RDP-Septembre 2019

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REVUE DE PRESSE SEPTEMBRE 2019


Sommaire Le mobility management: une organisation optimale

4

Voyages d'affaires - 01/09/2019

Innovation, polyvalence et numérique à l'honneur

7

En Pays Varois - 28/09/2019

Innovation, 'Polyvalence' et numérique à l'honneur

9

Réussir l'Agriculteur Provençal - 27/09/2019

Innovation, 'Polyvalence' et numérique à l'honneur

11

Paysan du Midi - 27/09/2019

Revenir victorieux

13

L'Exploitant agricole de Saône-et-Loire - 27/09/2019

Nouveautés en matériels viticole

15

L'Agriculteur de l'Aisne - 27/09/2019

À aix, les start-up présentent leurs innovations

17

La Provence Marseille - Marseille - 24/09/2019

Agroéquiment : Appréhender la réforme de l'apprentissage

18

Paysan du Midi - 20/09/2019

Le temps d'une image

21

L'Avenir Agricole & Viticole Aquitain - 20/09/2019

La pulvérisation en question

22

L'Avenir Agricole & Viticole Aquitain - 20/09/2019

L'Appodema mobilise les enseignants

23

Machinisme & Réseaux - 01/09/2019

Des ateliers pratiques

24

Vaucluse Agricole - 20/09/2019

Appréhender la réforme de l'apprentissage

25

Vaucluse Agricole - 20/09/2019

Un terrain d'essai pour l'agriculture 4.0

27

La Tribune Hebdomadaire - 20/09/2019

La viticulture à l'aube de sa révolution numérique

32

La Tribune Hebdomadaire - 20/09/2019

Emeraude voit la vie en vert...

37

Recyclage Récupération Magazine - 01/09/2019

Pellenc s'implante à Pons

43

En 2Mots Poitou-Charentes - 18/09/2019

Tomra voit dans le noir des déchets

44

L'Usine Nouvelle - 19/09/2019

P.2


Vive les « paysagistes de l’environnement »

46

Paysage Actualités - 01/09/2019

Quitte à perdre des marchés, l’entreprise de paysage

47

Paysage Actualités - 01/09/2019

Pellenc rhabille ses prototypes

48

Paysage Actualités - 01/09/2019

Le groupe Pellenc va s'implanter à Pons sur l'ancien site Wesper

49

APS - Aquitaine Presse Service - 13/09/2019

Le Forum Pulvé s’interroge aussi sur le biocontrôle

50

La vie charentaise - 12/09/2019

Châlons d’Or : entreprendre et innover

51

Marne Agricole - 13/09/2019

13 jeunes sapeurs-pompiers préparent leur rentrée

52

La Provence Vaucluse Sud - Vaucluse Sud - 12/09/2019

NOUVEAUTÉS VENDANGES

53

Terre de Touraine - 06/09/2019

Le tri version haut de gamme

58

Réussir Vigne - 01/09/2019

Trophées Paysagistes pour l'environnement

61

Le Lien horticole - 01/09/2019

Pellenc / La Harde

62

La Correspondance de la Publicité - 06/09/2019

WALK PRÉSENTE « LA HARDE » POUR PELLENC

63

Cb Newsletter - 05/09/2019

Pellenc labellise son réseau

65

Viti Leaders - 01/09/2019

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JOURNALISTE :Cyrienne Clerc

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1 septembre 2019 - N°162

DÉPLACEMENTS

Le mobility management: une organisation optimale Rapprochement entre la gestion des flottes automobiles et des déplace ments professionnels ; mise en place de l'autopartage, du covoiturage et du vélopartage ; réduction des émissions carbone : le mobility manager est au cœur des nouvelles solutions de mobilité. Par Cyrienne

Clerc

es nouvelles

obligations

fixées par le plan

juridiques

de mobilité,

obli

L

environnementales

et fiscales pour les véhi

cules d ’entreprise

nous incitent

gatoire pour les sites de plus de cent salariés, de même que les nouvelles normes

l ’organisation

de notre flotte

à revoir

de véhicules

et du pôle voyages. Les entreprises doivent s’adapter en

affirme Danièle

Maby, coordinatrice

voyages et services

généraux

et gestionnaire

véhicules

chez Pellenc,

machines

et équipements

L’arriveede nouvellessolutions commel’autopartage,le vélopartage etle covoitu ragefavorisele regroupement de la gestiondeflotteet desdéplacements professionnels. et le covoiturage regroupement

répondent rateurs

exerce de fait une fonction

encore

peu développée

en

France

: celle

de

mobility

manager.

L ’arrivée de nou velles comme

favorise

à bénéficier de nouvellesformes de

circulation

l’autopar

note Yvonnick

Chalonge, directeur

désormais

de la gestion

en mobility le

de flotte

professionnels.

Recourir

des collabo

de mobilité

attribué,

mais cherchent

conseiller

chez Mobility

qui propose

de l ’autopartage

collaborateur

pour clients

voiture,

n ’ont de

plutôt

la réduction Le véhicule

aux

nouvelles

présente

des émissions électrique

tif “dans un contexte

solutions

un autre avantage de carbone.

journées :

Gérard de d ’Athlon

commercial

sa solution roule

Flex2Use.

au quotidien

un véhicule électrique,

Enedis,

La Poste et Orange.

de transport “Certains

management

qui a notamment

à la demande

d’un véhicule

Maisonneuve,

Tech Green, spécialiste

que ces modes les plus jeunes.

en ville ”, remarque

solutions

tage, le vélopartage

plus envie de bénéficier fonction

de

pour l’agricul

ture. Danièle Maby

et des déplacements D ’autant

de la flotte de constructeur

ou une plus petite

et bénéficie d ’un budget pour des de location

courte

durée, par

exemple pour

les vacances ’’, explique-

t-il.

a adopté

Siemens

cette

formule

“Ils ont le choix

répond à cet objec

pour ses collaborateurs.

de restrictions

entre quatre modèles électriques,

à la

“Le avec

de la Zoe

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à la Testa. En fonction

de cechoix, le nombre

de journées de location

courte durée varie

’à 40 ou 50 jours.

et peut aller jusqu

d ’ un simulateur

disposent

cette offre ”, détaille

pour

Patrick

Ils

étudier

Petit,

res

des achats hors production

de Siemens.L ’entreprise “s ’estengagéeàavoir ponsable

une empreinte Et, parmi

carbone

nos activités

neutre

en 2030.

les plus émettrices

de COg, les déplacements font partie du top 3 ” , explique

Selonun sondage Patrick Petit, qui réaliséen 2019 propose aussi à par l’ArvalMobility ses collaborateurs Observatory, 31 % le service de covoi desentreprises interrogéesutilisent turage Klaxit et étu déjàle covoiturage die la mise en place ou comptentle de crédits mobilité. proposerà leurs “Nous testonset ins salariés. tituons dessolutions

alternatives.

une orga

Mais cela implique

plus loin. Ainsi Diac Location

peut choisir le VTCpour

Un collaborateur se rendre

en centre-ville

“ Disposer d ’un budget global et les voyages d ’affaires

le VTC l ’attend. Nous nous orientons

pilotage.

pour

souvent les taxis ”, souligne

Olivier

Valla-

deau, responsable

Travel

& fleet

management

adjoint

chez Natixis,

société qui ne

calcule plus en termes de TCO - total cost ou coût global du véhicule -,

of ownership, mais

le total cost of mobility,

de TCM,

le coût total de la mobilité.

de règles

à dire privilégier,

selon

les

le

train

distances, à l ’avion

de

en partenariat une solution

vélos, la station

pour les modèles

tance électrique,

des casques et gilets de protection devrait

connaître

pourront,

après l’ adoption

ou un

badge dédié. Notre solution

aussi

déplacement

aux frais de

domicile-travail

en covoitu

rage ou à vélo de leurs salariés, à hauteur de 400 euros par an. Selon un sondage réalisé en mars 2019 par l ’Arval Mobility Observatory, 31 % des entreprises interrogées ayant un parc de véhicules de fonction à 100 % utilisent déjà le covoiturage

ou comptent

le proposer

à leurs salariés, ce chiffre montant pour

les sociétés

à 57 %

de plus de 1000 vient

juste

sala

derrière

et 60 % chez les plus de

(29 % au global

suivi

Syda ©

d ’élargir

le recours à l ’autopartage le soir

et le week-end ”, explique ce consultant de Mobility

Tech Green, société qui propose

aussi du vélopartage e-colibri

(16 % et 32 %).

qui

partage,

d ’auto cette

“ limite le recours aux taxis, à la location courte durée en plus des indemnités kilo métriques. ” ’Yout en apportant davantage de souplesse,elle permet aussi d ’optimiser la flotte de voitures. “Mettre en autopar tage un véhicule qui roule peu améliore son taux d ’utilisation. Encore plus si on le meta disposition des collaborateurs à titre

se rendre

king, ou préférer l ’autopartage

de par

à la location

courte durée... ” , indique Mélaine Pouchaindes services

aux

collaborateurs

chez Métro France. Les acteurs de la location longue durée tous, ou presque, une certains allant même

privé, le week-end et en soirée, moyennant un prix

abordable

” , explique

cette res

sur sa plate-forme sur une nou

tout en travaillant

velle version “L ’ utilisateur

qui intégrera

le covoiturage.

d ’un véhicule autopartagé

“ La mise en place d ’un service d ’au topartage limite le recours aux taxis, à la location courte durée en plus des indemnités kilomé

du crédit

solution

afin d ’éviter les frais

permet

de

des mobi lités prévue

plutôt que l ’utili

offre d ’autopartage,

s’ouvre avec le badge professionnel

pourra

proposer

une place à un col lègue sur le même parcours.

C'est un

outil

intéressant

pour

les salariés,

Mélaine PouchainDe Vita, Métro nomies pour

étude

Solutions

mixité

professionnelle

tout

engénérantdes

éco

l ’entreprise ”, souligne-t-il.

Et en effet, les économies une

une

et qui permet certaine

Pour Mélaine Pou-

le taxi

et le véhicule

un

service

(LLD) ont désormais

grâce à une application

Productions

chain-DeVita,

De Vita, responsable

tions seprennent

dans la mesure où les

mobilité

mais

Avec une les réserva

et des

met en place un

à l ’aéroport

Maisonneuve.

d ’autopartage,

outils de gestion pour organiser le partage.

en covoiturage

ou les VTC pour

note Yvonnick

à assis

les déplacements

de fonction,

un

en plus de l ’entretien,

ou

aussipréconiser

les

ensuite

avec Klaxit, mais aussi de vélopartage incluant les

1 000 salariés),

sation du véhicule

beaucoup

propose à la fois une offre de covoiturage,

“ C ’est

cohérentes.

intéresse

mais cela prend

De son côté, Arval, filiale de BNP Paribas,

riés. L ’autopartage

Cette gestion favorise aussi l ’adoption

délégué

À BICYCLETTE

pour la fin 2019, contribuer

d’un véhicule de fonction, mais qui utilisent

ainsi

“L ’autopartage

mobile ou sur le site internet

la loi d'orientation

les collaborateurs disposant

vons identifier

les

domicile-travail.

Hauville, directeur général Diac Location.

le

Nous pouvons croiser les fichiers,

déplacements

plate-forme

la

les déplacements. Par exemple, nous pou

partagées

sur son site de Nanterre pour faciliter

vers un pass mobilité ” , indique Vincent

employeurs

facilite

met en place

certain temps avant qu'elles ne se décident,

Cette alternative

flotte

et des trottinettes

en train ou en avion. À l ’arrivée à Toulouse,

fort développement

borateurs ne soient pas déçus ”, ajoute-t-il.

qui, en parallèle,

des vélos

entreprises,

nisation complexe et un suivi irréprochable et que les colla

si les possibili

ponsable

tés de parking sont quasi inexistantes. Cette offre vise aussi celui qui se déplace

pourqu

'ellesfonctionnent

(Renault)

“ une offre de VTC avec Marcel.

propose

suivent.

(Groupe

Selon

Business

de Free2Move

PSA), “ chaque mois,

d ’un véhicule économise quatre à cinq locations de courte durée, 21 courses de taxi ou sept trajets en indemnités kilo métriques. ” lepartage

Pour sa part, le vélopartage a ses adeptes comme

ses détracteurs.

pas activé ce projet

pour

“Nous n ’avons des questions

de sécurité des collaborateurs

” , souligne

Patrick

Petit,

Du côté de

Natixis,

également

positions

chez Siemens.

évoluent.

réticent

au départ, les

“Nous réfléchissons

vélopartage pour notre futur

au

siège parisien

»>

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favorisé par la dernière réforme

qui disposera de peu de places de parking.

télétravail,

Nous

du droit

du travail.

à vélo et desrecharges électriques gratuites

peuvent

télétravailler

pour les collaborateurs

Des

par semaine. Nous les incitons

être

à utiliser

comptons

subventions

y installer

des garages

et les visiteurs.

pourraient

également

proposées

à ceux qui achèteraient

électrique

” , indique Olivier

un vélo

affronter

Avec le crédit

mobilité,

une solution

mise en avant par Ubeequo les salariés

leur véhicule budget

ou Renault

pour leurs déplacements

privés

ou taxi. Pour sa part, le groupe GCC le propose aux salariés qui optent pour un véhicule électrique. Ceux qui abandonnent leur modèle classique en train,

avion

ainsi d ’un crédit

bénéficient

et d ’un service de véhicules autopartagés. solution,

plus élevé

Parmi les testeurs

de cette

le responsable logistique

du groupe. Autres

visant cette fois à limiter

déplacements

: les visioconférences

les et le

également

Valladeau. doit cependant

nombre

des quadra

de freins,

“ Ceux qui bénéfi

cient de véhicules defonction ou des quinqua

sont souvent peu habitués

d ’autres modes de mobilité ”,

de Chalonge. Ensuite, vient le manque d ’outils. “En matière de gestion de flottes et de voyages, nous avons le choix entre un grand nombre d ’applica indique

Gérard

tions, mais il n ’y a pas d ’offre pour un suivi global ”, souligne Danièle Maby. “ Pour arriver aune organisation performante,

cela

nécessite de mettre en place des tableaux de bord, de comparer

électriques

“les deux tiers accrochent ” , assure

alternatives

un certain

à consommer

qui abandonnent

de fonction, ou choisissent plus petit, bénéficient d’un

un véhicule

Olivier manager

tout d ’abord culturels.

CRÉDIT ÉLEVÉ

Mobility,

jusqu ’à deux jours

Skype et les outils de visioconfé

rence ”, souligne Le mobility

Valladeau.

“Nos collaborateurs

tissements

et les coûts ”, précise

Pouchain-De

Mélaine

Vita. Enfin, la fiscalité

aussi à suivre.

“Il faut

être attentif

tarde aux

règles sur les avantages en nature afin, par exemple, que les crédits mobilité

ne soient

TÉMOIGNAGE

OUSMANE

©

les retours sur inves en complément de salaire. fiscale n ’est pas claire sur

L ’administration

ces sujets ” , souligne

cette gestionnaire. : “ si un collabora teur part en vacances en avion et laisse son Autre

interrogation

véhicule de fonction

en autopartage

solution

-, comment

envisagée

à l ’encadrement “ Ceux qui bénéfi

“J’exerce un métier central qui touche à tous les services, allant des ressources humaines aux finances, en passant par le juridique ou la compta Ousmane Mbodje, mobility manager chez Lidl, qui gère à la fois et le “travel ”. “ Quand les deux entités se parlent, cela permet de dépenses liées à l ’ensemble des déplacements, de réduire leurs

” , raconte le parc auto consolider les coûts et de les

optimiser. Ainsi, dans le cas d'un collaborateur qui aurait tendance à prendre un taxi pour aller à l ’aéroport, nous pouvons l’inciter à prendre un véhicule disponible dans la flotte et à le confier à une des nouvelles sociétés de voituriers pour réduire les coûts de parking ”, explique ce gestionnaire. Ce dernier apprécie également de pouvoir “regrouper les contra ventions ”, qu ’il s’ agisse de celles liées à la flotte automobile ou aux locations

de courte durée dans le cadre d ’un voyage.

En outre, “cette vision à 360° nous permet de sécuriser le déplacement et, au besoin, de lui apporter une assistance. ” L’entreprise n ’est pas la seule à trouver un avantage à cette organisation.

du salarié “Les

salariés n ’ont plus qu ’une voie d ’entrée pour leurs déplacements. Ils ne doivent pas courir après le responsable de la flotte pour avoir accès à un véhicule, puis passer par celui des voyages pour réserver un hôtel, dit encore Ousmane Mbodje. Avec la mise en place d ’outils de réservation et une centralisation des

- une

lui attri

buer un avantage en échange, sous quelle forme et selon quelle fiscalité ?” , s’interroge-t-elle. Les entreprises réfléchissent

MBODJE, MOBILITY MANAGER CHEZ LIDL

“ LES SALARIÉS N ’ ONT PLUS QU ’ UNE SEULE VOIE D ’ENTRÉE POUR LEURS DÉPUXCEMENTS

pas requahfi.es

cient de véhicules de fonction sont

du

“ bleisure ” , contrac tion de “ business ” et ” . “ Un col

“ leisure

souvent des quin qua peu habitués à consommer d ’autres modes de mobilité ”

pour

Gérard de Chalonge, Athlon

séjour sur un week-

paiement

laborateur

qui part

une mission

à Hong-Kong

peut

vouloir prolonger son

du déplacement

et de la sécurité,

c’est loin d ’être clair. Pourtant, de nombreux collaborateurs Mélaine

sont demandeurs ”,remarque

Pouchain-De

Vita.

En plein essor au sein des entreprises, mobility

le

n ’est pas un chemin Il peut aussi se partager ! “Nous

management

solitaire. participons mutualiser

à des groupes de travail afin de nos moyens de mobilité

avec

dépenses, les salariés n ’ont plus à faire des avances pour un hébergement ou un transport. Cette gestion limite donc les notes de frais et permet de mettre

d ’autres

en place des règles claires pour l’ensemble des voyages. ” Par ailleurs, elle permet de mieux accompagner l’entreprise vers les nouvelles mobilités. “Le covoiturage fait partie des solutions. L ’un des projets qui pourraient être intéressants serait de mettre les véhicules de l ’entreprise en pool à disposi

Monde ou la RATP ” , souligne le responsable de Natixis. Parmi les projets : regrouper les offres de covoiturage et partager les places de coworking entre les différents sites parisiens. —

tion des salariés le week-end et le soir, moyennant conclut Ousmane Mbodje.

une petite

entreprises

zième arrondissement

voisines parisien,

dans le trei comme Le

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JOURNALISTE :Olivier Bazalge

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En Pays Varois

PERIODICITE :Bimensuel

28 septembre 2019 - N°125

SITEVI

Innovation, polyvalence et numérique à l'honneur Le compte à rebours vers l'édition 2019 du Sitevi est lancé. En dévoilant les grandes lignes du salon, qui se tiendra du 26 au 28 novembre au parc des expositions de Montpellier, l'équipe organisatrice a souligné la popularité de l'évènement qui affiche encore complet en termes d'exposants. Ces derniers dévoileront plus de 300 nouveautés à cette occasion. Rendez-vous donc le 26 novembre n dévoilant à la presse et aux partenaires les tendances fortes du salon qui se tiendra dans

pas à qualifier

mondial

pour le coup d'envoi. ■

pour les professionnels des filières vignevin, olive et fruits et légumes. Mais nous deux mois, les organisateurs du Si conservons aussi cet ancrage régional qui fait notre Des services de ont tenu à mettre en avant le succès \matchmaking\ sont ainsi développés de l'évènement qu'ils portent. cette année pour faciliter la mise en re Les exposants seront, cette année enco

E

re, au rendez-vous maximum

avec 1 100 stands, le

des possibilités

du salon. Ce

sera d'ailleurs la dernière édition cette configuration puisque,

dans dans

deux ans, relookage et l'agrandisse ment du parc des expositions seront ter minés, grâce à un financement 80 M€ de la part de la Région

de

Les filières

bien représentées

186 exposants

viendront

présenter

leurs produits pour la première fois, avec notamment l'arrivée de nou veaux venus issus de quatre pays (Croatie, Suisse, Norvège, RoyaumeUni) n'ayant jamais participé. Ce sont ainsi 23 % d'entreprises nales en plus qui sont pour cette édition. proposeront

internatio enregistrées

95 % des exposants

bien évidemment

lation des exposants et des visiteurs, et les innovations les plus marquantes sont valorisées à travers le palmarès des Sitevi Innovation

du ma

tériel viti-vinicole, mais les autres filières sont également bien représentées. Le matériel destiné aux professionnels des fruits et légumes sera présent chez 60 % des entreprises participantes et 47 % des exposants proposeront du maté riel destiné à la filière oléicole. Plus de 300 nouveautés seront ainsi présen tées, distribuées par plus de 60 % des exposants, répondant ainsi à l'attente constatée des visiteurs, deux tiers d'entre eux se déplacent pour découvrir ces nouveautés. C'est un élément essen souligne-t-on encore au niveau de l'organisation. Le salon, qui a attiré, lors de la dernière édition de 2017, des visiteurs issus de

awards (voir encadré).

Marché français en progression Une fois

a confirmé Jean-Louis Cazaubon, viceprésident de la Région Occitanie en charge de l'agroalimentaire et la viti Sitevi culture.

Olivier Bazalge

de plus, le programme

trois jours de cette édition en conférences cinquantaine thématiques

des

sera chargé

et ateliers.

Plus d'une

se succéderont, avec des généralistes qui accom

pagneront les plus spécifiques à chaque filière. En parallèle, une dizaine de jeunes entreprises innovantes en agriculture

seront

mises en avant

sein d'un

au

et les ani

mations de jobdating, le pôle re cherche & développement, et l'espace dégustation seront reconduits avec des masterdass diverses aux côtés du tasting corner pour les dégustations libres. Alain Savary, directeur ma, a terminé

général

en soulignant

cette édition 2019 contexte favorable, pour le marché de marché français

d'Axe-

combien

se plaçait dans un au niveau français, l'agroéquipement. connaît une dyna

mique de croissance, alors que c'est plus compliqué

à l'échelle européenne globale.

Une forte progression a été enregistrée au 1ersemestre 2019, qui nous conduira à une croissance de 8% du marché français sur l'année entière. Les facteurs sont mul tiples, mais la tendance illustre le souci de nos exploitants de se doter de matériel in novant pour répondre aux enjeux d'effi cacité, de précision et de diminution des intrants demandés par les enjeux envi dévoile-t-il.

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JOURNALISTE :Olivier Bazalge

SURFACE :44 %

En Pays Varois

PERIODICITE :Bimensuel

28 septembre 2019 - N°125

Les lauréats des Sitevi Innovation awards dévoilés --------------------- - ---------------...

12 médailles phées de sentation sélection, Médailles

--------------------------— ................

de bronze, 5 médailles

•------------------— 2---------------- ............

d'argent

. ............. . ........................

et 2 d'or. Voilà le palmarès

........

. .

,

des tro- ;

l'innovation dévoilés à l'occasion de cette conférence de presse de pré-1 du Sitevi 2019. 77 dossiers ont été déposés et expertisés par le comité de i pour 19 primés par le jury. ; d'or : ;

> New Holland Polyvalence

avec un logiciel embarqué

à la demande,

sur une machine

à vendanger.

le logiciel gère tous les équipements

cycle de production ; > Sun'Agri, la solution de protection

climatique

panneaux sont pilotés automatiquement brage de la culture. Médailles d'argent : > Lentille de Fresnel, innovation

touchant

par agrivoltaïsme

pour optimiser

à l'étiquetage

Appelé

utilisés durant

où les :

dynamique,

l'ensoleillement

;

un j

et l'om- ; ;

avec de la société Inessens ; ■

I LabeIPulvé de l'IFV vise à labelliser les pulvérisateurs viticoles selon leurs performances ; I > Bliss, le système de pulvérisation à lames d'air à faible impact développé par l'Irstea ; I > AphroMate Plus, qui automatise totalement la prise de mousse en méthode Charmat ; : > Multifonction

Combiné,

de Pellenc, qui permet

d'utiliser

simultanément

deux ou- ;

tils sur un porteur. Médailles

de bronze

:

I

> Julietta, solution biofongicide d'Agrauxine > Gazy, application d'AirTech&Oenoméca dans les vins ; > Andromède,

d'Aquadoc,

contre le Botrytis ; permettant la gestion

système d'irrigation

optimisée,

des gaz dissous

I

et partagée ;

;

connectée

> BM76G, de BM emballage, machine haute cadence à couper les greffons ; > Maestro, de Bûcher Vaslin, pressoir pneumatique entièrement automatisé ; > CH201 C.O.V, de Dalival, une poire bicolore ; > Digivitis, de Felco, solution de collecte de données au poignet > MLE 4441 CAN, de Gai France, Monobloc aluminium;

> DeciTrait, de l'IFV, système expert de décision de traitement

giques au cœur de la vendange ; > Frutteto CVT Activesteer, de SDF France, tracteur

fera

le plein

vigneron

d'exposants

;

en canettes

en viticulture

> Unité d'oxydation contrôlée des moûts, de Michael Paetzold ; > SmartPress, de Pera-Pellenc, pressoir permettant l'injection

Comme en 2017, le salon Sitevi internationales représentées.

en viticulture

linéaire de conditionnement .

;

d'intrants

; ;

œnolo-

à 4 roues directrices.

avec

I ;

I

1 100 entreprises

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JOURNALISTE :Olivier Bazalge

PAGE(S) :2 SURFACE :45 % PERIODICITE :Hebdomadaire

27 septembre 2019 - N°1852

SITEVI

Innovation, à l'honneur

'Polyvalence' et numérique

Le compte à rebours vers l'édition 2019 du Sitevi est lancé. En dévoilant les grandes lignes du salon, qui se tiendra du 26 au 28 novembre au parc des expositions de Montpellier, l'équipe organisatrice a souligné la popularité de l'évènement qui affiche encore complet en termes d'exposants. Ces derniers dévoileront plus de 300 nouveautés à cette occasion. n dévoilant

à la presse

et aux

partenaires

les tendances

fortes

E

ont

a confirmé président

du salon qui se tiendra dans charge deux mois, les organisateurs du Sitevi culture. tenu à mettre en avant le succès

de l'évènement

qu'ils

Jean-Louis Cazaubon, vicede la Région Occitanie en

de l'agroalimentaire

Les filières

portent.

bien représentées

Les exposants seront, cette année enco re, au rendez-vous avec 1 100 stands, le

186 exposants leurs produits

maximum

avec

des possibilités

du salon. Ce

sera d'ailleurs la dernière édition cette configuration puisque, deux ans,

relookage

dans dans

Uni) ter de

de bronze,

: sentation ; sélection, ; Médailles > * New

5 médailles

dévoilés

de nou

jamais

participé.

édition.

Ce sont

internatio enregistrées

95 % des exposants

d'argent

et 2 d'or.

Voilà le palmarès

de cette conférence

ont été déposés

des tro- !

de presse de pré- :

et expertisés

par le comité

de :

:

Holland

avec un logiciel

■Polyvalence à la demande, ; cycle de production ; : > Sun ’ Agri, la solution : panneaux

l'arrivée

awards dévoilés

à l'occasion

du Sitevi 2019.77 dossiers pour 19 primés par le jury. d'or

n'ayant

pour cette

: Les lauréats des Sitevi innovation

: phées de l'innovation

notamment

ainsi 23 % d'entreprises nales en plus qui sont

80 M€ de la part de la Région

J 12 médailles

viendront présenter pour la première fois,

veaux venus issus de quatre pays (Croatie, Suisse, Norvège, Royaume-

et l'agrandisse

ment du parc des expositions seront minés, grâce à un financement

et la viti

de protection

sont pilotés

; brage de la culture. Médailles d'argent

embarqué

le logiciel

sur une machine

à vendanger.

gère tous les équipements climatique

automatiquement

utilisés

par agrivoltaïsme

pour optimiser

Appelé

où les :

dynamique,

l'ensoleillement

;

un ■

durant

et l'om-

;

:

> * Lentille de Fresnel, innovation

touchant

avec de la société Inessens ; ■

à l'étiquetage

! * LabeIPulvé de l'IFV vise à labelliser les pulvérisateurs

viticoles selon leurs performances

; i

j * Bliss, le système de pulvérisation à lames d'air à faible impact développé par l'Irstea ; : ; > AphroMate Plus, qui automatise totalement la prise de mousse en méthode Charmat ; ; ; I Multifonction

Combiné,

; tils sur un porteur. ■ Médailles de bronze ■ * Julietta,

solution

! * Gazy, application ; dans les vins; ; * Andromède,

de Pellenc, qui permet

d'Agrauxine

d'Aquadoc,

système

d'irrigation

machine

de Bûcher Vaslin, pressoir

pneumatique

de collecte

de l'IFV, système expert

• I SmartPress, ■giques

au

i I Frutteto

cœur

contrôlée

de la vendange

CVT Activesteer,

connectée

à couper

et partagée

les greffons

entièrement

de données

;

I ; ;

;

automatisé

au poignet

linéaire

de décision

pressoir

des gaz dissous

;

;

de traitement

permettant

en viticulture

de conditionnement

des moûts, de Michael

de Pera-Pellenc,

la gestion

optimisée,

haute cadence

une poire bicolore

de Felco, solution

; * Unité d'oxydation

deux ou- ;

le Botrytis ;

permettant

i * MLE 4441 CAN, de Gai France, Monobloc [aluminium; ; > DeciTrait,

contre

d'AirTech&Oenoméca

! I CH201 C.O.V, de Dalival, • > Digivitis,

simultanément

:

biofongicide

; I BM76G, de BM emballage, ■> Maestro,

d'utiliser

;

en canettes

en viticulture

; ;

;

Paetzold ; l'injection

d'intrants

œnolo-

;

de SDF France, tracteur

vigneron

à 4 roues directrices.

I

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JOURNALISTE :Olivier Bazalge

PAGE(S) :2 SURFACE :45 % PERIODICITE :Hebdomadaire

27 septembre 2019 - N°1852

Comme en 2017, le salon —»... internationales représentées.

proposeront

bien évidemment

du ma

tériel viti-vinicole, mais les autres filières sont également bien représentées. Le

en conférences et ateliers. Plus d'une cinquantaine se succéderont, avec des thématiques

généralistes

qui accom

matériel destiné aux professionnels des fruits et légumes sera présent chez 60 %

pagneront les plus spécifiques à chaque filière. En parallèle, une dizaine

des entreprises participantes et 47 % des exposants proposeront du maté riel destiné à la filière oléicole. Plus de

de jeunes

300 nouveautés tées, distribuées

mations

seront ainsi présen par plus de 60 % des

exposants, répondant ainsi à l'attente constatée des visiteurs, deux tiers d'entre eux se déplacent pour découvrir ces nouveautés. C'est un élément essen souligne-t-on

encore

au niveau

entreprises

agriculture seront sein d'un “village

innovantes

en

mises en avant au et les ani

de jobdating,

le pôle

re

cherche & développement, et l'espace dégustation seront reconduits avec des masterdass tasting

corner

diverses aux côtés du pour

les dégustations

libres. Alain Savary, directeur

général

d'Axe-

de l'organisation.

ma, a terminé

Le salon, qui a attiré, lors de la dernière édition de 2017, des visiteurs issus de

cette édition 2019 se plaçait dans un contexte favorable, au niveau français, pour le marché de l'agroéquipement.

65 pays cultivera donc encore une po sition que les organisateurs n'hésitent pas à qualifier

mondial

pour les professionnels

des filières vigne-

vin, olive et fruits et légumes. Mais nous conservons aussi cet ancrage régional qui fait notre \matchmaking\

force ”. Des services de sont ainsi développés

cette année pour faciliter la mise en re lation des exposants et des visiteurs, et les innovations les plus marquantes sont valorisées à travers le palmarès des Sitevi Innovation

Marché

awards (voir encadré).

français

Une fois de plus,

le programme

trois jours de cette édition

des

sera chargé

combien

marché français connaît une dyna mique de croissance, alors que c'est plus compliqué à l'échelle européenne globale. Une forte progression a été enregistrée au semestre 20 19, qui nous conduira à une croissance de 8% du marché français sur l'année entière. Les facteurs sont mul tiples, mais la tendance illustre le souci de nos exploitants de se doter de matériel in novant pour répondre aux enjeux d ’effi cacité, de précision et de diminution intrants

demandés

Rendez-vous

en progression

en soulignant

des

par les enjeux envi

dévoile-t-il. donc le 26 novembre

pour le coup d'envoi.

O livier

B azalge

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JOURNALISTE :Olivier Bazalge

SURFACE :45 % PERIODICITE :Hebdomadaire

27 septembre 2019 - N°3770

SITEVI

Innovation, 'Polyvalence' et numérique à l'honneur Le compte à rebours vers l'édition 2019 du Sitevi est lancé. En dévoilant les grandes lignes du salon, qui se tiendra du 26 au 28 novembre au parc des expositions de Montpellier, l'équipe organisatrice a souligné la popularité de l'évènement qui affiche encore complet en termes d'exposants. Ces derniers dévoileront plus de 300 nouveautés à cette occasion. n dévoilant

à la presse

et aux

partenaires les tendances fortes du salon qui se tiendra dans deux mois, les organisateurs du Si

E

ont tenu à mettre en avant le succès de l'évènement qu'ils portent. Les exposants seront, cette année 1enco re, au rendez-vous avec 1 100 stands, le maximum des possibilités du salon. Ce sera d'ailleurs

la dernière

édition

dans

cette configuration puisque, dans deux ans, relookage et l'agrandisse

65 pays cultivera donc encore une po sition que les organisateurs n'hésitent pas à qualifier mondial pour les professionnels des filières vignevin, olive et fruits et légumes. Mais nous

dévoile-t-il. Rendez-vous

donc

pour le coup d'envoi.

le 26 novembre ■

Olivier Bazalge

conservons aussi cet ancrage régional qui fait notre Des services de \matchmaking\ sont ainsi développés cette année pour faciliter la mise en re lation des exposants et des visiteurs, et les innovations les plus marquantes sont valorisées à travers le palmarès des Sitevi Innovation

awards (voir encadré).

ment du parc des expositions seront ter minés, grâce à un financement 80 M€ de la part de la Région a confirmé

Jean-Louis

de

Cazaubon,

vice-

président de la Région Occitanie en charge de l'agroalimentaire et la viti tevi culture.

bien représentées

186 exposants

viendront

présenter

leurs produits pour la première fois, avec notamment l'arrivée de nou venus

issus

de quatre

pays

(Croatie, Suisse, Norvège, RoyaumeUni) n'ayant jamais participé. Ce sont ainsi

23 % d'entreprises

internatio

nales en plus qui sont enregistrées pour cette édition. 95 % des exposants proposeront

bien évidemment

du ma

tériel viti-vinicole, mais les autres filières sont également bien représentées. Le matériel

Une fois de plus, le programme des trois jours de cette édition sera chargé en conférences cinquantaine thématiques

Les filières

veaux

Marché français en progression

destiné

aux professionnels

des

pagneront chaque

filière. En parallèle,

mations cherche

de jobdating, & développement,

tasting

corner

par plus de 60 % des

le pôle re et l'espace

les dégustations général

d'Axe-

ma, a terminé en soulignant combien cette édition 2019 se plaçait dans un pour le marché

tées, distribuées

pour

libres. Alain Savary, directeur

contexte

riel destiné à la filière oléicole. Plus de 300 nouveautés seront ainsi présen

une dizaine

dégustation seront reconduits avec des masterdass diverses aux côtés du

des entreprises des exposants

et 47 % du maté

Plus d'une

de jeunes entreprises innovantes en agriculture seront mises en avant au sein d'un “village et les ani

fruits et légumes sera présent chez 60 % participantes proposeront

et ateliers.

se succéderont, avec des généralistes qui accom les plus spécifiques à

favorable,

au niveau français,

de l'agroéquipement.

marché français connaît une dyna mique de croissance, alors que c’est plus compliqué à l'échelle européenne globale. Une forte progression a été enregistrée au

exposants, répondant ainsi à l'attente constatée des visiteurs, deux tiers d'entre eux se déplacent pour découvrir

1ersemestre 2019, qui nous conduira à une croissance de 8% du marché français sur

ces nouveautés.

tiples, mais la tendance illustre le souci de nos exploitants de se doter de matériel in

C'est un élément essen

tiel ”, souligne-t-on

encore

au niveau

de l'organisation. Le salon, qui a attiré, lors de la dernière

l'année

entière.

Les facteurs

sont mul

novant pour répondre aux enjeux d'effi cacité, de précision et de diminution

des

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JOURNALISTE :Olivier Bazalge

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27 septembre 2019 - N°3770

! Les lauréats des Sitevi Innovation awards dévoilés

I

I

I

.

; 12 médailles de bronze, 5 médailles d'argent et 2 d'or. Voilà le palmarès des tro- , ; phées de l'innovation dévoilés à l'occasion de cette conférence de presse de pré- I : sentation

du Sitevi 2019. 77 dossiers ont été déposés et expertisés

par le comité de I

■sélection, pour 19 primés par le jury.

Médailles d'or : ; » New Holland avec un logiciel embarqué sur une machine à vendanger. Appelé ; ■Polyvalence à la demande, le logiciel gère tous les équipements utilisés durant un ; < cycle de production

;

I > Sun'Agri, la solution de protection climatique par agrivoltaïsme dynamique, où les : panneaux sont pilotés automatiquement pour optimiser l'ensoleillement et l'om-1 ; brage de la culture.

Médailles d'argent : ; > Lentille de Fresnel, innovation

touchant

à l'étiquetage

avec de la société Inessens ; ;

■ > LabeIPulvé de l'IFV vise à labelliseï les pulvérisateurs viticoles selon leurs performances ;

;

i > Bliss, le système de pulvérisation à lames d'air à faible impact développé par l'Irstea ; I > AphroMate Plus, qui automatise totalement la prise de mousse en méthode Charmat ;

I I

; > Multifonction

Combiné,

de Pellenc, qui permet d'utiliser

simultanément

deux ou- i

■tils sur un porteur.

Médailles de bronze : • > Julietta, solution ■» Gazy, application >dans les vins ; i > Andromède,

biofongicide

d'Agrauxine

d'AirTech&Oenoméca

d'Aquadoc,

contre le Botrytis ; permettant

système d'irrigation

; > BM76G, de BM emballage,

machine

la gestion

optimisée,

connectée

entièrement

II > MLE 4441 CAN, de Gai France, Monobloc

;

en viticulture

linéaire de conditionnement

; aluminium ; ; > DeciTrait, de l'IFV, système expert de décision de traitement ; > SmartPress,

et partagée ;

automatisé

• > CH201 C.O.V, de Dalival, une poire bicolore ; ; > Digivitis, de Felco, solution de collecte de données au poignet

contrôlée

I

haute cadence à couper les greffons ;

; > Maestro, de Bûcher Vaslin, pressoir pneumatique

; > Unité d'oxydation

des gaz dissous

;

en canettes

en viticulture

•:

;

des moûts, de Michael Paetzold ;

de Pera-Pellenc,

pressoir

permettant

l'injection

■giques au cœur de la vendange ; ■• Frutteto CVT Activesteer, de SD : France, tracteur vigneron

d'intrants

cenolo-

à 4 roues directrices.

; I

Comme en 2017, le salon Sitevi fera le plein d'exposants avec 1 100 entreprises internationales représentées.

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Exploitant agricole

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JOURNALISTE :Cédric Michelin

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27 septembre 2019 - N°2875

OESPM

Revenir victorieux

Samedi 21 septembre, le club de basketball de Prissé-Mâcon s'est incliné à domicile sur le score de 62 à 78. Au vu du potentiel de l'équipe, il est clair que la préparation entachée par les blessures se fait toujours ressentir, tout comme l'absence d'un vrai poste d'ailier fort. Les Tangos doivent maintenant retrouver de la confiance et du mordant en attaque.

L

’ équipe de Frédéric Brouilde subir un 10-0. Envahi par le doute et une équipe d ’ Holtzlaud n ’ aura été vraiment dans le match que les hein bien en place, ayant par ticulièrement bien ciblé en dé neuf premières minutes avant

fense le meilleur scoreur de Prissé, Raison Randolph (can tonné à 2 petits points), l ’ ESPM n ’ a fait ensuite que courir après le score jusqu ’ à la fin. Dommage car avec une réussite correcte 17 tirs sur 42 à 2 points, c ’ est plutôt le refus de tirs ou verts qui symbolisait ce manque de confiance en attaque, condui sant à des shoots difficiles en fin de possession des 24 se condes. Les vingt balles perdues ont également creusé l ’ écart final. Si les deux prochains matchs vont maintenant se jouer à l ’ extérieur loin des terres vi ticoles mâconnaises, à com

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Exploitant agricole

PAYS :France

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JOURNALISTE :Cédric Michelin

SURFACE :31 % PERIODICITE :Hebdomadaire

27 septembre 2019 - N°2875

mencer à Maubeuge ce samedi, nul doute que les joueurs auront à cœur de ramener une victoire avant de revenir devant leur public à Prissé pour lui offrir un tout autre visage.

est également partenaire depuis cette année et nous sommes aussi présents pour communi quer sur nos filiales Pellenc C ’ est un hebdomadaire lu par la profession notamment les viticulteurs, qui sont présents en nombre au club de PrisséMâcon. Notre collaboration avec l ’ ESPM est également appelée à évoluer, elle est en pleine maturation comme un bon vin, et nous en dirons plus dans quelques mois.

Pourquoi un partenariat avec le club de Prissé-Mâcon ? Sébastien Lauprêtre, respon sable de l ’ antenne de la société Pellenc HD à Igé : la société Pellenc HD a commencé par “ un petit partenariat ” avec l ’ ESPM et après discussion avec Jean-Philippe Lachaize, CÉDRICMICHELIN le président délégué et proviseur du lycée viticole de Davayé, les membres du groupe Pellenc ont compris que devenir parte naire majeur du club offrait une visibilité fiable, auprès de la pro fession viticole. De plus, le jour nal L ’Exploitant Agricole de Sébastien Lauprêtre, responsable de l'antenne de la société Pellenc HD à Igé. Saône-et-Loire

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PAYS :France

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PAGE(S) :26 SURFACE :36 % PERIODICITE :Hebdomadaire

27 septembre 2019 - N°39

Nouveautés enmatérielsviticole Bonnel : un rolofaca pour la vigne Connu

en

grandes tures, faca

le rolo Ecorou-

et vergers.

L'outil

se compose de deux rouleaux de diamètre 500 mm sur lesquels sont des fers plats de dimen

sions 100x6 mm. dale des supports

La forme hélicoï de fers plats per

une pression

constante

sur sol. L'Ecorouleau Viti est proposé en largeurs de travail de 0,50; 0,79; 1,79; 2, 2,29et2,50

m, auxquels il faut ajouter 6 cm pour le gabarit hors-tout. En option, Bonnel

sion au sol de 110 kg par élément,

plage

de

ils sont

propose

une

potence

hydraulique pour réduire le porteà-faux lors des demi-tours ou encore deux jeux de lestage de 150 kg cha

vible

soit 200 pour

donne

caisses.

accès entre

Pouvant

recevoir

les deux une cou

pure rang par rang pilotée depuis la cabine, le Fertispire est disponible en deux

types

Doté de deux trémies de 1,4 m3 chacune, le Fertispire propose deux à trois déposer

descentes

par caisse,

l'amendement

pour

au pied du

de roues

de montage:

des

sur chaque

rangée

mettant

d'ouvrir

et fermer

tandis au

à un travail

hydraulique.

un semis de couvert),

pour

DPA par GPS, voire combiné pesée dynamique. Optimum

Pellenc, le Fertispire Twinspire.

sol

à une 340

de

est rebaptisé

que

le réglage

de

est centralisé

et

Le constructeur dromois

étoffe

par le bas son offre en trac teurs à chenilles interlignes Varia.

Concept

délivrant le 1350

Bernhardt

lance

un semoir de semis direct pour la vigne. Doté d'une ou plusieurs caisses,

il se distingue

ments

semeurs inclinés

indépen

Drago : un petit chenillard avec poste de conduite

Bernhardt : un semoir de couverts à disques inclinés Machines

Le de per

la roue arrière

du tracteur assurant le rappui. En option, le Fertispire est doté d'un

Sur l'enjambeur

de disques.

damment chacune des trémies. Chaque élément semeur est indé pression

du sol (par exemple

d'implan différents

dosage se règle via l'ouverture la trémie, des vérins électriques

pendant,

disques

de rappui.

trémies, le semoir permet ter deux types de graines

centes à l'arrière de l'enjambeur ou descentes entre les roues combinées

cun.

Thiérart : un épandeur d'amendements localisé

suivis

Chaque trémie dispose d'ailettes de distribution en silicone pour un res pect des graines. Équipé de deux

des bouchons organiques à 600 kg/m3. À l'arrière, une échelle amo

sions pour vignes

1,50;

une

kg/min

est désormais décliné en ver

1 ; 1,29;

disques nettoyeurs. Disposés sur deux rangées et offrant une pres

six rangs, jusqu'à

leau de Bonnel

met d'avoir

Les

doseurs offrent réglage de 1 à 330 l/min en

cul

boulonnés

rang.

par ses élé

composés couplés

de à

des

Doté moteur

dispose

d ’ un Perkins 50 ch, Varia d'une

voie variable

de 68 à

105 cm et de chenilles de 1,30 m de long animées par des moteurs Poclain.

D'un

poids

à vide

de

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27 septembre 2019 - N°39

900

kg, il dispose

conduite sans d'un compteur et d'un

circuit

débitant

d'un

poste

de

cabine réversible, de vitesse par GPS hydraulique

refroidi

55 l/min.

un

circuit

hydraulique

à

deux

Ferrari lance également le Thor L80 N logeant un bloc Kohler quatre

ita

cylindres

de 2,5 1de 75 ch à gestion

électronique sous un nouveau capot redessiné. Doté d'un turbo-intercooler, ce bloc-moteur répond à la

de trac spécialisés

répondant

deux

sous l'appellation Valiant L65 aux couleurs de BCS et Eos L65 aux cou leurs de Pasquali.

lien dévoile ses nouvelles mou tures teurs

permanentes,

régimes de prise de force (540 tr/min et sa version économique), pompes et la climatisation en option. Ces tracteurs se retrouvent

Ferrari : Thor et Cobram aux nouvelles i Le tractoriste

motrices

à la

dernière

dernière norme antipollution Stage IIIB. Le Cobram L65 est un tracteur roues égales abritant Kohler trois cylindres

norme

antipollution

Stage

IIIB grâce à un EGR et un DOC. Décliné en six modèles à châssis arti culé (AR) ou à essieu directeur étroit à quatre

un moteur 1,9 I à régu

(RS), avec ou sans poste de conduite réversible, ce tracteur est équipé d'une plateforme de conduite sur

lation électronique développant 56 ch, ainsi qu'une transmission méca

silentblocs, remplacée en option par une cabine. À quatre roues motrices

nique à 12 vitesses avant et 12 arrière. Il se décline en huit modèles,

permanentes, la transmission se compose d'une boîte mécanique

à châssis articulé

(AR), à essieu direc

16/16

et d'une

prise de force

540

teur étroit (RS) ou à essieu directeur châssis surbaissé (MT) pour les zones

tr/min et 540 Eco à enclenchement électro-hydraulique. Le circuit

de montagne. En option (standard sur les MT), le poste de conduite est

hydraulique s'appuie sur deux pompes et alimente le relevage de

réversible. Ces tracteurs inaugurent une nouvelle cabine montée sur

2,3 t de capacité. Ces tracteurs se retrouvent sous l'appellation Vithar

silentblocs,

L80N aux couleurs

de BCS et Mars

L80N aux couleurs

de Pasquali.

avec une large surface

vitrée pour une mique maximale. régulateur

visibilité panora Ils proposent un

de vitesse,

quatre

roues

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PAGE(S) :17

JOURNALISTE :Cécile Poulain

SURFACE :78 % PERIODICITE :Hebdomadaire

20 septembre 2019 - N°3769

AGROÉQUIPEMENT

Appréhender la réforme

de l'apprentissage

Dans un contexte de pénurie de dans le secteur de l'agroéquipement, l'Aprodema, association de promotion des métiers et des formations de l'agroéquipement, a organisé ses 18esUniversités d'été autour de la réforme de l'apprentissage, dont l'impact devrait être fort. main-d'œuvre

i le marché

français

des agroé

quipements est en croissance (+ 6,5 % pour atteindre 5,376 mil

S

compagnent dans la transition techno logique des agroéquipements. Elles sont

vrait permettre

un support

tures de contrat d'apprentissage, qui grimpaient à 28 % en 2018. chiffre

d'informations

leur permet

tant de mieux préparer les étudiants au marché du travail, tout en améliorant

liards d'euros en 2018), les industriels l'attractivité d'un secteur dynamique et du secteur restent confrontés à une explique Philippe Girard, vraie pénurie de En ef président de l'Aprodema. Cette année fet, en 2018, 56 % des adhérents donc, 88 enseignants, venus de la Fran d'Axema, le syndicat français des in ce entière sur leur temps de congés, et dustriels de l'agroéquipement, décla 20 constructeurs partenaires bénévoles, raient avoir des difficultés à recruter. main-d'œuvre.

Malgré des conditions

se sont rassemblés durant trois jours, clôturant leur rencontre le 11 juillet à la

sociales et sala

riales attractives, ces derniers peinent à recruter, attirer et fidéliser les jeunes ta lents, quel que soit le corps de métier. Alors que le taux de chômage peine à

Fruitière numérique

reculer, près de 7 000 emplois restent non pourvus chaque année, faute de candidats suffisamment formés et in

Fort

formés. Le secteur des agroéquipe ments recrute et l'emploi salarié y a progressé de 2,1 % en 2018 (environ 22 000 salariés). Une hausse de 2,3 % & est attendue en 2019, soit 450 recrute ments nets (source : Axema). Afin de remédier à l'inadéquation ac tuelle entre offre et demande d'emploi dans le secteur, l'Aprodema, dont la mission est de promouvoir les métiers et les formations de l'agroéquipement, a organisé la 18 eédition de ses Univer sités d'été. Depuis leur création en 2001, ces événements se tiennent à tour de rôle chez les plus importants fabricants de matériels agricoles (John Deere, New Holland, Claas, Massey Ferguson, Michelin...). Cette année, c'était au tour du groupe français Pellenc d'accueillir le rassemblement annuel de l'Aprodema. L'entreprise labellisée 'Vitrine industrie du futur' croissance, à rayonnement nal. Elle a fait visiter

est en forte internatio

aux participants

son site de Pertuis, dédié à la construc tion de machines, d'équipements et d'outillages sionnels

électroportatifs

profes

pour les secteurs de l'agricul

ture spécialisée

et l'entretien

des es

paces verts et urbains. aux enseignants des minis tères de /'Éducation nationale, du Travail et de /'Agriculture,

ainsi que de l'ensei

de Lourmarin

par une séance plénière tissage.

impact

(84),

sur l'appren

pédagogique

de cette plénière.

est spécialisée

dans

Son l'ac

compagnement des établissements de formation d'apprentis. D'ailleurs, celle-

à la recherche

d'entreprise

T rouveTonEntreprise.com'. La loi 'avenir professionnel' libère l'offre de formation par apprentissage. Elle ouvre la possibilité aux entreprises d'ouvrir

leur propre

centre de forma

tion d'apprentis (CFA). Votée le 1e'août 2018 et effective depuis le 1e'janvier 2019, elle bouleverse ainsi l'ensemble de l'organisation

contrat, d'après des enquêtes précise Morgan Marietti. Désormais, toute organisation ou per sonne morale peut ouvrir une forma tion par apprentissage et devenir CFA,

de la formation

pro

fessionnelle continue et par apprentis sage. réforme va assainir la filiè re ”, estime l'expert. Auparavant, la Région décidait de l'ou verture de formations selon sa propre politique. Le premier client du CFA était donc la Région. Avec la réforme, celle-ci perd le pilotage, repris par France Compétences au niveau natio nal et par les branches profession nelles. Ces dernières ont la main sur la formation et les opérateurs de compé tences, ou OPCO, responsables de l'Ob-

tant bénéficier de fonds publics ou mutualisés. Le coût est à la charge de l'entreprise, avec obligation de mettre en place

ci a récemment conçu une plateforme de coaching virtuel d'accompagne ment

relié à l'inca

pacité du jeune à répondre aux besoins techniques, à court terme, de l'entreprise, qui le reléguerait aux tâches répétitives, cette situation perdurant jusqu'à un an avant de déboucher sur la rupture de

certifiantes, ou débouchant sur un di plôme. L'obtention d'une certification qualité devient ainsi obligatoire, pour tout organisme de formation souhai

nonce Morgan Marietti, de la Proactive Academy, venu présenter la réforme entreprise

élevé serait principalement

les rup

à condition de respecter un certain cadre 1 et de proposer des formations

de la réforme de l'apprentissa ge sur la pédagogie sera an

aux participants

aussi d'enrayer

:

un système

d'amélioration

continue. Les offres de formation de vront être structurées en blocs de compétences de six mois, et le calen drier sera déconnecté de celui de l'Éducation nationale. Par ailleurs, les fonds de financement devraient être plus conséquents, car la taxe d'appren tissage est fusionnée avec la contribu tion formation, en une seule taxe, ré coltée par l'Urssaf. payés au contrat. dit, l'offre s’intensifier. Les jeunes deviennent désormais

Les CFA seront en formation va et les entreprises les clients priori

taires des CFA. Nous allons assister à la transformation d'une formation indus trialisée vers une formation individuali sée, au service de l'apprenti et de l'entre estime Morgan Marietti. ■

Cécile P oulain 1. https://travail-emploi.gouv.fr/demarchesressources-documentaires/documentationet-publicat ions-officiel les/guides/ article/kit-ouvrir-votre-propre-centre-deformation-d-apprentis-cfa.

servatoire des besoins en compétences.

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JOURNALISTE :Cécile Poulain

SURFACE :78 % PERIODICITE :Hebdomadaire

20 septembre 2019 - N°3769

: À propos

l ' avis de

de l'Aprodema

: L'Aprodema

est une association

loi

i

: 1901 créée en 1986, regroupant

les !

: constructeurs,

les

; utilisateurs ; culture,

les importateurs,

de machines

pour l'agri-

;

la forêt et les espaces verts.

:

Elle a plusieurs missions : ; > informer sur les métiers, I pectives

:

d'emploi

■ établissements

les pers-

et de carrière,

et filières

I tion en agroéquipement

;

les ;

de forma-

I

;

I I promouvoir la connaissance de l'agroéquipement et de ses métiers

I I

auprès des jeunes, des demandeurs

I

d'emploi

;

et des personnes en recon-

; version professionnelle ; ; > faire le lien entre les entreprises ; les enseignants

pour les informer

• nouveautés technologiques

;

: > être un lieu d'échanges

entre

et

;

des ;

I I I I I I I I I I I I I I I 1 I I > I i I I I I I I I I I I I I I I t I I I I I I I

les !

Philippe Girard, président de l'Aprodema

Des professionnels passionnés Créer entre

du lien, transmettre la motivation l'industrie, la R&D, les professeurs,

jusqu'aux élèves... représentons

la filière de l'agroéquipe

Cela entraîne des difficultés de recrutement. Nous avons donc choisi de prendre le problème à la source. D'abord, montrer la technologie,

a de cesUniversités Id'été est de véhiculer une Ipassion, et de former aux I| dernières technologies en

qui rend attractifs nos métiers. Ensuite, accompagner les formateurs, qui sont volontaires, mais n'ont pas l'information. Nos universités

IPhilippe Girard, président I1de l'Aprodema.

ment française, qui est riche, mais souffre d'une mauvaise image de marque auprès des jeunes.

explique

dans la filière. I I L'association

participe

aux salons

I > II d'été servent ces deux missions. Les enseignants rencontrent ici des professionnels I ■ passionnés ! C'est ainsi qu'ils feront à leur tour passer le message auprès des jeunes. I II I I Le secteur se prend en main : nous sommes tous bénévoles, et donnons trois jours

professionnels

et grand

pubiic et in-

;

différents

acteurs

de la formation

tervient toute l'année auprès écoles, collèges et lycées.

des

;

I I I I I I I I

de notre temps pour former les enseignants. Nous déployons aussi nos propres for mateurs, et nous travaillons ensemble, bien qu'issus d'entreprises concurrentes, pour la même cause : attirer les jeunes

I I I I

Propos

recueillis

par

C.P.

&

Lesfabricants ont apporté leur matériel jusqu'à Lourmarin, à destination des enseignants. Pellenc (ici la Selectiv'Process 2 du constructeur installé à Pertuis), New Holland et Grégoire fournissent, à eux seuls, 80 % du marché des machines à vendanger dans le monde.

“L’offre en formation va s'intensifier. Nous allons assister à la transformation d'une formation industrialisée vers une formation individualisée, au servicede l ’apprenti et de estime Morgan Marietti de la Proactive Academy.

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JOURNALISTE :Cécile Poulain

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20 septembre 2019 - N°3769

: Des ateliers

pratiques

I Après l'ouverture

de ces 18“ Universités d'été, un circuit de cinq ateliers pédago-

giques co-organisés par divers constructeurs, ; thèmes variés : hydraulique, •

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a permis de passer à la pratique sur des •

moteur, machine à vendanger, épareuse et charrue.

proposons aux enseignants des méthodes pour qu'ils délivrent à leur tour des ;

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simples à leurs élèves, en s'affranchissant

des mathématiques

; exemple. Nous leur donnons également des clés pour s'approprier

par

certaines informa-

;

tions techniques. Avant tout, nous contribuons à transmettre une passion, car demain,

;

; ce sont leurs élèves qui intégreront la filière et nos ont témoigné Armand ; Guilluy, coordinateur formation technique chez Fendt, et Éric Blondeau, Sales trai-

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partagée par Fabien Lebeuf d'AGCO, Pierre Calvet, de Massey Fer- ;

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; compétentes dès leur arrivée dans les concessions ou chez les IJ t

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Cemoteur nouvelle génération a fait l'objet d'une démonstration lors des cinq ateliers présentés par des professionnels aux enseignants venus des quatre coins de France, pour se former aux plus récentes technologies.

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RUBRIQUE :Économie

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20 septembre 2019

Le temps d'une image @ Ateliers de Bacchus Le groupe Pellenc à la chasse au trésor. Le mercredi 4 septembre, le groupe Pellenc avait investi le cœur de Bordeaux. Un événement festif pour présenter sa nouvelle machine à vendanger à ses commerciaux avant sa présentation à la presse qui interviendra à la fin de l'année. Au programme : une chasse au trésor… mais autour du vin. La chasse s'est avérée être un parcours œnologique organisé par les Ateliers de Bacchus. L'idée : récolter un maximum de points pour participer,

le soir venu, à une vente aux enchères de vins, après un dîner de gala. Cette animation a été imaginée par Pauline Robin-Champeil, une œnologue reconvertie dans les animations ludiques autour du vin. « Nous sommes ravis d'animer une chasse au trésor de cette envergure, soulignait-elle. Nous avons encadré une centaine de participants. » ■

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RUBRIQUE :Technique

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20 septembre 2019

La pulvérisation en question RENDEZ-VOUS Le 29 août 2019 à Caplong, la Chambre d'agriculture de Gironde a organisé une démonstration de matériel de pulvérisation. Dans un format original, la Chambre d'agriculture de Gironde, en partenariat avec son antenne ASAR de Castillon-la-Bataille et Sainte-Foy-la-Grande, a proposé le 29 août une démonstration de matériel de pulvérisation. Ce fut une réussite illustrant l'intérêt des viticulteurs girondins pour une protection du vignoble respectueuse et efficace. Au-delà des manifestations traditionnelles sur ce sujet, le fil rouge de la demi-journée a été la mise en situation de matériels de protection « dans leur jus » issus des vignobles de Magali Vérité qui accueillaient la manifestation, mais également de vignobles voisins dans leur configuration quotidienne d'utilisation. Point réglementaire Pour débuter, un point réglementaire et technique sur le contrôle périodique obligatoire des pulvérisateurs a été présenté par Christophe Barthes de l'ASAR. Après chaque démonstration, les techniciens ont échangé avec les viticulteurs. Ici, au vignoble après un tir en végétation. Tirs en végétation En suivant, différents matériels ont évolué en configuration locale sur vignes larges avec pulvérisation d'argile pour tester la qualité de pulvérisation : un S21 aéroconvecteur biturbine à jet porté avec un montage de buses

classiques, un Chabas pneumatique avec option électrostatique, une cellule Pellenc à jet porté montée avec des buses à injections d'air et un matériel Weber flux tangentiel à jet porté à buses classiques. Ainsi Adel Bakache, conseiller agroéquipement à la Chambre d'agriculture de Gironde, a pu échanger avec les quelques 45 viticulteurs qui ont assisté à la démonstration sur les avantages et les points de progrès des différents matériels. Par la suite, en soirée, des tirs en végétation ont été effectués avec de la fluorescéïne dont les impacts de pulvérisation ont été révélés par une lampe UV. Si les résultats détaillés sont disponibles auprès de la Chambre d'agriculture, on peut retenir que l'efficacité de chaque matériel dépend : -du bon étalonnage de ses indicateurs de mesures (prise de force, pression, débit, vitesse…) ;-de son adaptation au vignoble concerné par des réglages adaptés : vitesse, volume, choix et positionnement des diffuseurs de bouillie ;-de son entretien régulier. Pour toute question spécifique, conseil, réglage, le réseau des conseillers viticoles de secteur implanté sur les bases de proximité de la Chambre d'agriculture de Gironde est au plus proche des exploitation. Les conseillers spécialisés en m a ch i n i s m e b a s é s à B l a n qu efo r t se t i e n n e n t également à la disposition des exploitants. Tout comme, plus spécifiquement, les techniciens de l'ASAR pour les contrôles

périodiques de pulvérisateurs. ■

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JOURNALISTE :Cécile Giamberini

SURFACE :31 % PERIODICITE :Mensuel

1 septembre 2019 - N°227

L'Appodema mobilise les enseignants Tous les ans, les enseignants du public et du privé se retrouvent pour rester en phase avec les évolu tions technologiques des machines.

a 18 e édition des universités d’ été de l ’Aprodema s’est tenue les9,10 et 11 juillet 2019 dans le Vaucluse chez Pellenc. Près de quatre-vingt-dix enseignants de l’Hexagone sont venus mettre àjour leurs connaissances tech niques sur lesmatériels et affiner leurs méthodes d’enseignement pour s’adapter aux nouvelles exi gences des professionnels Les constructeurs de l ’agroéquipement. Les entendent donner trois jours s’articulaient aux formateurs autour de cinq ateliers pédagogiques. Des pro les outils pour accompagnerla fessionnels de chez Fendt, Agco, Massey Ferguson et jeune génération. John Deere ont ainsi par tagé leurs compétences sur l’hydraulique, les moteurs, lesmachines àvendanger, les épareuses et les charrues. Dans un contexte persistant de difficultés de re crutement, lesprofessionnels veulent donner aux formateurs des outils pour susciter des vocations et accompagner la jeune génération dans la prise en main rapide et efficace des technologies. Face au dynamisme de la filière porteuse d’avenir et à la réforme de la formation professionnelle, l ’enjeu est de taille. Près de 7 000 emplois restent non pourvus chaque année dans la filière, faute de candidats suffisamment formés et informés. ■

L

Cécile Giamberini

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RUBRIQUE :Magazine

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JOURNALISTE :Source :Pellenc.

PERIODICITE :Hebdomadaire

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20 septembre 2019

Des ateliers pratiques Source :Pellenc. Après l'ouverture de ces 18e Universités d'été, un circuit de cinq ateliers pédagogiques co-organisés par divers constructeurs, a permis de passer à la pratique sur des thèmes variés : hydraulique, moteur, machine à vendanger, épareuse et charrue. « Nous proposons aux enseignants des méthodes pour qu'ils délivrent à leur tour des explications simples à leurs élèves, en s'affranchissant des mathématiques par exemple. Nous leur donnons également des clés pour s'approprier certaines informations techniques. Avant tout, nous contribuons à transmettre une passion, car demain ce sont leurs élèves qui intègreront la filière et nos entreprises » ont témoigné Armand Guilluy, coordinateur

formation technique chez Fendt, et Éric Blondeau, Sales training manager chez Poclain Hydraulics, en charge de l'atelier 'hydraulique'. Une motivation partagée par Fabien Lebeuf d'AGCO, Pierre Calvet, de Massey Ferguson, et Axel Moreau-Gely, de John Deere, animateurs de l'atelier 'moteur' pour qui « l'objectif final de cet événement est de former des personnes opérationnelles et compétentes dès leur arrivée dans les concessions ou chez les constructeurs ». ■

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RUBRIQUE :Agroéquipement

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JOURNALISTE :Cécile Poulain

PERIODICITE :Hebdomadaire

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20 septembre 2019

Appréhender la réforme de l'apprentissage CÉCILE POULAIN Dans un contexte de pénurie de main dans le secteur de l'agroéquipement, l'Apro-dema, association de promotion des métiers et des formations de l'agroéquipement, a organisé ses 18e Universités d'été autour de la réforme de l'apprentissage, dont l'impact devrait être fort. Si le marché français des agroéquipements est en croissance (+6, 5% pour atteindre 5, 376 milliards d'euros en 2018), les industriels du secteur restent confrontés à une vraie pénurie de main En effet, en 2018, 56% des adhérents d'Axema, le syndicat français des industriels de l'agroéquipement, déclaraient avoir des difficultés à recruter. Malgré des conditions sociales et salariales attractives, ces derniers peinent à recruter, attirer et fidéliser les jeunes talents, quel que soit le corps de métier. « L'offre en formation va s'intensifier. Nous allons assister à la transformation d'une formation industrialisée vers une formation individualisée, au service de l'apprenti et de l'entreprise » estime Morgan Marietti de la Proactive Academy. © C. Poulain Alors que le taux de chômage peine à reculer, près de 7 000 emplois restent non pourvus chaque année, faute de candidats suffisamment formés et informés. Le secteur des agroéquipements recrute et l'emploi salarié y a progressé de 2, 1% en d'œuvre

d'œuvre.

2018 (environ 22 000 salariés). Une hausse de 2, 3% est attendue en 2019, soit 450 recrutements nets (source : Axema). Afin de remédier à l'inadéquation actuelle entre offre et demande d'emploi dans le secteur, l'Aprode-ma, dont la mission est de promouvoir les métiers et les formations de l'agroéquipement, a organisé la 18e édition de ses Universités d'été. Depuis leur création en 2001, ces événements se tiennent à tour de rôle chez les plus importants fabricants de matériels agricoles (John Deere, New Holland, Claas, Massey Ferguson, Michelin…). Cette année, c'était au tour du groupe français Pellenc d'accueillir le rassemblement annuel de l'Aprodema. L'entreprise labélisée 'Vitrine industrie du futur' est en forte croissance, à rayonnement international. Elle a fait visiter aux participants son site de Pertuis, dédié à la construction de machines, d'équipements et d'outillages électroportatifs professionnels pour les secteurs de l'agriculture spécialisée et l'entretien des espaces verts et urbains. Les fabricants ont apporté leur matériel jusqu'à Lourmarin, à destination des enseignants. Pellenc (ici la Selectiv'Process 2 du constructeur installé à Pertuis), New Holland et Grégoire fournissent, à eux-seuls, 80% du marché des machines à vendanger dans le monde. © C. Poulain Ce moteur nouvelle génération a fait

l'objet d'une démonstration lors des cinq ateliers présentés par des professionnels aux enseignants venus des quatre coins de France, pour se former aux plus récentes technologies. © C. Poulain « Destinées aux enseignants des ministères de l'Éducation nationale, du Travail et de l'Agriculture, ainsi que de l'enseignement privé, ces rencontres les accompagnent dans la transition technologique des agroéquipements. Elles sont un support d'informations leur permettant de mieux préparer les étudiants au marché du travail, tout en améliorant l'attractivité d'un secteur dynamique et innovant » explique Philippe Girard, le président de l'Aprodema. Cette année donc, 88 enseignants, venus de la France entière sur leur temps de congés, et 20 constructeurs partenaires bénévoles, se sont rassemblés durant trois jours, clôturant leur rencontre le 11 juillet dernier à la Fruitière numérique de Lourmarin (84), par une séance plénière sur l'apprentissage. Fort impact pédagogique. « L'impact de la réforme de l'apprentissage sur la pédagogie sera énorme » annonce Morgan Marietti, de la Proactive Academy, venu présenter la réforme aux participants de cette plénière. Son entreprise est spécialisée dans l'accompagnement des établissements de formation d'apprentis. D'ailleurs, celle-ci a récemment conçu une plateforme de coaching virtuel d'accompagnement

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RUBRIQUE :Agroéquipement

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JOURNALISTE :Cécile Poulain

PERIODICITE :Hebdomadaire

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20 septembre 2019

à la recherche d'entreprise : 'TrouveTonEntreprise. com'. La loi 'avenir professionnel' libère l'offre de formation par apprentissage. Elle ouvre la possibilité aux entreprises d'ouvrir leur propre centre de formation d'apprentis (CFA). Votée le 1er août 2018 et effective depuis le 1er janvier 2019, elle bouleverse ainsi l'ensemble de l'organisation de la formation professionnelle continue et par apprentissage. « Cette réforme va assainir la filière » estime l'expert. Auparavant, la Région décidait de l'ouverture de formations selon sa propre politique. Le premier client du CFA était donc la Région. Avec la réforme, celle-ci perd le pilotage, repris par France Compétences au niveau national et par les branches professionnelles. Ces dernières ont la main sur la formation et les opérateurs de compétences, ou OPCO, responsables de l'observatoire des besoins en compétences. Ce nouveau modèle d'organisation devrait permettre aussi d'enrayer les ruptures de contrat d'apprentissage, qui grimpaient à 28% en 2018. « Ce chiffre élevé serait principalement relié à l'incapacité du jeune à répondre aux besoins techniques, à court terme, de l'entreprise, qui le relèguerait aux tâches répétitives, cette situation perdurant jusqu'à un an avant de déboucher sur la rupture de contrat, d'après des enquêtes CPME » précise Morgan Marietti. Désormais, toute organisation ou personne morale peut ouvrir une formation par apprentissage et devenir CFA, à condition de respecter un certain cadre1 et de proposer des formations certifiantes, ou débouchant sur un diplôme. L'obtention d'une certification

qualité devient ainsi obligatoire pour tout organisme de formation souhaitant bénéficier de fonds publics ou mutualisés. Le coût est à la charge de l'entreprise, avec obligation de mettre en place un système d'amélioration continue. Les offres de formation devront être structurées en blocs de compétences de six mois, et le calendrier sera déconnecté de celui de l'Éducation nationale. Par ailleurs, les fonds de financement devraient être plus conséquents, car la taxe d'apprentissage est fusionnée avec la contribution formation, en une seule taxe, récoltée par l'Urssaf. Les CFA seront payés au contrat. « Autrement dit, l'offre en formation va s'intensifier. Les jeunes et les entreprises deviennent désormais les clients prioritaires des CFA. Nous allons assister à la transformation d'une formation industrialisée vers une formation individualisée, au service de l'apprenti et de l'entreprise » estime Morgan Marietti. (1) https : //travail-emploi. gouv. fr/demarches ressources-documentaires/document ation-et-publications-officielles/guid es/article/kitouvrir-votre-propre-cent re-de-formation-dapprentis-cfa. ■

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RUBRIQUE :Occitanie

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JOURNALISTE :Cécile Chaigneau

PERIODICITE :Hebdomadaire

20 septembre 2019 - Metropoles

OCCITANIE Un terrain d’essai pour l’agriculture

4.0

ÉCOSYSTÈME Avecl’agroalimentaire commepremiersecteuréconomique, la région,et, en particulier,la ville de Montpellier,se donnentles moyensde fairede l’agricultureconnectéeun de seschevauxde bataille. CÉCILECHAIGNEAU

mart farming , agtech, agriculture connectée... Depuis l’apparition de l’agriculture de précision dans les années 1980, la digitalisation de cette activité n’en finit plus de se développer et de se rebaptiser... Réduire l’impact environnemental des pratiques agricoles, améliorer la productivité, la qualité et la rentabilité, etc. : les défis et les enjeux sont nombreux. Et en Occitanie, où l’agroalimentaire est le premier secteur économique, les ambitions sont grandes.

S

membres. C’est aussi àMontpellier qu’a été créé, en 2017, DigitAg (porté par l’Irstea), seul Institut Convergences consacré à l’agriculture, comptant 17 partenaires (dont les entreprises Smag, ITK, TerraNIS, Fruition Sciences, Agriscop, Perra Pellenc, l’Idate et Vivelys) et 400 chercheurs de l’Irstea, de l’Inra, du Cirad et de l’Inria.

PRODUIRE DELACONNAISSANCE Avec ses nombreux acteurs académiques, institutionnels ou économiques, les établissements proposant des formations et une importante concentration en agronomie, la ville de Montpellier se bâtit une légitimité. « Montpellier SupAgro et l’Institut national de recherche en sciences et technologies pour l’environnement et l’agriculture [Irstea, ndlr] arrivent en troisième et quatrième places en matière de publications scientifiques mondiales, souligne Bruno Tisseyre, enseignant-chercheur à SupAgro. AgroTIC, lancée il y a vingt-cinq ans, est aujourd’hui la seule formation sur l’agriculture connectée formant à l’interface du monde numérique, très rapide, et de l’agriculture, le monde lent de la nature avec des travailleurs isolés. » AgroTIC a généré, en 2016, une chaire d’entreprises homonyme, comptant 24 entreprises

Véronique Bellon-Maurel dirige DigitAg, un institut interdisciplinaire dont l’objectif est « le développement vertueux du numérique en agriculture ». [IRSTEA]

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RUBRIQUE :Occitanie

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JOURNALISTE :Cécile Chaigneau

PERIODICITE :Hebdomadaire

20 septembre 2019 - Metropoles

Les Montpelliérains ont acquis une forte légitimité dans le domaine des pratiques agricoles d’avant-garde, avec SupAgro, l’Irstea ou la formation spécialisée AgroTIC. [IRSTEA/C. GIANSILY]

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RUBRIQUE :Occitanie

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JOURNALISTE :Cécile Chaigneau

PERIODICITE :Hebdomadaire

20 septembre 2019 - Metropoles

« Il s’appuie sur une forte interdisciplinarité et a ture de précision du 8 au 11juillet (380 scientipour objectif de produire de la connaissance pour fiques en provenance de 37 pays) ou les Renfavoriser le développement vertueux du numécontres BtoField le 11juillet. rique en agriculture », explique Véronique BelMétéo connectée, mesure du stress hydrique, lon-Maurel, sa directrice. détection d’insectes nuisibles, surveillance L’institut, qui a créé un Observatoire des usages des élevages, pilotage de la fertilisation ou de de l’agriculture numérique, ambitionne de l’irrigation, pulvérisation des parcelles… « Les « faire de Montpellier un technologies les mieux centre d’expertise et d’exadoptées aujourd’hui sont cellence international ». la robotique pour l’éleDigitAg est lauréat de vage laitier, la modélisal’appel à projets « Territion pour la prédiction de toires d’innovation » maladies, ou le guidage lancé par l’État, dans le GPS pour l’épandage de cadre du Plan d’investisproduits, observe Bruno sement dÒ’avenir, pour Tisseyre. Ce que je vois financer partiellement arriver, c’est la recherche son projet de living-lab d’ergonomie, de confort et OccitANum - Agroécolopas forcément de rentabigie Numérique en Occitalité, mais aussi plus nie (lire page 8) . « Nous récemment d’une diminuBRUNOTISSEYRE, devons donner à l’Occitation de la charge mentale. ENSEIGNANT-CHERCHEUR À SUPAGRO nie un nouveau champ L’agriculture numérique, d’application en créant c’est le baby-phone de des démonstrateurs en l’agriculteur. » conditions réelles », commente Pascal Augier, Dans la vigne, les outils numériques sont des directeur régional de l’Alimentation, de l’agriassistants précieux d’aide à la décision. « Détecculture et de la forêt (Draaf) en Occitanie. ter la maladie du cep de vigne est une anticipation La capitale languedocienne attire également importante car un risque de mildiou détecté, c’est des événements sur cette thématique : la troiune récolte sauvée », souligne Jérôme Despey, sième Revue annuelle des nouveaux usages président de la Chambre d’agriculture de l’Héconsacrée à l’agriculture connectée le 12 juin rault et secrétaire général de la FNSEA. Obserdernier, le Congrès international sur l’agriculvateur de proximité des pratiques culturales,

«Ce que je voisarriver, c’estla recherche d’ergonomie,de confort et pas forcément de rentabilité,maisaussi d’une diminutionde la chargementale»

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RUBRIQUE :Occitanie

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JOURNALISTE :Cécile Chaigneau

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20 septembre 2019 - Metropoles

Thomas Crestey, responsable du Mas numérique (lire page 8) , rappelle que « les solutions numériques permettent d’apporter du confort sur des interventions pénibles, d’être en conformité avec la réglementation, d’améliorer techniquement certaines tâches. Donc être plus serein. Mais aucune technologie ne coupera du champ! »

le rajeunissement de la profession, la mue est en cours, mais le besoin d’acculturation est encore important. « Le numérique n’est pas une DESÉLEVEURS EN technologie comme les autres BOVINLAITIER et demande un changement UTILISENTDESOUTILS de paradigme, souligne NUMÉRIQUES Hervé Pillaud, agriculPOURLAGESTION teur-éleveur, auteur d’ouDELAREPRODUCTION, vrages sur le sujet, membre ET48 %POUR du Conseil national du L’ALIMENTATION. numérique et membre NUMÉRIQUE d’honneur de l’association UNESORTEDEVOYAGE ENTERRE INCONNUE La Ferme Digitale. Mais les Les agriculteurs ne sont pas exigences environnementales L’AGRICULTURE seulement des clients mais vont obliger les agriculteurs DE participent à l’évolution des à passer à une agriculture outils numériques. « De plus de connaissances, USAGES utilisatrice DESSUPERFICIES en plus, nous mettons nos DES où le numérique peut apporENGRANDES outils au point directement ter beaucoup. » CULTURES ONT avec les éleveurs, dans les Au-delà de ce nécessaire ÉTÉPILOTÉS conditions réelles du terrain, OBSERVATOIRE apprentissage, subsiste la PARTÉLÉDÉTECTION : souligne Philippe Stoop, question de l’exploitation des EN2017. directeur recherche et InnoSOURCE données collectées. « Il y a vation d’ITK (voir page 7). La des craintes, et pour cette rairecherche vient alors conforson le maillon des ingénieurs ter la validation en ferme plus que le contraire. » agronomes et des conseillers est capital, Le coût peut être un frein à l’adoption des techremarque Bruno Tisseyre. Ils doivent être des nologies, mais pas un obstacle majeur, et pourprescripteurs. » De nouveaux métiers ont rait être contourné par « le recours au collectif, émergé. « Le Mas numérique a révélé une sur le même principe que les Cuma, les coopédemande forte d’accompagnement de l’utilisateur ratives d’utilisation de matériel agricole », sugdans la durée, observe Thomas Crestey. C’est le gère Jérôme Despey. En revanche, la technicité talon d’Achille de l’agriculture : du fait de la saique les nouveaux outils requièrent peut poser sonnalité des actions, on se sert d’un outil trois problème. Le monde de la terre doit encore mois puis on arrête et on oublie! D’où le besoin apprendre à dompter le numérique, sorte de de conseillers et techniciens qui maîtrisent le voyage en terre inconnue pour certains. Avec sujet. » C’est ainsi que le Groupe Perret, entre-

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RUBRIQUE :Occitanie

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JOURNALISTE :Cécile Chaigneau

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20 septembre 2019 - Metropoles

prise gardoise de négoce en agrofournitures, a recruté il y a deux ans un expert des services « agriculture connectée ». « Nous accompagnons depuis longtemps les agriculteurs dans leurs pratiques, notamment sur la réduction de l’impact environnemental, déclare Christophe Pennequin, DG de Racine, filiale du Groupe Perret. Certains sont demandeurs, d’autres sceptiques mais il n’y a pas de vrais récalcitrants… Mais j’ai compris que nos conseillers agronomiques préconisateurs avaient besoin d’un soutien sur l’apport d’outils numériques. »

LEPARTAGE DESDATA, ENCORE LOINDU BONSENSPAYSAN À la Draaf, Pascal Augier est optimiste : « Le monde agricole est sans doute un des secteurs qui a le plus évolué en matière d’usage des outils numériques. » Une dernière étape permettra d’optimiser ces usages : le partage de la donnée, un acte encore contre-intuitif et loin du simple bon sens paysan. « Le monde agricole est un énorme puzzle de micro-entreprises qui émettent beaucoup de données prenant de la valeur quand on les partage, observe Hervé Pillaud. Il faut les considérer comme un bien commun qui doit bénéficier à tous. Mais partager ne va pas de soi. Il y a nécessité d’une collaboration jamais atteinte, d’une mobilisation de l’intelligence collective, et de créer des laboratoires vivants sur des plateformes open source .» La chercheuse Isabelle Piot-Lepetit, chercheuse à l’Inra Montpellier, confirme : « Pour les agriculteurs, considérer qu’un bien immatériel comme la donnée va aider à produire un bien matériel demande un changement culturel. Ils ont l’impression d’être dépossédés… C’est par l’expérience qu’on changera lesmentalités, quand ils commen-

ceront à en voir les bénéfices. » Quant à la notion de blockchain , elle est aussi « encore bien trop incompréhensible pour les agriculteurs », selon Bruno Tisseyre, qui a lancé une initiative concrète avec ses étudiants, un atelier mobile inventant des réponses technologiques aux problèmes des agriculteurs avec leur collaboration. Dernier défi en bout de chaîne : apporter de la traçabilité aux consommateurs. Dans l’idée d’injecter de l’information, la startup Panjee, créée en 2016 et incubée à Montpellier SupAgro, développe « un écosystème collaboratif permettant aux différents acteurs de la chaîne alimentaire de fournir une information fiable pour établir des passeports-produits ». « Les producteurs renseignent une fois leur fiche-produit et les catalogues disponibles peuvent ensuite servir à n’importe quel distributeur, explique son cofondateur Léonard Matoug. Les producteurs ont une approche anxiogène du numérique :nous avons donc simplifié la saisie. Le prérequis est qu’ils choisissent quelles données partager avec qui. On initie une compétition sur l’information et non sur le prix. » Panjee travaille avec l’Institut national de l’origine et de la qualité (Inao) et équipe la plateforme numérique du Marché d’intérêt national (MIN) de Montpellier (opérationnelle cet automne). « Nous allons équiper le MIN de Châteaurenard et nous discutons avec le MIN de Toulouse, mais aussi avec la Région Occitanie, les pôles de compétitivité, les interprofessions », assure Léonard Matoug. La startup cherche à lever des fonds tout en veillant à la neutralité des investisseurs. « Quand on aura plus de moyens, ce sera plus simple de mobiliser la communauté foodtech et ainsi influencer le marché de l’alimentation durable dans le bon sens. »

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20 septembre 2019 - Metropoles

OCCITANIE La viticulture à l’aube de sa révolution numérique TRANSITION Lesvigneronsentendentrattraperleur retardpar rapportauxautres filièresagricoles.Traçabilité,robotisation,pilotagede l’irrigationet destraitements... À la vignecommeau chai,les solutionsdigitalessedéveloppentà grandspas. MURIELCHÊNE

ans le vignoble, un tracteur sans chauffeur piloté par un automate. Dans les airs, un drone capte des images de la vigueur de la vigne, utilisées ensuite pour adapter les doses de traitement ou d’engrais. Dans la cave, des capteurs dans les cuves permettent de suivre sur écran le déroulement des fermentations … Même si les viticulteurs en rêvent, cette vision futuriste n’est pas encore à leur portée. L’usage des technologies numériques est beaucoup moins avancé qu’en élevage ou en grandes cultures. Ce retard a été souligné dans le rapport publié en 2017 par la Chaire AgroTic, créée par Montpellier SupAgro, Bordeaux Sciences Agro et l’Irstea. « Le passage au numérique est incontournable, mais il y a un retard certain en viticulture », pointe cette étude sur la base d’une enquête menée auprès de 130 conseillers viticoles en France. La télédection, par exemple, est utilisée sur 10 % des surfaces en

D

grande

culture

contre

seulement

1,2 % du vignoble en France. « En viticulture, les données satellitaires sont beaucoup plus complexes à analyser que pour les grandes cultures. Pour interpréter les images, il faut tenir compte de multiples critères comme l’enherbement, les pieds manquants, le stade végétatif de la vigne… Ce qui explique que les modulations des doses d’engrais à partir des cartes produites par les satellites ne soient pas encore opérationnelles », indique Thomas Crestey, responsable du Mas numérique, près de Montpellier (voir page 8) . « La viticulture est un marché de niche par rapport aux grandes cultures. Les constructeurs se sont focalisés sur des marchés plus conséquents », souligne Matthieu Hamel, market manager pour la viticulture de précision chez Pellenc.

L’INNOVATION BRIDÉE PARLARÉGLEMENTATION Ce constructeur de matériel viticole, basé dans le Vaucluse, avait conçu dans les années 2000 une machine à vendanger capable de donner en temps réel le poids de la

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récolte, sa teneur en sucre et en acidité. Elle est restée au stade de prototype. « Le marché n’était pas mûr pour une telle innovation. Les technologies de l’époque étaient également trop coûteuses. L’essor de l’agriculture de précision et des solutions connectées à l’échelle mondiale permet dorénavant de développer des services adaptés et abordables pour nos clients. L’offre va s’étoffer d’ici deux à trois ans », explique Matthieu Hamel. Chercheur à l’Irstea, James Taylor pointe également le manque de formation des techniciens viticoles à ces nouvelles technologies : « Peu d’institutions forment à l’AgroTIC ». Producteur-négociant dans l’Hérault, Bruno Lebreton souligne également la rigidité de la réglementation des appellations d’origine qui, en veillant au respect des traditions, bride l’innovation.

DESSOLUTIONS POUR UNEIRRIGATION DEPRÉCISION Malgré tous ces freins, la transition numérique est bel et bien en marche et certaines innovations commencent à diffuser dans le vignoble. Souvent sous la contrainte réglementaire qui les oblige à des télédéclarations, les viticulteurs sont passés au numérique pour la gestion de la traçabilité : saisie numérique du parcellaire, des traitements phytosanitaires réalisés…. Deux autres domaines devraient rapidement connaître des avancées : la robotique et la maîtrise de l’irrigation. « La robotisation est une avancée très attendue par les viticulteurs qui ont un mal fou à trouver de la main-d’œuvre et notamment des tractoristes », indique Christophe Auvergne, conseiller à la Chambre d’agricul-

ture de l’Hérault. Développée par la société toulousaine Naïo Technologies, TED est le premier robot de désherbage mécanique des vignes. À partir d’une cartographie de la parcelle, il est capable de travailler de façon autonome, grâce à son système de guidage GPS RTK. Laurent Palancade, responsable des vignobles des Grands Chais de France, s’est équipé de ce robot sur le Mas Belles Eaux, près de Pézenas (Hérault). « C’est un outil très intéressant, mais il n’est pas totalement autonome. Une personne doit le suivre dans les vignes pour des raisons de sécurité. Nous attendons avec impatience les adaptations qui le rendront pleinement opérationnel », témoigne-t-il. L’irrigation, qui va connaître un fort développement du fait du réchauffement climatique, est un autre domaine où le numérique pourrait rapidement apporter des solutions innovantes. « La ressource en eau se raréfie. Le pilotage de l’irrigation doit être précis pour éviter tout gaspillage », soutient Christophe Auvergne. La société montpelliéraine ITK propose déjà un outil de modélisation de l’état hydrique du vignoble à partir des données météo, qui permet au vigneron de gérer ses apports d’eau en fonction de ses objectifs qualitatifs et quantitatifs et d’apporter la juste dose au bon moment. D’autres entreprises ont développé des sondes capacitives qui mesurent l’humidité et la température du sol. Elles rendent compte de la consommation exacte de la vigne dans le contexte précis de la parcelle et des doses à apporter pour y répondre au plus juste. Aux domaines Paul Mas, à Montagnac (Hérault) on expérimente un

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20 septembre 2019 - Metropoles

dispositif encore plus pointu. Avec Netafim, leader mondial de l’irrigation, Jean-Claude Mas teste un système de modulation des apports d’eau en fonction de la topographie de la parcelle. Celle-ci est divisée en carrés de 30 centimètres, irrigués séparément en fonction des besoins spécifiques de la vigne. Tout est automatique et piloté à distance à partir des données météo, de photos satellite à différents stades végétatifs, de l’évapotranspiration, de la nature du sol et de son inclinaison. Une irrigation de précision qui permettrait d’économiser jusqu’à 20 % de la consommation en eau. L’outil Picore répond à une autre problématique très pressante pour la viticulture, la maîtrise des doses de traitement. Ce dispositif, développé par l’Irstea et commercialisé par Sika, permet au viticulteur de visualiser en temps réel sur son smartphone si le pulvérisateur applique bien les bonnes doses de produit sur les vignes qu’il est en train de traiter.

LATÉLÉMAINTENANCE ÉQUIPE DEPLUSENPLUSDECAVES « C’est très rassurant car on est sûr que la vigne est bien protégée sans avoir à augmenter les doses par sécurité », témoigne Gonzalo Amigo, vigneron à Montpeyroux (Hérault). Le prix élevé de l’équipement reste cependant un frein à sa diffusion. Le numérique progresse également dans les caves. L’équipementier Bucher Vaslin vient de lancer l’application Winect qui permet aux vignerons, grâce à un routeur 4G,

de suivre à distance le fonctionnement de leurs pressoirs ou filtres tangentiels. Sur leur smartphone, ils peuvent consulter les informations sur le pressurage en cours : avancée du programme, temps restant, sélection des jus, arrêt du pressoir… Ils reçoivent en temps réel des alertes sur les événements importants survenus sur leurs installations. Du siège de l’entreprise à Chalonnes-sur-Loire (Maine-etLoire), les techniciens de Bucher Vaslin peuvent également suivre le fonctionnement de ces matériels et pourront, à terme, assurer une maintenance prédictive. Le pressoir connecté de Pera, lui, envoie des alertes sur le smartphone de l’œnologue pour signaler les dysfonctionnements, évitant ainsi la présence d’un opérateur pour surveiller le pressurage. L’an dernier, la cave coopérative de Villeneuve-Minervois (Aude) a testé un pressoir du fabricant italien Della Toffola qui, grâce à l’intelligence artificielle, conduit seul de bout en bout le cycle de pressurage, l’opérateur n’ayant plus qu’à appuyer sur un bouton pour le mettre en marche. « Même si nous sommes en retard, il existe déjà des solutions numériques pour pas mal d’étapes de la vigne au vin. Ce qui manque c’est souvent l’interconnexion entre elles. Les fabricants que nous accueillons au Mas numérique l’ont bien compris et ont pour objectif de les faire communiquer ensemble. L’avenir de la viticulture passe sans aucun doute par le numérique », conclut Thomas Crestey.

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«Larobotisationest une avancéetrèsattenduepar les viticulteursquiont un mal fou à trouverde la main-d’œuvre, notamment des tractoristes» CHRISTOPHE AUVERGNE, CONSEILLER ÀLACHAMBRE D’AGRICULTURE DEL’HÉRAULT

SOUS L’ŒIL D’UN DRONE AGRICOLE L’UX11Ag de l’entreprise toulousaine Delair recueille des données sur la vigueur de la vigne, la biomasse et les pieds manquants. [DELAIR ]

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20 septembre 2019 - Metropoles

La première version de Ted,le robot de désherbageélectrique conçu par le toulousain Naïo Technologies.Pour des raisons de sécurité, l’engin travaille sous la surveillance d’un vigneron. [CHÂTEAUANGÉLUS]

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JOURNALISTE :Sylvia Baron

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1 septembre 2019 - N°45

/

\

Ld

Luz/fLit*

ri ntl i ue d rLr uevtfiuppee d i tu iriir

EMERAUDE

uu lui i iiuii r.

VOIT LA VIE EN VERT...

Changement de braquet quant à la « tri-at titude » valant désormais sur le territoire du

LE PLESSIS-BOUCHARD

Syndicat mixte pour la prévention, la collecte et le traitement des déchets de la Vallée de Montmorency. Depuis le 1er mai dernier, on est passé à l'extension des consignes de tri, l'ensemble des déchets provenant de la col lecte sélective étant acheminé au Blanc Mes

$

%

nil, chez Trivalo 93, récemment modernisé pour être en capacité de satisfaire les intérêts mutuels : améliorer le taux de valorisation et, à la clé, augmenter les matières triées, les re cettes, et diminuer la TGAP à acquitter.

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1 septembre 2019 - N°45

e Syndicat

Emeraude

'(«communes

regroupe

(Andilly,

Eaubonne,

dix-sept

Deuil-La

LE SYNDICAT

Barre,

Enghien-les-Bains,

Engagé Franconville,

Groslay,

Margency,

gny-lès-Cormeilles, magny,

Le

Saint-Gratien,

deux communautés

de son territoire, de réduire

des

sur

que la moyenne

dont

des déchets

avec

un objectif

francilienne.

complexes

1 317 tonnes d'emballages

cohérentes

de la gestion

influencer

le geste de tri et augmenter

siblement

les quantités

et de proposer

suit le directeur

aux

avons

problèmes

des déchets

jaune.

Depuis

possible

alléger

à savoir

ce qui simplifie

le poids

si

composteurs

le territoire

participant

d'allègement

des déchets

nalisée », renchérit

Rémy

(près

comptabilisés

sur

poids

des 0MR)

service

Il confirme

communication

par ailleurs

:

360

\print\

(affichage

mu

nicipal

et abribus,

an

des consignes

de tri. Celle-ci

enterrées...)

syndicat,

du territoire

l'année

de nouvelles

l'extension

des consignes

a souhaité possible

s'inscrire

dans

généraliser l'Hexagone.

un

en

les habitudes des

résultats

plus

sur

matières hausse

Emeraude.

résultant

du tri, sont

», l'ensemble

des impôts

finan

revues

jouant sur le montant

locaux. « En 2017, nous avons passé

un

marché

au

la collecte faire

nouveau niveau

baisser

la TEOM.

appels

à

contribution

ont été stabilisés. probable

d'entrée,

», avec un message

îcesttrifacile),

un maximum sans équivoque

que les investissements

en faveur de l'optimisation

(avec le site www.

et un hashtag

déchets ménagers, de

emprunt, :

de

et avons pu

En 2018 et en 2019, les

VERRE) EN 2018. ”

sur bacs et bornes

des à la

auront

cise le directeur

de la gestion

largement

des effets général

Il est

réalisés

financés vertueux

d'Emeraude.

des sans

», pré C'est

dans

rapidement voué

à se

l'ensemble

« La performance

de

devrait

être

le tri étant bien ancré dans depuis près de vingt ans, avec qui

parlent

chets d'emballages

dique

trieurs

Respon

soutiens

et à la vente

de tri. Emeraude

le

le taux de récupération

de 25

et «digital»

afin de toucher,

liées aux

ciers de l'éco-organisme

à ac

collectivités

mouvement

2022,

au rendez-vous,

par le dernière

de Citéo destiné

compagner

cesttrifacile.fr

organisée

couvert

qui a répondu

à un appel à projets

s'appliquant

sélective

que les recettes

D ’EMBALLAGES ONT ÉTÉ TRIÉES [HORS

”, qui allie

nonces presse, étiquettes

à la collecte

des OMR qui baisse, tandis

“ 12 345 TONNES

a mis en place un dis positif

ou d'élimination

que pour annoncer

«

« le coût de traitement

Trier plus impacte

bien

bien rodé, le syndicat

grise

« Nous

est ration-

Jurion,

et tous les pa

piers se trient ».

selon lequel plus on trie, mieux on

et admis grâce à l'extension

sur l'ensemble

en acier, 46,5 d'emballages

« Enfin, tous les emballages

sen

et avons distillé le

trie, plus la gestion

tout est permis

désormais

de plus

et 5 952 de verre.

sur la communica

que le tri en soi, soit

aussi à ce mouve

du

misé

ce changement,

une seule le tri et doit

de la poubelle

de 7 500

ment

quant

va, ou pas, dans le bac

le 1er mai dernier,

règle à retenir,

sa

triés

triés hors verre). Ce qui

avec près de 9 kg/hab.

249 d'emballages

», pour

général du syndicat.

largement

sable

lambda

collectées

tion au fil de ces années,

En mai, fais ce qu'il te plaît... de doute

plastiques,

7 526 de papiers-cartons,

les per

message

l'emballage

pas ménagé de déchets

nagers.

Plus

n'agant

un poids moyen

Pour ce qui est de la revue de détail, on a comptabilisé

constant

d'améliorer

de valorisation

solutions

affiche

des 278 OOO habitants

les tonnages,

formances

et sensibiliser,

sont la prévention,

la collecte et le traitement et assimilés

« Site vitrine » d'Eco-emballages

déjà plus de dix ans, le syndicat

les bons élèves en Île-de-France,

le classe parmi

en aluminium, nagers

PERFORMANCES

de 44,6 kg/ hab. en 2018 (soit 12 345 tonnes d'emballages

Sannois,

d'agglomération,

missions

DE BELLES

date dans la collecte sélective,

Citéo) depuis

peine pour communiquer

Plessis-Bou

réparties

de longue

(aujourd'hui

Mont-

Saint-Prix,

Soisy-sous-Montmorency),

les principales

Monti-

Montlignon,

Montmorency,

chard,

SIGNE

Ermont,

:

et dé

est, à ce jour, supérieur

% à la moyenne Jean-Marie

d'eux-mémes

des papiers

francilienne

Rollet, Directeur

», in général

d'Emeraude.

« C'est très bien, mais l'on peut encore mieux faire. Le changement

de consignes

devrait

\

Trivalo 93 assure le tri de 55 000 t/an en alliant le meilleur

de la technologie

et des

hommes

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1 septembre 2019 - N°45

LA STRUCTURE INTERCOMMUNALE EN CHIFFRES

création Situation

: 1993

: Val d'Oise

Soit 17 communes sur 2 communautés d'agglomération

réparties

: Val Parisis

et Plaine Vallée ©SB

\

De gauche à droite : Hugues

Libaudière,

et Rémy Jurion, respectivement

direc teur de Trivalo 93, Jean-Marie

directeur général et responsable

0Q0

Rollet,

de la communication

H

du

syndicat Emeraude

un mal nécessaire per le proche

: « Il est impératif

avenir qui se traduira

baisse des soutiens

à l'incinération

au regard du Barême de la TGAP, 500

Jean-Marie

politique,

de nos déchets

Rollet, le directeur

également

au niveau

efficaces

et saluant

du syndicat

syndical, et

Lambert-Motte

Emeraude,

et conseiller

du

départemen

tal du Val d'Oise.

de capter A kg de plus par an/hab.

« En effet, si l'extension

/'amélioration

n'est

pas négligeable

recycle,

moins

souhait

d'augmenter

ballages

triés visant

de ses OMR économique

recettes,

en ramenant

désormais

meilleure

» qui

de matières,

de pots, barquettes

films

en

qui sont

s'ajouter

directeur

désormais ménagères

la quantité

ne faut

pas traduire

pour le syndicat,

« de l'ordre

de 60

valorisée,

par

mais par des euros/tonne

ce qui assure

partielle des coûts

et donc une en constante

(tous flux distribués

aux

habitants • 1582 bornes

enterrées sur son territoire

implantées

Performance 2018 12 395 tonnes

et

d'emballages

et

détournés

du

» argumente

le

général.

matières

différentes

Cap sur le Blanc-Mesnil

en simultané),

nant un investissement

les premières

anciennes

modernisées

suite

est acheminé

du Blanc-Mesnil, miers

centres

en exploite

organisée

vers le centre

Trivalo

93, l'un des pre

de tri pilotés

vingt-neuf

2016

puissantes,

(installation capables

francilien,

du lundi

qui

mant

à ce jour. Conçu

par

A5 000

à l'au

de machines

de détecter

plus

plus de

portée

Libaudière.

lancé

du centre « C'est

un

de 5h à 22h30,

inclus,

et très perfor

d'une

capacité

de

t/an, sur le papier, que nous avons à un peu plus

annuelles, », ajoute

le directeur

dispose

des parmi

chaînes à avoir été

opérationnel

au samedi

puisqu'il

« compté

à l'appel à projets

Hugues

outil robuste,

par Paprec,

Aktid, bâti en 2010, il a été modernisé tomne

par de tri

d'eu

à l'extension

de tri et a même

par Citeo », précise

Emeraude

moyen

de 2,5 millions

ros. Il a alors été adapté consignes

Le fruit de la collecte sélective

triées

en

et bouteilles

des em

un intérêt

bacs

que

2 kg d'emballages verre

confondus)

en moyenne

triés, « on a pu constater

papier-carton,

885

triant

les 2 kg/hab plastique

.207

en plastique,

outre

le

a pour Emeraude

maîtrise

de

des embal

territoires

:

90 %

pavillonnaire • 39 élus et 19 agents

du tri

malencontreusement

tous les emballages

flacons plastiques,

du volume

ra une compensation

générale

vers le bac jaune

60 % collectif,

aussi

et déjà recyclés

lages qui échappaient

métal,

la réduction

supplémentaire

:

de

dès lors que plus on

on gaspille

qu'il

un bénéfice

elles assurent

d'ores

bac des ordures « environnemental

de récupérer

de la qualité

des emballages

viennent

l'aspect

. Population

permanents

et la simplification

permettent

emballages,

nouvellement

+ 4 kg attendus, c'est une affaire entendue Outre

des consignes

selon les projections

au tri. » Dans les quelques »,

maire

réalisées,

Rollet.

puis la mise en place de la collecte sélective,

« le rôle mobilisateur

de Gérard

Plessis Bouchard,

»,

rapides

de l'extension

de tri devrait permettre,

nouveaux

que « l'unanimité

des prises de décision

», expose Jean-Marie

des consignes

dans le mode opé

qui a prévalu

président

L'instauration

se doivent

a favorisé

et fédérateur

par une des OMR

Emeraude,

ratoire global de la gestion

néral, précisant

augmentation

€ en plus dès 2021,

prises en compte

exprime

d'antici

F, tandis que la hausse

000

pour ce qui concerne d'être

n

278 000 hab. • Typologie de l'habitat

de 55 000

après avoir optimisé Hugues

Libaudière.

tonnes

le process Les flux

par-

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venant sur le site, qui travaille pour sept collectivités clientes (soit 1,5 million d'habitants), dont le syndicat Emeraude (qui a renouvelé le contrat pour cinq ans début 2019), sont exclusivement franciliens. Une fois les déchets recyclables déchargés,

“ UN CENTRE

DE TRI

PERFORMANT UN ASSEMBLAGE

ils sont acheminés

vers la trémie

EST

véritable

DE

d'alimentation,

chef d'orchestre

as

surant la fluidité et l'homogé

NOMBREUSES BONNES IDÉES. ”

néité

du flux

de l'ensemble

: force

motrice

du process, elle

alimente un tapis, et c'est parti pour un tour. En sept minutes en moyenne, les déchets entrants sur la chaîne sont triés. Une fois cette première phase réalisée, on passe dans un autre bâtiment

:

« le départ de feu dans le monde des déchets étant un risque per manent, on protège nos personnels, comme nos outils qui ont né cessité des investissements

importants et qui sont là pour satisfaire

nos clients », expose le dirigeant du centre qui décrit ensuite lefonctionnemeznt

de l'installation

qu'il pilote.

La première cabine est consacrée au pré tri, une étape fondamen tale en Île-de-France.

« Nos clients collectent quasi exclusivement

en habitat vertical. Via l'anonymat

qui va de pair, on peut trouver

dans les flux des déchets qui n'ont rien à voir avec les déchets d'em ballages, sans pouvoir remonter puis traiter le problème à la source». Aussi, le pré-tri permet de prélever les gros indésirables tels que

\

Il n'y a pas d'âge pour pratiquer le tri...

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1 septembre 2019 - N°45

afin de gérer les flux selon leur composition. Les deux groupes 110 millimètres, 220

et 250

cribles

de matières

et fractions millimètres)

balistiques.

arrivent

Un matériel

lon les lois de la physique, séparer

est consacrée

©SB \

Le carton, qui occupe une place importante

dans le flux, est évacué en début de process,

avant d'être mis en balle. des sacs d'OM, cadavres clables

jusqu'aux

d'animaux, pouvant

de pannes,

être l'origine

comme

la ferraille,

ou éloigne des

sonnes

cartonnage

etc. « S'il est vrai que

évidemment

pas la majori

technique

parfaitement formés

Ainsi,

on

dangers

qui

travaillent

sachant

qu'il

en permanence

(l'agence

et pro préserve

l'ensemble sur

la suite

faut trente

per

pour la faire tourner

occupe soixante-quinze

collabora

teurs), mais aussi les machines,

constituées

de mécanique

lourde

gie, les trieurs

optiques

et de haute n'étant

pour trier du parpaing, pneu usagé compris trants,

privilégié.

étant

de certains

de la chaîne,

en UVE franciliennes,

de

essentiel.

collègues

férés

ou

par des opérateurs reste

rôle ». Ces refus non valorisables

de blocages

té des flux, le pré-tri,

tégés,

recy

des gentes de voiture,

des pneus,

ceci ne concerne

maîtrisée

DEEE, voire des

ou des déchets

prend

se développe. à recouvrir turbe

en progression

Aussi,

parce qu'il a tendance

le reste de la matière

de process.

par un système ensemble

de le prélever

On l'éjecte

bien pensé,

qui capturent

global est

l'efficacité

en

de son

PAPRECTRIEET REPREND LE PLASTIQUE l'exploitant

du centre

de tri. Mais

Paprec peut très bien reprendre matériau

par ailleurs.

Emeraude

avec le groupe

Ce nouveau mars dernier.

contrat

de

ricochant

un

le contrat

des plastiques. a pris effet le 1er

recyclables

au tri négatif

La logique terminer enlever

gros,

pour

par le plus fin. On commence

est de trier

le plus

par

ce qui perturbe

le tri, avant

librer des flux via un trommel

afin

constate

déchets

fibreux,

tandis

conserve

À défaut,

et crible

suivante,

sous

différentes

De cette

étape

ressortira

bira ensuite

du verre un criblage

qui est valorisable fractions, corps Enfin

plats

plats supérieurs

dispose

sionnées

de

les bouteilles, y sont

minori

n'est pas au ren le directeur

du

en scène le tri optique.

de neuf

machines

site.

Le site

de ce type, four

nies par Pellenc. « Grâce à la reconnaissance infra rouge, on va générer plus homogènes,

des flux déplus

ce qui détermine

des lots. De la sorte, lorsque devant

les collaborateurs,

les flux passent

la matière,

la trier », confirme

Hugues

de soi qu'un

courant

overband

quets

a affiné

associé

Libaudière.

du

Il va

est intégré

l'aluminium,

tandis

à une presse à pa

la récupération

À l'issue

n'ont

et non plus à

de Foucault

pour séparer

qu'un

des métaux

process,

les matières

triées sont mises en balles, allant de 600 à 1 tonne,

selon

du transferts

en

la qualité

ces derniers

plus qu'à contrôler

les matières,

kg

dans l'attente

vers leurs repreneurs.

Au fil du temps,

on est ainsi passé

positif

le maximum

(on enlève

bon pour le recyclage),

(qui peut

assure un meilleur

dangereux

tels que

que pour l'heure,

cassé, etc.) qui su pour récupérer

creux

en

et de

de leur taille.

millimètres),

aval, les machines

ce

différentes

(composée

et paramétrées

majorité

de tri, c'est du sur-mesure.

la fine

de corps

à 250

les ma

de l'étape

granulométries.

triés en fonction

a lieu la purge

à ce qu'en

lors

et, par ailleurs,

mélanges

que

et canettes

», explique

Entre ensuite

à l'île-de-

une

la performance

dez-vous

la typologie

propres

où l'on

on

opératoire

de 18 mètres

de les présenter

des éléments

de ca

« avec

France

ferreux.

des seringues,

pour ce qui est de la

reprise de l'ensemble

équipés

en relation

des déchets

taires. Un centre

: l'une

du tri des corps

le reste du bâtiment,

est à mettre

boîtes

de

et corps plats.

les corps plats. Ce mode

au process

Du tri positif

contenir

C'est le cas avec

qui a renouvelé

d'un

sur les disques.

tières

pas à

constitué

les cartons

de long, qui désimbrique

n'appartient

en

puis l'évacue

ou du

dont la moitié est captée au stade du

La matière

ce qui per

de trois plans inclinés

disques,

par le

et parce que le click & collect

le tri, il est important

début

au dé

une place de

dans le flux du fait

consommation

biais d'Internet,

pas conçus

entre 20 à 25 % des tonnages

pré tri, ce qui démontre

on procède

: le carton

plus en plus importante d'une

court

technolo

de la ferraille

». « Le taux de refus

Ensuite,

sont trans

le circuit

se

de leur poids

deux directions

à l'affinage

et sur tout

affinera

sur deux

et qui permet

corps creux

Le flux prend ensuite

de entre

opérant

les objets en fonction

et de leur forme,

creux,

(fractions

comprises

de corps de sorte

soient dimen

chinois tières

impacte

ter d'obtenir

sortes

à du tri négatif

ce qui

taux de valorisation. « la fermeture les basses

et l'un des objectifs

progresser

», poursuit

« Ceci constituant

qualités

papeà ten

de qualité, la qualité

le directeur

à un niveau

Jean-Marie

Rollet.

correct

mais

de ces

de Trivalo

le seul moyen

des recettes

Sauf

du marché

consistera

des standards

aussi de faire

du tri

de ce qui est

93.

d'obtenir

», complète

conséquence

Tous droits de reproduction réservés

P.41


PAYS :France

DIFFUSION :1696

PAGE(S) :16-21

JOURNALISTE :Sylvia Baron

SURFACE :477 %

Recyclage Récupérat

PERIODICITE :Bimestriel

1 septembre 2019 - N°45

L

« Un centre usine

de tri n'est

qui s'adapte

affirme

qu'une », ré

le directeur

quand

du centre

bien même

papetiers

incité deux

qui étaient

Paprec

principaux

mission

trieurs

seront

remplacés

les flux

dans

les

viennent

par deux Mistral*,

nouvelle

génération.

Hugues

dans la course il faut investir

et au service et s'investir

[mais aussi] bien connaître

ou quinze

changé

mis à la disposition

prend

mieux

en permanence,

ter

l'outil et anticiper

constate

de tri ne

aussi, la donne

un autre

pré-tri peut

registre,

est arrivée apporter

initiale

par rapport

n'intégrant

pas

qui nous parviennent breux,

souvent

captés

que

prélever

réponse

général

sommes

de rentabilité,

en

une semaine,

l'organisation collectivités

septembre,

sans

pas. Aussi,

lement

une réflexion

construire

intégrante

le directeur

exploitants

n'investirait

d'être

les outils évolutifs

sont très lourds

tenir des performances

d'imaginer

glementaire

: la chaîne

nous

un projet

mais

n'étant

par terre

chande.

Notre

le cas,

le tri des

de cette

taille

: les investisse

tallations,

Notre

respecter

conclut

actuel visant

besoin

à

Cela a

du soutien

prenantes

privées,

cette démarche,

l'alu

dénué

mar

de valeur

but est et reste de satisfaire

de chacun

le taux

quelques

de valorisation. l'optimisation

moins

le directeur

pour

étant de toujours

tout en permettant

de dépenser

rôle, c'est aussi

menons

et de grappiller

cents, l'intérêt améliorer

pas

qui nous assure

que ce soit pour ob que pour

nos clients

une

qui ne nous

tel que Citéo, l'Ademe,

dans

minium

sait les

dans

plus globale,

ou des parties

d'avancer

peuvent

ne

dans

afin

la

miti

puis à le tester.

éco-organisme

la Région,

du

à

C'est

à la collectivité

au titre de la TGAP du centre

ce

de nos ins

»,

de tri.

le tri dans les cinq ou six ans qui D'où notre », ajoute

besoin Hugues

de visibilité

Sylvia

Baron

Libaudière.

des sous »,

€. Pendant

autant

de la collecte

partie

de tout mettre

« Aussi,

avec résultats

moyennant

de 360 000

pour

le directeur

satisfait

et ex

sera donc

la durée des travaux,

à l'arrêt,

et une

à rendre

La cabine

de qualité

les cinq ou six ans. Si tel était

viennent.

», explique

est posé,

font

Les

des

gés

un coût et nous aurions

les réglementations.

de

« Nous avons

tous

ments

opé

nous sommes

le dirigeant. à neuf

la chaîne perturber

provenant

des

locales.

« Paprec

a une vision

traitement

des déchets

clage, et a cette qualité : s'adapter,

jours satisfaire souligne

des

contraints

des comptes

un investissement

d'investir

et par

on

investissement en termes

», soutient

se permettre

déchets.

(qui sont

périences, clé

investi

nos propres

proportion

d'un

de tri.

l'ensemble

avons

capter,

», se réjouit

métiers

des techniques,

à attraper

de ces petits alus. « Nous

« lors

d'Emeraude.

se doivent

plastiques

formats

Le problème

et avons

complète refaite

nous

chaque

plus personne

de plus en plus nom

de grands

a été apportée.

objectifs

de

à sa conception

dès le début du process

le directeur.

contrat

cabine

pas

n'a pas été

aussi performantes

en l'état actuel

ne parviennent

comp

la différence,

centre

de ce qu'elle

les films

automatiquement

rateurs),

sera

« notre

aux limites

Sans

et de performance

pas Dans

escompté

“ LES OUTILS DE CETTE TAILLE SE DOIVENT D ’ ÊTRE

coût

« Les améliorations

à neuf

le résultat Les machines,

soient-elles

€»,

ont été mis en place,

sur le papier. Sauf qu'à l'ex

mené

com

le

qu'après

de nos

Une cabine refaite

la philoso

a

», ajoute-t-il.

ploitation, optimal.

donc changé

De fait,

du site : des schémas très cohérents

ce qui

AOO 000

des

on

compris).

qu'il y a dix

de

de 2016, les petits alus

au plan de modernisation

tri (179 € transport

du

de nos clients,

avec

Nous avons

Libaudière.

ont été intégrés

voit l'outil qui est

plus », précise rester

Lors de la rénovation

empêchant

des camions,

en cohérence

Hugues

collectivités,

métier

ans. A ce niveau

profondément

de

le nombre

à balle, moyennant

il est probable

Les opérateurs

font plus du tout le même

la presse

qu'on

limitait

la charge

pas

détaille

qui

« Si nous voulons

les changements.

la

semaines

quasiment

Libaudière.

dont

n'était

à merveille

: la taille des balles

être transporté,

phie d'ensemble.

de papier,

des machines

À terme,

que le 1.02 n'existe

« Nos

optiques,

est de purifier

produites

d'optimiser

des machines

à réinvestir.

qui fonctionnait

ce qui pouvait

des

en fin de vie sur le site, ce qui a

le groupe

à balles

mais qui avait un défaut

de tri. Ainsi,

le cahier des charges

n'a pas été modifié,

arrivaient

presse

rien d'autre

en permanence

du

à des fins de recy de n'avoir

pas peur

coller aux réalités,

nos clients,

le responsable

que jusqu'à

très industrielle

tou

est notre devise

»,

du site. C'est ainsi

fin 2017, « nous avons

eu une

\

Neuf machines

de tri optique

équipent

le centre Paprec du Blanc Mesnil.

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P.42


PAYS :France PAGE(S) :1 SURFACE :9 % PERIODICITE :Quotidien

18 septembre 2019 - N°424

îyWn Charente-Maritime Pellenc s'implante à Pons Pons, Pellenc Bordeaux-Charentes (filiale locale de Pellenc, machines et équipements pour l'agriculture et les espaces verts, leader sur les vendangeuses, 258 millions d'euros de CA, 1.700 salariés) s'apprête à créer une nouvelle antenne locale, sur le site de l'ex-Wesper. Livraison prévue lin du 1er trimestre 2020. Pellenc est déjà présent localement à Rouillac, Segonzac en Charente, et Naujan-et-Postiac, Saint-Laurent-Médoc, Peujard et Néac en Gironde. (APS 13/09 p.8)

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PAYS :France

DIFFUSION :28323

PAGE(S) :71

JOURNALISTE :Laurent Rousselle

SURFACE :51 % PERIODICITE :Hebdomadaire

19 septembre 2019 - N°3626

ACHATS

ÉQUIPEMENT DEPRODUCTION

TOMRA VOIT DANS LE NOIR DES DÉCHETS résent dans un grand nombre de barquettes, le noir de carbone est l’une des bêtes noires des centres de tri. Utilisé comme colorant dans les emballages par les industriels de l’ agroalimenta pour renforcer l ’attrait de leurs produits, il les rend indétectables par les trieurs optiques classiques car il absorbe le rayonnement infrarouge utilisé pour identifier et séparer les différents matériaux. L’emballage, invisible, échappe à la valorisation qui exige la massification des flux, particulièrement dans le contexte actuel d’extension des consignes de tri. Pour pallier cette invisibilité, Tomra Sorting Recycling a développé une solution de détection d ’objets par laser (laser object détection, LOD). Conçu pour s’intégrer aux machines de tri optique Autosort et Finder du fabricant, ce module identifie les objets noirs, mais également les fragments de verre, de pierre ou encore de céramique. Il peut aussi écarter les impuretés contenues dans le flux de papier concentré. «Ce dispositif améliore

P

la pureté du produit trié jusqu ’ à 4% sans sacrifier la productivité du système», assure Tomra. De conception modulaire, ce boîtier de ire 85x61,4x60,4 cm scrute des bandes allant de 1 à 2,8 m. Dans ce dernier cas, un second caisson doit être ajouté. Complémentaire

faisceau du laser continu perturbe le champ dimensionnel», explique Pierre Mortelmans, le responsable commercial de Tomra. L’infor mation est ensuite confirmée par une caméra qui transfère les données au logiciel, avant que les contaminants soient séparés en bout de ligne par un système d’injection. Peu éner givore, le boîtier LOD a une consommation inférieure à celle d ’un ordinateur. Il est aussi extrêmement stable. «Une fois la calibration faite, il n’est plus nécessaire d’y retoucher», précise Pierre Mortelmans. Si le dispositif est capable d’ identifier des objets ayant la surface d’ un ongle, une épaisseur d’au moins 8 millimètres reste nécessaire pour obtenir un résultat optimal. Une dizaine de ces boîtiers proposés à la vente depuis le début d’année a été commercialisée en France. La filiale française du norvégien Tomra Systems a réalisé 15 millions de chiffre d ’affaires en 2018. Elle compte plus de 25 salariés et a installé 450 machines dans l ’hexagone. LLaurentrousselle

de l'infrarouge

La LOD complète l ’action du scanner infra rouge présent sur la machine. Elle peut être intégrée en amont ou en aval de ce dernier, selon la configuration de l ’équipement et de l ’environnement. «Tout ce qui passe sous le

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PAYS :France

DIFFUSION :28323

PAGE(S) :71

JOURNALISTE :Laurent Rousselle

SURFACE :51 % PERIODICITE :Hebdomadaire

19 septembre 2019 - N°3626

CARACTÉRISTIQUES POIDS IDENTIFIE

20 kg

les objets CONSOMMATION

noirs

<1 SUR DES CONVOYEURS

de

1 à 2,8 m de largeur

CONCURRENTS

kW

BEZNER

ÉMETTEURS, CAPTEURS

laser,

(Allemagne)

BINDER+CO

(Autriche)

M0GENSEN

(Allemagne)

caméra DIMENSIONS BOÎTIER

DU

(LxlxH)

850x614x604

mm

RÉSOLUTION environ

20 mm

PELLENC REDWAVE RHEWUM

(France) (Allemagne) (Allemagne)

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PAYS :France

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PAGE(S) :9 SURFACE :10 % PERIODICITE :Mensuel

1 septembre 2019 - N°421

Vive les « paysagistes de l ’environnement » Trois paysagistes de l’environnement ont reçu leur trophée le 24 juin à Aix-en-Provence. Présidé par Antoine Jacobsohn, jardinier en chef du Potager du roi à Versailles, le jury réuni par Pellenc a récompensé la communauté d’agglomération Villefranche Beaujolais Saône (trophée Jardin public), la Scop Sicle d’Angers (Jardin privé) et et Croq'Jardin, section de la fédération départementale des foyers ruraux des Bouchesdu-Rhône à La Roque-d ’Anthéron (trophée Insolite).

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PAGE(S) :10 SURFACE :12 % PERIODICITE :Mensuel

1 septembre 2019 - N°421

H Quitte à perdre des marchés, l ’entreprise de paysage a parfois un devoir de désobéir lorsque des cahiers des charges préconisent l’arrosage pour éviter l ’impact visuel de l ’herbe sèche. 55 QUENTINLEFAUCHEUX,président de l’Unep Méditerranée, le 24 juin à latable ronde sur les déchets verts organisée par Pellenc à Aix-en-Provence.

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1 septembre 2019 - N°421

Pellenc rhabille

ses prototypes

Pellenc disposera en octobre de son nouveau bâtiment destiné à la fabrication des prototypes, sur le site du siège social de Pertuis (Vaucluse). «Une vision industrielle à moyen terme continue à fonder la stratégie», s’est réjoui Bruno Jargeaix, directeur du département Espace vert, le 24 juin. Le groupe de 1700 salariés, dont 150 pour le département Recherche et développement, a réalisé un CA de 258 millions d’euros en 2018.

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PAYS :France

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13 septembre 2019 - N°2145

EXCLUSIF du 16h/APS

MACHINESÀVENDANGER 17-33

Le groupe Pellenc va s'implanter sur l'ancien site Wesper (Publié

dans

Le groupe

les machines, fessionnels et urbains.

la région

sites

en Gironde point

bordelaise

est spécialisé

électroportatifs

(Naujan

(Rouillac

de distribution,

les lieux et dont

aussi

et Postiac,

site de la société

2013 sur sa filiale

n° 1917 et h* 1949)

mais

n° 3246) . La Communauté mais

depuis

l'hebdo/APS

et 2 en Charente

l'ancien

de CA, 1 700 salariés)

et les outillages

la SAS s'appuie

dans

veau

(258 M€

destinés

dans

aux pro

des secteurs de l'agriculture ainsi que de l'entretien des espaces verts Figurant parmi les tout premiers fabricants mondiaux de machines

(90 salariés,

Néac)

du 10/09/19)

Pellenc

les équipements

à vendanger, rèntes

le 16h/APS

vauclusien

à Pons

mais

Disposant

Saint-Laurent

Médoc,

cette

fois-ci

liquidée

de communes

l'objectif

elle

Bordeaux-Cha-

développer

cognaçaise.

et Segonzac),

Wesper

Pellenc pour

Peujard

s'apprête

est d'y installer

de nouvelles

à

un nou

à Pons, sur

par ailleurs

de Haute-Saintonge,

de 4

et siège

à créer

en Charente-Maritime, fin 2015 (voir

l'activité

aujourd'hui

le 16h/APS

qui gère

entreprises

désor

(voir

aussi

l'hebdo/APS n° 2017 ), vient de lui céder un terrain de plus de 7 800 m 2 doté d'un bâtiment d'une surface de près de 2 500 m 2. Celui-ci va faire l'objet de travaux d'aménagement

qui seront

dédiés

et la réparation

à la vente

la fin du 1er trimestre

lancés

prochainement. de machines

Les futurs agricoles,

locaux,

devraient

qui seront être livrés

à

2020.

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JOURNALISTE :Fabienne Lebon

SURFACE :17 % PERIODICITE :Hebdomadaire

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12 septembre 2019

Le Forum Pulvé s’interroge aussi sur le biocontrôle Fabienne Lebon Le sixième Forum Pulvé de la Chambre d’agriculture s’est tenu cette semaine sur le domaine Rémy-Martin à Juillac-le-Coq. Si le rendez-vous technique est surtout prisé pour ses démonstrations de matériel, il a aussi fait la passerelle vers le biocontrôle. Avec 200 viticulteurs attendus pour sa journée du 10 septembre, la grande messe de la Chambre d’agriculture dédiée à la pulvérisation a encore fait carton plein à Juillac-le-Coq. Il faut dire aussi que la pulvérisation confinée fait désormais partie intégrante de la certification collective HVE cognac. La Chambre d’agriculture a aussi profité du Forum Pulvé pour montrer qu’elle investissait dans ce domaine. Sur place, elle présentait son tout nouvel appareil d’expérimentation. « Nous avons demandé au constructeur quelques ajustements pour l’adapter au viJeudignoble de cognac. L’objectif, c’est de tester toutes les nouvelles molécules de biocontrôle, dont nous venons de parler en conférence » explique Jac-ques-Yves Guerlesquin, directeur-adjoint de la Chambre d’agriculture. À ses côtés, le technicien Clément Bertrand, qui avec Sonia Dubuissy a été formé au fonctionnement de ce nouvel appareil, ressent « une demande des viticulteurs pour obtenir des références locales. Les conférences auxquelles nous venons d’assister montrent que les conditions de pulvérisation doivent être optimum

pour obtenir un maximum d’efficacité des différentes solutions de biocontrôle. Les viticulteurs souhaitentdonc des tests grandeur nature adaptés aux objectifs de rendement de la région ». Cette année, la Chambre d’agriculture a présenté les résultats de tests de deux pulvérisateurs confinés Carrarospray et Nicolas, ainsi que de deux cellules de pulvérisation sur porteur : l’EcoProtect de Grégoire et l’Eole de Pellenc. Autre curiosité du jour : la petite entreprise Diimotion, basée à Lescar dans les Pyrénées-Atlantiques a fait une démonstration de son système d’injection. Rappelons que technologie baptisée PiiX a été récompensée du prix spécial du jury lors du dernier concours Vinitech-Sifel, dans le cadre du salon de Bordeaux. Sonia Dubuisson et Clément Bertrand, conseillers viticoles à la Chambre d’agriculture de Segonzac, ont été formés au fonctionnement de ce pulvérisateur réservé à l’expérimentation. ■

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JOURNALISTE :Richard Cremonini

SURFACE :30 % PERIODICITE :Hebdomadaire

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13 septembre 2019

Châlons d’Or : entreprendre et innover Richard Cremonini CONCOURS Les innovations prenant en compte l’innovation en matière de techniques agricoles et viticoles ont été distinguées lors de la 73e Foire de Châlons-en-Champagne. Avec à sa tête Christian Lemery, président des Entrepreneurs des territoires de Champagne-Ardenne, le jury des Châlons d’Or de l’innovation dans le domaine des techniques agricoles et viticoles a désigné ses lauréats le mardi 3 septembre dans le cadre de la 73e Foire de Châlons en Champagne. Les prix ont été remis au terme de la conférence sur les résultats agricoles 2019. « Nous avons relevé une dizaine de matériels innovants », souligne Christian Lemery. Pour ce cru 2019, pas d’innovations majeures mais des évolutions qui permettront aux agriculteurs de travailler dans de meilleures conditions ou de mieux préserver la qualité de leurs sols et l’environnement. Premier prix à la Sopema Le jury a décidé à l’unanimité, de remettre le Premier prix du Châlons d’or de l’innovation 2019 à l’entreprise Sopema qui présentait cette année trois matériels innovants : un rouleau destructeur de végétaux ; une croskillette localisée (pour betteraves, maïs, tournesol... ) qui rappuie sur le rang de semis et permet de ralentir le développement des adventices ; une croskillette triple qui, en année sèche, favorise le rappui en profondeur et augmente

la qualité du rappui en surface, cela permet une économie de carburant du fait de la réduction du nombre de passages. Le Premier prix a été remis à Rémi Baupin, le jeune dirigeant qui a repris l’entreprise Sopema. « L’ADN de la Sopema est d’être à l’écoute de ses clients et ainsi réaliser chaque commande à la carte. La diffi-culté première était d’éviter le coût supplémentaire engendré par cette personnalisation. Pour cela, j’ai souhaité harmoniser la conception des pièces principales et ainsi pouvoir augmenter notre réactivité par des petites séries de ces pièces maîtresses qui nous permet de réduire nos délais et ainsi pouvoir produire plus de machines dans l’année », explique Rémi Baupin. « Nous avons aussi voulu distinguer la capacité d’entreprendre de Rémi Baupin », souligne Christian Lemery. Le 1er prix pour Rémi Baupin (Sopema), à ses côtés Christian Lemery (président du jury) et Thibaut de Jaegher (directeur général de Réussir). Balon et Thiérart se distinguent Le 2e prix est revenu à l’entreprise Balon pour son transbordeur à basculement latéral. « Si cette conception n’est pas nouvelle pour les producteursde canne à sucre, elle va sans aucun doute conquérir le marché agricole français sur les domaines concernant les céréales, le maïs, les betteraves ou les coproduits nécessaires aux biocarburants », observe Jean-Marie

Régnier, membre du jury. M. Balon a expliqué pour sa part que cette benne était adaptée pour le transport de bois destiné notamment à la fabrication de pellets ou de plaquettes de chauffage. Le prix d’encouragement remis à Thiérart par Jean-Marie Régnier. Le 2e prix à M. Balon, à ses côtés le président d’Équip’Agro Philippe Ravillon qui a remis le prix. Enfin un prix d’encouragement a été attribué à l’entreprise Thiérart pour deux machines adaptées à l’évolution récente des besoins agricoles et viticoles. Tout d’abord nouveau système de récupération des menues pailles constituées de deux turbines de grand diamètre entraînées par une centrale hydraulique indépendante, elle peut être associée à une remorque pivotante à 90°. Autre nouveauté : un distributeur à engrais pour la viticulture qui était installé sur un enjambeur Pellenc lors de la Foire de Châlons. Christian Lemery invite les exposants à préparer leurs dossiers pour l’an prochain. Balon primé pour son transbordeur à basculement latéral. Des innovations en matière de travail du sol sur le stand Sopema. Le distributeur à engrais Thiérart monté sur un enjambeur Pellenc. ■

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PAYS :France

RUBRIQUE :Locale

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JOURNALISTE :Jean Luc Thomas

PERIODICITE :Quotidien

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12 septembre 2019 - Edition Vaucluse Sud

PERTUIS

13 jeunes sapeurs-pompiers préparent leur rentrée Jean Luc Thomas Treize Jeunes Sapeurs Pompiers (JSP) ont commencé leur 2ème année avec une journée "Raid de cohésion ancestral", comme la surnomment les Sapeurs Pompiers. Cette journée est faite pour repartir sur des jeux ludiques en tissant, à nouveau, les liens entre les formateurs et eux, avant la rentrée officielle qui aura lieu ce samedi 14 septembre. Ce Raid de cohésion s'est déroulé lors d'une sortie autour de l'étang de la Bonde, sa forêt, sa grotte et ses

chemins escarpés. Au programme des 13 JSP, une course aux énigmes en équipe et une course à pied avec du matériel opérationnel. En bonus, un petit exercice d'évacuation d'une JSP blessée (pour de faux) dans un chemin difficile d'accès. La journée s'est terminée autour d'une bonne glace comme à son habitude. En cette reprise d'année, les JSP Durance-Luberon et leurs formateurs, souhaitent " r emercier

Pellenc SA qui nous a rejoint et participe à la formation des jeunes vers leur objectif : devenir Sapeur-Pompier. Grâce aux dons de nos sponsors et partenaires, nous avons pu offrir à l'école une tenue de sport unique avec un sac de transport pour tous leurs entrainements quotidiens et les rassemblements sportifs départementaux. Un grand merci à eux ! " ■

0fCYkPdAMF1TJcbiBBpz69Sqr2X15FzKeVJ8TmD63JTNDy4ax3lE1ESvvm-uoj7QEM2I3

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6 septembre 2019 - N°2039

NOUVEAUTÉS Les constructeurs présentent confort et de la sécurité.

Deux gammes de machines vendanger à la place d ’une

de nouvelles

à

Répondant à la nouvelle norme antipollution Stage V, les deux nouvelles gammes de machines Grapiliner 5000 et 7000 rem placent l’ancienne gamme 6000. Simplifiées avec le moins de carénages et d’options pos sibles, les Grapeliner jouent la carte de l’accessibilité au niveau tarifaire et sont homologuées à 25 km/h. Les Grapeliner 7000 sont quant à elles réception nées pour circuler à 40 km/h sur la route. Elles adoptent une motorisation six cylindres Deutz répondant à la norme Stage V, délivrant 155 et 175 ch sur les 5000 et 175 et 200 ch sur les 7000. Par rapport à la précédente génération, ces deux gammes disposent du guidage du tapis de convoyage à l’aide de galets, limitant l’usure et facilitant le net toyage, de panneaux avant très légers à démontage rapide, d’une largeur de passage accrue dans la tête de récolte, de secoueurs

à attache rapide

sans outil, ainsi que de deux nouvelles

écailles

supplémen

taires à l’avant pour réduire les pertes.

VENDANGES gammes,

avec

des modèles

Comparativement aux 6000, les 7000 bénéficient de l’inversion automatique de la rotation du panier d ’égrappoir pour optimi ser le tri dans les fortes pentes. L’écartement des rouleaux de la table de tri est désormais réglable depuis la cabine, pour s’adapter au cépage et aux caractéristiques de la ven dange. Enfin, ces machines disposent d ’une cabine à climatisation automatique. O GRÉGOIRE Renouvellement de l ’automotrice à bac central Remplaçant le modèle G8.270, les deux nouvelles machines à vendanger à bac central GX8.4 et GX8.6 abritent respective ment deux moteurs Deutz, 4 et 6 cylindres, développant 156 et 190 ch. Répondant à la norme antipollution Tier 4f, ceux-ci pro posent une gestion automatique du régime moteur en fonction des besoins. La nouvelle trans mission Poclain procure un gain de franchissement de 28 % par rapport à la G8.270. Comme les GL8, ces machines disposent d ’une correction de dévers de 600 mm, de léchelle ’ électrique inclinable à 25 degrés, de la

progressant tant au niveau technique

qu ’au niveau du

inclinable à 25 degrés, de la cabine Rops (protection contre le renversement) de catégorie 2 (ou 4 en option), de l’éclai rage led (18000 lumens) de série, du terminal 12 pouces Isobus, de la mémorisation des séquences de bout de rang et, en option, de la caméra 360 degrés. Comme les GL, elles bénéficient d ’une tête de récolte double pendulaire suspendue, d ’un tunnel de 650 mm de large, des secoueurs à fixation Fastfit, du réglage automatique du pin cement Autopinch, ainsi que des écailles pneumàtiques. Les GX8 intègrent un nouveau sys tème de convoyage haut ren dement, deux extracteurs infé rieurs et deux supérieurs, ces derniers pouvant être rempla cés par le module de nettoyage EasyClean. Pourvu d’un capteur de rem plissage, le bac central gagne 5 hl de capacité, pour atteindre 3500 I, et vidange à 2,50 m de haut. Comme leurs petites sœurs GL, les GX peuvent bénéficier du guidage optique EasyPilot, du capteur de rendement NeoMass couplé à la cartographie NeoMap et de la traçabilité des rangs travaillés NeoTrack. Enfin, le nettoyage a été repen sé pour réduire les temps d ’en tretien. Une vendangeuse pour vignes intermédiaires Baptisée GM7.4, la nouvelle machine à vendanger pour vignes intermédiaires reprend les principaux équipements inaugurés sur les GL7 et GL8

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lancées l’an dernier: correc tion de dévers jusqu ’à 500 mm, nouvelle transmission Poclain avec des capacités accrues, échelle électrique s ’inclinant à 25 degrés, cabine Rops (pro tection contre le renversement) de catégorie 2 (ou 4 en option), éclairage led (18000 lumens) de série, terminal 12 pouces Isobus, mémorisation des séquences de bout de rang et, en option, caméra 360 degrés. Remplaçant la G7.210, elle s’en distingue par un moteur Deutz 4 cylindres de 136 ch (144 ch auparavant) répondant à la norme antipollution Tier 4f. Conçue pour les vignes à partir de 1,30 m (1.40 sur les G7.210), cette machine dispose d ’un tun nel de récolte légèrement réduit (520 mm contre 540 mm). Ali mentées par un nouveau tapis convoyeur de 280 mm, les deux bennes cumulent 2600 I. Comme leurs GL, la GM 7.4 peut bénéficier du guidage optique EasyPilot, du capteur de rendement NeoMass couplé à la cartographie NeoMap et de la traçabilité des rangs travaillés NeoTrack. Là aussi, le nettoyage a été repensé pour réduire les temps d ’entretien. »NEW

HOLLAND

Une machine exploitations

pour individuelles

tations

individuelles

récoltant

entre 50 et 120 ha chaque année. Succédant à la VL 5060 Plus, celle-ci s ’en distingue par une nouvelle cabine Blue Cab 4, une motorisation FPT Nef 4 cylindres de 128 ch répondant à la norme antipollution Tier 4 final, sans EGR ni filtre à parti cules, et par une tête de récolte revue pour les gros volumes. Le tapis convoyeur passe de 45 à 50 cm de large et a été avan cé pour mieux réceptionner et absorber les grandes quanti tés de récolte. De même, les bennes gagnent en autonomie cumulant 2800 I contre 2400 sur la VL 5060 Plus. Compactes, ces vendangeuses

Une gamme de traînées une tête de récolte pour vignes étroites

et les

Pellenc a présenté début sep tembre de nombreuses inno vations, et notamment sa toute première tête de récolte pour vignes étroites, montée sur le nouveau tracteur enjambeur Optimum 340. Ce dernier, déve loppé pour des rangs compris entre 0,9 et 1,5 m, reprend le concept de multifonction, com mun à toute la gamme Opti mum. Un soin tout particulier a été donné aux porte-outils (9 au maximum), qui bénéficient de nombreuses prises élec

accèdent dorénavant en option au pincement électrique piloté depuis la cabine, ainsi qu ’au contrôle de dévers automa tique, deux équipements qui n’étaient pas disponibles sur la VL 5060 Plus. Suspension sur les machines haut rendement Déjà proposée sur les Braud 9080 N et 9090 L, la suspen sion du train de roues avant est désormais proposée sur les Braud 9050 et 9070 L. Outre le confort, cet équipement amé lioreesignificativementficativement lior signi la tr tractionaction notamment sur sols irréguliers et durs.

Le leader de la machine à vendanger achève le renou vellement de son offre de ven dangeuses automotrices avec la Braud 7030 L, une machine compacte destinée aux exploi

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triques et hydrauliques et de commandes déportées. Le tout animé par trois pompes hydrau liques: une de 150 l/min (loadsensing à débit variable) et deux de 30 l/min (débit variable et engrenage). Avec un empat tement de 2,6 m, une longueur totale de 3,82 m et un frein de tournière automatique, l’Optimum 340 se veut très maniable. Le rayon de braquage annoncé dans des vignes à 1 m est de 3,40 m seulement. Laccent a également été mis sur le confort et la sécurité, avec une nouvelle cabine pressurisée (classe 4) bénéficiant d ’un angle de vision plus large, d’un écran couleur tactile et d'un siège haut de gamme signé Grammer. De même, le tracteur comprend diverses aides à la conduite, comme l’affichage permanent du dévers et de la pente, un gyrophare qui se met en marche automatiquement avec le mode route ou encore une caméra amovible avec son support aimanté. L’accès à la cabine se fait quant à lui depuis une large plateforme sécurisée, bénéfi ciant d’une échelle à ouverture hydraulique combinée avec le frein de parking et compa tible avec les porte-outils. Côté moteur, l'enjambeur dispose d'un bloc Deutz de 4,1 I développant 256 ch et homologué

bande trapézoïdale et des rou leaux d'entraînement bombés. Un convoyeur intermédiaire à godets dirige les baies vers les systèmes de tri. L’aspiration se fait à ce moment, lors de la chute, pour éviter la perte de jus. La firme annonce un lavage en 30 min, grâce à une passe relle escamotable simplifiant l’accès. Enfin, la benne inox de 1400 I se déporte de 60 cm pour faciliter l’approche des remorques. L’Optimum 340 est annoncé au tarif de 140000 €, et la tête de récolte à partir de 80000 €. La firme a également présenté sa toute nouvelle gamme de machines à vendanger trac tées, nommée Grapes ’line, et comprenant 5 modèles. Ils dis posent notamment de nou veaux secoueurs, plus résis tants et dotés d ’un système de montage rapide. Selon les modèles, d'autres innovations s'ajoutent à cela, comme des clapets de fermeture automa tique des tapis lors du vidage, pour éviter des pertes de raisin, ou encore une remise à niveau du dévers semi-automatique. Les Grapes ’line 40 et 45 sont des solutions simples et éco nomiques, pouvant convenir à tout type de tracteur de plus de 60 ch. Les modèles 60 et 80, en revanche, se positionnent sur le haut de gamme, avec un joystick 18 fonctions sans touches combinées et un pupitre couleur indépendant.

Tier 4 f. La tête de récolte, avec une longueur d ’étanchéi té de 2,60 m, reprend le sys tème d ’’écai écaillesllesde de Pellenc. Le convoyage se fait par un tapis à Ces machines sont équipées, entre autres, d ’un freinage double ligne et de fonctions facilitant le lavage: colonne d ’eau, passerelle optimisée, commandes déportées... Le modèle 70, quant à lui, dis pose des mêmes innovations que les modèles 60 et 80, mais avec une partie électronique limitée. Par ailleurs, le système d’égrenage embarqué Selectiv ’ Process est disponible sur les Grapes ’line 70 et 80. La gamme de prix pour ces machines tractées évolue entre 55000 et 120000 6.

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NfWHOUAMD

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Les modèles

de la nouvelle

d ’ un système

de montage

Chez route.

gamme rapide,

Grapes'line (Crédit

ERO, les Grapeliner Elles adoptent

V, délivrant

de Pellenc

7 000

sont

une motorisation

175 et 200

ch.

disposent

notamment

de deux

nouveaux

secoueurs,

plus résistants

et dotés

: Pellenc]

[Crédit

réceptionnées six cylindres

photo

pour Deutz

circuler répondant

à 40

km/h

à la norme

sur

la

Stage

: Ero)

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1 septembre 2019 - N°265

prod uire

Le tri version haut de gamme Depuis une dizaine d'années, plusieurs fournisseurs proposent des équipements de tri automatiques perfectionnés: optiques ou densimétriques. Tour d'horizon des principaux trieurs disponibles et des évolutions. i lespetitstrieurs de vendange à rouleaux sedémocratisent de plus en plus dans les caves, la vente de trieurs

S

plus sophistiqués, à fonc tionnement optique ou densimétrique, est plus confidentielle. Ces outils éliminent tous les déchets : végétaux, insectes, baies abîmées, raisins secs ou insuffisamment mûrs..., mais ils coûtent cher. Ils intéressent surtout les régions de vins rouges bien valorisées : le Bordelais en tête, surtout le Médoc et Saint-Emilion, ainsi que la Bour gogne. tJkî Catherine B ioteau

À

D'une technologie plus simple que les trieurs optiques, ces équipements plongent la vendange dans un bain de moût ou d ’eau sucrée sulfitée. Les baies les plus mûres restent au fond du bain tandis que les déchets et les baies moins mûres flottent à la surface. Un de leur intérêt réside dans leur polyvalence : suivant la densité du bain, on peut éliminer uniquement les déchets et les baies vertes ou séparer deux lots de vendange de maturité différente. Cela permet par ailleurs de laver la vendange éraflée ou entière. Ils ne conviennent pas aux cépages à peau fragile comme le malbec ou le pinot noir. Les bains doivent être changés souvent et leur densité est à surveiller car elle évolue au fur et à mesure du tri.

À

de Socma 027000

Les trieurs densimétriques

€ - 4 t/h

Sorti l ’an dernier, le dernier né des trieurs densimétriques est aussi le moins cher. Son fonctionnement est simplifié avec peu de maintenance et un nettoyage aisé. Les baies non désirées et les déchets sont évacués par un système de palettes ajourées.

Flotatrie O35000€-8à10

de Trimoltech t/h

Le Flotatrie, mis au point par des vignerons bordelais en 2013, a évolué l’ an dernier avec une augmentation du débit et surtout l ’automati sation de l ’évacuation des déchets et baies légères, auparavant réalisée manuellement

à l’épuisette.

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1 septembre 2019 - N°265

produire ◄ Delta Densilys de Bûcher Vaslin

avis d ’ expert DROUILHET, directeur production vin au ChâteauTalbot,110ha à Saint-Juliendansle Médoc JEAN-MAX

036500

€-

4 à 6 t/h

Sorti en 2016, il élimine les déchets en continu par une vis sans fin. Au Sitevi en novembre prochain, Bûcher présentera un nouveau modèle « double bande » avec deux convoyeurs pour augmenter son débit à 12 t/h. Coût annoncé par le fabricant : 52 500 €.

LE DELTA DENSILYS

77 • •

Satisfait à la fois du tri optique et du tri densimétrique « Nous avons deux réceptions de ven dange, l'une équipée d'un trieur optique X-Tri depuis 2013 et l'autre d'un trieur densimétrique Tribaie depuis 2007. Et nous sommes contents des deux. Ils ont deux buts différents. On réserve le tri optique aux vieilles vignes de maturité assez homogène alors que les récoltes de maturité plus hétérogène sont orientées vers le tri densimétrique. L'X-Tria remplacé avantageusement une table de tri manuel à huit postes après éraflage. Le Tribaie nous permet d'écarter environ 15 % de baies moins mûres qui ne vont pas dans le premier vin. Depuis, les tanins sont plus soyeux, on a pu pousser les extractions un peu plus loin tout en gagnant en finesse. Le X-Tritourne à 6-10 t/h sans soucis depuis six ans. Quant au Tribaie, également à 6-10 t/h, nous l'avons changé pour sa version 3 en 2017.Le nettoyage, autrefois fastidieux est maintenant facilité, cela nous prend 45 minutes comme pour le X-Tri.»

de BûcherVaslin fonctionne avec unevis sansfin.

Les trieurs optiques Leur fonctionnement

repose

sur une caméra

qui repère sur un tapis les baies et déchets non conformes en termes de couleur, de forme et de taille. Ceux-ci sont ensuite éjectés par un jet d ’air envoyé par des buses ou par aspiration selon les modèles.

X-Tri de Defranceschi-Sacmi Ode 90000 € à 150000 € Trois modèles jusqu'à 15 t/h

Tribaie de Amos-lndustrie Ode

90000

Trois modèles:

€ à plus de 180000

6 à 11et 20 t/h

Depuis sa sortie en 2004, Amos annonce avoir vendu plus de 150 machines dans le monde. Plus sophistiqué, Tribaie cumule un tri par vibration, sur tambour et densi métrique, et un système de filtration du bain. La version 3, plus design, sortie en 2017, facilite l ’accessibilité et le net toyage, qui prend maintenant 30 minutes contre 2 heures auparavant. Le réglage de la densité du bain est automati sé grâce à la présence de capteurs qui commandent l ’ajout d ’eau ou de solution sucrée en fonction des besoins. Amos propose une solution sucrante non fermentescible à diluer

Le X-Tri possède plusieurs caméras pour optimiser le tri. Il repère les déchets par plusieurs techniques: fluorescence pour la chloro phylle des déchets verts, infrarouge et lumines cence. Il est bien adap té au tri des raisins rouges et blancs et repère des déchets de l ’ordre du millimètre. Il détecte des grains botrytisés même s’ils ont la même couleur que

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1 septembre 2019 - N°265

. . L. ^.7,

Selectiv'Process €-

O60000

Jusqu'à

Vision

2 de Pellenc

12 t/h

Alien de CITF 3110000

€- Jusqu'à

8 t/h

Après un premier modèle en 2008, la version 2 de 2013 permet un nettoyage rapide, annoncé en 15 minutes.

Nouveau venu depuis fin 2018, l ’Alien est dispo nible à la vente et à la location dans une version

Elle propose quatre niveaux de tri avec une utilisation et des réglages simplifiés. Le tapis est nettoyé en continu pour un meilleur repérage des déchets par la caméra.

2019 design et ergonomique. aux autres trieurs, il élimine

Le Vision

bras robotisés avec buse aspirante. Il est annoncé plus doux avec les baies que ses concurrents et plus précis pour éviter d ’éliminer ses baies saines avec les déchets. Le nettoyage prend 30 minutes. CITF n ’ a pour l ’instant commercialisé que deux

2 peut trier 2 000 corps à la seconde.

Dionysos de Raytec Vision (Techn'Agro) €-

3170000

Raytec Vision,

Jusqu'à

14 t/h

spécialiste

d ’air comprimé,

machines

italien du tri optique

Contrairement les déchets non par jet

mais par aspiration

grâce à deux

en Californie.

des fruits et

légumes a sorti le Dyonisos en 2015 mais n ’en a pas encore vendu en France. Il optimise la qualité du tri à partir de huit images différentes et une résolution au millimètre carré. Il peut être configuré avec trois voies de sortie : une pour les baies mûres, une pour les déchets et la troisième pour les baies à défauts mineurs réutilisables, par exemple les raisins secs.

Delta Vistalys 3110000

€ - Jusqu'à

Sorti en 2009, Vistalys

HD.

de Bûcher

Vaslin

10 t/h

il a fait peau neuve cette année avec la version L ’automate

a été amélioré

avec une caméra HD

qui peut trier 8700 éléments à la seconde et génère des rejets plus précis. Les réglages sont plus simples grâce à un écran tactile ergonomique et une caméra interne a été ajoutée pour mieux visualiser le tri en cours. Les anciens modèles Vistalys

sont adaptables

Château

pour 15 000 €.

Margaux,

le tri reste manuel

Comment

procède Château Margaux C’est pour trier à la perfection? simple: « le moindre grain abîmé à la vigne reste à la vigne », résume Sébas tien Vergne, le directeur d'exploitation. Pas moins de 250 vendangeurs-trieurs scrutent chaque grappe. Un « petit toilettage supplémentaire » est effec tué au chai avant éraflage par quatre

et avant

trieurs manuels. Et plus rien après éraflage. Le domaine a bien testé deux trieurs optiques, le Selectiv'Process Vision 2 et l'Alien, mais il ne les a pas retenus. « Le résultat n'est pas encore parfait: nous aurions éliminé certaines baies que la machine gardait et inver sement nous aurions gardé certaines baies éliminées. Le réglage du tri

éraflage uniquement sur trois critères, couleur, forme et taille, est restrictif. De plus, on augmente les pertes de jus en triant après éraflage ». Et à Margaux, le jus est précieux! Quant aux trieurs densi métriques, ils n'ont pas été testés. « Ils effectuent une sélection uniquement sur la teneur en sucre alors qu'il y a d'autres paramètres de maturité. »

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JOURNALISTE :Sarahcostes

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1 septembre 2019 - N°1088

Trophées Paysagistes pour l'environnement Déchets verts et économie circulaire étaient les maîtres mots de cette seconde édition. es Trophées Paysagistes pour

ruraux des Bouches-du-Rhône pour l ’environnement récompen CroqJardin, ’ un jardin pédagogique sent des professionnels pri fondé il y a dix-neuf ans. Ce projet vés ou publics engagés dans une accueille dé des jeunes en décrochage durable scolaire qui se voient proposer une marche de développement et de respect de l ’ environnement. formation en jardinage. Aire de Deux catégories distinguent les lau compostage, production agro-éco

L

réats : « Jardins responsables «Jardins insolites».

Et les gagnants

» et

sont...

Le premier lauréat de la catégorie « Jardins responsables » est la com munauté

d ’agglomération

de Ville-

franche-Beaujolais-Saône pour gestion du cimetière paysager

de 1,5 hectare est ainsi dédié à la bio diversité et au développement d'uneagriculturedeproximité.

Les Trophées Paysagistes

Une table ronde à l’ occasion de la remise des trophées

sidérés

des professionnels de développement

comme

pour l’ environnement

une ressource

? Le

Gleizé, qui met en œuvre des prati ques vertueuses envers l'environ nement comme le zéro phyto. La catégorie « Jardins insolites » a ré

Une table ronde autour du sujet « Déchets verts et économie circu laire : quelles pratiques durables pour les professionnels du paysa ge ? » était aussi organisée. Et si les

compensé

résidus végétaux étaient plutôt con-

sein de la profession,

des Foyers

récompensent

du paysage pour leur engagement durable.

réemploi apparaît alors comme le maître mot de l ’économie circulai re. Paillage, broyage, compostage, etc., les possibilités d'utilisation de cette « ressource » sont vastes. Si les solutions exposées font débat au

la Fédération

sa de

logique... CroqJardin ’ prône des pra tiques culturales saines. Un espace

les perspecti

dans une démarche

ves soulevées ouvrent possibles.

pellenc

le champ des

Outre le débat sur la ges

tion des déchets verts, le plastique est également au cœur des problé matiques environnementales (1). SarahCostes (l)Voir notre dossier (p. 36 à43) sur le devenir des pots en plastique horticoles.

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PAGE(S) :17-18 SURFACE :16 % PERIODICITE :Quotidien

6 septembre 2019 - N°16964

Pellenc

/ La Harde : Pellenc,

développement

de sa gamme d'outils

verts. Après avoir repositionné avec

l'ETI

française

connue

100 % électriques

pour

destinés à l'entretien

la marque autour d'une nouvelle

nature est notre

Walk dévoile

ses innovations,

une nouvelle

internationale

et la nature : La Harde.

Le pitch : des sangliers saccagent tous les jardins sur leur chemin jusqu'à ce qu'ils se retrouvent à nez avec un homme pour respecter

tondant

sa pelouse avec une tondeuses

les allées bien entretenues

réalisé par M. Henry LITTECHILD spécialement

pour ce tournage.

de ce jardin

:

électrique

nature n'avait

(Bandits) a été tourné entièrement

le

des jardins et espaces

relation entre l'homme campagne

accélère

Pellenc.

nez

Ils s'assagissent

jamais vu

Le film

avec de vrais sangliers dressés

La campagne est diffusée à partir du 26 août 2019 en TV et digital.

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JOURNALISTE :Amelle Nebia

PAGE(S) :13-14 SURFACE :102 % PERIODICITE :Quotidien

5 septembre 2019 - N°05 09 2019

WALK PRÉSENTE

LE 05 SEPTEMBRE

PAR AMELLE

« LA HARDE » POUR PELLENC

2019 À 00:02

NEBIA

Pellenc (outils pour les espaces verts) accélère le développement de sa gamme d’outils électriques avec une campagne \sauvage\ signée Walk (la nouvelle agence de W crée en juin). Après avoir repositionné la marque autour d’une nouvelle relation entre l'homme et la nature « La nature est notre moteur », l'agence a imaginé partis pris était de casser ces codes de puissance de l’homme pour illustrer que Pellenc et ses outils électriques facilitent le travail de l’homme dans le respect de la nature, en communion avec elle... Nous cherchions une copie avec un fort impact pour faire émerger la marque rapidement face à ces concurrents en France et à l’ explique Gabriel Lippis, directeur de création de Walk. Le film réalisé par Henry Littechild (Bandits) a été tourné avec de vrais sangliers (dressés).

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JOURNALISTE :Amelle Nebia

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5 septembre 2019 - N°05 09 2019

Agence : Walk (Agence W ) Directeur de création : Gabriel Lippis Responsables agence : Grégoire Weil, Jai-yen Oh, Léo Carli Annonceur, Directrice de la communication : Jessica Galizzi Réalisateur : Henry Littlechild Chef op : Christophe Beaucarne Production : Bandits Post production & son : HRCL Tv Prod : Anath Socroun

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PAGE(S) :25 SURFACE :43 % PERIODICITE :Mensuel

1 septembre 2019 - N°445

MAINTENANCE

Pellenc labellise son réseau Pour éviter les temps d’ arrêt lors de la taille ou de l ’attachage, le matériel doit être révisé avec le plus grand soin. Un process de maintenance que Pellenc a choisi de repenser en collaboration avec son réseau de distributeurs pour garantir aux utilisateurs une révision « qualité constructeur ». En confiant leur outil à un distributeur labellisé Pro Activ ’ Maintenance, les utilisateurs s’ assurent un service réalisé par des professionnels certifiés qui connaissent précisément les points de contrôle, qui travaillent avec des pièces d’origine et qui utilisent des outils adaptés. Selon MarcOlivier Gourraud, directeur SAV du groupe Pellenc : « Pour l'utilisateur, le label Pro Activ ’ Maintenance c'est l ’assurance d'un outil révisé avec sérieux, selon une méthode stricte et définie entre Pellenc et le distributeur. »

Ce service, équivalent à celui rendu par le constructeur, est aussi bénéfique pour les distributeurs qui gagneront en réactivité et pourront répondre à plus de demandes. Pour Jean-Louis Comte, de la société Sedec (Ardèche), distributeur partenaire de Pellenc depuis 1974 : « Ce label est très bien perçu par les clients, en particulier ceux qui travaillent avec des flottes d'outils importantes. Grâce à une révision équivalente à celle réalisée dans les ateliers Pellenc, nous leur assurons tranquillité et sécurité pendant les saisons de taille. »

l ’ activité de révision et de réparation des outils électroportatifs Pellenc ; • utiliser des pièces et des consommables d’origine Pellenc ; • respecter le montant forfaitaire de 99 € HT ; • prêter à T utilisateur un outil de courtoisie en cas d’ immobilisation de l ’outil, en saison, de plus de 3 jours ouvrés.

Plusieurs conditions sont nécessaires à l ’obtention du label, dont les suivantes : • disposer d’ au moins un technicien formé sur les produits concernés depuis moins de 18 mois ; • disposer d’ un atelier dédié à

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