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THÉMA : Partons en forêt, retrouvons le chemin de la nature
from Paris Mômes n°127
by Paris Mômes
Par les chemins
On ne rêve que de ça ! D’enfiler pulls et chaussures et filer sous le couvert des arbres pour profiter des bonnes odeurs et des bénéfices ressourçants de la forêt. Pour retrouver le chemin de la nature, il vous suffit de lire notre interview éclairante et de suivre ces propositions de promenades, de sorties cueillette et d’activités dehors. Ce n’est pas si loin, allez !
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Par Orianne Charpentier et Maïa Bouteillet
Evénement / 4 octobre Contes sous les branches
Pour la Fête de la orêt, toute une journée d’animations our les amilles dans le Val-de-Marne. Au domaine départemental des Marmousets, un beau parc naturel situé à la lisière de la forêt Notre-Dame (ellemême faisant partie du massif de l’Arc boisé, une vaste étendue forestière de 3000 hectares à cheval sur trois départements), on fête la forêt toute la journée, avec des séances de contes autour du thème de la forêt, des mini-concerts, des spectacles. Et, bien sûr, des balades en forêt grâce à deux associations qui la protègent, ainsi que des conférences autour des bienfaits des arbres, notamment dans l’agriculture. n O.C.
u Fête de la forêt. Tout public. Le dim 4 octobre de 11 h à 19h. Gratuit. Parc départemental des Marmousets, chemin des Marmousets, La Queue-en-Brie (94). Tourisme-valdemarne.com, rubrique « Agenda ».
A lbert nielle © D
Festival / 2 et 3 octobre Derrière l’arbre, la forêt
Visites, ateliers et grand débat… tout est bon s’é ader en orêt. our
On saute dans des chaussures confortables, on prend une gourde d’eau, éventuellement un pique-nique, une petite laine et on file en forêt le samedi 3 octobre. Ce n’est pas ça qui manque, autour de Paris, et elles sont généralement accessibles en transport. Au programme, des visites découvertes avec des forestiers, des animations, des présentations des savoir-faire de la filière bois (charpentiers, sculpteurs…) et des performances artistiques : concerts et lectures sous les arbres. Avec un peu de chance, vous trouverez des champignons et apercevrez peut-être une biche… Pour les plus grands, la veille, il y a débat: «Couper des arbres détruit-il la forêt?» Des experts de la filière bois, à l’origine de ce festival, seront présents pour répondre aux questions. n M.B.
u Festival des forêts d’Ile-de-France. Tout public. Les 2 et 3 octobre. Inscriptions indispensables sur Fibois-idf.fr.
Balade libre / Toute l’année Petits parcours en forêt
Le bon lan our trou er un itinéraire rès de chez
ous. Avec l’épidémie en cours, l’Agence des espaces verts (AEV)d’Ile-de-France a dû annuler toutes ses animations en forêt. Mais rien n’empêche d’organiser sa propre petite randonnée en explorant le site Internet de l’AEV, lequel propose des balades en forêt à la carte, à faire en toute autonomie, où sont mentionnés les principaux points d’intérêt du parcours, avec un moteur de recherche permettant de filtrer le lieu et le nombre d’heures: c’est plus facile, ainsi, de trouver un itinéraire proche de son domicile et faisable avec de petites jambes (mais même si la marche est de courte durée, de bonnes chaussures de trek sont préférables, ainsi qu’une gourde d’eau). n O.C.
u Balades en forêt. Tout public. Toute l’année. Gratuit. Aev-iledefrance, rubrique « Loisirs nature ». Tourisme-valdemarne.com/agenda/les-rendez-vousde-larc-boise-la-fete-de-la-foret. Sortie ornithologique / Toute l’année Ramages et ramures
La orêt, ce n’est as juste des arbres : c’est tout un monde, dont les oiseaux qui y i ent. Pour mieux les décou rir, rien de tel qu’une sortie ornithologique ! Le chant des oiseaux a été si longtemps associé aux bois et aux branches d’arbre que le mot « ramage » servait autrefois pour les deux. Et c’est justement l’une des beautés des promenades en forêt que d’offrir cette dimension sonore : elle nous rappelle combien la forêt est un écosystème riche en biodiversité. Bien sûr, chacun peut en faire l’expérience en étant attentif, mais pour aller encore plus loin, pourquoi ne pas suivre une des sorties ornithologiques organisées par la LPO (Ligue pour la protection des oiseaux) et animées par des passionnés ? Avec un peu de chance et d’entraînement, on pourra ainsi distinguer le drôle de rire du pic-vert, le sifflement de la mésange bleue ou l’appel de la sittelle torchepot… Et prendre conscience que ces bois sont un précieux refuge. Consultez le programme sur le site de la LPO, de nombreuses destinations forestières y sont proposées, telles que les bois de Boulogne, Vincennes ou Maurepas, ou les forêts des Grands-Avaux ou de Saint-Germain-en-Laye… Pensez à vous munir de jumelles, de vêtements adaptés et, si possible, d’un guide et d’un carnet d’observation (cf. les recommandations sur le site). n O.C.
u Activités de la LPO-IDF. A partir de 8 ans. Gratuit. Dates et horaires variables. Toutes les infos sur lpo-idf.fr, rubrique « Programme d’activités ». Lpo-idf.fr.
> L’Agence des espaces verts propose des balades en forêt à la carte. Ci-dessous et ci-contre.
n L egr V S. © A E
Balade guidée / Toute l’année Cueillette sauvage
En sui ant les balades du Chemin de la nature, on redécou re le bonheur de glaner en orêt. Saviez-vous que les glands du chêne sont comestibles après quelques cuissons à l’eau? Qu’on peut aromatiser des glaces avec du lierre terrestre? Que les faînes, les fruits du hêtre, ont un goût de noisette? Tout cela, et bien plus encore, vous pourrez l’apprendre en suivant une des balades imaginées par Christophe de Hody dans le bois de Vincennes. Ce naturopathe de formation et cueilleur à ses (nombreuses) heures distille au fil de la promenade ses connaissances pointues sur les plantes sauvages, et donne même des idées de recettes. Le Chemin de la nature – le site Internet qu’il a créé – programme ainsi tout un agenda de formations et de sorties, ces dernières étant pour la plupart accessibles à tous, même aux enfants pas trop petits. De quoi changer complètement notre regard sur la forêt. Qui n’est pas seulement un terrain pour respirer, se défouler, se délasser…, c’est aussi un lieu généreux, où l’on peut se ressourcer, dans tous les sens du terme. n O.C.
u Sorties du Chemin de la nature. A partir de 11 ans. Jours, tarifs et horaires variables. Dans le bois de Vincennes, Boulogne et autres lieux. Lechemindelanature.com.
CinéKids
4 € tarif unique avec la carte Forum Liberté
Bêtes de fi lms
6 septembre 30 décembre 2020
fi lm, animation, goûter les mercredis et dimanches après-midi
forumdesimages.fr
LES REFRAINS DES GAMINS 2>18 OCT
DES CHEMINS ENCHANTEURS
DÈS 4 ANS
ALFORTVILLE EMMANUEL MAILLY & ELIE BLANCHARD
ARCUEIL NID DE COUCOU
CACHAN MERLOT
RUNGIS MARIANNE JAMES
CHAMPIGNY-SUR-MARNE PASCAL PARISOT
DÈS 5 ANS
SUCY-EN-BRIE VIRGINIE CAPIZZI
MAISONS-ALFORT SERENA FISSEAU & VINCENT PEIRANI
GENTILLY EDDY LA GOOYATSH
IVRY-SUR-SEINE SÖTA SÂLTA
VILLEJUIF THE AMAZING KEYSTONE BIG BAND
CINÉ-CONCERTS
DÈS 6 ANS
ABLON-SUR-SEINE FRANÇOIS HADJI-LAZARO & PIGALLE
ARCUEIL CORPS À SONS & BC
FONTENAY-SOUS-BOIS ANAK-ANAK
VINCENNES CYRIL MAGUY
VITRY-SUR-SEINE ALDEBERT
Festi — Val de Marne
CONTES MUSICAUX CHANSONS
SPECTACLES FAMILIAUX
6/1O€
BILLETTERIE : FESTIVALDEMARNE.ORG
SALLES PARTENAIRES / DIGITICK.COM / FNAC.COM HORS FRAIS DE LOCATIONS ÉVENTUELS
C ollomp © A rmelle
Interview
La nature ça fait grandir
Journaliste et auteure de L’Enfant dans la nature, Moïna Fauchier Delavigne plaide pour un enseignem ent dans la nature. Aujourd’hui elle publie Emm enez les enfants dehors, un plaidoyer pour rem ettre la nature au coeur de l’éducation des enfants.
EMMENEZ LES ENFANTS DEHORS !, C’EST LE TITRE DE VOTRE DERNIER OUVRAGE. EST-CE QU’IL Y A URGENCE ?
Moïna Fauchier Delavigne : Il y a urgence à se rendre compte que les enfants ont vraiment besoin de nature pour grandir, c’est essentiel. Un enfant qui ne touche pas la terre ne va pas développer ses cinq sens. Aujourd’hui, ils sont beaucoup trop à l’intérieur et le confinement n’a pas arrangé les choses.
QUE TROUVE-T-ON DANS LA NATURE QUI N’EST PAS TRANSMIS À L’ÉCOLE ?
M. F. D. : C’est le contact avec le vivant. Dans une salle de classe, on aura des phasmes et quelques plantes vertes, mais on est coupé du vivant. Il ne suffit pas d’être en contact avec la nature, on en fait partie. Nous sommes, nous aussi, de la nature. Il faut se demander – pour les enfants comme pour les adultes – si cela nous fait du bien d’être tout le temps à l’intérieur, assis, statiques ? On sent bien, quand on est dehors, que cela nous apaise. Ce contact comporte de multiples bénéfices quant à la santé, aux compétences cognitives, sur le plan psychique, sur la réussite scolaire, contre le stress... Cela a été largement prouvé depuis des décennies. Plusieurs pays prennent désormais en compte ce besoin de nature dans le développement de l’enfant au niveau des politiques publiques, de l’éducation, mais aussi en termes de santé publique.
QU’EN EST-IL EN FRANCE ?
M. F. D. : Pour l’instant, le besoin de nature n’est pas encore vraiment reconnu au niveau de l’Etat, mais, avec la situation sanitaire actuelle, l’organisation de classe en plein air est encouragée. C’est la première fois qu’une telle possibilité est reconnue, c’est un premier pas important qui va permettre aux enseignants de se lancer. Chez certains, dès lors que cela a été autorisé, il y a vraiment eu un déclic. D’ailleurs, tout le monde en ressent le besoin. On a bien vu la différence de vécu entre les personnes qui ont eu accès à un espace vert pendant le confinement et celles qui ont été enfermées dans un appartement. Avant, on ne se rendait pas compte à quel point les enfants étaient tenus à l’intérieur, là, on en a clairement vu les effets.
DU CÔTÉ DES PARENTS, COMMENT CELA SE PASSE-T-IL ? M. F. D. : En général, les enseignants craignent une réaction a priori des parents et pensent que ceux-ci vont avoir peur que leurs enfants se salissent ou se blessent. Or, souvent, dès que les enseignants expliquent la démarche, les parents sont très partants… C’est une prise de conscience générale qui fait son chemin. Mais les parents ne peuvent pas forcer l’enseignant à changer sa façon de faire classe. Ils peuvent, s’ils sont délégués, organiser des débats, des projections sur le sujet, inciter. Beaucoup de parents euxmêmes sont coupés de la nature et ne se rendent pas compte de ce dont
on prive les enfants. Ils voient l’extérieur comme un monde imprévisible, où il peut pleuvoir, il peut y avoir des guêpes, des moucherons, alors que dans un endroit fermé on contrôle, c’est rassurant. Dehors, ce qui est dangereux, ce sont les voitures, pas la forêt. Les enfants qui passent des heures sur les écrans depuis leur plus jeune âge, toujours assis et qui ne sont pas en lien avec le monde et les autres, là, vraiment, il y a danger.
Y A-T-IL UNE CORRÉLATION ENTRE L’USAGE DES ÉCRANS ET LE FAIT D’ÊTRE COUPÉ DE LA NATURE ?
M. F. D. : C’est une des causes, mais ce n’est pas la première. Cela fait des décennies que cette coupure est à l’œuvre. Une des grandes raisons, c’est la peur. La peur de l’inconnu. C’est culturel. Cette peur ne vient pas seulement des parents, elle vient aussi de la société qui impose des interdits, des normes. Les enseignants ont peur par rapport à leur responsabilité pénale, ils peuvent être attaqués en justice. A Berlin, la loi sur les cours de récréation a été changée: les enseignants avaient l’obligation de surveiller non-stop, à chaque instant, comme en France. Aujourd’hui, ils doivent être présents et disponibles, mais l’enfant est aussi responsable de luimême. En abaissant le niveau de stress de l’enseignant, ce dernier peut permettre davantage de choses à l’élève. La cour de récréation devient plus intéressante, plus complexe aussi, il peut y avoir des endroits cachés, des possibilités d’aventures. A force de tendre vers le risque zéro, on prive les enfants de nombreux apprentissages, la gestion du risque en particulier.
LA COUR DE RÉCRÉATION C’EST IMPORTANT CAR C’EST LE PREMIER EXTÉRIEUR POSSIBLE POUR TOUS LES ENFANTS. OR EN FRANCE, POUR L’INSTANT, LES EXPÉRIENCES ALTERNATIVES D’ÉCOLE EN FORÊT SE DÉROULENT SURTOUT DANS DES ÉCOLES PRIVÉES ET PEU DANS LE PUBLIC.
M. F. D. : C’est aussi pour cela que j’ai écrit mon livre avec Crystèle Ferjou, qui enseigne dans le public; il est important de montrer que cela est possible partout. Les enfants qui en ont le plus besoin, ce sont ceux qui vivent en ville, qui ne partent pas en vacances, d’autant qu’il y a moins de colonies, moins de classes vertes; la seule nature qui leur soit accessible, c’est la nature de proximité – on ne parle même pas de parc naturel ni de forêt magnifique! Et si les cours de récréation étaient plus naturelles, on aurait un accès quotidien à la nature pour tous, à la campagne comme en ville. Faire classe dehors peut aider chaque enfant à trouver sa place à l’école. En se libérant des contraintes liées à l’intérieur, même un élève vu comme perturbateur pourra être reconnu pour ses capacités d’imagination. D’ailleurs, une étude britannique a montré que, si tous les élèves profitent des apprentissages dehors, ceux qui sont le plus en difficulté en profitent encore plus. Faire classe dehors est une démarche plus inclusive. Une école où chacun peut avoir sa place, c’est essentiel ! n Pr s re ueillis ar Maïa B uteillet
u Dernier ouvrage paru : Emmenez les enfants dehors ! avec Crystèle Ferjou. Robert Laffont. 18€.
Des petites filles et des grands rêves
AVANT-PREMIÈRES DANS LE CADRE DE MON PREMIER FESTIVAL • Le 24 OCTOBRE à 16H15 au Luminor en présence de la réalisatrice • Le 22 OCTOBRE à 10H15 au Louxor
> Les nids et cabanes de l’artiste Tadashi Kawamata dans la forêt de Tremblay.
Balade / 24 octobre et 7 novembre Reconnaître les champignons
Une journée our a rendre à reconnaître les bons et les mau et com rendre leurs relations aux arbres. ais,
L’enseigne Nature & Découvertes propose cet automne plusieurs balades dans les forêts d’Ile-de-France en quête de champignons. Ce prétexte gourmand est surtout l’occasion d’apprendre à reconnaître les différentes sortes de champignons, et notamment à différencier les délicieux des dangereux. Ces sorties offrent aussi, durant toute une journée, l’occasion d’une plongée dans cet écosystème particulier qu’est la forêt, avec sa biodiversité riche, ses relations des arbres entre eux et des champignons aux arbres – illustration parfaite de la notion de symbiose. Elles s’adressent à (presque) tous les publics, à condition de prévoir de bonnes chaussures de marche, des vêtements imperméables… et un panier ! n O.C.
u Balades en quête de champignons. A partir de 8 ans. Les 24 octobre et 7 novembre à partir de 10h30. Tarif : 18€, sur inscription. Natureetdecouvertes.com, rubrique « Ateliers et activités ».
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ET AUSSI
èLes cabanes de Kawamata. Au cœur du Parc urbain de la ville de Tremblay (constitué d’un bout de forêt préservé depuis des décennies), l’artiste Tadashi Kawamata a conçu ses «nids et cabanes», des sortes de huttes en bois blond perchées dans les arbres, qui invitent les promeneurs à la contemplation. L’artiste a aussi voulu faire de ce parc un refuge pour les oiseaux, en faisant fabriquer aux enfants des nichoirs pour eux, répartis ça et là. Bref, un bel endroit pour un «bain de forêt» même en ville. Tout public. Toute l’année.
è Dans la mémoire du monde. Cette installation visuelle et sonore de l’artiste Philippe Echaroux rend hommage au peuple Paiter-Surui, qui lutte contre la destruction de son habitat, la si précieuse et menacée forêt amazonienne. Dans le beau jardin du musée du quai Branly, à la nuit tombée, des portraits immenses sont projetés sur les feuillages des arbres, avec des sons de jaguars, d’oiseaux, de singes. Les jeudis soir, en écho, on pourra aussi écouter la création sonore Amazon Days, Amazon Nights, de Bernie Krause (dont on avait pu entendre le fabuleux Grand Orchestre des animaux à la Fondation Cartier). Tout pu
blic. Du 1 er au 31 octobre. Gratuit. M° Alma-Marceau. Quaibranly.fr.
è Sounds of the Forest. Cette carte permet d’écouter les sons des forêts du monde entier : Norvège, Honduras, Indonésie… et plein d’autres! Autant de petits enregistrements initialement mis à disposition d’artistes pour qu’ils créent des œuvres musicales à partir des sons, mais que l’on peut consulter de chez soi, pour s’évader dans son fauteuil. On y entend des chants d’oiseaux, le souffle du vent dans les branches, le grondement des rivières… Timberfestival.org.uk/soundsoftheforest-soundmap.
À LA TÉLÉ…
Mush-Mush et les Champotes, la vraie vie de la forêt !
PUBLI-RÉDACTIONNEL
Savez-vous ce qui se passe dans le monde foisonnant et mystérieux des bois ?
Au beau milieu d’une nature tranquille, une communauté grouille d’activités… ce sont les Champotes! Les Champotes sont les Gardiens de la Forêt, et chacun d’entre eux a un talent particulier et une seule mission à accomplir: sauver leurs congénères de toutes sortes d’aventures aussi farfelues qu’amusantes. Une mission qu’ils prennent très au sérieux. Tenez-vous prêts à survoler la canopée en libellule, dresser des troupeaux de scarabées ou encore goûter de délicieux beignets… de compost! Le propos universel de l’histoire, basé sur l’aventure et l’amitié, devrait ravir les plus petits comme les grands. u Mush-Mush et les
Champotes. Dessin animé. 1 ère diffusion samedi 17 octobre. Tous les jours à 8h, 13h et 17h30. Et en intégralité sur myCanal.
Une fête pour petits et grands ! Émerveillement, jeux et rires seront au rendez-vous d’un programme coloré où l’humour rivalise de poésie.
i.glu Collectif a.a.o danse / arts-visuels mercredi 2 décembre — dès 2 ans
Mon œil, Regards sur le point de vue en p artenariat avec le Centre Georges Pompidou exposition — entrée libre du samedi 5 décembre au samedi 23 janvier
F ables à la fontaine Lia Rodrigues, Béatrice Massin, Dominique Hervieu dimanche 6 décembre danse — dès 6 ans Radio Minus Sound System Radio Min us dimanche 6 décembre danse / boum — dès 4 ans
MARS–203 7, comédie musicale spatiale Pierre Guillois v endredi 11 décembre comédie musicale — dès 6 ans
La Ch ute des anges Raphaëlle Boitel vendredi 18 décembre cirque / danse / théâ tre
Tarif famille 10€ (valable pour tout adulte accompagné d’un enfant de -16 ans)
L’Onde Théâtre Centre d’Art
Scène Conventionnée d’Intérêt National – Art et Création pour la Danse 8 bis avenue Louis Breguet 78140 Vélizy-Villacoublay