHAMPAGNOLE, Lycée Paul­Emile Victor CAP ­ Décolletage : opérateur régleur en décolletage BAC PRO ­ Accompagnement, soins et services à la personne ­ Maintenance des équipements indus­ triels ­ Technicien d’usinage Sections particulières* ­ Unité localisée pour l’inclusion scolaire ­ Sections sportives : football, handball n DOLE, Lycée prof. Jacques Prévert CAP ­ Assistant technique en milieux familial et collectif ­ Métiers de la mode ­ vêtement flou BAC PRO ­ Commerce ­ Esthétique cosmétique parfumerie ­ Gestion­administration ­ Métiers de la mode ­ vêtements ­ Vente (prospection, négociation, suivi de clientèle) Section particulière* ­ Section sportive : aviron n DOLE, Lycée Jacques Duhamel CAP ­ Menuisier fabricant de menuiserie, mobilier et agencement

BAC PRO ­ Electrotechnique, énergie, équipe­ ments communicants industriels ­ Maintenance des équipements indus­ triels ­ Procédés de la chimie, de l’eau et des papiers­cartons Section particulière* ­ Section sportive : natation n LONS­LE­SAUNIER, Lycée agricole de Lons Mancy CAPA ­ Services en milieu rural ­ Soigneur d’équidés BAC PRO ­ Conduite et gestion de l’entreprise hippique ­ Services aux personnes et aux terri­ toires Sections particulières* ­ Section européenne : anglais (concerne le bac pro Services aux per­ sonnes et aux territoires ) ­ Section sportive : équitation (possibi­ lité offerte aux élèves inscrits en bac pro Conduite et gestion de l’entreprise hippique) n LONS­LE­SAUNIER, Lycée prof. du bâtiment Le Corbusier CAP ­ Installateur thermique ­ Maçon ­ Menuisier fabricant de menuiserie, mobilier et agencement ­ Peintre­applicateur de revêtements ­ Préparation et réalisation d’ouvrages électriques BAC PRO ­ Technicien d’études du bâtiment option B : assistant en architecture ­ Technicien en installation des sys­ tèmes énergétiques et climatiques n LONS­LE­SAUNIER, Lycée profession­ nel Montciel

Pages Spéciales Mars 2014 CAP ­ Agent d’entreposage et de messagerie ­ Employé de commerce multi­spéciali­ tés BAC PRO ­ Accompagnement, soins et services à la personne ­ Commerce ­ Gestion­administration Section particulière* ­ Unité localisée pour l’inclusion scolaire n MOIRANS­EN­MONTAGNE, Lycée professionnel Pierre Vernotte CAP ­ Arts du bois option tourneur ­ Ebéniste n MONTMOROT, Lycée agricole de Lons­le­Saunier Edgar Faure BAC PRO ­ Conduite et gestion de l’exploitation agricole option systèmes à dominante élevage ­ Gestion des milieux naturels et de la faune n MOREZ, Lycée Victor Bérard, lycée des métiers de l’optique et des micro­ techniques BAC PRO ­ Microtechniques ­ Optique lunetterie Section particulière* ­ Section sportive : ski alpin­ski nor­ dique n MOUCHARD, Lycée du bois, lycée des métiers du bois, BAC PRO ­ Technicien constructeur bois ­ Technicien de fabrication bois et matériaux associés n POLIGNY, Ecole d’industrie laitière BAC PRO ­ Bio­industries de transformation (uniquement la 2de pro) ­ Laboratoire contrôle qualité

n POLIGNY, Lycée Hyacinthe Friant, lycée des métiers de l’hôtellerie et de la restauration CAP ­ Cuisine ­ Restaurant BAC PRO ­ Commercialisation et services en res­ tauration ­ Cuisine n SAINT­AMOUR, Lycée professionnel Ferdinand Fillod, lycée des métiers des arts du métal CAP ­ Bronzier option A monteur en bronze ­ Ferronnier ­ Métiers de la gravure BAC PRO ­ Technicien en chaudronnerie indus­ trielle n SAINT­CLAUDE, Lycée Pré Saint­Sau­ veur CAP ­ Assistant technique en milieux fami­ lial et collectif ­ Employé de commerce multi­spéciali­ tés BAC PRO ­ Commerce ­ Electrotechnique, énergie, équipe­ ments communicants habitat tertiaire ­ Gestion­administration Sections particulières* ­ Unité localisée pour l’inclusion scolaire ­ Section sportive : rugby

Les établissements privés sous contrat (voie scolaire) n AMANGE,

Maison familiale rurale BAC PRO ­ Conduite et gestion de l’exploitation agricole option systèmes à dominante élevage

Pays de Lons

­ Services aux personnes et aux terri­ toires n CHAMPAGNOLE, Lycée prof. privé Jeanne d’Arc CAP ­ Employé de commerce multi­spéciali­ tés BAC PRO ­ Accueil­relation clients et usagers ­ Gestion­administration ­ Vente (prospection, négociation, suivi de clientèle) Section particulière* ­ Sections européennes : anglais (concerne les 3 bacs pro) n DOLE, Lycée privé Pasteur­Mont­ Roland CAP ­ Métiers de la mode ­ vêtement tailleur BAC PRO ­ Accompagnement, soins et services à la personne ­ Gestion­administration ­ Maintenance des équipements indus­ triels ­ Systèmes électroniques numériques sécurité malveillance incendie, télécom­ munications et réseaux Sections particulières* ­ Unité localisée pour l’inclusion scolaire ­ section sportive : aviron n LONS­LE­SAUNIER, Lycée profession­ nel privé Sainte­Marie BAC PRO ­ Systèmes électroniques numériques électronique industrielle embarquée, télécommunications et réseaux ­ Technicien du froid et du conditionne­ ment de l’air n MORBIER, Lycée technique rural privé CAPA ­ Services en milieu rural BAC PRO ­ Services aux personnes et aux territoires

Formation

Pays de Lons - Pages Spéciales Mars 2014 n MOUCHARD, Lycée professionnel privé des compagnons du Tour de France CAP ­ Charpentier bois ­ Ebéniste ­ Menuisier fabricant de menuiserie, mobilier et agencement ­ Staffeur­ornemaniste BAC PRO ­ Interventions sur le patrimoine bâti Option : maçonnerie ou charpente ­ Technicien constructeur bois ­ Technicien en installation des sys­ tèmes énergétiques et climatiques ­ Technicien menuisier­agenceur n SALINS­LES­BAINS, Maison familiale rurale BAC PRO ­ Services aux personnes et aux terri­ toires

Les établissements de formation par apprentissage en CFA, en lycées et lycées professionnels publics ou privés et MFR n AMANGE,

Maison familiale rurale CAP ­ Maintenance des matériels option matériels de parcs et jardins n DOLE, Lycée privé Pasteur­Mont­ Roland BAC PRO ­ Maintenance des équipements indus­ triels n DOLE, Section professionnelle du Lycée Jacques Duhamel BAC PRO ­ Electrotechnique, énergie, équipe­ ments communicants habitat tertiaire (ne fonctionne pas en 2013/2014, ren­ seignez­vous) GEVINGEY, Antenne du CFA de l’Indus­ trie Sud Franche­Comté

CAP ­ Conducteur d’installations de produc­ tion ­ Réalisation en chaudronnerie indus­ trielle BAC PRO ­ Maintenance des équipements indus­ triels ­ Technicien en chaudronnerie indus­ trielle n GEVINGEY, CFA du Jura CAP ­ Boucher ­ Boulanger ­ Charcutier­traiteur ­ Coiffure ­ Cuisine ­ Employé de vente spécialisé option A produits alimentaires ­ Employé de vente spécialisé option B produits d’équipement courant ­ Maintenance des véhicules automo­ biles option véhicules particuliers ­ Pâtissier ­ Peinture en carrosserie ­ Réparation des carrosseries ­ Restaurant BAC PRO ­ Commerce ­ Maintenance de véhicules automo­ biles option voitures particulières n LONS­LE­SAUNIER, Lycée agricole de Lons­le­Saunier Mancy CAPA ­ Services en milieu rural ­ Soigneur d’équidés BAC PRO ­ Conduite et gestion de l’entreprise hippique ­ Services aux personnes et aux terri­ toires

n LONS­LE­SAUNIER, Lycée profession­ nel du bâtiment Le Corbusier CAP ­ Constructeur d’ouvrages du bâtiment en aluminium, verre et matériaux de synthèse ­ Maçon n MONTMOROT, CFA agricole du Jura CAPA ­ Entretien de l’espace rural ­ Production agricole, utilisation des matériels spécialité productions ani­ males ­ Production agricole, utilisation des matériels spécialité productions végé­ tales ­ Vigne et vin BAC PRO ­ Conduite et gestion de l’exploitation agricole option systèmes à dominante élevage ­ Gestion des milieux naturels et de la faune n MOUCHARD, Lycée du bois, lycée des métiers du bois BAC PRO ­ Technicien de scierie n POLIGNY, CFA agroalimentaire CAPA ­ Industrie agroalimentaire spécialité ouvrier polyvalent de fabrication de produits alimentaires BAC PRO ­ Bio­industries de transformation n SAINT­AMOUR, Lycée professionnel Ferdi­ nand Fillod, lycée des métiers des arts du métal CAP ­ Ferronnier BAC PRO ­ Ouvrages du bâtiment : métallerie n SAINT­CLAUDE, Lycée Pré Saint­Sau­ veur BAC PRO ­ Commerce

TREMPLIN LANGUES

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Tous les élèves de 3e se sont rendus avec leur professeur principal au cours du mois de février sur l’un des 10 forums INFO 3 consacrés aux formations possibles après la 3e. Sur place, ils ont bénéficié de quelques heures pour se renseigner sur les formations, que ce soit pour intégrer une seconde générale et technologique ou pour se tourner vers la voie professionnelle.

Cette visite éclair des formations qui existent dans le Jura n’a que pour but de vous inciter à aller plus loin dans vos recherches et pousser la porte des Centres d’information et d’orientation, services publics gratuits de l’Éducation nationale. Ils accueillent tout public à la recherche d’informations et de conseils sur les études, les diplômes, les concours et les professions.

On y trouve de la documentation, mais on peut aussi être reçu en entretien avec un conseiller d’orientation-psychologue. Chaque CIO travaille également en étroite collaboration avec les établissements publics de son secteur (collèges, lycées et universités) afin d’accompagner les jeunes dans leurs projets scolaires et professionnels.

RETROUVEZ TOUTES LES INFOS SUR h p://tremplinlangues.free.fr

UNE PÉDAGOGIE DE LA RÉUSSITE ! n Publirédactionnel

UN SOUTIEN SCOLAIRE ORIGINAL Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays Dolois n° 158

Depuis 2004, Tremplin Langues propose un soutien scolaire original et efficace en Français en Anglais et en méthode d’apprentissage et de mémorisation.

Quand un élève commence à fréquenter le soutien scolaire, l’enseignant, Monsieur Rani CHIKH, exa­ mine d’abord les difficultés fondamentales et les résistances à l’apprentissage de l’élève.

Dans un entretien initial gratuit, il procède à un bilan des résultats scolaires et à des tests écrits et oraux. Il explore aussi toutes les capacités de mémorisation de l’élève. L’une des premières demandes faite aux parents et à l’élève, c’est de suspendre provisoirement leur interprétation des difficultés scolaires afin de donner une chance à un nouveau départ. Ensuite des objectifs précis et un contrat de réussite réalistes sont établis avec l’élève.

Le rattrapage, l’amélioration des productions de devoirs et la mise en confiance résultent d’un échange scrupuleux sur les difficultés rencontrées par l’élève et de la découverte de nouvelles capaci­ tés d’apprentissage.

L’apprentissage se fait à partir des compétences propres à l’élève. Il travaille la mémorisation, la

concentration, les capacités d’observation et l’ap­ propriation des connaissances. Ce que l’enseignant découvre de l’élève et développe chez lui au niveau de la maîtrise en français de la rédaction, de l’ex­ pression orale et de la mémorisation, va rejaillir sur l’apprentissage des autres matières.

en 1re, oral et écrit de français (EAF), oral et écrit d’anglais en terminale et au concours et examens d’entrée dans les écoles supérieures (IEP, Ecoles de Commerce….).

Moyens matériels employés

De l’apprentissage de la lecture en primaire à la production linguistique plus élaborée au collège, au lycée et dans les examens d’entrée en école supé­ rieure, la méthode Tremplin Langues s’avère adap­ tée pour dépasser l’échec scolaire comme en pro­ fite chaque année des dizaines de candidats.

> Enregistrements audios systématiques

Si votre enfant a des difficultés, n’hésitez pas à contacter Tremplin Langues, cette méthode donne d’excellents résultats puisque le taux de réussite est de près de 90 %.

> Labo de langue.

Travail personnalisé, groupe de 4 maximums.

Séminaires de préparation aux épreuves suivantes : brevet (DNB), oral de l’histoire des arts, oral de TPE

en MP3

> Suivi des auditions de l’élève > Recours aux outils numériques et maîtrise des sites pédagogiques sur le web

> Emploi d’un poste informatique en binôme en interactivité

M. Rani CHIKH

UNE FORMATION PROFESSIONNELLE QUI A FAIT SES PREUVES !

Depuis 2014, fort d’une expérience de 10 ans d’en­ seignement de l’anglais dans les entreprises en Ile de France et d’une expérience significative de cours pour adultes dans le Jura, Monsieur Rani CHIKH s’est inscrit en Préfecture de Région de Franche­ Comté et a obtenu sa déclaration de formateur en langue et communication.

TREMPLIN LANGUES peut désormais proposer ses stages d’anglais et de communication à toute entre­ prise et aussi à toute personne disposant d’un D.I.F. (Droit Individuel à la Formation). Depuis janvier 2014, six entreprises ont déjà fait confiance à TREMPLIN LANGUES

Sur rendez­vous au 03 84 24 93 09

M. Rani CHIKH ­ 14, rue du Commerce 39000 LONS LE SAUNIER siège ­ 10, rue du Théâtre 39100 DOLE (antenne) ­ tremplin.langues@orange.fr

24 Formation Les Négociales, un challenge pour les commerciaux de demain Les qualifications départementales du 25e challenge des Négociales ont eu lieu le 12 février dernier à Dole. Le groupe Lasalle Pasteur Mont-Roland de Dole et l’Ecole de Management Commercial ont collaboré pour organiser cette journée de rencontres et d’épreuves sous forme de matchs de négociation-vente.

Les candidats rencontrent ainsi un professionnel qui joue le rôle d’acheteur sur un cas d’entreprise proposé cette année par Wurth, CCLD recrutement et Coca­Cola. Un jury composé de professionnels est alors chargé de les évaluer. La promotion BTS Assistant Manager a contribué à l’organisation logistique de l’événement sous la coupe de Nicole Bougault, chargée de pro­ motion. C’est avec professionnalisme que 60 candidats ont tenté de relever le défi d’une qualification pour les finales nationales qui auront lieu les 26 et 27 mars à Epinal.

Les 11 premiers candidats départementaux s’offrent une place en finale à Epinal et parmi eux, 6 représenteront le Lycée Pas­ teur, 5 représenteront l’EMC. Les organisateurs saluent la parti­ cipation active des candidats inscrits et en cours de formation commerciale dans le Jura et souhaitent bonne chance aux vain­ queurs !

Pour plus d’informations concernant le concours sur www.lesnegociales.com Pour plus d’informations concernant les formations d’enseignement supérieur : Lycée Pasteur Mont Roland, Maryline Cheviet, Responsable Enseignement Supérieur au 03.84.79.75.00 http://www.lyceepasteur-roland.com/ Ecole de Management Commercial (EMC), Virginie Schmit, Directrice adjointe au 03.84.86.42.04. www.emc-jura.fr

Feryel Erray du Lycée Pasteur Mont-Roland décroche la 1re place du podium, devant Quentin De Froissard de l’EMC et Romain Bulle du lycée Pasteur Mont-Roland.

Pages Spéciales Mars 2014 -

Pays de Lons

L’alternance, le bon plan ?

Zoom sur le CFAI de Dole Le C.F.A.I. FrancheComté est un centre de formation d’apprentis, spécialisé dans les métiers de l’industrie.

Ce sont plus de 29 formations qui y sont proposées allant du niveau CAP au diplôme d’ingénieur.

L’alternance allie les avantages étudiants et le statut de salarié, pour apprendre tout en C’est quoi les métiers de l’industrie ? percevant un premier salaire ! Les apprentis obtiennent en même temps un métier et une expérience professionnelle, à un rythme dynamique alternant semaines de cours et de pratique. Les entreprises en sont souvent convaincues : l’expérience fait la différence ! Elles sont d’ailleurs très nombreuses à embaucher leur apprenti dès la fin de sa formation. Chacun trouve sa place parmi l’automatisme, l’informatique, la microtechnique, la productique, la conception industrielle, l’outillage, la domotique, la régulation, la maintenance, le technico-commercial, l’électrotechnique, la plasturgie et la chaudronnerie. Le CFAI développe ses formations en fonction du besoin et des évolutions de l’industrie.

CFAI de Dole, 5b, rue Bougauld. Tél. 03 84 82 91 70

vivre ici 25

Pays de Lons n°81 - Mars 2014

EXPRESS FINANCES PUBLIQUES

L’ETAT REVERSE 5,8 MILLIONS D’EUROS AU DÉPARTEMENT Depuis plusieurs années, Christophe Perny, président du Conseil général du Jura, regrettait que le transfert des compétences de l’Etat aux Départements n’ait pas été accompagné de compensations financières suffisantes. Un sentiment partagé par beaucoup de présidents de collectivités locales, et souligné par la Cour des Comptes dans son rapport de 2009 : “Les modes de compensation par l’Etat des transferts ont été très fluctuants et le plus souvent jugés insuffisants”. En juillet dernier, l’Etat et l’Assemblée des Départements de France se sont mis d’accord sur le financement des allocations individuelles de solidarité (RSA, APA et PCH) via un fonds de compensation péréqué de 830 millions d’euros. Une bonne nouvelle pour Christophe Perny puisqu’il recevait le mois dernier un courrier du Premier Ministre annonçant que le Jura bénéficierait de ce fonds à hauteur de 3,8 millions d’euros auxquels s’ajouteront près de 2 millions d’euros au titre d’un autre fonds national de péréquation.

MUSIQUE

MYTREMPLIN RELANCÉ POUR 2014 Le concours musical du Conseil général du Jura, Mytremplin, reviendra en 2014, avec pour objectif d’offrir aux groupes jurassiens l’opportunité de se produire sur de grandes scènes. Les candidatures sont d’ores et déjà ouvertes : pour participer, il suffit de remplir le dossier d’inscription téléchargeable sur le site www.jura.fr et d’y joindre deux compositions, avant le 31 mars.

“6e AU SKI”

5 ÉTABLISSEMENTS DU BASSIN LÉDONIEN PROFITENT DE L’OPÉRATION Chaque année, le Conseil général du Jura finance l’opération “6e au ski” permettant à plus de 3 000 collégiens du département de découvrir, parfois pour la première fois, les activités nordiques et le ski de fond en particulier. En partenariat avec l’association Jura Nordique, et ce jusqu’au 13 mars, une journée de découverte sera proposée aux fondeurs en herbe sur les différents sites nordiques jurassiens (Lamoura, Prémanon, Bois d’Amont, Lajoux, Les Moussières…).

L’encadrement et la location du matériel sont financés pour un montant de 23 000 euros. Dans le bassin lédonien, les collèges du Parc (Bletterans), Saint-Exupéry (Lons), de La Salette (Voiteur), Saint-Marie (Lons), et Rouget de Lisle (Lons) participent à cette nouvelle édition.

E TAT C I V I L

Don de sang LE JURA BON ÉLÈVE, MAIS PEUT FAIRE ENCORE MIEUX !

L’établissement français du sang (EFS) Bourgogne Franche-Comté tirait le mois dernier un bilan positif des dons de sang mobilisés en 2013 dans les deux régions, et tient à remercier les 84 587 donneurs fidèles au rendezvous. En effet, l’année 2013 enregistrait un nombre de donneurs stable par rapport à l’année précédente. Ainsi, dans le Jura, ce sont 16 157 personnes qui se sont présentées dans le cadre de 203 collectes de sang, pour un total de 14 522 dons. “La Franche-Comté comme le Jura possède des donneurs fidèles et motivés. C’est une culture dans la région, où les gens sont préoccupés par la citoyenneté et l’altruisme” commente le Docteur Odile Striby, responsable des prélèvements pour les collectes du Jura, entre autres. Au niveau régional, 24 124 malades ont pu bénéficier des 153 366 dons de sang. “Dans le Jura, nous avons

EPART OBTIENT DEUX NOUVELLES CERTIFICATIONS

LONS-LE-SAUNIER

RÉOUVERTURE DU CENTRE DE DÉPISTAGE DU CENTRE HOSPITALIER

Ensemblier d’insertion constitué de quatre associations présent sur le territoire lédonien depuis plus de 30 ans, EPART propose un emploi et un accompa­ gnement socio­profes­ sionnel à des per­ sonnes éloignées de l’emploi. Ses outils d’in­ sertion s’articulent autour de cinq pôles d’activités écono­ miques : l’emballage bois et les palettes de manutention, la sous­traitance industrielle, l’entretien de locaux, les services à la personne et la blanchisserie. Chaque année, une centaine de personnes, encadrées par onze salariés permanents, bénéficient d’un CDD d’insertion, allant jusqu’à 24 mois maximum. “40 % de nos salariés en insertion retrouvent un emploi ou une forma­ tion par la suite” assure Nicole Goemare, la directrice de l’établissement.

Il y a deux ans, la structure lançait les démarches pour l’obtention de deux certifications, qu’elle vient tout juste d’obtenir. La première, l’ISO 9001 garantit la qualité d’un produit et du service final. Epart est le premier ensembier d’insertion a décroché cette norme internationale en Franche­Comté. La seconde, la FAQEI, garantit la certification de l’objet social, à savoir l’accompagnement socio­professionnel et le parcours d’insertion. “C’est une reconnaissance pour nous, et une garantie pour nos clients industriels”.

Alohys de Jean­Paul PICARD et Céline PAGET, Maynal Thibaut de Vincent PERNET et Edwige MAZZIER, Passenans Maxime de Mykola NOSUR et Olga BELYSHEVA, Poligny Etienne de Nicolas BOROD et Émilie JACQUAND, Présilly Clyde de Christophe JOAO et Ketty SUFFANTI, Publy Lalie de Franck FONTAINE et Elodie HUGONNET, Quintigny Louis de Stéphane DURAND et Aurélie CLAVIER, Vernantois Axel de Cédric CÔTE et Elise DAVID, Vertamboz Louison de Jean­François BUTET et Marie CATTIN, Vincelles

DÉCÈS PETIT Christian, Arlay , 65 ans AIME Simone, Arthenas , 85 ans SIMPLET Jean­Pierre, Bonlieu , 70 ans

Depuis le 19 février, le centre de dépistage anonyme et gratuit du centre hospitalier de Lons-le-Saunier a rouvert ses portes. En effet, le Dr Fatima Moudden, médecin au sein des Urgences, a repris l’activité à la suite du Dr Anne Teston. Ce service est destiné à toutes les personnes majeures ou mineures qui souhaitent profiter d’un dépistage, anonyme, confidentiel et gratuit, des virus du Sida, de l’hépatite B et de l’hépatite C. Aucun document administratif (carte d’identité, carte de sécurité sociale ou autres) n’est demandé.

Tous les 1er et tous les 3e mercredis de chaque mois, de 14 h jusqu’à 18 h, sans rendez-vous.

LE CONSEIL MUNICIPAL DES ENFANTS REMET UN CHÈQUE À L’UNICEF Le 11 février dernier, les enfants du conseil municipal ont remis un chèque de 780 euros à l’Unicef

MONNIN Madeleine, Chamole , 82 ans BONNET Geneviève, Chevrotaine , 84 ans POTTIER Georges, Chille , 88 ans MERLIN Robert, Colonne , 88 ans HAAS Yvette, Cousance , 59 ans PROST­DUMONT Michel, Cousance , 79 ans BARBIER Jean­Baptiste, Granges­sur­Baume , 90 ans CASSABOIS Thérèse, La Marre , 82 ans ROY André, Lombard , 91 ans ROUSSÉ Gisèle, Lons­le­Saunier , 82 ans DAVID Max, Lons­le­Saunier , 90 ans DALOZ Germain, Lons­le­Saunier , 89 ans BOTTAGISI Dante, Lons­le­Saunier , 79 ans FALVET Gaston, Lons­le­Saunier , 87 ans MONNOT Geneviève, Lons­le­Saunier , 91 ans PERNET Michelle, Lons­le­Saunier , 84 ans

SECTIONS BTS

> CGO : Comptabilité et Gestion des Organisations

> AM : Assistant de Manager par alternance

Filières Bac et BTS samedi 15 mars 2014 de 9 h à 12 h BTS uniquement vendredi 14 mars 2014 de 14 h à 18 h 400, rue du Docteur Jean Michel - BP 20308 - 39015 LONS-LE-SAUNIER CEDEX Tél. : 03 84 35 26 00 - Fax 03 84 35 26 21 - Mail : Ce.0390019j@ac-besancon.fr http://catice.ac-besancon.fr/lycee_jean_michel/spip

fréquentation y est moindre alors que la maladie ne prend pas de vacances. Le message que l’on souhaite passer : amenez quelqu’un avec vous, ça serait génial, même si être fidèle est déjà un grand don !”.

EN BREF

Services à la personne

Myriam de Julien HENRICI et Marie­Pierre de DREUILLE, La Marre Raphaël de David BOËGLI et Stéphanie BERNARD, Alièze Louise de Alexandre SAGE et Bérénice DELANGLE, Lons­le­Saunier Paul de Arnaud CLIQUENNOIS et Sandrine DESPRETZ, Chelsea de Franck BICHON et Mireille CLAUDIN, Barretaine Marina de Nicolas PANOUILLOT et Géraldine CHEVASSUS, Lons­le­Saunier Champrougier Meryem de Erkan BOZKURT et Emine BULUT, Lons­le­Saunier Aloïs de Arnaud SIMONIN et Clémence RENARD, Chapelle­Voland Aaron de Grégory GUICHARD et Audrey DELLA­SIGNORA, Lons­le­Saunier Marie de Michel SERRETTE et Virginie GIRARD, Charcier Mathias de Salime SIRADJI et Noussourani HADHARI, Candice de Stéphane RIGOLET et Marielle JEUNET, Lons­le­Saunier Clairvaux­les­Lacs Anna de Jonathan VANNIER et Céline MEUNIER, Cousance Éva de Damien CLERGET et Amandine PÉNARD, Mayra de Benoît INIZAN et Sandra LOCATELLI, Domblans Lons­le­Saunier Manon de David RENARD et Julie REVEILLON, Matti de Patrick RUMPLER et Carina ROMIG, Fétigny Lons­le­Saunier Julien de Arthur BRULÉ et Anne­Dominique MASSEAU, Alejandro de Christophe DODEY et Olga ALMEIDA, Mantry La Chaux­du­Dombief

NAISSANCES

enregistré 10 % de nouveaux donneurs en 2013, et on aimerait arriver à 12 % en 2014. Nous avons besoin de nouveaux donneurs, mais aussi d’une diversité de donneurs, quelles que soient leurs origines” reprend le Dr Striby. Car si les stocks sont stables et les poches de sang suffisamment nombreuses pour répondre aux besoins régionaux, l’établissement contribue également aux demandes nationales. Un enjeu capital, celui de sauver des vies, car il n’existe pas de substitut à ce jour. Certains traitements et opérations chirurgicales ne peuvent se passer de transfusions, comme les greffes, la chimiothérapie… La traumatologie est aujourd’hui la première spécialité consommatrice de transfusions sanguines. Pour 2014, quelque 200 collectes seront prévues dans le Jura, avec un accent mis sur les vacances scolaires et les veilles de jours fériés. “La

ACCÈS AUX BACCALAUREATS

> Généraux : ES – L – S > Technologiques : Sciences & Technologies du Management et de la Gestion

SECTIONS EUROPEENNES

> Filières littéraire et économique Anglais > Filière scientifique : Allemand

France, somme collectée lors d’une vente organisée le 14 décembre dernier. Le Secours Populaire de Lons était également présent : les jeux et vêtements non vendus lors de cette action avaient été remis à l’association.

EN ROUTE POUR UN SECOND FORUM DES ASSOCIATIONS Devant le succès de la 1re édition du forum des associations organisé en septembre dernier, avec plus de 3 700 visiteurs, la décision a été annoncée officiellement : il y aura bien une seconde édition à la rentrée 2014.

SORTIES NATURE

LE CALENDRIER DES ANIMATIONS 2014 DE LA LPO EST FINALISÉ Le calendrier définitif des animations nature 2014 de la Ligue Protectrice des Oiseaux de Franche-Comté est disponible. Belles observations et sorties nature dans le Jura tout au long de l’année... http://fr.calameo.com/read/0018788001bdade367c00

HOMSOMBATH Thouma, Lons­le­Saunier , 49 ans PERROD Robert, Lons­le­Saunier , 89 ans SENGDY Phay, Lons­le­Saunier , 83 ans NAUDIN Fernande, LONS­le­SAUNIER , 105 ans DUBUC Fernande, LONS­le­SAUNIER , 93 ans GOUMET Renée, LONS­le­SAUNIER , 83 ans GAUTRONNET Colette, Montaigu , 74 ans POLI Rina, Montmorot , 92 ans GAUDILLET Henri, Montmorot , 87 ans GUYOT Marie, Orgelet , 89 ans UNY Claude, Orgelet , 72 ans PANISSET Jean, Orgelet , 80 ans ALLIAUME Serge, Poligny , 68 ans BLANCHON Maurice, Rotalier , 83 ans GRAND Michel, Saint­Laurent­la­Roche , 79 ans BOULARD Henri, Trenal , 84 ans

ENSEIGNEMENTS D’EXPLORATION

> Éducation Physique et Sportive 5h > Sciences Économiques et Sociales > Méthodes et Pratiques Scientifiques > Sciences et Laboratoire > Biotechnologies > Grec > Latin > Principes Fondamentaux d’Économie et de Gestion

> Littérature et Société > LV3 Espagnol, Italien, Russe > Arts visuels > Arts du Son

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Pays de Lons n°81 - Mars 2014

Mardi 25 mars

> CONCERT

Vendredi 7 mars

Jean Jaurès - Spectacle musical

W.A.F. - Scène française

Un voyage musical au cœur de la pensée de Jean Jaurès avec un concert de mots, de sons, de musiques, où viennent se heurter voix parlée et voix chantée, instruments anciens et instruments d’aujourd’hui.

Le groupe W.A.F. réunit de vieux briscards des scènes françaises. De l’énergie à revendre pour des musiciens qui n’ont rien perdu de la fougue de leur adolescence. Lons-le-Saunier, Bœuf sur le Toit, à partir de 21 h, gratuit.

Samedi 29 mars

Mercredi 5 mars

The Gospel Friends - Gospel Dans le cadre de ses soirées cabaret, le foyer le Colibri recevra un groupe jurassien, The Gospel Friends. Lons-le-Saunier, Le Colibri, 20 h 30. Gratuit uniquement sur réservation (03 84 24 34 60).

Samedi 15 mars

L’association de Parents d’élèves de l’école de Messia-sur-Sorne “Chat Perché” organise un concert dans le but d’apporter un soutien financier aux activités scolaires et extrascolaires.

Messia-sur-Sorne, salle des fêtes, 20 h 30, 5 euros.

> SPECTACLE ET THÉÂTRE

Rag bag et Rise Up - Pop rock Une soirée dédiée aux reprises pop-rock, qui ont bercé des décennies de fans.

Lons-le-Saunier , Bœuf sur le Toit, 21 h, 5 euros.

Jeudi 13 mars

Concert donné par l’Ensemble vocal adultes du conservatoire de Lons-leSaunier. Chilly-le-Vignoble, Eglise, 20 h 30.

Fatals Picards + The Rising Sun - Rock Savoureux mélange que nous proposent Les Fatals Picards ! Qui ne connaît pas “le plus nul des groupes punk” ? Vous l’aurez remarqué, l’autodérision est leur point fort et l’humour encore plus fort ! Justement parlons-en de leur humour ! Un brin décalé, prêts à chanter sur Bernard Lavilliers “T’es un mélange d’Indiana Jones, de Jean Jacques Goldman, de Garcimore mais en moins mort”, ils façonnent un monde étrange dans lequel il est simple de côtoyer Hector le castor ou Mireille l’abeille.

Moulin de Brainans, 20 h, 22 et 25 euros.

Mercredi 19 mars

Léon, c’est un spectacle à la fois drôle et touchant, qui dégage une forme de nostalgie émouvante et une énergie farouche à se tenir debout.

Léon, c’est une fiction dont les souvenirs ressemblent étrangement à notre réalité. Léon, c’est un homme sensible et déterminé. Léon sait rire de lui-même et des situations qu’il traverse. Léon nous fait lire dans sa tête comme dans une lettre ouverte.

Léon est facteur, mais ce n’est pas de ça dont il s’agit. Il s’agit de Léon, de ses rêves d’enfant, de ses rêves de maintenant et de sa réalité d’aujourd’hui. Léon, c’est donc un spectacle drôle et touchant. C’est Léon.

Poligny, Cave théâtre, 20 h 30, 6 et 12 euros.

Livin’in a tree house - Rock folk Quand la puissance d’un rock puissant et obsédant déchire les brumes folk c’est tout l’éclat de l’univers pop-rock de Livin’in a tree house qui vous emporte comme une lame de fond !

Lons-le-Saunier, Bœuf sur le Toit, 21 h, gratuit.

Samedi 22 mars La rue Kétanou + Maggy Bolle - Chanson française

Jeudi 20 mars L’instant croXel - Théâtre Nous suivons la dégringolade de Rémi Walker, commercial chez CroXel et qui attend, attend, attend le patron pour la signature du bon de livraison sur l’opération commerciale “L’instant croXel”. Et quoi de plus naturel que de patienter autour de quelques verres de cognac ?

Spectacle joué dans les bars : le 20 mars à 21 h 20 au Troquet (rue Rouget de Lisle). Le vendredi 21 mars à 18 h 30 et 21 h à l’Odyssée (rue Lecourbe). Le samedi 22 mars à 11 h 30 au Troquet. 6, 9 et 10 euros.

Vendredi 28 mars L’Angela Bête - One-woman-show © bunorascao

Angela Laurier est au centre de ce one-woman-show aux faux airs de comédie musicale. Un spectacle pour nous raconter les faits marquants qui ont jalonné sa vie, de sa petite enfance à aujourd’hui.

> INTERVIEW DU MOIS

Lons-le-Saunier, Théâtre, 20 h 30.

© Vincent Vanhecke

Léon - Théâtre

Cantate BWV 106 de J.S. Bach - Classique

Moulin de Brainans, 20 h 30. 23 à 28 euros.

Fils illégitime de Raymond Queneau, Boris Vian et Albert Dupontel, Boris est chercheur en métaphysique. Dans un style de jonglage servi par “l’effet domino”, planches et massues abordent le thème des sciences et de la métaphysique dans une logique absurde. Boris propose une conférence afin d’enseigner à son auditoire quelquesunes de ses expériences les plus abouties…

Lons-le-Saunier, Bœuf sur le toit, 21 h.

39 de fièvre - Pop rock

Mardi 11 mars

La Rue Kétanou est de retour avec un sixième album. Ce trio fantasque qui brise les codes, les réflexes et les façons de faire d’une industrie tout entière, figure parmi les rares artistes francophones apparus au cours des quinze dernières années, à être suivis depuis longtemps par un public toujours aussi nombreux.

Lons-le-Saunier, Théâtre, 20 h 30.

Boris sur les planches

> ROUTE DES VILLAGES Samedi 1 er Mars

Samedi 22 Mars

Puces aux vêtements Messia-Sur-Sorne La vente débute à partir 8h30 et finit à 12h30. Une vingtaine d'ex­ posants seront présents et propo­ serons des vêtements enfants, adultes, accessoires qui vont avec l'habillement (sac à main, bijoux, écharpes....), des chaussures mais aussi tout ce qui concerne le tissu.

L'entrée est gratuite. Ces puces aux vêtements se déroulent à la salle des fêtes.

Soirée Théâtre -

Dimanche 9 Mars

Concert le Choeur des Roches - Lons-Le-Saunier

Bourse aux vêtements / puériculture - Chaumergy A la salle des fêtes de 9 h a 17 h Encore de la place contacter au 07.70.45.88.58

Chaumergy Le Sporting Club et le groupe de théâtre Les Joyeux Drilles de Cesancey vous proposent une pièce comique “Les coups tordus”.

Début 20h30, Entrée 5 €, gratuit pour les moins de 12 ans.

Dimanche 30 Mars Concert au profit de l'Association de la Protection du Patrimoine de St Maur les Buissons en l’église des Cordeliers à 15h.

Zam’s tourne son premier clip musical Groupe de musique rock folk des alentours de Lons-le-Saunier, Zam’s roule sa bosse depuis près de quinze ans. Avec trois albums, plusieurs tremplins remportés et plus de 150 dates, il ne manquait plus qu’un clip musical au compteur des cinq trublions. C’est chose faite avec Episcolaire, tourné les 22 et 23 février derniers au Musée de l’école à Saint-Rémy. Olivier Morin, chanteur du groupe, revient sur le succès de sa formation.

Vous êtes à la base une bande de potes.

Comment l’histoire a commencé ?

Notre groupe a été fondé à quelques kilomètres de Beaufort, à Flacey-en-Bresse en mai 1999, à l’occasion d’une soirée que nous devions animer entre amis. Après cette prestation plutôt réussie, Aurélien, Manu et moi-même avons décidé de continuer à jouer ensemble de temps en temps. L’alchimie a pris et rapidement Aurélien a amené ses propres compositions. Ça a été l’évènement fondateur du groupe. Nous avons recherché quelques musiciens supplémentaires (batteur et bassiste) et en quelques mois, le groupe s’est consolidé.

Depuis quinze ans, vous enchaînez les concerts, écumez les festivals, et avez sorti trois albums. Comment expliquez-vous cette longévité qui n’est pas forcément légion pour les groupes locaux ?

Il y a eu bien sûr des moments difficiles comme dans toute aventure humaine, mais ce qui fait la force de notre groupe c’est que nous sommes avant tout des amis de très longue date (bien avant la formation du groupe) et que la musique a renforcé ce lien. Chacun a trouvé sa place dans le groupe et nous sommes tous sur la même longueur d’onde. Il n’y a pas de carriériste, ni de nombriliste dans le groupe. Nous avons réglé depuis fort longtemps les problèmes d’égo. La musique est un loisir, nous nous faisons plaisir avec nos différents projets. Être “connus" n’est pas un objectif pour nous, même s’il est toujours plaisant d’en rêver. Ce que nous privilégions c’est la scène.

Quel est le souvenir le plus marquant que vous gardez de ces quinze dernières années ?

Le souvenir le plus marquant jusqu’à présent est la tournée que nous avons faite en Pologne en 2012 dans le cadre du Festival Oktawa Kultur. Ce fut un défi pour nous de jouer dans une langue étrangère sur de si

grandes scènes, 4 jours de suite, devant 3 000 spectateurs à plus de 2000 kilomètres d’ici. Mais le défi fut relevé et les rencontres avec les autres groupes du festival, le public polonais (et quelques touristes français) furent exceptionnelles.

Vous venez de tourner votre premier clip musical, “Episcolaire” et votre projet de financement participatif a rencontré un franc succès puisque la somme nécessaire à sa réalisation a été rapidement atteinte. Vous avez été touchés de constater qu’un public fidèle croit en vous ?

Nous avons fait appel à notre réseau de fans et beaucoup ont répondu présents. Nous les remercions vraiment beaucoup de leur générosité car elle nous a permis de donner un coup d’accélérateur à ce projet. On est bien sûr touché de leur investissement personnel et cela a mis une pression supplémentaire pour réaliser un clip de qualité. Nos moyens ne sont pas ceux d’une grosse production mais on a fait le maximum pour les

rendre fiers d’avoir participé à cette aventure à leur manière.

Pourquoi avoir choisi de tourner ce clip au Musée de l’école de Saint-Rémy ?

La chanson que nous avons voulu porter à l’écran s’appelle “Episcolaire”. Le texte décrit, par le champ lexical de l’école, une relation amoureuse fantasmée. Il nous est apparu évident de planter le décor dans une salle de classe. Et pour lui donner plus de cachet, nous avons choisi le Musée de l’école de Saint-Rémy qui offre un cadre magique avec une salle de classe des années 60.

Pourquoi un clip ?

Nous observons les tendances de la création musicale et beaucoup d’artistes utilisent ce médium pour diffuser leurs chansons sur le web. C’est un moyen de donner une autre dimension à une chanson. Nous souhaitons aussi que cela permette à des programmateurs et diffuseurs de “voir” ce dont nous sommes capables. En attendant ce projet est une nouvelle fabrique à souvenirs.

Propos recueillis par C.G.

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Pays de Lons n°81 - Mars 2014

Du 3 mars au 30septembre Exposition photos naturalistes Venez découvrir l’univers des frères jurassiens Clovis et Marceau Duraffourg à travers leurs photographies.

ARLAY, Maison de la nature et de la faune sauvage.

Entrée libre du lundi au vendredi.

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ASSOCIATIONS, annoncez GRATUITEMENT vos manifestations sur notre site internet. Elles seront diffusées en ligne immédiatement et paraîtront dans la presse du mois concerné.

Vendredi 7 mars LES CONSTRUCTEURS INSATIABLES Depuis le 21 février jusqu’au 7 septembre, il s’agit de l’exposition phare 2014 de la Maison de la Vache qui rit. Tout à la fois exposition, projet pédagogique et éditorial, “Les Constructeurs Insatiables” présente notamment 5 grandes constructions et expérimentations conçues à l’initiative d’une sélection de jeunes architectes et de designers européens (français, néerlandais, portugais). Dans un second temps, à l’automne 2014, l’exposition viendra s’enrichir de propositions artistiques sélectionnées et créées sous l’égide de Lab’Bel, le laboratoire artistique du groupe Bel. Dans sa première session, l’exposition propose un parcours se déployant dans le jardin et à l’intérieur de La Maison, sur lequel vient s’appuyer un fil rouge pédagogique qui mettra en lumière les dimensions sociales, anthropologiques et écologiques liées au sujet.

Bretin René 5, rue du Bourg - 71270 Authumes Restaurateurs, Fromagers, Bouchers, Charcutiers, Métiers du bois, Coiffure, Outils de jardin, peignes de tondeuse (chiens, vaches, chevaux, moutons)

Lons-le-Saunier, Bœuf sur le toit, 21 h.

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> EXPOSITION

www.paysdelons.fr rubrique “Annoncez votre manifestation” *Contenu de la Route des villages sous la responsabilité des annonceurs

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Toutes les dates sur notre site internet

RECETTE Foie gras poêlé Suprême de pigeon ramier Pommes, ananas et mangues caramélisés aux épices Recette pour 6 personnes Offerte par le restaurant Le bouchon du château

Pour la préparation des fruits • Couper les fruits en petits dés assez régulier, et les garder séparer

Pour la préparation des pigeons • Pour les pigeons ; seul les suprêmes nous intéressent pour cette recette

(les cuisses peuvent toujours êtres cuisinées le lendemain rôties ou confites servies sur une bonne salade de frisée et de roquette relevée d’ail et de lard paysan bien grillé).

• Pour les suprêmes, laissez-les sur le coffre, bien faire saisir côté peau dans une poêle avec huile d’olive et beurre salé et poivré puis mettre au four environ 10 minutes à 180 °C. Une fois cuit, retirer du four et laisser reposer sur le coffre côté peau pour bien préserver tous les jus (maintenir au chaud, sous papier alu).

Pour la préparation du foie gras • Pour le foie gras ; faire 6 à 8 belles tranches dans le lob, faire chauffer

une poêle sans éléments gras, y disposer vos tranches de foie gras, feu vif, laisser colorer environ 1 minute de chaque côté puis passer au four environ 2 minutes a 190 °C pour avoir une bonne cuisson à cœur.

Dressage • Tous les éléments de cette recette doivent être tièdes pour une

meilleure dégustation, répartisser dans un emporte-pièce le mélange de fruits aux épices, lever les suprêmes de vos pigeons, (rosés mais trop rouges) les couper en 2, assaisonner et dresser sur les fruits. Faire de même avec le foie gras poêlé, finir avec quelques feuilles de mesclun bien assaisonnées (huile de noisette).

• Vous pouvez aussi mélanger du jus de cuisson de vos coffres de pigeons avec de l’huile de noisette pour en parsemer des gouttes autour de votre plat.

Le Bouchon du Château www.lebouchonduchateau.com

E N MARS… Arrivage de

Grenouilles fraîches ! ble !

Votre panier pour cette recette 1 lob de foie gras environ 500 g, G 3 beaux pigeons ramier (demander à votre boucher charcutier), G la moitié d’un ananas, G 1 mangue, G 3 pommes golden, 6 pruneaux d’Agen et quelques raisins secs, G 80 g de beurre, G 60 g de sirop d’érable, G 2 cuillères à soupe de vinaigre de Xerès, G épices : graines de fenouil, graines d’anis, poivre noir, pincée de gingembre frais et cardamome, G quelques feuilles de mesclun ou roquette pour finir huile de noisette, G fleur de sel et moulin à poivre.

www.rb-affutage-mobile.fr

Méthodologie dans une poêle, y verser votre sirop d’érable et votre beurre, caraméliser gentiment puis ajouter les épices. Ensuite ajouter les ananas en premier, laisser déglacer le caramel d’épices à feu doux et ajouter les pommes, raisins et pruneaux d’Agen, faire sauter le tout délicatement, y ajouter pour finir les mangues et le vinaigre, faire sauter puis retirer pour arrêter la cuisson (il est très important de ne pas trop cuire les fruits pour garder une belle texture et non une compotée !).

Ingrédients

06 22 98 17 71

G

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Pays de Lons n°81 - Mars 2014

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quoiqu’il arrive et les couvertures habituelles, assu­ rance décennale entre autres. La sa sfac on du client est au cœur des préoccupa ons de Maisons France Confort.

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Installée depuis juin 2011, l’Agence de Dole a une ac vité florissante dans le Jura et prévoit bientôt d’agrandir son service commercial sur le bassin lédonien par l’ouverture d’une agence à Lons­le­ Saunier. Maisons France Confort est l’un des leaders du marché de la construc on individuelle dans le département et apporte une réponse de qualité, évolu ve et adaptée aux besoins et a entes de ses clients pour tout projet de construc on.

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