RDP SEPTEMBRE 2024

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SEPTEMBRE2024

Sommaire

C’est la fin des vendanges aux celliers du Nouveau monde

L'Indépendant Catalan - Narbonne-Lézignan-Port La Nelle - Narbonne-Lézignan-Port La Nelle - 28/09/2024

Une formation pour apprendre le métier de tractoriste à Bar-sur-Seine liberation-champagne.fr - 26/09/2024

Pourquoi pas devenir tractoriste ?

L'Est Eclair - 27/09/2024

Pour travailler entre et sous le rang

Paysan du Midi - 27/09/2024

La Sostenibilita Dei Prodotti Pellenc E Stata Nuovamente Riconosciuta Con Il Marchio Longtime gardenegrill.it - 26/09/2024

Le robot RX 20 de Pellenc fait ses premiers pas dans les vignes reussir.fr - 25/09/2024

Pellenc Power 48: agevolatore per la raccolta delle olive, leggero e redditizio olivoeolio.edagricole.it - 24/09/2024

DES DÉFINITIONS À BIEN IDENTIFIER

Entraid' - Hors-Série - Hors-Série - 01/09/2024

RX-20, QUE LA FORCE SOIT AVEC TOI

Entraid' - 01/09/2024

2 vins AOC testent la désalcoolisation par flash-détente Vitisphere.com - 19/09/2024

[Communiqué] Vaucluse : le groupe Pellenc au Salonvert 2024 UsineNouvelle.com - 13/09/2024

VALORE C3X PELLENC N O N S I FERMA PIÙ

MG - Marketing Giardinaggio - 01/09/2024

Pellenc C3X, nuova forbice con batteria on-board meccagri.it - 11/09/2024

Avec une machine à vendanger tractée, l'investissement réduit de moitié reussir.fr - 11/09/2024

Vendanges mécaniques: quand la prestation devient rentable reussir.fr - 11/09/2024

PELLENC : De nouveaux outils (Gamme E et sécateurs) avec batteries rechargeables pour les professionnels des espaces verts et du paysage seront présentés à Salonvert 2024 secteurvert.com - 10/09/2024

PELLENC: Profigeräte mit 44-V-Einsteckaku dega-galabau.de - 11/09/2024

Une machine à vendanger bien préparée pour une récolte sereine Horizons Centre Ile-de-France - Eure-et-Loir - Eure-et-Loir - 06/09/2024

Innovation and sustainability the focus of Wine Eng 2024

Australian & NZ Grapegrower & Winemaker - 01/09/2024

Isoler pour mieux vinifier

Un sécateur complet et responsable

- 01/09/2024

COUNTRY:France

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FREQUENCY :Daily

SECTION :Locale

CIRCULATION :51014

AVE :0,31 K€

28 September 2024 - Edition Narbonne-Lézignan-Port La Nelle

PUICHÉRIC

C’est la fin des vendanges aux celliers du Nouveau monde

Puichéric

L’attraction de cette récolte spéciale a été la machine à vendanger avec le trieur embarqué.

Puichéric

Les vendanges n’auront duré que quatre petites semaines. La dernière récolte s’est effectuée mardi, celle

qui reste est unique car c’est celle qui rentre dans la composition de la cuvée prestige « Le Lien ». Deux parcelles de vignes qui appartiennent à Pascal Bergé et Romain Torrecilla. Une attention particulière est portée au vignoble tout au long de l’année avec un procédé particulier pour la rentrée des raisins. « Il a fallu louer une machine à vendanger spéciale avec trieur embarqué de marque Pellenc », précise Romain Torrecilla. La cueillette s’est déroulée de 5 à 13heures, les viticulteurs sont venus voir la démonstration de cette machine unique avec les explications du

commercial. La récolte a été amenée à l’atelier prestige de la cave, avec un quai réservé exclusivement à l’apport des raisins triés à la main sur une table vibrante. Cette cuvée réservée « Parkerisée » est la vitrine du haut de gamme de Foncalieu avec encore cette année une montée en quintessence. Cette matinée vécue comme un événement s’est terminée dans une ambiance conviviale appréciée par les viticulteurs présents. ■

>26septembre2024à0:00

PAYS: FRA

TYPE: web

EAE: €8.30

CONTACTS: 636

VISITESMENSUELLES: 19349.15

JOURNALISTE: SylvieVirey

URL: www.liberation-champagne.fr

>Versionenligne

Une formation pour apprendre le métier de tractoriste à Barsur-Seine

Des stagiaires et formateurs enchantés ici aux côtés des représentants de la société Pellenc et d’Émilie Urbès la directrice du centre de formation.

Savoir conduire un enjambeur est un plus pour se faire embaucher en viticulture. Les viticulteurs champenois et de la Côte des Bar en cherchent souvent. Avec plus de candidats, de nouvelles formations pourraient voir le jour.

Au centre de formation viticole de Bar-sur-Seine, une formation tractoriste commence tout juste pour des demandeurs d’emploi par le biais du centre de formation professionnelle et de promotion agricole pour adultes (CFPPA). Elle est financée par France Travail. Huit personnes dont deux femmes la suivent. « C’est un très bon groupe, très homogène. Tout démarre bien. C’est chouette. Il y a plus d’appréhension que de difficultés », souligne Julian Bouvret, le formateur

Une formation assez complète

Conduire un enjambeur n’est pas évident. Les coteaux sont parfois délicats à négocier et puis il y a les rayons et les plants de vigne à respecter ! Au cours de cette formation, les stagiaires ne voient pas que la conduite. Ils étudient le fonctionnement des outils, leur montage et démontage, le réglage et l’entretien. Ils font un peu de mécanique et de la soudure. « C’est accessible à tout le monde. On apprend à être en sécurité. On démarre sur une jachère puis on va dans une vigne », souligne Cyril Masson, le responsable. La formation se fait en alternance avec des périodes chez un maître d’apprentissage.

« Je suis venu pour enrichir mes connaissances et avoir une qualification », confie Amaury. C’est bien entendu la raison première. Après 30 ans passés en cuisine, Dominique de Courteron opère une reconversion professionnelle : « Je voulais apprendre en toute sécurité et voir la partie technique. » Romanello est ouvrier viticole depuis 15 ans. Son patron à la retraite, il est actuellement saisonnier et veut évoluer : « Le travail sera également plus varié. Au fur et à mesure, on prend confiance. On a de la chance d’avoir des outils aussi modernes pour apprendre. » Le matériel et l’enjambeur sont prêtés par la société Pellenc à Bar-sur-Seine. Céline est contente aussi d’apprendre sur cet engin « au top ». Elle complète : « Quand on arrivera dans une exploitation, on saura tout faire grâce à cette formation qui complète celle que j’ai déjà faite en 2017. Je pourrais ainsi être autonome dans ce milieu plutôt masculin. »

Encore de la place

« Je sais que les viticulteurs de la Côte des Bar cherchent du personnel formé. Je verrais bien une formation se mettre en place pour leurs salariés ou pour eux-mêmes aussi. On pourrait la faire entre le taillage et le palissage par exemple. Je pense que ça répondrait à un besoin local », avance Émilie Urbes, la directrice du centre de formation viticole de Bar-sur-Seine. Un centre de formation viticole qui fait sa rentrée actuellement après une période de vendange pour les apprentis. « Nous avons encore de la place dans toutes les formations et l’on peut s’inscrire jusqu’en début décembre. »

Le centre de formation viticole Campus Terres de l’Aube, prépare, les jeunes de 16 ans à 30 ans, au CAPA des métiers de l’agriculture-viticulture travaux de cave ; au bac pro, conduite et gestion de

TYPOLOGIEDUSITEWEB: NewsandMedia

PAYS: FRA

TYPE: web

EAE: €8.30

CONTACTS: 636

JOURNALISTE: SylvieVirey

URL: www.liberation-champagne.fr

>26septembre2024à0:00 >Versionenligne

VISITESMENSUELLES: 19349.15

l’entreprise vitivinicole ou encore au BTS viticulture-œnologie notamment. L’enseignement y est presque particulier et la structure à caractère plutôt familial.

27 September 2024

VITICULTURE

COUNTRY:France

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FREQUENCY :Daily

CIRCULATION :24836

AVE :8,03 K€

AUTHOR :Sylvie Virey

Pourquoi pas devenir tractoriste ?

Bar-sur-Seine. Une formation se déroule actuellement pour des demandeurs d’emploi sous couvert du Centre de formation professionnelle et de promotion agricole.

Savoir conduire un enjambeur est un plus pour se faire embaucher en viticulture. Les viticulteurs champenois et de la Côte des Bar en cherchent souvent. Avec plus de candidats, de nouvelles formations pourraient voir le jour. Au centre de formation viticole de Bar-sur-Seine, une formation tractoriste commence tout juste pour des demandeurs d’emploi par le biais du centre de formation professionnelle et de promotion agricole pour adultes (CFPPA). Elle est financée par France Travail. Huit personnes dont deux femmes la suivent. « C’est un très bon groupe, très homogène. Tout démarre bien. C’est chouette. Il y a plus d’appréhension que de difficultés », souligne Julian Bouvret, le formateur.

Une formation assez complète Conduire un enjambeur n’est pas évident. Les coteaux sont parfois délicats à négocier et puis il y a les rayons et les plants de vigne à respecter ! Au cours de cette formation, les stagiaires ne voient pas que la conduite. Ils étudient le fonctionnement des outils, leur montage et démontage, le réglage et l’entretien. Ils font un peu de mécanique et de la soudure. « C’est accessible à tout le monde. On apprend à être en sécurité. On

démarre sur une jachère puis on va dans une vigne », souligne Cyril Masson, le responsable. La formation se fait en alternance avec des périodes chez un maître d’apprentissage.

« Je suis venu pour enrichir mes connaissances et avoir une qualification », confie Amaury. C’est bien entendu la raison première. Après 30 ans passés en cuisine, Dominique de Courteron opère une reconversion professionnelle : « Je voulais apprendre en toute sécurité et voir la partie technique. » Romanello est ouvrier viticole depuis 15 ans. Son patron à la retraite, il est actuellement saisonnier et veut évoluer : « Le travail sera également plus varié. Au fur et à mesure, on prend confiance. On a de la chance d’avoir des outils aussi modernes pour apprendre . » Le matériel et l’enjambeur sont prêtés par la société Pellenc à Bar-sur-Seine. Céline est contente aussi d’apprendre sur cet engin « au top ». Elle complète : « Quand on arrivera dans une exploitation, on saura tout faire grâce à cette formation qui complète celle que j’ai déjà faite en 2017. Je pourrais ainsi être autonome dans ce milieu plutôt masculin . »

Encore de la place

« Je sais que les viticulteurs de la Côte des Bar cherchent du

personnel formé. Je verrais bien une formation se mettre en place pour leurs salariés ou pour eux-mêmes aussi. On pourrait la faire entre le taillage et le palissage par exemple. Je pense que ça répondrait à un besoin local », avance Émilie Urbes, la directrice du centre de formation viticole de Bar-sur-Seine. Un centre de formation viticole qui fait sa rentrée actuellement après une période de vendange pour les apprentis. « Nous avons encore de la place dans toutes les formations et l’on peut s’inscrire jusqu’en début décembre. »

Le centre de formation viticole Campus Terres de l’Aube, prépare, les jeunes de 16 ans à 30 ans, au CAPA des métiers de l’agriculture-viticulture travaux de cave ; au bac pro, conduite et gestion de l’entreprise vitivinicole ou encore au BTS viticulture-œnologie notamment. L’enseignement y est presque particulier et la structure à caractère plutôt familial.

Centre de formation viticole de la Côte des Bar, impasse de la vigne à Bar-sur-Seine. Tél. 03 25 29 85 50 ; cfacfppa. cote-des-bar@ educagri. fr

27 September 2024

COUNTRY:France

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SURFACE :31 %

FREQUENCY :Daily

CIRCULATION :24836

AVE :8,03 K€

AUTHOR :Sylvie Virey

Des stagiaires et formateurs enchantés ici aux côtés des représentants de la société Pellenc

27 September 2024

COUNTRY:France

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SURFACE :52 %

FREQUENCY :Weekly

SECTION :Roductions

CIRCULATION :(5280)

AVE :3,24 K€

AUTHOR :Emmanuel Delarue

LES SOLUTIONS QUI VIENNENT RÉDUIRE LES INTERVENTIONS HUMAINES

DANS LES VIGNES CONTINUENT DE SE DÉVELOPPER, TANDIS QUE LES CONCEPTS

QUI ONT FAIT LEURS PREUVES ÉVOLUENT AUSSI.

Pour travailler entre et sous le rang

Emmanuel Delarue

A vec le manque de main-d'œuvre et l'évolution des usages phytosanitaires, le robot s'impose dans le paysage viticole. La technicité des matériels évolue, pour permettre aux professionnels de s'appuyer sur des solutions performantes. Sur le terrain, les démonstrations s'égrènent pour diffuser le plus largement possible les dernières innovations. Tel était le cas au Château de la Galinière à Châteauneuf-le-Rouge, dans les Bouches-du-Rhône. Thématique du jour : le travail dans la vigne et la gestion du sol.

Un robot hybride Pour l'entretien des sols en toute autonomie, Pellenc proposait son nouveau robot RX 20 qui a la particularité d'être 100 % autonome. Il existe en trois versions de largeur : 70, 90 et une version 130 centimètres pour les vignes larges. C'est un robot essentiellement prévu pour l'entretien du sol et non pour le travail profond comme du labour. Tonte, broyage d'herbes, travail sur le rang avec binage, intercep… toutes ces interventions sont possibles. Les parties les plus simples à travailler du vignoble pourront, par exemple, lui être réservées. Pour la démonstration, il était équipé d'un broyeur arrière électrifié et sécurisé. Pour géolocaliser les rangs, il faudra d'abord arpenter la parcelle de vignes avec une perche de géomètre et cartographier une zone de

sécurité, en dehors de laquelle le robot ne doit pas sortir, avant de lui générer une mission. Il pourra s'agir, par exemple, de broyer un rang sur deux.

Pour la sécurité, ce robot est équipé d'un bumper à l'avant et de lidars 1 qui vont capter tout mouvement dans son environnement, afin de le pousser à ralentir ou à s'arrêter net, en fonction des obstacles identifiés. Équipé de caméras à 360 degrés et d'un système d'éclairage optimal pour travailler la nuit, le robot ne peut cependant pas se réarmer sans la présence d'un opérateur sur place. Point d'importance : il s'agit d'un robot hybride avec une batterie tampon. Pas besoin de le brancher pour le recharger, puisqu'il est équipé d'un moteur thermique de 25 CV faisant tourner une génératrice et une centrale hydraulique. Tout dépend des travaux qui lui sont confiés, mais le RX 20 a la capacité de travailler en autonomie plus de 24 heures, avec un plein de son réservoir de 43 litres. Son prix démarre à 150 000 euros, et Pellenc a développé en pré-séries une dizaine d'outils pour différentes tâches. 100 % électrique, avec ou sans conducteur Autre solution proposée aux viticulteurs, celle de la jeune firme californienne Monarch Tractor, qui présentait son tracteur MK-V 100 % électrique. “C'est un produit efficace destiné à réduire les coûts des viticulteurs, tout en essayant de réduire les émissions de

CO 2. C'est un tracteur électrique, et c'est d'ailleurs la batte-rie de 75 kilos que la firme a conçue en premier”, indique le responsable de la marque en Europe, Jean-Philippe Féjoz. Ce tracteur d'une largeur de 1, 23 mètre dispose d'un moteur de 40 CV et d'une autonomie annoncée comprise entre 8 et 14 heures, en fonction de l'intensité des chantiers. Cerise sur le gâteau, ce tracteur électrique peut fonctionner sans chauffeur, et a été testé pour l'instant aux États-Unis seulement. Il est équipé de six ordinateurs lui permettant d'apprendre, par l'intermédiaire des caméras, ce qu'il se passe sur le terrain.

Le MK-V fonctionne avec une application web et mobile, qui intègre sur une seule plateforme un système de gestion d'exploitation, le suivi de la position du véhicule, la collecte d'images des cultures et la planification automatisée des opé-rations. Parmi ses performances, citons celles de lever 1, 15 tonne et de tirer plus de 2, 5 t. Le prix de vente du tracteur Monarch est de 114 000 € avec 8 ans de garantie. Mais pas besoin d'acheter de nouveaux outils de travail avec le MK-V, puisqu'il est compatible avec ceux du marché. Aux États-Unis, les livraisons ont débuté avec 450 tracteurs qui tournent déjà et plus de 1 000 commandes encore à livrer. “Ce tracteur autonome vise le marché européen, important pour nous, mais nous en avons déjà livré 230 en Europe et un peu moins de

27 September 2024

COUNTRY:France

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FREQUENCY :Weekly

140 en France”, pré-cise le représentant européen de la marque. Monarch Tractor – qui fonctionne sous forme de réservation – propose de débourser 500 dollars remboursables pour réserver son tracteur sur son site. Solutions simples et mécaniques

Pour gérer l'enherbement sur le rang, il y a aussi des nouveautés avec les technologies plus traditionnelles et mécaniques, mais toujours très fiables. Hervé & Mauricio présentait son kit 'Vertipampre', un outil pour épamprer et travailler les vignes enherbées et équipées de goutte-à-goutte en un seul passage. Chez l'équipementier régional, le châssis ne change pas, les possibilités de travail sont de 2 à 2, 60 m, mais les options et les adaptations sont à la carte. Le kit 'Vertipampre' est adaptable sur cultisol ou châssis porte-outils, avec un montage possible en frontal ou en montage arrière. En fonction de la hauteur du goutte-à-goutte, le nombre de brins sur l'axe vertical de l'outil est aussi modulable. Il s'agit de ne pas blesser les pieds de vigne, mais de pouvoir éliminer des rameaux et de limiter l'encombrement des souches. De nouveaux brins pour l'herbe sont aussi à l'étude. Le dispositif est commercialisé aux environs de 6 000 € HT le kit complet droite et gauche.

SECTION :Roductions

CIRCULATION :(5280)

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AUTHOR :Emmanuel Delarue

La maison Magnetto présentait, quant à elle, sa tondeuse inter-cep en montage frontal, pour une meilleure gestion du travail. L'équi-pement est monté sur un bras très réactif. La machine suit le sol et son inclinaison et pour compenser le dévers, les têtes sont montées en parallélogramme. L'écartement droite-gauche se fait avec un vérin (de 1, 9 à 3 m). Sous les disques d'appui– qui disposent d'un système d'effacement mécanique par contact– se positionnent deux lanières en caoutchouc de chaque côté pour faire le travail de tonte. L'équipement complet est proposé à 11 045 € HT. W

(1) Lidar : technique de mesure de distance (télémétrie) qui exploite les propriétés de la lumière ■

Le kit 'Vertipampre' de la maison Hervé & Mauricio.
La tondeuse intercep à lanières de chez Magnetto.
Le robot hybride RX20 de chez Pellenc.
Le tracteur Monarch MK-V 100 % électrique.

PAYS: ITA

TYPE: web

EAE: €1.01

CONTACTS: 114

JOURNALISTE: URL: www.gardenegrill.it

>26septembre2024à8:57 >Versionenligne

VISITESMENSUELLES: 3472.78

La Sostenibilita Dei Prodotti Pellenc E Stata Nuovamente Riconosciuta Con Il Marchio Longtime

PELLENC ha ricevuto il marchio LONGTIME per altri 3 dei suoi attrezzi: le forbici da potatura C35 e C45 e la nuova forbice professionale con batteria on-board C3X. Questo ulteriore riconoscimento conferma la strategia adottata da molti anni da PELLENC al fine di ridurre l'impatto ambientale dei suoi prodotti, prolungandone la durata di vita.

Il marchio è stato assegnato dopo un'ispezione rigorosa da parte di APAVE Certification, che ha particolarmente apprezzato il criterio del Made in France.

Il design e i materiali utilizzati in questi tre modelli di forbici per potatura sono stati progettati e scelti con lo scopo di offrire una durata ottimale e una grande facilità di riparazione in condizioni di utilizzo professionale.

Il periodo di garanzia di questi prodotti è esteso a cinque anni (previa regolare manutenzione prevista).

Questi tre attrezzi si aggiungono all'elenco di 4 prodotti PELLENC che già vantano il marchio LONGTIME® dal 2023: il tagliasiepi Helion 3, il soffiatore Airion 3 e le batterie ULIB 1200 e 1500.

LONGTIME®; VERSO UN CONSUMO MIGLIORE E PIÙ SOSTENIBILE!

L'obiettivo di questo approccio è incoraggiare un tipo di consumo diverso, volto a produrre in modo diverso. L'acquisto di un prodotto con una durata di vita prolungata incoraggia un uso sensato delle risorse del nostro pianeta, riduce il consumo eccessivo, ci aiuta ad abbandonare i prodotti usa e getta e porta ad una minore produzione di rifiuti.

Non si tratta di cercare prodotti “immortali”, ma di lottare contro l'obsolescenza programmata.

L'estensione della durata di vita delle forbici elettriche può contribuire a ridurre l'impatto ambientale legato principalmente alla loro produzione e alla fine del ciclo di vita della batteria.

UNA POLITICAAMBIENTALE ESIGENTE E A LUNGO TERMINE

In PELLENC, i ricambi per gli utensili a batteria sono disponibili per 10 anni, e fino a 25 anni per le grandi macchine, dalla data di immissione sul mercato.

Impegnandosi volontariamente in questo approccio sostenibile, PELLENC va oltre le normative sull'indice di riparabilità e si impegna a fondo nella lotta all'obsolescenza programmata e nel rispetto dell'ambiente.

Informazioni su LONGTIME

Creato da Ethikis con il supporto di ADEME (Agence de la Transition Écologique), LONGTIME® è il primo marchio europeo indipendente che identifica e promuove prodotti destinati a durare nel tempo. È sostenuto dalla Commissione europea, dalla Regione Occitania e dall'Area Metropolitana di Tolosa. www.longtimelabel.com

>25septembre2024à8:02

TYPOLOGIEDUSITEWEB: HeavyIndustryandEngineering/Agriculture

PAYS: FRA

TYPE: web

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CONTACTS: 11389

VISITESMENSUELLES: 346255.97

JOURNALISTE:

URL: www.reussir.fr

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Le robot RX 20 de Pellenc fait ses premiers pas dans les vignes

Le robot viticole RX 20 de Pellenc enchaîne actuellement les démonstrations, notamment équipé d’un broyeur. Voici ce que nous en avons pensé. ...

Le robot viticole RX 20 de Pellenc enchaîne actuellement les démonstrations, notamment équipé d'un broyeur. Voici ce que nous en avons pensé. Dévoilé au Sitevi dernier, le robot RX 20 de Pellenc fait ses armes dans les vignes au travers de plusieurs démonstrations . D'un poids de 1,3 tonne, le RX 20 est équipé d'un moteur Perkins de 25 chevaux , qui anime une génératrice et une centrale hydraulique. D'une capacité limitée de 400 kg, le relevage est électrique. Les 43 litres de réservoir procurent une autonomie d'une bonne journée de travail à ce robot, dont la consommation est annoncée à moins de 4 l/h. Pellenc affirme une autonomie entre 13 et 24 heures, suivant les tâches. Présenté au dernier Sitevi, le robot RX 20 de Pellenc se met à l'épreuve du terrain au cours de cette campagne 2024. © L. Vimond

Côté sécurité, le robot évolue dans des parcelles qui ont été arpentées en amont (détourage + périmètre de sécurité). Doté d'une antenne GPS RTK , il bénéficie d'un positionnement par satellites certifié, qui lui évite de sortir d'un périmètre défini et dispense ainsi de la présence d'un opérateur à proximité . Il reçoit également un bumper (pare-chocs qui arrête l'engin quand on exerce une pression sur lui) et des capteurs lidar à l'avant, ainsi que des caméras (complétées de phares à LED pour travailler de nuit) sur son canopy.

Pellenc a développé sur la base d'un appareil Nobili un broyeur animé électriquement. Il est doté de nombreux équipements de sécurité additionnels comme ces bumpers à l'avant de chaque côté. © L. Vimond

Lorsque le lidar détecte un obstacle, le robot commence par ralentir à 2,5 km/h et signale sa présence par un signal sonore, pour pouvoir stopper rapidement si nécessaire. Puis, suivant la situation, l'engin repart à sa vitesse de croisière (maximum 6 km/h), par exemple lorsque l'obstacle

TYPOLOGIE

PAYS: FRA

TYPE: web

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JOURNALISTE:

URL: www.reussir.fr

>25septembre2024à8:02 >Versionenligne

VISITESMENSUELLES: 346255.97

détecté est un sarment dans l'interrang trop petit pour actionner le bumper, ou s'arrête : dans ce dernier cas de figure, le robot doit être réactivé manuellement à l'aide d'un bouton-poussoir à l'arrière de l'appareil. « Sur les premiers modèles qui tournent chez des viticulteurs, ces derniers privilégient l'utilisation du robot dans les vignes les mieux formées, planes, avec des tournières assez grandes, où le robot aura moins de risques de s'arrêter, et vont quant à eux s'occuper des parcellaires les plus délicats » , explique-t-on chez Pellenc.

Des broyeurs électriques pour optimiser le robot

Décliné en trois largeurs de 72, 90 et 130 cm, le robot a été produit à une dizaine d'unités, afin de valider son opérabilité pour l'instant sur trois principales tâches : désherbage mécanique interrang, travail du sol intercep et tonte de l'interrang . Pour cette dernière opération, Pellenc a développé, sur la base d'appareils Nobili, une gamme de broyeurs à entraînement électrique proposée en quatre largeurs : 90, 120, 150 et 180 cm. Sur ces tondeuses, le boîtier à renvoi d'angle et l'arbre de transmission ont été remplacés par un moteur électrique.

Pour déplacer le robot d'une parcelle à une autre, l'opérateur s'aide d'une radiocommande. © L. Vimond

À l'avant, sur les parties dépassant du broyeur, des bumpers ont été rajoutés , arrêtant le robot en cas de déclenchement, ainsi que des palpeurs qui pilotent la position verticale de l'outil. Ajoutons des capteurs mesurant les vibrations , à même de détecter le moindre couteau cassé et d'en informer le chef de culture, d'autres capables de repérer si la courroie sort de sa gorge, ainsi que des capteurs mesurant l'effort demandé au moteur électrique. Ces derniers permettent de diagnostiquer des bourrages, mais aussi d'optimiser la vitesse d'avancement du robot, ainsi que sa consommation. Lors de la démonstration, on perçoit à l'oreille des ajustements dans le régime moteur et la vitesse d'avancement, en fonction du volume d'herbe (peu développé dans la parcelle) à broyer, de façon à rester autant que possible à un régime moteur bas, donc sobre en carburant.

De catégorie 1N, le relevage électrique du RX 20 affiche une capacité limitée à 400 kg. © L. Vimond

Lorsque les travaux d'une parcelle sont terminés, le robot ne peut changer de parcelle que piloté par un opérateur via une télécommande, en passant par un plateau (remorque ou camionnette), lorsque les parcelles sont distantes.

Annoncé à un tarif d'au moins 150 000 euros, le RX 20 ne sera produit qu'à une vingtaine d'unités en 2025. Pellenc entend poursuivre le développement de son robot en multipliant les travaux réalisés, mais aussi en intégrant de nouveaux capteurs développés en collaboration avec des partenaires extérieurs pour inclure des données à valeur ajoutée.

Lire aussi : Pellenc - Un robot à chenilles dans les vignes

Le robot RX 20 de Pellenc fait ses premiers pas dans les vignes

25 septembre 2024

Plus de vidéos

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JOURNALISTE: RedazioneOlivo

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>24septembre2024à15:07 >Versionenligne

VISITESMENSUELLES: 28392.00

Pellenc Power 48: agevolatore per la raccolta delle olive, leggero e redditizio

Pellenc Power 48 è un agevolatore per la raccolta delle olive leggero, versatile e rispettoso della pianta. Migliora la resa per un raccolto redditizio

L’agevolatore Pellenc Power 48 accelera la raccolta delle olive grazie alla sua leggerezza e semplicità. Dotato di aste fisse e telescopiche, batterie versatili e testa "Solo" o "Duo", migliora comfort e produttività, rispettando piante e ambiente Ottimizzare le tempistiche di raccolta delle olive è da sempre un aspetto fondamentale per gli agricoltori professionisti; per farlo, Pellenc propone sul mercato Power 48, un agevolatore di raccolta leggero, performante e semplice nell’utilizzo!

Tecnologia versatile: due tipi di asta e batterie personalizzabili

Power 48 è realizzato in modo da semplificare, velocizzare e rendere ancora più redditizia la raccolta, nel totale rispetto di piante, ambiente e operatore! Disponibile sia nella variante ad asta fissa (P230) che in quella ad asta telescopica (T220/300), Power 48 può essere alimentato sia dalle batterie multifunzione Pellenc agli ioni di litio, che attraverso l’utilizzo dell’apposito convertitore 12/44V collegato ad una tradizionale batteria da 12V

Innovazione e rispetto per l’ambiente: testa di raccolta e funzione slow motion

L’agevolatore di raccolta Pellenc assicura il massimo della versatilità anche per quanto riguarda la tipologia di testa di raccolta, da scegliere in base alla tipologia di pianta, alla posizione e alle preferenze degli utilizzatori; alla tradizionale testa “Solo”, marchio di fabbrica Pellenc e in grado di assicurare una capacità di raccolta senza paragoni, si affianca la nuova testa “Duo”, capace di garantire il massimo del comfort e dell’autonomia di lavoro!

Entraid' - Hors-Sér

COUNTRY:France

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1 September 2024 - N°2409 - Edition Hors-Série

DESDÉFINITIONSÀ BIE

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?LESCATÉGORIES

T ETC

Un tracteurestun véhiculeà moteur,àroues(catégorieT) ou à chenilles(C),ayantaumoinsdeuxessieux,dontlafonction réside essentiellementdanssapuissancedetraction.Selonleur masse, leursdimensionsetd’autrescritères,lestracteurssontclassésen catégoriesI, 2, 3 ou 4. Attention : lesgrosarticulésaméricains ne peuventpastoujoursaccéderàla catégorieT ouC. Dansce cas,ils sontaumieux réceptionnésen FrancecommeMAGA (25km/h surroutemaxi). Depuis2018,touslestracteursTl, T2, T3 etT4.3 sontsoumisà uneréceptioneuropéenne,dite 'Mother régulation'.Ellesetraduitenparticulierparl’obligation dufreinage doubleligne, etun supplémentdemesuresdepréventionpour le conducteur.

?LA CATÉGORIER

La catégorieR comprendles remorquesagricoles,ex-REA,etles semi-remorquesagricoles,ex-SREA. Une remorqueagricoleest unvéhiculeremorquédestinéautransportet conçupourêtre atteléà un tracteuragricoleou àunemachineagricoleautomotrice. Exemple: plateaufourrageràtourelle.Unesemi-remorque agricoleestuneremorqueagricoledontunepartiedu poidset du chargementreposesurlevéhiculetracteur.Exemple: benne monocoque,tonneàlisier, épandeuràfumier.

Le tracteur appartient à la catégorie T ouC.

BIEN DIFFÉRENCIERT1AETT1B

Lestracteursagricolescourantsengrandecultureet en polyculturepeuventêtredetypeTl a ou Tlb, deuxsituations trèsdifférentes.

-»Tla : vitessemaximaleparconstructionde40km/h, c’estle Tl "toutcourt" d’autrefois.

->Tlb : vitessemaximaleparconstructionsupérieure à40km/h, c’est unenouvelleconfigurationpossible depuis2016. Danscederniercas,le conducteurdoit premièrements’assurerqu’il necircule pasau-delàde la limite autorisée,soitparexemple40km/h avecun outil remorquéégalementréceptionné40 km/h, etla limite propreà la voie si le tracteurestseul.Comme lorsqu’il estauvolantdesavoiture,c’estàlui demaîtriser savitesse.Autreconséquence : un tracteurTl b ne bénéficiepasdesfacilitésdela ‘loi Macron’surlepermis deconduirepourles activitésnon agricoles(mécanicien deconcession,employésmunicipaux...voir le chapitre surlespermis,page23). En effet,ladérogationnevaut quepourlesvéhiculesneroulantpasà plusde40km/h "par construction".Cettecaractéristique,TIaouTI b, estdéfinie au momentdel’achat et figure surla carte grisecommesurla plaqueconstructricedutracteur.¦

ParPascalBordeau

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1 September 2024 - N°2409 - Edition Hors-Série

N IDENTIFIER

?LESROBOTSFONT PARTIE DESDPTC

?LA CATÉGORIES

LacatégorieS,ex-MIAR, comprendlesmachinesou instruments agricoles remorqués.Ils nesontpasdestinésprincipalement autransport,maissontconçuspourêtreattelésàuntracteur agricoleou à une machineagricoleautomotrice.Exemple: presseàballesrondes,cover-crop,enrouleurd’irrigation, etc. Ladifférenceavecles R sejouesurle rapportpoidsencharge/ poidsàvide. PourlesS, il estinférieurà3, pourles R il estégalou supérieurà3. Ainsi, un distributeurd’engraistraînédemeureen S mêmes’il transporteunecertainecharge.

?LESMAGA

LesMAGA correspondentauxmachinesagricolesautomotrices, appareilspouvantévoluerpar leurspropresmoyens,etdontla vitessedemarchepar constructionnepeutexcéder25km/hen palier.Cettevitesseestportéeà40 km/h pourlesappareilsdont lalargeurestinférieure ouégaleà 2,55 m etdontles limites de cylindréeoudepuissancesontsupérieuresàcellesdela catégorie L6' (quadetSSV).

Endessousde2,55 m delarge,on peuttrouvercertainschargeurs télescopiques,quads,ou pulvérisateursautomoteurs.

Au-dessusde2,55 m,ceserontlesmoissonneuses,ensileuseset autresautomoteursderécolte.

Un arrêtédu 28/07/23définit la notion devéhiculeDPTC : à délégationpartielleoutotaledeconduite.Il s’agitd’enginsse rattachant unecatégorieinternationalecommeT, L, C,etc.,ouàun genrenational(MAGA, parexemple),et«munid'uneouplusieurs fonctionnalitéspermettantdedéléguerauvéhiculetoutoupartiedes tâchesdeconduitependanttoutoupartieduparcoursdu véhicule».

?LESMACHINES À VENDANGER

Lesmachinesàvendangerrelèventleplussouventdelacatégorie MAGA, et nepeuventrouler qu’à 25 km/h carellesdépassent 2,55 m de largeur. Lesconstructeursles réceptionnentd’autre partavecd’autreséquipementsque la têtederécolte,pour l’utilisation en polyvalence(pulvérisateur,rogneuse...).Soitde leurproprefabrication(Pellenc),soit venantdeconstructeurs partenaires(BerthoudetProvitis chezNewHolland).Lorsqu’on utilise le châssisavecunoutil non prévu par le constructeur,ou alorssansaucunoutil, il existeun risquedenepasêtreenrègle. Il estalorsimportantdes’assureraumoinsquele nouveloutil ou l’absencedecederniernebouleversepasl’équilibreou les dimensionsde l’ensemble.Parailleurs,certainesvendangeuses pourvignesétroitessontenfait considéréescommedestracteurs enjambeurs,decatégorieT4.1,pouvantrecevoirdifférentsoutils dontunetêtederécolte.

?LESVÉHICULESD'EXPLOITATION

Lesvéhiculesd'exploitationtels que lesutilitaires,4x4, camionnettes etautrespick-up relèventde la réglementationroutière communeen matièredepermis,vitesseou carburant.Seule différenceentrel’exploitation agricoleetle particulier: la récupération dela TVA. Elle estpossiblepourles véhiculesà usage professionnelexclusifet non équipéspourtransporterdes voyageurs(pasdevraiesplacesàl’arrière). Attention : le détail dela récupérationdeTVA surlecarburantcommedela fiscalité écologiquepeutvarierd’uneannéefiscaleàl’autre.

?LESQUADSET SSV

Lesquadset SSVpeuventapparteniràdifférentescatégories administratives: tracteurMAGA, L6 ou L7. Voir l’article dédiéà cesujet,page16). •••

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1 September 2024 - N°2409 - Edition Hors-Série

?DESCHENILLES AJOUTEES

Laposed’un jeu dechenillesadaptablessur un tracteur ou unemachinederécoltereprésenteunemodification notablepar rapportàsonhomologation.Elle pourrait remettreencausesacapacitéàcirculersurla routeet modifierlesconditionsdesécuritédesonutilisation.Il est doncimportantdes’enquérirauprèsduconstructeurque l’enginainsiéquipédemeureconforme.

? REPROGRAMMATION

DU MOTEUR: L'HOMOLOGATION EN BALANCE

Fairereprogrammerun moteur,notammentpourgagner de lapuissance,estsusceptibledefaireperdrel’homologation du tracteurou del’automoteur.En effet, l’article

R.32I-16du codedela route imposeunenouvelleprocédure d’homologationdèslors qu’un véhiculeasubi« des transformationsnotables». Mêmesi, dansla pratique,la reprogrammationestdifficilementdécelable,elle représente uneprisederisque,surtoutencasd’accident(sans compterleséventuellesconséquencesmécaniques).

?TRACTEURSFORESTIERS : RESTERDANSLE CADRE

Leblindageapportéàuntracteuragricolepourlui permettre detravailleren milieu forestier(et requisparla réglementation du travail selon la naturedestravaux: sylvicoleou débardage)peutremettreencausesonhomologation,eten cascadelavalidité del’assurancequilecouvre.C’estpourquoi cetteopérationdoitêtreréaliséeparuneentreprisecapable degarantirlesconditionsréglementairesqui s’imposent.

?LESENGINSDE CHANTIER

Lesenginsdechantiertelsquelestractopelles,et certains chargeurstélescopiques,nesontpasimmatriculés.Ils doivent circulersur la routeà25 km/h maximum, etdisposerdedispositifs d’éclairageetdesignalisation.

RECEPTIONFRANÇAISEOU EUROPEENNE?

Lesvéhiculesagricolesdescatégories R etS peuventfaire l’objet d’uneréceptioneuropéenneou française,auchoix du constructeur.Cela induitdesdifférences notablesentermesde capacité : 12mdelongueurmaxihorstimon enréceptionfrançaise,ettimon comprisenréceptioneuropéenne. pasnonlimitéesàl’identique.

Les chargesmaximalesnesont

-?Réceptionfrançaise: 13t paressieuetPTACde19t (2essieux)ou26t (3).

-?Réceptioneuropéenne : 10 ou 11,5t par essieuetPTAC de 181(2essieux)ou24t (3).

Commepourles tracteurs,il

existeunedéclinaisonRaetRb, Saet Sb,selonla vitessemaximale homologuée(40 km/h maxi ou plus).LesMAGA fontquantà ellesl’objet d’une réceptionuniquement nationale,tandisqueles constructeursdetracteursenjambeurs (T4.1)etàchenilles(C)ont lechoix. ¦

1 September 2024 - N°478

COUNTRY:France

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AUTHOR :Tanguy Dhelin

RX-2O,QUELA FORCE

SOITAVEC TOI

Le30mai,Terrenaaprésentélesrésultatsd'essairéalisés avecla technologieAgreencultureintégréedansle robot Pellenc.Convaincue, la filiale vigneLVVD dela coopTerrena devraitenassurerunepartiedela commercialisation.

Depuisl’arrivéedespremiersrobots enviticulture,cesontlesenjambeurs grandformatqui prenaient lalumière.C’estautourdesmodèles pluspetitsettravaillantsurl’inter-rangs deconnaîtreleurheuredegloire.La technologieCéol,développéeparla start-upAgreencultureetaujourd’hui intégréedansle robotPellencRX-20, enestlapreuvevivanteoupresque. À l’occasiondes7eRencontresdel’agroéquipement, organiséesparVegepolys ValleyàAncenis(44)le 30mai,Terrena proposaitauxparticipantslesrésultats d’essaisaprèssixcampagnesd’utilisation decetoutil detravailautonome, à fonctionnementhybride.

SIMPLICITÉD'UTILISATION

Sile choixdeTerrenas’estportésurce robot,c’estjustementpoursesdimensions etsonfonctionnementdifférents del’offre dumarché.«Nousavonsvite accrochéaveccerobotdeparsonaction eninterlignesimple,compactet fonctionnel.Hormisleséquipements desécurités,lesoutilsquipeuventêtre

atteléssontidentiques àceuxd’un tracteur »,souligneLudovicPatte,encharge desexpérimentationsdepuissixans, d’abordsurleprototypedAgreenculture, puisaveclerobotPellenc.

PLUSDE500HA ET2000H DETESTS

Pourtestercettenouvelletechnologie, Terrenas’estinscritdansleprojeteuropéen Rob4Cropsqui consistaitàremonter lemaximumd’informationssur l’utilisationenconditionsréelles.Pour cefaire,LudovicPattea réalisédes prestationsdansdifférentsvignoblesdu ValdeLoire,àraisonde15haparterroir etde7à9 passagesparan.Lerobot aainsitournésurunesurfacedeplusde 500hadanslesvignesligériennes. « Ce robotnousaserviàtesterle marché, à voirsil’architectureconvenait»,se souvient-il.Lebilans’avèrefinalement trèspositif.«Apremièrevue,lesviticulteurs sonttoujoursunpeusurpris,mais ceuxquiontprisle tempsdele voirau travailattendentimpatiemmentla date decommercialisation », assure-t-il.Lui

COMMERCIALISATION

POUR2025

Signede la maturitédela technologie du robot Pellenc,le départementR&D deTerrena, enchargedesessais,passela mainsurle sujetà lafiliale dela coopérativedénomméeLVVD et leaderde l'approvisionnement viti-vinicoleenVal deLoire. LVVD aurala cartePellencpour cerobot et pourlesgammes desécateurs,en parallèlesdu réseaudeconcessionnairedéjà enplace.Pasd’empressement pourautant,le constructeur annonceunecommercialisation « pasquant2025».

qui a menélerobotdanslesdifférents vignoblesduVal deLoireappréhendait unpeuleretourdesviticulteurs duMuscadet,habituésàtravailleravec unenjambeur.«Maislàaussi,dansun terroiravecdesveillesvignesétroites, descaillouxetdespentes, il a convaincu. Pourautant,il estunpeuplusà l’aisedanslesvignesdel’Anjou légèrement pluslarges», rapporteLudovic Patte.Pourla suitedudéveloppement, il évoquel’intérêtd’adapteruninterceps électriquequipermettraitderemonter desdonnéesdetravaildurobot.O

TanguyDhelin
Le RX-20enactiondanslesuignes lorsdesrencontresdel'agroéquipement.

>19septembre2024à4:02

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2 vins AOC testent la désalcoolisation par flash-détente

Pour réduire les degrés alcooliques dopés par le changement climatique, deux appellations méridionales vont expérimenter l’évaporation partielle de l’alcool

E xpérimentation validée : le comité national des appellations d'origine viticoles autorise ce 11 septembre l'essai de désalcoolisation des vins AOC Luberon et Ventoux par méthode d'évaporation partielle de l'alcool du moût en fermentation alcoolique. Soit de la flash-détente sur un vin aux alentours de 9°alc. Un communiqué précise que « cette méthode n'étant pas autorisée par la règlementation européenne ni reconnue par l'Organisation Internationale de la Vigne et du Vin (OIV), il convient qu'elle soit l'objet d'une expérimentation suivie par l'INAO » (Institut National de l'Origine et de la Qualité).

Développée par le constructeur Pera-Pellenc, cette technique donne déjà de premiers résultats intéressants rapporte Joël Bouscarle, le président de l'AOC Luberon : « on s'inscrit dans la poursuite d'acquisition de références pour voir si la méthode est valable, s'il faut l'adapter et si l'on peut l'autoriser. L'idée est de tester de nouvelles méthodes, moins intrusives, sur des vins encore en fermentation. On travaille à partir de 9°.alc pour moins perturber les aromatiques. Face à la problématique des degrés alcooliques, l'esprit est d'avoir dans l'AOC toutes les armes possibles pour s'adapter. La correction du degré potentiel en est un. » Car l'expérimentation s'inscrit moins dans la désalcoolisation pour arriver à de faibles Titres Alcoométriques Volumiques (TAV), que dans le cadre de réduction autorisée des degrés en AOC (limité à 20 %).

On reste sur des vins connus

« On vise des vins à 13,5°.alc quand on est à 15° sur du grenache » indique Joël Bouscarle, ajoutant que s' « il y aura des essais sur des vins plus frais » , dans tous les cas « on reste sur des vins connus » pour répondre à la surproduction de sucre liée au changement climatique sans sacrifier les maturité phénoliques. Dans le Luberon, d'autres leviers sont à l'étude, du travail des couverts végétaux à l'hydrologie régénérative , en passant par de nouveaux cépages blancs et rouges venus de Grèce, d'Espagne, ou de Corse, ainsi que le retour d'un cépage tardif sorti du cahier des charges en 2009 : la counoise. De quoi étoffer la boîte à outils du vignoble d'appellation face à la nouvelle donne climatique.

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Mettant dans la balance la demande de moindres degrés alcooliques et l'atteinte au concept même d'AOC, Christian Paly, le président du comité national des appellations d'origine viticoles de l'INAO, pointe que les vins d'appellation doivent expérimenter, y compris la désalcoolisation partielle : « dans toute notre stratégie, nous devons innover pour rester. Les appellations d'origine sont nontransposables, si on ne se met pas en position d'innovation, on sera décrochés dans les temps à venir. On ne renie pas le concept d'appellation d'origine, on expérimente. » Des expérimentations à la fois techniques et marketing, une étude étant lancée par FranceAgriMer pour déterminer l'acceptabilité par les consommateurs de la désalcoolisation des vins d'appellation.

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[Communiqué] Vaucluse : le groupe Pellenc au Salonvert 2024

Implanté à Pertuis, dans le département du Vaucluse, l’industriel Pellenc a mis à l’honneur son nouveau sécateur C3X...-La semaine en régions

Implanté à Pertuis, dans le département du Vaucluse, l'industriel Pellenc a mis à l'honneur son nouveau sécateur C3X au Salonvert 2024. Le groupe Pellenc, situé à Pertuis (Vaucluse), sera présent au Salonvert 2024 qui se tiendra du 17 au 19 septembre 2024 à Saint-Chéron (Essonne). Ce rendez-vous réunira les professionnels de la création et de l'entretien des espaces verts ainsi que les fournisseurs de produits pour la santé et la nutrition des végétaux.

Cette année, plus de 600 marques seront représentées, offrant aux visiteurs un aperçu complet des nouvelles technologies et des produits pour aménager et entretenir les espaces verts. Durant ce salon, le groupe Pellenc exposera ses différentes gammes d'outils professionnels à batterie, parmi lesquels ses taille-haies, élagueuses, tondeuses, débroussailleuses et souffleurs. Il dévoilera également aux visiteurs son nouveau sécateur à batterie embarquée, le C3X. Puissant et ergonomique, cet outil assure une taille précise et rapide. Il a récemment été labellisé LONGTIME® par l'APAVE Certification pour sa longévité et sa durabilité. TYPOLOGIE

1 September 2024

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AUTHOR :N.D.

PEtiENC

Lanuovaforbiceprofessionale èunconcentrato di altaefficienza, massimaautonomia etotaleversatilità.Perfettaperlavorianche assaiintensi,conla batteriaAlphaLiteela regiadi AppConnect

VALOREC3X,PELLENC

NON SI FERMAPIÙ

ggiuntad'altaqualità.Pe ine,precursorenelmercatodellebatterieagliioni di litio applicateadattrezzatureper agricoltura egiardinaggio,presenta la nuovaforbiceprofessionaleconbatteriaon-board C3X,prodottain Francia.Progettatae realizzata perrispondere in modoprofessionalealleesigenze diviticoltori,olivicoltori,arboricoltoriegiardinieri, la nuovaC3Xunisceprestazioni,versatilità edergonomia.Grazieal know-how sviluppato neglioltre25 annidi lavoroconle attrezzature a batteria,Pellenchasviluppatounaforbiceprofessionale con batteriaon-board in gradodi garantire lungheautonomie e massimapotenzaditaglioanchein utilizziparticolarmenteintensi.Come i modelliC35e C45dellagammaPellenc,anchela nuovaC3X è dotatadel sistemadi sicurezza Activ' Security,ingradodibloccare il movimentodellalamaincasodicontattoconla manodell'utilizzatore. Laforbiceèalimentatadallanuovabatteria^IphaLite, ingradodioffrirelapossibilitàdi esserecaricataindiversemodalità,peril massimodellaproduttività,dell'autonomia edellalibertàdi movimento.La nuovaC3Xèdotatadi tecnologiaNFCstandard,cosìdadarelapossibilitàdi accedere a diversefunzioni,tralequaliil monitoraggiostatistico el'impostazione diparametridi lavoro, oltreallagestionedi interiparchidi forbici,siaattraversol'AppPellencConnectcheattraversouna piattaformaonline.Al finediridurreal massimol'impattoambientaledeisuoiprodotti,Pellenclavora costantemente inmododaoffrireattrezzaturedu5 prodottidellagamma,Pellenchaottenutola certificazioneLONGTIME,primomarchioeuropeo

rialisceltisonostudiatiinmododaoffrireunadurata eccezionale,abbinataadunafacilitàdi riparazione. La forbicePellencC3X vaad inserirsi all'internodi un'offertaprofessionale di forbicia batteriaPellenc,ingradooggidi soddisfareogni tipologiadi esigenza.Al meglio,comesempre.

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Pellenc C3X, nuova forbice con batteria on-board

Potente, veloce ed ergonomica, la nuova forbice con batteria on board C3X di Pellenc offre massima agilità di taglio.

Da Pellenc arriva la nuova forbice elettrica C3X, uno strumento ideale per l'utilizzo nei vigneti, frutteti e oliveti, ma anche per la manutenzione degli spazi verdi. Dotata di una batteria on-board da 955 grammi Alpha Lite Pellenc da 30,2 Wh e 10,8 Volt, la forbice è equipaggiata con un motoriduttore di ultima generazione, con la carta RFID di serie e l'indicatore LED del livello di carica.

PRESENZA DI UN SENSORE PER PASSARE ALLA MODALITÀ DI SEMI-APERTURA

La struttura è di tipo monoblocco in alluminio forgiato, con la modalità di semi-apertura attivabile con un sensore posto sulla forbice che assicura la massima rapidità operativa.

CAPACITÀ DI TAGLIO DI 35 MILLIMETRI E DOPPIA SCELTA DI LAME

La Pellenc C3X è in grado di tagliare rami con un diametro sino a 35 millimetri e permette di scegliere fra due lame con geometria e penetrazione ottimizzate: Piuma e Standard. L'utensile è inoltre dotato di un sistema di ingrassaggio integrato e di un LED di sicurezza che segnala lo stato di attività.

SISTEMAANTITAGLIO ACTIV'SECURITY

Grande attenzione è stata posta da Pellenc alla sicurezza con Activ'Security, un sistema antitaglio che causa l'arresto immediato della lama in caso di contatto con il dito dell'utilizzatore.

Activ'Security funziona tramite un circuito conduttivo naturale creato tramite 3 punti di contatto: grazie a un doppio contatto della mano sul grilletto e sulla parte inferiore del corpo, Activ'Security entra in azione non appena l'utilizzatore tocca con l'altra mano un elemento metallico della testa di taglio. Per una maggiore sicurezza durante il lavoro si raccomanda l'utilizzo di guanti conduttivi Pellenc, disponibili nei 2 modelli “Comfort leggero” e “Comfort ermetico e traspirante” in 6 misure.

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UNA FORBICE CONNESSA

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La C3X di Pellenc non è una semplice forbice elettrica: è infatti possibile impostare e controllare l'attrezzo attraverso l'app Pellenc, nella quale si possono consultare le statistiche di utilizzo ed esportazione semplificata, la regolazione dei parametri di taglio, le notifiche di manutenzione, i video tutorial e la visualizzazione dell'intero parco macchine collegato.

© Francesco Ponti

Fonte immagini: Pellenc

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Avec une machine à vendanger tractée, l'investissement réduit de moitié

Les machines à vendanger tractées véhiculent beaucoup d’idées reçues, mais affichent aujourd’hui des performances similaires aux automotrices, pour un prix divisé par deux. ...

Les machines à vendanger tractées véhiculent beaucoup d'idées reçues, mais affichent aujourd'hui des performances similaires aux automotrices, pour un prix divisé par deux. « Quand on a un budget serré et que l'on ne souhaite pas utiliser la multifonction des porteurs , il n'y a aucune raison de ne pas opter pour une machine à vendanger traînée », plante Jacques Servoles, directeur du département vignes larges chez Pellenc. Et pour cause. Les dernières générations de machines tractées ont tout des grandes, sauf le prix , qui est moitié moins cher. Un argument qui ne laisse pas de marbre, à l'heure où les trésoreries se tendent . Beaucoup de viticulteurs sont réfrénés par la peur de voir des performances amoindries par rapport aux machines autoportées. « J'ai 128 hectares , illustre Fabrice Vergé, viticulteur coopérateur à Moussolens, dans l'Aude. Je pensais que les tractées n'étaient pas pour moi, qu'elles étaient réservées aux petites exploitations. » Étant donné le contexte actuel, le viticulteur a été contraint d'étudier toutes les économies possibles. Quand est venue l'heure de renouveler sa machine, ce poste s'est présenté comme un levier

Un coût total de 175 euros par hectare pour une machine neuve

« Reprendre une autoportée neuve coûtait trop cher , poursuit le viticulteur. On m'a proposé une version tractée et après une démonstration j'ai franchi le pas en achetant une Pellenc Grapes'line 80. » Une décision qu'il ne regrette aucunement. Son débit de chantier est meilleur qu'avec son ancienne machine, il vendange ses 128 hectares en une trentaine de jours, « sans forcer ». Fabrice Vergé se dit épaté par l' autonomie des bennes de trois tonnes, mais aussi satisfait de l'étanchéité, de la qualité de récolte et de la facilité d' entretien . Ce dernier lui revient à environ 25 euros par hectare et par an, auquel il faut ajouter les 150 euros par hectare et par an d' emprunt pour se faire une idée du coût total. Cela représente, pour lui, plus de 15 000 euros par an d'économies si l'on compare à l'achat d'une automotrice. Le viticulteur prévient toutefois : la façon de conduire change radicalement. « On passe d'une situation où l'on supervise tout, à une autre où l'on ne voit

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véritablement la machine qu'en début de rang , témoigne-t-il. Mais c'est juste une habitude à prendre . » Il a d'ailleurs partiellement résolu le problème en faisant installer par le constructeur trois caméras : une pour le remplissage des bacs et deux à l'arrière.

Lire aussi | Pellenc dévoile l'Optimum 340 et la gamme Grapes'line

Jacques Servoles voit de plus en plus de viticulteurs qui, comme Fabrice Vergé, passent à la machine traînée. Certains gros domaines, même, préfèrent acheter deux tractées neuves pour le prix d'un seul autoporteur et gagner ainsi en flexibilité lors des vendanges . « Chez nous, les têtes de récolte sont exactement les mêmes sur les deux types de machines , relate le cadre de chez Pellenc. Après un premier achat de tractée, les viticulteurs y reviennent systématiquement . » Bien entendu, il concède quelques inconvénients. En fonction de l'état du terrain, par exemple. Sur un sol travaillé où il y a des mottes, le porteur est peu sensible car plus large, alors que la tractée « danse » légèrement. Selon le tracteur employé, la machine traînée tourne aussi bien qu'une automotrice. « Maintenant, on peut braquer dès que la roue arrière du tracteur passe le bout de rang, l'outil tourne tout seul », assure Jacques Servoles. Virer à gauche est en revanche plus compliqué et demande une manœuvre. Mais l'entretien est lui aussi plus économique qu'avec un porteur, d'environ 30 %. « Pour moi acheter aujourd'hui une machine automotrice seulement pour les vendanges, c'est un petit plaisir que l'on se fait , estime le professionnel. C'est entendable si on a les moyens ou si on valorise fortement ses vins. »

Un débit de chantier légèrement plus faible qu'une automotrice récente

Les différences entre les deux types de machines, Alexis Laroche, viticulteur à Chantillac, en Charente, les connaît bien. La Cuma du Beaupuy, dont il est vice-président, a eu de plus en plus d'hectares à récolter, au point de devoir s'équiper d'une deuxième machine à vendanger pour épauler la Pellenc 780. « Sachant que nous avions un tracteur vigneron dans la Cuma et que l'on pouvait économiser 100 000 euros, nous avons opté pour une tractée Grapes'line 80 », expose-t-il. Ainsi il mène, durant la campagne, un coup l'une et un coup l'autre. Pour lui, l'inconvénient majeur de la machine traînée réside dans la vidange des bacs, plus compliquée. Le chauffeur doit anticiper le positionnement de la benne, car il a une moins bonne visibilité . De même, il trouve l'automotrice plus confortable et plus reposante que d'être confiné et de trois-quarts dans le Fendt 210 Vario F. Mais aussi plus réactive en bout de rang, « surtout quand on est dans des endroits un peu exigus ». À l'inverse, le viticulteur estime la qualité de travail de la Grapes'line aussi bonne que sur la 780. En ce qui concerne la vitesse , la différence est relativement minime, « peut-être 0,5 km/h de moins avec la tractée ». Cette dernière avale environ 120 hectares dans la saison, contre 160 pour l'automotrice. Alexis Laroche apprécie également les fonctionnalités que l'on trouve maintenant sur les machines traînées, comme l' autoguidage ou l'assistance de motricité. « Quand on est dans le rang, elles se débrouillent toutes seules », témoigne-t-il. Les coûts de vendange sont mutualisés entre les deux machines, et reviennent au final à près de 220 euros par hectare.

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La polyvalence rentabilise les porteurs

Le prix d'une machine automotrice est à relativiser si l'on décide de l'utiliser pour plusieurs travaux.

La polyvalence est un bon moyen pour rentabiliser l'achat d'une machine à vendanger automotrice. La prétailleuse et la cellule de pulvérisation sont les équipements auxquels on pense en premier, mais il est possible d'atteler aux porteurs des rogneuses, palisseuses ou encore des broyeurs ou un épandeur à compost . De cette façon, le coût de l' investissement est réparti sur plusieurs postes et

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pas seulement sur les vendanges. Selon les calculs de l'IFV, l'utilisation d'un pulvérisateur 4 rangs tout au long de la saison permet d'optimiser d'environ 40 % le coût du porteur par rapport à un emploi de la tête de récolte simplement. Le chiffre monte même à 50 % quand on y ajoute la prétaille, le relevage, le rognage et l'épandage. Un argument qui fait mouche auprès des viticulteurs. À l'instar de Lionel Rouyrenc, viticulteur à Cruzy, dans l'Hérault. « Lors du passage en Gaec avec mon frère et mes parents, notre ancienne Grégoire G70 de 2004 est devenue trop petite pour nos 74 hectares , raconte-t-il. Nous avions d'abord pensé à une occasion , et puis nous avons été conquis par la GL6 lors d'une démonstration. Nous n'avions pas dans l'idée d'utiliser la polyvalence, mais au vu du prix, nous sommes arrivés à la conclusion que cela s'imposait pour l' amortir et la rentabiliser.

Un chantier de rognage deux fois plus rapide

Rapidement, le groupement familial achète une prétailleuse, puis une rogneuse. La cellule de pulvérisation, elle, n'est pas disponible sur le modèle. Lionel Rouyrenc se dit satisfait de cette stratégie. Déjà parce que cela lui permet de rogner deux rangs à la fois, et donc de doubler quasiment le débit de chantier . Mais aussi parce qu'il peut laisser les outils attelés toute la saison sur le porteur, ce qui libère le tracteur et lui procure davantage de flexibilité dans son organisation. « De plus avec la régulation automatique du régime moteur, on ne consomme pas beaucoup plus qu'avec un tracteur sur ces travaux », précise le viticulteur. Il faut toutefois garder en tête que le châssis est plus lourd que celui d'un tracteur vigneron, ce qui accroît le risque de tassement des sols . Et, dans le cas de la cellule de traitement, cela peut rendre l'accès aux parcelles encore plus compliqué lors des printemps humides et sur les sols travaillés…

Lire aussi | « J'ai installé des chenilles sur le porteur multifonction »

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Vendanges mécaniques: quand la prestation devient rentable

À première vue, recourir à une entreprise de travaux agricoles pour vendanger peut paraître coûteux mais différents atouts sont à considérer. ...

À première vue, recourir à une entreprise de travaux agricoles pour vendanger peut paraître coûteux mais différents atouts sont à considérer. Le poids de l'amortissement

Pourquoi préférer la prestation à l'investissement ? La superficie est évidemment le premier facteur majeur, puisqu'elle conditionne l' amortissement . Benjamin Banton, gérant de l'entreprise girondine de services viticoles Banton-Lauret , constate que la question se pose au-delà de 50 hectares pour ses clients (en vignes étroites).

Comparer en fonction du service rendu

Comparer le coût de la prestation à celui d'autres formules et entre prestataires suppose d'étudier l'ensemble du service rendu.

Didier Sanchez, à la fois vigneron sur 20 hectares à Jonquières dans l'Hérault et prestataire, avance un tarif de « 380 à 390 euros par hectare, 450 euros en incluant le charroi ». Les vignes sont à 2 m ou 2,25 m. Crise et concurrence obligent, son tarif reste relativement stable malgré la hausse des coûts « Les pièces de rechange ont pris 50 % » , se désole-t-il. Son entreprise Viti-Oc , vendange un peu moins d'une centaine d'hectares pour une dizaine de clients.

Lire aussi : Vigneron et prestataire de service : deux activités complémentaires l'une de l'autre

Chez Banton-Lauret, dans le Bordelais, le tarif tourne autour de 800 euros par hectare pour des vignes à 1,50 m, qui constituent l'essentiel de l'activité. Il est de 300 à 400 euros par hectare pour des vignes à 3 m. Il peut varier selon les options des machines à vendanger « Le tarif comprend la récolte, le matériel, le chauffeur et les bennes vibrantes pour convoyer le raisin avec douceur , détaille Benjamin Banton, gérant de l'entreprise. Le prix inclut également le nettoyage de la machine

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et le traitement de l'effluent. » Il souligne aussi qu'une vendange éraflée, un ramassage homogène avec du tri embarqué évitent des opérations, voire des investissements , au chai.

Bénéficier d'un matériel récent

Pour Didier Sanchez, la modernité du matériel et son bon entretien sont un atout commercial fort dans un univers relativement concurrentiel car resserré localement (il intervient dans un rayon de 7-8 km). « J'ai des clients qui restent sur la prestation car ils apprécient que la machine soit en état neuf et bien révisée » , observe-t-il. Une machine à vendanger récente est aussi plus performante, avec une finesse de réglage toujours meilleure. Le renouvellement de l' équipement est donc chez lui un principe de base. « L'entretien d'une machine neuve coûte beaucoup moins cher, de l'ordre de 4 000 à 5 000 euros mais pour une machine de plus de dix ans on monte à 7 000 à 8 000 euros » , arguet-il. Cette année, sa New Holland 9030 va effectuer sa deuxième saison.

Comme son exploitation familiale investit dans une machine depuis 1985, le renouvellement est facilité. « On a toujours une bonne valeur de reprise, ce qui permet de réinvestir dans des meilleures conditions » . Ses propres vignes bénéficient donc d'une machine toute récente.

Matériel récent et bien entretenu, technicité des chauffeurs font partie du coût de la vendange en prestation. © Viti-Oc

De son côté, Banton-Lauret détient une force de frappe conséquente avec 38 machines à vendanger , de marque New Holland ou Pellenc , d'au maximum 7 ans. Elles peuvent être choisies selon les préférences des domaines. L'entreprise dispose de mécaniciens dédiés assurant une réactivité en cas de panne. Un avantage certain alors que toute interruption du planning de vendange est problématique. « Notre taille permet de réaliser des économies d'échelles, par exemple pour l'achat de pièces » , pointe aussi le dirigeant.

Acheter de l'expérience professionnelle

Les hectares vendangés forgent le savoir-faire des prestataires. « Nous sommes des spécialistes de la récolte, nos chauffeurs sont expérimentés. En vendangeant dans différentes exploitations, ils sont tout de suite au fait des bons réglages par rapport aux raisins de l'année » , expose Benjamin Banton. Cette technicité est entretenue. « On a des formations et des remises à niveau pour les chauffeurs par les marques. On est consulté pour les développements de nouvelles machines » , se félicite le dirigeant.

Pouvoir compter sur du sur-mesure

Didier Sanchez note qu'être seul à la tête de son entreprise avec son fils lui donne une certaine souplesse. La qualité du service tient également à « des journées conséquentes » . Pour ses clients coopérateurs, il doit répondre au calendrier très précis des caves quitte parfois à négocier directement avec elles. « Dans l'ensemble on y arrive. Il m'est arrivé de faire ouvrir une cave plus tôt pour pouvoir vendanger des blancs plus tôt » , illustre-t-il.

« Le client maîtrise le jour et l'heure, affirme Benjamin Banton . Nous adaptons les horaires si le domaine n'a pas de groupe de froid. Confier la récolte lui permet de se concentrer sur le chai » , conclut-il.

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Machines à vendanger : les pistes pour récolter à moindre coût TYPOLOGIE

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PELLENC : De nouveaux outils (Gamme E et sécateurs) avec batteries rechargeables pour les professionnels des espaces verts et du paysage seront présentés à Salonvert 2024

Du 17 au 19 septembre, PELLENC sera présent au Salonvert 2024, le salon français leader des espaces verts et du paysage (stand N°34). Lors de cette vingtième édition, le constructeur présentera une toute nouvelle gamme d'outils avec batteries rechargeables : la Gamme E (Essential), qui comprend le taille-haie Helion Essential, la débroussailleuse Excelion Essential et le souffleur Airion Essential. L'opportunité également de (re)découvrir pour l'ensemble des professionnels du paysage les deux derniers sécateurs à batterie embarquée PELLENC : le C3X et le M32C.

La gamme Essential, des produits qualités Pellenc

Pensés pour un usage régulier, les produits de la Gamme Essential regroupent les technologies éprouvées. Leur ergonomie, leur rapport poids/performance et leur durabilité répondent au niveau de qualité du constructeur. Cette gamme constitue une entrée et une transition économiquement attractives vers des outils à batterie pour les professionnels des espaces verts.

Le taille-haie Helion Essential, la débroussailleuse Excelion Essential et le souffleur Airion Essential seront disponibles sur le marché au premier trimestre 2025. Ils sont alimentés par des batteries d'une capacité d'énergie de 200 Wh ou 400 Wh ou peuvent être connectés aux batteries dorsales ULiB 750, 1200 et 1500 de PELLENC à l'aide d'un adaptateur.

Les nouveaux sécateurs a batterie embarquée Pellenc...

Le C3X : agile, polyvalent, puissant... et connecté

Répondant aux besoins d'un secteur en pleine mutation, ce modèle offre une grande productivité : agile et polyvalent grâce à sa batterie embarquée, il est également puissant et performant. Tout comme les modèles C35/C45, le C3X dispose du système anti-coupure Activ'Security, breveté par PELLENC , qui permet un arrêt instantané de la lame au contact de la peau.

La connexion NFC permet l'accès à de nombreuses fonctionnalités comme le suivi statistique, le paramétrage, ou encore la gestion de la flotte , via l'application mobile PELLENC Connect ou une plateforme en ligne.

Un autre avantage est sa solution de recharge mobile multisource. En complément du système de recharge classique sur secteur, la batterie ALPHA-LITE du C3X peut être chargée sur une voiture, une batterie externe, ou des panneaux solaires, offrant ainsi plus d'autonomie et de liberté d'action. Le C3X est le résultat de l'engagement de PELLENC envers l'innovation et la qualité. La durabilité, la réparabilité et la performance de cet outil ont permis d'obtenir la certification du label indépendant LONGTIME®.

Le M32C : économique, ergonomique et performant

Cet outil accompagne les professionnels pour effectuer leurs travaux de viticulture, d'arboriculture ou d'entretien des espaces verts. Les équipes R&D PELLENC sont intervenues pour optimiser

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l'ergonomie, la tête de coupe et le pilotage de la gâchette afin de rendre le modèle plus ergonomique et performant. Il dispose jusqu'à une journée d'autonomie avec ses deux batteries.

Lancement de Tech Care : un corner de présentation sur le stand PELLENC

Le Groupe PELLENC annonce l'ouverture de quatre centres d'excellence en France, dédiés aux outils à batterie, après le succès du dispositif pilote à Bruxelles. Ces sites offriront des services de maintenance, réparation, et vente de matériel reconditionné , ainsi que des solutions de financement et de location.

Leur objectif : garantir une prise en charge rapide et renforcer la proximité avec les clients et distributeurs. Afin de présenter Tech Care, un espace dédié sera présent sur le stand du constructeur lors du salon.

À propos du groupe PELLENC :

Depuis 1973, PELLENC multiplie les innovations technologiques avec la même ambition : faciliter le travail de l'Homme et optimiser la qualité des productions. Aujourd'hui, fort de son expertise, le Groupe se positionne comme une référence mondiale en matière de mécanisation dans trois filières : viti-viniculture, arboriculture fruitière, espaces verts et urbains. PELLENC regroupe près de 2 000 collaborateurs, 21 filiales, 8 sites industriels en France et à l'international, un centre R&D de près de 200 ingénieurs en France et plus de 1300 brevets déposés. PELLENC est représenté par près de 2 000 distributeurs et plus de 500 000 clients dans le monde, avec une implantation commerciale sur les 5 continents et une présence dans 60 pays.

Source : Pellenc

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PELLENC: Profigeräte mit 44-V-Einsteckaku

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Der Pionier für die Akkutechnologie bei der Grünpflege führt als erster Anbieter Akkugeräte für den professionellen Gebrauch mit 44-Volt-Akkus zum Einstecken ein. Die Heckenschere HELION ESSENTIAL,...

Von Profis für Profis: Diesem Anspruch wird PELLENC auch bei der neuen Serie gerecht. Der Innovationsführer nutzt bewährte eigene Technologien und patentierte Lösungen. „Die neue Serie ESSENTIAL macht keine Abstriche bei Ergonomie, Gewicht-Leistungs-Verhältnis und Langlebigkeit gegenüber den bekannten Pellenc-Geräten“, betont Laurent Vivès, Geschäftsführer der PELLENC GmbH. Und weiter: „Die Geräte sind der wirtschaftlich attraktive Einstieg und Umstieg zu 100 % professionellen Akkugeräten und für Pellenc Anwender die ideale Ergänzung“.

20 Jahre Erfahrung bei der Konstruktion und der Fertigung von Li-Ion-Akkugeräten ist in die neue Serie eingeflossen. Die Geräte der Linie ESSENTIAL überzeugen durch eine sehr handliche Bauweise. Die Akkus sind für eine bestmögliche Gerätebalance jeweils ideal hinter, unter oder über dem Motor positioniert.

PELLENC präsentiert ergänzend zu den Akkugeräten zur Grünpflege die erste Akku-Astschere mit Einsteckakku für den professionellen Einsatz. Die neue Generation C3X liegt gut in der Hand. Die besonders optimierte Gewichtsverteilung, die Bedienung, das geringe Gewicht (955 g mit Akku) und die Winkelstellung zur Werkzeugwirkungsachse sind entscheidende Aspekte für das möglichst ermüdungsfreie Arbeiten.

Akkugeräte etablieren sich zunehmend in der Grünpflege und Straßenreinigung. Sortimo, führender Hersteller von Fahrzeugeinrichtungen und PELLENC, Pionier in der Akkutechnologie, haben gemeinsam eine Lösung entwickelt, die es ermöglicht, Akkugeräte sicher zu transportieren und unter allen klimatischen Bedingungen unabhängig vom Standort effizient auf dem Fahrzeug zu laden. Die Unternehmen präsentieren bei der GaLaBau Messe erstmals die LoadBOXX by Sortimo for PELLENC. Die Lade- und Transportbox wird bereits im ersten Quartal 2025 eingeführt.

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Das Lademanagement und die Umgebungstemperaturen bei der Lagerung sind entscheidende Kriterien für die Leistungsfähigkeit und Nutzungsdauer von Akkus. PELLENC ergänzt die Lade- und Lagerschränke SECURION um eine auf dem Fahrzeug montierte, klimatisierte Lade- und Transportbox mit 230-Volt-Anschluss. Diese ist insbesondere für Betriebe mit mehreren Standorten oder für Betriebe mit Dienstleistungen ideal, die eine hohe Flexibilität und schnelle Verfügbarkeit benötigen.

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MACHINISME Z LA RÉCOLTE À LA MACHINE À VENDANGER SE PRÉPARE AUSSI BIEN AVANT QU'APRÈS VENDANGE.

Une machine à vendanger bien préparée pour une récolte sereine

LUDOVIC VIMOND

P our éviter les mauvaises surprises au moment de récolter, il convient de prendre soin de sa machine à vendanger. Voici un rappel point par point avec des spécialistes.

1 - Vérifier le moteur et la transmission Qu'elle soit récente ou ancienne, il est essentiel de démarrer la machine à vendanger tous les un à deux mois. « Mais c'est encore plus vrai sur les machines récentes, avec les dernières normes antipollution, explique Pierre Cayrouse, responsable marketing machines à vendanger New Holland. Il faut la faire tourner au moins une trentaine de minutes. La montée en température va éliminer la condensation qui peut se former à la longue, ce qui est néfaste pour les motorisations ».

Cette mise en route est aussi l'occasion de vérifier les niveaux d'huile hydraulique et moteur. Elle permet de faire fuir les nuisibles, comme les rongeurs, qui peuvent se loger dans le pot d'échappement ou dans le compartiment moteur. Ceux-ci affichent un certain goût pour les connectiques et peuvent ronger à l'occasion quelques câbles. Remettre en route régulièrement permet de détecter ces éventuels dégâts et de ne pas avoir à effectuer de réparation de dernière minute. « Et cela évite à la batterie de se

détériorer, comme cela arrive parfois lorsqu'on laisse une machine longtemps sans fonctionner », ajoute Jacques Servoles, directeur du département machines à vendanger chez Pellenc.

2 - Anticiper la vidange

Que la machine à vendanger soit utilisée comme porteur multifonction ou non, il est important de s'assurer que les intervalles entre les vidanges soient respectés. En fonction de la surface à récolter, cette vidange peut être anticipée de manière à ne pas avoir à la réaliser au milieu de la saison de récolte.

3 - Sécurité sur la route

Comme pour tout véhicule circulant sur la route, il est important de s'assurer du bon fonctionnement des optiques et de la signalétique, « d'autant plus lorsqu'on débute la saison par des vendanges nocturnes », insiste Jacques Servoles. Également, regonfler au besoin les pneumatiques, en contrôler l'état et s'assurer du bon serrage des goujons des roues (idéalement toutes les vingt heures).

4 - Contrôler la climatisation

Mettre en route la climatisation permet de se préserver d'éventuelles fuites de gaz, qui la ren-draient inefficace et l'ambiance en cabine invivable. Souffler les filtres de

cabine optimise aussi son fonctionnement.

5 - Penser aux secoueurs

Les conseils concernant les secoueurs varient d'une marque à l'autre. New Holland préconise de changer les secoueurs tous les ans. « Les caractéristiques des secoueurs évoluent avec la température et l'humidité, justifie Pierre Cayrouse. Les propriétés peuvent changer et les secoueurs avoir tendance à effeuiller davantage les vignes ». À défaut de les renouveler tous les ans, le responsable produits conseille de les démonter en fin de saison et de les stocker dans leurs chaussettes (fournies à l'achat) dans un endroit sec et ventilé. « Plutôt le grenier que la cave », poursuit-il. De son côté, Grégoire préconise de laisser les secoueurs sur la tête de récolte à partir des générations GL. « Pour conserver les propriétés des silentblocs à la base des secoueurs, le pincement doit être fermé à fond (valeur 0), ajoute Mathieu Tabardel, responsable marketing Grégoire. Si on les laisse comprimés tout l'hiver, les silentblocs perdent leurs propriétés d'amortissement ». « Sur les dernières générations de machines Pellenc, les batteurs, désormais noirs, sont dans une matière non sensible aux UV, ce qui dispense de les hiverner à part, explique Jacques Servoles. Mais certains clients continuent à le

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pratiquer, notamment pour se dégager de l'espace, lors du nettoyage de fin de récolte ».

6 - Remonter le convoyeur

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Les constructeurs de machines à vendanger conseillent de déposer les systèmes de convoyage sur les têtes de récolte. New Holland préconise de stocker les chaînes de Noria soit à plat, sur toute leur longueur, soit à la verticale lorsqu'on dispose de suffisamment de hauteur sous plafond. L'objectif est d'éviter les déformations. Avant de les remonter, vérifier l'état de chaque godet, comme la présence de trous ou d'une déformation mettant en cause l'étanchéité, et les remplacer au besoin.

Grégoire recommande d'enrouler le tapis convoyeur dans le sens du tasseau et de le poser sur les flancs. En cas de tapis abîmé, Grégoire conseille d'envoyer les tapis en réparation auprès de son partenaire

Vitimat : un devis sur photo peut être réalisé en amont. Le constructeur charentais conseille également de démonter les rampes d'écailles et de les stocker à plat à l'envers. Au remontage, veiller au bon positionnement des deux trains d'écailles, l'un étant positionné au-dessus de l'autre. Pour ceux qui sont équipés de trains d'écailles pneumatiques, les remettre en pression.

Prendre le temps de réviser sa machine permet d'être serein les vendanges venues.

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Pellenc n'impose pas le démontage du convoyeur, même si cette opération facilite son nettoyage, ainsi que celui du reste de la machine.

Lors du remontage des convoyeurs, s'assurer de leur bon alignement et de leur bonne tension. Pour cela, se référer notamment au manuel d'utilisation.

7 - Retendre et remonter les convoyeurs secondaires

Entre les convoyeurs principaux et les bennes à vendange (ou les systèmes de tri), prennent place sur certaines machines des convoyeurs secondaires. Certains utilisateurs les détendent pour l'hivernage, voire les démontent.

8 - Actionner les ventilateurs-aspirateurs

Hormis un graissage à la suite du lavage approfondi de fin de saison, il n'y a pas d'entretien particulier au niveau des aspirateurs. Les actionner permet de vérifier l'absence de fuite d'huile et de bruit suspect pouvant indiquer qu'ils sont abîmés.

9 - Remonter les tapis d'égreneur

Un certain nombre de viticulteurs démontent les tapis d'égreneur pendant l'hiver. Parmi eux, certains les remontent en inversant les tapis gauche et droit d'une saison à l'autre, voire en inversant l'avant et l'arrière. « C'est une manière d'homogénéiser l'usure qui peut être asymétrique et de faire durer autant que possible ces tapis, explique Pierre Cayrouse. Une fois remontés, il faut lever les bennes à fond : le poids naturel des tapis va permettre de régler facilement leur tension optimale ».

10 - Tester l'état des doigts d'égreneur

Quel que soit le système d'égrenage,

il est important de vérifier que les doigts ne sont pas déformés ou n'ont pas perdu en rigidité. Les remplacer si c'est le cas.

11 - Ne pas graisser à l'excès Le graissage des différents roulements doit être effectué à la suite du nettoyage complet de la machine après les vendanges. Il faut graisser suffisamment pour chasser l'eau et ne pas se retrouver avec des roulements grippés à l'entame des vendanges suivantes. « Remettre un petit coup de pompe à graisse juste avant les vendanges ne fait pas de mal », explique Pierre Cayrouse. « Attention de ne pas trop surgraisser, prévient Mathieu Tabardel. Il vaut mieux graisser plus souvent qu'à l'excès ».

12 - Remonter la tête de récolte dans le bon ordre

Lorsque la machine à vendanger est utilisée comme porteur multifonction, New Holland insiste sur le bon respect de l'ordre de branchement des différentes connectiques. « L'ordre de branchement est l'inverse de celui, bien établi, de débranchement », explique Pierre Cayrouse. Ne pas respecter cet ordre peut générer des points bloquants sur le fonctionnement de la machine. ANTICIPER UN MINIMUM SA RÉVISION

Dans la mesure du possible, il est préférable de ne pas entamer la révision de la machine la veille pour le lendemain. S'il y a des réparations ou des changements de pièces à réaliser, ces dernières ne sont pas forcément disponibles en concession. Mais la machine de récolte n'est pas le seul matériel à contrôler. « Régulièrement, la vendange est à l'arrêt à cause du tracteur, de la benne à vendange ou

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d'un matériel de cave, qui bloque toute la chaîne », prévient Jacques Servoles.

13 - Faire une mise à jour

logicielle

« Même sur les machines qui ont 7 à 8 ans, il peut y avoir des mises à jour logicielles, annonce Pierre Cayrouse. Ce n'est pas une obligation, mais ces mises à jour peuvent apporter en termes de confort et de performance. »

14 - Mettre en route tous les organes

Actionner tous les organes de récolte aide à détecter des bruits et/ou vibrations suspects et les pannes qui en découleraient. S'il n'y en a pas, faire varier un à un chacun des paramètres de récolte et s'assurer de la bonne réponse à la commande sur la machine.

15 - Réviser son manuel

Même si la machine à vendanger est utilisée de manière intensive pendant un à deux mois, il arrive régulièrement que le chauffeur oublie certaines procédures. « Bon nombre de coups de fil en concession en début de vendange sont dus à des oublis sur le mode de fonctionnement de la machine, explique Jacques Servoles. Prendre une petite heure quelques jours avant la vendange pour relire les quinze ou vingt pages du manuel d'utilisation permet de se remettre la machine bien en tête ». ■

Innovation

Innovation and sustainability the focus of Wine Eng 2024

Technologicalinnovation, sustainability and improving winery efficiencieshavebeen discussed at the WineEng 2024 conferenceand trade exhibition in the BarossaValley.

Thetwo-dayevent,heldannually by the Winery Engineering Association(WEA),took place in AugustatNuriootpawithanarrayof speakersaddressingtopicssuchasthe roleofrobotsandautomation,sustainable winery development,decarbonisation and the potentialof hydrogenas an energysource.

T

the ability for autonomousvehicles, includingthoseusedsuccessfullyfor palletising and depalletisingat his facility,tonavigatetheirenvironment.

"Thiscapabilityallowsthemtoadaptto environmentalchanges,avoidobstacles andoptimiseroutesdynamically,"hesaid.

SpeakerJorge Henry, site manager at TreasuryWine Estates'Barossa packagingfacility, spoke about the benefits and challengesof using autonomousvehiclesand robotsin a winerysetting.Heexplainedhowthese canhelptoreducelabourcostsaswellas toimproveproductquality.

Henrysaidadvancedsensors,AI and machinelearningalgorithmsprovide

SpeakerMichaela Barton, quality assurancemanagerat KingstonEstate Wines,detailedhercompany'sjourney tobecomingasustainablewineproducer. Sheoutlinedboth theenvironmental andcommercialbenefitsof sustainable practices,and emphasisedthe need for a 'comprehensiveand proactive' approachto tacklechallengessuchas wastewatermanagementand reducing biogasemissions.

"We'veactuallyonlybeenfullyaccredited forayear [ ] Forme,atthemoment,it's grassroots - tryingto getacommunity of our workersactuallyinterestedin sustainability [ ] Thebiggestoutcome ispeopleareactuallythinkingaboutit.

"I livein averyagriculturalareawhere peoplejustwantto workandgohome andnot think abouttheimpactonthe world.So,thebiggestchangeI'veseen in myareaiseveryonein thebusinessis nowactuallythinkingaboutthesethings and tellingme aboutthe actionsthat they'redoing,"sheexplained.

WineEngconferencemanagerSimon Nordestgaardsaidthestrongturnoutto thisyear'seventwaspleasing.

"We'reveryhappyto get this turnout,becauseobviouslytheseare difficulttimes.

"It isgreattogettogetherwithpeople talkingaboutwhatthey'redoingor [their]technologies.

Nordestgaardsaidseveralkeyareashavebeenofparticularinterestthisyear.

"Robotics speakerisabigtopic.We'vehada aboutwhoisaroboticist,whotalked humanoidrobots.

"Whilethat'snot reallyhappening inthewineindustry,weseesomuch aboutitinthemediaandwithTesla, for example.Wethoughtthatit wouldbe goodtogivepeopleanupdateonwhat's happeningoutthere.

"Sustainabilityisanunderlyingthemefor alotofthepresentations [ ]focussingontalksaboutelectricforkliftsabout hydrogenandloweringCO2aswell."

A rangeofindustrysuppliershave alsoexhibitedtheirlatestproductsand services,withcuttingedgetechnology forgrapeandwineproducersondisplay.

"Averygoodsign"

PellencGroupmanagingdirectorJean Vittotsaidinnovationremainsimportant

Arangeofindustrysuppliersexhibitedtheirlatestproductsandservices.

Weare bringing innovative solutions everyyearto the market, whether it's in the vineyard or in the winery space.We'revery happyto behere with the industry and other manufacturers.

SEVELD
JeanVittot
Burkert+TrelivingEng.

1 septembre 2024

foran'evolvingwinesector'toremainefficientandprofitable. Hesaidtheenthusiasmofattendees atWineEng2024wasa "verygoodsign".

"Thisisagreatshowthatwe'vebeenattendingformorethan10 years.Andtheattendanceisquitehighbecausepeoplealways needtolookatthebestwaystooperatetheirbusiness.Andwe allplayapartheretohelptheindustryandtokeeptheindustry informedofwhatwearecomingupwith.

"Wearebringinginnovativesolutionseveryyeartothemarket, whetherit'sinthevineyardorinthewineryspace.We'revery happytobeherewiththeindustryandothermanufacturers."

ChrisHoey,managingdirectorofBürkertAustralia,saidwhile theAustralianwinesectorstillfacessignificantchallenges,there remainsaneedforgreaterinvestment in newandimproved technologytoreduceoperatingcostsandimproveoutcomes.

"It'sgoodto seeeveryoneback[atWineEng2024]andthe industrystillthriving.Hopefullyinvestmentwillpickupagain. Obviously,it'sgoingtotakealittlebitoftime.

"There'sstillalotofroomforoptimisationexpansion,andI thinkoneofthebigchallengesaswemoveforwardisgoingto bemakingenergymoreefficient.

"Thethingisthatpeopleneedtobethinkingaboutmodern manufacturingprocessesandhowwecanbetterembrace technologytodecreaseourcosts,increaseourquality,reduce ourOH&Sissues,etc.,andmostimportantly,decrease[carbon] footprints.They'rethefourmainareasthatwefindwineries wanttoactuallyachieve,andthat'swheremoderntechnology canhelpthem."

WineEng2024wrappedup withsitetoursof thenewly constructedDorrienEstatewineryandTreasuryWineEstates' BarossaR&Dwineryandautomatedbarrelhall,andits packagingcentre.

-ReportingbyHansMickinNuriootpa GW

Endress+Hauser
Endress+HauserindustrymanagerGustavoQueirozandSAstatemanager JanKarstan

1 septembre 2024

PAYS :France

PAGE(S) :20

SURFACE :28 %

PERIODICITE :Mensuel

DIFFUSION :(5200)

JOURNALISTE :Jean-Baptiste Labelle

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Isoler pour mieux vinifier

Jean-Baptiste Labelle

Propriétaire d'un pressoir Pera Pellenc 4 000 kg depuis un an, la coopérative Les Coteaux à Oger s'appuie sur cet outil pour isoler des petits lots de raisins. La coopérative Les Coteaux d'Oger compte plus de 170 hectares avec un peu plus de 300 adhérents. « Nous sommes sur une amplitude assez particulière car selon les secteurs ça varie avec des secteurs plus tardifs comme la Vallée de Marne. Nous récoltons plus de 300 crus différents donc on s'adapte aux dates de vendanges », explique Benoît Diot, gérant de la coopérative.

Libérer le quai

En place depuis la vendange 2023, ce pressoir Pera Pellenc de 4 000 kg apporte àla coopérative Les Coteaux une solution pour écouler les raisins stockés en fin de journée lors de la vendange et qui ne sont pas en quantité suffisante pour compléter les pressoirs de 8 000 kg de la coopérative. « Celui-ci permet de libérer le quaiet de ne pas laisser des raisins en cours. En fin de vendange, on a des arrivages de raisins différés également. Au lieu d'attendre d'avoir un marcde 8 000 kg complet ça permet de le passer et d'ouvrir et fermer la vendange sur quelques jours », affirme Benoît Diot.

Isoler des lots

Autre atout de ce pressoir de 4 000 kg, il permet à la coopérative d'isoler des petits lots qualitativement ou non. « Un lot

exceptionnel peut ainsi être isolé et dans le même temps un lot dégradé en état sanitaire ou en maturité moins élevé peut également être isolé », précise le Marnais. Avec en moyenne 16 à 18 jours de vendanges au sein de la coopérative Les Coteaux, ce système est efficace. « Nous ne disposons pas de cuvée identitaire. Les cuvées bios dessus avec pressurage bio pour nos adhérents et de la prestation car on n'a pas des gros volumes. Cela isole les jus et on récupère des caisses vides ».

Gestion différente

Le choix de ce pressoir a également été fait pour trouver un autre système et un automate différent avec une gestion différente au niveau de la console informatique notamment. « Les coûts de changement de l'automate sont également moindres. Dans le temps, cela peutdonc être uneéconomie également. Le rétrofit serait moins onéreux aussi », poursuit Benoît Diot. L'automate est également gérable depuis un smartphone. De son côté, le lavage se réalise avec un système d'eau surpressurisé. « Et sans aucun souci de nettoyage avec les options nécessaires proposées ».

Vinification sur place

Au sein de lacoopérative Les Coteaux, tout est vinifié sur place et ensuite l'adhérent a le choix, soit il reprend ses vins clairs pour les vinifier chez lui, soit ça repart à l'Union champagne qui procède aux assemblages et aux différentes

cuvées correspondantes aux apports. « Nous accueillons des vins sans mentions. On revendique ni Premier cru ni Grand cru, cela peut être un blanc de blanc, mais pas Grand cru. On peutavoir une gamme assez complète, 65 % des adhérents vendent leurs raisins, tout est mis en place pour la qua- lité et ces vins clairs sont redistribués aux négociants selon un cahierdes charges spécifiques », conclut Benoît Diot.

Le pressoir Pera Pellenc de 4 000 kg apporte à la coopérative Les Coteaux une solution pour écouler les raisins stockés en fin de journée.

1 septembre 2024

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:J.D.

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Un sécateur complet et responsable

Pellenc lance une innovation de taille avec le premier sécateur professionnel à batterie embarquée et fabriqué en France. Tour d'horizon.

Concepteur et fabricant français de solutions technologiques durables, Pellenc dévoile une nouvelle innovation dans sa gamme d'outils à batterie destinée auxprofessionnels : le C3X, premier sécateur à batterie embarquée et fabriqué en France. Conçu pour répondreaux besoins des viticulteurs, arboriculteurs, paysagistes, horticulteurs et pépiniéristes, le C3X combine performance, polyvalence et durabilité. Le lancement de ce nouvel outil s'inscrit dans une démarche industrielle responsable. Agile, puissant et connecté Fort d'une expertise technologique reconnue, Pellenc répond ainsi aux besoins d'un secteur en pleine mutation, ce modèle offre une grande productivité : agile et polyvalent grâce à sa batterie embarquée, il est éga- lement puissant et performant. Tout comme les modèles C35/ C45, le C3X dispose dusystème anti-coupure Activ'Security, breveté par Pellenc, qui permet un arrêt instantané de la lame au contact de la main. Un autre avantage est sa solution de recharge mobile multisource.

En complément du système de recharge classique sur secteur, la batterie Alpha-Lite du C3X peut être chargée sur une voiture, une batterie

externe, ou des panneaux solaires, offrant ainsi plus d'autonomie et de liberté d'action. De plus, la connexion NFC de série permet l'accès à de nombreuses fonctionnalités comme le suivi statistique, le paramétrage, ou encore la gestion de laflotte, via l'application mobile Pellenc Connect ou une plateforme en ligne. Innovation responsable Pellenc met ainsi en oeuvre l'une des stratégies les plus efficaces pour réduire l'impact environnemental de ses produits :allonger leur durée de vie. Les équipes R&D de Pellenc travaillent depuis de nombreuses années pour proposer des équipements toujours plus durables. En 2023, gage des bonnes pratiques de conception et de fabrication des outils Pellenc, la marque a obtenu la certification Longtime, premier label européen indépendant qui identifie et valorise les produits conçus pour durer et lutter contre l'obsolescence programmée, sur 5 de ses produits. L'instruction est en cours pour d'autres références, notamment le C3X. La conception et le choix des matériaux qui le composent visent à offrir une durabilité exceptionnelle et une simplicité de réparation en conditions professionnelles.

La connexion NFC de série permet l'accès à de nombreuses fonctionnalités comme le suivi statistique, le paramétrage, ou encore la gestion de la flotte, via l'application mobile Pellenc Connect ou une plateforme en ligne.

Conçu pour répondre aux besoins des viticulteurs, arboriculteurs, paysagistes, horticulteurs et pépiniéristes, le C3X combine performance, polyvalence et durabilité.

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